D.234 – Les Sept Lois Noachiques ? Qu’est-ce que c’est ?

 

Par Roch Richer

Les présidents américains encensent fréquemment les Sept Lois Noachiques[1] dans leur discours, lors de la Journée de l’Éducation ayant lieu chaque année aux Etats-Unis depuis 1991. Il n’est nullement surprenant que la plupart des Nord-américains n’en aient jamais entendu parler : elles proviennent du Talmud babylonien et n’apparaissent nulle part dans l’Ancien ou le Nouveau Testament de la Bible.

La question qui surgit à la mention de ces Lois Noachiques (ou Lois de Noé), c’est pourquoi donc ― puisqu’il se voit contraint de placer une injonction religieuse à la Journée de l’Éducation ― le Président américain ne préfère-t-il pas encourager les Américains à suivre les Dix Commandements, qui sont une version plus récente et plus compréhensive que les Sept Lois dites de Noé et qui ont l’avantage d’être bien plus connus et beaucoup plus accessibles ?

L’explication de ce puzzle est saisissante. En fait, ça ne saurait être plus stupéfiant ! L’explication découle du fait que les Juifs hassidiques du Chabad Loubavitch sont à la poursuite d’un but ; et l’étonnant de toute l’affaire, c’est que nous assistons aux signes de leur progrès en direction de ce but. Le dessein du Chabad Loubavitch hassidique, comme ce mouvement l’annonce lui-même (ce que je vais démontrer ci-après par des citations directes) et comme quiconque possédant l’Internet peut le vérifier lui-même, va comme suit ― et je vous avertis de bien vous asseoir avant de commencer à lire… !

Les hassidiques Chabad Loubavitchers ont un plan qu’ils poursuivent dans le dessein de conquérir le monde et mettre en place la réglementation rabbinique au sein de chaque pays. Cependant, ils se rendent compte que, d’eux-mêmes, ils n’ont pas la main-d’œuvre requise pour exécuter ce plan ; ils sont donc depuis longtemps en processus de recrutement pour former une grande armée de non-Juifs afin de les aider. Les membres de cette armée d’assistants non-juifs s’appellent des « Noahides », parce que les Juifs disent qu’ils sont les Enfants de Noé (B’nai Noah, en hébreu). Ce qui est étrange de leur part, car, si je ne m’abuse, les Juifs aussi sont les Enfants de Noé. Mais avec eux, nous n’en sommes pas à une contradiction près. Donc, cette armée se compose en grande partie de « chrétiens » mécontents et apostats à la recherche d’une orientation religieuse en ces jours de « désintégration » du christianisme. Bien sûr, on parle ici du « christianisme » institutionnalisé du monde, pas celui de Jésus-Christ. Les Lois Noachiques sont ainsi les Lois auxquelles les hassidiques du Chabad Loubavitch demandent à leurs assistants noahides d’obéir. Or, la plus éminente de ces Sept Lois de Noé est la renonciation au christianisme et, en fait, de toute religion autre que le judaïsme orthodoxe. Les activités éducatives des Loubavitchers, et que les Présidents américains commémorent annuellement, consistent principalement à leurrer les non-Juifs en leur faisant jouer le rôle d’assistants noahides, ce qui exige, dès l’étape initiale, la renonciation au christianisme !

Suit ici, et plus en détails, le programme noachique de la bouche même des hassidiques du Chabad Loubavitch.

Les Sept Lois Noachiques sont, en vérité, sept entêtes de sujets

L’on pourrait s’attendre à ce que les Sept Lois Noachiques aillent à peu près dans le sens suivant : « Honore ton père et ta mère ; Tu ne tueras point ; Tu ne commettras point d’adultère ; Tu ne voleras point » et ainsi de suite. Pourtant, il nous est impossible de trouver une telle liste. Tout ce que nous pouvons découvrir, ce sont des listes d’entêtes de sujets sur des questions talmudiques comme, par exemple :

« Lois noachiques, sept lois données à Noé et qui, selon les rabbins, incombent à tous les hommes sans exception : interdiction d’idolâtrie, de blasphème, d’épanchement du sang, de péchés sexuels, de vol, interdiction de manger de la chair arrachée à des animaux vivants, et instructions pour l’établissement de tribunaux. » [Geoffrey Wigoder (Éd.), Dictionnaire encyclopédique du judaïsme, Léon Amiel, New York et Paris, aussi Maison de Publications Keter, Jérusalem, 1974, p.455.]

Toute société établit des limites quant aux activités sexuelles de ses membres et, pour ce faire, fournit sa propre définition des « péchés sexuels » ; donc, savoir simplement que les Lois Noachiques interdisent les péchés sexuels ne nous dit rien en soi. Il y a sans aucun doute des définitions talmudiques approfondies des péchés sexuels dont on parle ici ; voilà pourquoi nous considérons que les deux mots « péchés sexuels » ne sont qu’une entête de sujets et non pas une loi. Il en est de même des « instructions pour l’établissement de tribunaux » ― ces quelques mots ne forment pas une loi que chaque initié noahide se sentira en mesure d’observer ; ils font plutôt référence à des centaines, voire des milliers de pages d’écrits talmudiques quant à la nature des tribunaux devant être établis. Les mêmes observations peuvent être faites en ce qui regarde tous les autres items de la liste de Wigoder mentionnée ci-haut.

Des descriptions alternatives des Sept Lois Noachiques (comme on peut en trouver à www.noahide.com/7laws.htm) nous amènent à la conclusion très claire que l’on ne nous donne que des entêtes de sujets et que toute autre déclaration plus élaborée que l’on pourrait nous suggérer sous chacune de ces entêtes demeure vague et fait allusion à des écrits talmudiques originaux bien concrets, mais qui ne nous sont pas divulgués.

