La Franc-maçonnerie est-elle la Synagogue de Satan ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2018

Par Texe Marrs

« Les secrets cachés de la Franc-maçonnerie sont contenus dans le sinistre 30e degré. Le candidat maçonnique fait quatre serments pendant que le mystérieux rabbin Siméon Bar Yochaï parle du fond de son cercueil. On exige du candidat qu’il abandonne sa foi et il sera désormais guidé par la Kabbale. Il se destine à l’enfer éternel. »

Dans son manuel classique, La théocratie occulte, Lady Queensborough déclara, à propos de la Loge maçonnique : « Chaque Loge est une Synagogue de Satan et son rituel est de la sorcellerie. »

Le père de la Franc-maçonnerie est le rabbin Siméon Bar Yochaï qui mis au monde la Kabbale corrompue et méchante, ainsi que son livre mystique, le Zohar. Delmar Darrah, 33°, souligna dans son livre, Évolution de la Franc-maçonnerie (1979), que « s’il n’y avait pas de Kabbale, il n’y aurait pas de Franc-maçonnerie. »

Dans le Zohar, on nous informe que la déité de la Kabbale se nomme Ein Sof (ou Ain Sof). Son agent, le compagnon de l’homme, est nul autre que le grand Serpent. Il s’agit du même Serpent que je révèle être adoré par les Juifs kabbalistes, dans mon exposé Le Serpent sacré des Juifs.

Rex Hutchens, 33°, auteur de Un pont vers la lumière, publié en 1988 par le Conseil Suprême Mère de la Franc-maçonnerie du Rite Écossais, aux pages 251-252, affirme que le Serpent est, en fait, le troisième membre de la Sainte Trinité. Hutchens dit : « Il est le corps du Saint-Esprit. »

Le Zohar du rabbin Yochaï explique plus loin que : « Le Serpent sacré est la principale source, la racine et l’essence de toute la lumière révélatrice sacrée de Dieu. »

Albert Pike déclare que la religion maçonnique : « est identique aux anciennes religions à mystères ». Et l’histoire révèle que toutes les religions à mystères adoraient le serpent.

On dit que le Serpent sacré est celui qui élève l’homme à la Divinité et les maçons croient qu’ils deviendront des dieux divins. Éventuellement, croient-ils, ils seront les « Maîtres du monde ».

Pike écrivit (voir Un pont vers la lumière d’Hutchens, p. 325) que le Secret Royal, c’est que les Loges maçonniques « réaliseront le Saint Empire » des Illuminati sur terre.

Nous avons donc compris pourquoi le livre de l’Apocalypse de notre Sainte Bible avertit que la religion de méchanceté et d’abominations des derniers jours sur terre ne sera pas une église ou une mosquée. Ce sera plutôt la Synagogue de Satan. Et en son sein se manifestera l’adoration du Serpent ouvertement méchant, la créature même qu’adorent de manière blasphématoire les Francs-maçons et qu’ils honorent faussement en tant qu’Esprit Saint de Dieu.

Mais qui est le Serpent ? Indubitablement, nous découvrons que le Serpent est, en fait, Satan.

Dans Les premières ères de la terre, le savant G. H. Pember affirme que, dans les Mystères, nous voyons que l’objet du culte est universellement Satan. Pember écrit : « Il n’y a que peu de doute quant au fait que la culmination des Mystères était le culte rendu à Satan lui-même. »

Nous répétons donc, encore une fois, la déclaration révélatrice d’Albert Pike, 33°, qui donna au monde les trente-trois rites des Loges maçonniques et indiqua à tous les maçons l’auteur de la Kabbale, le rabbin Siméon Bar Yochaï : « La maçonnerie est identique aux anciens Mystères. »

***

La Kabbale : ultime secret de la Franc-maçonnerie

Albert Pike, 33°, ancien Souverain Grand Commandeur de la Franc-maçonnerie Universelle, appelait cela « le Mystère de la Kabbale ». C’est, en effet, l’ultime secret de la Loge maçonnique et d’elle sortent les doctrines étranges et antichristes de ce culte.

La Kabbale des Juifs est un système occulte de magie et de sorcellerie d’abord inventé par l’infâme rabbin Siméon Bar Yochaï. C’est l’un des rabbins les plus célèbres de l’histoire d’Israël. Au deuxième siècle, proclame-t-on, il passa plus d’une douzaine d’années dans les profondeurs d’une caverne. Pendant tout ce temps, il rédigea la Kabbale et son manuel initial, le Zohar. Ces livres lui furent soi-disant donnés par une équipe d’anges jadis célestes, des démons et des disciples de Lucifer.

Depuis lors, la Kabbale s’est répandue dans le monde entier. Elle est aujourd’hui grandement prisée au sein de la religion du judaïsme. La tombe du rabbin Bar Yochaï est une des principales attractions touristiques d’Israël.

La Kabbale est au cœur même du judaïsme. Elle est également la source première des sorciers, des enseignants occultes et des magiciens du monde. C’est le manuel d’instructions de la numérologie, de la nécromancie, de l’astrologie, du culte à la déesse, de la déviance sexuelle, des pouvoirs mentaux psychiques, de la vénération du serpent et du culte aux idoles. C’est aussi le fondement même de la Franc-maçonnerie en constituant la religion à Mystères de l’Ordre maçonnique.

Toutes les associations maçonniques doivent à la Kabbale leurs secrets et leurs symboles, dit Albert Pike, dans Morals and Dogma.

La Franc-maçonnerie s’enthousiasme depuis longtemps des enseignements occultes de la Kabbale. Au 19e siècle, Albert Pike révisa les rites maçonniques et ses trente-trois degrés afin de les accorder strictement à la Kabbale. Pike écrivit, dans ses Morals and Dogma :

« La vieille foi primitive qu’est la religion de la Franc-maçonnerie dérive de l’Ancienne et pure Kabbale. »

On déclare que la Kabbale est pure, mais que le christianisme est imparfait et contient des erreurs, comme le dit Pike. D’innombrables maçons de degrés élevés sont d’accord. « L’on est rempli d’admiration en pénétrant dans le Sanctuaire de la Kabbale », écrit Pike. Il poursuit : « C’est une doctrine si simple et, pourtant, si Absolue. »

La Kabbale du rabbin Bar Yochaï est immensément différente de la Sainte Bible. Elle propose qu’il existe de nombreux dieux et déesses, la plupart sexuellement immoraux. Toutefois, le vrai Messie est nul autre que le Serpent sacré ! Nous voyons par conséquent jusqu’à quel point la Loge maçonnique est dépravée et mauvaise. Ayant rejeté la Bible comme étant fausse et imprécise, la Kabbale est seule digne d’adoration et de culte. Elle seule est « pure », se vante la synagogue maçonnique de Satan.

***

Les voix des morts dans la tête de l’Éventreur

Par Steve Reilly

Alors qu’il recherchait une idée pour une pièce de théâtre, Bruce Robinson, acteur, dramaturge et auteur anglais, tomba sur le sujet des meurtres non résolus de « Jack l’Éventreur », en 1888. Lorsqu’informé que l’identité de « Jack » demeurerait un mystère pour toujours, ça l’attira et il passa les douze années suivantes à faire des recherches et à écrire. Dans Ils aimaient tous Jack, Robinson identifie « Jack » et révèle que la Franc-maçonnerie s’avérait le fil conducteur dans tout ce qui était pourri au sein de l’Angleterre victorienne – y compris la protection de l’identité d’un tueur en série.

Bien que Robinson atteste qu’il ne portait aucun intérêt envers la Franc-maçonnerie au-delà de la participation de celle-ci aux meurtres, il découvrit bientôt le rôle central qu’elle tenait dans le récit. Comme il l’a dit à un intervieweur, « à l’époque de Jack l’Éventreur, il y avait quelque chose comme 360 membres tories au Parlement, dont 330 que je peux identifier comme maçons. La totalité de la classe dirigeante était maçonnique, de l’héritier du trône en descendant. Il le fallait pour être dans le club. »

Au moment des meurtres, la classe dirigeante utilisa son pouvoir pour cacher aux journalistes certains détails « inamicaux » (pour la Franc-maçonnerie). Dans les 130 ans qui suivirent, le contrôle maçonnique de la narration s’est continué.

Connu du public en tant que le chanteur et compositeur Stephen Adams, Michael Maybrick avait atteint le sommet de sa profession. Il composa la chanson numéro un (en feuille de musique) du 19e siècle, The Holy City. Cet homme, prétend Robinson, fut « Jack l’Éventreur ». Coïncidence, Maybrick a été largement supprimé de l’histoire.

Pourtant, la célébrité de Maybrick est indéniable. Et, comme grandissaient sa popularité et sa richesse, il entra dans les rangs de l’élite d’Angleterre – et il s’éleva dans la Franc-maçonnerie. Devenu 30e degré franc-maçon, Maybrick « entendit » parler du fond de son cercueil le rabbin Siméon Bar Yochaï mort depuis longtemps. Ce rite bizarre est expliqué en détail par Texe Marrs dans son dernier best-seller, Des voix venant des morts. Si l’on considère le pouvoir, à la fois de l’Angleterre victorienne et de la Franc-maçonnerie à l’époque de Maybrick, le rite devait être stupéfiant de sensation grandiose et pseudo-religieuse.

Raillant l’élite maçonnique – ce que « Jack » appelait « son drôle de petit jeu » – il joua à l’élite maçonnique un tour sans précédent. Maybrick, sachant que les élites maçonniques se mettraient en mode de crise, planifia leurs coups à l’avance. Encore et encore, Maybrick fit paraître la classe dirigeante pour des fous. Personne ne parut plus imbécile que le Commissaire de la Police Métropolitaine de Londres, Sir Charles Warren, franc-maçon célèbre dans tout le pays.

Les meurtres, exécutés avec le rituel maçonnique, fit des membres du système judiciaire et du gouvernement des conspirateurs. Mis au courant des « gorges tranchées d’une oreille à l’autre », de tout métal enlevé et autres détails révélateurs, les Francs-maçons cherchèrent à « protéger leur art ». Warren, en particulier, fit passer le bien de la « Fraternité » avant celui du public.

Aucun événement ne l’illustre mieux que cette réaction face à l’écriture trouvée sur un mur de Ghoulston Street. Après avoir commis son second meurtre, « Jack » déposa un tablier sali, qu’il avait coupé sur sa dernière victime, au pied d’un mur sur lequel il avait écrit : « Les Juifs sont les hommes qui ne seront blâmés de rien. » Citant les prééminents historiens de la Franc-maçonnerie, Albert Pike et Albert Mackay, Robinson élucide le message crypté : il se réfère aux « trois ruffians » (Jubelo, Jubela et Jubelum) qui tuèrent Hiram Abiff qui refusait de divulguer les secrets du Temple de Salomon.

Warren, qui avait – comme de fait – dirigé une expédition, nationalement célèbre, en Palestine pour localiser le Temple de Salomon, ignora le protocole de la police et ordonna que le message soit immédiatement effacé. La lettre presque railleuse de « Jack » à Warren parvint « DE YACK L’ÉVENTREUR ». En citant Mackay, Robinson explique : « La bonne prononciation du nom des “ruffians” exige que le “J” soit énoncé comme un “Y”. »

La dégénérescence sadique de Jack atteint son point le plus bas avec le meurtre du « Petit » Johnny Gill. À Bradford, le 27 décembre 1888, à la fête de St-Jean l’Évangéliste – le jour le plus important du calendrier maçonnique des loges écossaises et 75 ans depuis le jour où les « anciens » et les « modernes » se joignirent pour former la Grande Loge Unie d’Angleterre – Maybrick tua le garçon selon les rites appelés la cinquième libation. Robinson prétend : « Chacun des aspects de l’assassinat est symbolique. Il coupa les jambes et les mis sur le torse pour reproduire le crâne et les os des Chevaliers du Temple. » Le policier responsable de Bradford reconnut immédiatement le symbolisme de la scène et, comme à Londres, cacha les faits.

Bruce Robinson résolut le mystère vieux de 130 ans. Un « maçon devenu pourri » assassina des hommes, des femmes et des enfants selon les rites maçonniques et se moqua d’une élite maçonnique qui, à chaque meurtre, était forcée de prendre des positions délicates. Dans une entrevue, Robinson fit cette réflexion : « Ce n’est pas qu’ils protégeaient Maybrick, Ils se protégeaient, eux. »

Malheureusement, un livre d’une telle valeur est souillé par les visions critiques et cinglantes de l’auteur sur le christianisme de l’ère victorienne. En outre, son choix de langage s’avère bien plus que « coloré ». Power of Prophecy offre des livres qui contiennent des passages que nous trouvons désagréables. Pourtant, pour prendre les paroles de Texe, la valeur du livre surpasse de telles différences. Toutefois, Robinson incorpore son dédain du christianisme si profondément dans son écrit qu’étant donné notre mission, nous ne pouvons pas, en toute bonne conscience, offrir le livre.




Un homme mort dirige l’âme des Francs-maçons

Il parle du fond de son cercueil…

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Septembre 2018

Par Texe Marrs

« On rendait à chacun des dieux païens un culte secret dans lequel personne n’était admis sauf ceux qui avaient été élus par des cérémonies préparatoires appelées initiation. Ce culte secret se nommait les Mystères. »

Albert Mackey, 33°

« Ancient Mysteries »

dans l’Encyclopédie de la Franc-maçonnerie

 « J’ai le privilège de vous présenter mon nouveau livre, Voix venues des morts. »

Texe Marrs

C’est le plus grand secret de la Loge maçonnique. Vous ne le découvrez que lors de votre initiation au fatidique 30e degré. Et alors là, il est trop tard.

Vous auriez dû savoir ce qui vous attendait. Dans des rites antérieurs, on vous a révélé Abaddon, puis Jahbulon. Ces noms étaient des substituts de votre nouveau dieu effrayant – le Seigneur caché de la Franc-maçonnerie, celui dont vous disiez aux autres qu’il s’appelle le Grand Architecte de l’Univers. Mais ce n’était pas son vrai nom. Seulement un substitut.

L’on a souvent fait allusion à son vrai nom devant vous pendant que vous grimpiez les échelons rituels. Jusqu’à ce que vous atteigniez le 30e degré. Vous rappelez-vous des tuiles en alternance noires et blanches sur les planchers de la Loge… les serpents phœnix sur le mur derrière l’autel de pierre noire… l’aigle à deux têtes ? Tout cela aurait dû vous éclairer.

Vous vous retrouvez maintenant dans une structure similaire à une caverne, une tombe sinistre, ou un mausolée, où se trouve un mystérieux cercueil. Trois crânes humains vous font face sur la table. Les participants sont tous habillés de noir et portent des cagoules. Est-ce que tout cela est réel ?

Puis, soudainement, le couvercle du cercueil s’ouvre. Une voix étrange et archaïque se met à vociférer :

« Qui dérange mon sommeil ? Parle ! commande-t-elle.

« Qui dérange mon sommeil ? Parle ! » demande-t-il.

Vous répondez promptement. À cet être effrayant, l’homme dans le cercueil qui était jadis vivant, près de deux milles ans auparavant, mais qui est maintenant mort, vous donnez permission de prendre en charge votre existence, de vous conduire. Il le fait en vous guidant par quatre vœux étranges, mais significatifs.

Dans l’un de ces vœux, vous êtes mené à dire que vous abandonnez « volontairement » la religion de votre enfance – les superstitions et la folie que vous entreteniez en tant que chrétien. Dorénavant, promettez-vous, vous n’obéirez seulement qu’à une Déité et ne rendrez culte que par une seule religion – celle de la Franc-maçonnerie. Cela, vous dit-on, est la vraie religion primitive, une religion à Mystères constituée à la fois du bien et du mal. C’est la religion des religions. Lucifer est votre maître. Il vous infuse son énergie bouillonnante.

Vous avez atteint le prestigieux 30e degré de la Franc-maçonnerie, vous êtes maintenant un Chevalier Kadosh, un Guerrier sacré. Mais contre qui ferez-vous la guerre ? Quel redoutable ennemi affronterez-vous ?

Les réponses se trouvent-elles dans la doctrine de Celui qui vient de vous initier – le cadavre mort jadis et qui est vivant, l’être ancien qui surgit de son cercueil et saisit les sources de tout votre être intérieur ?

Pendant votre rituel macabre, vous voyez qu’il s’agissait d’un sombre leader, un guerrier irrité et consacré qui méprise les fausses religions et qui vous donne la seule vraie foi religieuse, la religion à Mystères de la Franc-maçonnerie. Vous l’avez prise avec gratitude. Cela a changé votre vie.

Qui était cet homme mystérieux dans le cercueil, l’homme qui questionne et défie chacun des candidats au stade avancé du 30e degré ? Quel qu’il soit, il est maintenant votre âme sœur éternelle, votre compagnon pour la vie, le gardien de votre destin.

Ah, oui, vous vous rappelez. L’Encyclopédie de la Franc-maçonnerie de Mackey a révélé qui était cet homme, cette Voix venue des morts, Il est celui qu’annonçaient les anges rebelles. C’est l’Étoile qui s’est avancée avec une Lumière Éclatante. C’est celui qui vécut dans les profondeurs d’une sombre caverne pendant douze ans. C’est celui qui rédigea le Zohar, le mystérieux livre de la vie et de la mort, le livre qui signale la montée en gloire éventuelle et imminente du Grand Omniscient.

La Voix venue des Morts est nulle autre que le rabbin Siméon Bar Yochaï. C’est le père secret de la Franc-maçonnerie, l’initiateur des âmes. C’est le Diable et maintenant, c’est votre Seigneur et votre Maître.

À l’intérieur du sanctuaire de la Maison du Temple, le Quartier général international de la Franc-maçonnerie, il y a un autel en pierre noire. Sur le mur de derrière, il y a d’énormes Serpents Phoenix couronnés, objets de culte. Dans Introduction à la Franc-maçonnerie, le 33° Carl Claudy a écrit : « La Franc-maçonnerie ne spécifie aucun dieu d’aucun credo… Et n’importe quel dieu fait l’affaire. » Albert Pike, 33°, ancien Souverain Grand Commandeur de la Franc-maçonnerie universelle, ajoute : « Autour de ces autels, le chrétien, l’Hébreu, le musulman, le brahmane, les disciples de Confucius et de Zoroastre peuvent s’assembler comme des frères et s’unir dans la prière » [Morals and Dogma, édition 1906].

Comme je le prouve dans mon dernier livre, Voix venues des Morts, le Serpent unit toutes les fausses religions – même le christianisme factice et impuissant – sous la bannière du Serpent de l’Enfer. Lui, le Serpent, il est la Lumière recherchée par tous ceux qui promeuvent les ténèbres. Leur recherche de la lumière, déclare Pike, « mène les Maçons directement à la Kabbale. » La Kabbale est la « Sainte Bible » satanique à la fois des Maçons et du judaïsme.

 

Le rabbin Bar Yochaï : père de la Franc-maçonnerie, détestant les chrétiens et pédophile-en-chef du judaïsme

C’est la Voix venue des morts qui dirige et guide le candidat maçonnique pendant le rite très important du 30e degré. Il mène le candidat à la renonciation de sa foi chrétienne. Mais est-ce que le pauvre initié maçonnique sait vraiment qui est le rabbin Siméon Bar Yochaï ?

On crédite le rabbin Siméon Bar Yochaï d’être l’auteur de la Kabbale. Yochaï est aussi l’un des plus importants rabbins du Talmud babylonien. Et parmi les Lois du Talmud émises par ce rabbin, il y a la suivante :

« Le meilleur des chrétiens – tuez-le ! »

C’est vrai. Il est le rabbin haineux qui commanda aux Juifs de partout de tuer et de massacrer les chrétiens et les Gentils.

Mais ce n’est pas tout. Le rabbin Bar Yochaï se trouve aussi à être le rabbin pervers cité dans le Talmud qui approuvait les relations sexuelles avec une petite fille de trois ans ! Dans le Talmud babylonien, on lit :

« Le rabbin Siméon Bar Yochaï a déclaré : une prosélyte qui a moins de trois ans et un jour a la permission de marier un prêtre. Car il est dit : mais toutes les femmes enfants qui n’ont pas connu d’homme en couchant avec eux, garde-les pour toi. »

   

Des millions de gens visitent chaque la tombe présumée de l’auteur de la Kabbale, le rabbin Siméon Bar Yochaï.

Voilà l’homme qui donna la Franc-maçonnerie au monde. Le rabbin Siméon Bar Yochaï, détestant les chrétiens, la bête pédophile.




D.170 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 7

 

par Guy Richer

La Franc-maçonnerie

L’institution maçonnique doit son existence à une confrérie de maçons constructeurs qui voyageaient en Europe dès le 8e siècle. Ils se partageaient des secrets reliés à leur métier.

