D.465 – Une création instantanée

Par Joseph Sakala

Dans Psaume 148:2-6, un commandement est ordonné : « Tous ses anges, louez-le ; toutes ses armées, louez-le ! Louez-le, soleil et lune ; louez-le toutes, étoiles brillantes ! Louez-le, cieux des cieux, et vous, eaux qui êtes au-dessus des cieux ! Qu’ils louent le nom de l’Éternel ; car il a commandé, et ils ont été créés. Il les a affermis pour toujours, à perpétuité ; il y a mis un ordre qui ne changera point. » Certains intellectuels chrétiens tentent, de nos jours, de promouvoir le concept de ce qu’ils appellent un processus de création, qui est simplement un euphémisme pour une évolution théiste. Mais c’est une contradiction flagrante, car la création, par définition, fut surnaturelle et instantanée. La Bible le rend très clairement.

Le texte plus haut vient du merveilleux Psaume dans lequel la création entière est exhortée à rendre gloire à Dieu. Le soleil, la lune et tous les cieux sont inclus. Et ensuite, le véritable témoignage est donné. Aussitôt que Dieu a commandé, ils furent tous créés, pas sur une longue époque, mais illico, instantanément ! Le Psaume 33 y met encore plus d’emphase : « Les cieux ont été faits par la parole de l’Éternel, et toute leur armée par le souffle de Sa bouche. Il amasse les eaux de la mer comme en un monceau ; il met les flots dans des réservoirs. Que toute la terre craigne l’Éternel ; que tous les habitants du monde le redoutent ! Car il parle, et la chose existe ; il commande, et elle paraît » (Psaumes 33:6-9).

Il y a également le témoignage du grand chapitre sur la foi. Le tout premier objet de la foi est présenté ainsi : « Par la foi, nous savons que le monde a été fait par la parole de Dieu ; de sorte que les choses qui se voient, n’ont pas été faites de choses visibles » (Hébreux 11:3). C’est-à-dire que le soleil, la lune, les étoiles et les galaxies n’ont pas été faits avec des matériaux préexistants qu’on peut voir, mais par la parole qui est sortie de la bouche de Dieu. Il n’y a pas lieu de faire des compromis avec l’omnipotence de Dieu, ou avec Sa Parole puissante, pour prouver des inventions comme l’évolution théiste, la création progressive, car aucun processus naturel n’aurait pu générer la complexité et la beauté d’un système organisé comme la création.

Les évangélistes scientifiques, ainsi que les théologiens qui se sont laissé intimider par la philosophie impie de l’évolution, devraient être corrigés et non accommodés. Il n’y a pas de place pour le compromis dans la création divine. Et ceux qui sont prêts à croire cela font partie de la race élue. « Mais vous, vous êtes la race élue, la sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, pour annoncer les vertus de Celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière ; vous qui autrefois n’étiez point un peuple, mais qui êtes maintenant le peuple de Dieu ; vous qui n’aviez point obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde. » nous dit le chef des apôtres, dans 1 Pierre 2:9-10.

Il y a plusieurs choses merveilleuses qui nous attendent dans le royaume, si nous avons vraiment fait confiance à Jésus pour notre salut. Dans 1 Corinthiens 2:6-10, Paul nous confirme : « Or, nous prêchons la sagesse parmi les parfaits, une sagesse, non de ce monde, ni des princes de ce monde, qui sont impuissants ; mais nous prêchons la sagesse de Dieu, en un mystère, sagesse cachée, que Dieu avait destinée avant les siècles pour notre gloire, et qu’aucun des princes de ce monde n’a connue ; car, s’ils l’eussent connue, ils n’auraient point crucifié le Seigneur de gloire. Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’œil n’avait point vues, que l’oreille n’avait point entendues, et qui n’étaient point montées au cœur de l’homme, que Dieu avait préparées pour ceux qui l’aiment. Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit ; car l’Esprit sonde toutes choses, même les profondeurs de Dieu. »

Nous avons le salut éternel : « Puisque donc que nous travaillons avec Dieu, nous vous conjurons que ce ne soit pas en vain que vous ayez reçu la grâce de Dieu. Car il dit : Je t’ai exaucé au temps favorable, et je t’ai secouru au jour du salut. Voici maintenant le temps favorable ; voici maintenant le jour du salut. Nous ne donnons aucun scandale en quoi que ce soit, afin que notre ministère ne soit point blâmé » (2 Corinthiens 6:1-3). Cela veut dire que nous sommes libres de toute condamnation au jour du jugement. « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l’esprit ; parce que la loi de l’Esprit de vie, qui est en Jésus-Christ, m’a affranchi de la loi du péché et de la mort, » nous déclare Paul, dans Romains 8:1-2.

Nous avons déjà été justifiés par la mort de Jésus. Parce que : « Dieu fait éclater son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. Étant donc maintenant justifiés par son sang, à plus forte raison serons-nous sauvés par lui de la colère de Dieu » (Romains 5:8-9). « Mais maintenant, la justice de Dieu a été manifestée sans la loi, la loi et les prophètes lui rendant témoignage ; la justice de Dieu, dis-je, par la foi en Jésus-Christ, pour tous ceux et sur tous ceux qui croient, » nous certifie Paul, dans Romains 3:21-22. « Vous qui autrefois n’étiez point un peuple, mais qui êtes maintenant le peuple de Dieu ; vous qui n’aviez point obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde » (1 Pierre 2:10).

L’apôtre Jean nous garantit de cette glorieuse vérité dans un merveilleux passage. « Bien-aimés, nous sommes à présent enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que quand il sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. Et quiconque a cette espérance en lui, se purifie lui-même, comme lui est pur » (1 Jean 3:2-3). Finalement, nous avons la formidable assurance que Jésus est en train de prier pour nous. « Car Christ n’est point entré dans un sanctuaire fait de main d’homme, image du véritable, mais dans le ciel même, afin de comparaître maintenant pour nous devant la face de Dieu » (Hébreux 9:24). « C’est pourquoi aussi il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur. Or, il nous fallait un tel Souverain Sacrificateur, saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs, et élevé au-dessus des cieux, » nous atteste Paul, dans Hébreux 7:25-26.

Jésus a fait cela pour tous ceux qui ont mis leur foi en Lui comme Sauveur et Seigneur. « Car le Dieu qui a dit que la lumière resplendisse au milieu des ténèbres, est Celui qui a resplendi dans nos cœurs, pour faire briller la lumière de la connaissance de la gloire de Dieu en la personne de Jésus-Christ. Or, nous avons ce trésor dans des vases de terre, afin que l’excellence de la puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous » (2 Corinthiens 4:6-7). Même une lecture superficielle de la création nous indique que tout a été créé d’une manière instantanée. Dieu a simplement créé l’univers à partir de rien, pour ensuite former rapidement sur la terre les éléments capables d’entretenir la vie pour l’homme, la créature que Dieu a voulu créer pour partager Son univers.

Tous les autres éléments, soit créatifs ou formatifs, semblent avoir été créés sur une courte période de temps, comme la formation des plants et les animaux. « Et Dieu fit les deux grands luminaires ; le grand luminaire, pour dominer sur le jour, et le petit luminaire, pour dominer sur la nuit ; il fit aussi les étoiles. Et Dieu les mit dans l’étendue des cieux, pour éclairer la terre ; et pour dominer sur le jour et sur la nuit, et pour séparer la lumière d’avec les ténèbres ; et Dieu vit que cela était bon » (Genèse 1:16-18). Tout fut mis en place pour la création de l’homme, à l’image de Dieu, dans le but de partager Sa création. Même la création qui fut incontestablement formée, comme les continents et les océans, et surtout les humains qui, selon toute apparence, furent formés dans une seule journée de vingt-quatre heures. « Et l’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, et souffla dans ses narines une respiration de vie ; et l’homme devint une âme vivante … Et l’Éternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise d’Adam, et la fit venir vers Adam. Et Adam dit : Celle-ci enfin est os de mes os, et chair de ma chair. Celle-ci sera nommée femme (en hébreu Isha), car elle a été prise de l’homme (en hébreu Ish) » (Genèse 2:7, 22-23).

La création spontanée est particulièrement vraie lors de la création de la lumière. « Et Dieu dit : Que la lumière soit ; et la lumière fut » (Genèse 1:3). Aucune création lente et sporadique de la lumière venant des étoiles n’est mentionnée, ni un réchauffement graduel du soleil. Certains évangélistes qui prêchent le concept d’une vieille terre prétendent que Dieu avait lentement éclairé l’atmosphère de la poussière interstellaire, ce qui aurait permis à la lumière du soleil et des étoiles de pénétrer jusqu’à la terre. Mais si l’Écriture est notre autorité, tout s’est passé soudainement et surnaturellement, tout comme une nouvelle créature est créée à partir d’une créature morte spirituellement, lorsqu’une personne reçoit le salut.

La sanctification peut prendre une vie entière, mais : « Si donc quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Or, toutes ces choses viennent de Dieu, qui nous a réconciliés avec Lui par Jésus-Christ, et qui nous a confié le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec soi, en ne leur imputant point leurs péchés ; et il a mis en nous la parole de la réconciliation » (2 Corinthiens 5:17-19). Tout s’est fait instantanément, sans aucune transformation des ténèbres pour devenir lumière, au commandement de notre Créateur. Il faut être vraiment soumis à notre Créateur pour croire ces choses.

C’est ce que Pierre nous enseigne en commençant par les plus jeunes : « De même, jeunes gens, soyez soumis aux anciens, et vous soumettant tous les uns aux autres, revêtez-vous d’humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles. Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu’il vous élève quand il en sera temps ; vous déchargeant sur lui de tous vos soucis, parce qu’il a soin de vous. Soyez sobres, veillez ; car le diable, votre ennemi, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer. Résistez-lui, étant fermes dans la foi, sachant que vos frères, qui sont dans le monde, souffrent les mêmes afflictions » (1 Pierre 5:5-9).

Malgré que ce livre ait été écrit aux chrétiens pendant un temps de persécution horrible, vous noterez que la plus grande partie concerne la soumission. Les croyants devaient être soumis aux gouvernements de ce monde aussi. Alors, dans 1 Pierre 2:13-17, l’apôtre déclare : « Soyez donc soumis à toute institution humaine, à cause du Seigneur ; soit au roi, comme à celui qui est au-dessus des autres ; soit aux gouverneurs, comme à des personnes envoyées de sa part, pour punir ceux qui font mal et approuver ceux qui font bien. Car ceci est la volonté de Dieu, qu’en faisant bien vous fermiez la bouche à l’ignorance des hommes dépourvus de sens ; comme étant libres, non pour vous servir de la liberté comme d’un voile pour la malice ; mais comme des serviteurs de Dieu. Rendez honneur à tous ; aimez tous les frères ; craignez Dieu ; honorez le roi. »

Aux esclaves, Pierre dit : « Domestiques, soyez soumis à vos maîtres en toute crainte, non seulement à ceux qui sont bons et indulgents, mais aussi à ceux qui sont difficiles. Car c’est une chose agréable à Dieu, que quelqu’un, par un motif de conscience, endure des afflictions en souffrant injustement. Quelle gloire, en effet, vous reviendrait-il, si vous supportez patiemment d’être battus pour avoir mal fait ? Mais si vous supportez patiemment la souffrance pour avoir bien fait, c’est à cela que Dieu prend plaisir » (1 Pierre 2:18-20).

Aux épouses, Pierre leur dit : « Femmes, soyez de même soumises à vos maris, afin que s’il y en a qui n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans la parole, par la conduite de leurs femmes ; lorsqu’ils verront votre conduite chaste et respectueuse. Que votre parure ne soit point celle du dehors, l’entrelacement des cheveux, les ornements d’or ou l’ajustement des habits, mais l’homme caché dans le cœur, l’incorruptibilité d’un esprit doux et paisible, qui est d’un grand prix devant Dieu. Car ainsi se paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu, étant soumises à leurs maris ; comme Sara qui obéissait à Abraham, et l’appelait son seigneur. C’est d’elle que vous êtes les filles en faisant le bien, et en ne vous laissant troubler par aucune crainte » (1 Pierre 3:1-6).

Regardez maintenant ce que le chef des apôtres déclare aux époux, dans 1 Pierre 3:7-9 : « Maris, de même, conduisez-vous avec sagesse envers vos femmes, comme envers un être plus faible, en lui rendant honneur, puisqu’elles hériteront avec vous de la grâce de la vie ; afin que vos prières ne soient point entravées. Enfin, soyez tous d’un même sentiment, compatissants, fraternels, miséricordieux, bienveillants ; ne rendant point le mal pour le mal, ni l’injure pour l’injure ; bénissant, au contraire, sachant que c’est à cela que vous êtes appelés, afin que vous héritiez la bénédiction. »

Remarquez pour quelle raison Pierre exige ce respect : « Car c’est à cela que vous êtes appelés, puisque Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces ; Lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est trouvé aucune fraude ; Qui, outragé, ne rendait point d’outrages ; et maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à Celui qui juge justement ; Lui qui a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin qu’étant morts au péché, nous vivions à la justice, et par la meurtrissure de qui vous avez été guéris. Car vous étiez comme des brebis errantes ; mais vous êtes maintenant retournés au Pasteur et à l’Évêque de vos âmes » (1 Pierre 2:21-25).

Nous pouvons trouver un résumé de cette instruction dans 1 Pierre 3:8-12 : « Enfin, soyez tous d’un même sentiment, compatissants, fraternels, miséricordieux, bienveillants ; ne rendant point le mal pour le mal, ni l’injure pour l’injure ; bénissant, au contraire, sachant que c’est à cela que vous êtes appelés, afin que vous héritiez la bénédiction. En effet, que celui qui veut aimer la vie et voir des jours heureux, garde sa langue du mal, et ses lèvres de paroles trompeuses ; qu’il se détourne du mal, et fasse le bien ; qu’il cherche la paix, et la poursuive. Car les yeux du Seigneur sont sur les justes, et ses oreilles sont attentives à leur prière ; mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal. »

Paul prêchait également dans ce même sens, lorsqu’il disait aux chrétiens à Rome : « Ne rendez à personne le mal pour le mal ; attachez-vous à ce qui est bien devant tous les hommes. S’il se peut faire, et autant qu’il dépend de vous, ayez la paix avec tous les hommes. Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez faire la colère divine ; car il est écrit : A moi la vengeance ; c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur. Si donc ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; car en faisant cela, tu lui amasseras des charbons de feu sur la tête. Ne te laisse point surmonter par le mal ; mais surmonte le mal par le bien » (Romains 12:17-21).

Il y a cependant des exceptions à cette règle ; ce sont les doctrines primaires des Écritures. Le chrétien converti doit normalement rechercher la paix en toutes choses. Il devrait faire tout, sauf accepter le compromis, afin de vivre en harmonie. « Ne rendant point le mal pour le mal, ni l’injure pour l’injure ; bénissant, au contraire, sachant que c’est à cela que vous êtes appelés, afin que vous héritiez la bénédiction. En effet, que celui qui veut aimer la vie et voir des jours heureux, garde sa langue du mal, et ses lèvres de paroles trompeuses ; qu’il se détourne du mal, et fasse le bien ; qu’il cherche la paix, et la poursuive. Car les yeux du Seigneur sont sur les justes, et ses oreilles sont attentives à leur prière ; mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal » (1 Pierre 3:9-12).

Un de ceux qui poursuivait la paix, et dont les oreilles du Seigneur étaient attentives aux prières, fut Jean le Baptiste. Car : « Jean baptisait dans le désert, et prêchait le baptême de repentance, pour la rémission des péchés. Et toute la Judée et les habitants de Jérusalem allaient à lui, et ils étaient tous baptisés par lui dans le fleuve du Jourdain, en confessant leurs péchés. Jean était vêtu de poils de chameau, il avait une ceinture de cuir autour de ses reins, et il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. Et il prêchait en disant : Il en vient un après moi, qui est plus puissant que moi, et dont je ne suis pas digne, en me baissant, de délier la courroie des souliers. Pour moi je vous ai baptisés d’eau, mais Lui vous baptisera du Saint-Esprit » (Marc 1:4-8).

Parfois, nous avons tendance à croire que Jean le Baptiste était un homme sauvage qui offensait ceux qu’il essayait d’atteindre. Mais en réalité, le contraire était vrai, il était grandement respecté et très croyant. Certains se demandaient s’il devait être adoré. « C’est ici le témoignage de Jean, lorsque les Juifs envoyèrent de Jérusalem des sacrificateurs et des lévites pour lui demander : Qui es-tu ? Il le confessa, et ne le désavoua point ; il le confessa en disant : Je ne suis point le Christ. Qu’es-tu donc, lui demandèrent-ils ? Es-tu Élie ? Et il dit : Je ne le suis point. Es-tu le prophète ? Et il répondit : Non. Ils lui dirent donc : Qui es-tu ? afin que nous rendions réponse à ceux qui nous ont envoyés. Que dis-tu de toi-même ? Il dit : Je suis la voix de celui qui crie dans le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme a dit le prophète Ésaïe » (Jean 1:19-23).

Sa prédication sur le baptême de repentance pour la rémission des péchés était si efficace que tous venaient vers lui. « Alors le peuple lui demanda : Que ferons-nous donc ? Il leur répondit : Que celui qui a deux habits en donne à celui qui n’en a point ; et que celui qui a de la nourriture en fasse de même. Il vint aussi des péagers pour être baptisés ; et ils lui dirent : Maître, que ferons-nous ? Et il leur dit : N’exigez rien au-delà de ce qui vous a été ordonné. Les gens de guerre lui demandèrent aussi : Et nous, que ferons-nous ? Il leur dit : N’usez point de violence ni de tromperie envers personne, mais contentez vous de votre paye. » (Luc 3:10-14). Il adressait encore plusieurs autres exhortations au peuple en lui annonçant l’Évangile de paix. Plusieurs de ceux qui venaient vers lui se repentirent et furent baptisés.

Loin de manquer de crédibilité, le style oratoire de Jean était ce qu’on s’attendait d’un prophète. En effet, son ministère et son message était l’accomplissement de Malachie 4:5-6 où le prophète nous déclare, de la part de Dieu : « Voici, je vais vous envoyer Élie, le prophète, avant que le jour grand et redoutable de l’Éternel vienne. Il ramènera le cœur des pères vers les enfants, et le cœur des enfants vers leurs pères, de peur que je ne vienne et que je ne frappe la terre d’interdit. » Malachie nous parle d’Élie, dans 2 Rois 1:7-8, de qui le roi s’est informé : « Comment est cet homme qui est monté au-devant de vous et qui vous a dit ces paroles ? Et ils lui dirent : C’est un homme vêtu de poil, et ayant autour de ses reins une ceinture de cuir. Et il dit : C’est Élie, le Thishbite. »

Même les faux prophètes ont tenté d’imiter le style d’Élie et de Jean pour se gagner de la crédibilité. « Et il arrivera que si quelqu’un prophétise encore, son père et sa mère qui l’auront engendré lui diront : Tu ne vivras plus, car tu dis des mensonges au nom de l’Éternel ! Et son père et sa mère qui l’auront engendré, le transperceront quand il prophétisera. En ce jour-là, les prophètes seront confus, chacun de sa vision, quand ils prophétiseront ; et ils ne se revêtiront plus du manteau de poil pour mentir » (Zacharie 13:3-4). Le point étant que nous devrions passer notre message éternel de l’Évangile de Christ de manière à attirer le plus grand nombre de véritables convertis. Ce qui ne veut pas dire que nous devrions nous habiller comme Jean et Élie, car cela serait vraiment bizarre dans le monde d’aujourd’hui. Ni se pavaner avec nos richesses, comme certains faux prophètes, car les deux styles auraient pour conséquence de nous éloigner du véritable message de l’Évangile.

Le principe divin serait de s’habiller et d’agir comme des porte-paroles crédibles qui transmettent la vérité de la Parole en toute honnêteté. « A ne rien détourner, mais à montrer une entière fidélité, afin de faire honorer en toutes choses la doctrine de Dieu notre Sauveur » (Tite 2:10). Faire notre part dans cette création instantanée afin d’en être les héritiers avec Jésus dans le plan majestueux de Dieu. Un des arguments bibliques favoris utilisés par certains chrétiens qui insistent au sujet d’une « vieille » terre nous vient de leur interprétation du verset qui va suivre. Malgré que l’enseignement biblique nous indique une création spontanée, eux interprètent ce verset comme nécessitant une période de temps indéfinie, au moins assez longtemps pour que les semences deviennent des plants portant leur propre semence. « Les plants diffèrent grandement et doivent avoir évolué durant l’histoire de la terre. » Voilà leur argument.

Pourtant, dans Genèse 1:11-13, nous lisons : « Puis Dieu dit : Que la terre pousse de la végétation, des herbes portant semence, des arbres fruitiers portant du fruit selon leur espèce, qui aient leur semence en eux-mêmes sur la terre ; et cela fut ainsi. Et la terre produisit de la végétation, des herbes portant semence selon leur espèce, et des arbres portant du fruit, qui avaient leur semence en eux-mêmes, selon leur espèce ; et Dieu vit que cela était bon. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le troisième jour. » Donc, nous rencontrons plusieurs problèmes bibliques avec l’argument de ces gens. En voici quelques-uns. Les Écritures nous enseignent, dans Exode 20:11 : « Car l’Éternel a fait en six jours les cieux et la terre, la mer et tout ce qui est en eux, et il s’est reposé le septième jour ; c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié. »

Seule une journée solaire de vingt quatre heures est bibliquement défendable.

Dans Genèse 1:11 : « Dieu dit : Que la terre pousse de la végétation, des herbes portant semence, des arbres fruitiers portant du fruit selon leur espèce, qui aient leur semence en eux-mêmes sur la terre ; et cela fut ainsi. » Et dans Genèse 1:24 : « Dieu dit : Que la terre produise des êtres vivants selon leur espèce, bétail, reptiles et animaux de la terre selon leur espèce ; et cela fut ainsi. » Il n’y a aucune référence à faire pousser une semence dans la terre jusqu’à sa maturité, mais plutôt une création spontanée de plants et d’animaux en abondance. De tels compromis bibliques sont impossibles et sûrement pas nécessaires. Il n’y a aucun fait dans la science qui soit incompatible avec une création instantanée de tout ce qui existe, et nous pouvons en être certains dans l’instruction biblique que nous recevons.

Et Dieu prend bien soin de Sa création. Dans Psaume 65:10-14, nous lisons : « Tu visites la terre, tu l’arroses, tu l’enrichis abondamment ; les ruisseaux de Dieu sont pleins d’eau ; tu prépares leur froment, après que tu as ainsi préparé la terre. Tu abreuves ses sillons ; tu aplanis ses mottes ; tu l’amollis par la pluie menue ; tu bénis son germe. Tu couronnes l’année de tes biens, et les roues de ton char distillent l’abondance. Elles la répandent sur les pâturages du désert, et les coteaux sont parés de joie. Les campagnes sont revêtues de troupeaux, et les vallées sont couvertes de froment ; elles en triomphent, et elles en chantent. » Quels beaux témoignages au sujet de la providence divine sur Sa création. Cette figure poétique serait encore mieux appréciée dans certains pays comme la Nouvelle-Zélande où les troupeaux de moutons sont tellement abondants qu’ils semblent couvrir littéralement les pâturages de laine. Les troupeaux fournissent premièrement un vêtement sur les pâturages et ensuite des habits pour les hommes et les femmes.

Les vallées fertiles sont partout couvertes de blé doré qui, plus tard, fournit la nourriture pour les animaux ainsi que pour les humains. Les bruits de la terre sont comme une chanson dont la musique exprime tout avec éloquence. Pour ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre, la gloire est attribuée à notre grand Créateur et fidèle Souteneur de tout. Jésus a aussi parlé des beaux vêtements de la création. « Et pour ce qui est du vêtement, pourquoi en êtes-vous en souci ? Observez comment les lis des champs croissent ; ils ne travaillent, ni ne filent. Cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a point été vêtu comme l’un d’eux. Si donc Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui est aujourd’hui, et qui demain sera jetée dans le four, ne vous revêtira-t-il pas beaucoup plutôt, ô gens de petite foi ? » (Matthieu 6:28-30).

Alors : « Chantez la gloire de son nom ; louez-le, et lui rendez gloire ! Dites à Dieu : Que tes œuvres sont redoutables ! A cause de la grandeur de ta force, tes ennemis viendront se soumettre à toi. Toute la terre se prosternera devant toi ; elle chantera en ton honneur, elle chantera ton nom. (Sélah.) Venez, et voyez les œuvres de Dieu ; il est redoutable dans ce qu’il fait envers les fils des hommes. Il a changé la mer en terre sèche ; on passait à pied dans le fleuve ; là nous nous sommes réjouis en lui » (Psaume 66:2-6). Voilà la raison principale de la création soudaine de l’univers entier, afin de donner aux humains un endroit ayant comme but de créer le caractère nécessaire pour en prendre soin, selon Sa volonté.




D.366 – Un Créateur de précision

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Par Joseph Sakala

Tout ce qui existe dans l’univers fut créé par Dieu avec une précision telle qu’elle prouve que seul Dieu pouvait créer tout cela. Dans Ésaïe 40:12-15, nous voyons le prophète nous instruire à propos de Dieu sous la forme d’un questionnaire : « Qui a mesuré les eaux avec le creux de sa main, et qui a pris avec la paume les dimensions des cieux ? Qui a ramassé dans un boisseau la poussière de la terre ? Qui a pesé au crochet les montagnes, et les collines à la balance ? Qui a mesuré l’Esprit de l’Éternel ou qui a été son conseiller pour l’instruire ? De qui a-t-il pris conseil ? Qui Lui a donné l’intelligence, et Lui a enseigné le chemin de la Justice ? Qui Lui a enseigné la science, et Lui a fait connaître la voie de la sagesse ? Voilà, les nations sont comme une goutte qui tombe d’un seau ou comme la poussière d’une balance ; voilà, les îles sont comme la poudre qui vole. »

La réponse à toutes ces questions ne peut être personne d’autre que Dieu, le divin Créateur de tout ce qui existe dans l’univers de Sa grande création. Dans ce passage biblique, nous découvrons quatre disciplines de la science naturelle et, dans chaque cas, le principe clé de cette science est pressenti. Notez que l’emphase est toujours mis sur la précision des quantités divinement allouées dans chaque élément. D’abord, nous voyons la précision équilibrée des eaux de la terre partagées entre les océans, les rivières, les eaux souterraines et les eaux dans l’atmosphère. L’hydrologie, c’est la science qui explique les quantités d’eau, car la vie sur cette terre est entièrement dépendante de la précision de toutes les quantités d’éléments qui composent ce cycle hydraulique.

Job a reçu cette magnifique instruction divine : « Mais la sagesse, d’où viendra-t-elle ? Et où donc est la demeure de l’intelligence ? Elle est cachée aux yeux de tous les vivants ; elle se dérobe aux oiseaux des cieux. Le gouffre et la mort disent : Nous avons de nos oreilles entendu parler d’elle. C’est Dieu qui sait son chemin ; c’est Lui qui connaît sa demeure. Car il regarde, Lui, jusqu’aux extrémités du monde ; il voit sous tous les cieux. Quand il donnait au vent son poids, quand il pesait et mesurait les eaux, quand il prescrivait une loi à la pluie, et un chemin à l’éclair des tonnerres, Il la vit alors et la proclama ; il l’établit, et même il la sonda ; puis il dit à l’homme : Voici, la crainte du Seigneur, c’est la sagesse, et se détourner du mal, c’est l’intelligence » (Job 28:20-28).

Les dimensions du ciel atmosphérique furent également calculées afin de permettre l’existence de la vie sur terre. Cela n’est pas une coïncidence. Demandez aux scientifiques de la météorologie. La poussière de la terre n’est rien d’autre que les éléments de base chimiques desquels toutes choses sont bâties. La précision avec laquelle ces éléments sont combinés est fondée sur leurs valeurs chimiques. Le principe des « poids et mesures » est un principe fondamental de la géophysique qui comprend le poids des montagnes, des collines, des continents et le fond des océans. Dieu n’a pas utilisé le hasard ou Son caprice dans les systèmes physiques, tels les montagnes et les eaux. Tout fut inventorié à l’atome près. Dans Matthieu 10:29-30, Jésus a dit : « Deux passereaux ne se vendent-ils pas une pite ? Or, il n’en tombera pas un seul à terre sans la permission de votre Père. Les cheveux même de votre tête sont tous comptés. »

Cette connaissance nous est disponible dans le plus merveilleux des livres d’instruction : La Bible. Et la crainte du Seigneur, c’est la sagesse, et se détourner du mal, c’est l’intelligence. Dans 2 Corinthiens 5:1-5, Paul nous dit : « Nous savons, en effet, que si cette tente, notre demeure terrestre, est détruite, nous avons dans les cieux un édifice qui est de Dieu, une maison éternelle, qui n’est point faite de main d’homme. Car nous gémissons dans cette tente, désirant avec ardeur d’être revêtus de notre domicile du ciel ; si toutefois nous sommes trouvés vêtus, et non pas nus. Car nous qui sommes dans cette tente, nous gémissons sous le poids, parce que nous souhaitons, non d’être dépouillés, mais d’être revêtus, afin que ce qui est mortel soit absorbé par la vie. Et Celui qui nous a formés pour cela, c’est Dieu qui nous a aussi donné les arrhes de son Esprit. »

Ce concept d’avoir un dépôt de Dieu en nous est une merveilleuse réalité. La présence du Saint-Esprit vivant dans la vie du converti est l’ultime accomplissement d’une magnifique promesse venant de Dieu Lui-même. Le mot « arrhes » vient du grec arrhabon qui veut littéralement dire « dépôt ». Il est semblable au mot hébreu arabown traduit comme « gage » dans l’Ancien Testament. Dans Genèse 38:17-18, Juda dit à Tamar, sa belle-fille : « J’enverrai un chevreau du troupeau. Et elle répondit : Me donneras-tu un gage jusqu’à ce que tu l’envoies ? Et il dit : Quel est le gage que je te donnerai ? Et elle répondit : Ton cachet, ton cordon, et ton bâton, que tu as à la main. Et il les lui donna. »

Donc, si la présence de Dieu en nous par Son Esprit est simplement un gage ou un dépôt, l’accomplissement final doit être glorieux au-delà de toute compréhension. Notre texte du début nous annonce, en effet, que, si cette tente (notre corps, notre demeure terrestre) est détruite, nous avons dans les cieux un édifice qui est de Dieu, une maison éternelle qui n’est point faite de main d’homme. Donc, nous désirons avec ardeur d’être revêtus de notre domicile du ciel, dans l’immortalité que nous recevrons lors du retour de Christ. Ce dépôt ou gage apparaît également dans 2 Corinthiens 1:22, où Paul parle de Dieu : « Qui nous a aussi marqués de son sceau et nous a donné dans nos cœurs les arrhes de son Esprit. » Le gage est ici associé avec le sceau de Dieu et l’assurance que toutes Ses promesses se réaliseront. « Car autant il y a de promesses en Dieu, toutes sont oui en lui, et Amen en lui, à la gloire de Dieu par nous » (2 Corinthiens 1:20).

Regardons ensemble le bel hommage que Paul rend aux Éphésiens en leur déclarant : « En lui vous êtes aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Évangile de votre salut, et avoir cru en lui, vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis ; lequel est un gage de notre héritage, pour la rédemption de ceux qu’il s’est acquis, à la louange de Sa gloire. C’est pourquoi, ayant aussi entendu parler de votre foi au Seigneur Jésus, et de votre charité envers tous les saints, je ne cesse de rendre grâces pour vous, en faisant mention de vous dans mes prières ; afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation dans sa connaissance » (Éphésiens 1:13-17).

Lorsque nous avons accepté l’appel de Dieu et reçu le dépôt de Son Esprit, nous avons également été sanctifiés ou mis à part par Lui, afin de Le servir selon Sa volonté. « Car l’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit, que nous sommes enfants de Dieu. Et si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers ; héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ ; si toutefois nous souffrons avec lui, afin que nous soyons aussi glorifiés avec Lui. Car j’estime qu’il n’y a point de proportion entre les souffrances du temps présent et la gloire à venir, qui sera manifestée en nous. En effet, la création attend, avec un ardent désir, que les enfants de Dieu soient manifestés » (Romains 8:16-19). Ainsi, le Saint-Esprit, vivant présentement en tous ceux qui appartiennent à Christ, est l’assurance d’un avenir glorieux pour nous dans un corps immortel, avec la promesse d’être héritier et cohéritier avec Christ de toute Sa création.

Nous vivons présentement dans une société où les gens sont prêts à faire des compromis et des concessions de toutes sortes pour atteindre leurs objectifs. Et les religions ne sont sûrement pas à l’abri des attaques de Satan qui cherche à discréditer Jésus et Son Évangile. Pour l’argent, bon nombre de ministres consentent à prêcher ce que leurs « fidèles » veulent bien entendre, afin de préserver leurs « brebis ». Sous prétexte que la société a beaucoup évolué « spirituellement », plusieurs prédicateurs tentent de nous présenter un Sauveur bien évolué aussi, toujours prêt à faire n’importe quelle concession afin de plaire à tous. Mais est-ce que Jésus a vraiment changé, tout au long des siècles, au point de faire des compromis avec Ses commandements ?

Peu importe ce que les gens proclament au sujet de Jésus, dans Hébreux 13:8-9, nous lisons que : « Jésus-Christ est le même, hier et aujourd’hui, et pour l’éternité. Ne vous laissez point entraîner par des doctrines diverses et étrangères ; car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce et non par des préceptes sur les viandes, qui n’ont servi de rien à ceux qui les ont suivis. » Lorsque Jésus est ressuscité pour ensuite monter au ciel, Son corps était devenu immortel ; cependant, Il avait une apparence physique capable d’être reconnue, entendue et touchée par Ses apôtres. Jésus a même mangé du poisson et un rayon de miel avec eux, car ils croyaient que c’était une apparition, dans le sens de « fantôme ». Il était cependant clairement identifiable. Pourtant, dans ce corps glorifié, Il pouvait passer au travers des murs.

Comme Jésus Se déplaçait vers le ciel, le jour de Son Ascension, pour finalement disparaître dans les nuées, Ses disciples Le regardaient avec une grande intensité. « Et comme ils avaient les yeux attachés au ciel pendant qu’il s’en allait, deux hommes se présentèrent à eux en vêtements blancs, et leur dirent : Hommes galiléens, pourquoi vous tenez-vous là à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé d’avec vous dans le ciel, reviendra de la même manière que vous l’avez vu monter au ciel » (Actes 1:10-11). Jésus était différent, après Sa résurrection, alors, Pierre put facilement proclamer : « Que toute la maison d’Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié » (Actes 2:36).

Malgré cela, quand Il reviendra pour régner sur le trône éternel de l’univers, Jésus sera toujours Le même que lorsqu’Il a quitté la terre pour monter au ciel. « Et quant aux anges, il est dit : Il fait de ses anges, des vents, et de ses ministres, des flammes de feu. Mais quant au Fils : O Dieu ! Ton trône demeure aux siècles des siècles, et le sceptre de ton règne est un sceptre d’équité. Tu as aimé la justice, et tu as haï l’iniquité, c’est pourquoi, ô Dieu ! Ton Dieu t’a oint d’une huile de joie au-dessus de tes semblables. Et encore : C’est toi, Seigneur, qui as fondé la terre dès le commencement, et les cieux sont l’ouvrage de tes mains. Ils périront, mais tu demeures ; ils vieilliront tous comme un vêtement, et tu les rouleras comme un manteau ; ils seront changés, mais toi, tu es le même, et tes années ne finiront point. Et auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit : Assieds-toi à ma droite, jusqu’à ce que j’aie fait de tes ennemis le marchepied de tes pieds ? Ne sont-ils pas tous des esprits destinés à servir, et envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut ? » (Hébreux 1:7-14).

C’est le même Jésus que Jean le Baptiste avait identifié ainsi au début de son propre ministère : « Jean rendit encore ce témoignage, disant : J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe, et il s’est arrêté sur Lui. Pour moi, je ne le connaissais pas ; mais Celui qui m’a envoyé baptiser d’eau, m’a dit : Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est celui qui baptise du Saint-Esprit. Et j’ai vu, et j’ai rendu témoignage que c’est lui qui est le Fils de Dieu » (Jean 1:32-34). En effet, même avant Son baptême et Son incarnation en forme humaine, Jésus était la même Parole de Dieu. L’apôtre Jean Le décrit en toute simplicité lorsqu’il dit, dans Jean 1:1-3 : « Au commencement était la Parole [de Dieu], la Parole était avec Dieu et la Parole était Dieu [l’évidence même]. Elle [la Parole de Dieu], était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle. »

Ce même Jésus, qui était la Parole vivante de Dieu dans la chair, a vécu parmi nous. Matthieu nous déclare : « Voici, la vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, et on le nommera EMMANUEL, ce qui signifie : DIEU AVEC NOUS » (Matthieu 1:23). Pour accomplir Son œuvre de Salut, il a fallu qu’Il verse Son sang pur et sans tache. Alors, dans cet état de faiblesse, Jean-Baptiste L’a identifié comme Fils de Dieu et Il est mort sur la croix pour nos péchés. Jésus demeure cependant la Parole éternelle de Dieu qui a parlé et tout fut créé. Par Son sacrifice extrême et par Sa résurrection, Jésus est devenu le Sauveur de l’humanité. Il ne Lui reste qu’à revenir en tant que Roi victorieux, le Roi des rois qu’Il établira en tant que Ses Élus pour l’éternité. Oui ! Jésus-Christ est véritablement le même hier, aujourd’hui et éternellement.

Demeurons toujours près de Jésus afin d’être jugés dignes d’être parmi Ses Élus et de recevoir Sa récompense. Dans Apocalypse 22:12, Jésus déclare : « Or, voici, je viens bientôt, et j’ai Mon salaire avec moi, pour rendre à chacun selon que ses œuvres auront été. » Viens Seigneur, afin de nous apporter Ta paix que l’humanité recherche continuellement et dont elle aurait pourtant besoin présentement. Cette paix ne viendra qu’avec Jésus qui a vaincu le monde. En attendant Son retour dans la gloire, le but de chaque converti à Christ est présentement de vaincre aussi le monde.

Au fil des siècles, plusieurs organisations religieuses ont cru bon de s’enfermer dans des monastères (pour les hommes) et dans des cloîtres (pour les femmes). Est-ce ce que Jésus voulait pour Ses disciples ? Pas du tout ! Jésus voulait que l’Évangile du Royaume soit prêché comme un témoignage dans le monde entier, ce qui est assez difficile quand on est enfermé dans une prison religieuse. Alors, dans Sa dernière prière au Père, avant de mourir, Jésus Lui a dit : « Je leur ai donné ta parole, et le monde les a haïs, parce qu’ils ne sont pas du monde, comme je ne suis pas du monde. Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du malin. Ils ne sont pas du monde, comme je ne suis pas du monde. Sanctifie-les par ta vérité ; ta parole est la vérité. Comme tu m’as envoyé dans le monde, je les ai aussi envoyés dans le monde » (Jean 17:14-18). Donc, les monastères et les cloîtres isolés n’étaient visiblement pas la solution. Jésus a envoyé Ses disciples dans le monde, mais demanda au Père de les préserver du malin.

Lorsqu’ils ont reçu le Saint-Esprit, le Jour de la Pentecôte, ils furent dès cet instant équipés pour faire ce merveilleux travail de prédication. Mais n’allez pas croire que le diable n’allait pas s’opposer violemment à cette Évangélisation. Alors, l’esprit du malin inspira ses faux apôtres pour contrer le message de Christ. Voilà pourquoi l’apôtre Jean nous indique une façon par laquelle on peut reconnaître les faux prophètes et l’esprit qui les anime. « Bien-aimés, ne croyez pas à tout esprit, mais éprouvez les esprits, pour voir s’ils sont de Dieu ; car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. Reconnaissez l’Esprit de Dieu à ceci : tout esprit qui confesse Jésus-Christ venu en chair, est de Dieu ; et tout esprit qui ne confesse pas Jésus-Christ venu en chair, n’est point de Dieu. Or, c’est là celui de l’antichrist, dont vous avez entendu dire qu’il vient, et qui est déjà à présent dans le monde. Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que Celui qui est en vous, est plus grand que celui qui est dans le monde » (1 Jean 4:1-4).

C’est une des promesses les plus rassurantes pour le converti. Celle de savoir que nous sommes de Dieu et que nous avons vaincu parce que Celui qui est en nous est plus grand que Satan qui est dans le monde et continue de le séduire. « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est saint, et vous êtes ce temple » (1 Corinthiens 3:16-17). Qui, dans tout l’univers, peut vous donner une telle assurance ? Donc, tant et aussi longtemps que nous agissons selon cette promesse divine, nous sommes déjà vainqueurs aux yeux de Dieu.

Je crois sincèrement qu’il n’y a pas de promesses vides dans la Bible et je sais que ce qui est cité plus haut est vrai. Mais qu’est ce que cette promesse atteste ? Et qui sont ceux que je dois vaincre ? Pour commencer, le mot grec pour « vaincre » veut dire « conquérir », « prévaloir », ou « être victorieux ». Il est traduit de façon semblable à l’ultime victoire de Christ, alors que Jésus est assis sur Son trône au ciel à la fin des âges. « Et l’un des Anciens me dit : Ne pleure point ; voici, le lion, qui est de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et en délier les sept sceaux » (Apocalypse 5:5). C’est à cause de cela que nous régnerons dans la vie par un seul, savoir, par Jésus-Christ ! « Parce que tout ce qui est né de Dieu, est victorieux du monde, et la victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi » (1 Jean 5:4).

Le Seigneur Jésus a vaincu le monde et Il nous le confirme dans Jean 16:33 : « Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi ; vous aurez des afflictions dans le monde ; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde. » Et puisque nous croyons que Jésus est le Fils de Dieu, « Qui est celui qui est victorieux du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? C’est ce même Jésus, le Christ, qui est venu avec l’eau et le sang ; non seulement avec l’eau, mais avec l’eau et le sang ; et c’est l’Esprit qui en rend témoignage, parce que l’Esprit est la vérité. Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel, le Père, la Parole, et le Saint-Esprit, et ces trois-là sont un » (1 Jean 5:5-7). Remarquez bien que le Père, la Parole et le Saint-Esprit sont un, pas trois, mais le même un du commencement. Remarquez également que la Parole ne portait pas le nom de Jésus (Sauveur) Christ (Oint de Dieu) ; cela est arrivé seulement lorsque Jésus est descendu du ciel pour entrer dans le monde.

Alors, ceux que je dois vaincre sont ceux qui sont portés à embrasser les doctrines de l’antichrist, qui ne prêchent pas que Dieu est UN, mais qui prêchent que Dieu est une trinité ; que la Famille de Dieu est exclusivement formée de trois personnes distinctes, sans donner accès à des Enfants de Dieu. Sachez que : « l’Esprit dit expressément que dans les derniers temps quelques-uns se détourneront de la foi, s’attachant à des esprits séducteurs, et à des doctrines de démons ; par l’hypocrisie de faux docteurs, dont la conscience sera cautérisée » (1 Timothée 4:1-2). Et des hommes et femmes adultères, dont l’amour du monde est une inimitié contre Dieu (Jacques 4:4). L’apôtre Jean nous dit : « N’aimez point le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui ; car tout ce qui est dans le monde, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, ne vient point du Père, mais du monde. Et le monde passe, et sa convoitise ; mais celui qui fait la volonté de Dieu, demeure éternellement » (1 Jean 2:15-17).

Paul nous dit : « Prenez garde que personne ne vous séduise par la philosophie et par de vaines tromperies, selon la tradition des hommes, selon les rudiments du monde, et non selon Christ » (Colossiens 2:8). Nous, par contre : « Si donc ton ennemi a faim, donne-lui à manger ; s’il a soif, donne-lui à boire ; car en faisant cela, tu lui amasseras des charbons de feu sur la tête. Ne te laisse point surmonter par le mal ; mais surmonte le mal par le bien » (Romains 12:20-21). Car, quoique nous marchions dans la chair, nous ne combattons point selon la chair. En effet, nos armes de guerre ne sont pas charnelles, mais elles sont puissantes en Dieu, pour renverser les forteresses, pour détruire les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et pour amener toute pensée captive à l’obéissance de Christ, nous déclare Paul, dans 2 Corinthiens 10:3-5.

