Est-ce que Dieu favorise une race plus que les autres ?

Dieu ne fait acception de personne

Traduction de l’infolettre de janvier 2018 de Power of Prophecy

Par Jerry Barrett

« En vérité, je reconnais que Dieu n’a point égard à l’apparence des personnes ; Mais qu’en toute nation, celui qui le craint et qui s’adonne à la justice, lui est agréable. »

(Actes 10:34-35)

Pendant plus de trente ans, Texe Marrs a été un ami, un enseignant et un mentor pour une multitude de chrétiens. Il m’a enseigné plus de dix-huit ans. Ce m’est un grand honneur que de l’appeler mon ami. À Power of Prophecy, nous allons continuer son héritage visant à dénoncer les malfaiteurs et à répandre la vérité.

Sous sa tutelle, je me suis éveillé aux actions subversives de ceux qui se déclarent « chrétiens », mais sont en fait des loups déguisés en brebis. J’ai également été mis au courant du sionisme et du programme « juif » qui mène le pays depuis près de cent ans.

Creusons la chose une minute. Près de cent ans ! Wow !

Le petit pays qui a été créé en territoire palestinien et reconnu par Harry Truman et Joseph Staline n’existe pas depuis bien longtemps. Toutefois, l’infiltration de son programme s’est fait à fond. Quiconque s’est trouvé en travers de son chemin a été éliminé, ostracisé et couvert de honte.

Comme preuve, voyez ce qui est arrivé à Harry Truman, John F. Kennedy, Richard Nixon, Spiro Agnew et Jimmy Carter. Tous se sont rebiffés contre le programme pro-sioniste — à différentes mesures — et l’on s’est chargé d’eux sommairement. Même Bill Clinton s’est vu forcé de tirer la ligne lorsqu’il a succombé à « l’Option Esther » connue sous le nom de Monica Lewinsky.

L’infiltration juive de l’Église d’aujourd’hui

Ce programme s’est, non seulement infiltré dans notre gouvernement et notre système d’éducation, mais il a également envahi l’église soi-disant « chrétienne ». Certains pasteurs ont même déjà commencé à célébrer les jours saints « juifs » et leurs paroissiens imitent souvent leurs pasteurs en répétant : « Bénissez Israël et vous serez béni, maudissez Israël et vous serez maudit. »

Malheureusement, ces mangeurs de balustre n’étudient pas leur Bible et copient plutôt leurs leaders ecclésiastiques. Certains des pasteurs, fraîchement sortis du séminaire, n’ont même jamais appris qu’il y a un Israël spirituel et un Israël physique. À cause de leur zèle à soutenir Israël, ils conduisent chacun de leurs membres à la perdition.

Ils se réfèrent rapidement à Genèse 12:1-3 : « Et l’Éternel avait dit à Abram … je te ferai devenir une grande nation … je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront… »

Chose triste, ils n’ont jamais étudié ni appris Hébreux 8:6-13 : « Mais maintenant Christ a obtenu un ministère d’autant plus excellent, qu’il est Médiateur d’une alliance plus excellente, et qui a été établie sur de meilleures promesses. En effet, si la première alliance avait été sans défaut, il n’y aurait pas eu lieu d’en établir une seconde. Car en leur adressant des reproches, Dieu dit aux Juifs : Voici, les jours viendront, dit le Seigneur, que je traiterai une alliance nouvelle avec la maison d’Israël, et avec la maison de Juda ; non une alliance comme celle que je fis avec leurs pères, au jour où les prenant par la main, je les tirai du pays d’Égypte ; car ils n’ont pas persévéré dans mon alliance, et je les ai abandonnés, dit le Seigneur. Or, voici l’alliance que je traiterai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit le Seigneur, je mettrai mes lois dans leur esprit, et je les écrirai sur leur cœur. Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ; et aucun n’enseignera plus ni son prochain ni son frère, en disant : Connais le Seigneur ; parce que tous me connaîtront, depuis le plus petit d’entre eux jusqu’au plus grand ; parce que je serai apaisé à l’égard de leurs injustices, et que je ne me souviendrai plus de leurs péchés, ni de leurs iniquités. En parlant d’une alliance nouvelle, il déclare ancienne la première ; or, ce qui est devenu ancien et a vieilli est près de disparaître. »

Pourquoi cette partie du livre aux Hébreux n’est-elle pas prêchée au lutrin ? Parce qu’elle va à l’encontre de l’enseignement pro-sioniste produit dans les séminaires et dans de nombreuses études théologiques de niveau universitaire. Et – que le ciel les en préserve – parce qu’ils craignent d’être qualifiés « d’antisémites ».

