D.584 – Qui est Israël ? – Chapitre 3

Par Roch Richer

Chapitre 3

Qui est l’Israël d’origine ?

Qui a toujours été Israël ?

« Et cet homme lui dit : Quel est ton nom ? Il répondit : Jacob. Alors il dit : Ton nom ne sera plus Jacob, mais Israël ; car tu as été le maître en luttant avec Dieu et avec les hommes, et tu as été le plus fort. Et Jacob demanda, disant : Je te prie, déclare-moi ton nom. Et il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Et il le bénit là. Et Jacob nomma le lieu, Péniel ; car j’ai, dit-il, vu Dieu face à face, et mon âme a été délivrée » (Genèse 32:27-30).

Dans ce passage, avons-nous quelque doute quant à savoir qui était « l’homme » qui lutta avec Jacob ? Il y a ici quelques indices solides que nous devons noter. Nous croyons que c’est Jésus qui lutta avec Jacob et que Jésus lui donna Son propre nom « d’Israël » ! Veuillez prendre en considération les quelques points suivant tirés du texte :

« Et cet homme lui dit : Quel est ton nom ? Il répondit : Jacob. Alors il dit : Ton nom ne sera plus Jacob, mais Israël ; car tu as été le maître en luttant avec Dieu et avec les hommes, et tu as été le plus fort. Et Jacob demanda, disant : Je te prie, déclare-moi ton nom. Et il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom ? Et il le bénit là. »

Voyez la similitude entre les textes de Genèse 32:27-28 et Jean 14:8-9 qui contiennent des réponses d’apparence évasive de Jésus, mais lesquelles conduisent à une conclusion évidente :

« Philippe lui dit : Seigneur ! montre-nous le Père, et cela nous suffit. Jésus lui répondit : je suis depuis si longtemps avec vous, et tu ne m’as point connu ? Philippe, celui qui m’a vu, a vu mon Père ; et comment dis-tu: montre-nous le Père ? » (Jean 14:8-9).

Dieu appelle Israël « mon fils », « mon premier-né » :

« Tu diras donc à Pharaon, ainsi a dit l’Eternel : Israël est mon fils, mon premier-né. Et je t’ai dit : laisse aller mon fils, afin qu’il me serve ; mais tu as refusé de le laisser aller. Voici, je m’en vais tuer ton fils, ton premier-né » (Exode 4:22-23).

Qu’est-ce que cela veut vraiment dire ? Jacob n’était pas un fils premier-né. Les Israélites peuvent bien avoir été des fils « adoptés » (Romains 9:4), mais ils ne pouvaient pas se déclarer « fils premiers-nés » de Dieu. Se peut-il que Dieu Se référât à la « semence promise » (Galates 3:16) qui devait provenir des enfants physiques d’Abraham, appelés par la suite « Israël » ? Bien que se rapportant à la nation physique dans son ensemble, ne faisait-Il pas plus spécifiquement référence à « Son Fils unique engendré » qui allait un jour sortir de la lignée d’Abraham ? Les Écritures indiquent que, lorsque Moïse choisit d’être avec Israël, il choisit en réalité le Christ plutôt que l’Égypte : « Choisissant plutôt d’être affligé avec le peuple de Dieu, que de jouir pour un peu de temps des délices du péché. Et ayant estimé que l’opprobre de Christ était un plus grand trésor que les richesses de l’Egypte ; parce qu’il avait égard à la rémunération » (Hébreux 11:25-26).

Examinez également les écrits inspirés d’Osée et de Matthieu et leur lien avec Exode 4:22 et Christ Lui-même :

« Tu diras donc à Pharaon, ainsi a dit L’Eternel : Israël est mon fils, mon premier-né. Et je t’ai dit : laisse aller mon fils, afin qu’il me serve ; mais tu as refusé de le laisser aller. Voici, je m’en vais tuer ton fils, ton premier-né » (Exode 4:22).

« Quand Israël était jeune enfant, je l’ai aimé, et j’ai appelé mon fils hors d’Egypte » (Osée 11:1).

« Joseph donc étant réveillé, prit de nuit le petit enfant, et sa mère, et se retira en Egypte. Et il demeura là jusques à la mort d’Hérode ; afin que fût accompli ce dont le Seigneur avait parlé par un Prophète, disant : J’ai appelé mon Fils hors d’Egypte » (Matthieu 2:14-15).

Sous l’inspiration de Dieu, Matthieu relie les premières années de l’enfance de Jésus à ces deux passages de l’Ancien Testament, accolant directement à Jésus-Christ l’expression « Israël est mon fils ».

Notez les autres passages qui parlent du « fils premier-né » de Dieu. Peut-on former un doute quelconque quant à savoir qui Il est ?

« Il m’invoquera, disant : Tu es mon Père ; mon Dieu Fort, et le Rocher de ma délivrance. Aussi je l’établirai l’aîné et le souverain sur les Rois de la terre » (Psaume 89:27-28). À noter : « souverain sur les rois » ou « Roi des rois » (1 Timothée 6:15 ; Apocalypse 17:14 ; 19:16).

« Car ceux qu’il a préconnus, il les a aussi prédestinés à être conformes à l’image de son Fils, afin qu’il soit le premier-né entre plusieurs frères » (Romains 8:28).

« Qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres, et nous a transportés au Royaume de son Fils bien-aimé. En qui nous avons la rédemption par son sang, savoir, la rémission des péchés. Lequel est l’image de Dieu invisible, le premier-né de toutes les créatures. Car par lui ont été créées toutes les choses qui sont aux Cieux et en la terre, les visibles et les invisibles, soit les Trônes, ou les Dominations, ou les Principautés, ou les Puissances, toutes choses ont été créées par lui, et pour lui. Et il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui. Et c’est lui qui est le Chef du Corps de l’Eglise, et qui est le commencement et le premier-né d’entre les morts, afin qu’il tienne le premier rang en toutes choses. Car le bon plaisir du Père a été que toute plénitude habitât en lui » (Colossiens 1:13-19).

« Car auquel des Anges a-t-il jamais dit : tu es mon Fils, je t’ai aujourd’hui engendré ? Et ailleurs : je lui serai Père, et il me sera Fils ? Et encore, quand il introduit dans le monde son Fils premier-né, il est dit : et que tous les Anges de Dieu l’adorent » (Hébreux 1:5-6).

« Mais vous êtes venus à la montagne de Sion, et à la Cité du Dieu vivant, à la Jérusalem céleste, et aux milliers d’Anges, et à l’assemblée et à l’Eglise des premiers nés qui sont écrits dans les Cieux, et à Dieu qui est le juge de tous, et aux esprits des justes sanctifiés ; et à Jésus, le Médiateur de la nouvelle alliance, et au sang de l’aspersion, qui prononce de meilleures choses que celui d’Abel. Prenez garde de ne mépriser point celui qui vous parle… » (Hébreux 12:22-25).

C’est donc ainsi que : « Israël est mon fils, mon premier-né » (Exode 4:22). Le Seigneur Jésus-Christ EST l’Israël original, le premier-né !

Qui est le serviteur nommé Israël appelé à ramener « Jacob » vers Dieu ?

« Ecoutes-moi, Iles, et soyez attentifs, vous peuples éloignés ; l’Eternel m’a appelé dès le ventre ; il a fait mention de mon nom dès les entrailles de ma mère. Et il a rendu ma bouche semblable à une épée aiguë ; il m’a caché dans l’ombre de sa main, et m’a rendu semblable à une flèche bien polie, il m’a serré dans son carquois. Et il m’a dit : Tu es mon serviteur ; Israël est celui en qui je me glorifierai par toi. Et moi j’ai dit : j’ai travaillé en vain ; j’ai usé ma force pour néant et sans fruit ; toutefois mon droit est par-devers l’Eternel, mon œuvre est par-devers mon Dieu. Maintenant donc l’Eternel, qui m’a formé dès le ventre pour lui être serviteur, m’a dit que je lui ramène Jacob ; mais Israël ne se rassemble point ; toutefois je serai glorifié aux yeux de l’Eternel, et mon Dieu sera ma force. Et il m’a dit : c’est peu de chose que tu me sois serviteur pour rétablir les Tribus de Jacob, et pour délivrer les captifs d’Israël ; c’est pourquoi je t’ai donné pour lumière aux nations [les Gentils], afin que tu sois mon salut jusques au bout de la terre » (Ésaïe 49:1-6).

Notons ici une nuance de traduction qu’il vaut la peine de relever. Dans la version David Martin, le verset 3 se lit comme suit : « Et il m’a dit : tu es mon serviteur ; Israël est celui en qui je me glorifierai par toi. » Le verbe être ne se trouve pas dans le manuscrit original hébreu et c’est pour cette raison qu’il est imprimé en lettres italiques. Dans les versions King James et d’Ostervald, le texte est correctement rendu ainsi : « And said unto me, Thou art my servant, O Israel, in whom I will be glorified » et « Il m’a dit : Tu es mon serviteur, Israël en qui je me glorifierai. » Donc, la traduction exacte éclaircit le fait que Jésus est l’Israël original.

Car, en effet, comment le serviteur nommé « Israël » pourrait-il ramener Jacob à Dieu si cet Israël est Jacob ou ses descendants ? Comment quelqu’un nommé « Israël » et appelé dès le ventre maternel, serait-il en mesure de rétablir les tribus de Jacob et de délivrer les captifs d’Israël ? Autrement dit, comment Israël peut-il délivrer Israël ? Il n’y a qu’une Personne qui puisse avoir été l’Israël original. Il n’y en a qu’un seul qui ait le pouvoir de ramener Jacob/Israël physique vers Dieu. Jésus est le seul qui pouvait accomplir cette prophétie et Il porte le nom « d’Israël ». Examinons plus soigneusement le passage d’Ésaïe 49:1 à 6 :

Verset 1 : « L’Éternel … a fait mention de mon nom dès le ventre de ma mère » [m’a appelé par mon nom avant ma naissance.]

Y a-t-il des preuves bibliques démontrant que ce « serviteur » nommé « Israël » soit Jésus-Christ ?

« C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe ; voici, une Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, et appellera son Nom EMMANUEL » (Ésaïe 7:14).

« Voici, la Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils ; et on appellera son nom Emmanuel, ce qui signifie, DIEU AVEC NOUS » (Matthieu 1:23).

« Car l’enfant nous est né, le Fils nous a été donné, et l’empire a été posé sur son épaule, et on appellera son nom, l’Admirable, le Conseiller, le Dieu Fort et puissant, le Père d’éternité, le Prince de paix » (Ésaïe 9:6).

« Mais comme il pensait à ces choses, voici, l’Ange du Seigneur lui apparut dans un songe, et lui dit : Joseph, fils de David, ne crains point de recevoir Marie ta femme ; car ce qui a été conçu en elle est du Saint-Esprit. Et elle enfantera un fils, et tu appelleras son nom Jésus ; car il sauvera son peuple de leurs péchés » (Matthieu 1:20-21).

Verset 2 : « Et il a rendu ma bouche semblable à une épée aiguë… »

« Mais il jugera avec justice les chétifs, et il reprendra avec droiture, pour maintenir les débonnaires de la terre, et il frappera la terre par la verge de sa bouche, et fera mourir le méchant par l’esprit de ses lèvres » (Ésaïe 11:4).

« Car la Parole de Dieu est vivante et efficace, et plus pénétrante que nulle épée à deux tranchants, et elle atteint jusques à la division de l’âme, de l’esprit, des jointures et des moelles, et elle est juge des pensées et des intentions du cœur » (Hébreux 4:12).

« Et il avait en sa main droite sept étoiles, et de sa bouche sortait une épée aiguë à deux tranchants, et son visage était semblable au soleil, quand il luit en sa force » (Apocalypse 1:16).

« Repens-toi : autrement je viendrai à toi bientôt ; et je combattrai contre eux par l’épée de ma bouche » (Apocalypse 2:16).

« Et il sortait de sa bouche une épée tranchante, pour en frapper les nations ; car il les gouvernera avec une verge de fer, et il foulera la cuve du vin de l’indignation et de la colère du Dieu tout-puissant … Et le reste fut tué par l’épée qui sortait de la bouche de celui qui était monté sur le cheval, et tous les oiseaux furent rassasiés de leur chair » (Apocalypse 19:15, 21).

Verset 3 : « Il me dit : Tu es mon serviteur, Israël, en qui je me glorifierai »

« Voici mon serviteur, je le maintiendrai : c’est mon Elu, auquel mon âme prend son bon plaisir ; j’ai mis mon Esprit sur lui ; il manifestera le jugement aux nations » (Ésaïe 42:1).

« Ecoute maintenant, Jéhosuah, grand Sacrificateur, toi, et tes compagnons qui sont assis devant toi, parce que ce sont des gens qu’on tient pour des monstres, certainement voici, je m’en vais faire venir Germe, mon serviteur » (Zacharie 3:8).

« Et comme il parlait encore, voici une nuée resplendissante qui les couvrit de son ombre ; puis voilà une voix qui vint de la nuée, disant : celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai pris mon bon plaisir ; écoutez-le » (Matthieu 17:5).

« Et comme il fut sorti, Jésus dit : maintenant le Fils de l’homme est glorifié ; et Dieu est glorifié en lui » (Jean 13:31).

« Qu’il y ait donc en vous un même sentiment qui a été en Jésus-Christ. Lequel étant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une usurpation d’être égal à Dieu. Cependant il s’est anéanti lui-même, ayant pris la forme de serviteur, fait à la ressemblance des hommes ; et étant trouvé en figure comme un homme, il s’est abaissé lui-même, et a été obéissant jusques à la mort, à la mort même de la croix. C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné un Nom, qui est au-dessus de tout Nom ; afin qu’au Nom de Jésus tout genou se ploie, tant de ceux qui sont aux cieux, que de ceux qui sont en la terre, et au-dessous de la terre, et que toute Langue confesse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2:5-11).

Verset 5a : « l’Éternel, qui m’a formé dès le ventre, pour lui être serviteur, m’a dit que je lui ramène Jacob »

« Car Dieu a commandé, disant : honore ton père et ta mère. Et il a dit aussi : que celui qui maudira son père ou sa mère, meure de mort » (Matthieu 15:4).

« …c’est ce qu’il a envoyé signifier aux enfants d’Israël, en annonçant la paix par Jésus-Christ, qui est le Seigneur de tous » (Actes 10:36).

« Or je dis que Jésus-Christ a été Ministre de la Circoncision, pour la vérité de Dieu, afin de ratifier les promesses faites aux Pères » (Romains 15:8).

Verset 5b : « …mais Israël ne se rassemble point ; toutefois je serai glorifié aux yeux de l’Éternel, et mon Dieu sera ma force »

« Enfin, il envoya vers eux son propre fils, en disant : ils auront du respect pour mon fils. Mais quand les vignerons virent le fils, ils dirent entre eux : celui-ci est l’héritier ; venez, tuons-le, et saisissons-nous de son héritage. L’ayant donc pris, ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Quand donc le Seigneur de la vigne sera venu, que fera-t-il à ces vignerons ? Ils lui dirent : il les fera périr malheureusement comme des méchants, et louera sa vigne à d’autres vignerons, qui lui en rendront les fruits en leur saison » (Matthieu 21:37-41).

« Jérusalem, Jérusalem, qui tues les Prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez point voulu ! » (Matthieu 23:37).

« Ô ! si toi aussi eusses connu, au moins en cette tienne journée, les choses qui appartiennent à ta paix ! mais maintenant elles sont cachées devant tes yeux » (Luc 19:42).

« Car, mes frères, vous avez imité les Eglises de Dieu qui sont dans la Judée en Jésus-Christ, parce que vous avez aussi souffert les mêmes choses de ceux de votre propre nation, comme eux aussi de la part des Juifs ; qui ont même mis à mort le Seigneur Jésus, et leurs propres Prophètes, et qui nous ont chassés ; et qui déplaisent à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes : nous empêchant de parler aux Gentils afin qu’ils soient sauvés ; comblant ainsi toujours la mesure de leurs péchés. Or la colère de Dieu est parvenue sur eux jusqu’au plus haut degré » (1 Thessaloniciens 2:14-16).

Verset 6a : « Et il m’a dit : c’est peu de chose que tu me sois serviteur pour rétablir les tribus de Jacob, et pour délivrer les captifs d’Israël »

« En ses jours Juda sera sauvé, et Israël habitera en assurance ; et c’est ici le nom, duquel on l’appellera : l’Eternel notre justice » (Jérémie 23:6).

« En ces jours-là Juda sera délivré, et Jérusalem habitera en assurance, et c’est ici le nom dont elle sera appelée : l’Eternel notre justice » (Jérémie 33:16).

« Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Car Dieu n’a point envoyé son Fils au monde pour condamner le monde, mais afin que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui ne sera point condamné ; mais celui qui ne croit point est déjà condamné; parce qu’il n’a point crut au Nom du Fils unique de Dieu. Or c’est ici le sujet de la condamnation, que la lumière est venue au monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque s’adonne à des choses mauvaises, hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient censurées. Mais celui qui s’adonne à la vérité, vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu’elles sont faites selon Dieu » (Jean 3:16-21).

« Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture » (Jean 10:9).

« Et il n’y a point de salut en aucun autre : car aussi il n’y a point sous le ciel d’autre Nom qui soit donné aux hommes par lequel il nous faille être sauvés » (Actes 4:12).

« C’est pourquoi, si tu confesses le Seigneur Jésus de ta bouche, et que tu croies en ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car de cœur on croit à justice, et de bouche on fait confession à salut. Car l’Ecriture dit : quiconque croit en lui ne sera point confus. Parce qu’il n’y a point de différence du Juif et du Grec ; car il y a un même Seigneur de tous, qui est riche envers tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10:9-13).

« Et ainsi tout Israël sera sauvé ; selon ce qui est écrit : le Libérateur viendra de Sion, et il détournera de Jacob les infidélités » (Romains 11:26).

Verset 6b : « …c’est pourquoi je t’ai donné pour lumière aux nations, afin que tu sois mon salut jusques au bout de la terre »

« Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière, et la lumière a relui sur ceux qui habitaient au pays de l’ombre de la mort » (Ésaïe 9:2).

« Car en ce jour-là il arrivera que les nations rechercheront la racine d’Isaï, dressée pour être l’enseigne des peuples ; et son séjour ne sera que gloire » (Ésaïe 11:10).

« Moi l’Eternel, je t’ai appelé en justice, et je prendrai ta main, et te garderai ; et je te ferai être l’alliance du peuple, et la lumière des nations » (Ésaïe 42:6).

« Et les nations marcheront à ta lumière, et les Rois à la splendeur qui se lèvera sur toi » (Ésaïe 60:3).

« Or Jésus ayant ouï dire que Jean avait été mis en prison, se retira en Galilée. Et ayant quitté Nazareth, il alla demeurer à Capernaüm, ville maritime, sur les confins de Zabulon, et de Nephthali. Afin que fût accompli ce dont il avait été parlé par Esaïe le Prophète, disant : Le pays de Zabulon, et le pays de Nephthali, vers le chemin de la mer, au-delà du Jourdain, la Galilée des Gentils ; ce peuple, qui était assis dans les ténèbres, a vu une grande lumière ; et à ceux qui étaient assis dans la région et dans l’ombre de la mort, la lumière s’est levée. Dès lors Jésus commença à prêcher, et à dire : Convertissez-vous : car le Royaume des cieux est proche » (Matthieu 4:12-17).

« Or voici, il y avait à Jérusalem un homme qui avait nom Siméon, et cet homme était juste et craignant Dieu, et il attendait la consolation d’Israël ; et le Saint-Esprit était en lui. Et il avait été averti divinement par le Saint-Esprit, qu’il ne mourrait point, que premièrement il n’eût vu le Christ du Seigneur. Lui donc étant poussé par l’Esprit vint au Temple ; et comme le père et la mère portaient dans le Temple le petit enfant Jésus, pour faire de lui selon l’usage de la Loi, il le prit entre ses bras, et bénit Dieu, et dit : Seigneur, tu laisses maintenant aller ton serviteur en paix selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut ; lequel tu as préparé devant la face de tous les peuples. La lumière pour éclairer les nations ; et pour être la gloire de ton peuple d’Israël » (Luc 2:25-32).

« En elle [la Parole] était la vie, et la vie était la Lumière des hommes. Et la Lumière luit dans les ténèbres, mais les ténèbres ne l’ont point reçue. Il y eut un homme appelé Jean, qui fut envoyé de Dieu. Il vint pour rendre témoignage, pour rendre, dis-je, témoignage à la Lumière, afin que tous crûssent par lui. Il n’était pas la Lumière, mais il était envoyé pour rendre témoignage à la Lumière. Cette Lumière était la véritable, qui éclaire tout homme venant au monde » (Jean 1:4-9).

« Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Car Dieu n’a point envoyé son Fils au monde pour condamner le monde, mais afin que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui ne sera point condamné ; mais celui qui ne croit point est déjà condamné ; parce qu’il n’a point crut au Nom du Fils unique de Dieu. Or c’est ici le sujet de la condamnation, que la lumière est venue au monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque s’adonne à des choses mauvaises, hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient censurées. Mais celui qui s’adonne à la vérité, vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu’elles sont faites selon Dieu » (Jean 3:16-21).

Comparons maintenant Ésaïe 49:6 à Luc 2:25 :

« Et il m’a dit : c’est peu de chose que tu me sois serviteur [ô Israël (v. 3)] pour rétablir les Tribus de Jacob, et pour délivrer les captifs d’Israël ; c’est pourquoi je t’ai donné pour lumière aux nations, afin que tu sois mon salut jusques au bout de la terre » (Ésaïe 49:6).

« Or voici, il y avait à Jérusalem un homme qui avait nom Siméon, et cet homme était juste et craignant Dieu, et il attendait la consolation d’Israël [la consolation de Jésus-Christ] ; et le Saint-Esprit était en lui. Et il avait été averti divinement par le Saint-Esprit, qu’il ne mourrait point, que premièrement il n’eût vu le Christ du Seigneur. Lui donc étant poussé par l’Esprit vint au Temple ; et comme le père et la mère portaient dans le Temple le petit enfant Jésus, pour faire de lui selon l’usage de la Loi, il le prit entre ses bras, et bénit Dieu, et dit : Seigneur, tu laisses maintenant aller ton serviteur en paix selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut ; lequel tu as préparé devant la face de tous les peuples. La lumière pour éclairer les nations ; et pour être la gloire de ton peuple d’Israël » (Luc 2:25-32).

Dans Ésaïe 49, peut-on douter que le « serviteur » de Dieu qui Se nomme « Israël » (v. 3) soit notre Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu et la Lumière du monde de Luc 2 ?

L’Israël physique fut-il nommé d’après l’Israël original ?

« Et que mon peuple, sur lequel mon Nom est réclamé, s’humilie, et fasse des prières, et recherche ma face, et se détourne de sa mauvaise voie, alors je l’exaucerai des cieux, et je pardonnerai leurs péchés, et je guérirai leur pays » (2 Chroniques 7:14).

« En ce temps-là je relèverai le Tabernacle de David qui sera tombé, et je réparerai ses brèches, et je refermerai ses ouvertures ; je le rebâtirai comme il était aux jours anciens. Afin qu’ils possèdent le reste de l’Idumée, et toutes les nations sur lesquelles mon Nom sera invoqué ; dit l’Eternel, qui fait cela » (Amos 9:11-12).

« Et après qu’ils se furent tus, Jacques prit la parole, et dit : hommes frères, écoutez-moi ! Simon a raconté comment Dieu a premièrement regardé les Gentils pour en tirer un peuple consacré à son Nom. Et c’est à cela que s’accordent les paroles des Prophètes, selon qu’il est écrit : Après cela je retournerai et rebâtirai le Tabernacle de David, qui est tombé, je réparerai ses ruines, et je le relèverai, afin que le reste des hommes recherche le Seigneur, et toutes les nations aussi sur lesquelles mon Nom est réclamé, dit le Seigneur, qui fait toutes ces choses. De tout temps sont connues à Dieu toutes ses œuvres » (Actes 15:13-18).

« A cause de cela je fléchis mes genoux devant le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ; (duquel toute la parenté est nommée dans les Cieux et sur la terre.) » Éphésiens 3:14-15).

Les passages ci-dessus sont essentiels pour comprendre l’identité d’Israël. Scofield les a interprétés tout de travers et toute sa théologie déraille.

Si quelqu’un se trouve « en Christ », il fait partie de « l’Israël de Dieu ».

« Jésus répondit, et lui dit : en vérité, en vérité je te dis : si quelqu’un n’est né de nouveau, il ne peut point voir le Royaume de Dieu … Ce qui est né de la chair, est chair ; et ce qui est né de l’Esprit, est esprit. Ne t’étonne pas de ce que je t’ai dit : il vous faut être nés de nouveau » (Jean 3:3, 6-7).

Être « né de nouveau », c’est accéder à la Première Résurrection et ainsi entrer dans le Royaume de Dieu. Pour avoir ce privilège, il faut adhérer à l’Israël de Dieu, qui est Christ et, par extension, l’Église.

En Christ = en « Israël »

En Christ = naître de nouveau à la Première Résurrection, naître de l’Esprit

« Si donc quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles » (2 Corinthiens 5:17).

A notre conversion à Christ, nous devenons une nouvelle créature engendrée par le Père grâce à Son Saint-Esprit. Cela ne s’obtient pas par la race.

En Christ = en Israël

En Christ = une nouvelle créature

« La Loi a donc été notre Pédagogue pour nous amener à Christ, afin que nous soyons justifiés par la foi. Mais la foi étant venue, nous ne sommes plus sous le Pédagogue. Parce que vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ ; où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse » (Galates 3:24-29).

En Christ = en Israël

En Christ = « vous êtes tous des enfants de Dieu »

En Christ = « tous un », il n’y a plus de « Juifs » ou de « Grecs »

En Christ = la semence d’Abraham

En Christ = héritiers selon la promesse

« Car en Jésus-Christ ni la Circoncision [les Juifs], ni le prépuce [les Gentils] n’ont aucune efficace, mais la nouvelle créature. Et à l’égard de tous ceux qui marcheront selon cette règle, que la paix et la miséricorde soient sur eux, et sur l’Israël de Dieu » (Galates 6:15-16).

En Christ = une nouvelle créature

En Christ = l’Israël de Dieu

« L’Israël » original étant Christ, tous ceux qui sont « en Lui » sont « l’Israël de Dieu », la « famille de Dieu », par l’adoption et l’engendrement.

« Elle [la Parole] était au monde, et le monde a été fait par elle ; mais le monde ne l’a point connue. Il est venu chez soi ; et les siens ne l’ont point reçu ; mais à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être faits enfants de Dieu, savoir à ceux qui croient en son Nom ; lesquels ne sont point nés de sang, ni de la volonté de la chair [la race], ni de la volonté de l’homme; mais ils sont nés de Dieu » (Jean 1:10-13).

« Or tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu, sont enfants de Dieu. Car vous n’avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu l’Esprit d’adoption, par lequel nous crions Abba, c’est-à-dire, Père. C’est ce même Esprit qui rend témoignage avec notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Et si nous sommes enfants, nous sommes donc héritiers : héritiers, dis-je, de Dieu, et cohéritiers de Christ ; si nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec lui » (Romains 8:14-17).

« Mais quand l’accomplissement du temps est venu, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, et soumis à la Loi. Afin qu’il rachetât ceux qui étaient sous la Loi, et que nous reçussions l’adoption des enfants. Et parce que vous êtes enfants, Dieu a envoyé l’Esprit de son Fils dans vos cœurs, criant Abba, c’est-à-dire Père. Maintenant donc tu n’es plus serviteur, mais fils ; or si tu es fils, tu es aussi héritier de Dieu par Christ » (Galates 4:4-7).

Contrairement au sionisme dispensationnaliste, tous ceux qui sont en Christ sont de la « famille », les saints de l’Ancien Testament comme ceux du Nouveau. À Son retour, tous ceux qui Lui appartiennent seront rassemblés et inclus dans « l’Épouse de Christ ».

« Afin que dans l’accomplissement des temps qu’il avait réglés, il réunît tout en Christ, tant ce qui est aux cieux, que ce qui est sur la terre, en lui-même » (Éphésiens 1:10).

« A cause de cela je fléchis mes genoux devant le Père de notre Seigneur Jésus-Christ ; (Duquel toute la parenté est nommée dans les Cieux et sur la terre.) » (Éphésiens 3:14-15).

« Mais vous êtes venus à la montagne de Sion, et à la Cité du Dieu vivant, à la Jérusalem céleste, et aux milliers d’Anges, et à l’assemblée et à l’Eglise des premiers nés qui sont écrits dans les Cieux, et à Dieu qui est le juge de tous, et aux esprits des justes sanctifiés » (Hébreux 12:22-23).

« Puis je vis un nouveau Ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et moi, Jean, je vis la sainte Cité, la nouvelle Jérusalem, qui descendait du Ciel, de devers Dieu, parée comme une épouse qui s’est ornée pour son mari … Alors un des sept Anges qui avaient eu les sept fioles pleines des sept dernières plaies, s’approcha de moi et me parla en disant : Viens et je te montrerai l’Epouse, qui est la femme de l’Agneau. Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne, et il me montra la grande Cité, la sainte Jérusalem, qui descendait du Ciel de devers Dieu » (Apocalypse 21:1-2, 9-10).

Qui est l’Épouse de Christ ? Qui a le droit de réclamer Son nom « d’Israël » ?

Les douze apôtres sont les douze fondements de la nouvelle Jérusalem et les pierres de fondation de l’Église, Christ étant la Pierre angulaire. Les douze portes sont nommées d’après les douze tribus d’Israël et pourtant, la nouvelle Jérusalem est également appelée « l’Épouse » (l’Église) de l’Agneau (Apocalypse 21:9). Cette combinaison sera l’assemblée que Jésus aura achevé de réunir et elle demeurera unie pour l’éternité (Hébreux 12:22-23).

L’Épouse de Christ se compose de tous les saints (les Élus) qui aient jamais vécu jusqu’à Son retour. Tous les croyants de l’Ancien et du Nouveau Testaments feront partie de la « famille de Dieu ». la « sainte cité ». La « nouvelle Jérusalem » l’illustre :

« Alors un des sept Anges qui avaient eu les sept fioles pleines des sept dernières plaies, s’approcha de moi et me parla en disant : Viens et je te montrerai l’Epouse, qui est la femme de l’Agneau. Et il me transporta en esprit sur une grande et haute montagne, et il me montra la grande Cité, la sainte Jérusalem, qui descendait du Ciel de devers Dieu, ayant la gloire de Dieu ; et sa lumière était semblable à une pierre très précieuse, comme à une pierre de jaspe tirant sur le cristal. Et elle avait une grande et haute muraille, avec douze portes, et aux portes douze Anges ; et des noms écrits sur elles, qui sont les noms des douze Tribus des enfants d’Israël. Du côté de l’Orient, trois portes ; du côté de l’Aquilon, trois portes ; du côté du Midi, trois portes ; et du côté de l’Occident, trois portes. Et la muraille de la Cité avait douze fondements, et les noms des douze Apôtres de l’Agneau étaient écrits dessus » (Apocalypse 21:9-14).

Les douze portes (12 tribus) et les douze fondements (12 apôtres) symbolisent les Élus de l’Ancien et du Nouveau Testaments. Éphésiens 1:10 et 3:15 indiquent que la « famille de Dieu » se compose de tous les saints. (Voir aussi Jean 10:16 ; Éphésiens 2:14 et Colossiens 1:20).

Selon la tradition, quand a lieu un mariage, la nouvelle épouse prend le nom de son mari. L’officiant prononce : « Je vous déclare maintenant, M. et Mme Untel, mari et femme. » Comme il a été démontré ci-haut, le nom de Jésus est « Israël ». Il s’agit de « l’Israël original » et tous ceux qui forment Son Épouse seront aussi conviés aux noces sous le nom « d’Israël ». Ceux qui ne sont pas engendrés, qui ne sont pas circoncis de cœur, qui ne croient pas en Christ, qui ne sont point adoptés dans Sa famille, ne sont pas Israël :

« Toutefois il ne se peut pas faire que la parole de Dieu soit anéantie ; mais tous ceux qui sont d’Israël, ne sont pas pourtant Israël. Car pour être de la semence d’Abraham ils ne sont pas tous ses enfants ; mais, c’est en Isaac qu’on doit considérer sa postérité, c’est-à-dire, que ce ne sont pas ceux qui sont enfants de la chair, qui sont enfants de Dieu ; mais que ce sont les enfants de la promesse, qui sont réputés pour semence » (Romains 9:6-8).

Une théologie impossible

En dépit du fait évident que tous les descendants physiques de Jacob ne peuvent avoir été sauvés, un grand nombre de membres d’églises sortent l’argument que « tout Israël sera sauvé » fondé sur leur interprétation de Romains 11:26 qu’ils appliquent au peuple juif physique. Étudions cela, si vous le voulez bien.

« Car mes frères, je ne veux pas que vous ignoriez ce mystère, afin que vous ne vous en fassiez pas accroire, c’est qu’il est arrivé de l’endurcissement en Israël dans une partie, jusqu’à ce que la plénitude des Gentils soit entrée ; et ainsi tout Israël sera sauvé ; selon ce qui est écrit : le Libérateur viendra de Sion, et il détournera de Jacob les infidélités » (Romains 11:25-26).

Si la Bible ne contient aucune erreur, alors comment est-il possible que tout Israël soit sauvé ? Simple. C’est qu’à la fin, seuls les Élus sont le vrai Israël. La fin de Romains 11 ne peut être citée et interprétée de manière correcte que dans le contexte élargi de Romains 8, 9, 10 et 11. Si on ne cite que Romains 11:26, on se montre illogique avec le texte, voire malhonnête. Il y a trop d’autres Écritures qui désapprouvent la théorie que « tout Israël » se réfère exclusivement à un groupe ethnique ancestral particulier.

« Car en Jésus-Christ ni la Circoncision [les Juifs], ni le prépuce [les Gentils] n’ont aucune efficace, mais la nouvelle créature. Et à l’égard de tous ceux qui marcheront selon cette règle, que la paix et la miséricorde soient sur eux, et sur l’Israël de Dieu » (Galates 6:15-16).

Un autre exemple de « folie dispensationnaliste » fut donné récemment par un prêcheur baptiste américain, un certain Sam Gipp. Orateur invité à l’Église Baptiste de Treasure Valley, à Meridian, en Ohio, Gipp prêcha un sermon dans lequel il ridiculisa publiquement deux autres prédicateurs baptistes à cause de leur vision particulière de l’eschatologie. Dans son sermon, Gipp fit la déclaration suivante :

« Vous savez comment je n’appelle jamais Jésus-Christ ? Je ne l’appelle jamais “mon Messie”. (La foule réagit en disant “Amen”.) À moins que vous ne soyez un Juif, il n’est pas votre Messie. Êtes-vous de descendance gentille ? (La foule réagit en disant “Amen”.) L’on ne nous a jamais promis un Messie. »

Cette hérésie sort directement du sionisme dispensationnaliste. C’est la fausse doctrine du scofieldisme qui ignore la Parole de Dieu et se concentre sur les notes d’un homme. Elle sépare l’humanité en deux groupes, ou deux races d’êtres humains – les Juifs et les Gentils. Non seulement cela n’est-il pas scripturaire, mais c’est carrément impie. Cela contribue à soutenir le racisme du sionisme et, pire encore, cela encourage les Juifs à se distancier de Christ et de Son Église. Certaines personnes peuvent être sincères dans leurs croyances dispensationnalistes, mais elles ont sincèrement tort.

Il est évident que Jésus est le Messie – pour tout le monde ! Pour les Juifs comme pour les Gentils. Il est le Messie de la femme samaritaine. Il est le « Messie de Händel ». Il est le Messie de cet auteur-ci. Il est aussi le Messie de Sam Gipp, que ça lui plaise ou non. Le mot « Messie » ou Messias était le mot hébreu de l’Ancien Testament et il fut traduit en grec par le mot Christos ou « Christ » dans le Nouveau Testament.

« Celui-ci trouva le premier Simon son frère, et il lui dit : nous avons trouvé le Messie ; c’est-à-dire, le Christ » (Jean 1:41).

« La femme lui répondit : je sais que le Messie, c’est-à-dire le Christ, doit venir ; quand donc il sera venu, il nous annoncera toutes choses. Jésus lui dit : c’est moi-même, qui parle avec toi. Sur cela ses Disciples vinrent, et ils s’étonnèrent de ce qu’il parlait avec une femme ; toutefois nul ne dit : que demandes-tu ? ou pourquoi parles-tu avec elle ? La femme donc laissa sa cruche, et s’en alla à la ville, et elle dit aux habitants : Venez, voyez un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait, celui-ci n’est-il point le Christ ? » (Jean 4:25-29).

Dans Galates 3, Paul a franchement déclaré : « Sachez aussi que ceux qui sont de la foi, sont enfants d’Abraham » (Galates 3:7). Est-ce que la foi d’un Gentil en Jésus-Christ (le Messie) équivaut à la bénédiction d’Abraham envers ce Gentil ? Paul n’emploie-t-il pas le pronom « nous » pour se référer à la fois aux croyants juifs et aux croyants gentils ?

« Afin que la bénédiction d’Abraham parvînt aux Gentils par Jésus-Christ, et que nous reçussions par la foi l’Esprit qui avait été promis » (Galates 3:14).

Paul n’associe-t-il pas les Juifs et les Gentils ? Ne dit-il pas clairement que, par la foi en Christ (le Messie), tous sont enfants de Dieu ? Notez le nombre de fois où Paul utilise le mot « Christ » (le Messie) dans le passage suivant :

« Parce que vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ ; où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse » (Galates 3:26-29).

Dans l’épître aux Romains, Paul répète cette doctrine stipulant qu’il n’y a pas de différence entre Juifs et Grecs (Gentils) :

« La justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus-Christ, s’étend à tous et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a nulle différence, vu que tous ont péché, et qu’ils sont entièrement privés de la gloire de Dieu. Etant justifiés gratuitement par sa grâce, par la rédemption qui est en Jésus-Christ ; Lequel Dieu a établi de tout temps pour être une victime de propitiation par la foi, en son sang, afin de montrer sa justice, par la rémission des péchés précédents, selon la patience de Dieu ; pour montrer, dis-je, sa justice dans le temps présent, afin qu’il soit trouvé juste, et justifiant celui qui est de la foi de Jésus. Où est donc le sujet de se glorifier ? Il est exclu. Par quelle Loi ? est-ce par la Loi des œuvres ? Non, mais par la Loi de la foi. Nous concluons donc que l’homme est justifié par la foi, sans les œuvres de la Loi. Dieu est-il seulement le Dieu des Juifs ? ne l’est-il pas aussi des Gentils ? certes il l’est aussi des Gentils. Car il y a un seul Dieu qui justifiera par la foi la Circoncision, et le Prépuce aussi par la foi » (Romains 3:22-29).

« C’est pourquoi, si tu confesses le Seigneur Jésus de ta bouche, et que tu croies en ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car de cœur on croit à justice, et de bouche on fait confession à salut. Car l’Ecriture dit : quiconque croit en lui ne sera point confus. Parce qu’il n’y a point de différence du Juif et du Grec ; car il y a un même Seigneur de tous, qui est riche envers tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10:9-13).

Les passages que nous venons de voir sont en quelque sorte les poteaux indicateurs qu’emploient ceux qui « gagnent les âmes » un peu partout. On l’appelle le « chemin aux Romains ». Nous devons donc citer ces versets afin de les partager avec quiconque a des oreilles pour entendre, de quelque race que ce soit, Juif comme Gentil, parce que la race ne fait aucune différence ! Suite à cela, comment des dispensationnalistes comme Sam Gipp peuvent-ils prétendre que Jésus n’est pas leur « Messie » ? Le mot « Christ » veut dire Messie ! La loyauté d’un homme au dispensationnalisme le rend aveugle devant la criante vérité, et elle encourage un Juif sioniste à poursuivre son chemin dans son orgueil racial et à renier son propre Christ-Messie !

« Mais n’y a-t-il pas vraiment une différence entre Juifs et Gentils ? » demanderont encore certaines mal affermies. La réponse est NON.

À cause de la réussite de l’endoctrinement du sionisme dispensationnaliste, un grand nombre de croyants persiste toujours à proclamer qu’il y a réellement une différence entre les Juifs et les Gentils. Ils ignorent évidemment que cette idée provient, non pas de la Bible, nous venons bien de le voir, mais plutôt du Talmud, le recueil de traditions des pharisiens, qui déclare que les Juifs sont d’une race infiniment supérieure à celles des autres hommes. Les Écritures disent le contraire. Qu’allons-nous croire ? L’on prétend que la race juive est « purement Israélite », alors que tous les autres sont des goyim (des Gentils, du bétail humain).