On ne retrouve la première trace du mot « franc-maçon » qu’en 1376, sous la forme anglaise freemason. Il faut voir dans le freemason un homme libre, (le préfixe free semble l’attester), un ouvrier hors du commun, bénéficiant de franchises accordées par l’église ou par les souverains, libre des obligations d’une corporation ou libre de naissance.

C’est en Grande-Bretagne, et surtout en Écosse, que l’on trouve, au début du 17e siècle, les premières traces de la franc-maçonnerie moderne, soit la transition entre une maçonnerie de métier à une maçonnerie de pensée. En 1702, la loge londonienne Saint.Paul édictait que « les privilèges de la maçonnerie ne sont plus désormais réservés seulement aux ouvriers constructeurs, mais, ainsi que cela se pratiquait déjà, ils seront étendus aux personnes de tous les états qui voudront y prendre part ». Commence alors l’histoire de la maçonnerie moderne, dite aussi symbolique.

Publiquement, cette société se présente comme une organisation philanthropique, c’est-à-dire, axée sur les bonnes œuvres et prônant des valeurs justes et morales. Mais, dans les faits, il en est tout autrement.

Dans le livre The Lost Keys of Freemasonery, Manly Palmer Hall, 33e degré (le plus élevé de la hiérarchie maçonnique du Rite écossais), révèle que : « L’ordre maçonnique n’est pas qu’une simple organisation sociale, mais elle est composée de tous ceux qui se sont liés ensemble pour apprendre et appliquer les principes du mysticisme et les rituels occultes ».

Les francs-maçons sont les druides contemporains, écrit Albert Churchward, un franc-maçon du 33e degré. William Hutchinson nous dit que la franc-maçonnerie a emprunté plus de doctrines et de cérémonies des druides qu’elle en a pris d’ailleurs. (Les druides anciens étaient des prêtres occultes qui adoraient plusieurs dieux, pratiquaient l’astrologie et, en définitive, offraient des sacrifices humains.)

Le vrai visage de la franc-maçonnerie n’est révélé qu’aux initiés de hauts niveaux. W. Wilmhurst, un haut dignitaire des Loges, nous écrit, dans The masonic initiation, page 42 : « Pour ceux qui ne désirent seulement qu’une organisation sociale agrémentée d’un peu de cérémonial pittoresque et fournissant une occasion de distraction ou de distinction personnelle, la maçonnerie ne sera jamais plus que la formalité qu’elle a toujours été et qu’elle est toujours pour beaucoup. Et eux-mêmes resteront toujours dans l’ignorance de sa signification, de son but et de ses grandes possibilités ».

Albert Pike, dans son livre Moral and Dogmas of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 819, écrit : « Une partie des symboles sont divulgués à l’initié, mais ce dernier est intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu’il les comprenne. Leur véritable explication est réservée aux érudits, aux princes de la maçonnerie. » Il nous dit aussi dans ce livre, aux pages 744 et 745, qui fut préparé pour le conseil suprême du 33e degré de la juridiction sud des États-Unis :

« La Bible, avec toutes les allégories qu’elle contient, n’exprime que d’une manière incomplète et voilée, la science religieuse des Hébreux… La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux… »

Toutes les vraies religions dogmatiques sont issues de la Kabbale et elles y retournent… Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles.

Kabbale ou cabale : C’est l’ensemble des traditions juives relatives à l’interprétation mystique de l’Ancien Testament. Il est un des plus anciens systèmes philosophiques occidentaux [Dictionnaire encyclopédique Hachette, 1980, p.176].

Selon un article intitulé Jung and Qabalah : Elle est la fondation sur laquelle l’astrologie, le tarot, l’alchimie, la numérologie, la mythologie et la magie se basent. C’est une science occulte qui prétend mettre ses adeptes en communication avec le monde des esprits.

Les Juifs qui pratiquent la kabbale veulent nous faire croire qu’il s’agit des enseignements oraux que Moïse aurait laissés derrière lui, parallèlement aux enseignements divins écrits sur le Mont Sinaï. Ces Enseignements oraux auraient été par la suite consignés par écrits dans des livres mystiques sous le nom de « Traditions ». En réalité, il est plutôt question des rites égyptiens récoltés lors du séjour d’Israël en Égypte. Ces enseignements furent incorporés à l’étude de la Torah (la Loi de Moïse) pour lui donner une interprétation remplie de mysticisme et d’ésotérisme, bien dans l’esprit de la Babylone païenne.

La Franc-maçonnerie : une religion

Dans Le Livre du Maître d’Oswald Wirth, nous lisons, à la page 22 : « Reste à savoir si la franc-maçonnerie est oui ou non une religion. Cesserait-elle d’en être une parce que les autels de ses temples sont consacrés au culte de la liberté, de la fraternité et de l’égalité ? Ayons le courage de nous dire religieux et de nous affirmer apôtres d’une religion plus sainte que toutes les autres. C’est ainsi que le premier effet de l’initiation est de purifier l’apprenti de toute mentalité chrétienne, s’il en a une… »

Albert Pike, pontife de la franc-maçonnerie universelle, franc-maçon au 33e degré, grand prêtre de l’église satanique, déclara le 14 juillet 1889 : « Ce que nous devons dire à la foule est que nous adorons un dieu, mais c’est un dieu que nous adorons sans superstition. A vous, grands inspecteurs généraux souverains, nous disons ceci pour que vous puissiez le répéter aux frères des 32e, 31e et 30e degré : la religion maçonnique devrait être par nous tous, initiés des hauts degrés, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne… Si Lucifer n’était pas dieu, est-ce qu’Adonaï (Jésus… le Dieu des chrétiens), calomnierait, c’est-à-dire, prendrait la peine de répandre des choses fausses et dangereuses sur son compte ? Oui, Lucifer est dieu… » Cette déclaration fut faite, à l’époque, aux vingt-trois conseils suprêmes du monde. Elle fait encore sursauter aujourd’hui, même des athées… !

Dans le Adelphi Quarterly (magazine Nouvel-Âge) No 3, 1992, page 7, il est écrit que la franc-maçonnerie a été formée comme une école de la fraternité luciférienne. Helena Petrovna Blavatsky, comme nous l’avons déjà mentionné, était une sataniste reconnue et fondatrice de la société théosophique. Elle, aussi bien que ses successeures Annie Besant et Alice Bailey, étaient toutes impliquées dans la franc-maçonnerie.

La secte des Témoins de Jéhovah a été fondée par un dénommé C. T. Russel, franc-maçon du 33e degré et Grand Maître dans la région de Chicago, en Illinois !

Il y a un siècle, une grande statue bâtie par un français du nom de Auguste Bartholdi fut placée dans le port de New York. On lui a donné le nom officiel de LA LIBERTÉ : LUMIÈRE DU MONDE.

Ce secret fut découvert le 4 juillet 1987, puisqu’il s’agit en fait d’un cadeau de la franc-maçonnerie française à la franc-maçonnerie américaine. La femme portant le flambeau est un symbole franc-maçonnique.

Le Général Albert Pike

Dans une circulaire franc-maçonnique, il est écrit, à propos de Pike : « Il n’y a pas d’homme plus pur et plus noble qui se soit tenu à l’autel de la franc-maçonnerie. Il fut le plus éminent maçon du monde ».

Sous la conduite directe des Jésuites, Pike a rédigé quelques-uns des rituels et il a réécrit les autres, du 4e au 33e degré. Pike a occupé la position de Pontif of Universal freemasonery (pontife de la franc-maçonnerie mondiale) et il a été à la tête des Illuminati durant les années 1870. Il fut grand prêtre de l’église satanique et l’un des fondateurs du Ku Klux Klan.

Il a été un héros confédéré de la Guerre civile américaine. Pike est considéré comme le plus important franc-maçon de tous les temps pour les raisons suivantes :

–> Il a été un génie reconnu.
–> Il parlait couramment 16 langues.
–> Il était diplômé de l’Université Harvard.
–> Il fut Général de Brigade au cours de la Guerre Civile.
–> Il connaissait parfaitement la cabale, ce système occulte du judaïsme, qui est au centre du Nouvel Ordre Mondial.

Lorsque Pike eut pris la tête de la Franc-Maçonnerie nord-américaine, il s’installa au « Temple de la Connaissance », à Washington, à treize (13) blocs au nord de la Maison Blanche, en ligne directe avec le grand obélisque maçonnique et Monument de Washington. Quand Andrew Johnson succéda à Abraham Lincoln, Pike eut ses entrées libres à la Maison Blanche, car Johnson était lui-même franc-maçon.

Ils eurent donc la voie libre pour mettre en application les ordres des Jésuites qu’avait reçus Albert Pike, concernant l’avenir de la Franc-Maçonnerie. Le fait qu’il était écouté par le Président des Etats-Unis a propulsé la Franc-Maçonnerie américaine en première ligne du pouvoir, pour la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Considérez les Présidents francs-maçons qui se sont succédés à cette époque :

–> Andrew Johnson (1865-1869).
–> James A. Garfield (1881).
–> William McKinley (1897-1901).
–> Theodore Roosevelt (1901-1909).
–> William Howard Taft (1909-1913).
–> Warren G. Harding (1921-1923).
–> Franklin D. Roosevelt (1933-1945).
–> Harry S. Truman (1945-1953).

Ainsi, tout au long de ces années cruciales entre la Guerre Civile et le début de la Guerre Froide, l’Amérique a été dirigée par des Présidents francs-maçons. Plus exactement, entre 1865 et 1953, période cruciale de 88 ans, les Présidents francs-maçons ont été au pouvoir pendant 44 ans ! Il faut que vous sachiez que les occultistes attachent une grande importance aux chiffres et aux nombres. Le nombre 11 est l’un des plus sacrés pour eux, ainsi que tous les multiples de 11. C’est l’une des raisons pour lesquelles les francs-maçons vénèrent le nombre 33, car il est égal à 11 fois 3, le chiffre de leur trinité.

En ce qui concerne la capacité des occultistes à atteindre leurs objectifs, vous devez vous rappeler simplement ceci :

Leur puissance est surnaturelle, certes, mais elle vient de Satan, qu’ils persistent à appeler de son ancien nom, Lucifer !

Comme la plupart des occultistes et selon la philosophie jésuitique, Albert Pike bénéficiait de l’aide des « esprits guides surnaturels », qui lui dispensaient la « Sagesse divine » et qui lui ont révélé comment mettre en place le Nouvel Ordre Mondial en s’harmonisant avec la Kabbale et le Talmud. Un « esprit guide » est un être surnaturel qui se révèle à ceux qui ont consacré leur vie à la pratique de l’occultisme. Vous devez réaliser que beaucoup de praticiens de la religion du Nouvel Âge ne considèrent pas du tout comme une mauvaise chose le fait d’avoir un esprit guide. En fait, ils vous diraient tous avec des cris d’enthousiasme qu’ils sont remplis de bonheur et de joie quand ils sont en relation avec leur esprit guide. Ils ne comprennent pas qu’ils ont été momentanément envoûtés par Satan, qui peut, comme ses démons, apparaître en Ange de Lumière, afin de les séduire.

Entre 1859 et 1871, Pike coucha sur papier les détails d’un plan militaire. Ce plan devait servir de base pour l’organisation de trois guerres mondiales et de trois révolutions majeures, qu’il considérait comme étant nécessaires pour faire aboutir la conspiration à son stade final dans le cours du 20e et 21e siècles.

Toutes ces sociétés secrètes s’entrecroisent et se ramifient, ayant les mêmes origines et buts occultes, puisqu’ayant le même esprit satanique. Les francs-maçons et les Illuminati en particulier, ont toujours travaillé en étroite collaboration vu que leurs dirigeants et créateurs sont les mêmes, soient : les juifs jésuites/sionistes/kabbalistes, etc.

Le plan de Pike pour provoquer les trois guerres et les trois révolutions mondiales était simple. Il requérait que le communisme, le nazisme et le sionisme politique, ainsi que d’autres mouvements internationaux soient organisés et utilisés pour fomenter les trois guerres globales et les trois révolutions majeures.

Ces « prophéties » de Pike ne se sont pas réalisées parce qu’il les avait eues dans une « vision » ; il les a prophétisées parce qu’il était au courant de leur planification et qu’il faisait partie des initiés à la kabbale. C’est là une nuance importante à apporter.

La Première Guerre Mondiale

Le rôle du Vatican dans l’instigation de la Première Guerre Mondiale

La Première Guerre Mondiale a servi à atteindre plusieurs buts où les Jésuites, les Juifs sionistes, les francs-maçons et autres sociétés secrètes y ont tous trouvé leur compte.

Le pape, qui s’affiche comme un homme de paix, est, en réalité, un homme de guerre qui instigua la Première Guerre Mondiale. L’Église catholique romaine a toujours ressenti une haine viscérale envers l’Église orthodoxe de l’Est. La Serbie est un pays à prédominance orthodoxe.

Le pape Pie X, par le biais de ses diplomates, tenta de persuader l’Autriche/Hongrie de « punir » la Serbie. Lorsque l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche/Hongrie, héritier présumé du trône d’Autriche et de Hongrie, fut assassiné à Sarajevo par un étudiant macédonien, Gravillo Princip, le 28 juin 1914, le pape sauta sur l’opportunité pour pousser l’Empereur catholique, Francis Joseph d’Autriche/Hongrie, à déclarer la guerre à la Serbie. Le chargé d’affaires bavarois du Vatican, le baron Ritter, écrivit ce qui suit à son gouvernement :

« Le pape est d’accord pour que l’Autriche traite sévèrement la Serbie. Il n’a pas une grande opinion des armées russes et françaises et il est d’avis qu’elles ne seraient pas d’une grande efficacité dans une guerre contre l’Allemagne. Le cardinal-secrétaire d’État ne voit pas quand l’Autriche pourrait faire la guerre si elle ne se décide pas maintenant. »

Le 28 juillet 1914, 1’Autriche/Hongrie déclarait la guerre à la Serbie, ce qui plongea toute l’Europe dans la Première Guerre Mondiale. À cause du rôle joué par le Vatican dans l’instigation de la Première Guerre Mondiale, les Alliés ne permirent pas sa présence à la table de conférence quand le traité de Versailles fut signé, en 1919. Il est intéressant de constater que ce fut l’Italie, le plus catholique des pays européens, qui insista pour que l’on exclut le Vatican. Par l’article XV du pacte de Londres du 26 avril 1915, qui définit la participation de l’Italie dans la guerre, le baron Sonino exigea que les alliés s’opposent à toute intervention du Vatican dans les accords de paix.

Pour ceux qui ne verraient pas la connexion entre le Vatican et la franc-maçonnerie, sachez qu’il existe au sein de cette dernière une série de degrés secrets dits « paladins » allant du 34e au 39e, et que Paul VI fut, à son époque, 39e degré paladin, donc chef de toute la maçonnerie mondiale. Étant donné qu’il devait obéissance au Pape Noir (le Jésuite Général), on en déduit inévitablement l’assujettissement complet de la maçonnerie au jésuitisme.

Le communisme catholique

Non seulement Rome initia-t-elle la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi l’instrument de la Révolution bolchevique. Bien que l’Église catholique s’opposât publiquement au communisme, elle l’aida financièrement de façon secrète et encouragea de toutes les manières possibles la révolution communiste en Russie. En avril 1917, Lénine et plusieurs de ses révolutionnaires-clés furent transportés à travers l’Allemagne dans un des tristement célèbres trains fermés, grâce aux fonds fournis par la famille jésuitique des Rockefeller. Diego Bergen, Allemand catholique romain formé à l’école de la Compagnie de Jésus, fut principalement responsable des arrangements du voyage de Lénine à travers l’Allemagne vers la Russie. Bergen devint plus tard ambassadeur de l’Allemagne au Vatican sous la République de Weimar et l’Allemagne d’Hitler.

Bien sûr, le Vatican s’attendait à être payé de retour pour son aide financière et logistique aux communistes. Entre 1917 et 1924, le Vatican entreprit des accords secrets avec Lénine, lesquels assuraient le soutien du Vatican aux communistes si ceux-ci supprimaient l’Église orthodoxe russe et faisaient de l’Église catholique la religion officielle de Russie. Les immenses richesses et possessions terriennes de l’Église orthodoxe devaient être transmises à l’Église catholique romaine dans leur totalité. En fin de compte, cependant, Lénine et ses successeurs dupèrent le Vatican en prenant son argent, mais en se rangeant du côté de l’Église orthodoxe. Cela fit évidemment des communistes russes les ennemis du Vatican.

Les bonzes du Vatican échouèrent à la Première Guerre Mondiale. Ce qu’ils ne purent accomplir dans la guerre, ils le réalisèrent par l’intrigue et la diplomatie. Le Vatican et les communistes travaillent à nouveau étroitement ensemble vers leur but ultime de domination mondiale. L’ancien jésuite Alberto Rivera découvrit que le Général Jésuite de son époque était maçon et communiste.

Le pape Jean-Paul II, communiste marxiste, a continué la progression entreprise par les papes Jean XXIII et Paul VI en direction d’un catholicisme marxiste. Quoique Paul VI ait cultivé des liens étroits avec Moscou, Jean-Paul II a choisi un communisme catholique plus indépendant de Moscou. C’est sa cassure avec Moscou qui a causé la tentative d’assassinat à son égard, le 13 mai 1981. Cela n’empêcha pas le Chœur de l’Armée rouge de se rendre au Vatican, le 16 octobre 2004, pour célébrer le 25e anniversaire du pontificat de Jean-Paul II…!

Wlodimir Ledochowski – Trente-sixième Jésuite Général de la Compagnie de Jésus 1915-1942

Au lendemain de la Première Guerre (1914-1918), le Général des Jésuites, Wlodimir Ledochowski (dit « le Rat »), le Pape Noir à cette époque, avait conçu un vaste plan pour la création, avec ou sans empereur Habsbourg, d’une fédération des nations catholiques de l’Europe centrale et orientale : Autriche, Slovaquie, Bohême, Pologne, Hongrie, Croatie, et aussi (et c’est capital) la Bavière.

Ce nouvel Empire central devait lutter sur deux fronts : à l’Est contre l’Union soviétique, à l’Ouest contre la Prusse, la Grande-Bretagne protestante et contre la France républicaine et laïque. À cette époque, Mgr Pacelli, futur Pie XII, était nonce à Munich, puis à Berlin, et intime du cardinal Faulhaber, principal collaborateur de Ledochowski. Le plan Ledochowski a été « le rêve de jeunesse de Pie XII ».




D.117 – Promise Keepers, Franc-maçonnerie & Illuminati

 

Article de Seek God Ministries

L’original anglais peut être consulté à l’adresse Internet suivante :

http://www.seekgod.ca/nonew.htm

Traduction française de Roch Richer

« …et il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Y a-t-il une chose dont on puisse dire :

Voici ceci, c’est nouveau ? Elle a déjà été dans les siècles qui furent avant nous. »

(Ecclésiaste 1:9b-10).

Lorsque nous jetons un coup d’œil sur l’histoire, nous savons que les Gnostiques, les Kabbalistes et bien d’autres ont présenté chacun sa propre perversion de la vérité. Les Kabbalistes préférèrent avancer que leurs enseignements étaient en « harmonie » avec le christianisme. Ces groupes mirent leurs erreurs en parallèle avec la vérité biblique et, grâce à un endoctrinement soigné, provoquèrent graduellement la manipulation et le changement de pensées nécessaires à tromper les gens. Les personnes professant leur amour pour le Christ n’allaient certainement pas entrer de plein pied dans l’occultisme et ne l’accepteraient évidemment pas sans avoir été préalablement et complètement abusées vis-à-vis de ce qu’ils allaient adopter. Voilà pourquoi nous devons évaluer ce qui arrive aujourd’hui, d’abord d’après la Parole de Dieu, puis également d’après l’histoire et ce que l’ennemi a utilisé auparavant pour tromper les chrétiens en tentant de pervertir l’évangile de Jésus-Christ.

Nombreux sont ceux qui croient posséder, eux ou leur organisation « chrétienne », quelque chose de complètement nouveau à offrir, d’unique, sans duplication et provenant entièrement de Dieu. Ils tentent d’introduire des supports nouveaux et des organismes para-ecclésiastiques qui enrayeront les faiblesses de leur vie personnelle ou de leurs églises. Ils croient que ces autres programmes sont nécessaires et, bien qu’ils ne l’admettront sans doute pas, ils pensent même remplacer la ligne de conduite et les vérités établies dans la Bible, que beaucoup négligent. Il appert que plusieurs personnes semblent croire que la Bible n’a pas la sagesse et les enseignements suffisants et ils pensent avoir besoin d’une « aide » supplémentaire.

