Est-ce que Dieu favorise une race plus que les autres ?

Dieu ne fait acception de personne

Traduction de l’infolettre de janvier 2018 de Power of Prophecy

Par Jerry Barrett

« En vérité, je reconnais que Dieu n’a point égard à l’apparence des personnes ; Mais qu’en toute nation, celui qui le craint et qui s’adonne à la justice, lui est agréable. »

(Actes 10:34-35)

Pendant plus de trente ans, Texe Marrs a été un ami, un enseignant et un mentor pour une multitude de chrétiens. Il m’a enseigné plus de dix-huit ans. Ce m’est un grand honneur que de l’appeler mon ami. À Power of Prophecy, nous allons continuer son héritage visant à dénoncer les malfaiteurs et à répandre la vérité.

Sous sa tutelle, je me suis éveillé aux actions subversives de ceux qui se déclarent « chrétiens », mais sont en fait des loups déguisés en brebis. J’ai également été mis au courant du sionisme et du programme « juif » qui mène le pays depuis près de cent ans.

Creusons la chose une minute. Près de cent ans ! Wow !

Le petit pays qui a été créé en territoire palestinien et reconnu par Harry Truman et Joseph Staline n’existe pas depuis bien longtemps. Toutefois, l’infiltration de son programme s’est fait à fond. Quiconque s’est trouvé en travers de son chemin a été éliminé, ostracisé et couvert de honte.

Comme preuve, voyez ce qui est arrivé à Harry Truman, John F. Kennedy, Richard Nixon, Spiro Agnew et Jimmy Carter. Tous se sont rebiffés contre le programme pro-sioniste — à différentes mesures — et l’on s’est chargé d’eux sommairement. Même Bill Clinton s’est vu forcé de tirer la ligne lorsqu’il a succombé à « l’Option Esther » connue sous le nom de Monica Lewinsky.

L’infiltration juive de l’Église d’aujourd’hui

Ce programme s’est, non seulement infiltré dans notre gouvernement et notre système d’éducation, mais il a également envahi l’église soi-disant « chrétienne ». Certains pasteurs ont même déjà commencé à célébrer les jours saints « juifs » et leurs paroissiens imitent souvent leurs pasteurs en répétant : « Bénissez Israël et vous serez béni, maudissez Israël et vous serez maudit. »

Malheureusement, ces mangeurs de balustre n’étudient pas leur Bible et copient plutôt leurs leaders ecclésiastiques. Certains des pasteurs, fraîchement sortis du séminaire, n’ont même jamais appris qu’il y a un Israël spirituel et un Israël physique. À cause de leur zèle à soutenir Israël, ils conduisent chacun de leurs membres à la perdition.

Ils se réfèrent rapidement à Genèse 12:1-3 : « Et l’Éternel avait dit à Abram … je te ferai devenir une grande nation … je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront… »

Chose triste, ils n’ont jamais étudié ni appris Hébreux 8:6-13 : « Mais maintenant Christ a obtenu un ministère d’autant plus excellent, qu’il est Médiateur d’une alliance plus excellente, et qui a été établie sur de meilleures promesses. En effet, si la première alliance avait été sans défaut, il n’y aurait pas eu lieu d’en établir une seconde. Car en leur adressant des reproches, Dieu dit aux Juifs : Voici, les jours viendront, dit le Seigneur, que je traiterai une alliance nouvelle avec la maison d’Israël, et avec la maison de Juda ; non une alliance comme celle que je fis avec leurs pères, au jour où les prenant par la main, je les tirai du pays d’Égypte ; car ils n’ont pas persévéré dans mon alliance, et je les ai abandonnés, dit le Seigneur. Or, voici l’alliance que je traiterai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit le Seigneur, je mettrai mes lois dans leur esprit, et je les écrirai sur leur cœur. Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ; et aucun n’enseignera plus ni son prochain ni son frère, en disant : Connais le Seigneur ; parce que tous me connaîtront, depuis le plus petit d’entre eux jusqu’au plus grand ; parce que je serai apaisé à l’égard de leurs injustices, et que je ne me souviendrai plus de leurs péchés, ni de leurs iniquités. En parlant d’une alliance nouvelle, il déclare ancienne la première ; or, ce qui est devenu ancien et a vieilli est près de disparaître. »

Pourquoi cette partie du livre aux Hébreux n’est-elle pas prêchée au lutrin ? Parce qu’elle va à l’encontre de l’enseignement pro-sioniste produit dans les séminaires et dans de nombreuses études théologiques de niveau universitaire. Et – que le ciel les en préserve – parce qu’ils craignent d’être qualifiés « d’antisémites ».

Que veut dire « antisémite » ?

Le terme « antisémite » est servi à toutes les sauces, ces jours-ci. Toute la gloire de la propagation de cette expression en revient à la Ligue Anti-Diffamation et autres groupements pro-Israél. Leur définition dérangée – quiconque parle en mal d’Israël ou des « Juifs » – s’est imprégnée dans notre société.

Le mot « sémite » original concerne un groupe linguistique. Cela n’a rien à voir avec la race ou l’ethnicité. Il inclurait donc les Éthiopiens, les pays arabes, les Iraquiens, les Syriens et d’autres encore. On pourrait aussi inclure les Juifs séfarades.

Les Khazars sont-ils sémites ?

Pourquoi le terme « antisémite » est-il attaché à quiconque parle contre Israël, le sionisme ou le judaïsme ? À cause du stigmate accolé à cette expression, la plupart de ceux que l’on appelle ainsi courberont l’échine et se confondront en excuses en demandant pardon.

Grâce aux recherches sur l’ADN, nous savons maintenant que la majorité des habitants de l’Israël moderne proviennent du Caucase, dans la partie sud de la Russie. On les appelle aussi des Khazars. Leur langue était le khazar, ce qui ne rencontre donc pas le critère établi par les linguistes pour être sémite.

L’émergence du sionisme chrétien

Dans les années 1940, le terme « judéo-chrétien » – le mélange des croyances judaïques et chrétiennes – fit partie de la culture américaine populaire. Cela a également conduit à l’émergence du sionisme chrétien, populaire chez les évangéliques américains. John Hagee personnifie cet enseignement apostat. Son livre, À la défense d’Israël, déclare que Jésus n’est pas venu en tant que Messie. Comment peut-on encore considérer cet homme un « chrétien » ?

Le mouvement Identité Chrétienne a récemment gagné en popularité. Il déclare dans son idéologie que tous ceux qui ne sont pas de race blanche seront, soit exterminés, ou deviendront esclaves de la race blanche dans le royaume céleste sur terre. Sa doctrine énonce aussi que les gens de couleur n’atteindront jamais le salut.

Qui est le Peuple élu de Dieu ?

Ainsi, qui est vraiment le « Peuple élu » de Dieu ? La Bible le décrit-elle ? Pourquoi est-il si difficile de comprendre la Parole de Dieu en la matière ?

Galates 3:26-29 nous dit qui sont Ses Élus : « Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n’y a plus ni esclave ni libre ; il n’y a plus ni homme ni femme ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Et si vous êtes de Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, et les héritiers selon la promesse. »

Si vous étudiez la Parole de Dieu, vous noterez que, lorsqu’un point important est apporté, vous allez trouver plus d’une référence s’y rattachant dans la Bible. Donc, voyons ce que Romains 10:12-13 a à dire : « Car il n’y a point de distinction entre le Juif et le Grec, parce que tous ont un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur, sera sauvé. »

Un véritable chrétien peut-il être raciste ?

Si l’on suit tout le conseil de Dieu, alors être raciste est impossible. Dans le livre des Actes, Pierre dit : « Je reconnais que Dieu n’a point égard à l’apparence des personnes ».

Tous ceux qui en appellent à Jésus-Christ comme de leur Sauveur, ceux-là sont Ses Élus. Nous sommes un peuple particulier, un sacerdoce royal. Nous devons aller l’annoncer et répandre Son message partout.

Il n’y a pas de haine dans la Parole de Dieu. Ceux qui sont engendrés aimeront leurs frères comme eux-mêmes. Nous avons pour mission d’apporter la lumière de Jésus à tous ceux qui ont des oreilles pour entendre.

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« Célébration » de cent ans de mensonges et de menaces bolcheviques et sionistes

Par Steve Reilley

Il y a cent ans, le sionisme et le bolchevisme célébraient leurs plus grandes conquêtes. La première, une déclaration concernant la Palestine, de la part du pouvoir colonial dirigeant dans le monde, et l’autre, la destitution du Gouvernement Provisoire de Russie – d’énormes accomplissements, selon tous les standards.

Le bolchevisme et le sionisme attinrent leurs sommets comme il convient durant la plus grande guerre à ce point de l’histoire et ils allèrent jouer un rôle majeur à l’arrivée de la Seconde Guerre Mondiale.

Et, bien que la Première Guerre Mondiale faisait rage dans de nombreux coins du globe et créait une situation fluctuante au sein de beaucoup de capitales européennes, les citoyens de l’Occident croyaient leur monde civilisé. Pourtant, le bolchevisme et le sionisme faisaient fi des lois internationales et des standards pour lesquels les occidentaux supportaient leurs leaders.

Dit simplement : Comment ?

Sans que les citoyens ne le sachent, leurs leaders répondaient, non pas au peuple, mais à une cabale inexplicable et invisible, bien plus puissante que n’importe quel pays (Voir Milieu d’intrigue, par Texe Marrs). Le leader d’un pays fut-il trouvé, jusqu’à un certaine point, réfractaire à « jouer le jeu », comme le Premier Ministre H. H. Asquith de Grande-Bretagne, il était tout simplement « mis sur le banc » au profit d’un remplaçant convenable, comme, dans ce cas-ci, David Lloyd George, qui agit exactement tel qu’ordonné.

Mais il existe un aspect beaucoup moins facile à contrôler qu’un seul homme au-dessus d’un pays. Le flot d’information donné au public.

Le public du début du 20e siècle s’en remettait au reportage des médias écrits pour connaître les événements mondiaux. Alors qu’il y a aujourd’hui des avenues additionnelles par lesquelles l’on peut obtenir les « nouvelles », il y a cent ans, les histoires souvent citées provenaient des agences de presse et des journaux quotidiens majeurs.

Dans La controverse de Sion, Douglas Reed reconnaît le problème comme suit : « De loin, le plus grand obstacle que rencontraient les ambitions du sionisme s’avérait le reportage dans la presse des faits qui se passaient en Palestine, ainsi que des commentaires éditoriaux. »

Initialement, Lord Northcliffe, important nabab de la presse de Grande-Bretagne, représentait le « plus grand obstacle » face à la machine de propagande sioniste. Reconnu comme « indépendant et non achetable », Northcliffe était propriétaire majoritaire de multiples journaux britanniques qui représentaient 40 % du lectorat quotidien.