 À l’occasion, les 7 lois se chiffrent à 30, où même à 66

Comme on peut s’y attendre d’entêtes de sujets, on peut subdiviser celles-ci de telle sorte que le nombre de Lois Noachiques ne s’arrête parfois pas à sept, mais monte à trente, et même à soixante-six, comme vous pourrez le constater sur le site noachique à l’adresse suivante : www.noahide.com/lawslist.htm.

En balayant du regard ces listes plus élaborées, le Nord-américain moyen peut être saisi d’un malaise et même parfois franchement d’une vive inquiétude. (Le matériel suivant est tiré de l’original) :

·        Certaines des lois noachiques sont mystérieuses : « Contre la pratique d’Ov », « Contre la pratique de Yiddoni », « Contre la pratique consistant à passer nos enfants au feu dans le culte de Moloch ».
·        Certaines proscrivent les crimes par la pensée : « Contre l’entretien de la pensée qu’il existe une déité autre qu’Hashem », « Contre le désir ».
·        Certaines semblent définir le pouvoir des rabbins plutôt que les lois que les gens doivent suivre, et ces pouvoirs rabbiniques violent la séparation de l’église et de l’état, ce qui, si cela était implanté, transformerait l’Amérique du Nord en théocratie : « Assigner des juges et des officiers dans chaque communauté. »
·        Certaines prescrivent des procédures qui sont étrangères à la culture nord-américaine, comme l’exécution par décapitation, ou la nécessité de sacrifices d’animaux : « Que la cour doit administrer la peine de mort par l’épée (i.e., décapitation) », « Offrir des sacrifices rituels ».
·        Certaines auraient de si rares applications qu’il semble inapproprié de les inclure dans une courte liste des lois les plus importantes : « Contre le fait de manger des membres arrachés d’un animal vivant, d’une bête vivante ou d’une volaille vivante ».
·        Certaines sont détraquées face aux pratiques occidentales profondément enracinées : « Des mariages formels via la dot de la mariée & les dons de mariage ».
·        Certaines feraient reculer l’évolution des animaux de ferme et de compagnie : « Ne pas croiser les animaux ».
·        Certaines produisent des détails excessifs concernant des questions d’une importance insignifiante comme, par exemple, combien de raisins un cueilleur itinérant a-t-il le droit de manger : « Il sera permis à un cultivateur de manger du fruit où il travaille [sous certaines conditions] », « Contre le fait qu’un cultivateur mange de ce fruit [quand certaines conditions ne sont pas rencontrées] », « Contre le fait qu’un cultivateur apporte de ce fruit à la maison ».
·        Certaines seraient difficiles à appliquer en Amérique du Nord : « Contre le fait de s’engager dans un comportement érotique pouvant conduire à une union défendue. [C’est-à-dire, se faire des caresses entre deux personnes dont le mariage serait illicite.] »

En d’autres termes, adopter les Lois Noachiques mène à bien plus que ce à quoi on est en droit de s’attendre d’un exercice visant à prendre les lois religieuses d’un ancien peuple et essayer de les appliquer dans une société moderne ― un gros manque de pertinence et une impraticabilité absolue.

La Lois Noachiques devront être imposées par la force

La seule façon que l’on pourra imposer ce genre de lois au peuple nord-américain, c’est par la force, peut-être le type de force brutale qu’on voit les Israéliens appliquer aujourd’hui aux Palestiniens, perspective que le Rebbe des Loubavitchers, Menachem Schneerson, a déjà anticipé en arrière-pensées, tout en y ajoutant des adoucissements comme ceux qui suivent, dans les versions publiques de cette anticipation, afin de ne pas susciter l’alarme :

« N’avons-nous pas assez à faire avec les Juifs ? Pouvons-nous vraiment nous permettre de dépenser du temps et de l’argent dans la campagne visant à transformer les Gentils ?

« Le Rambam utilise l’expression : “Lakuf (influencer par la force) tous les habitants du monde à accepter les commandements de Noé.” Il est évident que nous devons le faire de manière plaisante, douce et pacifique, mais nous devons nous montrer persistants. Si vous avez déjà essayé à plusieurs reprises, essayez encore. Nous avons souvent constaté que, même si nous le disons cinq fois à certaines personnes, elles ne changent qu’après l’avoir entendu six fois ! » [Pourim, 5747, Sichos in English, vol. 35, p. 4.]

[www.noahide.com/rebbe.htm (le soulignement est dans l’original ; la réponse qui n’a pas de rapport avec la question n’est pas un phénomène atypique des écrits loubavitchers.]

L’idolâtrie est le pire des péchés

Une chose est fort claire en regard des Lois Noachiques : leur emphase sur l’interdiction de l’idolâtrie ― emphase évidente de par le fait que la loi sur l’idolâtrie est placée en première position et qu’elle est reliée à la loi sur le blasphème à laquelle on accorde la seconde position. C’est donc sur la question de l’idolâtrie que les Lois Noachiques sont des plus révélatrices.

Quelle est l’idolâtrie que les Noahides doivent éviter ? On pointe d’abord le christianisme, mais aussi toutes les religions autres que le judaïsme.

« Encouragement à abandonner le christianisme :

« …selon la règle juridique juive bien connue disant que les chrétiens sont des idolâtres. »

[Likutei Sichos 3:198, tirée d’une lettre du Rabbin datée du 26 Iyra, 5726, citée dans Kol Boi HaOlam, p. 389. www.noahide.com/rebbe.htm.]