Un documentaire récemment produit et intitulé Marching to Zion amène les preuves qu’il n’y a personne aujourd’hui sur terre qui puisse retracer son ADN sans compromission jusqu’à Abraham. Cependant, en fait, nous sommes tous d’un seul sang : « Et il a fait d’un seul sang tout le genre humain, pour habiter sur toute l’étendue de la terre » (Actes 17:26). Existe-t-il quelqu’un qui soit en mesure de garantir qu’il n’y a jamais eu de fornication, d’adultère ou de viol dans sa lignée ancestrale ? Nous savons de manière certaine qu’Abraham eut plusieurs femmes, comme David, d’ailleurs – et Salomon eut 1 000 femmes et 300 concubines ! Il est tout à fait possible que nous ayons tous un peu de l’ADN d’Abraham dans notre arbre généalogique. Cela fait en sorte que tout cet argumentaire disant que la terre de Palestine n’appartient qu’aux Juifs modernes seuls est complètement nulle et non avenue.

Un grand nombre de gens n’ont jamais réalisé que la mère et le père de Jésus, Marie et Joseph, avaient du goy dans leur lignée ancestrale. Lisez les chapitres 1 de Matthieu et 3 de Luc et vous verrez que Rahab, la prostituée Canaanite, et Ruth, la Moabite, sont dans la lignée directe de Jésus. Quand les Juifs ont sous-entendu que Jésus était né de la fornication (Jean 8), ils voulaient insinuer qu’Il n’était pas un « pur Juif ». Ils le disent toujours aujourd’hui dans leur Talmud. Il est parfaitement sûr que Jésus n’est pas « né de la fornication ». Il fut le Germe du Père, provenant entièrement de Dieu, étant Dieu le Père sur terre, sans père, sans mère, sans généalogie comme nous l’entendons humainement parlant. Jésus leur a même dit que, bien qu’ils fussent des enfants d’Abraham sur le plan physique et « purement Israélites », en réalité, ils avaient « pour père le diable ».

Le dessein de Dieu de maintenir une « lignée juive pure » n’avait pour but unique que d’assurer que la promesse d’un Christ, à travers la lignée d’Abraham et de David, soit fidèlement gardée. L’emphase n’était pas mise sur la conservation d’un ADN pur ou d’une certaine ethnicité placée au-dessus des autres. Maintenant que le Christ est venu, nous n’avons pas à nous préoccuper de « généalogies sans fin ».

Toute cette question de Juifs et de Gentils est inutilement montée en épingle.

En lisant l’épître aux Romains, dans les chapitres 8, 9, 10 et 11, on remarque certaines formulations intéressantes. Nous découvrons d’abord que « ceux qui sont d’Israël, ne sont pas pourtant Israël » (9:6). Et nous devons en venir à la conclusion que, non seulement y a-t-il eu un Israël physique, mais il y a de tout temps un « Israël spirituel » (le vrai Israël). Nous voyons aussi que Paul utilise le pronom « nous » d’une manière assez inhabituelle pour son époque, en attachant tous ceux qui sont prédestinés au salut (Juifs et Gentils) à une seule famille. Comparez ce pronom « nous » à tous les enfants adoptés dont parle Romains 8 :

« Et qu’il a appelés, c’est-à-savoir nous, non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les Gentils » (Romains 9:24).

Nous pouvons toutefois aussi découvrir que Paul définit les Gentils d’une manière surprenante. Citant du livre d’Osée, il révèle que la race mixte (les dix tribus perdues) d’Israël est considérée comme faisant partie des Gentils.

« Puis je la [Lo-ruhama, Jizréhel, Israël du nord] sèmerai pour moi en la terre, et je ferai miséricorde à Lo-ruhama ; et je dirai à Lo-hammi, tu es mon peuple ; et il me dira, mon Dieu » (Osée 2:23).

« Toutefois il arrivera que le nombre des enfants d’Israël [les dix tribus du nord] sera comme le sable de la mer, qui ne se peut ni mesurer, ni compter ; et il arrivera qu’au lieu où on leur aura dit : Vous êtes Lo-hammi [pas mon peuple], il leur sera dit : Vous êtes les enfants du Dieu vivant. Aussi les enfants de Juda [les Juifs], et les enfants d’Israël [les Gentils – voir citation suivante] seront assemblés, et ils s’établiront un Chef, et remonteront hors du pays ; car la journée de Jizréhel aura été grande » (Osée 1:10-11).

« Et qu’il a appelés, c’est-à-savoir nous, non seulement d’entre les Juifs, mais aussi d’entre les Gentils. Selon ce qu’il dit en Osée : j’appellerai mon peuple celui qui n’était point mon peuple [les tribus du nord assimilées aux Gentils] ; et la bien-aimée, celle qui n’était point la bien-aimée ; et il arrivera, qu’au lieu où il leur a été dit : vous n’êtes point mon peuple, là ils seront appelés les enfants du Dieu vivant » (Romains 9:24-26).

Comme Paul, Pierre reconnut aussi que « les tribus perdues d’Israël » (les Gentils) pouvaient être « retrouvées » par l’intermédiaire du salut, enlevant de ce fait le statut de « privilège spécial » que les Juifs de son époque croyaient détenir sur les Gentils de la classe inférieure, ce que les Juifs modernes croient également détenir aujourd’hui.

« Mais vous [l’Église composée de Juifs et de Grecs (Gentils)] êtes la race élue, la Sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière ; vous qui autrefois n’étiez point son peuple, mais qui maintenant êtes le peuple de Dieu ; vous qui n’aviez point obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde » (1 Pierre 2:9-10).

Le Nouveau Testament enseigne que tous (qu’ils soient Juifs ou Gentils) ceux qui ont reçu le Christ (le Messie) par la foi en tant que Sauveur seront « l’Épouse » lors de la noce de l’Agneau, alors que tous les autres (qu’ils soient Juifs ou Gentils) qui rejettent le Christ (l’Israël original de Dieu) ne seront pas aux noces de l’Agneau. Demeurez-vous « en Christ » ? Si oui, vous êtes alors Israël ! C’est une promesse de Dieu.

Ainsi donc, qui est Israël ?

Israël est le Seigneur Jésus-Christ

Israël est quiconque est appelé du nom du Seigneur

Israël est la Famille de Dieu dans son entier

« Et ainsi tout Israël sera sauvé… » (Romains 11:26)

 




D.583 – Qui est Israël ? – Chapitre 2

Par Roch Richer

Chapitre 2

La Grande Prostituée de l’Apocalypse

Il y a une question qui hante les milieux religieux depuis des siècles :

Qui est la Prostituée décrite dans le livre de l’Apocalypse ?

« Il se pourrait bien que cette même race étonnante soit, dans les temps présents, réellement en processus de produire un autre système de moralité et de philosophie aussi malveillant que le christianisme a été bienveillant … Il semblerait que l’Évangile du Christ et l’évangile de l’antichrist soient destinés à provenir du même peuple. »

  • Winston Churchill, tel que cité du journal The Illustrated Sunday Herald, Londres, 8 février 1920

Qui est la « Prostituée de Babylone », la « Mère des Impudicités » ? Qui peut-elle bien être ?

« Alors l’un des sept Anges qui avaient les sept fioles, vint, et il me parla, et me dit : Viens, je te montrerai la condamnation de la grande prostituée, qui est assise sur plusieurs eaux » (Apocalypse 17:1).

« Et la femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses, et de perles ; et elle tenait à la main une coupe d’or, pleine des abominations de l’impureté de sa prostitution. Et il y avait sur son front un nom écrit : Mystère, la grande Babylone, la mère des impudicités et des abominations de la terre. Et je vis la femme enivrée du sang des Saints, et du sang des martyrs de Jésus ; et quand je la vis je fus saisi d’un grand étonnement » (Apocalypse 17:4-6).

« Et disant : hélas ! hélas ! la grande Cité, qui était vêtue de fin lin, de pourpre, d’écarlate, qui était parée d’or, ornée de pierres précieuses, et de perles, comment en un instant ont été dissipées tant de richesses ? … Ô ciel ! réjouis-toi à cause d’elle ; et vous aussi, saints Apôtres et Prophètes réjouissez-vous : car Dieu l’a punie à cause de vous … Et en elle a été trouvé le sang des Prophètes, et des Saints, et de tous ceux qui ont été mis à mort sur la terre » (Apocalypse 18:16, 20 et 24).

Voici quelques faits concernant la Prostituée :

  • Elle porte des vêtements aux couleurs prédominantes d’or, de pourpre et d’écarlate
  • Elle est la « Mère des impudicités et des abominations de la terre»
  • Elle est « la grande prostituée » et « un mystère »
  • Elle est « Babylone la grande »
  • Elle est responsable du sang versé des prophètes, des saints et des martyrs de Jésus

Pendant des siècles, On a enseigné aux protestants que cette femme était l’Église catholique romaine. Ces dernières années, à cause de l’activité terroriste, d’autres croient plutôt maintenant qu’il s’agit de la nation/religion de l’islam. D’autres encore pensent qu’elle est l’Amérique impie. Toutes ces présomptions ont un fonds de validité. Mais rencontrent-elles tous les critères bibliques ? Y a-t-il des indices que nous devrions rechercher dans la Parole de Dieu ?

  • Les couleurs de son attirail devraient être un indice
  • Sa description spirituelle en tant que « mère » doit être un indice
  • Sa description spirituelle en tant que « prostituée » doit être un indice
  • Son nom de « Babylone la grande » doit être un indice
  • Le sang qu’elle est coupable d’avoir répandu doit être un indice

Qui est-elle ? Selon sa description biblique, il n’y a qu’un seul groupe religieux/ethnique de gens qui aligne toutes les preuves : « Voyez l’Israël selon la chair ».

Le sang qu’elle a répandu est un indice

Même si l’Église catholique est responsable de nombreux bains de sang contre les vrais membres du Corps de Christ, au fil des siècles, principalement au Moyen-âge, elle n’est pas assez vieille pour être la « mère des impudicités ».

« …enivrée du sang des saints et du sang des martyrs de Jésus… »

« …en elle a été trouvé le sang des prophètes, et des saints et de tous ceux qui ont été mis à mort sur la terre… »

Le catholicisme n’existait pas durant la période de l’Ancien Testament, ni au premier siècle de l’Église biblique. Le catholicisme n’est pas coupable du sang des prophètes de l’Ancien Testament. Bien qu’elle soit assurément une « fille de la prostituée », elle ne cadre pas avec la description de la « mère des impudicités ». Cela rend également obsolète tout argument contre l’islam ou l’Amérique comme « Mystère : Babylone la grande ». Même si l’islam est responsable de nombreuses décapitations de chrétiens, même aujourd’hui, il ne peut néanmoins être tenu responsable de la mort des prophètes de l’Ancien Testament. C’est aussi vrai pour l’Amérique apostate. Il n’y a qu’un seul groupe religieux/ethnique qui remplit toutes les conditions : « Voyez l’Israël selon la chair ».

« Afin que vienne sur vous tout le sang juste qui a été répandu sur la terre, depuis le sang d’Abel le juste, jusques au sang de Zacharie, fils de Barachie, que vous avez tué entre le Temple et l’autel. En vérité je vous dis, que toutes ces choses viendront sur cette génération. Jérusalem, Jérusalem, qui tues les Prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez point voulu ! » (Matthieu 23:35-37).

« Qui [les Juifs, c.f. v.14] ont même mis à mort le Seigneur Jésus, et leurs propres Prophètes, et qui nous ont chassés ; et qui déplaisent à Dieu, et qui sont ennemis de tous les hommes » (1 Thessaloniciens 2:15).

Sa description en tant que « mère » est un indice

Le catholicisme pratique une prêtrise humaine qui n’est pas biblique, mais il ne fut pas le premier à inventer un système sacerdotal non biblique. L’idée lui provient de la « mère ». Au moment où Jésus-Christ mourut sur la croix, « le voile du temple se déchira en deux, depuis le haut jusques en bas » (Matthieu 27:51), et Dieu déclara que le système du temple de l’Ancien Testament était « accompli » (Jean 19:30). Le voile était déchiré en deux et le croyant avait dès lors directement accès au « trône de la grâce » (Hébreux 4:12-16), de par son seul et unique Grand-Prêtre, Jésus-Christ. Des centaines d’années avant que le catholicisme remplace Jésus-Christ par ses prêtres humains, le judaïsme – le judaïsme rebelle – poursuivit son système sacerdotal même après la crucifixion de Christ [c. 33 apr. J.-C.]. Quatre décennies plus tard, en l’an 70 de notre ère, Dieu permit que l’idole de ce peuple rebelle, le Temple, soit détruite. Ils avaient été prévenu quarante ans auparavant

« Jérusalem, Jérusalem, qui tues les Prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme la poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez point voulu ! Voici, votre maison va devenir déserte » (Matthieu 23:37-38).

Bien sûr, le système sacerdotal du temple de l’Ancien Testament était initialement une institution ordonnée par Dieu, mais depuis l’époque de Salomon, il avait été corrompu, perdant ainsi sa signification première et son dessein. Christ a dit Lui-même que c’était une « cavernes de voleurs ». Lorsque Jésus a crié sur la croix « Tout est accompli », le voile du temple s’est déchiré en deux, imaginez, à partir du haut jusqu’en bas – ce qui ne pouvait se faire que par l’intervention divine – et cela voulait dire que le système du temple de l’Ancienne Alliance prenait fin ; les sacrifices d’animaux étaient nuls et non avenus, étant remplacés par le Sacrifice de l’Agneau sur la croix.

C’est ce qu’indique le livre aux Hébreux, comme d’ailleurs tout le Nouveau Testament, lequel est une Nouvelle Alliance de Dieu. Même s’il y a un gros débat à ce sujet, nous croyons que c’est ce que signifie le passage de Daniel 9:27 : « …et à la moitié de cette semaine, il fera cesser le sacrifice et l’oblation… » Il n’y a aucun doute que, s’il devait y avoir un autre temple construit à Jérusalem, ce n’en serait pas un ordonné par Dieu; il s’avérerait plutôt l’idole la plus universelle de l’histoire de l’humanité depuis la Tour de Babel !

Comment pouvons-nous en être si sûr ? C’est qu’aujourd’hui, le temple biblique du Nouveau Testament est l’Église et les individus qui composent son assemblée. Et elle ne cessera jamais d’exister !

« Ne savez-vous pas que vous êtes le Temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu’un détruit le Temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le Temple de Dieu est saint, et vous êtes ce Temple » (1 Corinthiens 3:16-17).

« Ne savez-vous pas que votre corps est le Temple du Saint-Esprit, qui est en vous, et que vous avez de Dieu ? Et vous n’êtes point à vous-mêmes » (1 Corinthiens 6:19).

« Etant édifiés sur le fondement des Apôtres, et des prophètes, et Jésus-Christ lui-même étant la maîtresse pierre du coin ; en qui tout l’édifice posé et ajusté ensemble, s’élève pour être un Temple saint au Seigneur. En qui vous êtes édifiés ensemble, pour être un Tabernacle de Dieu en esprit » (Éphésiens 2:20-22).

« Que personne donc ne vous séduise en quelque manière que ce soit ; car ce jour-là ne viendra point que la révolte ne soit arrivée auparavant, et que l’homme de péché, le fils de perdition, ne soit révélé ; lequel s’oppose et s’élève contre tout ce qui est nommé Dieu, ou qu’on adore, jusqu’à être assis comme Dieu au Temple de Dieu voulant se faire passer pour un Dieu » (2 Thessaloniciens 2:3-4).

« Celui qui vaincra, je le ferai être une colonne dans le Temple de mon Dieu, et il n’en sortira plus ; et j’écrirai sur lui le Nom de mon Dieu, et le nom de la cité de mon Dieu, qui est la nouvelle Jérusalem, laquelle descend du Ciel de devers mon Dieu, et mon nouveau Nom » (Apocalypse 3:12).

« Alors il me fut donné un roseau semblable à une verge, et il se présenta un Ange, qui me dit : lève-toi et mesure le Temple de Dieu, et l’autel, et ceux qui y adorent » (Apocalypse 11:1).

« Et je ne vis point de Temple en elle ; parce que le Seigneur Dieu Tout-puissant et l’Agneau en sont le Temple » (Apocalypse 21:22).

« Et je te dis aussi, que tu es Pierre, et sur cette pierre j’édifierai mon Eglise ; et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre elle » (Matthieu 16:18).

« Mais vous êtes venus à la montagne de Sion, et à la Cité du Dieu vivant, à la Jérusalem céleste, et aux milliers d’Anges, et à l’assemblée et à l’Eglise des premiers-nés qui sont écrits dans les Cieux, et à Dieu qui est le juge de tous, et aux esprits des justes sanctifiés » (Hébreux 12:22-23).

Pour mieux illustrer encore la réjection par les Juifs de Jésus-Christ en tant que Messie, bon nombre d’entre eux préparent actuellement la « génisse rousse » pour la prétendue purification du « site du Temple ». Le Livre des Nombres, chapitre 19, enseignait aux saints de l’Ancien Testament le rituel de purification au moyen des cendres d’une vache rousse. Toutefois, l’épître aux Hébreux du Nouveau Testament déclare clairement que les sacrifices d’animaux sont terminés. Or, à présent, quiconque, n’importe où, qui pratique un rite religieux de sacrifices d’animaux s’engage dans un culte à Satan ! Et pourtant, les chrétiens sionistes parlent aveuglément de la restauration du Temple d’Israël – avec des sacrifices d’animaux !

« L’Institut du Temple » a dépensé des millions de dollars à fabriquer un énorme chandelier en or (une Menora) qu’on utilisera dans le futur temple. Bien qu’on le qualifie « d’artéfact », le mot le mieux approprié serait « idole ».

Bien qu’il ait une vision dispensationnaliste d’Israël et de la fin des temps, David Cloud admet tout de même : « La plupart des Juifs ne recherchent pas un Messie à ce moment-ci ; ils cherchent un prophète qui exécutera les choses pour eux et apportera la paix, et ce pourrait bien être l’antichrist. »

Sa description en tant que « prostituée », Mère des impudicités, et sa couleur manquante pourraient être un indice

La couleur manquante

« Quelque chose d’emprunté, quelque chose de bleu… » Dans les temps anciens, le bleu était le symbole de la fidélité, de la pureté et de la loyauté. Souvent, il s’agissait de la jarretière qui était bleue et, à une époque plus ancienne, les couples portaient des bandes bleues sur la bordure de leurs vêtements de noces pour indiquer leur amour, leur modestie et leur fidélité. Comme autre façon de porter le bleu, vous pouviez accrocher une fleur bleue à votre coiffure, ou faire en sorte que le thème de votre arrangement floral soit le bleu. Aujourd’hui, certains fiancés vont jusqu’à porter un tatouage bleu, ou des ongles polis en bleu, ou encore à mettre des chaussures bleues. “Se marier en bleu rend l’amour authentique” ». [tiré du site web BHS Wedding Collection.]

Dans les Écritures, rien ne tient du « hasard » ou n’est une « coïncidence ». Tout fut écrit sous inspiration. Tout vient du même Auteur. Tout est relié, de la Genèse à l’Apocalypse. Dans un « roman à mystères », les indices importants sont souvent donnés au début de l’histoire, mais le lecteur inattentif passera par-dessus sans les voir parce qu’ils lui semblent si peu pertinents. Il en est de même avec « Mystère : Babylone ». L’Auteur des Écritures a semé des indices après coup évidents, mais qui sont souvent négligés ou oubliés, et on les laisse échapper en adoptant des théories théologiques qui ne tiennent pas compte de ce l’Auteur de la Bible a caché dans Ses livres.

La Prostituée de l’Apocalypse ne porte que trois couleurs prédominantes : l’or, le pourpre et l’écarlate. Cependant, si l’on compare ceci à d’autres Écritures de l’Ancien Testament, à premier abord sans pertinence, il apparaît qu’il y avait quatre couleurs prédominantes et que la quatrième couleur manque de façon flagrante dans l’Apocalypse.

La couleur manquante est le bleu.

En lisant les livres de l’Exode et des Nombres, l’on s’aperçoit qu’il y avait quatre couleurs principales dans le tabernacle et le système sacerdotal, et des quatre, le bleu prédominait. Aucune autre couleur ne se remarquait plus que le bleu. Quand le peuple d’Israël voyageait, l’Arche de l’Alliance était couverte d’un tissu bleu. En fait, presque tous les items étaient couverts d’un tissu bleu (voir Nombres 4). Le bleu était la couleur dominante dans la tenue du souverain sacrificateur. Sur la frange du vêtement de chaque enfant d’Israël, il y avait un « ruban bleu ». (Il est probable que c’est le ruban bleu sur la robe de Jésus que toucha la femme qui avait un problème de perte de sang, dans Matthieu 9:20.) Dieu avait aussi commandé que le souverain sacrificateur portât quelque chose écrit sur son front et cela était attaché grâce à un cordon bleu.

« Et tu feras une lame de pur or, sur laquelle tu graveras ces mots, de gravure de cachet : LA SAINTETÉ A L’ETERNEL. Laquelle tu poseras avec un cordon de pourpre, et elle sera sur la Tiare, répondant sur le devant de la Tiare. Et elle sera sur le front d’Aaron ; et Aaron portera l’iniquité des saintes offrandes que les enfants d’Israël auront offertes, dans tous les dons de leurs saintes offrandes, et elle sera continuellement sur son front, pour les rendre agréables devant l’Eternel » (Exode 28:36-38).

Avant d’aller plus loin, il est bon d’apporter une précision importante. Vous noterez qu’il est écrit ici : « un cordon de pourpre », mais dans le texte hébreu original, il s’agit bien de la couleur bleue. La Bible King James Autorisée le rend bien : « And thou shalt put it on a blue lace ». Le mot hébreu original est tekeleth qui est un bleu violet. David Martin a traduit tekeleth par pourpre, ce qui amène un peu de confusion. Curieusement, la version Louis Segond est demeurée plus proche du texte original et rend fidèlement les textes que nous allons citer. Nous allons donc prendre soin de mettre en parallèle les trois versions de David Martin, Louis Segond et King James afin que vous puissiez bien comprendre la Parole de Dieu.

Nous insérerons également les mots hébreux et grecs afin de faciliter la compréhension. Les voici, d’ailleurs : en hébreu, tekeleth (bleu ou violet) ; argaman (pourpre ou rouge) ; shani (écarlate, cramoisi) ; en grec, porphura (pourpre) ; kokkinos (écarlate).

Donc, le souverain sacrificateur portait sur son front des écritures attachées avec un cordon bleu. Or, la Prostituée a aussi quelque chose d’écrit sur le front et pourtant, remarquez que la couleur bleue manque.

« Et la femme était vêtue de pourpre [porphura] et d’écarlate [kokkinos], et parée d’or, de pierres précieuses, et de perles ; et elle tenait à la main une coupe d’or, pleine des abominations de l’impureté de sa prostitution. Et il y avait sur son front un nom écrit, mystère, la grande Babylone, la mère des impudicités et des abominations de la terre » (Apocalypse 17:4-5, version David Martin ; les autres versions ont les mêmes couleurs).

Il manque donc une couleur à la Prostituée. Dans les Écritures suivantes, prenez soin de noter que Dieu a choisi quatre couleurs à utiliser dans la première maison de culte. Une des quatre couleurs est employée de manière spéciale, ce qui la distingue et la place au-dessus des autres couleurs. Voici le passage d’Exode 28:4-6, 8, 15, 28, 31, 33, 36-37 :

« Et ce sont ici les vêtements qu’ils feront ; le Pectoral, l’Ephod, le Rochet, la Tunique, qui tienne serré, la Tiare, et le Baudrier ; ils feront donc les saints vêtements à Aaron ton frère, et à ses fils, pour m’exercer la Sacrificature. Et ils prendront de l’or, de la pourpre [tekeleth], de l’écarlate [argaman], du cramoisi [shani], et du fin lin. Et ils feront l’Ephod d’or, de pourpre [tekeleth], d’écarlate [argaman], de cramoisi [shani], et de fin lin retors, d’un ouvrage exquis … Le ceinturon exquis dont il sera ceint, et qui sera par-dessus, sera de même ouvrage, et tiré de lui, étant d’or, de pourpre [tekeleth], d’écarlate [argaman], de cramoisi [shani], et de fin lin retors … Tu feras aussi le Pectoral de jugement d’un ouvrage exquis, comme l’ouvrage de l’Ephod, d’or, de pourpre [tekeleth], d’écarlate [argaman], de cramoisi [shani], et de fin lin retors … Et ils joindront le Pectoral élevé par ses anneaux, aux anneaux de l’Ephod, avec un cordon de pourpre [tekeleth], afin qu’il tienne au-dessus du ceinturon exquis de l’Ephod, et que le Pectoral ne bouge point de dessus l’Ephod … Tu feras aussi le Rochet de l’Ephod entièrement de pourpre [tekeleth] … Et tu feras à ses bords des grenades de pourpre [tekeleth], d’écarlate [argaman], et de cramoisi [shani] tout autour, et des clochettes d’or entre elles tout autour … Et tu feras une lame de pur or, sur laquelle tu graveras ces mots, de gravure de cachet: LA SAINTETÉ A L’ETERNEL. Laquelle tu poseras avec un cordon de pourpre [tekeleth], et elle sera sur la Tiare, répondant sur le devant de la Tiare. » [version David Martin]

« Voici les vêtements qu’ils feront : un pectoral, un éphod, une robe, une tunique brodée, une tiare, et une ceinture. Ils feront des vêtements sacrés à Aaron, ton frère, et à ses fils, afin qu’ils exercent mon sacerdoce. Ils emploieront de l’or, des étoffes teintes en bleu [tekeleth], en pourpre [argaman], en cramoisi [shani], et de fin lin … La ceinture sera du même travail que l’éphod et fixée sur lui ; elle sera d’or, de fil bleu [tekeleth], pourpre [argaman] et cramoisi [shani], et de fin lin retors … Tu feras le pectoral du jugement, artistement travaillé ; tu le feras du même travail que l’éphod, tu le feras d’or, de fil bleu [tekeleth], pourpre [argaman] et cramoisi [shani], et de fin lin retors … On attachera le pectoral par ses anneaux aux anneaux de l’éphod avec un cordon bleu [tekeleth], afin que le pectoral soit au-dessus de la ceinture de l’éphod et qu’il ne puisse pas se séparer de l’éphod … Tu feras la robe de l’éphod entièrement d’étoffe bleue [tekeleth] … Tu mettras autour de la bordure, en bas, des grenades de couleur bleue [tekeleth], pourpre [argaman] et cramoisi [shani], entremêlées de clochettes d’or … Tu feras une lame d’or pur, et tu y graveras, comme on grave un cachet : Sainteté à l’Éternel. Tu l’attacheras avec un cordon bleu [tekeleth] sur la tiare, sur le devant de la tiare. » [version Louis Segond]

« And these are the garments which they shall make; a breastplate, and an ephod, and a robe, and a broidered coat, a mitre, and a girdle: and they shall make holy garments for Aaron thy brother, and his sons, that he may minister unto me in the priest’s office. And they shall take gold, and blue [tekeleth], and purple [argaman], and scarlet [shani], and fine linen … And the curious girdle of the ephod, which is upon it, shall be of the same, according to the work thereof; even of gold, of blue [tekeleth], and purple [argaman], and scarlet [shani], and fine twined linen … And thou shalt make the breastplate of judgment with cunning work; after the work of the ephod thou shalt make it; of gold, of blue [tekeleth], and of purple [argaman], and of scarlet [shani], and of fine twined linen, shalt thou make it … And they shall bind the breastplate by the rings thereof unto the rings of the ephod with a lace of blue [tekeleth], that it may be above the curious girdle of the ephod, and that the breastplate be not loosed from the ephod … And thou shalt make the robe of the ephod all of blue [tekeleth] … And beneath upon the hem of it thou shalt make pomegranates of blue [tekeleth], and of purple [argaman], and of scarlet [shani], round about the hem thereof; and bells of gold between them round about … And thou shalt make a plate of pure gold, and grave upon it, like the engravings of a signet, HOLINESS TO THE LORD. And thou shalt put it on a blue [tekeleth] lace, that it may be upon the mitre; upon the forefront of the mitre it shall be. » [version King James]

D’après les passages suivants, il apparaît clairement dans les Écritures que Dieu a fait du bleu la couleur dominante pour mettre la nation-état d’Israël en garder contre la prostitution spirituelle. L’emploi du bleu, tel que requis par Dieu, devait rappeler Ses commandements aux Israélites et, tant qu’ils leur obéissaient, ils ne deviendraient pas des prostitués spirituels. Lisez bien le passage suivant :

« Et l’Eternel parla à Moïse, en disant : Parle aux enfants d’Israël, et leur dis : Qu’ils se fassent d’âge en âge des bandes aux pans de leurs vêtements, et qu’ils mettent sur les bandes des pans de leurs vêtements un cordon de couleur de pourpre [tekeleth (bleu-violet)]. Ce cordon sera sur la bande, et en le voyant il vous souviendra de tous les commandements de l’Eternel, afin que vous les fassiez, et que vous ne suiviez point les pensées de votre cœur, ni les désirs de vos yeux, en suivant lesquels vous paillardez. Afin que vous vous souveniez de tous mes commandements, et que vous les fassiez, et que vous soyez saints à votre Dieu. Je suis l’Eternel votre Dieu, qui vous ai retirés du pays d’Egypte, pour être votre Dieu ; je suis l’Eternel votre Dieu » (Nombres 15:37-41).

Examinez maintenant le passage de l’Apocalypse qui a fait l’objet de bien des débats au fil des siècles :

« Alors l’un des sept Anges qui avaient les sept fioles, vint, et il me parla, et me dit : Viens, je te montrerai la condamnation de la grande prostituée, qui est assise sur plusieurs eaux ; avec laquelle les Rois de la terre ont commis fornication, et qui a enivré du vin de sa prostitution les habitants de la terre. Ainsi il me transporta en esprit dans un désert ; et je vis une femme montée sur une bête de couleur d’écarlate, pleine de noms de blasphème, et qui avait sept têtes et dix cornes. Et la femme était vêtue de pourpre [porphura] et d’écarlate [kokkinos], et parée d’or, de pierres précieuses, et de perles ; et elle tenait à la main une coupe d’or, pleine des abominations de l’impureté de sa prostitution. Et il y avait sur son front un nom écrit, mystère, la grande Babylone, la mère des impudicités et des abominations de la terre. Et je vis la femme enivrée du sang des Saints, et du sang des martyrs de Jésus ; et quand je la vis je fus saisi d’un grand étonnement » (Apocalypse 17:1-6).

L’étudiant biblique faisant preuve d’observation aura remarqué la couleur manquante en comparant les passages de l’Exode et des Nombres avec celui de l’Apocalypse. Il manque le bleu (tekeleth). Où est la couverture bleue ? Où est le « rappel en bleu » ?

Selon ce que l’Éternel dit dans Nombres 15:37-41, si la couleur bleue vient à manquer, cela voudra dire que la nation en est venue à délaisser les commandements de Dieu et s’est prostituée spirituellement en adoptant la culture religieuse des nations païennes ! Le bleu était un type de notre Seigneur Jésus-Christ, l’unique Messie qu’Israël eût et aura jamais de Dieu. Le bleu était Jésus-Christ et Jérusalem a rejeté son Messie. À la suite de quoi elle devint une prostituée spirituelle. Or, le bleu (Jésus-Christ) manque toujours officiellement au sein de la Jérusalem moderne. Elle est encore une prostituée spirituelle devant Dieu. L’Épouse de Christ, l’Agneau de Dieu, c’est la nouvelle Jérusalem céleste, non pas la Jérusalem terrestre d’aujourd’hui qui exerce une grande persécution contre les enfants de Christ.

Si Jésus-Christ n’est pas dans la vie de quelqu’un, cette personne attend la condamnation de Dieu. Même chose pour les villes sans Christ. Jetez un coup d’œil sur Chorazin, Bethsaïda et Capernaüm (Matthieu 11:20-24) qui seront jugées plus sévèrement parce qu’elles ont rejeté le Messie en bloc. Jérusalem est « la ville internationale » et Jésus-Christ a été rejeté par tous les gouvernements officiels de Jérusalem, arabes comme israéliens. Le seul espoir de cette ville est qu’elle soit refaite à neuf ! Or, il y aura une nouvelle Jérusalem ! Elle est même déjà en construction depuis Abel le juste !

Nombres 15:37-41 indique l’importance de la couleur bleue (tekeleth). Comparez les deux passages suivants d’Exode et d’Apocalypse :

« Et ce sont ici les vêtements qu’ils feront ; le Pectoral, l’Ephod, le Rochet, la Tunique, qui tienne serré, la Tiare, et le Baudrier ; ils feront donc les saints vêtements à Aaron ton frère, et à ses fils, pour m’exercer la Sacrificature. Et ils prendront de l’or, de la pourpre [tekeleth], de l’écarlate [argaman], du cramoisi [shani], et du fin lin » (Exode 15:4-5).

« Et disant : hélas ! hélas ! la grande Cité, qui était vêtue de fin lin, de pourpre [porphura (pourpre rouge)], d’écarlate [kokkinos (rouge écarlate)], qui était parée d’or, ornée de pierres précieuses, et de perles, comment en un instant ont été dissipées tant de richesses? » (Apocalypse 18:16).

Le bleu manque dans l’attirail de Mystère : Babylone !

Apocalypse 18:16 dit que la Prostituée est parée d’or, ornée de pierres précieuses et de perles. Faites la comparaison avec des passages de l’Ancien Testament concernant un Juda apostat (Jérusalem) :

« Je te parai d’ornements, je mis des bracelets en tes mains, et un collier à ton cou. Je mis une bague sur ton front, des pendants à tes oreilles, et une couronne de gloire sur ta tête. Tu fus donc parée d’or et d’argent, et ton vêtement était de fin lin, de soie, et de broderie ; tu mangeas la fleur du froment, et le miel, et l’huile ; et tu devins extrêmement belle, et tu prospéras jusques à régner. Et ta renommée se répandit parmi les nations à cause de ta beauté, car elle était parfaite, à cause de ma magnificence que j’avais mise sur toi, dit le Seigneur l’Eternel. Mais tu t’es confiée en ta beauté, et tu t’es prostituée à cause de ta renommée, et tu t’es abandonnée à tout passant pour être à lui. Et tu as pris de tes vêtements, et t’en es fait des hauts lieux de diverses couleurs, tels qu’il n’y en a point, ni n’y en aura de semblables, et tu t’y es prostituée. Et tu as pris tes bagues magnifiques, faites de mon or et de mon argent, que je t’avais donné, et tu t’en es fait des images d’un mâle, et tu as commis fornication avec elles. Et tu as pris tes vêtements de broderie, et les en as couvertes : et tu as mis mon huile de senteurs et mon parfum devant elles. Et mon pain que je t’avais donné, la fleur du froment, et l’huile, et le miel que je t’avais donné à manger, tu as mis cela devant elle en sacrifice de bonne odeur ; il a été fait ainsi, dit le Seigneur l’Eternel. Tu as aussi pris tes fils et tes filles que tu m’avais enfantés, et tu les leur as sacrifiés pour être consumés. Est-ce peu de chose, ce qui est procédé de tes adultères ; que tu aies égorgé mes fils, et que tu les aies livrés pour les faire passer par le feu, à l’honneur de ces idoles ? » (Ézéchiel 16:11-21).

Étant donné que cette « femme », fiancée de Dieu devenue ensuite prostituée, est un symbole de toute la nation d’Israël, nous devons comprendre que les ornements et les couleurs sont également des symboles décrivant les bénédictions spirituelles que l’Éternel lui donna : les commandements, les ordonnances, les lois – bref, la bonne manière de se conduire devant Dieu. Au fil des siècles, Israël, puis Juda, abandonna les commandements de Dieu et adopta les coutumes religieuses des autres nations, allant jusqu’à faire des sacrifices d’enfants à Moloch (Satan). Lisez tout le chapitre d’Ézéchiel afin de noter les nombreuses références comparant Juda à une prostituée et ses fornications, et à Sodome et le sang versé des enfants sacrifiés. D’autres passages sont en corrélation directe avec Ézéchiel 16, comme Ézéchiel 23, Osée 2 et Jérémie 3-4. Le dernier livre de la Bible est-il relié aux soixante-six autres ? Vous feriez bien de croire que oui.

Pendant que le reste du monde, surtout l’Amérique du Nord, sombre dans les dettes impayables, l’économie d’Israël est florissante. Les États-Unis donnent près de 10 millions de dollars par jour à Israël ! Et l’État d’Israël s’établit comme puissance mondiale. Même s’il se réjouit qu’on le traite comme une victime et un opprimé, la table est mise pour qu’Israël se mette à dominer jusqu’à devenir un empire mondial.

Tout cela est dû au fait que la nation d’Israël se nomme… Israël. A-t-il le droit de s’appeler « Israël » ou est-ce une usurpation, un truc mensonger ? C’est ce que nous verrons dans le Chapitre 3.

 

 




D.582 – Qui est Israël ? – Chapitre 1

Par Roch Richer

Chapitre 1

Les promesses de Dieu faites à Abraham

Il y a en ce moment une recrudescence inquiétante des conflits dans le Proche-Orient, principalement concentrés dans la Bande de Gaza. Encore une fois, les Israéliens et les Palestiniens sont aux prises. Beaucoup de désinformation a été véhiculée dans les médias traditionnels et l’on a peine à démêler ce qui est vrai de ce qui est faux.

Mis à part le fait que des civils sont tués, dont des enfants et des femmes, ce qui est franchement malheureux, c’est de constater que la vaste majorité des églises chrétiennes d’occident soutiennent Israël sans condition, fermant volontairement les yeux devant tous les frères et sœurs chrétiens arabes massacrés sous les bombardements israéliens.

Y aurait-il de la désinformation au sein même des églises qui se disent chrétiennes pour qu’elles avalisent ainsi l’atroce persécution de frères et de sœurs en notre Seigneur Jésus-Christ ? N’y a-t-il pas une contradiction flagrante avec l’Esprit de l’Évangile ? Comment peut-on se mettre du côté de gens qui détestent le Christ et méprisent les chrétiens ?

Pour ces chrétiens sionistes, le pays d’Israël moderne constitue encore le « peuple de Dieu » de par sa race. Est-ce une affirmation que soutient la Bible ? Sinon, d’où vient cette idée ? Dans ce document, nous allons tenter d’y voir clair dans ce qu’enseigne véritablement la Parole de Dieu au sujet « d’Israël », son origine et son identité.

« Je ne crois pas que l’État juif et le sionisme moderne eussent été possibles sans le sionisme chrétien. Je crois que les nombreux supporteurs chrétiens de la renaissance de l’État juif et du rassemblement du peuple juif au 19e siècle ont rendu possible la montée du sionisme juif. »

  • Benjamin Netanyahou

La doctrine de deux peuples de Dieu séparés – les Juifs d’un côté, l’Église de l’autre – provient du Dispensationalisme prémillénariste qui connut son grand envol avec la Bible de Références Scofield rédigée par Cyrus I. Scofield au début du 20e siècle. Elle fut publiée grâce à l’appui financier d’importants hommes d’affaires à majorité juifs dont les liens religieux étaient plus que douteux.

Cyrus I. Scofield faisait partie d’un club sélect, le Lotos Club, se réunissant à New York, où il fut introduit par des hommes qui allaient ensuite le financer et l’aider à concocter sa Bible de Références. On y trouvait entre autres les Carnegie, Guggenheim, Hearst, Herbert, Luce, Macy, Morgenthau, Ochs, Salomon, Schiff, Segliman, Warburg, Clemens et Untermeyer. Veuillez noter la quantité disproportionnée de Juifs.

Nous voyons qu’un des membres du comité littéraire du Lotos Club, en 1901, était un dénommé Samuel Untermeyer. Il s’agissait d’un avocat d’entreprises et un sioniste fanatique. Il a aussi participé à la formation de la Réserve Fédérale. Quand l’Allemagne a tenté de se libérer du système bancaire mondial, ce fut ce même Untermeyer qui appela à la « guerre sainte » et au boycott des produits allemands, en 1933. L’on croit que c’est le boycott d’Untermeyer et d’autres actions entreprises par des Juifs puissants qui ont mené à la Deuxième Guerre Mondiale.

Il était tout à fait logique qu’Untermeyer, côtoyant Scofield au Lotos Club, ait reconnu la valeur de la « Bible d’Étude Dispensationnaliste Sioniste » de Scofield pour son propre agenda sioniste. Le dispensationalisme enseignait que les Juifs seraient restaurés dans le territoire d’Israël. C’est exactement ce que les sionistes voulaient entendre. Le point de vue prophétique de Scofield s’avéra d’une aide immense à la cause sioniste. Si les sionistes pouvaient gagner le support des chrétiens évangéliques d’Amérique, ce serait tout un allié d’ajouté !