« C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister dans le mauvais jour, et qu’ayant tout surmonté, vous demeuriez fermes. Soyez donc fermes, vos reins ceints de la vérité, revêtus de la cuirasse de la justice, les pieds chaussés du zèle de l’Évangile de la paix ; prenant, par-dessus tout, le bouclier de la foi, par le moyen duquel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin. Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de l’Esprit, qui est la parole de Dieu ; priant en tout temps par l’Esprit par toutes sortes de prières et de supplications ; et veillant à cela en toute persévérance, et priant pour tous les Saints, » déclare Paul dans Éphésiens 6:13-18.

Parce que, comme dit si bien David dans Psaume 5:10-13 : « Car il n’y a point de sincérité dans leur bouche ; leur cœur n’est que malice, leur gosier est un tombeau ouvert ; ils flattent avec leur langue. Condamne-les, ô Dieu ! Qu’ils échouent dans leurs desseins ; renverse-les à cause de la multitude de leurs crimes ; car ils se sont révoltés contre toi. Mais que tous ceux qui se retirent vers toi se réjouissent ! qu’ils chantent de joie à jamais ! Sois leur protecteur, et que ceux qui aiment ton nom, triomphent en toi ! Car toi, Éternel, tu bénis le juste ; tu l’environnes de ta bienveillance comme d’un bouclier. » Pas moins de vingt Psaumes contiennent des prières à Dieu pleines d’imprécations à juger et à détruire les méchants, et ce passage en fait partie. Il établit un pattern nous aidant à comprendre qu’il est tout à fait correct de prier vers Dieu pour qu’Il vienne à notre secours lorsque nous sommes en danger de mort. C’est tellement vrai que Dieu l’a même inspiré dans Sa Parole.

Cela semble être en contradiction avec un Dieu d’amour et de miséricorde qui nous dit d’aimer nos ennemis, mais ces passages nous aident à comprendre que Dieu doit également juger le péché, spécialement le péché de la rébellion. Ces passages nous enseignent à voir la rébellion au travers des yeux de notre Créateur qui a été rejeté jusqu’au point de non-retour. C’est une chose de commettre un acte de méchanceté lorsque nous sommes tentés, mais c’est une autre chose que de se rebeller délibérément contre Dieu Lui-même, en en tournant d’autres contre Lui, ou, s’il était possible, de Le détruire, Lui et Sa Parole, complètement. C’est le péché de tous les âges de Satan et de tous ses leaders de l’ancien paganisme, ainsi que de ceux de l’évolution moderne. Tout comme David, nous devons prier Dieu de les vaincre ainsi que leurs conseillers. Sans quoi, ils vont sûrement continuer à amener les multitudes vers leurs propres transgressions.

Il y a toujours le pardon pour les individus qui pèchent ainsi, s’ils décident de se repentir avant de s’endurcir contre la Parole de Dieu. Dans un tel cas, la prière appropriée serait de demander à Dieu : « Ne les tue pas, de peur que mon peuple ne l’oublie ; agite-les par ta puissance, et précipite-les, Seigneur, notre bouclier ! Chaque parole de leurs lèvres est un péché de leur bouche ; qu’ils soient donc pris dans leur orgueil, à cause des imprécations et des mensonges qu’ils profèrent ! » (Psaume 59:12-13). Pour ce qui est des individus qui veulent obéir à Dieu, soyez certains et fidèles comme ceux qui ont traversé le Jourdain sur l’ordre du Seigneur.

Dans Nombres 32:21-24, nous lisons : « Et que chacun de vous passe, équipé, le Jourdain devant l’Éternel, jusqu’à ce qu’il ait chassé ses ennemis de devant lui, et que le pays soit soumis devant l’Éternel ; et qu’ensuite vous vous en retourniez ; alors vous serez innocents envers l’Éternel et envers Israël, et ce pays vous appartiendra pour le posséder devant l’Éternel. Mais si vous n’agissez pas ainsi, voici, vous aurez péché contre l’Éternel, et sachez que votre péché vous trouvera. Bâtissez donc des villes pour vos petits enfants, et des parcs pour vos troupeaux, et faites ce que vous avez dit. » La plupart des choses de cette vie sont incertaines ; cependant, il existe certaines choses dont nous pouvons être absolument sûrs. Tout comme Dieu avait dévoilé à Adam que, s’il désobéissait à Sa Parole et mangeait de l’arbre de la connaissance du bien et du mal : « …au jour où tu en mangeras, certainement tu mourras » (Genèse 2:17).

Dieu nous avertit également que nous pouvons être certains que tous nos péchés seront ultimement exposés si nous ne nous en repentons pas. Par contre, si nous nous en repentons, nous pouvons être sûrs de la grande miséricorde de Dieu et de Sa fidélité, et de la vérité de Sa Parole. « Nous avons aussi la parole des prophètes, qui est très ferme, à laquelle vous faites bien de vous attacher, comme à une lampe qui brillait dans un lieu sombre, jusqu’à ce que le jour resplendît et que l’étoile du matin se levât dans vos cœurs ; sachez tout d’abord ceci, que nulle prophétie de l’Écriture ne vient d’une interprétation particulière. Car la prophétie n’a point été apportée autrefois par la volonté humaine ; mais les saints hommes de Dieu, étant poussés par le Saint-Esprit, ont parlé » (2 Pierre 1:19-21).

Nous pouvons être également certains de Sa promesse de salut. « Espérance que nous gardons comme une ancre de l’âme, sûre et ferme, et qui pénètre au-dedans du voile, où Jésus est entré pour nous comme un précurseur, ayant été fait souverain Sacrificateur pour l’éternité, selon l’ordre de Melchisédec » (Hébreux 6:19-20). Alors, nous pouvons Lui démontrer, au travers de notre paix et de notre patience : « la même ardeur pour conserver, jusqu’à la fin, la pleine certitude de l’espérance ; afin que nous ne devenions pas paresseux, mais que nous imitions ceux qui, par la foi et par la patience, héritent des promesses » (Hébreux 6:11-12). Finalement, nous pouvons être sûrs que notre Seigneur Jésus, qui est venu une seule fois pour mourir pour nos péchés, reviendra une autre fois pour compléter Son travail de rédemption et de réconciliation. Sa toute dernière promesse dans la Bible est : « Oui, je viens, bientôt » (Apocalypse 22:20).

Cependant, chacun de nous doit d’abord Lui prouver que nous croyons en Sa Parole certaine, qui nous promet d’hériter Ses promesses. « C’est pourquoi, frères, étudiez-vous d’autant plus à affermir votre vocation et votre élection ; car en faisant cela, vous ne broncherez jamais ; et ainsi l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ vous sera pleinement accordée. C’est pourquoi, je ne négligerai pas de vous rappeler sans cesse ces choses, quoique vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente » (2 Pierre 1:10-12). Nous pouvons être certains que nos péchés seront jugés, mais également certains qu’ils seront pardonnés, si nous croyons à Ses promesses de salut éternel.




D.354 – Évolution du commérage

commerage

Par Joseph Sakala

Avez-vous entendu la dernière nouvelle au sujet d’un tel ? » Aussitôt dit, les oreilles se dressent, les têtes se tournent vers le ou la commère qui vient de capter votre attention. Car nous savons que nous entendrons quelque chose de privé et de scandaleux au sujet de quelqu’un que nous connaissons. Les psychologues prétendent que le commérage tire ses origines de l’évolution chez nos ancêtres préhistoriques, puisque c’était la façon de répandre les nouvelles pour survivre chez les hommes des cavernes. Mais quelle est la vérité sur le commérage ? Depuis quelques décennies, les psychologues font beaucoup d’études sur le commérage, car cela leur sert à traiter leurs patients. Il ne faut donc pas être surpris que leur approche, comme dans tous les domaines de la science, débute avec la perspective de l’évolution.

Ces érudits de l’évolution spéculent, disant que, dans les débuts, les humains vivaient ensemble en petits groupes et rencontraient rarement des étrangers. Le commérage était alors une adaptation évolutionnaire qui permettait à nos ancêtres lointains de survivre dans ces environnements préhistoriques. Il semblerait que l’incessante poursuite de la vie privée des grandes célébrités serait simplement de nos jours la conséquence d’une collision inévitable entre les médias du 21ème siècle et la pensée chez les gens de l’âge de pierre. Par exemple, Robin Dunbar, directeur de l’Institut d’Anthropologie Évolutionnaire Cognitive à l’Université d’Oxford, a écrit un bouquin titré Grooming, Gossip, and the Evolution of Language (Apparence, commérage et évolution du langage). Ce monsieur suggère que le commérage est un mécanisme servant à unir des groupes sociaux, de manière analogue au dressage entre les primates. Cela expliquerait le manque de sérieux de cette activité.

Par contre, les psychologues évolutionnistes croient être tombés sur un aspect vital de la nature humaine, quand cette activité fut partagée par les cultures durant les différents âges de l’évolution sociale. Ils sont venus à la conclusion que le commérage fait simplement partie de la nature humaine au travers de l’évolution. Ils vont jusqu’à prétendre avec conviction que nos ancêtres de la préhistoire vivaient en petits groupes où tout le monde se connaissait, alors il était nécessaire de coopérer et, lorsque des ressources nouvelles étaient disponibles, il fallait forcément s’adapter. C’est ainsi que les différentes thèses sur l’évolution se sont créées sans aucune preuve à l’appui et ne sont toujours demeurées que des théories et non des réalités.

Prenons juste le fait de lancer des chiffres comme « un million d’années » pour prouver une théorie que tout le monde semble accepter sans le support de l’histoire écrite ou de document de valeur. Tout semble reposer sur des écrits rédigés par de soi-disant érudits qui ont vécu il y a cent ou deux cents ans. Où ont-ils pris leurs connaissances ? Sûrement fondées sur des documents inventés par des gens qui pensaient comme eux ? Ils ont donc accumulé des documents de personnes en qui ils ont eu « confiance » pour propager leur connaissance. Alors, nos premiers évolutionnaires inventaient leurs théories selon ce qu’on croyait d’eux. C’est ainsi que la « science » évolutionnaire a commencé.

Il paraît que la méthode scientifique de collecter des faits, spécialement sur l’évolution, s’est accumulée, car, bien que n’étant que pure spéculation, elle était fort populaire. Peut-être que les faits et les preuves n’étaient pas si importants puisqu’on se fiait au commérage. Proverbes 18:8 nous dit que : « Les paroles d’un médisant sont comme des friandises ; elles pénètrent jusqu’au-dedans des entrailles. » Il faut quand même faire une petite distinction entre « médisance » et « calomnie ». La médisance est une méchanceté que l’on dit de quelqu’un, mais elle est vraie, tandis que la calomnie est une méchanceté fausse que l’on colporte sur quelqu’un. Les deux ont pour but de détruire le caractère de quelqu’un. Dans ce sens, l’évolution n’est pas une médisance, mais ressemble beaucoup plus à une calomnie. Les deux sont cependant haïs de Dieu.

Dans l’épître de Paul aux Romains, il leur déclare : « Et, comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, Dieu les a livrés à un esprit dépravé, en sorte qu’ils commettent des choses indignes. Ils sont remplis de toute injustice, d’impureté, de méchanceté, d’avarice, de malice ; pleins d’envie, de meurtres, de querelles, de tromperies, et de malignité ; rapporteurs, médisants, ennemis de Dieu, outrageux, orgueilleux, vains, inventeurs de méchancetés, désobéissants à pères et à mères ; sans intelligence, sans loyauté, sans affection naturelle, implacables, sans compassion ; qui, connaissant le décret de Dieu, savoir : que ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, non seulement les pratiquent, mais encore approuvent ceux qui les commettent » (Romains 1:28-32).

Le livre des Proverbes nous offre de la sagesse en déclarant : « Celui qui va médisant, révèle le secret ; mais celui qui a un cœur loyal, le cache » (Proverbes 11:13). Un chrétien ne devrait jamais se laisser impressionner par des racontars. Par amour de son prochain, il ne devrait pas non plus s’adonner à semer des théories sur l’évolution. Éphésiens 4:29 nous dit : « Qu’il ne sorte de votre bouche aucune mauvaise parole ; mais que vos paroles soient propres à édifier utilement, et qu’elles fassent du bien à ceux qui les entendent. » Il est évident que la Bible, qui est si précise dans toutes ses déclarations, s’oppose carrément aux déclarations de balivernes sans preuves, lancées par des « experts » pour mieux se faire connaître.

Proverbes 17:27 nous dit que : « L’homme retenu dans ses paroles connaît la prudence, et celui qui est d’un esprit froid, est un homme entendu. L’insensé même passe pour sage quand il se tait, et celui qui ferme ses lèvres est un homme intelligent. » Le péché de commérage est comme les petits renards qui gâtent les vignes depuis que nos vignes ont des grappes. Les Saintes Écritures nous mettent en garde contre ceux qui se plaisent en ce comportement. Salomon fut inspiré de dire ceci : « Celui qui dissimule la haine a des lèvres trompeuses ; et celui qui répand la calomnie, est un insensé. Où il y a beaucoup de paroles, il ne manque pas d’y avoir du péché ; mais celui qui retient ses lèvres est prudent » (Proverbes 10:18-19).

En effet, Salomon revient fréquemment sur ce thème. « Ne te presse pas d’ouvrir la bouche, [dit Salomon], et que ton cœur ne se hâte point de prononcer quelque parole devant Dieu ; car Dieu est aux cieux, et toi sur la terre ; c’est pourquoi, use de peu de paroles. Car, comme le songe naît de la multitude des occupations, ainsi la voix des fous se fait connaître par la multitude des paroles » (Ecclésiastes 5:2-3). Les apôtres mettent également dans le Nouveau Testament beaucoup d’emphase sur l’importance du chrétien à contrôler sa langue. Trop de paroles engendrent le commérage et la critique injuste. L’apôtre Jacques nous exhorte : « Ainsi, mes frères bien-aimés, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère ; car la colère de l’homme n’accomplit point la justice de Dieu » (Jacques 1:19-20).

Regardons ensemble cette évaluation juste et précise de Jacques au sujet de la langue, dans Jacques 3:6-10 : « La langue aussi est un feu, un monde d’iniquité. Ainsi la langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, enflammée elle-même de la géhenne. Toute espèce de bêtes sauvages et d’oiseaux, de reptiles et d’animaux marins se domptent et ont été domptés par la nature humaine. Mais aucun homme ne peut dompter la langue ; c’est un mal qu’on ne peut réprimer ; elle est pleine d’un venin mortel. Par elle nous bénissons Dieu le Père, et par elle nous maudissons les hommes, faits à l’image de Dieu. De la même bouche sort la bénédiction et la malédiction. Il ne faut point, mes frères, que cela soit ainsi. »

Aux Thessaloniciens, Paul déclare : « …et à vous étudier à vivre paisiblement, à vous occuper de vos propres affaires, et à travailler de vos propres mains, comme nous vous l’avons recommandé ; afin que vous vous conduisiez honnêtement envers ceux de dehors, et que vous n’ayez besoin de rien » (1 Thessaloniciens 4:11-12). Paul enseignait aux nouveaux convertis de travailler afin de pourvoir à leurs besoins.  Aux Éphésiens, Paul leur dit de surveiller leur langue afin qu’il n’y ait : « Ni aucune parole déshonnête, ni bouffonnerie, ni plaisanterie, qui sont des choses malséantes. Mais qu’on y entende plutôt, des actions de grâces. Car vous savez ceci, qu’aucun fornicateur ou impudique ou avare, qui est un idolâtre, n’a part à l’héritage du royaume de Christ et de Dieu. Que personne ne vous séduise par de vains discours, car c’est à cause de ces choses que la colère de Dieu vient sur les enfants rebelles. N’ayez donc point de part avec eux » (Éphésiens 5:4-7).

Par conséquent, nous dit Paul, dans Éphésiens 4:29-32 : « Qu’il ne sorte de votre bouche aucune mauvaise parole. Mais que vos paroles soient propres à édifier utilement, et qu’elles fassent du bien à ceux qui les entendent. Et ne contristez point le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption. Que toute amertume, toute animosité, toute colère, toute crierie, toute médisance soient bannies du milieu de vous, ainsi que toute méchanceté. Mais soyez, les uns envers les autres, bons, miséricordieux, vous pardonnant les uns aux autres, comme Dieu vous a aussi pardonné en Christ. » Que notre parole soit toujours accompagnée de grâce et assaisonnée de sel, de manière à ce que nous sachions répondre à chacun comme il faut, quand ils nous demandent la raison de notre foi.

Le Seigneur Jésus nous a avertis contre le péché du commérage et des fausses déclarations sur l’évolution. Dans Matthieu 12:36-37, Jésus a dit : « Or, je vous dis que les hommes rendront compte, au jour du jugement, de toute parole vaine qu’ils auront dite ; car tu seras justifié par tes paroles, et par tes paroles tu seras condamné. » De tels standards peuvent paraître impossibles à rencontrer, mais ils devraient demeurer nos standards quand même. « Car c’est à cela que vous êtes appelés, puisque Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces ; Lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est trouvé aucune fraude » (1 Pierre 2:21-22).

Dans Genèse 1:26-28, nous lisons : « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Et Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu ; il les créa mâle et femelle. Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Croissez et multipliez, et remplissez la terre, et l’assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer et sur les oiseaux des cieux, et sur tout animal qui se meut sur la terre. » Le premier chapitre du livre de la Genèse pose la fondation de la création divine ainsi que de la véritable science. Ce chapitre nous décrit la réorganisation de la terre qui était informe et vide, et des ténèbres qui étaient à la surface de l’abîme. Dieu nous donne en détail l’ordre précis des sept jours de Son travail.

Dans Genèse 2:1-3, Moïse a écrit : « Ainsi furent achevés les cieux et la terre, et toute leur armée. Et Dieu eut achevé au septième jour son œuvre qu’il avait faite. Et il se reposa au septième jour de toute son œuvre qu’il avait faite. Et Dieu bénit le septième jour, et le sanctifia, parce qu’en ce jour-là il se reposa de toute son œuvre, pour l’accomplissement de laquelle Dieu avait créé. » Malgré les déclarations des évolutionnistes, Dieu n’est pas en train de créer quoique ce soit dans le monde aujourd’hui, sauf les miracles enregistrés dans les Saintes Écritures. Simplement parce qu’à la fin de la période de sept jours tout fut terminé et Dieu Se reposa au septième jour de toute Son œuvre qu’Il avait faite. Ce que Dieu fait présentement, c’est de conserver ou de sauver ce qu’Il a d’abord créé.

Donc, il n’existe que trois actes de création spéciale, c’est à dire la création à partir de rien par Dieu, par l’omnipotence de Sa Parole. Les autres furent de faire ou de former les entités déjà créées dans des systèmes complexes et fonctionnels. Le premier acte fut de créer l’espace, la masse, le temps et le cosmos. Genèse 1:1 déclare carrément : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. » Une création à partir de rien par un Créateur tout-puissant. C’est le domaine que nous étudions présentement dans notre étude sur la création de tout ce qui est physique et scientifique.

Le deuxième est le domaine de la vie physique. Dans Genèse 1:21-23, nous découvrons : « Et Dieu créa les grands poissons, et tous les êtres vivants qui se meuvent, dont les eaux foisonnèrent, selon leurs espèces, et tout oiseau ailé, selon son espèce ; et Dieu vit que cela était bon. Et Dieu les bénit, en disant : Croissez et multipliez, et remplissez les eaux dans les mers ; et que les oiseaux multiplient sur la terre. Et il y eut un soir, et il y eut un matin ; ce fut le cinquième jour. » Tout était bien planifié jusqu’à nommer le jour où ce fut créé. Demandez à un évolutionniste de vous donner son plan de la création des grands poissons et de tout ce qui vit dans les eaux, ainsi que les oiseaux du ciel selon leurs espèces. Et écoutez sa réponse ! Mais Dieu poursuit Sa création dans Genèse 1:24-25 où Il déclare : « Que la terre produise des êtres vivants selon leur espèce, bétail, reptiles et animaux de la terre selon leur espèce ; et cela fut ainsi. Et Dieu fit les animaux de la terre selon leur espèce, le bétail selon son espèce, et tous les reptiles du sol selon leur espèce ; et Dieu vit que cela était bon. » Dieu surveillait tout ce qu’Il créait et vit que c’était bon.

Il devient très significatif que le principe de vie a demandé un deuxième acte de création directe. Les animaux terrestres furent créés selon leur espèce tout comme les poissons et les oiseaux. Mais il y a eu une troisième création à l’image de Dieu. L’étude des humains tombe dans les sciences humaines. Nos corps peuvent être analysés chimiquement et nos vies biologiquement, mais notre schème de comportement ne peut être compris qu’à la lumière de notre relation avec Dieu, dont nous partageons l’image. Donc, l’évolution du singe à l’homme est impossible, selon la Bible, car le singe à été créé selon son espèce et l’homme à l’image de Dieu.

De plus en plus de personnes instruites remettent de nos jours en question l’évolution de l’humanité, et avec raison, puisque cette « théorie », qui demeure toujours une théorie, ne répond toujours pas à une grande panoplie de questions. Et chaque fois que les athées essaient d’introduire une preuve dans leur argument, ils ne la trouvent pas. Ils nous lancent des hypothèses comme un million d’années ou même un milliard sans aucun fondement et « arrangez-vous avec cela ». Pourtant, la Bible est très spécifique en allant jusqu’à citer la journée de la création alors qu’eux ne parlent que de « théories » que seuls les athées semblent comprendre.

J’ai un petit problème à poser à tous les partisans de l’évolution, qu’ils soient athées ou « chrétiens », comme ceux qui croient que Dieu a supervisé l’évolution. La population actuelle sur terre se situe aux environs de sept milliards de personnes. Cette croissance a débuté il y a à peu près quatre milles ans avec Noé, sa femme, leurs trois fils et leurs épouses, après le déluge. Cela nous donne une bonne idée du taux d’accroissement possible des êtres humains. D’Adam au Déluge, il s’est passé mille six cents cinquante six ans, selon la descendance d’Adam. Étant donné que les hommes vivaient près de mille ans, il ne serait pas si hasardeux de calculer que la population s’était élevée à plusieurs millions et même milliards de personnes.

Imaginez si les faussaires avaient eu raison et que le Déluge n’avait pas eu lieu. Les quelques milliards de personnes vivant avant le Déluge auraient continué à se multiplier jusqu’à aujourd’hui. Pouvez-vous vous imaginer à quel chiffre se monterait la population de 2016 ? Et cela en seulement 6 000 ans !

Alors, ceux qui croient, selon leur théorie, que l’homme est apparu sur terre il y a quelques millions d’années, à quel chiffre devraient-ils normalement s’attendre à ce que la population humaine s’élève aujourd’hui ? Un chiffre astronomique, assurément ! Je crois que cette simple réflexion devrait faire taire tous ceux qui croient en l’évolution, dirigée ou non par Dieu, et tous ceux qui pensent que le récit de la Genèse n’est que symbolique ou carrément un mythe. Le récit de la Création est littéral ! Et les chiffres de la population viennent le prouver.

Tout homme peut nous abuser par des mots destinés à rendre notre raison captive. Les mots qu’ils utilisent vont selon votre idée. « Je dis ceci, afin que personne ne vous abuse par des discours séduisants, » nous déclare Paul, dans Colossiens 2:4. Le seul autre endroit où l’expression est utilisée dans le Nouveau Testament est dans Jacques 1:22, où l’apôtre déclare : « Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. » Les gens accomplissent cela en transformant une idée connue en quelque chose de différent. La séduction est accomplie en transférant une vérité en mensonge et vice versa.

Durant l’entraînement de Ses disciples, Jésus les a avertis qu’il serait possible à Ses disciples d’être séduits par ceux qui viendraient s’accaparer de Son rôle d’autorité. « Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens » (Matthieu 24:5). Plusieurs faux prophètes viendraient et séduiraient beaucoup de gens. Dans Matthieu 24:11, Jésus nous a déclaré : « Et plusieurs faux prophètes s’élèveront, et séduiront beaucoup de gens. » Ces faux prophètes peuvent donner plusieurs formes à leur séduction. Celle-ci pourrait éloigner les gens de leur Créateur pour faire croire à l’évolution. « Car de faux christs et de faux prophètes s’élèveront et feront de grands signes et des prodiges, pour séduire les élus mêmes, s’il était possible. Voilà, je vous l’ai prédit » (Matthieu 24:24-25). Ils viendront vous séduire par de grands signes de magie et des prodiges en faisant descendre le feu du ciel sur la terre.

Le but de nommer dans l’Église des leaders doués dans la prédication de la vérité était justement d’empêcher que des faux-christs s’infiltrent : « Pour que nous ne soyons plus des petits enfants, flottants et emportés çà et là à tous vents de doctrine, par la tromperie des hommes, et par leur adresse à séduire artificieusement. » Dieu a cependant fait provision pour la stabilité de Son peuple : « Afin que leurs cœurs soient consolés, et liés étroitement ensemble dans la charité, pour être enrichis d’une parfaite intelligence, pour connaître le mystère de Dieu le Père, et de Christ, en qui sont renfermés tous les trésors de la sagesse et de la science » (Colossiens 2:2-3). Paul disait cela afin que personne n’abuse les convertis par les discours séducteurs de ceux qui utilisent des mots séduisants, par ceux qui reniaient Christ.

De nos jours, avec toutes les découvertes scientifiques, il devient de plus en plus clair que la « théorie » de l’évolution est devenue la religion moderne des gens instruits qui l’ont fait avaler à la majorité des gens moins instruits. Écoutons les « sages » paroles de Charles Darwin, reconnu par un grand nombre comme le « père » de l’évolution : « Lorsque j’étais jeune homme sans idée préconçue, je formulais constamment des questions et des suggestions sur tout ce qui existait et, à mon grand étonnement, mes idées furent adoptées sur le champ. Le monde en a fait une religion ». Charles Darwin a admis que ses théories et ses suggestions ont véritablement créé une religion.

On pourrait se demander : « Comment l’évolution peut-elle être considérée comme une religion ? N’est-elle pas basée sur la science ? » Cela devrait, mais voici le véritable problème. L’évolution est fondée sur une foi aveugle plutôt que sur l’évidence consistante de la science. Une religion est un intérêt, un principe, un système de croyances auxquels on s’attache par la foi. Si nous utilisons une définition populaire de la foi comme étant : « Une ferme croyance dans quelque chose, sans aucune preuve », alors même les évolutionnistes modernes sont remplis de foi. Par conséquent, la religion de l’évolution, fondée sur cette sorte de foi, est démunie de tout semblant de preuve, mais basée sur des théories humaines qui sont assurément sans dépositions certifiées. Ne tombez pas dans ce panneau, tenez ferme à ce que vous avez appris dans votre Bible et délaissez la théorie qui, après au-delà de deux cents ans, demeure toujours une… théorie !

Par contre, dans Ésaïe 35:10, nous pouvons lire : « Et ceux dont l’Éternel aura payé la rançon, retourneront et viendront en Sion avec un chant de triomphe ; une allégresse éternelle sera sur leur tête. Ils obtiendront la joie et l’allégresse ; la douleur et le gémissement s’enfuiront. » Voilà ce que Dieu nous promet comme récompense éternelle, si nous Lui demeurons fidèle en toute chose.




D.277 – L’Évolution est-elle une religion ?

evolution

Par Joseph Sakala

De nos jours, avec toutes les découvertes scientifiques, il devient de plus en plus clair que la « théorie » de l’évolution est devenue la religion moderne des gens instruits, qui l’ont fait avaler à la majorité des gens moins instruits. Écoutons les « sages » paroles de Charles Darwin, reconnu par un grand nombre comme le « père » de l’évolution : « Lorsque j’étais jeune homme sans idée préconçue, je formulais constamment des questions et des suggestions sur tout ce qui existait et, à mon grand étonnement, mes idées furent adoptées sur le champ. Le monde en a fait une religion ». Charles Darwin a admis que ses théories et ses suggestions ont véritablement créé une religion.

On pourrait se demander : « Comment l’évolution peut-elle être considérée comme une religion ? N’est-elle pas basée sur la science ? » Cela devrait, mais voici le véritable problème. L’évolution est fondée sur une foi aveugle plutôt que sur l’évidence consistante de la science. Une religion est un intérêt, un principe, un système de croyances auxquels on s’attache par la foi. Si nous utilisons une définition populaire de la foi comme étant : « Une ferme croyance dans quelque chose, sans aucune preuve », alors même les évolutionnistes modernes sont remplis de foi. Par conséquent, la religion de l’évolution, fondée sur cette sorte de foi, est dénuée de tout semblant de preuve, mais basée sur des théories humaines qui sont assurément sans dépositions certifiées.

Regardons ensemble une des principales doctrines de l’évolution formant une grande partie de sa fondation. On déclare : « Si le surnaturel ne peut pas être mesuré par les scientifiques, nous devons alors rejeter Dieu ou le surnaturel comme source possible de l’origine de la vie ». Cette déclaration s’avère aussi « logique » que de certifier : « Puisque vous ne pouvez pas mesurer où votre chat était la nuit derrière, vous devez alors conclure que votre chat n’existait pas pendant sa cavale nocturne ». Le fait que les hommes de science n’ont pas encore inventé les instruments pour pouvoir mesurer le Créateur Dieu, cela ne veut pas automatiquement dire que le Créateur Dieu n’existe pas ! Au contraire, l’évidence scientifique courante en physique et en astronomie dirige ces intellectuels, et la science elle-même, vers une origine surnaturelle de l’univers. Depuis dix ou quinze ans, même les plus sceptiques parmi les agnostiques ont dû admettre que l’univers ne pouvait pas exister par lui-même, uniquement selon les lois de la physique.

L’évidence d’un acte de création, que certains appellent le « Big Bang », va en augmentant, année après année. Même les hommes de science commencent à accepter qu’il n’y a pas eu d’éternité passée de la matière, ni d’éternité passée de l’univers. Il a fallu qu’il y ait un début, ou une détonation éventuelle, causant l’existence de notre univers à un certain moment. Pas comme nous voyons l’univers présentement, mais plutôt comme un premier pas dans la création. Tout ce que Dieu fait prend du temps même si ce n’est qu’un instant, selon Son bon plaisir. Pourtant, Dieu avait décidé de recréer la surface de la terre pendant six jours de 24 heures selon Son bon plaisir, avant de se reposer le septième, que Dieu a créé pour l’homme et qui se poursuit jusqu’à ce jour.

Même la création des anges a eu lieu avant la création de l’univers, si on se fie à Job 38:4-7, où Dieu questionne Job ainsi : « Où étais-tu quand Je jetais les fondations de la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a réglé les mesures, si tu le sais, ou qui a étendu le niveau sur elle ? Sur quoi en a-t-on fait plonger les bases, ou qui en a posé la pierre angulaire, quand les étoiles du matin poussaient ensemble des cris de joie, et les fils de Dieu, des acclamations ? » Donc, si les anges ont savouré ce spectacle sensationnel en chantant, ces anges existaient déjà !

Les instruments à bord de la Station spatiale internationale, actuellement en orbite autour de la terre, semblent démontrer un univers rapidement en expansion (selon ces scientifiques, mais non prouvable). Si on pouvait calculer à reculons, jusqu’au moment précis de la création originale, les hommes de science estiment le temps à quelques 14 milliards d’années. Et si c’était 13 milliards ou 11 milliards ? Ils lancent des chiffres comme ça, tout bonnement, et les gens gobent ces « vérités » comme si c’était calculé avec précision. Peu importe, au moins ils acceptent qu’il y ait eu un début à un moment précis.

Donc, l’univers a définitivement eu un commencement et n’existait pas avant ce moment, comme nous venons de le confirmer bibliquement dans Job 38. La fameuse théorie de la relativité d’Albert Einstein démontrait que l’espace, le temps et la matière avaient un commencement. Durant la vie d’Einstein, ces choses étaient considérées prouvables à environ 90 %. De nos jours, les hommes de science considèrent le commencement de l’univers prouvable, même s’ils rejettent la possibilité d’un Dieu Créateur. Ceci veut dire clairement que l’univers a, en effet, eu un commencement.

La Bible nous dévoile formellement que la matière et l’énergie de l’univers ont soudainement été créées à partir de rien. Est-ce qu’une telle déclaration viole les lois de la physique ? Absolument ! Donc, ceci sollicite une origine surnaturelle et c’est exactement ce que Dieu nous déclare dans Sa Parole. Dans Hébreux 11:3, nous découvrons que : « Par la foi, nous savons que le monde a été fait par la Parole de Dieu ; de sorte que les choses qui se voient [l’univers], n’ont pas été faites de choses visibles [de matière préexistante] ». Ainsi, tout ce qui existe présentement fut créé par Dieu, par Sa puissance invisible et surnaturelle. Jérémie 10:12 nous confirme que : « C’est Lui qui a fait la terre par Sa puissance ; qui a fondé le monde par Sa sagesse ; qui a étendu les cieux par Son intelligence. »

La religion de l’évolution renie le surnaturel parce que les évolutionnistes prétendent qu’ils ne peuvent pas mesurer le surnaturel. Néanmoins, avant que les scientifiques puissent calculer la distance et la trajectoire de la lune, celle-ci existait déjà. Or, toutes leurs mesures scientifiques nous dirigent vers la preuve que l’univers a eu un début et son existence se situe hors des lois de la physique. Ceci en soi nous prouve le « surnaturel ». Si la conclusion logique des évolutionnistes est que le surnaturel n’existe pas, il faut également conclure que l’univers n’existe pas et, par le fait même, les évolutionnistes non plus. Donc, cette doctrine principale de la fausse religion de l’évolution est improuvable et se fonde sur une foi aveugle. Par conséquent, nous découvrons que la théorie de l’évolution demeure toujours une théorie et non un fait.

Par contre, la Parole de Dieu nous enseigne qu’à un moment donné après la création originale, la terre était devenue informe et vide, et les ténèbres étaient à la surface de l’abîme, et l’Esprit de Dieu se mouvait sur les eaux (Genèse 1:2). Dieu ne l’a sûrement pas créé ainsi, puisque, dans Ésaïe 45:18, nous lisons : « Car ainsi dit l’Éternel, qui a formé les cieux, lui, le Dieu qui a formé la terre et qui l’a faite, lui qui l’a fondée ; qui ne la créa pas pour être déserte [tohu bohu], mais qui la forma pour être habitée: Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre » ! Alors, Dieu a même recréé la surface de la terre en six jours pour l’homme et sa descendance. Après leur esclavage en Égypte, Dieu a donné dix commandements à Son peuple d’Israël, sur deux tables de pierre. Et, dans Exode 31:17-18, Dieu leur dit : « C’est un signe entre Moi et les enfants d’Israël à perpétuité ; car l’Éternel a fait en six jours les cieux et la terre, mais au septième jour il a cessé et s’est reposé. Et quand Dieu eut achevé de parler avec Moïse, sur la montagne du Sinaï, il lui donna les deux tables du Témoignage, tables de pierre, écrites du doigt de Dieu. »

Ce repos ou Sabbat fut créé pour toute la Famille divine. Voilà pourquoi nous lisons ceci, dans Hébreux 4:9-11 : « Il reste donc au peuple de Dieu un repos de sabbat. [Notez comment ces deux mots, qui veulent dire la même chose, sont maintenant dans la même expression.] Car celui qui est entré dans son repos, se repose aussi de ses œuvres, comme Dieu des siennes. Efforçons-nous donc d’entrer dans ce repos. » 2 Timothée 3:16-17 nous dit que : « Toute l’Écriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former à la justice ; afin que l’homme de Dieu soit accompli, et propre à toute bonne œuvre. » Mais cette Écriture toute spéciale des Dix Commandements fut donnée directement à Moïse par Dieu, pour Son peuple. Alors, dans Deutéronome 9:10, Moïse leur déclare : « Et l’Éternel me donna les deux tables de pierre, écrites du doigt de Dieu, et sur lesquelles étaient toutes les paroles que l’Éternel avait prononcées, lorsqu’il parlait avec vous sur la montagne, du milieu du feu, au jour de l’assemblée. »

Ainsi, parmi toutes les Saintes Écritures, Dieu avait choisi d’écrire cette partie sur deux tables de pierre, non par un de Ses prophètes, mais par Son propre doigt ! Il est donc essentiel que ces paroles du Créateur Lui-même soient prises sérieusement et littéralement. Il est intéressant de noter que les Dix Commandements furent structurés autour d’une semaine, dans laquelle Dieu a tout recréé sur la terre pendant six jours, et S’est Lui-même reposé le septième jour, qui pourtant fut créé pour l’homme. « Et Dieu bénit le septième jour, et le sanctifia, parce qu’en ce jour-là il se reposa de toute son œuvre, pour l’accomplissement de laquelle Dieu avait créé » (Genèse 2:3).

Depuis ce jour, tous les humains observent un calendrier hebdomadaire et comptent le temps en semaines, simplement parce que Dieu l’a fait ainsi ! Même ceux qui renient cette semaine de six jours de recréation, doivent l’observer, car leur rythme biologique fut construit ainsi par Dieu. Jésus Lui-même a déclaré, dans Marc 2:27, que : « Le sabbat a été fait pour l’homme, non pas l’homme pour le sabbat. » Puisque Dieu a placé tellement d’emphase sur Sa création littérale, nous devrions également croire Sa Parole, pour mieux participer à cette création et rejeter carrément la théorie de l’évolution sans la nécessité d’un Dieu. Même David fut inspiré d’écrire ceci, dans Psaume 14:1 : « L’insensé a dit en son cœur : Il n’y a point de Dieu. [À cause de cela], ils se sont corrompus, ils ont commis des actions abominables, il n’y a personne qui fasse le bien. »

En dépit de toutes leurs prétentions et leur intellect scientifique, ceux qui renient l’existence d’un Dieu créateur sont, selon Dieu, des insensés. « Ils se sont tous égarés, ils se sont corrompus tous ensemble ; il n’y en a point qui fasse le bien, non pas même un seul. Ont-ils perdu le sens, tous ces ouvriers d’iniquité ? Ils dévorent mon peuple comme s’ils mangeaient du pain ; ils n’invoquent point l’Éternel » (Psaumes 14:3-4). Paul abonde dans le même sens, dans Romains 3:11-17, lorsqu’il déclare : « Il n’y a personne qui ait de l’intelligence ; il n’y en a point qui cherche Dieu. Tous se sont égarés, et se sont tous ensemble corrompus ; il n’y en a point qui fasse le bien, non pas même un seul. Leur gosier est un sépulcre ouvert ; ils se sont servis de leurs langues pour tromper ; il y a un venin d’aspic sous leurs lèvres. Leur bouche est pleine de malédiction et d’amertume. Ils ont les pieds légers pour répandre le sang. La désolation et la ruine sont dans leurs voies. Ils n’ont point connu le chemin de la paix. »

Cette emphase à répétition nous indique ce que Dieu ressent envers ceux qui osent questionner Sa réalité, juste parce qu’Il est invisible. Dieu est même venu Se montrer à eux en chair humaine, et ils ne L’ont pas accepté. C’est déjà mal de désobéir à Ses Commandements et rejeter Son amour, mais c’est de la pure folie que de nier ouvertement que Dieu existe ! La Bible nous décrit les effets d’une chute affreuse par le rejet de la véritable création pour une évolution purement humaniste. « Parce qu’ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces : au contraire, ils sont devenus vains dans leurs raisonnements, et leur cœur destitué d’intelligence a été rempli de ténèbres. Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous. Et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en des images qui représentent l’homme corruptible, et les oiseaux, et les quadrupèdes, et les reptiles, » nous dit Paul, dans Romains 1:21-23.

Et, dans les versets 24 à 27, Paul poursuit en affirmant : « C’est pourquoi aussi, Dieu les a livrés, dans les convoitises de leurs cœurs, à une impureté telle qu’ils ont déshonoré eux-mêmes leurs propres corps ; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et ont adoré et servi la créature, au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen ! C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions honteuses ; car les femmes parmi eux ont changé l’usage naturel en un autre, qui est contre nature. De même aussi, les hommes, laissant l’usage naturel de la femme, ont été embrasés dans leur convoitise les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes la récompense qui était due à leur égarement. » Certains athées prétendent détenir une bonne moralité, malgré que leur critère de moralité soit bien différent de celui de la Bible.

Peu importe, lorsque certains de leurs agissements paraissent admirables et justes à leurs propres yeux, ils sont coupables du péché d’incrédulité, qui est le plus grand péché contre Dieu. Car la seule façon de pouvoir accéder au Royaume de Dieu, c’est par la foi. « Or, il est impossible de Lui être agréable sans la foi, car il faut que celui qui s’approche de Dieu, croie que Dieu est, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent » (Hébreux 11:6). Les athées ne cherchent pas Dieu, car, reniant Son existence, ils ne peuvent pas avoir foi en Lui. Avec toutes les innombrables preuves de l’existence de Dieu dans la création et au travers de l’histoire, et surtout dans Sa présence sur la terre en la personne de Jésus et Son œuvre de salut, il serait complètement insensé pour ces individus de plonger aveuglément dans l’éternité à la rencontre du Dieu qu’ils rejettent et renient.

Très peu de personnes semblent s’intéresser à l’histoire. La majorité vous dira : « À quoi ça sert ? » D’abord, ceux qui refusent cette connaissance sont condamnés à répéter les mêmes erreurs. C’est dommage que ce sujet soit sous-estimé par plusieurs. L’éducation moderne l’a relégué aux oubliettes, les étudiants craignent ce sujet et les politiciens, les intellectuels et les journalistes s’en servent très peu. Il est ironique que même les historiens et ceux qui valorisent l’histoire ne semblent pas toujours saisir l’importance véritable de ce merveilleux sujet. L’histoire est probablement le domaine le plus négligé au sein de notre société. Très peu de professeurs enseignent la vérité inspirante concernant le but définitif d’étudier l’histoire. Et quelle est cette vérité ? Simplement que l’histoire nous prouve l’existence de Dieu ! Est-ce que cette déclaration vous surprend ? Pourtant, Dieu nous déclare clairement que c’est Lui qui surveille et guide les évènements mondiaux. Par la bouche de Son prophète Ésaïe, Dieu dit : « Rappelez-vous les premières choses, celles des temps anciens ; car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre ; je suis Dieu, et il n’y en a point comme Moi. J’annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d’avance ce qui n’est pas fait encore. Je dis : Mon dessein tiendra, et j’exécuterai toute ma volonté » (Ésaïe 46:9-10).

Le roi David comprenait très bien le rôle prodigieux de Dieu dans l’histoire. Dans Psaume 33:8-11, David déclare: « Que toute la terre craigne l’Éternel ! Que tous les habitants du monde le redoutent ! Car il parle, et la chose existe ; il commande, et elle paraît. L’Éternel dissipe le conseil des nations, il met à néant le dessein des peuples. Mais le conseil de l’Éternel subsiste à toujours ; les desseins de Son cœur durent d’âge en âge. » Les Saintes Écritures sont pleines de prophéties dont certaines ont été accomplies, mais nous attendons l’accomplissement de beaucoup d’autres. Ainsi, le fait que les révélations de Dieu soient devenues des réalités tangibles nous prouve que Sa Parole a subsisté tout au long des siècles sans jamais régresser.

L’apôtre Paul a déclaré cette même vérité aux érudits grecs à Athènes. Dans Actes 17:22-25, nous lisons : « Alors Paul, se tenant au milieu de l’aréopage, dit : Hommes athéniens, je remarque qu’en toutes choses vous êtes singulièrement religieux. Car en passant, et en regardant vos divinités, j’ai trouvé même un autel sur lequel il y a cette inscription : AU DIEU INCONNU. Celui donc que vous honorez, sans le connaître, c’est celui que je vous annonce. Le Dieu qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont, étant le Seigneur du ciel et de la terre, n’habite point dans les temples bâtis de mains d’hommes. Il n’est point servi par les mains des hommes, comme s’il avait besoin de quelque chose, Lui qui donne à tous la vie, la respiration et toutes choses. » Et, au verset 26, Paul ajoute : « Et il a fait d’un seul sang toutes les races des hommes, pour habiter sur toute la face de la terre, ayant déterminé la durée précise et les bornes de leur habitation. »

Paul venait d’annoncer le véritable Dieu à ces athées qui, sans le dire ouvertement, devaient sûrement croire à l’évolution. Car ils se sont créé une multitude de dieux pour accomplir cette évolution et la soutenir. Ces hommes instruits comprenaient l’histoire ancienne de l’escalade et la chute de civilisations entières, déterminées par leurs dieux. Ils reconnaissaient que l’histoire était le produit de la puissance et la volonté de ces dieux. Ils acceptaient également qu’une bonne partie de leur histoire était écrite par ceux qui invoquaient ces dieux avant même son accomplissement, par des hommes choisis par leurs dieux pour la révéler. Ils avaient reconnu qu’à certains moments, même l’histoire fut modifiée au cours de son déroulement.