Voici un autre bel exemple :

« Un guide universel de prière pour les “Enfants de Noé”

« Règles de prière efficace pour les peuples de tous les antécédents ethniques nationaux, fondées sur la Parole de D-(ieu)[2] telles que préservées dans la Tradition juive [lire ici : le Talmud]. Par Boruch Ellison.

« […] Sauf en cas d’impossibilité, la prière devrait se faire à l’intérieur, face à un mur sans miroir, sans illustration ou toute autre image potentiellement idolâtre ; il va sans dire que l’on ne devrait jamais prier devant une statue quelconque (plusieurs statues et figurines apparemment innocentes sont considérées idolâtres par la Torah, et l’on doit apprendre les règles afin d’éviter la possession accidentelle d’idoles ou de leurs équivalents). Les croix chrétiennes sont évidemment hors de question. » [www.noahide.com/prayer.htm]

Constatez ce qu’ils écrivent au sujet de leurs fêtes :

« Les Noahides ne devraient observer aucune autre fête religieuse en dehors des traditions rabbiniques de la Torah ― y compris spécialement les fêtes chrétiennes comme Noël, Pâques, l’Halloween, la Toussaint, le Vendredi Saint, le Mercredi des Cendres et probablement aussi le « nouvel an » (1er janvier). Les fêtes religieuses étrangères sont interdites même dans le minimum du code noachique ; elles sont une violation du commandement contre l’idolâtrie.

« Les Noahides devraient commémorer au moins les fêtes suivantes : Rosh Hashanah, Sukkos, le 19 de Kislev (le « nouvel an » hassidique), Chanukkah, Pourim, Shavuos ― et chaque anniversaire personnel dans le calendrier hébreu. Toutefois, la participation noahide à ces fêtes est différente de plusieurs manières de l’observance juive. » [www.noahide.com/minimum.htm.]

Jésus-Christ est considéré comme un faux prophète dont l’exécution fut justifiée par la loi talmudique pour des raisons comme celles qui suivent :

« 1. Lui et ses disciples pratiquaient la sorcellerie et la magie noire, conduisaient les Juifs à l’idolâtrie et étaient parrainés par des puissances païennes étrangères dans le but de corrompre le culte juif (Sanhédrin 43a).

« 2. Il était sexuellement immoral ; il adorait des statues de pierre (une brique est mentionnée) ; il fut coupé du peuple juif à cause de sa méchanceté et refusa de s’en repentir (Sanhédrin 107b ; Sotah 47a).

« 3. Il apprit la sorcellerie en Égypte et, pour faire des miracles, il utilisait des procédures qui impliquaient de s’inciser la chair ― ce qui est explicitement banni de la Bible (Shabbos 104b). » [www.noahide.com/yeshu.htm].

Donc, lorsque, dans son allocution de 1985, le Président Reagan se référa à « l’année du Seigneur mille neuf cent quatre vingt cinq », il commit un sacrilège ― selon les Lois Noachiques mêmes qu’il venait tout juste de recommander à la nation ― et il se révéla « idolâtre », selon les principes talmudiques. Il a respecté Jésus-Christ qui, s’Il était sur terre aujourd’hui, serait exécuté par les Loubavitchers, s’ils en avaient le pouvoir.

Les Lois de Noé sont formulées pour que les collaborateurs noahides non-juifs les observent

À la fin de l’avant-dernière citation, nous avons eu un premier aperçu que le judaïsme pratiqué par les collaborateurs noahides n’est pas le même que le judaïsme pratiqué par les Juifs, et voici une déclaration encore plus révélatrice à ce sujet :

« La Loi comprend deux chemins parallèles (mais séparés) pour le monde : 613 commandements pour les Juifs et 66 commandements (contenus dans les 7 Lois de Noé) pour les Gentils. Lorsque le Noahide s’engage à garder les 66 mitzvos, il peut (et, en réalité, il doit) prendre la responsabilité de mitzvos additionnels, avec certaines exceptions claires : les non-Juifs ne peuvent pas observer les Shabbos (fêtes) à la manière des Juifs (en évitant les 39 catégories de travaux), ils ne peuvent non plus porter de tefilin ou de tzitzis, mettre un mezuzah, ou être appelés pour une lecture publique de la Torah dans la synagogue. Il y a bien sûr d’autres restrictions, y compris certaines limites à l’étude de la Torah (tout dépendant  des circonstances individuelles. » [www.noahide.com/minimum.htm]

Les preuves que nous avons examinées jusqu’ici nous amènent à la conclusion que les Sept Lois Noachiques sont des commandements auxquels les rabbins hassidiques poussent les non-Juifs à obéir, et que ces Sept Lois de Noé ne sont, en réalité, qu’une collection d’entêtes de sujets cachant toute une série de lois et de commandements qui vont mener les Gentils à l’esclavage envers les Juifs et à l’abandon de leur foi chrétienne (ou autres). Quiconque s’engage à suivre des lois pareilles appose, en fait, sa signature au bas d’un contrat qu’il n’a pas lu ; ou, pour prendre une analogie plus exacte, signe le bas d’une feuille blanche dont l’entête et les termes seront remplis ultérieurement par les rabbins hassidiques. Le collaborateur noahide doit s’attendre à ce que les lois auxquelles on lui demandera d’obéir scrupuleusement seront à forte saveur judaïque mais, en fin de compte, seulement quasi judaïque. Même si l’on attend des collaborateurs noahides qu’ils renoncent complètement au christianisme, on veut en même temps qu’ils n’embrassent que partiellement le judaïsme. On veut qu’ils se satisfassent du statut de « presque Juifs ». On veut qu’ils rendent service en tant qu’auxiliaires pro-juifs manipulés par des presque Juifs et commandés par des Juifs ; on veut qu’ils participent à certains rituels juifs, mais également qu’ils vivent séparément des Juifs et qu’ils ne se marient pas avec eux. Par conséquent, ce que ces collaborateurs noahides doivent raisonnablement escompter, c’est qu’on leur accordera un statut de subordonnés aux Juifs ; qu’ils ne partageront pas tous les droits et privilèges des Juifs ; qu’il leur sera exigé de faire des choses qui ne sont pas demandées aux Juifs eux-mêmes et, sans doute la chose la plus importante, qu’ils puissent être utilisés par les Juifs tout en étant représentés en public comme non-Juifs.