Après trois décennies de distribution de la Bible de Références Scofield, dans les séminaires, en chaire et chez les membres d’églises d’Amérique, les sionistes obtinrent leur « terre sainte ». Imaginez l’enthousiasme qui frappa les érudits évangéliques quand ils virent les « notes prophétiques » de Scofield se réaliser devant leurs yeux ! À partir de ce moment, personne n’aurait pu convaincre un disciple de Scofield de penser autrement. Ce phénomène catapulta Scofield au rang de « saint ». Aucune de ses faiblesses personnelles de caractère ne pouvait plus le remettre en question, peu importe que l’homme ait été dénué d’éthique morale.

Que l’on croit ou non que les sionistes conspirèrent avec Scofield sur ce projet, il n’en demeure pas moins que les notes de la Bible de Références Scofield semblaient définitivement « surnaturelles » ; quelque chose de spirituel avait guidé sa plume, assurément. Mais quel sorte « d’esprit » ? (1 Jean 4:1)

Scofield enseignait que Dieu a « deux corps » : Israël et l’Église. Il dit qu’Israël est le peuple terrestre de Dieu, alors que l’Église est le peuple céleste de Dieu ; que Dieu a deux plans séparés pour les deux peuples distincts, et qu’Israël et l’Église ont deux destins différents. Israël, dit-il, passera l’éternité sur terre, pendant que l’Église, composée de Juifs et de Gentils, passera l’éternité au ciel. Faisant face à un des nombreux dilemmes où mène ce genre de raisonnement, Scofield avança que l’on doit faire la différence entre la femme de Dieu (Israël) et l’Épouse de Christ (l’Église). Il dit qu’une femme et une épouse sont deux choses bien différentes ! Or, c’est faux, la femme d’un mari est bien son épouse, ce sont des synonymes. Conclusion scofieldienne : Dieu aurait deux épouses !

« J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; et il me les faut aussi amener, et elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, et un seul berger … Moi et le Père sommes un » (Jean 10:16, 30).

« Et maintenant je ne suis plus au monde, mais ceux-ci sont au monde ; et moi je vais à toi, Père saint, garde-les en ton Nom, ceux, dis-je, que tu m’as donnés, afin qu’ils soient un, comme nous sommes un » (Jean 17:11).

Si les Juifs ont une alliance autre que celle de l’Église, un destin autre que celui de l’Église, un plan de salut autre que celui de l’Église, alors pourquoi Dieu a-t-Il débuté Son Église par des Juifs ? L’Église ne devrait-elle pas être composée exclusivement de Gentils ? Mais Dieu dit qu’Il a détruit le mur de séparation qui s’érigeait traditionnellement entre les Juifs et les Gentils ; de quoi Scofield se mêlait-il d’en construire un autre ?

« Mais maintenant par Jésus-Christ, vous [Gentils éphésiens] qui étiez autrefois loin, êtes approchés par le sang de Christ. Car il est notre paix, qui des deux [les peuples juifs et gentils] en a fait un, ayant rompu la clôture de la paroi mitoyenne ; ayant aboli en sa chair l’inimitié, savoir la Loi des commandements qui consiste en ordonnances [ce qui séparait les Juifs des Gentils] ; afin qu’il créât les deux en soi-même pour être un homme nouveau, en faisant la paix ; et qu’il réunît les uns et les autres pour former un corps devant Dieu, par la croix, ayant détruit en elle l’inimitié » (Éphésiens 2:13-16).

Dans Romains 11, y a-t-il un olivier franc ou deux ? Puis, il est aussi écrit : « Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse » (Galates 3:28-29). Est-il mentionné en quelque part dans les Écritures qu’Abraham avait deux semences ? « Or les promesses ont été faites à Abraham, et à sa semence ; il n’est pas dit, et aux semences, comme s’il avait parlé de plusieurs, mais comme parlant d’une seule, et à sa semence : qui est Christ » (Galates 3:16).

Il n’y a pas deux plans de salut, il n’y en a qu’un seul et il passe obligatoirement par Jésus-Christ : « Sachez vous tous et tout le peuple d’Israël, que ç’a été au Nom de Jésus-Christ le Nazarien, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts ; c’est, dis-je, en son Nom, que cet homme qui parait ici devant vous, a été guéri. C’est cette Pierre, rejetée par vous qui bâtissez, qui a été faite la pierre angulaire. Et il n’y a point de salut en aucun autre : car aussi il n’y a point sous le ciel d’autre Nom qui soit donné aux hommes par lequel il nous faille être sauvés » (Actes 4:10-12). Limpide.

Il n’y a pas de « parenthèse temporelle » appelée « ère de l’Église » ayant débuté à la Pentecôte suivant la résurrection de Christ pour prendre fin lors de Son retour. Dans Hébreux 11, Paul fait la liste de ceux qui, dans l’ancien Testament, ont été sauvés par la foi et feront donc partie de la Première Résurrection ; et il nomme en premier lieu Abel le Juste ! Abel, fils d’Adam, a été le premier membre de l’Église, et celle-ci va se terminer… quand ?

« Or à celui qui par la puissance qui agit en nous avec efficace, peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons et pensons, à lui soit gloire dans l’Eglise, en Jésus-Christ, dans tous les âges du siècle des siècles, Amen ! » (Éphésiens 3:20-21). Autrement dit, l’Église n’aura jamais de fin. « Et je te dis aussi, que tu es Pierre, et sur cette pierre [Jésus-Christ, la Pierre angulaire] j’édifierai mon Eglise ; et les portes de l’enfer [la mort, le séjour des morts, le Hadès] ne prévaudront point contre elle » (Matthieu 16:18). « L’ère de l’Église » a commencé avec Abel et ne se terminera jamais.

Maintenant, pour bien comprendre le niveau de tricherie de Scofield, voyez ceci : « L’Eternel parla aussi à Moïse, en disant : Parle aux enfants d’Israël, et leur dis : Au septième mois, le premier jour du mois il y aura repos pour vous, un mémorial de jubilation, et une sainte convocation. Vous ne ferez aucune œuvre servile, et vous offrirez à l’Eternel des offrandes faites par feu » (Lévitique 23:23-25).

De ce passage, pouvez-vous déduire qu’il s’agissait d’une prophétie de Dieu annonçant « le rassemblement moderne d’Israël en Palestine » ? Scofield, lui, a cru y voir ceci : « Cette célébration a un caractère prophétique qui trouvera sa réalisation dans le futur rassemblement du peuple d’Israël après sa longue dispersion … cet événement interviendra lorsque l’ère de l’Église aura pris fin. » [Version Louis Segond avec Références Scofield, pp. 160-161.] Or, nous venons juste de voir que l’ère de l’Église ne se terminera jamais ! Comment Scofield en est-il arrivé à sa conclusion loufoque et anti-biblique ?

L’Église est l’unique Épouse du Christ-Roi ; elle se tiendra à Ses côtés pour l’éternité. Quant au « rassemblement futur d’Israël moderne », voici ce que Scofield dit dans sa note attachée à Deutéronome 30 : « L’alliance avec Israël pour la Terre promise révèle les conditions d’entrée d’Israël en Canaan. Il importe de remarquer que jusqu’à ce jour le peuple élu n’a jamais possédé le pays selon les clauses de l’alliance inconditionnelles contractée avec Abraham (voir Genèse 12:2, note) et qu’il ne l’a jamais occupé en entier (Ge. 15:18 ; No. 34:1-12). »

Cette déclaration péremptoire du sieur Scofield est-elle vraie ? Ne lisait-il donc la Bible qu’en partie seulement ? Ou comptait-il plutôt sur le fait que les membres d’églises ne la lisent pas beaucoup ? Se rendait-il compte qu’il faisait passer Dieu pour un menteur ? Voici quelques versets de l’Ancien Testament montrant clairement la promesse, puis l’accomplissement de la promesse. D’abord, la Terre promise :

« Et Abram passa au travers de ce pays-là jusqu’au lieu de Sichem, et jusqu’en la plaine de Moré ; et les Cananéens étaient alors dans ce pays-là. Et l’Eternel apparut à Abram, et lui dit : Je donnerai ce pays à ta postérité. Et Abram bâtit là un autel à l’Eternel qui lui était apparu. Et il se transporta de là vers la montagne, qui est à l’Orient de Béthel, et y tendit ses tentes, ayant Béthel à l’Occident, et Haï à l’Orient ; et il bâtit là un autel à l’Eternel, et invoqua le nom de l’Eternel » (Genèse 12:6-8).

« En ce jour-là l’Eternel traita alliance avec Abram, en disant : J’ai donné ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d’Egypte jusqu’au grand fleuve, le fleuve d’Euphrate » (Genèse 15:18).

« Alors Moïse monta des campagnes de Moab sur la montagne de Nébo, au sommet de la colline qui est vis-à-vis de Jéricho, et l’Eternel lui fit voir tout le pays, depuis Galaad jusques à Dan, avec tout le pays de Nephthali, et le pays d’Ephraïm et de Manassé, et tout le pays de Juda, jusqu’à la mer Occidentale [la Méditerranée] ; et le Midi, et la campagne de la plaine de Jérico, la ville des palmes ; jusqu’à Tsohar. Et l’Eternel lui dit : C’est ici le pays dont j’ai juré à Abraham, à Isaac, et à Jacob, en disant : Je le donnerai à ta postérité ; je te l’ai fait voir de tes yeux ; mais tu n’y entreras point » (Deutéronome 34:1-4).

Nous voyons dans ce passage que la promesse que Dieu avait faite à Abraham, Isaac et Jacob commençait à se profiler à l’horizon de manière concrète. Qu’est-ce que Scofield eut à dire de cela ? Rien. Pas une note. Silence radio. Nous allons maintenant examiner des passages décrivant l’accomplissement de la promesse d’une Terre à l’époque de Josué, successeur de Moïse, et du roi Salomon, fils de David.

« Or il arriva après la mort de Moïse, serviteur de l’Eternel, que l’Eternel parla à Josué, fils de Nun, qui avait servi Moïse, en disant : Moïse mon serviteur est mort ; maintenant donc lève-toi, passe ce Jourdain, toi et tout ce peuple, pour entrer au pays que je donne aux enfants d’Israël. Je vous ai donné tout lieu où vous aurez mis la plante de votre pied, selon que je l’ai dit à Moïse. Vos frontières seront depuis ce désert et ce Liban-là, jusqu’à ce grand fleuve, le fleuve d’Euphrate ; tout le pays des Héthiens jusqu’à la grande mer, au soleil couchant » (Josué 1:1-4).

Dans ses notes, Scofield ne mentionne rien du « rassemblement futur d’Israël », probablement parce que cela entrait trop en contradiction avec ce passage biblique qui décrit le début du rassemblement d’Israël en Palestine dès l’époque de Josué.

« Josué donc prit tout le pays, suivant tout ce que l’Eternel avait dit à Moïse, et il le donna en héritage à Israël, selon leurs portions, et leurs Tribus ; et le pays fut tranquille, sans avoir guerre » (Josué 11:23).

Aucune note de Scofield, le néant. Nous voyons ici que la promesse s’est accomplie. Israël a pris possession de la Terre promise à Abraham par Dieu. Mais soyons encore plus précis…

« L’Eternel donc donna à Israël tout le pays qu’il avait juré de donner à leurs pères ; et ils le possédèrent, et y habitèrent. Et l’Eternel leur donna un parfait repos tout alentour, selon tout ce qu’il avait juré à leurs pères ; et il n’y eut aucun de tous leurs ennemis qui subsistât devant eux ; mais l’Eternel livra tous leurs ennemis en leurs mains. Il ne tomba pas un seul mot de toutes les bonnes paroles que l’Eternel avait dites à la maison d’Israël ; tout arriva » (Josué 21:43-45).

Sans surprise, Scofield ne dit pas un traître mot, car, contrairement à ce que Dieu dit au verset 45, «  il tomba tous les mots de toutes les paroles frauduleuses que Scofield avait écrites au sujet d’Israël ». Vous remarquerez également un autre aspect : les Juifs modernes se donnent prétexte pour leurs conquêtes qu’ils doivent poursuivre et terminer la mission de prendre tout le pays pour achever ce qu’ils disent ne pas avoir terminé à l’époque de l’Ancien Testament. Mais Dieu les contredit franchement, ici : « il n’y eut aucun de tous leurs ennemis qui subsistât devant eux ; mais l’Eternel livra tous leurs ennemis en leurs mains » (v. 44).

La mission de conquête était complétée. Ce que Dieu avait promis fut entièrement accompli. Les Juifs modernes n’ont aucune justification biblique pour faire la guerre aux Palestiniens.

« Or voici, je m’en vais aujourd’hui par le chemin de toute la terre ; et vous connaîtrez dans tout votre cœur, et dans toute votre âme qu’il n’est point tombé un seul mot de toutes les bonnes paroles que l’Eternel votre Dieu a dites de vous ; tout vous est arrivé, il n’en est pas tombé un seul mot » (Josué 23:14).

Scofield : le néant. Il ne savait peut-être plus lire… Toutes les promesses de Dieu furent bel et bien accomplies au mot près. Or, s’il en était ainsi des peuples conquis, qu’en était-il de l’étendue du territoire ? Aujourd’hui, les Israélites cherchent à étendre leurs conquêtes pour couvrir ce qu’ils appellent « le Grand Israël », de l’Euphrate au Nil. Mais voyons ce que dit la Bible :

« Salomon … dominait sur tous les Rois, depuis le fleuve [l’Euphrate] jusqu’au pays des Philistins, et jusqu’à la frontière d’Egypte » (2 Chroniques 9:25-26).

Toujours pas de note de Scofield qui se garde bien de réveiller le lecteur qui dort. Or, nous voyons que le territoire s’étendait exactement tel que Dieu l’avait promis à Abraham, Moïse et Josué. C’était le « Grand Israël ».

« Juda et Israël étaient en grand nombre, comme le sable qui est sur le bord de la mer, tant ils étaient en grand nombre ; ils mangeaient et buvaient, et se réjouissaient. Et Salomon dominait sur tous les Royaumes, depuis le fleuve [l’Euphrate] jusqu’au pays des Philistins, et jusqu’à la frontière d’Egypte ; et ils lui apportaient des présents, et lui furent assujettis tout le temps de sa vie » (1 Rois 4:20-21).

Toujours pas de commentaire de la part de Scofield qui devait trouver ce passage fort embarrassant. Il y est pourtant clair que le royaume d’Israël s’étendait jusqu’aux frontières que Dieu avait préfixées et promises aux patriarches. On se demande comment les croyants des églises peuvent lire ces versets sans les voir.

« Tu es l’Eternel Dieu, qui choisis Abram, et qui le tiras hors d’Ur des Chaldéens, et lui imposas le nom d’Abraham. Tu trouvas son cœur fidèle devant toi, et tu traitas avec lui cette alliance, que tu donnerais le pays des Cananéens, des Héthiens, des Amorrhéens, des Phéréziens, des Jébusiens, et des Guirgasiens, que tu le donnerais à sa postérité ; et tu as accompli ce que tu as promis, parce que tu es juste » (Néhémie 9:7-8).

Encore ici, Scofield demeure muet parce que ce passage détruit sa note de Deutéronome 30. La Bible dit nettement que le peuple d’Israël a possédé le territoire dans toute l’étendue que Dieu avait promise dans Son alliance avec Abraham. Donc, Scofield était un fieffé menteur.

« Et tu multiplias leurs enfants comme les étoiles des cieux, et les introduisis au pays duquel tu avais dit à leurs pères, qu’ils y entreraient pour le posséder » (Néhémie 9:23).

Toujours rien du malhonnête Scofield dont la plume sécha. Tous ces passages prouvent que la promesse de Dieu d’une Terre promise fut accomplie avant l’époque du Nouveau Testament. Or, si la Terre promise a déjà été donnée au peuple physique d’Israël ancien, il y a quelques trois mille ans, sur quelle autorité scripturaire peut bien se fonder le sionisme d’aujourd’hui ? Une mauvaise théologie ne mène-t-elle pas à une « mauvaise politique étrangère » ?

En plus des preuves scripturaires démontrant que la promesse de Dieu d’une Terre promise fut entièrement accomplie, la Parole de Dieu nous enjoint à ne pas faire attention aux généalogies. « Suivant la prière que je te fis de demeurer à Ephèse, lorsque j’allais en Macédoine, je te prie encore d’annoncer à certaines personnes de n’enseigner point une autre doctrine ; Et de ne s’adonner point aux fables et aux généalogies, qui sont sans fin, et qui produisent plutôt des disputes, que l’édification de Dieu, laquelle consiste en la foi » (1 Timothée 1:3-4). Les notes de Scofield sont des fables et les généalogies juives sont impossibles à produire.

« Mais réprime les folles questions, les généalogies, les contestations et les disputes de la Loi ; car elles sont inutiles et vaines » (Tite 3:9).

Lorsque notre Seigneur Jésus-Christ est venu sur terre, il n’y eut plus besoin de généalogies, parce que, dès lors, tout homme devait être régénéré, ou engendré, spirituellement. La dernière liste de généalogie fut celle de Christ, son aboutissement final (Matthieu 1 ; Luc 3). Après Sa naissance, toute autre généalogie s’avérait inutile. Les généalogies antérieures prouvaient que Dieu avait tenu Sa promesse faite à Abraham, David, Jérémie et les autres de susciter un Sauveur — Jésus-Christ est le Messie, la semence promise. Dieu nous dit de ne pas nous adonner aux « généalogies qui sont sans fin ». Or, c’est précisément ce que le sionisme moderne enseigne.

Les Juifs modernes l’admettent : il est impossible de retracer son lignage jusqu’aux douze tribus d’Israël. Alors, posons-leur la question : « Qu’est-ce qui fait de la Palestine votre héritage ? » Dans un documentaire intitulé The Hope et produit par The 700 Club, le narrateur Gordon Robertson dit ceci :

« En 1936, les Britanniques envoyèrent un comité pour enquêter sur le “problème de la Palestine”. Quelques leaders arabes et juifs furent appelés à témoigner devant la Commission Peel et Ben-Gourion était parmi eux. »

[Commission Peel] « M. Ben-Gourion, puis-je vous poser une question ? Où êtes-vous né ? »

[David Ben-Gourion] « En Pologne. »

[Commission Peel] « Mais comme c’est curieux. Tous les leaders arabes qui sont apparus devant nous sont nés en Palestine. La plupart des leaders juifs qui sont apparus devant nous sont nés en Europe de l’Est. Le peuple arabe a une terre ottomane, un droit à ce territoire. Possédez-vous un document disant que la Palestine vous appartient ?

[David Ben-Gourion] « Voici mon document [en brandissant ce qui semblait être une Bible]. C’est le livre le plus respecté, et je crois que vous [les Britanniques] le respectez aussi. Notre droit à la Palestine ne découle pas du mandat de la Déclaration Balfour. Cela date de bien avant. La Bible, la Bible qui a été écrite par nous, dans notre propre langue, dans ce pays même, voilà notre mandat. Notre droit à la Palestine est aussi vieux que le peuple juif. Nous devons posséder cette terre. »

[Alon Ben-Gourion, petit-fils de David Ben-Gourion] « Pour nous, nous n’avons pas besoin d’un morceau de papier contenant le mandat britannique, ou le mandat ottomane, ou le romain, ou le grec. La terre est à nous. La Bible dit qu’Il l’a donnée aux Juifs. Dieu l’a donnée aux Juifs. C’est ce que nous célébrons aujourd’hui … Quand l’Angleterre est-elle née ? Quand l’Irak est-il né ? Quand l’Égypte est-elle née ? La Bible nous le dit exactement, c’est notre pays. Il nous appartient. »

Toutes ces réclamations et ces revendications sont-elles justifiées ? Évidemment, quand Ben-Gourion brandit la Bible, il ne s’agissait que de l’Ancien Testament seulement. Comme Juif, il rejetait le Nouveau Testament et Jésus-Christ. Néanmoins, en employant le mot « Bible » dans la narration, cela contribua à tromper les chrétiens sionistes de manière à ce qu’ils pensent que le Nouveau Testament était inclus. Le spectateur moyen du 700 Club est trop naïf pour réaliser que « Bible », dans la bouche d’un Juif, ne signifie pas à la fois les Ancien et Nouveau Testaments. Comme ils ne réalisent pas que « Dieu » ne veut pas dire « Jésus » pour un Juif. Il ne se trouve RIEN dans le Nouveau Testament (ni dans l’Ancien, d’ailleurs) pour soutenir l’occupation juive en Palestine. Au contraire. L’apôtre Paul nous dit clairement que nous, les croyants sauvés en Jésus-Christ, nous sommes la « semence d’Abraham » et les « enfants de la promesse » (Galates 3 et 4 ; Romains 9).

Il est stupéfiant de réaliser que depuis maintenant plus de 60 ans, des milliers de gens ont combattu et sont morts pour un bout de terre en se basant sur des arguments qui découlent d’une théologie corrompue ! Mais qu’est-ce que le sionisme nous a fait à tous ?

« La reconnaissance d’un peuple distinctif qui soit le récipiendaire de bénédictions rédemptrices de Dieu et qui, pourtant, existe de façon séparée de l’Église de Jésus-Christ crée des problèmes théologiques insurmontables. Jésus-Christ n’a qu’un seul corps et qu’une seule Épouse, un seul peuple qu’Il déclare Sien et qui est le vrai Israël de Dieu. Ce peuple unique, composé de Juifs et de Gentils, croit que Jésus est le Messie promis » [O, Palmer Robertson, The Israel of God : Yesterday, Today and Tomorrow, Phillipsburg, New Jersey : Presbyterian and Reformed Publishing Co., 2000, p. 49.]

Les Juifs modernes sont-ils les grands alliés des États-Unis et des autres pays occidentaux ? Voici une transcription prise d’un enregistrement audio de Benjamin Netanyahou, en 1990, en discussion au Fink’s Bar, à Jérusalem, et confirmé par un participant durant un débriefing :

« Si nous nous faisons prendre, on va simplement nous remplacer par d’autres personnes du même acabit. Donc, peu importe ce que vous faites, l’Amérique est un veau d’or, et nous allons le saigner à blanc, et le dépecer, et le vendre morceau par morceau jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien que le plus gros état-providence du monde, que nous allons créer et contrôler. Pourquoi ? Parce que c’est la volonté de Dieu et l’Amérique est assez grande pour accuser le coup pour que nous puissions le refaire encore, encore et encore. C’est ce que nous faisons aux pays que nous haïssons. Nous les détruisons très lentement et les faisons souffrir pour avoir refusé d’être nos esclaves. »

Êtes-vous enclin à vouloir porter main forte à ce genre de dictateur ? Croyez-vous que le « Dieu » dont il parle soit Celui de l’Ancien Testament ? Est-ce ainsi que doit agir un membre du « peuple élu » ?

Netanyahou et la grande majorité des Juifs d’Israël proviennent de l’Europe de l’Est. Ils se font appeler « Juifs ashkénazes » par distinction vis-à-vis des autres, une minorité que l’on nomme « Juifs séfarades », et que les Ashkénazes méprisent et sont prêts à sacrifier en toutes circonstances. Les Ashkénazes ne descendent PAS de la tribu de Juda. Ce ne sont pas des Israélites, mais des Khazars, race turco-mongoloïde qui demeurait dans un grand empire, la Khazarie, avant d’être conquis par les Russes.

Ashkénaze (ou Askénaz) était un petit-fils de Japhet, fils de Noé (Genèse 10:2-3), alors que de Sem, premier-né de Noé, descendent les Sémites. Les descendants d’Ashkénaze ne sont pas des Sémites et on ne peut donc pas être qualifié d’antisémites en parlant contre les Juifs modernes.

Vers l’an 800 de notre ère, les Khazars, descendants d’Ashkénaze, se sont convertis au judaïsme pour des raisons politiques. Or, depuis toujours, le judaïsme, qui n’est pas la religion de l’Ancien Testament, transportait la « tradition des hommes » qui remontait à Nemrod et à la Babylone ancienne. Les Khazars ont conservé méticuleusement cette religion à Mystères dans ses recueils religieux, soit le Talmud babylonien et la Kabbale juive. Cette religion est aux antipodes du christianisme véritable de l’Évangile de Christ. Le terme « judéo-chrétien » que se plaisent à utiliser les théologiens et les ecclésiastiques, est un oxymore destiné à tromper les chrétiens dans le but de leur faire croire que le christianisme descend du judaïsme, alors que celui-ci, l’ancienne « loi orale », est cette tradition des hommes que Jésus-Christ a fortement condamnée.

Dans Sa prophétie, Dieu parle des Juifs khazars modernes. Voyez Apocalypse 2:9 où il est écrit : « Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan. » Et encore, dans Apocalypse 3:9 : « Voici, je ferai venir ceux de la Synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent ; voici, dis-je, je les ferai venir et se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’aime. »

Ces Khazars modernes proclament partout qu’ils sont de descendance juive, c’est-à-dire, de la tribu israélite de Juda, mais ils mentent effrontément. Loin d’être le « peuple de Dieu », ils sont plutôt le « peuple de Satan » une race de vipères. Vous noterez que Dieu ne les appelle pas « l’Église de Satan », mais bien la « Synagogue de Satan », avec tous leurs rabbins sionistes et kabbalistiques. Pour plus d’informations sur les Khazars, veuillez consulter le livre de Benjamin Freedman à l’adresse suivante : L’Histoire occultée des Faux Hébreux : LES KHAZARS

« L’Amérique peut facilement se manœuvrer et être mise dans la bonne direction. Et même si les Américains disent quelque chose, alors, qu’ils le disent… et puis quoi ?! 80 % des Américains nous soutiennent ! C’est absurde ! Nous y avons tellement de support et ici, nous pensons “Que devrions-nous faire si…” »

  • Benjamin Netanyahou, parlant candidement dans une rencontre privée dans la colonie d’Ofra, en 2001, ignorant qu’il était enregistré sur vidéo.

« Chaque fois que nous faisons quelque chose, tu [Shimon Perez] me dit que l’Amérique va faire ceci ou cela … Je vais te dire quelque chose très clairement : Arrête de t’inquiéter de la pression américaine sur Israël. Nous, le peuple juif, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. »

  • Ariel Sharon, Premier Ministre israélien, 3 octobre 2001

« Le judaïsme est le pouvoir le plus étroitement organisé sur terre. Il forme un État auquel les citoyens sont inconditionnellement loyaux, peu importe où ils sont, et s’ils sont riches ou pauvres. Le nom que l’on donne à cet État, et qui circule dans tous les états, c’est “All-Judaan”. Les outils de pouvoir de l’État d’All-Judaan sont le capital et le journalisme, ou l’argent et la propagande … La principale culture d’All-Judaan est journalistique ; les performances techniques, scientifiques et littéraires du Juif moderne passent par ses performances journalistiques. Celles-ci sont dues au merveilleux talent des Juifs à s’ouvrir aux idées des autres. Le capital et le journalisme se rejoignent dans la Presse afin de créer un médium politique et spirituel du pouvoir juif … En contrôlant les sources de nouvelles du monde, All-Judaan peut sans cesse préparer l’esprit des gens à leurs actions suivantes. La plus grande dénonciation, qui demeure encore à faire, c’est la façon avec laquelle les nouvelles sont manufacturées et la manière par laquelle l’esprit de nations entières est modelé pour atteindre un certain but. Lorsque le puissant Juif est enfin débusqué et que sa touche se révèle, alors survient le cri tout apprêté de “persécution” et qui fait écho dans toute la presse mondiale. On ne fait jamais de publicité à la cause réelle de la persécution (qui est l’oppression des peuples par les pratiques financières des Juifs).

  • Henry Ford, Fondateur & Président de la Ford Motor Co.

Comment manipule-t-on les masses ? Simplement en contrôlant leurs médias. Si la population en général a confiance en ses médias, alors posséder les médias permettra de contrôler la population en général.

« Je me fiche que les gens pensent que nous contrôlons les médias de nouvelles, Hollywood, Wall Street ou le gouvernement. Je veux simplement que nous continuions à les contrôler. »

  • Joel Stein, L.A. Times, et maintenant Times Magazine

Les Juifs d’Amérique s’établissent à environ 2 % de la population. On devrait toutefois examiner soigneusement jusqu’à quel point ces deux pourcent contrôlent l’Amérique du Nord :

  • Aujourd’hui, Cour Suprême est à 33 % juive
  • Hollywood est entièrement contrôlé par les Juifs
  • Les médias majeurs de nouvelles sont contrôlés par les Juifs
  • La Banque de la Réserve Fédérale est sous le contrôle juif
  • Même les Chinois savent que les Juifs contrôlent l’Amérique

Six compagnies juives contrôlent 96 % des médias dans le monde.

« Vous savez très bien, et les stupides Américains le savent aussi, que nous contrôlons leur gouvernement, sans égard à celui qui est assis à la Maison Blanche. Voyez-vous, je le sais, et vous le savez aussi, aucun Président américain n’est en position de nous défier, même si nous commettons l’impensable. Que peuvent-ils (les Américains) nous faire ? Nous contrôlons le Congrès, nous contrôlons les médias, nous contrôlons le show-biz, nous contrôlons tout en Amérique. En Amérique, vous pouvez critiquer Dieu, mais vous ne pouvez pas critiquer Israël. »

  • Tzipora Menache, porte-parole israélienne

« Si [Elena] Kagan [nominée du Président Obama à la Cour Suprême] est confirmée, les Juifs, qui ne représentent que 2 % de la population américaine, posséderont 33 % des sièges à la Cour Suprême. Est-ce l’idée que se font les Démocrates de la diversité ? »

  • Patrick Buchanan, dans un article intitulé

Are Liberals Anti-WASP ?, 14 mai 2010

Qu’est-ce qui fait que les Juifs « sont ennemis de tous les hommes » ? Que ceux qui se disent Juifs aujourd’hui descendent des Khazars ou de Juda importe peu. Ce qui les rend dangereux pour l’humanité, c’est leur culture religieuse : le judaïsme. La religion de l’Ancien Testament n’est pas le judaïsme.

Mais alors, quel est-il ? C’est ce que nous allons voir au Chapitre 2.

 




D.576 – La gouverne de l’homme

Par Roch Richer

Lors de la création de l’homme, il y a quelques six mille ans, Dieu lui donna le libre arbitre, c’est-à-dire, la liberté de choisir Sa voie, Sa conduite, Ses conseils. Pour ce faire, l’Éternel a accordé à Sa créature un esprit afin qu’elle possède la faculté de penser, de réfléchir, de raisonner. Mais cet esprit était limité et le domaine spirituel lui échappait. Or, telle était l’intention de Dieu, car Il voulait par la suite ajouter de Son propre Esprit à l’esprit humain pour que l’homme puisse avoir accès à la véritable connaissance.

« Mais ainsi qu’il est écrit [dans Ésaïe 64:4] : ce sont des choses que l’œil n’a point vues ; que l’oreille n’a point ouïes, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme [incapable de les saisir par son esprit charnel], lesquelles Dieu a préparées à ceux qui l’aiment. Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit. Car l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu. Car qui est-ce des hommes qui sache les choses de l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui ? De même aussi nul n’a connu les choses de Dieu, sinon l’Esprit de Dieu. Or nous avons reçu non point l’esprit de ce monde, mais l’Esprit qui est de Dieu ; afin que nous connaissions les choses qui nous ont été données de Dieu ; lesquelles aussi nous proposons, non point avec les paroles que la sagesse humaine enseigne [par le seul moyen de son esprit charnel limité], mais avec celles qu’enseigne le Saint-Esprit, appropriant les choses spirituelles à ceux qui sont spirituels [c’est-à-dire, nous qui avons le Saint-Esprit pouvons nous approprier la connaissance des choses spirituelles qui nous étaient auparavant inaccessibles]. Or l’homme animal [uniquement guidé par son esprit charnel] ne comprend point les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont une folie [l’homme n’admet pas ne pas les comprendre ; dans sa vanité, il les qualifie simplement de folie, d’idiotie, d’ignorance, et il méprise ceux qui ont l’Esprit pour comprendre et les traite d’insensés, de fous] ; et il ne peut même les entendre [dans le sens de comprendre, de saisir], parce qu’elles se discernent spirituellement. Mais l’homme spirituel [possédant en lui l’Esprit de Dieu] discerne toutes choses, et il n’est jugé de personne. Car qui a connu la pensée du Seigneur pour le pouvoir instruire ? mais nous, nous avons l’intention de Christ » (1 Corinthiens 2:9-16).

Ceux qui se proclament « sages » en ce monde croient que l’Évangile est une folie, tout simplement parce qu’ils ne le comprennent pas. Ils qualifient les croyants de rétrogrades parce que la vérité qui est révélée à ceux-ci se trouve au-dessus de la capacité d’entendement des dits sages.

« Où est le sage ? où est le Scribe ? où est le Disputeur de ce Siècle ? Dieu n’a-t-il pas manifesté la folie de la sagesse de ce monde ? Car puisqu’en la sapience de Dieu, le monde n’a point connu Dieu par la sagesse, le bon plaisir de Dieu a été de sauver les croyants par la folie de la prédication » (1 Corinthiens 1:20-21).

« Que personne ne s’abuse lui-même ; si quelqu’un d’entre vous croit être sage en ce monde, qu’il se rende fou [selon le monde], afin de devenir sage [selon Dieu]. Parce que la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu; car il est écrit [dans Job 5:13] : il surprend les sages en leur ruse. Et encore [dans Psaume 94:11] : le Seigneur connaît que les discours des sages sont vains » (1 Corinthiens 3:18-20).

Malgré tous ses efforts, l’homme est incapable par lui-même de connaître les vérités divines. Il a beau avoir recours à toute son intelligence pour philosopher sur les questions existentielles, il ne sait toujours pas quelle est son origine et quelle sera sa fin. Cependant, au fil du temps, depuis Adam et Ève, il lui a fallu se débrouiller pour vivre en société, qu’il organise la vie en commun. Heureusement, dès le départ, Dieu lui a donné des directives. Mais comme nous venons de le voir, l’homme se croit plus sage que Dieu et Ses directives lui semblent une folie.

De plus, Satan, le Diable, a toujours été dans les parages pour encourager sa rébellion et ses réticences face aux Paroles de Dieu. Le Démon a donc suggéré à l’homme toutes sortes de systèmes pour se gouverner. Mais au bout d’un certain temps, les choses se sont mises à aller si mal, et l’homme était devenu si corrompu, que Dieu déclencha Son Déluge pour mettre un terme à cette véritable folie.

Mais ne vous leurrez point : ce n’était nullement un échec de la part de Dieu. Cela faisait partie de Son Plan. Toutes les générations subséquentes, jusqu’à aujourd’hui, ont pu profiter de cet événement pour en tirer quelque leçon. Mais le cœur de l’homme étant ce qu’il est, nous en sommes rendus aujourd’hui au même point qu’à l’époque de Noé, car la fin est proche :

« Mais comme il en était aux jours de Noé, il en sera de même de l’avènement du Fils de l’homme » (Matthieu 24:37).

Au cours des derniers siècles, les hommes ont tenté de faire l’essai de toutes sortes de systèmes de gouvernement. Ils ont cependant toujours regardé derrière, les yeux fixés sur le système qu’avait voulu mettre en place Nemrod, fondateur de Babylone : une dictature sous un Ordre Mondial. Tous les hommes rassemblés sous un seul gouvernement totalitaire reniant la souveraineté de Dieu.

Après l’ascension du Christ et l’émergence de Son Église, il s’est installé une certaine stabilité grâce aux Écritures de Dieu qui se répandaient un peu partout. Les pays se sont formés, tant bien que mal, tiraillés par des conflits au sujet de conquêtes de territoires ou à cause de différends théologiques. Des royautés se sont élevées, des empires se sont succédés, des ententes furent établies.

De tous les systèmes imaginés par les hommes, la démocratie a semblé le moins déficient, offrant un certain degré de liberté au peuple. Mais à partir de l’an 1917, les choses se sont sérieusement détériorées. Des idées démoniaques ont surgi pour amener l’humanité vers un déclin graduel. Des hommes mal intentionnés sapent les fondements chrétiens de la société depuis des centaines d’années et la ruine va en s’accélérant.

Dans notre monde moderne, la démocratie est morte. Elle ne fait pas le jeu de l’élite mondiale au pouvoir parce que celle-ci n’en veut tout simplement pas. Elle s’apprête à installer un communisme à l’échelle mondiale. Alors, quand les politiciens modernes parlent de démocratie, ils en donnent une définition contrefaite afin que le peuple ne puisse se rendre compte du piège et qu’on le dirige, en vérité, vers un régime communiste totalitaire et dictatorial que ce peuple rejetterait s’il lui était proposé franchement.

Comprenons que dans la société actuelle, les gens honnêtes sont écartés de tout pouvoir, bien qu’il puisse survenir occasionnellement des accidents de parcours, comme l’émergence d’un Poutine ou d’un Trump. Mais alors, l’État profond a recours à toute sa malhonnêteté et tire toutes les ficelles pour truquer les élections ou fomenter de fausses guerres artificielles, à la face de la population aveugle, comme on en a été témoins lors des dernières élections américaines, canadiennes et françaises, et comme on le voit par le conflit en Ukraine.

Par ailleurs, Dieu n’élèvera pas « un homme de Dieu » à la tête d’aucun pays, car cela n’entre pas dans Son plan de salut. En ce moment, l’Éternel veut que l’homme au cou roide prouve une fois pour toutes qu’il est incapable de se gérer tout seul. Il permet donc, avec sans doute un brin d’humour, que Satan place ses propres hommes dans les postes gouvernementaux, des imbéciles qui ne savent pas distinguer entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux. Devant ce genre d’hommes et de femmes, le chrétien doit se montrer circonspect et prudent. Dans les églises pseudo-chrétiennes, les faux pasteurs sont bien prompts à sortir Romains 13 pour que les membres obéissent aveuglément aux autorités. Mais ces pasteurs, dirait-on, ne savent pas lire la Bible. Que dit le passage ?

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes » (vs 1-2).

La plupart du temps, les pasteurs s’arrêtent là et disent de manière péremptoire à leurs ouailles qu’elles doivent obéir à tous les décrets (souvent extraordinairement stupides) et les mandats obligatoires que régurgitent leurs gouvernements. Mais ne devraient-ils pas lire la suite où l’apôtre Paul élabore sur les conditions ?

« Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange » (v. 3).

Déjà, ici, nous avons un problème avec l’interprétation des pasteurs, car les autorités – les Puissances – se permettent de plus en plus de punir les gens qui veulent bien faire, c’est-à-dire, suivre les instructions divines. Les restrictions sont de plus en plus sévères contre ceux qui dénoncent l’homosexualité, le transgenrisme, l’avortement, la pédophilie, etc. Et l’on veut faire avaler aux gens des mensonges aussi grossiers que le « changement climatique », la pénurie d’énergie et autres bêtises. Récemment, l’on a adopté une loi américaine qui interdit de remettre en question la légitimité des élections, alors que les preuves de fraudes s’accumulent et deviennent criantes.

Depuis deux ans, les autorités poussent les gens à se faire injecter un produit si nocif qu’un nombre effarant de gens en meurent et encore plus subissent des séquelles irréparables ; et les médecins qui osent mettre leurs patients en garde risquent de perdre leur licence de pratique. Donc, aujourd’hui on doit craindre les « princes » pour de bonnes actions. Lisons la suite du passage.

« Car le Prince est le serviteur de Dieu pour ton bien… » (v. 4).

Voilà qui devrait éclairer les gens. Les chefs d’états que nous avons en ce moment partout dans le monde ne sont tout simplement pas des serviteurs de Dieu, quoique qu’il y en ait peut-être un ou deux qui croient en un Dieu. Pour la plupart, ce sont des psychopathes.

« …mais si tu fais le mal, crains… » (v. 4) Aux États-Unis, les juges démocrates financés par George Soros ne condamnent pas les malfaiteurs et ne les mettent pas en prison. Le mal demeure donc impuni et les récidivistes se multiplient. En plus, on définance la police.

« …parce qu’il ne porte point vainement l’épée, car il est le serviteur de Dieu, ordonné pour faire justice en punissant celui qui fait le mal » (v. 4).

De nos jours, c’est exactement le contraire qui se passe. Le système politique et judiciaire est tellement corrompu que les pires bandits de la société se trouvent au sommet de la hiérarchie du pouvoir. Les sorciers dominent. Ils détestent Dieu et les pasteurs voudraient qu’on leur obéisse sans questionner ? N’est-ce pas renier la faculté de penser que Dieu nous a accordée ? Voyons plutôt un autre passage écrit par l’apôtre Paul :

« Soyez revêtus de toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister aux embûches du Démon. Car nous n’avons point à combattre contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les Seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes » (Éphésiens 6:11-12).

