D.114 – Conspiration de l’Antichrist – Partie 10

 

Dans l’antre du diable

Dixième partie

54. Les Nazis sionistes

L’assimilation des Juifs au sein de la religion romaine s’est accomplie au moyen d’un changement de nom et par leur conversion au catholicisme. Toutefois, ils conservèrent leurs traditions talmudiques et kabbalistiques, car ils étaient crypto-Juifs. Ces crypto-Juifs talmudiques gravirent l’échelle du pouvoir à Rome. Le barbarisme et la duplicité de ces Juifs se constatent dans leurs actions meurtrières de conspirations durant la Deuxième Guerre Mondiale. Heinrich Himmler, Joseph Goebbels et Adolf Hitler furent tous d’extraction juive. Ils furent néanmoins catholiques romains. Himmler modela les SS selon l’ordre crypto-juif des Jésuites. Walter Schellenberg, ancien chef du contre-espionnage allemand (Sicherheisdienst ou SD), expliqua, après la guerre :

« L’organisation SS (sic) a été constituée par Himmler selon les principes de l’Ordre des Jésuites. Leurs règlements et les Exercices Spirituels prescrits par Ignace de Loyola furent le modèle qu’Himmler tenta de copier exactement. »[1]

Adolf Hitler a dit : « Je vois en Himmler notre Ignace de Loyola. »[2] Gardez à l’esprit qu’Himmler fut le Reichsfuhrer SS (chef suprême des SS). On équivalait ce titre à celui de « Général » des Jésuites.[3] Himmler était également en charge de la police secrète allemande, du nom de Gestapo. Le Général Jésuite, le Comte Halke von Ledochowski, arrangea une unité spéciale au sein du Service Central de la Sécurité SS où la plupart des postes principaux étaient comblés par des prêtres catholique romains portant la chemise noire de l’uniforme des SS. Le chef de cette unité spéciale était l’oncle d’Heirich Himmler, prêtre jésuite.[4]

Franz Von Papen, ancien Chancelier d’Allemagne, chambellan secret du pape et ressort moteur du concordat entre l’Allemagne et le Vatican, a dit : « Le Troisième Reich est le premier pouvoir qui, non seulement reconnaît les grands principes de la papauté, mais les met aussi en pratique. »[5] Avec cela en tête, considérez maintenant que le fondé de pouvoir d’Hitler, Rudolph Hess, le Reichmarshal Hermann Goering, Gregor Strasser, Alfred Rosenberg, Hans Frank, le Reichminister von Ribbentrop, le haut dirigeant SS Reihard Heydrich, les banquiers d’Hitler Ritter von Strauss et von Stein, ainsi que la majorité des haut-officiers et des associés d’Hitler étaient Juifs ! Le Troisième Reich était copié sur la papauté et pourtant contrôlé par des crypto-Juifs.[6]

On demandera peut-être pourquoi des Juifs sionistes conspirèrent avec les Nazis pour persécuter des Juifs ? Les Nazis et les Sionistes travaillèrent ensemble à persécuter les Juifs d’Europe dans le but de forcer ces derniers à émigrer en Palestine. Les nazis concoctèrent des arrangements secrets avec les Sionistes juifs pour faciliter l’émigration des Juifs en Palestine. Henneke Kardel expliqua les arrangements pris entre les Nazis et les Sionistes juifs, dans son livre Adolf Hitler : fondateur d’Israël :

« La coopération qui existait entre la Gestapo d’Heydrich et la ligue d’autodéfense juive en Palestine, la Haganah militante, n’aurait su être plus étroite n’eut été qu’Eichman la rendit publique (…) Le commandant de la Haganah était Feivel Polkes, né en Pologne, que le dirigeant de troupe SD Adolph Eichman rencontra, en février 1937, dans un restaurant à vin Traube (Grappe) près du zoo. Ces deux Juifs y passèrent une accord fraternel. Polkes, le combattant clandestin, obtint d’Eichman la garantie écrite suivante : “Une corporation représentant les Juifs d’Allemagne exercera une pression pour que ceux qui quitteront l’Allemagne n’émigrent qu’en Palestine seulement. Une telle politique est dans l’intérêt de l’Allemagne et sera exécutée par la Gestapo. »[7]

Pourquoi les Juifs sionistes voulaient-ils forcer les Juifs vivant en Europe à émigrer en Palestine ? Parce qu’ils voulaient accroître la population juive de cette région afin d’établir une tête de pont pour le contrôle éventuel de tout le Proche Orient. Après la défaite de l’Empire ottoman lors de la Première Guerre Mondiale, la Grande-Bretagne maîtrisa la Palestine par mandat de la Ligue des Nations. Le 2 novembre 1917, Lord Arthur James Balfour, Premier Ministre d’Angleterre, envoya une lettre à l’éminent sioniste Lord Rothschild, lui promettant l’établissement d’une patrie juive en Palestine. La lettre devint la célèbre Déclaration Balfour. C’était la première reconnaissance d’une patrie juive par une puissance mondiale majeure. À l’époque, les Juifs étaient en minorité en Palestine et, par conséquent, n’avait pas grand espoir de contrôler la région, ce qui était pourtant leur but. Ils avaient besoin qu’un grand nombre de Juifs émigrent en Palestine pour commencer le processus de conquête juive du Moyen-Orient. Le problème résidait en ce qu’ils ne pouvaient pas persuader les Juifs de quitter une vie confortable et prospère en Europe pour émigrer dans une Palestine tiers-mondiste. Il fut donc décidé qu’ils seraient chassés d’Europe de manière à ce qu’ils n’aient pas d’autre choix que de fuir en Palestine. Entrèrent donc en scène Hitler et sa « solution finale » qui chassèrent les Juifs d’Europe pour les orienter vers la Palestine, tel que planifié.

Le 19 novembre 1947, les Nations Unis partagèrent la Palestine en trois sections : une pour les Palestiniens, une pour les Juifs et une zone internationale à Jérusalem. Le 14 mai 1948, l’État d’Israël se mit à exister officiellement. Aujourd’hui, les Juifs contrôlent toute la Palestine, incluant Jérusalem, devenue la capitale d’Israël. Les Sionistes rêvent que Jérusalem soit la capitale du monde. Les trois-quart de la population de Jérusalem sont maintenant juifs, alors que le reste est demeuré palestinien. Les Juifs occupent la Côte Ouest, la Bande de Gaza et le Plateau du Golan. Ces régions seront éventuellement absorbées à l’intérieur d’Israël.

Les Sionistes juifs n’œuvrèrent pas seulement avec les Nazis pour forcer les Juifs à émigrer en Israël. L’érudit juif, Israël Shahak, a découvert ce qui suit : « Le gouvernement israélien instigua l’immigration juive d’Irak en corrompant le gouvernement irakien  pour qu’il dépouille les Juifs irakiens de leur citoyenneté et qu’il confisque leurs propriétés. »[8] De plus, les Sionistes du gouvernement américain persuadèrent Franklin Roosevelt de ne pas permettre l’immigration des Juifs aux États-Unis, tôt dans la Deuxième Guerre Mondiale, pour qu’ils soient forcés de s’enfuir en Israël. La relation étroite existant entre les Juifs ashkénazes et les Nazis apparaît quand on jette un coup d’œil sur les personnages qui assistèrent Israël. Plusieurs seront surpris d’apprendre que la personne qui s’occupa le plus de l’établissement et de la formation du notoire Mossad (Renseignements Militaires Israéliens) n’était nul autre que Reinhard Gelhen, ancien chef des Renseignements nazis d’Hitler sur le Front oriental.[9]

On doit se rappeler que le nazisme n’est qu’une saveur différente de la philosophie marxiste qui produisit le communisme. Le nazisme, c’est le socialisme national, alors que le communisme est le socialisme international. Les deux formes de socialisme sont nées de Juifs talmudiques sionistes.

Le parti nazi a grandi à partir des cercles théosophiques allemands. Les théosophes étaient disciples de Madame Helena Blavatsky. Sa théosophie se fondait sur la Kabbale juive. La Kabbale est un bouquin occultiste de sorcellerie juive qui met en mémoire certaines des coutumes religieuses sataniques de l’ancienne Babylone. Kabbale veut littéralement dire « tradition ». Quand Jésus réprimanda les pharisiens concernant leurs traditions, Il Se référait vraisemblablement à leur Kabbale. « Pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? » (Matthieu 15:3, VM). La Franc-maçonnerie tire ses racines de la Kabbale. Il y a 33 étapes vers la perfection spirituelle dans la Kabbale, comme il y a 33 degrés dans le Rite écossais de la Franc-maçonnerie. Les Juifs pensent aussi que, par la Kabbale, ils peuvent exécuter les miracles de Jésus-Christ. Ce faisant, ils croient pouvoir devenir des Christs individuels (leur propre Messie) par la « perfection » spirituelle. Cela ressemble beaucoup à la doctrine du catholicisme romain où l’on considère que le prêtre catholique est un alter-christos (un autre Christ).

Jack Bernstein, qui était Juif ashkénaze, note la particularité du mot « nazi » et suggère qu’il soit dérivé du mot « ashkenazi » (Ashke-Nazi). Les similitudes dans les méthodes et les stratégies des Ashkénazes et des Nazis indiquent que c’étaient les deux têtes d’une même bête. Les Jésuites babyloniens sont le corps de cette bête. Cependant, elle possède plus que deux têtes. Les autres sont le communisme, le socialisme, le talmudisme, le sionisme, l’illuminisme, la franc-maçonnerie et le catholicisme. Les têtes peuvent parfois se mordre et grogner l’une contre l’autre, elles n’en marchent pas moins en accord avec les désirs du cœur avide de la bête qui est le jésuitisme satanique.

Le Troisième Reich allemand nazi nous donne une certaine idée de ce qu’aurait l’air un monde dirigé par les Sionistes. L’auteur et érudit israélien de renom, Israël Shahak, et Norton Mezvinsky, professeur d’histoire à l’Université de l’État du Connecticut, après de nombreuses années de profondes recherches, en vinrent à la conclusion suivante :

« Les similitudes entre la marche politique messianique juive et le nazisme allemand sont aveuglantes. Les Gentils sont aux messianistes ce que les Juifs étaient pour les nazis. La haine de la culture occidentale avec ses éléments rationnels et démocratiques est commune aux deux mouvements. Finalement, l’extrême chauvinisme des messianistes est dirigé contre tous les non Juifs. La guerre du Yom Kippour de 1973, par exemple, était, du point de vue d’Amital, non pas dirigée contre les Égyptiens, les Syriens et/ou tous les Arabes, mais contre tous les non-Juifs. La guerre fut donc dirigée contre la grande majorité des citoyens des États-Unis, même si les États-Unis aidèrent Israël dans cette guerre. Cette haine contre les non-Juifs n’est pas nouvelle, mais, comme nous l’avons déjà abordé, elle découle d’une longue tradition kabbalistique juive ininterrompue. Les érudits juifs qui ont tenté de dissimuler ce fait aux non-Juifs, et même à beaucoup de Juifs, ont, non seulement desservi le savoir, mais ils ont aidé son analogue allemand, le nazisme (…) Cette idéologie suppose la venue imminente du Messie et affirme que les Juifs, aidés par Dieu, vont par conséquent triompher des non-Juifs et régner sur eux pour toujours. »[10]

55. Le talmudisme, c’est le communisme

Nombreux est-on à croire que le Sionisme ne constitue que la lutte des Juifs pour se faire une patrie. Le Sionisme est bien davantage que l’établissement des Juifs dans une patrie palestinienne. Ce n’est là qu’une couverture pour un plan plus vaste visant à la direction du monde entier. Le Sionisme est l’enfant du Talmud, et le talmudisme, c’est le communisme. La révolution communiste de Russie fut planifiée et exécutée par les Juifs selon les doctrines de leur Talmud. Des 556 leaders conspirateurs de l’état bolchevique, en 1918-19, il y avait 17 Russes, 2 Ukrainiens, 11 Arméniens, 35 Latviens, 15 Allemands, un Hongrois, 10 Géorgiens, 3 Polonais, 3 Finlandais, un Tchèque, un Karaïte et 457 Juifs.[11] Comme le souligne Robert Wilton dans son livre, Les derniers jours des Romanov, la révolution communiste ne fut pas une insurrection par des Russes, mais plutôt une invasion secrète par les Juifs. Comme, en 1983, le Premier Ministre de l’Union soviétique était un Juif (Andropov) et 23 des 25 membres du Politburo (la clique dirigeante soviétique) étaient Juifs. En outre, tous les membres dirigeants de l’armée et de la police soviétique étaient Juifs.[12]

« Les Allemands savaient ce qu’ils faisaient lorsqu’ils expédièrent le paquet de Juifs de Lénine en Russie. Ils les choisirent comme agents de destruction. Pourquoi ? Parce que les Juifs n’étaient pas Russes et que, pour eux, la destruction de la Russie faisait partie de la besogne, révolutionnaire ou financière. Tout le compte-rendu du bolchevisme en Russie est marqué de manière indélébile de l’estampille de l’invasion étrangère. Le meurtre du tsar, délibérément planifié par le juif Sverdlov (venu en Russie comme agent payé par l’Allemagne) et exécuté par les juifs Goloschekin, Syromolotov, Safarov, Voikov et Yukovsky, n’est pas une action du peuple russe, mais de cet envahisseur hostile. »[13]

Comme le releva le Colonel Jack Mohr : « Une des plus grandes difficultés rencontrées par les pharisiens talmudiques avait été d’amener le communisme au pouvoir sans éveiller les soupçons sur son origine talmudique. »[14] Toutefois, la preuve directe et circonstancielle que la révolution communiste en Russie fut une conspiration perpétrée par les Juifs talmudiques est accablante. Comme preuve circonstancielle qui souligne le contrôle juif de la révolution communiste, disons qu’une fois que les communistes eurent saisi le pouvoir en Russie, la première loi qu’ils passèrent fit de l’anti-sémitisme un crime punissable de mort.[15] Alors que les bâtiments d’églises chrétiennes étaient transformés en étables d’animaux, en abattoirs ou en salles de danse, on ne toucha pas aux synagogues juives.[16] Les pasteurs chrétiens furent relevés de leur devoirs pastoraux et forcés de travailler sur les routes et dans des camps de travaux d’esclaves ; pourtant, on permit aux rabbins juifs de continuer leurs devoirs cléricaux.[17]

Moïse Mordecaï Marx Levi, alias Karl Marx, était Juif, sataniste et membre de la « Ligue du Juste », branche des Illuminati.[18] En 1847, Marx fut chargé par les Illuminati d’écrire le Manifeste communiste qui est un profil de leurs plans de domination mondiale.[19] Comment les talmudistes illuminati savaient-ils que leur canevas de subjugation d’un pays, tel qu’avancé dans le manifeste communiste, marcherait ? Il savaient que cela pouvait marcher parce que les Jésuites eurent 150 ans pour raffiner la méthode. Entre 1600 et 1750, les Jésuites contrôlèrent un quart de million d’indigènes ignorants du Paraguay dans plus de 30 communes qu’ils appelaient des « réductions ».[20] Les Jésuites s’étaient faits maîtres de ces pauvres esclaves dont le labeur rendit l’Ordre immensément riche. Les leçons apprises dans les « réductions » furent mémorisées dans le manifeste communiste.

Les Juifs talmudiques ont réussi à empêcher toute révélation au sujet de leur implication dans le projet d’un nouvel ordre mondial communiste en attribuant à quiconque exposerait leurs efforts l’étiquette d’anti-sémite. Ce que peu comprennent, c’est que ceux qui proclament être l’objet d’anti-sémitisme ne sont pas Sémites du tout. Les Sémites sont ceux qui descendent de Sem, le fils aîné de Noé. La plupart des Juifs vivant en Israël et partout dans le monde aujourd’hui sont des Européens de l’est convertis à une religion qu’ils déclarent être du judaïsme, mais qui, en fait, est du talmudisme babylonien. Les Européens qui se convertirent ultérieurement à cette forme babylonienne de judaïsme sont connus sous le nom de Juifs ashkénazes ou Khazars. Le Dr Benjamin H. Freedman, ancien Juif qui, par la grâce de Dieu, s’est converti au christianisme, déclare que les Khazars étaient une nation païenne dont le culte religieux était un mélange de culte phallique et d’autres formes d’idolâtrie. Au 7e siècle, leur roi Bulkan choisit le talmudisme, que la plupart appellent maintenant judaïsme, comme religion d’état.[21] Les Juifs Khazars sont aujourd’hui appelés « Yiddish ». Dans l’Apocalypse, Dieu Se réfère à ces Juifs talmudiques ashkénazes comme des Juifs qui se disent Juifs, et qui n’en sont pas, mais qui sont plutôt la « synagogue de Satan ».

« Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9, VM).

« Voici, je ferai venir ceux de la Synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent ; voici, dis-je, je les ferai venir et se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’aime » (Apocalypse 3:9, VM).

[N. du T. : Nous aimerions souligner ici un trait de la généalogie que Dieu a enregistrée dans Sa Parole. Veuillez remarquer ce que l’on trouve dans la Genèse et dans les Chroniques :

« Les enfants de Japhet sont Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méshec, et Tiras. 3Et les enfants de Gomer : Askénaz, Riphath, et Togarma » (Genèse 10:2-3, VM).

« Les enfants de Japheth furent Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Mésec et Tiras. 6Les enfants de Gomer furent Askénaz, Riphath et Togarma » (1 Chroniques 1:5-6, VM).

Maintenant, suivez la généalogie d’Abraham :

« Fils de Sem [les Sémites] : Élam, Assur, Arpacshad, Lud, Aram, Uts, Hul, Guéther et Méshec. 18Arpacshad engendra Shélach ; et Shélach engendra Héber. 19Deux fils naquirent à Héber [les Hébreux] : l’un s’appelait Péleg (partage), parce que de son temps la terre fut partagée ; et le nom de son frère était Jockthan. 20Jockthan engendra Almodad, Shéleph, Hatsarmaveth, Jérach, 21Hadoram, Uzal, Dikla, 22Ébal, Abimaël, Shéba, 23Ophir, Havila et Jobab ; tous ceux-là furent fils de Jockthan. 24Sem, Arpacshad, Shélach, 25Héber, Péleg, Réhu, 26Sérug, Nachor, Tharé, 27Abram, qui est Abraham » (1 Chroniques 1:17-27, VO).

Ces « fils d’Askénaz » modernes ne peuvent en aucune façon prétendre à la lignée sémite. Jamais n’ont-ils été de la descendance d’Abraham. Ce sont donc des Gentils, des païens et leur propre Talmud les condamne ! N’est-ce pas étrange ?]

Les Juifs ashkénazes forment un peuple sans allégeance à aucune nation. Leur objectif premier est de s’emparer du monde entier. Pour avoir une idée de l’infâme objectif de ces talmudistes, lisons la lettre qu’écrivit Baruch Levy à Karl Marx, en 1879 :

« Le peuple juif dans son entier sera son propre messie. Il achèvera sa domination mondiale par la dissolution des autres races, par l’abolition des frontières, l’annihilation de la monarchie et l’établissement d’une république mondiale dans laquelle les Juifs exerceront partout leur privilège de citoyenneté. Dans ce nouvel ordre mondial, les enfants d’Israël fourniront tous les dirigeants sans rencontrer d’opposition. Les gouvernements des différents peuples formant la république du monde tomberont sans difficulté dans les mains des Juifs. Il deviendra alors possible aux dirigeants juifs d’abolir la propriété privée et de faire partout usage des ressources de l’état. Ainsi, les promesses du Talmud seront accomplies, dans lesquelles il est dit que, lorsque le temps messianique sera venu, les Juifs auront tous les biens du monde entre leurs mains. »[22]

56. Menace juive sur les États-Unis

Charles Cotesworth Pinckney, délégué de la Caroline du Sud à la Convention Constitutionnelle de Philadelphie de 1787, enregistra, dans son journal intime, la déclaration prophétique suivante faite par Benjamin Franklin durant une intermission de la Convention Constitutionnelle :

« Je suis pleinement d’accord avec le Général Washington lorsqu’il dit que nous devons protéger notre jeune nation des influences insidieuses et des pénétrations captieuses. La menace, messieurs, vient des Juifs.

« Dans les pays où les Juifs se sont installés en grand nombre, ils en ont abaissé la voix morale ; déprécié l’intégrité commerciale ; se sont isolés sans se laisser assimiler ; se sont moqué de la religion chrétienne sur les bases de laquelle cette nation était fondée et ont essayé de la miner, en s’objectant à ses restrictions ; ils ont érigé un état à l’intérieur de l’état ; et, lorsqu’ils rencontraient une opposition, tentaient d’étrangler financièrement à mort le pays, comme c’est le cas en Espagne et au Portugal.

« Depuis plus de 1 700 ans, les Juifs pleurent sur leur sort malheureux en se lamentant qu’ils ont été exilés de leur patrie, comme ils appellent la Palestine. Mais, messieurs, le monde le leur donnerait-il sans conditions qu’ils se trouveraient immédiatement une raison de ne pas y retourner ! Pourquoi ? Parce que ce sont des vampires, et les vampires ne vivent pas des vampires. Ils ne peuvent vivre entre eux seulement. Ils doivent subsister sur le dos des chrétiens et des autres peuples qui ne sont pas de leur race.

« Si vous ne les excluez pas des États-Unis, dans notre Constitution, dans moins de 200 ans, ils auront essaimé ici en si grand nombre qu’ils domineront le pays, le dévoreront et changeront la forme de gouvernement pour laquelle nous, Américains, avons répandu notre sang, donné nos vies, notre substance et mis en jeu notre liberté.

« Si vous ne les excluez pas, en moins de 200 ans, nos descendants travailleront dans les champs pour leur bâtir une fortune, pendant qu’ils seront à se frotter les mains dans les maisons de comptes. Je vous avertis, messieurs, que si vous n’excluez pas les Juifs pour toujours, vos enfants vous maudirons sur vos tombes.