En 1920, l’intrépidité de Northcliffe lui valut l’inimitié d’un grand nombre de Juifs puissants. Ayant pris connaissance des Protocoles des Sages de Sion récemment traduits, Northcliffe publia des extraits du livre. Sous le titre de « Le péril juif, un inquiétant opuscule qui exige une enquête », Northcliffe déclara : « Une enquête impartiale de ces prétendus documents et de son histoire serait des plus désirables … allons-nous rejeter toute l’affaire sans enquête et laisser l’influence d’un tel livre opérer sans vérification ? »

Vers la même époque, Northcliffe eut vent de ce qui se produisait en Palestine et se donna pour mission de faire connaître la vérité au public. Il se rendit en Terre Sainte avec JMN Jeffries, un éminent journaliste de la Première Guerre Mondiale, et vit de ses propres yeux ce qui s’y passait. Les dépêches de Jeffries dans The Times fournissaient une illustration bien différente de ce qu’offrait la propagande sioniste apparaissant dans les autres journaux anglais.

Mais les choses arrivèrent rapidement au point critique lorsque l’éditeur de Northcliffe au Times, Wickam Steed, refusa d’imprimer d’autres histoires en rapport avec la Palestine. Mystérieusement, en dedans de quelques mois, le grand nabab des journaux, Northcliffe, mourait.

Près de deux décennies plus tard, Jeffries publia un livre, Palestine, la réalité, mais il ne rejoignit qu’une infime fraction de lecteurs.

La nature étrange de la chute et de la mort de Northcliffe en dit beaucoup sur le groupe extrêmement puissant qui opère au-dessus des lois, capable d’éliminer des personnages très connus sans aucune conséquence. Il est clair que ce groupe désire le succès du sionisme.

Inutile de dire que dès lors, les journaux chantèrent tous en harmonie parfaite en ce qui a trait à la Palestine. Les groupements sionistes apportèrent leur « aide » en fournissant des articles prêts à imprimer. Une tactique à l’usage très répandu aujourd’hui.

Robert Wilton, correspondant pour le Times en Russie pendant plus de quinze ans, rapporta la révolution telle qu’il la vit. Ses dépêches montraient on ne peut plus clairement le ratio extrêmement élevé de Juifs dans les postes de leadership.

Wilson fut traité de la même manière qu’il l’aurait été aujourd’hui. Une plainte alléguant de l’antisémitisme fut déposée par un fonctionnaire du Bureau Britannique des Affaires Étrangères. À partir de là, ses dépêches se retrouvèrent dans les corbeilles à papier du Times plutôt que dans ses colonnes. Après quelques années, homme brisé, Wilton mourait. Encore une fois, le révélateur de vérité était éliminé en servant d’exemple.

Aujourd’hui, le contrôle de l’information est encore mieux concerté. La juiverie organisée contrôle 96 % des médias mondiaux. Cependant, avec la venue de l’Internet, plus de gens peuvent employer des sources alternatives afin de trouver la vérité. Ce qui a conduit à la censure de la part de Google et d’autres dans une vaine tentative de contrôler ce que le public en général peut apprendre. Lorsque le Président Trump vocifère « FAUSSES NOUVELLES ! », il pourrait parler pour Jeffries, Wilton et d’autres révélateurs de vérité que l’on a piétinés sommairement.

http://www.texemarrs.com/012018/no_respecter_of_persons.htm




L.02 – La matrice de Gog



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Traduit par Roch Richer

Gog, de Magog, a-t-il déjà conquis la terre d’Israël ?

Ézéchiel 38-39 prophétise que, dans les derniers jours, Gog, dirigeant démoniaque de la terre de Magog, va monter contre Israël, lequel sera mis au monde du sein des nations. Il fondra comme une tempête et conquerra le pays aux villages sans murs, et il le retiendra en otage.

Cette conquête de Gog et de ses armées tournera éventuellement en spirale, se transformant en une guerre mondiale si catastrophique que Dieu Lui-même devra y mettre fin.

Qui est Gog ? Où est la terre de Magog ? Maintenant, grâce à de nouvelles et stupéfiantes découvertes archéologiques et génétiques, nous possédons d’incroyables preuves qu’en fait, Magog est situé dans le sud de la Russie, dans le Caucase, et Gog est le nom du grand dirigeant du Royaume de la Khazarie. La Khazarie est la terre de peuples turcs non sémites qui se proclament faussement juifs. De la Khazarie du 8e siècle, ces peuples païens, s’étant convertis au judaïsme, s’enfuirent en Europe pour échapper aux guerriers envahisseurs russes.

En 1948, les Khazars arrivèrent en Palestine où ils conquirent les paisibles Palestiniens et mirent sur pied un prétentieux nouveau « Royaume d’Israël ». Les Khazars, se disant « Juifs », proviennent de Magog. Conduits par le Gog de Satan dans les derniers jours, ils sont destinés à plonger le monde entier dans des bains de sang, le chao et la guerre. Ézéchiel 38-39 s’accomplit devant nos yeux !

daniel-patrickDaniel Patrick est né au Missouri et a servi dans la Marine américaine durant la guerre du Vietnam. Il a étudié les arts en Europe, a gradué au Collège de la Bible, a lu des centaines de livres, a écouté des milliers de sermons et en est venu à la conclusion que le sionisme chrétien n’est pas biblique et qu’il a terriblement éconduit le christianisme. Après presque quinze ans de recherches, beaucoup de prière et la conduite du Saint-Esprit, ce livre, La matrice de Gog, fut créé.

Cliquez ici pour lire le livre




D.171 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 8

 

par Guy Richer

Deuxième et Troisième Guerres Mondiales

DEUXIÈME GUERRE MONDIALE

Les Nazis, inspirés des Jésuites

L’Église catholique est comme une cinquième colonne dans chaque pays où elle est située. « Cinquième colonne » est un terme employé pour décrire un groupe envoyé pour amollir le pays qu’on veut envahir. Par exemple, dans la France de la Deuxième Guerre Mondiale, la cinquième colonne catholique, appelée…

« Action catholique », opéra au nom des nazis avant et pendant l’invasion allemande de la France. L’Action catholique fit la propagation du fascisme vis-à-vis du peuple pour que celui-ci l’accepte et ne résiste pas à l’invasion de l’Allemagne. Elle fut plutôt efficace… la France tomba en 30 jours ! Pierre Laval, comte du pape et président du gouvernement de Vichy, dit ce qui suit à la Radio nationale de France, le 2 janvier 1943 :

« Je souhaite la victoire de l’Allemagne. Il paraît étrange, n’est-ce pas, d’entendre le vaincu souhaiter la victoire du vainqueur. C’est que nous ne vivons pas une guerre comme les autres. Nous sommes dans une véritable guerre de religion ! Oui, une guerre de religion. »

L’Action catholique convainquit si efficacement les catholiques belges que le fascisme était une bonne chose que huit belges sur dix ayant collaboré avec les Nazis allemands étaient catholiques.

Le catholique romain Otto Strasser fut un des fondateurs du Parti nazi. Strasser révéla, dans son livre intitulé Hitler et moi, que l’infâme bouquin de propagande nazi Mein Kamf, censément écrit par Adolf Hitler, ne fut pas, en fait, rédigé par Hitler. D’après Strasser, Mein Kamf fut anonymement écrit pour Hitler par un prêtre jésuite du nom de Bernhardt Stempfle, sous l’évidente directive de von Ledochowsky, le Jésuite Général.

Hitler et ses nazis travaillèrent de concert avec le Vatican par l’intermédiaire des Jésuites. En 1933, l’Allemagne signa un concordat avec le Vatican.

Franz Von Papen, représentant d’Hitler à la signature du concordat, déclara que « les termes généraux du Concordat furent plus favorables que tous les autres accords similaires signés par le Vatican (…) le Chancelier Hitler me demanda d’assurer le secrétaire d’État papal (le cardinal Pacelli, qui devint plus tard le pape Pie XII) qu’il musellerait immédiatement le clan anticlérical. » Il y avait, à ce moment-là, 45 camps de concentration en Allemagne, détenant 40 000 prisonniers. Apparemment, une partie des accords voulaient qu’Hitler balaie les forces anti-vaticanes et Rome allait soutenir l’Allemagne nazie. Ce devait être une Inquisition des temps modernes.

Après être devenu le leader fasciste d’Italie, Mussolini prit note d’une réunion qu’il eut avec le pape Pie XI dans laquelle il citait le pape qui aurait dit :

« Je suis heureux que la compatibilité ait été rétablie entre le Parti fasciste et l’Action catholique. Mieux, les difficultés ont disparu pour les catholiques. Or, je ne vois, dans toute la doctrine fasciste — avec son affirmation des principes de l’ordre, de l’autorité et de la discipline — rien qui soit contraire aux conceptions catholiques. »

Après avoir signé le concordat avec l’Allemagne nazie, le pape Pie XI se mit à y réfléchir. Il vit la guerre se profiler à l’horizon et décida de dénoncer publiquement Hitler et Mussolini. Il s’arrangea pour rendre sa dénonciation publique le 12 février 1939, à la veille de la Deuxième Guerre Mondiale. Cela aurait eu un effet dévastateur sur les plans de conquête de l’Europe par les Allemands et les Italiens, parce qu’un tiers des Allemands étaient fervents catholiques, sans parler des millions d’autres catholiques partout en Europe. Toutefois, Pie XI devint soudainement très malade et mourut le 10 février 1939, moins de 48 heures avant qu’il ait prévu donner son discours public dénonçant le nazisme et le fascisme. Bon nombre croient que Pie XI a été empoisonné. Toutes les copies du discours que se proposait de donner Pie XI furent détruites dans les minutes précédant sa mort. Même le manuscrit original écrit de sa main disparut mystérieusement du bureau papal.

Le Secrétaire d’État du pape, le cardinal Pacelli, était une des personnes ayant libre accès à l’étude papale. Le cardinal Pacelli négocia le concordat avec l’Allemagne nazie et devint le successeur du pape Pie XI, sous le nom de pape Pie XII. Il fut un ardent supporteur des Nazis.

Si Pie XI, par la force des choses, et son continuateur Pie XII ne se départirent jamais de leur bienveillance pour le Führer qu’ils avaient aidé à élever au pouvoir, il faut reconnaître que celui-ci, de son côté, remplit exactement les conditions du pacte qui le liait au Vatican.

Les anticléricaux, qu’il avait expressément promis de « juguler », s’en allèrent rejoindre, dans les camps de concentration, les libéraux et les Juifs. Pour ceux-ci, on sait comment le chef du IIIe Reïch avait réglé leur sort : l’extermination totale de la race par le massacre pur et simple, quand on ne jugeait pas plus avantageux, avant de les « liquider », de les faire travailler jusqu’à extinction de leurs forces. En ce cas, la « solution finale» » était seulement différée.

Mais, voyons d’abord comment une personnalité particulièrement « autorisée », c’est-à-dire, Franco, chevalier de l’Ordre du Christ, a confirmé en termes exprès la collusion vaticano-nazie. Voici, d’après Réforme, ce que publiait la presse du dictateur espagnol, le 3 mai 1945, jour de la mort d’Hitler :

« Adolf Hitler, fils de l’Eglise catholique, est mort en défendant la Chrétienté. On comprendra donc que notre plume ne trouve pas de mots pour pleurer sa mort, alors qu’elle en avait tant trouvé pour exalter sa vie. Sur ses restes mortels se dresse sa figure morale victorieuse. Avec la palme du martyre, Dieu remet à Hitler les lauriers de la Victoire. »

Dans cet éloge funèbre du chef nazi, retentissant comme un défi aux alliés vainqueurs, c’est la voix même du Saint-Siège qui s’exprime sous le couvert de la presse franquiste. Autant dire un communiqué du Vatican, via Madrid.