Le plan de conquête du monde

Ayant installé le fond de scène des hassidiques du Chabad Loubavitch, nous sommes maintenant prêts pour le point essentiel ― la partie de la conquête du monde !

Pour bien comprendre l’extrait qui va suivre, il sera utile de vous rappeler : que le Moshiach est le messie des Juifs ; qu’Amalek est la soi-disant nation cachée qui, pendant plus de trente-trois siècles, est supposé avoir conspiré pour débarrasser le monde de l’influence juive et des Juifs. Et cette nation est tellement méchante qu’elle se trouve hors de toute rédemption possible et qu’elle doit donc être détruite ; qu’un code judiciaire conforme à la halacha s’accorde aussi aux écrits talmudiques dans les domaines légaux.

La guerre finale pour Jérusalem

Pourquoi la victoire permanente d’Israël est maintenant toute proche

[Pour le texte complet en anglais, veuillez consulter l’adresse Internet suivante : www.noahide.com/finalwar.htm.]

[…]

Le judaïsme a toujours été une religion conquérante, pas dans le but de convertir les Gentils afin qu’ils deviennent juifs, mais plutôt de par sa mission de ramener le monde vers l’alliance universelle passée entre D-(ieu) et Noé. À cause de raisons halachiques, trop nombreuses et détaillées pour en faire la liste ici, les Gentils qui pratiquent aujourd’hui le christianisme, l’islam ou toute autre religion ne sont pas, pour la plus grande partie, des « Gentils vertueux » devant hériter du Monde à Venir. Ce statut n’appartient qu’aux Gentils qui observent soigneusement les Sept Lois de Noé, ce qui veut également dire de suivre l’autorité halachique de la Torah et des rabbins.

(Pour les personnes qui trouvent le concept confus, nous nous empressons de souligner que cela ne fait pas partie d’une conversion au judaïsme et que ce n’est même pas une étape du processus. Les Enfants de Noé ont leur propre rôle à jouer de manière indépendante en assistant le peuple juif et en réformant le monde. Les individus qui souhaitent se convertir peuvent le faire, mais ce n’est pas une exigence. Dans l’ère messianique, ces Gentils vertueux rendront culte dans le Temple à Jérusalem et célébreront certaines fêtes de la Torah, mais s’en tiendront à des tribunaux séparés et ne se marieront pas avec des Juifs. Aujourd’hui, ces Noahides aident à ramener les Juifs non pratiquants à la Torah, entre autres fonctions.)

À l’époque du premier Temple, le rêve consistant à réformer les Gentils se reflétait dans la présence de dix menoras [chandeliers à sept branches] dans le sanctuaire du Temple ― totalisant soixante-dix flammes ― représentant l’élévation des soixante-dix nations gentilles. Mais quand le Temple fut détruit, les Juifs durent influencer les Gentils d’une manière plus douce, plus graduelle. Même si faire en sorte que les Gentils observent les Sept Lois Noachiques est une des 613 mitzvos [prescriptions] de la Torah, l’exil atteint parfois de tels niveaux de sévérité et d’oppression que les Juifs ne pouvaient tout simplement pas remplir cette mitzvah par crainte de la mort. À ces moments-là, le judaïsme était forcé de se mettre en mode de survie ; la conquête était alors hors de question.

Aujourd’hui, la situation est complètement renversée. Le fait même qu’Amalek puisse engendrer un tel chaos dans le monde est la preuve que la société gentille ne présente plus de véritable opposition face aux enseignements juifs. L’on ne constate maintenant de l’antisémitisme qu’aux endroits où Amalek fomente le trouble, et c’est précisément là où les Gentils ont le plus désespérément besoin de guides. Alors que le christianisme descend en vrille dans la dissension et la confusion théologique, il devient un vacuum incapable de se défendre contre, soit le mensonge d’Amalek, soit la vérité de la Torah. Amalek ne peut exploiter l’effondrement du christianisme que par défaut ― c’est-à-dire, seulement lorsque le peuple juif ne saisit pas cette opportunité sans précédent.

Et, comme l’a expliqué le Rebbe des Loubavitchers, en transformant les Gentils, nous pouvons rapidement créer une armée de supporteurs qui va nous aider à révéler le Moshiach et ramener tous les Juifs à la Torah. D’une façon plus spécifique, le Rebbe a mis l’accent sur le fait que le « processus de paix » en Israël ne sera défait que par notre influence sur les Gentils ― spécialement par la campagne visant à enseigner les Lois Noachiques (voir Sichos in English, vol. 16, [19 kislev 5743]).