« Les Juifs, messieurs, sont asiatiques, laissons-les naître là-bas, sinon, peu importe le nombre de générations qu’ils seront hors d’Asie, ils ne seront jamais autre chose qu’asiatiques. Leurs idées ne se conforment pas à celles des Américains, et ne le feront pas même s’ils demeurent parmi nous pendant dix générations. Un léopard ne peut changer ses taches. Les Juifs sont asiatiques, une menace pour notre pays, si nous leur permettons d’entrer, et c’est pour cela qu’ils devraient être exclus par cette Convention Constitutionnelle. »[23]

Benjamin Franklin fait référence à l’opinion de George Washington en ce qui regarde les Juifs. Quelle était l’opinion de George Washington ? « Ils [les Juifs] oeuvrent plus efficacement contre nous que les armées ennemies. Ils sont cent fois plus dangereux pour nos libertés et la grande cause dans laquelle nous nous sommes engagés (…) Il y a de quoi se lamenter de constater que chaque état ne les a pas chassés il y a longtemps, comme la peste de la société qu’ils sont et les ennemis les plus grands que nous ayons eus contre le bonheur de l’Amérique. »[24]

Benjamin Franklin et George Washington étaient-ils anti-sémites ? Non, ils comprenaient simplement les dangers réels posés par les Juifs talmudiques, qui n’étaient pas du tout Sémites.

Cette conspiration visant à diriger le monde se trame entre de soi-disant Juifs, qui ne sont pas de vrais Juifs, et de soi-disant chrétiens, qui ne sont pas de vrais chrétiens. Un vrai Juif est celui qui accepte Jésus en tant que Messie. Romains 9:6 : « …mais tous ceux qui sont d’Israël, ne sont pas pourtant Israël. » « Car celui-là n’est point Juif, qui ne l’est qu’au-dehors, et celle-là n’est point la véritable Circoncision, qui est faite par dehors en la chair. 29Mais celui-là est Juif, qui l’est au-dedans ; et la véritable Circoncision est celle qui est du cœur en esprit, et non pas dans la lettre ; et la louange de ce Juif n’est point des hommes, mais de Dieu » (Romains 2:28-29, VM).

57. Les Protocoles des Sages de Sion

Non seulement ces Juifs talmudiques ont-ils manifesté leur malveillance, mais ils ont mis leur plan de domination par écrit. Les Protocoles des Sages de Sion est un schéma du plan ourdi par les Juifs talmudiques pour diriger le monde. Les Protocoles furent consignés par le Concile juif international tenu à Bâle, en Suisse, en 1879. Les Protocoles nous apparaissent comme la somme des plans d’une conspiration existant depuis bien avant qu’ils aient été mis en mémoire à la réunion de 1879. Les Protocoles contiennent la formule utilisée par les Sionistes mégalomaniaques pour lancer l’offensive en vue de la direction sur le monde. Bien que certains Juifs aient proclamé que les Protocoles soient un faux, reconnaissons qu’un faux n’est que la copie non autorisée d’un original. Les Juifs talmudiques n’ont jamais remis en question l’authenticité des Protocoles originaux, qui furent écrits en hébreux, ils n’ont toujours attaqué que la version anglaise. D’autres, sans aucune preuve pour étayer leur déclaration, ont supposé que, bien que les Protocoles soient véritables, ils ont été altérés jusqu’à un certain point afin de se référer aux Juifs. Les événements historiques ont confirmé que les Juifs talmudiques suivent le plan élaboré dans les Protocoles.

En 1884, la fille d’un général russe, Mademoiselle Justine Glinka, s’efforçait de servir sa patrie, à Paris, en obtenant des renseignements politiques. Elle fit part de ses plans au Général Orgevskii, à Saint-Pétersbourg. Elle employa un Juif dans ce but, Joseph Schorst, membre de la Loge Mizraïm (Rite Oriental de la Franc-maçonnerie), à Paris. Schorst offrit de lui obtenir un document de grande importance pour la Russie, au prix de 2 500 francs. Mlle Glinka reçut l’argent de Saint-Pétersbourg et obtint le document qui s’avérait être les Protocoles des Sages de Sion.

Elle expédia l’original français des Protocoles, accompagné d’une traduction russe, au Général Orgevskii qui, à son tour, les remit à son supérieur, le Général Cherevin, pour livraison au Tsar. Cheverin, toutefois, était sous le contrôle de Juifs fortunés et, conséquemment, refusa de transmettre les Protocoles. Cheverin classa simplement les Protocoles dans les archives russes.

Plusieurs années plus tard, Mlle Glinka donna une copie des Protocoles au maréchal de noblesse de son district, Alexis Sukhotin. Celui-ci montra le document à deux amis, Stepanov et le professeur Sergius A. Nilus. Le professeur Nilus publia les Protocoles à Tsarskoe-Tselc, en Russie, en 1901, dans un livre intitulé Le grand à l’intérieur du petit. Le 10 août 1906, ou au environ, une copie des Protocoles fut déposée au British Museum. Pendant ce temps, le procès-verbal des débats du congrès de Bâle de 1897 avait été obtenu par les membres juifs de la police russe et ils confirmèrent les plans élaborés par les Protocoles.

En janvier 1917, le professeur Nilus avait préparé une seconde édition des Protocoles, avec des renseignements additionnels, pour être publiée. Mais avant qu’il puisse la mettre sur le marché, la Révolution bolchevique eu lieu en mars 1917. Kerensky prit le pouvoir et ordonna que le livre de Nilus soit détruit. En 1924, le professeur Nilus fut arrêté par la Cheka (police secrète russe) à Kiev. Il fut emprisonné et torturé. Le président juif de la cour dit à Nilus que le traitement qu’il avait reçu était une rétribution pour « nous avoir causé un mal incalculable en publiant les Protocoles », ce qui constitue la meilleure preuve de l’authenticité des Protocoles. Le professeur Nilus fut relâché pendant quelques mois, mais la Cheka l’arrêta bientôt à nouveau, cette fois à Moscou. Il fut détenu en prison jusqu’en 1926. Il mourut en exil dans le district de Vladimir, le 13 janvier 1929.

Toutes les copies existantes connues des Protocoles en Russie furent détruites durant le régime de Kerensky. La loi que suivirent les successeurs communistes de Kerensky disait que la possession d’une copie des Protocoles par quiconque en Union Soviétique était un crime punissable du tir à vue. Les énormes efforts que mirent les communistes à éradiquer les Protocoles est une autre preuve indéniable de la véracité desdits Protocoles.

L’authenticité des Protocoles peut, en outre, être confirmée par la lecture du Talmud. La nature diabolique et blasphématoire du Talmud se met facilement en parallèle avec ce que l’on trouve dans les Protocoles. De plus, l’authenticité des Protocoles s’établit par le fait que les détails du plan se sont complètement implantés aux yeux du monde en Russie, en Europe de l’Est, en Chine, en Corée du Nord et au Vietnam. Le plan est en voie de s’implanter également en Europe de l’Ouest, en Amérique du Sud, en Afrique du Sud, aux États-Unis et dans de nombreux pays partout dans le monde.[25] Quand l’on regarde les personnages oeuvrant pour le monde communiste, on voit des Juifs talmudiques et leurs compagnons d’itinéraire, tels que les Maçons, exactement comme le stipulent les Protocoles. Benjamin Disraeli fit la déclaration suivante, en 1852, devant la Chambre des Communes anglaise, en regard du contrôle des nations par les Juifs talmudiques Khazars : « Le monde est gouverné par des personnages bien différents de ce qu’imaginent ceux qui ne sont pas derrière la scène (…) L’influence des Juifs peut se retracer dans la dernière éruption du principe destructeur de l’Europe. Une insurrection prend place contre la tradition et l’aristocratie, contre la religion et la propriété (…) Les sociétés secrètes, qui forment les gouvernements provisoires, proclament l’égalité naturelle des hommes et l’abrogation de la propriété, et des hommes de race juive se trouvent à la tête de chacune d’elles. »

Lorsque l’influence juive dans l’ordre des Jésuites fut publiquement révélée, les Jésuites prétendirent avoir passé, en 1593, une ordonnance qui interdisait à un Juif d’être Jésuite. Ce que les gens doivent comprendre, c’est que les Juifs talmudiques sont briseurs de lois par nature. Les Juifs ashkénazes sont maîtres de la séduction et de la prévarication. Les Jésuites sont avant tout diaboliquement rusés. En fait, « Jésuite » est défini par le Dictionnaire américain de langue anglaise de Noah Webster comme « une société remarquable par sa ruse à propager ses principes ».[26] « Jésuitisme » est défini comme « l’art, les principes et la pratique des Jésuites 2. Ruse, séduction, hypocrisie, prévarication. »[27] L’ordonnance de 1593 ne servit qu’à apaiser ceux qui étaient sous l’illusion que l’Église catholique constituait « la » seule Église chrétienne du monde et qui s’inquiétaient que les Juifs aient une pareille influence et un tel pouvoir dans l’église. L’ordonnance couvrait les Juifs ashkénazes qui s’étaient infiltrés chez les Jésuites et contrôlait leur Ordre, et mit fin à la controverse. Néanmoins, la réalité demeurait : les Jésuites sont des crypto-Juifs qui pratiquent la Kabbale et suivent le Talmud. Par exemple, un des plus influents Jésuites de l’histoire, Emanuel de Lacunza (1731-1801), était Juif. Il se joignit aux Jésuites longtemps après qu’ait été adopté le supposé décret prohibant aux Juifs de devenir Jésuites.

Les Jésuites sont l’éminence grise derrière plusieurs, sinon la plupart, des publications notoires de l’histoire, y compris les Protocoles et Mein Kamf. Le catholique romain, Otto Strasser, un des fondateurs du Parti Nazi, révéla, dans son livre Hitler et moi, que l’infâme livre de propagande nazie, Mein Kamf, censément écrit par Adolf Hitler, ne fut pas, en fait, écrit par Hitler. Selon Strasser, Mein Kamf fut secrètement rédigé pour Hitler par un prêtre jésuite du nom de Bernhardt Stempfle.[28] Par surcroît, l’ancien prêtre jésuite, Alberto Rivera, révéla que les auteurs juifs des Protocoles le rédigèrent d’après les directives des Jésuites.[29] De la même manière que les Jésuites gouvernèrent le Concile de Trente de l’Église catholique romaine, ainsi conduisirent-ils également le Concile juif international qui rédigea les Protocoles. Ceux-ci exposent l’héritage talmudique babylonien des Jésuites. Ci-dessous, nous avons sélectionné quelques extraits tirés des Protocoles des Sages de Sion.

« Ne croyez pas que nos assertions sont des mots en l’air. Considérez le succès de Darwin, Marx et Nietzsche, préparé par nous. L’effet démoralisant des tendances de ces doctrines sur l’esprit des Gentils ne devrait certes pas nous échapper.[30]

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« Nous tenons à passer pour les libérateurs du travailleur, venus pour le délivrer de cette oppression en lui suggérant d’entrer dans les rangs de nos armées de socialistes, d’anarchistes et de communistes. Nous protégerons toujours ces derniers, feignant de les aider par principe de fraternité et d’intérêt général pour l’humanité, évoqué par notre Maçonnerie socialiste. La noblesse qui, de droit, partageait le travail des classes laborieuses, avait tout intérêt à ce qu’elles fussent bien nourries, saines et fortes. Notre intérêt veut, au contraire, la dégénérescence des Gentils. Notre force consiste à maintenir le travailleur dans un état constant de besoin et d’impuissance, parce qu’ainsi nous l’assujettissons à notre volonté ; et dans son entourage, il ne trouvera jamais ni pouvoir ni énergie pour se dresser contre nous. La faim conférera au Capital des droits plus puissants sur le travailleur que jamais le pouvoir légal du souverain n’en conféra à l’aristocratie.[31]

*   *   *

« Cette haine sera encore accrue par l’effet que produiront les crises économiques qui arrêteront les marchés et la production. Nous créerons une crise économique universelle par tous les moyens détournés possibles et à l’aide de l’or qui est entièrement entre nos mains. Simultanément, nous jetterons à la rue, dans toute l’Europe, des foules énormes d’ouvriers. Ces masses seront alors heureuses de se précipiter sur ceux que, dans leur ignorance, elles ont jalousés dès l’enfance : elles répandront leur sang et pourront ensuite s’emparer de leurs biens.

« On ne nous fera pas de mal, parce que le moment de l’attaque nous sera connu et que nous prendrons des mesures pour protéger nos intérêts.[32]

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« C’est pourquoi nous devons arracher de l’esprit des chrétiens [Gentils, goïm] jusqu’à la conception même de Dieu et la remplacer par des calculs arithmétiques et des besoins matériels.[33]

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« Pour s’assurer l’opinion publique, il faut, tout d’abord, l’embrouiller complètement en lui faisant entendre de tous côtés et de toutes manières des opinions contradictoires, jusqu’à ce que les Gentils soient perdus dans leur labyrinthe. Ils comprendront alors que le meilleur parti à prendre est de n’avoir aucune opinion en matière politique ; matière qui n’a pas été comprise du public, mais qui doit être exclusivement réservée à ceux qui dirigent les affaires. Ceci est le premier secret.

Le second secret, nécessaire au succès de notre gouvernement, consiste à multiplier à un tel degré les fautes, les habitudes, les passions et les lois conventionnelles du pays que personne ne soit plus capable de penser clairement dans ce chaos ; les hommes cesseront ainsi de se comprendre les uns les autres. Cette politique nous aidera également à semer des dissensions parmi tous les partis, à dissoudre toutes les puissantes collectivités et à décourager toute initiative individuelle pouvant gêner nos projets. Il n’est rien de plus dangereux que l’initiative personnelle : s’il y avait un cerveau par derrière, elle pourrait nous faire plus de mal que les millions d’individus que nous avons mis aux prises. Il nous faut diriger l’éducation des sociétés chrétiennes, de telle façon que, chaque fois que l’initiative est requise pour une entreprise, elles s’avouent désespérément vaincues. La tension produite par la liberté d’action perd de sa force dès qu’elle se heurte à la liberté d’autrui ; de là, les chocs moraux, les déceptions et les échecs. Par tous ces moyens nous opprimerons tant les Chrétiens [goïm] qu’ils seront contraints de nous demander de les gouverner internationalement. Dès que nous aurons atteint une telle position, nous pourrons aussitôt absorber toutes les puissances gouvernementales du monde entier et former un super gouvernement universel.[34]

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« Afin de ruiner l’industrie des Gentils et d’activer la spéculation, nous encouragerons l’amour du luxe effréné que nous avons déjà développé. Nous augmenterons les salaires, ce qui ne soulagera pas les ouvriers, car, en même temps, nous élèverons le prix des objets de première nécessité, sous prétexte de mauvaises récoltes. Nous voulons aussi miner la production dans sa base en semant des germes d’anarchie parmi les ouvriers et en flattant leur goût pour l’alcool. Nous emploierons, en même temps, tous les moyens possibles pour chasser de la terre toute l’intelligence des Gentils.[35]

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« Nous sommes la source d’une terreur s’étendant au loin. Nous avons à notre service des gens de toute opinion et de tous les partis : des hommes désireux de rétablir les monarchies, des socialistes, des communistes et des partisans de toutes sortes d’utopies. Nous les avons tous mis sous le harnais ; chacun, à sa manière, mine le reste du pouvoir et essaye de détruire les lois existantes. Par ce procédé, tous les gouvernements sont torturés ; ils hurlent pour réclamer le repos ; et, pour l’amour de la paix, ils sont prêts à tous les sacrifices. Mais nous ne leur laisserons aucune paix jusqu’à ce qu’ils aient reconnu notre super gouvernement international.[36]

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« Pour arriver à de tels résultats, nous prendrons nos mesures, afin qu’on nomme des présidents ayant à leur passif un scandale comme le “Panama”, ou quelque autre affaire louche du même genre. Un président de cet acabit sera le fidèle exécuteur de nos plans, parce qu’il craindra d’être découvert, et sera dominé par cette peur qui s’empare toujours d’un homme parvenu au pouvoir et qui désire vivement conserver les privilèges et les honneurs que lui confère sa haute charge. La Maison des Représentants élira, protégera et masquera le président ; mais nous retirerons à cette chambre son pouvoir d’introduire et de modifier les lois. Nous donnerons ce pouvoir au président responsable, qui sera comme une marionnette entre nos mains. Le pouvoir du président deviendra, en pareil cas, une cible exposée à toutes sortes d’attaques, mais nous lui donnerons un moyen de défense dans son droit d’appel au peuple par-dessus la tête des députés de la nation, c’est-à-dire qu’il en appellera directement au peuple composé de nos esclaves aveugles – la majorité de la populace. De plus, nous conférerons au président le pouvoir de proclamer la loi martiale. Nous expliquerons cette prérogative par le fait que le président, étant le chef de l’armée, doit la tenir sous son autorité pour protéger la nouvelle Constitution républicaine ; il doit sa protection à cette Constitution dont il est le représentant responsable.[37]

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« Les Gentils sont comme un troupeau de moutons – nous sommes les loups. Et savez-vous ce que font les moutons lorsque les loups pénètrent dans la bergerie ?[38]

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« Tant que nous n’aurons pas atteint le pouvoir, nous tâcherons de créer et de multiplier les Loges de francs-maçons dans toutes les parties du monde. Nous attirerons dans ces Loges tous ceux qui peuvent revêtir la mentalité publique ou qui en sont déjà revêtus, car ces Loges seront les principaux lieux où nous recueillerons nos renseignements en même temps qu’elles seront des centres de propagande. Nous centraliserons toutes ces Loges sous une direction unique, connue de nous seuls et constituée par nos Sages. Ces Loges auront également leurs propres représentants, afin de masquer les véritables dirigeants. Et ces dirigeants auront seuls le droit de désigner les orateurs et de tracer l’ordre du jour. Dans ces Loges, nous resserrerons les liens de toutes les classes socialistes et révolutionnaires de la société. Les plans politiques les plus secrets nous seront connus, et, dès qu’ils seront formés, nous en dirigerons l’exécution. Presque tous les agents de la police internationale et secrète seront des membres de nos Loges. Les services de la police sont d’une extrême importance pour nous, car ils peuvent masquer nos entreprises, inventer des explications plausibles du mécontentement des masses, aussi bien que punir ceux qui refusent de se soumettre.[39]

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« La plus grande force des temps présents est concentrée entre nos mains : c’est l’or. En deux jours, nous pouvons en faire sortir de nos trésors secrets n’importe quelle somme.[40]

Ceux qui suivent sont d’intéressants passages semblant prédire la destruction du Vatican par les nations du monde.

« Quand le moment sera venu pour nous de détruire complètement la Cour pontificale, une main inconnue indiquant le Vatican donnera le signal de l’assaut. Lorsque, dans sa fureur, le peuple se jettera sur le Vatican, nous apparaîtrons comme des protecteurs pour arrêter l’effusion du sang. Par cet acte, nous pénétrerons jusqu’au cœur même de cette Cour pontificale, d’où rien au monde ne pourra nous chasser, jusqu’à ce que nous ayons détruit la puissance du Pape.[41]

Cela ressemble beaucoup à la prophétie que l’on trouve dans le livre de l’Apocalypse.

« Mais les dix cornes que tu as vues à la bête, sont ceux qui haïront la prostituée, qui la désoleront, la dépouilleront, et mangeront sa chair, et la brûleront au feu. 17Car Dieu a mis dans leurs cœurs de faire ce qu’il lui plaît, et de former un même dessein, et de donner leur Royaume à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. 18Et la femme que tu as vue, c’est la grande Cité, qui a son règne sur les Rois de la terre » (Apocalypse 17:16-18, VM).

Les cornes de la bête sont dix rois sur la bête chevauchée par la grande prostituée qui est assise sur sept montagnes — le Vatican (Apocalypse 17). Les Protocoles  ont entamé la planification de la destruction du Vatican. Ils semblent également avoir pourvu à l’entrée en scène de l’antichrist. « LE ROI D’ISRAËL DEVIENDRA LE VRAI PAPE DE L’UNIVERS, LE PATRIARCHE DE L’ÉGLISE INTERNATIONALE. »[42]

58. Les États-Unis sous le joug juif

Cette conspiration s’est déjà fait sentir partout dans le monde, y compris aux États-Unis. L’auteur britannique de renom et journaliste au Times de Londres, lors de la Deuxième Guerre Mondiale, Douglas Reed, révéla :

« Le pouvoir monétaire et le pouvoir révolutionnaire ont été érigés et départagés en deux silhouettes symboliques (“capitalisme” et “communisme”), et nettement définies dans deux citadelles (“l’Amérique” et “la Russie”). Pour alarmer bien à propos l’imaginaire collectif, l’illustration offerte est celle d’une triste hostilité et d’une confrontation sans espoir (…) Mais qu’en serait-il si des hommes semblables avec des visées communes dirigeaient secrètement dans les deux camps ? (…) Je crois que tout étudiant de notre époque le moindrement diligent découvrira que tel est bien le cas. »[43]

Avons-nous des exemples de fonctionnaires dans le gouvernement américain ayant œuvré dans le sens d’un gouvernement mondial communiste sioniste ? Pour un, le Président américain, Franklin Roosevelt, fut secrètement guidé par un agenda communiste. Josephine Adams témoigna sous serment devant un sous-comité du Sénat des États-Unis qu’elle agissait comme courrier entre Earl Browder, alors chef du Parti communiste américain, et Franklin Roosevelt. Elle attesta avoir rencontré Roosevelt approximativement 40 fois durant une période de trois ans avant la mort du Président.[44] Elle affirma que les réunions avaient lieu soit à la demeure de Roosevelt, à Hyde Park, soit à la Maison Blanche.[45] Ce témoignage d’Adams fut plus tard confirmé par Browder lui-même, qui était fier du fait que F. D. Roosevelt appréciait la gouverne que lui prodiguait Browder.[46]

Une enquête du Congrès a révélé qu’en 1996, le Vice-président Al Gore trafiqua de son influence vis-à-vis du Gouvernement communiste chinois par le biais d’un intermédiaire israélien.[47]

Le représentant Louis T. McFadden, le 2 mai 1934, déclara dans une allocution radiophonique :

« Ce serait une erreur monstrueuse pour tout citoyen intelligent de quelque nation que ce soit que de fermer les yeux sur l’évidence factuelle démontrant que, depuis près de soixante ans, les Juifs ont grimpé, sûrement et rapidement, quoique de manière presque invisible, tous les échelons pour atteindre les sommets du gouvernement, là où les masses sont dirigées. Politiquement, financièrement et économiquement, ils ont saisi les rênes du gouvernement de toutes les nations, et leur invasion dans les domaines sociaux, éducationnels et religieux n’est pas moins importante. »[48]

Le congressiste McFadden, qui fut Directeur de la Chambre d’Établissement bancaire et du Comité du Cour monétaire, connaissait le pouvoir qu’exerçaient les Juifs et les calamités qu’ils causaient. Comme le prévoyaient les Protocoles, les Juifs talmudiques contrôlaient l’approvisionnement d’argent par une banque centrale (la Banque de Réserve Fédérale). Le congressiste McFadden déclara : « Elle [la dépression] ne fut pas accidentelle. Ce fut un événement soigneusement conçu (…) Les banquiers internationaux virent à ce que nous soyons entraînés ici dans une condition désespérante afin qu’ils puissent en émerger en tant que nos dirigeants à tous (…) Le résultat final, si les Pouvoirs internes y parviennent, sera le rêve de Montagu Norman, de la Banque d’Angleterre, qu’une “Hégémonie de la Finance mondiale devrait régner de façon suprême sur tout le monde, partout, comme un unique mécanisme de contrôle entier et supra-national.” »

Le représentant McFadden s’adressa à la Chambre des Représentants des États-Unis, le 10 juin 1932. « Certaines personnes croient que les banques de la Réserve Fédérale sont des institutions gouvernementales américaines. Ce ne sont pas des institutions gouvernementales. Ce sont des monopoles de crédit privé qui font leur proie du peuple des États-Unis pour leur bénéfice personnel et celui de leurs escrocs domestiques et étrangers, et les riches prêteurs d’argent prédateurs. »[49] Essentiellement, les Jésuites utilisèrent des politiciens corrompus pour faire passer l’Acte de la Réserve Fédérale qui leur donnait le monopole de l’impression de la monnaie de la nation.[50] L’Acte de la Réserve Fédérale légalise le vol de la part d’une poignée de banques commerciales sélectionnées composant la Réserve Fédérale. Des extraits de l’allocution de McFadden exposent la méthode qu’employèrent les Jésuites et leurs compagnons d’itinéraire ashkénazes pour obtenir leur pouvoir immense sur le gouvernement des États-Unis :

« Monsieur le Président, à la présente session du Congrès, nous avons dû traiter de situations d’urgence. Nous avons traité de leurs effets plutôt que de leurs causes. Dans cette allocution particulière, j’aborderai certaines causes qui ont mené à ces propositions. Il y a des principes sous-jacents responsables des conditions dans lesquelles nous vivons actuellement et je vais traiter de l’un d’eux en particulier et qui m’apparaît extrêmement important en regard de la considération que vous donnez à ce projet de loi.

