La Vérité n’est pas notre ennemi

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2020

Par Jerry Barrett

D’Ésaïe à aujourd’hui, la vérité de Dieu ne peut pas être changée

« Que c’est ici un peuple rebelle, des enfants menteurs, des enfants qui ne veulent point écouter la Loi de l’Eternel ; qui ont dit aux Voyants ; ne voyez point ; et à ceux qui voient des visions ; ne voyez point de visions de justice, mais dites-nous des choses agréables, voyez des visions trompeuses. »

Ésaïe 30:9-10

Ceux qui souhaitent être des « dieux sur terre » ne connaissent aucune limites, comme à l’époque d’Ésaïe où les anarchistes ne voulaient pas qu’on leur dise la vérité. Étonnant de voir que les êtres humains n’aient toujours pas changé en des milliers d’années. Ils choisissent de rationaliser une situation en fonction du désir de leur cœur.

Bon nombre se forgent une nouvelle norme en se levant chaque matin, oubliant du coup le chemin qu’ils ont parcouru jusque-là. C’est ce qui leur profitera aujourd’hui qui a la plus grande importance. N’est-il pas incroyable que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament survienne encore aujourd’hui ? Dans Psaume 50:16-17, nous lisons ceci :

« Mais Dieu a dit au méchant : qu’as-tu que faire de réciter mes statuts, et de prendre mon alliance en ta bouche ; Vu que tu hais la correction, et que tu as jeté mes paroles derrière toi ? »

À cause de l’abondance de pasteurs et de paroissiens tièdes, la Parole de Dieu a été remplacée par une doctrine diluée. Joël Osteen illustre le mieux cette attitude laodicéenne. En 2012, dans une

Joël Osteen et Oprah Winfrey vantent leurs richesses et leur succès (voir Apocalypse 3:14-17).

entrevue accordée à la nouvel-âgiste Oprah Winfrey, Osteen expliqua que, puisque personne n’est totalement exempt de péché, il pense que les homosexuels seront acceptés au paradis. En 2014, dans une entrevue avec Larry King, Osteen a dit : « Nous ne sommes contre personne. Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas, donc, je ne veux tout simplement pas prêcher là-dessus, prêcher à ce sujet. »

Malheureusement, de nombreux dirigeants « chrétiens » d’aujourd’hui n’enseignent jamais l’Apocalypse. Or, dans Apocalypse 3:14-17, nous voyons :

« Ecris aussi à l’Ange de l’Eglise de Laodicée : l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la créature de Dieu, dit ces choses. Je connais tes œuvres, c’est que tu n’es ni froid, ni bouillant; ô si tu étais ou froid, ou bouillant ! Parce donc que tu es tiède, et que tu n’es ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Car tu dis : je suis riche, et je suis dans l’abondance, et je n’ai besoin de rien ; mais tu ne connais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. »

A cause du rapide déclin de l’assistance des églises chrétiennes, ne nous surprenons pas que la société se nourrisse de haine les uns contre les autres. La tolérance et la compréhension sont révolues depuis longtemps. On les a remplacées par des accusations viles et dégoûtantes.

Avec l’avènement du World Wide Web, l’Internet, on a rapidement mis la main sur des outils facilement disponibles en vue de l’amélioration présumée de l’humanité. Comme avec n’importe quel outil, il peut être utilisé pour le bien ou pour le mal. Dans la mythologie grecque, Épiméthée avait en sa possession un pot pour la bonne garde. Lorsque Pandore eut ouvert ce pot, des fléaux non spécifiés s’échappèrent dans le monde. Pandore replaça immédiatement le couvercle sur le pot, mais ce faisant, il ne lui restait plus que l’espoir.

Les êtres malfaisants emploieront tous les outils à leur disposition, et l’Internet ne fait pas exception. La population ne cessant de croître, les outils de notre destruction sont maintenant fabriqués. Facebook, Twitter, Instagram et le reste ont été créés sous apparence inoffensive pour solliciter la participation des masses. Vantés comme moyen de renouer avec des amis perdus depuis longtemps, des membres de la famille dispersés dans le pays, ou simplement pour se glorifier de ses propres réalisations, les médias sociaux se sont avérés un succès soutenu.