Disons, cependant, qu’il n’y a pas de nouvelles stratégies employées pour tromper les gens, mais seulement des noms différents et de nouveaux visages derrière les stratégies. Par exemple, dans les années 1800, lorsqu’eut lieu le mouvement d’Oxford, il y avait de nombreuses sociétés secrètes établies, comme la Sainte Croix. Cette société, comme d’autres du même genre, fut près d’être dénoncée à plusieurs reprises et démantelée à cause de ses points de vue et de ses croyances. Ses adeptes révisèrent leurs options et décidèrent s’ils devaient demeurer comme ils étaient ou se dissoudre et recommencer à neuf, sous le même nom ou un nouveau ; en d’autres termes, continuer leur tromperie et leur programme d’une façon ou d’une autre.

Le livre Secret Societies and Subversive Movements (Sociétés secrètes et mouvements subversifs), de Nesta H. Webster, offre une information en profondeur et montre les aspects variés de la Franc-maçonnerie, des Illuminati, des Chevaliers du Temple, de la Kabbale (ou Cabale), ainsi que des attitudes et des stratégies pour perpétuer leurs mouvements. Les parallèles, dans la pensée et les stratégies, entre ces sociétés secrètes et les nouveaux mouvements d’hommes sont d’une étrange et inquiétante similitude.

Adam Weishaupt, tête dirigeante des Illuminati de Bavière, refléta les croyances des organisations maçonniques en disant ceci :

« …la rédemption de la race humaine doit s’accomplir (…) Ces moyens sont les écoles secrètes de la sagesse, elles furent de tout temps les archives de la Nature et des droits humains ; par elles, l’Homme sera sauvé de sa chute, les princes et les nations disparaîtront de la surface de la terre, la race humaine deviendra une seule famille et le monde la demeure des hommes raisonnables. Seule la moralité amènera ces changements perceptibles. Chaque père de famille sera, comme anciennement Abraham et les prophètes, le prêtre et le seigneur incontesté de sa famille, et la raison sera le seul code de l’Homme. Voilà un de nos plus grands secrets… »[1] (L’emphase est la nôtre.)

La stratégie de nombreux groupes, tels que les Francs-maçons, les Illuminati, ou les organismes para-ecclésiastiques, comme les Promise Keepers, est d’unir les hommes sous une même spiritualité. Les Francs-maçons, les Illuminati et les groupes similaires nécessitent des hommes qu’ils passent par des rituels et des cérémonies pour s’unir comme « frères » et grandir intimement ensemble, peu importe à quel « Être suprême » ils croient. Cela doit censément conduire à la guérison entre les religions, les races et les familles. Plusieurs croient qu’il en résultera finalement la paix mondiale, ainsi qu’une religion et un gouvernement mondiaux. Les cris de ralliement inscrits dans de nombreux droits et credo religieux, incluant ceux des Promise Keepers, sont la famille, la paix, les droits et, juste après, le patriotisme.

Les Kabbalistes, les Gnostiques et les Francs-maçons oeuvrent tous vers un même but d’unification de leurs pensées et de leurs croyances avec celles du christianisme. J. M. Ragon, franc-maçon, affirme ce qui suit en regard de la question du christianisme et de l’occultisme :

« La kabbale est la clé des sciences occultes. Les gnostiques sont nés des kabbalistes[2] (…) Le but du gnosticisme n’était donc pas de christianiser la kabbale, mais de kabbaliser le christianisme en mêlant l’enseignement pur et simple avec la théosophie, et même la magie[3] (…) La doctrine centrale du gnosticisme — mouvement relié au gnosticisme juif — n’était rien d’autre qu’une tentative de libérer l’âme et de l’unir à Dieu (…) par l’emploi de mystères, d’incantations, de noms d’anges, etc. »

« … le rôle des gnostiques était de ramener la perversion en système en reliant les hommes par des sectes oeuvrant sous le couvert de l’illumination, afin d’obscurcir toute idée reconnue de moralité et de religion. Voilà où se situe leur importance au sein de l’histoire des sociétés secrètes. »[4]

Selon Nesta Webster :

« La Franc-maçonnerie est un christianisme caché (…) Weishaupt a écrit : “L’homme bon à rien devient un Chevalier écossais. Toutefois, s’il s’avère un coordinateur particulièrement industrieux [Sammler], observateur, travaillant, il devient un Prêtre (…) S’il y a parmi eux [les Prêtres] des intellects hautement contemplatifs, ils deviennent des Mages. Ils recueillent et mettent en ordre le système philosophique plus élevé et travaillent à la Religion du Peuple, que l’Ordre donnera ensuite au monde. Si ces génies élevés sont faits pour diriger le monde, ils deviennent régents. C’est le dernier degré.” »[5]

La franc-maçonnerie est vue par ses adeptes comme quelque chose qui :

« …confirme et complète la foi religieuse et la participation à l’église. Les principes de notre Fraternité sont fondés sur les mêmes absolus qui forment le fondement de toute foi véritable. Chaque maçon doit croire en un Être suprême… »

« …lutte pour vivre moralement en accord avec les plus hauts standards du caractère de l’individu et de la conduite sociale… »

« …les Maçons sont invariablement des hommes qui vont à l’église et étendent les préceptes de leur foi au-delà de leur sabbat, à chaque jour de leur vie. Ils oeuvrent au sein de leurs églises et dans leur communauté pour l’amélioration de leurs confrères. Les Maçons, en fait, vont au-delà du sectarisme étroit et de la limitation des dogmes. Ils sont d’accord avec l’affirmation du fameux homme d’état et écrivain, Edmund Burke : “Le corps de toute religion véritable consiste, assurément, en l’obéissance à la volonté du Souverain du monde, en la confiance envers Ses déclarations, et dans l’imitation de Sa perfection…” »

« …Ses déclarations ? (…) ce sont la sagesse inspirée contenue dans la Bible, le Talmud, le Coran, le Bhagavad-Gita ou tout autre Grand Livre de la Foi qui ait été universellement reconnu comme meilleur guide de l’homme vers le bonheur dans ce monde et récompense dans le suivant. Ainsi donc, la Franc-maçonnerie accueille dans ses rangs des chrétiens, des Juifs, des musulmans, des bouddhistes et tous les hommes bons de n’importe quelle religion qui aspirent vraiment à vivre selon la volonté du Créateur. Parce qu’elle est universelle dans son envergure et inclusive dans son adhésion… »[6]

C. Fred Kleinknecht, ancien Grand Souverain Commandeur en Alaska, résume la Franc-maçonnerie comme suit : « La Franc-maçonnerie est une force puissante et universelle pour l’amélioration de l’individu et des sociétés. »[7] (Selon le Who’s Who de 1996, Kleinknecht est maintenant Grand Secrétaire-général de tous les francs-maçons.)

Ceux qui se sont engagés dans la franc-maçonnerie ont fait énormément pour façonner le monde et le préparer en vue de l’unique religion mondiale. Il n’y a pas de participation innocente en cela, bien que beaucoup de ceux qui s’y sont initialement engagés ne sont pas nécessairement au courant des enseignements ultimes des degrés les plus élevés. D’après Albert Pike, il s’agit du culte à Satan. Toutefois, ceux qui croient à l’évangile de Jésus-Christ devraient être en mesure de prendre conscience de l’information ci-haut mentionnée et s’apercevoir qu’ils ne doivent pas s’y engager. Or, les groupements sont de plus en plus nombreux à adopter cette philosophie, avec plus ou moins de variétés.

Promise Keepers, franc-maçonnerie et Illuminati

L’on nous demandera ce que cela a à voir avec des groupes comme celui des Promise Keepers, ou ses nombreux supporters. Le thème de l’unité est de la plus haute importance au sein des groupes séculiers et chrétiens, comme l’est la famille. L’énoncé de mission des Promise Keepers dit ceci :

« Les Promise Keepers sont un ministère centré sur le Christ et voué à l’unité des hommes par la responsabilisation vitale afin qu’ils deviennent une influence divine dans leur milieu. »

« Les Promise Keepers (PK) appellent les hommes de tous les antécédents à se réconcilier et à prendre des responsabilités dans leurs relations avec Dieu, leur famille et les gens de différentes races… »

« Les PK encouragent les hommes à exercer une vie divine et à garder sept promesses de base d’engagement envers Dieu, leur famille et leurs concitoyens (…) le concept de milliers d’hommes se rassemblant (…) Les PK cherchent à unir des chrétiens de toute race, de toute confession, de tout âge, de toute culture et de tout groupe socio-économique… »[8]

Lorsque l’on évalue des regroupements comme celui des PK et leurs supporters, tels que des notables comme Bill McCartney, James Dobson, Bill Bright, Chuck Colson, Billy Graham et bien d’autres qui donnent leur entier appui et qui les endossent, on remarque certaines choses. Une des idées de soutien utilisées pour rassembler les hommes de cette manière est résumée dans la citation suivante tirée d’un verset : « Comme un homme en aiguise un autre ». Cela sous-entend une direction biblique dont les hommes ont besoin pour se réunir ensemble physiquement et s’unir en tant que Promise Keepers afin de vivre vraiment le « christianisme » et un engagement envers Dieu.

On dit de ceux qui ne viennent pas à ces réunions de masse qu’ils manquent certaines bénédictions de Dieu et qu’ils ne sont pas sur une bonne longueur d’ondes spirituelles. De nombreux PK choisissent de ne se réunir qu’avec des « frères » PK. Le but des PK est d’inclure quiconque veut adopter cette organisation para-ecclésiastique, qui sert de couverture à la promotion de l’unité chrétienne. Néanmoins, la tension grandit entre ceux qui soutiennent le mouvement et ceux qui ne l’avalisent pas. En d’autres mots, être un PK semble précéder l’appartenance à Dieu, quoique l’organisation para-ecclésiastique proclame être composée de chrétiens obéissant à Christ..

En un sens, les PK sont perçus comme une élite spirituelle, des exemples à suivre. Fraterniser avec de fidèles PK est le fondement sur lequel ils peuvent construire leur organisation. Plus ces hommes sont impliqués, plus ils trouvent le besoin d’exclure ceux qui sont en désaccord avec le mouvement.

Cette façon de penser n’est pas nouvelle. Weishaupt, des Illuminati bavarois, s’étant lui-même rebaptisé « Spartacus » après être devenu « illuminé », dit ceci des hommes de son époque : « Les hommes, » observe-t-il, « n’aiment plus les hommes en général, mais seulement celui-ci, ou celui-là en particulier. »[9]

La deuxième des Sept Promesses des PK dit ceci : « Un Promise Keeper s’engage à poursuivre des relations vitales avec quelques autres hommes, sachant qu’il a besoin de frères pour l’aider à garder ses promesses. » On dit à ces hommes qu’ils doivent entrer sous la responsabilité d’un groupe sélect d’hommes et qu’ils se soutiendront mutuellement et s’aimeront au nom de Jésus.

On s’étonnera des paroles suivantes, formulées il y a bien des années, en se demandant si elles ne s’appliqueraient pas aujourd’hui. Notez la citation suivante :

« …(Philo, dans une lettre adressée à Cato) … il [Spartacus/Weishaupt] explique la nécessité de concevoir un système qui satisfera les fanatiques comme les libres penseurs : “Donc, afin d’œuvrer dans ces deux classes d’hommes et les unir, nous devons trouver une explication à la religion chrétienne (…) en faire le secret de la franc-maçonnerie et l’aiguillonner vers notre dessein.” »[10]

La cohabitation de l’erreur avec la vérité fut utilisée pour promouvoir l’unité et fournir l’élan nécessaire à amener les gens de foi à s’harmoniser avec l’agenda et à s’y soumettre, sans qu’ils se doutent même qu’il y eut un agenda.

« (Philo poursuit, citant toujours Spartacus) : “Nous disons donc : Jésus n’espérait pas introduire une nouvelle religion, mais seulement restaurer la religion naturelle et la raison de leurs anciens droits. De ce fait, il désirait réunifier les hommes dans une grande association universelle, et, par la diffusion d’une moralité plus sage, éclairée, et la lutte contre les préjugés, les rendre capables de se gouverner eux-mêmes ; donc, la secrète signification de son enseignement était de conduire les hommes, sans révolution, vers la liberté et l’égalité universelles…” »[11]

Le Bulletin des Promise Keepers de mars 1997 avance l’énoncé suivant :

« Les PK encouragent les hommes à vivre de manière divine et à garder sept promesses de base en engagement devant Dieu, leur famille et leurs concitoyens. Les PK cherchent à unir les hommes chrétiens de toute race, de toute confession, de tout âge, de toute culture et de tout groupe socio-économique, en croyant que des relations responsables parmi les hommes sont importantes pour qu’ils puissent s’entraider à devenir des gardiens de promesses dans leurs relations avec Dieu, leur épouse, leurs enfants et les uns envers les autres. »

Dans l’Énoncé de réconciliation des PK, nous voyons des idées similaires d’écartement des préjugés et d’unification des hommes de par le monde. Le christianisme est employé comme impulsion à l’unité, mais le résultat désiré semble être le même que ce que, essentiellement, Philo décrivait comme des buts chrétiens adéquats.

« Les PK maintiennent le point de vue biblique de la réconciliation. La Bible nous instruit de ce que Dieu le Père, en sacrifiant Son propre Fils sur la croix, “nous a réconciliés avec lui par Jésus-Christ, et nous a confié le ministère de la réconciliation” (2 Corinthiens 5:18). Bien qu’un homme désirât se réconcilier avec sa famille, les membres de son église, ou avec ses frères et sœurs de race ou de confession différentes, il doit d’abord se réconcilier verticalement avec Dieu par Jésus-Christ. Ce n’est qu’alors qu’il pourra être réconcilié horizontalement à son frère. »

« La croix a ensuite pour impact que l’amour de Dieu brise le mur de séparation entre Lui-même et l’homme, et entre l’homme et l’homme, sans égard à la race ou à la confession. Ainsi donc, la véritable réconciliation biblique est un mandat divin donné par Dieu à chaque croyant chrétien, affirmé par le sang sacrifié de Christ. (Voir Colossiens 3:11 ; Éphésiens 2:14.) »

La réconciliation désirée entre les peuples, toutes les confessions et toutes les races n’est pas différente de celle désirée par les Illuminati et les Francs-maçons, et leur « égalité universelle », ainsi que l’élimination des préjugés. Ils incluent chaque confession qui voudra les joindre et, quoique beaucoup se proclament du christianisme, un grand nombre de ceux qui s’impliquent ne sont pas chrétiens.

Des leaders, comme James Dobson, Bill McCartney et autres, ont affirmé être « appelés » à conduire les hommes. La question reste à savoir où ils nous conduisent réellement. Quel mandat scripturaire nous montre qu’un, deux ou plusieurs hommes d’influence doivent conduire le Corps de Christ de cette manière ? Par quelle autorité scripturaire une organisation para-ecclésiastique unifie-t-elle de façon œcuménique quiconque veut l’adopter, sans égard à une vérité ou une erreur doctrinale ?

Pourquoi tant d’activités des PK, de leurs énoncés et tant d’items vendus par eux sont si apparentés, dans leur idéologie et leur apparence, à la franc-maçonnerie et ses formes diverses ?

Par exemple : l’activité Stand in the Gap s’est tenue en face du Monument de Washington (une obélisque), lequel a été construit et dédicacé par les Maçons. Ce Monument est le symbole phallique maçonnique le plus réputé des États-Unis. L’obélisque est le symbole maçonnique d’un organe sexuel mâle, ou phallus, et origine du culte fait à Baal, ainsi que du culte rendu au soleil et au serpent. Alors, pourquoi une illustration de l’obélisque fut-elle imprimée sur des t-shirts avec le verset des Écritures d’Ézéchiel 23:30 dessus et vendu lors du rallie Stand in the Gap ?

Lorsqu’on compare les symboles spécifiques et les logos de la franc-maçonnerie avec ceux des Promise Keepers, il y a une définitive ressemblance. L’épinglette des PK est presque identique à celle que porte un candidat à la franc-maçonnerie au degré d’Apprenti.[12] Le demi vêtement pectoral, laissant une partie de la poitrine et toute l’épaule gauche à nu, manche droite relevée et retenue au-dessus du coude par l’épinglette, semble le même que celui décrit à l’intention du candidat maçonnique. Ce qui paraît être un cordon s’étendant à partir du côté gauche du cou jusqu’à l’extérieur et derrière, est tellement semblable à l’initié franc-maçonnique que nous devons nous demander pourquoi pareille ressemblance.[13] La seule différence significative est qu’il manque à l’épinglette du PK un repli masqué physique sur l’homme. Les deux se réclament de l’inscription gravée sur l’épinglette des PK : « La construction d’un homme divin ». Les deux groupes affirment également qu’ils modèlent les hommes dans ce but.

Contrôle essentiel du clergé

Spartacus frissonnait d’aise de voir comme ceux qui faisaient partie du clergé et qui embrassaient la franc-maçonnerie et les Illuminati s’abusaient à penser qu’ils étaient encore fidèles et disciples de la vraie doctrine et de l’évangile de Jésus-Christ. Nombreux sont ceux qui, dans le leadership d’aujourd’hui, sont encore facilement abusés.

« …Spartacus, écrivant triomphalement : “Vous ne pouvez imaginer combien notre degré de Prêtrise éveille de considération et de sensation. Ce qu’il y a de plus merveilleux, c’est que de grands protestants et théologiens réformistes, qui appartiennent à [l’illuminisme] croient encore que l’enseignement religieux y étant imprimé contient le pur et véritable esprit de la religion chrétienne. Ô hommes ! De quoi ne peut-on pas vous persuader ? Je ne pensais jamais devenir le fondateur d’une nouvelle religion”. »[14]

Les Illuminati savaient que leur succès dépendait de la conversion et du contrôle du clergé qui, en retour, pouvait influencer et diriger les masses.

« C’est sur le clergé “illuminé” et les professeurs que W. compte principalement en vue de l’œuvre de l’Ordre. »[15]

Est-il possible que cette même façon de penser soit toujours pertinente et en usage aujourd’hui ? Peut-on s’étonner que Bill McCartney, fondateur des Promise Keepers, ait dit ce qui suit à l’égard du Congrès du Clergé d’Atlanta ?

« Ce rassemblement à Atlanta devrait excéder 100 000 membres du clergé. Pourquoi ? Parce que nous en avons plus que ça, et que chacun d’entre eux devrait y être. Nous ne pouvons nous permettre que quiconque rate cette réunion. Si un gars dit qu’il ne veut pas y aller, il a besoin de nous fournir une bonne raison de ne pas y être ! Pourquoi ne voulez-vous donc pas avoir part à ce que Dieu entreprend chez des leaders triés sur le volet ? (…) Vous devez retourner leur dire : les Promise Keepers veulent vous aborder et devenir tout ce dont vous avez besoin en encourageant (vos) hommes et en leur fournissant des ressources. »

Qui a fait un minimum de recherche sur les Promise Keepers reconnaîtra probablement certaines des déclarations les plus controversées faites publiquement par Bill McCartney, originalement à l’occasion du Congrès du Clergé d’Atlanta, le 29 avril 1995. C’est-à-dire que l’on cite M. McCartney ainsi : « Nous possédons une grande armée que nous rassemblons. Ce sont les hommes chrétiens de cette nation. Toutefois, notre leadership, notre clergé, n’est pas uniforme. Notre clergé est divisé… Il n’y a pas d’unité de commandement… »

Comme cela ressemble à la citation suivante faite par Weishaupt, dirigeant des Illuminati de Bavière, concernant le contrôle des hommes et de l’agenda ![16]

« Encore et encore, il imprègne chez ses intimes la nécessité d’une unité de commandement dans l’Ordre : “L’on doit montrer comme il serait facile pour quelqu’un d’habile de diriger des centaines et des milliers d’hommes,” et il illustre ce système… »

« “J’en ai deux immédiatement sous moi en qui j’insuffle mon esprit entier, et chacun des deux en a deux autres sous lui, et ainsi de suite. De cette façon, je peux mettre un millier d’hommes en mouvement et les faire marcher de la manière la plus simple, et c’est ainsi que l’on doit donner des ordres et opérer la politique.” »[17]

« Cela eut pour extraordinaire résultat d’amener une multitude d’hommes, de diverses croyances, à œuvrer tous ensemble vers un objectif connu d’une petite poignée d’hommes seulement. »[18]

Les PK se composent d’un vaste éventail de gens allant des prêtres catholiques aux mormons, avec leur clergé et leurs laïcs. Quel reflet de l’énoncé cité plus haut !

Les Promise Keepers établissent aussi leur appel à unir les hommes par les mêmes points exprimés par Philo et Spartacus.