Mais Paul venait de les informer que toute cette histoire était contrôlée, non par leurs dieux, mais le Dieu Inconnu que Paul leur annonçait. Si les évènements historiques étaient quelque peu modifiés par Dieu, cela veut dire que lorsque nous étudions l’histoire, nous découvrons ce qui se passait dans l’Esprit de Dieu lors de son accomplissement. Ceci est une preuve évidente que les livres d’histoire dans les bibliothèques, les bouquins que nous avons compulsés et étudiés à l’école, ainsi que ceux qui sont oubliés sur des tablettes et qui accumulent la poussière, contiennent identiquement des preuves de l’existence de Dieu. Ainsi, lorsque nous regardons les choses selon cette perspective, l’histoire devient alors un fascinant et puissant instrument de croissance spirituelle. Mettons Dieu à l’épreuve pour prouver Sa puissance.

Considérons une étude en profondeur de la Babylone ancienne, de la Perse, de la Grèce et de l’Empire romain. Utilisons la Bible comme un livre de référence dans notre étude. Nous serons abasourdis de découvrir que les évènements historiques correspondent parfaitement avec ce qui avait été prédit des siècles auparavant dans la Bible. Concentrons-nous d’abord sur une prophétie écrite dans le livre de Daniel au chapitre 2, et comment elle s’est avérée dans le monde de la réalité. Il s’agit d’une succession d’empires dominants de la civilisation humaine, débutant au septième siècle avant Jésus-Christ, et qui est maintenant reconnue par la majorité des historiens.

Le premier fut l’Empire de Babylone, la puissance dominante de la terre au septième siècle avant Jésus. L’empire est soudainement devenu dominant lorsque son roi Nébucadnetsar a conquis les armées assyriennes et, par la suite, a envahi la Syrie et le royaume de Juda. Le second empire dominant fut l’Empire médo/perse qui, sous l’intendance innovatrice de Cyrus le Grand, a vaincu les Babyloniens pour ensuite dominer sur tout le territoire longeant la mer Méditerranée. La troisième civilisation dominante fut l’Empire grec par Alexandre le Grand au quatrième siècle avant Jésus, et qui fut maintenu par ses quatre puissants généraux après la mort subite d’Alexandre à Babylone, en l’an 323 av. J.-C.

La quatrième et la plus puissante civilisation mondiale avant la venue de Jésus, fut l’Empire romain devenu très puissant au premier siècle avant Jésus et qui a dominé sur la civilisation occidentale, prenant possession de tous les territoires accumulés par les trois royaumes précédents. Mais l’Empire romain avec toute sa puissance, s’est écroulé à son tour en l’an 476. Est-ce que Babylone a cessé d’exister pour autant à partir de ce moment ? Pas du tout ! Il reste encore les pieds de la statue avec leurs dix orteils, qui formeront une dernière résurrection de Babylone la Grande. Et lorsqu’elle paraîtra, ce sera pour trois ans et demi avant d’être anéantie pour toujours, par Jésus lors de Son avènement dans la gloire pour établir le Royaume de Dieu. Dans Apocalypse 17:8 Jean écrit : « La bête que tu as vue, a été et n’est plus ; elle doit monter de l’abîme, et s’en aller en perdition ; et les habitants de la terre, dont les noms ne sont pas écrits dans le livre de vie, dès la création du monde, s’étonneront en voyant la bête, car elle était, et elle n’est plus [officiellement], bien qu’elle soit ». Mais où se cache-t-elle ? Poursuivons…

 Il n’y a plus d’Empire romain depuis des siècles. La succession de ces quatre empires fait néanmoins la chronique de nombreux livres dans les bibliothèques du monde. Il est évident que d’autres peuples, plusieurs influents et impressionnants, existaient en même temps que ces quatre. Mais ces quatre étaient les civilisations dominantes de leur temps, formant la colonne vertébrale de l’histoire ancienne. Un très grand nombre de livres nous dévoilent les détails précis de la montée et de la déchéance historique éventuelle de chacun de ces quatre  royaumes. Toutefois, la Bible avait prédit l’énorme puissance et la déchéance éventuelle de tous ces empires, et cela bien avant qu’ils deviennent une réalité. Le prophète Daniel a écrit son livre au sixième siècle avant Jésus.

Lisez le premier chapitre, et vous obtiendrez la description du saccage de Jérusalem par le roi Nébucadnetsar de Babylone, en 587 avant Jésus, et la déportation des Juifs comme esclaves vers Babylone. Les documents officiels d’historiens nous relatent ces mêmes évènements avec la même précision, mais cette fois d’une façon purement historique. Parmi les Juifs capturés par les armées du roi se trouvait un jeune garçon nommé Daniel, ayant un don pour interpréter les songes et qui est rapidement devenu un confident du roi.

Peu de temps après son retour à Babylone, le roi eut un songe troublant et en a demandé l’interprétation à ses prêtres et magiciens. Mais aucun ne put le faire. Daniel 2 explique comment Daniel fut amené auprès du roi afin de lui expliquer son rêve. Vous noterez que le roi avait refusé de dévoiler son rêve, car il ne voulait pas que Daniel, ni les prêtres et les magiciens inventent une interprétation quelconque du songe. Malgré cela, Dieu a révélé et le songe et son interprétation à Daniel, et le jeune prophète l’a expliqué en grand détail à Nébucadnetsar. Avant de commencer, Daniel lui dit : « Ce secret m’a été révélé, non qu’il y ait eu en moi plus de sagesse qu’en aucun des vivants, mais pour que l’interprétation en soit donnée au roi, et que tu connaisses les pensées de ton cœur. » Prenez le temps de lire attentivement cette explication dans Daniel 2:31-35.

Le songe du roi était détaillé et très impressionnant. Il avait vu une statue immense d’une splendeur extraordinaire ; elle était debout devant le roi et son aspect était terrible, et elle était divisée en quatre parties distinctes. Mais quelque chose saute aux yeux et je veux le partager avec vous. En réalité, si l’on compte bien en lisant le passage qui suit, la statue n’est divisée en quatre que de manière apparente. Car, remarquez bien, on dirait qu’il y a une cinquième division : 1) or ; 2) argent ; 3) airain ; 4) fer et 5) fer & argile. Plusieurs dénominations ont commis l’erreur de croire que cette cinquième partie était une extension de la quatrième, soit une émergence éventuelle de l’Empire romain. Mais c’est inexact. Il s’agit carrément de la cinquième émergence de Babylone et non une seconde émergence de Rome. La statue entière représente Babylone la Grande.

Dans Apocalypse, quand Christ dit que « La bête que tu as vue, a été et n’est plus ; elle doit monter de l’abîme… », Il ne parle pas de Rome, mais bien de Babylone la Grande. Donc, après que l’Empire romain eut disparu, en l’an 476, ce n’est pas Rome qui reçut la blessure mortelle, mais bien Babylone la Grande en son entier. Pendant des siècles, il n’y eut pas d’empire digne de ce nom, alors que l’Empire médo-perse avait succédé immédiatement à l’Empire babylonien ; que l’Empire grec eut succédé immédiatement à l’Empire médo-perse et que l’Empire romain eut succédé immédiatement à l’Empire grec. Il y a donc une cassure en 476, qui a fait croire au monde que Babylone était bel et bien morte. Cependant, à partir de ce moment, elle agissait et agit toujours en cachette jusqu’à aujourd’hui, dans les sociétés secrètes et surtout au sein de la société des talmudistes. Son projet clé sera de former un Nouvel Ordre Mondial afin de dominer cette fois sur toutes les nations de la terre.

Aux temps de la fin, c’est la Statue Entière qui ressuscitera au grand jour, sous une nouvelle forme, différente des autres bêtes, et réellement internationale. « Et les habitants de la terre, dont les noms ne sont pas écrits dans le livre de vie, dès la création du monde, s’étonneront en voyant la bête, car elle était, et elle n’était plus [officiellement], bien qu’elle apparaisse soudainement. » Elle sera plus puissante et terrible que les quatre empires précédents combinés. mais sa moralité sera vraiment infecte, sans aucune valeur spirituelle aux yeux de Dieu. Son Faux Prophète sera vraisemblablement l’empire financier juif et sioniste, dominé par un faux messie et son sanhédrin. C’est la grande prostituée que Jésus nomme la Synagogue de Satan, ou la juiverie internationale. La Bête politique qu’elle chevauchera, sera une alliance formée de dix rois puissants venant d’Europe et/ou d’ailleurs, pas précisément reconnaissables présentement.

Il y aura dix rois, ou dix royaumes, c’est biblique. Mais pourquoi ces dix royaumes doivent-ils nécessairement être restreints à dix pays modernes ? Un roi domine sur un royaume, toutefois un royaume peut contenir plusieurs pays (ex. : le Royaume-Uni, ou l’ancien Commonwealth). Les différents empires furent dominés par un roi (le ROI Nébucadnetsar, le ROI Cyrus, etc.). Dieu emploie le mot « roi » et non « empereur » pour décrire celui qui domine sur un empire. Or, ces rois régnaient sur bien plus qu’un seul pays. Sans savoir présentement qui seront ces dix rois, il est fort possible que la terre soit éventuellement divisée en dix territoires, sur chacun desquels régnera un roi qui ne sera rien d’autre qu’un des dix rabbins principaux du Grand Sanhédrin. Au-dessus de ces dix rois-rabbins, et élu par eux, il y aura le Moshiashl’Antichrist et homme de perdition. Apocalypse 17:13 nous confirme : ils ont un même dessein et donneront leur puissance et leur autorité à la bête politique et militaire. Pour une dernière fois, le pouvoir religieux dominera sur le pouvoir militaire, qui tentera même de combattre contre le Christ et Son armée lors de Son retour.

Tout nous indique que cette Bête religieuse sera sûrement appuyée par la puissance militaire des États-Unis, le plus fort empire que le monde ait jamais porté, sans oublier la force militaire européenne qui dort présentement. Regardez néanmoins comment Israël se sert continuellement de l’armée américaine pour faire son sale boulot un peu partout dans le monde ! Bientôt le continent européen se joindra à la super puissance militaire, qui sera tellement forte que, indirectement, les gens adoreront : « le dragon [Satan], qui avait donné son pouvoir à la bête [militaire] ; on adorera aussi la bête [militaire], en disant : Qui est semblable à la bête, et qui pourra combattre contre elle ? »+ (Apocalypse 13:4). Surveillons de près les évènements mondiaux, afin de pouvoir un jour reconnaître la formation officielle de cette résurrection finale.

Récapitulons : La tête de la statue était d’or fin ; sa poitrine et ses bras étaient d’argent ; son ventre et ses hanches étaient d’airain ; ses jambes étaient de fer. Quand l’Empire romain s’est écroulé en l’an 476, Babylone venait de recevoir sa blessure mortelle et n’était plus, mais attend toujours sa dernière résurrection, qui ne durera que trois ans et demi. Voilà l’effigie de ses pieds, en partie de fer et en partie d’argile (voir versets 32-33). Mais, aux versets 34-35, Daniel déclare au roi : « Tu regardais, jusqu’à ce qu’une pierre fut détachée sans le secours d’aucune main et frappa la statue dans ses pieds, qui étaient de fer et d’argile, et les brisa. Alors le fer, l’argile, l’airain, l’argent et l’or furent brisés ensemble, et devinrent comme la balle de l’aire en été ; et le vent les emporta, et il ne s’en trouva plus de vestige ; mais la pierre qui avait frappé la statue devint une grande montagne et remplit toute la terre. » Donc, le Système babylonien tout entier sera détruit d’un seul coup par Jésus, aux cris des lamentations de tous ceux qui marchandaient avec le système.

Apocalypse 18:9-11 nous le confirme : « Et les rois de la terre, qui ont commis fornication, et qui ont vécu dans les délices avec elle, la pleureront et se frapperont la poitrine à cause d’elle lorsqu’ils verront la fumée de son embrasement. Ils se tiendront loin, dans la crainte de sa torture, et ils diront : Malheur ! malheur ! La cité, la grande Babylone, la ville puissante, car sa condamnation est venue en une heure ! Et les marchands de la terre pleureront et se lamenteront à son sujet, parce que personne n’achètera plus leurs marchandises. » Prenez le temps d’étudier le chapitre 18 au complet pour découvrir l’ampleur de sa destruction en si peu de temps. Quand Dieu frappe, il frappe vite et fort. Ce passage biblique est devenu une prophétie mondiale, dont la plus grande partie n’est pas encore accomplie.

Cette prophétie de la statue était la vision d’un système politique qui débuta avec le plus puissant roi de Babylone et se terminera lors du retour de Christ pour installer le Royaume de Dieu sur la terre entière. Dieu décréta que Nébucadnetsar était la tête en or fin sur ce système appelé Babylone la Grande. Aux versets 41-43, Daniel poursuit : « Et comme tu as vu les pieds et les doigts en partie d’argile et en partie de fer, ce sera un royaume divisé ; mais il y aura en lui de la force du fer, parce que tu as vu le fer mêlé avec l’argile ; et comme les doigts des pieds étaient en partie de fer et en partie d’argile, ce royaume sera en partie fort et en partie fragile. Quant à ce que tu as vu le fer mêlé à l’argile, c’est qu’ils se mêleront par des alliances humaines ; mais ils ne seront pas unis l’un à l’autre, de même que le fer ne s’allie point avec l’argile. »

Finalement, dans les versets 44-45, Daniel ajoute : « Et dans le temps de ces rois, le Dieu des cieux suscitera un royaume qui ne sera jamais détruit ; et ce royaume ne passera point à un autre peuple ; il brisera et anéantira tous ces royaumes-là, et lui-même subsistera éternellement, comme tu as vu que de la montagne une pierre s’est détachée sans le secours d’aucune main, et qu’elle a brisé le fer, l’airain, l’argent et l’or. Le grand Dieu a fait connaître au roi ce qui arrivera ci-après. Le songe est véritable, et son interprétation en est certaine. » C’est l’accomplissement de cette partie de la prophétie que les enfants de Dieu attendent patiemment dans la prière et l’espérance. La partie accomplie est un fait reconnu et confirmé dans les livres d’histoire. Dieu avait révélé au roi, par la bouche de Daniel, comment les 2 500 années suivantes de l’histoire se passeraient. Car les civilisations médo-perse, grecque et romaine, au moment de cette prophétie, étaient à peine au début de leur gloire future.

Toutefois, Dieu révélait à Nébucadnetsar, au travers de cette immense statue, quelles seraient les futures civilisations mondiales dominantes, portant des noms différents, mais qui dans l’ensemble s’appelleraient Babylone. Comment pouvons-nous savoir que Dieu faisait référence spécifiquement à ces quatre empires ? Parce que l’histoire documentée de plusieurs millions de pages sur ces quatre empires s’est déroulée exactement comme Dieu l’avait prophétisé dans Daniel 2, ainsi que dans d’autres prophéties dans le livre de Daniel. Prenons Daniel 8 comme exemple. Ici, Dieu nous révèle le 2ème Empire mondial décrit par une poitrine et des bras en argent dans Daniel 2. Cet empire serait formé par une alliance de deux peuples distincts, s’unissant pour établir la seconde civilisation dominante. Si vous connaissez l’histoire de Perse, vous savez que ce fut l’union des Mèdes et des Perses qui leur donna la puissance de vaincre les Babyloniens et ajouter tout leur territoire aux acquis déjà en place pour ainsi établir l’Empire perse. Néanmoins, sa valeur spirituelle aux yeux de Dieu était moindre que l’Empire babylonien, tout comme la valeur de l’argent est moindre que celle de l’or.

Dieu a révélé des détails similaires sur les Empires grec et romain, même si leur puissance mondiale dominante n’allait être évidente que deux ou trois cents ans plus tard. Si vous étudiez le livre entier de Daniel, vous découvrirez qu’il est plein d’histoire, écrite bien avant son accomplissement actuel. Non, mes chers amis, l’évolution ne réglera absolument rien dans la société actuelle. Par contre, la Bible est bondée de détails sur l’implication de Dieu dans les affaires humaines tout au long de l’histoire ; et Daniel 2 est simplement un exemple. Avec tout ce qui se passe un peu partout dans le monde présentement, préparons-nous à voir la réalisation impeccable d’un très grand nombre de prophéties anciennes, prédites par ce Dieu auquel les athées évolutionnistes ne croient pas, mais à qui ils devront entièrement se soumettre un jour.

Toutefois, l’avènement prochain de Jésus, cette pierre qui, dans Daniel 2, s’est détachée sans aucune aide pour frapper la statue dans les pieds, viendra détruire le système babylonien au complet, sans possibilité future de renaître. Cet étonnant événement à venir nous prouvera davantage, non seulement l’existence de Dieu, mais aussi la seule solution possible pour amener une paix mondiale sur cette terre pendant mille années sous la direction de Jésus et Ses Élus. Alors, la théorie de l’évolution disparaîtra, mais la réalité de la création se poursuivra telle que confirmée par la Parole de Dieu, dans Ésaïe 46:9-10, lorsque Dieu a dit : « Rappelez-vous les premières choses, celles des temps anciens ; car je suis Dieu, et il n’y en a point d’autre ; je suis Dieu, et il n’y en a point comme Moi. J’annonce dès le commencement ce qui doit arriver, et longtemps d’avance ce qui n’est pas fait encore. Je dis : Mon dessein tiendra, et j’exécuterai toute Ma volonté ».

 




D.192 – Citations de chercheurs français du début du 20e siècle qui questionnaient déjà la théorie de l’évolution

evolution

NDLR: Extrait du très intéressant site de Christian Lefèvre Science et Vérité.

La critique de l’évolution est-elle seulement d’origine récente et américaine ?

Contrairement à ce que l’on pense souvent, la majorité des biologistes français du début du XXe siècle avaient déjà fait suffisamment d’observations scientifiques pour constater le manque de fondement de la théorie, à tel point que celle-ci fut officiellement reconnue comme non crédible et parue sur le point d’être abandonnée.

Voici quelques citations de chercheurs français de l’époque. Presque tous étaient transformistes (évolutionnistes).

« Les fossiles les plus anciens sont ceux d’animaux aussi complexes que les animaux actuels. Ce sont des êtres déjà élevés, et ayant une organisation définitive bien caractérisée (Polypiers, Mollusques, Arthropodes, Brachiopodes, Poissons). Les types francs d’organisation s’imposent donc dès le début. » [Jules Lefèvre, Directeur du Laboratoire de Bio-Énergétique, Manuel critique de biologie. (Masson, 1938), p. 41.]

« Si nous pouvions nous transporter sur les bords des mers cambriennes, les plus vieilles dont nous connaissions la faune, nous verrions ramper ou courir, sur un sable et au milieu de rochers semblables à ceux de nos grèves, des animaux différents, certes, des animaux actuels, mais appartenant clairement aux mêmes groupes et vivant dans les mêmes conditions physiologiques… » [Boule et Piveteau, Les fossiles (Masson, 1935), p. 51.]

Ils apparaissent brusquement, sans signes annonciateurs.

« Parmi les exemples de brusque apparition et de rapide expansion de tout un ensemble d’êtres, il n’en est pas de plus impressionnant que la survenue des Mammifères placentaires au début de l’Éocène, pour laquelle les paléontologistes ont créé le mot significatif d’Explosion. Ces Mammifères ne se montrent pas au Crétacé ; ils ne sont annoncés par aucune forme de passage ; ils apparaissent, en grand nombre et à peu près simultanément, dans trois régions que séparent de vastes espaces : les États-Unis, la Patagonie, la France ; et déjà, ils sont différenciés en Ordres parfaitement distincts, et l’on y reconnaît des Ongulés, des Carnassiers, des Primates. » [Pierre Termier, Les grandes énigmes de la Terre (Flammarion, 1935), p. 33-34.]

Ils forment des groupes bien distincts, sans relation entre eux.

« Les classes de Vertébrés qui apparaissent aux diverses époques et sans transition sont nettement des Poissons, des Batraciens, des Reptiles, des Oiseaux, des Mammifères : ils représentent, d’emblée, les classes actuelles. » [Jules Lefèvre, Manuel critique de biologie (Masson, 1938), p. 41.]

« Les grandes lignes du règne animal sont déjà tracées aux époques les plus anciennes, et les divers groupes sont séparés les uns des autres par des discontinuités de l’ordre de celles que nous constatons aujourd’hui. » [Maurice Caullery, Les étapes de la biologie (PUF, 1941), p. 59.]

Rien n’indique que ces animaux ont dérivé des uns des autres.

« On ne trouve pas, dans l’observation directe, la preuve que les causes naturelles puissent aller jusqu’à modifier profondément ces caractères (les caractères généraux qui constituent les types d’organisation). » [Paul Broca, Bulletin de la Société d’Anthropologie de Paris (Masson, 1870), tome V, 2e série, p. 203.]

« Les recherches récentes, contrairement à ce que l’on pouvait imaginer il y a une cinquantaine d’années, ont bien plutôt renforcé l’idée de la stabilité présente des formes animales et végétales, et ramené leurs variations, soit à des phénomènes purement individuels, sans retentissement dans la lignée, soit à une diversification limitée et virtuellement contenue dans le type de chaque espèce. » [Maurice Caullery, Le Problème de l‘Évolution (Payot, 1931), p. 401.[

« La biologie moderne, et c’est là une de ses acquisitions les plus essentielles, peut-être la plus imprévue, a définitivement mis en lumière la stabilité organique. La Vie a pour régime normal la constance ; changer est, pour elle, un extraordinaire. » [Jean Rostand, La nouvelle biologie (Fasquelle, 1937), p. 84.]

On ignore, également, tout de l’origine de la vie.

« La Paléontologie ne nous apporte aucune lumière sur le plus grand des problèmes, celui de l’origine de la Vie. » [Boule et Piveteau, Les fossiles (Masson, 1935), p.851.]

« Sur l’origine de la vie, convenons sans ambages que nous ne savons rien. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 41.]

Aucune théorie ne peut expliquer un phénomène d’évolution. Ce fait est admis par les biologistes français dès le début du siècle dernier. Parlant du Lamarckisme, Jean Rostand écrit : « Ils préfèrent concéder à la formation des espèces, des milliers et des milliers de siècles, afin de noyer en quelque sorte, le mystère dans la durée… » [Jean Rostand, La nouvelle biologie (Fasquelle, 1937), p. 57.]

« Après une longue période d’ardentes polémiques, on admet généralement aujourd’hui qu’aucune des grandes théories, Lamarckiste, Darwinienne ou Mutationniste, n’est capable de fournir une explication intégrale et satisfaisante du grand phénomène de l’Évolution. » [Boule et Piveteau, Les fossiles (Masson, 1935), p. 873.]

« Aujourd’hui, le darwinisme ne nous paraît plus acceptable ; sa chaîne logique a été définitivement brisée lorsqu’on reconnut que la mort n’avait nullement cette fonction de triage automatique qui est la clé de voûte du système : il y a bien quelques tarés et anormaux qui sont éliminés dès le début, mais leur disparition a plutôt un effet conservateur du type moyen de l’espèce […] Même si la sélection darwinienne existait, elle ne saurait expliquer la genèse graduelle d’une adaptation morphologique simple ou complexe… » [Lucien Cuénot, L’adaptation chez les animaux, « Bulletin de la Société des Sciences de Nancy », (n° 9, déc. 1937), p. 276.]

L’aveu officiel en 1937, des plus hauts représentants de cette discipline.

« Le Tome V de l’Encyclopédie Française marquera certainement une date dans l’histoire de nos idées sur l’Évolution : il ressort de sa lecture que cette théorie semble à la veille d’être abandonnée…

« Il résulte de cet exposé que la Théorie de l’Évolution est impossible. Au fond, malgré les apparences, personne n’y croit plus, et l’on dit, sans y attacher autrement d’importance, “évolution” pour signifier “enchaînement”, ou “plus évolués”, “moins évolués”, au sens de “plus perfectionnés”, “moins perfectionnés”, parce que c’est un langage conventionnel, admis et presque obligatoire dans le monde scientifique.

« L’Évolution est une sorte de dogme auquel ses prêtres ne croient plus, mais qu’ils maintiennent pour leur peuple. Cela, il faut avoir le courage de le dire, pour que les hommes de la génération future orientent leurs recherches d’une autre façon. » [Paul Lemoine, ancien Directeur et Professeur au Muséum, Encyclopédie Française. (1937), Tome V, p. 5-82-3 et 5-82-8.]

Pourtant, malgré cet aveu officiel, la théorie continuera d’être enseignée et finira même par s’imposer.

« Constatant, comme la plupart des personnes ayant étudié ces questions, un abandon total ou partiel du système transformiste par les leaders des sciences de la vie, j’ai toujours été choqué de voir cependant continuer, dans l’instruction de la jeunesse, l’enseignement des doctrines transformistes, présentées comme une synthèse définitivement acquise au patrimoine intellectuel de l’humanité. » [Eugène Raguin, Professeur de Géologie à l’École Nationale Supérieure des Mines, Préface de l’ouvrage L’évolution régressive (voir ci-dessous).]

On peut affirmer en toute objectivité que l’enseignement scientifique français est actuellement totalement transformiste.

« Quoi d’étonnant, dès lors, à trouver, au Palais de la Découverte, encyclopédie vivante organisée par le Gouvernement Français, le fameux “Cône de la Vie”, ayant à son sommet l’Être monocellulaire, duquel descendent, le long de courbes savantes, les représentants de tous les êtres animés. Des milliers de visiteurs ont pu emporter, gravée dans leur souvenir, cette synthèse en relief, résumé suggestif de l’Enseignement officiel. » [Georges Salet et Louis Lafont, L’évolution régressive (Éditions Franciscaines, 1943), p. 21.]

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Pourquoi la théorie n’a-t-elle pas été abandonnée ?

Deux raisons à cela :

I – La science se doit de donner une explication au problème du vivant.

Le biologiste Jean Rostand adhère à la théorie de l’évolution, tout en reconnaissant qu’elle est insuffisamment fondée.

« Pour ma part, je crois donc fermement à l’évolution des êtres organisés. Mais je n’ai garde, pour cela, de méconnaître le caractère extraordinaire, voire fantastique, des transformations que nous sommes tenus d’imaginer dans le passé de la vie, et dont il semble que ne s’étonnent suffisamment ni les profanes, qui ne se doutent pas des difficultés qu’elles soulèvent, ni peut-être certains spécialistes, trop familiarisés avec l’idée transformiste. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 24-25.]

Un aveu stupéfiant : l’évolution ne repose sur aucunes preuves, mais la théorie est tellement belle que l’on peut se passer de ces dernières.

« S’il est vrai que ni le lamarckisme ni le mutationnisme ne nous font comprendre le mécanisme de l’évolution, il faut avoir le courage de reconnaître que nous ignorons tout de ce mécanisme. […] Certains, peut-être, estimeront que, par un tel aveu d’ignorance, on laisse la partie belle à ceux qui combattent encore la doctrine transformiste. Mais, outre que la plus élémentaire probité intellectuelle commande de dire : “Je ne sais pas” partout où l’on croit ne pas savoir, je pense que cette doctrine est maintenant assez solide par elle-même pour qu’on n’ait pas besoin de l’étayer d’une représentation illusoire. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 36.]

Pour nombre de scientifiques, l’évolution est la seule hypothèse plausible et on est contraint d’y croire, faute de mieux.

« S’il existait une hypothèse scientifique autre que la descendance pour expliquer l’origine des espèces, nombre de Transformistes abandonneraient leur opinion actuelle comme insuffisamment démontrée. » [Yves Delage, L’Hérédité et les grands problèmes de la Biologie générale (2e édition, 1903), p. 204.]

« Certes, nous conviendrons, en toute objectivité, qu’on n’a pas le droit de tenir l’évolution organique pour une certitude dès lors qu’il s’agit d’événements révolus sans témoins et dont il est permis de douter que la nature actuelle nous fournisse encore l’exemple ; mais, si l’on ne peut que croire en l’évolution, il est quasiment impossible pour le biologiste, de ne pas y croire, et il serait fâcheux qu’un excès de scrupule positiviste jouât au bénéfice d’hypothèses somme toute beaucoup moins plausibles que celle de l’évolution. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 23.]

Cette opinion n’est cependant pas partagée par tous les biologistes.

« Alors ― objection classique des darwiniens ― vous ne voulez pas du darwinisme, et vous n’avez rien à mettre à sa place ? Ce n’est pas la question. Cette objection, comme l’a dit un ingénieux critique, revient à garder en prison un homme pourvu d’un excellent alibi, sous prétexte qu’il faut trouver le vrai coupable avant de le libérer ! La réponse, c’est qu’il reste à faire notre métier, c’est-à-dire à chercher autre chose… » [Rémy Chauvin, ancien Professeur honoraire à la Sorbonne, Le darwinisme ou la fin d’un mythe (Éditions du Rocher, 1997), p.10-11.]

II – La théorie de l‘évolution repose sur un présupposé philosophique.

Les scientifiques ne peuvent faire totalement abstraction de leurs opinions philosophiques.

« On dit souvent qu’il faut expérimenter sans idée préconçue. Cela n’est pas possible ; non seulement ce serait rendre toute expérience stérile, mais on le voudrait qu’on ne le pourrait pas. Chacun porte en soi sa conception du Monde, dont il ne peut se défaire aisément. Il faut bien, par exemple, que nous nous servions du langage, et notre langage n’est pétri que d’idées préconçues et ne peut l’être d’autre chose. Seulement ce sont des idées préconçues inconscientes, mille fois plus dangereuses que les autres. » [Henri Poincaré, La Science et l’Hypothèse (Flammarion, 1912), p. 170.]

« Dans ce domaine, consciemment ou inconsciemment, tout savant est influencé par ses opinions métaphysiques. Le système philosophique auquel adhère son esprit l’imprègne malgré lui, et tend à le guider dans son exploration de l’inconnu. […] cet aspect de la question est très généralement passé sous silence, les théories évolutionnistes étant présentées comme d’origine et de nature exclusivement expérimentales et scientifiques… » [Georges Salet et Louis Lafont, L’Évolution régressive (Éditions Franciscaines, 1943), p. 26.]

« Je prends ici la première personne, pour montrer que je parle en mon nom et non en celui des Transformistes dont beaucoup seront scandalisés en lisant cette déclaration. Je suis cependant absolument convaincu qu’on est, ou qu’on n’est pas Transformiste, non pour des raisons tirées de l’Histoire Naturelle, mais en raison de ses opinions philosophiques. » [Yves Delage, zoologiste et transformiste, L’hérédité et les grands problèmes de la biologie générale (1903), p. 204.]

Dix ans seulement après la sortie du livre de Charles Darwin, les biologistes avaient été mis en garde. Un grand scientifique avait vu le danger.

« Ce que Darwin a présenté comme la théorie de l’origine des espèces, ce n’est pas le résultat graduellement conquis de recherches pénibles, s’appliquant a la solution de quelques points de détail pour s’élever ensuite à une synthèse générale et compréhensive ; non, c’est une doctrine qui de la conception descend aux faits, et cherche des faits pour soutenir une idée. Il n’est pas surprenant qu’un tel ensemble de vues ait été décoré du nom d’Unisme. Est ce un éloge, est-ce un blâme ? Je ne sais, mais le fait reste. Le Darwinisme sera une des phases par lesquelles l’Histoire naturelle aura passé dans le cours de ce siècle. Je reconnais dans le caractère et la portée de cet enseignement une certaine analogie avec ce qui s’est produit lorsque les physio-philosophes, s’inspirant de Schelling, appliquèrent sa philosophie à l’histoire naturelle. Alors aussi, on vit acclamer une doctrine toute faite, embrassant la nature tout entière, et dont le point de départ était que l’Homme est le résumé et la synthèse individualisée de toute la création animale. […] Toute la science acquise jusqu’à cette époque-là, au prix des plus longues et des plus laborieuses recherches, fut mise de côté et remplacée par des conceptions purement théoriques. L’infatuation alla si loin que les travaux les plus spéciaux et les mieux faits de l’époque contemporaine n’étaient accueillis, dans l’École, qu’après avoir été recouverts du vernis de la Doctrine. Je crois qu’il en sera de l’enseignement de Darwin comme de celui de cette secte. » [Louis Agassiz, naturaliste américain d’origine Suisse, spécialiste mondial en glaciologie, De l’Espèce et de la Classification en Zoologie (Balliere, 1869), p. 375-391, Partie 3, Chapitre 7.]

D’autres scientifiques avaient fait la même constatation.

« Dans son ouvrage : Les Transformations du Monde Animal, M. Depéret expose le développement historique des idées transformistes et montre que Lamarck, Darwin et Haekel se préoccupèrent beaucoup plus de construire un système que de chercher à contrôler leurs idées par les données paléontologiques. » [Georges Salet et Louis Lafont, L’Évolution régressive (Éditions Franciscaines, 1943), p. 24.]

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Le mythe de l’évolution a toujours été combattu en France par de nombreux chercheurs, et non des moindres.

« Mais considérez l’exemple de Pierre-Paul Grassé, auteur de L’évolution du vivant. Matériaux pour une nouvelle théorie transformiste. Theodosius Grigorievich Dobzhansky, une sommité de la synthèse néo-darwinienne, a écrit au sujet du livre de Grassé : “ Le livre de Pierre-P. Grassé est une attaque directe contre toutes les formes du darwinisme. Son but est de détruire le mythe de l’évolution comme phénomène simple, bien compris et expliqué, et de démontrer que l’évolution est un mystère au sujet duquel on ne connaît ― et peut-être on ne peut connaître ― que peu de chose. Maintenant, on peut ne pas être d’accord avec Grassé, mais on ne peut l’ignorer. C‘est le plus distingué des zoologistes français, le rédacteur des 28 volumes du Traité de Zoologie, l‘auteur de nombreuses recherches originales, et l’ex-président de l’Académie des Sciences. Sa connaissance du monde vivant est encyclopédique. ” » [Cité par les Professeurs George Aldhizer, Gary Johnston et Douglas Krull (membres du Sénat de Faculté, à la Northern Kentucky University (NKU) aux USA), dans un article publié dans The Kentucky Post, le 4 janvier 2000.]

Ce dernier point est partagé par le biologiste français, Rémy Chauvin, qui écrit au sujet de Grassé :

« Mais il accomplit tout de même une prouesse que je n’ai jamais vu réalisée ailleurs : il avait quasiment digéré toute la zoologie, au point de mettre en chantier son illustre Traité de Zoologie, le seul qui soit au monde. […] Mais quand Grassé donne son avis sur l’évolution, en tant que zoologiste, il mérite au plus haut point d’être écouté : personne, j’ose le dire, ne connaissait mieux que lui l’évolution animale dans son ensemble. » [Le darwinisme ou la fin d’un mythe. (Éditions du Rocher, 1997), p. 19.]

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Pour conclure, voici quelques citations de Philip E. Johnson, juriste américain :

« Le darwinisme reste un échec scientifique […] En dépit d’un triomphalisme conventionnel, les savants darwinistes ne sont toujours pas parvenus à produire les confirmations empiriques qu’ils cherchent : les archives fossiles montrent trop de discontinuité dans l’évolution, et les découvertes de la biologie moléculaire obligent à conclure, avec Yves Coppens, que “le hasard fait trop bien les choses pour être crédible”. Mais la crise qui secoue actuellement l’édifice darwinien reste largement ignorée du public. » [Postface du livre Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997).]

Mais il continue toujours d’être enseigné.

« Si le darwinisme continue d’être le catéchisme enseigné dans les manuels, c’est parce qu’il est l’unique concurrent à l’hypothèse d’une Intelligence créatrice (œuvrant éventuellement de façon progressive). Mais n’est-t-il pas lui-même un acte de foi, faisant du hasard un dieu créateur, alors même que la thermodynamique l’a reconnu comme le maître du chaos ? » [Postface du livre Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997).]

Un mauvais présupposé philosophique peut conduire à une aberration.

« Pour les scientifiques naturalistes, reconnaître une réalité surnaturelle est faire preuve de superstition, et donc trahir la science. Pour les théistes en revanche, le concept d’un esprit surnaturel, à l’image duquel nous avons été créés, constitue la base métaphysique essentielle pour croire que le cosmos est rationnel et, dans une certaine mesure, compréhensible. Pour les naturalistes scientifiques, paradoxalement, le cosmos ne peut être compris par un esprit rationnel que s’il n’a pas été créé par un esprit rationnel. Cette méprise grotesque sur la théologie et sur l’histoire de la science nous enseigne que le monde scientifique est imprégné de mauvaise philosophie… » [Phillip E. Johnson, Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997), p. 222.]

A méditer :

« Les darwinistes nous disent qu’il est inutile de considérer la possibilité que les plantes et les animaux dussent leur existence à un créateur surnaturel, parce que des mécanismes naturels comme la mutation et la sélection sont capables d’accomplir l’œuvre de la création. Ce que je veux savoir, c’est si cette affirmation est vraie, et non pas si c’est la meilleure spéculation naturaliste disponible. Je ne doute pas que les biologistes évolutionnistes soient dévoués à la théorie par laquelle ils définissent leur discipline, et je ne doute pas que les scientifiques considèrent le projet naturaliste comme une réussite fantastique. Il n’en reste pas moins que des personnes ne partageant pas leur engagement préalable au naturalisme philosophique peuvent correctement penser que la théorie régnante n’est pas simplement incomplète, mais contredite par les faits.

« Ces questions ne peuvent être laissés à l’appréciation exclusive d’une classe d’experts, qui se comporteraient en prêtrise gardienne de l’orthodoxie ; des questions importantes de religion, de philosophie et de pouvoir culturel sont en jeu, et elles concernent tout le monde. L’évolution naturaliste n’est pas simplement une théorie scientifique : c’est devenu le récit officiel de la création dans la culture moderne. La prêtrise scientifique qui s’arroge l’autorité d’écrire et d’interpréter ce récit des origines y gagne une influence culturelle immense, et pourrait la perdre si le récit s’avérait un mythe sans fondement historique. C’est pourquoi les experts ont un intérêt, sinon une mission, à protéger ce récit, et à imposer des règles de raisonnement qui le rende invulnérable. Lorsque nous demandons “ votre récit est-il vrai ? ”, nous ne pouvons pas être satisfait de nous entendre dire : “ C’est de la bonne science, telle que nous la définissons. ” » [Phillip E. Johnson, Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997), p. 215-216. ]

(Science-et-Verite.fr)




D.151 – La Terre ne bouge pas – Partie 7

 

SEPTIÈME PARTIE

LA CHUTE DE BABYLONE

Eschatologie.

C’est ainsi que l’on nomme l’enseignement biblique à propos de la Fin des Temps sur Terre. Cela vient du mot grec eschatos, qui signifie « le plus loin » ou « le dernier », et du mot logos qui veut dire « discours ». Ainsi, on dit, en théologie : « La doctrine des dernières choses, ou des choses finales, comme la mort, la résurrection, l’immortalité, le jugement. »

La Chute de Babylone est une partie de l’eschatologie que l’on retrouve à différents endroits dans la Bible, spécialement dans le dernier livre : l’Apocalypse. Or, le cœur même de la croyance chrétienne est son eschatologie au sujet du retour de Jésus. Il va revenir dans les nuées, de la même manière qu’Il est parti, il y a deux milles ans, mais, cette-fois-ci, en faisant éclater Sa Gloire sur toute la Terre. Il va mettre fin au système de ce monde et va démarrer un système éternel, paradisiaque, appelé le Royaume de Dieu sur Terre.

Il y a évidemment toutes sortes d’interprétations à savoir comment et quand tout cela va arriver, pendant cette période cruciale de la Fin des Temps. Le sujet est vaste et vital et, comme de bien entendu, rempli de séductions ! Mais ce n’est pas la place, ici, pour traiter de cela en profondeur. Nous vous référons pour ça à d’autres séries d’articles que nous avons à votre disposition dans notre site. Tout ce que nous avons besoin de faire, ici, c’est de voir et de comprendre que la dénonciation de la séduction universelle concernant le mouvement de la Terre est, non seulement apte à devenir le tapis que l’on tirera sous les pieds des contrefacteurs, dans le scénario de la Fin des Temps, mais ce fait même est garanti !

Il va falloir bien des explications, car nous savons qu’il n’y a qu’un minuscule pourcentage de la population mondiale qui prétend croire que la Bible est la Parole véritable de Dieu et même parmi ces gens, il y a toutes sortes d’idées au sujet de ce qui va arriver à la fin des temps. Voilà la raison pour laquelle le Corps des chrétiens dans le monde croyant à la Bible peut voir que le renversement du copernicisme doit conduire vers un grand retour à la Bible. Comment un chrétien croyant à la Bible peut-il s’opposer ou se montrer peu enthousiaste devant l’exposition d’une grande séduction satanique qui mène directement à la preuve que la Bible a toujours eu raison, même si le monde entier, y compris les églises chrétiennes, s’est laissé prendre par la séduction ?!

Nous nous attendons à ce qu’il y ait beaucoup de résistance, même au sein des églises dites fondamentalistes, spécialement quand elles verront l’Évolutionnisme s’effriter avec l’héliocentrisme et, en fin de compte, tout le système global humaniste qui, non seulement contrôle l’establishment scientifique, mais aussi l’éducation, les gouvernements, les loisirs, nommez-les… Elles en verront toute la destruction potentielle et même la destruction de leur propre dénomination, car, si une vague de fond de Vérité biblique déferle — ce que la dénonciation de la séduction héliocentrique va déclencher — chaque doctrine de chaque église devra être mesurée à la loupe de la Vérité scripturale qui sera enfin mise de l’avant clairement et indubitablement. Beaucoup de gens dans les églises résisteront à tout ce genre de mouvement et avec tous les moyens qui sont à leur portée ! Surtout dans la hiérarchie du pouvoir ! Car pour elle, ce sera la perte de ce pouvoir !

Cependant, beaucoup de gens dans les églises sont « des appelés, des élus et des fidèles » (Apocalypse 17:14). Ils aiment la Vérité et haïssent la séduction ! Ils aiment la Bible et veulent la voir triompher sur tous les sujets ! Ils se réjouiront à la perspective de voir la Parole de Dieu victorieuse sur les mensonges de Satan à propos de la Terre qui tourne et de l’homme en tant qu’animal évolué. Quand ils verront (et beaucoup sont prêts à voir !) que l’effondrement de ces deux séductions sataniques signifie qu’on lève le rideau sur le Système du Nouvel Ordre Mondial anti-biblique, humaniste et nouvel-âge et qui n’est qu’une contrefaçon de Satan du Plan des Temps de la Fin de Dieu, alors ils se joindront au combat en poussant des cris de joie et des alléluias ! Regardez-les bien lorsqu’ils prendront conscience que Dieu emballe ce vieux monde contrôlé par Satan, le jugera et détruira toutes les œuvres du Diable et que le Royaume ne sera qu’à un pas !

Un pas difficile à franchir, d’après ce qu’on peu lire dans la Bible, c’est vrai. Mais il y a deux côtés à cette médaille. L’endos sera rude, il n’y a pas de doute. Mais, comme il fut du temps des plaies répandues sur Pharaon et les Égyptiens, à l’époque de l’Ancien Testament lorsque Dieu protégea Son peuple, Il en fera de même avec son peuple des Temps de la Fin quant aux plaies qui ne frapperont que ceux dont le nom ne sera pas inscrit dans le Livre de Vie.

« Et il leur fut dit, qu’elles ne nuisissent point à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’ont point la marque de Dieu sur leurs fronts » (Apocalypse 9:4).

« Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:4).

Donc, l’essentiel, c’est qu’un groupe de gens dans toutes les églises chrétiennes vont bien accueillir et prendre la défense de la dénonciation des séductions de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme, et ils vont espérer que cela signifie que la Fin est proche, alors qu’un autre groupe, plus grand ou plus petit, Dieu seul le sait, va haïr cette dénonciation et y résister.