« Monsieur le Président, nous avons, dans ce pays, une des institutions les plus corrompues que le monde ait connues. J’en réfère à l’Administration de la Réserve Fédérale et aux Banques de la Réserve Fédérale. L’Administration de la Réserve Fédérale, une administration gouvernementale, a fraudé le Gouvernement des États-Unis et le peuple des États-Unis d’un montant qui pourrait effacer la dette nationale. Les déprédations et les iniquités de l’Administration de la Réserve Fédérale ont coûté à ce pays assez d’argent pour payer la dette nationale plusieurs fois. Cette diabolique institution a appauvri et ruiné le peuple des États-Unis, l’a mis elle-même en banqueroute et a pratiquement fait faire faillite au Gouvernement. Elle l’a fait par le moyen des imperfections de la loi sous laquelle elle opère, au moyen de la mauvaise gestion de cette loi par l’Administration de la Réserve Fédérale, et au moyen des pratiques corrompues des vautours cupides qui la contrôlent.

« Certaines personnes pensent que les banques de la Réserve Fédérale sont des institutions du Gouvernement des États-Unis. Ce ne sont pas des institutions gouvernementales. Ce sont des monopoles de crédit privé qui font leur proie du peuple des États-Unis pour leur bénéfice personnel et celui de leurs escrocs domestiques et étrangers, et les riches prêteurs d’argent prédateurs. Dans ce sombre équipage de pirates financiers, il y en a qui couperaient un homme à la gorge pour lui soutirer un dollar de sa poche ; il y a ceux qui distribuent de l’argent dans les États pour acheter des votes afin de contrôler notre législation ; et il y a ceux qui soutiennent une propagande internationale dans le dessein de nous séduire et nous enjôler pour que nous leur accordions de nouvelles concessions qui leur permettront de couvrir leurs méfaits passés et remettre en mouvement leur train gigantesque de crimes.

« Ces douze monopoles de crédit privé furent trompeusement et déloyalement imposés à ce pays par les banquiers venus d’Europe qui récompensèrent notre hospitalité en minant nos institutions américaines. Ces banquiers prirent l’argent de notre pays pour financer le Japon dans sa guerre contre la Russie. Ils créèrent un règne de terreur en Russie avec notre argent afin que la guerre dure. Ils instiguèrent une paix séparée entre l’Allemagne et la Russie et ils enfoncèrent un coin entre les Alliés dans la Guerre Mondiale. Ils financèrent le passage de Trotski de New York à la Russie pour qu’il assiste à la destruction de l’Empire russe. Ils fomentèrent et incitèrent la Révolution russe et mirent de vastes fonds en dollars américains à la disposition de Trotski dans une de leurs succursales bancaires en Suède pour que, par lui, les foyers russes puissent être brisés en profondeur et que les enfants russes soient brusquement retirés des mains de leurs protecteurs naturels. Ils ont depuis entamé la cassure des foyers américains ainsi que la dispersion des enfants américains.

*   *   *

« En 1912, l’Association Monétaire Nationale, sous la direction du regretté Sénateur Nelson W. Aldrich, fit un rapport et présenta un bill vicieux appelé Bill de l’Association de la Réserve Nationale. Ce projet de loi est habituellement connu sous le nom de Bill Aldrich. Le Sénateur Aldrich ne rédigea pas le bill Aldrich. Il fut l’instrument, mais non le complice, des banquiers européens qui, depuis plus de douze ans, tramaient l’établissement d’une banque centrale dans notre pays et qui, en 1912, avaient dépensé, et continuaient encore de dépenser, de vastes sommes d’argent pour atteindre leur but.

« Le projet de loi Aldrich fut condamné dans le programme par lequel fut nommé Théodore Roosevelt, en l’an 1912, et, la même année, quand fut nommé Woodrow Wilson, le programme démocrate, tel qu’adopté à la convention de Baltimore, déclara expressément : « Nous sommes opposés au plan Aldrich d’une banque centrale. » C’était en langage clair. Les hommes qui dirigeaient le Pari démocrate promirent ensuite au peuple que s’il les reportait au pouvoir, il n’y aurait pas de banque centrale établie ici pendant qu’ils auraient les rênes du gouvernement. Treize mois plus tard, cette promesse fut brisée, et l’administration Wilson, sous la tutelle des tristes sires de Wall Street qui se tenaient derrière le Colonel House, établit ici, dans notre pays libre, l’institution monarchique et véreuse de la “banque du roi” pour nous contrôler de haut en bas, et pour nous entraver de chaînes du berceau au tombeau. L’Acte de la Réserve Fédérale détruisit notre ancienne façon caractéristique de faire des affaires ; il fit distinction contre notre bon d’escompte à nom unique, le meilleur au monde ; il installa le bon désuet à deux noms qui constitue à présent une malédiction pour notre pays, et qui a démoli tous les pays qui lui ont donné libre cour ; il a mis en place dans nos murs la tyrannie même de laquelle les charpentiers de notre Constitution voulaient nous sauver.

« Une des plus grandes batailles pour la préservation de notre République fut combattue ici à l’époque de Jackson, lorsque fut dissoute la Seconde Banque des États-Unis, fondée sur les mêmes faux principes que ceux dont nous donnons exemple dans l’Acte de la Réserve Fédérale. Après la dissolution de la Seconde Banque des États-Unis, en 1837, le pays fut mis en garde contre les dangers qui s’en suivraient si les capitalistes rapaces, après avoir été chassés, revenaient déguisés et s’unissaient à l’Exécutif et, par lui, acquéraient le contrôle du Gouvernement. C’est ce que firent les capitalistes rapaces lorsqu’ils revinrent dans la livrée de l’hypocrisie et que, sous de fausses prétentions, obtinrent l’adoption de l’Acte de la Réserve Fédérale.

« Le danger duquel le pays avait été averti nous tomba dessus et c’est ce que nous constatons dans le long train d’horreurs qui accompagne les affaires dont la perfide et malhonnête Administration de la Réserve Fédérale et les banques de la Réserve Fédérale sont pleinement responsables. Nous vivons une ère de crimes financiers et, dans le financement du crime, l’Administration de la Réserve Fédérale ne joue pas un rôle de spectateur désintéressé.

« L’on a dit que le rédacteur employé pour écrire le texte du projet de loi de la Réserve Fédérale utilisa un texte du bill Aldrich pour ce faire. On a dit que le langage du bill Aldrich avait été utilisé parce qu’il avait été conçu par des hommes de loi experts et qu’il semblait approprié. En vérité, il fut rédigé par des avocats. Le bill Aldrich fut créé par des banquiers d’escompte d’effets étrangers d’origine européenne à New York City. C’était une copie et, en général, une traduction des statuts de la Reichsbank et d’autres banques centrales européennes.

« Un demi million de dollars fut dépensé pour la propagande organisée par ces mêmes banquiers européens dans le dessein de méconduire l’opinion publique à son égard, et dans le but de donner au Congrès l’impression qu’il y avait une demande populaire irrésistible pour ce genre de législation bancaire et le genre d’unité monétaire allant avec, c’est-à-dire, une circulation d’avoirs basée sur les dettes et les obligations humaines au lieu de l’honnête devise basée sur la valeur de l’or et de l’argent. Le Dr H. Parker Willis fut employé par les banquiers et les propagandistes de Wall Street et, quand la mesure Aldrich n’aboutit à rien et qu’il obtint un emploi chez Carter Glass afin d’aider à rédiger un projet de loi bancaire pour l’administration Wilson, il s’appropria le texte du bill Aldrich dans ce but. Il n’y a pas de secret dans cela. Le texte de l’Acte de la Réserve Fédérale était corrompu dès le départ.

*   *   *

« Le Gouvernement fait dans les affaires bancaires comme jamais auparavant. Contre sa volonté, il s’est fait bailleur de fonds des voleurs de chevaux et des tricheurs aux cartes, des trafiquants d’alcool, des contrebandiers, des spéculateurs et des escrocs de toutes les parties du monde. Par le biais de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, la racaille de tous les pays opère grâce au crédit public de notre Gouvernement des États-Unis. Pendant ce temps, et en raison de cela, nous nous retrouvons au beau milieu de la plus grande dépression que nous ayons connue. Donc, la menace envers notre prospérité, que craignait tant le Sénateur Lodge, a frappé juste. De l’Atlantique au Pacifique, notre pays s’est vu ravagé et dévasté à cause des pratiques de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, ainsi que des capitalistes étrangers qui les contrôlent. À aucun moment de notre histoire le bien-être général du peuple américain n’a-t-il été si bas ou l’esprit du peuple si rempli de désespoir. Récemment, dans l’un de nos États, 60 000 foyers privés et de fermes ont été mis aux enchères en une seule journée. Selon le révérend père Charles E. Coughlin, qui témoigna plus tard devant un comité de cette Chambre, 71 000 maisons et fermes du Comté d’Oakland, au Michigan, ont été vendues et leurs anciens propriétaires dépossédés. Pareilles occurrences ont probablement eu lieu dans tous les comtés des États-Unis. Les gens qui ont été chassés ainsi sont les résidus de l’Acte de la Réserve Fédérale. Ils sont victimes de l’Administration déshonnête et sans scrupules de la Réserve Fédérale et de ses banques. Leurs enfants sont les nouveaux esclaves des ventes aux enchères dans un renouvellement de l’institution d’esclavage humain.

« En 1913, devant le Comité sénatorial des Banques et Devises, M. Alexander Lassen fit la déclaration suivante :

“Mais tout le plan de la banque de la Réserve Fédérale, grâce à son papier-monnaie basé sur une mécanique peu pratique et encombrante, n’est qu’une couverture pour trouver un moyen de s’assurer le privilège d’émettre la monnaie et d’échapper le plus possible à la taxe en circulation, et ensuite contrôler l’émission et maintenir, plutôt que réduire, les taux d’intérêt. Si ce système est inauguré, il sera à l’avantage d’une poignée au détriment du peuple américain. Cela signifiera l’insuffisance continuelle de véritable argent et l’extension incessante du crédit ; car lorsque le vrai argent manque, les gens doivent emprunter à crédit à leur coût.”

« Quelques jours avant que ne soit adopté l’Acte de la Réserve Fédérale, le Sénateur Elihu Root dénonça le projet de loi de la Réserve Fédérale comme étant un outrage à nos libertés et fit la prédiction suivante : “Bien avant que nous nous réveillions de nos rêves de prospérité à cause de l’inflation de la monnaie, notre or, qui seul aurait pu nous garder de la catastrophe, se sera envolé et aucun taux d’intérêt ne pourra le faire revenir.” Si jamais prophétie fut vraie, c’est bien celle-là. Il fut impossible, cependant, à ces penseurs lumineux et instruits de contrôler le cour des événements. Le 23 décembre 1913, le projet de loi de la Réserve Fédérale devint une loi et, ce soir-là, le Colonel House écrivit ce qui suit à son éminence grise de Wall Street :

“Je voudrais vous dire un mot d’appréciation pour le travail silencieux, mais sans aucun doute efficace, que vous avez effectué dans l’intérêt de la législation sur la monnaie et vous féliciter de ce que la mesure ait finalement été adoptée en loi. Nous savons tous qu’un bill entièrement parfait, à la satisfaction de tout le monde, eut été une impossibilité, et je suis assez sûr que, si le Président ne s’était pas tenu fermement debout comme il l’a fait, nous n’aurions probablement pas eu de législation du tout. Le bill est bon à bien des égards ; en tout cas, assez bon pour débuter avec et laisser l’expérience nous enseigner où il doit être perfectionné, ce que nous obtiendrons en temps et lieu. À tout événement, vous avez bien des raisons de vous gratifier de ce qui a été accompli.”

« Les mots “si le Président ne s’était pas tenu fermement debout comme il l’a fait, nous n’aurions probablement pas eu de législation du tout,” était un léger rappel que c’était le Colonel House lui-même, le “saint moine”, qui avait affermi le Président.

« La lettre qui précède offre une preuve frappante de la manière par laquelle les capitalistes rapaces virent alors à contrôler le Gouvernement des États-Unis en mettant dans l’entourage de l’Exécutif la personnalité et l’influence d’un Judas financier. Laissé à lui-même et à la conduite de ses propres fonctions législatives sans subir de pression de la part de l’Exécutif, le Congrès n’aurait pas adopté l’Acte de la Réserve Fédérale. D’après le Colonel House, et puisque c’était là le rapport donné à son maître, nous pouvons croire que c’est la vérité, l’Acte de la Réserve Fédérale fut adopté parce que Wilson tint bon ; en d’autres mots, parce que Wilson était sous le contrôle et la conduite des usuriers les plus féroces de New York par le biais de leur laquais, House. L’Acte de la Réserve Fédérale devint une loi deux jours avant Noël, en l’an 1913, et, peu après, les banquiers allemands internationaux, Khun, Loeb & Cie., envoyèrent un de leurs partenaires pour la diriger.

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« D’immenses sommes appartenant à nos dépôts bancaires nationaux furent données à l’Allemagne sans aucune garantie. L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ont émis des devises américaines sur simples lettres de change financières rédigées par les Allemands. Notre argent a été pompé par coups de milliards de dollars vers l’Allemagne et l’est encore par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Ses papiers sans valeurs sont encore négociés ici et renouvelés sur le crédit public du Gouvernement des États-Unis, et cela aux frais du peuple américain. Le 27 avril 1932, l’établissement de la Réserve Fédérale envoya 750 000 $, en or appartenant aux dépôts bancaires nationaux, à l’Allemagne. Une semaine plus tard, un autre 300 000 $ en or fut expédié en Allemagne de la même façon. Autour de la mi-mai, un montant de 12 000 000 $ en or fut envoyé en Allemagne par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Presque à chaque semaine, il y a un embarquement d’or expédié en Allemagne. Ces envois ne sont pas faits sur profit d’échange, puisque le mark allemand est sous la parité avec le dollar.

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« En 1930, alors que les banques spéculatives sortaient en bourse aux frais du grand public, l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques leur avançait 13 022 782 000 $. Cela démontre que, lorsque les banques risquaient le crédit public des États-Unis sur représentation de la devise de la Réserve Fédérale, elles étaient subventionnées pour tout montant qu’elles demandaient à l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Quand l’escroquerie commençait à chuter, les banquiers le savaient d’avance et se retiraient du marché. Elles en sortaient en sauvant leur peau et laissaient le peuple des États-Unis payer la note.

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« C’est l’escroquerie de la Loi John qui se répète. Le vol du Teapot Dome était insignifiant comparé à cela. Y a-t-il un roi qui ait volé ses sujets comme nous volent l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ? Est-il étonnant qu’il y ait eu dernièrement quatre-vingt-dix cas de manque de nourriture dans un des hôpitaux de New York ? Est-il étonnant que les enfants de notre pays soient dispersés et abandonnés ?

« Le Gouvernement et le peuple des États-Unis ont été escroqués par des filous de haut vol pour qui l’acquisition de l’or américain ou une parcelle des billets de la Réserve Fédérale ne présente pas plus de difficulté que de rédiger la moindre des créances dans un pays qui n’est pas sujet aux mêmes lois que les États-Unis, par des tricheurs non sujets à la juridiction des cours américaines, et tricheurs grâce à un puissant “receleur” bancaire installé de ce côté-ci de l’océan — un “receleur” agissant comme réceptionnaire des papiers sans valeur provenant de l’étranger, les endossant et retirant la devise des banques de la Réserve Fédérale le plus rapidement possible, puis échangeant cette devise pour de l’or et, à son tour, transmettant l’or à ses complices étrangers.

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« Quelques jours auparavant, le Président des États-Unis, le visage blême et les mains tremblantes, se présenta devant le Sénat au nom des capitalistes et demanda au Sénat que l’on prélève une taxe sur le peuple pour que ces étrangers puissent savoir que les États-Unis paieraient leur dette envers eux. La plupart des Américains croyaient que c’était le contraire. Que doivent les États-Unis aux étrangers ? Quand et par qui la dette fut-elle encourue ? Elle fut encourue par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques lorsqu’elles colportèrent la signature de ce Gouvernement-ci aux étrangers en y mettant le prix. C’est ce prix que le Gouvernement des États-Unis doit payer pour racheter les obligations de l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Allez-vous laisser ces voleurs s’en tirer indemnes ? Y a-t-il une loi pour le pillard qui roule en limousine jusqu’aux portes du Trésor américain et une autre loi pour le vétéran des États-Unis qui dort sur le plancher d’une maison délabrée dans les faubourgs de Washington ?

« Le Chemin de fer Baltimore & Ohio demande ici un gros emprunt à soutirer du peuple, des salariés et des payeurs de taxes américains. Il demande l’aumône au Gouvernement. Il se présente, chapeau bas, à la porte de la Corporation de Restauration Financière, là où tous les autres chacals sont assemblés pour le festin. Il demande de l’argent qui a été perçu du peuple par taxation, et il veut cet argent du pauvre pour qu’en profite Kuhn, Loeb & Cie., les banquiers allemands internationaux. Y a-t-il une loi pour le Chemin de fer Baltimore & Ohio et une autre pour les vétérans nécessiteux qu’il a jeté en dehors de ses wagons l’autre jour ? Y a-t-il une loi pour les onctueux escrocs prospères qui se donnent le nom de banquiers et une autre loi pour les soldats qui ont défendu le drapeau des États-Unis ?

*   *   *

« Il va nous falloir vingt ans pour racheter notre Gouvernement. Vingt ans de travaux forcés pour payer les dettes de jeu des traîtres de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, et regagner le vaste flot des salaires et des épargnes des Américains, de leurs dépôts bancaires, et du crédit du Gouvernement des États-Unis que l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ont exportés en dehors de notre pays vers leurs patrons étrangers.

« L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ont dirigé dernièrement ici une campagne anti-réserve. Puis, elles ont pris cet argent d’extra, qu’elles ont persuadé les gens de mettre en banque, et elles l’ont envoyé en Europe avec le reste. Dans les quelques derniers mois, elles ont envoyés 1 300 000 000 $ en or à leurs employeurs étrangers, leurs maîtres outre-mer, et chaque dollar de cet or appartient au peuple des États-Unis et il leur a été pris illégalement.

« C’est un Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Conséquemment, rien ne devrait être caché au peuple. L’homme qui trompe le peuple est un traître aux États-Unis. L’homme, qui sait ou qui suspecte qu’un crime a été commis et qui dissimule ou couvre ce crime, s’en rend complice. Monsieur le Président, il est monstrueux pour cette grande Nation de voir son destin aux mains d’une administration gouvernementale traîtresse agissant secrètement de concert avec des usuriers internationaux. Tous les efforts ont été faits par l’Administration de la Réserve Fédérale pour occulter son pouvoir, mais la vérité veut que cette Administration ait usurpé le Gouvernement des États-Unis. Elle contrôle tout, ici, ainsi que toutes nos relations étrangères. Elle fait et défait les gouvernements à volonté. Aucun homme, ni aucune corporation d’hommes, ne se retranche plus derrière le pouvoir que le monopole de crédit arrogant qui opère l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Ces malfaiteurs ont volé notre pays plus qu’assez pour payer la dette nationale. Ce que le Gouvernement National a permis à l’Administration de la Réserve Fédérale de voler au peuple devrait être remis au peuple. La créance du peuple contre l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques est des plus valides et légitimes. Si cette créance était avalisée, les Américains n’auraient pas besoin de se mettre en ligne pour obtenir du pain ou souffrir et mourir de faim dans les rues. Les foyers seraient sauvés, les familles resteraient unies et les enfants américains ne seraient pas dispersés et abandonnés. L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques doivent une fortune en argent au Gouvernement des États-Unis. Nous devons trouver le montant exact de la créance du peuple. Nous devrions connaître le montant de l’endettement de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques envers le peuple et nous devrions enquêter sur cette supercherie et la conduite déloyale de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques.

*   *   *

« Monsieur le Président, lorsque l’Acte de la Réserve Fédérale fut adopté, le peuple américain ne s’aperçut point qu’un système mondial était installé qui ferait en sorte que les épargnes d’une institutrice américaine soient disponibles à un vendeur de narcotiques de Macao. Le peuple ne s’aperçut pas que les États-Unis seraient abaissés au rang de pays de coolies qui ne possède rien d’autre que du matériel brut et de la marchandise lourde à exporter ; que la Russie était destinée à subvenir à la main d’œuvre et notre pays devait fournir la puissance financière pour l’établissement d’un super gouvernement international — un super état contrôlé par les banquiers internationaux et les industriels internationaux agissant ensemble pour rendre le monde esclave selon leur bon plaisir.