« Nous croyons que nous avons la mission divine d’unir les hommes chrétiens qui sont séparés par la race, le sectarisme, l’âge, la culture et l’économie… La directive biblique voulant que nous soyons “ambassadeurs de réconciliation” nous oblige à détruire les barrières qui ont divisé et polarisé le Corps de Christ trop longtemps. »[19]

Du 4 au 6 mars 1997, à l’Association Nationale des Églises Évangéliques, à Orlando, en Floride, le Dr. Daniel Erickson, des PK, prit la parole. On le cite comme suit :

« Les Promise Keepers se tournent vers l’église locale (…) Les PK sont un pont et, qu’il y ait ou non une étiquette confessionnelle, cela n’a pas d’importance parce que nous établirons des relations avec toute confession. »[20]

La mise en œuvre des agendas de la Maçonnerie et des Illuminati doit couvrir toutes les façons de penser, toutes les faiblesses et tous les vices des gens. C’est le seul moyen d’acquérir réellement le contrôle et de diriger les masses.

« Dans le discours de réception des “Illumination Dirigens”, l’appel à l’amour du pouvoir joue la plus importante part : réalisez-vous suffisamment ce que c’est que de diriger — diriger dans une société secrète, s’entend ? Non seulement sur les personnes plus ou moins importantes de la populace, mais aussi au-dessus des hommes les meilleurs, au-dessus des hommes de tout rang, de toute nation, de toute religion, diriger sans force externe, pour les unir de façon indissoluble, leur insuffler un seul esprit et une seule âme, des hommes disséminés dans toutes les parties du monde ? »[21]

« …et, finalement, savez-vous même ce que sont les sociétés secrètes ? Quelle place occupent-elles dans le grand royaume des événements mondiaux ? »[22]

Nous savons qu’il y a de nombreux leaders religieux et gouvernementaux qui sont membres de la Franc-maçonnerie, du Rite écossais ou autres formes diverses, et ils le sont depuis des années. Le nombre est phénoménal de ceux qui proviennent des Baptistes du Sud, des Pentecôtistes, des Catholiques, des Mormons et des Évangéliques.

On a remarqué des leaders que l’on dit impliqués dans ces groupes, au cours de l’histoire et aujourd’hui, aux États-Unis et au Canada : Norman Vincent Peale, George Washington (Rite écossais, 33e), Harry Truman, Newt Gingrich (33e), George Bush-père (33e, Skull & Bones), George W. Bush (33e, Skull & Bones), Gerald Ford, Ronald Reagan, Bob Dole (33e), Jack Kemp (33e), Rick Joyner (Chevalier de Malte), Andrew Young (Conseil National des Églises), Kenneth Hagin, Kenneth Copeland (33e), Billy Graham (33e), Robert Marshall (MLA New Brunswick), Hon. John Valentine Ellis (MLA, MP, Sénat du Canada) ;

Premiers Ministres du Canada : MacDonald, Abbot, Bowell, Borden, Diefenbaker ;

Parmi d’autres : Évêque Carl J. Sanders (33e G.C. Église Méthodiste Unie), le Rabbin Seymour Atlas (32e), le Dr. James P. Weberry (32e, Directeur exécutif et éditeur du Sunday, Église Baptiste de Géorgie), le Révérend Dr. W. Kenneth Lyons, Jr. (32e), Robert Schuller (33e), Oral Roberts (33e), et bien d’autres.

Il y en a beaucoup d’autres, dans les diverses branches de la Franc-maçonnerie, qui cachent leur affiliation et oeuvrent au sein d’autres organisations, mettant à exécution les agendas par le biais de tous les groupes et personnes possibles.

Ceux sur qui l’on fait des recherches afin de vérifier si la « rumeur » est juste, regardant leur éventuelle implication ou soutien à la Franc-maçonnerie sont : le Pape Jean-Paul II (Opus Dei), Phyllis Schlafley (Dame de l’Ordre militaire souverain des Chevaliers de Malte) et bien d’autres.

Double langage, duperie et rationalisation

Remarquez la rationalisation en ce qui regarde la duperie employée par ceux qui sont mêlés à ces groupes :

« “Nous devons envisager,” dit Weishaupt, “d’œuvrer sous une autre forme. Si les visées sont atteintes, peu importe sous quelle couverture elles prennent place, et la couverture est toujours nécessaire. Car la dissimulation revêt une grande part de notre force. Pour cette raison, nous devons toujours nous couvrir du nom d’une autre société. Les loges qui sont dans la Franc-maçonnerie sont, pour le moment, le manteau le plus convenable pour notre grand dessein, parce que le monde est déjà habitué à ne rien attendre d’elle qui méritât l’attention (…) Comme dans les Ordres spirituels de l’Église de Rome, où la religion n’a été, hélas ! qu’un prétexte, ainsi notre Ordre aussi, mais d’une façon plus noble, essaie de se dissimuler derrière une société savante ou quelque chose du même genre (…) On ne peut intriguer contre une société qui se cache de cette manière. En cas de persécution ou de trahison, les supérieurs ne seront pas découverts (…) Nous serons enveloppés d’impénétrables ténèbres face aux espions et aux émissaires provenant d’autres sociétés.” »[23]

À part moi, de nombreuses personnes ont interviewé Steve Chavis et d’autres membres du personnel des PK. Après avoir écouté leur présentation, nous en sommes arrivés à la conclusion qu’ils utilisent un double langage et évitent de répondre spécifiquement aux questions avec honnêteté et ouverture. Ce qui se fait, et ce qui ne se fait pas, chez les PK, en ce qui a trait aux questions bibliques que l’on permet aux Ambassadeurs PK d’aborder, se résume dans les déclarations suivantes :

« Réponses aux questions et aux défis doctrinaux et confessionnels : …notre Déclaration d’objectifs et notre Profession de foi ont été soigneusement formulés pour vous offrir des outils afin de répondre aux questions soulevées lorsque vous contactez des églises et des pasteurs au nom des Promise Keepers. Rappelez-vous, quand vous y allez, que vous ne vous représentez pas vous-mêmes, ni vos positions personnelles sur une question doctrinale, mais que vous représentez notre mission unique et que vous participez à la tâche d’unification des hommes (…) Rappelez-vous que notre mission est d’unifier les hommes. Nous trouvons qu’il est mieux de ne pas discuter des questions doctrinales à moins d’y être contraints. Nous attendons de vous que vous demeuriez fidèles à votre héritage confessionnel, mais ce n’est pas le temps d’afficher fièrement vos couleurs. »[24]

Est-ce que l’on s’attend à ce que les gens cachent les vérités scripturaires sur les questions importantes, au nom de « l’unité » des Promise Keepers ? Ou doivent-ils simplement éviter de parler d’importantes questions au nom de cette unité, que ceux qui sont impliqués fassent ou non la promotion de la vérité scripturaire ? Selon la Bible, tous ceux qui sont en Christ sont déjà unis dans le Corps du Christ. Qu’y a-t-il qui ne soit couvert ou compris dans cela, pour ceux qui Lui appartiennent ?

« Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n’y a plus ni esclave ni libre ; il n’y a plus ni homme ni femme ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ » (Galates 3:28).

Recrutement

Les Francs-maçons et les Illuminati sont passés maîtres dans l’art de réaliser leurs agendas, en employant, si nécessaire, les moyens suivants :

« …“vous devez procéder graduellement, à petit train, en mettant en haleine et en faisant miroiter des espérances futures, en utilisant d’abord une curiosité vague et imprécise et, par la suite, lorsque le candidat se manifeste, lui présenter l’objet convoité, lequel il saisira à deux mains.” »[25]

« …“nous devons d’abord parler d’une manière, ensuite d’une autre, d’une façon qui ne nous compromette pas et qui rende notre véritable façon de penser impénétrable aux yeux des inférieurs.” »[26]

Steve Chavis m’a dit que l’on exhortait les hommes à revenir aux événements organisés dans les stades, afin qu’ils puissent en recevoir encore davantage la seconde fois, et la troisième, et à chaque fois, ils en obtiennent un peu plus. Il ne divulgue jamais ce à quoi il fait référence, mais cela fait appel au principe d’utilisation du « processus de transformation » des individus et des groupes de gens. La répétition des idées devient l’endoctrinement à ces idées.

Je crois qu’il est possible que les Promise Keepers aient employé leurs réunions dans les stades à cette fin. Les gens attrapés dans ces « autels du sport » sont d’abord séduits afin d’y assister, puis on leur donne ce qu’ils veulent entendre, ce qui, dans ce cas-ci, était en lien avec leurs croyances religieuses. N’importe quel leurre indispensable fut utilisé pour attraper ceux « désireux d’entendre des choses agréables ». Un reporter a tenté de devenir membre des PK par le biais d’un groupe local des PK sans, toutefois, aller à un congrès, mais personne ne l’a rencontré. On lui a dit qu’il fallait qu’il assiste à un congrès de stade. Pourquoi ? Ne pouvait-il pas en comprendre les points sans s’impliquer dans un stade avec des milliers d’autres ?

Des regroupements, comme les Scouts, l’Ordre International de Demolay (les 13 à 21 ans) et les Filles de Job (11 à 20 ans), sont tous des exemples des ramifications de la Maçonnerie. Considérez également les Shriners, l’Ordre de l’Étoile d’Orient et les Young Fellows. Voilà toutes des avenues poussant les gens dans la Franc-maçonnerie, souvent sans que les adhérents et les adeptes ne sachent que ces groupes sont reliés.

La description de ce que les Illuminati recherchent chez leurs recrues se trouve dans la consultation suivante. On croyait qu’il y avait :

« …nécessité d’enrôler des personnes estimées et “respectables”, mais avant tout des jeunes hommes, lesquels voit-il [Weishaupt] comme les sujets les plus prometteurs. “Je ne peux utiliser les hommes comme ils sont,” observe-t-il, “je dois d’abord les former.” La jeunesse se prête naturellement le mieux à ce procédé. “Recherchez la société des jeunes gens,” écrit Weishaupt à Ajax, “surveillez-les, et, si l’un d’eux vous plaît, étendez la main sur lui. Recherchez les jeunes gens déjà talentueux (…) Nos gens doivent être engagés, entreprenants, intrigants et adroits, la première chose passant avant les autres.” »[27]

La plupart des gouvernements et des départements d’éducation se sont engagés à modeler l’école globaliste selon l’initiative de l’Europe et des Nations Unies. Quiconque jette un regard sur ce qui arrive dans l’éducation peut attester qu’elle est contrôlée, pas par les parents, mais par « l’agenda ». Les Francs-maçons sont responsables de la politique voulant que tous les enfants doivent bénéficier d’une scolarité approuvée par le gouvernement. Comme nous l’avons constaté plus haut, nous pouvons voir que de nombreux francs-maçons détiennent des positions gouvernementales élevées. Cela a une grande signification pour les familles chrétiennes. Le système scolaire européen fut regardé avec fierté par les Illuminati comme un moyen de voir adopter leur manière de penser par une jeunesse inconsciente du fait.

« L’Institut des Cadets militaires est aussi sous le contrôle de l’Ordre : tous les professeurs sont membres des Illuminati (…) ainsi, les étudiants deviendront tous des disciples de l’Illuminisme (…) Les écoles allemandes sont sous la forte influence des “I” et, maintenant, seuls les membres en ont la charge (…) L’association caritative est également dirigée par les “I”. »[28]

Les chrétiens ne sont pas immunisés contre la pensée de recruter les jeunes gens par des cérémonies et des rituels. Prenez note de ce que déclare Robert Lewis, auteur de Raising a Modern Day Knight (Résurrection du Chevalier des temps modernes), dans le Focus on the Family de l’édition de juin 1997 :

« Je crois qu’il est temps de ressusciter le chevalier courtois : ses idéaux, son développement et ses cérémonies. Je veux qu’il parle à une nouvelle génération qui possède un potentiel de grandeur, mais à qui il ne manque que l’occasion : nos fils ! »

Selon le pasteur Joseph Chambers, de Pawcreek : Rick Joyner a déclaré qu’il est devenu, avec d’autres, un Chevalier de l’Ordre militaire souverain de Malte. Cela voudrait dire que Paul Cain, un des associés de M. Joyner, serait aussi devenu Chevalier de Malte. Cependant, l’auteur de ces lignes a reçu un courriel de Paul Cain déclarant qu’il n’était jamais devenu Chevalier. Nos sincères excuses pour toute fausse déclaration en cette matière au sujet de M. Cain.

« Lundi, 16 août 1999

À qui de droit,

Ceci pour vous aviser que moi, Paul Cain, ne suis pas présentement et n’ai jamais été chevalier ou associé aux “Chevaliers de Malte” d’aucune façon. Je ne suis présentement, et n’ai jamais été auparavant, membre de quelque ordre secret que ce soit. »

M. Joyner côtoie plusieurs notables comme James Ryle (Promise Keepers, pasteur de Bill McCartney), Jack Deere, Francis Frangipane, Dudley Hall, Andrew Strom, Mike Bickle et beaucoup d’autres impliqués chez les « Prophètes de Kansas City », le Vineyard et le mouvement charismatique.

Rick Joyner a déclaré ceci à propos des Chevaliers de Malte :

« Malte est toujours reconnu comme Ordre souverain ayant l’île de Malte pour centre diplomatique. Il est considéré par plusieurs comme le seul véritable bureau d’enregistrement de la noblesse encore en existence. Il est demeuré intact en tant qu’ordre chrétien depuis plus de 900 ans et ses vœux se centrent sur le service envers le Seigneur Jésus-Christ, la défense de l’unité chrétienne et le service de “nos seigneurs, le pauvre et l’opprimé”. Il est considéré par bon nombre de personnes comme le seul véritable ordre chevalier restant… »

« Or, il y a un Ordre protestant/évangélique/œcuménique (reconnu comme “Ordre souverain”) et un Ordre catholique. L’Ordre souverain a été revitalisé de manière significative, ces quelques dernières années. Sans fanfare ni trompette, ses chevaliers ont été des instruments importants dans le monde des affaires, et ont fait beaucoup pour garder la foi chrétienne vivante dans les nations sous domination communiste, ou dans d’autres endroits où le christianisme est persécuté. Plusieurs de ces chrétiens doivent demeurer discrets sur leur rôle en ces affaires à cause de la nature sensible de celles-ci, et pour la protection des croyants persécutés. Toutefois, cela n’a rien à voir avec les croyances et les pratiques secrètes… »

[L’Ordre de Malte est tombé sous la coupe des Jésuites, il y a longtemps et sert ainsi le Vatican d’une manière occulte. (Voir le livre de Eric Jon Phelps, Les assassins du Vatican.)]. En ce qui a trait à la raison pour laquelle des regroupements para-ecclésiastiques comme celui des PK ont surgi, Joyner dit ceci :

« Presque chaque culte, chaque secte ou groupe dérivé provient d’un vide créé par l’église qui ne remplit pas son ministère. Les rangs des Maçons tendent à grossir après chaque guerre parce que les hommes se sont habitués à vivre une profonde camaraderie mâle durant cette guerre, laquelle camaraderie ils ne peuvent retrouver ailleurs quand ils retournent chez eux, ce qui inclut l’église. C’est une des raisons expliquant la popularité de mouvements comme celui des Promise Keepers que Dieu, je pense, a donné à l’église pour aider les hommes à remplir ce vide. Les femmes également ont besoin de cette camaraderie entre elles, et elles ont été capables de la retrouver dans l’église, ou dans les programmes de l’église, et ce plus facilement que les hommes… »

Norman Vincent Peale, véritable icône chez beaucoup de chrétiens et renommé mondialement pour ses enseignements psychologiques basés sur sa propre expérience, ainsi que son livre The Power of Positive Thinking (Le pouvoir de la pensée positive), était maçon du 33e degré. Dans une lettre écrite en réaction à une enquête menée dans le cadre de son support envers la Franc-maçonnerie, Peale raconte que son père et son grand-père étaient Maçons depuis 60 ans.

« Que signifie la Franc-maçonnerie, pour moi ?

» Les Maçons disent que la Franc-maçonnerie débute, en réalité, dans le cœur même de chaque Maçon individuellement. Je dis cela pour proposer une réponse à la fraternité et aux idéaux les plus élevés (…) La Franc-maçonnerie n’est pas une pensée religieuse, selon mon expérience personnelle. Les Maçons sont majoritairement des hommes religieux et, pour la plupart, de foi chrétienne. Par la Franc-maçonnerie, cependant, j’ai eu l’occasion de rompre le pain avec de bons hommes d’une foi autre que ma foi chrétienne. La Franc-maçonnerie ne promeut aucun credo religieux. Tous les Maçons croient sans réserve à la Déité. Toutefois, la Maçonnerie n’exige pas de ses membres une manière particulière de penser à propos du Grand Architecte de l’Univers. La Franc-maçonnerie est, pour tous ses membres, un supplément à la bonne façon de vivre qui a rehaussé la vie des millions de ceux qui ont pénétré ses portes. Bien que ce ne soit pas une religion en tant que telle, elle ajoute à la foi en Dieu le Créateur. Elle soutient la moralité et la vertu.

» La franc-maçonnerie ne possède ni dogme ni théologie. Elle n’offre aucun sacrement. Elle enseigne qu’il est important pour chaque homme d’avoir une religion de son choix et d’y être fidèle en pensée et en actions. Comme résultat, les hommes de différentes religions se réunissent dans la camaraderie et la fraternité sous la paternité de Dieu. Je crois qu’un bon Maçon devient encore plus fidèle aux dogmes de sa foi en faisant parie de la Loge…

» Pour moi, la Franc-maçonnerie est une forme de dévouement à Dieu et au service envers l’humanité. Moi aussi, j’ai été un franc-maçon du fond du cœur et je le resterai. Je suis fier de mon engagement. Je suis fier de marcher en camaraderie fraternelle avec mes Frères, Pourquoi suis-je Franc-maçon ? Simplement parce que je suis fier d’être un homme qui désire garder des standards moraux de vie d’un niveau élevé et laisser quelque chose derrière lui qui profitera à d’autres. Ce n’est qu’en devenant personnellement meilleur que je pourrai aider les autres à faire de même. »[29]

[En lisant cela, on se demande pourquoi Dieu a écrit Sa Parole et fondé Son Église ! Car, d’après Peale et la F.M., ils semblent leur être insuffisants pour accomplir le Plan de Dieu… ! Pourquoi des outils extérieurs à ce que Dieu a donné ? On comprend l’incongruité de ces efforts humains pour « parfaire » l’Œuvre  de Dieu, lorsqu’on voit les résultats qu’ils donnent.] Les Promise Keepers ont constamment nié avoir, eux ou leur leadership, un quelconque motif politique. Pourtant, le leadership et les orateurs se font entendre bruyamment dans les arènes politiques. Et quand vous commencez à aborder les questions d’ordre individuel comme l’avortement ou l’homosexualité, puisque ces questions sont d’ordre moral, spirituel et politique, on aurait tort de dire qu’ils n’auront aucune influence en ces domaines simplement par ce qu’ils disent ou font.

Weishaupt a dit ceci :

« Mais l’admission de visées politiques n’est réservée qu’aux grades les plus élevés de l’Ordre. Aux débutants, (…) nous devons être prudents concernant les livres sur la religion et l’État. Je les ai réservés, dans mon plan, aux plus hauts degrés. »[30]

James Dobson, qui a fourni fonds et soutien aux PK, dit ceci : « Les chrétiens conservateurs ont été trahis par le Parti républicain. » Et aussi : « Le président de Focus on the Family, James Dobson, a dit samedi (07/02/98) qu’il mènerait personnellement la campagne nationale pour éliminer les leaders élus du GOP qui ont failli à leurs promesses de soutenir les principes stricts fondés sur la Bible comme faisant partie de leurs activités législatives… » Le Dr. Dobson est aussi reconnu avoir dit qu’il utiliserait son émission radiophonique diffusée mondialement, dans toute l’étendue que permettent les règlements fédéraux gouvernant les organismes à but non lucratif, afin de répandre le mot que les Républicains ont trahi le puissant bloc des chrétiens conservateurs votants que l’on qualifie parfois de Droite Religieuse.[31]

Prenez note, ici, de l’énoncé de Weishaupt : « …les leaders furent capables d’éliminer les gens ambitieux qui auraient pu devenir des rivaux dans leur pouvoir de former dans leurs rangs des hommes qui se laisseraient aveuglément mener de l’avant par des directeurs invisibles… »[32]

La citation suivante va dans le même sens que nombre d’attitudes envers ce qui se produit aujourd’hui. En fait, on dit souvent qu’il appert que, à la lumière de tous les agendas qui s’exécutent en ce moment, a lieu un planning qui comprend un traitement accordé à tous ceux qui pourraient éventuellement ne pas se montrer d’accord pour « monter à bord ».

L’auteur Reinhart Dozy décrit la nouvelle secte qui surgit de l’Islam par une manipulation soigneuse et la tromperie.