Certes, le héros disparu avait bien mérité de l’Eglise romaine et on ne nous le cache pas. Il l’a servie avec fidélité : tous ceux que cette Eglise lui avait désignés comme ses adversaires en surent quelque chose. Du reste, ce bon « fils » n’hésitait pas à reconnaître ce qu’il devait à sa Très Sainte Mère, et tout particulièrement à ceux qui se sont institués ses soldats dans le monde.

Hitler modela l’organisation de son Parti nazi sur celle de l’Église catholique. D’ailleurs, il déclara :

« J’ai beaucoup appris de l’Ordre des Jésuites (…) Jusqu’à maintenant, il n’y a rien eu de plus grandiose sur terre que l’organisation hiérarchique (sic) de l’Église catholique. J’ai transposé une bonne part de cette organisation dans mon propre parti. Je vais vous dévoiler un secret (…) Je suis en train de fonder un Ordre (…) dans les “burgs” de mon ordre, nous allons susciter une jeunesse qui va faire trembler le monde. »

Hitler coupa court et expliqua qu’il ne pouvait en dire davantage. Il ne révéla pas l’identité de la redoutable organisation à ce moment-là. En fait, il se référait à la Schutzstaffel, plus connue en tant que les SS. Le général Walter Schellenberg, ancien chef du contre-espionnage allemand expliqua, après la guerre :

« L’organisation SS a été constituée par Himmler selon les principes de l’Ordre des Jésuites. Leur réglementation et les Exercices spirituels prescrits par Ignace de Loyola ont servi de modèle que Himmler tenta de copier exactement. »

Hitler, Goebbels, Himmler et beaucoup de membres de la vieille garde du Parti nazi étaient des catholiques romains. Nous devons souligner que chacun d’eux, comme une majorité du leadership nazi, avaient des ancêtres juifs. Pour un, Hitler, par une étrange ironie du sort, était le petit-fils du baron Rothschild, car le père d’Adolf, Alois Hitler, était le fils illégitime de Maria Anna Schicklgruber et du baron de la plus célèbre famille juive ashkénaze du monde bancaire. Paradoxe qui finit par expliquer bien des choses.

Franz Von Papen, ancien chancelier d’Allemagne, chambellan secret du pape et ressort moteur du concordat entre l’Allemagne et le Vatican, a dit :

« Le Troisième Reich est le premier pouvoir mondial qui, non seulement reconnaît, mais met également en pratique les grands principes de la papauté. »

Qu’est-ce que les apôtres de l’obéissance aveugle, les Jésuites, ont écrit en regard du mouvement nazi ? Ils soulignèrent à chaque occasion la réalité voulant que le Mouvement nazi et le catholicisme romain soient une seule et même chose. Par exemple, le théologien jésuite Michaele Schamaus, dans L’Empire et l’Église, sa série d’études de 1933 sur le sujet, a dit ce qui suit :

« L’Empire et l’Église est une série d’écrits qui devrait aider l’érection du Troisième Reich, car il réunit un état national-socialiste au christianisme catholique (…) Le mouvement national-socialiste est une protestation des plus vigoureuses et massives contre l’esprit des 19e et 20e siècles (…) Un compromis entre la foi catholique et la pensée libérale est impossible (…) Rien n’est plus contraire au catholicisme que la démocratie (…) Le réveil de la signification de la “stricte autorité” ouvre à nouveau le chemin à la véritable interprétation de l’autorité ecclésiastique (…) La défiance contre la liberté se trouve dans la doctrine catholique du péché originel (…) Les commandements du national-socialisme et ceux de l’Église catholique ont les mêmes visées. »

Kurt Gerstein, membre clandestin de l’opposition évangélique contre Hitler, devint officier SS dans le but de découvrir le secret des camps d’extermination et de le dire au monde. Il apporta son rapport au représentant personnel du pape à Berlin. Quand l’attaché du pape s’aperçut pourquoi Gerstein voulait le voir, il refusa de le recevoir. Il était primordial que le Vatican cache son implication. Il ne pouvait se permettre que quelqu’un parcoure le monde en disant que le pape connaissait le génocide et qu’il demeurait quand même silencieux. Le pape n’avait pas besoin que Gerstein lui dise ce qui se passait en Allemagne. Il y avait des dizaines de milliers de prêtres dans toute l’Europe. Ils voyaient des maisons vidées, des villages entiers déportés. Ils entendaient les confessions des SS nazis catholiques, et des renseignements de première main étaient envoyés au Vatican par ses propres diplomates. Les prêtres catholiques, suivant les ordres reçus du Vatican, prenaient une part active dans l’extermination des Juifs.

Dans son ouvrage de 1937 appelé Grande Apologétique, l’abbé catholique Jean Vieujean déclare :

« Pour accepter l’Inquisition dans son principe, il suffit d’avoir une mentalité catholique, et c’est ce qui manque à beaucoup de chrétiens… L’Église catholique n’a pas de ces timidités. »

Que celui qui a des yeux voit au-travers de la pieuse façade de Rome. Que celui qui a de la sagesse comprenne le danger posé par Rome et les Jésuites.

L’Église catholique romaine ne change jamais !

La Troisième Guerre Mondiale

Les Juifs sionistes ont réussi à empêcher toute révélation au sujet de leur implication dans le projet d’un Nouvel Ordre Mondial communiste en attribuant à quiconque exposerait leurs efforts l’étiquette d’antisémite. Ce que peu comprennent, c’est que ceux qui proclament être l’objet d’antisémitisme ne sont pas Sémites du tout. Les Sémites sont ceux qui descendent de Sem, le fils aîné de Noé. La plupart des Juifs vivant en Israël et partout dans le monde, aujourd’hui, sont des Européens de l’est convertis à une religion qu’ils déclarent être du judaïsme, mais qui, en fait, est du talmudisme babylonien. Les Européens qui se convertirent ultérieurement à cette forme babylonienne de judaïsme sont connus sous le nom de Juifs ashkénazes, descendants du peuple des Khazars.

Le Dr Benjamin Freedman, ancien Juif qui, par la grâce de Dieu, s’est converti au christianisme, déclare que les Khazars étaient une nation païenne dont le culte religieux était un mélange de culte phallique et d’autres formes d’idolâtrie. Au 7e siècle, leur roi, Bulkan, choisit le talmudisme, que la plupart appellent maintenant judaïsme, comme religion d’état. Les Juifs Khazars sont aujourd’hui appelés « Yiddish ». Or, le yiddish est l’ancienne langue parlée par le peuple Khazar et n’a rien à voir avec l’hébreu. Dans l’Apocalypse, Dieu Se réfère à ces Juifs talmudiques ashkénazes comme des Juifs qui se disent Juifs, et qui n’en sont pas, mais qui sont plutôt la « synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9 ; 3:9).

Ces « fils d’Askénaz » modernes ne peuvent en aucune façon prétendre à la lignée sémite. Jamais n’ont-ils été de la descendance d’Abraham. Ce sont donc des Gentils, des païens et leur propre Talmud les condamne ! N’est-ce pas étrange ?

Les Juifs ashkénazes sionistes forment un peuple sans allégeance à aucune nation.[1] Leur objectif premier est de s’emparer du monde entier. Pour avoir une idée de l’infâme objectif de ces talmudistes, lisons la lettre qu’écrivit Baruch Levy à Karl Marx, en 1879 :

« Le peuple juif dans son entier sera son propre messie. Il achèvera sa domination mondiale par la dissolution des autres races, par l’abolition des frontières, l’annihilation de la monarchie et l’établissement d’une république mondiale dans laquelle les Juifs exerceront partout leur privilège de citoyenneté. Dans ce nouvel ordre mondial, les enfants d’Israël fourniront tous les dirigeants sans rencontrer d’opposition. Les gouvernements des différents peuples formant la république du monde tomberont sans difficulté dans les mains des Juifs. Il deviendra alors possible aux dirigeants juifs d’abolir la propriété privée et de faire partout usage des ressources de l’état. Ainsi, les promesses du Talmud seront accomplies, dans lesquelles il est dit que, lorsque le temps messianique sera venu, les Juifs auront tous les biens du monde entre leurs mains. »

À côté de ce que nous concoctent ces messieurs, les atrocités du 20e siècle apparaîtront comme de joyeuses rigolades. Le troisième millénaire promet d’être très mouvementé !

À force d’avoir déifié l’argent, nous sommes en passe d’en devenir les esclaves.

Les Protocoles des Sages de Sion sont l’œuvre des juifs sionistes kabbalistes, quoiqu’ils s’en défendent. Il s’agit seulement de déterminer s’ils le concoctèrent sous le couvert des Jésuites ou si ce sont directement des rabbins qui l’ont rédigé. Certains indices à l’intérieur même des Protocoles laissent sous-entendre que ce serait des Jésuites, mais cela revient au même, les Jésuites étant fondamentalement sionistes, kabbalistes et talmudistes. Car les Protocoles véhiculent l’esprit du Talmud et de la kabbale ; ils reprennent exactement les idées imprégnant cette Tradition maudite. Des écrits antérieurs aux Protocoles prouvent que ceux-ci proviennent des Khazars. Je reviendrai sur ce sujet pour apporter plus de précision un peu plus loin. Précisons, cependant, que ce ne sont pas tous les Juifs qui sont sionistes, loin de là.

Qu’est-ce que le sionisme ? C’est la tentative de réintégration de la diaspora juive dans un état israélien. Or, de nombreux Juifs, surtout parmi les orthodoxes, sont absolument contre un état israélien séculier. Leur compréhension de la Torah leur démontre qu’il ne doit pas y avoir d’effort de la part du peuple juif pour amener le royaume du Messie avant que Celui-ci revienne l’installer Lui-même. Donc, créer un état juif, c’est aller à l’encontre de la volonté divine. Toutefois, la majorité des sionistes ne sont pas judaïstes et pratiquent la kabbale, sous-produit du babylonisme prônant un Gouvernement mondial unique sous la dictature d’un messie humain.

En étudiant les plans sionistes du Nouvel Ordre Mondial, nous avons découvert qu’ils ne se contentent pas d’annoncer une guerre mondiale, mais qu’ils prévoient aussi toute une série de désastres qui doivent accompagner cette guerre :

–> Un embargo pétrolier de l’OPEP.
–> Un effondrement des économies mondiales.
–> Le terrorisme dans nos villes.
–> Des désastres naturels, y compris des épidémies, des famines et des tremblements de terre.
–> Des émeutes urbaines.
–> La confiscation des armes détenues par les particuliers.
–> L’introduction de troupes étrangères sur notre sol national, sans doute en raison de la destruction d’une bonne partie de nos forces militaires dans des conflits à l’étranger.
–> La suspension de nos libertés et de notre gouvernement constitutionnel.
–> La cession de notre souveraineté à une entité supranationale, ce qui peut présupposer l’assassinat de certains de nos dirigeants.

Cette Troisième Guerre Mondiale est déjà planifiée par le Nouvel Ordre Mondial. Il y a de nombreux « points chauds » en ce moment sur la terre impliquant des pays possédant l’arme nucléaire.