C’est ainsi que cela se passa avec « l’église » séduite, lorsque Jésus apporta des vérités qui entrèrent en conflit avec les doctrines et les traditions que la hiérarchie rabbinique avait établies. Et c’est ainsi que ça va se passer avec « l’église » présente, quand l’Esprit-Saint de Vérité (qui rend toujours témoignage de Jésus — Jean 15:26) apportera la Vérité au sujet du copernicisme et de l’évolutionnisme. « Un grand nombre aussi de Sacrificateurs obéissait à la foi » et suivait Jésus, malgré ce qu’en disait leur « église » (Actes 6:7). Et, bien sûr, une multitude du petit peuple Le suivirent également, en dépit de ce que leur disaient leurs leaders religieux. Mais, en grande part, évidemment, les Écritures nous montrent clairement que le Grand Prêtre et la majorité du sacerdoce était ces leaders qui résistaient à la Vérité qu’amenait Jésus et ils étaient ceux qui le firent crucifier.

Ce sera exactement le même scénario, lorsque seront mises de l’avant les Vérités qui vont détruire les séductions de Satan et tout le plan bien établi qui repose sur ces séductions. Ces Vérités signaleront le commencement de la Fin des systèmes de ce monde et le retour de Jésus dans les nuées. Certains s’en réjouiront, d’autres détesteront. Vous pouvez y compter.

Cela ne ressemble-t-il pas à ce que les Écritures nous disent : « …le jugement commence par la maison de Dieu… » (1 Pierre 4:17-18) ? Jésus a « crucifié » verbalement les leaders de l’église de Son époque en beaucoup d’occasions et impitoyablement ! Il leur donna toutes sortes de noms (Matthieu 23:13-39, etc.) et, le plus révélateur, Il leur dit que leur guide spirituel était Satan, pas Dieu (Jean 8:44). Jésus jugea cette « église » durement et souvent, il n’y a pas de doute. Ensuite, comme nous le savons, quelque trente ans après la résurrection de Christ, Pierre émit que l’Église serait jugée avant les Temps de la Fin. Voici mon point. Le jugement va commencer lorsque Dieu, et Dieu seul, mettra de l’avant les deux puissantes Vérités du géocentrisme et du créationnisme. Ces Vérités vont pousser les églises à admettre leurs fautes et à se repentir de leurs erreurs sur l’une (ou les deux !) de ces Vérités scripturales fondamentales. De cette manière, Dieu forcera ces églises, qui se targuent d’être chrétiennes, soit d’accepter Sa Parole comme étant Sa source confirmée de toute Vérité et s’en réjouir, soit refuser d’aimer et de recevoir Sa Vérité à partir de cette source.

Il s’agit donc d’un jugement fondé sur l’obéissance volontaire à la Parole confirmée et prouvée de Dieu. C’est ce que les Écritures mêmes disent. L’obéissance à la Parole est la clé du jugement de Dieu envers les églises lors de la Fin des Temps. Voyez plutôt :

« Car il est temps que le jugement commence par la maison de Dieu ; or s’il commence premièrement par nous [de la maison de Dieu], quelle sera la fin de ceux qui [dans la maison de Dieu] n’obéissent point à l’Evangile de Dieu ? 18Et si le juste [dans la maison de Dieu] est difficilement sauvé, où comparaîtra le méchant et le pécheur [dans la maison de Dieu] ? » (1 Pierre 4:17-18, emphase ajoutée).

Ainsi, l’obéissance à l’Évangile de Dieu EST ce sur quoi la maison de Dieu est jugée ! L’obéissance aux Vérités de Dieu (ainsi que leur perpétuation) telles qu’étalées dans la Parole constitue le travail de l’Église. Et cela veut dire de la première à la dernière page. Souvenez-vous que Jésus est Celui qui a tout créé ! Satan a dérobé au monde et aux églises ces Vérités sur la Création — une Terre immobile et la création en six jours de tout ce qui existe. Le temps est proche où le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois va exposer les séductions de Satan et RÉVÉLER Sa Vérité en la matière. Et Il va séparer ceux qui se repentent et sont obéissants à Sa Parole de ceux qui ne le seront pas.

C’est là où entre dans le portrait l’Épouse de Christ, que nous voyons dans Éphésiens 5:27 : « Afin qu’il se la rendît une Eglise glorieuse, n’ayant ni tache, ni ride, ni autre chose semblable, mais afin qu’elle fût sainte et irrépréhensible » : et dans Apocalypse 21:2, 9 et 27 : « Et moi, Jean, je vis la sainte Cité, la nouvelle Jérusalem, qui descendait du Ciel, de devers Dieu, parée comme une épouse qui s’est ornée pour son mari … 9Alors un des sept Anges qui avaient eu les sept fioles pleines des sept dernières plaies, s’approcha de moi et me parla en disant: Viens et je te montrerai l’Epouse, qui est la femme de l’Agneau … 27Il n’y entrera aucune chose souillée, ni personne qui s’abandonne à l’abomination et au mensonge ; mais seulement ceux qui sont écrits au Livre de vie de l’Agneau. »

De toute évidence, cette Épouse est le symbole de l’Église qui a été purifiée de toutes ses FAUSSES DOCTRINES séductrices. Il est inconcevable que cette Église purifiée qui est « sans tache, ni ride [et] qui a un même avis » (Éphésiens 5:27 ; 2 Corinthiens 13:11 ; 1 Corinthiens 1:10) puisse être le mélange fragmenté des églises qui existent aujourd’hui, dont certaines ont remplacé les Écritures depuis fort longtemps par leurs propres commandements et traditions.

Nombre de prêcheurs disent que Jésus pourrait revenir avant qu’ils n’aient terminé leur sermon, et autres choses du genre. Il m’apparaît qu’il devra arriver un paquet de choses au sein et à l’extérieur des églises avant que Jésus ne revienne. Ces prêcheurs et la fausse eschatologie qu’ils prêchent est justement une des nombreuses fausses doctrines qui empêchent les gens dans toutes les églises d’être « d’un même avis ».

Ainsi, ces fausses doctrines sont des dominos qui sont renversés en exposant d’abord la séduction du copernicisme qui frappe ensuite la séduction du darwinisme qui, à son tour, renverse une autre fausse doctrine qui tombe sur une autre et ainsi de suite. Une fois que la séduction du copernicisme aura commencé à basculer, tenez-vous bien, car ce sera la chute de TOUTES les fausses doctrines !

La Chute de Babylone ! Voilà où mènera le renversement du copernicisme ! Examinons quelques Écritures sur le sujet et voyons ce qu’on y trouve de plus. Que veut dire « Babylone », tout d’abord ? L’ancienne cité était réputée pour ses richesses et son degré de méchanceté. Elle était située dans le même coin que Bagdad aujourd’hui, et Dieu fit en sorte que les enfants de Juda y furent captifs aux environ du sixième siècle avant Jésus-Christ. Il fut prophétisé qu’elle serait totalement détruite et nivelée et que personne n’y vivrait plus, ce qui a été accompli à la lettre, en dépit des récents efforts avortés de Saddam Hussein. Mais alors, à quoi se réfère donc la Bible quand elle parle d’une Babylone qui existera quelque deux millénaires et demi plus tard, et comment chutera-t-elle ?

« Babel » était un vieux mot hébreu qui signifiait « confusion », selon le Dictionnaire biblique Strong (#896). Il veut également dire « mélanger, mêler et être confondu » (#1101). Cela a beaucoup de bon sens parce que, lorsque Dieu mit un frein à la construction de Nemrod de la grande Tour de Babel astrologique, la Parole dit :

« Or ça, descendons, et confondons là leur langage, afin qu’ils n’entendent point le langage l’un de l’autre » (Genèse 11:7).

Les langues furent mélangées et mêlées, et il en résultat la confusion. C’est la signification du mot Babel qui n’est que l’ancien nom de Babylone. Donc, le synonyme de Babylone est « confusion ». Mais il y a des ajouts à cette signification du mot « Babylone » quand utilisé dans le Nouveau Testament. La signification grecque du mot « Babylone » — en plus d’indiquer la confusion — décrit aussi « un type de tyrannie » et résulte en « calamité » (#897-894).

En conséquence, si je rassemble tout ça, je sais que quand le mot « Babylone » est employé dans l’Apocalypse en référence aux Temps de la Fin, on parle du symbole en un mot unique désignant un « type de tyrannie » qui a mélangé et confondu les Vérités de Dieu avec les séductions de Satan qui maintient le monde entier dans la « confusion » et qui le dirige vers la « calamité ». Voilà le tableau.

Donc, quand la Bible parle de la Chute de Babylone, elle dit que Dieu apportera la « calamité » (la ruine) sur le « type de tyrannie » qu’a utilisé Satan pour « confondre » le monde entier. La Chute de Babylone n’a rien à voir avec une quelconque localité de l’Irak où était l’ancienne cité et où les efforts pour reconstruire la cité ne sont que des stratagèmes de fausse propagande utilisés pour garder en vie une eschatologie de contrefaçon. La Chute de Babylone veut plutôt dire la chute de la confusion, la chute des séductions de Satan, la chute de la tyrannie que Satan a exercée sur tout le monde en mélangeant et en mixant ses mensonges avec les Vérités de Dieu et ce, dans tous les domaines de la pensée et de l’activité humaines. La Chute de Babylone est un laps de temps bien défini où seront dénoncées toutes les séductions sataniques, où toute confusion sera levée, où la Parole de Dieu sera démontrée comme seule et unique source et mesure de la VÉRITÉ.

Tout le monde sur cette Terre aura, soit à aimer la Vérité, soit la haïr. Tous vont la savoir. Tous auront à décider de suivre le Dieu de la Bible où se rebeller contre Lui. Cela ne se fera pas tout à la même période de temps. Car chacun sera appelé à connaître la Vérité en son temps, c’est-à-dire, pour faire partie de la Première Résurrection, ou alors de la Deuxième Résurrection qui aura lieu après les mille ans de règne de Jésus-Christ sur Terre (l’ancienne), ou à la Troisième Résurrection qui mène à la seconde mort d’où il n’y a pas de retour à la vie.

Quand Babylone tombera, les séductions de Satan seront mises à nu. Il en est le seul auteur. Il n’y aura pas de milieu. Ce sera l’heure de la décision, celle que personne ne pourra ignorer. Suivre Dieu ou suivre Satan ; ce sera le seul choix. Quand Babylone sera tombée, elle ne se relèvera plus. Un nouveau délai commencera au son de la Première Trompette. À partir de là et pendant les 3½ ans du règne de la Bête, jusqu’à sa destruction et à la perte de Satan, la population mondiale sera divisée en deux catégories : les adorateurs de Dieu et les adorateurs de Satan. La confusion sera tombée, elle sera terminée ; tout le monde verra les plaies sans nombre et tous les autres détails de l’Apocalypse s’accomplir.

Il est donc très nécessaire à Satan de séduire les églises au sujet du déroulement des Temps de la Fin. Spécialement les églises qui professent croire à la Bible ! Par conséquent, l’on y trouve toutes sortes de scénarios des Temps de la Fin bibliquement impossibles et qui poussent les gens des églises à croire à l’une ou l’autre de ces contrefaçons eschatologiques, ce qui a pour conséquence qu’ils n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe réellement ou à quoi s’attendre ! Il n’est pas particulièrement difficile de dénoncer ces séductions eschatologiques et nous entreprenons de le faire en marge de cette série-ci d’articles. Nous savons que c’est la bonne chose à faire parce que la Parole de Dieu dit clairement que le Peuple de Dieu est supposé savoir ce qui va arriver. Le monde ne sait pas et ne peut pas savoir ce qui va vraiment se passer car c’est spirituellement qu’on le discerne. Mais les chrétiens sont supposés le savoir, on présume qu’ils sont dans la lumière…

« … point dans les ténèbres de sorte que ce jour-là vous surprenne comme le larron » (1 Thessaloniciens 5:4).

Ainsi, quel est l’essentiel que nous devons garder en tête en ce qui a trait à la Chute de Babylone en rapport avec la séduction du copernicisme ? La chose principale à comprendre, c’est qu’il s’agit d’une période de temps où la Vérité de Dieu — débutant avec la Vérité de la Création — sera imposée au monde entier, séparant ceux qui aimeront la Vérité de ceux qui la haïront. Nous le voyons illustré dans Apocalypse 14:6-7 où « l’Évangile éternel » est prêché à toute la Terre, autant à ceux qui vont le recevoir que ceux qui vont le rejeter. « Les habitants de la Terre » dans l’Apocalypse se réfèrent toujours à ceux qui ne sont pas convertis (Apocalypse 13:8). Tout le monde va entendre l’Évangile (la Parole, la Vérité)…

« … car l’heure de son [Babylone] jugement est venue… » (Apocalypse 14:7).

Tout le monde aura le message que, si l’on veut suivre le Vrai Dieu, on doit commencer par reconnaître et adorer Jésus, le Dieu Créateur …

« …celui qui a fait le ciel et la terre, la mer et les fontaines des eaux » (Apocalypse 14:7).

Ce sera un temps de jugement sur le système du monde entier qui a été lié par un nœud gordien dans les séductions sataniques. Mais nous voulons ici souligner que le jugement commence par la maison de Dieu où il y a un gros ménage à faire en regard des doctrines qu’on y enseigne. Les Vérités sur la Création se répandront dans le monde, c’est sûr, mais le processus commence par les églises chrétiennes. Elles doivent se purger de toutes leurs fausses doctrines, en débutant par les contrefaçons de Satan à propos de la Création de Dieu, les enseignements de la fausse science sur le copernicisme et le darwinisme. Ensuite, Dieu fera chuter les « doctrines de démons » (1 Timothée 4:1) l’une après l’autre. Dieu le dit en termes indubitables :

« … Sortez de Babylone MON PEUPLE… » (Apocalypse 18:4).

On dirait bien que Son Peuple est également DANS la Babylone, en ce moment ! Qu’est-ce que cela signifie ? Peut-on réellement purger les églises et les purifier de leurs fausses doctrines ? Les membres de leurs hiérarchies permettront-ils que l’on dénonce le pouvoir qu’ils exercent sur le christianisme ? Est-ce que Dieu sous-entend qu’il nous faut réformer les églises ? Ne veut-Il pas dire, plutôt, qu’il faut sortir le peuple de Dieu de dans les églises ?

Si l’on comprend que la Grande Prostituée sera constituée du rassemblement sous une même égide de toutes les croyances religieuses du monde, y compris les églises dites chrétiennes (par le mouvement œcuménique), alors on en arrive à voir ce que Dieu entendait faire comprendre dans la Parole qu’Il a prononcée et transmise au prophète Ézéchiel, dans le chapitre 34 de son livre :

« 2Fils d’homme, prophétise contre les Pasteurs d’Israël [la maison de Dieu]… »

Lorsque le contexte est bien compris, on ne peut y voir qu’une prophétie directe à l’encontre de la hiérarchie ecclésiastique des Temps de la Fin. On y parle des télévangélistes comme des pasteurs, ministres, prêtres, évangélistes et tout ce qui constitue le corpus de la hiérarchie des églises d’hommes, églises où se trouve encore une bonne partie des enfants de Dieu. Mais voyez ce que Dieu a à reprocher à ces pasteurs :

« …malheur aux Pasteurs d’Israël qui ne paissent qu’eux-mêmes ! Les pasteurs ne paissent-ils pas le troupeau ? 3Vous en mangez la graisse, et vous vous habillez de la laine ; vous tuez ce qui est gras, et vous ne paissez point le troupeau ! 4Vous n’avez point fortifié les brebis languissantes, vous n’avez point donné de remède à celle qui était malade, vous n’avez point bandé la plaie de celle qui avait la jambe rompue, vous n’avez point ramené celle qui était chassée, et vous n’avez point cherché celle qui était perdue ; mais vous les avez maîtrisées avec dureté et rigueur. 5Et elles ont été dispersées, par la disette des Pasteurs, et elles ont été exposées à toutes les bêtes des champs, pour en être dévorées, étant dispersées… »

Les membres du Corps de Christ qui fréquentent toujours ces églises du corps des hommes souffrent d’une disette de Vérité qui est entretenue par le système de croyance rigide et sévère des hiérarchies en place depuis des millénaires. Certaines églises ne sont constituées que de fausses doctrines et n’ont rien de chrétien, malgré qu’elles s’affichent comme telles. Elles avalent tous les mensonges que Satan, en lion rugissant, a inséré dans la chrétienté. Elles nourrissent donc leurs ouailles d’une nourriture spirituelle corrompue, puante et nocive, mais les pauvres brebis, ne connaissant encore rien d’autre, doivent s’en contenter pour ne pas mourir de faim.

« Mes brebis ont été errantes par toutes les montagnes, et par tous les coteaux élevés ; mes brebis ont été dispersées sur tout le dessus de la terre ; et il n’y a eu personne qui les recherchât, et il n’y a eu personne qui s’en enquît. 7C’est pourquoi Pasteurs, écoutez la parole de l’Eternel. 8Je suis vivant, dit le Seigneur l’Eternel, si je ne fais justice de ce que mes brebis ont été exposées en proie, et de ce que mes brebis ont été exposées à être dévorées de toutes les bêtes des champs, parce qu’elles n’avaient point de Pasteur ; et de ce que mes Pasteurs n’ont point recherché mes brebis, mais que les Pasteurs se sont nourris simplement eux-mêmes, et n’ont point fait paître mes brebis. 9C’est pourquoi Pasteurs, écoutez la parole de l’Eternel. 10Ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : Voici, j’en veux à ces Pasteurs-là, et je redemanderai mes brebis de leur main, je les ferai cesser de paître les brebis ; et les pasteurs ne se repaîtront plus uniquement eux-mêmes, mais je délivrerai mes brebis de leur bouche, et elles ne seront plus dévorées par eux. 11Car ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : me voici, je redemanderai mes brebis, et je les rechercherai. 12Comme le Pasteur se trouvant parmi son troupeau, recherche ses brebis dispersées ; ainsi je rechercherai mes brebis, et les retirerai de tous les lieux où elles auront été dispersées au jour de la nuée et de l’obscurité. »

Quoique le langage soit imagé, il dépeint exactement ce qui se passe aujourd’hui dans le « christianisme organisé ». Dieu dénonce la furie de convoitise qui étreint la multitude de loups ravisseurs qui se sont érigés en télévangélistes pour enseigner les choses les plus délirantes aux gens ignorants de la Parole de Dieu. Car ils se sont bien gardés d’enseigner la Parole dans toute sa largeur, sa longueur et sa profondeur ! Ils y auraient perdu leur pouvoir de séduction extrêmement lucratif ! Alors, que fera Dieu ? Ils ôtera Ses enfants de leurs mains ! Il les fera sortir des églises ! Car ces églises sont au cœur de la Grande Babylone à Mystères !

« 15Moi-même je paîtrai mes brebis, et les ferai reposer, dit le Seigneur l’Eternel. 16Je chercherai celle qui sera perdue, et je ramènerai celle qui sera chassée, je banderai la plaie de celle qui aura la jambe rompue, et je fortifierai celle qui sera malade ; mais je détruirai la grasse et la forte ; je les paîtrai par raison. 17Mais quant à vous, mes brebis ; ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : voici, je m’en vais mettre à part les brebis, les béliers, et les boucs. »

Dieu va S’occuper Lui-même de Ses enfants en les sortant des églises et en les éduquant Lui-même par Son Esprit. Dieu n’a-t-Il pas dit, dans Jérémie 31:33 : « Car c’est ici l’alliance que je traiterai avec la maison d’Israël après ces jours-là, dit l’Eternel : Je mettrai ma Loi au dedans d’eux, je l’écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple » ? Et que le Saint-Esprit va nous conduire dans toute la Vérité ? « Mais le Consolateur, qui est le Saint-Esprit, que le Père enverra en mon Nom, vous enseignera toutes choses » (Jean 14:26) ; « Mais quand celui-là, savoir l’Esprit de vérité, sera venu, il vous conduira en toute vérité » (Jean 16:13).

Notre Créateur Se chargera de nous sortir des mensonges de Satan et instruira Son peuple dans toute la Vérité. Il est la Vérité ; Il est le Chemin qui y conduit ; Il est l’amour qui y pourvoit !

Ézéchiel 34 : « 18Vous est-ce peu de chose d’être nourries de bonne pâture, que vous fouliez à vos pieds le reste de votre pâture ? et de boire des eaux claires, que vous troubliez le reste avec vos pieds ? 19Mais mes brebis sont nourries de la pâture que vous foulez à vos pieds, et elles boivent ce que vos pieds ont troublé. 20C’est pourquoi le Seigneur l’Eternel leur a dit ainsi : me voici, je mettrai moi-même à part la brebis grasse, et la brebis maigre. 21Parce que vous avez poussé du côté et de l’épaule, et que vous heurtez de vos cornes toutes celles qui sont languissantes, jusqu’à ce que vous les ayez chassées dehors ; 22Je sauverai mon troupeau, tellement qu’il ne sera plus en proie, et je distinguerai entre brebis et brebis. »

Les loups ravisseurs ayant envahi les églises depuis l’ère apostolique ont changé la nourriture spirituelle de Dieu pour du fac-similé sans substance et les enfants de Dieu crèvent de faim. Les fausses doctrines ont été frelatées et insérées dans le credo des différentes confessions. Pour sa part, le « sacerdoce scientifique » ne fut pas en reste et a entraîné le monde entier à croire que la Bible n’avait rien de scientifique et ne pouvait donc pas être fiable en ce qui a trait à l’origine du monde, à son caractère et à son fonctionnement.

« 23Je susciterai sur elles un Pasteur qui les paîtra, savoir mon serviteur David ; il les paîtra, et lui-même sera leur Pasteur. 24Et moi l’Eternel, je serai leur Dieu ; et mon serviteur David sera Prince au milieu d’elles ; moi l’Eternel j’ai parlé. 25Et je traiterai avec elles une alliance de paix ; et je détruirai dans le pays les mauvaises bêtes ; et les brebis habiteront au désert sûrement, et dormiront dans les forêts. 26Et je les comblerai de bénédiction, et tous les environs aussi de mon coteau ; et je ferai tomber la pluie en sa saison ; ce seront des pluies de bénédiction. 27Et les arbres des champs produiront leur fruit, et la terre rapportera son revenu ; et elles seront en leur terre sûrement, et sauront que je suis l’Eternel, quand j’aurai rompu les bois de leur joug, et que je les aurai délivrées de la main de ceux qui se les asservissaient. 28Et elles ne seront plus en proie aux nations, et les bêtes de la terre ne les dévoreront plus ; mais elles habiteront sûrement, et il n’y aura personne qui les épouvante. 29Je leur susciterai une plante célèbre ; elles ne mourront plus de faim sur la terre, et elles ne porteront plus l’opprobre des nations. 30Et ils sauront que moi l’Eternel leur Dieu suis avec eux, et qu’eux, la maison d’Israël, sont mon peuple, dit le Seigneur l’Eternel. 31Or vous êtes mes brebis, vous hommes, les brebis de mon pâturage, et je suis votre Dieu, dit le Seigneur l’Eternel. »

L’accomplissement de cette prophétie est pour très bientôt. Lors du retour de Jésus-Christ en tant que Roi des rois et Seigneur des Seigneurs, la Vérité sera mise de l’avant dans tous les domaines et Dieu Lui-même guérira les plaies spirituelles occasionnées par la confusion de doctrines étranges et fausses qui parsèment le parterre des églises du monde. Mais ce grand ménage commencera avant même que notre Seigneur arrive, car, pendant les 3½ ans de règne de la Bête, ceux qui sont appelés les 144 000 auront à enseigner et à dénoncer ! Ils feront face aux Antichrists et aux Faux Prophètes et exposeront leurs supercheries. Ils faut donc que l’Esprit les éduque dès maintenant. Et cet exposé sur la Terre qui ne tourne pas en est le début.

Les églises de ce monde sont tellement criblées de séductions que l’on doit en purifier les membres qui ont à cœur la Vérité de Dieu. Le monde ne suit pas la Parole de Dieu, mais il apprendra ses erreurs. Les églises chrétiennes qui sont supposées maintenir les enfants de Dieu séparés des voies du monde, gardés au sein du Royaume de Dieu et enseignés dans la Parole sont devenues tellement séduites qu’elle font partie de la grande Babylone ! C’est pourquoi Dieu doit dire à chacun des chrétiens, individuellement, par quelque inspiration, de « sortir du milieu d’elle[s] » et de leurs séductions et cesser de suivre de fausses doctrines quand il peut avoir une meilleure connaissance, ou il aura à souffrir des mêmes plaies qui tomberont sur tous ceux qui refuseront d’obéir à Sa Parole quand ils entendront la Vérité.

Or, peu après que le monde entier aura entendu l’Évangile de Vérité, Dieu annoncera que « Babylone est tombée ! » (Apocalypse 14:6-8). Puis, les plaies de la Colère de Dieu se répandront pendant un court laps de temps et le Roi des rois, Jésus-Christ, installera Son règne qui ne sera jamais détruit (Daniel 2:44).

Donc la période de jugement qui commence par la Maison de Dieu, alors que la Vérité se répand dans le monde entier et le divise entre ceux qui adoreront le Dieu de la Création biblique (lequel ils sauront qu’il s’agit de Jésus-Christ, la Parole) et ceux qui refuseront d’adorer Jésus-Christ, est la période où la Babylone moderne chutera. Évidemment, la « Chute de Babylone » englobe bien plus que la dénonciation des mensonges sataniques du copernicisme et du darwinisme. Nous devons le souligner.

Nous mettons donc l’emphase sur le fait que tout l’Évangile sera mis de l’avant ! Toute la Vérité sera inspirée surnaturellement et sera imposée à tout le monde pour que tous entendent les Vérités divines, qu’on le veuille ou non. « Et cet Evangile du Royaume sera prêché dans toute la terre habitable, pour servir de témoignage à toutes les nations, et alors viendra la fin, » a dit Jésus, dans Matthieu 24:14. Cet évangélisation, la dernière grande avant le retour de Christ, aura pour effet de réveiller les ouvriers de la dernière heure, les martyrs de la grande tribulation, le reste des compagnons de service qui doivent être mis à mort (Apocalypse 6:11). Qui sont-ils ? « Ce sont ceux qui sont venus de la grande tribulation, et qui ont lavé et blanchi leurs longues robes dans le sang de l’Agneau » (Apocalypse 7:14).

Mais cette évangélisation sera effectuée par qui, tout d’abord ? Dans Apocalypse 7, nous voyons qu’il s’agit des 144 000 serviteurs de Dieu qui évangéliseront pendant les 3½ ans du règne de la Bête, ainsi que les deux Témoins fidèles (Apocalypse 11). (Pour une bonne compréhension de ces symboles, référez-vous à notre message D.011 Les Saints Martyrs et les 144 000 et D.015 Les deux témoins.)

La période de la Fin des Temps ne sera pas un pique-nique du dimanche ! Loin de là ! C’est l’époque où Dieu fera connaître Ses Vérités et un avant-goût de la Colère de Dieu contre tous les mensonges qui ont pris les systèmes du monde au piège. C’est le moment où les œuvres du Diable seront détruites. Toute les séductions de Satan tomberont durant la Chute de Babylone. Non seulement les séductions religieuses seront-elles dénoncées et anéanties, mais également les grandes conspirations se faisant passer pour des organisations bénéfiques sur le plan économique, politique, social ou religieux. La Bible dit qu’elles seront désolées (Apocalypse 18:19).

En l’an 51 apr. J.-C., l’apôtre Paul a prophétisé que Jésus ne reviendrait pas avant que « la révolte ne soit arrivée auparavant, et que l’homme de péché, le fils de perdition, ne soit révélé » (2 Thessaloniciens 2:3). Beaucoup enseignent qu’il s’agit d’une espèce de révolte contre l’Église et que c’est une mauvaise chose. Si l’on comprend que le Corps de Christ n’est pas une constitution corporative officiellement établie, avec siège social et tout le bataclan, comme les églises des hommes, mais qu’il est formé d’enfants de Dieu qu’Il est le seul à connaître dans leur totalité, l’affirmation précédente n’a pas beaucoup de sens. Toutefois, nous pouvons avancer, sans risque de nous tromper et en nous basant sur la connaissance que nous avons apprise dans cette série d’articles, qu’il y aura une révolte contre toutes les églises institutionnalisées et se faisant passer pour chrétiennes, lorsque le copernicisme et le darwinisme seront révélés ! Vous pouvez en être sûr !

Mais ce ne sera que le prélude — le coup d’envoi, si vous préférez — à la Chute de Babylone. Il s’agira du jugement dans la Maison de Dieu qui précédera le jugement sur la foule en dehors des églises chrétiennes. La Chute de Babylone en soi, i.e., le jugement et la division du monde par la Vérité de Dieu (Sa Parole), suit le jugement de l’Église.

Nous pouvons donc dire que le jugement de l’Église, c’est le sort que subiront tous les appelés, aujourd’hui dispersés dans les églises, durant la période de grande tribulation de 3½ ans. À la fin de ces 3½ ans, le retour en gloire de Jésus-Christ sonnera le moment de la Première Résurrection, lors de la fameuse septième Trompette. Et alors, la Colère de Dieu s’abattra sur la Babylone et la détruira en « une heure » ! Ce sera son jugement final inéluctable !

Et cette partie parlant de « l’homme du péché » qui ne sera pas révélé avant que ne vienne la révolte, comment cela entre-t-il dans le décor ? Nous savons que cet « homme du péché » est aussi appelé « le fils de perdition » dans le même verset de 2 Thessaloniciens 2:3. Cette dernière expression ne sert pas seulement à nommer Judas Iscariote (Jean 17:12), mais aussi « la Bête » des chapitres 13 et 17 de l’Apocalypse, car cet « Antichrist » est indubitablement « l’homme du péché » appelé également « le fils de perdition ». Dans 2 Thessaloniciens 2:3 ainsi que dans Apocalypse 13:4, nous voyons que cet individu investi des pleins pouvoirs de Satan possède une position très haute d’autorité dans le monde avant la Chute de Babylone. Nous voyons qu’il est une figure « religieuse » faisant d’extraordinaires déclarations et…

« …qu’on adore, jusqu’à être assis comme Dieu au Temple de Dieu voulant se faire passer pour un Dieu » (2 Thessaloniciens 2:4).

Cette description devrait rétrécir passablement le champ des candidats ! Qui, dans le monde « s’élève contre tout ce qui est nommé Dieu, ou qu’on adore, jusqu’à être assis comme Dieu au Temple de Dieu voulant se faire passer pour un Dieu » ? Vous me répondrez peut-être qu’il pourrait s’agir du pape, mais il y a de très bonnes raisons d’affirmer qu’il ne peut s’agir de la papauté, même si celle-ci jouera sûrement un rôle prédominent pendant le règne de la Bête. D’abord, n’oubliez pas que l’Église catholique est assurément la Grande Prostituée décrite dans Apocalypse 17. La description que l’ange fait à l’apôtre Jean est par trop évidente. Cette église faussement chrétienne aura tout probablement atteint son but d’œcuménisme et commencera à régner en maîtresse sur ses filles (les églises protestantes).

Mais remarquez qu’au chapitre 13, il est question d’une deuxième Bête qui sort de la terre, cette fois. Le contexte nous montre qu’il s’agit du Faux Prophète, le dirigeant de la grande religion unique qui englobera le monde pendant les 3½ ans du règne de la première Bête. Or, voyez ce qui arrive au chapitre 17, des versets 15 à 17 :

« Puis il me dit : Les eaux que tu as vues, et sur lesquelles la prostituée est assise, sont des peuples, des nations et des Langues. 16Mais les dix cornes que tu as vues à la bête, sont ceux qui haïront la prostituée, qui la désoleront, la dépouilleront, et mangeront sa chair, et la brûleront au feu. 17Car Dieu a mis dans leurs cœurs de faire ce qu’il lui plaît, et de former un même dessein, et de donner leur Royaume à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Dieu soient accomplies »

La Grande Prostituée, i.e., l’Église catholique, le Vatican, sera détruite par la Bête et le Faux Prophète ! Comment pourraient-ils détruire l’Église catholique si l’un ou l’autre était le pape ?! Nous devons donc conclure que le dernier Antichrist religieux, le chef de la dernière religion unique, NE SERA PAS CHRÉTIEN ! Au contraire, il fera la guerre aux chrétiens, cherchant par tous les moyens à les détruire parce qu’ils dénoncent ses agissements comme étant inspirés directement de Satan !

La séduction du monde à propos de ces hommes est ancrée si profondément qu’il est écrit que les dirigeants du monde « prendront puissance comme Rois, en même temps avec la bête. 13Ceux-ci ont un même dessein, et ils donneront leur puissance et leur autorité à la bête » (Apocalypse 17:12-13). Dans la version d’Ostervald, il est écrit : « …ils auront la puissance comme rois, avec la bête, pour une heure. »

Cette heure est la dernière étape avant la guerre d’Armageddon, celle qui débutera la Colère de Dieu, alors que Jésus-Christ, posant le pied sur la montagne des Oliviers, « vendangea la vigne de la terre, et il jeta la vendange en la grande cuve de la colère de Dieu » (Apocalypse 14:19).

« Pourquoi y a-t-il du rouge en ton vêtement ? et pourquoi tes habits sont-ils comme les habits de ceux qui foulent au pressoir ? 3J’ai été tout seul à fouler au pressoir, et personne d’entre les peuples n’a été avec moi ; cependant j’ai marché sur eux en ma colère, et je les ai foulés en ma fureur ; et leur sang a rejailli sur mes vêtements, et j’ai souillé tous mes habits. 4Car le jour de la vengeance est dans mon cœur, et l’année en laquelle je dois racheter les miens, est venue » (Ésaïe 63:2-4).

« Et ses pieds se tiendront debout en ce jour-là sur la montagne des Oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté d’orient ; et la montagne des Oliviers sera fendue par le milieu, vers l’Orient et l’Occident, de sorte qu’il y aura une très-grande vallée ; et une moitié de la montagne se retirera vers l’Aquilon, et l’autre moitié vers le Midi. 5Et vous fuirez par cette vallée de montagnes ; car il fera joindre cette vallée de montagnes jusqu’à Atsal ; et vous fuirez comme vous vous enfuites de devant le tremblement de terre, aux jours d’Hozias Roi de Juda ; alors l’Eternel mon Dieu viendra, et tous les saints seront avec toi. 6Et il arrivera qu’en ce jour-là, la lumière précieuse ne sera pas mêlée de ténèbres. 7Mais le jour sera sans mélange, lequel sera connu de l’Eternel : Il n’y aura point une alternative de jour et de nuit, mais au temps du soir il y aura de la lumière … 9Et l’Eternel sera Roi sur toute la terre ; en ce jour-là il n’y aura qu’un seul Eternel, et son nom ne sera qu’un … 12Or ce sera ici la plaie de laquelle l’Eternel frappera tous les peuples qui auront fait la guerre contre Jérusalem ; il fera que la chair de chacun se fondra, eux étant sur leurs pieds ; et leurs yeux se fondront dans leurs orbites, et leurs langues se fondront dans leur bouche » (Zacharie 14:4-7, 9, 12).

La bataille d’Armageddon arrivera en clôture de la Chute de Babylone, cette Babylone qui aura régné « une heure », ce qui, en langage biblique, est l’équivalent d’un très court laps de temps, que nous croyons être le règne de 3½ ans de la Bête. Il s’agit clairement d’une période où la stratégie de Satan pour détruire la Bible obtient sa dernière opportunité par la tentative de mettre en place un Nouvel Ordre Mondial, un Nouvel Âge, un système utopique pseudo-religieux. On ne ridiculise pas Dieu, ni les Siens qui sont « appelés, élus et fidèles » à Sa Parole (Apocalypse 17:14). C’est pendant cette « heure » que la question du copernicisme et de l’évolutionnisme produiront un impact sur le monde, préparant les églises chrétiennes pour le jugement et apprêtant la table pour l’effondrement de toutes les séductions de Satan dans la Chute de Babylone qui prendra également « une heure » suivant immédiatement la grande évangélisation des 144 000 et des deux Témoins. Aucun doute que les disciples de Jésus remporteront cette bataille, car elle culminera par la Première Résurrection, au moment du retour de Jésus en gloire !

Voilà donc la signification de ce qui est écrit à ce sujet. Il ne faudra qu’une légère incitation du Saint-Esprit pour rendre clair le sens de la Parole où il est dit que Dieu Lui-même tournera ceux qui auront supporté la Bête contre la Grande Prostituée, la Babylone à Mystères, pour la désoler et l’anéantir (Apocalypse 17:16-17). Cela se fera durant le règne de l’Antichrist politique et par l’Antichrist religieux (le Faux Prophète). La Bête passera pour un grand héros, aux yeux de « ceux qui habitent la terre » et qui l’adoreront parce qu’ils haïssent la Parole de Dieu et ne suivront pas Son Auteur ! Mais c’est le héros de la désobéissance, le héros sorti des cendres de l’Empire romain/babylonien (Apocalypse 13:4, 8).

L’effondrement des séductions copernicistes et darwinistes, les deux premiers dominos à tomber, sera suivi de l’effondrement graduel des autres mythes, en grande partie eschatologiques et doctrinaux, répandus dans les églises et dans le monde séculier. À mesure que les séductions vont être exposées, ceux qui veulent suivre le Seigneur seront forcés de reconsidérer sérieusement toutes leurs doctrines et leurs traditions à la lumière de la seule Parole de Dieu qui ne peut souffrir aucun enseignement contradictoire et confus et ce, sur aucun sujet donné.

Ayant constaté que la puissance de la séduction peut être si forte que le monde entier en est venu à croire et à enseigner le mensonge d’une Terre qui tourne, et que pratiquement tout le monde a cru et enseigné le mensonge de l’évolutionnisme, qui donc, dans les églises ou en dehors, peut être assez audacieux pour avancer que ses doctrines et ses croyances sont absolument pures de toute séduction ? Quelques doctrines, très rares dans les églises, sont pures de séduction. D’autres sont un mélange de Vérité et de séduction. D’autres encore ne sont que pure séduction. Malheureusement, ces dernières semblent foisonner dans les « églises chrétiennes » institutionnalisées des hommes. Ceux qui ont accepté, ou accepteront Jésus (la Vérité — Jean 14:6), seront scellés en tant que Peuple de Dieu et seront protégés des plaies qui tomberont sur les « habitants de la Terre » (Apocalypse 3:10 ; 7:3-4 ; 9:4 ; 18:4). Mais les rebelles seront conduits à servir le Diable et prendront le risque de partager sa condamnation (2 Thessaloniciens 2:12).

Bref, le monde d’aujourd’hui est sur le point d’assister à un geste de Dieu qui prouvera Sa Parole et divisera toute la population en deux camps. L’un d’eux va recevoir la Vérité de Sa Parole sur toutes les questions avec amour et joie. L’autre camp préférera les mensonges à la Vérité et choisira volontairement de suivre son vrai père, le père du mensonge, Satan lui-même (2 Thessaloniciens 2:10, 12 ; Jean 8:44).

Dieu a dit qu’Il soutient la Terre au-dessus de rien et qu’elle ne peut être ébranlée, elle ne peut bouger. L’homme, dans toute sa « sagesse », qui n’est basée sur rien d’autre que les séductions de Satan destinées à l’éloigner de la Bible, a déclaré que la Terre tourne et que Dieu est menteur. Comme ce fut le cas dès le Jardin d’Éden, c’est Satan qui a menti, pas Dieu. Chaque heure et chaque jour de l’histoire de l’humanité fut, dès le tout début, ordonné et régularisé par Dieu. Il sait toutes choses. Il savait en quoi se transformerait le début et Il sait quelle sera la Fin. S’il n’y avait pas eu de séducteur et de séduction, Adam et Ève n’auraient pas été tentés, il n’y aurait pas eu de chute de l’homme et aucun besoin que Jésus vienne racheter l’humanité. Dieu connaît le commencement et la fin. Il y a longtemps, il fut donné à Jésus…

« …toute puissance … dans le ciel et sur la terre… [et Il] est à la droite de Dieu, étant allé au Ciel ; et auquel sont assujettis les Anges, et les dominations, et les puissances » (Matthieu 28:18 ; 1 Pierre 3:22).

Tout ce qui conduit à la Fin de ce monde chargé de séductions et au Commencement du Royaume de Dieu sur Terre suit à 100 % la piste du Plan de Dieu qu’Il a établi avant même que le monde fut créé (Actes 15:18). Satan ne peut pas changer les Plans de Dieu ! Il sert d’instrument dans ce Plan, car « il a été meurtrier dès le commencement, et il n’a point persévéré dans la vérité, car la vérité n’est point en lui » (Jean 8:44). Sa fin était connue avant qu’il ne fut créé, car, bien que créé parfait, il a été le premier à pécher (Ésaïe 14:15-16 ; Ézéchiel 28:12-18 ; Apocalypse 4:11). L’homme non plus ne peut changer les Plans de Dieu ! Lui aussi est une créature (Genèse 1:27). Personne ne peut changer les Plans de Dieu. Ils sont parfaits, après tout, et n’ont pas besoin d’être changés !

Et, merci à Lui, Dieu a étalé tout Son Plan parfait, du début à la fin, dans Sa Parole de Vérité. Le rideau est à la veille de se lever sur les dernières scènes de l’Acte des Temps de la Fin de ce Drame de 6 000 ans. Les acteurs sont en place, les establishments économico-politico-scientifico-religieux sont en place. La table est mise.

Lorsque commencera le défi au copernicisme, regardez attentivement, et vous verrez le rideau se lever.

POST-SCRIPTUM

La porte est ouverte. La balle est en jeu. Amateurs comme professionnels, vous qui craignez Dieu plus que les hommes, vous pouvez trouver encore d’autres preuves abondantes que la Terre ne tourne pas et que les chrétiens de la Bible ont raison, même si le monde entier est persuadé que la Parole a tort.

Il y aura d’autres sujets de recherches avec promesse qu’ils fourniront de solides indices que la Terre est immobile au centre de l’univers : l’occultation des étoiles par la lune, le mystère des phases lunaires diurnes, des photographies télescopiques inversées des éclipses, contradiction grossière entre l’albédo réelle de la Terre et celle prédite sur la surface de la lune, l’absence de clair de Terre sur la nouvelle lune, l’orbite lunaire quotidienne autour de la Terre associée aux faits sidéraux égale ??, le Collier de Bailey ne révèle pas de renflement équatorial, les cadrans solaires, le magnétisme, les traînées de comète, etc.

Il y aurait assez de matière sur ces sujets et bien d’autres pour nous garder occupés de 5 à 10 ans, produire un document de 4 000 pages et devenir candidats pour avoir un chien d’aveugle. Il y a une tonne d’information à notre portée, attendant qu’on la tire de la poigne chancelante de la vieille mentalité héliocentrique de plus de 400 ans. Ce matériel peut être scruté sans relâche jusqu’à ce que les défauts, outre ceux signalés dans cette série d’articles, puissent être découverts. Tous ces vices mis ensemble pourront alors être grossis à un tel point de précision et de clarté que personne à nulle part ne pourra nier le message qu’ils nous envoient.

Ce message dit que nous nous sommes tous faits avoir par un mythe monstrueux, appelé vérité, qui renie la Bible.

Bientôt, les rôles seront renversés. La Parole de Dieu constitue la Vérité sur ce sujet comme sur tous les autres. On ne peut échapper à cette réalité. Le temps de marcher avec la Parole de Dieu ou contre elle arrivera quand le copernicisme crèvera et débordera sur le mythe de l’évolutionnisme.

À bon entendeur, salut !




D.150 – La Terre ne bouge pas – Partie 6

 

SIXIÈME PARTIE

L’éloquent Zodiaque

Tiré du Dictionnaire Larousse, éd. 1988
« LE ZODIAQUE — Où que se tienne le soleil dans le ciel, il cache certaines constellations d’étoiles par sa lumière. Pendant que la Terre tourne autour du soleil durant l’année, le soleil semble se déplacer vers l’est, à contre-courant des constellations en fond de toile. Les planètes et la lune semblent aussi se déplacer graduellement dans le ciel, en passant devant les mêmes constellations. »

Vous savez, il règne une grande confusion en ce qui a trait au Zodiaque. On a dit à tout le monde que l’Astrologie n’est pas scientifique, que ce n’est que de la superstition (ET C’EST VRAI !), mais, en même temps que l’on apprend cela, on apprend aussi que le Zodiaque est essentiel à l’astrologie (c’est également vrai), et si l’on a dans l’idée de rejeter l’astrologie, on rejettera aussi le Zodiaque.