Est-ce une contradiction de la part de Paul ? Bien sûr que non. Dans Romains 13, il parle de chefs d’état qui sont des serviteurs de Dieu, Ici, il parle de chefs d’états qui sont des serviteurs de Satan. Il nous faut savoir faire la différence afin de résister aux mauvais gouverneurs. Un grand nombre des chefs d’état d’aujourd’hui font partie de sociétés occultes où l’on adore Satan. Beaucoup sont des êtres pervers et dépravés qui pratiquent la sorcellerie, la pédophilie, le vol et le meurtre à grande échelle. Nous ne pouvons pas suivre ce genre d’hommes aveuglément.

Cette élite mondialiste, qui cherche à imposer un Nouvel Ordre, se doit d’être fort bien organisée afin d’œuvrer, premièrement dans la clandestinité et jusqu’au jour où il sera impossible au reste du monde de refuser de s’y conformer ; et alors, l’élite, dirigée par l’homme du péché, l’antichrist des temps de la fin, se montrera au grand jour et infligera sa dictature sans que le peuple puisse rien y faire. C’est inévitable, car prédit par les Écritures.

Pour y arriver, l’élite sataniste a recours à de nombreux organismes qu’elle a créés au fil des siècles – mais surtout au 20e siècle – afin d’assurer son pouvoir et répandre sa propagande dans toutes les sphères de la société. Parmi ces organisations, il y a les sociétés secrètes et il y a les puissantes agences de renseignement, ou services secrets. Certaines sont très importantes et exercent leur influence partout dans le monde : le Mossad israélien, les MI5 et MI6 britanniques, le FBI, la NSA et la CIA américains, etc. Entre autres tâches, ces agences ont la mission de mettre en place un peu partout dans le monde des gouvernements qui agissent en accord avec le programme mondialiste des dirigeants occultes non élus. Si les chefs d’état n’obéissent pas à l’agenda global, l’État profond occulte mobilise une agence de renseignement (souvent la CIA) qui va se rendre dans le pays pour déstabiliser le régime politique récalcitrant, provoquer de nouvelles élections (qu’elle s’arrange pour truquer) ou assassiner le chef d’état rebelle, puis elle installe au pouvoir un homme de paille de l’élite, préalablement endoctriné par des organismes comme le Forum Économique Mondial de Klaus Schwab, le Groupe de Bilderberg, le Club de Rome, le Council of Foreign Relations, les Skull & Bones, ou toute autre société plus ou moins secrète.

L’outil principal et primordial de tout ce système, c’est… le mensonge !

Le mensonge érigé en système existe depuis la nuit des temps. Déjà le prophète Jérémie en était découragé, car il ne cessait d’en être témoin au sein de son peuple :

« Plût à Dieu que j’eusse au désert une cabane de voyageurs, j’abandonnerais mon peuple, et me retirerais d’avec eux ; car ils sont tous des adultères, et une troupe de perfides. Ils ont tendu leur langue, qui leur a été comme leur arc pour décocher le mensonge, et ils se sont renforcés dans la terre contre la fidélité, parce qu’ils sont allés de malice en malice, et ne m’ont point reconnu, dit l’Eternel. Gardez-vous chacun de son intime ami, et ne vous fiez à aucun frère ; car tout frère fait métier de supplanter, et tout intime ami va médisant. Et chacun se moque de son intime ami, et on ne parle point en vérité ; ils ont instruit leur langue à dire le mensonge, ils se tourmentent extrêmement pour mal faire. Ta demeure est au milieu de la tromperie ; ils refusent à cause de la tromperie de me reconnaître, dit l’Eternel … Leur langue est un trait décoché, elle profère des fraudes ; chacun a la paix dans sa bouche avec son intime ami, mais dans son intérieur il lui dresse des embûches » (Jérémie 9:2-6, 8).

Construites sur le mensonge, les agences de renseignement en ont fait leur outil de prédilection. De par leur nature, elles ne peuvent travailler ouvertement. Ce sont des espions, des agents secrets, habitués à leurrer, à tromper. Elles disent agir ainsi pour le bien commun, et elles présentent même le mensonge comme une nécessité, sous le faux prétexte de la sécurité nationale, ou pour épargner les sensibilités du peuple qui ne pourrait comprendre. Car, selon eux, tout le monde ne mérite pas d’avoir la vérité, car la vaste majorité serait, toujours selon eux, incapable de la supporter. Mais la réalité est tout autre. Ces agences, parrainées et financées par les oligarques mondialistes, poursuivent des agendas cachés et inavouables.

Nous devons vraiment reconnaître que nous vivons dans un monde de censure de la vérité. Car, avance-t-on, « toute vérité n’est pas bonne à dire ». On assume que la population générale est trop bête pour la saisir, l’analyser, la comprendre. Mais le but véritable est de cacher les actions mauvaises et perverses dont l’élite se rend coupable tous les jours.

Dans le monde actuel, si quelqu’un veut s’élever au-dessus de la masse et atteindre les hautes sphères de la société, il se sent poussé à recourir au mensonge et à toutes sortes de roublardises malfaisantes. Il doit obéir aux dictateurs de la Synagogue de Satan, sinon, il sera irrémédiablement écrasé. Les maîtres du pouvoir sont des adeptes inconditionnels des philosophies de Satan. À cet effet, ils sont devenus des menteurs compulsifs et pathologiques. Ils ne savent apparemment plus différencier le bien du mal, le vrai du faux. Beaucoup d’entre eux s’en fichent, d’ailleurs, car la vérité, au mieux, n’a pas d’importance à leurs yeux et, au pire, s’avère une menace qu’il faut combattre. Parce que, lorsque l’on œuvre dans les ténèbres afin de dissimuler les choses mauvaises que l’on fait, la lumière de la vérité fait mal aux yeux et dévoile les œuvres infructueuses.

Pendant ce temps, le peuple se laisse endormir par tous ces mensonges et se forge un idée complètement déformée du monde et de l’humanité, ne comprenant pas la tournure réelle des événements. L’humanité n’en sortira pas avant que Dieu ne vienne Lui-même la libérer. Alors seulement, l’homme verra ce qu’est la vraie puissance.

Pouvez-vous imaginer ce que serait le monde si, du jour au lendemain, le mensonge disparaissait ? si tous les gens ne disaient que la vérité à leur prochain ? La face de la terre en serait radicalement changée, les guerres n’auraient plus lieu, la confiance régnerait entre les pays, entre les citoyens, entre les membres d’un même foyer…

Or, le Plan de Dieu prévoit un pareil monde pour sa conclusion. Et ce n’est pas seulement le mensonge qui disparaîtra, mais également tous les travers humains. Ce monde-là est inaccessible à l’homme par sa propre force et par sa propre intelligence, mais il sera accessible par la grâce et la miséricorde de Dieu. Il l’est d’hors et déjà à tous ceux qui acceptent Son appel et font Sa volonté. Et alors que le joug de l’homme est pesant, celui de Dieu est léger.

Que le Seigneur vous garde.




D.574 – Conspiration vs conspirationisme

Par Roch Richer

Tout le monde sait ce qu’est une conspiration, ou son synonyme, un complot, Il s’agit de la concertation secrète de plusieurs personnes qui ourdissent un plan contre un individu, une institution, un gouvernement ou un régime afin de le renverser. Cela s’est produit souvent dans l’histoire, à une fréquence telle, en fait, qu’on ne peut que constater qu’il s’agit d’un trait marqué de la nature humaine.

Le terme conspirationisme est beaucoup plus récent et n’a réellement été largement répandu qu’avec l’avènement de la pseudo-pandémie Covid, dont les gens découvrent de plus en plus qu’elle fut elle-même une vaste conspiration. Depuis avril 2020, les gouvernements et les médias subventionnés accolent l’étiquette de « conspirationiste » ou de « complotiste » à toute personne qui remet un tant soit peu en question la doxa officielle estampillée par les dirigeants.

Être conspirationiste est censé s’avérer une insulte suprême, un stigmate honteux, car cela sous-entend que la personne ainsi qualifiée n’a pas toute sa tête et déraisonne parce qu’elle est tombée dans les élucubrations fomentées par des hurluberlus ayant inventé des théories de conspiration où les gens riches les plus puissants de ce monde se sont concertés secrètement dans le but d’asservir la grande masse de la population. Car, voyez-vous, si l’on est prêt à croire que des individus peuvent comploter pour chercher à renverser un gouvernement, l’on ne peut toutefois pas se résoudre à croire qu’un gouvernement puisse comploter pour renverser le peuple. Ce genre de complot est tenu pour absurde, grotesque, invraisemblable.

Donc, on voudrait nous faire accepter qu’être qualifié de « complotiste » ou de « conspirationiste » est une malédiction. Pourtant, au final, qu’est-ce qu’un conspirationiste sinon une personne qui dénonce tout simplement les comploteurs ? Et si voilà vraiment la définition toute simple du mot « complotiste », ou du mot « conspirationiste », eh bien sachez, chers amis, que nous devrions porter ce titre avec fierté, car nous sommes en très excellente compagnie, croyez-moi.

Ézéchiel 22:25-31 :

« Il y a un complot de ses Prophètes au milieu d’elle [la maison d’Israël (v. 18)] ; ils seront [se perpétue dans le futur] comme des lions rugissants, qui ravissent la proie : ils ont dévoré les âmes [assassiné beaucoup de gens] ; ils ont emporté les richesses, et la gloire ; ils ont multiplié les veuves au milieu d’elle. Ses Sacrificateurs ont fait violence à ma Loi [le Talmud des rabbins] ; et ont profané mes choses saintes ; ils n’ont point mis différence entre la chose sainte et la profane, ils n’ont point donné à connaître la différence qu’il y a entre la chose immonde et la nette, et ils ont caché leurs yeux de mes Sabbats, et j’ai été profané au milieu d’eux. Ses principaux ont été au milieu d’elle comme des loups qui ravissent la proie, pour répandre le sang et pour détruire les âmes, pour s’adonner au gain déshonnête [système bancaire international inique]. Ses Prophètes aussi les ont enduits de mortier mal lié [fausses doctrines et prophéties fondées sur une interprétation falsifiée des Écritures] ; ils ont des visions fausses, et ils leur devinent le mensonge, en disant : ainsi a dit le Seigneur l’Eternel ; et cependant l’Eternel n’avait point parlé. Le peuple du pays a usé de tromperies, et ils ont ravi le bien d’autrui, et ont opprimé l’affligé et le pauvre, et ont foulé l’étranger contre tout droit. Et j’ai cherché quelqu’un d’entre eux qui refît la cloison, et qui se tînt à la brèche devant moi pour le pays, afin que je ne le détruisisse point ; mais je n’en ai point trouvé. C’est pourquoi je répandrai sur eux mon indignation, et je les consumerai par le feu de ma fureur ; je ferai tomber la peine de leur train sur leur tête, dit le Seigneur l’Eternel. »

Psaume 2:1-4 :

« Pourquoi se mutinent les nations, et pourquoi les peuples projettent-ils des choses vaines ? Les Rois de la terre se trouvent en personne [les rencontres du G8, les sommets de Davos et autres rencontres], et les Princes consultent [complotent] ensemble contre l’Eternel, et contre son Oint. “Rompons”, disent-ils, “leurs liens, et jetons loin de nous leurs cordes.” Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera. »

Jérémie 11:9-10, 15 :

« Et l’Eternel me dit : il y a une conjuration [synonyme de complot et de conspiration] parmi les hommes de Juda, et parmi les habitants de Jérusalem. Ils sont retournés aux iniquités de leurs ancêtres, qui ont refusé d’écouter mes paroles, et qui sont allés après d’autres dieux [Satan et ses démons] pour les servir ; la maison d’Israël et la maison de Juda ont enfreint mon alliance, que j’avais traitée avec leurs pères … Qu’est-ce que mon bien-aimé a à faire dans ma maison, que tant de gens se servent d’elle pour y faire leurs complots ? la chair sainte est transportée loin de toi, et encore quand tu fais mal, tu t’égayes. »

En lisant ces passages, on devine que les médias qualifieraient immédiatement Dieu Lui-même d’être « complotiste », le premier conspirationiste de l’histoire ! Vous remarquerez cependant que les complots qu’Il dénonçait en termes succincts, mais précis, n’étaient pas de la « théorie ». Ils étaient réels. Et ils se sont projetés dans l’avenir. Aujourd’hui, en effet, nous assistons à l’aboutissement final de ce même complot, une conspiration millénaire perpétuée par les générations successives de ces faux prophètes d’Israël et de Juda, une conspiration ayant traversé les siècles sous une même inspiration, l’esprit de Python, le Serpent ancien, le Dragon roux appelé le Diable et Satan.

Dans de nombreux passages de la Bible, Dieu explique la manière d’opérer des comploteurs. Or, tous ceux qui expliquent aujourd’hui la façon d’opérer des conspirateurs ne font, en fin de cmpte, que suivre l’exemple de Dieu, qu’ils s’en rendent compte ou non.

À partir d’ici, je ne vais que relever quelques passages tirés des Psaumes et des Proverbes en examinant leur pertinence en rapport avec les événements que nous vivons de nos jours. Vous serez peut-être étonnés de voir que ces paroles sont prophétiques, car, comme l’a dit l’Ecclésiaste : « Ce qui a été, c’est ce qui sera ; et ce qui a été fait, est ce qui se fera, et il n’y a rien de nouveau sous le soleil » (Ecclésiaste 1:9).

Psaume 10:2-4 :

« Le méchant par son orgueil poursuit ardemment l’affligé ; mais ils seront pris par les machinations qu’ils ont préméditées. Car le méchant se glorifie du souhait de son âme, il estime heureux l’avare, et il irrite l’Eternel. Le méchant marchant avec fierté ne fait conscience de rien ; toutes ses pensées sont, qu’il n’y a point de Dieu. »

Cette description s’applique parfaitement aux méchants modernes ; le même esprit cupide, le même cœur athée de ces psychopathes qui ourdissent leurs complots en se fichant des Paroles de Dieu, qu’ils renient, cherchant, par avarice, à s’accaparer toutes les richesses et tout pouvoir sur les peuples de la terre à qui ils disent : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ! »

Psaume 12:1-2 :

« Délivre, ô Eternel ! parce que l’homme de bien ne se voit plus, et que les véritables ont disparu entre les fils des hommes. Chacun dit la fausseté à son compagnon avec des lèvres flatteuses, et ils parlent avec un cœur double. »

S’il vivait aujourd’hui, David dirait la même chose. Si le cœur de l’homme n’a pas changé, il s’est toutefois donné les moyens de faire le mal à l’échelle mondiale. Les politiciens véreux entrent en campagne électorale en formulant des promesses qu’ils ne tiendront pas. Ils se lancent en politique parce que les membres de l’Élite mondialiste leur ont promis mers et monde s’ils appliquent à la lettre les instructions qu’ils leur fournissent. À tous les niveaux, l’on exerce cette double mentalité dont parlait George Orwell dans son livre, 1984.

Psaume 14:1-3 :

« L’insensé a dit en son cœur : il n’y a point de Dieu. Ils se sont corrompus, ils se sont rendus abominables en leurs actions ; il n’y a personne qui fasse le bien. L’Eternel a regardé des cieux sur les fils des hommes, pour voir s’il y en a quelqu’un qui soit intelligent, et qui cherche Dieu. Ils se sont tous égarés, ils se sont tous ensemble rendus odieux, il n’y a personne qui fasse le bien, non pas même un seul. »

Pour ceux qui auraient l’impression que cela s’adressait aux hommes de l’époque de David, détrompez-vous. Du haut de son trône céleste, Dieu voit toute l’histoire de l’humanité, du début à la fin, car Il est hors du temps. De notre point de vue, nous pouvons constater que l’athéisme ne cesse de gagner du terrain, car la religion n’est plus enseignée, ni dans les écoles ni dans les familles, et des idées perverses s’y sont plutôt infiltrées, en totale opposition avec les valeurs divines. De plus en plus, les hommes veulent se donner le pouvoir et l’autorisation de décider eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal, et se donner ainsi raison de faire le mal impunément. Nous sommes revenus à l’époque de Noé, et de Sodome et Gommorhe.

Psaume 35:19-20 :

« Que ceux qui me sont ennemis sans sujet ne se réjouissent point de moi ; et que ceux qui me haïssent sans cause ne m’insultent point par leurs regards. Car ils ne parlent point de paix ; mais ils préméditent des choses pleines de fraude contre les pacifiques de la terre. »

Les chrétiens ont des ennemis qui les haïssent sans sujet, sans cause, sans raison légitime, parce qu’ils mettent en lumière, par leurs bonnes actions, les iniquités des méchants qui en sont fort irrités. Ces derniers vont de plus en plus accuser faussement les chrétiens d’être des extrémistes, des fanatiques de la droite, des obsédés de Dieu, etc.

Psaume 36:1-4 :

« La transgression du méchant me dit au-dedans du cœur, qu’il n’y a point de crainte de Dieu devant ses yeux. Car il se flatte en soi-même quand son iniquité se présente pour être haïe. Les paroles de sa bouche ne sont qu’injustice et que fraude, il se garde d’être attentif à bien faire. Il machine sur son lit les moyens de nuire ; il s’arrête au chemin qui n’est pas bon ; il n’a point en horreur le mal. »

Illustration du psychopathe ayant atteint, par des moyens frauduleux et criminels, les hautes sphères du pouvoir. Voilà le champion du complot, le conspirateur par excellence, celui qui veut faire des autres êtres humains ses esclaves. Nous pourrions dresser ici une longue liste de noms, dont de nombreux politiciens, des membres du barreau, des membres de la presse, des hauts-dirigeants de compagnie, et surtout, des banquiers…

Psaume 58:1-4 :

« En vérité, vous gens de l’assemblée, prononcez-vous ce qui est juste ? Vous fils des hommes, jugez-vous avec droiture ? Au contraire, vous tramez des injustices dans votre cœur ; vous balancez la violence de vos mains en la terre. Les méchants se sont égarés dès la matrice, ils ont erré dès le ventre de leur mère, en parlant faussement. Ils ont un venin semblable au venin du serpent, et ils sont comme l’aspic sourd, qui bouche son oreille. »

Ces « gens de l’assemblée » sont les principaux du peuple, les leaders, les dirigeants, les juges qui rendent des jugements iniques après avoir reçu des pots-de-vin ou des menaces. Des politiciens délibèrent pour proposer des lois injustes qui désavantagent la population. Ils suivent les traces de leur père, le Serpent, et répandent leur venin partout.

Psaume 73:3-12 :

« Car j’ai porté envie aux insensés, en voyant la prospérité des méchants. Parce qu’il n’y a point d’angoisses en leur mort, mais leur force est en son entier. Ils ne sont point en travail avec les autres hommes, et ils ne sont point battus avec les autres hommes. C’est pourquoi l’orgueil les environne comme un collier, et un vêtement de violence les couvre. Les yeux leur sortent dehors à force de graisse ; ils surpassent les desseins de leur cœur. Ils sont pernicieux, et parlent malicieusement d’opprimer ; ils parlent comme placés sur un lieu élevé. Ils mettent leur bouche aux cieux, et leur langue parcourt la terre. C’est pourquoi son peuple en revient là, quand on lui fait sucer l’eau à plein verre. Et ils disent : comment le Dieu Fort connaîtrait-il, et y aurait-il de la connaissance au Souverain ? Voilà, ceux-ci sont méchants, et étant à leur aise en ce monde, ils acquièrent de plus en plus des richesses. »

On a le vertige de voir jusqu’à quel point cette description s’applique aux hommes de pouvoir d’aujourd’hui. Ce sont ces milliardaires puissants qui ourdissent des complots contre le peuple. Ils ne souffrent pas de la pauvreté, s’étant accaparé des richesses colossales ; ils ne travaillent pas à la sueur de leur front, comme les autres hommes, ils spéculent, ils transigent, ils commercent, ils spolient les pauvres ; ils ne vont pas à la guerre pour se battre, mais dirigent les conflits de loin, bien à l’abri ; ils sont pleins d’orgueil et de violence ; ils mangent dans les plus grands restaurants tandis que les autres hommes ont peine à se procurer la nourriture nécessaire ; ils ne sont jamais satisfaits des buts qu’ils atteignent et en veulent toujours plus ; ils trament des plans pour oppresser encore davantage les peuples et les soumettre à leur joug pesant ; ils s’en croient le droit, s’imaginant au-dessus de la mêlée, des êtres supérieurs par leur fourberie et leur intelligence à faire le mal. Ils sont athées, ou se pensent eux-mêmes des dieux, et ils ne voient pas qu’un Dieu tout-puissant puisse les atteindre et leur rétribuer ce qu’ils méritent. Cependant, ils ne perdent rien pour attendre.

Psaume 75:6-7 :

« Car l’élévation ne vient point d’Orient, ni d’Occident, ni du désert. Car c’est Dieu qui gouverne ; il abaisse l’un, et élève l’autre. »

Certes, Satan dirige le monde actuel ; il met ses serviteurs en place, ceux qui acceptent de l’adorer ; mais il n’agit que dans les limites que lui permet Dieu et, en fin de compte, c’est le Souverain suprême qui décide qui règne sur les nations. Dans le plan divin, il est décrété un temps pour que l’homme démontre son incapacité à se gouverner sans faire appel à Dieu. On peut voir en ceci de l’humour de la part de Dieu qui consent à ce que des imbéciles, des pantins, des fantoches sans colonne, des pédophiles, des maniaques, des psychopathes président à la destinée de leurs peuples respectifs. Voilà pourquoi les choses se mettent à déraper au point où la méchanceté des hommes nous ramène à l’époque de Noé, juste avant le Déluge. Et si Dieu n’intervenait pas bientôt, le monde sombrerait dans le chaos total de la tyrannie ou de l’anarchie.

Psaume 94:4-7 :

« Jusques à quand tous les ouvriers d’iniquité proféreront-ils et diront-ils des paroles rudes, et se vanteront-ils ? Eternel, ils froissent ton peuple, et affligent ton héritage. Ils tuent la veuve et l’étranger, et ils mettent à mort les orphelins. Et ils ont dit : L’Eternel ne le verra point ; le Dieu de Jacob n’en entendra rien. »

Prenez bien note de ceci : bien que ce fut écrit par David, il y a des milliers d’années, « ton peuple » et « ton héritage » se réfèrent à l’Église de toutes les époques, le peuple des Élus de Dieu. Car les chrétiens, qui constituent le véritable peuple de Dieu, ont toujours été persécutés au travers les siècles, même en « périodes d’accalmie ». Cependant, aujourd’hui, la gauche des wokes recommence à grincer des dents contre tous les préceptes moraux chrétiens et les principes fondamentaux de la société tirés de la Bible : la liberté de pensée, la liberté d’expression, la famille, les deux genres uniques de l’humanité, les droits naturels, etc. L’athéisme gagne du terrain, car le concept d’un Dieu créateur gêne les tyrans modernes qui se vautrent dans le mal tout en se présentant comme les nouveaux dieux du monde.

Proverbes 6:12-15 :

« L’homme qui imite le démon, est un homme violent et ses discours sont faux. Il fait signe de ses yeux, il parle de ses pieds, il enseigne de ses doigts. Il y a des renversements dans son cœur, il machine du mal en tout temps, il fait naître des querelles. C’est pourquoi sa calamité viendra subitement, il sera subitement brisé, il n’y aura point de guérison. »

Étonnant portrait de la haute hiérarchie des sociétés secrètes, comme la Franc-maçonnerie, qui a vendu son âme au Diable. Dans les pièces secrètes de leurs temples et de leurs synagogues, ils ont élaboré tout un langage corporel destiné à la communication secrète entre initiés, des signes par lesquels ils se reconnaissent en silence. Ils apostasient les croyances religieuses non babyloniennes pour s’adonner au culte à Lucifer, leur Grand Maître, leur Grand Architecte. Ils établissent des complots à l’échelle mondiale et engendrent des conflits et des guerres entre les nations afin de s’enrichir tout en créant des veuves et des orphelins ; tout cela pour obtenir sans cesse plus de pouvoir. Mais ce pouvoir n’est que temporaire, et lorsque le Christ reviendra, ils ne pourront rien y faire. Ils se cacheront dans leurs bunkers souterrains, criant aux montagnes de les couvrir, mais ce sera en vain, car leur faux dieu sera chassé et emprisonné dans l’abîme et eux seront détruits. Incidemment, il est ironique de voir ce passage écrit par Salomon, lequel les francs-maçons disent qu’il fut le premier Grand Maître de leur Ordre.

Proverbes 10:2 :

« Les trésors de méchanceté ne profiteront de rien ; mais la justice garantira de la mort. »

Les banquiers juifs internationaux s’occupent entièrement à concentrer toutes les richesses du monde entre leurs mains incroyablement avides. Ces richesses sont acquises par des activités malicieuses et maléfiques, comme le système bancaire mondial qui asservit les nations. Mais, paradoxalement, aucun des milliardaires méchants n’emporte un seul sou avec lui dans le séjour des morts. Et s’ils ne se convertissent, la seconde mort les attend et l’on oubliera même qu’ils aient jamais existé. Tandis que l’homme qui pratique la justice de Dieu ne verra jamais la seconde mort, mais il vivra éternellement.

Proverbes 14:22 :

« Ceux qui machinent du mal ne se fourvoient-ils pas ? Mais la bonté et la vérité seront pour ceux qui procurent le bien. »

Veuillez prendre note que l’expression « machiner du mal » signifie essentiellement « comploter ». Et l’on machine le mal dans le plus grand secret pour ne pas risquer de se faire prendre. Or, comment peut-on s’imaginer pouvoir comploter dans le dos de Dieu ? C’est véritablement se fourvoyer, car l’homme ne peut rien cacher à Dieu.

Proverbes 14:34 :

« La justice élève une nation ; mais le péché est l’opprobre des peuples. »

Des pays, des nations, des empires se sont créés en ayant pour principes directeurs les ordonnances de Dieu et une bonne santé morale. Ils se sont alors élevés et ont prospéré. Mais la nature humaine étant ce qu’elle est, l’on a peu à peu laissé les psychopathes de la Synagogue de Satan s’emparer du pouvoir et miner la culture religieuse chrétienne. La corruption et le péché se répandent dans tout l’empire et la chute s’en suit. Nous en voyons aujourd’hui l’exemple au sein de l’Empire américain et dans tout l’Occident. C’est le résultat de cette conspiration que peu de gens veulent reconnaître tout en en étant victimes. Mais…

Proverbes 15:3 :

« Les yeux de l’Eternel sont en tous lieux, contemplant les méchants et les bons. »

Peu importe les plans démoniaques de l’État profond et de son Nouvel Ordre Mondial, ils ne surprendront pas Dieu qui voit dans le secret. Il observe toutes les manigances de ces comploteurs et Il va agir le temps venu. Rien ni personne ne L’en empêchera.

Proverbes 15:11 :

« Le sépulcre et le gouffre sont devant l’Eternel ; combien plus les cœurs des enfants des hommes ? »

Dans leur folie meurtrière, les hommes ignobles de ce monde disent qu’il n’y a point de Dieu. Or, Celui qui les a créés connaît la moindre de leurs pensées et voit toutes leurs iniquités. Ils vivront donc bientôt la honte de voir tous leurs péchés dévoilés au grand jour, si ce n’est en ces temps-ci, ce sera lors du Jour du Jugement. Comment réagiront-ils alors ? Se repentiront-ils ou seront-ils trop orgueilleux pour s’humilier devant le Seigneur ?

Proverbes 16:4-5 :

« L’Eternel a fait tout pour soi-même ; et même le méchant pour le jour de la calamité. L’Eternel a en abomination tout homme hautain de cœur ; de main en main il ne demeurera point impuni. »

Des hommes au « cœur hautain », voilà qui décrit parfaitement et succinctement « l’Élite mondialiste » qui s’est donnée elle-même le pouvoir de régner en dictateurs sur le monde. Ces hommes se sont convaincus, par une torsion exécrable de l’esprit étalée sur des millénaires de propagande interne, d’avoir le droit, de par leur « intelligence supérieure » et leur « connaissance d’initiés », de diriger le peuple et de dicter jusqu’à ses pensées les plus intimes, formant de ce fait une armée d’esclaves prête à les servir en toute chose. Cette tyrannie se prépare depuis l’époque de Nemrod et « l’élite » est sur le point d’atteindre l’apogée de son pouvoir, ce qui mènera toutefois le monde à la catastrophe annoncée par la prophétie biblique. Cependant, les méchants ne sont pas obligés de demeurer méchants ; s’ils se repentaient, ils pourraient être sauvés. L’exemple de l’apôtre Paul nous le montre. Il fut meurtrier, tuant les enfants de Dieu. Mais le Seigneur l’appela et il se repentit amèrement pour devenir par la suite un important véhicule de l’Évangile.

Proverbes 16:18-19 :

« L’orgueil va devant l’écrasement ; et la fierté d’esprit devant la ruine. Mieux vaut être humilié d’esprit avec les débonnaires, que de partager le butin avec les orgueilleux. »

Dieu résiste aux orgueilleux et ceux-ci, malgré toute leur fierté, ne sauraient Lui tenir tête. L’orgueil est le premier péché inventé par Satan qui, pour en avoir souffert, a connu une chute retentissante. Depuis lors, il transmet cette faiblesse de caractère aux hommes arrogants qui s’en intoxiquent. L’orgueil pousse à s’élever au-dessus des autres, à se faire servir par les autres, à en faire ses esclaves, parce que l’on a une idée fausse de ce que l’on est en réalité. Ces hommes se croient supérieurs à ce qu’ils sont vraiment. Ils sont incapables de se voir objectivement et selon la perspective de Dieu. Les élites mondialistes sont remplies de vanité et se bourrent d’illusions. Lucifer avait une fausse opinion de lui-même ; son orgueil lui a fait croire qu’il était supérieur à Dieu Lui-même. Ça l’aveugla au point où il se crut capable de renverser Dieu et de s’asseoir sur le trône de l’univers. Son complot tourna court et sa chute fut brutale ; il fut jeté par terre. Il a toutefois conservé son orgueil et l’a inspiré aux grands milliardaires comploteurs qui vivront aussi leur chute et seront aussi jetés au sol. Quelle sera leur réaction quand ils se retrouveront face au Seigneur des seigneurs, le Roi des rois, et qu’ils prendront la mesure de leurs activités malsaines et futiles et de leur comportement inique ? Il est à espérer que le plus grand nombre – sinon tous – se réveilleront de leur torpeur et se repentiront humblement.

Proverbes 17:15 :

« Celui qui déclare juste le méchant, et celui qui déclare méchant le juste, sont tous deux en abomination à l’Eternel. »

Ici, en quelques mots, nous voyons décrite la conduite des membres du barreau à tous les niveaux – sauf de rares exceptions, peut-être – et les membres des médias traditionnels. Juges, avocats, procureurs, tous ces acteurs du système judiciaire moderne corrompu se prêtent à ce sombre jeu ; tandis que les médias mainstream font et défont des réputations au gré des tendances du discours unique en cours. Ceux qui veulent dévoiler la vérité sont déclarés méchants, sont avilis et conspués, alors que ceux qui propagent de grossiers mensonges sont portés aux nues et adulés en héros, protégés, subventionnés, financés, achetés. Le vrai est devenu le faux et le faux passe pour être vrai.

Proverbes 17:26 :

« Il n’est pas juste de condamner l’innocent à l’amende, ni que les principaux d’entre le peuple frappent quelqu’un pour avoir agi avec droiture. »

Dans les deux dernières années et demie, les exemples se sont multipliés de manière fulgurante où de pauvres gens cherchant à préserver leur liberté et leur santé se sont fait punir par des amendes et des interdictions de toutes les sortes. Avec la mise en force des fausses mesures sanitaires, il est devenu commun de condamner d’innocentes personnes qui savent qu’obéir à ces mesures ne fait pas que brimer leurs droits, mais s’avèrent inutiles et même nuisibles à leur santé physique et mentale. L’imposition de la vaccination – de ce qui n’est pas un vaccin, mais une thérapie génique destinée à altérer votre ADN, et qui a déjà fait des millions de morts et encore plus de blessés – a immédiatement été suivie de mesures coercitives et punitives qui ont fait perdre leur emploi à une grande partie de la population. On a privé les gens de leur gagne-pain et de la compagnie d’êtres chers, et certains ont fait de la prison ou ont reçu des amendes salées. Posséder la liberté et s’en servir est devenu un privilège accordé seulement aux plus riches et aux plus élevés de la société, ceux qui dirigent les nations vers un Nouvel Ordre Mondial où la majorité n’aura plus de liberté.

Proverbes 19:5, 9 :

« Le faux témoin ne demeurera point impuni ; et celui qui profère des mensonges, n’échappera point … Le faux témoin ne demeurera point impuni ; et celui qui profère des mensonges, périra. »

N’en dépaise à ceux qui disent que la Bible se répète inutilement, ils ne comprennent tout simplement pas l’importance de ce que Dieu répète intentionnellement pour bien nous l’entrer dans la tête. Car il y a des cous roides. Considérez les multiples organisations gouvernementales – le Mossad, la CIA, le FBI, la NSA, les MI-5 et 6, l’Interpol, etc. – qui obéissent à l’Élite mondialiste au doigt et à l’eil, et qui montent des dossiers véritables ou falsifiés pour mettre au pas les politiciens, ou qui fabriquent des campagnes de dénigrement pour essayer d’incriminer ceux qui tentent de mettre en lumière la terrible corruption de l’État profond et de toutes ses institutions, comme le font Donald Trump, Vladimir Poutine, Ron DeSantis et autres incorruptibles. Elles sont dirigées par les très puissants lobbies juifs, les banquiers juifs internationaux et leurs diverses fondations. Rappelez-vous, « Il y a une conspiration parmi mon peuple », a dit l’Éternel, et au sein même des nations, il y a cette plaie sioniste qui ronge la société comme un cancer depuis des siècles, voire des millénaires. La corruption luciférienne est maintenant si étendue que le monde va bientôt atteindre la phase terminale sous la botte de cette maffia infernale.

Proverbes 21:30 :

« Il n’y a ni sagesse, ni intelligence, ni conseil contre l’Eternel. »

L’exemple le plus frappant se trouve dans ce que Jésus nomma la « tradition des hommes » qui fut plus tard mise par écrit dans les volumes que l’on intitule aujourd’hui le Talmud babylonien et la Kabbale juive. Ce que les gens ignorent, c’est que cette « tradition » est au cœur même de la conspiration mondiale qui œuvre contre Dieu. Les rabbins qui ont écrit ces versets sataniques y tiennent souvent des propos insensés, sans sagesse ni intelligence, qui tombent dans la folie pure et l’obsession sexuelle. On se demanderait comment des adultes peuvent passer leur temps à étudier et à mémoriser ces élucubrations ineptes, si l’on ne savait pas que le but est de transformer la civilisation chrétienne en une tyrannie païenne vouée au culte à Satan. Ces écrits mènent à la psychopathie. Ils détruisent la famille en prônant le reniement du genre, en propageant la pédophilie, l’homosexualité et l’avortement. Le Talmud enseigne aux Juifs à dominer le monde et que les non-Juifs soient leurs esclaves. Mais pour ce faire, il faudra d’abord que la population des non-Juifs soit considérablement réduite afin de s’en assurer la bonne maîtrise.

Proverbes 22:7 :

« Le riche dominera sur les pauvres ; et celui qui emprunte, sera serviteur de l’homme qui prête. »

Dans le Talmud, il est affirmé que les Juifs sont une race de loin supérieure aux autres races, une race dotée de « l’étincelle divine ». Dès lors, il lui semble tout à fait normal que les Juifs puissent voler les Gentils et leur prendre tous leurs biens. Selon les rabbins, les possessions des Gentils appartiennent au premier Juif qui s’en empare. Voilà pourquoi, depuis des siècles, les Juifs se sont accaparé le pouvoir de l’argent en instituant le système bancaire afin d’émettre des prêts à des taux usuraires, ainsi que la maîtrise de l’émission des devises et de la monnaie. De nos jours, la forte majorité des institutions bancaires appartient à de riches familles juives et les plus grandes fortunes sont entre les mains de milliardaires juifs aux visées sionistes et globalistes : les Rothschild, les Rockefeller (descendants d’une ancienne branche des Rothschild), les Warburg, les Schiff, les Lehmann, etc. Alors que d’autres Juifs fortunés exercent une influence démesurée sur la politique mondiale, comme Bill Gates, George Soros, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc. Dans le judaïsme, l’amour de l’argent est encouragé sans réserve, car Mammon (l’argent) est leur dieu. C’est Karl Marx qui l’avouait lui-même. Pour les Juifs, l’argent est une bénédiction, il confère le pouvoir. Voilà pourquoi les gens les plus élevés dans la société sont affligés d’une insatiable soif d’argent et de puissance ; et ce genre de pouvoir corrompt ! Les personnes en position de pouvoir n’ont que faire du bien-être des populations en général ; ils les amènent plutôt vers un destin inspiré directement par le maître de la Corruption et de la Conspiration : Satan.

Les pays et nations sont donc surchargés de dettes qu’ils ne pourront jamais rembourser. Ils sont donc devenus la propriété des grands banquiers internationaux. Pour que les peuples voient leurs dettes remises, il leur faudra accepter le Nouvel Ordre Mondial technocratique imposé par les puissants « illuminés ». Mais heureusement, nous connaissons la suite de l’histoire. Ce Nouvel Ordre Mondial ne sera que le dernier soubresaut d’un monde corrompu et agonisant. L’homme aura alors fait la preuve qu’il ne peut pas se gouverner sans l’aide de Dieu, et qu’il ne peut définitivement pas se fier à Satan pour le conseiller.

Proverbes 22:16 :

« Celui qui fait tort au pauvre pour s’accroître, et qui donne au riche, ne peut manquer de tomber dans l’indigence. »

Tous ceux qui, en tant que chefs d’état, praticiens de la médecine conventionnelle ou journalistes dans un média officiel traditionnel, ont fait la promotion des mesures pseudo-sanitaires et ont avalisé l’imposition de l’injection de thérapies géniques ARN-messager faussement présentées comme vaccins, et qui ont de ce fait contribué à remplir les coffres des compagnies pharmaceutiques, vont éventuellement devoir en payer le prix. Si ce n’est pas entre les mains des hommes, ce sera inévitablement entre les mains de l’Éternel Dieu. Et d’indigents spirituels qu’ils sont maintenant, ils deviendront également indigents au niveau physique, car leurs fortunes leur seront enlevées et ils auront comploté en pure perte.

Les grandes familles illuministes qui dominent le monde, depuis parfois des siècles, prospèrent par leurs iniquités financières et leurs pièges économiques. Ils ont confié leur sort à Satan, leur dieu luciférien, et cela leur est néfaste à un point qu’elles ne sauraient maintenant comprendre. Croyant avoir trompé le monde, elles ignorent qu’elles sont les plus trompés des hommes, ayant été enfermées par Satan dans une disette spirituelle mortelle. Car le chemin du salut leur a été soigneusement caché depuis des générations. Ces hommes se sont égarés dans des méandres de mensonges pavés d’or et d’argent. Satan leur a appris à se servir du mensonge pour accéder au pouvoir. Alors, comment ne peuvent-ils pas concevoir qu’il leur ment à eux aussi, que ses promesses sont vides et conduisent aux ténèbres éternelles ? Il leur a fermé les portes du salut et ils ne s’en rendent pas compte.

Proverbes 22:22-23 :

« Ne pille point le chétif, parce qu’il est chétif ; et ne foule point l’affligé à la porte. Car l’Eternel défendra leur cause, et enlèvera l’âme de ceux qui les auront volés. »

Aujourd’hui, les gouvernements pillent le peuple parce que celui-ci n’a pas de pouvoir ; ils ont adopté des lois les protégeant contre les récriminations des masses. C’est la conspiration des riches contre les pauvres. La classe moyenne qui faisait le pont entre les deux classes extrêmes est en train de disparaître. Quel avocat peut se lever pour prendre la défense des pauvres opprimés ? Tout le système judiciaire est corrompu. Mais la Parole de Dieu nous assure qu’il y a un Avocat qui va défendre les chétifs, les affligés, les opprimés et les persécutés : Jésus-Christ, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, et personne ne pourra s’opposer ou tenir devant Sa défense, sinon, il périra : « nous avons un avocat envers le Père, savoir Jésus-Christ, le Juste » (1 Jean 2:1).

Proverbes 28:5 :

« Les gens adonnés au mal n’entendent point ce qui est droit ; mais ceux qui cherchent l’Eternel entendent tout. »

Notez que le mot « entendre » a, à la fois, le sens « d’écouter » et de « comprendre ». Les êtres malfaisants n’écoutent pas la droiture et la vérité parce que, trop souvent, ils ne les comprennent pas. Un grand nombre d’entre eux n’ont pas été élevés selon les préceptes divins. Ils ne les connaissent pas. Ils ne comprennent pas pourquoi une chose mauvaise est défendue, car leur esprit a été tordu par la pratique du mal. Mais ceux qui cherchent à faire la volonté de Dieu voient l’importance de s’exercer au bien par la pratique et par l’étude minutieuse de la Parole de Dieu qui redresse nos travers de pensée.