« Le peuple des États-Unis est extrêmement lésé. S’il ne l’est pas, alors je ne sais pas ce que veut dire “léser le peuple”. Les gens ont été délogés de leurs emplois. Ils ont été dépossédés de leurs foyers. Ils ont été évincés de leurs logements. Ils ont perdu leur enfants. Ils ont été laissés à la souffrance, pour mourir par manque d’abri, de nourriture, de vêtements ou de médicaments.

« La richesse des États-Unis et leur capital ouvrier leur ont été enlevés et ont même été enfermés dans les voûtes de certaines banques et de grandes corporations ou exportés en pays étrangers pour le bénéfice des consommateurs étrangers de ces mêmes banques et corporations. En ce qui concerne le peuple des États-Unis, l’armoire est vide. Il est vrai que les entrepôts, les dépôts de charbon et les élévateurs à grain sont pleins, mais ces entrepôts, ces dépôts de charbon et ces élévateurs à grain sont cadenassés et les grandes banques et corporations détiennent les clés. Le pillage des États-Unis par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques est le plus grand crime de l’histoire.

« Monsieur le Président, c’est une situation sérieuse que confronte la Chambre des Représentants, aujourd’hui. Nous sommes mandataires du peuple et les droits de ce peuple lui sont enlevés. Par le biais de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, le peuple perd les droits que leur garantissait la Constitution. Leurs propriétés leur ont été enlevées sans recours légal exigé. Monsieur le Président, les convenances exigent que nous examinions les comptes publics du Gouvernement et que nous regardions quels crimes contre le bien-être public ont été, et sont encore, commis.

« Ce dont nous avons besoin, c’est d’un retour à la Constitution des États-Unis. Nous avons besoin que la Banque et l’État divorcent complètement. La vieille lutte combattue à l’époque de Jackson doit encore être combattue aujourd’hui. L’indépendance du Trésor des États-Unis doit être rétablie et le Gouvernement doit garder son propre argent sous clé dans les bâtiments que le peuple a fourni à cet effet. La circulation d’actifs, la devise des escrocs, devrait être abolie. Le Gouvernement devrait acheter de l’or et y baser l’émission de sa devise américaine. Le commerce des banquiers indépendants devrait leur être restauré. Les systèmes bancaires de l’État devraient être libérés des contraintes. Les secteurs de la Réserve Fédérale devraient être abolis et les frontières de l’État devraient être respectées. Les réserves bancaires doivent être conservées à l’intérieur des limites des États appartenant au peuple qui y habite, et cette réserve d’argent du peuple doit être protégée de manière à ce que les banquiers internationaux, les banques d’escompte et les vendeurs de remises ne puissent le détourner de lui. Les échanges devraient être clos pendant que nous mettons de l’ordre dans nos affaires financières. L’Acte de la Réserve Fédérale devrait être annulé et les banques de la Réserve Fédérale, ayant violé leurs chartes, devrait être immédiatement liquidées. Les fonctionnaires infidèles du Gouvernement qui ont violé leur serment d’office devraient être attaqués et traînés en cour. Si nous ne faisons pas cela, je vous prédis que le peuple américain, outragé, volé, pillé, insulté et trahi comme il l’est dans son propre pays, se lèvera dans sa colère et enverra ici un Président qui chassera les changeurs monétaires hors du temple. »[51]

Remarquez certaines révélations stupéfiantes du discours du représentant McFadden. Premièrement, la révolution communiste en Russie fut financée par la Réserve Fédérale. Deuxièmement, des milliards de dollars et des millions d’onces des dépôts d’or des États-Unis ont été volés par les banques de la Réserve Fédérale et envoyés en Allemagne. Au moment où il parlait, en 1932, d’énormes montants d’or étaient expédiés en Allemagne sur une base hebdomadaire. Pourquoi cet argent était-il envoyé en Allemagne ? Pour subventionner les Nazis. À peine quelques huit mois plus tard, le 30 janvier 1933, Adolf Hitler était assermenté Chancelier d’Allemagne. En dedans d’un an, Hitler avait consolidé assez son pouvoir qu’avec l’aide de la Réserve Fédérale, il se déclara Fuhrer (leader) d’Allemagne. L’or qu’il reçut de la Réserve Fédérale américaine fut employé à construire des avions, des bateaux, des tanks et des fusils qui seraient ultérieurement utilisés pour tuer de braves Américains durant la Deuxième Guerre mondiale. L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques finançaient à la fois les communistes en Russie et les nazis en Allemagne, tout cela par le dur labeur des Américains de la classe moyenne.

Même pendant la Deuxième Guerre Mondiale, les États-Unis financèrent les Russes communistes par le biais du programme insensé et fallacieux du « bail de prêt ». En plus de leurs propres fardeaux financiers de guerre, les payeurs de taxes américains subventionnèrent les Allemands et les Russes. Les banquiers juifs ashkénazes, ayant financé la guerre des deux côtés, firent des affaires à la manière des bandits.

En conséquence de la découverte du congressiste McFadden d’une conduite criminelle aussi traîtresse, il entama, le 23 mai 1933, des poursuites criminelles formelles contre l’Administration des Gouverneurs de la Banque de la Réserve Fédérale, le Contrôleur des Devises et le Secrétaire du Trésor des États-Unis. La requête d’Articles de Mise en accusation fut, par après, appelée Comité Judiciaire.

Le représentant McFadden était Président de la Maison bancaire et du Comité des Devises, et fut donc en mesure de faire quelque chose concernant le monopole bancaire. Les Sionistes ne pouvaient permettre à un personnage aussi puissant de s’opposer à leurs plans. Les Jésuites tentèrent à plusieurs reprises d’assassiner le représentant McFadden. En fin de compte, ils y réussirent : ils l’empoisonnèrent en 1935. Après la mort du représentant McFadden, le projet de loi qu’il avait présenté fut classé au Comité Judiciaire et n’a jamais revu la lumière du jour depuis.

Nombreux sont ceux qui croient que le communisme ne peut être l’œuvre des Juifs talmudistes parce que la Russie est alliée avec les pays arabes. Les choses ne sont cependant pas ce qu’elles semblent être. Jack Bernstein, Juif ashkénaze américain déménagé en Israël peu après sa fondation, en 1948, revint dégoûté aux États-Unis après avoir été témoin de la duplicité d’Israël. Il révéla que les Juifs aborigènes de la Palestine, que l’on appelle les Juifs séfarades, subissent la discrimination dans l’Israël moderne. Ils sont considérés comme citoyens de seconde zone, une strate inférieure de la société d’Israël, avec les chrétiens et les musulmans. Dans son livre, La vie d’un Juif américain dans le raciste Israël marxiste, il explique la stratégie machiavélique d’Israël.[52] Bernstein a découvert qu’il était faux de croire que les Russes soviétiques  soutiennent les pays arabes. Ce subterfuge de soutien des Soviétiques à l’endroit des Arabes ne fut tout simplement qu’un stratagème institué par Israël autour de 1949. À cette époque, Golda Meir était la première ambassadrice d’Israël en Union soviétique. En tant qu’ambassadrice en Union Soviétique, elle rencontra Joseph Staline. Un accord secret fut conclu entre Israël et la Russie dans lequel 1) Israël ne permettrait pas aux U.S.A., ou n’importe quel pays occidental, de construire des bases militaires en territoire israélien ; 2) Israël permettrait à un Parti communiste officiel d’opérer en Israël ; 3) Israël ne passerait jamais d’accord pour solutionner les problèmes palestiniens ; 4) Israël travaillerait avec la juiverie mondiale pour influencer les gouvernements occidentaux afin de favoriser Israël plus que les Arabes ; 5) Israël poursuivrait sa politique économique marxiste.[53]

Pour ces concessions, l’Union soviétique devait, en retour 1) fournir de l’aide militaire aux Arabes et à l’Égypte, mais jamais de façon suffisante pour détruire Israël ; 2) encourager l’immigration juive vers Israël, à partir des pays soviétiques satellites et, si cela n’était pas suffisant, ils permettraient l’immigration à partir de la Russie soviétique ; et garantiraient la sécurité d’Israël et, pour ce faire, ils autoriseraient le libre échange de rapports d’information entre Israël et l’Union soviétique.[54] Bernstein obtint ce renseignement de « la bouche même d’un protagoniste » : le Secrétaire-Trésorier du Parti communiste à Tel-Aviv nord.[55]

Bernstein souligne qu’Israël se représente comme une démocratie, mais, en fait, Israël est un pays communiste jusqu’à la moelle. Il déclare que le Sionisme et le Communisme sont la même chose. La forme la plus pure du communisme se retrouve dans les kibboutzim en Israël [N. du T. : Kibboutz (pl. kibboutzim) Exploitation communautaire, le plus souvent agricole, en Israël]. On prétend que Bernstein fut assassiné par le Mossad israélien pour avoir révélé la vérité à propos d’Israël.

Bernstein déclare plus loin que l’attaque suicide à la bombe du 23 octobre 1983, sur les baraquements de la Marine américaine, au Liban, où 241 Marines furent tués, avait été planifié par le Service de Renseignements militaires israéliens (le Mossad). Bernstein affirme que l’attaque de la base des Marines visait à tourner le peuple américain contre les Arabes afin d’amener les États-Unis dans la guerre et aider Israël.[56]

Lors du bombardement des baraquements des Marines de 1983, ce n’était pas la première fois qu’Israël faisait appel à des agents provocateurs. En 1954, les U.S.A. commençaient à favoriser l’Égypte au dépend d’Israël regardant certaines questions régionales. Le gouvernement israélien décida d’utiliser onze agents israéliens en Égypte pour faire sauter quelques buildings américains et blâmer ensuite les nationalistes égyptiens. Les Israéliens espéraient ainsi rompre les relations entre l’Égypte et les États-Unis. Le complot fut cependant découvert et étalé. On l’appela l’Affaire Lavon, d’après le Premier Ministre d’Israël, Pinhas Lavon, apparemment le cerveau derrière le complot. Lavon nia avoir été impliqué dans le complot et blâma le Service de Renseignements militaire d’Israël, le Mossad. L’affaire ne fut jamais complètement résolue à savoir qui était responsable. Il est clair, toutefois, qu’il s’agissait d’une opération israélienne.

Les Jésuites israéliens ont appris une leçon dans l’Affaire Lavon. Ils emploient des musulmans arabes, qui ne sont pas au courant, pour faire leur sale boulot. On a allégué que l’explosion d’un camion, en 1993, dans le World Trade Center fut arrangé par un opérateur du Mossad israélien. Combien d’autres bombardements et détournements d’avion ont été perpétrés par des musulmans servant d’outils au Mossad jésuitique ? Est-ce que la destruction du World Trade Center (WTC), le 11 septembre 2001, a été l’œuvre des Jésuites du Mossad et de la CIA, utilisant des terroristes arabes afin d’amener les U.S.A. à balayer la résistance arabes contre leurs visées sionistes ? Dans le monde nébuleux du terrorisme, on doit se demander : cui bono (qui profite) ? Les Sionistes sortent nettement gagnants de la destruction du WTC et cela s’accorde avec leur modus operandi.

Gardez à l’esprit que les Jésuites sont derrière les Sionistes d’Israël. Pourquoi les Jésuites veulent-ils contrôler la Palestine ? Parce qu’ils planifient qu’elle sera la nouvelle capitale de leur empire à partir de laquelle leur antichrist papal régnera sur le monde. Le trône des antichrists se trouvera dans un temple juif reconstruit. Les Jésuites ont déjà organisé des négociations entre les Israéliens et le Vatican, où ce dernier gagnera le contrôle de  Jérusalem. En mars 1995, un message par câble secret de l’ambassade d’Israël à Rome au Ministère des Affaires Étrangères d’Israël s’ébruita par une station radio israélienne (Arutz Sheva).[57] Ce message dévoilait les plans du gouvernement israélien de remettre Jérusalem au Vatican.[58] Aucun doute que le plan comprenait l’enlèvement du Dome du Rocher islamique de la montagne du temple pour que le Temple juif puisse être reconstruit. Le plan des Jésuites échouerait complètement si les Juifs détruisaient eux-mêmes le Dome du Rocher, donc, ils utiliseront probablement les États-Unis pour le faire. Ce genre d’action de la part des U.S.A. contre le soi-disant troisième site « le plus saint » de l’Islam provoquerait une Jihad (guerre sainte) islamique contre les États-Unis. La stratégie devient claire pour les Jésuites : amener les États-Unis à guerroyer contre les musulmans. C’est le but visé par la destruction du World Trade Center. Voir les États-Unis balayer la résistance arabe musulmane sert parfaitement les intérêts des Sionistes jésuitiques qui recherchent le contrôle sur tout le Moyen-Orient. Ayez à l’esprit que le contrôle juif en sera un talmudique, ce qui signifie un contrôle communiste.

Les Jésuites/Illuminati ont utilisé certaines organisations de façade qu’ils emploient pour infiltrer et contrôler les gouvernements, celui des États-Unis ne faisant pas exception. Un de ces groupes s’appelle le Council of Foreign Relations (CFR) ou Conseil des Relations Étrangères. L’amiral Chester Ward a été membre du CFR pendant 16 ans. Il abandonna le CFR lorsqu’il réalisa que son but était de désarmer les États-Unis et de les livrer entre les mains d’un puissant gouvernement mondial.[59] Une des étapes de ce processus a été l’établissement de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Quels sont les principes guides de l’ONU ? Dans le numéro du 7 avril 1970 du Los Angeles Times, on cite ainsi l’ancien Secrétaire Général de l’ONU, U Thant, qui a déclaré : « [Le dictateur communiste Vladimir] Lénine fut un homme à l’esprit d’une grande clarté et d’une grande pénétration, et ses idées ont eu une profonde influence sur le cours de l’histoire contemporaine (…) Ses idéaux d’une coexistence pacifique des états (…) s’alignent avec les visées de la Charte de l’ONU. »[60]

Cela n’est pas une surprise quand on considère qu’Alger Hiss fut l’architecte de l’ONU. Alger Hiss était un fonctionnaire du Département d’État des États-Unis et fut le Secrétaire Général du congrès de la fondation de l’ONU, ainsi que coauteur de la Charte de l’ONU.[61] Or, Alger Hiss était également un traître espion soviétique. Comment savons-nous que Hiss était espion soviétique ? Parce que l’ancien communiste Whitaker Chambers s’avança et accusa Hiss. Hiss fut en fin de compte condamné comme parjure pour avoir menti à propos de ses activités d’espionnage pour le compte de l’Union soviétique. Hiss aurait probablement été condamné pour espionnage en soi s’il avait été directement accusé de cette offense, mais le statut d’immunité empêcha une telle accusation.

L’ancien Sénateur Warren Rudman fit la déclaration révélatrice suivante, lors du Programme de Washington du Conseil des Relations Étrangères, le 14 septembre 2001 : « Il y a une chance pour que le Président des États-Unis utilise ce désastre [l’attaque terroriste sur le WTC, le 11 septembre 2001] pour mettre à exécution ce qu’avait annoncé son père — une phrase que son père à employée une seule fois, je crois, et qui n’a plus été utilisée depuis — et il s’agit du nouvel ordre mondial. »[62] La vision du père de George W. Bush à laquelle se référait le Sénateur Rudman était la vision d’un gouvernement mondial unique sous les auspices de l’ONU. L’ONU n’est rien d’autre qu’une organisation de façade du communisme. Ce nouvel ordre que le CFR affectionne tant est un gouvernement communiste mondial unique. Comme nous l’avons vu, le communisme, c’est le Sionisme !

L’ombudsman du Washington Post, Richard Harwood, a déclaré que le CFR est ce qui se rapproche le plus d’un établissement dirigeant aux États-Unis. Il écrivit ce qui suit dans l’édition du 30 octobre 1993 du Washington Post :

« Le président en est membre. Ainsi que son secrétaire d’état, le secrétaire d’état délégué, tous les cinq sous-secrétaires, plusieurs des assistants-secrétaires et le conseiller légal du département. Le conseiller de la sécurité nationale du président et son délégué en sont membres. Le directeur de la CIA (comme les autres directeurs avant lui) et le président du Bureau du Conseil d’Information Étrangères sont membres. Le secrétaire de la défense, trois sous-secrétaires et au moins quatre assistants secrétaires sont membres. Les secrétaires des départements du logement et du développement urbain, de l’intérieur, de la santé et des services humanitaires, et le chef des relations publiques de la Maison Blanche (…) ainsi que le président de la Chambre [sont membres]…

« Ce n’est pas une suite de gens qui “ressemble à l’Amérique”, comme le Président a déjà dit une fois, mais ils ressemblent définitivement au gens qui, depuis plus d’un demi-siècle, gèrent nos affaires extérieures et notre complexe industrio-militaire. »[63]

Le professeur d’histoire de l’Université de Georgetown, Carroll Quigley, se vit accorder le privilège sans précédent d’avoir accès aux rapports secrets du CFR et écrivit, dans son livre rédigé en 1966, Tragedy and Hope (Tragédie et espoir), que les Partis républicain et démocratique aux États-Unis étaient intégralement contrôlés en arrière-plan par le CFR. Quigley était d’accord avec les plans du CFR qui tranchaient en disant que « les deux partis doivent être presque identiques, pour que le peuple américain puisse “jeter les chacals dehors” à n’importe quelle élection sans que cela conduise à de profondes et amples refontes de la politique. »[64] C’est exactement ce à quoi nous assistons à chaque changement d’une administration républicaine à une démocrate ou vice versa où il n’y a aucune modification réelle de la politique domestique ou étrangère. Il s’agit d’une marche traîtresse et sans résistance vers un gouvernement mondial, marche conduite au son de la flûte enchantée des Jésuites.

La CIA, le Département d’État et le FBI ont été infiltrés par ces agents Jésuites et leurs comparses sionistes ashkénazes. Par voie de conséquence, les politiques du gouvernement américain ont été renversées au profit des Sionistes et ce, au détriment des citoyens des États-Unis. Le 9 mars 1978, Michael Saba fut un témoin de première main du pouvoir et de l’influence des Juifs dans le gouvernement des États-Unis. Il s’adonna à s’asseoir hors de vue à une table adjacente à celle où Stephen Bryen, fonctionnaire du Comité sénatorial des Relations Étrangères des U.S.A., rencontra des représentants officiels d’Israël, à l’Hôtel Madison de Washington, D.C..[65] Ce qui frappa M. Saba, c’est que la conversation entre Bryen et les fonctionnaires israéliens n’était pas une discussion générale, mais plutôt une réunion stratégique à savoir comment la délégation israélienne pouvait affecter la politique étrangère américaine en faveur d’Israël. M. Saba fut surprit ensuite d’entendre Bryen utiliser le pronom « nous » quand il s’exprimait sur la position du gouvernement israélien, et le pronom « ils » lorsqu’il décrivait la position du gouvernement des États-Unis. M. Saba eut l’impression bien nette que la loyauté de Bryen était bien plus dirigée vers Israël que vers les États-Unis. En d’autres termes, M. Bryen était un espion. Pendant la discussion, M. Bryen offrit des documents top secrets du Pentagone concernant les bases militaires arabes au Moyen-Orient.

Aussitôt que M. Saba eu révélé ces événements au Département de la Justice des États-Unis, il constata la puissance qu’exerçaient les Juifs au sein du gouvernement américain. À chaque instant, l’enquête concernant ses allégations fut contrariée. En outre, malgré l’incessante investigation du Département de la Justice américaine au sujet de M. Bryen, on permit à celui-ci de devenir Assistant secrétaire délégué de la Défense dans l’administration Reagan. Le traitement réservé à l’espionnage de Bryen révèle que les plus hauts échelons du gouvernement américain étaient infiltrés par un réseau de Juifs obligés envers Israël. Non seulement des éléments du gouvernement des U.S.A. oeuvraient-ils à protéger Bryen, mais les médias principaux firent tout en leur possible pour étouffer l’affaire. Alors qu’initialement, les reporters étaient fort intéressés à l’histoire, subitement ils s’en désintéressèrent aussitôt qu’ils regagnèrent leurs bureaux. M. Saba qualifia cette toile juive entrelacée de Réseau Armageddon.

L’attaque infâme du U.S.S. Liberty démontre la puissance des Juifs dans le gouvernement américain. Durant la Guerre de Six-Jours israélienne, le Liberty, bateau de reconnaissance américain, naviguait en eaux internationales. Apparemment, le Liberty avait décelé quelque chose que le gouvernement israélien ne voulait pas voir divulgué. On a spéculé à savoir si les Israéliens s’inquiétaient que le Liberty puisse découvrir le meurtre de sang froid de 150 prisonniers de guerre égyptiens par les Israéliens. L’aviation et les torpilleurs israéliens attaquèrent le Liberty. L’attaque dura 75 minutes pendant lesquelles le Secrétaire de la Défense américaine, Robert McNamara, et le Président Lyndon Johnson ordonnèrent à l’amiral d’un porte-avion tout proche de rappeler ses jets et NE PAS venir en aide au Liberty.

Le Lieutenant Commandant David E. Lewis, officier en charge du Département de Recherche du Liberty, eut une réunion avec le Contre-amiral Lawrence R. Geis, peu après l’attaque du Liberty. L’amiral Geis était l’officier en charge des avions embarqués sur le USS America et le USS Saratoga. Le Commandant Lewis déclara que l’Amiral Geis lui avait dit ce qui suit : l’Amiral Geis « dit qu’il voulait que quelqu’un sache que l’on ne nous oubliait pas (…) des essais AVAIENT été tentés de nous venir en aide. Il dit qu’il avait lancé une escadrille d’avions pour nous porter assistance, et qu’il avait ensuite appelé Washington. Le Secrétaire McNamara prit la ligne et ordonna de rappeler les avions, ce qu’il fit. Concurremment, il dit que, étant donné qu’il soupçonnait qu’ils aient craint [à Washington] qu’il puisse y avoir des armes nucléaires à leur bord [des avions], il reconfigura un autre vol d’avions (…) strictement des armes conventionnelles (…) et les relança. Après le second lancement, il appela à nouveau Washington pour leur laisser savoir ce qui se passait. Encore une fois, le Secrétaire McNamara ordonna que l’on rappelle les avions. Ne comprenant pas pourquoi, il demanda une confirmation de l’ordre, et le second plus haut en commandement vint confirmer que  (…) le Président Johnson (…) avec l’instruction que les avions devaient revenir, qu’il ne voulait pas que ses alliés soient embarrassés, il se fichait de ceux qui seraient tués ou de ce qui arriverait au bateau (…) des paroles du genre. Sur ce, l’Amiral Geis me fit jurer le secret pour toute sa vie. J’ai gardé le silence jusqu’à ce que j’apprenne de l’Amiral Moorer que l’Amiral Geis était décédé. »[66]

Trente-six Américains ont été tués et 171 blessés dans l’attaque. Israël proclama qu’il s’agissait d’une erreur d’identité. Toutefois, les renseignements américains révélèrent qu’il s’agissait plutôt d’une attaque délibérée ordonnée par le Général israélien Moshé Dayan. L’ancien Secrétaire d’État, Dean Rusk, et l’ancien Chef adjoint du président d’équipage, l’amiral Thomas Moorer, ont affirmé tous les deux que l’attaque israélienne était délibérée.[67] L’incident donne une idée du pouvoir et du contrôle que possèdent les Juifs sur le gouvernement américain. Ils peuvent contrôler le sommet même de la branche exécutive du gouvernement pour ordonner à l’armée américaine de se tenir tranquille pendant que des marins se font massacrer par l’armée israélienne.