Nous commençons de plus en plus à voir à travers les mailles de cette toile d’araignée globale et nous comprenons aussi que ces conflits ont été créés artificiellement afin de nous mener à des étapes subséquentes.

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[1] Les « Séfarades » descendent également des Khazars, mais de ceux qui fuirent la Khazarie, lors de l’invasion russe, en s’exilant principalement en Espagne. Ignace de Loyola, créateur des Jésuites, serait un descendant direct de la famille royale khazare qui s’y installa.




D.104 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 19

 

Conclusion

Mon cher Docteur Goldstein, cela vous chagrine sans doute autant que moi de voir les valeurs morales de notre pays sombrer de jour en jour, vers des points toujours plus profonds. Il faudrait être bien aveugle pour ne pas constater cette chute vertigineuse. Or les valeurs morales de notre nation, que ce soit en politique, en économie, ou dans les domaines sociaux ou spirituels, sont les facteurs qui influenceront directement la position que nous occuperons dans le monde de demain. Tout se passera comme si les 94 % du reste de la population mondiale, nous auront rétroactivement jugés sur ce seul critère. Les 6 % de la population mondiale que nous sommes, ne conserveront leur position prépondérante dans le monde, qu’en s’appuyant sur les valeurs morales qui nous ont toujours portés jusqu’ici. Car en dernière analyse, ce sont les valeurs qui commandent le comportement et les activités d’une nation. Les valeurs morales sont le moule dans lequel se construit lentement le caractère d’une nation. Il n’y aura pas de miracles, sans ce moule on ne retrouvera jamais notre grandeur. Il ne faut jamais l’oublier.

Il y a tant de grandes choses que nous avons réalisées, et dont cette terre chrétienne peut être très fière. Mais nous avons fait des choses lamentables. Et la détérioration des valeurs morales est la cause de notre psychose actuelle qui se définit ainsi :

« Faire le plus d’argent possible ».

« Avoir le plus de fun possible ».

Aujourd’hui chez nous, il semble qu’il n’y ait plus que ces deux seules choses qui comptent.

Mon cher Docteur Goldstein, combien connaissez-vous de personnes, dans votre entourage, qui incluent à leur tâche quotidienne quelques petits services, ou quelques petits sacrifices, pour la défense de ces droits inestimables que nous tenons du Père Éternel, et qui dès la naissance font de nous des Américains libres, sur le sol libre des États-Unis d’Amérique ? Quels services ? Quels sacrifices ?

À très peu d’exceptions près, cette génération semble regarder toutes choses comme ayant plus d’importance que la responsabilité que nous porterons envers les générations futures pour la trahison de notre foi, et pour la vente du christianisme à ses ennemis consacrés. En outre, il ne faut pas se leurrer, le sabotage des valeurs morales de notre pays est davantage une phase de leur conspiration qu’un accident aléatoire dans la marche de l’humanité vers de meilleures conditions d’existence… Au cours des dernières décennies, les rênes de cette nation sont toujours tombées dans les mains des personnes les moins dignes de remplir cette responsabilité, et les plus engagées dans la conspiration. La situation actuelle est le résultat de leurs efforts ininterrompus pour fabriquer des « prostitués chrétiens de sexe masculin » qui puissent s’infiltrer partout, et devenir les éléments visibles de leur entreprise de démolition souterraine. Un très grand nombre de ces « prostitués chrétiens de sexe masculin » sont éparpillés un peu partout dans le pays, dans les institutions publiques, pour la plus grande sécurité de la foi chrétienne, et pour la stabilité politique, sociale, et économique, de notre pays…

Vous allez sans doute me demander ce qu’est « un prostitué chrétien de sexe masculin » ?… Et bien « un prostitué chrétien de sexe masculin » est un mâle qui offre les avantages de son anatomie à celui qui lui posera d’une manière conséquente la question : « C’est combien ? » ; exactement de la même manière que la femelle de cette espèce offre les avantages de son anatomie à toute personne qui lui posera de manière conséquente la question : « C’est combien ? ». Des milliers de ces « chrétiens-travestis » circulent incognito dans tous les axes de la société civile ; et pour un peu d’argent ou de pouvoir, se prêtent délicieusement aux exigences d’une propagande pernicieuse. Ils s’y donneraient même parfois par pur plaisir, jusqu’à en crever. Et leurs intrigues finissent par ronger lentement, mais sûrement, la moralité de la nation. Ce danger pour la foi chrétienne ne pourra jamais être surestimé. Ce péril pour la nation ne pourra jamais être sous estimé. Le clergé doit se maintenir dans un état d’alerte permanent en ce qui concerne les « chrétiens-travestis ».

Le plus grand crime de tous les crimes de toute l’histoire (le crime des crimes si vous voulez), l’iniquité qui dépasse toute mesure sur le plan de la politique internationale, a vu le jour en Palestine, il y a quelques années, presque par la seule conséquence de l’intervention des États-Unis, sous l’instigation de l’Organisation Sioniste Internationale, dont le quartier général se trouve à New York. Cette intervention des États-Unis du côté des agresseurs illustre mieux que tout autre exemple la puissance que peuvent avoir sur notre gouvernement ces « chrétiens travestis », qui agissent impunément pour le compte des conspirateurs sionistes… Cette intervention fut la page la plus sombre de toute notre histoire.

La responsabilité d’avoir voulu se compromettre dans cette cause a-chrétienne, anti-chrétienne et non-chrétienne, peut être entièrement inscrite au passif du clergé chrétien. Ce sont eux les seuls coupables de ce crime infernal, commis au nom de la charité chrétienne. Chaque dimanche, d’une saison à l’autre et d’une année sur l’autre, le clergé nous a hurlé dans les oreilles que notre « devoir de chrétien » était de soutenir la conquête sioniste de la Palestine. C’est à nous, les 150 000 000 de chrétiens qui vont régulièrement à la messe, que le clergé a dit cela, vous le savez bien. Maintenant, vous connaissez l’expression : qui sème le vent…

Les 150 000 000 de chrétiens des États-Unis ont été soumis à une très haute pression de la part du clergé, pour qu’ils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du « retour » de ces « Juifs » d’Europe orientale dans leur « patrie » de Palestine… « Juifs » prétendus et autoproclamés, qui étaient en réalité les descendants des Khazars. Le clergé nous a sommés de considérer les « Juifs » d’Europe orientale (prétendus ou autoproclamés tels), comme étant le « peuple élu » par Dieu, et que la Palestine était leur « Terre Promise ». Mais en vérité notre clergé savait pertinemment ce qu’il en était. Mon cher Docteur Goldstein, vous pouvez être bien certain que c’est leur cupidité et non leur stupidité qui les a poussés à nous cacher la vérité.

Comme la conséquence directe des activités de ces « chrétiens-travestis », travaillant pour le compte des sionistes, et à l’encontre de toutes les lois internationales, à l’encontre de la justice et de l’équité la plus élémentaire, les 150 millions de chrétiens des États-Unis d’Amérique demandèrent, à peu d’exception près, que le Congrès mette en œuvre tout le prestige et toute la puissance de notre nation, sur les plans diplomatiques, économiques et militaires, pour garantir un résultat heureux au programme sioniste de conquête de la Palestine. Nous sommes directement responsables.

C’est un fait historique bien établi que la participation active des États-Unis à la conquête de la Palestine par les sionistes, fut la condition nécessaire de son succès. Sans la participation active des États-Unis sous l’instigation des sionistes, il est certain que les sionistes n’auraient jamais entrepris la conquête de ce pays par la force des armes. Et la Palestine d’aujourd’hui serait un état indépendant et souverain, que le processus de décolonisation aurait transformé en une nation autodéterminée. Cela fut empêché par le versement de millions de dollar aux « chrétiens-travestis », sur une échelle qu’un novice en cette question de corruption aurait passablement de difficultés à concevoir.

En anticipant sur votre aimable permission, je voudrais soumettre maintenant à votre attention quelques-uns de mes commentaires relatifs à votre dernier article, paru dans le numéro de septembre du Bulletin A.P.J., sous le titre : « Ce que pensent les Juifs aujourd’hui ». Mon cher Docteur Goldstein, sachez que je pense très sincèrement pouvoir apporter une modeste contribution à votre réussite dans le travail de valeur que vous poursuivez face à tant d’adversités. Mes réactions à ce que vous déclarez dans votre article pourraient se révéler pour vous d’un grand secours, et c’est dans ce seul esprit que je les ai rédigées ; puis-je donc en conséquence vous demander de leur accorder la juste considération qu’une telle intention mérite ? Je crains que vous n’ayez le nez si près du problème, mon cher Docteur Goldstein, que vous ne pouvez plus le considérer dans toute sa véritable étendue. Je vous invite donc à accepter de ma personne l’expression très sincère d’un point de vue extérieur, qui pourrait vous être d’une grande assistance, si toutefois vous vouliez adapter vos prises de position d’hier aux dures réalités d’aujourd’hui, ainsi qu’aux événements de demain ; et j’ai la naïveté de croire que vous me ferez confiance.

Vous admettrez avec moi, mon cher Docteur Goldstein, que ce qu’on appelle « les Lois de la Nature » sont des choses irrévocables. « Les Lois de la Nature », qu’elles nous plaisent ou non, ne se votent pas, elles ne s’amendent pas, elles ne s’abrogent pas. Eh bien, je vous affirme que l’une de ces lois de la nature est la réponse fondamentale à la question qui constitue le sous-titre de votre article, et qui a attiré mon attention : « Pourquoi les Juifs se convertissent-ils au catholicisme ? ». Cette loi de la nature à laquelle je fais ici allusion s’énonce ainsi : « Chaque action déclenche une réaction de force égale et de direction opposée ». À mon humble avis, cette loi de la nature constitue l’alpha et l’oméga de toute les questions similaires à la vôtre : « Pourquoi les Juifs se convertissent-ils au catholicisme ? ».

Dans votre article, vous avancez un ensemble bien compliqué de raisons, et vous faites de la question un véritable mystère. Mais, mon cher Docteur Goldstein, la réponse est très simple. Les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) qui se convertissent au catholicisme aujourd’hui, le font inconsciemment en vertu de cette loi de la nature. La conversion au catholicisme des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) est cette réaction de force égale et de direction opposée, énoncée dans cette loi de la nature. Leur conversion est une « réaction », mon cher Docteur Goldstein, ce n’est pas une simple « action », ainsi que vous l’affirmez. Pouvez-vous encore en douter après que j’aie éclairé votre lanterne sur la nature véritable du judaïsme ?

Le catholicisme s’est révélé être sur le plan spirituel, la seule voie où puisse s’engouffrer « la réaction de force égale et de direction opposée » provoquée par le judaïsme chez les « Juifs » qui ne peuvent vraiment plus le tolérer. Ce qui est l’essence spirituelle du catholicisme, l’est précisément par son absence complète dans le judaïsme. Et ce qui est l’essence spirituelle du judaïsme, l’est, Dieu merci, précisément par son absence complète dans le catholicisme. Tout ce qui pourrait être dit pour établir le contraire ne repose sur aucune base factuelle ; car le catholicisme et le judaïsme constituent l’un pour l’autre deux extrêmes opposés sur le spectre spirituel.