À mesure que de plus en plus de gens migraient vers les médias sociaux, il est rapidement apparu aux personnes qui cherchent à perturber la société et à la modeler selon leur utopie personnelle, que ce format était le parfait véhicule. Le marxisme culturel, également connu sous le vocable de rectitude politique (ce qui est politiquement correct) a été le berceau de cet état d’esprit fourvoyé. Qui plus est, la prise de contrôle socialiste de l’enseignement public et des universités étant achevée, un nouveau mouvement est né : la « justice sociale ».

Des « guerriers de la justice sociale » autoproclamés ont commencé à utiliser cette plateforme pour exécuter du changement et infliger des préjudices aux individus qui ne sont pas d’accord. Les normes sociétales ont été déplacées vers la gauche et ceux qui ne s’adaptaient pas correctement furent ciblés.

De nouveaux termes ont été créés pour dénoncer et ridiculiser « l’ancienne » faible mentalité. « Woke » (réveillé) est devenu le cri de ralliement de ceux qui s’étaient éveillés aux injustices infligées à la société, principalement perpétrées par de « vieux blancs morts » – Washington, Jefferson, Adams, Lincoln, etc.

« Révoquer la culture » est le dernier terme imposé à la société. Ceux que l’on juge avoir offensé la sensibilité des « réveillés » doivent être oblitérés comme s’ils se trouvaient dans une rivière pleine de piranhas qui se régalent de la carcasse du contrevenant. Pour la Gestapo du PC, aucun remords ne sera acceptable.

La mort récente de George Floyd a déclenché des troubles civils dans tout le pays. Des protestations de Black Lives Matter se sont transformées en émeutes où des biens ont été détruits, des entreprises ont été volées et la police est devenue la cible. Quiconque a osé dénoncer ce comportement odieux fut mis sur la liste des « oblitérés ».

Voici quelques-uns de ceux qui ont été expulsés :

  • James Bennet était le rédacteur en chef de la page éditoriale du New York Times. M. Bennet publia une lettre ouverte du sénateur Tom Cotton (R-AR) qui en appelait de l’armée américaine pour qu’elle réprime « l’orgie de violence » dans les villes américaines. Des membres du personnel, irrités, ont exigé des mesures menant à la démission forcée de M. Bennet.
  • Le principal rédacteur du Philadelphia Inquirer, Stan Wischnowski, fut contraint de démissionner après avoir publié un titre disant : « Buildings Matter, Too » (Les bâtiments comptent aussi).
  • La personnalité de la télévision canadienne Jessica Mulroney a été accusée par un blogueur d’avoir démontré son « privilège blanc », et son émission a donc été annulée.
  • Le fondateur et propriétaire de The Phantom Gourmet, Dave Adelman, a été forcé de démissionner après s’être moqué des manifestations anti-policières. M. Adelman avait suggéré aux détaillants de Boston d’offrir le « pillage de trottoir, sans contact ».
  • Benji Backer s’est vu annuler un engagement à prendre la parole parce qu’il avait tweeté qu’il y avait un lien entre le Covid-19 et la Chine.
  • Tiffany Riley, directrice d’école publique au Vermont, a été évincée après avoir publié sur les réseaux sociaux : « Je ne pense pas que les gens devraient se sentir obligés de choisir la race noire plutôt que la race humaine. »

James Bennet, Dave Adelman et Tiffany Riley ont tous été visés par la culture d’annulation. La liberté d’expression ne s’applique pas à eux. Vont-ils céder, s’incliner devant leurs nouveaux maîtres et s’excuser ?

Ce ne sont là que quelques victimes de la « Révocation de la culture ». Si on est enclin à le faire, l’on peut passer des heures et des heures à documenter chaque exemple ridicule. Ces « révocations » ne provoquent-elles pas une réflexion sur ce qui s’est passé en Russie bolchevique ?

La Vérité est une arme puissante

La tolérance les uns envers les autres a disparu. Nous ne pouvons plus coexister avec ceux avec qui nous sommes en désaccord. Malheureusement, les paroles de l’apôtre Paul n’arrivent pas à apaiser les foules « réveillées » :

« Christ devient inutile à l’égard de vous tous qui voulez être justifiés par la Loi ; et vous êtes déchus de la grâce. Mais pour nous, nous espérons par l’esprit d’être justifiés par la foi … Je m’assure de vous en notre Seigneur, que vous n’aurez point d’autre sentiment ; mais celui qui vous trouble en portera la condamnation, quel qu’il soit … Car, mes frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne prenez pas une telle liberté pour une occasion de vivre selon la chair ; mais servez-vous l’un l’autre avec charité. Car toute la Loi est accomplie dans cette seule parole : tu aimeras ton Prochain comme toi-même » (Galates 5:4-14).