Que veut dire « antisémite » ?

Le terme « antisémite » est servi à toutes les sauces, ces jours-ci. Toute la gloire de la propagation de cette expression en revient à la Ligue Anti-Diffamation et autres groupements pro-Israél. Leur définition dérangée – quiconque parle en mal d’Israël ou des « Juifs » – s’est imprégnée dans notre société.

Le mot « sémite » original concerne un groupe linguistique. Cela n’a rien à voir avec la race ou l’ethnicité. Il inclurait donc les Éthiopiens, les pays arabes, les Iraquiens, les Syriens et d’autres encore. On pourrait aussi inclure les Juifs séfarades.

Les Khazars sont-ils sémites ?

Pourquoi le terme « antisémite » est-il attaché à quiconque parle contre Israël, le sionisme ou le judaïsme ? À cause du stigmate accolé à cette expression, la plupart de ceux que l’on appelle ainsi courberont l’échine et se confondront en excuses en demandant pardon.

Grâce aux recherches sur l’ADN, nous savons maintenant que la majorité des habitants de l’Israël moderne proviennent du Caucase, dans la partie sud de la Russie. On les appelle aussi des Khazars. Leur langue était le khazar, ce qui ne rencontre donc pas le critère établi par les linguistes pour être sémite.

L’émergence du sionisme chrétien

Dans les années 1940, le terme « judéo-chrétien » – le mélange des croyances judaïques et chrétiennes – fit partie de la culture américaine populaire. Cela a également conduit à l’émergence du sionisme chrétien, populaire chez les évangéliques américains. John Hagee personnifie cet enseignement apostat. Son livre, À la défense d’Israël, déclare que Jésus n’est pas venu en tant que Messie. Comment peut-on encore considérer cet homme un « chrétien » ?

Le mouvement Identité Chrétienne a récemment gagné en popularité. Il déclare dans son idéologie que tous ceux qui ne sont pas de race blanche seront, soit exterminés, ou deviendront esclaves de la race blanche dans le royaume céleste sur terre. Sa doctrine énonce aussi que les gens de couleur n’atteindront jamais le salut.

Qui est le Peuple élu de Dieu ?

Ainsi, qui est vraiment le « Peuple élu » de Dieu ? La Bible le décrit-elle ? Pourquoi est-il si difficile de comprendre la Parole de Dieu en la matière ?

Galates 3:26-29 nous dit qui sont Ses Élus : « Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n’y a plus ni esclave ni libre ; il n’y a plus ni homme ni femme ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Et si vous êtes de Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, et les héritiers selon la promesse. »

Si vous étudiez la Parole de Dieu, vous noterez que, lorsqu’un point important est apporté, vous allez trouver plus d’une référence s’y rattachant dans la Bible. Donc, voyons ce que Romains 10:12-13 a à dire : « Car il n’y a point de distinction entre le Juif et le Grec, parce que tous ont un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur, sera sauvé. »

Un véritable chrétien peut-il être raciste ?

Si l’on suit tout le conseil de Dieu, alors être raciste est impossible. Dans le livre des Actes, Pierre dit : « Je reconnais que Dieu n’a point égard à l’apparence des personnes ».

Tous ceux qui en appellent à Jésus-Christ comme de leur Sauveur, ceux-là sont Ses Élus. Nous sommes un peuple particulier, un sacerdoce royal. Nous devons aller l’annoncer et répandre Son message partout.

Il n’y a pas de haine dans la Parole de Dieu. Ceux qui sont engendrés aimeront leurs frères comme eux-mêmes. Nous avons pour mission d’apporter la lumière de Jésus à tous ceux qui ont des oreilles pour entendre.

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« Célébration » de cent ans de mensonges et de menaces bolcheviques et sionistes

Par Steve Reilley

Il y a cent ans, le sionisme et le bolchevisme célébraient leurs plus grandes conquêtes. La première, une déclaration concernant la Palestine, de la part du pouvoir colonial dirigeant dans le monde, et l’autre, la destitution du Gouvernement Provisoire de Russie – d’énormes accomplissements, selon tous les standards.