C’est là qu’on commet une grave erreur et elle est directement reliée au fait que la Terre tourne ou ne tourne pas. Établissons d’abord certaines choses et nous verrons ensuite la connexion. Premièrement, la Bible ne condamne pas le Zodiaque. En fait, le Zodiaque est une Bible dans le ciel, lorsqu’utilisé tel que l’a entendu Dieu. Le problème y est le même que quand il est question des autres Vérités de Dieu, c’est-à-dire que Satan a imaginé une contrefaçon du réel et a trompé le monde de telle sorte que, soit que les gens jettent le bébé (le Zodiaque) avec l’eau du bain (l’astrologie), soit qu’ils croient à l’horoscope astrologique frelaté qui n’est qu’un paquet de mensonge d’un bout à l’autre.

Où la Bible parle-t-elle du Zodiaque ? Lisez ceci :

« …Job parle du Zodiaque comme étant la manière dont les étoiles se déplacent dans le ciel (Job 38:32). Et Job parle de Son témoin dans le ciel (Job 16:19). Job 9:9 parle d’Orion, de la Grande Ourse et des Pléiades. Ils sont encore mentionnés dans Job 38:31. Job parle du dragon ou serpent dans le ciel, dans Job 26:13. Ils font tous partie des signes du Zodiaque et, puisque Job dit clairement qu’ils sont la création de Dieu, ils ne peuvent être mauvais. Le premier but de Dieu en faisant les étoiles, dans Genèse 1:14, fut d’en faire des “signes”. »[1]

On se rappellera de cette partie des Écritures. Il y a également le Psaume 50:6 qui dit :

« Les cieux aussi annonceront sa justice : parce que Dieu est le juge… »

Dans Psaume 97:6 :

« Les cieux annoncent sa justice, et tous les peuples voient sa gloire. »

Le mot hébreu traduit par « annoncent » est nagad qui signifie « déclarer… faire ressortir avec assurance… manifester… expliquer… interpréter pleinement… mettre de l’avant… parler avec sûreté… dire… ». Donc, l’auteur que nous avons cité est en terrain sûr lorsqu’il avance :

« Cela signifie que, d’une certaine façon, les cieux déclarent l’Évangile … Ainsi, il est clair que les signes du Zodiaque peuvent être utilisés d’une manière chrétienne, fondée sur la Bible. »[2]

Mais l’astrologie est une toute autre paire de manches…

« L’astrologie prêche que les planètes ont leur propre conscience … L’astrologie, en définitive, enseigne que le système solaire possède une super-conscience qui opère sans Dieu… »[3]

En d’autres termes, l’astrologie enseigne que notre destin, notre sort, sont déterminés par la position du soleil, de la lune, des planètes et des étoiles ; et que ces sphères sont dans différentes parties du Zodiaque avec diverse étoiles en toile de fond durant les mois variés de l’année ; et que ces différentes localités s’appellent des « maisons » et qu’elles portent des noms comme « Bélier, Taureau, Gémeaux, etc. ».

Par exemple : récemment, un de ces magazines de supermarché qu’on appelle « feuilles de chou » exhibait une « Carte des étoiles » sur une pleine page couleur avec un relevé du mois d’août. Tous les douze « signes » étaient présentés de façon élaborée avec des illustrations à l’appui, des dates et des signes astrologiques. Août montrait une tête de lion, les dates allaient du 23 juillet au 22 août et le tout sous-titré du mot LION. En-dessous, il y avait ce message surnaturel :

« De bonnes opportunités de travail peuvent vous arriver. Des problèmes que vous croyiez morts et enterrés reviennent vous hanter. Évitez les arguments à propos de l’argent. Vous serez peut-être forcé de changer ou de remettre des plans pour la fin de semaine. »[4]

On se demande combien de gens croient à ce genre de chose… Or, de récents sondages Gallup démontrèrent que plus de 32 millions d’Américains répondirent « oui » à la question suivante :

« Les planètes dirigent-elles nos vies ? »[5]

La même source…

« …estime que 1 200 journaux quotidiens sur 1 750 tiennent une rubrique astrologique. »[6]

C’est au-delà de 80 % des journaux ! Ça en fait une GROSSE religion ! Mais avant que quelqu’un s’écrie que toute la chose est un parfait non-sens, laissez-moi vous rappeler que c’est un non-sens seulement parce que ça a été tordu et brassé jusqu’à ce que ça devienne une rusée contrefaçon des signes réels que Dieu a mis dans le Zodiaque.

La Bible dit que Dieu a mis certains signes réels dans le ciel pour donner au monde un message venant de Sa part, mais ces signes ont été transformés en horoscope plein d’animaux afin de bloquer le message et accrocher les gens à la contrefaçon. Or, la Bible est remplie d’avertissements contre tout le fourbi horoscopique. D’où confusion.

Allons-y étape par étape. Premièrement : nous avons vu que la Bible enseigne qu’il y a des signes dans le ciel où Dieu les a mis, et que ces signes déclarent Sa justice et Sa gloire. Deuxièmement : tout le fourbi horoscopique est une contrefaçon de Satan des signes réels de Dieu, et des millions de personnes s’accrochent à plus ou moins de degré à cette contrefaçon.

Troisièmement : La Bible condamne tout genre d’horoscope. Comme vous le savez, la Bible enseigne que Dieu a détruit la Tour de Babel. Eh bien, cette tour était…

« …une ziggourat ou tour astrologique sur le toit de laquelle des prêtres pouvaient diriger l’observation et l’adoration du soleil, de la lune et des planètes. »[7]

Voilà à quoi servait la Tour de Babel ! Et il y a de nombreux endroits dans l’Ancien Testament qui montrent que…

« …le culte astrologique rivalisait avec le culte à YHWH (Jéhovah) dans le cœur du peuple. [En fait :] …la condamnation finale d’Israël fut reliée directement à la participation du peuple au culte astrologique des planètes. »[8]

Nous voyons, dans 1 Rois 12:26-29, que l’on donna à deux veaux d’or le titre de dieux. Nous pouvons voir qu’Israël…

« …s’inclina devant toute l’armée des étoiles. »[9]

Nous voyons qu’un des rois de Juda érigea des images au bœuf Taurus et au bélier Aries, dans 2 Chroniques 11:15 et Lévitique 17:7, ces dieux n’étant rien d’autres que des démons. Dans 2 Rois 23:4-7, on parle de ceux qui…

« …brûlaient de l’encens à Baal, au soleil, à la lune, aux constellations et à toute l’armée des cieux. »[10]

En outre, le culte à « Remphan » (la planète Saturne) est condamné dans le Nouveau Testament : « Mais vous avez porté le tabernacle de Moloc, et l’étoile de votre dieu Remphan ; qui sont des figures que vous avez faites pour les adorer ; c’est pourquoi je vous transporterai au-delà de Babylone » (Actes 7:43). Actes 19:23-41 traite d’une énorme émeute soulevée contre l’apôtre Paul par les adorateurs de la déesse lunaire Diane. Nous pourrions montrer pendant des heures où la Bible condamne le culte aux étoiles, à Vénus, au soleil, à la lune, etc.. On ne peut avoir aucun doute à ce sujet.

Pourtant, la Bible enseigne aussi en même temps qu’il y a un message dans le ciel pour l’humanité et que Dieu l’y a mis pour Se déclarer Lui-même au monde et qu’il soit employé comme signe. En fait, nous pouvons davantage apprécier le message de Dieu dans le ciel une fois que nous réalisons que ce message n’est ni plus ni moins que l’Évangile dans les étoiles. Un merveilleux livre portant ce titre fut écrit par un astronome danois, nommé Seiss, il y a quelque cent ans et, je vais vous dire, on ne peut lire ce livre sans constater que l’Évangile est écrit dans les étoiles !

Il y a donc réellement un grand message pour les gens dans le Zodiaque, en plus de certains signes utiles et pratiques. Disons que cela clôt notre quatrièmement.

Cinquièmement : la chose suivante qu’une personne doit comprendre concernant cette religion horoscopique séductrice et contrefaite est franchement retorse, mais, l’un dans l’autre, ce n’est pas si difficile à comprendre… Je parle de la connexion copernicienne, bien entendu.

En réalité, il s’agit, en quelque sorte, d’une affaire passablement bancale et à double tranchant ayant débuté avec le fait que le fourbi horoscopique fut entièrement fondé sur la croyance que la Terre est immobile au centre de l’univers et que tout le reste tourne autour. Mais c’est ce qu’enseigne la Bible, me direz-vous ! C’est parfaitement exact. Et c’est en partie ce qui rend l’affaire un peu ardue… Pensez-y. À cause de Copernic, de Kepler, de Newton, d’Einstein, etc., le monde entier ne crut plus que la Terre est immobile au centre de l’univers avec tout le reste qui tourne autour, n’est-ce pas ?

Or, voici : la « science » moderne peut dire — et tous les gens éduqués sont d’accord — que le fourbi horoscopique n’est qu’un superstitieux non-sens parce qu’il était (et est encore en grande partie) basé sur une Terre immobile. Mais, puisque tout le bataclan horoscopique est mauvais, cela n’a-t-il pas un bon effet sur le copernicisme ? Mes amis, lorsque quelque chose de mauvais produit un bon effet, il serait sage de fouiller les broussailles pour voir si Satan n’y aurait pas manigancé un de ses trucs…

Rappelez-vous que nous avons établi que :

—    « …les signes du Zodiaque peuvent être utilisés d’une manière chrétienne, fondée sur la Bible »[11] ;

—    le bazar horoscopique n’est qu’une distorsion des vrais messages et des signes du Zodiaque de Dieu ;

—    l’ancien système de lecture des étoiles antérieur à Copernic était basé sur une Terre immobile.

Mais jadis, avant les distorsions, il y avait un système de messages et de signes dans le ciel qui provenait de Dieu, précédant et corroborant la Bible. Vous me voyez venir ? Une Terre immobile et le véritable message du Zodiaque céleste sont reliés ensemble de manière inséparable. Nous ne pouvons lire le vrai message à moins que la Terre ne bouge pas !

Cependant, n’oublions pas que l’ancien mauvais système de l’horoscope était également fondé sur une Terre immobile. Nous pouvons dire que le mauvais fourbi horoscopique constitue encore une grosse affaire, de nos jours, même si personne ne croit plus que la Terre est immobile. Ne voyons-nous pas que ce système particulier de mensonges est une affaire lucrative, peu importe que la Terre tourne ou pas ? Il semblerait, en effet, mais, en toute équité envers les faits, nous devons souligner que la plus grande partie du bataclan horoscopique est encore fondée sur une Terre qui ne bouge pas !

Mais, parce que l’ancien système horoscopique était abominable et mauvais, cela ne veut pas dire que l’idée d’une Terre immobile était mauvaise ! Car, voyez-vous, le dessein surnaturel caché derrière l’ancien système d’horoscope était d’embrouiller et d’étouffer le message de Dieu écrit dans les cieux, lequel était aussi fondé sur une Terre fixe ! Il m’apparaît donc que la véritable lutte se fait entre le vrai et le faux messages du Zodiaque, à savoir, si la Terre tourne ou pas.

Nous voyons donc que cette affaire d’horoscope est à la fois fausse et anti-biblique. Mais nous constatons également que le Zodiaque en lui-même est un phénomène réel et ne doit pas être rejeté parce que les horoscopes basés sur lui sont à rejeter. Arrêtons-nous ici pour développer une meilleure compréhension de ce qu’est réellement le Zodiaque. Notons l’explication que voici tirée d’un article du Science Digest :

« …Le Zodiaque est une mince ceinture d’étoiles fixes d’un bout à l’autre du ciel et au-travers duquel nous voyons sillonner le soleil, la lune et les planètes … Ces corps célestes traversent toujours les cieux à l’intérieur des limites du Zodiaque. »[12] (emphase ajoutée)

Et nous pouvons lire ailleurs que la ceinture du Zodiaque est d’un largeur de 18 degrés ou un dixième d’une parfaite hémisphère d’un horizon à l’autre. Donc, le soleil, la lune et les cinq « étoiles vagabondes », i.e., les planètes Mercure, Vénus, Mars, Saturne et Jupiter, se déplacent à l’intérieur de la ceinture zodiacale et n’en sortent pas. Au deuxième siècle, les Grecs…

« …organisèrent mathématiquement le zodiaque en calculant ses douze segments, ou signes, en arcs de 30 degrés chacun. Les douze arcs correspondaient à 12 constellations. Puisque la plupart furent représentés par des animaux, les Grecs appelèrent la zone zodiacus kikles, “cercle des animaux”. »[13]

C’est de là que nous provient le Lion, le Taureau, le Poisson et le reste. Mais le problème, c’est que ce Zodiaque, que l’on vint à nommer « Zodiaque de Ptolémée »…

« …est, en réalité, basé sur des constellations qui ne sont que des illusions d’optique. Un regard au travers d’un télescope nous démontre que des constellations comme celle du Lion, ou du Poisson, ou encore du Sagittaire, n’existent pas en réalité. »[14]

Alors, quand des lignes sont tracées d’une étoile à l’autre pour former un lion, ou un taureau, ou un poisson, ce n’est que pure imagination ! Et qui plus est, les signes imaginés, desquels les astrologues tirent leur lecture des horoscopes, sont en dehors de la plaque par une signe entier ! Cavendish explique :

« Le 21 mars de chaque année, les astrologues disent que le soleil est dans le Bélier. En réalité, le soleil n’est pas dans la constellation du Bélier … mais dans la constellation du Poisson. De nos jours, lorsqu’un astrologue dit que le soleil est dans tel signe du Zodiaque, il est en réalité dans le signe précédent. »[15]

Voilà qui semble défaire le dernier nœud de l’ancienne rigolade horoscopique, non ? C’est déjà se tromper assez que de croire et suivre vraiment des instructions quotidiennes inventées sur votre vie en se fondant sur votre date de naissance et l’emplacement des planètes, du soleil et de la lune, alors, quelle poisse ça peut être que de compter sur un tel guide et de tels conseils pour vous apercevoir que les instructions que l’on donne au sujet de votre vie appartiennent, en réalité, à des gens qui sont nés sous le signe qui vous précède !

Ce n’est pas pour rien que Dieu posa comme premier commandement : « Tu n’auras point d’autres dieux devant ma face » ! Dans son livre, L’horoscope et les chrétiens, Morley conclut justement :

« L’astrologie a toujours été, et est encore, une branche de la magie noire … [Par conséquent], il n’y a aucune place à l’astrologie dans la vie d’un chrétien. »[16]

Donc, encore une fois, ce sont les constellations du « cercle des animaux » et les horoscopes astrologiques basés sur eux qui s’avèrent totalement imaginaires et farfelus. Le Zodiaque, lui, est réel. Le soleil, la lune et les « étoiles vagabondes » se déplacent de façon parfaitement précise et variée à l’intérieur de ses étroites limites. De plus, les mouvements et les positions ont une double fonction ordonnée par Dieu, c’est-à-dire…

« Les cieux racontent la gloire du Dieu Fort, et l’étendue donne à connaître l’ouvrage de ses mains [et] … servent de signes pour les saisons, et pour les jours, et pour les années » (Psaume 19:1 ; Genèse 1:14).

Maintenant, veuillez noter comment tout cela se rapporte à la question de la Terre-qui-tourne : les astrologues (comme les théologiens chrétiens) ont essayé de marcher selon deux croyances mutuellement exclusives à savoir si la Terre tourne ou non. Jadis, quand tout le monde croyait que la Terre ne tourne pas, les astrologues acceptèrent ce concept et s’arrangèrent pour fonder leurs horoscopes magiques sataniquement inspirés sur les événements de la ceinture du Zodiaque.

Mais l’Église chrétienne du Nouveau Testament s’opposa à tout le fourbi horoscopique dès le début. Or, cela changea au fil des siècles. Durant les 16e et 17e siècles, alors que surgissait le copernicisme, un paquet de gens des églises catholiques et protestantes tâtèrent de l’horoscope. Par exemple, Kepler lui-même dressa des horoscopes pour la royauté. Et nous lisons des choses comme ce qui suit, concernant cette période :

« L’astrologue Galilée dressa, en 1609, un horoscope pour le Duc de Toscane qui indiquait que le Duc allait jouir d’une longue vie. Le Duc décéda deux semaines plus tard. »[17]

Néanmoins, la pratique visant à dresser ou à tenir compte des horoscopes ne fut jamais compatible avec les enseignements de la Bible. Donc, l’Église chrétienne, fondée sur les Écritures — qui professaient une Terre immobile — enseignait également que les activités reliées aux horoscopes étaient mauvaises. Mais voyez ce qui arriva : après Copernic, les églises commencèrent, lentement mais sûrement, à abandonner l’enseignement d’une Terre immobile… ce qui envoya une grosse torpille s’écraser contre la Bible, faisant éclater la moitié de son hélice et plier sérieusement la colonne de direction. Elle ne coula pas (elle ne peut pas être coulée !), mais elle subit de sérieux dommages. Elle prit l’eau, façon de parler, et donna de la bande.

En fait, aux yeux des églises et du christianisme, la Bible ne fut plus considérée comme l’illustration parfaite de la puissance de Dieu. Elle fut plutôt assommée, titubante et même estropiée au point où la confiance en son pouvoir triomphant commença à vaciller et à s’éroder au point que les requins s’assemblèrent autour, les dents longues.

Et, durant ce temps, Satan préparait sa « torpille de l’évolution » qui visait à frapper en plein centre de la coque la Bible estropiée ! Maintenant, remarquez ce qui arriva pendant que tout cela se produisait : non seulement la Bible fut-elle torpillée avec succès par le copernicisme, mais devinez ce qui le fut avec elle…

Tout le bataclan horoscopique ! Parce qu’il était aussi basé sur une Terre immobile ! Mais regardez attentivement et vous verrez un parfait exemple de la manière par laquelle s’y prend Satan en utilisant une double séduction pour arriver à ses fins. Peut-être cela ne vous apparaît-il pas très clair et que vous auriez tendance à croire que Satan s’est plutôt coupé le cou en tirant le tapis de sous sa puissante séduction des horoscopes lorsqu’il promut sa tricherie copernicienne.

Mais n’oubliez pas que nous avons affaire à M. Le Retors lui-même. Il possède un paquet de trucs, mais un seul et unique but : séduire le monde entier pour qu’il croit que la Bible est fausse, qu’elle contient des erreurs, qu’elle est faillible et, qu’ainsi, on ne puisse s’y fier pour connaître la Vérité au sujet de Jésus, la vie éternelle, sur rien, en fait.

Par conséquent, laquelle des deux séductions pensez-vous que le Diable voulait voir faire le plus de chemin : le copernicisme ou le fourbi horoscopique ?

Le copernicisme, bien sûr ! Il frappait en plein la Bible, comme le reconnurent à l’époque Martin Luther et tous les autres amants de la Bible. En plus, c’était une nouvelle frappe, l’autre ayant eu cours pendant toute l’histoire antérieure. Et elle était puissante. Elle occasionna le genre de dommages des plus difficiles à réparer, parce qu’elle fit quatre choses :

  1. Le copernicisme se déguisa en Vérité ;
  2. Il défia et, selon les apparences, mit K.O. l’autre prétendant à la Vérité, c’est-à-dire, la Bible ;
  3. Il ne tira le tapis sous les pieds du commerce des horoscopes que de manière théorique, parce que ces horoscopes étaient bâtis sur des prémisses géocentriques (et continuent à l’être en grande mesure). Le copernicisme put néanmoins s’accorder le crédit d’être objectif et l’ennemi rationnel des superstitions basées sur le surnaturel. Cette position s’accrut et s’étendit à la quatrième réalisation, la plus mortelle, c’est-à-dire…
  4. Il assimila l’indéfectible foi dans les enseignements de la Bible sur tous sujets à une mentalité superstitieuse, émotive et illogique. En retour, on mit ceci en contraste avec l’approche objective, rationnelle et impartiale d’une personne à l’esprit scientifique.

…un appel à « l’orgueil intellectuel » pur et simple. De la façon la plus astucieuse, le Diable, l’Adversaire, le Dragon, Satan, présenta à l’humanité, par le moyen du copernicisme, le nouveau dieu qu’il avait fondu et pomponné pour ressembler à la vérité avec un grand « V », la nouvelle idole vers laquelle l’homme, dans sa vanité, allait se tourner pour répondre à tous ses besoins, i.e., le remplacement de la Bible en tant que source de vérité, j’ai nommé : la « Science » !

Évidemment, il s’agissait d’une FAUSSE science, pas de la VRAIE science, parce qu’il n’y a pas de vérité en Satan, et aucune ne peut provenir de lui. Tout — la moindre petite chose que Satan veut que le monde croie — est contre la Bible et s’avère une séduction. Absolument tout. Mais, en particulier, cette séduction héliocentrique basée sur une Fausse Science est son plus grand chef-d’œuvre. C’est la perversion suprême de la Vérité dans une longue carrière d’habiles contrefaçons fabriquées surnaturellement face aux Vérités de Dieu.

Nous avons déjà rencontré l’avertissement biblique à propos de la fausse science. 1 Timothée 6:20-21 dit :

« …garde le dépôt ; en fuyant les disputes vaines et profanes, et les contradictions d’une science faussement ainsi nommée. 21De laquelle quelques-uns faisant profession, se sont DÉTOURNÉS de la foi… »

« Fuir » est un terme plutôt fort ! Et nous devons nous rappeler constamment de l’avertissement fondamental de Dieu : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » Cela comprend le dieu de la Fausse Science !

En tous les cas, toute la question revient à se demander qu’est-ce qui est Vérité et qu’est-ce qui est séduction. Car Dieu a dit qu’Il ne peut mentir, alors que Satan ne peut dire la Vérité. Il a dit que Sa Parole est Vérité et que tout ce qui la contredit est mensonge.

Et Sa Parole proclame que la Terre ne tourne pas, donc, si nous croyons que Sa Parole est la Vérité sur tous les sujets, incluant celui-ci, alors la Terre ne bouge pas. Point final.

Mais Satan sait tout cela et son travail consiste à refiler à l’humanité toutes les séductions possibles et imaginables pour amoindrir, affaiblir et même ôter la Bible comme étant la source unique de Vérité sur tous les sujets.

Voilà pourquoi le Diable était prêt à sacrifier la séduction horoscopique afin d’établir la séduction copernicienne. Il savait que, non seulement la séduction coperniciste allait-elle donner un dur coup à la crédibilité de la Bible, mais qu’elle préparerait le terrain à la grande séduction de l’évolutionnisme et, en fin de compte, le couronnement de la « science » comme étant la source de vérité au lieu de la Bible.

En plus, la séduction des horoscopes n’est pas morte. Non seulement est-elle bien vivante, mais elle s’accroît, comme nous pouvons le constater. Les astrologues n’ont eu qu’à changer un peu leurs trucs ici et là et des centaines de millions de gens dans le monde se tournent encore vers ce fouillis pour se guider au lieu de se tourner vers la Bible qui leur dit de ne pas toucher à ça.

Donc, en plus d’aller encore bon train avec sa séduction horoscopique, le Diable obtient tout le millage gratuit possible en se posant comme l’ennemi de sa propre séduction des horoscopes et en devenant le champion de la « science » qui dédaigne pareilles superstitions ! Le fripon a réponse à tout !

Mais il possédait une autre carte dans sa manche concernant la séduction d’une Terre qui tourne… Vous vous souvenez que j’ai mis l’emphase sur le fait que le fouillis horoscopique était du toc, mais que le Zodiaque est bien réel. En voici la raison : le Zodiaque, tout là-haut, est un fait astronomique qu’on ne peut ignorer. Astronomique, pas astrologique. C’est également un fait biblique. Ce qui vient confirmer la Bible quand elle dit que la Terre ne tourne pas ! Regardez bien ceci : la même Bible qui dit que la Terre ne bouge pas met aussi de l’avant un Zodiaque rempli de « signes » que l’homme doit lire, dont il doit bénéficier et qui déclare la gloire de Dieu.

Donc, voici : le Zodiaque et les signes sont des éléments réels que personne, ni même la « science » moderne, ne peut nier et ils fonctionnent parce qu’on les voit à partir d’une Terre fixe !! Ils ne fonctionneraient pas si la Terre tournait sur un axe et orbitait autour du soleil ! Comment le pourraient-ils, en effet ? Si la Terre tournait à environ mille MPH [1 600 km/h] et filait autour du soleil à plus de soixante-six mille MPH [105 600 km/h] et voguait autour de la galaxie à un demi-million de MPH [800 000 km/h], comme le racontent tous les livres, ce serait toute une autre histoire au sein de la ceinture zodiacale que si nous nous tenons immobiles.

Certaines personnes au sein du monde de la « science » argumenteront que tout ce qui se déplace à l’intérieur de la ceinture zodiacale le ferait de la même façon si la Terre tournait sur un axe et orbitait autour du soleil que ce qu’il en est avec une Terre qui ne bouge pas. Mais c’est un non-sens ! Tout le monde qui y réfléchit un instant sait que l’ensemble des mouvements précis des corps célestes au sein de la ceinture zodiacale n’apparaîtraient pas, et ne pourraient pas apparaître, à partir d’une Terre qui tourne à 30 fois la vitesse d’une balle de carabine dans une direction, et 250 fois la vitesse d’une balle de carabine dans une autre direction, de la même manière qu’une Terre qui demeure absolument immobile ! Soyons sérieux ! La chorégraphie réelle qui a lieu à l’intérieur du Zodiaque doit s’accorder soit avec le modèle d’une Terre parfaitement fixe ou le modèle copernicien. Ça ne peut pas être avec les deux !

Et voici l’argument décisif, le truc caché sous un autre truc qui a si ingénieusement été mené à bien dans toute l’affaire : en établissant la « science » comme l’ennemi de l’astrologie, la porte a effectivement été fermée à toute investigation scientifique réelle à propos du fonctionnement du Zodiaque. Une telle recherche révélerait certainement une multitude de faits concernant les occultations d’étoiles et les boucles orbitales inversées, comme celle de Mars (voir Illustration XX), etc., qui ne pourraient pas cadrer dans le modèle copernicien.

Illustration XX – Parcours de Mars près de l’opposition favorable de 1956.

Le dieu/fausse « science » de Satan affirme que les signes d’horoscope sont de pures balivernes, et c’est le cas ! Mais du même souffle, il en ressort comme message qu’il n’y a pas de signes dans le Zodiaque et que quiconque y cherche des signes est tout aussi superstitieux que ceux qui croient aux horoscopes. Ce qui revient à dire que l’establishment scientifique brosse le même tableau des signes de Dieu dans le Zodiaque que pour le fourbi horoscopique… ! Et cette stratégie a très bien marché pendant longtemps — en appelant de l’orgueil intellectuel de l’homme, car, assurément, certains signes que Dieu a mis dans le mouvement complexe des corps célestes, tels que les éclipses que nous avons vues, y sont spécifiquement pour prouver que la Terre est immobile. Néanmoins, le Drame grandiose de Dieu, étalé dans la Bible de A à Z, en est au « Y » et l’on prépare le monde pour l’Acte final et ses dernières Scènes.

À la vitesse où la dénonciation et la destruction des contrefaçons héliocentriques de Satan se produit parmi ceux qui aiment et suivent la Vérité, quel qu’en soit le prix, le Diable joue ses dernières cartes, exactement de la manière que l’avait prédit Dieu. Une fois que le mal s’est trouvé en Lucifer, il s’est transformé en Satan, personnification de tous les maux qu’ont dû vivre les hommes dans toute l’histoire et, donc, le registre de tout ce que ces maux engendrent sera complet dans tous les détails pour ceux qui, sur la Nouvelle Terre éternelle, l’étudieront et l’abhorreront comme Dieu le fait. C’est ce que l’on voit clairement dans les trois derniers versets du dernier chapitre du livre du prophète Ésaïe, passage qui est destiné à jouer un rôle important dans la destruction des puissantes fausses doctrines au sujet des cieux et de l’étang de feu.

« Car comme les nouveaux cieux et la nouvelle terre que je m’en vais faire, seront établis devant moi, dit l’Eternel ; ainsi sera établie votre postérité, et votre nom. 23Et il arrivera que depuis une nouvelle lune jusqu’à l’autre, et d’un Sabbat à l’autre, toute chair viendra se prosterner devant ma face, a dit l’Eternel. 24Et ils sortiront dehors, et verront les corps morts des hommes qui auront péché contre moi ; car leur ver ne mourra point, et leur feu ne sera point éteint ; et ils seront méprisés de tout le monde » (Ésaïe 66:22-24).

Le Zodiaque constitue des signes de Dieu et tous les trucs de Satan n’auront rien changé à ce fait. Comme également ses séductions ne pourront changer le fait que tous les calculs basés sur la lune et les étoiles, et qui ont toujours fonctionné, et fonctionnent encore, sont toujours fondés sur une Terre immobile ! Ils sont fondés sur une Terre immobile parce qu’il doit en être ainsi pour qu’ils marchent. La navigation, les éclipses, les semailles, les récoltes, et le reste… toutes ces choses fonctionnent et sont réelles, et elles sont toutes basées sur une Terre qui ne bouge pas. Prenez, par exemple, la « pleine lune de l’équinoxe d’automne » : voilà un des nombreux phénomènes réels constituant un signe évident que Dieu a mis dans le ciel, non seulement pour aider lors de la moisson d’automne, mais aussi pour démontrer clairement qu’Il est la raison du soin et de l’amour infini qu’Il a disposé dans Sa création.

La pleine lune de l’équinoxe d’automne est un fait réel fort intéressant. Habituellement, la lune apparaît 50 minutes plus tard à chaque période de 24 heures. Toutefois, comme nous pouvons le lire ici :

« …Le retardement de temps varie beaucoup. À l’automne, le lever lunaire peut survenir seulement 22 minutes plus tard à chaque nuit, alors qu’il peut arriver 80 minutes plus tard lors du printemps. »[18]

Une heure de différence ! Très intéressant ! Un signe intégré pour aider les fermiers, de toute évidence ! Et il y en a aussi pour les chasseurs, comme nous le voyons :

« La pleine lune de l’équinoxe d’automne arrive en septembre, en début de saison, quand le soleil est en Balance et la lune en Bélier. La lune des chasseurs est la pleine lune qui suit celle de l’équinoxe d’automne… »[19]

« … quand le soleil est en Balance et la lune en Bélier… » Le soleil et la lune sont à des endroits bien spécifiques dans le Zodiaque lorsque ces choses arrivent. Ce sont purement et simplement des signes de Dieu. Oubliez les stupides noms d’horoscopes et rappelez-vous seulement que ce sont des signes qui fonctionnent pour l’homme tel que le stipule la Bible. Puis, rappelez-vous aussi que la même Bible, dans la même page, dit que la Terre a été créée trois jours avant que ne soit créé le soleil. La Terre ne tournait manifestement pas autour du soleil, parce qu’il n’y avait pas de soleil pour tourner autour les trois premiers jours ! Mais il y avait de la lumière le premier jour ! Il y avait de la lumière avant qu’il n’y ait un soleil et il y avait une Terre fixe, immobile, avant qu’il n’y ait un soleil (ou une lune, ou des étoiles) !

En d’autres termes, le Zodiaque (et les cieux en dehors de cette bande étroite) ne furent pas créés avant le quatrième jour de la semaine de la création, d’après la Bible, pas avant que la lumière ne soit créée, et le système atmosphérique, et que l’eau et la terre ne soient séparés, et que ne soient créés l’herbe et les arbres avec leurs semences reproductrices en eux…

…et ensuite, le soleil, la lune et les étoiles furent créés autour de la Terre, le Centre de la Création de Dieu où devait être aussi créé l’homme, le sixième jour, à l’image de Dieu, Père et Jésus pré-incarné ; cette Terre immobile où ce même Jésus/Dieu naîtrait d’une femme, vaincrait la mort et paverait le chemin à tous les hommes pour qu’ils vainquent aussi la mort et vivent éternellement sur une Nouvelle Terre ; une Nouvelle Terre libre de la présence de Satan et située exactement là où l’ancienne Terre se tient aujourd’hui : au Centre de l’Univers !

On dirait, d’après tout cela, que les étoiles sont plus proches que ce qu’on nous enseigne, n’est-ce pas ? Toutes ces distances calculées en zillions d’années-lumière ne sont pas basés sur des faits ; ce n’est qu’un exemple de plus pour montrer que tout ce qui peut être tordu pour supporter le copernicisme le sera sans coup férir. Comme les parallaxes !

Voici la définition du Larousse : « Parallaxe : Déplacement de la position apparente d’un corps, dû à un changement de position de l’observateur… »

« Déplacement » ? Que dit encore Larousse ? « Déplacer : Changer quelque chose, quelqu’un de place, le mettre ailleurs… » Donc, l’on traite ici d’un fait qui nous dit que, lorsque nous regardons un objet à distance, comme une étoile, à partir d’un lieu ou d’un point, il nous apparaîtra situé à un certain endroit. Mais lorsque nous observons le même objet distant à partir d’un autre lieu ou d’un autre point, il semblera avoir bougé, bien qu’il n’ait pas bougé du tout. Voilà pour ce qui est de la parallaxe.

Maintenant, appliquons cette définition à un exemple concret. Déterminons la distance séparant Alpha du Centaure de la Terre et du soleil et voyons comme la différence peut être grande, même avec cette étoile qui est la plus proche. Notez ceci :

« En regardant l’étoile Alpha du Centaure à partir d’une Terre faisant le tour du soleil, les mesures de parallaxe et la trigonométrie nous assureront que les deux sont distantes de 1,3 parsecs[20] , ou un peu plus de 4,2 années-lumière. Mais si on l’observe à partir d’une Terre dont le soleil fait le tour, la distance ne devient plus que d’un vingt-cinquième de cette somme. Or, les deux valeurs ne peuvent être vraies… »[21] (emphase ajoutée)

Voilà qui est très intéressant… Ce que ça implique, c’est que les étoiles pourraient être beaucoup plus près que ce qu’on nous a endoctrinés à croire ! BEAUCOUP PLUS PRÈS ! Notez encore ceci :

« …dans l’estimation copernicienne, nous observons les étoiles là où elles étaient, il y a quatre années-lumière et plus. Selon la conviction géocentrique, nous regardons le dôme étoilé à la position qu’il avait, il y a près de deux mois. Ou moins si le voyage de la lumière la ralentit ! »[22]

C’est une différence ÉNORME ! De milliers d’années-lumière à la vitesse de 186 282 milles à la seconde [298 051,2 km/s] à deux mois à la même vitesse ! L’étendue des étoiles s’étale sur combien si l’on calcule en se fondant sur une Terre fixe ? Van der Kamp nous le dit :

« …un simple calcul trigonométrique nous donne le rayon du Stellatum, i.e., l’étendue dans laquelle les étoiles ont été placées. Il s’avère que ce rayon est d’environ 58,1 jours-lumière, i.e., un vingtième de parsec. »[23]

Cela fait près de deux trillions de kilomètres, ce qui est un loooong bout de chemin, mais, au moins, c’est un chiffre que l’on peut encore saisir. En tout cas, c’est ce qui contiendrait tout le dôme étoilé, incluant la ceinture zodiacale. Comprendre cela nous aide, car un des plus gros problèmes que l’on puisse avoir à croire à une Terre fixe vient de ce que l’on est incapable de se figurer que les étoiles puissent faire le tour de la Terre à chaque jour si elles sont aussi éloignées que ce que l’on nous a dit. Mais avec le facteur parallaxe dans l’équation… plus de problème.

Cela nous aide, en plus, à comprendre le motif caché derrière cette dissimulation du facteur parallaxe. En outre, une autre chose entre en ligne de compte, ici, et que l’on utilise de façon fort trompeuse, c’est toute cette affaire de vitesse de la lumière et, selon Einstein, de ce qu’elle serait la vitesse la plus élevée possible dans l’univers.

Frère Albert n’était pas très flexible sur cette idée. Comme le déclare sans ménagement Nordenson :

« En regard du fait que l’absolu de la vélocité de la lumière constitue le fondement de l’idée de la Théorie de la Relativité d’Einstein, il serait plus juste de l’appeler Théorie de l’Absolu d’Einstein. »[24]

Donc, dans le fond, la Théorie de la Relativité d’Einstein ne peut exister sans la vitesse absolue de la lumière ! Chose étrange, n’est-ce pas, qu’un chrétien qui prend la Création de Dieu, telle qu’exposée dans la Bible, comme Vérité Absolue, se voit dire par un « scientiste » qu’il ne peut faire ça, car ce n’est pas scientifique. Pourtant, Einstein, et l’establishment scientifique après lui, put déclarer que la vitesse de la lumière était une vérité absolue et que c’est scientifique ! Bizarre… Mais, bien entendu, l’establishment scientifique s’est enfermé dans la Théorie de la Relativité d’Einstein, car elle y voyait un moyen d’échapper pour toujours au spectre de la Terre immobile de la Bible, et ainsi, la Vérité Absolue devient ce qu’on veut ! Lisez ce que dit encore Nordenson :

« …Non seulement la Théorie de la Relativité d’Einstein est-elle une des fantaisies les plus sensationnelles, mais elle est aussi une des incohérences logiques les plus sérieuses de l’histoire de la science. »[25]

Mais n’y avait-il pas quelque chose d’autre « d’incohérent » concernant l’idée d’Einstein de la vitesse absolue de la lumière et que nous avons touché à un autre endroit ? Est-ce qu’on n’y démontrait pas comment toute cette théorisation sauvage faisait partie d’une séduction bien coordonnée pour faire de l’univers un espace si vaste que la Terre ne pouvait en être le centre ?

Tout cela est incohérent, comme l’ont découvert Nordenson et un paquet d’autres dont nous avons déjà parlé. Le concept de la vitesse de la lumière comme constituant la limite de vélocité dans l’univers a affaire avec la détermination de…

« …toutes les mesures de temps, de l’appellation de la mesure du temps et même de la mesure de l’espace… »[26]

En d’autres mots, notre conception moderne des distances et des milliers d’années-lumière est entièrement reliée aux théories d’Einstein sur la lumière. Et il a établi ses propres règles, ses propres définitions des choses (comme nous l’avons vu), tel que la simultanéité des événements, et ses propres mathématiques pour soutenir ses théories. Prenez en considération cette distorsion classique de la raison et vous verrez comme tout l’enseignement moderne au sujet du temps et de la distance dans l’espace n’est, de toute évidence, bâti que sur le sable :

« Un signal lumineux est lancé du point A, à 12h00 [Illustration XXI] ; il est ensuite réfléchi et retourne au point A 10 minutes après 12h00. À quelle heure a-t-il atteint le point B ? Selon Einstein, ce ne peut être déterminé par l’expérience ; nous ne pouvons l’établir que par définition. Nous pouvons, par exemple, l’enregistrer comme étant arrivé à 12h05, mais nous pouvons croire aussi que cela puisse être arrivé à 12h02 ou 12h08 … on peut choisir tout chiffre à l’intérieur de la limite de temps comprise entre 12h00 et 12h10… »[27]

Illustration XXI

C’est de cette manière qu’Einstein contourna les résultats sur le trajet de la lumière que produisit l’expérience Michelson-Morley. Mais la lumière pourrait avoir quitté le point B une seconde après 12h00 et s’accorder encore avec la définition de la théorie. Ou un millième de seconde après le point B ! Et c’est la même « pensée » qui nous donne ces distances spatiales incompréhensibles. Bien que la « pensée » relativiste ait pénétré dans pratiquement tout ce qu’on a fait passer pour de l’enseignement et de l’éducation, dans le dernier siècle, les plus grands fans d’Einstein doivent agréer cette déclaration de Reichenbach :

« Ses suppositions [d’Einstein] ne peuvent se justifier d’une façon purement logique… »[28]

Si quelque chose n’est pas logique, c’est qu’elle doit être illogique, n’est-ce pas ? Ce qui n’est pas logique EST illogique ! Voici ce que veut dire illogique : « déraisonnable, sans raison, irrationnel, insensé, sans substance, invalide, fautif, NON-SCIENTIFIQUE, intenable, auto-contradictoire, qui s’annule lui-même, sans fondement… »

Quels mots merveilleux ! Ils décrivent de belle façon tout ce qui est relié à la vision copernicienne et einsteinienne ! « Déraisonnable, auto-contradictoire, sans fondement, non-scientifique… » J’aime bien !

Or, il y a encore un autre exemple classique d’illogisme que je voudrais amener ici pour nous aider à bien saisir que les distances dans l’espace ont été étirées au-delà de toute compréhension pour une unique raison : rendre impossible à croire que la Terre se tient immobile au centre de l’univers, parce que, si l’univers est aussi infiniment gros que ce qu’on nous dit, il ne peut tourner autour de la Terre chaque jour et seule l’idée copernicienne est possible. C’est le but de la séduction, car, voyez-vous, cela signifie que la Bible est irrémédiablement fausse et ce, pour toujours ; et c’est le dessein réel derrière le but visé.

Laissons encore un peu de côté ce que tout ceci a à voir avec la question du Zodiaque et faisons un retour en arrière sur les idées d’Einstein concernant la vitesse de la lumière. Admettons que la lumière a une vitesse et qu’elle est de 186 282 milles à la seconde [298 051,2 km/s] comme nous l’assurent tous les bouquins. Maintenant, imaginez-vous dans un train tirant dix chars et qui se met à aller toujours plus vite dans l’espace, alors que vous vous trouvez dans le dixième char. En fin de compte, le train vient à atteindre une vitesse de 186 281,999999 milles à la seconde. Ensuite, vous tentez de courir vers la tête du train aussi vite que vous pouvez. Vous en concluez que vous allez plus vite que la supposée vitesse de la lumière ? Faux, dit Einstein ! Rien ne peut aller plus vite que ça. Donc, à quelle vitesse allez-vous ? Juste aussi vite que vous courrez… Mais vous allez déjà à 186 281,999999 milles par seconde… Ça ne fait rien, quand vous allez à la vitesse qui vous mettrait à égalité avec la vitesse de la lumière, vous serez tout aussi éloigné de cette vitesse « luminique » que vous le seriez si le train allait à 20 km/h et que vous y étiez assis à lire la page des sports. La théorie de la relativité d’Einstein prétend ceci :

« …pour tout système de référence se déplaçant uniformément, la vélocité de la lumière est égale dans toutes les directions… »[29]

Autrement dit, peut importe à quelle vitesse l’on va ou dans quelle direction, on sera toujours aussi éloigné de la vitesse de la lumière que si l’on est dans son salon à regarder Star Trek. Très logique, n’est-ce pas ? Et voici une autre petite chose de la même espèce, de la part de notre mathématicien athée/philosophe sur les livres duquel l’on a bossé pendant des heures dans notre jeunesse. Remarquez sa déclaration en deux parties, dont la première est totalement logique et que « tout le monde sait » :

« Tout le monde sait que si vous êtes dans un ascenseur, vous atteindrez le sommet plus rapidement si vous grimpez dedans que si vous y demeurez immobile… »[30]

Puis, notez comment il attache cette déclaration logique avec ce que personne n’oserait arguer comme une absurdité exigée par le Mythe Einstein :

« …Mais si l’ascenseur se déplace à la vitesse de la lumière, vous atteindrez le sommet exactement au même moment, que vous grimpiez dedans ou que vous y demeuriez immobile. »[31]

Ce qui signifie que, si quelqu’un montait dans l’ascenseur et tirait un coup de fusil direct vers le haut, la balle ne quitterait même pas la chambre d’explosion ou le barillet ! En fait, en y regardant de plus près, cette personne ne pourrait même pas lever le canon ou son bras, car cela impliquerait un mouvement dépassant la vitesse de la lumière… C’est ce qu’exige la théorie !

Il crève les yeux que si les distances séparant les étoiles, en dedans ou en dehors de la ceinture zodiacale, sont déterminées par ce genre de tournure d’esprit (couplée avec le facteur de parallaxe !), alors ce qu’on nous dit à propos des distances n’a rien à voir avec la réalité. Les « sciences » astronomiques (comme les « sciences » biologiques) sont un pays imaginaire où les hypothèses absurdes, insensées et impossibles ont été mises en place, couche après couche, depuis si longtemps que la raison pour laquelle elles existent est enterrée et oubliée.

Mais, oubliée ou pas, la raison en a été d’effacer la Vérité d’une Terre immobile (ainsi que la création de l’homme et tout le reste en six jours), telle qu’établie par la Bible et, ainsi, miner sa véracité sur tout ce qu’elle enseigne à propos de Jésus et n’importe quoi d’autre. Comment expliquer autrement cette grande séduction ? Il ne saurait y avoir une autre raison !