Aujourd’hui, les pasteurs de Laodicée font la promotion d’une grâce au rabais qui ne peut pas libérer les pécheurs du péché parce qu’il n’y a pas de repentance. Par la grâce de Dieu, les vrais croyants sont transformés. L’apôtre Jean nous dit : « Et la Parole a été faite chair, elle a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, qui a été une gloire, comme la gloire du Fils unique du Père, pleine de grâce et de vérité … Car la Loi a été donnée par Moïse ; la grâce et la vérité est venue par Jésus-Christ » (Jean 1:14-17).

Jésus a dit aux Juifs qui croyaient en Lui que, s’ils persévéraient dans Sa Parole, ils seraient Ses disciples. Jésus a dit : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 6:32). En tant que Ses disciples, nous devons continuer à faire briller la lumière de la vérité dans nos communautés. Car en accomplissant ce devoir, nous l’aurons fait !


Par Michelle Hallmark Powell

La Guerre contre la loi et l’ordre

On pense que la police est un concept relativement nouveau. Mais si nous nous tournons vers la Bible, elle parle de gens soumis à une autorité supérieure, comme les magistrats (Tite 3:1-2), les rois (1 Pierre 2:13-17) et les chefs d’état (Romains 13:1-14). Or, en tant que chrétiens, nous savons tous que Jésus-Christ est la plus haute autorité, mais Il a respecté la loi tout au long de Sa vie.

Comme l’humanité ne semble pas en mesure de se policer elle-même, la version moderne de la « police » s’avère une nécessité.

La définition de Police est :

« La force civile d’un gouvernement national ou local, chargée de la prévention et de la détection de la criminalité et du maintien de l’ordre public. »

La première force de police financée par l’état avec des agents en service à plein temps aux États-Unis a été créée à Boston en 1838. Parce que Boston était un grand centre d’expédition, les entreprises avaient embauché des gens pour protéger leurs biens et assurer le transport de leurs marchandises vers d’autres endroits. Avant la police, il appartenait à l’individu de se protéger lui-même ou d’engager des personnes pour ce faire. Quiconque ayant quelque moyen et devant parcourir les routes risquait de tomber sur des bandits de grand chemin. Ils avaient du personnel ménager pour assurer leur protection ou, pour les très fortunés, ils engageaient des mercenaires – la plupart du temps d’anciens soldats. Au fur et à mesure que le capitalisme se développait en Amérique, la nécessité de protéger votre entreprise, votre famille et votre personne devint l’une des principales raisons pour lesquelles la police fut mise en place.

À l’heure actuelle, tous les pays ont une sorte de système d’application de la loi parrainé par le gouvernement, que ce soit la police ou l’armée. Aujourd’hui comme alors, le rôle de la police est de protéger la société contre les scélérats prédateurs. Les gens ont besoin de protection et c’est pourquoi nous habilitons la police à former une barrière entre « eux » et « nous ».

La police : notre seule défense contre eux et le règne de la foule

Alors, que signifie réellement le « règne de la foule » ? Selon Wikipédia, c’est :

« Le contrôle d’une situation politique en dehors du domaine conventionnel ou légal, impliquant généralement la violence et l’intimidation. »

Or, regardons ce qui se passe dans nos chers États-Unis. Il y a un petit contingent qui veut abolir la police. Les contestataires (je les appelle des anarchistes) ont pris le contrôle du quartier Capitol Hill de Seattle. La mairesse, Jenny Durkan, a dit à la police d’abandonner l’arrondissement est et de laisser les manifestants posséder leur territoire. Le gouvernement local et les supporteurs des contestataires ont dit qu’il s’agissait en quelque sorte d’un camp d’été socialiste. Des soirées cinéma sous les étoiles, de la nourriture gratuite, de l’amour et de la paix, une grande fête de quartier – et pas de police.