Proverbes 28:8 :

« Celui qui augmente son bien par usure et par surcroît, l’assemble pour celui qui en fera des libéralités aux pauvres. »

Tous ces trillions de dollars ou d’euros inscrits dans les comptes des banquiers usuriers vont finir par leur échapper et retourner au petit peuple duquel ils les ont volés. Tout ce système financier insensé va s’écrouler et laisser place à la justice du Royaume de Dieu.

Proverbes 28:11 :

« L’homme riche pense être sage ; mais le chétif qui est intelligent, le sondera. »

Les gens qui ont acquis de grosses fortunes par toutes sortes de moyens plus ou moins malhonnêtes croient les avoir obtenues par leur « sagesse » et leur « intelligence supérieure », ce qu’ils appellent « avoir le sens des affaires ». Mais leur définition de ces mots n’est visiblement pas la même que celle que l’on trouve dans les Écritures divines. Ils confondent « sagesse » avec « ruse » et « roublardise ». Chercher la perte de ses concurrents et tromper les masses n’est pas de la « sagesse ». Cependant, celui qui recherche la vraie intelligence et la vraie sagesse, telles que décrites dans la Parole de Dieu, pourra toujours dénoncer le malfaiteur avec assurance et vérité. Or, cela a pour effet, de nos jours, que le méchant se fait ennemi du juste et il complote sa perte. Le gouffre entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux, s’élargit et s’approfondit sans cesse.

Proverbes 28:15-16 :

« Le dominateur méchant sur un peuple pauvre, est un lion rugissant, et comme un ours quêtant sa proie. Le Conducteur qui manque d’intelligence, fait beaucoup d’extorsions ; mais celui qui hait le gain déshonnête, prolongera ses jours. »

Qui ne pourrait reconnaître nos dirigeants dans ce portrait peu flatteur de nombreux chefs d’état ? Ils sont comme des enfants gâtés qui n’ont pas été élevés convenablement. Plusieurs n’ont jamais exercé un travail décent de leur vie. Il y a un Président sénile et débile, deux anciens acteurs médiocres, des anciens avocats tordus, des anciens journalistes, tous des professionnels du mensonge, grisés par le pouvoir et dressés par les globalistes internationaux qui, eux, sont de véritables psychopathes dénués de tout sentiment et extrêmement dangereux. Des prédateurs. Les chefs d’état ont, pour la plupart, une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête, c’est-à-dire, un gros dossier incriminant qui pourrait être rendu public si la marionnette ne fait exactement au doigt et à l’œil ce qu’on lui commande. La plupart reçoit d’énormes sommes des grands consortiums et des grosses corporations, de même que des diverses fondations. Ainsi, ils obéissent et imposent par décrets des mesures obligatoires qu’aucune science ne soutient et que rien ne justifie, et dans lesquelles l’absurde le dispute au ridicule. Crises sanitaires, campagnes de vaccination, changements climatiques, empreintes carbone, identification digitales et éventuellement… la marque de la bête. A coup sûr, il s’agit de la plus grande conspiration de l’histoire de l’humanité.

Proverbes 28:28 :

« Quand les méchants s’élèvent, l’homme se cache ; mais quand ils périssent, les justes se multiplient. »

Vous remarquerez que c’est l’homme du commun qui se cache quand les méchants prennent le pouvoir. Nous vivons une période dans laquelle les hommes perfides ont grimpé les échelons du pouvoir et dirigent le monde. Et cela va encore empirer avant que les justes prolifèrent. Mais il faudra le retour du Christ pour cela, car le juste n’a pas la puissance pour faire ce qu’Il fera en tant que notre Sauveur : faire périr les méchants et jeter par terre tout leur système sociétal communiste.

Proverbes 29:2 :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Variante sur le même thème. Au fil de l’histoire, nous avons vu une constante : un pays dirigé par un bon chef possède une population prospère et des gens vivant heureux ; mais lorsqu’un tyran prend le pouvoir, tout le pays tombe dans l’appauvrissement. Dans les dernières années, nous avons pu en observer un exemple flagrant aux États-Unis. Sous la Présidence de Donald Trump, le peuple américain a connu une fulgurante croissance économique et les Américains moyens s’en réjouissaient. Lorsque Joe Biden a usurpé la Présidence, le pays a connu une descente aux enfers vertigineuse qui se poursuit toujours à ce jour, et les Américains moyens gémissent. Vous ne pouvez réellement croire, sans être tenu dans l’ignorance, que les Américains ont rejeté, aux élections de 2020, celui qui les faisait prospérer pour élire un homme dont la débilité est plus qu’apparente. Cette élection truquée faisait évidemment partie du grand complot de l’Élite globaliste qui ne veut pas que le peuple prospère et jouisse de son indépendance et de ses libertés. Au Canada, au Québec ou en France, essayez de vous remémorer le dernier dirigeant ayant fait prospérer les habitants de son pays… !

Proverbes 29:12 :

« Tous les serviteurs d’un Prince qui prête l’oreille à la parole de mensonge, sont méchants. »

Une des caractéristiques du dirigeant inique, c’est le fait qu’il est entouré de conseillers plus puissants que lui. Ce sont eux qui lui dictent ses paroles et ses actions. Ce sont eux qui produisent des lois, des décrets et des mesures politiques/sanitaires que le gouvernement doit adopter et faire appliquer. Ce sont les messagers de l’Élite mondialiste non élue. Ce sont des comploteurs exécutants.

Proverbes 29:16 :

« Quand les méchants sont avancés, les forfaits se multiplient ; mais les justes verront leur ruine. »

Ce passage est le pendant de Proverbes 29:2 et le complète. De nos jours, nous voyons non seulement les forfaits des méchants se multiplier, mais le mal se répand aussi à travers le peuple, car les gens sont influencés par les idéologies gauchisantes des gouvernements à tendance communiste.

Proverbes 29:23 :

« L’orgueil de l’homme l’abaisse, mais celui qui est humble d’esprit obtient la gloire. »

Quel paradoxe ! L’homme orgueilleux cherche toujours à s’élever vers la gloire, celle qui est humaine et, de ce fait, bien médiocre : et il est trop aveugle pour voir que, par son orgueil, il s’abaisse aux yeux des autres qui le méprisent ou le prennent en pitié. Tandis que l’humble d’esprit est aimé de Dieu et de ses concitoyens. Il cherche à s’effacer, mais les gens ont confiance en lui et Dieu lui prépare un avenir glorieux.

Les comploteurs de ce monde sont inévitablement des personnes orgueilleuses, alors qu’on entend rarement parler des hommes et des femmes humbles et modestes qui ne recherchent ni richesse, ni pouvoir, ni gloire, ni puissance, ni l’adulation des foules.

Généralement, l’idée que se font les gens des complots se résume à une bande de personnes opprimées qui veulent renverser ceux qui les oppriment. Mais si vous suggérez qu’il se peut que ce soit ceux qui oppriment les gens qui complotent pour renverser les libertés qui restent aux opprimés pour en faire de parfaits esclaves, ces mêmes gens – qui font pourtant partie des opprimés – crient à la « théorie du complot » en s’offusquant. Il leur est difficile de croire que les gouvernements les ont trompés, car cela insulte leur intelligence et choque leur orgueil. Ils ne peuvent s’imaginer que leurs dirigeants auraient pu leur faire le coup en pleine face.

Cette réaction a été conditionnée par les comploteurs afin de se protéger contre les attaques du peuple. Ils savent que si tout le monde se révoltait devant leur complot, on ne donnerait pas cher ce leur peau ; leur pouvoir s’évanouirait et ils se retrouveraient en prison ou à l’échafaud. Toutefois, le peuple est grandement divisé et un grand nombre sont de véritables illettrés politiques et historiques. Les soulèvements et les rassemblements ne sont le fait que d’une partie de la population et celle-ci n’a pas le pouvoir de renverser les gouvernements.

Voilà pourquoi il nous faut du renfort, un Avocat qui plaidera notre cause, Jésus-Christ, le Roi qui combattra pour nous. Or, notre cause est déjà gagnée et la bataille est déjà remportée. Son pouvoir et Sa gloire surpassent toute puissance et toute gloire et ce, sans commune mesure. Il S’en vient : « Parce que tu as gardé la parole de ma patience, je te garderai aussi de l’heure de la tentation qui doit arriver dans tout le monde, pour éprouver ceux qui habitent sur la terre. Voici, je viens bientôt ; tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne t’enlève ta couronne » (Apocalypse 3:10-11).




D.571 – Coronavirus : un grand coup

Par Roch Richer

Il y a en ce moment une crise mondiale que l’on dit provoquée par la pandémie d’un virus extrêmement létal. Il doit bien être mortel, étant donné la réaction des divers gouvernements nationaux du monde qui ont appliqué d’une manière étrangement coordonnée des mesures drastiques dans le but d’enrayer ce mal inconnu. En tout cas, c’est ce qu’avancent les journalistes dans tous les médias de la télévision et de la presse du monde entier.

Mais est-ce bien la vérité que l’on nous révèle au petit écran ? Nos chefs d’état nous disent-ils tout ce qu’ils savent vraiment ? Certains indices sautent pourtant aux yeux des gens plus perspicaces et/ou mieux renseignés sur le mode opératoire des dirigeants du monde et du fonctionnement de la société.

Les gens qui savent qu’il y a un complot sont, semble-t-il, plus avisés devant l’annonce d’une catastrophe ou d’un événement d’une certaine importance. Mais ils ne forment qu’une minorité et les médias leur sont fermés, sauf Internet… pour l’instant.

La majorité des gens, en entendant l’hypothèse d’un complot, se mettent à railler et à se moquer, ne se rendant pas compte qu’ils agissent ainsi sous l’effet d’une programmation mentale qu’ils subissent depuis leur enfance. Car on leur a dit que l’homme moderne est de loin plus évolué, socialement et scientifiquement, que ses ancêtres du passé. Il est mieux éduqué, plus instruit, à tel point que l’on ne pourrait lui passer un canular sans qu’il ne s’en aperçoive immédiatement. Pourtant, le pauvre homme moderne ne se rend pas le moindrement compte qu’il vit depuis sa naissance à l’intérieur d’une boîte sans fenêtre et il n’a absolument pas conscience qu’il existe un monde à l’extérieur. Il n’y a pas plus esclave que celui qui ne sait pas qu’il est esclave, parce qu’il ne cherchera pas à quitter un état dans lequel il n’a pas conscience d’être.

Donc, ceux qui dirigent (et qui ne sont pas dans la boîte, mais la retiennent bien fermée) peuvent alors lui faire croire n’importe quoi. Et plus le mensonge sera gros, plus la population le croira, ne s’imaginant pas qu’on puisse lui mentir de manière aussi grossière en pleine face.

Les personnes qui se déclarent chrétiennes ne devraient pas se trouver encore dans leur petite boîte. Elles devraient comprendre et croire qu’il existe effectivement un complot. Car le premier qui ait parlé de complot, c’est Dieu Lui-même !

« Il y a un complot de ses Prophètes au milieu d’elle ; ils seront comme des lions rugissants, qui ravissent la proie : ils ont dévoré les âmes ; ils ont emporté les richesses, et la gloire ; ils ont multiplié les veuves au milieu d’elle. Ses Sacrificateurs ont fait violence à ma Loi ; et ont profané mes choses saintes ; ils n’ont point mis différence entre la chose sainte et la profane, ils n’ont point donné à connaître la différence qu’il y a entre la chose immonde et la nette, et ils ont caché leurs yeux de mes Sabbats, et j’ai été profané au milieu d’eux. Ses principaux ont été au milieu d’elle comme des loups qui ravissent la proie, pour répandre le sang et pour détruire les âmes, pour s’adonner au gain déshonnête. Ses Prophètes aussi les ont enduits de mortier mal lié ; ils ont des visions fausses, et ils leur devinent le mensonge, en disant : ainsi a dit le Seigneur l’Eternel ; et cependant l’Eternel n’avait point parlé » (Ézéchiel 22:25-28).

« Et l’Eternel me dit : il y a une conjuration parmi les hommes de Juda, et parmi les habitants de Jérusalem. Ils sont retournés aux iniquités de leurs ancêtres, qui ont refusé d’écouter mes paroles, et qui sont allés après d’autres dieux pour les servir ; la maison d’Israël et la maison de Juda ont enfreint mon alliance, que j’avais traitée avec leurs pères » (Jérémie 11:9-10).

« Pourquoi se mutinent les nations, et pourquoi les peuples projettent-ils des choses vaines ? Les Rois de la terre se trouvent en personne, et les Princes consultent ensemble contre l’Eternel, et contre son Oint. Rompons, disent-ils, leurs liens, et jetons loin de nous leurs cordes. Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera » (Psaumes 2:1-4).

Quelles prophéties bien adaptées à notre époque ! Croyez-vous que cet esprit de conspiration du temps de David, de Jérémie et d’Ézéchiel se soit éteint et que les « rois » et les « princes » de notre époque moderne n’en soient pas affligés ? Et pensez-vous qu’elle ne soit que le fait des hommes ? Ne comprenez-vous pas que l’esprit de complot est directement inspiré par le Conspirateur par excellence, Satan, le Diable, le père des conspirateurs et des menteurs ? « Le père dont vous êtes issus, c’est le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père » (Jean 8:44). Toutes les conspirations de l’histoire de l’humanité procèdent de son influence. Satan n’a cessé de comploter depuis que l’iniquité fut trouvée en lui (Ézéchiel 28:15).

Êtes-vous de ces chrétiens qui croient que Satan se prélasse aujourd’hui au soleil sur une chaise longue en sirotant un breuvage ? Ne comprenez-vous pas qu’il a toujours été extrêmement actif, comme un lion qui ne cesse jamais de rugir et qui cherche sans interruption à dévorer le monde, et particulièrement les enfants de Dieu ?

Mais bien sûr qu’il y a une conspiration, un complot universel ! Le Nouvel Ordre Mondial de la Synagogue de Satan, décrit dans le livre de l’Apocalypse, ne surgira pas du jour au lendemain. Satan sait qu’il y aurait trop de risques que ce soit rejeté. Le monde ne serait pas prêt à l’accepter. Il lui faut donc une préparation mentale minutieuse.

Ce que l’apôtre Jean a consigné dans l’Apocalypse est l’aboutissement final de cette longue conspiration satanique étalée sur des milliers d’années. Les chrétiens qui ne croient pas à cette conspiration diabolique rejettent inconsciemment les prophéties des temps de la fin. Ils ne peuvent arriver à comprendre comment la Bête, l’Antichrist, aura réussi à se faire accepter de tous les habitants de la terre.

Alors, sachez que Satan est parfaitement conscient qu’il ne pourra pas imposer son Nouvel Ordre Mondial sans que les gens soient prêts à l’accueillir. Tenez compte du fait qu’il veut être adoré, adulé et passer pour un sauveur quand il présente des « solutions » au chaos qu’il engendre. Mais pour cela, il lui faut apprêter le monde. Et c’est ce qu’il fait depuis des siècles. Il applique le principe de la grenouille que l’on plonge dans l’eau froide et que l’on chauffe tout doucement afin que la pauvre grenouille y soit confortable. Lentement, la température de l’eau grimpe et la grenouille se retrouve dans une eau trop chaude qui l’affaiblit, puis l’engourdit tranquillement et la fait littéralement cuire, donc mourir. Si le chef-cuisinier l’avait plongée directement dans l’eau bouillante, la grenouille se serait débattue dans la douleur et aurait cherché énergiquement à s’échapper. Cette histoire enseigne que, lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite, la plupart du temps, aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte !

Depuis l’époque de Nemrod, peu de temps après le Déluge, Satan applique la même méthode de cuisson à feu lent. Au moyen de la propagation de diverses philosophies, d’une multitude de religions à Mystères, d’innombrables guerres et de conflits, tous venant façonner les cultures des peuples, Satan a placé l’humanité dans un chaudron à l’eau de plus en plus chaude et, au fil des siècles, la forte majorité des êtres humains se sont engourdis.

Le phénomène de la « pandémie du covid-19 » est un signe que l’eau commence à bouillir. Mais la grande masse de la population mondiale est, soit endormie, soit déjà inconsciente. Si quelqu’un n’enlève pas le chaudron du feu, tous les êtres humains seront cuits : « Car alors il y aura une grande affliction, telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis le commencement du monde jusques à maintenant, ni il n’y en aura plus de telle. Et si ces jours-là n’eussent été abrégés, il n’y eût eu personne de sauvé ; mais à cause des élus, ces jours-là seront abrégés » (Matthieu 24:21-22).

Donc, si nous revenons à cette « pandémie du covid-19 », qu’en est-il au juste ? Si, après avoir lu ce document, vous rencontrez un voisin, une voisine, ou une personne de votre parenté, et que vous lui dites que nous sommes en face du produit de la conspiration, toutes les chances sont que votre interlocuteur se refroidira à votre égard. Il ou elle vous regardera de travers, l’air suspicieux, « Mais qu’est-ce que tu me chantes là ? Une conspiration ! Ne me dis pas que tu crois à ce genre de bobard ! Toi, tu en saurais plus que les journalistes, les gens du gouvernement ? Tu en saurais plus que les experts qui l’ont expliqué à la télé ? » C’est la réaction habituelle, et vous l’avez probablement exprimée vous-même, il y a encore peu de temps.

Or, ici, nous touchons à une base fondamentale du mécanisme de la propagande médiatique. La grande masse de la population ne se pose pas assez de questions, et celles-ci ne lui viennent même pas à l’esprit. Mais réfléchissez à ceci : de quelle manière l’élite arrive-t-elle à faire avaler un mensonge gros comme le bras à la grande partie du peuple ? Voici les trois étapes que l’élite a suivies dans son cheminement pour nous enfoncer la « pandémie » dans la gorge :

1) Les Médias. En quelques jours, de soi-disant cas de coronavirus ont été rapportés en Chine et la machine médiatique s’est emballée. Les journalistes en ont fait LA On en est venu à ne parler que de ça, même si le nombre de victimes touchées était visiblement peu élevé.

Vous qui croyez que les journalistes sont des gens rigoureux qui ne rapportent les faits qu’en fonction de la vérité, en bénéficiant de la liberté d’expression, eh bien, voudriez-vous, s’il vous plaît, retirer les lunettes roses qui vous empêchent de voir la réalité ? Bon, maintenant que vous voyez mieux, veuillez lire ce qu’a révélé John Swinton, ancien chef du personnel au New York Times, lors d’une allocution donnée devant le Club de Presse de New York, en 1953, où l’on voulait porter un toast à la presse libre :

« En date d’aujourd’hui, dans l’histoire du monde et en Amérique, la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Aucun de vous n’ose écrire son opinion honnête, et si vous le faisiez, vous savez d’avance qu’elle ne serait jamais publiée. Je suis payé chaque semaine pour oblitérer mon opinion honnête du journal auquel je suis lié. D’autres parmi vous sont payés des salaires semblables pour des fins similaires, et quiconque serait assez fou pour écrire ses opinions honnêtes serait jeté à la rue, en quête d’un autre job. Si je permettais qu’apparaissent mes opinions honnêtes, ne serait-ce que dans un seul numéro de mon journal, mon emploi disparaîtrait dans les vingt-quatre heures. La besogne du journaliste, c’est de détruire la vérité ; carrément mentir ; pervertir ; diffamer ; se coucher aux pieds de mammon, vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous le savez et je le sais. Alors, quelle folie que ce toast en l’honneur d’une presse indépendante ! Nous sommes les instruments et les vassaux des richards de l’arrière-scène. Nous sommes les pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos capacités et nos vies sont entièrement la propriété de ces hommes-là. Nous sommes des prostitués intellectuels. »

C’était en 1953… et vous pensez que cela s’est amélioré ? Bien au contraire, cela ne va toujours qu’en empirant. Dans l’affaire Covid-19, j’ai constaté que les journalistes de la télévision n’ont pu s’empêcher de montrer leurs vraies couleurs. Malheureusement, les téléspectateurs sont en forte majorité daltoniens… Si vous savez ouvrir les yeux, vous verrez que les journalistes ne sont pas des journalistes, mais des propagandistes.

2) Le Gouvernement. Presqu’en même temps que les médias aient commencé à répandre la panique (« Les gens ne doivent pas s’affoler, mais les choses s’aggravent de façon alarmante ! »), nous avons vu nos bons élus apparaître à la petite lucarne. Nos politiciens annonçaient leurs mesures spéciales.

Bon, il est déjà mieux accepté aux yeux des gens que l’on démontre que la race des politiciens soit des gens véreux, cupides et dont une grande partie sont carrément des psychopathes assoiffés de pouvoir. Il existe donc déjà une aura de discrédit dans l’opinion générale. Ce ne sont pas nos hommes politiques qui pourraient nous faire croire au « danger de la pandémie du covid-19 ». Mais alors qui ?

3) Les Experts. Dans les cas d’une catastrophe comme celle que l’on nous soumet aujourd’hui, les médias et les gouvernements font toujours appel à des experts pour venir nous étaler des tableaux de statistiques et des faits scientifiques qui vont apporter toute la crédibilité dont a besoin le gouvernement pour avaliser ses mesures d’urgence. Ces experts sont la pièce maîtresse, la pierre angulaire, de la propagande. La population ne remet jamais en question l’avis d’un expert. L’expert a fait des études, il a de l’expérience, il connaît son sujet mieux que quiconque. Comment pourrait-on douter de ce qu’il dit ?

Ce que les gens ne comprennent malheureusement pas, c’est que les experts sont aussi des êtres humains. Il y a expert et expert. Ce qui est vrai des journalistes l’est aussi des experts. Nous voilà donc avec des experts honnêtes et des experts malhonnêtes.

Les deux sortes d’experts peuvent être aussi compétentes l’une que l’autre dans leur domaine. Mais l’expert honnête est généralement indépendant, il ne fait pas partie de l’Establishment, c’est-à-dire, des sous-fifres de l’Élite ; tandis que l’expert malhonnête fait partie de l’Establishment et il a pour mandat de falsifier les données et l’information de manière à tromper le commun des mortels et l’influencer dans la direction voulue. Il a l’expertise pour ce faire. Il peut présenter des données qui ont toutes les apparences d’une étude sérieuse et bien documentée. Les gens ordinaires n’y verront que du feu. Mais pas l’expert honnête qui saura découvrir les erreurs et les failles. Cependant, la grande différence entre les deux sortes d’experts, c’est que le malhonnête bénéficiera de toute la couverture médiatique, alors que l’honnête verra toutes les portes se fermer.

Voilà pourquoi on ne parle pas de la chloroquine, ce médicament qui, depuis plus de soixante ans, est un des meilleurs antiviraux et il est très efficace contre le coronavirus. Or, comme par hasard, à l’automne dernier, il a été banni du marché de France par des experts malhonnêtes qui l’ont déclaré nuisible alors qu’il ne démontre pas d’effets secondaires.

Si vous voulez faire un départage intelligent, comparez ce que vous disent les experts assis à côté du Premier Ministre ou du Président avec ce que disent les experts honnêtes et libres vis-à-vis de l’Establishment. Je vous inclus l’adresse de ces trois vidéos dont l’un est du Dr Didier Réoult, sommité mondiale en virologie. Vous aurez un tout autre son de cloche…

https://youtu.be/4eCQUoOUKhE

https://youtu.be/C1dnrWeyQtw

https://www.youtube.com/watch?v=nryCpnbxV5M&feature=em-uploademail

Alors, voici la question : Pourquoi les gens des médias et du gouvernement nous mentiraient au sujet de cette « crise du coronavirus » ? Quel intérêt auraient-ils à déclencher une pandémie et provoquer la panique qui s’en suit ? Aux personnes normales, cela semble absurde. Mais ceux qui connaissent le plan de l’élite mondiale, cela entre, au contraire, dans la logique des choses.

Vous savez, à force de se renseigner sur le modus operandi de cette élite mondiale, on finit par comprendre le fonctionnement de son mécanisme de déclenchement d’événements mondiaux créés afin d’atteindre un but précis : un gouvernement mondial unique et dictatorial où cette élite régnera en maîtres sur la terre. L’homme se hissant au niveau de la divinité, mais sans Dieu.

Or, les éléments tombent graduellement en place et le tableau global commence à apparaître au travers des morceaux du casse-tête. Et l’on constate alors une chose de première importance qui nous rappelle que les prophéties de Dieu ont toujours été vraies et extrêmement précises ; elles s’accomplissent sous nos yeux.

Aujourd’hui, Satan et son élite ont décidé de frapper un grand coup. C’est pour cela que la « pandémie du corvid-19 » est, à mes yeux, un vaste canular. En vérité, c’est tellement cousu de fils blancs que c’est à croire que l’élite, devenue si puissante, n’éprouve plus vraiment le besoin de se cacher. Dès le début, on a pu remarquer que quelque chose clochait. Le fait que les médias se soient mis à paniquer si rapidement et que les gouvernements d’un si grand nombre de pays se soient dépêchés de nous annoncer toute une série de mesures drastiques et draconiennes en complète disproportion avec le nombre avancé de victimes du virus, nous est apparu des plus suspects.

Une véritable pandémie aurait déclenché des réactions bien différentes, plus lentes et graduelles. Les gouvernements n’auraient pas réagi simultanément, mais graduellement, les uns après les autres, en partant de l’épicentre de la pandémie. Cela aurait pris des semaines, voire des mois. Mais non, tous les gouvernements ont réagi dans un bel ensemble, simultanément et conjointement, de façon parfaitement coordonnée. Ce qui démontre que les gouvernements semblaient savoir d’avance à quelle date lancer l’alerte rouge.

Exactement comme lors du 11 septembre 2001, alors que le gouvernement américain et la Juiverie Internationale savaient d’avance ce qui arriverait au World Trade Center.

Dans la région où je demeure, il n’y avait aucun cas recensé de coronavirus quand le Premier Ministre a décrété ses mesures d’urgence. Et l’on a annulé tous les événements sociaux. Plus de spectacles de divertissement, plus d’événements sportifs, fermeture des restaurants et des centres d’achat, défense aux personnes de plus de 70 ans de se retrouver en public, plus de visites aux gens vivant dans les foyers pour personnes âgées, et l’on recommande de faire son épicerie par téléphone ou par Internet…

De la folie ! On se croirait dans un mauvais film catastrophe de série B ! Alors, oui, pourquoi l’élite a-t-elle déclenché ce phénomène monstrueux ? Pourquoi avoir provoqué une panique artificielle chez les gens ? Quel est le véritable but occulté de l’élite derrière cette fausse pandémie ?

Voici quatre objectifs principaux que poursuit l’élite en route vers son but final :

UNE SONDE

Comme je l’ai expliqué plus tôt, le but final de l’élite de Satan est de pouvoir un jour instaurer un gouvernement mondial unique sur terre afin d’imposer une dictature dans laquelle la Synagogue de Satan régnera sans partage en maîtres. Or, Satan sait qu’il ne peut pas installer ce régime global du jour au lendemain. Alors, par le moyen de son système pyramidale d’influence, il infléchit graduellement la société et l’apprête petit à petit afin qu’un jour, ce soit ELLE qui réclame le Nouvel Ordre Mondial, car elle sera épuisée à force d’essuyer la cascade de catastrophes qu’on lui fera tomber sur la tête. Voilà pourquoi l’histoire du monde est parsemée de périodes de chaos suivies de périodes d’accalmie (Ordo ab Caho). C’est de cette manière que l’Élite de Satan change graduellement le système sociétal qui était jadis assis sur des bases et des valeurs chrétiennes empêchant l’homme de tomber dans l’anarchie, dans la décadence et sous une dictature.

Or, chaque chaos sert de sonde pour jauger l’évolution de la population. L’élite peut ainsi évaluer le progrès de son influence néfaste et le cheminement de son plan, et passer à l’étape suivante en ajustant sa politique et son changement culturel en conséquence. Si vous remarquez bien, le christianisme est, depuis quelques décennies, de plus en plus évincé de la société. Et le domaine culturel se dégrade constamment. Ce qui est bien devient mal et ce qui est mal est bien.

Donc, le coronavirus est une sonde lancée sur un territoire très étendu et au sein d’une population qui dort de plus en plus profondément.

LA VACCINATION

La peur du coronavirus ouvre la porte à une vaste campagne de vaccination future. Toutefois, le principe de la vaccination est un autre énorme canular criminel que l’on a fait avaler au peuple qui est en majorité totalement ignorant de l’inefficacité du vaccin, voire même de sa nocivité et de sa toxicité. Les campagnes de vaccination bénéficient du même traitement médiatique que l’actuelle propagande de la pseudo-pandémie du covid-19 (ou coronavirus). Ce qui est normal et logique puisque l’élite dirige, et les médias et les compagnies pharmaceutiques. Celles-ci font des milliards de dollars dans les campagnes de vaccination.

Si les vaccins sont inefficaces contre les maladies qu’ils sont censées combattre, ils s’avèrent toutefois très utiles pour injecter toutes sortes de corps pathogènes qui endommagent et vont jusqu’à tuer le patient vacciné. L’autisme chez les enfants est le résultat de vaccins ; plusieurs grands spécialistes en ont fait la preuve. Certains cancers proviennent de vaccins, ce qui est une sorte d’euthanasie déguisée. Et ce ne sont là que deux exemples flagrants.

MORT DE LA LIBERTÉ

Bien que les deux buts précédents aient de l’importance, ils n’en ont pas autant que celui-ci. Lorsqu’une crise ou un chaos est provoqué sur la population – et il n’y a pas de chaos qui ne soit pas préalablement planifié (guerres, conflits, révolutions, actes terroristes, crashs financiers, etc.) – cela donne la possibilité à l’élite satanique de faire adopter des lois spéciales par le biais des marionnettes en place à la tête des gouvernements nationaux des pays touchés par la crise chaotique. Ces lois ont pour effet de restreindre les droits et libertés des peuples en les enfermant davantage dans des boîtes encore plus étroites, encore plus hermétiques. Car sachez ceci : Il n’y a rien que l’élite déteste plus que la liberté du peuple. L’élite est composée de personnes convaincues d’appartenir à une race supérieure qui a comme devoir de régler la vie de la population, car, croient-elles, la vaste majorité des gens ne sait pas penser et ne peut décider de la marche de la société, de ce que l’on peut faire et ne pas faire. L’élite se croit donc investie de la responsabilité et de la capacité de tout régulariser.

Ensuite, il n’y a rien que l’élite craint davantage qu’un vrai chrétien qui pense en toute liberté. Toute forme de liberté parmi le peuple est considéré comme une menace pour l’élite. Le Nouvel Ordre Mondial qu’elle veut installer sur terre sera le summum de la tyrannie, la pire dictature de l’histoire de l’humanité. Elle ne peut permettre que des « rebelles » viennent contrecarrer ses plans.

L’élite dont je vous parle, la Bible lui donne deux noms révélateurs : la Synagogue de Satan (Apocalypse 2:9 et 3:9) et Mystère, Babylone la Grande, la Mère des impudicités et des abominations de la terre (Apocalypse 17:5). Il s’agit d’une synagogue (pas d’une église ou d’une mosquée) et elle promeut les Mystères de la Religion babylonienne. Il n’y a qu’un groupe qui rencontre ces critères. Depuis des millénaires, la Juiverie Internationale transporte sur son dos le Talmud et la Kabbale, les recueils par excellence des Mystères de la Religion de Babylone.

Cette élite d’illuminés sataniques cherche donc à nous enlever nos droits et nos libertés. Cependant, pour ce faire, elle doit procéder par étapes. Elle fait donc ce qu’elle a toujours fait depuis des siècles, c’est-à-dire que, par des moyens détournés, elle sape la société par en-dessous, secrètement, lentement, patiemment, sournoisement. Elle a pris les rênes de la finance mondiale en élaborant le système bancaire. Elle s’est emparée, tout d’abord de la presse écrite, puis de tous les médias électroniques de l’information et de la communication. Elle contrôle le monde des divertissements. Elle dicte l’enseignement des systèmes d’éducation. Elle a créé le sport professionnel pour détourner l’attention des gens. Elle remplace la culture des différents peuples par la sienne qui est vile, corrompue, perverse. Le monde politique lui appartient et elle installe ses marionnettes à la tête de tous les gouvernements, et gare à celui ou celle qui commettra le moindre écart vis-à-vis de la ligne de pensée élitiste dictée. Enfin, elle a corrompu les églises et différentes confessions chrétiennes à un point tel qu’elles sont devenues des agentes du sionisme malfaisant des Juifs qu’elles adorent.

Ceci dit, on peut maintenant comprendre que les Chartes des Droits et les Constitutions que se sont données les gouvernements antérieurs apparaissent une nuisance pour l’élite satanique. Celle-ci les fait donc amender à son profit lorsqu’elle n’est pas en mesure de les éliminer complètement. Ce qui fait que bientôt les gens n’auront le droit d’exister qu’en fonction de leur docile servitude envers leurs maîtres. Voilà pourquoi le christianisme doit disparaître, selon eux. Car les véritables chétiens ne se plieront jamais aux dictats de leur Religion à Mystères babylonienne.

Lors de l’événement du 11 septembre 2001, le gouvernement américain a fait passer des lois spéciales d’urgence pour « combattre le terrorisme », censément dans le but de protéger les citoyens. Mais certaines de ces lois enlevaient des droits protégées par la Constitution des États-Unis. De plus, ces lois iniques permettaient aux agences de renseignement (FBI, CIA, NSA, etc.) de surveiller plus étroitement la vie des citoyens. Ces lois, qui devaient être temporaires, n’ont pas été abrogées. Et elles ne le seront pas. Comme les impôts qui furent institués en temps de guerre, elles sont là pour rester.

Alors, surveillez bien ce que le gouvernement de votre pays va adopter comme lois spéciales et attendez de voir si elles vont être ensuite abolies, lorsque la « crise » sera terminée.

CHANGEMENT D’ÉCONOMIE

Les incroyables « mesures de protection sanitaires » mises en place pour faire face à cette « crise » vont jeter les économies nationales par terre. Voilà le principal but de l’élite en déclenchant ce chaos pathologique. Beaucoup de gens vont perdre leur emploi et une grande proportion d’entre eux ne le retrouveront pas, parce qu’un grand nombre de petits commerces et de petites entreprises vont faire banqueroute, incapables de passer au travers de la « crise ». Les gouvernements promettent donc de débloquer des sommes faramineuses pour aider les travailleurs et les entrepreneurs à survivre. Mais où ces gouvernements vont-ils prendre l’argent ? Ce qu’ils perçoivent en taxes et en impôts ne suffira pas.

Ils vont donc devoir emprunter aux banques centrales. Ce sont des banques privées qui n’appartiennent pas aux pays où elles logent. Elles appartiennent à l’élite satanique et, en bout de ligne, à la diabolique Maison Rothschild. Le monde économique capitaliste et démocratique tel que nous l’avons connu jusqu’ici va être irrémédiablement chamboulé. Nous allons entrer dans ce que certains appellent déjà la « nouvelle économie du Nouvel Ordre Mondial ».

De quelle nature sera, d’après vous, ce nouveau système économique ? Ne vous y trompez pas, l’élite veut un système socialiste qui versera éventuellement dans le communisme pur et dur. Car, comme le disait un célèbre rabbin juif américain des années 1930-40, Stephen Wise : « Certains appellent cela le communisme, moi, je l’appelle judaïsme. »

La Juiverie Internationale a créé le communisme, et elle veut maintenant l’étendre au monde entier. Le Talmud commande aux Juifs de régner sur la terre. Ils ne peuvent y arriver que dans un régime communiste, comme ils l’ont fait en URSS. Lénine, Trotski, Kaganov, Staline et de nombreux autres dirigeants bolcheviques étaient tous juifs. Ils ont envoyé 66 millions de gens périr dans les goulags de la Sibérie. La majorité étaient des chrétiens de l’Église orthodoxe. Alors, peu importe la forme renouvelée du communisme que l’élite mettra en branle dans la « nouvelle économie », il s’agira d’une dictature où les Juifs seront les Maîtres.

Vous allez entendre de plus en plus les journalistes vous parler d’un changement nécessaire du système économique mondial ; qu’il faut en venir à un gouvernement mondial unique pour que ce système financier ne soit plus déséquilibré et que le tout soit bien coordonné. On va habituer l’oreille des masses à s’y faire. Il faut que les gens se fassent à l’idée que le nouveau système économique mondial sera la solution salvatrice idéale qui leur permettra de retourner enfin à la paix de leur petite vie quotidienne.

Lorsque l’Antichrist sera sur son trône, et qu’il régnera sur un gouvernement mondial, il donnera l’ordre que tous les inadaptés soient éliminés. Et, en priorité, il fera massacrer les chrétiens : « Et il lui fut donné de faire la guerre aux Saints, et de les vaincre. Il lui fut aussi donné puissance sur toute Tribu, Langue et nation » (Apocalypse 13:7).

Mais son règne ne durera que trois ans et demi. Puis, il sera anéanti avec toute l’élite de la Synagogue de Satan. Et le Seigneur Jésus-Christ prendra possession de la terre et instaurera Son Royaume éternel qui ne sera jamais renversé. Il n’y aura plus de pandémie, véritable ou fausse. Il n’y aura plus d’économie bancale et fragile dirigée par des gens cupides et corrompus, car ceux qui en auront le contrôle seront des êtres incorruptibles et parfaits, rendus éternels par Dieu le Père Lui-même.

Ce que nous vivons n’est qu’un mauvais moment à passer et ne saurait durer. Voilà où doit se manifester la patience des Saints. Concentrons-nous sur le Royaume de Dieu et Son Christ régnant. Et, comme nous recommande notre Seigneur dans Éphésiens 6:10-18, de nous revêtir de toute l’armure de Dieu.




D.551 – Une réponse de la Parole de Dieu

Par Joseph Sakala

Dans Matthieu 22:41-46, nous lisons : « Et les pharisiens étant assemblés, Jésus les interrogea, et leur dit : Que vous semble-t-il du Christ ? De qui est-il fils ? Ils lui répondirent : De David. Et il leur dit : Comment donc David l’appelle-t-il par l’Esprit son Seigneur, en disant : Le Seigneur a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que j’aie fait de tes ennemis le marchepied de tes pieds ? Si donc David l’appelle son Seigneur, comment est-il son fils ? Et personne ne put lui répondre un mot ; et depuis ce jour-là personne n’osa plus l’interroger. » Les deux sectes dominantes chez les Juifs du temps de Jésus furent les Saducéens et les Pharisiens. Alors que les deux proclamaient croire à l’inspiration divine des Écritures, les deux refusaient de croire que Jésus était vraiment le Messie.

Durant la dernière semaine que Jésus passa à Jérusalem, il y eut une confrontation doctrinale majeure. Chaque groupe essayait de prendre Jésus au piège dans un débat doctrinal. Pour les Saducéens qui rejetaient la doctrine de la résurrection, Jésus leur dit, dans Matthieu 22:31-33 : « Et, quant à la résurrection des morts, n’avez-vous point lu ce que Dieu vous a dit : Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac et le Dieu de Jacob. Dieu n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants. Et le peuple entendant cela, admirait sa doctrine. » Pourtant, ces trois hommes de Dieu étaient morts et Jésus devait alors les ressusciter !

« Les pharisiens, ayant appris qu’Il avait fermé la bouche aux sadducéens, s’assemblèrent. Et l’un d’eux, docteur de la loi, l’interrogea pour l’éprouver, et lui dit : Maître, quel est le grand commandement de la loi ? Jésus lui dit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C’est là le premier et le grand commandement. Et voici le second qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes » (Matthieu 22:34-40).

Et les pharisiens étant assemblés, Jésus les interrogea également. (Voir le texte du premier paragraphe.) Ils n’osèrent plus le questionner parce que Jésus a utilisé le Psaume 110:1-6 de David pour leur clouer le bec. « L’Éternel a dit à mon Seigneur : Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que j’aie fait de tes ennemis le marchepied de tes pieds. L’Éternel étendra de Sion ton sceptre puissant : Domine, dira-t-il, au milieu de tes ennemis ! Ton peuple sera un peuple de franche volonté, au jour où ton armée sortira dans une sainte pompe ; ta jeune milice sera devant toi comme la rosée naissant du sein de l’aurore. L’Éternel l’a juré, et il ne s’en repentira point : Tu es sacrificateur à toujours, selon l’ordre de Melchisédec. Le Seigneur est à ta droite ; il écrasera les rois au jour de sa colère. Il exercera la justice parmi les nations ; il remplira tout de morts ; il écrasera le chef qui domine sur un grand pays. »

Le mot Seigneur utilisé ici vient du mot Adonaï (Dieu Tout-Puissant), prouvant ainsi que Jésus était, non seulement le Messie, mais également qu’Il était humain et divin, descendant de David, mais aussi le Seigneur de David. L’argument de Christ était fondé sur une seule parole des Écritures, définitive et pleine d’autorité. Les pharisiens ne pouvaient pas rejeter Son argument sans pour autant rejeter les Écritures qu’ils affirmaient fermement croire devant toute la population.