« (la révolte contre l’Islam) Ismaël (…) érigé en système en fondant une secte (…) pour enchaîner ensemble, en un seul corps, vaincus et conquérants, à réunir sous la forme d’une vaste société secrète, avec de nombreux degrés d’initiation, les libres penseurs — qui ne regardent la religion que comme un mors pour tenir en bride les peuples — (…) pour faire des croyants des outils à donner aux sceptiques (…) pour ériger un parti, nombreux, compact et discipliné qui, en temps voulu, rendra les trônes (…) une conception extraordinaire qu’il façonne avec un tact merveilleux, un talent incomparable et une compréhension profonde du cœur humain. Les moyens qu’il a adoptés furent imaginés avec une astuce diabolique… »[33]

Il poursuit en disant :

« Ses missionnaires, en qui était inculquée l’idée que leur premier devoir était de cacher leurs véritables sentiments et s’adapter aux vues de leurs auditoires… »[34]

Une personne n’a pas besoin d’adhérer au mysticisme ou à une duperie pour en faire partie. Beaucoup déclarent être chrétiens, ou de Dieu, mais ne font simplement que jouer un rôle. Ils sont capables d’influencer les gens à l’intérieur de n’importe quelle organisation dont ils sont membres.

Dozy continue, dans son étonnante description du projet visant à refaire l’Islam :

« Par des moyens tels que ceux-ci, les extraordinaires résultats amenèrent une multitude d’hommes de diverses croyances à travailler ensemble pour un objectif connu que d’une poignée d’entre eux seulement… »

Nesta Webster conclut, en soulignant l’immense importance des citations mentionnées ci-haut et en jetant la lumière sur l’organisation des sociétés secrètes modernes :

« Peu importe les fins auxquelles l’on arrive, qu’elles soient politiques, sociales, ou religieuses, le système demeure le même : la mise en mouvement d’un vaste nombre de gens pour les faire travailler à une cause qu’ils ignorent. »[35]

Néanmoins, Dieu nous avertit au sujet de ces choses, dans Sa Parole inhérente :

« Que personne ne vous séduise en aucune manière ; car il faut que la révolte soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme du péché, le fils de la perdition » (2 Thessaloniciens 2:3).

Il appert que les PK, et ceux qui leur apportent support et direction, ne sont qu’un instrument parmi tant d’autres utilisés dans le but de pourvoir à l’unité qui, éventuellement, divise. Beaucoup s’unissent pour la « cause », et certains diront que cette cause est une combinaison de principes franc-maçonniques, de psychologie, de politique et un abandon total au mouvement œcuménique qui aboutira à une religion mondiale unifiée. Les chrétiens ne peuvent, ni ne doivent, s’unir avec ceux qui ont des doctrines contraires à la Parole de Dieu.

« Ne vous mettez pas sous un même joug avec les infidèles ; car qu’y a-t-il de commun entre la justice et l’iniquité ? et quelle union y a-t-il entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l’infidèle ? Et quel rapport entre le temple de Dieu et les idoles ? Car vous êtes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit : “J’habiterai au milieu d’eux et j’y marcherai ; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple” » (2 Corinthiens 6:14-16).

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[1] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 215.

[2] Ibid., p. 28.

[3] Ibid., p. 29.

[4] Ibid., p. 31.

[5] Ibid., p. 217.

[6] Freemasonry and Religion, Maçonnerie en Alaska.

[7] Ibid.

[8] Seven Promises of the Promise Keepers, février 1997.

[9] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 215.

[10] Ibid., p. 218

[11] Ibid., p. 218.

[12] Une photo de candidat au degré d’Apprenti est montrée dans The Master’s Carpet, Mah Hah Bone, p. 252, par Edmund Ronayne.

[13] Description dans The Brotherhood de Stephen Knight, Initiation to the First Degree, Appendice trois, p. 312.

[14] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 219.

[15] Ibid., p. 219.

[16] Mentionnons pour mémoire que Adam Weishaupt était un ancien Jésuite, autre grande secte secrète religieuse.

[17] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 222.

[18] Ibid., p. 222.

[19] Profession de foi des Promise Keepers, magazine Promise Keepers 1996, p. 5

[20] The ACCC Report, par le Dr. Ralph Colas, juin 1997, 55e Congrès annuel de l’Association Nationale des Églises Évangéliques, Orlando, Floride, mars 1997.

[21] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 221.

[22] Ibid., p. 222.

[23] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 219.

[24] Promise Keepers : Réponses aux questions et aux défis doctrinaux et confessionnels (Ambassadeurs des Promise Keepers).

[25] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, chapitre 9, The Bavarian Illuminati, p. 221.

[26] Ibid., p. 220.

[27] Ibid., p. 219.

[28] Ibid., p. 219.

[29] What Freemasonry Means to Me (Ce que la Franc-maçonnerie signifie pour moi), révérend Dr. Norman Vincent Peale, 33; La grande Loge des Maçons libres et acceptés d’Alaska.

[30] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, ch, 9, The bavarian Illuminati, p. 222.

[31] A Righteous Indignation (Juste indignation), par Michael J. Gerson, 4 mai 1998 ; & Un leader conservateur menace de fermer le GOP », par Laurie Goodstein, New York Times, 12 février 1998.

[32] Nesta H. Webster, Secret Societies and Subversive Movements, ch, 9, The bavarian Illuminati, p. 222.

[33] Ibid., p. 37.

[34] Ibid., p. 38.

[35] Ibid., p. 38.




D.113 – Conspiration de l’Antichrist – Partie 9

 

Dans l’antre du diable

Neuvième partie

53. La connexion sioniste talmudique

Dans le livre de l’Apocalypse, deux bêtes sont décrites, une dans Apocalypse 13:1 et l’autre dans Apocalypse 13:11. La seconde bête a rapport au faux prophète (Apocalypse 16:13 ; 19:20 ; 20:10). Elle faisait que tous adoraient la première bête qui, comme nous l’avons vu, ne pouvait être que le pape (Apocalypse 13:12). La description de la seconde bête en tant que faux prophète suggère que c’est un Juif. Benjamin Disraeli, Juif qui se convertit au christianisme, était un ancien Premier Ministre d’Angleterre ; il révéla que les premiers Jésuites étaient des Juifs.[1] Le secrétaire d’Ignace de Loyola, Polanco, était d’ascendance juive et fut la seule personne présente au lit de mort de Loyola. Ignace de Loyola était lui-même crypto-Juif de la kabbale occulte. Un crypto-Juif est un Juif qui se convertit à une autre religion et adopte extérieurement cette nouvelle religion, pendant qu’il entretient secrètement ses pratiques juives. James Lainez, qui succéda à Loyola comme second Général Jésuite, était également d’ascendance juive. Les Juifs se sentaient attirés par l’ordre des Jésuites et s’y joignaient en grand nombre.[2] Certains des plus influents Jésuites de l’histoire, comme Francisco de Ribera (1537-1591) et Emanuel de Lacunza (1731-1801), étaient Juifs. De nombreuses doctrines jésuitiques sont similaires à ce que l’on retrouve dans le Talmud babylonien. Il est possible que la deuxième bête du livre de l’Apocalypse soit un Général Jésuite, que l’on qualifie de pape noir. En tant que Juif talmudique, le Général Jésuite est le mystérieux leader dans l’ombre des Juifs sionistes.

John Torell explique les origines juives talmudiques de l’ordre des Jésuites :

« L’Ordre des Illuminati ne fut pas inventé par Adam Weishaupt, mais il le renouvela et le réforma. Le premier ordre illuminatus connu (Alumbrados) fut fondé en 1492 par des Juifs espagnols que l’on appelait « Marranes » et que l’on connaissait aussi sous l’appellation de « crypto-Juifs ». À cause d’une violente persécution en Espagne et au Portugal, commencée en 1391, des centaines de milliers de Juifs furent forcés de se convertir à la foi de l’Église catholique romaine. Publiquement, ils étaient dès lors catholiques romains, mais ils pratiquaient secrètement leur judaïsme, comprenant le Talmud et la Kabbale (ou cabale). Les Marranes furent en mesure d’enseigner secrètement leurs enfants dans le judaïsme, mais en particulier le Talmud et la Kabbale, et cet énorme regroupement de Juifs a survécu jusqu’à aujourd’hui. Après 1540, les Marranes optèrent pour s’enfuir vers l’Angleterre, la Hollande, la France, l’Empire ottoman (la Turquie), le Brésil et d’autres endroits en Amérique Centrale ou du Sud. Les Marranes conservèrent de puissants liens familiaux et devinrent très riches et influents dans les nations où ils vivaient. Mais, comme c’est la coutume chez tout le peuple juif, il leur importait peu dans quelle nation ils vivait, leur loyauté était dirigée vers eux-mêmes et le judaïsme. »[3]

*   *   *

« En 1491, San Ignacio de Loyola est né dans la province basque de Guipuzcoa, en Espagne. Ses parents étaient Marranes et, à l’époque de sa naissance, ils étaient fort riches. Jeune homme, il devint membre de l’Ordre Illuminati juif d’Espagne. Comme couverture à ses activités crypto-juives, il devint très actif en tant que catholique romain. Le 20 mai 1521, Ignace (comme on l’appela dès lors) fut blessé dans une bataille et devint à demi invalide. Inapte à réussir dans les domaines militaire et politique, il se mit en quête de sainteté et aboutit éventuellement à Paris où il étudia en vue du sacerdoce. En 1539, il était rendu à Rome où il fonda « L’ORDRE DES JÉSUITES » qui devait devenir l’ordre le plus vil, le plus sanguinaire et le plus persécuteur de l’Église catholique romaine. En 1540, le pape de l’époque, Paul III, approuva l’ordre. À la mort de Loyola, en 1556, il y avait plus de 1 000 membres dans l’Ordre des Jésuites, localisés dans bon nombre de nations. »[4]

« En établissant l’ordre des Jésuites, Ignace de Loyola inventa un système d’espionnage élaboré, afin que personne dans l’ordre ne soit en sécurité. S’il y avait de l’opposition, la mort arrivait rapidement. Non seulement l’ordre des Jésuites devint-il le bras destructeur de l’Église catholique romaine, mais il se développa aussi en service de renseignement secret. Quoique les papes s’en remettaient de plus en plus aux Jésuites, ils ignoraient que le noyau dur du leadership était juif, et que ces Juifs maintenaient leur adhésion à l’ordre Illuminati qui méprisait et haïssait l’Église catholique romaine. »[5]

Comme nous l’avons expliqué dans des chapitres précédents, l’assertion de l’Église catholique disant que Pierre est le Rocher s’avère un déni implicite que Jésus est le Christ. Un tel déni est l’accomplissement de la prophétie identifiant l’antichrist (1 Jean 2:22-23). On doit être conscient qu’il y a plusieurs antichrists. Le pape, les évêques, les archevêques, les prêtres et les sœurs catholiques sont tous des antichrists. Vous pouvez ajouter à cette liste les Juifs. Pendant environ 2 000 ans, les Juifs ont expressément nié que Jésus est le Christ.

« Jeunes enfants, c’est ici le dernier temps ; et comme vous avez entendu que l’Antechrist viendra, il y a même dès maintenant plusieurs Antechrists ; et nous connaissons à cela que c’est le dernier temps. 19Ils sont sortis d’entre nous, mais ils n’étaient point d’entre nous : car s’ils eussent été d’entre nous, ils fussent demeurés avec nous, mais c’est afin qu’il fût manifesté que tous ne sont point d’entre nous. 20Mais vous avez été oints par le Saint-Esprit, et vous connaissez toutes choses. 21Je ne vous ai pas écrit comme si vous ne connaissiez point la vérité, mais parce que vous la connaissez, et qu’aucun mensonge n’est de la vérité. 22Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? celui-là est l’Antechrist qui nie le Père et le Fils. 23Quiconque nie le Fils, n’a point non plus le Père ; quiconque confesse le Fils, a aussi le Père » (1 Jean 2:18-23, VM).

Satan dirige son royaume sur la base du besoin de savoir. Il est seul à avoir tout le portrait. Beaucoup de ses subordonnés, en conflit apparent, oeuvrent en réalité de concert vers son but de domination mondiale. Il sacrifiera joyeusement bon nombre de ses plus loyaux supporteurs, si ça lui permet d’atteindre ses buts. En considérant la persécution des Juifs sous les auspices des Jésuites dans l’Allemagne nazie, il semblerait à l’observateur occasionnel que les Jésuites et les Juifs étaient aux antipodes. En fait, il y a un élément juif qui oeuvrait main dans la main avec les Jésuites durant l’holocauste nazi. Parce que le jésuitisme est fondé sur le Talmud et la Kabbale juifs, les Jésuites sont, en réalité, des crypto-Juifs. Ainsi donc, il n’était pas inhabituel pour ces crypto-Juifs de travailler étroitement avec des Juifs manifestes. Ces deux genres de Juifs suivent les doctrines qu’on retrouve dans le Talmud babylonien blasphématoire. Le talmudisme babylonien n’est rien d’autre que les enseignements et les traditions occultes babyloniennes ; le véritable dieu du Talmud babylonien est Satan.

À l’époque de Christ, le Talmud n’existait que sous forme orale, et Jésus S’y référa en tant que la tradition des scribes et des pharisiens. Cette première tradition orale s’appelle la Mishna. Ce n’est qu’après la crucifixion de Jésus que la Mishna fut produite par écrit. Les rabbins ajoutèrent plus tard des commentaires rabbiniques à la Mishna et que l’on appelle la Gemara.[6] Ensemble, ils composent le Talmud qui est actuellement une collection de livres. Il y a aujourd’hui deux textes talmudiques de base, le Talmud babylonien et le Talmud de Jérusalem. Le Talmud babylonien est considéré comme la version autorisée et a préséance sur le Talmud de Jérusalem.[7] Le Talmud babylonien se fonde sur les pratiques mystiques religieuses des Babyloniens qui furent assimilées par les rabbins juifs durant la captivité babylonienne, aux alentours de 600 avant J.C.. Les rabbins utilisaient alors ces traditions occultes à la place de la Parole de Dieu.

Chez les Juifs orthodoxes et hassidiques, le Talmud a autorité sur l’Ancien Testament même.[8] Il y a une secte de Juifs, les Karaïtes (caraïtes ou qaraïtes), qui adhère à l’autorité de l’Ancien Testament seulement. Les Karaïtes sont, historiquement, extrêmement haïs et persécutés sévèrement par le rabbinat juif orthodoxe et les hassidiques. Les Juifs d’Éthiopie n’adhèrent pas non plus au Talmud et, par conséquent, ils ne sont pas acceptés par les Juifs talmudiques.

À l’époque de Christ, les rabbins talmudiques, les scribes et les pharisiens, interpellaient et défiaient constamment Jésus. Et c’est eux qui complotèrent Sa crucifixion. Lisez ce que dit Jésus de ces Juifs talmudiques.

« Ils répondirent, et lui dirent : notre père c’est Abraham. Jésus leur dit : si vous étiez enfants d’Abraham, vous feriez les oeuvres d’Abraham. 40Mais maintenant vous tâchez à me faire mourir, moi qui suis un homme qui vous ai dit la vérité, laquelle j’ai ouïe de Dieu ; Abraham n’a point fait cela. 41Vous faites les actions de votre père. Et ils lui dirent : nous ne sommes pas nés d’un mauvais commerce ; nous avons un père qui est Dieu. 42Mais Jésus leur dit : si Dieu était votre Père, certes vous m’aimeriez : puisque je suis issu de Dieu, et que je viens de lui ; car je ne suis point venu de moi-même, mais c’est lui qui m’a envoyé. 43Pourquoi n’entendez-vous point mon langage ? c’est parce que vous ne pouvez pas écouter ma parole. 44Le père dont vous êtes issus c’est le démon, et vous voulez faire les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n’a point persévéré dans la vérité, car la vérité n’est point en lui. Toutes les fois qu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le père du mensonge. 45Mais pour moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez point. 46Qui est celui d’entre vous qui me reprendra de péché ? Et si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous point ? 47Celui qui est de Dieu, entend les paroles de Dieu ; mais vous ne les entendez point, parce que vous n’êtes point de Dieu » (Jean 8:39-47, VM).

Comme l’a dit Jésus, ce sont les enfants du diable. Ils se déguisent en homme religieux qui possèdent les oracles de Dieu, mais ils sont irréligieux, enseignant des doctrines d’homme au lieu de l’évangile de Dieu.

« Alors des Scribes et des Pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent : 2Pourquoi tes Disciples transgressent-ils la tradition des Anciens ? car ils ne lavent point leurs mains quand ils prennent leur repas. 3Mais il répondit, et leur dit : et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? 4Car Dieu a commandé, disant : honore ton père et ta mère. Et il a dit aussi : que celui qui maudira son père ou sa mère, meure de mort. 5Mais vous dites : quiconque aura dit à son père ou à sa mère : Tout don qui sera offert de par moi, sera à ton profit ; 6Encore qu’il n’honore pas son père, ou sa mère, il ne sera point coupable ; et ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition. 7Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé de vous, en disant : 8Ce peuple s’approche de moi de sa bouche, et m’honore de ses lèvres ; mais leur cœur est fort éloigné de moi. 9Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes » (Matthieu 15:1-9, VM).

Dans Matthieu 23, Jésus emploie un langage encore plus fort pour décrire les Juifs talmudiques. Jésus les appelle serpents, vipères, conducteurs aveugles, sépulcres blanchis et hypocrites qui risquent d’être condamnés au feu de la géhenne.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin ; et vous laissez les choses les plus importantes de la Loi, c’est-à-dire, le jugement, la miséricorde et la fidélité ; il fallait faire ces choses-ci, et ne laisser point celles-là. 24Conducteurs aveugles, vous coulez le moucheron, et vous engloutissez le chameau. 25Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, car vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat ; mais le dedans est plein de rapine et d’intempérance. 26Pharisien aveugle, nettoie premièrement le dedans de la coupe et du plat, afin que le dehors aussi soit net. 27Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous êtes semblables aux sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts, et de toute sorte d’ordure. 28Ainsi vous paraissez justes par dehors aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité. 29Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, car vous bâtissez les tombeaux des Prophètes, et vous réparez les sépulcres des Justes ; 30Et vous dites : si nous avions été du temps de nos pères, nous n’aurions pas participé avec eux au meurtre des Prophètes. 31Ainsi vous êtes témoins contre vous-mêmes, que vous êtes les enfants de ceux qui ont fait mourir les Prophètes ; 32Et vous achevez de remplir la mesure de vos pères. 33Serpents, race de vipères ! comment éviterez-vous le supplice de la géhenne ? » (Matthieu 23:23-33, VM).

Pourquoi Jésus a-t-Il dit des choses pareilles concernant les pharisiens et les scribes ? Pour répondre à cela, nous devons d’abord examiner quelques-unes des traditions talmudiques qui s’étaient développées au cours des ans. Pour débuter, les Juifs talmudiques haïssaient les Gentils. Pour eux, les Gentils n’étaient que de vils animaux, impurs et sans droit légal à l’existence.[9] Par exemple :

Le Baba Mezia 114b déclare : « Les filles des Gentils sont en état d’impureté dès leur naissance et le mariage avec elles est prohibé. »

Baba Bathra 54b : « La propriété des Gentils est comme le désert ; elle appartient au premier qui le prendra. »

Sanhédrin 57a : « Si un Gentil vole un Juif, il doit lui rembourser. Mais si un Juif vole un Gentil, le Juif peut garder le butin. De la même manière, si un Gentil tue un Juif, on doit tuer le Gentil. Mais si un Juif tue un Gentil, le Juif sera libre. »

Baba Kamma 38a : « Les Gentils sont en dehors de la protection de la Loi d’Israël. »

Sanhédrin 52b : « L’adultère n’est pas défendu… avec la femme d’un Gentil, parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec “la femme de ton prochain”, et les Gentils ne sont pas des prochains. »

Le point de vue des Juifs talmudiques au sujet de la femme la considère comme un fardeau jetable.[10] Par exemple :

Menahoth 43b : « Un mâle juif devrait remercier Dieu de ne pas l’avoir fait femme ou Gentil. »

Baba Bathra 16b : « La naissance d’une fille est un événement malheureux. »

Aboth 1:5 : « Il n’est pas bon de parler à une femme, même sa propre épouse. »

Gittin 91a : « Il est permis de divorcer de son épouse si elle brûle le dîner, ou si tu vois une fille plus belle. »

Les abominables enseignements du Talmud dans le domaine sexuel sont d’une incompréhensible méchanceté. Le Talmud affiche une attitude permissive envers la pédophilie et la sodomie. Par exemple :

Sanhédrin 55b : « Il est permis d’avoir des relations sexuelles avec une fillette de trois ans et un jour. » Voir aussi Yebamoth 12a, 57b, 60b ; Abodah Zarah 37a et Kethuboth 39a.