La police partie, les manifestants ont pris le relais. Ils ont érigé des barrières, des bâtiments peints à la bombe aérosol dans tout le secteur et un nombre incalculable de vols, de viols et de meurtres ont eu lieu. Ils ont nommé la zone CHAZ (Capital Hill Autonomous Zone – « Zone autonome de Capital Hill »). Plus tard, ils l’ont renommée CHOP (Capital Hill Occupation Protest – « Manifestation d’occupation de Capital Hill »).

Enfin, après que la violence ait tourné au tragique avec la mort de deux adolescents, la mairesse Durkan a autorisé la police à démolir les barricades et à éloigner les manifestants. La mairesse a dû comprendre que le règne de la foule est pire que la protection de la police après que cette foule ait fait irruption dans son quartier et ait protesté devant son manoir.

Tout pays de taille un tant soit peu importante et dépourvu de police l’inventerait assez rapidement, merci, ou quelque chose de très similaire. La majorité des gens aux États-Unis préfèrent l’ordre au désordre et veulent des lois qui les protègent, eux et leurs biens. Cela nécessite quelqu’un qui soit prêt à appliquer des lois et cela signifie, bien sûr, une quelconque police.

Il aura fallu la mort de deux adolescents et la foule se présentant dans le quartier de la mairesse Durkan pour démanteler la Zone CHOP.

Donc, un pays sans police serait contrôlé par des lyncheurs. Nous devons conserver notre police parce que même les pires policiers de l’Amérique moderne font preuve de plus de respect envers les procédures d’application de la loi et les droits de l’accusé qu’une bande de lyncheurs peut en démontrer. Comme en font preuve les événements récents, une foule de lyncheurs ne serait pas contrainte par la Constitution. Évidemment, vous risqueriez beaucoup plus d’être lynché si une rumeur – vraie ou fausse – circulerait à l’effet que vous avez commis un méfait. Ils vous pendraient d’abord et poseraient des questions ensuite.

Nous devons soutenir notre police locale et nationale afin de nous assurer que notre pays et nos droits soient protégés et que la loi et l’ordre prévalent.




Faire de l’argent sur le dos des victimes est chose détestable

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2020

        Jerry Barrett

« Dieu hait ces six choses, et même sept lui sont en abomination ; savoir, les yeux hautains, la fausse langue, les mains qui répandent le sang innocent ; le cœur qui machine de mauvais desseins ; les pieds qui se hâtent pour courir au mal ; le faux témoin qui profère des mensonges ; et celui qui sème des querelles entre les frères. »

Proverbes 6:16-19

Cash Over Victims Is Detestable

De nombreuses vérités ont été mises en lumière à la suite de la plandémie connue sous le nom de Covid-19. Par exemple, cette vérité choquante que les hôpitaux ont reçu treize mille dollars pour chaque patient identifié comme un malade du Covid. De plus, si on mettait le patient sous un ventilateur, la prime était augmentée à trente-neuf mille dollars. Révélation étonnante, n’est-ce pas ?

Sans blague : Les hôpitaux étiquettent-ils les décès non liés comme des décès dus au Covid-19, et l’utilisation d’un ventilateur juste pour réclamer plus d’argent du gouvernement ?

Depuis des lunes, les administrateurs d’hôpitaux crient au loup au sujet des dépenses toujours croissantes rencontrées lors du traitement de ceux qui n’ont pas d’assurance ou sont privés des fonds nécessaires pour payer. Ces administrateurs ont été régulièrement fustigés par le grand public pour avoir facturé 4 $ par comprimé d’ibuprofène donné à un patient. Mais aucune protestation publique n’a été notée en regard de la manne financière ci-mentionnée et que chaque patient amenait à l’hôpital.

Bien que la mort de milliers d’amis, de membres de la famille et de voisins ne soit pas sujet à rire, la propension des reportages à parler de cette plandémie, le tout amplifié par les ordres tyranniques des gouvernements à « se confiner sur place », a atteint le point de saturation. Il semble que ce soit devenu la grosse blague au sein de la population. De nombreuses blagues rebondissent sur Internet via les courriels, comme celles-ci au titre ridicule : « Un surfeur attaqué par un requin… meurt du Covid » ; « Daredevil saute d’un avion sans parachute… et meurt du Covid ». Le choix est abondant.

Malfaiteurs en position de pouvoir

En tant que pays, nous sommes un peuple résilient. Quand la vie nous offre des citrons, nous en faisons de la limonade. Comme chrétiens, nous savons que Jésus a le contrôle. Lors même que nous poursuivons notre mission, Son joug s’avère léger. Cela ne signifie cependant pas que nous ne soyons pas affectés par les actions des malfaiteurs. Il y a de nombreuses victimes innocentes dont la vie est changée à jamais.