Notre inconscient ne s’endort jamais ; il demeure éveillé, et particulièrement quand notre conscient dort à poings fermés. C’est leur inconscient qui a poussé tous ces « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) à se convertir au catholicisme. La partie la plus profonde et la plus sensible de leur âme, est depuis plus de 2 000 ans à la recherche d’un havre spirituel qui puisse les protéger du système de terreur imposé par le Talmud. Après avoir baigné pendant des générations dans l’atmosphère irrespirable du Talmud, les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) trouvèrent dans le catholicisme un climat spirituel sain et vivifiant. Ils ne purent pas résister à cette force spirituelle qui concrétisait parfaitement la « réaction de force égale et de direction opposée » à l’action tyrannique exercée sur eux par le judaïsme.

Le catholicisme fut comme un sanctuaire, où la partie la plus sensible et la plus spirituelle de l’âme des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) a pu s’échapper de l’emprise du Talmud. Et beaucoup de « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) — pour lesquels la partie la plus sensible et la plus spirituelle de leur âme n’est pas encore éteinte, et se cache toujours dans un coin de leur inconscient — seraient tout prêts à suivre les plus courageux de leurs frères, qui ont déjà embarqué vers les plages du catholicisme. Mais ils ne le font pas. Et, mon cher Docteur Goldstein, savez-vous ce qui les retient de venir chez nous ? Il n’y a qu’une seule raison à cela. Ils tremblent devant les représailles que ne manqueront pas de leur infliger leurs coreligionnaires.

Dans votre article, vous ne mentionnez qu’un petit nombre des punitions que les « juifs » réactionnaires (prétendus ou autoproclamés) imposent à ceux de leurs coreligionnaires qui se convertissent au catholicisme. Car de nombreux « juifs » (prétendus ou autoproclamés), ont même perdu leur emploi, et la possibilité de trouver un emploi, après s’être convertis au catholicisme. De nombreuses familles ont souffert de la faim, pour cette seule et unique raison. Pour qu’un « Juif » décide de se convertir au catholicisme, il faut qu’il soit prêt à souffrir des ennuis financiers, des ennuis dans ses relations sociales, et des ennuis avec les autorités politiques ; ennuis par lesquels ses anciens coreligionnaires pensent lui faire payer toute la richesse spirituelle qu’il aura gagnée en franchissant le pas.

Une enquête sommaire de votre part auprès de personnes concernées, vous convaincra très vite que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) ne se tournent jamais vers le catholicisme parce que « même chose sont la religion juive et la religion catholique », ainsi que vous l’affirmez dans votre article. Car si tel était le cas, avant de se convertir au catholicisme, un « Juif » (prétendu ou autoproclamé) pourrait légitimement s’interroger sur le bien fondé d’une entreprise visant à quitter un mode de vie donnée pour adopter la copie identique de ce mode de vie… N’est-ce pas ? De plus, ce qu’on appelle « judaïsme » n’est que le nom moderne du « talmudisme », et le « talmudisme » est le nom qui servit à désigner le « pharisaïsme » au Moyen-Âge, or mon cher Docteur Goldstein, vous savez avec quelle fréquence Jésus-Christ agonisait d’injure les pharisiens… Alors comment pouvez-vous écrire que « même chose sont la religion juive et la religion catholique » !

De nombreux « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), qui se sont récemment convertis au catholicisme, sont devenus des amis personnels. Pas un de ceux à qui je l’ai demandé ne m’a dit qu’il était devenu catholique parce qu’il pensait que « l’Église catholique est la glorification de l’Église juive », ainsi que vous le déclarez dans votre article. « C’est quoi “l’Église juive” ? », me demandèrent-ils… Et j’étais bien incapable de leur répondre. Alors je vous le demande moi-même, mon cher Docteur Goldstein : c’est quoi “l’Église juive” ? Est-ce le pharisaïsme ? Est-ce le talmudisme ? Vous ne prendrez sûrement pas le risque de soutenir que l’Église catholique est la glorification du pharisaïsme, ou qu’elle est la glorification du talmudisme, n’est-ce pas ?

Il doit être bien clair pour vous maintenant que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), qui se sont convertis au catholicisme, ne partagent pas l’opinion que vous exprimez dans votre article et selon laquelle : « l’église catholique est l’église des Juifs convertis, et de leurs descendants ». Sachez que les convertis ne considèrent pas Jésus-Christ comme un « converti » à l’Église catholique, alors que vous le désignez indirectement comme le premier des convertis lorsque vous dites : « D’abord vint le Christ, le plus juif de tous les Juifs » (je n’ai jamais entendu un tel titre pour désigner Jésus-Christ, mon cher Docteur Goldstein, est-ce une première ?). Par ailleurs les convertis ne partagent pas cette idée selon laquelle « les apôtres vinrent ensuite, ils étaient tous juifs », ainsi que vous l’affirmez encore. Ici incontestablement, votre désaccord avec les convertis au catholicisme est trop important pour que vous persistiez à l’ignorer comme vous le faites. Vous ne parviendrez jamais à faire croire à ces convertis au catholicisme : « qu’ensuite, vinrent les premiers membres de l’Église catholique, ils étaient des milliers, ils étaient juifs », ainsi que vous l’écrivez.

Mon cher Docteur Goldstein, vous fûtes un « Juif » pendant presque la moitié de votre existence, et lorsque vous vous êtes converti au catholicisme, l’avez-vous réellement fait pour les raisons que vous invoquez dans votre article ? Croyez bien que j’aurais beaucoup de mal à le croire, en dépit de cette déclaration que vous faites un peu plus loin dans le même article : « en réalité, l’Église catholique n’existerait pas sans les Juifs ». Une telle idée n’est pas même concevable à la vue des faits exposés ici, mais sans doute les ignoriez-vous lorsque vous avez rédigé tout cela.

Enfin, si les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) se mettaient à croire tout ce que vous dites dans votre article (« Pourquoi les Juifs se convertissent-ils au catholicisme ? »), ils auraient alors bien peu de raisons légitimes de vouloir quitter le confort spirituel que leur offre leur « Église juive », nom par lequel vous semblez vouloir désigner le judaïsme. On s’attendrait même beaucoup plus raisonnablement à ce que ce soient les catholiques qui se convertissent au judaïsme, pour revenir aux origines de leur Église, puisque cette origine est, selon vous : « l’Église juive ». Si l’on vous prend au mot, je vous assure que c’est ce qui paraîtrait le plus logique.

Mon cher Docteur Goldstein, savez-vous que vous me coupez tout simplement la respiration lorsque vous écrivez : « Le catholicisme n’existerait pas sans le judaïsme ». Dans un certain sens je pourrais comprendre votre point de vue si vous voulez dire par là que l’existence de ce qu’on appelle « judaïsme » (que ce soit aux temps de Jésus ou par la suite), fut la cause qui par contrecoup a donné naissance au catholicisme ; mais en aucune manière l’Église catholique ne pourrait être considérée comme une sorte d’évolution interne, ou même de scission par rapport au pharisaïsme, ou au talmudisme, et encore moins par rapport à ce qu’on désigne aujourd’hui sous le nom de « judaïsme ».

Il faudrait que nous nous rencontrions pour pouvoir discuter plus amplement de toutes ces choses ; et j’espère que vous voudrez bien m’accorder ce privilège dans un futur qui ne soit pas trop éloigné. Pour terminer cette lettre, je vous prie instamment de garder à l’esprit le sens profond du verset 16 chapitre 4, de l’Épître aux Galates : « Suis-je donc devenu votre ennemi en vous disant la vérité ? », et je voudrais y ajouter : « Je ne l’espère pas ». Je souhaite que nous continuions à être les meilleurs amis du monde. Car, pour que la foi chrétienne puisse être arrachée des griffes de ses ennemis consacrés, nous devrons tous nous tendre la main, et former une véritable chaîne humaine, en travaillant ensemble dans la même direction. Maintenant, mon cher Docteur Goldstein, je crois qu’il va nous falloir enterrer la hache de guerre.

En imaginant déjà toute la joie que j’aurais à vous rencontrer en personne le jour qui vous sera le plus agréable et qui vous conviendra le mieux ; dans l’attente impatiente de votre réponse pour laquelle je vous remercie par avance ; et en vous présentant mes meilleurs vœux de succès et de bonne santé dans la suite des vos activités ; je vous prie de croire, mon cher Docteur Goldstein, à l’expression de mon respect le plus haut.

Très sincèrement vôtre,

Benjamin H. Freedman




D.103 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 18

 

17. « Antisémite »

Le mot « antisémite » est encore un mot qu’on devrait retirer de la langue anglaise. Aujourd’hui, le mot « antisémite » ne sert plus qu’un seul objectif : c’est devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) sentent qu’un quidam va s’opposer à l’un de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immédiatement pour cible, et ils le discréditent en lui collant systématiquement l’étiquette « antisémite ! ». Et ils le font dans tous les médias qu’ils possèdent ou qu’ils contrôlent indirectement. Je parle ici après une longue expérience personnelle, vous pouvez me croire. Lorsqu’en 1946, j’ai fait ma première déclaration publique sur les événements de Palestine, mes anciens coreligionnaires ont été bien incapables de me réfuter, ils ont donc dépensé des millions de dollars pour me salir, en faisant soudain de moi un grossier « antisémite » ; espérant par là me discréditer aux yeux du public qui manifestait pourtant un grand intérêt à ce que je lui disais. Jusqu’en 1946, j’étais un « petit Saint » pour tous les « Juifs » de ce pays (prétendus ou autoproclamés tels). Mais lorsque j’ai manifesté publiquement mon désaccord envers la politique sioniste en Palestine, je suis devenu d’un coup : « l’antisémite numéro 1 ».

Il est honteux de voir comment le clergé chrétien reprend à son compte l’usage à tout propos du terme : « antisémite ». Les prêtres devraient chercher à savoir de quoi ils parlent. Ils savent pourtant bien que ce mot n’a pas le moindre sens dans l’usage qu’on lui donne aujourd’hui. Ils savent que le terme correct pour désigner une personne qui s’opposerait au judaïsme en tant que religion, n’est pas « anti-sémite », mais bien « judéo-phobe »[1]. Mais s’ils ont préféré la racine « -sémite », à la racine « judéo- », c’est justement pour forger un terme de diffamation ; sachant pertinemment que dans l’esprit des chrétiens, le mot « Sémite » est étroitement lié à celui de « Jésus-Christ ». En tolérant l’usage de ce mot de diffamation, les chrétiens sont devenus des instruments dans l’entreprise de destruction de leur propre foi ; puisque ce mot permet de persécuter, puis de réduire au silence, tous les chrétiens qui s’opposent à la conspiration.[2]

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[1] « Anti-talmudiste » serait encore mieux, nous n’aurions plus le suffixe « -phobe », qui garde une connotation de « peur instinctive », ce qui n’est pas du tout le cas ici.