Illustration XXII – Cette gravure du 17e siècle démontre que, à partir de la Terre, le soleil, la lune et les planètes semblent orbiter sur le même plan que le Zodiaque.

Cette gravure du 17e siècle démontre que, à partir de la Terre, le soleil, la lune et les planètes semblent orbiter sur le même plan que le Zodiaque.

Il s’agit de la manière que l’on représentait le Stellatum et le Zodiaque avant que la fraude copernicienne ne prenne le pouvoir. Sauf pour les nécessaires divergences d’échelle, cela nous donne encore une bonne compréhension de l’univers géocentrique. Et si nous mettons de côté le tas de balivernes que sont les horoscopes, nous pouvons apprécier comme le Zodiaque peut être d’une importance vitale et révélatrice pour ce qui est de déterminer ce que font les signes de Dieu dans cette fabuleuse ceinture de corps constamment en mouvement. Y a-t-Il mis l’histoire de l’Évangile ? Seiss et d’autres ont bien expliqué qu’Il l’a fait et que nous pouvons le voir si nous faisons abstraction du taureau, du poisson, du lion, du scorpion, etc. de contrefaçon du Diable. Nous serions alors en position de déceler les vrais signes que Dieu a installés dans Sa création stellaire… et qui seront sûrement reconstruits dans les Nouveaux Cieux (et la Nouvelle Terre) qu’Il a préparés pour ceux qui L’aiment.

Après avoir vu de long en large le Complot copernicien, qui peut douter qu’il y ait des preuves absolues, irréfutables et indiscutables d’une Terre stationnaire se trouvant au centre du mouvement complexe des corps célestes au sein du Zodiaque ? Après tout, la seule chose que l’on ait à prouver, c’est dans quelle direction se déplace la lune ! En se rappelant que les télescopes ont des miroirs qui inversent et renversent toutes les images, est-ce que tout le poids de la technologie moderne ne pourrait pas déterminer si la lune va vers l’est ou vers l’ouest ?

Elle allait vers l’ouest pour Brahe et, pendant des milliers d’années avant lui, elle allait vers l’ouest. Les lectures fantastiquement précises du Zodiaque à Stonehenge ont reposé, pendant des centaines d’années, sur une lune allant en direction ouest, ce qui voulait dire une Terre immobile. Personne n’a jamais pu donner la moindre preuve d’aucune sorte, sauf par les mythématiques, qu’elle allait en direction est. Vous pouvez mettre en banque qu’il n’y a pas de preuve que la lune va vers l’est.

Donc, en plus de tous les nombreux autres vices que nous avons vus — les ombres écliptiques, les cartes météos, les bombes qui tombent sur les cheminées, le repositionnement satellite, etc. — il y a au moins un autre super vice de la séduction qui attend qu’on le découvre dans le Zodiaque. Et, puisqu’il n’y a rien de plus facile à étudier dans le ciel que la lune, je recommanderais que l’on se concentre sur elle et, en particulier, dans quelle direction elle fait le tour de la Terre. Nous appelons tous les honnêtes astronomes, amateurs ou professionnels. Retroussez-vous les manches, crachez-vous dans les mains, pointez vos télescopes sur la lune dans le Zodiaque et trouvez le plus grand des défauts dans le système contrefait copernicien, le SIGNE QUE DIEU A MIS LÀ POUR CE BUT PRÉCIS, lequel nous avons raté pendant toutes ces années ; la preuve que la lune tourne vers l’ouest au-dessus de la Terre, comme le monde entier l’a vu depuis la Création !

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[1] Walter Lang, Board & Friends Newsletter, cité du Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Minn., MN, No 53, pp. 30-31.

[2] Ibidem, p. 31.

[3] John D. Jess, Les planètes dirigent-elles nos vies ?, Book Fellowship International, North Syracuse, N. Y.), p. 5.

[4] Laurie Brady, Étoiles, 08/08/89, p. 36.

[5] John D. Jess, Les planètes dirigent-elles nos vies ?, Book Fellowship International, North Syracuse, N. Y.), p. 1.

[6] Ibidem, p. 2.

[7] Robert A. Morley, L’horoscope et les chrétiens, (Éditions de la Maison Bethany, Minn., MN, 1981), p. 8.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 9.

[11] Walter Lang, Board & Friends Newsletter, cité du Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Minn., MN, No 53, p. 31.

[12] J. Allen Hynek, Le cercle des animaux, Science Digest, janvier 1983, p. 40.

[13] Ibidem.

[14] Morley, L’horoscope et les chrétiens, p. 36.

[15] Ibidem, pp. 36-37.

[16] Ibidem, p. 55.

[17] Morley, Horoscope, p. 19.

[18] Franklin M. Branley, La lune : satellite naturel de la Terre, (Thomas Y. Crowell Co., 1960), p. 23.

[19] Ibidem, p. 25.

[20] Unité de mesure de distance qui vaut 3,26 années-lumière.

[21] Walter van der Kamp, De laboris solis, (14813, Harris Rd, Pitt Meadows, B.C. Canada, V3Y 1Z1, c. 1989), p. 19.

[22] Ibidem, p. 102.

[23] Ibidem, p. 101.

[24] Harald Nordenson, Relativité, temps et réalité, (George Allen Ltée, Londres, 1969), p. 102.

[25] Ibidem, p. 198.

[26] Hans Reichenbach, De Copernic à Einstein, (N.Y. : Dover Publications, 1980), p. 67.

[27] Ibidem, pp. 61-62.

[28] Ibidem, p. 94.

[29] Ibidem, p. 57.

[30] Ronald W. Clark, Einstein : sa vie et son époque, (World Publishing Co., N.Y. & Cleveland, 1971), p. 87.

[31] Ibidem.




D.149 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-4

 

CINQUIÈME PARTIE

(4)

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES)[1]

Ces satellites sont différents des quelque 15 000 satellites lancés de la Terre. Tous les autres sont constamment en mouvement au-dessus de la surface terrestre et changent de place à tout moment, d’une minute à l’autre. En moyenne, les autres satellites font le tour de la Terre en 1½ heure.

D’autre part, le soi-disant Satellite Géosynchrone Géostationnaire demeure toujours au-dessus de notre tête en tout temps (un peu comme l’Étoile polaire reste toujours à la même place). Van Nostrand nous offre cette description :

« Un satellite géostationnaire possède une orbite circulaire reposant au niveau de l’équateur de la Terre. Le satellite se déplace autour de l’axe polaire de la Terre dans la même direction et dans la même période de temps que la rotation de la Terre (24 heures). Le satellite reste au-dessus d’un point fixe de l’équateur terrestre. L’altitude d’un satellite géostationnaire est d’à peu près 35 784 km (22 240 mi.] au-dessus de l’équateur. »[2]

On n’a pas à réfléchir longtemps pour s’apercevoir que le phénomène des satellites géosynchrones a directement rapport avec le mouvement ou non de la Terre. Si une couple de douzaines de satellites géosynchrones sont installés en diverses parties du globe et qu’ils demeurent au-dessus de leur site jour et nuit (comme c’est le cas), alors seulement deux explications sont possibles.

L’une de ces explications — la seule qu’on entend ou qu’on lit — est celle qui s’accorde avec l’idée universellement reçue que la Terre tourne sur un axe tous les 24 heures. Cette idée est très joliment résumée dans le nom que l’on donne généralement à ce type de satellite, i.e., « géosynchrones », signifiant qu’ils sont synchronisés à la supposée rotation de la Terre. Comme nous venons de le voir dans l’Encyclopédie Scientifique, ce nom dit que ces satellites orbitent autour de la Terre à une vitesse parfaitement synchronisée à la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre.

L’autre explication — celle dont on entend jamais parler — est celle qui s’accorde avec les déclarations de la Bible affirmant que la Terre ne bouge pas d’un centimètre. Appelons ce phénomène satellite géostationnaire (qui peut du moins laisser entendre que les satellites sont stationnaires au-dessus d’une Terre stationnaire, comme ils semblent l’être jour et nuit).

Or, l’une des deux est vraie. C’est encore Blanc et Noir. Vérité absolue et mensonge absolu. Aucune relativité, ici. La Terre ne peut pas tourner alors que les satellites demeurent immobiles. Ils ne seraient pas à la même place tout le temps. De la même manière, la Terre ne peut pas demeurer immobile alors que les satellites font orbite autour d’elle. Encore une fois, ils ne seraient pas à la même place tout le temps, n’est-ce pas ?

Par conséquent, comme nous l’avons noté (puisque le fait indiscutable, c’est que ces satellites-là sont à la même place tout le temps), soit que la Terre est en rotation et que les satellites orbitent en synchronisme, ou soit que la Terre est immobile et que ces satellites sont immobiles aussi (un peu comme l’étoile polaire mentionnée plus haut et le Globe en Lévitation que nous avons vu dans l’Illustration XII).

Une des explications exige une Terre qui tourne et accommode le concept héliocentrique. L’autre explication exige une Terre immobile et accommode le concept géocentrique. L’une est vraie, l’autre est fausse. Les deux ne peuvent être vraies et il n’y a pas de troisième explication.

Bien. Prenons maintenant conscience d’une caractéristique pertinente à ces rainures dans l’espace où se tiennent les satellites géostationnaires. Ces « rainures » ont pour caractéristique qu’elles sont très, très loin de la Terre, comparé à la position de tous les autres satellites. La majorité de ces équipements se situent dans un champ variant de 200 à 400 milles [320 à 640 km] d’altitude, certains plus près, d’autres plus loin. Mais ces satellites géostationnaires (desquels nous recevons les photos météo télévisées et desquels nos « soucoupes » satellites reçoivent leurs signaux) sont là-bas à exactement 22 236 milles [35 578 km]. C’est entre 50 à 100 fois plus loin que la moyenne des emplacements satellites. Et cette distance de 22 236 milles est l’unique altitude où fonctionnent ces machins ! Étrange, n’est-ce pas ?

On sent que le Designer y a mis la main. Cela porte quiconque à croire qu’il y a un Designer qui avait prévu que le cerveau de l’homme, qu’Il avait créé, inventerait un jour la télé, les satellites dans l’espace, etc..

Lorsque nous pensons aux vols spatiaux humains partant de Cap Canaveral ou d’ailleurs, nous pensons à une orbite qui atteint généralement de 150 à 250 milles [240 à 400 km] d’altitude. Si vous installez un globe terrestre d’un diamètre d’environ un pied [30 cm] devant vous, en figurant qu’il représente environ 8 000 milles [12 800 km] de diamètre, alors 1½” [4 cm] équivaudra à 1 000 milles. À 250 milles d’altitude, vous regardez la surface à environ ⅜” [3 mm]. Trois huitième de pouce, ou 3 millimètres.

Or, à 22 236 milles [35 578 km], on parle d’une distance de 2 pieds et 9 pouces [83,82 cm] de la surface de votre globe. C’est à peu près neuf fois plus loin. Bien. Maintenant, le premier (et le dernier !) argument presque logique en faveur de ce que les Satellites géostationnaires orbitent, c’est que tous les autres satellites orbitent autour de la Terre, donc, ce type de satellite doit aussi orbiter. Ça semble avoir du bon sens et, puisque que nous avons tous été endoctrinés à croire que la Terre tourne, cette « logique » nous apparaît assez correcte, merci, et nous n’avons plus besoin d’y réfléchir plus avant.

Les critiqueurs nous lanceront : « Eh bien voilà ! Tous les autres font le tour sur leur orbite, alors eux aussi doivent orbiter ! Le fait qu’ils demeurent au même endroit tout le temps signifie que leur propre orbite est synchronisée avec la rotation de la Terre ; donc, ils semblent ne pas bouger. C’est pourtant simple ! »

Nous allons voir ça. Prenons d’abord le point suivant en considération : commençons par calculer la distance de l’orbite supposée des satellites géostationnaires. Nous prenons le rayon de la Terre qui est établi partout comme étant 3 959 milles [6 334,4 km]. Nous ajoutons ensuite la distance séparant la surface terrestre et la « rainure » où opère le satellite géostationnaire. Cela nous fait 22 236 milles [35 578 km] plus 3 959 milles [6 334,4 km] pour un résultat de 26 185 milles [41 896 km]. Puis, nous doublons ce chiffre pour obtenir notre diamètre. Ça donne 52 390 milles [83 824 km]. Ensuite, nous multiplions par pi (3.141592) qui nous montre que la circonférence de l’orbite est de 164 560 milles [263 296 km]. Après cela, si nous divisons ce chiffre par 24 heures, nous constatons que la vitesse à laquelle doit aller le satellite géostationnaire pour demeurer à la même place est de 6 856 MPH [10 969,6 km/h] !

« Ça ne prouve encore rien ! »

C’est vrai. Mais attendez la suite. Nous voulions simplement nous assurer que nous allions tous bien comprendre ce que veut dire affirmer que ces satellites particuliers orbitent autour de l’équateur d’une Terre en rotation. Sa vitesse doit être synchronisée à 6 856 MPH [10 969,6 km/h]. Ici, comprenez bien qu’une simple divergence de ¼ MPH de la vitesse synchronisée écarterait un des satellites d’un mille [1,6 km] à tous les quatre heures. C’est un écart de 42 milles [67,2 km] en une semaine, 180 milles [288 km] en un mois et près de 2 200 milles [3 520 km] en un an. Évidemment, même avec des propulseurs de repositionnement dans le portrait, la moindre divergence ne pourrait être tolérée dans le synchronisme.

« Eh, bien, » répondent les contradicteurs, Nous voyons où vous voulez en venir… Mais cela ne prouve toujours rien, sauf que ces satellites vont très précisément à 6 856 MPH [10 969,6 km/h] en tout temps et demeurent ainsi parfaitement synchronisés avec la rotation de la Terre… »

D’accord, nous avons bien établi cela. Maintenant, superposez cela à l’information que nous avons ramassée jusqu’ici : tous les livres s’accordent à dire que la vitesse de rotation de la Terre n’est pas régulière, égale et stable, mais qu’elle est irrégulière et parfois saccadée et spasmodique. Voici un renseignement à ce sujet :

« Au 19e siècle, la théorie gravitationnelle ne pouvait se rapporter à tous les mouvements observés (de la lune). Or, on pensait parfois que c’était dû à certaines omissions dans la théorie, mais l’on démontra que c’était plutôt dû aux fluctuations de la rotation de la Terre. »[3]

Vous n’aviez peut-être jamais entendu parler de ces irrégularités. Mais vérifiez où vous voulez, vous trouverez la même chose. Vous pouvez donc voir venir ce qui va suivre, n’est-ce pas ? Cela signifie que tout ralentissement ou reprise de vitesse que ferait la Terre devrait être reproduits en parfait synchronisme par le satellite. Et, puisqu’il faut plus de foi pour croire que pareille chose arrive effectivement, jour et nuit, qu’il en faut pour croire que l’homme a été trompé dans toute l’affaire du copernicisme, on en n’est qu’au début du problème de crédibilité… Car il y a plus !

Toutes les « soucoupes » satellites que possèdent des millions de personnes sont atteintes à une variété de points le long d’un grand arc étendu sur plusieurs longitudes. Ces « soucoupes » sont touchées par un satellite à la fois. De nombreux propriétaires captent un seul satellite, laissent leur « soucoupe » dans cette position pendant des années et reçoivent un signal clair. De toute évidence, le satellite ne bouge pas. D’autres propriétaires déplacent leur « soucoupe » d’un satellite à l’autre aussi souvent qu’ils le désirent. Sachant cela, vous, les contradicteurs et autres tenants du copernicisme, ne vous apparaît-il pas illogique que des satellites déployés à des milliers de kilomètres puissent tous ajuster leur vitesse orbitale en coordination avec le constant ralentissement et la reprise de vitesse de la soi-disant rotation de la Terre ?? Cela vous donne-t-il à réfléchir ?

Et pendant que vous réfléchissez à ces problèmes soulevés par les satellites géostationnaires, prenez cet autre en considération… Eh oui, encore ! En fait, chers amis, vous ne pourrez entendre tout ce que nous avons à vous dire à propos des satellites géostationnaires sans finir par savoir que ni eux, ni la Terre ne bougent.

 

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES) # 2

Illustration XVII

Cette illustration dépeint une des découvertes de Kepler. Branley est une autorité en matière d’étude de la lune et des satellites artificiels. Il paraphrase Kepler :

« Les planètes … et la lune se déplacent en orbites elliptiques (…) et une ligne rejoignant la terre à la lune balaierait des superficies égales en des périodes de temps égales. Examinons ce que cela signifie. Dans le diagramme ci-contre, supposons que la lune se trouve en A. Il faut cinq jours à la lune pour se rendre en B. Plus tard, la lune est en C. Il faut cinq jours à la lune pour se rendre en D. Vous remarquerez facilement que AB est plus long que CD. Pourtant, le même laps de temps est requis pour que la lune se déplace de A à B et de C à D ; par conséquent, la lune doit se déplacer plus vite pour franchir la distance séparant A de B. Lorsque la lune se trouve dans la superficie A-B, elle est près de la terre (périgée), elle se déplace donc plus vite. Quand la lune se trouve dans la superficie C-D, elle est loin de la terre (apogée), elle se déplace donc plus lentement. La vitesse doit varier de cette façon parce que Kepler a prouvé qu’une ligne tirée de la terre à la lune doit s’étendre sur des superficies égales en des laps de temps égaux ; en d’autres termes, la superficie 1 doit égaler la superficie 2. »[4]

Or, avec ceci en tête, notez ce qu’en dit encore l’expert de la lune et des satellites, Branley :

« La vélocité de toutes les planètes ainsi que de tous les satellites naturels et artificiels varie de la même manière. »[5]

À partir de ces deux affirmations, nous pouvons d’hors et déjà déceler deux sérieux problèmes à l’encontre du Système copernicien. En fin de compte, les satellites géostationnaires sont certainement artificiellement fabriqués et ils n’obéissent pas à la « loi » de Kepler dans leur soi-disant orbite géosynchrone autour de la Terre. Ici, il y a quelque chose qui se déglingue drôlement ! Ces satellites géostationnaires n’ont pas de périgée et d’apogée ; ils demeurent toujours à la même distance de la Terre ! Cela veut dire que leur orbite supposée ne serait pas elliptique, s’ils se déplaçaient, mais devrait être circulaire. Juste ce simple fait annule le besoin de « balayer des superficies égales » à différentes vitesses.

Apparemment, en tentant de sauver les éléments de cette affirmation képlérienne, on fait face à une réalité qui détruit le copernicisme, c’est-à-dire que les satellites géostationnaires demeurent tout le temps au même endroit, ce qui s’avère une impossibilité si « la vélocité de … tous les satellites naturels et artificiels varie de la même manière, » comme on vient juste de nous l’assurer. En outre, cette réalisation qui détruit le copernicisme devient plus tranchante si l’on essaie d’accorder la soi-disant vitesse de rotation erratique de la Terre aux exigences de Kepler dont Branley nous assure qu’elles s’appliquent à tous les satellites. Tout d’abord, ces satellites ne peuvent en aucune façon aller plus vite, ou plus lentement, pour accommoder Kepler (ou Branley) et demeurer encore stationnaires, comme c’est le cas, à l’évidence. Et même si cette impossibilité était permise, ces vitesses plus ou moins rapides de Kepler devraient elles-mêmes être constamment ajustées pour s’adapter aux supposées vitesses erratiques de rotation de la Terre elle-même. Un tel composé d’impossibilités logiques ne peut être vrai.

Donc, pour une couple de raisons, la « loi » de Kepler n’est pas une loi en ce qui a trait aux satellites géostationnaires. Ce qui revient à dire que les « scientistes » n’ont pas d’explication à fournir quant aux satellites « géosynchrones » pouvant demeurer à la même place tout le temps, pendant que la Terre est supposée ralentir et accélérer en-dessous d’eux. Plus important encore, cela nous démontre que la soi-disant grande contribution que Kepler (le sorcier ?) fit à la véritable science, i.e., que tout exécute une orbite elliptique, n’a jamais été une loi ! Les vraies lois scientifiques (comme la 2e Loi de la thermodynamique et la Loi de la biogenèse, qui nient toute allégation évolutionniste) ne comportent aucune exception.

Or, les satellites géosynchrones géostationnaires, si jamais ils orbitaient, devraient assurément posséder une orbite circulaire, pas une orbite elliptique. L’idée complète du cercle représentant la perfection divine fut censément évacuée par les « lois » de Kepler. Toutefois, ces cercles nous reviennent avec ces satellites parce que la Cosmologie copernicienne exige qu’ils soient sur une orbite circulaire. Ce qui constitue le cercle parfait dessiné par Dieu n’est pas une orbite, mais la fine bande électromagnétique située exactement à 22 236 milles [35 578 km] d’ici, où sont fixés ces satellites dans une position stationnaire relativement à la Terre. La perfection de Dieu, tel que l’exemple de ce cercle, revient à notre époque comme une vengeance, car c’est au moyen de ces satellites captés par cette bande circulaire qu’Il fournit la preuve concluante que le copernicisme est une séduction universelle et que Sa Parole détenait la Vérité pendant tout ce temps !

Il y a encore beaucoup à soutirer de l’exemple des satellites géostationnaires. Vous allez trouver que les trois modes de pensées suivants sont fort ruineux pour le concept héliocentriste.

 

SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES # 3

Réfléchissons ensemble aux rapports météos télévisés. Voici la situation :

  1. Nous avons les nuages qui se déplacent en direction est à une vitesse de 15 MPH [24 km/h] vers une Cité X. (Souvenez-vous : dans le système copernicien, la Terre tourne vers l’est.)
  2. « Accroissez » la « rotation de la Terre » sous les nuages de 15 MPH. Mais n’accroissez pas la vitesse des nuages.
  3. Ça fera en sorte que les nuages sembleront « stationnaires », i.e., synchronisés à la Terre en-dessous. Les nuages n’avanceront plus en direction de la Cité X, comme ils le faisaient avant que la rotation de la Terre ne soit accrue de 15 MPH.
  4. Nous savons que les vrais nuages, dans le vrai monde, vont continuer à s’avancer vers la Cité X. (Après tout, l’exemple ci-contre n’a qu’une but démonstratif.)
  5. Néanmoins, deux aspects de l’exemple sont vrais. Seule l’accélération de la Terre a été inventée. Par conséquent, si les nuages se déplacent vers la Cité X — et c’est ce qu’ils font, bien sûr — il ne peut y avoir qu’une seule des trois explications suivantes :

a) Une Terre mobile qui va 15 MPH plus lentement que les nuages et ceux-ci se déplacent vers la Cité X.

b) Les nuages se déplacent 15 MPH plus lentement que la rotation de la Terre à cette latitude (la réponse conventionnelle).

c) La Terre est stationnaire et les nuages se déplacent à 15 MPH vers la Cité X.

Maintenant, la réponse 5a est très intéressante pour deux raisons. La première est qu’on doit l’admettre comme possibilité sous le rapport de la Théorie de la Relativité. C’est vrai parce que, comme nous l’avons vu, la Théorie des Équivalences d’Einstein exige qu’une station ferroviaire puisse aller à 60 MPH [96 km/h] et que le train demeure immobile, que le sol puisse se soulever pour vous frapper la figure lorsque vous tombez, etc., etc.. Donc, vu sous le point de vu des exigences de la Théorie de la Relativité, les nuages de notre exemple pourraient être stationnaires et la Terre s’ajuster à 15 MPH plus lentement…

C’est ça ou alors on tire la Théorie d’Équivalences d’Einstein par la fenêtre avec tout le concept de la Relativité ! On ne peut avoir les deux !

La deuxième chose très intéressante : si l’on persiste à appliquer les Théories des Équivalences et de la Relativité à cette situation, disant que les nuages peuvent être stationnaires et que la Terre puisse tourner en dessous 15 MPH plus lentement afin qu’ils atteignent en temps la Cité X, on détruit alors encore les fumisteries des Équivalences et de la Relativité ! Voici pourquoi : Les nuages se déplacent dans toutes les directions de la boussole, pas juste vers l’est ! Ils se meuvent à des vitesses diverses ! La Terre ne pourrait tourner vers l’est, l’ouest, le sud et le nord en même temps ! Ce serait insensé et Einstein ne pourrait inventer assez de mathématiques pour expliquer cela. De plus, tout ralentissement ou accélération équivalents de la Terre pour s’accorder à la vitesse apparente des nuages feraient en sorte que la Terre révolutionnerait trop vite ou trop lentement pour faire un tour complet en 24 heures, occasionnant le chaos partout.

Si vous comprenez cela, vous voyez que la Relativité d’Einstein s’écrase et que le copernicisme subit une blessure mortelle. Si la Relativité est abattue alors tout le monde s’aperçoit qu’il peut y avoir de la matière inerte dans l’univers et que la Terre pourrait être le plus bel exemple de cette réalité.

Poursuivons avec l’explication 5b qui se trouve piégée avant de commencer… Si l’on croit que le Système copernicien est correct, la conclusion de cette explication ne semble-t-elle pas raisonnable ? Elle SEMBLE raisonnable, et voilà la raison pour laquelle cette réponse s’autodétruit avant de commencer. L’explication « b » est raisonnable si l’on permet le système copernicien. En effet, l’explication « a » est totalement déraisonnable et ne pourrait pas marcher, comme nous venons de le voir, tandis que la réponse « c » est exclue par les coperniciens, donc, « b » est la seule réponse possible pour les coperniciens. Vous me suivez ?

Mais si c’est la seule réponse possible, alors nous devons reprendre conscience que les théories des Équivalences et de la Relativité exigent que 1) tout soit en mouvement, 2) personne ne puisse dire ce qui bouge par rapport à l’autre.

Ainsi, les héliocentristes ne peuvent jamais déclarer catégoriquement que « b » est vérité en la matière sans esquiver le problème des Équivalences et de la Relativité. Et cela signifie que s’effiloche tout le tissu d’hypothèses « scientifiques » fabriqué depuis l’affaire Michelson-Morley. Et, en retour, cela se résume à admettre que l’immobilité est possible et que, finalement, il y a un éther immobile et une Terre immobile. En fait c’est l’exemple classique du dilemme à doubles cornes. La réponse « b » est évidemment la seule avenue raisonnable ouverte aux héliocentristes, mais ils ne peuvent lui donner leur aval inconditionnel, car ils doivent alors admettre que la réponse « a » constitue une option tout aussi valable, même s’ils savent au fond d’eux-mêmes que c’est totalement déraisonnable et, en outre, impossible.

De l’autre côté du tableau, les géocentristes bibliques ne font face à aucun dilemme de la sorte. Leur position s’accorde avec tous les faits connus. Ils n’ont pas à se battre contre toute une liste d’absurdités illogiques coiffées de l’exigence que la Terre et son imperturbable atmosphère se promènent dans l’espace dans quatre directions différentes et à des vitesses dépassant 250 fois celle d’une balle de fusil. En vérité, l’argument géocentrique de la Bible est un modèle de simplicité et de certitude logique comparé au modèle copernicien.

Pourtant, nous devons comprendre que les coperniciens n’ont d’autre choix que de conclure que l’atmosphère tourne avec la planète[6] comme s’il y était collé. Car si la Terre tournait, l’atmosphère devrait tourner avec elle ou alors l’héliocentrisme se transforme en ballon qu’un enfant de dix ans peut crever facilement. Une Terre tournant à l’intérieur d’un atmosphère immobile rappellerait immédiatement la question des avions allant d’est en ouest.

Ceux qui vont vers l’est seraient difficilement capables de se maintenir au niveau de la rotation de la Terre, alors que ceux prenant la direction ouest se rendraient à destination à la vitesse de l’éclair. En fait, l’on n’aurait qu’à monter dans un hélicoptère dans une localité à l’est, flotter un peu dans l’air et atterrir ensuite dans une localité à l’ouest. Même lancer une flèche bien droit dans l’air révélerait très rapidement l’absurdité de ce modèle.

Donc, les héliocentristes n’ont pas le moindre choix, dans ce concept. Il est d’une inévitable nécessité absolue pour les héliocentristes d’avoir une « enveloppe atmosphérique » qui tourne avec la Terre (et qui file et qui glisse à toute allure aux vitesses que l’on suppose) sans en être le moindrement affectée.

Encore là, les géocentristes n’ont pas à résoudre d’aussi absurdes énigmes. La Terre est figée, l’atmosphère se déplace un peu dans toutes les directions, comme n’importe qui peut le voir, le sentir, l’entendre. C’est ainsi. Comment cela cadre-t-il avec la température ? En tête de liste des illogiques absurdités observables concernant le mouvement des nuages que les héliocentristes doivent adopter, il y a le comble des rapports provenant des satellites géostationnaires. Dans ces rapports, nous sommes témoins des mouvements accélérés des nuages dans le contexte d’une Terre qui ne bouge pas. Les héliocentristes disent qu’ils peuvent résoudre le problème, ainsi que celui des avions allant d’est en ouest, etc., avec la réponse « b ». Ils sont en sécurité… pensent-ils.

Mais nous allons récuser le droit aux héliocentristes de se réfugier dans la réponse « b ». Les héliocentristes modernes sont relativistes et nous devons insister pour qu’ils ne puissent esquiver la trappe que leur posent les rapports météos télévisés, mais qu’ils aient plutôt à faire face à la dénonciation de leur théorie absurde en appliquant celle-ci aux exemples très nets que nous observons journellement sur nos téléviseurs.

Nous les forçons ainsi à admettre que la réponse « a » est d’une possibilité égale à la réponse « b ». Dans la réponse « a », les nuages atteignent la Cité X en temps parce que la Terre ralentit de 15 MPH [24 km/h] pour le permettre… mais tous les autres nuages allant dans toutes les autres directions à différentes vitesses ne finiront pas par atteindre géographiquement les mêmes endroits où les envoie le météorologue en un laps de temps de quelques secondes ! C’est impossible ! Pourtant, les images satellites géostationnaires ne mentent pas. Les nuages vont effectivement de A à B, partout sur le globe, lors des séquences de 10, 20 ou 30 heures. C’est une preuve certaine et positive, observable et vérifiable, que la réponse « a », avec toutes les absurdités einsteiniennes à propos des Équivalences construites dessus, n’est qu’une ineptie longuement distillée.

Et sans cette folle idée d’Équivalences, tout le concept de Relativité tombe en morceaux. Or, n’oublions surtout pas que c’est la Relativité qui a permis aux « scientistes » de se sauver de « l’inacceptable » conclusion de l’expérience Michelson-Morley…

Alors les images météos des satellites géostationnaires obligeraient-elles donc l’establishment scientifique à se rendre compte qu’il est retourné à la case départ en ce qui a trait aux résultats de l’expérience Michelson-Morley ? Précisément. Ces images météos télévisées balaient plus d’un siècle de sauvages efforts pour contourner les résultats de cette expérience. Nous avons vu quelle transpiration et quelles pressions ils leur occasionnèrent et comment Einstein et sa Relativité sauvèrent les meubles. Or, si la Relativité est tout ce qui compte, nous avons parfaitement le droit de pousser les relativistes à jouer selon leurs propres règles en matière de météo télévisée. Et une fois qu’ils jouent selon ces règles, le mensonge du siècle est exposé devant tous.

En ce qui a trait à la fameuse réponse « b », en reste-t-il quelque chose ? La seule chose qui ait marché en sa faveur, c’était l’apparente impossibilité pour quiconque d’être capable de réfuter sa déclaration que « l’enveloppe atmosphérique » était collée à la Terre et que, non seulement tournait-elle avec la Terre, mais qu’elle n’était pas du tout dérangée par les diverses vitesses allant d’un millier à un demi-million de milles à l’heure. C’était à la limite du non-sens, bien entendu, mais il ne semblait y avoir aucun moyen de la désapprouver.

Or, il y a aujourd’hui un moyen. Grâce à la dénonciation du non-sens de la Relativité par les images satellites météorologiques télévisuelles, nous revenons à l’éther dont les scientistes avaient accepté l’existence avant qu’Einstein la déclare inexistante sur son tableau noir. Vous vous rappelez ?

Alors voici : tout le monde acceptait un éther depuis Copernic en passant par Maxwell jusqu’à Michelson-Morley, parce que les scientistes n’avaient qu’à dire que l’atmosphère tournait avec la Terre sans craindre que qui que ce soit prouve qu’ils avaient tort. Mais les résultats de l’expérience Michelson-Morley révéla l’immobilité de la Terre de DEUX manières. Et les deux étaient reliées à l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil en une distance de 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Dans le premier cas, les ondes lumineuses auraient dû être dans l’autre sens lors de l’expérience conduite six mois plus tard ; mais elles ne le furent pas. Pour ce qui est de l’autre chose, la soi-disant vitesse orbitale de plus de 66 000 MPH [105 600 km/h] aurait dû donner une impulsion de départ à la lumière dans l’un des bras métalliques de l’interféromètre, mais ce ne fut pas le cas non plus. Ces deux résultats donnaient la preuve nette que la Terre ne bouge pas.

D’une manière ou d’une autre, l’éther devait disparaître, mais aucun des « scientistes » n’avait réussi, jusqu’à Einstein, à s’en débarrasser. Alors, Albert arriva avec sa baguette magique de Relativité…

L’éther devait disparaître pour deux raisons : 1) elle était apparemment immobile et l’idée que quelque chose puisse être immobile dans l’univers amenait la conclusion que la Terre pouvait l’être aussi. Mais vous vous rappellerez que Engles et d’autres matérialistes avaient déjà déclaré que rien dans l’univers ne pouvait être immobile. 2) L’éther pouvait créer de la friction avec la Terre filant au-travers d’elle à plusieurs vitesses atteignant jusqu’à un demi-million de milles à l’heure. Ce qui pouvait faire exploser l’atmosphère.

Or, tout cela était fort bien compris et accepté avant l’expérience Michelson-Morley. Mais cela se transforma soudainement en facteur critique lorsque la lumière traversant l’interféromètre ne démontra aucun mouvement de la Terre. Cela fit apparaître plus largement les questions concernant l’éther et menaça davantage le copernicisme. L’expérience avec la vitesse de la lumière disait que la Terre ne bouge pas, donc, que l’atmosphère autour d’elle ne se déplace pas au-travers de l’éther, exactement comme le stipule la Bible, Brahe et tous les autres géocentristes.

C’est alors que FitzGerald, Lorentz et, en fin de compte, Einstein se débarrassèrent de l’éther et établirent que la vitesse de la lumière était toujours indépendante de la source de laquelle elle émanait.

De là, on en arrive à trois choses : 1) les rapports météos télévisés exposent et détruisent la Relativité einsteinienne et toutes les absurdités qui reposent sur elle. 2) Cette dénonciation ramène les sciences de l’astrophysique, de l’astronomie et de la cosmologie à leur point de départ, lorsque les expériences Michelson-Morley des années 1880 démontrèrent, de façon répétitive, que la Terre ne tourne pas. 3) Cette fois, grâce aux images des satellites géostationnaires, toute échappatoire par le moyen du Relativisme démentiel est coupée et l’establishment « scientifique » doit réfléchir à « l’impensable ».

Trois hourras pour les Satellites géostationnaires ! Et il y a encore d’autres manières que ces lascars peuvent démontrer que la Terre ne bouge pas ! L’establishment « scientifique » s’est vraiment tiré dans le pied en inventant ces bébés ! En fait, pas dans le pied… dans la tête !

SATELLITES GÉOSYNCHRONES GÉOSTATIONNAIRES # 4

Marshall Hall en haut de l’exhibition du Pendule à Philadelphie. Notez le poids se balançant à 85 pieds plus bas.

Étrange que ces satellites géostationnaires se tiennent exactement à 22 236 milles [35 578 km] et nulle part ailleurs… mais pas aussi étrange dans le système géocentrique que dans le système héliocentrique. Prenons ceci en considération : la « science » a volontiers fait reposer son cas d’une Terre qui tourne sur le « Pendule » de Foucault, n’est-ce pas ? Bien. Souvenez-vous maintenant que ce « Pendule » se maintient « dans un endroit fixe dans l’espace », selon toute la littérature le concernant. Immobile, comme tout le monde peut voir, le bidule est incontestablement maintenu au plafond attaché aux murs attachés au plancher d’un building qui est attaché à la Terre. Si la Terre tournait, partout où elle irait, elle emmènerait l’arrimage où est accroché le « Pendule » de manière aussi assurée qu’elle emmènerait le plafond, les murs, le plancher, peu importe le genre d’instrument pivotant qui le maintient.

Endroit fixe, mon œil ! Mais c’est pourtant ce que l’on considère dans le monde entier. Remarquez de quelle manière Umberto Eco fait ressortir ce concept dans sa récente nouvelle Le Pendule de Foucault :

« Et quand, l’an dernier, je vis le Pendule de Foucault, je compris tout. »

Tout ?

« Presque tout. Tu vois, Casaubon, même le Pendule est un faux prophète. Tu le regardes, tu crois que c’est le seul point fixe dans le cosmos, mais si tu le détaches du plafond du Conservatoire et que tu le pends dans un bordel, il fonctionne pareillement. Et il y a d’autres pendules ; il y en a un à New York, dans le building de l’ONU ; il y en a un dans le musée des sciences de San Francisco, et Dieu seul sait dans combien d’autres endroits. Où que tu l’installes, le Pendule de Foucault se balance à partir d’un point fixe pendant que la Terre tourne sous lui. Tous les points de l’Univers sont des points fixes : tout ce que tu as à faire, c’est d’y amener un Pendule. »[7]

Alors, voyez-vous, le concept d’un « point fixe », i.e., un endroit ou un poste immobile dans l’univers est, dit-on, n’importe quel lieu où se balance un Pendule de Foucault du haut d’un plafond et maintenu par un joint pivotant. La « sagesse » de l’homme a accepté et établi ce point fixe bidon et a trompé la multitude avec. N’est-il pas vraiment intéressant de voir que certains « points fixes dans l’univers » sont, non seulement jugés possibles, mais également un concept absolument nécessaire de la fameuse démonstration de Foucault qui était destinée à persuader l’humanité que la Terre tourne ?

Qu’y aurait-il d’étrange, alors, qu’il y ait un vrai « point fixe » à la disposition de l’homme démontrant hors de tout doute que la Terre ne bouge pas ?! Nous avons vu l’illustration d’une démonstration du champ électromagnétique qui maintenait immobile en l’air un « Globe terrestre en lévitation », n’est-ce pas ? Le fait même que les satellites géostationnaires ne fonctionnent qu’à une altitude bien précise au-dessus de l’équateur et que cette altitude ne varie jamais — comme le font tous les autres satellites — est virtuellement une preuve en elle-même que ces satellites sont pris dans une bande étroite circulaire, un champ magnétique qui produit le même effet que l’on peut observer avec le « Globe terrestre en lévitation »

Quel fait étrange qu’il y ait une plage précise dans le ciel, à 22 236 milles [35 577,6 km] en dehors de la Terre où ces satellites géostationnaires peuvent être installés dans un champ magnétique qui les maintient en place, sans crochet, sans plafond, sans murs, sans plancher ! Et comme c’est étrange, comparé aux bidules du Pendule de Foucault, que l’œil d’une légère caméra agisse sans frottement alors que son câble sort du satellite et capte en-dessous la variation des nuages de la Terre et son système de température ! Un peu comme si les nuages agissaient comme des poids pendus au bout de la tige d’un pendule se déplaçant ici et là.

Donc, à partir de leur « point fixe dans l’espace », les caméras des satellites nous montrent que les nuages se déplacent un peu partout, mais elles ne montrent jamais la Terre se déplaçant sous elles, même un petit peu (alors encore bien moins à des vitesses de centaines et de milliers de milles), pendant les quelques heures d’exposition.

Tout le monde peut arriver à comprendre comment le satellite ne peut bouger, coincé qu’il est dans le champs magnétique. Or, les illustrations météos nous indiquent que la Terre ne peut pas bouger , car ce « point fixe » magnétique dans l’espace révèle de façon claire des nuages qui se déplacent et des systèmes de tempêtes, mais ne démontre aucun mouvement de la part de la Terre elle-même.

Ce que nous pouvons donc voir de plus en plus, c’est qu’il y a une PREUVE visuelle solide et indiscutable, tout autour de nous, de ce que la Terre ne tourne pas. Le Gros Bluff du copernicisme fut condamné à la dénonciation dès lors que les satellites géostationnaires ont commencé à fonctionner. Ce n’était qu’une question de temps. Ces preuves ordinaires nous offrent un témoignage de la profondeur et de l’étendue de l’endoctrinement du monde dans la contrefaçon héliocentrique jusqu’à aujourd’hui ! Pourtant, chaque parcelle de preuve est contre le mouvement de la Terre ; toutes les preuves ! Ils n’ont rien de leur côté et il est plus que temps que les gens le sachent !

Mais combien de gens dans le monde, pensez-vous, seront heureux de voir l’héliocentrisme exposé en tant que pur mensonge… ?

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES) # 5

Il y a encore un point concernant ces satellites que nous devons enfoncer avec un piquet de rail de chemin de fer. Il nous faut réaliser et comprendre parfaitement que ces merveilleux satellites sont occasionnellement déplacés par contrôle à distance à partir de la Terre. Quand on les déplace, la vitesse du mouvement est connue et contrôlée d’une manière très précise (dans la lettre ci-après, on cite les chiffres de 16.06 milles [28,6 km] par jour et 0.66 MPH [1,056 km/h]). L’argument décisif — comme le montre clairement la lettre du Bureau des opérations satellites — est celui-ci : tous ces mouvements sont planifiés et exécutés sur la base d’une TERRE FIXE ! Voyez la lettre envoyée par notre spécialiste, Marshall Hall (particulièrement le paragraphe final), dans l’Illustration XVIII. Ensuite, jetez un coup d’œil sur la réponse officielle (aux parties A et B, spécialement), en Illustration XIX. Cette réponse nous donne une information tout à fait pertinente au sujet de la question d’une Terre qui tourne.

Comme vous le voyez, ils disent maladroitement que cette manœuvre de repositionnement d’un satellite géostationnaire est exécutée sur la prémisse que la Terre ne tourne pas ! C’est fort ! Et cette flagrante admission que la manœuvre délicate est calculée et exécutée sur la base d’une Terre immobile, i.e., une « Terre fixe », est de la plus haute importance pour la dénonciation du mensonge copernicien. Ce que cela signifie, en mots clairs et simples, c’est ceci : En ce qui concerne la manœuvre de repositionnement, il n’y a pas de Système copernicien. Point à la ligne. Par conséquent, cette manœuvre est planifiée et exécutée d’après le Système biblique établissant une Terre immobile. C’est un fait !

Si la Terre est « fixe », cela veut dire que le satellite doit aussi se tenir immobile. C’est assurément le cas. Réfléchissez-y. Tout le système copernicien dépend de satellites se déplaçant à près de 7 000 MPH [11 200 km/h] au-dessus d’une Terre tournant à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] au niveau de l’Équateur ! Si le mouvement de la Terre devient FIXE (comme c’est indéniablement le cas par les calculs faits pour repositionner ce type de satellites), alors le satellite doit aussi être arrêté ! S’il n’était pas stoppé, et s’il continuait à voyager à près de 7 000 MPH, il dépasserait le 97,45º de longitude ouest en une fraction de seconde ! Il faut donc qu’il soit arrêté et tenu pour fixe, comme la Terre est tenue pour fixe afin de faire les calculs qui assureront le succès de la manœuvre.

Alors, je vous pose la question : comment stoppe-t-on un satellite qui doit absolument aller à près de 7 000 MPH pour que le Système copernicien se tienne ? Le stoppe-t-on mathématiquement ?? Si on le fait et que l’on est copernicien, ne sait-on pas que nos mathématiques sont fausses parce que l’on « sait » que la chose va effectivement à près de 7 000 MPH ?


Illustration XVIII

 

Traduction de la lettre XVIII

17 novembre 1989

Département du Commerce des Etats-Unis

NOAA

a/s Charles E. Liddick

Chef de la Division des Horaires

Bureau des opérations satellites

Washington DC 20233

 

Cher M. Liddick,

 

Tous mes remerciements pour votre prompte réponse approfondie à mes questions précédentes (une copie de votre lettre ci-attachée).

Les trois déclarations suivantes — déduites de votre réponse — sont-elles plus ou moins exactes ?