Prenons comme exemple le nombre astronomique de décès survenus à New York. En février et en mars, le maire de New York, Bill de Blasio, et son haut responsable à la santé, Oxiris Barbot, ont dit aux habitants de continuer à prendre le métro, à assister aux défilés et à profiter de la vie nocturne de la ville.

Dans un tweet du 2 février, Barbot a déclaré : « Alors que nous nous préparons à célébrer le #LunarNewYear à New York, je tiens à assurer aux New Yorkais qu’il n’y a aucune raison pour quiconque de modifier ses plans de vacances, d’éviter le métro ou certaines parties de la ville à cause du #coronavirus. » Elle a réitéré : « Je veux être claire. Il s’agit d’un virus, pas d’un groupe de gens. Il n’y a AUCUNE excuse pour personne qui veut discriminer ou stigmatiser des gens d’origine asiatique. Nous sommes ici aujourd’hui pour exhorter tous les New Yorkais à continuer de vivre leur vie comme d’habitude. » Elle faisait référence au défilé dans le quartier chinois pour célébrer le nouvel an chinois.

Des pertes de mémoire à court terme affectent les politiciens

Lors d’une interview sur MSNBC, le 10 février, le maire de Blasio a déclaré : « Si vous avez moins de 50 ans et que vous êtes en bonne santé, ce qui est le cas de la plupart des New Yorkais, la menace est minime, ici. Même si vous l’attrapez, cette maladie agit essentiellement comme un rhume ou une grippe. Et la transmission n’est pas simple. » Le 2 mars, lors d’une conférence de presse avec le gouverneur Andrew Cuomo, de Blasio a déclaré : « Nous avons maintenant beaucoup d’informations, des informations qui nous montrent, en fait., des éléments qui devraient nous donner raison de rester calmes et de vaquer à nos occupations. »

Deux semaines plus tard, de Blasio fustigeait le Président Donald Trump et la réaction de son administration face au virus. Dans une entrevue du 14 mars sur MSNBC, de Blasio déclara : « Il s’agit d’une situation de guerre. Nous vivons un scénario de guerre et le gouvernement fédéral prend une attitude d’obstruction. »

Les politiciens doivent souffrir de pertes de mémoire à court terme, car il y a au moins cinq cas distincts où de Blasio et sa responsable de la santé ont minimisé publiquement la gravité du virus. On a également oublié les mesures prises le 31 janvier par l’administration Trump pour restreindre les voyages de la Chine aux États-Unis. Certains voyageurs américains qui avaient visité la Chine récemment ont été placés en quarantaine pendant quatorze jours et l’on a déclaré l’urgence en santé publique.

Des personnes âgées reçoivent des sentences de mort

Le gouverneur Andrew Cuomo est un autre des principaux acteurs des ravages qui se sont répandus dans l’État de New York. À ce jour, on a recensé près de 380 000 cas de Covid-19 dans l’État de New York, dont 30 000 décès. Ces chiffres dépassent de loin tout autre État de l’Union.

Bien que nous ne puissions pas déterminer positivement le nombre réel de décès dus à cette plandémie, nous pouvons affirmer sans équivoque que les mesures mises en œuvre sous l’administration Cuomo ont considérablement exacerbé le nombre de décès dans les maisons de soins infirmiers. Le 25 mars 2020, une directive du commissaire à la santé de New York, Howard Zucker, la sous-commissaire exécutive Sally Dreslin et le gouverneur Cuomo a été publiée sous le titre de « Sorties d’hôpitaux et admissions dans les maisons de soins infirmiers ». Dans cette directive, on déclare : « Aucun résident ne se verra refuser la réadmission ou l’admission aux Soins Infirmiers uniquement sur la base d’un diagnostic confirmé ou suspecté de Covid-19. Il est interdit aux Soins Infirmiers de demander à un résident hospitalisé et déterminé médicalement stable de subir un test de dépistage du Covid-19 avant son admission ou sa réadmission. »

Cette directive a entraîné la mort de 5 300 patients dans les maisons de soins infirmiers de l’État de New York. Mais attendez, il y a plus !