En général, les parisiens ne croyaient pas que Jésus était le Messie, malgré qu’ils avaient toutes les preuves disponibles pour le prouver. Ils avaient le Psaume 118:26-28 qui disait : « Béni soit celui qui vient au nom de l’Éternel ! Nous vous bénissons, de la maison de l’Éternel. L’Éternel est Dieu, et il nous a éclairés ; liez avec des cordes la bête du sacrifice, et l’amenez jusqu’aux cornes de l’autel. Tu es mon Dieu, je te célébrerai. Mon Dieu, je t’exalterai. » Ce passage est une déclaration clé dans ce Psaume messianique qui fut accompli, du moins en partie, lorsque Jésus entra dans la ville de Jérusalem, assis sur un âne, une semaine avant Sa mort et Sa résurrection.

Jésus annonçait par cette entrée mémorable l’accomplissement de la prophétie de Zacharie 9:9 : « Réjouis-toi avec transports, fille de Sion ! Jette des cris de joie, fille de Jérusalem ! Voici, ton Roi vient à toi ; il est juste et vainqueur, humble et monté sur un âne, sur le poulain d’une ânesse. » « Le lendemain, une grande troupe qui était venue pour la fête, apprenant que Jésus venait à Jérusalem, prit des rameaux de palmiers, et sortit au-devant de lui, en criant : Hosanna ! béni soit le roi d’Israël, qui vient au nom du Seigneur ! » (Jean 12:12-13). Plusieurs chrétiens, encore aujourd’hui, commémorent cet événement le jour qu’ils appellent le Dimanche des rameaux.

Mais plusieurs personnes, aujourd’hui comme autrefois, doutent que Jésus était le Messie et Le répudient complètement en criant de Le mettre à mort. Mais Jésus savait que cela arriverait, et c’est pourquoi Il a déclaré, dans Luc 13:34-35 : « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes, et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois j’ai voulu rassembler tes enfants, comme la poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ! Voici, votre habitation va vous rester déserte, et je vous dis en vérité, que vous ne me verrez plus jusqu’à ce que vous disiez : Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur. »

Cette prophétie s’appliquait spécialement à la nation dans son ensemble, mais ce principe s’applique également aux individus. Lorsque quelqu’un est appelé par le Père et L’accueille avec joie, l’Esprit de Christ pénètre dans son cœur, ce Jésus : « Que vous aimez, sans l’avoir connu, en qui vous croyez, sans le voir encore, et vous vous réjouissez d’une joie ineffable et glorieuse, remportant le prix de votre foi, le salut de vos âmes » (1 Pierre 1:8-9). Et ainsi cet individu pourra également proclamer « Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! »

Mais pour ce qui est des faux ministres qui viennent vous prêcher n’importe quoi, Jude nous déclare : « Malheur à eux ! car ils ont suivi la voie de Caïn ; en effet, ils se sont jetés dans l’égarement de Balaam, l’amour du gain ; ils ont péri de la rébellion de Coré. Ce sont des taches dans vos repas de charité, lorsqu’ils mangent avec vous, sans aucune retenue, se repaissant eux-mêmes; ce sont des nuées sans eau, emportées çà et là par les vents ; des arbres au déclin de l’automne, sans fruits, deux fois morts et déracinés ; ce sont des vagues furieuses de la mer, rejetant l’écume de leurs impuretés ; des astres errants auxquels l’obscurité des ténèbres est réservée pour l’éternité » (Jude 1:11-13).

Jude compare ces trois mauvais exemples dans l’Ancien Testament à certains leaders dans les églises du Nouveau Testament qui utilisent leur influence pour faire le mal. Caïn fut le premier fils d’Adam et Ève, et il a eu toutes les opportunités nécessaires afin d’exceller. Malgré cela, il a choisi la voie qui, non seulement l’amena à tuer son frère, mais qui fut également responsable d’une culture de rébellion contre Dieu. Son meurtre fut précédé d’une désobéissance flagrante qui s’exprima lorsque la famille est venue offrir son sacrifice au Créateur.

Dans Genèse 4:3-7, nous lisons : « Or, au bout de quelque temps, Caïn offrit des fruits de la terre une oblation à l’Éternel ; et Abel offrit, lui aussi, des premiers-nés de son troupeau, et de leurs graisses. Et l’Éternel eut égard à Abel, et à son oblation ; mais il n’eut point égard à Caïn, ni à son oblation ; et Caïn fut fort irrité, et son visage fut abattu. Et l’Éternel dit à Caïn : Pourquoi es-tu irrité, et pourquoi ton visage est-il abattu ? Si tu fais bien, ne relèveras-tu pas ton visage ? Mais, si tu ne fais pas bien, le péché est couché à la porte, et son désir est tourné vers toi ; mais toi, tu dois dominer sur lui. »

Pourquoi Dieu a-t-Il eu égard à l’offrande d’Abel et non a celle de Caïn ? La réponse se trouve dans Hébreux 11:4 : « Par la foi, Abel offrit à Dieu un plus excellent sacrifice que Caïn, à cause d’elle il fut déclaré juste, Dieu rendant témoignage à ses offrandes ; et quoique mort, il parle encore par elle. » Abel offrit des premiers-nés de son troupeau, tandis que Caïn offrit des fruits de la terre. Il n’est pas écrit que les fruits offerts par Caïn étaient de mauvaise qualité. De plus, offrir des fruits n’était pas inférieur à offrir du bétail puisque les instructions de Dieu à Moïse au sujet des offrandes incluaient les prémices de la terre comme les prémices du bétail. Personnellement, je crois qu’il s’agissait de l’attitude de Caïn en opposition à celle d’Abel. Caïn aurait pu offrir la même offrande d’animaux que son frère qu’il n’aurait pas été plus agréé, car c’est son attitude qui était mauvaise. Mais c’est une spéculation de ma part fondée sur ce qu’on peut déduire de ce que Dieu a dit à Caïn dans le texte plus haut.

Le livre de la Genèse ne nous donne pas beaucoup de détails, mais il est très clair que la première famille devait suivre des instructions. Même après avoir péché contre Dieu, Genèse 3:21 nous dit que : « l’Éternel Dieu fit à Adam et à sa femme des robes de peau, et les en revêtit. » Pour faire ces robes, Dieu a dû sacrifier des animaux afin de les revêtir. Caïn avait adopté un style de vie qui détourna son cœur de l’obéissance aux instructions de Dieu. Il était fermier et fournissait de la nourriture pour plusieurs, mais lorsque vint le temps d’offrir des sacrifices, il n’obéissait pas aux instructions divines. Je pense plutôt que Dieu savait que Caïn avait un mauvais cœur, car il était déjà prédisposé au meurtre. Ce genre de prédisposition ne survient pas tout d’un coup.

Et cette rébellion l’a amené à croire qu’ : « Il y a telle voie qui semble droite à l’homme, mais dont l’issue est la voie de la mort » (Proverbes 14:12). Et finalement, il a tué son frère Abel.

Malheur à ceux qui ont suivi la voie de Coré (voir Jude 1:11). Jude nous décrit le comportement de Coré contre Moïse. Dans Nombres 16:1-5, nous lisons : « Or, Coré, fils de Jitsehar, fils de Kehath, fils de Lévi, fit une entreprise avec Dathan et Abiram, fils d’Éliab, et On, fils de Péleth, enfants de Ruben ; et ils s’élevèrent contre Moïse, avec deux cent cinquante hommes des enfants d’Israël, des principaux de l’assemblée, qu’on appelait au conseil, des hommes de renom. Ils s’assemblèrent donc contre Moïse et contre Aaron, et leur dirent : Que cela vous suffise ! car tous ceux de l’assemblée sont consacrés, et l’Éternel est au milieu d’eux ; pourquoi donc vous élevez-vous au-dessus de l’assemblée de l’Éternel ? Moïse, entendant cela, se jeta sur son visage. Et il parla à Coré et à tous ceux qui étaient assemblés avec lui, en disant : Demain matin, l’Éternel fera connaître qui est à Lui, et qui est consacré, et il le fera approcher de lui ; il fera approcher de lui celui qu’il aura choisi. »

Pendant cette période de temps, Moïse et Aaron étaient les porte-paroles de l’Éternel, exerçant autorité et pleines instructions venant de Dieu. Les Saintes Écritures prennent cette place aujourd’hui. Coré et les deux cent cinquante princes de l’assemblée qu’on appelait au conseil, des hommes de renom, avaient décidé qu’ils étaient aussi saints que Moïse. Ils disaient : « Que cela vous suffise ! car tous ceux de l’assemblée sont consacrés » (Nombres 16:3). C’était beaucoup plus qu’un simple soulèvement pour le contrôle du leadership de l’assemblée. Car Israël venait tout juste de passer par des miracles majeurs, l’ouverture de la Mer Rouge, la manne qui descendait du ciel chaque jour pour nourrir le peuple, l’eau qui leur venait constamment du rocher, et ils venaient de recevoir les Dix Commandements, et ils construisirent le tabernacle pour Dieu.

Le peuple avait rejeté le compte-rendu de Josué et de Caleb au sujet de la terre promise par Dieu, et il rouspétait continuellement. Dans Nombres 14:3-4, ils disaient : « Et pourquoi l’Éternel nous conduit-il vers ce pays, pour y tomber par l’épée ? Nos femmes et nos petits enfants y seront une proie. Ne vaudrait-il pas mieux pour nous, de retourner en Égypte ? Et ils se dirent l’un à l’autre : Établissons un chef, et retournons en Égypte. » Un exemple parfait de la courte vue des hommes sans l’Esprit de Dieu. L’Éternel était vraiment en colère contre eux. Alors, Coré a tenté d’annuler le plan de direction de Dieu en se rebellant contre Moïse qui avait été établi sur le peuple par l’autorité divine. Aujourd’hui, cela serait l’équivalent d’insister pour que la science, ou la philosophie, ou la théologie, soient aussi saintes que le Texte Reçu des Écritures !

La méthode divine d’éprouver cette rébellion était assez simple. Chaque leader devait préparer sa propre interprétation de la Parole de Dieu, et l’Éternel ferait connaître qui est à lui et qui est consacré, et Il le fera approcher de Lui ; Il fera approcher de Lui celui qu’Il aura choisi. « Mais si l’Éternel crée une chose toute nouvelle, et que la terre ouvre sa bouche, et les engloutisse avec tout ce qui leur appartient, et qu’ils descendent vivants au Sépulcre, vous saurez que ces hommes ont méprisé l’Éternel. Et dès qu’il eut achevé de prononcer toutes ces paroles, le sol qui était sous eux, se fendit ; et la terre ouvrit sa bouche, et les engloutit avec leurs familles, et tous les hommes qui étaient à Coré, et tout leur bien. Ils descendirent, eux et tout ce qui leur appartenait, vivants au Sépulcre, et la terre les couvrit ; et ils périrent du milieu de l’assemblée. Et tout Israël, qui était autour d’eux, s’enfuit à leur cri; car ils disaient : Prenons garde que la terre ne nous engloutisse ! Et un feu sortit, de la part de l’Éternel, et dévora les deux cent cinquante hommes qui offraient le parfum » (Nombres 16:30-35).

Dieu ne tolère aucun rejet de Son message. Mais comme le disait si bien David, dans Psaume 138:2 : « Je me prosternerai dans le palais de ta sainteté, et je célébrerai ton nom, à cause de ta bonté et de ta vérité ; car tu as magnifiquement accompli ta parole, au-delà de toute ta renommée. »

Et finalement : « Malheur à eux ! qui se sont jetés dans l’égarement de Balaam, l’amour du gain » (Jude 1:11). Balaam était un caractère très complexe qui disait être habilité à communiquer avec Dieu. Alors : « les enfants d’Israël partirent, et campèrent dans les plaines de Moab, au delà du Jourdain de Jérico. Or Balak, fils de Tsippor, vit tout ce qu’Israël avait fait à l’Amoréen. Et Moab eut une grande peur de ce peuple, parce qu’il était nombreux ; et Moab fut effrayé en face des enfants d’Israël. Moab dit donc aux anciens de Madian : Maintenant cette multitude va tout dévorer autour de nous, comme le bœuf broute l’herbe des champs. Or, en ce temps-là, Balak, fils de Tsippor, était roi de Moab » (Nombres 22:1-4).

« Et il envoya des messagers à Balaam, fils de Béor, à Pethor, située sur le fleuve, au pays des enfants de son peuple, pour l’appeler, en disant : Voici, un peuple est sorti d’Égypte ; voici, il couvre la face de la terre, et il s’est établi vis-à-vis de moi. Viens donc maintenant, je te prie ; maudis-moi ce peuple, car il est plus puissant que moi. Peut-être que je pourrai le battre, et que je le chasserai du pays ; car je sais que celui que tu bénis est béni, et que celui que tu maudis est maudit. Les anciens de Moab s’en allèrent donc, avec les anciens de Madian, ayant en leur main des présents pour le devin ; et ils vinrent à Balaam, et lui rapportèrent les paroles de Balak » (Nombres 22:5-7).

Dans Nombres 22:8-13, Balaam leur répondit : « Demeurez ici cette nuit, et je vous rendrai réponse, selon que l’Éternel me parlera. Et les seigneurs de Moab demeurèrent chez Balaam. Or, Dieu vint à Balaam, et lui dit : Qui sont ces hommes que tu as chez toi ? Et Balaam répondit à Dieu : Balak, fils de Tsippor, roi de Moab, a envoyé vers moi, pour me dire : Voici un peuple est sorti d’Égypte, et il couvre la face de la terre ; viens maintenant, maudis-le-moi ; peut-être que je pourrai le combattre, et que je le chasserai. Et Dieu dit à Balaam : Tu n’iras point avec eux, tu ne maudiras point ce peuple, car il est béni. Et Balaam se leva au matin, et dit aux seigneurs envoyés par Balak : Retournez en votre pays ; car l’Éternel a refusé de me laisser aller avec vous. »

Même l’apôtre Pierre nous parle de ces hommes : « Qui, ayant quitté le droit chemin, se sont égarés, en suivant la voie de Balaam, fils de Bosor, qui aima le salaire de l’iniquité, mais qui fut repris de son injustice ; une ânesse muette, parlant d’une voix humaine, réprima la folie du prophète » (2 Pierre 2:15). Allons voir le récit dans Nombres 22:20-23. « Et Dieu vint à Balaam la nuit, et lui dit : Si ces hommes sont venus pour t’appeler, lève-toi, va avec eux ; mais tu ne feras que ce que je te dirai. Balaam se leva donc le matin, sella son ânesse, et s’en alla avec les seigneurs de Moab. Mais la colère de Dieu s’embrasa parce qu’il s’en allait ; et un ange de l’Éternel se tint dans le chemin pour s’opposer à lui. Or, il était monté sur son ânesse, et ses deux serviteurs étaient avec lui. Et l’ânesse vit l’ange de l’Éternel qui se tenait dans le chemin, son épée nue dans la main ; et l’ânesse se détourna du chemin et s’en alla dans les champs, et Balaam frappa l’ânesse pour la ramener dans le chemin. »

Dans Nombres 22:24-27, nous lisons : « Mais l’ange de l’Éternel se tint dans un sentier de vignes, qui avait un mur d’un côté et un mur de l’autre. Et l’ânesse vit l’ange de l’Éternel, et se serra contre la muraille, et elle serra contre la muraille le pied de Balaam, qui continua à la frapper. Et l’ange de l’Éternel passa plus avant, et s’arrêta dans un lieu étroit où il n’y avait pas de chemin pour se détourner à droite ni à gauche. Et l’ânesse vit l’ange de l’Éternel, et se coucha sous Balaam. Mais la colère de Balaam s’enflamma, et il frappa l’ânesse avec un bâton. » Manifestement, Balaam ne voyait pas l’ange de Dieu qui était pourtant devant lui. Puis, Dieu montra un peu d’ironie.

« Alors l’Éternel ouvrit la bouche de l’ânesse, et elle dit à Balaam : Que t’ai-je fait, que tu m’aies déjà frappée trois fois ? Et Balaam répondit à l’ânesse : C’est que tu t’es moquée de moi. Que n’ai-je une épée en ma main ! je t’aurais déjà tuée. Et l’ânesse dit à Balaam : Ne suis-je pas ton ânesse, que tu as montée depuis que tu existes jusqu’à ce jour ? Ai-je l’habitude d’agir ainsi à ton égard ? Et il répondit : Non. Alors l’Éternel ouvrit les yeux de Balaam, et il vit l’ange de l’Éternel qui se tenait dans le chemin, son épée nue dans la main ; et il s’inclina et se prosterna sur son visage. Et l’ange de l’Éternel lui dit : Pourquoi as-tu frappé ton ânesse déjà trois fois ? Voici, je suis sorti pour m’opposer à toi, car tu suis un chemin pernicieux devant moi. Or l’ânesse m’a vu, et s’est détournée devant moi déjà trois fois ; et si elle ne se fût détournée de devant moi, je t’aurais même déjà tué et je l’aurais laissée en vie. Alors Balaam dit à l’ange de l’Éternel : J’ai péché ; car je ne savais point que tu te tinsses dans le chemin contre moi ; et maintenant, si cela te déplaît, je m’en retournerai » (Nombres 22:28-34).

Malgré cela, Balaam persista dans son projet de se rendre vers Balak. Ensuite, par trois fois il tenta de maudire Israël, mais chaque fois, au lieu de le maudire, il le bénissait, car cela venait de Dieu. Finalement, dans Nombres 24:12-13 : « Balaam répondit à Balak : N’avais-je pas dit aussi aux messagers que tu avais envoyés vers moi : Quand Balak me donnerait sa maison pleine d’argent et d’or, je ne pourrais pas transgresser l’ordre de l’Éternel, pour faire du bien ou du mal de moi-même ; je dirai ce que l’Éternel dira ? » Au lieu de se repentir, Balaam se vantait de son habilité à savoir ce que Dieu voulait de lui. Alors, dans Apocalypse 2:14, cette doctrine s’est répandue dans l’Église de Pergame, où Jésus lui dit : « Mais j’ai quelque peu de chose contre toi, c’est que tu as là des gens qui tiennent la doctrine de Balaam, qui enseignait à Balak à mettre un scandale devant les enfants d’Israël, pour qu’ils mangeassent des choses sacrifiées aux idoles, et qu’ils tombassent dans la fornication. »

Ceux qui détournent les dons de Dieu pour leur propre profit tombent sous une condamnation plus sévère. Même Jacques nous met en garde en déclarant : « Mes frères, qu’il n’y en ait pas parmi vous beaucoup qui enseignent, car nous encourrons un jugement plus sévère » (Jacques 3:1). Que le Seigneur nous protège contre les Balaam des églises. Paul nous dit plutôt que : « La grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu, et la communication du Saint-Esprit soient avec vous tous ! Amen ! » (2 Corinthiens 13:13).

Il n’y a qu’un seul Dieu, Qui Se manifeste cependant à nous de deux façons, selon Son vouloir et Son désir. Il existe plusieurs passages où Dieu Se manifeste dans la vie du chrétien. D’abord, il y a la manifestation du salut, par le sang de Jésus, car : « Combien plus le sang de Christ, qui, par l’Esprit éternel, s’est offert à Dieu, lui-même, sans tache, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant ! C’est pourquoi il est Médiateur d’une nouvelle alliance, afin que, la mort intervenant pour l’expiation des péchés commis sous la première alliance, ceux qui sont appelés, reçoivent la promesse de l’héritage éternel » (Hébreux 9:14-15).

Ensuite, vient la régénération : « Et, parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos cœurs l’Esprit de son Fils, lequel crie : Abba, ô Père ! C’est pourquoi tu n’es plus esclave, mais fils, et si tu es fils, tu es aussi héritier de Dieu par Christ » (Galates 4:6-7). Le salut et la régénération sont témoignés publiquement par l’ordre de Christ, dans Matthieu 28:19 : « Allez donc et instruisez toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et leur apprenant à garder tout ce que je vous ai commandé ; et voici, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. Amen ! » La ressource principale du croyant, c’est la prière.

Car Jésus : « est venu annoncer la paix, à vous qui étiez loin, et à ceux qui étaient près ; car par lui nous avons, les uns et les autres, accès auprès du Père, dans un même Esprit. Ainsi, vous n’êtes plus ni des étrangers, ni des gens de dehors, mais concitoyens des Saints, et de la maison de Dieu ; étant édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, dont Jésus-Christ est la pierre angulaire, en qui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint au Seigneur, en qui aussi vous êtes édifiés ensemble, pour être la maison de Dieu par l’Esprit », nous déclare Paul, dans Éphésiens 2:17-22.

Nous devrions apprendre continuellement de Christ et témoigner pour Lui. Et : « le Consolateur, le Saint-Esprit, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous remettra en mémoire toutes celles que je vous ai dites » (Jean 14:26). « Lorsque sera venu le Consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité, qui procède du Père, il rendra témoignage de moi. Et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement » (Jean 15:26-27). Nous avons donc Son assurance éternelle que Sa grâce, Son Amour et Sa communion avec nous seront toujours là.

Nous vivons présentement dans un territoire bien choyé. Car : « vous, vous êtes la race élue, la sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, pour annoncer les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière ; vous qui autrefois n’étiez point un peuple, mais qui êtes maintenant le peuple de Dieu ; vous qui n’aviez point obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde » (1 Pierre 2:9-10). Au cœur même de notre lutte continuelle pour notre survie et pour notre victoire dans ce monde, il serait bien de reconnaître que nous vivons présentement en territoire ennemi.

Alors que nous reconnaissons que c’est par la Parole de Dieu que : « Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle » (Jean 1:3), « nous savons que nous sommes de Dieu et que le monde entier est plongé dans le mal. Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle » (1 Jean 5:19-20). « Maintenant se fait le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors » (Jean 12:31). Mais rappelons-nous que Satan demeure toujours : « le prince de la puissance de l’air, de cet esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion ; parmi lesquels nous vivions tous autrefois, selon les convoitises de notre chair, accomplissant les désirs de la chair et de nos pensées ; et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres » (Éphésiens 2:2-3). Le fait que nous soyons entourés de ténèbres ne devrait pas nous surprendre, car avant d’être délivrés par Sa grâce, nous aussi étions parmi ces ténèbres.

Jésus est venu : « Afin de donner la connaissance du salut à son peuple, dans la rémission de leurs péchés, par les entrailles de la miséricorde de notre Dieu, par lesquelles le soleil levant nous a visités d’en haut ; pour éclairer ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort, et pour conduire nos pas dans le chemin de la paix » (Luc 1:77-79). Mais ce qui fut malheureux : « c’est que la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises » (Jean 3:19).

Cette confrontation, qui a lieu dans les ténèbres, n’abolit pas le conflit que nous, les humains, entretenons avec les esprits, mais nous devrions toujours considérer que : « ce n’est pas contre la chair et le sang que nous avons à combattre, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les puissances spirituelles de la méchanceté dans les lieux célestes » (Éphésiens 6:12). Mais louons Dieu de nous avoir sortis des ténèbres pour nous amener dans Sa merveilleuse lumière.

Malgré que nous demeurions encore dans le monde, notre Roi : « nous a délivrés de la puissance des ténèbres, et nous a fait passer dans le royaume de son Fils bien-aimé, en qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés » (Colossiens 1:13-14). Car dans cette lumière : « était la vie, et la vie était la lumière des hommes » (Jean 1:4). Dans Jean 13:34-35, Jésus nous déclare : « Je vous donne un commandement nouveau ; c’est que vous vous aimiez les uns les autres ; que, comme je vous ai aimés, vous vous aimiez aussi les uns les autres. C’est à ceci que tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres. »

Aucun chrétien ne pourrait remettre en question la prééminente importance de l’amour. « Celui qui n’aime point, n’a point connu Dieu, car Dieu est amour » (1 Jean 4:8). La plus grande vertu chrétienne, c’est l’amour. Les premier et deuxième commandements de la loi nous déclarent l’amour pour Dieu et l’amour envers notre prochain. Au pharisien qui est venu Lui demander : « Maître, quel est le grand commandement de la loi ? Jésus lui dit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C’est là le premier et le grand commandement. Et voici le second qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes » (Matthieu 22:36-40).

Le nouveau commandement de Christ nous donne toutefois la définition de l’amour ! « C’est que vous vous aimiez les uns les autres ; comme je vous ai aimés. » Nous devrions observer de quelle façon Christ a aimé. En premier lieu, Son amour n’était pas éphémère. « Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue pour passer de ce monde au Père, comme il avait aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu’à la fin » (Jean 13:1). Jésus a Lui-même défini l’amour de cette façon : « Nul n’a un plus grand amour que celui qui donne sa vie pour ses amis. Vous serez mes amis, si vous faites tout ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que son maître fait, mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai entendu de mon Père » (Jean 15:13-15).

Cependant, Christ n’est pas mort seulement pour Ses amis, mais pour tous les pécheurs, incluant Ses ennemis implacables. « Mais Dieu fait éclater son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. Étant donc maintenant justifiés par son sang, à plus forte raison serons-nous sauvés par lui de la colère de Dieu. Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils ; à plus forte raison, étant déjà réconciliés, serons-nous sauvés par Sa vie ? » (Romains 5:8-10). Par Sa résurrection !

« L’amour de Dieu envers nous a paru en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. En ceci est l’amour, c’est que ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais que c’est Lui qui nous a aimés et a envoyé son Fils en propitiation pour nos péchés. Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres » (1 Jean 4:9-11). La mesure de l’amour fut la mort de Christ, imméritée, mais joyeusement offerte par Lui en substitution à nos péchés. Lorsque nous pensons que Son commandement de nous aimer les uns les autres est trop exigeant pour nous, comparons-le à Son amour pour nous.

« Car la charité de Christ nous presse, étant persuadés que si un seul est mort pour tous, tous donc sont morts ; et il est mort pour tous, afin que ceux qui vivent, ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux » (2 Corinthiens 5:14-15). « Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier. Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur ; car celui qui n’aime point son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? Et nous tenons ce commandement de lui : Que celui qui aime Dieu, aime aussi son frère » (1 Jean 4:19-21). Donc, nous devrions constamment vivre pour Lui.




D.550 – Le véritable commencement

Par Joseph Sakala

«Paul, serviteur de Dieu, et apôtre de Jésus-Christ pour la foi des élus de Dieu, et pour la connaissance de la vérité, qui est selon la piété, en vue de l’espérance de la vie éternelle, que Dieu, qui ne peut mentir, a promise avant les temps éternels ; et qu’il a manifestée en son temps par Sa Parole, dont la prédication m’a été confiée, selon l’ordre de Dieu notre Sauveur, à Tite, mon vrai fils dans notre commune foi : Grâce, miséricorde et paix de la part de Dieu le Père, et du Seigneur Jésus-Christ notre Sauveur ! » (Tite 1:1-4). Ce que Paul nous déclare ici est très intéressant et très révélateur. Saviez-vous qu’il y a des choses que Dieu, dans Son omnipotence, ne peut pas faire ? Cela vous surprend-il ? Dieu ne peut pas faillir dans Son but ultime pour Sa création. Il ne peut pas faire le mal ni Se tromper, car ce que Dieu fait est toujours bon et ce qu’Il dit est toujours vrai, par définition. Et Dieu ne peut pas mentir ; donc, ce que Dieu a promis, Il l’accomplira. Une de Ses promesses les plus glorieuses, celle de la vie éternelle, est tout à fait remarquable, car cette promesse fut prononcée même avant que Dieu ait fait le monde, incluant l’espace et le temps. Mais comment quelque chose peut-elle se réaliser avant que le temps ne commence ?

La même expression est utilisée dans 2 Timothée 1:9-11 où Paul nous déclare que Dieu : « Qui nous a sauvés, et nous a appelés par un saint appel, non selon nos œuvres, mais selon son propre dessein, et selon la grâce qui nous a été donnée en Jésus-Christ avant tous les siècles, et qui a été maintenant manifestée par la venue de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort, et mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile, pour lequel j’ai été établi prédicateur, et apôtre, et docteur des Gentils. » Pareillement, dans Romains 16:25-26 : « A celui qui peut vous affermir selon mon Évangile et la prédication de Jésus-Christ, selon la révélation du mystère caché pendant plusieurs siècles, mais présentement manifesté par les écrits des prophètes, selon l’ordre du Dieu éternel, et annoncé à toutes les nations, afin qu’elles obéissent à la foi. »

Notre esprit est enfermé dans l’espace et dans le temps, et, par le fait même, nous ne pouvons pas concevoir qu’il pourrait exister quelque chose au-delà de l’espace et avant le temps. Cependant, Dieu est le Créateur et, comme le dit si bien Hébreux 11:3 : « Par la foi, nous savons que le monde a été fait par la Parole de Dieu ; de sorte que les choses qui se voient, n’ont pas été faites de choses visibles. » Dieu a créé le temps et l’espace, et tous les phénomènes qui existent dans le temps et l’espace, et le même fait que nous ne puissions pas comprendre ceci confirme tout simplement les Écritures. Esaïe 40:13-14 nous certifie : « Qui a mesuré l’Esprit de l’Éternel, ou qui a été son conseiller pour l’instruire ? De qui a-t-il pris conseil ? Qui lui a donné l’intelligence, et lui a enseigné le chemin de la justice ? Qui lui a enseigné la science, et lui a fait connaître la voie de la sagesse ? »

C’est le roi David qui nous déclare : « Tu me tiens serré par-derrière et par-devant, et tu as mis ta main sur moi. Science trop merveilleuse pour moi, si élevée que je n’y puis atteindre ! Où irais-je loin de ton Esprit, et où fuirais-je loin de ta face ? Si je monte aux cieux, tu y es ; si je me couche au Sépulcre, t’y voilà. Si je prends les ailes de l’aube du jour, et que j’aille habiter au bout de la mer, là même, ta main me conduira, et ta droite me saisira » (Psaumes 139:5-10). Alors, ce que nous ne comprenons pas, nous le croyons simplement par la foi, car Dieu ne peut mentir. Même si le monde a eu un commencement et nos vies ont chacune un commencement, le monde ne se terminera jamais et nos vies non plus, car Dieu existera toujours. « N’es-tu pas de toute éternité, ô Éternel mon Dieu, mon Saint ! Nous ne mourrons point ! » (Habaquq 1:12).

Nous recevons, par la foi, Sa promesse immuable de vie éternelle qui nous a été donnée par Jésus-Christ, selon Sa volonté et Sa grâce infinie, avant même que le monde fut. Donc, ceux qui ne recevront pas la vie éternelle ne pourront jamais blâmer Dieu, mais seulement leur propre rejet de Dieu jusqu’à la fin. Ayant déclaré ceci, reculons ensemble jusqu’au néant, alors que rien n’existait encore, ni le temps, ni l’univers, rien sauf Dieu qui est Esprit. Notez que je n’ai pas dit que Dieu était un Esprit. Parce que si Dieu était un Esprit, il aurait fallu qu’Il soit créé par quelqu’un. Mais qui L’a créé ? Personne, parce que, dans Jean 4:24, il est bien dit : « Dieu est esprit », et Il a tout créé ce qui existe. Donc, étant Esprit, analysons tout ce que Dieu a créé, car créer veut dire mettre tout en existence à partir de rien.

Commençons par le commencement et, à partir de ce moment, je me laisse guider par l’Esprit de Dieu. Dans Proverbes 3:19, nous lisons : « L’Éternel a fondé la terre par la sagesse, et agencé les cieux par l’intelligence. » Mais pour fonder la terre, il a fallu créer l’espace pour contenir la terre et l’univers. Ensuite, nous découvrons que Dieu créa des anges pour Le servir. Donc, les anges furent créés avant l’univers. Comment peut-on le savoir ? Parce que, dans Job 38, Dieu questionna Job pour S’informer de sa connaissance. Dieu le questionne et lui déclare : « Ceins donc tes reins comme un vaillant homme, je t’interrogerai, et tu m’instruiras. Où étais-tu quand je jetais les fondations de la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a réglé les mesures, si tu le sais, ou qui a étendu le niveau sur elle ? Sur quoi en a-t-on fait plonger les bases, ou qui en a posé la pierre angulaire » (Job 38:3-6).

Dans les chapitres 38 à 41, il est enregistré une série remarquable de soixante-dix-sept questions sur la création, questions que Dieu avait posées à Job et à ses amis philosophes qui ne détenaient aucune réponse. À la fin de son interrogation, Job n’avait qu’un seul aveu : « Alors Job répondit à l’Éternel, et dit : Je sais que tu peux tout, et qu’on ne saurait t’empêcher d’accomplir un dessein. “Qui obscurcit mes plans sans science ?” J’ai parlé et je ne comprenais pas ; ce sont des choses trop merveilleuses pour moi, et je ne les connais point. “Écoute donc et je parlerai ; je t’interrogerai et tu m’instruiras.” Mes oreilles avaient entendu parler de toi ; mais, maintenant, mon œil t’a vu. C’est pourquoi je me condamne et je me repens, sur la poussière et sur la cendre » (Job 42:1-6).

Des évolutionnistes modernes, en dépit de leurs prétentions arrogantes, sont également incapables de répondre, plus de 3 500 ans plus tard. Mais il y en a Un qui peut répondre à toutes ces questions, et Ses réponses nous viennent d’un autre ancien document, le merveilleux chapitre 8 du livre des Proverbes. À Sa toute première question : « Où étais-tu quand je jetais les fondations de la terre ? » (Job 38:4), nous vient cette réponse : « Quand il imposait à la mer sa loi, afin que ses eaux n’en franchissent pas les limites, quand il posait les fondements de la terre, alors j’étais auprès de lui son ouvrière, j’étais ses délices de tous les jours, et je me réjouissais sans cesse en sa présence » (Proverbes 8:29-30). Celle qui parle, ici, c’est Sa sagesse divine. C’était la Parole de Dieu, une manifestation du Fils de Dieu qui devait choisir de Se faire appeler le Fils de l’homme.

Dans une merveilleuse révélation, Dieu nous divulgue une réponse à la question la plus recherchée par Job et ses amis : « Qui renferma la mer dans des portes, quand elle sortit en s’élançant du sein de la terre ; quand je lui donnai la nuée pour vêtement, et l’obscurité pour langes ; quand j’établis ma loi sur elle, quand je lui mis des verrous et des portes, et que je lui dis : Tu viendras jusqu’ici, et tu n’iras pas plus loin ; ici s’arrêtera l’orgueil de tes flots ? Depuis que tu es au monde, as-tu commandé au matin, as-tu marqué à l’aurore sa place, pour qu’elle saisisse les extrémités de la terre, et que les méchants soient chassés ? La terre change de forme comme l’argile sous le cachet, et toutes choses se lèvent comme pour la vêtir » (Job 38:8-14).

Et Dieu continue dans Job 38:25-29 : « Qui a donné à l’averse ses canaux, et sa voie à l’éclair des tonnerres, pour faire pleuvoir sur une terre sans habitants, sur un désert sans hommes, pour abreuver des lieux déserts et désolés, et faire germer et sortir l’herbe ? La pluie a-t-elle un père ? Ou, qui enfante les gouttes de rosée ? De quel sein est sortie la glace ? Et qui enfante le givre du ciel ? »

Finalement, la sagesse parle et déclare : « Quand il agençait les cieux, j’y étais ; quand il traçait le cercle au-dessus de l’abîme, quand il fixait les nuages en haut, quand il faisait jaillir les fontaines de l’abîme. Quand il imposait à la mer sa loi, afin que ses eaux n’en franchissent pas les limites, quand il posait les fondements de la terre, alors j’étais auprès de lui son ouvrière, j’étais ses délices de tous les jours, et je me réjouissais sans cesse en sa présence. Je trouvais ma joie dans le monde et sur la terre, et mon bonheur parmi les enfants des hommes » (Proverbes 8:27-31).

Notre Sauveur était là ! « Car c’est en lui qu’ont été créées toutes choses dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, soit les trônes, soit les dominations, soit les principautés, soit les puissances. Tout a été créé par lui et pour lui. Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent par lui », nous confirme Paul, dans Colossiens 1:16-17. Une autre question : « Les portes de la mort se sont-elles découvertes à toi ? Et as-tu vu les portes de l’ombre de la mort ? » (Job 38:17). Oui, mais cela s’applique seulement par la bonté de Dieu à tout croyant : « Car celui qui me trouve, trouve la vie, et obtient la faveur de l’Éternel ; mais celui qui m’offense fait tort à son âme. Tous ceux qui me haïssent, aiment la mort » (Proverbes 8:35-36).

Mais revenons aux premières questions que Dieu a posées à Job. « Qui est celui-ci qui obscurcit mes plans par des discours sans science ? Ceins donc tes reins comme un vaillant homme, je t’interrogerai, et tu m’instruiras. Où étais-tu quand je jetais les fondations de la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a réglé les mesures, si tu le sais, ou qui a étendu le niveau sur elle ? Sur quoi en a-t-on fait plonger les bases, ou qui en a posé la pierre angulaire, quand les étoiles du matin poussaient ensemble des cris de joie, et les fils de Dieu, des acclamations ? » (Job 38:2-7). Donc, avant d’avoir créé les humains, les anges existaient déjà lorsque Dieu jetait les fondations de la terre et a étendu le niveau sur elle, dans l’espace. Nous arrivons maintenant à la terre et à sa création au même moment que toutes les autres étoiles et galaxies.

Alors, Dieu créa l’espace, l’univers et les anges qui, lors de la création, poussaient ensemble des cris de joie. Dieu Se révèle enfin à nous : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » `(Genèse 1:1). Si les étoiles du matin poussaient ensemble des cris de joie, et les fils de Dieu, des acclamations, la création toute entière devait être d’une beauté éblouissante. Alors, qu’a-t-il pu arriver lorsque, dès le verset 2, nous découvrons que : « la terre était informe et vide, et les ténèbres étaient à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait sur les eaux » ? Dieu ne l’a sûrement pas créée comme cela. Surtout que, dans Esaïe 45:18, nous lisons : « Car ainsi dit l’Éternel, qui a formé les cieux, lui, le Dieu qui a formé la terre et qui l’a faite, lui qui l’a fondée ; qui ne la créa pas pour être déserte, mais qui la forma pour être habitée : Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre ! »

Quelqu’un d’autre que Dieu a bien voulu la destruction de cette terre, et le responsable était nul autre que Satan le diable. Dès sa création, Lucifer était un chérubin protecteur de Dieu. Son nom Lucifer veut dire « porteur de lumière » aux humains que Dieu devait créer. Voici ce que Dieu a déclaré à son sujet, dans Ézéchiel 28:13-15 : « Tu te trouvais dans l’Éden, le jardin de Dieu ; tu étais couvert de pierres précieuses de toutes sortes, la sardoine, la topaze, la calcédoine, le chrysolithe, l’onyx, le jaspe, le saphir, l’escarboucle, l’émeraude et l’or. Les tambours et les flûtes étaient à ton service, préparés pour le jour où tu fus créé. Je t’avais établi comme chérubin protecteur, aux ailes déployées ; tu étais sur la sainte montagne de Dieu ; tu marchais au milieu des pierres de feu. Tu fus intègre dans tes voies depuis le jour où tu fus créé, jusqu’à ce que l’iniquité ait été trouvée en toi. »

Et notez bien qu’il se trouvait déjà dans l’Éden, le jardin de Dieu, pour apporter la vérité divine aux humains que Dieu venait de créer. Mais au lieu d’agir comme chérubin protecteur aux ailes déployées, Dieu lui dévoile : « Au milieu de ton riche commerce, ton cœur s’est rempli de violence, et tu devins coupable ; je te précipiterai de la montagne de Dieu ; je te détruirai, ô chérubin protecteur, du milieu des pierres de feu ! Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté, et tu as corrompu ta sagesse par ton éclat ; je te jetterai par terre, je te donnerai en spectacle aux rois, pour qu’ils te regardent » (Ézéchiel 28:16-17). Au lieu de leur porter la lumière divine, il a séduit nos premiers parents à croire qu’ils pouvaient devenir des dieux, sous sa domination, sur la terre.

Allons voir dans [Ésaïe] 14:12-14 où Dieu le questionne sur sa convoitise : « Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant (Lucifer), fils de l’aurore ? Comment as-tu été abattu à terre, toi qui foulais les nations ? Tu disais en ton cœur : Je monterai aux cieux, j’élèverai mon trône par-dessus les étoiles de Dieu ; je siégerai sur la montagne de l’assemblée, aux régions lointaines de l’Aquilon. Je monterai sur les hauteurs des nues, je serai semblable au Très-Haut. » Voilà le plan diabolique que Lucifer avait concocté dans sa tête depuis sa création, à cause de sa beauté.

Il a commencé par séduire le tiers des anges que Dieu lui avait accordés. Ayant réussi : « Alors il y eut un combat dans le ciel. Michel et ses anges combattaient contre le dragon ; et le dragon combattait avec ses anges. Et ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne se retrouva plus dans le ciel. Et le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit tout le monde, fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui » (Apocalypse 12:7-9). Alors, dans sa colère, vous pouvez imaginer les dégâts qu’il a dû faire à la terre. « Or la terre était [devenue] informe et vide, et les ténèbres étaient à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait sur les eaux » (Genèse 1:2).