Sanhédrin 54b : « Si un homme commet la sodomie avec un garçon de moins de neuf ans, ils ne sont pas coupables de sodomie. »

Sanhédrin 59b : « Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. »

Kethoboth 11b : « Une relation sexuelle avec une fillette de moins de trois ans n’est rien. »

Le judaïsme talmudique démontre la plus intense des haines envers Jésus.[11] Même si certains Juifs essaieront de nier que le Talmud avance de telles choses, Benjamin Freedman, ancien Juif talmudique, déclare ceci : « Rien n’est plus vicieux et plus vil contre Jésus, les chrétiens et la foi chrétienne que le libellé blasphématoire que vous retrouvez entre les deux couverts des 63 livres du Talmud qui forme la base de la loi religieuse juive et sert de manuel de formation des rabbins. »[12] Par exemple :

Yebamoth 49b : « Jésus était un bâtard né dans l’adultère. »

Sanhédrin 106a & b : « Marie était une prostituée ; Jésus était un homme méchant. »

Shabbath 104b : « Jésus était un magicien et un imbécile. Marie était adultère. »

Sanhédrin 43a : « Jésus était coupable de sorcellerie et d’apostasie ; il méritait l’exécution. Les disciples de Jésus méritaient d’être tués. »

Gittin 56b : « Jésus a été envoyé en enfer où il est puni à faire bouillir des excréments pour s’être moqué des Rabbins. »

Le Talmud montre des sentiments similaires envers les chrétiens.[13] Par exemple :

Abodah Zarah 16b, 17a : « Les Juifs doivent se garder loin des chrétiens. Les chrétiens sont alliés avec l’Enfer, et le christianisme est pire que l’inceste. »

Abodah Zarah 17a : « Aller vers les prostituées, c’est comme devenir chrétien. »

Abodah Zarah 27b : « Il est interdit de se faire soigner par un chrétien. »

Sanhédrin 90a, 100b : « Ceux qui lisent les évangiles sont condamnés à l’Enfer. »

Sanhédrin 99a : « Quand le Messie va venir, il détruira les chrétiens. »

Shabbath 116a : « Les Évangiles sont le côté faux du papier vierge et le péché du papier vierge. Les Évangiles doivent être brûlés ; le Nouveau Testament est comme du papier vierge. »

De l’abondance du cœur la bouche parle, et les Juifs talmudiques ont un cœur méchant. Winston Churchill a dit ceci à leur propos :

« On serait porté à croire que l’Évangile du Christ et l’évangile de l’antichrist étaient destinés à provenir du même peuple ; et que cette race mystique et mystérieuse a été choisie pour les manifestations suprêmes, à la fois divine et diaboliques (…) Depuis l’époque de “Spartacus” Weishaupt à celle de Karl Marx, en passant par Trotski (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour l’anéantissement de la civilisation et la reconstruction de la société sur des bases arrêtées de développement, d’envieuse malveillance et d’impossible égalité, s’est sans cesse accrue. Elle a joué, comme l’a si bien démontré une écrivaine moderne, Mme Nesta Webster, une part définitivement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Elle a servi de courant à tous les mouvements subversifs du dix-neuvième siècle ; et maintenant, à la fin, cette bande de personnalités extraordinaires, issue de la pègre des grandes villes d’Europe et d’Amérique, a agrippé le peuple russe par les cheveux et est devenue maîtresse presque incontestée de cet énorme empire. Nul besoin d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans la provocation de la Révolution russe par ces personnages en majorité Juifs athées internationaux. C’en est certainement une très grande ; elle surpasse probablement toutes les autres. »[14]

Les pharisiens avaient aussi d’autres doctrines en marge du Talmud. Ces autres enseignements s’appelaient la Kabbale. La Kabbale était des traditions orales occultes qu’ils ne partageaient pas avec le peuple en général. La Kabbale est à la source des exercices spirituels des Jésuites. Les Jésuites sont les pharisiens des temps modernes.

Selon John Torell, dans la Kabbale juive, Dieu consiste en un être mâle et un être femelle. La partie mâle de Dieu (appelée En-Sof par les kabbalistes) se renferma en elle-même et créa un vide dans sa propre structure qui engendra un abîme sans fond (cet abîme est appelé kelipot par les kabbalistes). La Kabbale enseigne que la partie femelle de Dieu est tombée dans l’abîme et a pris la forme du « serpent sacré ». La Kabbale enseigne plus loin que le « serpent sacré » est entouré d’esprits mauvais et qu’il est tenté à tout instant. Le « serpent sacré » essaie de se libérer de l’abîme sans fond. Quand il y arrivera, il pourra entrer sur la terre en tant que « le messie ». Les kabbalistes professent que « le messie » n’apparaîtra sur terre que par une seule de deux manières. Une façon est que les Juifs kabbalistes détruisent tout le mal sur la terre et la rendent totalement bonne. L’alternative est que les Juifs kabbalistes détruisent tout ce qui est bon sur la terre et qu’ils la rendent totalement mauvaise.[15]

Les Juifs kabbalistes ont décidé qu’il était trop dur de rendre les choses bonnes et ils ont donc choisi l’alternative de détruire tout le bien et rendre le monde mauvais. Cette religion kabbalistique est fondée sur la mission du péché afin d’amener l’ascension de leur messie, le « serpent sacré », à sortir du puits sans fond et faire son apparition sur terre. Ces Juifs croient que ce n’est qu’en brisant les lois de Dieu qu’ils pourront servir leur dieu (qui est Satan). Ne croyez pas que ces Juifs ignorent le fait que Satan est le dieu de leur religion. Harold Wallace Rosenthal, assistant administratif du Sénateur américain de New York, Jacob K. Javits, déclara lors d’une interview donnée à Walter White : « La majorité des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer. »[16] Ces pharisiens des temps modernes vont très loin, non seulement dans leurs péchés, mais en entraînant les autres dans leurs péchés alors qu’ils servent leur dieu méchant, Satan. Jésus révéla leur nature quand Il dit aux pharisiens : « Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ! car vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et après qu’il l’est devenu, vous le rendez fils de la géhenne, deux fois plus que vous » (Matthieu 23:15, VM).

Le « rabbin » juif David Cooper le confirme, lui qui passa huit ans à étudier la kabbale dans la Vieille Cité de Jérusalem.

« La leçon est que même le cœur de Satan a une étincelle divine ; même le cœur du mal se languit d’être racheté. C’est important parce que nous apprenons que notre travail n’est pas de dresser un champ de bataille pour éradiquer le mal, mais de chercher son étincelle de sainteté. Notre tâche ne consiste pas à détruire, mais à construire. »[17]

*   *   *

« L’enseignement mystique du Baal Shem Tov, toutefois, nous présente un nouveau paradigme. Il dit que le mal a une nature divine en son sein. Comme le décrit la Zohar, “Il n’y a pas de domaine de l’Autre Côté (le mal) qui soit entièrement dénué d’une parcelle de la lumière provenant du côté de la sainteté” [Zohar II:69a-b]. Plutôt que de le détruire, notre tâche est de l’élever. »[18]

Satan a sûrement un but dans la tête en construisant une doctrine religieuse aussi sinistre. Il en a un, et ce n’est rien de moins que la subjugation de tous les hommes sous le règne dictatorial de son antichrist ! Il utilise l’escalade du péché et du crime dans la société comme justification pour amener encore plus de règlements gouvernementaux et davantage de contrôle des masses. Comme l’explique Edmond Burke : Les hommes sont aptes à la liberté civile en exacte proportion de leur disposition à mettre des chaînes morales à leurs propres appétits. La société ne peut exister sans qu’un pouvoir de contrôle sur la volonté et les appétits ne soit installé en quelque part, et moins il y en a intérieurement, plus il y en a extérieurement. Il est ordonné, dans l’éternelle constitution des choses, que les hommes à l’esprit intempérant ne peuvent être libres. Leurs passions forgent leurs chaînes. »

Cette doctrine maligne promouvant et encourageant le péché se retrouve aussi dans le Talmud, où l’inceste, la fornication, l’adultère, etc., sont promus comme des vertus et quelque chose que l’on doit désirer. Il est difficile pour le monde des Gentils de saisir pleinement ce qui se passe dans cette infernale conspiration juive sans d’abord comprendre la nature du judaïsme kabbalistique. C’est une religion basée sur la promotion, la propagation et la perpétration du péché comme moyen de dominer le monde.[19] David Bay explique l’origine et le pouvoir derrière la kabbale :

« [L]es leaders religieux juifs n’étaient pas des Juifs de l’Alliance abrahamique traditionnelle, même s’ils lui rendait grand honneur du bout des lèvres ; les pharisiens du temps de Jésus étaient plutôt membres d’une société secrète appelée la Kabbale, ou Cabale. La Kabbale était tout aussi satanique et occulte que toutes celles ayant jamais existé. Satan contrôlait littéralement les pharisiens à l’époque où Jésus exerça Son ministère.

« Du fait que les pharisiens pratiquaient le satanisme de tout leur cœur, cela explique le mystère entourant le récit biblique du ministère et de la mort de Jésus. Par exemple, cela éclaircit l’intense haine envers Jésus dont étaient affligés les pharisiens, même face à Ses nombreux miracles incomparables. Cela expliquera aussi que “certaines” personnes, témoins du miracle de Lazare revenu à la vie, ne crurent pas. Comment pouvaient-elles ne pas croire ? Elles venaient d’assister à un miracle phénoménal ; un homme qu’elles connaissaient personnellement et qu’elles savaient bel et bien mort, avait été ressuscité devant elles par la puissance ahurissante de Jésus-Christ. Pourtant, plusieurs d’entre elles ne crurent point ; elles se dépêchèrent de rapporter aux pharisiens la résurrection de Lazare. Quelle fut la réaction de ces derniers ? Crurent-ils, alors ? Non, ils ressentirent un désir encore plus fort de tuer Jésus.

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« Comment les sociétés secrètes ont-elles commencé, et pourquoi se devaient-elles d’être secrètes ? La réponse est à la fois choquante et pleine de renseignements, car elle pose le fondement d’une bonne compréhension de toutes les sociétés secrètes. Auteur chrétien, Alexander Hislop publia un livre intitulé Les Deux Babylones : le culte papal. Il déclara que les sociétés secrètes remontent au temps de Nemrod qui devint, après sa mort, le “premier des mortels déifiés” (page 32). Qui était Nemrod ? Quelques années à peine après le grand Déluge, duquel ne survécurent que Noé et sa famille, un homme puissant s’éleva du sein de ce que l’on nomme aujourd’hui l’ancienne Babylone. Son nom était Nemrod, puissant guerrier, et, par sa présence formidable, il en imposait sur l’ancienne Babylone. Nemrod institua ouvertement un système satanique d’idolâtrie et beaucoup de gens s’assemblèrent autour de ce culte. À cette époque, le système religieux prédominant sur le monde était le culte rendu au Vrai Dieu Unique. Peu après que Nemrod eut établi sa religion “alternative”, fondée sur l’idolâtrie et la sorcellerie, Sem, un des fils de Noé, fut grandement irrité et Dieu Tout-Puissant le motiva à écarter Nemrod. Sem l’attaqua par voie militaire, le défit, et le fit prisonnier. Sem exécuta Nemrod ainsi que bon nombre de ses prêtres et de ses disciples sataniques. Comme exemple de la nature complète de sa victoire, Sem ordonna que le corps de Nemrod fut dépecé en morceaux. Chacun de ces morceaux fut expédié de par tout le monde connu de l’époque afin de démontrer à tous que l’on ne tolérerait pas le culte à Satan par la sorcellerie et l’idolâtrie. Le monde en fut sauf de cette vague de mal.

« Cependant, l’épouse de Nemrod, Sémiramis, et quelques prêtres survivants joignirent leurs forces pour créer une religion secrète clandestine. Ils déifièrent Nemrod, créant ainsi une contrefaçon du Vrai Messie, Jésus-Christ. Ils conçurent un système de Mystères sataniques destinés à se répandre sur toute la terre. Les enseignements de ces “Mystères”, comme on en vint à les appeler, ramenèrent très subtilement les hommes vers le même système de Nemrod de magie et d’idolâtrie que Sem avait anéanti avec tant de vigueur. Ce faux sentier était présenté de manière attrayante aux hommes à qui l’on promettait une connaissance cachée, en les séduisant par l’attrait qu’il y avait à garder cette connaissance secrète, et en les liant ensemble par de sévères serments ainsi que des signes et des poignées de main secrètes.

« C’est ainsi que débutèrent les sociétés secrètes, quelques générations après le Déluge, aux environs de 2200 avant J.C.. Donc, les sociétés secrètes existent depuis plus de 4 000 ans dans l’histoire humaine ; elles se sont avérées littéralement l’église de Satan dès le commencement. Elles s’opposaient de façon absolue à chaque partie du plan de Dieu pour l’humanité et s’étaient engagées à le détruire. Cet engagement envers la destruction du système de Dieu était énoncé de telle manière que leurs membres furent trompeusement amenés à penser qu’en réalité, ils accomplissaient le “bien”. Est-ce pour cela que Dieu a donné l’avertissement suivant, dans Ésaïe 5:20 : “Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal ; qui font des ténèbres la lumière, et de la lumière les ténèbres ; qui font l’amer doux, et le doux amer !” ? Les sociétés secrètes renversent littéralement la définition des mots et ainsi qualifient le bien de Dieu de “mal” et le mal de Satan de “bien”.

« Il y a encore une autre raison pour laquelle les sociétés secrètes devaient s’établir dans l’ombre et le demeurer. Leur but n’était rien de moins que le renversement de tous les gouvernements existants et de la religion de Dieu. Si elles avaient tenté d’installer publiquement leurs organisations, les autorités dirigeantes les auraient arrêtées immédiatement pour trahison et les gens qui règlent leur vie sur les préceptes du système établi par Dieu, auraient réclamé à grand cri leur arrestation et l’exécution de ces gens-là. Donc, leurs desseins et leurs activités devaient être réalisés dans le plus grand secret. En outre, les leaders de ces sociétés secrètes croyaient que leur pouvoir irait en s’accroissant s’ils demeuraient absolument secrets.

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« Par le biais des sociétés secrètes, on préserva le système satanique babylonien. À partir de ce système surgira l’Antichrist qui essaiera d’anéantir le système de Dieu, comme le planifient les sociétés secrètes depuis le début. À ce moment-là, le monde entier sera envahi par la restauration publique de l’ancien système babylonien du culte à Satan. Nous en sommes aujourd’hui très près ; ne nous surprenons donc pas de ce que Dieu identifie, dans le livre de l’Apocalypse, le système de l’antichrist à “Mystère, Babylone” (chapitre 17). Dieu est fort précis et littéral dans Ses prophéties.

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« Les membres des sociétés secrètes se sont toujours joints sur invitation, créant de cette manière une confrérie se considérant exclusive, séparée et supérieure au reste des gens de la société. Cette attitude arrogante était encore rehaussée par l’enseignement qu’il existait un savoir temporel spirituel caché à n’être révélé qu’aux Initiés seulement, aux “Sages”, comme ils se qualifient eux-mêmes. Ces “Sages” croyaient que leurs Mystères étaient hors de la portée intellectuelle du peuple, de la “vulgaire” masse des gens. En effet, cette arrogance était tellement répandue chez les “Sages” de ces sociétés secrètes qu’ils entamèrent le processus d’enseigner des faussetés aux gens du peuple, se réservant le véritable savoir spirituel temporel pour eux seuls. Ces hommes différaient en cela des faux enseignants religieux tels que Mahomet et Bouddha, qui tentaient de partager leur savoir avec la masse. Les sociétés secrètes sont allées bien loin pour cacher la vérité aux gens du peuple.

Soyons clairs sur ce point : aucun adepte d’une société secrète ayant appris la vérité secrète ne put jamais révéler cette vérité aux gens du peuple. La punition pour pareille révélation était la mort, la plus extrême et douloureuse possible.

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« Étant donné que chaque membre apprenait de terribles informations, qu’il avait promis de tenir absolument secrètes vis-à-vis toute personne n’étant pas membre, les adeptes commencèrent à développer deux personnalités distinctes. L’une de ces personnalités était du domaine public et l’autre demeurait extrêmement secrète. L’art de la duperie, même auprès des membres de la famille, était rapidement assimilé. La personne extérieure que voyaient ses congénères, par ses paroles et ses actions, était fort différente de la personne intérieure.

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« Les sociétés secrètes professaient que l’Enseignement oral était aussi important et sacré que toute Parole écrite. Comme nous allons le voir dans un instant, quand nous allons étudier la société secrète juive des kabbalistes, cette emphase mise sur l’Enseignement oral s’avère un outil très important dans les mains de Satan. Souvenez-vous que Dieu a établi Ses Saintes Écritures en tant que Parole sacrée écrite. Il a répété à de nombreuses reprises que cette Parole écrite ne changerait jamais, qu’elle s’accomplirait en son entier et de manière absolue, et qu’elle durerait toute l’éternité. Étant donné que Satan travaille toujours dans le sens opposé de Dieu, ne soyons pas étonnés de voir qu’il mette autant l’accent sur l’enseignement oral. Aux confins des sociétés secrètes, l’enseignement oral sert le dessein critique consistant à garder secrets leur société et ses enseignements. L’enseignement oral est un outil de Satan.

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« Les sociétés secrètes professent que l’homme est foncièrement bon, qu’il n’a été corrompu que par son entourage physique et spirituel. Évidemment, cela contredit l’enseignement biblique clair et conséquent disant que l’homme est foncièrement mauvais.

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« Pratiquement toutes les sociétés secrètes enseignent qu’un jour, un Roi Rédempteur jaillira pour conduire le monde entier dans ce savoir caché. Ce n’est que lorsque tous les hommes seront initiés dans ces Mystères que le monde pourra vivre l’“Âge d’Or” pour lequel il est destiné. Cet enseignement est une contrefaçon de la Vérité de la Bible qui déclare, d’un bout à l’autre, que le Messie établira Son Royaume éternel. Ici, nous devons saisir un détail important : le Roi Rédempteur que les sociétés secrètes attendent diffère considérablement du Roi Rédempteur de la Bible, que nous savons être Jésus-Christ.

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« Retournons à l’histoire des sociétés secrètes, maintenant que nous avons installé le fondement de notre compréhension. À l’époque où Dieu fit sortir Israël de son esclavage d’Égypte (aux environs de 1500 avant J.C.), l’enseignement des sociétés secrètes du Proche-Orient existait depuis des centaines d’années. Dans les siècles précédant la naissance de Jésus, ce virus mortel commença à pénétrer chez les leaders religieux juifs. Ceux-ci entreprirent de tremper dans l’occultisme. On commença par épouser une tradition orale juive et secrète, distinctement séparée du Pentateuque écrit par Dieu. On créa deux systèmes d’enseignements juifs oraux, un public et l’autre secret. L’enseignement public traitait des affaires de la vie quotidienne, comme les lois sur l’achat et la vente ainsi que la traite de contrats, et ce qui constituait du travail le jour du sabbat ; cette loi pratique fut appelée le Talmud. Jésus Se répandit en invectives vis-à-vis de cette loi humaine imposée au peuple, parce que cela attachait trop étroitement les gens aux prêtres et que cela créait un standard frustrant que personne ne pouvait atteindre. Et ce standard ne provenait pas de Dieu ; il venait des hommes pour que les prêtres puissent contrôler le peuple.

« L’autre série d’enseignements oraux juifs était extrêmement hermétique et un classique dans ce genre de société secrète ; ces enseignements furent connus sous le nom de Kabbale. Un des livres constituant la kabbale était appelé le Sepher-Ha-Zohar, ou “Livre de la Lumière”. Ce livre était consacré aux écrits du rabbin Simon et de son fils, Éliézer, qui s’assirent dans une caverne tous les jours pendant 12 ans, enterrés de sable jusqu’au cou. Dans cette position physique surprenante, ils “méditèrent” sur la loi sacrée et reçurent la visite régulière du grand prophète Élie [Nesta Webster, Secret Societies, p. 8]. L’apôtre Paul frappa directement dans le mille quand il donna l’avertissement de 2 Corinthiens 11:14-15, disant que Satan et ses démons peuvent se transformer en anges de lumière et en ministres de justice afin de tromper l’homme crédule. Un des points communs des plus fréquents chez les fausses religions est que le texte original de leur révélation est donné au fondateur par un ange de lumière. Par exemple, Mahomet et Joseph Smith (le mormonisme) se virent donner leur “nouvelle” révélation par des anges de lumière.

« Donc, le sacerdoce juif se mit à tramer un plan pour amener tous les Juifs dans l’esclavage physique et spirituel en créant ce système dualiste du Talmud public et de la Kabbale secrète. Les préceptes du Talmud public enchaînèrent les gens par près de 1 000 règles sur la vie quotidienne et il commença à les éloigner de la vérité spirituelle que Dieu avait révélée à Moïse. Par conséquent, la première condition d’une société secrète fut remplie, celle de cacher aux gens la Vérité, en partie au moyen de confections extérieures pures et simples, et en partie en ajoutant des éléments aux lois mosaïques originales.