Dans un article convaincant écrit par Yaacov Apelbaum et publié sur son blog (https://abelbaum.wordpress.com/2020/05/25/jaccuse/), on fournit des preuves encore plus incriminantes. Il y a une traînée d’argent derrière les directives émises par le gouverneur Andrew Cuomo :

Apelbaum écrit :

« En 2018, alors que le gouverneur Andrew Cuomo était confronté à une contestation de sa candidature à la réélection dans la primaire démocrate de l’État de New York, il a obtenu une infusion en espèces de dernière minute d’un million de dollars de la General New York Hospital Association (GNYHA) – un puissant groupe de l’industrie de la santé à New York. Le 2 avril 2020, il a remboursé la faveur en signant discrètement une loi protégeant les dirigeants des hôpitaux et des maisons de soins infirmiers de toute poursuite découlant de l’épidémie de Covid-19. Les clauses insérées dans le projet de loi de finances annuelles accordaient une protection immunitaire globales aux dirigeants et administrateurs du secteur des soins de santé, les mêmes personnes et les mêmes institutions qui ont fait fortune en déplaçant les patients malades de Covid-19 des hôpitaux vers les maisons de soins infirmiers. »

Apelbaum poursuit :

« La législation de Cuomo sur l’immunité juridique ne s’est pas produite dans le vide. Il s’avère que la GNYHA a donné au comité démocrate de l’État de New York de Cuomo des sommes importantes qui ont été déposées dans le compte de gestion de son parti et utilisées pour financer sa réélection. L’argent a notamment été utilisé pour acheter des publicités télévisées pour soutenir son budget et son lancement proposés, son programme anti-armes à feu et sa campagne de 2018. »

Des résidents de maisons de soins infirmiers de New York ont été condamnés à mort.

Le résultat final de ces manigances, c’est que les centres pour personnes âgées de New York ont fait des millions de dollars, Cuomo et les démocrates de New York ont enrichi leurs coffres et la parenté de milliers de New Yorkais décédés est laissée pour compte.

Big Pharma a le contrôle

Ce type de chicane existe au sein de notre gouvernement depuis des décennies. En 1986, Ronald Reagan a signé la Loi Nationale sur les Blessures par Vaccins sur les Enfants. Cette loi créa un programme spécial visant à gérer les différends dans le but d’assurer un approvisionnement stable des vaccins tout en protégeant les entreprises de la plupart des poursuites. Cette Loi annule complètement la responsabilité de l’industrie en ce qui concerne les préjudices physiques causés par les vaccins et l’on peut considérer que le gouvernement accorde à Big Pharma une immunité économique sans précédent et carte blanche en ce qui regarde les préjudices physiques causés par les vaccins.

Dans mon Bulletin de février 2019 de Power of Prophecy, Big Pharma contrôle-t-il l’Amérique ?, j’ai remarqué que les enfants d’Amérique reçoivent soixante-douze vaccins avant l’âge de dix-huit ans. En 1962, le total était de cinq ! J’ai également signalé que l’autisme a grimpé d’un cas sur deux mille cinq cent à un cas sur quarante aujourd’hui.

Élitiste aux grandes idées de réduction de la population grâce aux vaccinations obligatoires dans le monde entier, Bill Gates a rencontré le Président Trump à plusieurs reprises pour décourager son désir de faire des recherches sur les effets néfastes des vaccins. Le contrôle de Gates sur la vaccination en Inde a mené à la paralysie de plus de 490 000 enfants.

Dans sa lettre à Timothée, l’apôtre Paul nous a parlé de ceux qui chérissent la richesse au détriment de la bonté. Lisez ses paroles profondes, chers amis. Paul a écrit : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. Mais toi, homme de Dieu ! fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur » (1 Timothée 6:9-11).


Neuf manières par lesquelles la Chine contrôle l’Amérique

Par Sandra Myers

« Le riche dominera sur les pauvres ; et celui qui emprunte, sera serviteur de l’homme qui prête. »

Proverbes 22:7

« L’art suprême de la guerre, c’est de maîtriser l’ennemi sans combattre. »

Sun Tzu, L’Art de la guerre

La Chine œuvre avec acharnement à la conquête des États-Unis par l’intérieur. Comprenez que, lorsque l’on entretient des affaires avec un pays communiste, la personne ou l’entreprise court toujours le risque que le gouvernement communiste retire son autorisation, puis accède et même usurpe l’existence de la compagnie en Chine. Celle-ci exerce son pouvoir avec un gant de fer.