[2] Par ailleurs, étant donné que nous savons maintenant que 90 % des « Juifs-talmudistes » descendent des Khazars, et non des sémites (via les Hébreux puis les Israélites), le mot « Antisémite » apparaît comme doublement mal venu. Ce sont même la plupart du temps des Sémites qui s’ignorent (des descendants des vrais Israélites) qui se font traiter d’antisémites par les Khazars… C’est le monde à l’envers !




D.102 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 17

 

16. « Judéo-christianisme »

Un autre mot génère encore plus de confusion dans l’esprit des chrétiens. Je veux parler du merveilleux néologisme : « judéo-christianisme » ; de jour en jour, vous l’entendez de plus en plus. Mais lorsqu’on se base sur notre connaissance actuelle de l’histoire, ainsi que sur le bon sens appliqué à la théologie, le terme de « judéo-christianisme » sonne comme un véritable barbarisme. Est-ce que ce « judéo » signifie l’ancien pharisaïsme ? ou alors le talmudisme ? ou encore est-ce qu’il se réfère au judaïsme proprement dit ? En vertu de ce que nous savons maintenant, existe-t-il une seule chose que l’on puisse qualifier de « judéo-chrétienne » ?… Évidemment non. Avec ce que l’on sait maintenant, le terme de « judéo-christianisme » aurait autant de significations que pourrait en avoir le terme « froid-chaud », ou « vieux-jeune », ou « lourd-léger », ou « malade-sain », ou « pauvre-riche », ou « stupide-intelligent », ou « ignorant-savant », ou encore « triste-content »… Ce sont des antonymes et non des synonymes. À la lumière des faits évoqués plus haut, on comprendra vite que le préfixe « judéo » entretient une véritable relation antonymique avec le terme « christianisme ».

L’Institut des Études Judéo-Chrétiennes fut fondé à l’Université Seton Hall. C’est actuellement un institut dont le nombre d’employés s’élève à une personne. C’est un Institut universitaire composé d’une seule personne. Et le Père John M. Oesterreicher constitue tout cet Institut, à lui tout seul. L’Institut des Études Judéo-Chrétiennes occupe un petit bureau, dans un immeuble plein de bureaux du centre de Newark. Ce One-Man-Institute, si l’on en croit la documentation qu’il distribue, n’a pas non plus d’enseignants à son actif, à part bien sûr le Père Oesterreicher lui-même, et cet institut n’a pas non plus d’étudiants… Le père Oesterreicher est né « Juif » évidemment (prétendu ou autoproclamé tel), et devint ce qu’on appelle un « converti » au catholicisme, et j’ai eu la joie de l’entendre à de nombreuses occasions… Les discours du Père Oesterreicher et l’envoi de documentations sur son institut sont les activités principales de l’Institut des Études Judéo-Chrétiennes. Mais le Père Oesterreicher a également l’intention d’écrire des livres, et de les diffuser dans le monde, et en grands nombres.

Le Père Oesterreicher ne laisse rien au hasard, et soulève méticuleusement chaque question afin de convaincre les catholiques que « judéo-chrétien », c’est théologiquement la combinaison de deux synonymes… Rien ne pouvait être dit qui ne soit davantage éloigné de la vérité, mais le Père Oesterreicher essaie néanmoins de bien faire comprendre son point de vue à ses auditeurs catholiques. Car le Père Oesterreicher ne s’adresse qu’à des catholiques, à des catholiques seulement, tout au moins d’aussi loin que je puisse me souvenir. Dans ses discours, le Père Oesterreicher veut faire comprendre aux catholiques que la foi chrétienne entretient un rapport de dépendance directe par rapport au judaïsme. Mais les auditeurs du Père Oesterreicher se lèvent souvent pour aller faire un petit tour, pendant ses discours passablement confus.

On se sentirait tout de même plus catholiques, au sortir des discours du Père Oesterreicher, s’il nous revendait directement les paroles de Jésus-Christ et la doctrine de l’Église catholique, plutôt que d’essayer de nous refiler du judaïsme en douce. Cependant, de telles tentatives de récupération ont au moins le mérite de garder les chrétiens biens informés sur la question du judaïsme. Mais le Père Oesterreicher ferait néanmoins un bien meilleur apostolat s’il allait faire ses conférences aux « Juifs » (prétendus ou autoproclamés), pour leur refiler les paroles de Jésus-Christ. J’ai bien voulu lui dire, mais ce One-Man-Institute se nimbe d’un profond mystère quand on s’en approche… Et je suis certain que Monseigneur Mc Nulty n’autorisera jamais cet Institut des Études Judéo-Chrétiennes à jeter le discrédit sur l’excellence de Seton Hall, l’une des plus brillantes universités catholiques du monde ; même s’il va falloir surveiller tout cela de très près… Et je vous prie de croire que Monseigneur Mc Nulty saura toujours apprécier des remarques constructives sur son université.




D.101 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 16

 

15. A Jewess (Une Juive)

L’expression a Jewess soulève une question similaire. Si a Jewess (une Juive) est le féminin de a Jew (un Juif), je dois admettre que je n’ai pas été capable de trouver d’autres cas, où deux mots différents permettant de distinguer les pratiquants d’une religion donnée selon leur sexe. Ici encore le judaïsme a droit à l’exception.[1]

J’ai cherché un féminin pour a Catholic, a Protestant, a Hindu, a Muslim… allongez la liste autant que vous voudrez, mais je n’ai rien trouvé si ce n’est : a Jewess, (une Juive). Et il semble aujourd’hui qu’il soit devenu très populaire d’appeler Marie, la Sainte Mère de Jésus-Christ : a Jewess, (une Juive). Or, il ne semble pas très cohérent d’identifier les membres d’une foi religieuse avec les mêmes flexions morphologiques qu’on pourrait utiliser dans une autre langue, pour distinguer le mâle et la femelle d’une race donnée[2]. Mais j’ai quand même trouvé un autre exemple de la sorte, c’est le mot Negress[3] Mais la race nègre proteste vigoureusement contre l’utilisation de ce terme, et quand je dis vigoureusement, c’est vigoureusement…

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[1] Bien évidemment Monsieur Freedman se réfère ici à la langue anglaise, où il n’y a pas de mot unique pour désigner par exemple « une chrétienne », ou « une musulmane », et où il faut recourir à une périphrase : a Christian woman ou a Muslim woman ; alors que pour les « Juifs » c’est possible : a Jew, a Jewess.

[2] Car cela entretient dans l’inconscient du langage la confusion entre une race (domaine du génétique, relevant donc de la matière), et une pratique religieuse (domaine du culturel, relevant donc de l’esprit). Dans l’inconscient du langage, cela entretient le mythe de la race élue.

[3] « Négresse ».




D.100 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 15

 

14. « Le sang juif »

Tout au long des XVIIIe, XIXe et XXe siècles, une publicité bien planifiée et bien financée par les « Juifs » des pays anglophones (prétendus ou autoproclamés tels), est à l’origine de l’emploi à tout propos de l’adjectif « juif » qu’on connaît aujourd’hui. L’adjectif « juif » est utilisé aujourd’hui de toutes les façons, aussi fabuleuses qu’inexactes. L’adjectif « juif » est utilisé pour décrire toutes choses : depuis « le sang juif » (quoi que cela puisse désigner), jusqu’au « pain de seigle juif » (aussi ridicule qu’un tel objet puisse paraître). Les nombreuses associations d’idées, et autres insinuations, qui se cachent aujourd’hui derrière le terme « juif », et résultant de son usage dans le commerce quotidien, réclament une plus ample description :

En 1954, lors de la réunion annuelle de la Guilde de Saint Paul, à l’Hôtel Plaza de New York, et devant plus de 1 000 catholiques, le prête catholique romain qui était le principal orateur, et l’invité d’honneur de la réunion, faisait en permanence allusion à son « sang juif ». Après enquête, il s’est avéré que ce prêtre était né en Europe orientale, dans une famille « juive » (prétendue ou autoproclamée telle), et qu’il s’était converti au catholicisme ici, aux États-Unis, il y a environ 25 ans. C’est vraiment une chose incroyable qu’un prêtre, qui a professé le catholicisme pendant toutes ces années, se croit encore obligé de faire allusion à son « sang juif » devant des catholiques. Au même moment et dans la même ville, les radios crachaient à plein tube une publicité sur « LE PAIN DE SEIGLE JUIF LÉVY ! », et à la sortie on était matraqué par des panneaux publicitaires flamboyants préconisant « LE PAIN DE SEIGLE JUIF LÉVY ! »

Et entre ces deux extrêmes, il existe une quantité innombrable de produits ou de services, qui se font connaître dans les imprimés, à la radio, ou à la télévision, comme étant des produits ayant le label : « JUIF ».

Mais le plus inquiétant était que ce prêtre qui parlait à des catholiques de son « sang juif », nous parlait incontinent « du sang juif de Marie », la Sainte Mère de Jésus-Christ, ainsi que « du sang juif des apôtres », et « du sang juif des premiers chrétiens ». Mais ce qu’il voulait dire par l’expression « mon sang juif », rendait bien perplexes les catholiques qui l’écoutaient. Ils se demandaient : « Mais que peut-il donc vouloir dire par “sang juif” ? » Ils se demandaient ce qui pouvait bien arriver à ce fameux « sang juif », quand des « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) se convertissent au catholicisme. Et ils s’interrogeaient sur le cas extrême où un « Juif » (prétendu ou autoproclamé), devient comme ici, un prêtre de l’Église catholique romaine. Ils se demandaient comment le « sang juif » peut-il être biologiquement différent du sang d’une personne qui professerait une autre religion. Et il est vrai qu’il est assez difficile de comprendre pourquoi il y aurait une quelconque différence biologique dans le sang, en fonction de la religion pratiquée. Est-ce que les caractéristiques génétiques des peuples et des races peuvent être déterminées par un dogme religieux, ou par une doctrine ?[1]

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[1] Benjamin Freedman est issu d’une famille ashkénaze, il descend donc des Khazars de l’Europe orientale. Comme nous l’avons vu dans la première note, il s’est converti au catholicisme dans ses jeunes années, et il sait donc d’expérience qu’il s’agit d’une affaire spirituelle et culturelle, et non pas d’une affaire raciale. Il n’a pas senti le moindre obstacle relevant à proprement parler de la génétique, pour se dégager de l’étau du judaïsme. Ce fut seulement une question de force spirituelle.




D.099 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 14

 

13. « Juifs » ou « Judaïstes » ?

Partout dans le monde, le Dictionnaire anglais d’Oxford est reconnu comme la meilleure et la plus authentique source d’information sur l’origine, la définition et l’usage des mots de la langue anglaise. Des savants faisant autorité, appartenant à tous les domaines de la connaissance, et vivant dans tous les pays du monde, reconnaissent sans discuter la valeur du Dictionnaire anglais d’Oxford. Or, le Dictionnaire anglais d’Oxford fait apparaître clairement que le mot correct en anglais pour un adepte du judaïsme, est : Judaist[1], et que l’adjectif correspondant est : Judaic[2] ; et donc que les formes nominales : Jew, et adjectivale : Jewish, ne sont pas correctes. Au sens strict, les mots Jew et Jewish n’appartiennent pas à la langue anglaise ; ceci dit dans le cas où l’usage correct des mots se mettrait à bénéficier d’un quelconque intérêt de la part de nos contemporains.