« Les enseignements secrets de la Kabbale étaient réellement sataniques. Certains écrivains ont admis qu’il s’agissait de doctrines au dessein “magique”. Un auteur critique de la Kabbale écrivit que ces enseignements “sont un poison subtil qui pénètre dans les veines du judaïsme et l’infecte entièrement” [Théodore Reinach, cité par Nesta Webster dans Secret Societies, p. 9]. Salomon Reinach qualifie la Kabbale de “l’une des pires aberrations que l’esprit humain ait conçu”. En outre, la Kabbale a influencé de manière significative les croyances et la direction de nombreuses sociétés secrètes européennes qui s’édifièrent dans les siècles qui suivirent. Cette influence fut si profonde que beaucoup de sociétés secrètes non juives ont littéralement revêtu un ton et un caractère juif.

« Puisque Satan est le “Seigneur de ce monde”, il a le pouvoir de faire prospérer ceux qui suivent son leadership. Ce fut l’appât servant à attirer les leaders religieux vers les propriétés mystiques et magiques inhérentes à la Kabbale. Et ne vous y trompez pas, ces leaders juifs prospérèrent abondamment. Même si Israël souffrait sous l’esclavage des dirigeants païens, comme la Grèce et Rome, les prêtres juifs gagnèrent une certaine autonomie qui leur permit de régner virtuellement en dictateurs sur leurs concitoyens juifs. Et les citoyens juifs du peuple ne comprenaient tout simplement pas que ces leaders religieux leur avaient imposé un système qui, simultanément, mettait un joug au cou des pauvres gens ordinaires pendant qu’ils se voyaient eux-mêmes élevés à des postes de pouvoir et de grand richesse. Et le gouffre d’incompréhension était si profond que le citoyen juif moyen portait encore beaucoup d’admiration et rendait honneur à ces leaders religieux qui l’affligeaient tant.

« Maintenant, examinons les pharisiens, dont la plupart étaient membres de la Kabbale, en utilisant les cinq caractéristiques communes que nous avons déjà vues. Nous allons également nous reporter à des passages pertinents du Nouveau Testament pour éclairer notre compréhension. Vous serez atterrés de constater le nouveau sens que prennent ces célèbres passages bibliques maintenant que vous comprenez que les pharisiens, qui concoctèrent et exécutèrent le plan servant à tuer Jésus, étaient membres de la société secrète dite de la Kabbale, et que vous comprenez que Jésus parlait directement à des membres de cette société secrète.

« 1. Les pharisiens démontraient un orgueil arrogant

« Matthieu 23:12-13 : “Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera, sera élevé 13Mais malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des cieux aux hommes : car vous-mêmes n’y entrez point, ni ne souffrez que ceux qui y veulent entrer, y entrent.” Une des caractéristiques des sociétés secrètes, c’est qu’elles cachent au gens des vérités clés, spécialement la vérité disant comment obtenir le salut éternel ; elles garderont plutôt ces vérités pour elles comme moyen de pouvoir et de privilèges. Jésus parle franchement de cette terrible situation, dans Luc 11:52 : “Malheur à vous, Docteurs de la Loi ; parce qu’ayant enlevé la clef de la science, vous-mêmes n’êtes point entrés, et vous avez empêché ceux qui entraient.” Les enseignants et les docteurs connaissaient la vérité que Dieu avait déployée devant le peuple et qui démontrait comment être sauvé pour l’éternité et comment développer de l’amour pour Dieu. Pourtant, ils cachèrent cette vérité toute simple aux yeux du peuple, lui substituant l’épouvantable système suffoquant de règles de vie quotidienne contre lequel S’objecta si vivement Jésus. Cette damnée société secrète de pharisiens envoyait littéralement des populations entières de Juifs dans la géhenne parce qu’elle leur dissimulait la vérité. Voilà pourquoi Jésus S’irrita si vigoureusement de leur conduite. Voyez-vous, Satan avait convaincu ces pharisiens que, de toute manière, tous les Juifs allaient au ciel, simplement parce qu’ils étaient Juifs ; par conséquent, ils pensaient que ce que les Juifs croyaient n’avait pas d’incidence éternelle. Ainsi, par cette supercherie spirituelle, les pharisiens resserraient plus fermement leur pouvoir et leur prestige terrestres.

« 2. Les pharisiens développèrent une double personnalité

« Matthieu 23:27-28 : “Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous êtes semblables aux sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts, et de toute sorte d’ordure. 28Ainsi vous paraissez justes par dehors aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité.” Ici, Jésus parle sans ambages de cette double personnalité des membres d’une société secrète. Les pharisiens avaient habilement et efficacement caché l’existence de leurs croyances sataniques à leurs sujets, mais ne pouvaient les cacher aux Yeux omniscients du Dieu Jésus.

« 3. Les pharisiens élaborèrent de complexes systèmes d’enseignement oral et ils incitèrent le peuple juif à les révérer

« Matthieu 15:1-9 : “Alors des Scribes et des Pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent: Pourquoi tes Disciples transgressent-ils la tradition des Anciens [Talmud] ? car ils ne lavent point leurs mains quand ils prennent leur repas. Mais il répondit, et leur dit : et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? (…) ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé de vous, en disant : (…) ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes.”

« Jésus S’attaqua clairement et avec vigueur au mal que la société secrète des pharisiens perpétrait contre le peuple juif, celui de créer une tradition orale censément égale à l’enseignement écrit de Dieu et, en fait, en flagrante contradiction avec Sa Parole écrite. Les gens ne comprenaient pas comment ils avaient pu être trompés parce que, chez le peuple, on ne possédait pas la Parole de Dieu. Ce sont les pharisiens qui avaient les rouleaux de la Parole, et ils les gardaient pour eux. Nous vous encourageons à lire soigneusement Matthieu 15:1 à 20, avec dans l’idée que Jésus y parle d’abord contre les enseignements et les pratiques de sociétés secrètes sataniques. D’une fois à l’autre, Jésus déclare que les pharisiens iront dans le feu de la géhenne. Il ne mâche pas Ses mots. À deux occasions, Jésus qualifie les pharisiens de “vipères”, que le Dictionnaire de la Bible du Dr William Smith donne comme synonyme de “Serpent”. Nous savons que la Bible utilise régulièrement le Serpent comme l’un des noms de Satan. Mais Jésus ne laisse aucune place à l’erreur quant à ce sujet, ne voulant pas que l’on passe à côté de la leçon démontrant que les pharisiens n’étaient pas de simples pécheurs. Dans Jean 8:44, Jésus dit que le père des pharisiens, “c’est le diable”. Jésus n’a jamais dit cela d’une autre personne ou d’un autre groupe de personnes. Il était très compatissant à l’endroit des pécheurs ; la raison pour laquelle Jésus se montra aussi sévère envers les pharisiens était qu’Il savait qu’ils adoraient Satan de par leur participation à la société secrète de la Kabbale.

« 4. Les pharisiens croyaient que l’homme est foncièrement bon

« Du fait que les pharisiens croyaient que l’homme, intrinsèquement, est bon, ils développèrent un système de salut fondé sur les œuvres. Ce système d’œuvres devait s’appeler plus tard le Talmud ; néanmoins, Jésus préférait S’y référer en tant que la “Tradition des hommes”. La Bible enseigne clairement, toutefois, que l’homme est foncièrement méchant ; par conséquent, il n’y a absolument aucun moyen pour que l’homme puisse faire assez de bonnes œuvres capables d’expier complètement sa méchanceté. Chaque fois que Jésus Se répandait en invectives contre cette “tradition des hommes”, Il parlait de ce fameux enseignement religieux voulant que le salut s’obtienne par de bonnes œuvres. À toutes les fois que vous voyez Jésus dire : “Vous dites… mais je vous dis…”, Il aborde habituellement cette question des œuvres en rapport avec le salut.

« 5. Les pharisiens recherchaient le Roi/Rédempteur promis

« Les érudits du paganisme et les érudits du vrai judaïsme attendaient que se lève un Roi Messie pour conduire l’humanité vers une nouvelle lumière et une nouvelle prospérité matérielle. Cependant, les païens des sociétés secrètes étaient à la recherche d’un Rédempteur promis fort différent de Celui qu’enseigne la Bible. Or, maintenant que nous savons que les pharisiens, qui s’opposèrent si fortement à Jésus-Christ, voulant tellement Le voir mort, et qui affichèrent une haine aussi surnaturelle envers Lui, étaient donc membres d’une société secrète, la Kabbale juive, nous sommes de la sorte prêts pour une révélation encore plus bouleversante.

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« [Bon nombre de gens entretiennent la mauvaise conception que] les sociétés secrètes ne sont que de simples organisations sociales qui exécutent des activités caritatives. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. Rappelez-vous des mises en garde de Jésus afin de ne pas se laisser séduire, dans Matthieu 24:4-5, 11 et 24. Au verset 24, Jésus évalua ce type de séduction : “Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes, qui feront de grands prodiges et des miracles, pour séduire même les élus, s’il était possible.” Cette séduction prophétisée sera si sophistiquée et si crédible qu’elle trompera virtuellement tout le monde sur terre qui ne sera pas sauvé. Tel est le cas de toutes les sociétés secrètes. Elles ont l’habitude de séduire, spécialement leurs propres membres. Albert Pike, dans son bouquin Morals and Dogma, déclare qu’il leur est indispensable de séduire leurs propres membres jusqu’au moment où l’on peut déterminer qu’ils sont prêts à recevoir la “vérité”.

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« La Franc-maçonnerie provient de Satan, peu importe toutes leurs protestations affirmant le contraire. C’est d’ailleurs vrai de toutes les sociétés secrètes, quelque soit le nom qu’elles se donnent.

« [L]es pharisiens, qui haïssaient tellement Jésus-Christ qu’ils complotèrent Sa mort sur la Croix, étaient membres d’une société secrète juive appelée Kabbale. Une fois que nous comprenons ce fait, nous pouvons plus facilement saisir de nombreuses choses contre lesquelles Il parla. Nous pouvons aussi comprendre de manière plus complète pourquoi la haine des pharisiens semblait surnaturelle et leur cœur aussi dur, même face à l’exécution des miracles les plus incroyables.

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« Les membres de sociétés secrètes exécraient le citoyen moyen. Ils essayèrent délibérément de les éconduire spirituellement, et ils érigèrent des barrières sociales afin de séparer les masses des membres des sociétés. Donc, lorsque Jésus commença à S’associer aux gens du peuple, et spécialement avec les plus pécheurs d’entre eux, les pharisiens savaient dès lors que Jésus ne pouvait être leur Rédempteur promis (…) Les pharisiens avaient soigneusement détourné les gens du peuple par la création de leur Talmud. Les restrictions de vie quotidiennes de la loi talmudique étaient limitatives au point d’attacher les gens par un esclavage absolu aux pharisiens. Le Talmud avait également celé la Vérité divine contenue dans les livres de Moïse. Et Jésus réagit de façon dramatique à cette “Tradition des hommes”, la condamnant par des termes extrêmement puissants. Les pharisiens contre-attaquèrent en complotant pour Le tuer.

« [Les pharisiens] croyaient que leur Rédempteur promis serait capable de miracles et de guérisons extraordinaires parce que ce serait un Adepte qui aurait accès au pouvoir inhérent contenu au sein de la société secrète. Puisque nous commençons à explorer ce sujet particulier, s’il vous plaît, soyez très attentif, parce que nous traitons ici d’un sujet des plus explosifs.  Lorsque Jésus commença à valider Son ministère par le biais de nombreux miracles de guérisons et d’exorcismes, les pharisiens ne furent pas surpris. Il y a beaucoup de puissance dans la pratique de l’occultisme parce que Satan est réellement surnaturel. Certains pharisiens avaient été capables de reproduire plusieurs des exploits qu’accomplissait Jésus parce qu’ils avaient accès au pouvoir des démons. Par conséquent, lorsque Jésus accomplit les miracles que les pharisiens occultes avaient été capables de faire, ils attribuèrent tout simplement le pouvoir de Jésus à l’occultisme. Quand Jésus réalisait un miracle plus grand que ce que les pharisiens avaient été capables de faire, ils n’attribuaient ces miracles qu’au fait qu’ils croyaient que Jésus était, encore plus qu’eux, Adepte de l’Occultisme.

« Nous tirons cette croyance pharisaïque de Matthieu 12:22-37. Jésus venait de chasser un démon d’un homme et les pharisiens verbalisèrent la croyance de leur société secrète, comme il est écrit au verset 24 : “…celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons.” La réaction de Jésus fut immédiate et sur deux fronts.

« Premièrement, Jésus posa une question évidente : s’Il chassait les démons par la puissance de l’occultisme, alors par quel pouvoir les pharisiens étaient-ils capables, eux, de chasser les démons ? Voyez-vous, chasser les démons s’est avéré une façon très populaire et facile pour convaincre la moyenne des gens que l’on est véritablement juste et rempli du Saint-Esprit. Toutefois, les pharisiens savaient que leur pouvoir de chasser les démons provenait… des démons !

« Deuxièmement, Jésus émit la déclaration la plus effrayante jamais proférée dans toute l’histoire : “tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné … il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir.” (Matthieu 12:31-32, VM). La révélation que Jésus avait créé un nouveau péché s’avérant impardonnable était incroyable. Jamais dans l’Ancien Testament Dieu avait-Il donné le moindre indice de l’existence d’un péché impardonnable. Mais Jésus le créa ici. Le Péché Impardonnable, c’est tout simplement d’attribuer à Satan ou à l’un de ses démons le pouvoir de Jésus d’accomplir Ses miracles. Lorsqu’une personne affirme cela, elle nie le pouvoir et l’œuvre du Saint-Esprit. C’est le seul péché que Dieu ne pardonnera jamais. En outre, une fois que quelqu’un a commis ce péché, le Saint-Esprit arrêtera d’œuvrer dans sa vie en essayant de le convaincre de péché, et de l’amener à la repentance. Donc, Satan a libre accès à l’âme de cette personne afin de faire ce qu’il veut d’elle. Satan peut alors commencer à endurcir le cœur de cette personne jusqu’à un point monstrueux.

[N. du T. : Nous traduisons tout le texte du document en rapport avec cette vision de M. David Bay de Cutting Edge concernant le Péché Impardonnable afin que vous soyez au courant de ce qu’on peut imaginer à ce propos. Après cet extrait, nous vous proposerons ce que nous, de Mission : Moisson des Élus, avons vu dans la Bible. Cela est passablement différent. Mais nous croyons préférable que le lecteur puisse se faire lui-même une idée de ce que la Bible dit. L’intention n’est pas de discréditer ce qu’un autre chrétien a comme croyance pour le simple plaisir de critiquer. Mais nous comprenons, et sans aucun doute le lecteur également, que chacun ne peut avoir toute la vérité dans son entier. MM. Bay et Henrie possèdent une bonne connaissance dans de nombreux domaines, mais parfois, ils professent des doctrines qui ne sont pas vraiment en accord avec la Bible. Il en est de même chez un peu tous les chrétiens. Au lecteur de juger.]

« Il n’y a absolument aucune preuve que les pharisiens aient cessé de lancer cette affirmation une fois que Jésus les eut avertis que ce péché est impardonnable. En fait, leur activité déplorable à la croix indique fortement qu’ils croyaient toujours à ce mensonge et le propageaient. Alors que Jésus étaient en train de mourir, les pharisiens se moquaient de Lui parce qu’Il ne descendait pas de la croix en déployant une grande puissance pour Se sauver. Ils croyaient encore que Jésus ne possédait pas de pouvoir inhérent, ou qu’Il n’avait de pouvoir que lorsqu’Il pouvait y avoir accès de façon appropriée par l’occultisme. Comme Il ne descendit pas de la croix, les pharisiens se trouvèrent affermis dans leur croyance. Ils pensaient donc avoir accompli leur devoir en tant que gardiens du serment de leur société secrète de ne pas révéler les secrets aux non-membres. Vu qu’ils croyaient que Jésus était Lui-même membre d’une société secrète, ils étaient convaincus qu’Il méritait une mort douloureuse et atroce, tel qu’exigé par les serments des sociétés secrètes. Les pharisiens n’avaient fait que leur devoir.

« Nous voulons conclure par les répercussions épouvantables qu’a cette croyance des pharisiens aujourd’hui. Quand ils présentèrent l’idée que Jésus ne pouvait accomplir Ses nombreux miracles qu’en tant qu’Adepte d’une société secrète, Jésus déclara qu’ils étaient coupables du péché impardonnable. On penserait que cet avertissement rendrait quiconque très attentif à ne pas répéter pareille déclaration, parce que sa propre âme sera irrémédiablement perdue. Malheureusement, tel n’est pas le cas. Nesta Webster, dans son livre Secret Societies and Subversive Movements (Sociétés secrètes et mouvements subversifs), rend compte, à la page 92, qu’un certain groupe, appelé les “Gnostiques Carpocratiens”, soutenait ce point de vue. En outre cette croyance s’affiche comme en filigrane “dans toutes les sociétés secrètes jusqu’à nos jours”. [Par exemple, Albert Pike, le Souverain Pontife des Doctrines de la Franc-maçonnerie du Rite Écossais, a dit que “Lucifer, le Dieu de Lumière et le Dieu du Bien, luttait pour l’humanité contre Adonaï, le Dieu des Ténèbres et du Mal.”[20] Adonaï est le mot hébreux de l’Ancien Testament pour désigner Dieu. Non seulement Pike admet-il que Lucifer est le dieu de la Franc-maçonnerie, mais encore blasphème-t-il Dieu en L’appelant “le Dieu des Ténèbres et du Mal”. Il est intéressant de constater que, en 1843, le B’nai B’rith fut formé comme le rejeton juif de la Franc-maçonnerie du Rite écossais.[21] La Ligue Anti-Diffamation fut créée en 1914 en tant que sous-loge et bras exécutif de la B’nai B’rith juive kabbalistique.[22]]

« En d’autres termes, les membres des sociétés secrètes commettent le péché impardonnable depuis l’avertissement de Jésus enregistré dans Matthieu 12:24. La liste des organisations coupables comprend des sociétés très bien connues telles que les Sociétés La Fraternité de la Mort, les Rose-croix et la Franc-maçonnerie. Comme nous l’avons déjà rapporté ailleurs, la Société de la Fraternité de la Mort est une organisation détachée qui se répand dans le monde. Il y a deux Sociétés très connues de la Fraternité de la Mort, une en Allemagne et l’autre aux États-Unis. Celle de l’Allemagne s’appelle le Groupe de Thulé ; Adolf Hitler en était membre. Si nous acceptons de croire qu’Hitler a commis le péché impardonnable lorsqu’il fut formé en tant qu’Adepte de cette société secrète, nous pouvons comprendre comment il a pu perpétrer des actes de vengeance d’une pareille monstruosité sur le monde durant la Deuxième Guerre Mondiale. Nous pouvons facilement saisir pourquoi son esprit s’était tellement endurci et saturé de haine contre les Juifs d’abord et les chrétiens ensuite. Beaucoup des fonctionnaires gouvernementaux d’Hitler faisaient également partie du Groupe de Thulé, donc, ils furent coupables du péché impardonnable. Comme nous l’avons préalablement déclaré, une fois que quelqu’un a commis ce péché, le Saint-Esprit cesse d’œuvrer dans son cœur et son esprit pour le convaincre de péché et l’amener au repentir. Cette personne n’a plus de conscience. Elle peut s’endurcir le cœur et l’esprit au point qu’elle peut être grandement utilisée par Satan sans en ressentir le moindre remord ou avoir le plus petit sentiment de culpabilité.

« La Société de la Fraternité de la Mort, aux Etats-Unis, se nomme Skull and Bones (Crâne et Os), Société secrète de l’Université de Yale, à New Haven, au Connecticut. Sa structure de croyances est identique à celle du Groupe de Thulé. Nous pouvons donc en conclure que les hommes du Skull& Bones affirment la même croyance vis-à-vis de Jésus-Christ, ce qui les condamne au péché impardonnable. La liste de quelques-unes des familles composant les Skull & Bones a de quoi faire peur, car elle démontre immédiatement l’étendue de l’influence que cette organisme satanique exerce en Amérique. Rappelez-vous que les hommes de cette famille ont probablement commis le péché impardonnable. [Cité d’Anton Sutton, America’s Secret Establishment (l’établissement secret de l’Amérique), p. 22].