Autre exemple démontrant le contrôle exercé par les Juifs sur les têtes de gouvernement et la nature internationale (lire : anti-nationale) des Juifs, c’est le cas Mark Rich. Au début des années 1980, le milliardaire Mark Rich et son partenaire furent mis sous enquête pour violation de la loi fédérale américaine résultant d’un schéma criminel qu’ils menèrent par le biais de la firme commerciale de commodités Mark Rich& Cie, A.G.. Quand, en 1983, Rich et sa cohorte réalisèrent qu’ils allaient être poursuivis en justice, ils s’enfuirent des États-Unis.[68] En septembre 1983, un grand jury fédéral émis un acte d’accusation en 51 points contre Mark Rich, son partenaire, Pincus Green, et d’autres pour intrigues, fraudes postales, escroquerie, conspiration, évasion fiscale et commerce avec l’ennemi. Rich commerça avec les Iraniens pendant que des otages américains étaient détenus lors de la crise d’otages en Iran. Plus tard, en Mars 1984, le gouvernement enregistra une mise en accusation de 65 chefs remplaçant la précédente.

Rich et Green démontrèrent leur mépris des États-Unis en perdant leur citoyenneté américaine et en acquérant la citoyenneté israélienne. Rich devint aussi citoyen espagnol. Les gouvernements espagnol et israélien refusèrent d’extrader Rich et Green vers les États-Unis pour faire face aux poursuites. Étant donné que les avocats de Rich ne purent convaincre le procureur américain de New York d’abandonner la poursuite, ils décidèrent d’obtenir un pardon du Président des États-Unis, Bill Clinton. La femme de Rich, Denise Rich, donna 450 000 $ aux fonds bibliothécaires Bill Clinton et 1,1 M $ à des causes démocratiques, y compris la campagne sénatoriale d’Hillary Rodham Clinton.[69] Ensuite, Rich embaucha l’ancien Conseiller à la Maison Blanche de Clinton, Jack Quinn, pour l’aider dans les négociations.[70] Ce qui en dit peut-être le plus sur l’élément juif dans les procédures de pardon fut l’engagement du Premier Ministre d’alors, Ehud Barak, et l’ancien Premier Ministre Shimon Peres, qui contactèrent chacun le Président Clinton pour faire pression en faveur du pardon de Rich et de Green.[71]

Le 20 janvier 2001, lors du dernier jour de Bill Clinton en tant que Président des États-Unis, il accorda un pardon complet et inconditionnel à 140 personnes, y compris Mark Rich et Pincus Green. Ceux-ci furent pardonnés en violation des Règlements gouvernant les Requêtes à la Clémence de l’Exécutif, qui exige que la requête de pardon soit soumise au procureur des Pardons du Département de la Justice.[72] De plus, les règlements fédéraux exigent une enquête sur la requête.[73] Rien de tout cela ne fut fait. Ce qui est peut-être le plus choquant, c’est que Rich et Green furent pardonnés pendant qu’ils étaient toujours en fuite face à la justice. Avant le pardon de Rich et Green par Clinton, aucun Président, dans toute l’histoire des États-Unis, n’avait jamais pardonné quelqu’un ayant fui la justice.

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[1] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 741 (1871). Voir aussi Edmond Paris, Convertissez-vous ou vous mourrez !, Chick Publications.

[2] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, Chick Publications, p. 167, 1975.

[3] Ibidem, p. 164.

[4] Ibidem, p. 168.

[5] Ibidem, p. 165.

[6] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 149, 2000 (citant Dietrich Bronder, Before Hitler Came ; Henneke Kardel, Adolph Hitler, Founder of Israël.).

[7] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 149, 2000 (citant Henneke Kardel, Adolph Hitler, Founder of Israël.).

[8] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 154, 2000 (citant Israel Shahak et Norton Mezvinsky, Jewish Fundamentalism in Israel, p. 125, 1999.).

[9] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 535-36 (2001).

[10] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 152, 2000 (citant Israel Shahak et Norton Mezvinsky, Jewish Fundamentalism in Israel, p. 65, 1999.).

[11] Robert Wilton, The Last Days of the Romanovs, 1920.

[12] Gordon “Jack” Mohr, The Talmudic Effect on Judeo-Christianity, http://www.christianbiblestudy.org/OPS/JM/jm0027c.htm (tel qu’au 19 septembre 2001).

[13] Robert Wilton, The Last Days of the Romanovs, p. 148 (1920).

[14] Gordon “Jack” Mohr, The Talmudic Effect on Judeo-Christianity, http://www.christianbiblestudy.org/OPS/JM/jm0027c.htm (tel qu’au 19 septembre 2001).

[15] Izvestia, 27 juillet 1918.

[16] Henry Ford, The International Jew, vol. 1, p. 225 (1920).

[17] Ibidem.

[18] Des Griffin, Fourth Reich of the Rich, p. 62 (1976).

[19] Ibidem.

[20] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 167-77 (2001).

[21] Don De Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 209, 2000 (citant Benjamin Freedman, Facts Are Facts (1954).

[22] Baruch Levy, Lettre à Karl Marx, La Revue de Paris, p. 574, 1ier juin 1928, http://www4.stormfront.org/posterity/ci/tjg.html (tel qu’au 9 septembre 2001). Voir aussi Don de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, p. 64 (2000).

[23] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Sion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001.).

[24] http://www.biblebelievers.org.au/clilist.htm (tel qu’au 29 septembre 2001).

[25] Voir Jack Mohr, Satan’s Kids, http://www.christianbiblestudy.org/OPS/JM/JM0018c.htm (tel qu’au 9 septembre 2001).

[26] Noah Webster, American Dictionary of the English Language (1ière édition 1828) rééditée par la Fondation pour une Éducation américaine chrétienne, San Francisco, Californie.

[27] Ibidem.

[28] Sidney Hunter, Is Alberto For Real ?, p. 36, 1988 (citant Andrew Sinclair, The Great Conspiracy, p. 9 et Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 138.

[29] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends, p. 377, 2001, (citant Roberto Rivera, The Godfathers : Alberto Part Three, p. 10. 1982).

[30] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 2, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[31] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 3, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[32] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 3, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[33] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 4, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[34] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 5, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[35] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 6, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[36] Les Protocoles des Sages de Sion, Protocole 9, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[37] Les Protocoles des Sages de Sion, Paragraphe 11 du Protocole 10, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[38] Les Protocoles des Sages de Sion, Paragraphe 3 du Protocole 11, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[39] Les Protocoles des Sages de Sion, Paragraphe 5 du Protocole 15, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[40] Les Protocoles des Sages de Sion, Paragraphe 2 du Protocole 22, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[41] Les Protocoles des Sages de Sion, Paragraphe 3 du Protocole 17, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[42] Les Protocoles des Sages de Sion, Paragraphe 4 du Protocole 17, http://www.thewinds.org/library/protocols_of_zion.html (tel qu’au 9 septembre 2001).

[43] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 120, 2000 (citant The New York Times, 14 mars 1935.).

[44] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 105, 2000.

[45] Ibidem.

[46] Ibidem.

[47] Ibidem, p. 296.

[48] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 250, 2000 (citant le représentant Louis McFadden, allocution radiophonique du 2 mai 1934.).

[49] 75 Congressional Record 12595-12603.

[50] Voir Edward Griffin, The Creature From Jekyll Island : A Second Look at the Federal Reserve, (3e édition 1998).

[51] Enregistrements du Congrès 12595-96 (1932) (discours du Rep. McFadden, emphase ajoutée), http://iresist.com/cbg/mcfadden_speech_1932.html (tel qu’au 30 septembre 2001).

[52] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 313-314, 2000 (citant Jack Bernstein, The Life of an American Jew in Racist Marxist Israel, 1984.).

[53] Ibidem.

[54] Ibidem.

[55] Jack Bernstein, My Farewell to Israel the Thorn in the Mideast.

[56] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 314-315, 2000 (citant Jack Bernstein, The Life of an American Jew in Racist Marxist Israel, 1984.).

[57] Barry Chamish, The Vatican’s Plot Against Israel, 27 janvier 2001, http://us.altnews.com.au/article.php?sid=41 (tel qu’au 26 septembre 2001).

[58] Ibidem.

[59] William F. Jasper, The Power Behind the Presidency, New American, 13 août 2001.

[60] When Globalists Tell the Truth, New American, p. 10, 22 octobre 2001.

[61] New American, p. 14, 22 octobre 2001.

[62] When Globalists Tell the Truth, New American, p. 10, 22 octobre 2001.

[63] William Norman Grigg, An Internationalist Primer, New American, 13 septembre 1996. Voir aussi William F. Jasper, The Power Behind the Presidency, New America, 13 août 2001.

[64] William F. Jasper, The Power Behind the Presidency, New America, 13 août 2001.

[65] Michael Saba, The Armageddon Network, (1984).

[66] http://64.39.19.39/lewis.txt (tel qu’au 1 novembre 2001). Voir aussi http://www.halcyon.com/jim/ussliberty/ .

[67] Ibidem.

[68] In Re Grand Jury Subpoenas Dated March 9, 2001, ___F. Supp. ___, 2001 WL 1590541 (S.D.N.Y. 2001).

[69] Greg B. Smith, Denise Says Dem Gifts Solely Hers, New York Daily News, 25 mai 2001.

[70] In Re Grand Jury Subpoenas Dated March 9, 2001, ___F. Supp. ___, 2001 WL 1590541 (S.D.N.Y. 2001).

[71] Ibidem.

[72] 28 C.F.R. § 1.1.

[73] 28 C.F.R. § 1.6(a).




D.113 – Conspiration de l’Antichrist – Partie 9

 

Dans l’antre du diable

Neuvième partie

53. La connexion sioniste talmudique

Dans le livre de l’Apocalypse, deux bêtes sont décrites, une dans Apocalypse 13:1 et l’autre dans Apocalypse 13:11. La seconde bête a rapport au faux prophète (Apocalypse 16:13 ; 19:20 ; 20:10). Elle faisait que tous adoraient la première bête qui, comme nous l’avons vu, ne pouvait être que le pape (Apocalypse 13:12). La description de la seconde bête en tant que faux prophète suggère que c’est un Juif. Benjamin Disraeli, Juif qui se convertit au christianisme, était un ancien Premier Ministre d’Angleterre ; il révéla que les premiers Jésuites étaient des Juifs.[1] Le secrétaire d’Ignace de Loyola, Polanco, était d’ascendance juive et fut la seule personne présente au lit de mort de Loyola. Ignace de Loyola était lui-même crypto-Juif de la kabbale occulte. Un crypto-Juif est un Juif qui se convertit à une autre religion et adopte extérieurement cette nouvelle religion, pendant qu’il entretient secrètement ses pratiques juives. James Lainez, qui succéda à Loyola comme second Général Jésuite, était également d’ascendance juive. Les Juifs se sentaient attirés par l’ordre des Jésuites et s’y joignaient en grand nombre.[2] Certains des plus influents Jésuites de l’histoire, comme Francisco de Ribera (1537-1591) et Emanuel de Lacunza (1731-1801), étaient Juifs. De nombreuses doctrines jésuitiques sont similaires à ce que l’on retrouve dans le Talmud babylonien. Il est possible que la deuxième bête du livre de l’Apocalypse soit un Général Jésuite, que l’on qualifie de pape noir. En tant que Juif talmudique, le Général Jésuite est le mystérieux leader dans l’ombre des Juifs sionistes.

John Torell explique les origines juives talmudiques de l’ordre des Jésuites :

« L’Ordre des Illuminati ne fut pas inventé par Adam Weishaupt, mais il le renouvela et le réforma. Le premier ordre illuminatus connu (Alumbrados) fut fondé en 1492 par des Juifs espagnols que l’on appelait « Marranes » et que l’on connaissait aussi sous l’appellation de « crypto-Juifs ». À cause d’une violente persécution en Espagne et au Portugal, commencée en 1391, des centaines de milliers de Juifs furent forcés de se convertir à la foi de l’Église catholique romaine. Publiquement, ils étaient dès lors catholiques romains, mais ils pratiquaient secrètement leur judaïsme, comprenant le Talmud et la Kabbale (ou cabale). Les Marranes furent en mesure d’enseigner secrètement leurs enfants dans le judaïsme, mais en particulier le Talmud et la Kabbale, et cet énorme regroupement de Juifs a survécu jusqu’à aujourd’hui. Après 1540, les Marranes optèrent pour s’enfuir vers l’Angleterre, la Hollande, la France, l’Empire ottoman (la Turquie), le Brésil et d’autres endroits en Amérique Centrale ou du Sud. Les Marranes conservèrent de puissants liens familiaux et devinrent très riches et influents dans les nations où ils vivaient. Mais, comme c’est la coutume chez tout le peuple juif, il leur importait peu dans quelle nation ils vivait, leur loyauté était dirigée vers eux-mêmes et le judaïsme. »[3]

*   *   *

« En 1491, San Ignacio de Loyola est né dans la province basque de Guipuzcoa, en Espagne. Ses parents étaient Marranes et, à l’époque de sa naissance, ils étaient fort riches. Jeune homme, il devint membre de l’Ordre Illuminati juif d’Espagne. Comme couverture à ses activités crypto-juives, il devint très actif en tant que catholique romain. Le 20 mai 1521, Ignace (comme on l’appela dès lors) fut blessé dans une bataille et devint à demi invalide. Inapte à réussir dans les domaines militaire et politique, il se mit en quête de sainteté et aboutit éventuellement à Paris où il étudia en vue du sacerdoce. En 1539, il était rendu à Rome où il fonda « L’ORDRE DES JÉSUITES » qui devait devenir l’ordre le plus vil, le plus sanguinaire et le plus persécuteur de l’Église catholique romaine. En 1540, le pape de l’époque, Paul III, approuva l’ordre. À la mort de Loyola, en 1556, il y avait plus de 1 000 membres dans l’Ordre des Jésuites, localisés dans bon nombre de nations. »[4]

« En établissant l’ordre des Jésuites, Ignace de Loyola inventa un système d’espionnage élaboré, afin que personne dans l’ordre ne soit en sécurité. S’il y avait de l’opposition, la mort arrivait rapidement. Non seulement l’ordre des Jésuites devint-il le bras destructeur de l’Église catholique romaine, mais il se développa aussi en service de renseignement secret. Quoique les papes s’en remettaient de plus en plus aux Jésuites, ils ignoraient que le noyau dur du leadership était juif, et que ces Juifs maintenaient leur adhésion à l’ordre Illuminati qui méprisait et haïssait l’Église catholique romaine. »[5]

Comme nous l’avons expliqué dans des chapitres précédents, l’assertion de l’Église catholique disant que Pierre est le Rocher s’avère un déni implicite que Jésus est le Christ. Un tel déni est l’accomplissement de la prophétie identifiant l’antichrist (1 Jean 2:22-23). On doit être conscient qu’il y a plusieurs antichrists. Le pape, les évêques, les archevêques, les prêtres et les sœurs catholiques sont tous des antichrists. Vous pouvez ajouter à cette liste les Juifs. Pendant environ 2 000 ans, les Juifs ont expressément nié que Jésus est le Christ.

« Jeunes enfants, c’est ici le dernier temps ; et comme vous avez entendu que l’Antechrist viendra, il y a même dès maintenant plusieurs Antechrists ; et nous connaissons à cela que c’est le dernier temps. 19Ils sont sortis d’entre nous, mais ils n’étaient point d’entre nous : car s’ils eussent été d’entre nous, ils fussent demeurés avec nous, mais c’est afin qu’il fût manifesté que tous ne sont point d’entre nous. 20Mais vous avez été oints par le Saint-Esprit, et vous connaissez toutes choses. 21Je ne vous ai pas écrit comme si vous ne connaissiez point la vérité, mais parce que vous la connaissez, et qu’aucun mensonge n’est de la vérité. 22Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? celui-là est l’Antechrist qui nie le Père et le Fils. 23Quiconque nie le Fils, n’a point non plus le Père ; quiconque confesse le Fils, a aussi le Père » (1 Jean 2:18-23, VM).

Satan dirige son royaume sur la base du besoin de savoir. Il est seul à avoir tout le portrait. Beaucoup de ses subordonnés, en conflit apparent, oeuvrent en réalité de concert vers son but de domination mondiale. Il sacrifiera joyeusement bon nombre de ses plus loyaux supporteurs, si ça lui permet d’atteindre ses buts. En considérant la persécution des Juifs sous les auspices des Jésuites dans l’Allemagne nazie, il semblerait à l’observateur occasionnel que les Jésuites et les Juifs étaient aux antipodes. En fait, il y a un élément juif qui oeuvrait main dans la main avec les Jésuites durant l’holocauste nazi. Parce que le jésuitisme est fondé sur le Talmud et la Kabbale juifs, les Jésuites sont, en réalité, des crypto-Juifs. Ainsi donc, il n’était pas inhabituel pour ces crypto-Juifs de travailler étroitement avec des Juifs manifestes. Ces deux genres de Juifs suivent les doctrines qu’on retrouve dans le Talmud babylonien blasphématoire. Le talmudisme babylonien n’est rien d’autre que les enseignements et les traditions occultes babyloniennes ; le véritable dieu du Talmud babylonien est Satan.

À l’époque de Christ, le Talmud n’existait que sous forme orale, et Jésus S’y référa en tant que la tradition des scribes et des pharisiens. Cette première tradition orale s’appelle la Mishna. Ce n’est qu’après la crucifixion de Jésus que la Mishna fut produite par écrit. Les rabbins ajoutèrent plus tard des commentaires rabbiniques à la Mishna et que l’on appelle la Gemara.[6] Ensemble, ils composent le Talmud qui est actuellement une collection de livres. Il y a aujourd’hui deux textes talmudiques de base, le Talmud babylonien et le Talmud de Jérusalem. Le Talmud babylonien est considéré comme la version autorisée et a préséance sur le Talmud de Jérusalem.[7] Le Talmud babylonien se fonde sur les pratiques mystiques religieuses des Babyloniens qui furent assimilées par les rabbins juifs durant la captivité babylonienne, aux alentours de 600 avant J.C.. Les rabbins utilisaient alors ces traditions occultes à la place de la Parole de Dieu.

Chez les Juifs orthodoxes et hassidiques, le Talmud a autorité sur l’Ancien Testament même.[8] Il y a une secte de Juifs, les Karaïtes (caraïtes ou qaraïtes), qui adhère à l’autorité de l’Ancien Testament seulement. Les Karaïtes sont, historiquement, extrêmement haïs et persécutés sévèrement par le rabbinat juif orthodoxe et les hassidiques. Les Juifs d’Éthiopie n’adhèrent pas non plus au Talmud et, par conséquent, ils ne sont pas acceptés par les Juifs talmudiques.

À l’époque de Christ, les rabbins talmudiques, les scribes et les pharisiens, interpellaient et défiaient constamment Jésus. Et c’est eux qui complotèrent Sa crucifixion. Lisez ce que dit Jésus de ces Juifs talmudiques.

« Ils répondirent, et lui dirent : notre père c’est Abraham. Jésus leur dit : si vous étiez enfants d’Abraham, vous feriez les oeuvres d’Abraham. 40Mais maintenant vous tâchez à me faire mourir, moi qui suis un homme qui vous ai dit la vérité, laquelle j’ai ouïe de Dieu ; Abraham n’a point fait cela. 41Vous faites les actions de votre père. Et ils lui dirent : nous ne sommes pas nés d’un mauvais commerce ; nous avons un père qui est Dieu. 42Mais Jésus leur dit : si Dieu était votre Père, certes vous m’aimeriez : puisque je suis issu de Dieu, et que je viens de lui ; car je ne suis point venu de moi-même, mais c’est lui qui m’a envoyé. 43Pourquoi n’entendez-vous point mon langage ? c’est parce que vous ne pouvez pas écouter ma parole. 44Le père dont vous êtes issus c’est le démon, et vous voulez faire les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n’a point persévéré dans la vérité, car la vérité n’est point en lui. Toutes les fois qu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le père du mensonge. 45Mais pour moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez point. 46Qui est celui d’entre vous qui me reprendra de péché ? Et si je dis la vérité, pourquoi ne me croyez-vous point ? 47Celui qui est de Dieu, entend les paroles de Dieu ; mais vous ne les entendez point, parce que vous n’êtes point de Dieu » (Jean 8:39-47, VM).

Comme l’a dit Jésus, ce sont les enfants du diable. Ils se déguisent en homme religieux qui possèdent les oracles de Dieu, mais ils sont irréligieux, enseignant des doctrines d’homme au lieu de l’évangile de Dieu.

« Alors des Scribes et des Pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent : 2Pourquoi tes Disciples transgressent-ils la tradition des Anciens ? car ils ne lavent point leurs mains quand ils prennent leur repas. 3Mais il répondit, et leur dit : et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? 4Car Dieu a commandé, disant : honore ton père et ta mère. Et il a dit aussi : que celui qui maudira son père ou sa mère, meure de mort. 5Mais vous dites : quiconque aura dit à son père ou à sa mère : Tout don qui sera offert de par moi, sera à ton profit ; 6Encore qu’il n’honore pas son père, ou sa mère, il ne sera point coupable ; et ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition. 7Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé de vous, en disant : 8Ce peuple s’approche de moi de sa bouche, et m’honore de ses lèvres ; mais leur cœur est fort éloigné de moi. 9Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes » (Matthieu 15:1-9, VM).