Mais Dieu avait toujours Son projet de Se former une grande Famille divine qu’Il viendrait Lui-même instruire, afin de lui donner le salut et de lui offrir éventuellement l’univers entier comme héritage. Alors, dès le verset trois de la Genèse, Dieu commença Sa recréation de la terre en sept jours en déclarant : « Que la lumière soit ; et la lumière fut. Et Dieu vit que la lumière était bonne ; et Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres. Et Dieu nomma la lumière, jour ; et il nomma les ténèbres, nuit. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le premier jour. »

Il y a des églises qui prêchent que l’univers entier fut créé en sept jours. Mais avez-vous noté ce que Dieu a créé le premier jour ? Que la lumière soit. Et c’est tout. Dieu sépara la lumière d’avec les ténèbres et nomma la lumière, jour ; et il nomma les ténèbres, nuit. Notez maintenant combien de temps Dieu a pris pour faire cette séparation : il y eut un soir et il y eut un matin ; ce fut le premier jour de vingt-quatre heures. Mais aucune mention de la création de l’espace pour y placer l’univers, de la création des anges, de la chute de Lucifer et de ses anges, ni de cette guerre dans le ciel qui incite Dieu à précipiter Satan et ses anges sur la terre qui, elle, existait déjà avant le premier jour de la recréation.

Ces choses furent réglées par Dieu dès le commencement et par la suite, Dieu procède à une création nouvelle pour accommoder les humains avec qui Dieu pourra partager Son univers entier, un jour. Alors, continuons dans Sa recréation. Genèse 1:6-8 nous révèle : « Puis Dieu dit : Qu’il y ait une étendue entre les eaux ; et qu’elle sépare les eaux d’avec les eaux. Et Dieu fit l’étendue, et sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue, d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue ; et cela fut ainsi. Et Dieu nomma l’étendue, cieux. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le second jour. » Notez la précision avec laquelle le Tout-Puissant répare les éléments sur la terre qui était devenue tohu et bohu après le déchaînement de la rage de Satan lorsqu’il fut précipité sur la terre. Notez également que Dieu fit l’étendue et la réorganisa, car l’étendue était déjà créée.

« Puis Dieu dit : Que les eaux qui sont au-dessous des cieux se rassemblent en un seul lieu, et que le sec paraisse ; et cela fut ainsi. Et Dieu nomma le sec, terre ; et il nomma l’amas des eaux, mers ; et Dieu vit que cela était bon. Puis Dieu dit : Que la terre pousse de la végétation, des herbes portant semence, des arbres fruitiers portant du fruit selon leur espèce, qui aient leur semence en eux-mêmes sur la terre ; et cela fut ainsi. Et la terre produisit de la végétation, des herbes portant semence selon leur espèce, et des arbres portant du fruit, qui avaient leur semence en eux-mêmes, selon leur espèce ; et Dieu vit que cela était bon. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le troisième jour » (Genèse 1:9-13). Simultanément, Dieu commence à réorganiser l’étendue du ciel autour de la terre.

Dans Genèse 1:14-19, nous lisons : « Puis Dieu dit : Qu’il y ait des luminaires dans l’étendue des cieux, pour séparer le jour d’avec la nuit, et qu’ils servent de signes, et pour les saisons, et pour les jours, et pour les années ; et qu’ils servent de luminaires dans l’étendue des cieux, pour éclairer la terre ; et cela fut ainsi. Et Dieu fit les deux grands luminaires ; le grand luminaire, pour dominer sur le jour, et le petit luminaire, pour dominer sur la nuit ; il fit aussi les étoiles. Et Dieu les mit dans l’étendue des cieux, pour éclairer la terre ; et pour dominer sur le jour et sur la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres ; et Dieu vit que cela était bon. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le quatrième jour. »

« Puis Dieu dit : Que les eaux produisent en abondance des êtres vivants ; et que des oiseaux volent sur la terre devant l’étendue des cieux. Et Dieu créa les grands poissons, et tous les êtres vivants qui se meuvent, dont les eaux foisonnèrent, selon leurs espèces, et tout oiseau ailé, selon son espèce; et Dieu vit que cela était bon. Et Dieu les bénit, en disant : Croissez et multipliez, et remplissez les eaux dans les mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le cinquième jour » de vingt-quatre heures tel que décrit dans Genèse 1:20-23.

Mais voici ce qui arriva le sixième jour, dans Genèse 1:24-25 : « Puis Dieu dit : Que la terre produise des êtres vivants selon leur espèce, bétail, reptiles et animaux de la terre selon leur espèce ; et cela fut ainsi. Et Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles du sol selon leur espèce ; et Dieu vit que cela était bon. »

Voici enfin le couronnement de Sa création. « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle. Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Croissez et multipliez, et remplissez la terre, et l’assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer et sur les oiseaux des cieux, et sur tout animal qui se meut sur la terre » (Genèse 1:26-28).

Notez encore que Dieu a créé l’homme à l’image de Dieu, et non pas à cette image laide d’extraterrestre nommée adéquatement E.T. dans le but de séduire le monde et nos enfants afin de les amener à croire que Dieu aurait créé des humains ou toute autre forme d’entités vivantes sur des soi-disant planètes lointaines. Satan aimerait sûrement que nous croyions cela, car il prépare depuis longtemps une de ses séductions, celle que nous serons un jour attaqués par des extra-terrestres que l’on devra combattre et détruire, alors que c’est Jésus qui reviendra dans toute Sa gloire pour Se saisir de toutes les nations de la terre en tant que Roi de la terre entière.

Finalement, dans Genèse 1:29-31, Dieu donne Ses dernières instructions à nos premiers parents : « Et Dieu dit : Voici je vous ai donné toute herbe portant semence, qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre qui a en soi du fruit d’arbre portant semence ; ce sera votre nourriture. Et à tous les animaux des champs, et à tous les oiseaux des cieux, et à tout ce qui se meut sur la terre, qui a en soi une âme vivante, j’ai donné toute herbe verte pour nourriture ; et cela fut ainsi. Et Dieu vit tout ce qu’il avait fait, et voici, c’était très bon. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le sixième jour. » Avez-vous enregistré quelque chose de nouveau, ici ? Lorsque Dieu créa les choses qui devaient servir à l’homme, Il finit chaque observation de ce qu’Il avait créé en disant que c’était bon.

Mais maintenant que Dieu avait créé l’homme à Son image et à Sa ressemblance et avec qui Il voulait tout partager, Dieu vit tout ce qu’Il avait fait et voici, c’était très bon. « Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Et Dieu eut achevé au septième jour son œuvre qu’il avait faite ; et il se reposa au septième jour de toute son œuvre qu’il avait faite. Et Dieu bénit le septième jour, et le sanctifia, parce qu’en ce jour-là il se reposa de toute son œuvre, pour l’accomplissement de laquelle Dieu avait créé » (Genèse 2:1-3). Mais pourquoi Dieu S’est-Il reposé le septième jour ? Était-Il fatigué de tout ce qu’Il avait fait ?

Dieu préparait déjà le repos de l’humanité avant même que les humains commencent à se sentir fatigués. L’homme devait se reposer dans le Seigneur, mais il a refusé cette proposition. Jésus est venu pour nous montrer comment nous reposer, en nous démontrant que le sabbat ou repos avait été créé pour l’homme et non l’homme pour le sabbat. N’a-t-il pas Lui-même dit : « Le sabbat a été fait pour l’homme, non pas l’homme pour le sabbat. Ainsi le Fils de l’homme est maître même du sabbat » (Marc 2:27-28) ? Jésus a même fait des miracles durant le sabbat afin de nous montrer comment l’observer en faisant du bien, mais au lieu de saisir qu’il était bien d’aider son prochain, même durant le sabbat, à cause de cela les pharisiens cherchaient à le mettre a mort. Le sabbat fut sanctifié par Dieu Lui-même afin que l’homme apprenne à se reposer dans le Seigneur.

Cependant, comprenez-moi bien, je ne suis pas en train de vous suggérer de retourner à l’observance de l’ancienne alliance et de consacrer le samedi comme jour de culte. Dans la loi de Christ, celle de la Nouvelle Alliance, le « sabbat » du chrétien s’étend aux sept jours de la semaine. Christ exige que Son disciple se repose du péché et des œuvres mortes et cela ne peut se réduire à une seule journée de la semaine.

Mais continuons dans Genèse 2:19-20 où nous voyons comment : « l’Éternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs, et tous les oiseaux des cieux ; et il les fit venir vers Adam, pour voir comment il les nommerait, et que tout nom qu’Adam donnerait à chacun des êtres vivants, fût son nom. Et Adam donna des noms à toutes les bêtes, et aux oiseaux des cieux, et à tous les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide semblable à lui. » Pas de problème ! Dieu avait aussi déclaré : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui » (Genèse 2:18).

Alors : « l’Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur Adam, qui s’endormit ; et il prit une de ses côtes, et resserra la chair à sa place. Et l’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise d’Adam, et la fit venir vers Adam. Et Adam dit : Celle-ci enfin est os de mes os, et chair de ma chair. Celle-ci sera nommée femme (en hébreu Isha), car elle a été prise de l’homme (en hébreu Ish). C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils seront une seule chair. Or Adam et sa femme étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point honte » (Genèse 2:21-25). Dieu prépara déjà le mariage pour les descendants de nos premiers parents afin qu’ils quittent leurs parents et s’attachent à leur couple, et qu’ils deviennent ainsi une seule chair, réglant leurs problèmes ensemble et en élevant leurs enfants selon l’Esprit qui les guiderait.

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Ce qui suit est purement académique, mais je crois l’avoir reçu par l’inspiration du Saint-Esprit. Alors, je vous demanderais, en toute humilité, en tant que mes correspondants, de lire attentivement ce qui suit, de prier et de m’offrir par courriel ce que l’Esprit vous inspirera afin d’enrichir ce que j’ai déjà reçu comme inspiration. Soyez assurés, mes chers amis, que je vous serai entièrement reconnaissant. J’attends alors vos réponses.

Vous êtes-vous déjà posé la question à savoir comment Dieu a formé les trois races dominantes sur la terre ? La Bible ne le dit pas, mais nous pouvons le déduire de ce que Dieu aurait révélé à Ses enfants. Notez d’abord qu’Adam fut créé blanc. Comment peut-on savoir cela ? Regardez dans le monde et notez vous-mêmes que la seule manière de produire des enfants blancs, c’est par deux parents blancs. Un blanc avec une femme blanche forment des enfants blancs. En règle générale, un noir avec une femme blanche forment des enfants noirs, et un jaune avec une femme blanche forment des enfants jaunes. Il n’y a pas de preuves évidentes que ce soit toujours le cas. Il ne faudrait pas affirmer quelque chose sans les preuves qui vont avec. Alors, comment Dieu S’y est-Il pris pour former cette variété de trois couleurs si dominantes ? Vos suggestions seraient bien appréciées.

Juste par curiosité, que produisent un homme noir avec une femme jaune ; ou un homme jaune avec une femme noire ? Je dois vous avouer que je ne le sais pas, parce que les Écritures n’en parlent pas, mais les Indiens et les Pakistanais, par exemple, sont peut-être le résultat de plusieurs mélanges, au fil des siècles. J’aimerais vous faire remarquer que les mulâtres (mélange noir/blanc) sont d’une couleur café au lait que l’on ne peut assimiler ni aux blancs ni aux noirs ; j’ai même vu une mulâtre qui avait les cheveux roux naturels. Cela arrive même parmi les familles blanches et les jaunes. Mes parents avaient des cheveux noirs. Mes deux frères avaient aussi des cheveux noirs, sauf moi qui avais des cheveux rouge carotte. De même les eurasiens (mélange blanc/jaune) ne sont ni blanc ni jaune. Quand les trois races furent constamment mélangées, cela donna des enfants de toutes les teintes. Ce qui est important, c’est que Dieu aime la variété. Ne l’a-t-Il pas créée ? N’ont-ils pas tous le même sang ? « Et il a fait d’un seul sang toutes les races des hommes, pour habiter sur toute la face de la terre, ayant déterminé la durée précise et les bornes de leur habitation » (Actes 17:26). Il n’y a donc pas de suprématisme racial qui tienne devant Dieu.

Revenons à la création lorsqu’Adam fut créé, mais qu’Ève fut formée avec une côte d’Adam. Lors de Son chef-d’œuvre, en formant les ovaires d’Ève, Dieu n’avait qu’à les modifier afin de produire des ovules blancs, noirs et jaunes en alternance, et nos premiers parents en ont formés plusieurs. Genèse 4:1-2 nous déclare que : « Adam connut Ève sa femme, et elle conçut, et enfanta Caïn (acquisition), et elle dit : J’ai acquis un homme avec l’aide de l’Éternel. Elle enfanta encore son frère Abel ; et Abel fut berger, et Caïn fut laboureur. » Selon les historiens, Caïn était noir et Abel était blanc.

On me dira, les historiens de quelle histoire ? Je ne me rappelle pas avoir lu quoi que ce soit dans la Bible qui parle de la couleur de peau de Caïn ou d’Abel. Quant à l’histoire des hommes, vous savez comme moi qu’il faut s’en méfier comme de la peste. Je vous demande bien humblement d’être prudents avec ce genre d’argument qui n’en est pas un, en réalité. Vous serez d’accord pour dire qu’il nous faut apporter des arguments bibliques en béton, irréfutables, basés entièrement sur la vérité et non sur des conjectures personnelles. Voilà, mes chers amis, où votre aide peut m’être très utile, car dans les derniers jours, selon Daniel, la connaissance augmentera et, ajoutée à ce que nous trouvons déjà dans la Bible, elle viendra sûrement enrichir ce qui existe présentement.

***

Pour remplacer Abel, nous voyons, dans Genèse 4:25-26, que : « Adam connut encore sa femme ; et elle enfanta un fils et l’appela Seth (remplaçant); car Dieu, dit-elle, m’a donné un autre fils au lieu d’Abel, que Caïn a tué. Et un fils naquit aussi à Seth, et il l’appela Énosh. Alors on commença à invoquer le nom de l’Éternel. » Dans Genèse 5:4, nous lisons : « Et les jours d’Adam, après qu’il eut engendré Seth, furent de huit cents ans ; et il engendra des fils et des filles. » Donc, plusieurs enfants assurément de chaque couleur.

« Mais, » me direz-vous, « nous ne pouvons savoir de quelle couleur il s’agissait, car les trois grandes races (blanche, noire et jaune) ne sont apparues de manière évidente qu’après le Déluge et, encore là, nous ne pouvons savoir de quelle couleur étaient les belles-filles de Noé. » En effet, il y a eu beaucoup de spéculations d’homme que nous ne pouvons emprunter sans contrevenir à la vérité biblique. Je voudrais simplement savoir, comment Noé et sa femme, tous deux apparemment blancs, et leurs belles-filles, supposément de trois races différentes, auraient pu former les trois races majeures du monde. Est-ce que Satan aurait séduit toute l’humanité dans le but qu’elle doute de la puissance divine ?

Mais d’abord, que vient faire Satan dans tout cela ? Dès qu’il a su qu’il serait au service des humains, il est devenu jaloux et, au lieu d’apporter la Lumière aux humains que Dieu allait créer, il s’est tourné contre Dieu. Car : « auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit : Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que j’aie fait de tes ennemis le marchepied de tes pieds ? Ne sont-ils pas tous des esprits destinés à servir, et envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut ? » (Hébreux 1:13-14). Il avait même fomenté de faire la guerre à Dieu pour Le détrôner.

« Alors, il y eut un combat dans le ciel. Michel et ses anges combattaient contre le dragon ; et le dragon combattait avec ses anges. Et ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne se retrouva plus dans le ciel. Et le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit tout le monde, fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui », nous déclare Jésus, dans Apocalypse 12:7-9. Remarquez, s’il vous plaît, que tout dans ce passage nous indique que cette guerre a eu lieu auparavant, et Satan fait dès maintenant ses ravages parmi les peuples et les nations. Non, il n’y aura pas une autre guerre dans le ciel, comme le prédisent plusieurs églises, car le cas de Satan est déjà réglé.

Cependant, Dieu lui reproche son erreur en lui déclarant : « Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant (Lucifer), fils de l’aurore ? Comment as-tu été abattu à terre, toi qui foulais les nations ? Tu disais en ton cœur : Je monterai aux cieux, j’élèverai mon trône par-dessus les étoiles de Dieu ; je siégerai sur la montagne de l’assemblée, aux régions lointaines de l’Aquilon. Je monterai sur les hauteurs des nues, je serai semblable au Très-Haut » (Ésaïe 14:12-14). Sa chance, Lucifer l’a déjà eue, et il ne lui reste que peu de temps pour séduire les nations.

Satan s’est vraiment laissé emporter par son orgueil. Mais sa chute du ciel fut une grande victoire pour les enfants de Dieu. Car, dans Apocalypse 12:10-11, Jean nous déclare : « Puis j’entendis dans le ciel une grande voix, qui disait : Maintenant sont venus le salut et la force, et le règne de notre Dieu, et la puissance de son Christ ; car l’accusateur de nos frères, qui les accusait jour et nuit devant la face de notre Dieu, a été précipité. Ils l’ont vaincu par le sang de l’Agneau, et par la parole à laquelle ils ont rendu témoignage, et ils n’ont point préféré leur vie à la mort. » Tant que nous demeurerons près de Notre-Sauveur, nous n’avons rien à craindre.

Mais les habitants de la terre n’en ont pas fini avec le diable. Apocalypse 12:12 nous déclare : « C’est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui y habitez. Malheur à vous, habitants de la terre et de la mer ; car le diable est descendu vers vous en grande fureur, sachant qu’il n’a que peu de temps. » Si vous croyez que ça va mal sur la terre, vous n’avez encore rien vu, car Satan sait très bien que les saints de Dieu seront protégés, mais les non convertis, ou ceux que Dieu appelle les Habitants de la terre, devront y goûter pendant trois ans et demi pour avoir continuellement rejeté leur Dieu qui ne voulait pourtant que leur bien.

Nous attendons présentement le déclenchement des évènements prédits par Jésus dans l’Apocalypse. Mais Jésus reviendra avec gloire et puissance pour Se saisir de tous les gouvernements, et Sa justice régnera enfin sur cette terre qui sera éventuellement transformée en pays d’Éden sous la gouverne de Jésus. Et les nations connaîtront enfin ce que c’est que la Paix de Dieu sur la terre entière.




D.543 – Une leçon de Thomas Edison

Par Joseph Sakala

Thomas Edison demeure pour plusieurs un des plus grands innovateurs de l’histoire. Il a à son crédit l’invention de la lumière incandescente, le phonographe, le cinéma et plusieurs autres inventions qui ont été très utiles à l’humanité. Edison a fait face à plusieurs obstacles et diverses critiques pendant la mise en œuvre de ses inventions, mais ce fut par sa résilience qu’il a finalement atteint le succès. Ce monsieur nous a prouvé que, si nous sommes prêts à fournir l’effort nécessaire, nous aussi pouvons développer la persévérance pour réussir dans nos entreprises.

Thomas Edison a développé plus de 1 000 brevets, qui nous ont fourni beaucoup de nos inventions modernes. Une de ses idées moins connues a été la machine automatique pour compter les votes dans une élection au Congrès. Dans ses observations, pendant un vote du Congrès, Edison avait remarqué que chaque individu devait se lever et aller voter individuellement, ce qui lui semblait extrêmement inefficace. Utilisant son ingénuité, il inventa un système plus adéquat et automatique, puis le présenta au Congrès. Mais sa joie fut de très courte durée, car le Congrès a rejeté son idée comme absurde et contraire au bon sens. Ces messieurs avaient la préférence politique de voter à haute voix, au lieu du système automatique qui leur fut proposé.

Cela n’a pas empêché M. Edison de continuer ses efforts. Est-ce que ces sentiments d’insuccès l’ont découragé ? Pas du tout, au contraire, il marcha de l’avant avec patience et enthousiasme. Il avait même déclaré : « Je n’ai pas échoué, j’ai simplement trouvé 10 000 manières qui ne fonctionnent pas. » Comme tout bon entrepreneur, Thomas Edison a persévéré et rechercha de meilleurs résultats futurs. Il avait, par contre, appris à ne jamais inventer quelque chose que le consommateur ne voudrait pas acheter. Si ce n’eut pas été de sa persévérance et de ses mésaventures, nous n’aurions pas connu la Compagnie Générale Électrique dont il était le père fondateur.

Chaque jour apporte ses possibilités d’épreuves, d’obstacles et d’échecs qui nous découragent dans nos bonnes activités. Parfois la pression devient tellement intense que nous voudrions tout abandonner. Nous pourrions avoir des talents uniques à développer, desquels nos temps modernes tenteraient de distraire l’accomplissement. Nous pourrions être tellement surchargés par les épreuves quotidiennes que nous négligerions de réaliser nos buts les plus précieux. En d’autres occasions, nous avons pris de mauvaises décisions qui nous ont causé des échecs dans la vie, mettant sur notre chemin encore plus d’obstacles à surmonter.

Alors, que faire ? Est-ce qu’on doit céder aux contingences de la vie et tout abandonner ? Mais pas du tout ! La Bible, la pensée écrite de Dieu, nous enseigne que tout ce qui vaut la peine d’être fait nous amènera des obstacles. Proverbes 24:10 nous déclare : « Si tu perds courage au jour de la détresse, ta force sera petite. » Une bonne façon pour développer l’endurance dans nos combats de tous les jours est d’observer les commandements de Dieu. « Car le juste tombera sept fois, et il sera relevé ; mais les méchants sont précipités dans le malheur » (Proverbes 24:16).

Dans Matthieu 19:16-19, nous lisons : « Et voici, quelqu’un s’approchant lui dit : Bon maître, que dois-je faire de bien pour avoir la vie éternelle ? Il lui répondit : Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, sauf Dieu seul. Que si tu veux entrer dans la vie, garde les commandements. Il lui dit : Lesquels ? Et Jésus lui répondit : Tu ne tueras point ; tu ne commettras point d’adultère ; tu ne déroberas point ; tu ne diras point de faux témoignage ; honore ton père et ta mère ; et tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Psaume 34:19-20 nous dit : « L’Éternel est près de ceux qui ont le cœur brisé, et il délivre ceux qui ont l’esprit froissé. Le juste a des maux en grand nombre ; mais l’Éternel le délivre de tous. »

En apprenant d’Edison la leçon de patience et de persévérance, nous apprendrons 10 000 façons ou situations qui ne marchent pas. Cependant, en observant les lois de Dieu avec l’aide de Jésus, nous resterons fermes sur la véritable voie qui nous mènera vers le succès physique, mais surtout spirituel. Même dans les moments de danger, nous pouvons atteindre le succès divin en étant diligents et patients, en endurant les épreuves de la vie et en obéissant aux commandements de Dieu. Nous pourrions collectivement encourager notre famille et nos amis en établissant d’abord un exemple positif. Thomas Edison a persévéré en voyant au-delà des circonstances et en recherchant toujours un avenir plus positif. Apprenons sa leçon d’une manière magnifiée, en nous servant de la Parole de Dieu et en demeurant des serviteurs fidèles à Christ.

Pendant que nous étudions la vie d’un homme dévoué, j’aimerais vous raconter l’histoire de quelqu’un qui avait été surnommé « le Vieux Demain », un patriote d’état canadien. À Kingston, en Ontario, dans le vieux cimetière Cataraqui, on pourrait facilement passer à côté d’une pierre tombale en granit sur laquelle il est inscrit simplement : « John Alexander MacDonald, 1815-1891, Au Repos ». Dans ce cercueil, se trouve le corps d’un Canadien qui fut la force derrière la création du Dominion du Canada. MacDonald était un homme talentueux, visionnaire, qui travaillait très fort et qui a laissé deux grands héritages : l’unification des Colonies britanniques du Nord-est, dans l’Amérique du Nord, en une seule nation ; puis l’expansion de cette union au-travers du continent jusqu’au Pacifique et l’Océan arctique.

MacDonald est né à Glasgow, en Écosse, en janvier 1815. Cinq ans plus tard, ses parents sont venu s’installer à Kingston, ville située dans ce qui était appelé le Haut-Canada. Son habileté fut considérable, et il fut choisi pour travailler dans une firme légale à l’âge de 15 ans. À 20 ans, il fut accepté dans la Law Society of Upper Canada. À cette époque, ses visions politiques furent façonnées par une brève rébellion dans le Haut-Canada, influencée et supportée par les Républicains au sud du pays. Alors qu’il aidait à calmer la rébellion, il défendit quelques-uns des rebelles, se bâtissant ainsi une réputation d’avocat de la défense.

Dans les années 1840, MacDonald fut élu à la Législature du Haut-Canada. En 1854, il est devenu Premier Ministre. MacDonald continua sa pratique légale durant toute sa carrière politique. Pendant qu’il défendait vigoureusement le droit des individus qui avaient des dissensions ou des désaccords avec le gouvernement, MacDonald cherchait toujours des opportunités pour créer des coalitions entre les parties politiques et les gens d’affaires pour accomplir ses grands projets. MacDonald était assez audacieux pour prendre de dures décisions et assez sensible pour faire taire son orgueil et appuyer une cause valable. Dans un pays souffrant d’une forte division entre les colons anglais et les colons français, MacDonald, qui parlait le français, s’est acquis des partenariats avec le Canada-Français, et notamment avec le « Père de la Confédération », Georges Étienne Cartier, et ensembles ils ont réussi à unir deux peuples par une vision commune.

Ayant la vision de grandes solutions et la manière de les réaliser, il a employé sa grande habileté et sa sagesse, faisant également preuve de beaucoup d’humilité et de la capacité d’inspirer. Voici une histoire racontée par un ancien Premier Ministre, John Turner, qui illustre très bien cette qualité de MacDonald. David Thompson, membre du Parti Libéral du Canada, revenait tout juste au Parlement après une longue absence, suite à une maladie. Thompson a raconté : « Le premier homme que j’ai rencontré fut Edward Blake, leader libéral, qui m’a simplement salué en passant, comme s’il avait oublié que j’étais en convalescence. Ensuite, j’ai rencontré Richard Cartwright, un autre libéral, qui fut aussi froid. Subséquemment, j’ai rencontré Sir John A. MacDonald qui traversa immédiatement la Chambre, me donna une tape sur l’épaule, me saisit la main et me dit : “Davy, je suis content que tu sois de retour. J’espère que tu vivras longtemps pour voter contre moi.” C’était assez difficile de ne pas suivre un tel homme. »

Suite à l’élection américaine de 1864, les Républicains, pour calmer les Irlandais américains, avaient proposé le Canada Annexation Bill, en juillet 1866. La crainte de l’annexion du Canada par les États-Unis, était le plus grand facteur qui a permis à MacDonald et à ses alliés de former un consensus contre l’union. Par conséquent, en 1866, le Parlement britannique a passé la loi British North America Act que MacDonald avait formulée lui-même dans sa quasi totalité. Alors, le 1er juillet 1867 fut choisi comme date de la naissance du Dominion of Canada. MacDonald était le choix évident pour devenir le Premier Ministre. Plusieurs contretemps l’attendaient, mais sa vision, sa patience et sa volonté de respecter l’opinion des autres lui ont permis de devenir une force unificatrice.

MacDonald a placé son centre d’intérêt sur l’expansion de la Confédération vers l’ouest jusqu’à l’océan Pacifique. Il mena le groupe qui mit le Manitoba au monde, en 1870, suivi de l’addition de la Colombie-Britannique, en 1871. Ce dernier ajout fut accompli par la promesse d’un chemin de fer transcontinental, le plus grand projet jamais entrepris par un gouvernement canadien, nécessitant des fonds massifs. Dans le processus, MacDonald et son gouvernement se sont faits prendre dans un scandale financier qui eut comme résultat une défaite de son gouvernement, en 1873. Mais, malgré cela, il revint en 1878 et reprit le pouvoir, car la population cherchait un visionnaire qui pouvait livrer la marchandise.

MacDonald a été réélu lors des quatre élections suivantes, stabilisant la jeune nation. Il croyait en un gouvernement central n’ayant pas peur de dépenser l’argent sur des projets d’intérêt national. Il fut présent dans l’établissement d’un corps de police nationale, qui deviendrait par la suite la Royal Canadian Mounted Police (la Police montée canadienne), afin d’amener l’ordre dans l’ouest du pays. Il fut impliqué dans une crise nationale lors d’une rébellion dans le Nord-Ouest canadien. Ces affrontements exigeaient beaucoup de fermeté et de jugement dans la prise de ses décisions.

MacDonald a développé beaucoup d’endurance au travers des nombreuses épreuves, tant comme Premier Ministre du Canada que dans ses épreuves personnelles. Son premier enfant mourut à treize mois, et son épouse Isabella fut frappée d’une maladie débilitante qui la fit mourir treize ans plus tard. MacDonald, ébranlé par ces évènements, fut un mari fidèle et un père aimant. Dix années plus tard, suivant le décès de son épouse Isabelle, il s’est remarié. Il a profondément aimé sa nouvelle épouse Susan Anges, mais tous deux furent bientôt dévastés lorsque naquit leur fille sévèrement handicapée. Il fit tous les efforts possibles pour être avec sa famille.

Adèle Perry, dans The Mounted Police and Prairie Society 1873-1919, écrivait ceci : « Pendant que le Premier Ministre MacDonald était aux prises avec la maladie de son épouse, ses finances personnelles et plusieurs problèmes nationaux, il a retardé l’autorisation de la police occidentale jusqu’au moment où tout est redevenu convenable. Cela fit en sorte que le Commissaire Irving de la North West Mounted Police, dont les opérations furent retardées aussi, en référa à MacDonald comme du « Vieux Demain ». Et ce surnom lui est resté collé sur le dos !

John A. MacDonald avait comme caractéristique d’éviter les situations difficiles et d’attendre jusqu’au bon moment pour atteindre le succès. L’histoire souligne sa sagesse d’attendre avant de résoudre des problèmes jusqu’au moment le mieux indiqué. En fin de compte, MacDonald a accompli presque toutes ses visions. Le sénateur canadien, Hugh Segal, a écrit ceci à son sujet : « Il pouvait toujours bâtir une coalition sur un problème qui urgeait … C’était sa plus puissante réussite. Il y a toujours un point, dans chaque débat partisan, où il faut prendre du recul afin de réaliser qu’il y a encore plus … et on appelle cela la loyauté envers son pays. »

Le « Vieux Demain » a donné à sa jeune nation une vision et du leadership. MacDonald n’était pas sans défaut et sans faiblesse, mais le manque d’amour pour son pays et pour sa famille ne figurait pas parmi eux. La sincérité, la vision, la création d’équipes, la détermination et l’intégrité sont ce que Dieu cherche également parmi Ses futurs leaders. Et ceux qui sont prêts à travailler pour perfectionner leur caractère et annoncer le règne de Dieu sur cette terre, tout en attendant qu’Il choisisse le bon moment de Son retour, seront les Élus de Son gouvernement. Cela pourrait bien être votre destin. Car c’est le seul espoir d’un monde qui souffre.

Ceux qui croient en la Parole de Dieu comprennent que Jésus nous a révélé que notre monde allait passer par des moments traumatisants dans les années qui précéderaient Son second avènement. Aujourd’hui, il y a des centaines de millions de personnes qui souffrent dans le monde et, malgré que plusieurs agences et individus tentent de les aider, la souffrance continue. Jésus nous a avertis que, dans les derniers jours, il y aurait une séduction religieuse suivie d’une persécution et plusieurs guerres régionales ; de la violence ethnique, une famine sans précédent suivie d’une épidémie se transformant en pandémie mondiale qui ferait mourir le quart de la population terrestre. Ces évènements prophétiques nous sont dévoilés dans un langage symbolique impliquant les « Quatre chevaliers de l’Apocalypse ».

« Et je regardai, lorsque l’Agneau eut ouvert un des sceaux, et j’entendis l’un des quatre animaux qui disait d’une voix de tonnerre : Viens, et vois. Or, je regardai, et voici un cheval blanc, et celui qui était monté dessus avait un arc, et on lui donna une couronne, et il partit en vainqueur, et pour remporter la victoire. Et lorsque l’Agneau eut ouvert le second sceau, j’entendis le second animal, qui disait : Viens, et vois. Et il sortit un autre cheval couleur de feu ; et celui qui le montait reçut le pouvoir de bannir la paix de la terre, et de faire que les hommes se tuassent les uns les autres ; et on lui donna une grande épée. Et quand l’Agneau eut ouvert le troisième sceau, j’entendis le troisième animal, qui disait : Viens, et vois. Et je regardai, et voici un cheval noir, et celui qui était monté dessus avait une balance à la main. Et j’entendis une voix au milieu des quatre animaux, qui disait : Une mesure de froment pour un denier, et trois mesures d’orge pour un denier ; mais ne gâte point l’huile ni le vin. Et quand l’Agneau eut ouvert le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième animal, qui disait : Viens, et vois. Et je regardai, et voici un cheval de couleur livide ; et celui qui était monté dessus, se nommait la Mort, et l’Enfer marchait à sa suite ; et le pouvoir leur fut donné sur la quatrième partie de la terre, pour faire mourir les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre » (Apocalypse 6:1-8).

Jésus avait prédit l’accomplissement de toutes ces choses à Ses disciples, dans Matthieu 24:4-8, où : « Jésus, répondant, leur dit : Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres ; prenez garde de ne pas vous troubler, car il faut que toutes ces choses arrivent ; mais ce ne sera pas encore la fin. Car une nation s’élèvera contre une autre nation, et un royaume contre un autre royaume ; et il y aura des famines, des pestes et des tremblements de terre en divers lieux. Mais tout cela ne sera qu’un commencement de douleurs. »

J’aimerais prendre le temps de vous expliquer quelque chose sur cet aspect de la séduction par laquelle des prédicateurs diront « Je suis le Christ, » et ils séduiront beaucoup de gens. « Alors si quelqu’un vous dit : Le Christ est ici, ou : Il est là ; ne le croyez point. Car de faux christs et de faux prophètes s’élèveront et feront de grands signes et des prodiges, pour séduire les élus mêmes, s’il était possible. Voilà, je vous l’ai prédit. Si donc on vous dit : Le voici dans le désert ; n’y allez point : Le voici dans des lieux retirés ; ne le croyez point. Car, comme l’éclair sort de l’orient et se fait voir jusqu’à l’occident, il en sera aussi de même de l’avènement du Fils de l’homme » (Matthieu 24:23-27). C’est ainsi que nous verrons revenir Jésus sur terre.

Alors que des millions de gens ont besoin d’aide aujourd’hui, les Écritures nous avertissent que les souffrances de l’humanité empireront encore avant le retour de Jésus. En comprenant qu’un grand nombre de personnes auront besoin d’aide dans leurs moments de crise et de trouble, quelle devrait être notre attitude aujourd’hui ? Et quelle espérance devrions-nous leur apporter au sujet de demain ? Beaucoup de gens aujourd’hui ont besoin d’aide immédiatement, de l’Amérique à la France, et du Japon à l’Afrique, la souffrance humaine est un phénomène mondial. Selon les dernières statistiques, il y a actuellement plus de huit millions de réfugiés dispersés dans le monde, et cette statistique ne couvre pas les réfugiés depuis les trois dernières années. Ces gens fuient la guerre, la violence, la sécheresse et la pauvreté sévissant dans les nations en développement.

Selon le National Alliance to End Homelessness, il existe près de 100 000 individus sans abri qui dorment dans la rue aux États-Unis. Et selon The Economist, à Paris, en France, un nombre croissant de sans-abri étire les limites de la générosité de la ville. Et selon le World Food Program, 870 000 000 d’individus dans le monde entier n’ont pas assez de nourriture. Et la liste se poursuit. Puisque le visage humain est parfois imperceptible dans les statistiques, voici deux exemples du Japon pour mieux illustrer le besoin du monde, en dépit de l’endroit et de la « modernisation » d’une nation. Les sans-abri du Japon, spécialement parmi les plus âgés, ont augmenté de façon soudaine.

Les individus de plus de 55 ans comptent pour plus de 74 % des sans-abri au Japon. L’histoire de Toshiyuki Ishioka, un homme d’affaires de 50 ans, est tout à fait typique. « La compagnie pour laquelle je travaillais a fait faillite ; alors je vis dans la rue depuis huit ans maintenant. C’est très difficile pour un homme de mon âge de se trouver du travail, parce que nous ne sommes plus aussi forts. » L’histoire de Mme Kyoko Machiya est similaire. La dame de 64 ans vit dans une boîte en carton, et elle raconte que, malgré qu’elle ait tenté de vivre dans une maison de sans-abri, elle a éventuellement décidé de quitter. « Ce n’était pas de leur faute, mais il est difficile d’être entouré de gens avec des maladies mentales sévères. Ce n’était pas un environnement agréable, alors je me suis retrouvée encore dans la rue, » nous déclara Machiya. La vieillesse est loin d’être douce pour les sans-abri.

La guerre, les tsunamis, la sécheresse, les maladies, les économies fragiles et plusieurs autres causes nous indiquent qu’il y aura une augmentation des souffrances. La Bible nous révèle que ces problèmes iront en empirant avant l’avènement de Christ, affectant les nations modernes, descendants d’Israël. Pour ceux qui ont été bénis de vivre dans les nations occidentales, les pires des souffrances ont toujours semblées se situer ailleurs. Néanmoins, avant le retour de Jésus, les Écritures nous annoncent qu’à cause des péchés d’Israël moderne, les nations identifiées dans les Écritures comme la « Maison de Jacob » entreront dans un temps de calamité terrible, au-delà de ce que nous voyons dans les nations qui souffrent le plus présentement.

Dans Esaïe 48:1-12, Dieu déclare : « Écoutez ceci, maison de Jacob, vous qui portez le nom d’Israël, et qui sortez de la source de Juda ; qui jurez par le nom de l’Éternel et qui célébrez le Dieu d’Israël, sans vérité et sans justice. Car ils prennent le nom de la ville sainte et ils s’appuient sur le Dieu d’Israël, dont le nom est l’Éternel des armées. J’ai annoncé dès longtemps les premiers événements ; ils sont sortis de ma bouche, et je les ai publiés ; soudain je les ai faits, et ils se sont accomplis. Car je savais que tu es endurci, que ton cou est une barre de fer, et que tu as un front d’airain. Aussi je t’ai annoncé ces choses dès longtemps, je te les ai fait entendre avant qu’elles arrivassent, afin que tu ne disses pas : “C’est mon idole qui les a faites ; c’est mon image taillée ou mon image de fonte qui les a ordonnées.” Tu les as entendues ; vois-les toutes ! Et ne les publierez-vous pas vous-mêmes ? Je te fais entendre maintenant des événements nouveaux, qui étaient cachés et que tu ne savais pas. C’est maintenant qu’ils sont produits, et non pas auparavant ; avant ce jour tu n’en avais rien entendu, afin que tu ne disses pas : Voici, je le savais ! Tu ne les as pas entendus, et tu ne les as pas connus, et ils n’ont pas encore frappé ton oreille ; car je savais que tu ne manquerais pas d’être infidèle, et tu as été appelé rebelle dès ta naissance. Pour l’amour de mon nom, je diffère ma colère ; pour l’amour de ma gloire, je me contiens envers toi, et je ne te détruis pas. Voici, je t’ai épurée, mais non comme l’argent ; je t’ai éprouvée au creuset de l’affliction. C’est pour l’amour de moi, pour l’amour de moi que je le fais ; car comment mon nom serait-il profané ? Je ne donnerai pas ma gloire à un autre. Écoute-moi, ô Jacob ; Israël, que j’ai appelé ; c’est moi, c’est moi qui suis le premier, et je suis aussi le dernier ! »

Je vous rappelle qu’il ne faudrait pas appliquer ce passage d’Ésaïe à des « descendants des dix tribus perdues d’Israël » que l’on dirait avoir retrouvés dans les temps modernes parmi les pays occidentaux. Ce concept est faux et franc-maçonnique. Il s’applique à tout Israël dans le monde entier, ainsi qu’aux milliardaires juifs qui contrôlent tout l’argent présentement. Mais ils le jetteront dans la rue, un jour, car ils n’ont pas compris que l’argent et les richesses ne doivent pas s’accumuler, mais devraient être partagés. C’est pourquoi le Nouvel Ordre Mondial des hommes ne réussira jamais. Seul le gouvernement millénaire de Jésus et de Ses Élus sera établi, et ce Royaume ne passera point à un autre peuple

Dans Daniel 2:44-45, nous lisons : « Et dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit ; et ce royaume ne passera point à un autre peuple ; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement, comme tu as vu que de la montagne une pierre s’est détachée sans le secours d’aucune main, et qu’elle a brisé le fer, l’airain, l’argent et l’or. Le grand Dieu a fait connaître au roi ce qui arrivera ci-après. Le songe est véritable, et l’interprétation en est certaine. » Et c’en sera fait du « Nouvel Ordre Mondial » des milliardaires du monde.