Le bolchevisme et le sionisme attinrent leurs sommets comme il convient durant la plus grande guerre à ce point de l’histoire et ils allèrent jouer un rôle majeur à l’arrivée de la Seconde Guerre Mondiale.

Et, bien que la Première Guerre Mondiale faisait rage dans de nombreux coins du globe et créait une situation fluctuante au sein de beaucoup de capitales européennes, les citoyens de l’Occident croyaient leur monde civilisé. Pourtant, le bolchevisme et le sionisme faisaient fi des lois internationales et des standards pour lesquels les occidentaux supportaient leurs leaders.

Dit simplement : Comment ?

Sans que les citoyens ne le sachent, leurs leaders répondaient, non pas au peuple, mais à une cabale inexplicable et invisible, bien plus puissante que n’importe quel pays (Voir Milieu d’intrigue, par Texe Marrs). Le leader d’un pays fut-il trouvé, jusqu’à un certaine point, réfractaire à « jouer le jeu », comme le Premier Ministre H. H. Asquith de Grande-Bretagne, il était tout simplement « mis sur le banc » au profit d’un remplaçant convenable, comme, dans ce cas-ci, David Lloyd George, qui agit exactement tel qu’ordonné.

Mais il existe un aspect beaucoup moins facile à contrôler qu’un seul homme au-dessus d’un pays. Le flot d’information donné au public.

Le public du début du 20e siècle s’en remettait au reportage des médias écrits pour connaître les événements mondiaux. Alors qu’il y a aujourd’hui des avenues additionnelles par lesquelles l’on peut obtenir les « nouvelles », il y a cent ans, les histoires souvent citées provenaient des agences de presse et des journaux quotidiens majeurs.

Dans La controverse de Sion, Douglas Reed reconnaît le problème comme suit : « De loin, le plus grand obstacle que rencontraient les ambitions du sionisme s’avérait le reportage dans la presse des faits qui se passaient en Palestine, ainsi que des commentaires éditoriaux. »

Initialement, Lord Northcliffe, important nabab de la presse de Grande-Bretagne, représentait le « plus grand obstacle » face à la machine de propagande sioniste. Reconnu comme « indépendant et non achetable », Northcliffe était propriétaire majoritaire de multiples journaux britanniques qui représentaient 40 % du lectorat quotidien.

En 1920, l’intrépidité de Northcliffe lui valut l’inimitié d’un grand nombre de Juifs puissants. Ayant pris connaissance des Protocoles des Sages de Sion récemment traduits, Northcliffe publia des extraits du livre. Sous le titre de « Le péril juif, un inquiétant opuscule qui exige une enquête », Northcliffe déclara : « Une enquête impartiale de ces prétendus documents et de son histoire serait des plus désirables … allons-nous rejeter toute l’affaire sans enquête et laisser l’influence d’un tel livre opérer sans vérification ? »

Vers la même époque, Northcliffe eut vent de ce qui se produisait en Palestine et se donna pour mission de faire connaître la vérité au public. Il se rendit en Terre Sainte avec JMN Jeffries, un éminent journaliste de la Première Guerre Mondiale, et vit de ses propres yeux ce qui s’y passait. Les dépêches de Jeffries dans The Times fournissaient une illustration bien différente de ce qu’offrait la propagande sioniste apparaissant dans les autres journaux anglais.

Mais les choses arrivèrent rapidement au point critique lorsque l’éditeur de Northcliffe au Times, Wickam Steed, refusa d’imprimer d’autres histoires en rapport avec la Palestine. Mystérieusement, en dedans de quelques mois, le grand nabab des journaux, Northcliffe, mourait.

Près de deux décennies plus tard, Jeffries publia un livre, Palestine, la réalité, mais il ne rejoignit qu’une infime fraction de lecteurs.

La nature étrange de la chute et de la mort de Northcliffe en dit beaucoup sur le groupe extrêmement puissant qui opère au-dessus des lois, capable d’éliminer des personnages très connus sans aucune conséquence. Il est clair que ce groupe désire le succès du sionisme.

Inutile de dire que dès lors, les journaux chantèrent tous en harmonie parfaite en ce qui a trait à la Palestine. Les groupements sionistes apportèrent leur « aide » en fournissant des articles prêts à imprimer. Une tactique à l’usage très répandu aujourd’hui.