« La famille Rockefeller (pétrole), la famille Weyerhaeuser (coupe de bois), la famille Sloane (commerce au détail), la famille Pillsbury (farine moulue), la famille J. P. Morgan (banque), la famille Taft (politique), la famille Bush, y compris l’ancien président George Bush. Attendez un instant, direz-vous, George Bush aurait probablement commis le péché impardonnable parce qu’il est membre des Skull & Bones ? Oui. Vous voyez maintenant comme il était facile pour Bush de conduire la charge vers un Nouvel Ordre Mondial satanique. Vous pouvez comprendre que Bush était en son for intérieur très différent de la surface créée par les médias.[23]

[N. du T. : Comme nous vous l’avions mentionné, plusieurs éléments de l’extrait des articles de David Bay, de Cuttingedge, nous font croire à une mauvaise compréhension de sa part en ce qui a trait au Péché Impardonnable. Contrairement à ce qu’il semble penser, le péché impardonnable est commis par une personne qui est préalablement habitée par l’Esprit-Saint. C’est l’apôtre Paul lui-même qui nous en fait la description détaillée. Mais, étant donné qu’il ne spécifie pas « péché impardonnable », l’expression n’apparaissant pas comme telle dans la Bible, beaucoup de gens passent par-dessus ces passages sans comprendre de quoi il s’agit. Nous vous suggérons donc la lecture d’un article du rédacteur principal de Mission : Moisson des Élus, Joseph Sakala, qu’il a intitulé Le Péché Impardonnable.

Nous voyons que, sans l’Esprit, il est impossible de comprendre les choses spirituelles, car on ne bénéficie alors que de l’esprit humain dans l’homme, qui ne peut pas se soumettre à Dieu. Comment pourrait-on ainsi faire, d’une manière éclairée, un choix de vie aux conséquences éternelles ? C’est impossible, Dieu le sait mieux que nous.

Ainsi, la nature humaine des pharisiens ne pouvait aller vers le vrai Dieu. Ils avaient été élevés dans une manière de vivre qui les empêchait de se repentir. Le salut par Jésus-Christ leur apparaissait comme un sacrilège, car ils n’en connaissaient pas la nature. Ils croyaient rendre un culte à Dieu en reniant Jésus. Il est évident que l’Esprit ne travaillait pas avec eux, contrairement à ce qu’avance M. David Bay. Pourtant, il reconnaît que la nature de l’homme est foncièrement mauvaise. Jésus a dit que nul ne pouvait venir à Dieu si le Père ne l’appelait. Il ne faut pas s’attendre à ce que les pharisiens aient été capables de comprendre Christ et d’aller d’eux-mêmes au Père.

Si Paul a pu être si torturé par les désirs de sa nature charnelle (Romains 7:14-15), lui qui possédait le Saint-Esprit et était un grand apôtre, que dire des pharisiens qui ne possédaient que leur nature humaine !

Dieu ne condamnera jamais quelqu’un qui rejette son salut par ignorance ! Les pharisiens du temps de Jésus, comme leurs descendants modernes, ne connaissaient pas le chemin du salut ! Ils étaient plutôt convaincus d’être déjà sauvés du fait même qu’ils étaient Juifs (un salut par la race) ; par conséquent, le vrai chemin du salut leur était inconnu.

Rappelons la promesse de Jésus faite à deux Églises d’Apocalypse qu’Il leur donnerait des gens de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs mais n’en sont pas : « Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9). « Voici, je ferai venir ceux de la Synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent ; voici, dis-je, je les ferai venir et se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’aime » (Apocalypse 3:9). Certains Juifs hassidiques se sont repentis ! Ils ont donc reçu le Saint-Esprit et cela contredit M. Bay qui pense qu’ils ont nécessairement commis le péché impardonnable ! Tous les anciens membres des sociétés secrètes qui sont aujourd’hui convertis viennent contredire la théorie de M. Bay.

Jésus a dit, dans Matthieu 23:12-13 : « Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera, sera élevé. 13Mais malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des cieux aux hommes : car vous-mêmes n’y entrez point, ni ne souffrez que ceux qui y veulent entrer, y entrent. » Les pharisiens n’entrent pas dans la Royaume de Dieu qui est réservé aux Élus de la première Résurrection. Cela s’applique à eux au même titre qu’aux prêtres et aux pasteurs qui, quoique souvent bien intentionnés, enseignaient un faux salut. Rien à voir avec le péché impardonnable. C’est le résultat de l’ignorance : « Mon peuple est détruit, faute de connaissance » (Osée 4:6, VO).

Les pharisiens croyaient au salut par les œuvres, ils ne connaissaient donc pas le vrai salut. Leur accoler l’intention d’empêcher les gens d’entrer dans le salut parce qu’ils connaissaient le salut, mais ne voulaient pas y entrer, entre en contradiction avec les autres Écritures et la connaissance que nous avons des croyances des pharisiens et de tous les juifs hassidiques et orthodoxes en général. On se méprend donc sur les paroles de Jésus, comme c’est trop souvent le cas.

Il faut se montrer prudent quand vient le moment d’interpréter les paroles de Jésus à l’endroit des pharisiens en croyant qu’Il les avait déjà condamnés à la seconde mort. Il leur avait certes parlé fortement, mais n’avait-Il pas également employé un langage très fort vis-à-vis Pierre lui-même en le traitant de Satan ! Voir Marc 8:33 et Luc 4:8. Or, Pierre a obtenu le salut subséquemment, quand il a reçu le Saint-Esprit à la Pentecôte. Mettons donc les choses en perspective. Comme exemple du fait qu’il faut que Dieu fasse un miracle pour qu’un pharisien, un Juif talmudique ou un membre de société secrète comprenne l’appel de Dieu, voyez ce que le Seigneur a dû produire dans le cœur du pharisien Saul pour en faire son apôtre des Gentils, Paul.

Le passage de Matthieu 12:31-32 : « C’est pourquoi je vous dis, que tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné. 32Et si quelqu’un a parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais si quelqu’un a parlé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir, » ne démontre pas que les pharisiens blasphémaient contre l’Esprit, ils blasphémaient contre Jésus. C’est de cela qu’Il les accuse. On a tort d’attribuer la dernière partie de chacun de ces passages aux pharisiens, alors qu’en fait, ils transgressaient la première partie de l’énoncé de Jésus. Les pharisiens ne savaient probablement pas qu’il y eut même un Saint-Esprit et Jésus les mit au courant. Ces passages démontrent, bien sûr, ce que les pharisiens pensaient de Jésus. Cependant, le fait d’attribuer Ses miracles à l’occultisme n’était pas le péché impardonnable contre le Saint-Esprit, mais plutôt une incompréhension de ce qu’était Jésus. N’oublions pas leur conception tordue de Dieu et du Serpent. Ils blasphémaient peut-être contre Jésus, mais Celui-ci leur montra qu’Il pouvait leur pardonner. D’ailleurs, certains pharisiens et docteurs de la loi ne Lui étaient pas aussi hostiles que d’autres. Nicodème en est un exemple frappant (Jean 3). Au verset 3, il démontre l’ignorance des pharisiens vis-à-vis Jésus en L’assimilant à un docteur venu de Dieu plutôt qu’au Fils de Dieu. S’il avait eu le Saint-Esprit et l’avait ensuite rejeté, il aurait quand même su que Jésus est le Fils de Dieu. Les démons le savaient, eux. Pour commettre le péché impardonnable, il faut avoir eu le Saint-Esprit et avoir parfaitement su qui est Jésus pour rejeter Son sacrifice (Hébreux 10:26-29 ; 6:4-6).

En outre, l’attitude des pharisiens devant la croix n’a rien à voir avec le rejet du Saint-Esprit. Ce n’était qu’une négation ignorante de Jésus-Christ. Des millions de gens ont fait la même chose et la Bible ne dit pas pour autant qu’ils subiront la seconde mort. Il existe, en rapport avec ce sujet important, une grande confusion et une profonde incompréhension du péché impardonnable, du salut versus la condamnation et des Résurrections. Ce sont des doctrines essentielles et fondamentales dont il faut être sûrs avant de lancer des condamnations au caractère irrémédiable sur certaines catégories de gens, à l’image de la papauté qui lançait de pathétiques anathèmes à tort et à travers.

Ensuite, pour commettre des atrocités comme Hitler, il n’est pas besoin d’avoir préalablement commis le péché impardonnable, il suffit d’être un homme de chair et de sang et d’avoir une éducation en conséquence. Prenez l’exemple des hommes ordinaires qui ne font partie d’aucune société secrète, mais qui commettent l’inceste et la pédophilie au sein de leur propre famille. Les journaux en sont pleins ! Ont-ils commis le péché impardonnable ? Pourtant, qu’ont leurs péchés de moins abominables que ceux d’Hitler ? La Bible ne dit-elle pas que chaque pécheur est responsable pour son propre compte du sacrifice de Jésus sur la croix ? Prenons en compte que les Juifs orthodoxes et hassidiques, ceux-là mêmes que l’on dit talmudiques kabbalistes, sont élevés dès leur naissance à croire des mensonges qui nous apparaissent aberrants et incroyables. Mais pour eux… c’est la vérité ! Qui croit à un mensonge en sachant que c’est un mensonge ? Même Satan ne croit certainement pas aux mensonges qu’il profère consciemment. Or, il croit, cependant, au pire mensonge qui ait été proféré, i.e., qu’il est supérieur à Dieu, son Créateur. Pourquoi ? Parce qu’il est convaincu que c’est la vérité ! Sinon, il ne déploierait pas autant d’efforts. Le même principe s’applique aux pharisiens, au Juifs talmudiques et à tous les membres des sociétés secrètes. Ils croient réellement aux mensonges qu’ils prennent pour des perles de lumières et de connaissance. Pourquoi ? Parce que l’Esprit-Saint n’a jamais travaillé avec eux pour les conduire dans la vérité ! Il est faux de croire que l’Esprit, depuis la Pentecôte, tente de convaincre tout le monde de péché ! Il ne travaille qu’avec les Élus de la première Résurrection. D’autres articles de notre site expliquent plus en profondeur ces doctrines fondamentales.

Sur la base de ces fondements, il devient plus facile de comprendre l’attitude de Jésus, des pharisiens et des membres des diverses sociétés secrètes à travers le temps. Cela nous ramène à la même conclusion que Jésus : Satan est le père du mensonge et il a englobé l’humanité dans un tissu serré de mensonges séducteurs. Maintenant, revenons à notre sujet avec Edward Hendrie.]

De nombreux Juifs talmudiques se convertirent au catholicisme romain dans le but d’utiliser l’Église de Rome à leur profit. Weishaupt, le supposé fondateur des Illuminati, explique : « Car une grande partie de notre force repose sur la dissimulation. Pour ce faire, nous devons toujours nous couvrir du nom d’une autre société. Les loges se trouvant dans la Franc-maçonnerie sont, dans l’intervalle, le plus convenable des manteaux pour la poursuite de notre dessein (…) En ce qui concerne les Ordres spirituels de l’Église romaine, la religion ne fut, hélas ! qu’un prétexte afin que notre Ordre puisse, d’une manière plus noble, se cacher derrière une société savante ou quelque chose du genre. »[24]

Vous remarquerez que la stratégie employée par les Illuminati de Weishaupt est exactement la même que celle utilisée par les Juifs talmudiques. Dans les Protocoles des Sages de Sion, les Juifs talmudiques disent, comme les Illuminati, s’être servis de la Maçonnerie comme couverture pour occulter leur implication dans les plans d’un « Nouvel Ordre Mondial ». « Par qui ou par quoi pourrait être détrôné un pouvoir invisible ? Or, c’est là justement ce qu’est notre Gouvernement. La Loge maçonnique joue, inconsciemment, dans le monde entier, le rôle d’un masque qui cache notre but. Mais l’usage que nous allons faire de ce pouvoir dans notre plan d’action, et jusque dans nos quartiers généraux, reste à jamais ignoré du monde en général. »[25] Les Juifs talmudistes sont sionistes. La stratégie employée par ces Juifs sionistes, les Illuminati et les Jésuites est la même parce que les Illuminati, les Jésuites et les Juifs sionistes partagent le même noyau de croyances occultes babyloniennes.

Qui fut derrière la création des Illuminati ? Comme nous l’avons préalablement expliqué, les Illuminati ont, en effet, précédé les Jésuites. Leur établissement, en 1776, ne fut que la reconstitution de la Kabbale occulte juive qui prospérait sous les Jésuites. Les Illuminati furent reconstitués par Lorenzo Ricco, alors Général Jésuite en 1776. Qui utilisa-t-il comme représentant des Illuminati ? Nul autre que le Juif Adam Weishaupt, formé chez les Jésuites, converti catholique et disciple de Lorenzo Ricco. Il était professeur de loi canonique à l’Université jésuite d’Ingolstadt, alors centre de la contre-réforme jésuitique.[26] Plusieurs affirment que Weishaupt était un « ancien » Jésuite. Il est plus probable qu’il était Jésuite et que son statut « d’ancien » Jésuite fut conçu afin que dissimuler l’implication jésuite chez les Illuminati. Weishaupt est né le 6 février 1748, à Ingolstadt. Ses parents étaient crypto-Juifs. Il fut éduqué dans l’ordre des Jésuites où on l’exposa à l’organisation des Jésuites et à leur agenda politique. Weishaupt était un de ces Juifs qui, dès leur jeune âge apprennent à accorder leur allégeance secrète au Talmud et à la Kabbale, mais c’était extérieurement un tout dévoué catholique romain.[27]

Les Jésuites, venant tout juste d’être supprimés par le pape Clément XIV, en 1773, trouvèrent nécessaire de reconstituer les Illuminati, ce qui s’avérait une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild. Meyer Amschel, chef de la Maison des Rothschild, était un Juif allemand éduqué chez les rabbins, et prit plus tard le nom de Rothschild.[28] Amschel utilisa son immense fortune pour consolider les efforts révolutionnaires des Illuminati, dont, entre autres, la Révolution française. Un autre homme ayant contribué à l’établissement des Illuminati se nommait Jakob Frank, Juif polonais. Son nom de famille était originalement Leibowicz. Il vivait dans la cité allemande d’Offenbach et c’était un leader de la Kabbale juive secrète de l’époque.[29]

Les Jésuites assassinèrent le pape Clément XIV et, par les Illuminati, pillèrent ensuite le Vatican, s’emparant de toutes ses propriétés ecclésiales terriennes de par le monde. Le Vatican apprit sa leçon et, le 7 août 1814, les Jésuites furent restaurés en tant qu’Ordre catholique par le pape Pie VII.[30] Les Jésuites furent dès lors plus forts et plus puissants que jamais. L’on doit comprendre que les Jésuites ne se fusionnent pas, ils absorbent. Comme le Vatican qui l’apprit à la dure école, tous ceux qui s’allient aux Jésuites se retrouvent dans les griffes de la mort, desquelles il n’y a aucune délivrance, sauf par le pouvoir de Dieu Tout-Puissant. Ils ont absorbé tous ceux qui ont fait alliance avec eux.

L’influence des Juifs, par l’intermédiaire des Jésuites au sein de l’Église catholique romaine, s’est manifestée dès le début dans la doctrine catholique. Le Concile de Trente fut orchestré par les Jésuites qui, d’anathème en anathème, attaquèrent la doctrine chrétienne. Le contrôle des Juifs sur le Vatican est si complet que le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, émit une doctrine officielle de la foi catholique acceptant le point de vue juif disant que le messie est encore à venir. Il y a apparemment double langage dans le document, car il accepte la vision juive de la venue du messie sans ouvertement rejeter Jésus. Certains ont interprété le document comme reniant le rôle rédempteur de Jésus. Comme l’expliquent des chapitres précédents de ce livre, l’Église catholique a depuis longtemps renié le rôle rédempteur de Jésus. Le document est renfermé dans un petit livre intitulé Le peuple juif et les Saintes Écritures dans la Bible chrétienne. Rien de surprenant à ce que cette doctrine judéo-catholique eut été rédigée par un Jésuite du nom de Albert Vanhoye.[31]

Dans l’ancienne Palestine, les Juifs travaillèrent main dans la main avec les Romains pour crucifier le Christ. Aujourd’hui, les Juifs oeuvrent main dans la main avec l’Église catholique romaine dans leur effort commun pour diriger le monde. Dans Apocalypse 17:5, la grande prostituée est l’Église catholique romaine qui porte un nom sur le front, MYSTÈRE, BABYLONE LA GRANDE, LA MÈRE DES IMPUDIQUES ET DES ABOMINATIONS DE LA TERRE. Notez que si elle est un mystère, elle est aussi étiquetée Babylone. Si elle est appelée Babylone, c’est qu’elle est babylonienne. Elle est un mystère parce que c’est une religion démoniaque antichrist qui est sortie de la Babylone païenne déguisée comme « la » religion chrétienne. L’étampe du christianisme a été apposée sur le paganisme babylonien pour qu’il se présente comme la religion à mystères que nous connaissons sous le nom d’Église catholique romaine. Les Juifs talmudiques et le Vatican partagent tous deux la même racine commune babylonienne. Les Jésuites entretinrent la Kabbale babylonienne dans la doctrine catholique romaine et favorisèrent aussi la Kabbale dans la Franc-maçonnerie. En 1754, les premiers 25 degrés du Rite écossais de la Franc-maçonnerie furent rédigés par les Jésuites du Collège des Jésuites de Clermont, à Paris.[32] Albert Pike explique ce secret à la maçonnerie dans sa bible doctrinale de la franc-maçonnerie, Morals and Dogma, : « La maçonnerie est une quête de la Lumière. Comme vous le voyez, cela nous ramène directement à la Kabbale. »[33] Les Juifs talmudiques infiltrèrent la Rome païenne principalement, mais pas exclusivement, par le moyen de l’Ordre des Jésuites. Remarquez les similarités entre l’impérieuse femme prostituée d’Ézéchiel 16:14-40, constituant l’Israël apostat, et la prostituée catholique romaine de l’Apocalypse. C’est la même. Les Jésuites crypto-juifs de l’Église catholique romaine sont les pharisiens des temps modernes. Ces pharisiens des temps modernes, cependant, ne sont pas de vrais Juifs, ce sont des Juifs Khazars, aussi connus comme Juifs ashkénazes. Ce sont des Européens de l’est convertis au talmudisme.

Il est important de bien saisir qu’il existe un noyau babylonien commun au talmudisme, au jésuitisme, au catholicisme, à la franc-maçonnerie, au communisme, au nazisme et au sionisme. Ils sont tous issus de Babylone et sont tous antichrists. Voilà pourquoi Babylone la Grande est appelée la Mère des Impudiques et des Abominations de la Terre.

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[1] Anti-Sion, des Juifs sur la question juive, http://www.diac.com/~bkennedy/az/A-E.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[2] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[3] John S. Torell, European-American Evangelical Association, juillet 1999, http://www.eaec.org/NL99jul.htm (tel qu’au 2 octobre 2001).

[4] Ibidem..

[5]  Ibidem.

[6] Michael Hoffman & Alan R. Critchley, The Truth About the Talmud, http://www.hoffman-info.com/talmudtruth.html (tel qu’au 12 septembre 2001).

[7] Ibidem.

[8] Ibidem.

[9] Judaism vs. Christianity : The War the Lamb Wins, http://www.fixedearth.com/talmud.html (tel qu’au 11 septembre 2001).

[10] Ibidem.

[11] Ibidem.

[12] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 209, 2000 (citant Benjamin Freedman, Facts Are Facts, 1954.).

[13] Judaism vs. Christianity : The War the Lamb Wins, http://www.fixedearth.com/talmud.html (tel qu’au 11 septembre 2001).

[14] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[15] Voir John Torell, Showdown in Jerusalem, The Dove, hiver 1995.

[16] Walter White, Jr., The Hidden Tyranny, http://www.fourwinds10.com/corner/J224-ch4.pdf , http://www.antichristconspiracy.com/HTML%20Pages/Harold_Wallace_Rosenthal_Interview_1976.htm (adresses Internet tel qu’au 21 avril 2002).

[17] Rabbin David A. Cooper, God is a Verb, Kabbalah and the Practice of Mystical Judaism, p. 156, (1997) — emphase ajoutée.

[18] Ibidem.

[19] Voir John S. Torell, Showdown in Jerusalem, The Dove, hiver 1995.

[20] Des Griffin, The Fourth Reich of the Rich, p. 70, (1993).

[21] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 248 (2000).

[22] Ibidem, p. 204.

[23] David Bay, Secret Societies Killed Jesus Christ, www.cuttingedge.org, http://home.talkcity.com/InspirationAv/jforjesus/secret_societies.html 

[24] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[25] Des Griffin, Fourth Reich of the Rich, p. 216 (1993).

[26] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 206 (2001).

[27] John S. Torell, European-American Evangelical Association, juillet 1999, http://www.eaec.org//NL99jul.htm (tel qu’au 2 octobre 2001).

[28] Ibidem.

[29] Ibidem.

[30] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550 (1991).

[31] Melinda Henneberger, Vatican Says Jews’ Wait for Messiah is Validated by the Old Testament, New York Times, 18 janvier 2002. http://www.hughhewitt.com/past_news_links_01.02/01.18.02Vatican_Says_Wait_for_Messiah.html (tel qu’au 10 février 2002.).

[32] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 180 (2001).

[33] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 741 (1871).