En deux mots, notre tâche la plus pressante est de déclencher une révolution internationale noahide sans délai. Le processus est déjà commencé par l’intermédiaire de douzaines de petites communautés noahides apparues un peu partout aux Etats-Unis, généralement composées d’anciens chrétiens ayant abandonné leur religion. La tâche d’organiser la révolution peut se diviser en deux grandes étapes :

1) Nous devons d’abord créer une nouvelle société noahide en tant que réseau international de communautés et d’organisations fonctionnant à l’intérieur de la société environnante, mais séparée d’elle, (fondées sur les exigences et les directives halachiques, les institutions noahides fonctionnent de manière assez différente de leurs contreparties chrétiennes et séculières).

Pour le Juif comme pour le Noahide, cela débute par un agressif programme visant à enseigner aux Gentils leurs responsabilités vis-à-vis la Torah.

Simultanément, nous devons organiser des programmes de fonctionnement et des institutions qui soient préparées à absorber ce grand nombre d’anciens chrétiens et les impliquer immédiatement dans les efforts ayant pour but d’amener le Moshiach. Les communautés noahides ont besoin d’écoles pour leurs enfants, modelées sur les programmes des yeshivahs juives [institutions d’enseignement juives] ; des groupes d’étude de la Torah adaptés à leurs besoins spécifiques ; des célébrations coordonnées et appropriées des fêtes de la Torah ; des services familiaux pour les mariages, du soutien aux personnes âgées et des enterrements ; des tribunaux dirigés par des juges vertueux formés par les rabbins et qui vont fonctionner de manière similaire aux batei dinim juifs [tribunaux juifs] ; et des programmes tzedaka pour venir en aide aux démunis, pour construire de nouvelles écoles noahides et pour soutenir l’établissement des Juifs en Israël ainsi que des synagogues dans toute la diaspora.

2) Dans la seconde étape, le mouvement noahide croissant va s’emparer du pouvoir politique ― en n’utilisant que des moyens pacifiques et légaux ― dans les capitales des nations occidentales. Bien entendu, cela n’arrivera pas avant que la société noahide ait atteint une certaine dimension. Nous ne savons pas jusqu’à quel point, ni quelles nations se joindront tout d’abord à la révolution, quoique les Etats-Unis, nation plutôt religieuse et conservatrice, sont assurément au sommet de la liste de nos futurs espoirs.

Une fois les rênes du gouvernement bien en main, les nouveaux leaders noahides vont rapidement implanter tout un agenda de réformes. Toute aide économique et technologique accordée au Bloc communiste, incluant l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP), va prendre fin immédiatement. Tout le soutien nécessaire sera accordé aux forces israéliennes pour envahir de nouveau les régions contrôlées par l’OLP, avec assistance militaire partout où il le faudra. On donnera aux tribunaux juifs (les batei dinim des rabbins) la souveraineté juridique sur tous les citoyens juifs dans chaque pays, et ils ne seront plus sujets à l’autorité des tribunaux des Gentils. Les juges et les cours noahides ayant préexisté remplaceront les systèmes judiciaires actuels de chaque pays, et les codes juridiques seront radicalement réécrits pour qu’ils se conforment à la halacha ; aux Etats-Unis, on mettra l’emphase sur la restauration de l’autorité de la Constitution et sur l’abolition de toutes les agences et tous les programmes gouvernementaux inconstitutionnels. La dette nationale sera saisie, probablement en remboursant les créditeurs avec les terres agricoles du gouvernement, évitant de ce fait un désastre économique. Et la loi et l’ordre seront pleinement rétablis par l’établissement de mesures internes de sécurité et ce, toujours en accord avec la loi de la Torah.

Presque aussitôt qu’aura cessé l’aide au Bloc communiste, la révolution communiste internationale plongera tête première dans une crise. Les peuples captifs, voyant leur libération toute proche, se soulèveront sincèrement pour jeter leurs brutaux dictateurs hors du pouvoir et les armées de Gog et Magog ― des Communistes soviétiques à l’OLP ― vont s’autodétruire devant les yeux du monde entier.

Naturellement, les agents d’Amalek vont pousser des cris hystériques en vue d’intimider les Juifs afin qu’ils n’entreprennent pas cette campagne, espérant retarder la victoire. Ils ne possèdent aucun pouvoir, toutefois, pour empêcher notre action fructueuse ; ils ne peuvent que tenter de semer des doutes et susciter une hésitation.

Alors que le monde plonge tête baissée vers la révélation du Moshiach, et que les derniers murs de l’exil se désintègrent, le nombre de Gentils confus et prêts à changer grossit de façon exponentielle. Si le peuple juif commence immédiatement à préparer les structures adéquates en vue du mouvement noahide, cette vague mènera directement à la révélation glorieuse de la Vérité. Mais si nous nous permettons d’être pris au dépourvu, cette même force irrésistible de changement social peut, que D-(ieu) nous en préserve, être dérivée pour renforcer l’assaut final d’Amalek contre la sainteté. Il ne s’agit pas de savoir si la société des Gentils va exploser face à la crise croissante ; cet événement est une réalité inévitable qui s’en vient rapidement. Nous ne voulons pas manquer cette opportunité incroyable d’apporter la lumière dans ces derniers moments de noirceur.

Le monde a atteint son point ultime de décision, et le pouvoir de la réussite repose entièrement entre les mains du peuple juif. Nous pouvons attendre que le Moshiach vienne de lui-même, à la suite d’une guerre mondiale, ou nous pouvons l’amener par nos propres actions, mission que le Rebbe des Loubavitchers nous a dit être la nôtre. La chose nous appartient.

Il n’y a pas une minute à perdre. Juifs de partout, unissons-nous !