Ainsi, les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) ne pouvant honnêtement se désigner comme des « Juifs » (car ils ne sont ni de près ni de loin des « Judéens » ou des « Israélites »), devraient donc en toute honnêteté se définir par le nom de leur pratique religieuse[3], et se présenter à nous comme des « judaïstes »[4]. Suivant le Dictionnaire Anglais d’Oxford, un « judaïste » est une personne qui se réclame de la pratique religieuse du « judaïsme », point final. L’origine du mot « juif », ainsi qu’il a été expliqué, ne vient pas du mot « judaïsme ». Et le mot « juif », comme adjectif relatif à ce qui ressort du « judaïsme », n’a pas non plus de raison d’être, l’adjectif correct est « judaïque »[5].

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[1] Pourrait se traduire par « judaïste », en français ; de même qu’un adepte du « communisme » est un « communiste », ou qu’un adepte du « tantrisme » est un « tantriste ».

[2] « Judaïque », en français. Ici dans la langue française, la forme adjectivale morphologiquement correcte : « judaïque », existe bien. Ce n’est pas le cas dans la langue anglaise, où le terme morphologiquement correct Judaic, est improprement remplacé par le terme Jewish.

[3] Ainsi que le font spontanément les chrétiens, qui eux, n’ont rien à cacher.

[4] Ou des « Judaïens », ou des « talmudistes » comme autrefois, ou des « pharisiens »… mais surtout pas comme des « Juifs », mot qui, encore une fois, provient de la contraction naturelle du latin « Iudaean » et qui a une connotation géographique et raciale, ce qui n’est pas le cas d’un enseignement religieux. Ainsi il y a des chrétiens japonais, et de la même race que les japonais. Il existe aussi des pratiquants du judaïsme en Inde, qui comme les Khazars sont des convertis, et qui n’ont aucun lien génétique avec les pharisiens de Judée, ces Judéens qui furent à l’origine du talmudisme. Certes, une fois les premiers temps de la conversion passés, le peuple converti au judaïsme fait bloc hermétique avec sa religion, et ne semble plus alors former qu’une seule et même entité ; mais ce phénomène est à attribuer au caractère foncièrement intolérant et xénophobe du judaïsme envers tout ce qui n’est pas lui, et non pas à une quelconque indissociabilité entre un peuple et une religion. C’est cette prétendue indissociabilité qui a autorisé toutes les mystifications relatives au « peuple élu », à la « race choisie », et autres foutaises qui vous catapultent comme d’un rien aux commandes des états.

[5] N’utilisons donc plus les termes impropres, si nous ne voulons pas que la confusion ne perdure indéfiniment dans la pensée, puisqu’elle s’est déjà fixée dans le langage.




D.098 – Histoire occultée des faux hébreux : les Khazars – Partie 13

 

12. Le Talmud démasqué

Le Talmud démasqué, les secrets rabbiniques concernant les chrétiens est un ouvrage magistral écrit par le Père Justin Bonaventure Pranaitis, Maître de Théologie et professeur d’hébreu à l’Académie Impériale Ecclésiastique de l’Église Catholique Romaine de Saint-Pétersbourg, dans la vieille Russie tsariste. Le Père Pranaitis était le plus grand connaisseur du Talmud chez les non-juifs. Sa complète maîtrise de l’hébreu lui permit de donner une analyse très compétente du Talmud et, dans toute l’histoire humaine, peu d’hommes auraient eu l’érudition nécessaire pour une telle entreprise.

Le Père Pranaitis a scruté le Talmud pour en extraire les passages parlant de Jésus-Christ, des chrétiens ou de la foi chrétienne. Il traduisit ces passages en latin, car l’hébreu s’y prête très bien. Cette traduction des passages du Talmud parlant de Jésus-Christ, des chrétiens ou de la foi chrétienne, furent donc imprimés en latin par l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg, en 1893, avec l’imprimatur de son archevêque. La traduction du latin à l’anglais fut réalisée en 1939, par de grands latinistes américains, à l’aide de fonds fournis par de riches citoyens de notre pays.

Pour vous donner une idée très précise des références à Jésus-Christ, aux chrétiens ou à la foi chrétienne que contient le Talmud, je vais vous résumer les passages les plus révélateurs de la traduction en anglais de l’ouvrage du Père Pranaitis. Mais cela nécessiterait beaucoup trop de place de vous citer ces passages mot pour mot, en y adjoignant les notes que j’ai trouvées dans l’Édition Soncino en langue anglaise. J’ai donc décidé de ne vous citer que les passages traduits par Pranaitis, et je commence par les allusions à Jésus-Christ :

– Sanhédrin, 67a : Jésus est désigné comme le fils de Pandira (Panthera).

– Kallah, 1b. (18b) : Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère.

– Sanhedrin, 67a : Jésus, pendu la veille de la Pâque.[1]

– Toldath Jeschu : Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses.

– Abhodah Zarah II : Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain.

– Schabbath XIV : À nouveau désigné comme le fils de Pandira, le Romain.

– Sanhedrin, 43a : À la veille de Pâque, ils pendirent Jésus.

– Schabbath, 104b : « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. »

– Toldoth Jeschu : Judas et Jésus se disputent dans une querelle où volent les obscénités : « (…) Juda a pissé sur Jésus. ».

– Sanhedrin, 103a : On suggère qu’il corrompt sa moralité et se déshonore.

– Sanhedrin, 107b : Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël.

– Zohar III, (282) : Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente.

– Hilkoth Melakhim : Maïmonide tente de prouver combien les chrétiens s’égarent dans le culte de Jésus.

– Abhodah Zarah, 21a : Référence au culte de Jésus ne devant pas être accepté dans les maisons, car les idoles ne doivent pas être acceptées[2].

– Orach Chaiim, 113 : Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus.

– Iore dea, 150, 2 : Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus.

– Abhodah Zarah (6a) : C’est un faux enseignement de rendre un culte à Dieu le premier jour suivant le sabbat.

Ce qui précède n’est qu’un échantillon tiré d’un enchevêtrement très compliqué d’anecdotes et d’enseignements, où de très nombreuses références sont obscurcies par des raisonnements sans fins.

Maintenant je vais vous citer quelques références aux chrétiens et à la foi chrétienne, bien que j’aie dû en reformuler parfois l’expression pour les résumer. Le Talmud utilise onze noms différents pour désigner « ceux qui ne suivent pas le Talmud », ce par quoi il faut entendre : « les chrétiens ». Outre le terme de Notsrim se référant aux nazaréniens, les chrétiens sont également désignés extensivement par tous les noms que le Talmud réserve aux « non-Juifs » : Abhodah Zarah (culte étrange, idolâtrie), Akum (adorateurs des planètes et des étoiles), Obhde Elilim (serviteurs des idoles), Minim (hérétiques), Edom (Édomites), Nokhrim (étrangers), Amme Haarets (peuple de la terre, idiots), Baser Vedam (êtres de chair et de sang, dénués d’âme), Apikorosim (Épicuriens), Kuthim (Samaritains) et Goïm (race, peuple). Les passages suivants indiquent de quelle manière les chrétiens sont dépeints dans le Talmud, et ce qu’il y est dit à propos de leur culte religieux :

– Hilkhoth Maakhaloth : Les chrétiens sont des idolâtres, ne pas les fréquenter.

– Abhodah Zarah (22a) : Ne pas fréquenter les gentils, ils versent le sang.

– Iore Dea (153, 2) : Ne pas fréquenter les chrétiens, ils répandent le sang.

– Abhodah Zarah (25b) : Se méfier des chrétiens quand on voyage avec eux à l’étranger.

– Orach Chaiim (20, 2). : Les chrétiens se déguisent pour tuer les Juifs.

– Abhodah Zarah (15b) : « Il ne faut jamais laisser un animal s’approcher des Goïm, on les soupçonne d’avoir des rapports sexuels avec eux. »[3]

– Abhodah Zarah (22a) : Passage suggérant encore que les chrétiens ont des relations sexuelles avec les animaux.

– Schabbath (145b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.

– Abhodah Zarah (22b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.

– Iore Dea (198, 48) : Les femmes juives sont contaminées par la simple rencontre de chrétiens.

– Kerithuth (6b p. 78) : Les Juifs sont des humains, non les chrétiens, ce sont des bêtes.

– Makkoth (7b) : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un chrétien ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.

– Orach Chaiim (225, 10) : Les chrétiens et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.

– Midrasch Talpioth (225) : Les chrétiens sont créés pour servir les Juifs de toute éternité.

– Orach Chaiim (57, 6a) : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les chrétiens que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.

– Zohar II (64b) : Les chrétiens sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.

– Kethuboth (110b) : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les chrétiens[4] à des bêtes impures ».

– Sanhedrin (74b) Tos. : Les rapports sexuels des chrétiens sont comme ceux des bêtes.

– « La semence des Goïm vaut bien celle des bêtes. »

– Eben Haezar (44, 8) : Sont nuls, les mariages entre les chrétiens et les Juifs.

– Zohar (II, 64b) : Le taux de naissance des chrétiens doit être diminué matériellement.

– Zohar (I, 28b) : Les chrétiens sont les enfants du serpent de la Genèse[5].

– Zohar (I, 131a) : Les idolâtres (sous entendre : les chrétiens) souillent le monde[6].

– Emek Haschanach (17a) : L’âme des non-juifs vient de la mort et de l’ombre de la mort.

– Zohar (I, 46b, 47a) : L’âme des gentils est d’une origine théologique impure.

– Rosch Haschanach (17a) : L’âme des non-Juifs descend en enfer.

– Iore Dea (377, 1) : Il faut remplacer les serviteurs (chrétiens) morts, comme les vaches, ou les ânes perdus.

– Iebhammoth (61a) : Les Juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les chrétiens.

– Abhodah Zarah (14b) Toseph : Il est interdit de vendre les Livres des Prophètes aux chrétiens.

– Abhodah Zarah (78) : Les Églises chrétiennes sont le lieu de l’idolâtrie.

– Iore Dea (142, 10) : Il faut toujours rester à une certaine distance des Églises, sauf quand on est dans le dos de cette même Église, alors on peut se rapprocher…

– Iore Dea (142, 15) : Il ne faut pas écouter la musique des Églises, ni regarder ses idoles.

– Iore Dea (143, 1) : On ne doit pas reconstruire des bâtiments qui se trouvent près d’une Église.

– Hilkoth Abh. Zar (10b) : Les Juifs ne doivent pas revendre des calices que des chrétiens leur auraient vendus, même s’ils sont brisés.

– Chullin (91b) : Les Juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.

– Sanhedrin (58b) : Frapper un Juif, c’est comme gifler la face de Dieu lui-même.

– Chagigah (15b) : Un Juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.

– Gittin (62a) : Un Juif ne doit pas entrer dans la maison d’un chrétien un jour de fête.

– Choschen Ham. (26, 1) : Un Juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal chrétien, par un juge chrétien, ou par des lois chrétiennes.

– Choschen Ham (34, 19) : Les chrétiens et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.

– Iore Dea (112, 1) : Ne pas manger avec les chrétiens, cela engendre la familiarité.

– Abhodah Zarah (35b) : Ne pas boire du lait tiré par un chrétien.