S’il vous plaît, sachez que je ne rechigne pas à ce que le travailleur chinois gagne sa vie. Et j’aimerais assurément voir davantage de liberté et de respect des droits humains en Chine. Cet article cible l’État chinois. La machine chinoise n’a que peu de considération pour la vie de ses propres citoyens.

  1. Produits médicaux : Michelle a couvert ce sujet dans son excellent article du Bulletin de mai de Power of Prophecy. La Chine a fait en grande partie avec la médecine (et la fabrication en général) ce qu’elle a fait avec l’acier : en répandre des quantités excessives sur le marché, faire baisser les prix et forcer la concurrence américaine à fermer ou à vendre, et à devenir ainsi le principal fournisseur exclusif. La dernière usine américaine à fabriquer de la pénicilline a fermé ses portes en 2004. Grâce à ce pouvoir, la Chine a récemment sous-entendu qu’elle pourrait retenir ses antibiotiques si elle le désirait.
  2. Fabrication : De nombreuses marques populaires ont abandonné la fabrication de leur stock, en partie ou entièrement, à la Chine : Apple/iPhone, Samsonite, Johnson & Johnson Bandaids, Fossil, Lululemon, Victoria’s Secret, LL Bean, Levi Strauss, New Balance, Radio Flyer, American Girl Dolls, Ray Ben, Nike, Adidas, et mêmes de nombreux designers européens ont transféré leur production en Chine. La Chine a maintenant réglé ses sites plus haut : Made in China 2025. En mai 2015, la Chine a mis en œuvre un plan en vue de cesser d’être « l’usine mondiale » de production de biens bon marché et passer à la production de biens et services de plus grande valeur, comme l’aérospatiale, les semi-conducteurs, la biomédecine et autres technologies de pointe afin d’obtenir l’indépendance face aux fournisseurs étrangers concernant ces produits.
  3. Trésor américain : Les gouvernements étrangers détiennent environ un tiers des dettes des États-Unis. En janvier 2020, la Chine était l’investisseur étranger no 2 de la dette étrangère américaine, détenant 1,1 trillions $ de bons du Trésor américain (le Japon est no 1 avec 1,27 trillions $). La Chine achète des bons du Trésor américain afin de contribuer à la dépréciation de sa propre monnaie, ce qui fait en sorte que ses exportations s’avèrent moins chères et sont donc plus attrayantes pour les consommateurs américains.
  4. Immobilier : La Chine achète des terres agricoles, des hôtels, des immeubles à bureaux, d’autres bâtiments commerciaux et même des propriétés résidentielles. Mais ce qui est encore plus gros, c’est que, sous Obama, Hong Kong (Chine) eut le contrôle du terminal maritime de Long Beach, en Californie, l’un des plus gros terminaux maritimes des États-Unis (Trump a forcé la Chine a vendre). En février 2018, la Chine a également tenté, via une société écran, d’acheter la Bourse de Chicago, vieille de 136 ans, Après avoir donné son accord initial, la Bourse de Chicago a été contrainte de bloquer la vente sous le Président Trump.
  5. Les politiciens : (ou leurs amis et leurs familles) ont vendu leur âme à la Chine pour avoir l’opportunité de réaliser leurs rêves financiers les plus fous : Hunter Biden, fils de Joe Biden ; John Boehner, ancien président de la Chambre ; Charles Boustany, ancien représentant américain de la Louisiane ; David Firestein, diplomate américain, principalement pour les relations avec la Chine ; Mike Holtzman, conseiller spécial auprès de Bill Clinton ; Andy Purdy, ancien stratège de la cybersécurité sous George W. Bush ; James Wolfenstein, anciennement de la Banque Mondiale et tant d’autres. Certains sont enregistrés comme « agents étrangers ».
  6. Les grosses affaires : Vendues pour obtenir une part du marché chinois. Cependant, en vendant tout à la Chine, de nombreuses entreprises internationales se plaignent que la Chine leur a