Dans Matthieu 23, Jésus emploie un langage encore plus fort pour décrire les Juifs talmudiques. Jésus les appelle serpents, vipères, conducteurs aveugles, sépulcres blanchis et hypocrites qui risquent d’être condamnés au feu de la géhenne.

« Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin ; et vous laissez les choses les plus importantes de la Loi, c’est-à-dire, le jugement, la miséricorde et la fidélité ; il fallait faire ces choses-ci, et ne laisser point celles-là. 24Conducteurs aveugles, vous coulez le moucheron, et vous engloutissez le chameau. 25Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, car vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat ; mais le dedans est plein de rapine et d’intempérance. 26Pharisien aveugle, nettoie premièrement le dedans de la coupe et du plat, afin que le dehors aussi soit net. 27Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous êtes semblables aux sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts, et de toute sorte d’ordure. 28Ainsi vous paraissez justes par dehors aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité. 29Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, car vous bâtissez les tombeaux des Prophètes, et vous réparez les sépulcres des Justes ; 30Et vous dites : si nous avions été du temps de nos pères, nous n’aurions pas participé avec eux au meurtre des Prophètes. 31Ainsi vous êtes témoins contre vous-mêmes, que vous êtes les enfants de ceux qui ont fait mourir les Prophètes ; 32Et vous achevez de remplir la mesure de vos pères. 33Serpents, race de vipères ! comment éviterez-vous le supplice de la géhenne ? » (Matthieu 23:23-33, VM).

Pourquoi Jésus a-t-Il dit des choses pareilles concernant les pharisiens et les scribes ? Pour répondre à cela, nous devons d’abord examiner quelques-unes des traditions talmudiques qui s’étaient développées au cours des ans. Pour débuter, les Juifs talmudiques haïssaient les Gentils. Pour eux, les Gentils n’étaient que de vils animaux, impurs et sans droit légal à l’existence.[9] Par exemple :

Le Baba Mezia 114b déclare : « Les filles des Gentils sont en état d’impureté dès leur naissance et le mariage avec elles est prohibé. »

Baba Bathra 54b : « La propriété des Gentils est comme le désert ; elle appartient au premier qui le prendra. »

Sanhédrin 57a : « Si un Gentil vole un Juif, il doit lui rembourser. Mais si un Juif vole un Gentil, le Juif peut garder le butin. De la même manière, si un Gentil tue un Juif, on doit tuer le Gentil. Mais si un Juif tue un Gentil, le Juif sera libre. »

Baba Kamma 38a : « Les Gentils sont en dehors de la protection de la Loi d’Israël. »

Sanhédrin 52b : « L’adultère n’est pas défendu… avec la femme d’un Gentil, parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec “la femme de ton prochain”, et les Gentils ne sont pas des prochains. »

Le point de vue des Juifs talmudiques au sujet de la femme la considère comme un fardeau jetable.[10] Par exemple :

Menahoth 43b : « Un mâle juif devrait remercier Dieu de ne pas l’avoir fait femme ou Gentil. »

Baba Bathra 16b : « La naissance d’une fille est un événement malheureux. »

Aboth 1:5 : « Il n’est pas bon de parler à une femme, même sa propre épouse. »

Gittin 91a : « Il est permis de divorcer de son épouse si elle brûle le dîner, ou si tu vois une fille plus belle. »

Les abominables enseignements du Talmud dans le domaine sexuel sont d’une incompréhensible méchanceté. Le Talmud affiche une attitude permissive envers la pédophilie et la sodomie. Par exemple :

Sanhédrin 55b : « Il est permis d’avoir des relations sexuelles avec une fillette de trois ans et un jour. » Voir aussi Yebamoth 12a, 57b, 60b ; Abodah Zarah 37a et Kethuboth 39a.

Sanhédrin 54b : « Si un homme commet la sodomie avec un garçon de moins de neuf ans, ils ne sont pas coupables de sodomie. »

Sanhédrin 59b : « Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. »

Kethoboth 11b : « Une relation sexuelle avec une fillette de moins de trois ans n’est rien. »

Le judaïsme talmudique démontre la plus intense des haines envers Jésus.[11] Même si certains Juifs essaieront de nier que le Talmud avance de telles choses, Benjamin Freedman, ancien Juif talmudique, déclare ceci : « Rien n’est plus vicieux et plus vil contre Jésus, les chrétiens et la foi chrétienne que le libellé blasphématoire que vous retrouvez entre les deux couverts des 63 livres du Talmud qui forme la base de la loi religieuse juive et sert de manuel de formation des rabbins. »[12] Par exemple :

Yebamoth 49b : « Jésus était un bâtard né dans l’adultère. »

Sanhédrin 106a & b : « Marie était une prostituée ; Jésus était un homme méchant. »

Shabbath 104b : « Jésus était un magicien et un imbécile. Marie était adultère. »

Sanhédrin 43a : « Jésus était coupable de sorcellerie et d’apostasie ; il méritait l’exécution. Les disciples de Jésus méritaient d’être tués. »

Gittin 56b : « Jésus a été envoyé en enfer où il est puni à faire bouillir des excréments pour s’être moqué des Rabbins. »

Le Talmud montre des sentiments similaires envers les chrétiens.[13] Par exemple :

Abodah Zarah 16b, 17a : « Les Juifs doivent se garder loin des chrétiens. Les chrétiens sont alliés avec l’Enfer, et le christianisme est pire que l’inceste. »

Abodah Zarah 17a : « Aller vers les prostituées, c’est comme devenir chrétien. »

Abodah Zarah 27b : « Il est interdit de se faire soigner par un chrétien. »

Sanhédrin 90a, 100b : « Ceux qui lisent les évangiles sont condamnés à l’Enfer. »

Sanhédrin 99a : « Quand le Messie va venir, il détruira les chrétiens. »

Shabbath 116a : « Les Évangiles sont le côté faux du papier vierge et le péché du papier vierge. Les Évangiles doivent être brûlés ; le Nouveau Testament est comme du papier vierge. »

De l’abondance du cœur la bouche parle, et les Juifs talmudiques ont un cœur méchant. Winston Churchill a dit ceci à leur propos :

« On serait porté à croire que l’Évangile du Christ et l’évangile de l’antichrist étaient destinés à provenir du même peuple ; et que cette race mystique et mystérieuse a été choisie pour les manifestations suprêmes, à la fois divine et diaboliques (…) Depuis l’époque de “Spartacus” Weishaupt à celle de Karl Marx, en passant par Trotski (Russie), Bela Kun (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (États-Unis), cette conspiration mondiale pour l’anéantissement de la civilisation et la reconstruction de la société sur des bases arrêtées de développement, d’envieuse malveillance et d’impossible égalité, s’est sans cesse accrue. Elle a joué, comme l’a si bien démontré une écrivaine moderne, Mme Nesta Webster, une part définitivement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution française. Elle a servi de courant à tous les mouvements subversifs du dix-neuvième siècle ; et maintenant, à la fin, cette bande de personnalités extraordinaires, issue de la pègre des grandes villes d’Europe et d’Amérique, a agrippé le peuple russe par les cheveux et est devenue maîtresse presque incontestée de cet énorme empire. Nul besoin d’exagérer le rôle joué dans la création du bolchevisme et dans la provocation de la Révolution russe par ces personnages en majorité Juifs athées internationaux. C’en est certainement une très grande ; elle surpasse probablement toutes les autres. »[14]

Les pharisiens avaient aussi d’autres doctrines en marge du Talmud. Ces autres enseignements s’appelaient la Kabbale. La Kabbale était des traditions orales occultes qu’ils ne partageaient pas avec le peuple en général. La Kabbale est à la source des exercices spirituels des Jésuites. Les Jésuites sont les pharisiens des temps modernes.

Selon John Torell, dans la Kabbale juive, Dieu consiste en un être mâle et un être femelle. La partie mâle de Dieu (appelée En-Sof par les kabbalistes) se renferma en elle-même et créa un vide dans sa propre structure qui engendra un abîme sans fond (cet abîme est appelé kelipot par les kabbalistes). La Kabbale enseigne que la partie femelle de Dieu est tombée dans l’abîme et a pris la forme du « serpent sacré ». La Kabbale enseigne plus loin que le « serpent sacré » est entouré d’esprits mauvais et qu’il est tenté à tout instant. Le « serpent sacré » essaie de se libérer de l’abîme sans fond. Quand il y arrivera, il pourra entrer sur la terre en tant que « le messie ». Les kabbalistes professent que « le messie » n’apparaîtra sur terre que par une seule de deux manières. Une façon est que les Juifs kabbalistes détruisent tout le mal sur la terre et la rendent totalement bonne. L’alternative est que les Juifs kabbalistes détruisent tout ce qui est bon sur la terre et qu’ils la rendent totalement mauvaise.[15]

Les Juifs kabbalistes ont décidé qu’il était trop dur de rendre les choses bonnes et ils ont donc choisi l’alternative de détruire tout le bien et rendre le monde mauvais. Cette religion kabbalistique est fondée sur la mission du péché afin d’amener l’ascension de leur messie, le « serpent sacré », à sortir du puits sans fond et faire son apparition sur terre. Ces Juifs croient que ce n’est qu’en brisant les lois de Dieu qu’ils pourront servir leur dieu (qui est Satan). Ne croyez pas que ces Juifs ignorent le fait que Satan est le dieu de leur religion. Harold Wallace Rosenthal, assistant administratif du Sénateur américain de New York, Jacob K. Javits, déclara lors d’une interview donnée à Walter White : « La majorité des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer. »[16] Ces pharisiens des temps modernes vont très loin, non seulement dans leurs péchés, mais en entraînant les autres dans leurs péchés alors qu’ils servent leur dieu méchant, Satan. Jésus révéla leur nature quand Il dit aux pharisiens : « Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ! car vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte, et après qu’il l’est devenu, vous le rendez fils de la géhenne, deux fois plus que vous » (Matthieu 23:15, VM).

Le « rabbin » juif David Cooper le confirme, lui qui passa huit ans à étudier la kabbale dans la Vieille Cité de Jérusalem.

« La leçon est que même le cœur de Satan a une étincelle divine ; même le cœur du mal se languit d’être racheté. C’est important parce que nous apprenons que notre travail n’est pas de dresser un champ de bataille pour éradiquer le mal, mais de chercher son étincelle de sainteté. Notre tâche ne consiste pas à détruire, mais à construire. »[17]

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« L’enseignement mystique du Baal Shem Tov, toutefois, nous présente un nouveau paradigme. Il dit que le mal a une nature divine en son sein. Comme le décrit la Zohar, “Il n’y a pas de domaine de l’Autre Côté (le mal) qui soit entièrement dénué d’une parcelle de la lumière provenant du côté de la sainteté” [Zohar II:69a-b]. Plutôt que de le détruire, notre tâche est de l’élever. »[18]

Satan a sûrement un but dans la tête en construisant une doctrine religieuse aussi sinistre. Il en a un, et ce n’est rien de moins que la subjugation de tous les hommes sous le règne dictatorial de son antichrist ! Il utilise l’escalade du péché et du crime dans la société comme justification pour amener encore plus de règlements gouvernementaux et davantage de contrôle des masses. Comme l’explique Edmond Burke : Les hommes sont aptes à la liberté civile en exacte proportion de leur disposition à mettre des chaînes morales à leurs propres appétits. La société ne peut exister sans qu’un pouvoir de contrôle sur la volonté et les appétits ne soit installé en quelque part, et moins il y en a intérieurement, plus il y en a extérieurement. Il est ordonné, dans l’éternelle constitution des choses, que les hommes à l’esprit intempérant ne peuvent être libres. Leurs passions forgent leurs chaînes. »

Cette doctrine maligne promouvant et encourageant le péché se retrouve aussi dans le Talmud, où l’inceste, la fornication, l’adultère, etc., sont promus comme des vertus et quelque chose que l’on doit désirer. Il est difficile pour le monde des Gentils de saisir pleinement ce qui se passe dans cette infernale conspiration juive sans d’abord comprendre la nature du judaïsme kabbalistique. C’est une religion basée sur la promotion, la propagation et la perpétration du péché comme moyen de dominer le monde.[19] David Bay explique l’origine et le pouvoir derrière la kabbale :

« [L]es leaders religieux juifs n’étaient pas des Juifs de l’Alliance abrahamique traditionnelle, même s’ils lui rendait grand honneur du bout des lèvres ; les pharisiens du temps de Jésus étaient plutôt membres d’une société secrète appelée la Kabbale, ou Cabale. La Kabbale était tout aussi satanique et occulte que toutes celles ayant jamais existé. Satan contrôlait littéralement les pharisiens à l’époque où Jésus exerça Son ministère.

« Du fait que les pharisiens pratiquaient le satanisme de tout leur cœur, cela explique le mystère entourant le récit biblique du ministère et de la mort de Jésus. Par exemple, cela éclaircit l’intense haine envers Jésus dont étaient affligés les pharisiens, même face à Ses nombreux miracles incomparables. Cela expliquera aussi que “certaines” personnes, témoins du miracle de Lazare revenu à la vie, ne crurent pas. Comment pouvaient-elles ne pas croire ? Elles venaient d’assister à un miracle phénoménal ; un homme qu’elles connaissaient personnellement et qu’elles savaient bel et bien mort, avait été ressuscité devant elles par la puissance ahurissante de Jésus-Christ. Pourtant, plusieurs d’entre elles ne crurent point ; elles se dépêchèrent de rapporter aux pharisiens la résurrection de Lazare. Quelle fut la réaction de ces derniers ? Crurent-ils, alors ? Non, ils ressentirent un désir encore plus fort de tuer Jésus.

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« Comment les sociétés secrètes ont-elles commencé, et pourquoi se devaient-elles d’être secrètes ? La réponse est à la fois choquante et pleine de renseignements, car elle pose le fondement d’une bonne compréhension de toutes les sociétés secrètes. Auteur chrétien, Alexander Hislop publia un livre intitulé Les Deux Babylones : le culte papal. Il déclara que les sociétés secrètes remontent au temps de Nemrod qui devint, après sa mort, le “premier des mortels déifiés” (page 32). Qui était Nemrod ? Quelques années à peine après le grand Déluge, duquel ne survécurent que Noé et sa famille, un homme puissant s’éleva du sein de ce que l’on nomme aujourd’hui l’ancienne Babylone. Son nom était Nemrod, puissant guerrier, et, par sa présence formidable, il en imposait sur l’ancienne Babylone. Nemrod institua ouvertement un système satanique d’idolâtrie et beaucoup de gens s’assemblèrent autour de ce culte. À cette époque, le système religieux prédominant sur le monde était le culte rendu au Vrai Dieu Unique. Peu après que Nemrod eut établi sa religion “alternative”, fondée sur l’idolâtrie et la sorcellerie, Sem, un des fils de Noé, fut grandement irrité et Dieu Tout-Puissant le motiva à écarter Nemrod. Sem l’attaqua par voie militaire, le défit, et le fit prisonnier. Sem exécuta Nemrod ainsi que bon nombre de ses prêtres et de ses disciples sataniques. Comme exemple de la nature complète de sa victoire, Sem ordonna que le corps de Nemrod fut dépecé en morceaux. Chacun de ces morceaux fut expédié de par tout le monde connu de l’époque afin de démontrer à tous que l’on ne tolérerait pas le culte à Satan par la sorcellerie et l’idolâtrie. Le monde en fut sauf de cette vague de mal.

« Cependant, l’épouse de Nemrod, Sémiramis, et quelques prêtres survivants joignirent leurs forces pour créer une religion secrète clandestine. Ils déifièrent Nemrod, créant ainsi une contrefaçon du Vrai Messie, Jésus-Christ. Ils conçurent un système de Mystères sataniques destinés à se répandre sur toute la terre. Les enseignements de ces “Mystères”, comme on en vint à les appeler, ramenèrent très subtilement les hommes vers le même système de Nemrod de magie et d’idolâtrie que Sem avait anéanti avec tant de vigueur. Ce faux sentier était présenté de manière attrayante aux hommes à qui l’on promettait une connaissance cachée, en les séduisant par l’attrait qu’il y avait à garder cette connaissance secrète, et en les liant ensemble par de sévères serments ainsi que des signes et des poignées de main secrètes.

« C’est ainsi que débutèrent les sociétés secrètes, quelques générations après le Déluge, aux environs de 2200 avant J.C.. Donc, les sociétés secrètes existent depuis plus de 4 000 ans dans l’histoire humaine ; elles se sont avérées littéralement l’église de Satan dès le commencement. Elles s’opposaient de façon absolue à chaque partie du plan de Dieu pour l’humanité et s’étaient engagées à le détruire. Cet engagement envers la destruction du système de Dieu était énoncé de telle manière que leurs membres furent trompeusement amenés à penser qu’en réalité, ils accomplissaient le “bien”. Est-ce pour cela que Dieu a donné l’avertissement suivant, dans Ésaïe 5:20 : “Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal ; qui font des ténèbres la lumière, et de la lumière les ténèbres ; qui font l’amer doux, et le doux amer !” ? Les sociétés secrètes renversent littéralement la définition des mots et ainsi qualifient le bien de Dieu de “mal” et le mal de Satan de “bien”.

« Il y a encore une autre raison pour laquelle les sociétés secrètes devaient s’établir dans l’ombre et le demeurer. Leur but n’était rien de moins que le renversement de tous les gouvernements existants et de la religion de Dieu. Si elles avaient tenté d’installer publiquement leurs organisations, les autorités dirigeantes les auraient arrêtées immédiatement pour trahison et les gens qui règlent leur vie sur les préceptes du système établi par Dieu, auraient réclamé à grand cri leur arrestation et l’exécution de ces gens-là. Donc, leurs desseins et leurs activités devaient être réalisés dans le plus grand secret. En outre, les leaders de ces sociétés secrètes croyaient que leur pouvoir irait en s’accroissant s’ils demeuraient absolument secrets.

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« Par le biais des sociétés secrètes, on préserva le système satanique babylonien. À partir de ce système surgira l’Antichrist qui essaiera d’anéantir le système de Dieu, comme le planifient les sociétés secrètes depuis le début. À ce moment-là, le monde entier sera envahi par la restauration publique de l’ancien système babylonien du culte à Satan. Nous en sommes aujourd’hui très près ; ne nous surprenons donc pas de ce que Dieu identifie, dans le livre de l’Apocalypse, le système de l’antichrist à “Mystère, Babylone” (chapitre 17). Dieu est fort précis et littéral dans Ses prophéties.

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« Les membres des sociétés secrètes se sont toujours joints sur invitation, créant de cette manière une confrérie se considérant exclusive, séparée et supérieure au reste des gens de la société. Cette attitude arrogante était encore rehaussée par l’enseignement qu’il existait un savoir temporel spirituel caché à n’être révélé qu’aux Initiés seulement, aux “Sages”, comme ils se qualifient eux-mêmes. Ces “Sages” croyaient que leurs Mystères étaient hors de la portée intellectuelle du peuple, de la “vulgaire” masse des gens. En effet, cette arrogance était tellement répandue chez les “Sages” de ces sociétés secrètes qu’ils entamèrent le processus d’enseigner des faussetés aux gens du peuple, se réservant le véritable savoir spirituel temporel pour eux seuls. Ces hommes différaient en cela des faux enseignants religieux tels que Mahomet et Bouddha, qui tentaient de partager leur savoir avec la masse. Les sociétés secrètes sont allées bien loin pour cacher la vérité aux gens du peuple.

Soyons clairs sur ce point : aucun adepte d’une société secrète ayant appris la vérité secrète ne put jamais révéler cette vérité aux gens du peuple. La punition pour pareille révélation était la mort, la plus extrême et douloureuse possible.

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« Étant donné que chaque membre apprenait de terribles informations, qu’il avait promis de tenir absolument secrètes vis-à-vis toute personne n’étant pas membre, les adeptes commencèrent à développer deux personnalités distinctes. L’une de ces personnalités était du domaine public et l’autre demeurait extrêmement secrète. L’art de la duperie, même auprès des membres de la famille, était rapidement assimilé. La personne extérieure que voyaient ses congénères, par ses paroles et ses actions, était fort différente de la personne intérieure.

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« Les sociétés secrètes professaient que l’Enseignement oral était aussi important et sacré que toute Parole écrite. Comme nous allons le voir dans un instant, quand nous allons étudier la société secrète juive des kabbalistes, cette emphase mise sur l’Enseignement oral s’avère un outil très important dans les mains de Satan. Souvenez-vous que Dieu a établi Ses Saintes Écritures en tant que Parole sacrée écrite. Il a répété à de nombreuses reprises que cette Parole écrite ne changerait jamais, qu’elle s’accomplirait en son entier et de manière absolue, et qu’elle durerait toute l’éternité. Étant donné que Satan travaille toujours dans le sens opposé de Dieu, ne soyons pas étonnés de voir qu’il mette autant l’accent sur l’enseignement oral. Aux confins des sociétés secrètes, l’enseignement oral sert le dessein critique consistant à garder secrets leur société et ses enseignements. L’enseignement oral est un outil de Satan.

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« Les sociétés secrètes professent que l’homme est foncièrement bon, qu’il n’a été corrompu que par son entourage physique et spirituel. Évidemment, cela contredit l’enseignement biblique clair et conséquent disant que l’homme est foncièrement mauvais.

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« Pratiquement toutes les sociétés secrètes enseignent qu’un jour, un Roi Rédempteur jaillira pour conduire le monde entier dans ce savoir caché. Ce n’est que lorsque tous les hommes seront initiés dans ces Mystères que le monde pourra vivre l’“Âge d’Or” pour lequel il est destiné. Cet enseignement est une contrefaçon de la Vérité de la Bible qui déclare, d’un bout à l’autre, que le Messie établira Son Royaume éternel. Ici, nous devons saisir un détail important : le Roi Rédempteur que les sociétés secrètes attendent diffère considérablement du Roi Rédempteur de la Bible, que nous savons être Jésus-Christ.