– Iore dea (178, 1) : Ne jamais imiter les coutumes des chrétiens, même simplement par la coiffure.

– Abhodah Zarah (72b) : Il faut jeter le vin s’il a été touché par un chrétien.

– Iore Dea (120, 1) : La vaisselle acheté à des chrétiens doit être jetée.

– Abhodah Zarah (2a) : Il faut stopper tout contact avec les chrétiens trois jours avant le début de l’une de leurs fêtes.

– Abhodah Zarah (78c) : Les fêtes de ceux qui suivent Jésus sont de l’idolâtrie.

– Iore Dea (139, 1) : Il est interdit d’avoir le moindre contact avec les idoles qu’utilisent les chrétiens pour leur culte.

– Abhodah Zarah (14b) : Il est interdit de vendre aux chrétiens des articles qu’ils pourraient utiliser pour leur culte.

– Iore Dea (151, 1) H. : Ne pas vendre de l’eau à un chrétien, s’il va l’utiliser pour un baptême[7].

– Abhodah Zarah (2a, 1) : Ne faire aucun commerce avec les chrétiens pendant leurs jours de fête.

– Iore Dea (148, 5) : S’il est connu que le chrétien n’est pas pratiquant, on peut lui envoyé des cadeaux.

– Hilkoth Akum (IX, 2) : Il ne faut envoyer de présent à un chrétien que s’il est irréligieux.

– Iore Dea (81, 7 Ha) : Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice chrétienne, car son lait lui donnera une nature maléfique.

– Iore Dea (153, 1 H) : Les nourrices chrétiennes conduisent les enfants à l’hérésie.

– Iore Dea (155, 1) : Éviter les médecins chrétiens qui ne sont pas très bien connus du voisinage.

– Peaschim (25a) : Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous-entendu des chrétiens).

– Iore Dea (156, 1) : Ne pas aller chez un barbier chrétien, à moins d’être accompagné par un Juif.

– Abhodah Zarah (26a) : Ne pas recourir à une sage femme chrétienne qui, une fois seule, pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.

– Zohar (1, 25b) : « Ceux qui font du bien à un Akum, ne se relèveront pas des morts ».

– Hilkoth Akum (X, 6) : On peut aider les chrétiens dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.

– Iore Dea (148, 12 H) : On peut prétendre se réjouir avec les chrétiens pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.

– Abhodah Zarah (20a) : Ne jamais faire la louange d’un chrétien, de peur qu’il ne la croie.

– Iore Dea (151, 14) : Il est interdit de concourir à la gloire d’un chrétien.

– Hilkoth Akum (V, 12) : Citation de l’écriture, pour appuyer l’interdit concernant toute mention du nom d’un chrétien, ou du nom du Dieu chrétien.

– Iore Dea (146, 15) : « Leurs idoles [c’est-à-dire, les objets du culte] doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants. »

– Iore Dea (147, 5) : Il faut railler les objets du culte chrétien, il est interdit de souhaiter du bien à un chrétien.

– Hilkoth Akum (X, 5) : Pas de présents aux chrétiens, seulement à ceux qui se font juifs.

– Iore Dea (151, 11) : Il est interdit de faire un présent à un chrétien, cela encourage l’amitié.

– Iore Dea (335, 43) : L’exil pour le Juif qui vent sa ferme à un chrétien.

– Iore Dea (154, 2) : Il est interdit d’enseigner un métier à un chrétien.

– Babha Bathra (54b) : La propriété d’un chrétien appartient au premier Juif qui la réclame.

– Choschen Ham (183, 7) : Si par erreur un chrétien rend trop d’argent, il faut le garder.

– Choschen Ham (226, 1) : Les Juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un chrétien.

– Babha Kama (113b) : Il est permis de tromper les chrétiens.

– Choschen Ham (183, 7) : Des Juifs qui trompent un chrétien doivent se partager le bénéfice équitablement.

– Choschen Ham (156, 5) : Les clients chrétiens possédés par un Juifs ne doivent pas être démarchés par un autre Juif.

– Iore Dea (157, 2) H : On peut tromper les chrétiens qui croient aux principes de la foi chrétienne.

– Abhodah Zarah (54a) : L’usure peut être pratiquée sur les chrétiens, ou sur les apostats.

– Iore Dea (159, 1) : « Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Akum avec intérêt. Toutefois, certains des Anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance. »

– Babha Kama (113a) : Les Juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour condamner un chrétien.

– Babha Kama (113b) : Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un chrétien.

– Kallah (1b, p.18) : Le Juif peut se parjurer la conscience claire.

– Schabbouth Hag. (6d). : Les Juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

– Zohar (1, 160a) : Les Juifs doivent en permanence tenter de tromper les chrétiens.

– Iore Dea (158, 1) : Il ne faut jamais guérir un chrétien, à moins que cela ne le transforme en un ennemi d’Israël.

– Orach Cahiim (330, 2) : Il est interdit de procéder à l’accouchement d’une chrétienne le samedi.

– Choschen Ham. (425, 5) : Il est permis de tuer indirectement un chrétien, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.

– Iore Dea (158, 1) : En ce qui concerne les chrétiens qui ne sont pas des ennemis, un Juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.[8]

– Hilkkoth Akum (X, 1) : Ne pas sauver les chrétiens en danger de mort.

– Choschen Ham (386, 10) : Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux chrétiens, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.

– Abhodah Zorah (26b) : Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.

– Choschen Ham (388, 15) : Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des chrétiens.

– Sanhedrin (59a) : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël[9], commettent un crime qui réclame la peine de mort.

– Hilkhoth Akum (X, 2) : Les Juifs baptisés doivent être mis à mort.

– Iore Dea (158, 2) Hag. : Il faut abattre les renégats qui se sont tournés vers les rituels chrétiens.

– Choschen Ham (425, 5) : Ceux qui ne croient pas en la Torah doivent être tués.

– Hilkhoth tesch. (III, 8) : Les chrétiens et les autres, nient la Loi de la Torah.

– Zohar (I, 25a) : Les chrétiens doivent être exterminés, car ce sont des idolâtres.

– Zohar (II, 19a) : La captivité des Juifs prendra fin lorsque les princes chrétiens seront morts.

– Zohar (I, 219b) : Les princes chrétiens sont des idolâtres, ils doivent mourir.

– Obadiam : Quand Rome sera détruite, Israël sera racheté.

– Abhodah Zarah (26b) T. : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu. »

– Sepher Or Israel (177b) : Si un Juif tue un chrétien, ce n’est pas un péché.

– Ialkut Simoni (245c) : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à Dieu.

– Zohar (II, 43a) : L’extermination des chrétiens est un sacrifice agréable à Dieu.

– Zohar (L, 28b, 39a) : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.

– Hilkhoth Akum (X, 1) : Ne passez aucun accord avec un chrétien, et ne jamais manifester de pitié envers un chrétien.

– Hilkhoth Akum (X, 1) : Soit les détourner de leurs idoles, soit les abattre.

– Hilkhoth Akum (X, 7) : Où les Juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.

– Choschen Ham (338, 16) : Tous les habitants d’une ville doivent contribuer aux frais nécessaires à l’élimination d’un traître parmi eux.

– Pesachim (49b) : Il est permis de décapiter les Goïm le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat[10].

À moins qu’on ne l’ait récemment retiré de la consultation publique, vous pourrez trouver un exemplaire de ce livre (Le Talmud démasqué, les secrets rabbiniques concernant les Chrétiens, par le Père Justin Bonaventure Pranaitis[11]), à la bibliothèque du Congrès, ainsi qu’à la bibliothèque publique de New York. Une copie de l’édition latine originale imprimée en 1892 à Saint-Pétersbourg, peut être mise à votre disposition par l’intermédiaire de notre ami commun, si vous désirez lire les passages qui précèdent dans l’hébreux original, ainsi que dans leur traduction latine[12]. J’espère que mes petits résumés rendent bien compte du texte original, en tout cas je le crois. Si j’ai fait une erreur quelconque, auriez-vous la bonté de me le faire savoir ? Il a été très difficile de résumer ces passages du Talmud en si peu de mots.

Vous reconnaîtrez avec moi que la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs, n’a désormais plus besoin d’examiner en détail les 63 livres du Talmud pour découvrir des passages contre le Christ, contre les chrétiens et contre la foi chrétienne, qui sont contenus dans ce livre, qui, je vous le rappelle, est :

« Le code législatif qui forme les bases de la loi religieuse juive » et qui est « le livre utilisé pour la formation des rabbins ».

La Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourra désormais, et grâce à vous, ajouter une ou deux de ces citations à la légende de cette gentille photo qui nous disait :

« Les adultes aussi étudient les anciennes écritures. Le rabbi, qu’on voit ici sur le fauteuil, dirige un groupe de discussion sur le Talmud, avant la prière du soir. »

Si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs était sincèrement intéressée par « la foi commune » et par la « fraternité », ne pensez-vous pas mon cher Docteur Goldstein, qu’elle devrait exiger immédiatement la suppression du Talmud de tous ces passages contre le Christ[13], contre les chrétiens, et contre le christianisme ; de même que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) nous ont fraternellement supprimés certains passages du Nouveau Testament ? Mon cher Docteur Goldstein, allez-vous le demander ?

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[1] Le Talmud démasqué, nous apprend que « celui qui a été pendu », est l’expression qui servait de nom de code pour désigner Jésus-Christ.

[2] Pour eux, le crucifix est une idole, une icône est une idole…

[3] Les passages repris entre guillemets, sont traduits directement par nous depuis le Talmud démasqué (n.d.t.).

[4] Ici les Goïm, car lors de la rédaction des Psaumes, les chrétiens n’existaient pas encore.

[5] « Les peuples idolâtres de la Terre sont les enfants du serpent qui a séduit Ève ». Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[6] « Les idolâtres souillent le monde dès qu’ils entrent en existence, car leur âme vient de la face impure. » Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[7] « Il n’est pas permis de vendre de l’eau à un Akum s’il est connu qu’il va en faire une eau baptismale. » Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[8] « Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ». Traduction directe depuis le Talmud démasqué.

[9] Comprendre : « le Talmud ».

[10] « Rabbin Eliezer : “Il est permis de trancher la tête d’un idiot [un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire, un animal charnel, un chrétien (n.d.t.)] le jour de l’expiation des péchés [on ne peut imaginer jour plus sacré pour les Juifs (Pranaitis)], et même si ce jour tombe un jour de sabbat”. Ses disciples répondirent : “Rabbi ! vous devriez plutôt dire ‘de sacrifier’ un Goï.” Mais il répliqua : “En aucune façon ! car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de l’agréer, alors qu’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un.” » Pesachim 49b. (Traduction directe depuis le Talmud démasqué).

Il est à noter que l’idée du sacrifice rituel d’un Goï n’a pas l’air très éloignée de leur esprit, bien au contraire… Peut-être aurons-nous l’occasion d’en reparler, car ce sujet bien précis est particulièrement instructif.

[11] Le père Pranaitis fut l’une des nombreuses victimes de la Tcheka, juste après le coup de force communiste de 1917.

[12] Le père Pranaitis avait présenté sa traduction dans une version bilingue.

[13] « Anti-Christ » dans le texte original.