Et, dans Ézéchiel 5:9-17, Dieu continue en leur disant : « Je te ferai, à cause de toutes tes abominations, des choses que je n’avais point encore faites, et telles que je n’en ferai plus jamais. C’est pourquoi, des pères mangeront leurs enfants au milieu de toi, et des enfants mangeront leurs pères. Ainsi j’exercerai mes jugements contre toi, et tout ce qui restera de toi, je le disperserai à tous les vents. C’est pourquoi, je suis vivant, dit le Seigneur, l’Éternel, parce que tu as souillé mon sanctuaire par toutes tes infamies et toutes tes abominations, moi aussi je détournerai mon regard, et mon œil ne t’épargnera point ; moi aussi je serai sans miséricorde. Un tiers d’entre vous mourra de la peste, et sera consumé par la famine dans ton sein ; un tiers tombera par l’épée autour de toi ; et j’en disperserai un tiers à tous les vents, et je tirerai l’épée après eux. Ainsi ma colère sera assouvie, et je ferai reposer sur eux ma fureur ; je me donnerai satisfaction, et quand j’aurai assouvi ma fureur, ils sauront que moi, l’Éternel, j’ai parlé dans ma jalousie. Je ferai de toi un désert et un objet d’opprobre parmi les nations qui t’entourent, aux yeux de tout passant. Tu seras un objet d’opprobre et d’ignominie, un exemple et une cause de stupeur pour les nations qui t’entourent, quand j’exécuterai contre toi mes jugements, avec colère, avec fureur, et par des châtiments pleins de fureur, – c’est moi l’Éternel, qui ai parlé, – quand je lancerai contre eux les flèches pernicieuses et mortelles de la famine, que j’enverrai pour vous détruire ; car j’ajouterai la famine à vos maux, et je briserai le pain qui vous soutient. J’enverrai contre vous la famine et les bêtes nuisibles qui te priveront d’enfants ; la peste et le sang passeront au milieu de toi, et je ferai venir l’épée sur toi. C’est moi, l’Éternel, qui ai parlé. »

Je vous fais remarquer que Dieu S’adressait à Israël et à Jérusalem. Ces événements qu’Il avait prédits se sont réalisés en 70 apr. J.-C., quand les armées romaines commandées par le général Titus ont investi la Judée et Jérusalem. Ce fut une désolation totale, telle que l’avait prédit Jésus aux pharisiens. Il y eu des massacres sans précédents dans l’histoire des Juifs. Mais ce que le monde ne réalise pas, c’est que ces prophéties sont doubles. Il y a eu un premier accomplissement et il devra y en avoir un deuxième, qui sera encore pire. Et si ces jours n’étaient pas abrégés, aucune chair n’eût échappé ; mais à cause des élus ils seront abrégés.

Cette punition culminera la Grande Tribulation mentionnée par Jésus dans Matthieu 24:21-22 : « Car alors il y aura une grande affliction ; telle qu’il n’y en a point eu depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et telle qu’il n’y en aura jamais. Que si ces jours-là n’avaient pas été abrégés, aucune chair n’eût échappé ; mais à cause des élus ils seront abrégés. » Et Dieu démontrera Sa compassion et nous devrions apprendre à avoir la compassion pour les pauvres. Dans Proverbes 14:20-21, Dieu nous dit que : « Le pauvre est haï, même de son ami ; mais les amis du riche sont en grand nombre. Celui qui méprise son prochain, s’égare ; mais celui qui a pitié des affligés, est heureux. »

Vous noterez que la souffrance qui sévit dans le monde est principalement infligée aux pauvres, aux nécessiteux et de plus en plus aux gens de classe moyenne qui ne cessent de s’appauvrir, eux aussi. Il est notable que les gens riches se tiennent en dehors de la souffrance. Et cela est dû au fait qu’ils la provoquent aux autres, par leur cupidité, leur dureté de cœur, leur conception tordue de la société et du monde. Un de leurs buts est d’éradiquer la pauvreté en éliminant les pauvres ! Pas par le partage de leurs richesses, bien sûr, mais en concevant le massacre des gens pauvres du monde. Tout cela est si loin des préceptes de Christ. Et c’est ce que Jésus viendra changer.

Être charitable ne veut pas dire manquer de sagesse et se laisser exploiter. « Ce n’est pas que nous n’en eussions le droit, mais c’est pour vous donner en nous-mêmes un exemple à imiter. Car aussi, lorsque nous étions chez vous, nous vous déclarions expressément, que si quelqu’un ne veut pas travailler, il ne doit pas non plus manger. Cependant nous apprenons que parmi vous quelques-uns vivent dans le désordre, ne travaillent point et s’occupent de choses inutiles. Or, ceux-là nous les invitons, et nous les exhortons par notre Seigneur Jésus-Christ, à travailler avec tranquillité, afin de manger leur propre pain » (2 Thessaloniciens 3:9-12).

Dieu nous dit d’aider ceux qui sont vraiment dans le besoin, que ce soit en leur accordant de notre temps, de nos talents, de notre prière, de nos encouragements et même de notre argent. « Ayant toutefois des dons différents, selon la grâce qui nous a été donnée ; soit la prophétie, pour l’exercer selon la mesure de la foi ; soit le ministère, pour s’attacher au ministère ; soit l’enseignement, pour s’appliquer à l’enseignement ; soit l’exhortation, pour exhorter. Celui qui distribue les aumônes, qu’il le fasse avec simplicité ; celui qui préside, qu’il préside avec soin ; celui qui exerce les œuvres de miséricorde, qu’il le fasse avec joie. Que la charité soit sans hypocrisie. Ayez le mal en horreur, attachez-vous fortement au bien. Quant à l’amour fraternel, soyez pleins de tendresse les uns pour les autres. Quant à l’honneur, prévenez-vous les uns les autres. Quant au zèle, ne soyez point paresseux. Soyez fervents d’esprit ; servez le Seigneur », nous dit Paul, dans Romains 12:6-11.

L’apôtre Jacques nous déclare que : « La religion pure et sans tache devant Dieu notre Père, c’est de visiter les orphelins et les veuves dans leur tribulation, et de se conserver pur de la souillure du monde » (Jacques 1:27). Les chrétiens fidèles ne négligeront jamais de faire du bien à tous selon leurs moyens, spécialement en servant leurs frères et sœurs dans la foi. « C’est pourquoi, pendant que nous en avons l’occasion, faisons du bien à tous, mais surtout à ceux qui sont de la famille de la foi », nous déclare Paul, dans Galates 6:10.

« Or, celui qui aurait des biens de ce monde, et qui, voyant son frère dans le besoin, lui fermerait ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeurerait-il en lui ? Mes petits enfants, n’aimons pas de paroles ni de la langue, mais en action et en vérité. Car c’est en cela que nous connaissons que nous sommes de la vérité, et que nous assurerons nos cœurs devant lui ; car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses. Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne point, nous avons de l’assurance devant Dieu » (1 Jean 3:17-21). Que nous soyons riches ou pauvres, nous devrions nous rappeler tout ce que Dieu nous a donné en cadeau.

Dans Lévitique 26:4-6, Dieu nous dit : « Je vous donnerai les pluies dans leur saison ; la terre donnera ses produits, et les arbres des champs donneront leurs fruits. Le foulage des grains atteindra chez vous la vendange ; et la vendange atteindra les semailles ; vous mangerez votre pain à satiété, et vous habiterez en sécurité dans votre pays. Je mettrai la paix dans le pays ; vous dormirez sans que personne vous épouvante ; je ferai disparaître du pays les mauvaises bêtes, et l’épée ne passera point par votre pays. » Et, dans Matthieu 6:25-26, Jésus nous déclare : « C’est pourquoi je vous dis : Ne soyez point en souci pour votre vie, de ce que vous mangerez, et de ce que vous boirez ; ni pour votre corps, de quoi vous serez vêtus. La vie n’est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement ? Regardez les oiseaux de l’air ; car ils ne sèment, ni ne moissonnent, ni n’amassent dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. N’êtes-vous pas beaucoup plus qu’eux ? »

Jésus ajoute cependant : « Mais cherchez premièrement le royaume de Dieu et sa justice, et toutes ces choses vous seront données par-dessus. Ne soyez donc point en souci pour le lendemain ; car le lendemain aura souci de ce qui le regarde. A chaque jour suffit sa peine » (vs 33-34). Dieu a pour attente notre appréciation, et Il nous commande d’avoir de la générosité envers les autres. Mais il y a une vérité additionnelle que nous devrions comprendre. Il y a un espoir et une aide que nous pouvons apporter à ceux qui souffrent, ce qui est encore plus important que tout ce que nous pourrions leur offrir physiquement. Ultimement parlant, nous pourrions leur déclarer qu’aucun gouvernement humain ne pourra solutionner les problèmes de ce monde.

La seule solution sera le retour de Notre-Seigneur en puissance. Cette vérité fait fondamentalement partie de notre message de l’établissement du Royaume de Dieu bientôt sur cette terre. Ce message est ce que l’Église de Dieu a reçu comme mission de prêcher jusqu’à l’avènement de Jésus. Dans Matthieu 24:14, nous lisons clairement : « Et cet évangile du Royaume sera prêché par toute la terre, pour servir de témoignage à toutes les nations ; et alors la fin arrivera. » Donc, cet Évangile est la Bonne Nouvelle du retour de Jésus-Christ, une véritable espérance d’un meilleur avenir pour l’humanité entière.

Et lorsque Jésus reviendra : « Ils n’auront plus faim, et ils n’auront plus soif ; et le soleil ne frappera plus sur eux, ni aucune chaleur ; car l’Agneau qui est au milieu du trône, les paîtra et les conduira aux sources des eaux vives, et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux, » nous promet Apocalypse 7:16-17. Car Jésus établira la paix et l’abondance sur l’humanité entière. « La parole qui fut révélée à Ésaïe, fils d’Amots, sur Juda et Jérusalem. Il arrivera, aux derniers jours, que la montagne de la maison de l’Éternel sera établie au-dessus des montagnes, et s’élèvera par-dessus les collines ; et toutes les nations y afflueront. Et plusieurs peuples viendront et diront : Venez et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob ; il nous instruira de ses voies, et nous marcherons dans ses sentiers ! Car la loi sortira de Sion et la parole de l’Éternel de Jérusalem. Il jugera entre les nations, et sera l’arbitre de plusieurs peuples. Alors ils forgeront de leurs épées des hoyaux, et de leurs lances, des serpes ; une nation ne lèvera plus l’épée contre l’autre, et on n’apprendra plus la guerre » (Esaïe 2:1-4).

Et voilà ce qu’Amos 9:13 a prophétisé : « Voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où le laboureur suivra de près le moissonneur ; et celui qui foule les raisins, celui qui répand la semence ; et les montagnes seront découlantes de moût, et toutes les collines en ruisselleront. » Et Michée 4:3-4 a déclaré : « Il jugera entre des peuples nombreux, et sera l’arbitre de nations puissantes, jusqu’aux pays lointains ; ils forgeront de leurs épées des hoyaux, et de leurs lances, des serpes ; une nation ne lèvera plus l’épée contre l’autre, et on n’apprendra plus la guerre. Mais chacun habitera sous sa vigne et sous son figuier, sans que personne les épouvante ; car la bouche de l’Éternel des armées a parlé. »

Et finalement, dans Apocalypse 19:11, nous pouvons lire : « Je vis ensuite le ciel ouvert, et voici un cheval blanc, et celui qui était monté dessus, s’appelait le FIDÈLE et le VÉRITABLE, qui juge et qui combat avec justice. » Voilà le seul espoir pour un monde en souffrance ! La destruction des armées humaines par Jésus, et enfin une paix éternelle par Jésus-Christ.




D.535 – Une grande lumière dans les ténèbres

Par Joseph Sakala

Dans Esaïe 9:1-2, nous lisons : « Le peuple qui marchait dans les ténèbres a vu une grande lumière, et la lumière a resplendi sur ceux qui habitaient le pays de l’ombre de la mort. Tu as multiplié la nation ; tu as augmenté sa joie ; ils se réjouissent devant toi, comme on se réjouit dans la moisson, comme on s’égaie en partageant le butin. » Ce beau verset est cité dans le Nouveau Testament en tant que Prophétie messianique qui fut accomplie lorsque Jésus est venu dans le monde. Il est né à Bethléem, a grandi dans la ville de Nazareth et a vécu ensuite à Capernaüm.

Dans Matthieu 4:13-17, nous apprenons que : « ayant quitté Nazareth, il vint demeurer à Capernaüm, ville proche de la mer, sur les confins de Zabulon et de Nephthali ; en sorte que fut accompli ce qui avait été dit par Ésaïe le prophète en ces termes : Pays de Zabulon et de Nephthali, sur le chemin de la mer, au-delà du Jourdain, Galilée des gentils ! Le peuple qui était assis dans les ténèbres, a vu une grande lumière ; et la lumière s’est levée sur ceux qui étaient assis dans la région et dans l’ombre de la mort. Dès lors Jésus commença à prêcher et à dire : Repentez-vous ; car le royaume des cieux est proche. »

C’était la région jadis occupée par les dix tribus du nord d’Israël, mais qui fut dévastée par l’invasion des Assyriens alors que ce Royaume du Nord fut amené en captivité. Cette région demeura, pendant des siècles, dans les ténèbres spirituelles, même après le retour de Juda qui fut amené également en captivité à Babylone, pour revenir ensuite. Mais Christ est venu, et : « Dès lors Jésus commença à prêcher et à dire : Repentez-vous ; car le royaume des cieux est proche » (Matthieu 4:17). Ainsi, le ministère public de Jésus a débuté dans ce territoire de ténèbres. Dans Jean 1:5, 9-11, nous découvrons : « Et la lumière a lui dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue … La véritable lumière qui éclaire tout homme était venue dans le monde. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle ; mais Lui le monde ne l’a pas connu. Il est venu chez les siens ; et les siens ne l’ont point reçu. »

Donc, partout où Christ Se manifeste, la lumière paraît aussi, car Il est la lumière. Christ a quitté le ciel pour descendre sur la terre disant, dans Hébreux 10:8 : « Ayant dit plus haut : Tu n’as point voulu de victime, ni d’offrande, ni d’holocaustes, ni de sacrifices pour le péché, (choses qui sont offertes selon la loi :) et tu n’y as point pris plaisir ; il ajoute ensuite : Voici, je viens, ô Dieu, pour faire ta volonté. » Cette étonnante volonté de Dieu : « a été maintenant manifestée par la venue de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort, et mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile, pour lequel j’ai été établi prédicateur, et apôtre, et docteur des Gentils », nous déclare Paul, dans 2 Timothée 1:10-11.

Et pourtant, tragiquement : « la cause de cette condamnation, c’est que la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient reprises » (Jean 3:19-20). Mais à ceux qui cherchent la lumière : « Jésus parla encore au peuple, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie » (Jean 8:12).

Donc : « la promesse qu’il nous a faite, c’est la vie éternelle. Je vous ai écrit ces choses au sujet de ceux qui vous séduisent. Mais l’onction que vous avez reçue de lui, demeure en vous ; et vous n’avez pas besoin que personne vous enseigne ; mais comme cette même onction vous enseigne toutes choses, et qu’elle est véritable, et qu’elle n’est point un mensonge, demeurez en lui, selon qu’elle vous a enseignés » (1 Jean 2:25-27).

La première petite épître de Jean nous offre un trésor de moyens qui nous fournissent les preuves de la réalité du changement spirituel invisible qui s’opère en vous par cette nouvelle vie. Cette réalité nous est donnée par deux moyens, un fondé sur nos expériences personnelles et l’autre fondé sur notre perception intellectuelle. Voici une courte liste des preuves de changement spirituel par nos expériences personnelles :

L’obéissance aux commandements de Dieu. « C’est lui qui est la propitiation pour nos péchés ; et non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. Et par ceci nous savons que nous l’avons connu, savoir, si nous gardons ses commandements. Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde point ses commandements, est un menteur, et la vérité n’est point en lui. Mais pour celui qui garde sa parole, l’amour de Dieu est véritablement parfait en lui, et à cela nous connaissons que nous sommes en lui. Celui qui dit qu’il demeure en lui, doit aussi marcher comme il a marché lui-même » (1 Jean 2:2-6 ).

Dans 1 Jean 2:13-14 : « Pères, je vous écris, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Jeunes gens, je vous écris, parce que vous avez vaincu le malin. Petits enfants, je vous écris, parce que vous avez connu le Père. Pères, je vous ai écrit, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement. Jeunes gens, je vous ai écrit, parce que vous êtes forts, et que la parole de Dieu demeure en vous, et que vous avez vaincu le malin. »

Par l’expérience, l’apôtre nous déclare, dans 1 Jean 2:18-19 : « Petits enfants, c’est ici la dernière heure ; et comme vous avez entendu dire que l’antichrist vient, il y a dès maintenant plusieurs antichrists ; par où nous connaissons que c’est la dernière heure. Ils sont sortis d’entre nous, mais ils n’étaient pas des nôtres ; car s’ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous ; mais c’est afin qu’il fût manifesté que tous ne sont pas des nôtres. »

L’ignorance du monde en ce qui concerne ce qui arrivera à ceux qui appartiennent à Christ. « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Le monde ne nous connaît point, parce qu’il ne l’a point connu. Bien-aimés, nous sommes à présent enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que quand il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est » (1 Jean 3:1-2).

Dans 1 Jean 3:6-8, l’apôtre nous confirme que : « Quiconque demeure en lui, ne pèche point ; quiconque pèche, ne l’a point vu et ne l’a point connu. Petits enfants, que personne ne vous séduise : celui qui pratique la justice, est juste comme lui-même est juste. Celui qui commet le péché, est du diable ; car le diable pèche dès le commencement. Or, le Fils de Dieu a paru pour détruire les œuvres du diable. »

Maintenant, regardons ce qu’i1 nous déclare, dans 1 Jean 3:16-19 : « Nous avons connu la charité, en ce qu’Il a donné sa vie pour nous ; nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères. Or, celui qui aurait des biens de ce monde, et qui, voyant son frère dans le besoin, lui fermerait ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeurerait-il en lui ? Mes petits enfants, n’aimons pas de paroles ni de la langue, mais en action et en vérité. Car c’est en cela que nous connaissons que nous sommes de la vérité, et que nous assurerons nos cœurs devant lui. »

Dans 1 Jean 4:13-16, nous lisons : « En ceci nous connaissons que nous demeurons en lui et lui en nous, c’est qu’il nous a donné de son Esprit. Et nous avons vu, et nous rendons témoignage que le Père a envoyé le Fils, le Sauveur du monde. Quiconque confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. Pour nous, nous avons connu et cru l’amour que Dieu a pour nous : Dieu est charité ; et celui qui demeure dans la charité, demeure en Dieu et Dieu en lui. »

Et finalement : « Nous connaissons en ceci que nous aimons les enfants de Dieu, c’est que nous aimons Dieu, et que nous gardons ses commandements. Car ceci est l’amour de Dieu, c’est que nous gardions ses commandements ; or, ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu, est victorieux du monde, et la victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi. Qui est celui qui est victorieux du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? » (1 Jean 5:2-5).

Voici maintenant quelques preuves intellectuelles, par lesquelles nous savons que nous avons confiance en Lui :

Dans 1 Jean 2:20-21, l’apôtre nous déclare : « Pour vous, vous avez reçu l’onction de la part du Saint, et vous connaissez toutes choses. Je vous ai écrit, non que vous ne connaissiez pas la vérité, mais parce que vous la connaissez, et parce que nul mensonge ne vient de la vérité. »

N’oublions jamais la sainteté de Jésus. « Maintenant donc, petits enfants, demeurez en lui, afin que, quand il paraîtra, nous ayons de la confiance et que nous ne soyons pas confus devant lui à son avènement. Si vous savez qu’il est juste, sachez que quiconque pratique la justice, est né de lui » (1 Jean 2:28-29).

« Voyez quel amour le Père nous a témoigné, que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Le monde ne nous connaît point, parce qu’il ne l’a point connu » (1 Jean 3:1).

Nos corps éternels seront comme le corps de Christ. « Bien-aimés, nous sommes à présent enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que quand il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est » (1 Jean 3:2).

Haïr un frère ou une sœur sera comme devenir un meurtrier. 1 Jean 3:15 nous dévoile que : « Quiconque hait son frère est un meurtrier ; et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. »

1 Jean 5:13 : « Je vous ai écrit ces choses, à vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, et afin que vous croyiez au nom du Fils de Dieu. » Donc, les Écritures nous annoncent déjà que nous avons la vie éternelle.

Nous avons l’assurance d’appartenir à Dieu. 1 Jean 5:19 : « Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est plongé dans le mal. » 1 Jean 5:20 : « Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes en ce Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle. »

Ces révélations sont données principalement aux croyants afin de les rassurer dans leurs cœurs et dans leurs esprits quant à leur sécurité en Christ. La liste que Jean nous donne ici n’a pas la prétention d’être complète, mais seulement de porter notre attention sur l’évidence qui ressort de ces paroles. Donc, lorsque vous compterez vos bénédictions, pensez également à celles qui sont mentionnées ici. Car il y a une pénalité pour l’incrédulité. « Or, je veux vous rappeler, à vous qui l’avez su une fois, que le Seigneur ayant délivré le peuple du pays d’Égypte, détruisit ensuite ceux qui ne crurent pas », nous déclare le frère de Christ, dans Jude 1:5. C’est le premier exemple fourni par Jude à ceux qui refuseront de réagir à la gracieuse provision de Dieu.

Israël fut témoin de miracles étonnants et de quelques jugements publics, avant même que les douze espions fussent envoyés pour parcourir et scruter la terre promise. Par exemple, la Pâque fut un événement merveilleux, car Dieu y exprima le salut par Sa main puissante au bénéfice de ceux qui ont obéi, mais Il manifesta également un jugement rapide sur ceux qui refusèrent. L’exode d’Israël de l’Égypte fut unique. Non seulement Dieu avait enrichi la nation en une seule journée, mais Dieu a également démontré Sa puissance énorme en ouvrant la Mer Rouge pour Son peuple, et en détruisant l’armée de Pharaon. Tout le monde en Israël en fut témoin. Tous ont visuellement expérimenté la puissance de Dieu.

Sur leur chemin vers le Mont Sinaï, l’eau amère de Marah fut rendue buvable même après leurs plaintes continuelles. Le miracle quotidien de la manne leur fut donné pour les nourrir, et Dieu fit jaillir de l’eau du rocher afin de les désaltérer ; ainsi, Sa grâce se voyait partout. Même lorsque la nation arriva à la montagne sainte et que les Dix Commandements furent donnés à la vue de tous, en l’absence de Moïse, Israël s’est rebellé par la célébration du veau d’or. Le jugement de Dieu a été rapide et des milliers de gens ont péri. Mais la nation n’avait toujours pas appris sa leçon.

Même après avoir eu un regain de foi, pendant qu’ils donnaient de leurs biens et qu’ils bâtissaient et dédicaçaient le tabernacle afin de pouvoir adorer leur Dieu. Après tout cela, Moïse envoya douze hommes pour espionner la terre promise. Lorsque la nation refusa d’avoir confiance en Dieu, Il condamna à mourir dans le désert chacun de ceux qui avaient vingt ans et plus, sauf Caleb et Josué. Dieu leur dit : « Vos cadavres tomberont dans ce désert ; et tous ceux d’entre vous qui ont été dénombrés, selon tout votre nombre, depuis l’âge de vingt ans et au-dessus, vous tous qui avez murmuré contre moi, vous n’entrerez pas au pays au sujet duquel j’ai levé ma main, jurant de vous y faire habiter ; excepté Caleb, fils de Jephunné, et Josué, fils de Nun. Mais j’y ferai entrer vos petits enfants, dont vous avez dit qu’ils y seraient une proie ; et ils connaîtront le pays que vous avez méprisé. Mais vos cadavres, à vous, tomberont dans ce désert » (Nombres 14:29-32).

« Car nous connaissons celui qui a dit : A moi appartient la vengeance ; je rendrai la pareille, dit le Seigneur. Et ailleurs : Le Seigneur jugera son peuple. C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant » (Hébreux 10:30-31). Mais regardons ensemble la belle promesse que le prophète Esaïe nous rend compte : « En ce jour-là, le Seigneur étendra encore une fois la main pour racheter les restes de son peuple, qui seront réchappés de l’Assyrie, de l’Égypte, de Pathros, de Cush, d’Élam, de Shinear, de Hamath et des îles de la mer. Il élèvera un étendard vers les nations ; il recueillera les exilés d’Israël, et rassemblera les dispersés de Juda, des quatre bouts de la terre. Alors la jalousie d’Éphraïm disparaîtra, et les oppresseurs seront retranchés de Juda ; Éphraïm ne sera plus jaloux de Juda, et Juda n’opprimera plus Éphraïm » (Esaïe 11:11-13).

Le grand prophète Esaïe a vécu durant la période où les dix tribus du nord d’Israël furent amenées en captivité par les Assyriens et environ cent ans avant que la nation de Juda soit amenée en exil par les Babyloniens. Malgré cela, dans l’une des prophéties les plus remarquables de la Bible, Esaie a promis que son peuple reviendrait un jour à Jérusalem, afin de rebâtir la ville et reconstruire un temple. Dans Esaïe 44:26-28, nous lisons : « Qui confirme la parole de mon serviteur, et accomplis le conseil de mes envoyés ; qui dis de Jérusalem : Elle sera habitée, et des villes de Juda : Elles seront rebâties, et je relèverai leurs ruines ; qui dis à l’abîme : Sois desséché, et je tarirai tes fleuves ! Qui dis de Cyrus : Il est mon pasteur, il accomplira toute ma volonté, en disant à Jérusalem : Sois rebâtie, et au temple : Tu seras fondé ! »

« Afin qu’on sache, du soleil levant au soleil couchant, qu’il n’y en a point d’autre que moi. Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre ; qui forme la lumière et qui crée les ténèbres, qui fais la prospérité et qui crée l’adversité ; c’est moi, l’Éternel, qui fais toutes ces choses. Cieux, répandez la rosée d’en haut, et que les nues fassent pleuvoir la justice ! Que la terre s’ouvre, et produise le salut, et qu’elle fasse germer la justice ! Moi l’Éternel, j’ai créé cela, » nous déclare Esaïe 45:6-8. Et Dieu a même nommé le futur empereur de la Perse, Cyrus, chef de la nation qui succèderait à l’Assyrie et à Babylone comme la puissance dominante de la terre.

Ce grand roi a rempli la prophétie d’Esaie environ 175 ans après qu’elle ait été donnée. « La première année du règne de Cyrus, roi de Perse, afin que la parole de l’Éternel, prononcée par Jérémie, fût accomplie, l’Éternel réveilla l’esprit de Cyrus, roi de Perse, qui fit publier par tout son royaume, et même par écrit, un édit portant : Ainsi a dit Cyrus, roi de Perse : L’Éternel, le Dieu des cieux, m’a donné tous les royaumes de la terre, et lui-même m’a ordonné de lui bâtir une maison à Jérusalem, qui est en Juda. Qui d’entre vous est de son peuple ? Que son Dieu soit avec lui, et qu’il monte à Jérusalem qui est en Juda, et qu’il rebâtisse la maison de l’Éternel, le Dieu d’Israël ; c’est le Dieu qui est à Jérusalem. Et quant à tous ceux qui restent, en quelque lieu qu’ils séjournent, que les gens du lieu les assistent, d’argent, d’or, de biens et de bétail, outre ce qu’on offrira volontairement pour la maison du Dieu qui est à Jérusalem » (Esdras 1:1-4).

Mais Esaie a non seulement prophétisé le retour initial de l’exil, il a également prévu que dans un avenir rapproché, Dieu dirait de Cyrus : « Il est mon pasteur, il accomplira toute ma volonté, en disant à Jérusalem : Sois rebâtie, et au temple : Tu seras fondé ! » (Ésaïe 44:28). Ce passage ne prophétise rien d’autre que le retour glorieux du Messie pour régner sur toute la terre. « On ne fera point de mal, et on ne détruira point, sur toute ma montagne sainte ; car la terre sera remplie de la connaissance de l’Éternel, comme le fond de la mer des eaux qui le couvrent. En ce jour-là, le rejeton d’Isaï sera comme un étendard dressé pour les peuples ; les nations se tourneront vers Lui, et sa demeure sera glorieuse. En ce jour-là, le Seigneur étendra encore une fois la main pour racheter les restes de son peuple, qui seront réchappés de l’Assyrie, de l’Égypte, de Pathros, de Cush, d’Élam, de Shinear, de Hamath et des îles de la mer » (Esaïe 11:9-11).

Mais Dieu les rassemblera des quatre coins de la terre. « Il élèvera un étendard vers les nations ; il recueillera les exilés d’Israël, et rassemblera les dispersés de Juda, des quatre bouts de la terre. Alors la jalousie d’Éphraïm disparaîtra, et les oppresseurs seront retranchés de Juda ; Éphraïm ne sera plus jaloux de Juda, et Juda n’opprimera plus Éphraïm » (Esaïe 11:12-13). Le prophète Esaie a ainsi prédit un plus grand retour d’exil, un rassemblement mondial d’Israël, bien avant le retour de Juda de la captivité babylonienne. Une telle information ne pouvait venir que de Dieu Lui-même.

Il y a ici une grande leçon pour les chrétiens de la nouvelle alliance qui ont oublié que Satan n’avait pas négligé ces nouveaux convertis : « Car il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps ; des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient Dieu, le seul Dominateur, et Jésus-Christ, notre Seigneur. Or, je veux vous rappeler, à vous qui l’avez su une fois, que le Seigneur ayant délivré le peuple du pays d’Égypte, détruisit ensuite ceux qui ne crurent pas ; et qu’il retient par des chaînes éternelles dans les ténèbres, pour le jugement du grand jour, les anges qui n’ont pas gardé leur puissance, mais qui ont quitté leur propre demeure » (Jude 1:4-6).

Le mot spécial choisi par le Saint-Esprit est très utile pour comprendre cet avertissement. L’expression « glissé parmi vous », en grec, fut traduit du mot pareisduno qui veut dire littéralement « se glisser à côté de quelqu’un ». Qu’est-ce qui pourrait être plus descriptif ? Ces gens s’introduisaient dans les assemblées et, aussitôt acceptés, transposaient la grâce de Dieu en convoitise incontrôlable, prétendant qu’elle était acceptable. Paul a utilisé une expression similaire lorsqu’il écrivit à Timothée au sujet des impies : « Ayant l’apparence de la piété, mais en ayant renié la force. Éloigne-toi aussi de ces gens-là. De ce nombre sont ceux qui s’introduisent dans les maisons, et qui captivent de pauvres femmes chargées de péchés, entraînées par diverses passions ; qui apprennent toujours, et ne peuvent jamais parvenir à la connaissance de la vérité » (2 Timothée 3:5-7).

L’image implique la subtilité et l’habileté de ces impies à séduire des femmes par la sexualité, mais il y a une horrible conséquence à ce remplacement de la grâce de Dieu par la convoitise. L’apôtre Jude nous parle du terrible jugement du peuple d’Israël qui refusa de croire le bon compte-rendu de Josué et de Caleb lorsque les douze espions revinrent du pays de Canaan. Dieu détruisit ceux qui avaient accepté l’exposé des dix espions dissidents.

Même les anges déchus, qui gouvernèrent par la corruption le monde du temps de Noé, eurent leur jugement. Dans Genèse 6:1-5, nous lisons : « Or, quand les hommes eurent commencé à se multiplier sur la face de la terre et que des filles leur furent nées, les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils prirent des femmes d’entre toutes celles qui leur plurent. Et l’Éternel dit : Mon esprit ne contestera point dans l’homme à toujours ; dans son égarement il n’est que chair ; ses jours seront de cent vingt ans. Les géants étaient sur la terre, en ce temps-là, et aussi dans la suite, parce que les fils de Dieu venaient vers les filles des hommes, et elles leur donnaient des enfants : ce sont ces hommes puissants qui, dès les temps anciens, furent des gens de renom. Et l’Éternel vit que la malice de l’homme était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que mauvaise en tout temps. » Alors, Dieu venait d’annoncer qu’il ne restait que cent vingt ans avant le Déluge qui détruirait la race humaine, sauf Noé et sa famille.

L’apôtre Pierre abonde dans le même sens, dans 2 Pierre 2:1-3, lorsqu’il écrit : « Or, comme il y a eu de faux prophètes parmi le peuple, il y aura aussi parmi vous de faux docteurs, qui introduiront secrètement des sectes pernicieuses, et qui, reniant le Seigneur qui les a rachetés, attireront sur eux-mêmes une perdition soudaine. Et plusieurs suivront leurs doctrines de perdition, et la voie de la vérité sera blasphémée à cause d’eux. Et par cupidité ils trafiqueront de vous au moyen de paroles trompeuses ; mais depuis longtemps leur condamnation ne s’arrête point, et leur perdition ne sommeille point. » Avez-vous remarqué comment les prédicateurs se donnent, de nos jours, le titre de « docteur » pour mieux impressionner les gens ?

Sodome et Gomorrhe, Caen, Balaam et Coré sont tous cités en exemple par Jude pour ceux qui subissent un jugement sévère de la part de Dieu alors qu’en en sachant davantage, ils choisirent plutôt la rébellion contre le leadership de droiture du peuple de Dieu. Dieu ne prend pas à la légère ceux qui utilisent mal Ses instructions. « Celui donc qui aura violé l’un de ces plus petits commandements, et qui aura ainsi enseigné les hommes, sera estimé le plus petit dans le royaume des cieux ; mais celui qui les aura observés et enseignés, celui-là sera estimé grand dans le royaume des cieux », nous déclare Jésus, dans Matthieu 5:19. Après tout : « Je me prosternerai dans le palais de ta sainteté, et je célébrerai Ton Nom, à cause de Ta bonté et de Ta vérité ; car Tu as magnifiquement accompli Ta parole, au-delà de toute Ta renommée », déclare David, dans Psaume 138:2.

Revenons à Genèse 1:5 où : « Dieu nomma la lumière, jour ; et il nomma les ténèbres, nuit. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le premier jour. » Plusieurs personnes, de nos jours, professant croire en la Bible, ont fait des compromis avec la philosophie évolutionniste qui domine notre société, en acceptant de prêter au mot « jour » la signification d’ères géologiques. Ce système interprète la durée des roches et des fossiles selon une période de temps supposée de 4,6 milliards d’années en ce qui concerne la terre, et d’environ un million d’années d’évolution quant à la vie des premiers humains. Afin de justifier ce compromis, ils disent que le mot « jour », dans la description de la création, correspond sûrement à des ères géologiques, arguant que le mot hébreu « jour » (yom) ne veut pas nécessairement dire une journée solaire.

Ah oui !? car dans Genèse 1, Dieu savait que les philosophes païens de l’antiquité tenteraient d’injecter une distorsion dans le compte-rendu de la création, en y insérant de longues périodes de leur évolution panthéiste. Comme dans les anciennes cosmogonies babyloniennes, égyptiennes, grecques et autres ! Donc, Dieu a pris grand soin de définir Ses termes ! Dieu a appelé la lumière jour. Et ce fut la première journée avec son soir et son matin. Et toutes les journées subséquentes ont suivi le même modèle, une période de noirceur (nuit), suivie d’une période de lumière (jour). Il n’y a aucune possibilité que cette définition puisse accommoder une ère géologique. Ceci est la première référence au « jour » ou « yom » dans la Bible par Dieu, notre Créateur.

Cela devrait régler la question pour quelqu’un qui croit véritablement à la Bible. Un individu peut décider de croire aux géologues évolutionnistes s’il le désire, au lieu de croire Dieu, mais il pourrait au moins laisser Dieu parler pour Lui-même. Dans Exode 31:17, Dieu dit : « C’est un signe entre moi et les enfants d’Israël à perpétuité ; car l’Éternel a fait en six jours les cieux et la terre, mais au septième jour il a cessé et s’est reposé. » Dieu a créé la terre pendant six jours, et non en six âges.

« Tout cela afin de donner la connaissance du salut à Son peuple, dans la rémission de leurs péchés, par les entrailles de la miséricorde de notre Dieu, par lesquelles le soleil levant nous a visités d’en haut ; pour éclairer ceux qui sont assis dans les ténèbres et dans l’ombre de la mort, et pour conduire nos pas dans le chemin de la paix, » nous écrit Luc, au sujet de Jésus, dans Luc 1:77-79. Jésus est le nom magnifique donné par Zacharie au Sauveur, alors qu’il était rempli du Saint-Esprit et prophétisait. Dans la même prophétie, Zacharie dit : « Et toi, petit enfant, tu seras appelé le prophète du Très-Haut ; car tu marcheras devant la face du Seigneur, pour préparer ses voies » (Luc 1:76). À peine six mois plus tard, Jésus naissait.

Le mot grec, traduit ici par « soleil levant », est défini ainsi une seule fois parce qu’il se réfère métaphoriquement à l’endroit où le soleil se lève chaque jour et qui est habituellement traduit « Orient ». Il est quand même intéressant qu’il soit utilisé trois fois dans le récit des mages. Dans Matthieu 2:1-2, nous lisons : « Jésus étant né à Bethléhem, de Judée, au temps du roi Hérode, des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le Roi des Juifs qui est né ? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus l’adorer … Alors Hérode, ayant appelé en secret les mages, s’informa d’eux exactement du temps auquel avait paru l’étoile. Et les envoyant à Bethléhem, il leur dit : Allez, et informez-vous exactement du petit enfant, et quand vous l’aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j’y aille aussi, et que je l’adore. Eux donc, ayant entendu le roi, s’en allèrent ; et voici, l’étoile qu’ils avaient vue en Orient allait devant eux, jusqu’à ce qu’étant arrivée sur le lieu où était le petit enfant, elle s’y arrêta. Or à la vue de l’étoile ils furent remplis d’une très grande joie. Et étant entrés dans la maison, ils trouvèrent le petit enfant, avec Marie sa mère, et se prosternant devant lui ils l’adorèrent ; et ouvrant leurs trésors, ils lui présentèrent des dons, de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Puis, ayant été divinement avertis par un songe de ne pas retourner vers Hérode, ils se retirèrent en leur pays par un autre chemin » (Matthieu 2:7-12). Avez-vous remarqué que le bébé, qui s’était sauvé avec ses parents, était devenu « un petit enfant » ? Donc, le voyage des mages a pris un certain temps. Et l’étoile qui se déplaçait devant eux était, en réalité un ange.

Il n’y a pas d’autre soleil levant convenablement présagé, ici. Plusieurs années plus tard, les femmes, qui avaient regardé le Seigneur Jésus Se faire crucifier et ensevelir, retournèrent à Son sépulcre afin de L’oindre avec des épices douces. « Et elles vinrent au sépulcre de grand matin, le premier jour de la semaine, comme le soleil venait de se lever. Et elles disaient entre elles : Qui nous ôtera la pierre de l’entrée du sépulcre ? Et ayant regardé, elles virent que la pierre avait été ôtée ; or, elle était fort grande. Puis, étant entrées dans le sépulcre, elles virent un jeune homme assis du côté droit, vêtu d’une robe blanche ; et elles furent épouvantées. Mais il leur dit : Ne vous effrayez point ; vous cherchez Jésus de Nazareth qui a été crucifié ; il est ressuscité, il n’est point ici ; voici le lieu où on l’avait mis. Mais allez, dites à ses disciples et à Pierre qu’il vous devance en Galilée ; vous le verrez là, comme il vous l’a dit » (Marc 16:2-7).

Néanmoins, il y aura un autre grand lever du soleil prédit par Malachie 4:1-3 : « Car voici, le jour vient, ardent comme un four : tous les orgueilleux et tous ceux qui commettent la méchanceté, seront comme du chaume, et ce jour qui vient les embrasera, a dit l’Éternel des armées, et ne leur laissera ni racine ni rameau. Mais pour vous, qui craignez mon nom, se lèvera le soleil de justice, et la santé sera dans ses rayons, et vous sortirez et bondirez comme les veaux d’une étable. Et vous foulerez les méchants, car ils seront comme de la cendre sous la plante de vos pieds, au jour que je prépare, a dit l’Éternel des armées. »

Et Celui qui a déclaré Lui-même, dans Jean 8:12 : « Je suis la lumière du monde », reviendra un jour et remplacera le soleil dans la Nouvelle Jérusalem. Il n’y aura plus besoin de lever du soleil après cela. Car : « Il n’y aura plus de nuit, et ils n’auront point besoin de lampe, ni de la lumière du soleil, parce que le Seigneur Dieu les éclairera ; et ils régneront aux siècles des siècles » (Apocalypse 22:5).