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« Retournons à l’histoire des sociétés secrètes, maintenant que nous avons installé le fondement de notre compréhension. À l’époque où Dieu fit sortir Israël de son esclavage d’Égypte (aux environs de 1500 avant J.C.), l’enseignement des sociétés secrètes du Proche-Orient existait depuis des centaines d’années. Dans les siècles précédant la naissance de Jésus, ce virus mortel commença à pénétrer chez les leaders religieux juifs. Ceux-ci entreprirent de tremper dans l’occultisme. On commença par épouser une tradition orale juive et secrète, distinctement séparée du Pentateuque écrit par Dieu. On créa deux systèmes d’enseignements juifs oraux, un public et l’autre secret. L’enseignement public traitait des affaires de la vie quotidienne, comme les lois sur l’achat et la vente ainsi que la traite de contrats, et ce qui constituait du travail le jour du sabbat ; cette loi pratique fut appelée le Talmud. Jésus Se répandit en invectives vis-à-vis de cette loi humaine imposée au peuple, parce que cela attachait trop étroitement les gens aux prêtres et que cela créait un standard frustrant que personne ne pouvait atteindre. Et ce standard ne provenait pas de Dieu ; il venait des hommes pour que les prêtres puissent contrôler le peuple.

« L’autre série d’enseignements oraux juifs était extrêmement hermétique et un classique dans ce genre de société secrète ; ces enseignements furent connus sous le nom de Kabbale. Un des livres constituant la kabbale était appelé le Sepher-Ha-Zohar, ou “Livre de la Lumière”. Ce livre était consacré aux écrits du rabbin Simon et de son fils, Éliézer, qui s’assirent dans une caverne tous les jours pendant 12 ans, enterrés de sable jusqu’au cou. Dans cette position physique surprenante, ils “méditèrent” sur la loi sacrée et reçurent la visite régulière du grand prophète Élie [Nesta Webster, Secret Societies, p. 8]. L’apôtre Paul frappa directement dans le mille quand il donna l’avertissement de 2 Corinthiens 11:14-15, disant que Satan et ses démons peuvent se transformer en anges de lumière et en ministres de justice afin de tromper l’homme crédule. Un des points communs des plus fréquents chez les fausses religions est que le texte original de leur révélation est donné au fondateur par un ange de lumière. Par exemple, Mahomet et Joseph Smith (le mormonisme) se virent donner leur “nouvelle” révélation par des anges de lumière.

« Donc, le sacerdoce juif se mit à tramer un plan pour amener tous les Juifs dans l’esclavage physique et spirituel en créant ce système dualiste du Talmud public et de la Kabbale secrète. Les préceptes du Talmud public enchaînèrent les gens par près de 1 000 règles sur la vie quotidienne et il commença à les éloigner de la vérité spirituelle que Dieu avait révélée à Moïse. Par conséquent, la première condition d’une société secrète fut remplie, celle de cacher aux gens la Vérité, en partie au moyen de confections extérieures pures et simples, et en partie en ajoutant des éléments aux lois mosaïques originales.

« Les enseignements secrets de la Kabbale étaient réellement sataniques. Certains écrivains ont admis qu’il s’agissait de doctrines au dessein “magique”. Un auteur critique de la Kabbale écrivit que ces enseignements “sont un poison subtil qui pénètre dans les veines du judaïsme et l’infecte entièrement” [Théodore Reinach, cité par Nesta Webster dans Secret Societies, p. 9]. Salomon Reinach qualifie la Kabbale de “l’une des pires aberrations que l’esprit humain ait conçu”. En outre, la Kabbale a influencé de manière significative les croyances et la direction de nombreuses sociétés secrètes européennes qui s’édifièrent dans les siècles qui suivirent. Cette influence fut si profonde que beaucoup de sociétés secrètes non juives ont littéralement revêtu un ton et un caractère juif.

« Puisque Satan est le “Seigneur de ce monde”, il a le pouvoir de faire prospérer ceux qui suivent son leadership. Ce fut l’appât servant à attirer les leaders religieux vers les propriétés mystiques et magiques inhérentes à la Kabbale. Et ne vous y trompez pas, ces leaders juifs prospérèrent abondamment. Même si Israël souffrait sous l’esclavage des dirigeants païens, comme la Grèce et Rome, les prêtres juifs gagnèrent une certaine autonomie qui leur permit de régner virtuellement en dictateurs sur leurs concitoyens juifs. Et les citoyens juifs du peuple ne comprenaient tout simplement pas que ces leaders religieux leur avaient imposé un système qui, simultanément, mettait un joug au cou des pauvres gens ordinaires pendant qu’ils se voyaient eux-mêmes élevés à des postes de pouvoir et de grand richesse. Et le gouffre d’incompréhension était si profond que le citoyen juif moyen portait encore beaucoup d’admiration et rendait honneur à ces leaders religieux qui l’affligeaient tant.

« Maintenant, examinons les pharisiens, dont la plupart étaient membres de la Kabbale, en utilisant les cinq caractéristiques communes que nous avons déjà vues. Nous allons également nous reporter à des passages pertinents du Nouveau Testament pour éclairer notre compréhension. Vous serez atterrés de constater le nouveau sens que prennent ces célèbres passages bibliques maintenant que vous comprenez que les pharisiens, qui concoctèrent et exécutèrent le plan servant à tuer Jésus, étaient membres de la société secrète dite de la Kabbale, et que vous comprenez que Jésus parlait directement à des membres de cette société secrète.

« 1. Les pharisiens démontraient un orgueil arrogant

« Matthieu 23:12-13 : “Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera, sera élevé 13Mais malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des cieux aux hommes : car vous-mêmes n’y entrez point, ni ne souffrez que ceux qui y veulent entrer, y entrent.” Une des caractéristiques des sociétés secrètes, c’est qu’elles cachent au gens des vérités clés, spécialement la vérité disant comment obtenir le salut éternel ; elles garderont plutôt ces vérités pour elles comme moyen de pouvoir et de privilèges. Jésus parle franchement de cette terrible situation, dans Luc 11:52 : “Malheur à vous, Docteurs de la Loi ; parce qu’ayant enlevé la clef de la science, vous-mêmes n’êtes point entrés, et vous avez empêché ceux qui entraient.” Les enseignants et les docteurs connaissaient la vérité que Dieu avait déployée devant le peuple et qui démontrait comment être sauvé pour l’éternité et comment développer de l’amour pour Dieu. Pourtant, ils cachèrent cette vérité toute simple aux yeux du peuple, lui substituant l’épouvantable système suffoquant de règles de vie quotidienne contre lequel S’objecta si vivement Jésus. Cette damnée société secrète de pharisiens envoyait littéralement des populations entières de Juifs dans la géhenne parce qu’elle leur dissimulait la vérité. Voilà pourquoi Jésus S’irrita si vigoureusement de leur conduite. Voyez-vous, Satan avait convaincu ces pharisiens que, de toute manière, tous les Juifs allaient au ciel, simplement parce qu’ils étaient Juifs ; par conséquent, ils pensaient que ce que les Juifs croyaient n’avait pas d’incidence éternelle. Ainsi, par cette supercherie spirituelle, les pharisiens resserraient plus fermement leur pouvoir et leur prestige terrestres.

« 2. Les pharisiens développèrent une double personnalité

« Matthieu 23:27-28 : “Malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites ; car vous êtes semblables aux sépulcres blanchis, qui paraissent beaux par dehors, mais qui au dedans sont pleins d’ossements de morts, et de toute sorte d’ordure. 28Ainsi vous paraissez justes par dehors aux hommes, mais au dedans vous êtes pleins d’hypocrisie et d’iniquité.” Ici, Jésus parle sans ambages de cette double personnalité des membres d’une société secrète. Les pharisiens avaient habilement et efficacement caché l’existence de leurs croyances sataniques à leurs sujets, mais ne pouvaient les cacher aux Yeux omniscients du Dieu Jésus.

« 3. Les pharisiens élaborèrent de complexes systèmes d’enseignement oral et ils incitèrent le peuple juif à les révérer

« Matthieu 15:1-9 : “Alors des Scribes et des Pharisiens vinrent de Jérusalem à Jésus, et lui dirent: Pourquoi tes Disciples transgressent-ils la tradition des Anciens [Talmud] ? car ils ne lavent point leurs mains quand ils prennent leur repas. Mais il répondit, et leur dit : et vous, pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? (…) ainsi vous avez anéanti le commandement de Dieu par votre tradition. Hypocrites, Esaïe a bien prophétisé de vous, en disant : (…) ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes.”

« Jésus S’attaqua clairement et avec vigueur au mal que la société secrète des pharisiens perpétrait contre le peuple juif, celui de créer une tradition orale censément égale à l’enseignement écrit de Dieu et, en fait, en flagrante contradiction avec Sa Parole écrite. Les gens ne comprenaient pas comment ils avaient pu être trompés parce que, chez le peuple, on ne possédait pas la Parole de Dieu. Ce sont les pharisiens qui avaient les rouleaux de la Parole, et ils les gardaient pour eux. Nous vous encourageons à lire soigneusement Matthieu 15:1 à 20, avec dans l’idée que Jésus y parle d’abord contre les enseignements et les pratiques de sociétés secrètes sataniques. D’une fois à l’autre, Jésus déclare que les pharisiens iront dans le feu de la géhenne. Il ne mâche pas Ses mots. À deux occasions, Jésus qualifie les pharisiens de “vipères”, que le Dictionnaire de la Bible du Dr William Smith donne comme synonyme de “Serpent”. Nous savons que la Bible utilise régulièrement le Serpent comme l’un des noms de Satan. Mais Jésus ne laisse aucune place à l’erreur quant à ce sujet, ne voulant pas que l’on passe à côté de la leçon démontrant que les pharisiens n’étaient pas de simples pécheurs. Dans Jean 8:44, Jésus dit que le père des pharisiens, “c’est le diable”. Jésus n’a jamais dit cela d’une autre personne ou d’un autre groupe de personnes. Il était très compatissant à l’endroit des pécheurs ; la raison pour laquelle Jésus se montra aussi sévère envers les pharisiens était qu’Il savait qu’ils adoraient Satan de par leur participation à la société secrète de la Kabbale.

« 4. Les pharisiens croyaient que l’homme est foncièrement bon

« Du fait que les pharisiens croyaient que l’homme, intrinsèquement, est bon, ils développèrent un système de salut fondé sur les œuvres. Ce système d’œuvres devait s’appeler plus tard le Talmud ; néanmoins, Jésus préférait S’y référer en tant que la “Tradition des hommes”. La Bible enseigne clairement, toutefois, que l’homme est foncièrement méchant ; par conséquent, il n’y a absolument aucun moyen pour que l’homme puisse faire assez de bonnes œuvres capables d’expier complètement sa méchanceté. Chaque fois que Jésus Se répandait en invectives contre cette “tradition des hommes”, Il parlait de ce fameux enseignement religieux voulant que le salut s’obtienne par de bonnes œuvres. À toutes les fois que vous voyez Jésus dire : “Vous dites… mais je vous dis…”, Il aborde habituellement cette question des œuvres en rapport avec le salut.

« 5. Les pharisiens recherchaient le Roi/Rédempteur promis

« Les érudits du paganisme et les érudits du vrai judaïsme attendaient que se lève un Roi Messie pour conduire l’humanité vers une nouvelle lumière et une nouvelle prospérité matérielle. Cependant, les païens des sociétés secrètes étaient à la recherche d’un Rédempteur promis fort différent de Celui qu’enseigne la Bible. Or, maintenant que nous savons que les pharisiens, qui s’opposèrent si fortement à Jésus-Christ, voulant tellement Le voir mort, et qui affichèrent une haine aussi surnaturelle envers Lui, étaient donc membres d’une société secrète, la Kabbale juive, nous sommes de la sorte prêts pour une révélation encore plus bouleversante.

*   *   *

« [Bon nombre de gens entretiennent la mauvaise conception que] les sociétés secrètes ne sont que de simples organisations sociales qui exécutent des activités caritatives. Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité. Rappelez-vous des mises en garde de Jésus afin de ne pas se laisser séduire, dans Matthieu 24:4-5, 11 et 24. Au verset 24, Jésus évalua ce type de séduction : “Car il s’élèvera de faux christs et de faux prophètes, qui feront de grands prodiges et des miracles, pour séduire même les élus, s’il était possible.” Cette séduction prophétisée sera si sophistiquée et si crédible qu’elle trompera virtuellement tout le monde sur terre qui ne sera pas sauvé. Tel est le cas de toutes les sociétés secrètes. Elles ont l’habitude de séduire, spécialement leurs propres membres. Albert Pike, dans son bouquin Morals and Dogma, déclare qu’il leur est indispensable de séduire leurs propres membres jusqu’au moment où l’on peut déterminer qu’ils sont prêts à recevoir la “vérité”.

*   *   *

« La Franc-maçonnerie provient de Satan, peu importe toutes leurs protestations affirmant le contraire. C’est d’ailleurs vrai de toutes les sociétés secrètes, quelque soit le nom qu’elles se donnent.

« [L]es pharisiens, qui haïssaient tellement Jésus-Christ qu’ils complotèrent Sa mort sur la Croix, étaient membres d’une société secrète juive appelée Kabbale. Une fois que nous comprenons ce fait, nous pouvons plus facilement saisir de nombreuses choses contre lesquelles Il parla. Nous pouvons aussi comprendre de manière plus complète pourquoi la haine des pharisiens semblait surnaturelle et leur cœur aussi dur, même face à l’exécution des miracles les plus incroyables.

*   *   *

« Les membres de sociétés secrètes exécraient le citoyen moyen. Ils essayèrent délibérément de les éconduire spirituellement, et ils érigèrent des barrières sociales afin de séparer les masses des membres des sociétés. Donc, lorsque Jésus commença à S’associer aux gens du peuple, et spécialement avec les plus pécheurs d’entre eux, les pharisiens savaient dès lors que Jésus ne pouvait être leur Rédempteur promis (…) Les pharisiens avaient soigneusement détourné les gens du peuple par la création de leur Talmud. Les restrictions de vie quotidiennes de la loi talmudique étaient limitatives au point d’attacher les gens par un esclavage absolu aux pharisiens. Le Talmud avait également celé la Vérité divine contenue dans les livres de Moïse. Et Jésus réagit de façon dramatique à cette “Tradition des hommes”, la condamnant par des termes extrêmement puissants. Les pharisiens contre-attaquèrent en complotant pour Le tuer.

« [Les pharisiens] croyaient que leur Rédempteur promis serait capable de miracles et de guérisons extraordinaires parce que ce serait un Adepte qui aurait accès au pouvoir inhérent contenu au sein de la société secrète. Puisque nous commençons à explorer ce sujet particulier, s’il vous plaît, soyez très attentif, parce que nous traitons ici d’un sujet des plus explosifs.  Lorsque Jésus commença à valider Son ministère par le biais de nombreux miracles de guérisons et d’exorcismes, les pharisiens ne furent pas surpris. Il y a beaucoup de puissance dans la pratique de l’occultisme parce que Satan est réellement surnaturel. Certains pharisiens avaient été capables de reproduire plusieurs des exploits qu’accomplissait Jésus parce qu’ils avaient accès au pouvoir des démons. Par conséquent, lorsque Jésus accomplit les miracles que les pharisiens occultes avaient été capables de faire, ils attribuèrent tout simplement le pouvoir de Jésus à l’occultisme. Quand Jésus réalisait un miracle plus grand que ce que les pharisiens avaient été capables de faire, ils n’attribuaient ces miracles qu’au fait qu’ils croyaient que Jésus était, encore plus qu’eux, Adepte de l’Occultisme.

« Nous tirons cette croyance pharisaïque de Matthieu 12:22-37. Jésus venait de chasser un démon d’un homme et les pharisiens verbalisèrent la croyance de leur société secrète, comme il est écrit au verset 24 : “…celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons.” La réaction de Jésus fut immédiate et sur deux fronts.

« Premièrement, Jésus posa une question évidente : s’Il chassait les démons par la puissance de l’occultisme, alors par quel pouvoir les pharisiens étaient-ils capables, eux, de chasser les démons ? Voyez-vous, chasser les démons s’est avéré une façon très populaire et facile pour convaincre la moyenne des gens que l’on est véritablement juste et rempli du Saint-Esprit. Toutefois, les pharisiens savaient que leur pouvoir de chasser les démons provenait… des démons !

« Deuxièmement, Jésus émit la déclaration la plus effrayante jamais proférée dans toute l’histoire : “tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné … il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir.” (Matthieu 12:31-32, VM). La révélation que Jésus avait créé un nouveau péché s’avérant impardonnable était incroyable. Jamais dans l’Ancien Testament Dieu avait-Il donné le moindre indice de l’existence d’un péché impardonnable. Mais Jésus le créa ici. Le Péché Impardonnable, c’est tout simplement d’attribuer à Satan ou à l’un de ses démons le pouvoir de Jésus d’accomplir Ses miracles. Lorsqu’une personne affirme cela, elle nie le pouvoir et l’œuvre du Saint-Esprit. C’est le seul péché que Dieu ne pardonnera jamais. En outre, une fois que quelqu’un a commis ce péché, le Saint-Esprit arrêtera d’œuvrer dans sa vie en essayant de le convaincre de péché, et de l’amener à la repentance. Donc, Satan a libre accès à l’âme de cette personne afin de faire ce qu’il veut d’elle. Satan peut alors commencer à endurcir le cœur de cette personne jusqu’à un point monstrueux.

[N. du T. : Nous traduisons tout le texte du document en rapport avec cette vision de M. David Bay de Cutting Edge concernant le Péché Impardonnable afin que vous soyez au courant de ce qu’on peut imaginer à ce propos. Après cet extrait, nous vous proposerons ce que nous, de Mission : Moisson des Élus, avons vu dans la Bible. Cela est passablement différent. Mais nous croyons préférable que le lecteur puisse se faire lui-même une idée de ce que la Bible dit. L’intention n’est pas de discréditer ce qu’un autre chrétien a comme croyance pour le simple plaisir de critiquer. Mais nous comprenons, et sans aucun doute le lecteur également, que chacun ne peut avoir toute la vérité dans son entier. MM. Bay et Henrie possèdent une bonne connaissance dans de nombreux domaines, mais parfois, ils professent des doctrines qui ne sont pas vraiment en accord avec la Bible. Il en est de même chez un peu tous les chrétiens. Au lecteur de juger.]

« Il n’y a absolument aucune preuve que les pharisiens aient cessé de lancer cette affirmation une fois que Jésus les eut avertis que ce péché est impardonnable. En fait, leur activité déplorable à la croix indique fortement qu’ils croyaient toujours à ce mensonge et le propageaient. Alors que Jésus étaient en train de mourir, les pharisiens se moquaient de Lui parce qu’Il ne descendait pas de la croix en déployant une grande puissance pour Se sauver. Ils croyaient encore que Jésus ne possédait pas de pouvoir inhérent, ou qu’Il n’avait de pouvoir que lorsqu’Il pouvait y avoir accès de façon appropriée par l’occultisme. Comme Il ne descendit pas de la croix, les pharisiens se trouvèrent affermis dans leur croyance. Ils pensaient donc avoir accompli leur devoir en tant que gardiens du serment de leur société secrète de ne pas révéler les secrets aux non-membres. Vu qu’ils croyaient que Jésus était Lui-même membre d’une société secrète, ils étaient convaincus qu’Il méritait une mort douloureuse et atroce, tel qu’exigé par les serments des sociétés secrètes. Les pharisiens n’avaient fait que leur devoir.

« Nous voulons conclure par les répercussions épouvantables qu’a cette croyance des pharisiens aujourd’hui. Quand ils présentèrent l’idée que Jésus ne pouvait accomplir Ses nombreux miracles qu’en tant qu’Adepte d’une société secrète, Jésus déclara qu’ils étaient coupables du péché impardonnable. On penserait que cet avertissement rendrait quiconque très attentif à ne pas répéter pareille déclaration, parce que sa propre âme sera irrémédiablement perdue. Malheureusement, tel n’est pas le cas. Nesta Webster, dans son livre Secret Societies and Subversive Movements (Sociétés secrètes et mouvements subversifs), rend compte, à la page 92, qu’un certain groupe, appelé les “Gnostiques Carpocratiens”, soutenait ce point de vue. En outre cette croyance s’affiche comme en filigrane “dans toutes les sociétés secrètes jusqu’à nos jours”. [Par exemple, Albert Pike, le Souverain Pontife des Doctrines de la Franc-maçonnerie du Rite Écossais, a dit que “Lucifer, le Dieu de Lumière et le Dieu du Bien, luttait pour l’humanité contre Adonaï, le Dieu des Ténèbres et du Mal.”[20] Adonaï est le mot hébreux de l’Ancien Testament pour désigner Dieu. Non seulement Pike admet-il que Lucifer est le dieu de la Franc-maçonnerie, mais encore blasphème-t-il Dieu en L’appelant “le Dieu des Ténèbres et du Mal”. Il est intéressant de constater que, en 1843, le B’nai B’rith fut formé comme le rejeton juif de la Franc-maçonnerie du Rite écossais.[21] La Ligue Anti-Diffamation fut créée en 1914 en tant que sous-loge et bras exécutif de la B’nai B’rith juive kabbalistique.[22]]

« En d’autres termes, les membres des sociétés secrètes commettent le péché impardonnable depuis l’avertissement de Jésus enregistré dans Matthieu 12:24. La liste des organisations coupables comprend des sociétés très bien connues telles que les Sociétés La Fraternité de la Mort, les Rose-croix et la Franc-maçonnerie. Comme nous l’avons déjà rapporté ailleurs, la Société de la Fraternité de la Mort est une organisation détachée qui se répand dans le monde. Il y a deux Sociétés très connues de la Fraternité de la Mort, une en Allemagne et l’autre aux États-Unis. Celle de l’Allemagne s’appelle le Groupe de Thulé ; Adolf Hitler en était membre. Si nous acceptons de croire qu’Hitler a commis le péché impardonnable lorsqu’il fut formé en tant qu’Adepte de cette société secrète, nous pouvons comprendre comment il a pu perpétrer des actes de vengeance d’une pareille monstruosité sur le monde durant la Deuxième Guerre Mondiale. Nous pouvons facilement saisir pourquoi son esprit s’était tellement endurci et saturé de haine contre les Juifs d’abord et les chrétiens ensuite. Beaucoup des fonctionnaires gouvernementaux d’Hitler faisaient également partie du Groupe de Thulé, donc, ils furent coupables du péché impardonnable. Comme nous l’avons préalablement déclaré, une fois que quelqu’un a commis ce péché, le Saint-Esprit cesse d’œuvrer dans son cœur et son esprit pour le convaincre de péché et l’amener au repentir. Cette personne n’a plus de conscience. Elle peut s’endurcir le cœur et l’esprit au point qu’elle peut être grandement utilisée par Satan sans en ressentir le moindre remord ou avoir le plus petit sentiment de culpabilité.