Le Comité pour la victoire d’Israël

 

Eh bien ! Tout un programme que les Juifs préparent pour les chrétiens, ne trouvez-vous pas ? Commencez-vous à comprendre de quoi sera faite la grande apostasie dont l’apôtre Paul nous a parlée ? Commencez-vous à voir pourquoi la Bête (le Moschiach) sera tellement enragée contre les véritables enfants de Dieu, les adorateurs du Seigneur Jésus-Christ, le vrai Messie ?

Les talmudistes semblent avoir concocté ces fameuses « Lois de Noé » depuis des siècles en préparation du moment où ils vont forcer les gens du monde entier, et les chrétiens en particulier, à abandonner toute forme de foi religieuse autre que leur mouture adaptée de judaïsme. Dans l’extrait d’article que nous venons de lire, l’affaire est présentée comme un immense service que les Juifs ont le devoir divin de rendre aux Gentils, comme des aînés qui doivent prendre soin de leurs benjamins. Mais la réalité est tout autre ! Ces belles paroles mielleuses cachent des desseins épouvantables inspirés directement de Satan. Les prophéties de la Bible (la Bible complète, incluant le Nouveau Testament, évidemment) en font une description sans fard et véridique.

Examinons un peu ce que cachent ces Loubavitchers dans leurs discours, en reprenant certains éléments de l’extrait d’article que nous avons tiré de leur site.

« Mais quand le Temple fut détruit, les Juifs durent influencer les Gentils d’une manière plus douce, plus graduelle. » Voyons quel genre de douce influence les Juifs ont exercé sur le monde. Prenant la parole lors d’un Congrès sioniste, Berl Locker a dit :

« Nous avons le droit de nous présenter devant le monde et dire “Voici le problème juif, réglez-le à notre satisfaction, ou il n’y aura pas de repos dans le monde !” »

Le Dr B. Messinsohn, dirigeant juif, ayant pris la parole à Cape Town, en Afrique du Sud :

« J’avertis le monde que, s’il ne tient pas ses promesses envers nous (les Juifs), il y aura 16 millions de Juifs à nouveau remplis de la haine qui a déclenché tant de destruction contre le monde chrétien. »

Marcus Eli Ravage a écrit dans le Century Magazine de janvier 1928 :

« Nous, les Juifs, sommes à la base de presque toutes vos guerres, non seulement de la Révolution bolchevique, mais de toutes les autres révolutions majeures de votre histoire […] Nous l’avons fait grâce à l’irrésistible puissance de notre esprit, avec des idées et de la propagande. »

Oscar Levy, dans The World Significance of the Russian Revolution (La signification mondiale de la Révolution bolchevique) :

« Il n’y a pour ainsi dire aucun événement en Europe moderne qui ne soit imputable aux Juifs. Aujourd’hui, nous, les Juifs, ne sommes rien de moins que les séducteurs du monde, ses destructeurs, ses boutefeux, ses bourreaux. »

Pourquoi les Juifs agissent-ils ainsi ? Le professeur Goldwin Smith, de la Faculté d’Histoire moderne de l’Université d’Oxford, en octobre 1881 :

« Nous, les Juifs, nous considérons comme la race supérieure de l’humanité, et nous ne projetons pas son union avec les autres races, mais son triomphe sur elles. »

Le Comte Mensdorf, ambassadeur d’Autriche, à la Grande-Bretagne, en 1918 :

« Israël (les Juifs) a remporté la Première Guerre Mondiale ; nous l’avons fabriquée, nous avons prospéré grâce à elle et en avons profité. Ce fut notre (aux Juifs) vengeance suprême contre le christianisme. »

Benjamin Disraeli, Premier Ministre de la Grande-Bretagne du 19e siècle, lui-même juif d’origine, a eu ces propos révélateurs :

« On retrace l’influence des Juifs à l’origine de la dernière éruption de principes destructeurs en Europe. Une insurrection a lieu contre la tradition, contre la religion et contre la propriété … on retrouve toujours des hommes de race juive à la tête de chacune d’elles. Ils coopèrent avec des athées : les plus habiles accumulateurs de propriétés ; ils coopèrent avec des communistes ; cette race bizarre (les Juifs) … s’allie à tous les rebuts et les parias d’Europe ; et tout cela parce qu’ils souhaitent détruire le christianisme ingrat. »

Ce jeu macabre dure depuis de longs siècles. Un autre dirigeant juif, Samuel Roth, a dit :

« Nous (les Juifs) venons devant les nations en prétendant vouloir échapper à la persécution, et nous sommes les persécuteurs les plus mortels des annales malheureuses de l’humanité. »

Tirons une autre phrase de l’extrait que nous avons vu auparavant : « Toute aide économique et technologique accordée au Bloc communiste, incluant l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP), va prendre fin immédiatement. » Qui les Juifs veulent-ils tromper ? Cette phrase est un exemple d’intoxication, car le communisme est une créature juive ! Le Maccabean de novembre 1905, publication de l’Organisation sioniste de New York, afficha l’entête suivante concernant le bolchevisme en Russie : « Il s’agit d’une révolution juive ! »

The American Hebrew, principal journal juif des Etats-Unis, dans son numéro du 10 septembre 1920 :

« La Révolution bolchevique de Russie fut l’œuvre des cerveaux juifs, de l’insatisfaction juive, de la planification juive dont le but était de créer un Nouvel Ordre Mondial. Ce qui est arrivé en Russie deviendra également, par les mêmes forces mentales et physiques juives, une réalité partout dans le monde. »