Robert Wilton, correspondant pour le Times en Russie pendant plus de quinze ans, rapporta la révolution telle qu’il la vit. Ses dépêches montraient on ne peut plus clairement le ratio extrêmement élevé de Juifs dans les postes de leadership.

Wilson fut traité de la même manière qu’il l’aurait été aujourd’hui. Une plainte alléguant de l’antisémitisme fut déposée par un fonctionnaire du Bureau Britannique des Affaires Étrangères. À partir de là, ses dépêches se retrouvèrent dans les corbeilles à papier du Times plutôt que dans ses colonnes. Après quelques années, homme brisé, Wilton mourait. Encore une fois, le révélateur de vérité était éliminé en servant d’exemple.

Aujourd’hui, le contrôle de l’information est encore mieux concerté. La juiverie organisée contrôle 96 % des médias mondiaux. Cependant, avec la venue de l’Internet, plus de gens peuvent employer des sources alternatives afin de trouver la vérité. Ce qui a conduit à la censure de la part de Google et d’autres dans une vaine tentative de contrôler ce que le public en général peut apprendre. Lorsque le Président Trump vocifère « FAUSSES NOUVELLES ! », il pourrait parler pour Jeffries, Wilton et d’autres révélateurs de vérité que l’on a piétinés sommairement.

http://www.texemarrs.com/012018/no_respecter_of_persons.htm




D.103 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 18

 

17. « Antisémite »

Le mot « antisémite » est encore un mot qu’on devrait retirer de la langue anglaise. Aujourd’hui, le mot « antisémite » ne sert plus qu’un seul objectif : c’est devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) sentent qu’un quidam va s’opposer à l’un de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immédiatement pour cible, et ils le discréditent en lui collant systématiquement l’étiquette « antisémite ! ». Et ils le font dans tous les médias qu’ils possèdent ou qu’ils contrôlent indirectement. Je parle ici après une longue expérience personnelle, vous pouvez me croire. Lorsqu’en 1946, j’ai fait ma première déclaration publique sur les événements de Palestine, mes anciens coreligionnaires ont été bien incapables de me réfuter, ils ont donc dépensé des millions de dollars pour me salir, en faisant soudain de moi un grossier « antisémite » ; espérant par là me discréditer aux yeux du public qui manifestait pourtant un grand intérêt à ce que je lui disais. Jusqu’en 1946, j’étais un « petit Saint » pour tous les « Juifs » de ce pays (prétendus ou autoproclamés tels). Mais lorsque j’ai manifesté publiquement mon désaccord envers la politique sioniste en Palestine, je suis devenu d’un coup : « l’antisémite numéro 1 ».

Il est honteux de voir comment le clergé chrétien reprend à son compte l’usage à tout propos du terme : « antisémite ». Les prêtres devraient chercher à savoir de quoi ils parlent. Ils savent pourtant bien que ce mot n’a pas le moindre sens dans l’usage qu’on lui donne aujourd’hui. Ils savent que le terme correct pour désigner une personne qui s’opposerait au judaïsme en tant que religion, n’est pas « anti-sémite », mais bien « judéo-phobe »[1]. Mais s’ils ont préféré la racine « -sémite », à la racine « judéo- », c’est justement pour forger un terme de diffamation ; sachant pertinemment que dans l’esprit des chrétiens, le mot « Sémite » est étroitement lié à celui de « Jésus-Christ ». En tolérant l’usage de ce mot de diffamation, les chrétiens sont devenus des instruments dans l’entreprise de destruction de leur propre foi ; puisque ce mot permet de persécuter, puis de réduire au silence, tous les chrétiens qui s’opposent à la conspiration.[2]

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[1] « Anti-talmudiste » serait encore mieux, nous n’aurions plus le suffixe « -phobe », qui garde une connotation de « peur instinctive », ce qui n’est pas du tout le cas ici.

[2] Par ailleurs, étant donné que nous savons maintenant que 90 % des « Juifs-talmudistes » descendent des Khazars, et non des sémites (via les Hébreux puis les Israélites), le mot « Antisémite » apparaît comme doublement mal venu. Ce sont même la plupart du temps des Sémites qui s’ignorent (des descendants des vrais Israélites) qui se font traiter d’antisémites par les Khazars… C’est le monde à l’envers !