  1. Le repositionnement prend 43 jours.
  2. La distance du déplacement sera d’environ 10.75 degrés ou environ 741.75 milles (en comptant 69 milles par degré).
  3. La position longitudinale du GEOS [satellite géostationnaire] est d’environ 97.25º O. avant le début de son déplacement.

Concernant le #2, la distance de c. 742 milles de la Terre serait-elle aussi vraie pour le parcourt orbital à 22 300 milles ? En d’autres mots, si le satellite était déplacé sur la surface terrestre du 97,25º O. au 108º O., il serait déplacé de 10,75º ou de 741.75 milles. (Et si on le déplaçait à vitesse constante, cette vitesse serait de c. 17.25 MPH.) De la même manière, sur la lancée du parcourt orbital du satellite de c. 165,217 milles et son déplacement de 97,25º à 108º, la distance parcourue serait la même, n’est-ce pas ? (et la vitesse, si elle est constante, serait la même ?)

Sur la base de ces affirmations, mes questions sont :

  1. A) Les GEOS vont-ils à vitesse constante et, si c’est le cas, la vitesse est-elle de c. 17,25 MPH ?
  2. B) Comme nous le savons, le mouvement, la direction et la vitesse de l’ombre écliptique durant une éclipse solaire sont tous calculés (par convenance) sur la base d’une Terre fixe, i.e., sans rotation. Le mouvement actuel des GEOS (et tous ceux dans le futur) sont-ils planifiés et exécutés selon la base d’une Terre fixe ou en rotation ?

 

Merci pour votre aide,

Sincèrement,

(signature)

Marshall Hall

 

Illustration XIX

 

Traduction de la lettre XIX

22 novembre 1989

  1. Marshall Hall

12, Morningside Drive

Cornelia, Georgia 30531

 

Cher M. Hall,

 

  1. Charles E. Liddick m’a demandé de répondre à votre lettre du 17 novembre 1989.

 

  1. Le repositionnement prend 42 jours.
  2. La distance parcourue sera d’environ 9,75º ou environ 674,4 de milles établis (en comptant 69,17 milles par degré).
  3. La position longitudinale des GEOS-7 avant le début du déplacement était à environ 97,45º ouest.

 

Concernant le #2 : 674,4 milles établis de la terre est la vraie distance aussi pour le parcourt orbital à 22 237 milles établis. En d’autres termes, si l’engin spatial était déplacé sur la surface terrestre de 97,45º à 108º ouest, on le bougerait de 9,75º ou 674,41 milles établis (16,06 milles par jours ou 0,669 MPH).

 

Sur la lancée du parcourt orbital de l’engin spatial de 164,264 milles établis, et le déplacement du 97,45º au 107,2º ouest, la distance sera la même, à peu près constante.

 

  1. Le GOES-7 est déplacé à une vitesse approximative de 16,06 milles établis par jour ou 0,669 milles à l’heure.
  2. Une Terre fixe.

Sincèrement,

(signature)

Lee Ranne

Navigation GOES/POLAR

Bureau des opérations satellites

(301) 763-7573

  1. : C. Liddick

 

En d’autres termes, le satellite doit tourner dans l’esprit des scientistes coperniciens sinon toute la structure copernicienne tombe, et cela constitue une alternative « impensable ». Donc, il doit tourner dans l’esprit des scientistes pendant qu’ils effectuent leurs calculs pour repositionner l’instrument.

Mais voilà que ces scientistes réalisent maintenant que ces satellites allant à près de 7 000 MPH dans le système copernicien doivent être stoppés mathématiquement afin qu’ils puissent faire les calculs qui provoqueront un repositionnement couronné de succès. Or, ces calculs marcheront et aucun autre. Toute la manœuvre délicate fonctionnera parce que les calculs auront été basés sur une Terre et un satellite qui sont immobiles.

Bon, maintenant, cette série de circonstances nous met en face de la proposition que les mathématiques décrivant un satellite immobile au-dessus d’une Terre fixe fonctionnent avec précision et permettent à toute l’opération d’être exécutée dans le monde réel, alors qu’en même temps, ces calculs sont « reconnus » pour être faux par tous les scientistes coperniciens qui les utilisent. Vous saisissez ?

Ils emploient des maths basées sur une Terre immobile parce qu’ils le doivent. Mais ces maths fonctionnent ! Elles ne fonctionneraient pas et ne pourraient fonctionner si le machin voyageait à près de 7 000 MPH, alors ce qu’ils appelleraient de vraies maths représentant une situation véritable ne fonctionnerait pas et ce qu’ils appellent de fausses maths fondées sur une fausse situation fonctionnent. Vraiment étrange…

Donc, l’impasse logique dans laquelle se met le copernicisme, c’est la réalisation que ce qu’un scientiste copernicien doit reconnaître comme de « fausses » maths en faveur d’une Terre fixe et d’un satellite fixe rendent néanmoins possible une manœuvre délicate et précise dans le monde réel (pas en théorie !), et que les « vraies » maths en faveur d’une Terre qui tourne et d’un satellite qui orbite ne permettront pas que la manœuvre fonctionne dans le monde réel.

Nous en avons passablement dit sur les mathématiques bidon et de ce qu’elles sont les seules « preuves » qui soutiennent le mythe copernicien. Toutefois, non seulement les VRAIES mathématiques existent-elles dans le monde réel de la Science appliquée, mais elles sont les seules à faire construire les ponts, les jets et les ordinateurs ; les seules à faire marcher les trains et à mettre les satellites là où ils doivent être. Vu l’utilisation de toute la fausse science des mathématiques bidon dans l’émergence et le succès du copernicisme, ce n’est que justice et parfaite ironie qu’une FAILLE capable de faire basculer la contrefaçon copernicienne se trouve dans cette opération de déplacement satellite très peu connue. Nous voyons ici très clairement que seules les vraies mathématiques peuvent fournir les calculs nécessaires pour accomplir cette action réelle dans le monde réel.

Mais, à l’instant même où cette opération de repositionnement identifie les Vraies Mathématiques, elle révèle également le dur fait que les fausses mathématiques ne fonctionnent que pour de fausses hypothèses qui ne peuvent être testées !

Donc, les vraies mathématiques, fondées sur une TERRE FIXE ET UN SATELLITE FIXE sont les SEULES mathématiques qui assureront le déplacement de ce satellite dans le monde réel. C’est la seule et véritable raison pour laquelle cette opération est basée sur une Terre fixe et biblique ! Ce Système biblique constitue la Vérité et seules des maths fondées sur cette Vérité déplaceront ces satellites de A à B ! Les gens des Opérations Satellites n’utilisent pas une Terre fixe dans leurs calculs parce que c’est plus facile et plus commode que d’employer des calculs basés sur le système copernicien ; ils utilisent les calculs d’une terre fixe parce que ce sont les SEULS qui feront le travail !! Ils n’ont pas le choix, ils doivent employer la Terre fixe !

Pour résumer tout ça, lorsqu’on commanda au Satellite GEOS-7 de se déplacer ¼º vers l’ouest par jour pendant 42 jours, il se déplaça à partir d’une position stationnaire. Et la même chose arriva lorsqu’on le retourna à sa position en est. Et le tout fonctionna ! Les deux repositionnements fonctionnèrent parce que le satellite est maintenu en place dans la bande électromagnétique circulaire et qu’il demeure aussi immobile qu’une statue dans un désert, n’allant nulle part, à vitesse zéro, tant qu’on ne lui donne pas instruction de se déplacer.

Et s’il ne bouge pas, la Terre ne bouge pas non plus…

Et cela veut dire qu’il est temps de revenir à la Bible !

Nota bene :   Une lecture attentive des deux paragraphes suivant le #3 dans la réponse de la NASA du 22 novembre 1989 révèlera une erreur manifeste dans la résolution de la vitesse et de la distance. Cette erreur n’est pas pertinente à ce qui a été dit jusqu’ici, en ce qui me concerne, mais elle mérite néanmoins d’être notée. Selon toute évidence, la distance d’une longitude à une autre ne peut être la même dans un cercle de 165 100 milles [264 160 km] qu’elle l’est dans un cercle de 25 000 milles [40 000 km]. Non plus qu’un trajet de 42 jours aux vitesses données amèneront le satellite de 97,45º de longitude ouest à 107,2 de longitude ouest ! En fait, le satellite doit être déplacé d’environ 4 449 milles [7 118,4 km] à 4,41 MPH [7 km/h] pendant 42 jours pour atteindre sa destination.

___________________________________________________________________________

[1] La distinction conventionnelle entre satellites géosynchrones et géostationnaires s’établit ainsi : « Un satellite géostationnaire possède une orbite circulaire reposant au niveau de l’équateur de la Terre (…) Le satellite géosynchrone est celui qui orbite autour du centre de la Terre en un cercle exactement synchronisé avec la rotation de la Terre, bien qu’il ne lui soit pas nécessaire d’être sur le plan équatorial (…) Une orbite stationnaire doit être synchronisée, mais une orbite synchronisée n’a pas besoin d’être stationnaire… » [Encyclopédie scientifique Van Nostrand, 7e édition, 1989, p. 2501].

[2] Encyclopédie scientifique Van Nostrand, 7e édition, (Van Nostrand Reinhold, N.Y., 1989), p. 2501

[3] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Interprétations des petites irrégularités du mouvement, Vol. 12, p. 417.

[4] Branley, La lune, p. 22.

[5] Ibidem, p. 23.

[6] Le mot « planète » signifie « vagabond ». Si la Terre ne bouge pas, elle ne vagabonde donc pas et elle n’est pas une « planète » ; ce mot n’est qu’un autre maillon de la longue chaîne d’endoctrinement séducteur destiné à implanter le concept de l’héliocentrisme dans l’esprit des gens.

[7] Umberto Eco, Le pendule de Foucault, (Harcourt Brace Jovanovich, éd., San Diego, N.Y., Londres, 1989), p. 237.




D.148 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-3

 

CINQUIÈME PARTIE

(3)

LES PARADOXES

 

 

1 + 1 = 3

 

Lorsque les « scientistes » tombent sur une contradiction, ils appellent cela un paradoxe. C’est la même chose qu’une contradiction, mais cela dégage une odeur bien trop parfumée pour n’être qu’un paradoxe ordinaire. Il y a contradiction (paradoxe) lorsque quiconque se met à dire que quelque chose est vrai quand ce n’est pas vrai. Un écrivain conclut ainsi à ce sujet :

« …une simple contradiction [paradoxe] peut oblitérer une structure théorique entière. »[1]

C’est le même gars qui nous a donné la chouette démonstration arithmétique montrant comment fonctionne une contradiction. Tout le monde peut constater, par cet exemple, ce qui arrive lorsqu’on se met à dire une contradiction, que ce soit une Terre en mouvement ou autre. Mais nous vous proposons, ici, de lire tout le paragraphe, pour en voir le mécanisme :

« …on débute avec l’assertion que 1 + 1 = 3 (une contradiction). En soustrayant 1 de chaque côté, on obtient 1 + 1 – 1 = 2. Soustrayons encore 1 de chaque côté et nous avons 0 = 1, ou 1 = 0. Maintenant, multiplions chaque côté de l’“équation” par n’importe quel nombre, comme par exemple 12. Ainsi, 12 = 0. Mais faites ceci avec n’importe quel nombre qui vous plaît et tous et chacun = 0 ; 100 = 0 ; 5 000 = 0 ; 50 = 0 ; ad infinitum. Nous voyons donc que la contradiction 1 = 0 prolifère en d’autres contradictions. Mais ce n’est pas tout. Prenez n’importe quelle “équation” arrivée au dernier stade — par exemple 76 = 0. Maintenant ajoutez des deux côtés le même nombre, comme 2. Alors, 78 = 2. Ou ajoutez n’importe quel autre nombre à la place, comme 10 ; alors 86 égale 10. Ou encore, reculez d’un stade et cherchez un autre multiplicateur pour 1 = 0, comme 100 ; alors 100 = 0. À partir de ce point, quelques expérimentations mentales du lecteur lui démontreront que n’importe quel nombre égale n’importe quel autre nombre. Cela résulte du fait que l’on accepte 1 + 1 = 3 comme étant vrai ! »[2]

C’est un exemple explosif quand on pense que ce qui soutient le copernicisme en entier s’exprime en termes mathématiques ! À ce que nous pouvons voir, ce ne sont que des mathématiques qui apportent la « preuve » d’une Terre qui tourne. Il n’y a pas de vraie « preuve » ; donc, toute l’idée est résolue par le genre de mathématiques inventées dans le but d’y arriver. Les lettres et les symboles égalent ce que les mathématiciens veulent qu’ils égalent.

Ainsi, n’importe quoi, quoi que ce soit, aussi contradictoire (paradoxal) que cela puisse être en regard de ce que l’on sait être vrai (1 + 1 = 2), peut être refilé comme « scientifique » et, partant, factuel et véritable dans l’esprit de la plupart des gens. Mais cela ne fait pas que ces mutations mathématiques, ces paradoxes abominables, soient réellement vrais. Pas du tout ! Souvenez-vous qu’un « paradoxe » est le mot chic d’une contradiction qui contient un mensonge. Les sciences de la physique et de l’astronomie sont criblées de paradoxes ; crrrriblées ! Examinons-en quelques-unes.

LA SIMULTANÉITÉ

C’est le nom de l’adjectif « simultané ». Le Larousse nous dit : « Existence de plusieurs actions dans le même instant ; coïncidence. » À peu près tout le monde sait cela. Voilà un mot qui possède une signification acceptée et invariable. Tout le monde sait que lorsque deux choses arrivent en même temps, le mot employé pour désigner ces événements est « simultané ».

C’est un fait, comme 1 + 1 = 2…

Mais il y a une place, entre autres, où Einstein a changé la signification comprise et acceptée internationalement d’un mot en un paradoxe (contradiction) et tout l’establishment de la science a permis au fantaisiste de continuer son petit bonhomme de chemin, empilant les contradictions les unes par-dessus les autres et d’étayer une théorie mathématique maboule sur une autre, encore plus maboule, jusqu’à ce qu’aujourd’hui, tout le champ de la science soit complètement toqué.

Comment Einstein s’y est-il pris pour ériger tout cela ? Laissons le camarade que voici répondre pour nous. Il note que :

« Einstein trouva la physique remplie de propositions au sujet de la simultanéité ou de la non-simultanéité des événements ; il trouva que ces concepts jouaient un rôle décisif dans les interprétations de l’expérience Michelson-Morley et les autres expériences ; et son originalité spéciale en tant que physicien fut, lors d’un moment crucial de l’histoire de la science, de commencer à se comporter comme un philosophe (…) il se tourna vers les analyses des concepts fondamentaux et souleva la question préalable : que signifions-nous, ou que pouvons-nous réellement signifier, quand nous attribuons le qualificatif de “simultanéité” à deux ou plusieurs événements ? (…) En d’autres termes, quelle est la signification de “signification” ? (…)

» Einstein a dit lui-même que sa Théorie Spéciale était fondée sur “une libre définition de la simultanéité” et il admit que sa définition était “…purement arbitraire … inobservable et invérifiable…” »[3] (emphase ajoutée)

C’est le cas de le dire ! Mais qu’est-ce que cela avait à voir avec l’expérience Michelson-Morley ? Eh bien, la conclusion ultime de cette expérience fut que les rayons de la lumière reviennent simultanément, qu’ils soient pointés en direction de la supposée rotation de la Terre à 66 000 MPH [105 600 km/h] ou qu’ils pointent en une autre direction, i.e., à 90º. L’interprétation évidente de ce résultat fut que la Terre ne tourne pas, mais, comme nous l’avons vu, cette interprétation était « impensable » aux yeux de la communauté scientifique… et les scientistes suèrent sang et eau pour trouver une autre interprétation !

Or, Einstein n’eut qu’à changer la signification du mot simultanéité, lui donner une nouvelle « libre » définition et aller de l’avant ! Ensuite, il décréta que rien ne pouvait être immobile dans l’univers. L’éther était immobile, donc il agita sa baguette magique relativiste et la fit disparaître. Et, bien sûr, étant grand scientiste et bienfaiteur de l’humanité, il était « impensable » que la Terre fut immobile ; ainsi, jamais, jamais ne fit-il la moindre allusion à cette possibilité. D’un autre côté, Dieu dit, non seulement qu’elle ne tourne pas, mais qu’elle ne peut pas bouger ! Einstein — sans l’avoir dit franchement — affirme néanmoins haut et fort que, puisqu’il ne peut rien y avoir d’immobile dans l’univers, non seulement la Terre tourne-t-elle, mais il n’y a aucune chance qu’elle puisse demeurer immobile.

Il y a des étagères complètes de livres sur Einstein, et tous ces bouquins passent par-dessus l’accomplissement essentiel qu’apporta cet homme au monde de la « science », c’est-à-dire que sa « relativité » insensée « prouva » que la Terre tournait parce que rien ne pouvait demeurer immobile dans « son » univers. Le choix est très clair : la parole d’Einstein contre la Parole de Dieu ! Et nous pouvons constater laquelle des deux le sacerdoce scientifique a choisi en tant que vérité pour sa congrégation qui s’adonne justement à s’étendre au monde entier !

Ainsi donc, Einstein devait se débarrasser de la signification réelle de la simultanéité des événements dans l’espace parce que (pour couper court) il ne pouvait avoir la simultanéité véritable et la relativité en même temps. Pourquoi ? Simple : le Big Bang ; un événement, une explosion ; les parcelles s’envolent ; jamais deux parcelles ne peuvent être exactement au même endroit exactement en même temps (simultanément). Jamais, jamais, jamais ! Il ne peut tout simplement pas y avoir deux événements simultanés dans l’univers, c’est-à-dire, des choses qui arrivent au même temps précis. Donc, on doit avoir une nouvelle définition de « simultané » parce que « simultané » signifie le même instant dans le temps et Einstein devait avoir une nouvelle définition du temps. Voilà ce qu’il recherchait vraiment : changer la définition du temps. C’est ce qu’il fit, et l’establishment scientifique l’a favorisé jusqu’à nos jours en dépit du fait que sa définition du temps est aussi une contradiction (paradoxe) absolue, ce qui revient à dire que c’est une impossibilité illogique ou, si vous préférez, un gros mensonge épais. Voyons pourquoi.

LE TEMPS

« Une théorie qui exige une impossibilité ne peut qu’être fausse. »[4]

Ainsi parlait le célèbre philosophe scientifique, Herbert Dingle, qui connaissait bien Einstein et qui fut trompé par sa théorie de la relativité pendant près de quarante ans avant de constater qu’elle était logiquement impossible. Puis, les treize années suivantes, il essaya d’amener l’establishment scientifique à admettre que les arguments d’Einstein étaient scientifiquement et logiquement impossibles. Il n’arriva nulle part dans ses efforts et enregistra finalement ses trouvailles dans un livre avant sa mort. Les trois illustrations principales qu’utilisa Einstein pour contourner les problèmes que la véritable simultanéité lui causait en regard de sa Théorie de la Relativité impliquaient le TEMPS. Une des illustrations concernait les horloges. Dingle la résume ainsi :

« Selon la Théorie Spéciale de la Relativité, deux horloges similaires, une A, l’autre B, marchant d’un mouvement relativement uniforme (…) fonctionnent à différents rythmes. La situation est, par conséquent, entièrement symétrique, de laquelle il s’en suit que si A fonctionne plus rapidement que B, B doit fonctionner plus vite que A. Puisque cela est impossible, la théorie doit être fausse. »[5] (emphase ajoutée)

Parions que Dingle expliqua clairement tous les détails l’ayant amené à cette conclusion de telle manière que personne ne pouvait manquer d’en arriver à la même conclusion. Il démontra en détails pourquoi l’illustration des horloges d’Einstein était logiquement impossible. Son livre peut jouer un rôle majeur en vue de faire tomber le mythe Einstein et tout ce que l’establishment scientifique veut faire croire « impensable » en regard des résultats de l’expérience Michelson-Morley, dont le résultat « impensable » était que la Terre ne tourne pas.

Dingle, pour une raison ou une autre que Dieu seul connaît, ne se colleta jamais avec ce principe essentiel, mais il se contenta de démolir les principaux piliers explicatifs qu’Einstein employa pour soutenir ses théories délirantes.

Le philosophe Lovejoy en était un autre qui réalisa que la racine des idées d’Einstein étaient plus philosophiques que scientifiques et que sa philosophie — quand on perce le camouflage de ses fumistes mathématiques et de sa redéfinition des mots — était remplie de conditions illogiques et arbitraires. Ce fut Lovejoy, parmi d’autres, qui exposa l’impossibilité logique d’une autre des fameuses illustrations d’Einstein impliquant la Relativité, le soi-disant « paradoxe des jumeaux ». Il s’agit de l’exemple où un frère jumeau s’envole dans l’espace presque à la vitesse de la lumière et l’autre jumeau demeure sur la Terre. Ils ont tous deux vingt ans quand l’un d’eux part dans l’espace, voyage pendant un an, selon ce qu’indique l’horloge à bord, puis il s’en revient. Le jumeau astronaute a vingt deux ans lorsqu’il atterrit, mais 200 ans se sont écoulés sur Terre et le frère jumeau demeuré sur Terre est mort et enterré depuis longtemps.

C’est ce que déclara Einstein. Mais cela contredisait sa propre théorie de la relativité qui exigeait qu’il…

« …était tout aussi vrai de dire que la Terre où se trouvait Pierre [l’un des jumeaux] avait été éloignée de Paul [l’autre jumeau] que de dire que Paul avait été éloigné de Pierre. »[6]

En d’autres mots, puisque tout mouvement est relatif dans la Théorie de la Relativité, qui pouvait dire ce qui bougeait du vaisseau spatial ou de la Terre ? Voilà la question. Donc, après qu’un paquet de conclusions logiquement inévitables concernant les horloges, le retardement du temps, les exigences de la Théorie de la Relativité, etc., sont explorées, la conclusion finale de Lovejoy est que :

« …lorsque le vaisseau revient sur Terre, Paul sera vivant alors que Pierre sera mort, et aussi Pierre sera vivant alors que Paul sera mort — c’est-à-dire, Paul sera simultanément mort et vivant, et Pierre sera aussi simultanément mort et vivant. »[7]

Cela annula-t-il la théorie ? Non ! Vous devez comprendre comment cette affaire de paradoxes (contradictions) fonctionne en physique ! Ils tombent dans une trappe de logique, mais, au lieu de se dire « oups ! » et faire marche arrière en relevant les épaisseurs d’illogisme, couche après couche, jusqu’à la source de la théorie, i.e., leur refus de considérer que la Terre est stationnaire, ils ajoutent plutôt une autre épaisseur de théorie mathématique qui est condamnée d’avance à ce qu’on la révèle comme absurdité illogique après quelques années.

Alors comment Einstein manipula-t-il ces Paradoxes des jumeaux et de l’horloge ? Comme ceci :

« En 1918, Einstein entreprit la résolution du paradoxe des jumeaux et de l’horloge. Il invoqua son principe de co-variation, le cœur du concept de sa Théorie Générale (…) L’intéressante application de ce principe est l’équivalence supposée de la gravitation et de l’accélération — le principe d’équivalence d’Einstein. »[8]

« Supposée » ! Déjà il déclare principe scientifique une supposition improuvable qui devient le « cœur du concept » de sa théorie principale, la Théorie Générale de la Relativité ! Voilà un exemple de premier ordre de ce que l’on met une théorie illogique de plus au sommet d’une autre qui vient d’être avérée illogique, au lieu de retourner en arrière pour trouver la source d’où est sortie la première idée illogique. Il y a plus :

« Voilà ce à quoi revient le principe d’équivalence d’Einstein, dans le cas présent [le paradoxe des jumeaux] : le choc dont vous faites l’expérience en tombant face contre terre s’explique, non seulement de manière conventionnelle, mais aussi de façon alternative en supposant que la Terre, avec l’univers, vous ont soudainement volé au visage et vous ont frappé la tête… »[9]

C’est ce genre d’équivalence sur lequel repose tout le cas de relativité d’Einstein ! Et ajoutez ceci :

« Voici ce que je puis me permettre de dire de plus poli en regard de telles applications du principe d’équivalence : le mouvement de tout l’univers pour s’éloigner et revenir vers le vaisseau spatial (ou s’éloigner et revenir du marteau de quelqu’un ou d’une auto) n’est pas une vérité observable… ce n’est plutôt qu’une hypothèse arbitraire et désespérée… »[10] (emphase ajoutée)

Plutôt poli… ! N’importe qui laissant travailler un peu sa jugeote dira simplement que c’est folie pure ! Mais pas la « science faussement ainsi nommée » ! On dirait que ce gang n’en a jamais assez de coucher l’une sur l’autre les théories illogiques pour les isoler des attaques et sont toujours à chercher d’autres couches dans lesquelles s’envelopper. Les théories d’Einstein leur ont fourni plusieurs de ces épaisseurs. Sakharov et nombre d’autres ont contribué passablement à cet ajout de couches. En tous les cas, voici un autre classique paradoxal, ou logique absurde, si vous voulez, ayant rapport au temps :

L’OBSERVATEUR

Quiconque lit les Contes de Fées d’Einstein trouvera qu’il utilise toutes sortes « d’expériences de réflexions » où il place un « observateur » pour faire un rapport de ce qui arrive dans l’espace. Le professeur Dingle demande :

« Pourquoi … l’observateur figure-t-il de manière aussi prééminente dans les commentaires de la théorie [de la relativité] ? »[11]

Il répond :

« C’est simplement parce qu’il [l’observateur] a faussement été identifié à un système coordonné … un état de mouvement… »[12]

Donc, où cela mène-t-il ? À ceci :

« C’est un trait essentiel de la théorie [de la relativité] que les deux observateurs [l’un dans un train allant à 60 MPH (96 km/h) et l’autre dans la station] ont le même droit l’un que l’autre de dire qu’il est en arrêt et que l’autre se déplace… »[13]

Lorsque ces notions furent passées en revue dans la presse populaire dans le monde, un journal sortit un cartoon qui résumait assez bien la chose et de façon fort humoristique. Dans le cartoon, un passager du train qui filait en passant par une station demanda :

« Bonjour gardien, est-ce que Manchester arrête à ce train ? »[14]

Cela me semble fort bien résumer l’absurdité du concept. Examinons un autre exemple.

LES TIGES CONTRACTÉES

Ou, si vous préférez : les tiges qui disparaissent. Je parle d’une autre des « expériences mentales » d’Einstein qui implique la « théorie » voulant qu’une tige qui traversera l’espace deviendra plus courte à mesure qu’elle approche de la vitesse de la lumière et qui disparaîtrait complètement si elle l’atteignait. On constate pourquoi cette notion est fondée sur l’expérience « mentale »…

Comme nous l’avons déjà mentionné antérieurement, FitzGerald se pointa avec cette idée alors qu’il tentait de contourner les résultats de l’expérience Michelson-Morley (qui, elle, n’était pas une expérience « mentale » !). Essayant de résoudre les résultats de cette véritable expérience dont les conclusions confirmaient une Terre immobile, FitzGerald (ainsi que Lorentz, Poincaré, les autres et, plus tard, Einstein) esquiva tout simplement « l’impensable » conclusion. Alors, FitzGerald, dans sa recherche désespérée d’une autre manière d’expliquer comment la lumière se comportait dans cette expérience :

« …décida que tout objet matériel, lorsque se déplaçant dans l’espace absolu, doit de ce fait raccourcir dans le sens du mouvement. Cela inclut les bras de l’interféromètre de Michelson-Morley… »[15] [Alors comment des matériaux très fragiles et délicats, comme les ailes d’un papillon, par exemple, ne se désagrègent-ils pas ? Si le papillon va d’est en ouest, ses ailes devraient tomber en poussière, si le métal se rétracte. Vous voyez l’implication ?]

Einstein reprit l’idée, simplifia « tout objet matériel » pour en faire des « tiges » et utilisa un symbole mathématique inventé pour décrire le mythe en l’incluant dans ses équations comme si c’était aussi réel que 1 + 1 = 2. Et ainsi un autre bond de géant dans la logique fit son chemin dans le Grand Livre de Fables du physicien du 20e siècle.

On ne trouvera aucune science nulle part dans ces formules désespérées défiant toute logique (les horloges, les jumeaux, les tiges, les trains, les élévateurs, etc.). Elles ont été fabriquées, de façon presque sauvage l’une après l’autre, pour éviter de penser à « l’impensable » : une Terre stationnaire. Nordenson l’a bien dit :

« Ni Einstein, ni personne d’autre ne peuvent savoir quoi que ce soit concernant la signification physique de ces formules. Ce ne sont toutes que des constructions mathématiques sans signification physique connue. »[16]

Et voici une autre importante observation qui aide grandement à expliquer pourquoi cette bouffonnerie pseudo-scientifique continue à être transmise et entretenue par des gens que l’on dit apparemment intelligents et censément honnêtes :

« De nombreux étudiants, par ailleurs alertes, qui s’initient à la relativité, se font dérouter dans leur logique et perdent confiance en leur propre capacité de penser clairement alors qu’ils glissent dans le mysticisme et deviennent la prochaine génération des prêtres scientifiques. »[17]

Ce n’est pas une exagération. Ces praticiens de la pseudo-science contrefaite de Satan sont les prêtres d’un système de croyances qui interdit l’acceptation du système de croyance fondé sur la Bible. Qu’ils soient ou non conscients de leur rôle, leur « profession » est un Ordre Religieux. Il exige de ses prêtres qu’ils acceptent sans poser de question le principe fondamental que la Terre est un insignifiant accident qui orbite autour du soleil. Tout initié à ce sacerdoce doit dénoncer comme notion « impensable » une Terre qui ne tourne pas.

Voilà donc le premier commandement de l’Ordre : « Tu n’auras pas d’autre Dieu que nous, les “scientifiques”. Si le Dieu de la Bible te dit qu’Il a créé une Terre qui ne peut être remuée, tu ne dois pas le croire, mais croire à ce que nous disons ! Tu n’auras pas cet autre Dieu devant nous ! Si le Dieu de la Bible te dit qu’Il a créé Adam et Ève et toute autre vie pour qu’ils se reproduisent selon leur espèce, tu ne dois pas le croire, mais croire à ce que nous te disons, savoir, que les mutations et la sélection naturelle au cours de centaines de millions d’années produisit toutes les plantes, tous les animaux et la vie humaine qui existe et a existé. Puis, bien entendu, si ton Dieu te dit qu’Il a envoyé Son Fils unique, né d’une vierge, crucifié, ressuscité et préparant un Royaume éternel pour ceux qui aiment la Vérité, tu ne dois pas le croire ! Tu dois plutôt croire à ce que nous te disons, c’est-à-dire que la vie est une expérience accidentelle et sans signification qui se termine dans la tombe, et qu’il n’y a pas de Dieu avec un plan incluant Jésus et tout le reste. »

Nous avons donc ici deux Ordres Religieux. Et nous n’avons pas à nous poser la question à savoir lequel contrôle les centres d’éducation (i.e., d’endoctrinement) du monde, de la maternelle au doctorat ! Mais voici un fait plus significatif encore. L’autre Ordre Religieux, c’est-à-dire, les Églises chrétiennes, ceux dont la Bible est la seule raison de leur existence, est cet Ordre qui a renié la source de Vérité et s’aligne entièrement avec le « sacerdoce scientifique » et sa doctrine clé, l’héliocentrisme destructeur de la Bible. Il a également renié ses racines dans une proportion d’au moins 90 pour cent de ses églises en ce qui a trait à l’autre doctrine destructrice de la Bible, i.e., l’évolutionnisme du « sacerdoce scientifique ».

Voilà ce qui est arrivé. Et que reste-t-il, si ce n’est un Jésus sans la Bible, une sorte de bon gars parlant d’une utopie terrestre, une bonne personne religieuse sur un pied d’égalité avec Bouddha, Mahomet, Zoroastre et autres ? Oublié, le Jésus de la Bible, à Qui Dieu a donné toute autorité et tout pouvoir sur la Terre comme au Ciel, Qui détruira les œuvres de Satan, Qui est le Fils unique de Dieu (Matthieu 28:18). Ce Jésus-là est oublié. C’est ce qu’exige le « sacerdoce scientifique ». « Nous avons détruit le fondement de la croyance en ce Jésus-là, la Bible elle-même, » s’écrie le sacerdoce en toute confiance. Peu importe, voici, en relation avec tout ceci, quelques questions à votre intention, questions qui sollicitent des réponses logiques.

D’après vous, qu’est-ce qui est le plus logique :

A) Des tiges mathématiquement conçues qui raccourcissent et disparaissent à une vitesse croissante ?

OU

B) De vraies tiges qui ne sont pas affectées par la vitesse ?

____________________________________________________________________________

A) Des stations ferroviaires qui bougent ?

OU

B) Des trains qui bougent ?

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A) Des jumeaux qui sont tous les deux plus vieux et plus jeunes que l’autre après que l’un eut fait un voyage spatial mathématique ?

 OU

B) Deux jumeaux qui demeurent du même âge peu importe ce qui arrive ?

____________________________________________________________________________

A) Des horloges qui fonctionnent plus lentement et, en même temps, plus vite que l’autre ?

 OU

B) Des horloges qui donnent simultanément la même heure, si elles sont préalablement synchronisées avant que quelqu’un fasse un voyage spatial mathématique ?

____________________________________________________________________________

A) Que la matière explosa et produisit le soleil, la lune, les étoiles, ainsi que vous et moi et les arbres ?

 OU

B) Que tout cet ordre infini, cette précision et cet inéluctable design exigent, non seulement un simple Designer, mais un Designer omnipotent, omniscient et omniprésent ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’un tel Designer n’avait aucun Plan, aucun Dessein, aucun Motif menant à ce Design extraordinaire ?

 OU

B) Que l’attention méticuleuse portée à un éventail incroyable de détails dans tout le design mène à un Designer ayant un Plan et un Dessein ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’un tel Designer résolu eut gardé l’humanité — Sa création suprême — dans le noir quant à Ses Plans concernant la Terre ainsi que les nouveaux cieux et la nouvelle Terre éternels qu’Il a également conçus ?

 OU

B) Que le Designer résolu eut consigné Ses Plans dans une forme écrite expliquant tous les détails pour tous ceux qui Le rechercheraient diligemment, ainsi que Ses voies ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’ayant compilé ce contrat écrit passé avec ceux qu’Il a dit avoir créés à Son image, Il aurait permis à des copistes, à des traducteurs et à des espions de le tordre si gravement que nous ne pouvons plus en connaître le message ?

 OU

B) Qu’Il l’a gardé si pur que toutes Ses Vérités sont intactes et peuvent être séparées des enseignements de contrefaçon et des traditions par un effort diligent et conduit par le Saint-Esprit ?

____________________________________________________________________________

A) Que l’homme peut volontairement choisir certaines Vérités et en rejeter d’autres du Livre de Dieu et avoir néanmoins droit à la récompense de la vie éternelle dans le Royaume ?

 OU

B) Que personne préférant les mensonges à la Vérité ne peut entrer dans le Royaume ?

____________________________________________________________________________

A) Que la « science » a prouvé que le Livre de Dieu avait tort sur la question du géocentrisme, la création et le déluge de Noé et que, par conséquent, Il n’est pas fiable en ce qui a trait à Jésus et le reste du Plan ?

 OU

B) Que la « science » ne possède pas la moindre preuve irréfutable démontrant que la Terre tourne, ni que l’évolution soit arrivée, et toute déclaration du contraire n’est que mensonge sorti de ses livres religieux destinés, par le père du mensonge, à miner le Livre de Dieu ?

____________________________________________________________________________

A) Que Dieu n’exécutera pas exactement Son Plan tel que décrit dans Son Livre ?

 OU

B) Que, comme Il l’a dit, « un seul Iota, ou un seul trait de lettre ne passera point » ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’Il ne détruira pas l’œuvre du Diable, comme Il l’a écrit, et certainement pas ces deux œuvres puissantes que sont l’héliocentrisme et l’évolutionnisme ?

 OU

B) Qu’elles seront les premières à tomber parce que c’est sur elles que reposent toute la confiance moderne rebelle de l’homme en lui-même et tout son raisonnement cherchant à rejeter le Plan de Dieu pour y substituer le sien ?

Le test est un peu truqué… toutes les bonnes réponses étant B. Si vous avez un seul A, vous avez sans doute un petit problème de logique.

 

EN BAS DE LA CHEMINÉE

Réfléchissez à la navigation des avions bombardiers partant d’Angleterre, pendant la Deuxième Guerre Mondiale, pour se rendre vers leurs cibles de l’Europe nazie, même jusqu’en Allemagne. Disons que la latitude au niveau de la base des avions bombardiers, en Angleterre, est de 52º Nord et que la latitude de la cible est de 49º Nord. Environ 69 milles [110,4 km] séparent deux degrés. Ainsi, l’avion bombardier se rend à 210 milles [336 km] au sud. Maintenant, rappelez-vous que la Terre est supposée tourner à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] à l’Équateur qui est à 0º de latitude et fait 25 000 milles [40 000 km] de circonférence à partir de n’importe quel point de départ.

Les deux pôles sont à 90º de latitude de l’Équateur. À mi-chemin entre le Pôle nord et l’Équateur, c’est le 45º de latitude. Mais, si nous décollons à partir de cette latitude-ci et faisons le tour de la Terre en suivant le 45º de latitude, nous découvrons qu’il nous faut parcourir environ 17 700 milles [28 320 km] pour revenir à notre point de départ. Cela est bien clair, j’espère. La distance devient plus courte à mesure que l’on approche du pôle. Et, si la distance est plus courte, qu’en est-il de la vitesse qu’il faut pour faire le tour en une journée de vingt-quatre heures ? Vous devrez ralentir, sinon vous arriverez trop tôt.

Donc, au 45º de latitude, notre vitesse descend à 735 MPH [1 176 km/h]. Ainsi, si la vitesse supposée au niveau de l’Équateur est de 1 040 MPH [1 164 km/h] pour couvrir 25 000 milles [40 000 km] en 24 heures, par conséquent, à 45º de latitude, il faudra aller à 735 MPH [1 176 km/h] pour parcourir 17 700 milles [28 320 km] en 24 heures. Plus le degré de latitude au nord ou au sud de l’Équateur est éloigné de celui-ci, plus la distance est courte et la vitesse est moindre (d’environ 12 MPH [19,2 km/h] en moyenne) pour quelqu’un qui veut parcourir cette latitude en vingt-quatre heures.

Nous sommes sur le point de connaître une autre raison pourquoi la Terre ne peut pas bouger ! Donc, la base de l’avion bombardier se situe au 52º de latitude et, à partir de l’endroit où elle se situe, à midi, un jour donné, la Terre devra révolutionner exactement une fois jusqu’au midi du jour suivant pour que, selon le système copernicien, la base se retrouve exactement au même endroit. Et, puisque le 52º est plus près du Pôle de 7º que le 45º placé à mi-chemin, la Terre en-dessous de la base et les installations de la base n’auront qu’à voyager à 735 MPH [1 176 km/h] moins environ 85 MPH [136 km/h] ou 650 MPH [1 040 km/h] pour faire un tour complet en 24 heures. Et la cible étant à une latitude de 3º plus près de l’Équateur aura à voyager à une vitesse 35 MPH [56 km/h] supérieure à la base de l’avion bombardier.

Or, le navigateur du bombardier dresse son itinéraire à partir d’une carte aussi immobile au sommet qu’au bas ou que dans les côtés, et il calcule la distance et la vitesse en disant au technicien bombardier qu’ils seront au-dessus de la cible, disons, à 13h30 sans s’arrêter pour réfléchir à savoir si, après deux heures de vol, sa cible aura voyagé vers l’est à peu près trente-deux kilomètres plus rapidement que la base de l’avion bombardier. Maintenant, supposons que le technicien bombardier est jeune et plutôt effronté. Il dit au pilote de se maintenir à 30 000 pieds [9 146 m] d’altitude et qu’avec son fidèle viseur, il va lâcher une pièce de 2 000 livres [906 kg] directement dans la plus grosse cheminée de la région ciblée.

À 13h30, ils sont exactement au-dessus de la cible, comme le prédirent les calculs fondés sur une carte qui ne bouge pas et, effectivement, le technicien bombardier regarde au-travers de son fidèle viseur situé dans l’avion qui file à 240 MPH [384 km/h] et repère sa cheminée ! Celle-ci ne semble pas se déplacer à l’est sur une Terre en rotation à deux fois la vitesse de l’avion, mais semble plutôt immobile. Il positionne le réticule du viseur sur la cheminée et lâche quelques bombes. Il regarde et, en effet, une d’entre elles s’enfonce dans la cheminée et les autres frappent les bâtiments alentours. Mission accomplie. Le pilote fait demi-tour et retourne au bercail, inconscient de la soi-disant vitesse de la Terre changeant continuellement sous son avion. L’avion file plein nord en survolant les latitudes toujours plus lentes et atterrit à la base en plein centre de la piste. Trente-six heures plus tard, ils refont le même manège sur une cible située trois heures plus loin, dans les ténèbres totales, et il est démontré qu’ils frappent encore leur cible sans la manquer de 20 ou 30 milles [32 à 48 km] et ce, pour une seule et unique raison : parce qu’ils utilisaient pour leur navigation une carte fondée sur une Terre immobile.

Comme ces exemples le démontrent de manière évidente et inéluctable, de même que littéralement des centaines de milliers et peut-être des millions d’autres exemples de vols d’avions dans toutes les directions, avant et après notre illustration, la seule façon au monde qu’un navigateur puisse faire son travail est de procéder comme si la Terre est totalement immobile.

Mais alors, quelle est l’explication que le système copernicien fournit à cela ? Il dit que la Terre possède une « enveloppe atmosphérique » qui tourne avec elle… C’est là que la cheminée entre en jeu ! Nous allons nous débarrasser dès maintenant et une fois pour toute de ce non-sens d’une « enveloppe d’air baladeuse » et nous allons prouver que la Terre ne tourne pas !

Revenons à notre technicien bombardier ayant repéré la cheminée du haut de ses 30 000 pieds [9 146 m] d’altitude. Qu’il en fut conscient ou pas, ce jeune homme comptait sur l’attraction gravitationnelle pour attirer les bombes de l’avion vers les cibles. La vitesse de l’avion donna aux bombes une légère poussée vers l’avant laquelle est calibrée sur l’angle du viseur, mais elles se redressent très rapidement et tombent à la verticale comme si elles avaient été lâchées à partir d’un hélicoptère en suspension ou d’un ballon.

Donc, pendant 20 000 pieds [6 097m] environ, la seule force qui agisse sur les pièces de 2 000 livres [906 kg] est la gravité. Et ces bombes tombent bien droit à bonne vitesse et nous savons ce qui en est la cause : la gravité. Or, remarquez bien, SI la Terre tourne sur un axe, ces bombes se dirigent également en direction est à près de sept cents milles à l’heure [1 120 km/h] pendant qu’elles tombent !

Si elles avaient été lâchées sur une cible située sur l’Équateur — disons Quito — elles se dirigeraient alors vers l’est à mille quarante milles à l’heure [1 664 km/h] pendant qu’elles tomberaient verticalement attirées par la force de gravité. Cela semble vraiment étrange ! Si la Terre tourne sur un axe, ce devrait être exact. Aussi insensé que ça puisse être, ce devrait être comme ça. Or, les questions auxquelles personne ne peut répondre sont les suivantes : Quelle est le nom de la « force » qui peut tirer ou pousser une bombe de 2 000 livres [906 kg] toujours vers l’est au travers de l’enveloppe de l’air à 1 000 MPH [1 600 km/h] ou encore 700 MPH [1 120 km/h], selon la latitude, pendant que ces mêmes bombes tombent verticalement à plus de 200 MPH [320 km/h] sous l’action d’une force réelle et indéniable que l’on appelle la gravité ? Quelle est cette mystérieuse « force » que personne n’a jamais nommée ou vue en opération (excepté par les mathématiques ou sur un tableau noir !) ? Comment l’appelle-t-on ? Pourquoi cette « force » n’agit-elle que vers l’est et non vers un autre sens du compas ?! Quel est le mécanisme infiniment précis qui régit cette curieuse « force » sans nom pour qu’elle puisse pousser vers l’est une bombe de 2 000 livres [906 kg] dirigée vers une cheminée et ce, à n’importe quel degré de latitude, de l’Équateur aux Pôles et ajuster cette poussée transversale aux vitesses variant de 1 040 MPH à 0 MPH [1 664 km/h à 0 km/h] ??