Citons à nouveau un extrait de l’article précédent : « Dans la seconde étape, le mouvement noahide croissant va s’emparer du pouvoir politique ― en n’utilisant que des moyens pacifiques et légaux ― dans les capitales des nations occidentales. » Les Juifs prônent-ils le pacifisme ? Leur prise du pouvoir se fait-t-elle réellement en douceur ? The Jewish World de Londres, le 16 janvier 1918 :

« Le judaïsme international a poussé de force l’Europe à la guerre, non seulement afin de se saisir d’une grande partie de l’or du monde, mais également pour démarrer une nouvelle guerre juive (la Deuxième Guerre Mondiale), grâce à cet or. »

Le Yiddish Bulletin du 19 mai 1950, citant le rabbin Philip Bernstein du Mouvement sioniste :

« En pressant l’exode des Juifs d’Europe, en insistant pour que les Juifs ne veuillent pas aller dans un autre pays qu’Israël, ils (les sionistes) ont sacrifié l’intérêt de gens vivants à la politique de leur propre mouvement. »

L’exode des Juifs d’Europe fut la raison principale de la création de la Deuxième Guerre Mondiale ! Est-ce là un moyen pacifique de se faire donner un pays, en massacrant des millions de gens dont ceux de sa propre race ? Évidemment pas. Les puissances sionistes ont usé d’artifices, de tromperie, d’escroquerie et de la force de leurs moyens financiers incommensurables. Asher Ginsberg, écrivain juif moderne, à la page 42 de Waters Flowing Eastward :

« Notre (les Juifs) mot d’ordre est la force et l’illusion. Seule la force conquiert dans les affaires politiques, particulièrement si elle est cachée derrière les talents essentiels de la diplomatie. La violence doit être le Principe, et la fourberie et l’illusion la Règle des gouvernements qui ne veulent pas laisser tomber leurs couronnes aux pieds des agents d’un quelconque nouveau pouvoir. Par conséquent, nous (les Juifs) ne devons pas arrêter la corruption, la séduction et la tricherie quand celles-ci nous servent à atteindre nos fins. En politique, l’on doit savoir saisir la propriété des autres sans hésitation si, par cela, nous nous assurons la soumission et la souveraineté. Les sentences de mort sont nécessaires pour maintenir la terreur qui produit la soumission aveugle. »

Pris du Talmud, Choschen ha-Mischpat, 348,1 : « Un Juif peut voler un Gentil, c’est-à-dire qu’il peut le duper s’il est peu probable qu’il se fasse détecter. »

Voici un texte communiste tiré de Psychopolitics :

« L’obéissance est le résultat de la force. Avec la force vient la brutalité. L’utilisation de la force la plus barbare, la plus effrénée, la plus brutale, si elle est amenée assez loin, invoque l’obéissance. Toute organisation qui a l’esprit et le courage de faire étalage d’inhumanité, de sauvagerie, de brutalité et un manque d’humanité sans compromis se verra obéie […] Si vous voulez l’obéissance, vous ne devez pas faire de compromis avec l’humanité. Si vous voulez l’obéissance, vous devez faire comprendre clairement que vous serez sans merci. L’homme est un animal et, en dernière analyse, il ne comprend que ce que comprend la brute. »

Le christianisme a toujours été l’ennemi numéro un du judaïsme, malgré l’invention du concept « judéo-chrétien » contradictoire. Lorsque Jésus institua l’Église chrétienne, le judaïsme se soulevait déjà contre le Christ et Ses enseignements. Dans le Jewish Chronicle de Londres, le 1er décembre 1921 :

« …il est pratiquement impossible d’enseigner le Nouveau Testament d’un point de vue autre que celui du chrétien, car les Évangiles sont le message du christianisme. Nous devrions éduquer les jeunes Juifs avec de la littérature juive, pas avec de la littérature profane qui peut s’avérer nuisible et qui est littéralement destinée à la propagation d’une doctrine fondamentalement subversive envers le judaïsme. »

Voici quelques perles noires tirées du Talmud babylonien. Elles donnent une idée véritable de l’esprit qui anime le judaïsme :

« Ceux qui lisent les livres non canoniques [le Nouveau Testament] n’auront pas de part dans le monde à venir » (Sanhédrin 90a).

« Les Juifs doivent détruire les livres des [chrétiens] » (Shabbath 116a).

Vous croyez que les Juifs sont là pour aider les non-Juifs à parvenir au Royaume ? Si oui, c’est que vous ne connaissez pas l’opinion que se sont faite les rabbins rédacteurs du Talmud.

« Vous [les Juifs] êtes des êtres humains, mais les nations du monde ne sont pas des êtres humains, mais des bêtes » (Baba Mecia 114, 6).

« On regarde la maison du goï (non Juif) comme un parc de bétail » (Tosefta, Erubin VIII).

« Du Talmud (une prière dite à la veille de la Pâque, au jour présent) : “Nous Te supplions, O Seigneur, porte Ta colère sur les nations qui ne croient pas en Toi, et qui n’invoquent pas Ton nom. Laisse tomber sur elles Ta colère et inflige leur Ta colère. Chasse-les dans Ta colère et brise-les en morceaux. Soustrais-leur tous leurs os, O Seigneur. En un moment, mets en examen tous les incroyants. Détruis en un instant tous les ennemis de Ta nation. Arraches les nations indignes avec leurs racines, disperse-les et ruine-les. Détruis-les ! Détruis-les immédiatement, à l’instant même !” » ― (Pranajtis : Christianus in Talmuda e judeorum, citation tirée de la Synagoga judaica, p. 212. Minhagin, p. 23. Crach Chaim 480 Hagah).