    Votre nourriture est-elle importée de Chine ?
    Tilapia : 80 % de l’approvisionnement américain ; Morue : 50 % de l’approvisionnement américain ; dans les deux cas, les réservoirs des fermes monstrueusement pleins à craquer de poissons sont pollués de mercure, de plomb et d’antibiotiques. Bœuf : du porc séché vendu comme du bœuf ; Jus de pomme : 50 % de l’approvisionnement américain ; Ail : 31 % vient de Chine (produits chimiques toxiques et pesticides) ; Poulet : approuvé pour la vente aux États-Unis en 2013, la Chine est un pays où la grippe aviaire et la maladie transmise par la nourriture sont chose commune. Thé : (29 produits chimiques toxiques) ; Lait : (Contient parfois de la mélamine – un produit chimique qui cause de sérieux problèmes aux reins) ; FAUSSE NOURRITURE : Riz : (Riz de plastique – fait de résine et de fécule de patate) ; Poivre noir : (parfois de la boue mise en boule) ; Sel de table : (Du vrai sel industriel, impropre à la consommation humaine et peut causer de sérieux problèmes de thyroïde) ; Pois verts : (faux) ; Œufs : (faux, pour vrai !) ; Agneau : (peut-être de la viande de rat) ; Huile d’olive : Une grosse compagnie alimentaire de Chine a décidé de recycler la vieille huile d’olive de milliers de restaurants, de la filtrer et de la revendre ensuite.

    forcé la main pour qu’elles lui remettent des secrets commerciaux en échange d’un accès au marché. Dans certains secteurs, Pékin ne permettra aux firmes étrangères d’opérer que par le biais de coentreprises où les partenaires chinois détiennent la majorité du capital, tenant ces entreprises en otage face aux exigences de la Chine communiste.

  7. Votre nourriture vient-elle de Chine ? : La liste de droite est un petit échantillon des importations alimentaires américaines en provenance de la Chine. Les pratiques industrielles, agricoles et de production alimentaire en Chine sont, au mieux, mal réglementées. Vous faites vos achats dans les magasins d’aliments sains ? Whole Foods (Jeff Bezos / Amazon) défend l’importation de certains aliments de Chine, tandis que Trader Joe’s s’engage à ne pas stocker d’aliments importés chinois.
  8. Enseignement supérieur : La Chine fait don de milliards de dollars à 87 écoles, dont l’Institut de Technologie de la Californie, l’Université de Columbia, l’Institut de Technologie de la Géorgie, l’Institut de Technologie du Massachusetts, les Instituts de Technologie de New York et du New Jersey, et Harvard, Princeton et Yale. Pourquoi donner autant à l’enseignement supérieur américain ? La Chine est en train de créer des Instituts Confucius – dont le but est de servir de base à la guerre idéologique en pervertissant la vision des étudiants américains.
  9. Position tyrannique de la Chine : Guerre de l’espace, missiles de destruction de satellites, menace nucléaire, lasers et cyberattaques. Renseignements, espionnage, vols high-techs des secrets de la technologie et de la sécurité nationale américaines. Les États-Unis n’avaient pas engagé de poursuites en matière de sécurité depuis plus de trente ans. En septembre 2019, sous le Président Trump, on a entamé des poursuites dans trois cas d’opérations de vol de technologie – de sous-traitants américains de la Défense au cyber-piratage et à l’espionnage économique (pour avoir ciblé des secrets d’avions commerciaux à moteurs à réaction). La Chine peut également employer sa dominance mondiale dans les minerais précieux de la terre.

QUE POUVEZ-VOUS FAIRE ?

Premièrement, pour notre propre bien, faisons pression sur nos politiciens et nos sociétés pour ramener la fabrication de première nécessité aux États-Unis. Les antibiotiques, les analgésiques et autres médicaments vitaux et les équipements médicaux devraient figurer en tête de liste. Deuxièmement, tenons responsables nos politiciens, nos entreprises, nos investisseurs en capital et nos comités d’action politique pour leurs courbettes devant la Chine. Ils devraient bloquer les Chinois et la possession chinoise de sociétés écrans d’organisation ou de produit liés à la sécurité nationale, ou à la santé et au bien-être. Troisièmement, lisez les étiquettes et achetez américain (quand vous le pouvez). Sinon, achetez des produits de fabrication autre que chinoise (lorsque vous le pouvez). Il existe de nombreux sites Internet qui répertorient les articles ou les marques qui sont encore fabriqués aux États-Unis. Quatrièmement, faites affaires avec les magasins Mom-and-Pop locaux. Que retentisse la liberté !