« La Société de la Fraternité de la Mort, aux Etats-Unis, se nomme Skull and Bones (Crâne et Os), Société secrète de l’Université de Yale, à New Haven, au Connecticut. Sa structure de croyances est identique à celle du Groupe de Thulé. Nous pouvons donc en conclure que les hommes du Skull& Bones affirment la même croyance vis-à-vis de Jésus-Christ, ce qui les condamne au péché impardonnable. La liste de quelques-unes des familles composant les Skull & Bones a de quoi faire peur, car elle démontre immédiatement l’étendue de l’influence que cette organisme satanique exerce en Amérique. Rappelez-vous que les hommes de cette famille ont probablement commis le péché impardonnable. [Cité d’Anton Sutton, America’s Secret Establishment (l’établissement secret de l’Amérique), p. 22].

« La famille Rockefeller (pétrole), la famille Weyerhaeuser (coupe de bois), la famille Sloane (commerce au détail), la famille Pillsbury (farine moulue), la famille J. P. Morgan (banque), la famille Taft (politique), la famille Bush, y compris l’ancien président George Bush. Attendez un instant, direz-vous, George Bush aurait probablement commis le péché impardonnable parce qu’il est membre des Skull & Bones ? Oui. Vous voyez maintenant comme il était facile pour Bush de conduire la charge vers un Nouvel Ordre Mondial satanique. Vous pouvez comprendre que Bush était en son for intérieur très différent de la surface créée par les médias.[23]

[N. du T. : Comme nous vous l’avions mentionné, plusieurs éléments de l’extrait des articles de David Bay, de Cuttingedge, nous font croire à une mauvaise compréhension de sa part en ce qui a trait au Péché Impardonnable. Contrairement à ce qu’il semble penser, le péché impardonnable est commis par une personne qui est préalablement habitée par l’Esprit-Saint. C’est l’apôtre Paul lui-même qui nous en fait la description détaillée. Mais, étant donné qu’il ne spécifie pas « péché impardonnable », l’expression n’apparaissant pas comme telle dans la Bible, beaucoup de gens passent par-dessus ces passages sans comprendre de quoi il s’agit. Nous vous suggérons donc la lecture d’un article du rédacteur principal de Mission : Moisson des Élus, Joseph Sakala, qu’il a intitulé Le Péché Impardonnable.

Nous voyons que, sans l’Esprit, il est impossible de comprendre les choses spirituelles, car on ne bénéficie alors que de l’esprit humain dans l’homme, qui ne peut pas se soumettre à Dieu. Comment pourrait-on ainsi faire, d’une manière éclairée, un choix de vie aux conséquences éternelles ? C’est impossible, Dieu le sait mieux que nous.

Ainsi, la nature humaine des pharisiens ne pouvait aller vers le vrai Dieu. Ils avaient été élevés dans une manière de vivre qui les empêchait de se repentir. Le salut par Jésus-Christ leur apparaissait comme un sacrilège, car ils n’en connaissaient pas la nature. Ils croyaient rendre un culte à Dieu en reniant Jésus. Il est évident que l’Esprit ne travaillait pas avec eux, contrairement à ce qu’avance M. David Bay. Pourtant, il reconnaît que la nature de l’homme est foncièrement mauvaise. Jésus a dit que nul ne pouvait venir à Dieu si le Père ne l’appelait. Il ne faut pas s’attendre à ce que les pharisiens aient été capables de comprendre Christ et d’aller d’eux-mêmes au Père.

Si Paul a pu être si torturé par les désirs de sa nature charnelle (Romains 7:14-15), lui qui possédait le Saint-Esprit et était un grand apôtre, que dire des pharisiens qui ne possédaient que leur nature humaine !

Dieu ne condamnera jamais quelqu’un qui rejette son salut par ignorance ! Les pharisiens du temps de Jésus, comme leurs descendants modernes, ne connaissaient pas le chemin du salut ! Ils étaient plutôt convaincus d’être déjà sauvés du fait même qu’ils étaient Juifs (un salut par la race) ; par conséquent, le vrai chemin du salut leur était inconnu.

Rappelons la promesse de Jésus faite à deux Églises d’Apocalypse qu’Il leur donnerait des gens de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs mais n’en sont pas : « Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9). « Voici, je ferai venir ceux de la Synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent ; voici, dis-je, je les ferai venir et se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’aime » (Apocalypse 3:9). Certains Juifs hassidiques se sont repentis ! Ils ont donc reçu le Saint-Esprit et cela contredit M. Bay qui pense qu’ils ont nécessairement commis le péché impardonnable ! Tous les anciens membres des sociétés secrètes qui sont aujourd’hui convertis viennent contredire la théorie de M. Bay.

Jésus a dit, dans Matthieu 23:12-13 : « Car quiconque s’élèvera sera abaissé ; et quiconque s’abaissera, sera élevé. 13Mais malheur à vous, Scribes et Pharisiens hypocrites, qui fermez le Royaume des cieux aux hommes : car vous-mêmes n’y entrez point, ni ne souffrez que ceux qui y veulent entrer, y entrent. » Les pharisiens n’entrent pas dans la Royaume de Dieu qui est réservé aux Élus de la première Résurrection. Cela s’applique à eux au même titre qu’aux prêtres et aux pasteurs qui, quoique souvent bien intentionnés, enseignaient un faux salut. Rien à voir avec le péché impardonnable. C’est le résultat de l’ignorance : « Mon peuple est détruit, faute de connaissance » (Osée 4:6, VO).

Les pharisiens croyaient au salut par les œuvres, ils ne connaissaient donc pas le vrai salut. Leur accoler l’intention d’empêcher les gens d’entrer dans le salut parce qu’ils connaissaient le salut, mais ne voulaient pas y entrer, entre en contradiction avec les autres Écritures et la connaissance que nous avons des croyances des pharisiens et de tous les juifs hassidiques et orthodoxes en général. On se méprend donc sur les paroles de Jésus, comme c’est trop souvent le cas.

Il faut se montrer prudent quand vient le moment d’interpréter les paroles de Jésus à l’endroit des pharisiens en croyant qu’Il les avait déjà condamnés à la seconde mort. Il leur avait certes parlé fortement, mais n’avait-Il pas également employé un langage très fort vis-à-vis Pierre lui-même en le traitant de Satan ! Voir Marc 8:33 et Luc 4:8. Or, Pierre a obtenu le salut subséquemment, quand il a reçu le Saint-Esprit à la Pentecôte. Mettons donc les choses en perspective. Comme exemple du fait qu’il faut que Dieu fasse un miracle pour qu’un pharisien, un Juif talmudique ou un membre de société secrète comprenne l’appel de Dieu, voyez ce que le Seigneur a dû produire dans le cœur du pharisien Saul pour en faire son apôtre des Gentils, Paul.

Le passage de Matthieu 12:31-32 : « C’est pourquoi je vous dis, que tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné. 32Et si quelqu’un a parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais si quelqu’un a parlé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir, » ne démontre pas que les pharisiens blasphémaient contre l’Esprit, ils blasphémaient contre Jésus. C’est de cela qu’Il les accuse. On a tort d’attribuer la dernière partie de chacun de ces passages aux pharisiens, alors qu’en fait, ils transgressaient la première partie de l’énoncé de Jésus. Les pharisiens ne savaient probablement pas qu’il y eut même un Saint-Esprit et Jésus les mit au courant. Ces passages démontrent, bien sûr, ce que les pharisiens pensaient de Jésus. Cependant, le fait d’attribuer Ses miracles à l’occultisme n’était pas le péché impardonnable contre le Saint-Esprit, mais plutôt une incompréhension de ce qu’était Jésus. N’oublions pas leur conception tordue de Dieu et du Serpent. Ils blasphémaient peut-être contre Jésus, mais Celui-ci leur montra qu’Il pouvait leur pardonner. D’ailleurs, certains pharisiens et docteurs de la loi ne Lui étaient pas aussi hostiles que d’autres. Nicodème en est un exemple frappant (Jean 3). Au verset 3, il démontre l’ignorance des pharisiens vis-à-vis Jésus en L’assimilant à un docteur venu de Dieu plutôt qu’au Fils de Dieu. S’il avait eu le Saint-Esprit et l’avait ensuite rejeté, il aurait quand même su que Jésus est le Fils de Dieu. Les démons le savaient, eux. Pour commettre le péché impardonnable, il faut avoir eu le Saint-Esprit et avoir parfaitement su qui est Jésus pour rejeter Son sacrifice (Hébreux 10:26-29 ; 6:4-6).

En outre, l’attitude des pharisiens devant la croix n’a rien à voir avec le rejet du Saint-Esprit. Ce n’était qu’une négation ignorante de Jésus-Christ. Des millions de gens ont fait la même chose et la Bible ne dit pas pour autant qu’ils subiront la seconde mort. Il existe, en rapport avec ce sujet important, une grande confusion et une profonde incompréhension du péché impardonnable, du salut versus la condamnation et des Résurrections. Ce sont des doctrines essentielles et fondamentales dont il faut être sûrs avant de lancer des condamnations au caractère irrémédiable sur certaines catégories de gens, à l’image de la papauté qui lançait de pathétiques anathèmes à tort et à travers.

Ensuite, pour commettre des atrocités comme Hitler, il n’est pas besoin d’avoir préalablement commis le péché impardonnable, il suffit d’être un homme de chair et de sang et d’avoir une éducation en conséquence. Prenez l’exemple des hommes ordinaires qui ne font partie d’aucune société secrète, mais qui commettent l’inceste et la pédophilie au sein de leur propre famille. Les journaux en sont pleins ! Ont-ils commis le péché impardonnable ? Pourtant, qu’ont leurs péchés de moins abominables que ceux d’Hitler ? La Bible ne dit-elle pas que chaque pécheur est responsable pour son propre compte du sacrifice de Jésus sur la croix ? Prenons en compte que les Juifs orthodoxes et hassidiques, ceux-là mêmes que l’on dit talmudiques kabbalistes, sont élevés dès leur naissance à croire des mensonges qui nous apparaissent aberrants et incroyables. Mais pour eux… c’est la vérité ! Qui croit à un mensonge en sachant que c’est un mensonge ? Même Satan ne croit certainement pas aux mensonges qu’il profère consciemment. Or, il croit, cependant, au pire mensonge qui ait été proféré, i.e., qu’il est supérieur à Dieu, son Créateur. Pourquoi ? Parce qu’il est convaincu que c’est la vérité ! Sinon, il ne déploierait pas autant d’efforts. Le même principe s’applique aux pharisiens, au Juifs talmudiques et à tous les membres des sociétés secrètes. Ils croient réellement aux mensonges qu’ils prennent pour des perles de lumières et de connaissance. Pourquoi ? Parce que l’Esprit-Saint n’a jamais travaillé avec eux pour les conduire dans la vérité ! Il est faux de croire que l’Esprit, depuis la Pentecôte, tente de convaincre tout le monde de péché ! Il ne travaille qu’avec les Élus de la première Résurrection. D’autres articles de notre site expliquent plus en profondeur ces doctrines fondamentales.

Sur la base de ces fondements, il devient plus facile de comprendre l’attitude de Jésus, des pharisiens et des membres des diverses sociétés secrètes à travers le temps. Cela nous ramène à la même conclusion que Jésus : Satan est le père du mensonge et il a englobé l’humanité dans un tissu serré de mensonges séducteurs. Maintenant, revenons à notre sujet avec Edward Hendrie.]

De nombreux Juifs talmudiques se convertirent au catholicisme romain dans le but d’utiliser l’Église de Rome à leur profit. Weishaupt, le supposé fondateur des Illuminati, explique : « Car une grande partie de notre force repose sur la dissimulation. Pour ce faire, nous devons toujours nous couvrir du nom d’une autre société. Les loges se trouvant dans la Franc-maçonnerie sont, dans l’intervalle, le plus convenable des manteaux pour la poursuite de notre dessein (…) En ce qui concerne les Ordres spirituels de l’Église romaine, la religion ne fut, hélas ! qu’un prétexte afin que notre Ordre puisse, d’une manière plus noble, se cacher derrière une société savante ou quelque chose du genre. »[24]

Vous remarquerez que la stratégie employée par les Illuminati de Weishaupt est exactement la même que celle utilisée par les Juifs talmudiques. Dans les Protocoles des Sages de Sion, les Juifs talmudiques disent, comme les Illuminati, s’être servis de la Maçonnerie comme couverture pour occulter leur implication dans les plans d’un « Nouvel Ordre Mondial ». « Par qui ou par quoi pourrait être détrôné un pouvoir invisible ? Or, c’est là justement ce qu’est notre Gouvernement. La Loge maçonnique joue, inconsciemment, dans le monde entier, le rôle d’un masque qui cache notre but. Mais l’usage que nous allons faire de ce pouvoir dans notre plan d’action, et jusque dans nos quartiers généraux, reste à jamais ignoré du monde en général. »[25] Les Juifs talmudistes sont sionistes. La stratégie employée par ces Juifs sionistes, les Illuminati et les Jésuites est la même parce que les Illuminati, les Jésuites et les Juifs sionistes partagent le même noyau de croyances occultes babyloniennes.

Qui fut derrière la création des Illuminati ? Comme nous l’avons préalablement expliqué, les Illuminati ont, en effet, précédé les Jésuites. Leur établissement, en 1776, ne fut que la reconstitution de la Kabbale occulte juive qui prospérait sous les Jésuites. Les Illuminati furent reconstitués par Lorenzo Ricco, alors Général Jésuite en 1776. Qui utilisa-t-il comme représentant des Illuminati ? Nul autre que le Juif Adam Weishaupt, formé chez les Jésuites, converti catholique et disciple de Lorenzo Ricco. Il était professeur de loi canonique à l’Université jésuite d’Ingolstadt, alors centre de la contre-réforme jésuitique.[26] Plusieurs affirment que Weishaupt était un « ancien » Jésuite. Il est plus probable qu’il était Jésuite et que son statut « d’ancien » Jésuite fut conçu afin que dissimuler l’implication jésuite chez les Illuminati. Weishaupt est né le 6 février 1748, à Ingolstadt. Ses parents étaient crypto-Juifs. Il fut éduqué dans l’ordre des Jésuites où on l’exposa à l’organisation des Jésuites et à leur agenda politique. Weishaupt était un de ces Juifs qui, dès leur jeune âge apprennent à accorder leur allégeance secrète au Talmud et à la Kabbale, mais c’était extérieurement un tout dévoué catholique romain.[27]

Les Jésuites, venant tout juste d’être supprimés par le pape Clément XIV, en 1773, trouvèrent nécessaire de reconstituer les Illuminati, ce qui s’avérait une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild. Meyer Amschel, chef de la Maison des Rothschild, était un Juif allemand éduqué chez les rabbins, et prit plus tard le nom de Rothschild.[28] Amschel utilisa son immense fortune pour consolider les efforts révolutionnaires des Illuminati, dont, entre autres, la Révolution française. Un autre homme ayant contribué à l’établissement des Illuminati se nommait Jakob Frank, Juif polonais. Son nom de famille était originalement Leibowicz. Il vivait dans la cité allemande d’Offenbach et c’était un leader de la Kabbale juive secrète de l’époque.[29]

Les Jésuites assassinèrent le pape Clément XIV et, par les Illuminati, pillèrent ensuite le Vatican, s’emparant de toutes ses propriétés ecclésiales terriennes de par le monde. Le Vatican apprit sa leçon et, le 7 août 1814, les Jésuites furent restaurés en tant qu’Ordre catholique par le pape Pie VII.[30] Les Jésuites furent dès lors plus forts et plus puissants que jamais. L’on doit comprendre que les Jésuites ne se fusionnent pas, ils absorbent. Comme le Vatican qui l’apprit à la dure école, tous ceux qui s’allient aux Jésuites se retrouvent dans les griffes de la mort, desquelles il n’y a aucune délivrance, sauf par le pouvoir de Dieu Tout-Puissant. Ils ont absorbé tous ceux qui ont fait alliance avec eux.

L’influence des Juifs, par l’intermédiaire des Jésuites au sein de l’Église catholique romaine, s’est manifestée dès le début dans la doctrine catholique. Le Concile de Trente fut orchestré par les Jésuites qui, d’anathème en anathème, attaquèrent la doctrine chrétienne. Le contrôle des Juifs sur le Vatican est si complet que le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, émit une doctrine officielle de la foi catholique acceptant le point de vue juif disant que le messie est encore à venir. Il y a apparemment double langage dans le document, car il accepte la vision juive de la venue du messie sans ouvertement rejeter Jésus. Certains ont interprété le document comme reniant le rôle rédempteur de Jésus. Comme l’expliquent des chapitres précédents de ce livre, l’Église catholique a depuis longtemps renié le rôle rédempteur de Jésus. Le document est renfermé dans un petit livre intitulé Le peuple juif et les Saintes Écritures dans la Bible chrétienne. Rien de surprenant à ce que cette doctrine judéo-catholique eut été rédigée par un Jésuite du nom de Albert Vanhoye.[31]

Dans l’ancienne Palestine, les Juifs travaillèrent main dans la main avec les Romains pour crucifier le Christ. Aujourd’hui, les Juifs oeuvrent main dans la main avec l’Église catholique romaine dans leur effort commun pour diriger le monde. Dans Apocalypse 17:5, la grande prostituée est l’Église catholique romaine qui porte un nom sur le front, MYSTÈRE, BABYLONE LA GRANDE, LA MÈRE DES IMPUDIQUES ET DES ABOMINATIONS DE LA TERRE. Notez que si elle est un mystère, elle est aussi étiquetée Babylone. Si elle est appelée Babylone, c’est qu’elle est babylonienne. Elle est un mystère parce que c’est une religion démoniaque antichrist qui est sortie de la Babylone païenne déguisée comme « la » religion chrétienne. L’étampe du christianisme a été apposée sur le paganisme babylonien pour qu’il se présente comme la religion à mystères que nous connaissons sous le nom d’Église catholique romaine. Les Juifs talmudiques et le Vatican partagent tous deux la même racine commune babylonienne. Les Jésuites entretinrent la Kabbale babylonienne dans la doctrine catholique romaine et favorisèrent aussi la Kabbale dans la Franc-maçonnerie. En 1754, les premiers 25 degrés du Rite écossais de la Franc-maçonnerie furent rédigés par les Jésuites du Collège des Jésuites de Clermont, à Paris.[32] Albert Pike explique ce secret à la maçonnerie dans sa bible doctrinale de la franc-maçonnerie, Morals and Dogma, : « La maçonnerie est une quête de la Lumière. Comme vous le voyez, cela nous ramène directement à la Kabbale. »[33] Les Juifs talmudiques infiltrèrent la Rome païenne principalement, mais pas exclusivement, par le moyen de l’Ordre des Jésuites. Remarquez les similarités entre l’impérieuse femme prostituée d’Ézéchiel 16:14-40, constituant l’Israël apostat, et la prostituée catholique romaine de l’Apocalypse. C’est la même. Les Jésuites crypto-juifs de l’Église catholique romaine sont les pharisiens des temps modernes. Ces pharisiens des temps modernes, cependant, ne sont pas de vrais Juifs, ce sont des Juifs Khazars, aussi connus comme Juifs ashkénazes. Ce sont des Européens de l’est convertis au talmudisme.

Il est important de bien saisir qu’il existe un noyau babylonien commun au talmudisme, au jésuitisme, au catholicisme, à la franc-maçonnerie, au communisme, au nazisme et au sionisme. Ils sont tous issus de Babylone et sont tous antichrists. Voilà pourquoi Babylone la Grande est appelée la Mère des Impudiques et des Abominations de la Terre.

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[1] Anti-Sion, des Juifs sur la question juive, http://www.diac.com/~bkennedy/az/A-E.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[2] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[3] John S. Torell, European-American Evangelical Association, juillet 1999, http://www.eaec.org/NL99jul.htm (tel qu’au 2 octobre 2001).

[4] Ibidem..

[5]  Ibidem.

[6] Michael Hoffman & Alan R. Critchley, The Truth About the Talmud, http://www.hoffman-info.com/talmudtruth.html (tel qu’au 12 septembre 2001).

[7] Ibidem.

[8] Ibidem.

[9] Judaism vs. Christianity : The War the Lamb Wins, http://www.fixedearth.com/talmud.html (tel qu’au 11 septembre 2001).

[10] Ibidem.

[11] Ibidem.

[12] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 209, 2000 (citant Benjamin Freedman, Facts Are Facts, 1954.).

[13] Judaism vs. Christianity : The War the Lamb Wins, http://www.fixedearth.com/talmud.html (tel qu’au 11 septembre 2001).

[14] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[15] Voir John Torell, Showdown in Jerusalem, The Dove, hiver 1995.

[16] Walter White, Jr., The Hidden Tyranny, http://www.fourwinds10.com/corner/J224-ch4.pdf , http://www.antichristconspiracy.com/HTML%20Pages/Harold_Wallace_Rosenthal_Interview_1976.htm (adresses Internet tel qu’au 21 avril 2002).

[17] Rabbin David A. Cooper, God is a Verb, Kabbalah and the Practice of Mystical Judaism, p. 156, (1997) — emphase ajoutée.

[18] Ibidem.

[19] Voir John S. Torell, Showdown in Jerusalem, The Dove, hiver 1995.

[20] Des Griffin, The Fourth Reich of the Rich, p. 70, (1993).

[21] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 248 (2000).

[22] Ibidem, p. 204.

[23] David Bay, Secret Societies Killed Jesus Christ, www.cuttingedge.org, http://home.talkcity.com/InspirationAv/jforjesus/secret_societies.html 

[24] Ivan Fraser, Protocols of the Learned Elders of Zion, Proofs of an Ancient Conspiracy, http://www.vegan.swinternet.co.uk/articles/conspiracies/protocols_proof.html (tel qu’au 10 septembre 2001).

[25] Des Griffin, Fourth Reich of the Rich, p. 216 (1993).

[26] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 206 (2001).

[27] John S. Torell, European-American Evangelical Association, juillet 1999, http://www.eaec.org//NL99jul.htm (tel qu’au 2 octobre 2001).

[28] Ibidem.

[29] Ibidem.

[30] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550 (1991).

[31] Melinda Henneberger, Vatican Says Jews’ Wait for Messiah is Validated by the Old Testament, New York Times, 18 janvier 2002. http://www.hughhewitt.com/past_news_links_01.02/01.18.02Vatican_Says_Wait_for_Messiah.html (tel qu’au 10 février 2002.).

[32] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 180 (2001).

[33] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 741 (1871).