« Ceux qui ne possèdent pas la Torah et les prophètes doivent être exterminés. Celui qui a le pouvoir de les tuer, qu’il le fasse ouvertement avec l’épée, sinon, qu’il use d’artifices jusqu’à ce qu’ils soient supprimés » (Schulchan Aruch : Choszen Hamiszpat, 425, 50).

Vous pensez que les Juifs ont un don pour les affaires ? Est-ce que vous savez que bon nombre mènent leur business avec un esprit tordu et sans scrupule pour les biens d’autrui ? Sachant ce que les Juifs pensent des goyim, croyez-vous qu’ils se montrent honnêtes dans leurs transactions avec eux ?

« Les biens des goyim sont comme le désert, celui qui s’y installe le premier y a droit » (Baba Batra, 14b).

« La propriété des goyim est comme une chose sans maître » (Schulchan Aruch : Choszen Hamiszpat, 116, 5).

« Si un Juif a planté son épée dans le sol d’un goï, il en est devenu entièrement le maître » (Baba Batra, 55a).

À ceux qui croient que l’orgueil peut avoir des limites, lisez ceci :

« Il est pire de protester contre les paroles des rabbins que contre la Torah » (Miszna, Sanhédryn XI, 3).

« Ceux qui changent les paroles des rabbins doivent mourir » (Erubim, 21b).

Ces rabbins ne craignent-ils donc pas Dieu ? Voyez-les se comparer avantageusement à leur Créateur :

« Les décisions du Talmud sont paroles du Dieu vivant. Jéhovah lui-même demande l’opinion des rabbins terrestres lorsqu’il y a des affaires difficiles au ciel » (Rabbin Menachem, Commentaires pour le Livre Cinq).

« Au ciel, Jéhovah lui-même étudie debout le Talmud : car il a trop de respect pour ce livre » (Tr. Mechilla).

Faut le faire, non ?! C’est d’une impudence phénoménale ! Dieu prenant conseil des rabbins concernant les problèmes célestes qui Lui sont trop difficiles ? Cette race tordue enseignerait le Dieu Tout-Puissant ?! Il y en a qui auront certainement des comptes à rendre à un moment donné !

S’ils n’ont que si peu de respect envers Dieu, peut-on en attendre davantage d’eux envers les Noahides ?

« Le fils de Noé qui vole un sans-le-sou doit être mis à mort, mais un Israélite peut faire du mal à un goï, car, là où il est écrit “Tu ne feras pas de mal à ton prochain”, il n’est pas dit “Tu ne feras pas de mal à un goï” » (Miszna , Sanhedryn, 57).

Quel contraste avec notre Seigneur Jésus-Christ qui a dit : « …tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton coeur, et de toute ton âme, et de toute ta pensée. 38Celui-ci est le premier et le grand commandement. 39Et le second semblable à celui-là, est : tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matthieu 22:37-39). Mais les rabbins, grâce à leur tradition, avaient déjà changé les commandements de Dieu, se passant de génération en génération des instructions orales carrément démoniaques. Voilà pourquoi Jésus n’a pas été tendre envers eux et les a vertement admonestés. (Lisez le chapitre 23 de Matthieu.) Depuis ce temps, les rabbins Lui en veulent et désirent détruire Son œuvre. Efforts inutiles, bien sûr, car les portes de l’enfer ne prévaudront point contre l’Église de Christ. Mais nous constatons aujourd’hui qu’ils essaient de toutes leurs forces…

À la lumière de tout cela, nous vous recommandons de lire ou de relire les Protocoles des Sages de Sion. Vous verrez que ces écrits collent étrangement à la réalité moderne. Avant de croire ceux qui veulent vous faire avaler qu’il s’agit d’un faux document inventé pour discréditer la race juive, prenez le temps de faire la part des choses, de les examiner vous-même et de vous faire votre propre opinion en en comparant les idées aux résultats qui vous entourent dans notre société moderne. Après cela, que croyez-vous pouvoir espérer des dirigeants juifs de la conspiration mondiale ? La toile est tissée et vous êtes les mouches qui allez vous faire prendre par ces araignées venimeuses, si Dieu ne vous montre pas le chemin étroit pour y échapper.

Aux véritables chrétiens qui persévèrent dans la foi, Dieu a promis de les conduire dans toute la vérité par le moyen de Son Esprit qui sonde même les profondeurs de Dieu. À tous ceux qui lisent ces lignes, je souhaite que notre Père au ciel vous éclaire et vous guide afin que vous ne soyez pas emportés à tout vent de doctrine et que vous ne soyez pas tentés de suivre le grand courant d’apostasie qui a déjà débuté dans bon nombre de congrégation où l’on commence à renier le sacrifice de Christ et Sa divinité. Ne soyez pas dans les ténèbres, aimez la vérité et persévérez jusqu’à la fin. C’est ainsi que vous recevrez la couronne et les récompenses que notre Seigneur et Sauveur vous réserve à chacun personnellement.

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[1] Noachiques : de Noé (comme « abrahamiques » qui se réfère à ce qui se rapporte à Abraham, ou « mosaïques » pour Moïse.

[2] Dans le judaïsme, il est interdit d’écrire le nom de Dieu ; c’est ainsi qu’en anglais, les Juifs écrivent G-d au lieu de God, imitant l’hébreu qui n’a pas de voyelles. En français, on ne peut écrire seulement D, alors le tiret et les voyelles viennent rappeler que, dans le judaïsme, l’on ne peut utiliser le nom de Dieu tel qu’il est. Un autre exemple de traditions juives étranges.