Quelle est cette merveilleuse « force » obéissante si incroyablement puissante, tellement juste et précise, si bien ancrée dans sa direction orientale, qu’elle peut mouvoir ces bombes transversalement dans les airs plus vite que ne peut les attirer l’attraction vers le bas, entre 0º N et 80º N de latitude, puis de là à la latitude 90º les pousser de côté dans les airs plus lentement que la gravité ne les tire vers le bas ? Quelle est l’énigme innomée de cette « force » qui transporte 2 000 livres [906 kg] de bombes par le côté à une vitesse allant jusqu’à 1 040 MPH [1 664 km/h] à travers et entourées d’un air qui n’a pratiquement pas de poids, de volume, de densité ou de masse, par comparaison, et qui vont pourtant à la même vitesse, conduites et activées par cette « force » vraiment mystérieuse qui doit aussi régulariser et équilibrer la vélocité transversale des bombes très rapidement à chaque pouce d’altitude qu’elles tombent puisque sa vitesse en direction est se détermine aussi par l’altitude ? Quel est le nom de cette foutue « force » impossible et inexistante absolument nécessaire à la folie d’une Terre-qui-tourne ?

C’est Napoléon, croit-on, qui a dit que l’homme serait prêt à croire n’importe quoi afin de se garder de croire ce que dit la Bible. Regardons maintenant quelques « faits » héliocentriques à propos de la vitesse de la Terre…

VITESSES — QUATRE AU PLANCHER

Dans le système copernicien, la Terre se déplace dans quatre directions à quatre vitesses différentes, tout le temps. En réalité, la théorie héliocentrique exige qu’au moins deux de ces vitesses impliquent un constant ralentissement ou une accélération. Plus étrange que la fiction, il n’y a aucune preuve pour soutenir cela et c’est logiquement impossible. Nous avons déjà vu quelques références à ces vitesses sous des entêtes antérieures. Nous voulons maintenant examiner ce qu’il en est réellement et jusqu’à quel point ces vitesses sont ridicules.

PREMIÈRE VITESSE

(L’hypothétique vitesse de rotation )

Tous les livres traitant de ce sujet feront, comme l’exemple suivant, référence à ceci :

« …la vitesse de la rotation de la Terre est d’environ 1 000 milles à l’heure [1 600km/h] à l’Équateur… »[18]

Il est facile de savoir comment l’on détermine cette vitesse, car il ne peut y avoir d’autre réponse puisque la circonférence de la Terre autour de l’équateur est de 25 000 milles [40 000 km] et que la longueur d’une journée complète est de 24 heures. Pour que la Terre fasse une révolution complète en 24 heures, dans le système héliocentrique, la vitesse doit être d’un peu plus que 1 000 MPH pour couvrir les 25 000 milles. En fait, le calcul donne 1 040 MPH [1 664 km/h] ou 17 milles à la minute [27,2 km/m] ou, si vous préférez, .28 milles à la seconde [.45 km/s]. Ou, si vous avez un meilleur sentiment de la vitesse en parlant de pieds [ou mètres], pensez à 1 478 pieds à la seconde [45 m/s].

Rappelez-vous que c’est à cette vitesse que la Terre doit tournicoter à chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour, selon l’opinion héliocentrique. (La Bible, elle, dit que la Terre tourne à zéro MPH [0 km/h]). Examinons un peu plus cette question de vitesse, cette fois en rapport avec le supposé mouvement de la Terre autour du soleil, une fois par jour.

DEUXIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse orbitale)

Encore une fois, nous pouvons dire que tous les livres traitant de ce sujet donneront la même réponse parce qu’il n’y a qu’une seule manière d’arriver au calcul. La distance entre la Terre et le soleil (bien qu’elle varie, nous dit-on, de 2 000 000 milles [3 200 000 km] durant l’année) s’établit à 93 000 000 milles [148 800 000 km]. C’est le rayon que l’on double pour obtenir le diamètre de l’orbite que l’on multiplie par 3,14 pour avoir la circonférence. Comme le confirmera votre calculatrice de poche, cette circonférence approche 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Quel que soit le corps en mouvement (la Terre dans le système héliocentrique, le soleil dans le système géocentrique), il parcourt une orbite de 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Pas besoin d’argumenter là-dessus. Par conséquent, employant le langage héliocentrique que l’on a enseigné au monde entier comme étant correct et scientifiquement éprouvé, Branley dit que :

« …la Terre se déplace très rapidement dans son mouvement autour du soleil : environ 18,5 milles à la seconde [29,6 km/s]… »[19]

Bon, eh bien , 18,5 milles sur un claquement de doigt, c’est plutôt rapido, n’est-ce pas ? Voyons voir… Ça nous fait 18,5 milles x 60 secondes, ce qui nous donne 1 110 milles à la minute [1 776 km/m]. Ça équivaut à New York/Miami en une minute (ou Paris/Casablanca). Ensuite, nous prenons ce 1 110 milles à la minute et le multiplions par 60 pour obtenir le nombre de milles à l’heure. Qu’avez-vous ? 66 600 MPH [106 560 km/h] ? Moi aussi.

Fumant, n’est-ce pas ? J’ai lu en quelque part qu’une balle de fusil voyage à 2 000 MPH [3 200 km/h]. Pensez-y un instant. Nous sommes ici sur une belle grosse sphère appelée Terre, censée tourner autour du soleil, en ce moment même, et tout le temps à plus de 66 000 MPH [105 600 km/h], ou à plus de 30 fois la vitesse d’une balle de fusil !

¡Es muy rapido ! Si. Donc, d’après l’idée héliocentrique, tout le monde sur Terre — qu’on ait ou pas sa ceinture de sécurité — va à plus de 1 040 MPH [1 664 km/h] dans un mouvement de rotation et, en même temps, poursuit une orbite gigantesque à plus de 66 600 MPH [106 560 km/h]. Superman, que l’on décrit comme celui « qui va plus vite qu’une balle de fusil », en pleine vitesse, ressemble à un Super Escargot à côté du moindre des Terriens, alors que nous le perdons dans la poussière à trente fois sa vitesse, jour et nuit.

Tenez vos jupes, mesdames, accrochez bien vos chapeaux, messieurs, car il y a plus…

TROISIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse galactique)

L’écrivain Collins la détermine exactement pour nous :

« La Voie Lactée est une galaxie de type-S … Cette roue gigantesque tourne sur elle-même une fois tous les 225 millions d’années, à une vitesse équivalente à 776 000 km/h (486 000 MPH). »[20]

Sept cent soixante-seize mille kilomètres à l’heure ! Merci du peu ! Ensuite, notre gros Scientifique ajoute :

« Donc, non seulement notre Terre tourne-t-elle autour du soleil, mais, avec le soleil et toutes les autres étoiles, elle tourne aussi en rond autour du centre de notre galaxie. La dernière fois que nous nous sommes trouvés dans la même position, ce fut durant l’Ère carbonifère, avant que les dinosaures ne règnent sur le monde. Depuis que la Terre s’est refroidie pour prendre forme solide, il y a quelque 4 500 millions d’années, nous avons fait vingt fois le tour de la Voie Lactée… »[21]

L’astronome Hoyle conclura notre exposé de la troisième vitesse par cette citation où il écrit concernant :

« …la vitesse journalière de près d’un demi-million de milles à l’heure autour de la Galaxie. »[22]

1 000 MPH [1 600 km/h]. 66 600 MPH [106 560 km/h]. 500 000 MPH [800 000 km/h]. Étrange, n’est-ce pas ? Relevez le toit de votre convertible et vous serez tout dépeigné à partir de 30 km/h. Lorsque vous arrivez au bas d’une pente de montagne russe à près de 100 km/h, ça ne vous dit pas d’aller plus vite. Ou peut-être avez-vous déjà vu ce que des vents de 160 km/h peuvent faire dans un ouragan. Et ici, nous allons chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit (selon ce que nous dit la « science ») plus vite que la vitesse du son, dans un sens, trente fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un autre sens, et deux cent cinquante fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un troisième sens, et ça ne fait même pas claquer votre faux-col ! Fascinant, n’est-ce pas, que nous devions faire partir le ventilateur pour nous éventer un peu lors d’une journée chaude et totalement calme quand pas une feuille ne bouge. Étonnant que les oiseaux vont ici et là, ainsi que les cerfs-volants, les avions ou les nuages. Tout à fait étonnant.

Vous savez, si les « scientistes » ne nous avaient pas dit autre chose, nous pourrions vraiment croire que la Terre est parfaitement immobile ! Cela vous démontre comment quelqu’un peut ne pas arriver à croire ce qu’il peut voir de ses propres yeux, entendre de ses propres oreilles et sentir avec tout son corps ! En outre, on nous dit qu’il y a encore une vitesse de plus qui n’a pas encore été mentionnée, et l’on ne peut pas non plus la détecter.

Il s’agit de la…

QUATRIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse du Big Bang)

Qu’est-ce que c’est que ça ? Vous savez, c’est le gros « œuf cosmique », dit-on ; celui dans lequel étaient empaqueté toutes choses dans l’univers, il y a longtemps de ça : le soleil, la lune, les étoiles, vous et moi, les arbres, ce bon vieux Fido, le fer et l’or, les cochons et les grenouilles, les poissons et les pétunias, les images télé, le Coca-Cola, tout, quoi. Vous pigez ? Sans commentaire.

Ensuite, cet « œuf » se mit à subir une pression interne si forte que, n’y pouvant plus tenir, il creva… C’est-à-dire que ce machin explosa littéralement comme une gigantesque grenade… Et tous ces morceaux volèrent en éclats dans toutes les directions. Et les « scientistes » disent que tous ces éclats s’arrondirent et se mirent en orbite, mais que tout, y compris la Terre, s’éloigne encore de l’explosion de l’œuf à une vitesse hallucinante.

À quelle vitesse ? Qui sait ? Comment savoir la vitesse de ces éclats ? En tout cas, très rapidement. Mais ça n’a que peu d’importance parce que nous n’en ressentons aucun effet, comme nous ne sentons pas la première vitesse à 1 040 MPH [1 664 km/h], ou la deuxième vitesse à 66 600 MPH [106 560 km/h] ou la troisième vitesse à 500 000 MPH [800 000 km/h]. donc, admettons que la quatrième vitesse est de, disons, 2 000 MPH [3 200 km/h]. Pourquoi ? Nous savons qu’une balle de fusil file à 2 000 MPH et c’est un genre d’explosion qui fit partir la balle… Ainsi, nous avons une quatrième vitesse d’environ 2 000 MPH. Tiens, pourquoi ne pas l’insérer entre la première de 1 040 MPH et la deuxième de 66 600 MPH ? On fait reculer les deux autres et hop ! voilà l’travail !

Maintenant, si nous passions aux satellites artificiels… ?

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[1] Hazelett et Turner, Le mythe d’Einstein, p. 290.

[2] Ibidem, pp. 21-22.

[3] Ibidem, p. 3.

[4] Dingle, Croisée des chemins, p. 17.

[5] Ibidem, p. 45.

[6] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe Einstein et les papiers d’Ives, Q. Arthur Lovejoy, Ronds carrés, (Old Greenwich, Conn., The Devin-Adair Co., Pub., 1979), p. 35.

[7] Ibidem, p. 36.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 38.

[11] Dingle, Croisée des chemins, pp. 138-139.

[12] Ibidem, p. 139.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 140.

[15] Hazelette & Turner, Le mythe Einstein, p. 55

[16] Harald Nordenson, La relativité, le temps et la réalité, (George Allen ltée, Londres, 1969), p. 82.

[17] Hazelette, Mythe, p. 88.

[18] Branley, La lune, p. 17.

[19] Ibidem, p. 16.

[20] Williams Collins, L’espace, (William Collins & Sons, Ltée, Glasgow & Londres, 1979), p. 10.

[21] Ibidem.

[22] Hoyle, Frontières, p. 226.




D.147 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-2

 

CINQUIÈME PARTIE

(2)

LES MARÉES

Personne ne se disputera à propos du fait qu’il y a une relation entre ce que fait la lune et ce que font les marées. Après tout, la Bible dit que la lune fut destinée à servir de « signe » à l’homme (ce qui inclut le phénomène des marées) par les « saisons » et en donnant aussi de la lumière.

Cependant, dire qu’il y a une relation ou une connexion entre la lune et les marées est une chose ; dire que la lune cause et contrôle les marées terrestres (comme on l’a enseigné à tout le monde) en est une autre.

Tout d’abord — puisque Dieu a dit que l’un de Ses buts, en faisant la lune et en lui commandant de fonctionner comme elle le fait, est précisément en vue d’aider l’homme à mesurer les marées, à planter, à moissonner, etc. — nous voyons que la relation est surnaturelle. Il y a des « signes » et ils ont toujours marché pour ceux qui savent les lire. Donc, il y a une relation ou une connexion entre le comportement de la lune et l’apport de connaissance utile et nécessaire à l’homme.

Ensuite — puisque la « science » dit pouvoir expliquer toutes choses de manière naturelle, sans Dieu, et qu’elle désigne toute explication surnaturelle comme étant des superstitions soutenues par des gens obscurcis — nous voyons que l’évidente connexion entre le comportement de la lune et certains phénomènes tels que les marées doivent être expliqués de façon naturelle par l’establishment scientifique.

Ainsi, Dieu donne Ses explications surnaturelles des marées et l’homme les rejette et nous arrive avec des interprétations purement naturalistes, c’est-à-dire, que l’attraction gravitationnelle de la lune (assistée de l’attraction solaire) cause les marées.

L’une de ces explications constitue la Vérité et l’autre un mensonge. Regardons si nous pouvons trouver laquelle est laquelle. Premièrement, relevons certains faits et voyons où cela nous mène logiquement. Par exemple, il y a ce fait d’une zone de gravité neutre entre la Terre et la lune. Je cite pour cela une lettre en provenance de la NASA et datée du 5 avril 1990 et qui aborde cette matière :

« …En directe ligne de la Terre à la lune, nous trouverions des effets gravitationnels égaux à approximativement 216 000 milles [345 600 km], étant donné une distance moyenne de 240 000 milles [384 000 km] entre les deux corps… »[1]

D’autres sources confirment ce fait logique. Les Illustrations XIV et XV sont tirées des bouquins de l’un des scientistes célèbres dans le domaine des fusées, Werner von Braun. Elles dépeignent cette zone neutre de gravité.

Illustration XIV

                                                             

Illustration XV   

Donc, tout ce qu’on nous décrit ici doit logiquement être vrai si les statistiques à propos de l’attraction gravitationnelle de la Terre et de la lune sont exactes. On dit que la gravité de la Terre est six fois plus élevée que celle de la lune, ou, dit autrement, la gravité de la lune est de 1/6 ou 17 pour cent par rapport à celle de la Terre.

En quelque part entre les deux corps, l’attraction de l’un prend le pas sur l’attraction de l’autre. À ce point précis (que la NASA dit être en moyenne à 216 000 milles [345 600 km] de la Terre et que von Braun confirme) il y a une zone neutre de gravité où l’attraction gravitationnelle de la Terre devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la lune et, à ce même point, l’attraction gravitationnelle de la lune devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la Terre.

Le concept de la gravité et tous les soi-disant faits et les supposées lois qui décrivent les champs gravitationnels de la Terre et de la lune exigent cette situation. Bon, gardez cela à l’esprit pendant que nous lisons ce que la « science » dit concernant les marées sur Terre.

Ce que dit la « science », c’est que l’attraction de la gravité lunaire s’étend au-delà de la zone de gravité neutre (qui ne pourrait attirer un ballon rempli de plumes, un cheval mort ou l’Astrodôme) et continue au-delà de 50 000, 100 000, 216 000 milles [80 000 km, 160 000 km, 345 600 km] et suce la bonne vieille Terre vers elle comme si c’était un ballon de caoutchouc ! Je sais que c’est incroyable ; je sais que c’est insensé, mais c’est ce que l’explication naturaliste (i.e., « scientifique ») exige de la lune. Lisez-le par vous-mêmes dans ces exemples (que l’on répète dans tous les volumes sur le sujet) :

« Aussi étrange que cela puisse paraître, la Terre que nous croyons normalement être un corps solide est aussi affecté par la lune, ce qui provoque une marée. La masse terrestre est élastique et se soulève et s’affaisse réellement d’environ 4½ pouces [11,4 cm]. Nous ne sentons pas ces marées terrestres (…), mais elles ont lieu. »[2]
Dans son livre L’effet lunaire, Lieber dit :

« …l’attraction lunaire déforme la Terre comme si c’était un ballon de caoutchouc. Le continent Nord-américain peut se soulever jusqu’à six pouces [15 cm] lorsque la lune est au-dessus. »[3]

Le célèbre écrivain « scientifique », Asimov, a écrit :

« …la Terre, pour ainsi dire, s’étire en direction de la lune. La Terre solide ne s’étire pas de beaucoup, toutefois (seulement de neuf pouces [22,7 cm] de chaque côté), et seules des mesures délicates peuvent démontrer cet étirement. »[4]

Il mentait à propos des « mesures délicates », évidemment. Aucune mesure ne démontre cela (ni ce que disent les autres) ou ne pourrait le montrer. Les décorations mathématiques dérivant ou supportant de ces folles hypothèses peuvent montrer un étirement de 9” [22,7 cm] (deux fois plus que ce que vient de dire l’autre gars), mais aucune mesure n’a ou ne peut le montrer. Dans un bouquin « scientifique » pour enfants, nous lisons :

« Or, le sol terrestre ne bouge pas facilement, mais les eaux oui. Les eaux du côté terrestre le plus près de la lune s’amoncellent dans un « renflement », provoquant la marée haute. Mais en même temps, il y a une marée haute de l’autre côté de la Terre. D’après vous, quelle en est la raison ? Voici la réponse. Pendant que la gravité lunaire attire l’eau plus près d’elle un peu au-delà de la Terre, elle attire aussi toute la Terre un peu en dessous des eaux océaniques du côté le plus éloigné, y incitant une seconde haute marée. »[5]

Dans La lune : satellite naturel de la Terre, l’auteur Bradley dit la même chose en expliquant son diagramme sur le phénomène de la marée :

« …l’océan E [le plus éloigné de la lune], parce qu’il est beaucoup plus loin, n’est pas attiré vers la lune autant que le sol ferme ; la Terre est soutirée de l’eau ; et l’eau est, par conséquent, plus profonde durant cette partie du cycle des marées. »[6]

Bradley s’enfonce ensuite dans des chiffres qui sortent du mythe auquel il croit, chiffres si contradictoires que c’en serait comique si le monde n’était pas hypnotisé par cette séduction :

« La force lunaire qui soulève les marées est vraiment très faible comparée à la force de la gravité. La force lunaire de soulèvement des marées est environ le 1/9 000 000 de celle de la gravité terrestre… »[7]

Wow ! Un neuf millionième ! Voyons voir ; cela veut dire que l’attraction de la Terre vers son propre centre à l’endroit de sa propre croûte, ses océans et ses mers est neuf millions de fois plus puissante que l’attraction de la lune sur les même items, n’est-ce pas ? Neuf millions contre un ! Héï ! N’est-il pas suprêmement étonnant que neuf millions de mulets-vapeurs puissent tirer quelque chose dans un sens et qu’un seul mulet-vapeur puisse surmonter tout ça à chaque heure de chaque jour, étirer la Terre et faire en sorte que des zillions de mètres cubes d’eau changent de place partout ! Oui, assez étonnant, surtout lorsque cet unique mulet-vapeur s’arrête à 216 000 milles [345 600 km] dans la zone de gravité neutre ! Mamma mia !

Eh bien, il faudrait un bouquin entier pour entrer dans les théories insensées qui reposent sur l’idée centrale que la gravité lunaire étend ses doigts fantômes en dehors de sa cour, traverse les 216 000 milles [345 600 km] de la gravité terrestre et déforme comme de la pâte à pain un corps qui possède 81 fois sa propre masse et 50 fois son volume.[8] Et si l’on imaginait, maintenant, par le même principe, ce que devrait faire l’attraction terrestre sur le globe caoutchouteux de la lune ! Hein ? Ce devrait être un effet 6 fois supérieur à ce que l’on croit que la lune exerce sur la Terre, non ? Vous imaginez la déformation ? Comment ne pourrions-nous pas nous en apercevoir ?

Ce non-sens est, en tout ou en partie, la niaiserie de « l’entraînement des marées » pondue par le fils de Charles Darwin, Sir George Darwin. Ce concept dit que le mouvement des marées a causé un frottement à l’encontre de la rotation de la Terre, ce qui l’a fait ralentir d’environ 1/1000 de seconde par siècle (!) depuis 5 milliards d’années.[9] Un autre auteur traitant du même sujet en arrive à 14 secondes de ralentissement par siècle. En tous les cas, Sir George débuta son calcul à partir de l’époque hypothétique où la Terre faisait un tour sur elle-même à toutes les cinq heures et que la lune était si proche qu’on aurait pu lui botter le train. Toutefois, le frottement répété des marées l’aurait ralenti au cours des milliards d’années pour l’amener à tourner toutes les 24 heures à une vitesse de 1 034 MPH [1 654,4 km/h] et que, d’une manière ou d’une autre, la lune recule à sa distance actuelle. George ne s’arrêta pas là, mais s’attendit à ce que, dans le futur…

« …après des milliards d’années, la Terre aura besoin de 47 jours pour effectuer une rotation et la lune fera le tour de la Terre en 47 jours. »[10]

Pour avoir conçu ce « concept » (ni plus ni moins tordu et non-scientifique que le « concept » évolutionniste de son pôpa Charles), George est intronisé au Temple de la Renommée des Ligues Mineures dans n’importe quel livre que vous ouvrez sur le sujet et il a été adoubé « Sir » par dessus le marché. On se demande qui est en charge du système mondial de reconnaissance et du reste, n’est-ce pas ? (Bien sûr, la Bible dit qu’il est permis à Satan le Séducteur d’être le dieu de ce monde avant d’en être chassé pour toujours. Si c’est vrai — et il n’y a aucune raison d’en douter — il est parfaitement compréhensible que les individus qui mettent les séductions de Satan de l’avant dans le monde soient devenus des figures importantes dans tous les aspects du système mondial.)

Puis, il y a la partie de cette imbécillité de « gravitation-qui-cause-les-marées » qui introduit l’effet gravitationnel du soleil. Ça nous raconte comment la gravité du soleil assiste et contrebalance en même temps l’attraction lunaire pour produire les marées d’équinoxe et les marées des mortes-eaux distantes d’une semaine. Le même principe s’applique. Et il y a ensuite l’effet supposé de la gravité lunaire sur l’atmosphère terrestre… Et ainsi de suite. Quand je vous dis qu’il faudrait tout un bouquin !

Néanmoins, il n’a pas échappé à l’attention du lecteur, qui a eu la patience de lire jusqu’ici, que les vastes éons de temps, exigés pour que se répande toute cette bouffonnerie cosmique remplissent, comme une main dans son gant, les besoins de l’autre grand mythe de l’histoire moderne qu’est l’évolutionnisme. Le temps est le grand héros de ces deux complots ! Les deux ont un même auteur. Un même futur est réservé aux deux, c’est-à-dire, la dénonciation et la destruction par la Vérité de Dieu dans la Chute prochaine de Babylone. Nous en parlerons davantage plus loin.

Mais pour être sûr que l’on comprenne bien que tout ce concept d’étirement de la Terre causant les marées fait nécessairement partie intégrante de la « sagesse » et la « connaissance » naturaliste, humaniste et héliocentrique regardant les marées, examinons un autre exemple. Croyez-le ou non, ce joyau se trouve dans le magazine des ornithologues Audubon, de septembre 1989. Il s’agit d’un essai intitulé Attraction de la lune. L’auteur, Steinhart, y insère la « sagesse » conventionnelle concernant les marées d’une manière qui en dit long sur la profonde pénétration du mythe :

« Il y avait beaucoup de raisons pour que les anciens adorent la lune. La lune exerce une profonde influence sur la Terre. Lorsqu’elle passe au-dessus, sa force gravitationnelle attire un renflement d’eau océanique et provoque les marées. Quand elle s’enligne avec le soleil ou qu’elle est à son opposé — lors des nouvelles ou des pleines lunes — les marées sont plus hautes. Elle provoque même un renflement du sol quand elle passe. Moscou s’élève de 20 pouces [48 cm] deux fois par jour. Et, par moments, l’Empire State Building est soixante-trois pieds [19,3 m] plus près de la Tour Eiffel. Parce qu’elle tire plus fort sur tout ce qui est plus près, elle attire le sol plus qu’elle n’attire l’eau du côté éloigné de la Terre. Il y a donc aussi un renflement d’eau de l’autre côté du globe — une deuxième marée haute quotidienne. »[11]

Bon. Assez d’exemples. En termes peu compliqués, à l’intérieur de l’endoctrinement mondial dans l’héliocentrisme, il faut qu’il y ait un mécanisme expliquant le mouvement des corps célestes, ce qui les garde en place, etc.. Cette explication, ou ce mécanisme, on l’appelle « La Loi de la Gravitation Universelle ». On en a crédité Newton, mais c’est Kepler qui en trouva la première formule, comme nous l’avons vu. Cette « Loi de la Gravité Universelle » est enseignée et crue par tous sans exception, mais cela demeure néanmoins un concept absolument insensé qui viole et contredit son principe magnétique essentiel chaque seconde de chaque jour, année après année.

Même si, momentanément, l’on pouvait engager un cerveau qui puisse concevoir le sensible équilibre entre les forces gravitationnelles, disons, de la Terre et de la lune, un équilibre qui serait atteint par la distance la plus précise, exacte et invariable possible entre deux corps, alors ce même cerveau deviendrait tout ahuri lorsqu’il serait confronté au fait que pareille distance stable n’existe nulle part entre ces deux corps (ni les autres, d’ailleurs !). En effet, la réalité indéniable, c’est que la distance entre la lune et la Terre varie régulièrement de plus de 31 000 milles [49 600 km] ! Lorsque la lune s’approche de plus en plus près de la Terre, elle subit l’attraction terrestre de plus en plus fort. Comment peut-elle donc alors résister à cette attraction et la combattre ? Par contre, lorsqu’elle s’éloigne à son apogée et qu’elle s’échappe de plus en plus de l’attraction de la Terre à une vitesse incroyable, comment peut-elle arrêter son éloignement et revenir ensuite ?

La gravité n’explique pas cela. Elle ne peut expliquer cela. La gravité n’explique pas les marées. Elle ne peut pas l’expliquer. C’est la même chose pour l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil. Le simple fait est, qu’à certaines époques de l’année, nous sommes plus près de deux millions de milles [3 200 000 km] du soleil qu’à d’autres époques de l’année.

L’explication de la gravitation pour démontrer pourquoi les corps célestes réagissent comme ils le font ne contient aucune preuve scientifique. C’est un non-sens de A à Z, une contradiction, une notion illogique et impossible perpétrée envers le monde par vous-savez-qui afin de discréditer la Bible.

En fait, la gravitation universelle est une hypothèse dépourvue de sens et stupide, exactement comme le mécanisme de « sélection naturelle » de Darwin est aujourd’hui reconnu comme une hypothèse insensée et idiote, incapable d’expliquer l’évolutionnisme. Ces deux folles hypothèses ont le même être pour auteur, Satan le Séducteur. Elles ont toutes deux le même but : miner la crédibilité des Écritures. Elles partageront le même destin : la dénonciation en tant que mensonges auxquels ne peuvent adhérer que ceux qui n’ont pas reçu l’amour de la vérité (2 Thessaloniciens 2:10), ceux qui adoptent de manière « volontaire » ces mensonges, même s’ils connaissent mieux (2 Pierre 3:5) ; bref, par ceux dont le dieu réel est le père du mensonge (Jean 8:44).

LES ÉCLIPSES

Tout le monde a entendu parler des éclipses. À peu près tout le monde en a vu une sinon plusieurs. Il y en a deux sortes : l’éclipse solaire (soleil) et l’éclipse lunaire (lune). On les explique comme ceci :

« Le nombre maximum d’éclipses est de sept par année — cinq solaires et deux lunaires, ou quatre solaires et trois lunaires. Le minimum est de deux éclipses, toutes les deux solaires. »[12]

Lorsque la lune bouche le soleil, il s’agit d’une éclipse solaire : la lumière du soleil est éclipsée. Quand c’est la Terre qui bloque la lune, il s’agit d’une éclipse lunaire : la Terre éclipse la lumière solaire apparaissant sur la lune. Éclipse veut simplement dire : obstruction de la lumière d’un corps céleste par un autre.

Bon. Maintenant, regardez une copie d’article de journal (Illustration XVI) provenant du Asheville N.C. Citizen du 30 mai 1984. (Des douzaines d’autres journaux rapportèrent la même chose, évidemment.)

Vous prendrez note que le reportage parle d’un événement futur. Il parle d’une éclipse devant survenir le jour suivant la parution de l’édition du journal. Il dit précisément où passera l’ombre et quand elle atteindra chaque localité de la carte. Est-ce que, le jour suivant, tout arriva comme l’avait dit le reportage ? Absolument. En plein dans le mille. Perfectemente. Mais comment tout cela fut-il calculé ?

Disons, pour commencer, que l’homme sait comment faire depuis les temps anciens. Ce n’est donc pas du nouveau. Évidemment, la technologie va bien plus loin, grâce aux faits tirés des films pris du phénomène, mais le calendrier des éclipses est calculé avec grande précision depuis de nombreux siècles.

Illustration XVI

Oui… mais comment calcule-t-on une éclipse ? Allons voir quelques éclaircissements dans l’Encyclopédie Britannica. Arrivés à la partie que nous recherchons, nous trouvons l’explication suivante, sous l’entête Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires :

« Le problème se subdivise en deux parties. Le premier est de trouver quand arrive une éclipse ; l’autre est de déterminer quand et où elle sera visible. »[13]

Or, remarquez ce qui suit avec attention :

« À cette fin, IL EST COMMODE DE CONSIDÉRER D’ABORD LA TERRE COMME ÉTANT FIXE et supposer que l’observateur regarde à partir de son centre… »[14] (emphase ajoutée)

Cela signifie-t-il que tous les calculs précis et les statistiques exactes pour savoir où se déplace l’ombre pendant une éclipse sont effectués sur la base d’une Terre immobile, totalement stationnaire, i.e., « fixe » ?? C’est exactement ce que ça dit !

Une minute… Si toutes ces statistiques sont basées en fonction d’une Terre immobile et qu’elles s’avèrent toutes justes, cela ne prouve-t-il pas que la Terre ne bouge pas ? Car, enfin, l’ombre ne peut pas aller dans le même sens si la Terre tourne à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] que si elle est immobile !

Cependant, des scientistes aveugles vous dirons que cela n’a aucune importance, que tout est relatif à l’endroit d’où vous observez et toutes ces âneries. Ils vous ferons remarquer que la citation de l’Encyclopédie dit « …il est commode… » d’employer une Terre fixe pour obtenir les bons résultats, mais que les mêmes résultats seraient atteints en se basant sur une Terre en rotation, etc.. Mais nous pouvons constater la vérité au cœur de l’affaire : c’est-à-dire que nous pouvons vraiment PROUVER que la Terre ne tourne pas à partir de cette simple illustration, à condition d’oublier notre endoctrinement, refuser de bouger sur les faits et défendre que toute hypothèse non-soutenue contredise les faits. D’accord ?

Fait numéro un : L’ombre d’une éclipse solaire va dans une certaine direction. Fait numéro deux : Cette direction est prévisible avec précision avant que n’arrive l’éclipse. Fait numéro trois : Ces prévisions précises sont obtenues en commençant d’abord avec une Terre « fixe » (immobile). Fait numéro quatre : Les calculs obtenus et fondés sur une Terre fixe ne pourraient pas être obtenus correctement s’ils étaient appliqués à une Terre qui tourne à plus de 1 300 pieds/seconde [400 m/s] à l’Équateur. Ce n’est tout simplement pas possible ! Pourtant, on nous dit encore que ce qui est impossible arrive vraiment ! On nous dit que les calculs écliptiques qui sont basés et ne peuvent s’appliquer qu’à une Terre qui ne tourne pas fonctionnent exactement et précisément de la même façon avec une Terre qui tourne plus vite que la vitesse du son, dans un sens, 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans une autre direction, et 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans une troisième direction !!

À tous ceux qui désirent la Vérité, Dieu, par Sa Parole, assure qu’Il n’est pas l’auteur de la confusion (1 Corinthiens 14:14), qu’Il nous a fait don d’un esprit de force, de charité et de prudence (2 Timothée 1:7). Il a dit qu’Il a suspendu la Terre sur le néant et qu’elle ne sera point ébranlée (Job 26:7 ; Psaume 93:1). Il a dit que le soleil fait le tour de la Terre chaque jour (Psaume 19:6) et qu’Il a stoppé le mouvement du soleil (pas celui de la Terre) en réponse à la prière de Josué (Josué 10:13).

Beaucoup de chrétiens disent, comme l’étiquette sur leur pare-choc : « Dieu l’a dit ; je le crois ; et ça règle le cas. » Le fait est que cela ne change rien si nous croyons ou non à quelque chose que Dieu a dite dans Sa Parole : c’est vrai quand même ! Mais si quelqu’un fait partie des 3 pour cent environ de la population mondiale qui croient que la Parole ne contient pas d’erreur, ils croiront donc que la Terre ne bouge pas parce que c’est écrit et non pas parce que d’autres y croient ou non. Et Dieu a établi la direction de l’ombre écliptique pour prouver l’immobilité de la Terre telle que stipulée dans Sa Parole !

Et, en passant, la direction que prend l’ombre des éclipses solaires est toujours l’est. Dans son livre, La lune, l’auteur Brenna confirme le fait :

« Les éclipses solaires surviennent lorsque la lune se positionne entre le soleil et la Terre (…) Ce cercle sombre [l’ombre] se déplace en direction est sur la surface de la Terre… »[15]

Combinez ce fait réel avec l’hypothèse de la supposée rotation de la Terre en direction est et n’importe qui pourra s’apercevoir bien vite que cette rotation ferait en sorte que l’ombre se dirigerait vers l’ouest et non vers l’est parce que la Terre se dégagerait toujours plus vite que ce que l’ombre peut se déplacer. En fait, CE PHÉNOMÈNE NOUS FOURNIT UNE DÉMONSTRATION VISUELLE DE L’ABSENCE D’EFFET CORIOLIS !!

A ce moment-ci, tout un chacun réalisera la nécessité de fonder les prédictions concernant la course de l’ombre sur une Terre « fixe » !! Par conséquent, en reprenant l’exemple d’une éclipse solaire (celui d’une éclipse annuelle prise dans le journal de 1984) ou tout autre exemple du genre, nous pouvons clairement constater ce qui arriverait vraiment si la Terre tournait pendant une éclipse : toutes les prédictions seraient toujours fausses !

En vérité, les prédictions basées sur une Terre immobile fonctionnent pour une seule raison, c’est-à-dire que la Terre EST fixe ! Point à la ligne et changeons de paragraphe !

De fait, les calculs qui disaient, dans notre exemple, que l’ombre se déplacerait de la Nouvelle-Orléans vers Washington, en passant par Atlanta, s’avérèrent le jour suivant. Les mêmes calculs auraient été faux si la Terre se déplacerait vraiment à 1 000 MPH [1 600km/h]. Tout au moins, c’est ce que nous voyons. Et s’il n’y avait rien eu d’autre d’établi ici ou ailleurs, ce serait toute la preuve dont nous aurions besoin pour prouver que la Terre ne bouge pas.

Mais mettons-y encore tout de même un peu d’emphase avant de passer à autre chose. Remarquez qu’une Terre en rotation aurait forcé l’ombre de l’éclipse solaire du 30 mai 1984 à se déplacer vers le nord-ouest, pas vers le nord-est ; de la Nouvelle-Orléans vers Denver, pas vers Washington ! Nous pouvons le constater en prenant fait que le temps pris par l’ombre pour couvrir la distance entre la Nouvelle-Orléans et Washington fut d’à peu près trois-quart d’heure. Rappelez-vous maintenant que le frauduleux copernicisme exige que la Terre tourne vers l’est. Ajoutez à cela la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre à la latitude de Washington, soit environ 800 MPH [1 280 km/h]. Notez ensuite que trois quarts d’heure à 800 MPH donnent 600 milles [960 km]. (À la latitude de la Nouvelle-Orléans, la rotation aurait été de plus ou moins 900 MPH [1 440 km/h]). Ainsi donc, notons que, pendant ce temps, Washington se déplace vers l’est à 600 milles selon le concept mythique qu’on nous a enseigné à tous (et la Nouvelle-Orléans à 675 milles !). Par conséquent, après trois quarts d’heure, lorsque l’ombre touche Washington (comme elle l’a effectivement fait si l’on se fonde sur les calculs de prédictions d’une Terre fixe), Washington n’est plus là… c’est plutôt St-Louis !

Personne ne sortira de ça ! Les coperniciens ont essayé de se sortir de la plupart de leurs problèmes en répondant que l’atmosphère entier entourant la Terre est une « enveloppe » attachée qui tourne avec la Terre. Le mouvement des oiseaux, des avions, etc., s’expliquerait par cette « enveloppe » mouvante (tout insensé cela puisse-t-il être, lorsque considéré en regard des diverses vitesses et autres facteurs). Mais CES OMBRES D’ÉCLIPSES PROVIENNENT D’AU-DELÀ de cette « enveloppe » atmosphérique ! Ces ombres sont projetées comme des faisceaux de laser au travers de « l’enveloppe » pendant plus de trois heures. Le soleil et la lune font ce qu’ils font pendant trois heures et l’ombre « faisceau laser » indique la Terre pendant tout le temps que la lune passe devant le soleil. Aussitôt que le soleil et la lune commencent à se superposer dans le ciel, l’ombre, ou le « faisceau » frappe et atteint un endroit spécifique et prévisible sur la Terre. Le « faisceau » est lancé directement au travers de « l’enveloppe » atmosphérique et frappe, disons, la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis. Cette ombre (ce « faisceau laser ») va se déplacer et aller en une direction donnée au-dessus de la sphère terrestre pendant le temps de l’éclipse parce que sa SOURCE change continuellement et se déplace !

C’est comme un pistolet laser sur un satellite se mouvant lentement, situé à un quart de million de milles [400 000km] et pointant son rayon sur la Nouvelle-Orléans. Vous voyez le portrait ? Maintenant, répondez à quelques questions : y a-t-il moyen que l’ombre, le faisceau laser, se fixe sur la Nouvelle-Orléans pendant toute la durée de l’éclipse ? Évidemment non. Pourquoi ? La source, le pistolet laser, est toujours en mouvement et le faisceau (l’ombre) qu’elle envoie ne peut demeurer au même endroit. OK, ça, au moins, c’est certain. Nous savons que la source bouge.

Or, on nous a enseigné depuis 400 ans que la cible, l’objet, la Terre bouge aussi, mais nous ne savons pas cela. Ce que nous sommes sûrs de savoir, c’est que la source, la lune, bouge. Bien. Maintenant, une autre question : Si la Nouvelle-Orléans voyage vers l’est pendant 2 700 milles [4 320 km] lors des trois heures que dure l’éclipse, tel que le rapporte le journal, est-ce que le « faisceau laser » va se déplacer sur les mêmes parties de la Terre que s’il parcourait un territoire où ni la Nouvelle-Orléans, ni aucun endroit ne bouge d’un pouce ?

Personne n’est assez idiot pour rater la réponse à cette question. La réponse est NON ! Bon. En voici une autre. Nous savons que des prédictions exactes nous ont dit, tout au long de l’histoire du monde jusqu’à aujourd’hui, quand et où ces ombres en « faisceau laser » commençaient et se terminaient durant une éclipse. Nous savons que les calculs qui ont servi à produire ces prédictions précises ont toujours été fondées sur une Terre immobile. Voici la question : est-ce que ces calculs seraient arrivés aux prédictions précises qu’ils ont produits si la Terre avait tourné ?

« Vous plaisantez ? Pas du tout ! » vous exclamerez-vous. En effet, il n’y a rien à changer, le cas est réglé. Des mathématiques loufoques et un tableau noir peuvent avoir été capables de « faire croire » que la Terre tourne, mais aucune somme de maths inventées, grognasses et tordues peuvent la faire tourner pendant une éclipse solaire !

Lors de la Deuxième Résurrection, nous alignerons Copernic, Kepler, Galilée, Einstein, Sagan et tous les autres devant leurs tableaux noirs et nous y ferons passer ce « faisceau laser » au-travers. Personne ne fait de prédictions d’éclipse en se fondant sur une Terre qui tourne et ce, pour une excellente raison : ça ne peut pas se faire !! Tous les calculs établis sur une Terre en mouvement seraient forcés de démontrer et faire reconnaître que la Nouvelle-Orléans s’est déplacée de 675 milles [1 080 km] vers l’est en 45 minutes et quelque 2 700 milles [4 320 km] vers l’est en trois heures. Il n’y a pas moyen de sortir de là. C’est une trappe sans issue ! Et il n’y a pas moyen de sortir du fait que la source du « faisceau laser » se déplace d’une manière précise et connue. Les coperniciens sont aussi attrapés par ce fait-là. Par conséquent, quand les calculs établis à partir des faits connus et inéluctables concernant la source du « faisceau laser », ou de l’ombre, sont agrafés aux « faits » qu’exige la théorie de la Terre-qui-tourne, en aucune façon l’ombre « faisceau laser » peut se déplacer comme elle se déplace selon les faits réels !

C’est le fin mot de l’histoire. Tout le monde doit être d’accord ! En effet, c’est un trappe de laquelle les coperniciens ne peuvent s’échapper. Dieu a fait de cette trappe une preuve ! C’est un des signes que Dieu a construits dans Sa création des corps célestes ! Il a attendu jusqu’à aujourd’hui pour révéler ce signe, un signe qui prouve que Sa Parole est la Vérité lorsqu’Il dit que la Terre est immuable ! La preuve irréfutable, observable et vérifiable des ombres écliptiques a scellé la porte de la trappe ; et ce que Dieu ferme, aucun homme ne peut l’ouvrir (Apocalypse 3:7) ! Voici ces Vérités :

  1. Les ombres d’éclipse ont toujours rempli les prédictions parce que celles-ci étaient fondées sur des calculs eux-mêmes basés sur une Terre immobile ;
  2. Les ombres d’éclipse ne pourraient jamais remplir les prédictions qui seraient fondées sur des calculs qui seraient eux-mêmes basés sur le concept d’une Terre qui tourne, parce que de telles prédictions seraient forcées de démontrer une course bien loin à l’ouest de ce qui arrive réellement.

Donc, essentiellement : l’ombre (le faisceau laser) va toujours en direction de ce qui est prédit parce que les calculs sous-tendant ces prédictions sont fondées sur une Terre immuable, fixe, statique, immobile, stationnaire, inchangée, inerte, sans mouvement… !

Ça doit être assez clair… ?

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[1] Brian Dunbar, Bureau des Affaires Publiques, Bureau du Service et des Applications Spatiales, NASA Washington, D.C., 04/05/90.

[2] Carroll V. Glines, Co, USAF, Le premier livre de la lune, (Franklin Watts, inc., N.Y., N.Y., 1967), p. 21.

[3] Arnold L. Lieber, L’effet lunaire, (Anchor Press, Doubleday, Garden City, N. Y., 1978), pochette de couverture.

[4] Isaac Asimov, La planète double, (Abelard-Schuman, London, N.Y., Toronto, 1960), p. 100.

[5] Jean et Cle Kinney, Que fait la marée ?, (Young Scott, éd., 1966), p. 32.

[6] Franklin M. Bradley, La lune : satellite naturel de la Terre, (Thomas Y. Crowell, Cie, 1960), p. 84.

[7] Ibidem, p. 85.

[8] Ibidem, p. 82.

[9] Ibidem, p. 85.

[10] Ibidem.

[11] Paul Steinhart, Attraction de la lune, Audubon, septembre 1989, p. 32.

[12] Ben Shupack et Fred Schering, Maîtrise de la science terrestre, (Oxford Book Cie, N.Y., Los Angeles, 1963), p. 260.

[13] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires, (Chicago, etc., 1976), Vol. 6, p. 191.

[14] Ibidem.

[15] Virgilio Brenna, La lune, (Golden Press, N.Y., 1964), p. 39.