Le Nouvel Ordre Mondial de Biden et l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

24 mars 2022

Rejoignant d’éminents globalistes comme George Herbert Walker Bush, Tony Blair, Henry Kissinger, Walter Cronkite, Bill Gates, George Soros, Barack Obama et bien d’autres, Joe Biden fait encore la promotion du Nouvel Ordre Mondial en plein essor.

Ayant pris la parole à la Réunion Trimestrielle des PDG d’Affaire de la Table Ronde, Biden a dit : « Il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger, et nous devons unir le reste du monde libre pour ce faire. »

Biden régurgite ce que les globalistes, à l’extérieur ou à l’intérieur du Conseil des Relations Étrangères (CFR), disent depuis des décennies. Les agents du Nouvel Ordre Mondial ont récompensé un nombre considérable de politiciens des deux partis au sein de la Beltway – y compris Biden.

Les globalistes du Nouvel Ordre Mondial se concentrent principalement en Occident où ils contrôlent la richesse – et donc les politiciens – par l’intermédiaire des banques centrales. Les politiciens vont et viennent, mais l’élite globaliste demeure bien enracinée.

Et l’on ne peut comprendre le Nouvel Ordre Mondial sans saisir le rôle dominant joué par le Vatican et l’Élite sioniste – particulièrement cette dernière.

Ce qui nous amène à l’Ukraine.

Ian Greenhalgh a écrit avec courage un traité très perspicace (et très ignoré) en ce qui a trait au rôle joué en Ukraine par l’élite sioniste internationale.

Dans le dessein de comprendre la situation actuelle en Ukraine, la chose à faire est d’étudier les oligarques ukrainiens qui dirigent, à commencer par Ihor Kolomoisky, et aussi quelques Russes, comme Mikhaïl Fridman.

Ce sont tous des Juifs, tous possèdent la citoyenneté israélienne en même temps que la citoyenneté ukrainienne/russe.

C’est fort simple, il est question d’argent – l’Ukraine était de loin la plus riche et la plus industrialisée des républiques soviétiques ; elle possède plusieurs industries de classe mondiale, comme les massifs travaux de chemin de fer Kharkov, l’usine avionique Antonov juste en dehors de Kiev, les fonderies de minerai de fer et d’aluminium du Donbas, l’agriculture de la ceinture céréalière du sud, pour n’en nommer que quelques-unes.

Or, l’Ukraine est le deuxième plus gros pays d’Europe (après la Russie), mais le deuxième plus pauvre (après la Moldavie) et toutes les industries sont parties, les avoirs dépouillés et mis en banqueroute par les oligarques ; l’Ukraine a vu son produit intérieur brut stagner depuis deux ans ; le chômage est endémique – des millions de gens sont partis en dehors pour travailler, il y a eu peu de construction ou de réaménagement depuis que l’URSS est tombée ; c’est un pays qui retourne en arrière de bien des façons, dévalisé aveuglément par une poignée d’oligarques juifs.

Quant au nazisme, dont parle Poutine mais que l’Occident minimise ou rejette carrément, eh bien, les nazis originaux étaient également une création de la haute finance juive, mais c’est une autre histoire, plutôt longue.

Les Nazis d’Allemagne, de l’Ukraine d’aujourd’hui, des États-Unis et de partout ailleurs étaient, et sont toujours, la création de l’élite monétaire juive. Même Stroessner au Paraguay, Perón en Argentine et Pinochet au Chili, les très médiocres personnages qui se prenaient pour des Hitler, furent leur création.

Pouvez-vous maintenant comprendre pourquoi le Parlement ukrainien identifiait hier l’Ukraine moderne à l’Allemagne nazie ?

Tous les présidents et premiers ministres ukrainiens depuis 2004, lors de leur première révolution colorée, sauf le pro-moscovite Yanukovich, ont été triés sur le volet par les oligarques.

Kolomoisky et une poignée d’autres oligarques sont responsables d’avoir créé et financé les gangs armés nazis qui prétendent se porter volontaires pour défendre l’Ukraine des hordes d’invasion russe depuis la mythique invasion de 2014, mais qui, en réalité, sont responsables du meurtre d’au moins 14 000 civiles ukrainiens, de massacres telle que l’attaque bestiale contre les protestataires pro-Yanukovich d’Odessa où ils ont violé et tué des femmes enceintes et où d’autres ont été brûlées à mort. Ils n’ont cessé de bombarder les gens du Donbas au fil des derniers huit ans, pendant que les médias du monde prétendent qu’ils n’existent pas ou, s’ils reconnaissent leur existence, les dépeignent comme des croisés héroïques retenant la vague du maléfique impérialisme russe.

Ils portent des noms comme les bataillons Azov et Dnipro et leur direction est assurée par les pires criminels, voyous, sociopathes, psychopathes, violeurs et meurtriers que l’argent peu acheter, la lie, non seulement de l’Europe, mais aussi des Amériques, du Proche-Orient, de l’Afrique et de l’Asie – ils viennent de partout dans le monde censément pour faire une croisade contre les méchants Russes, mais, en réalité, ils ne sont rien de plus que les muscles des oligarques et l’instrument de violence et de mort que ceux-ci utilisent pour achever leur vil agenda.

Donc, qu’ils soient nazis ou non est discutable, l’idéologie n’est qu’une charade. En réalité, ils sont les muscles des patrons du crime qui ont dépouillé l’Ukraine de ses biens et qui ont des plans pour faire de même en Russie, si ce n’était de ce Poutine empoisonnant qui est sur leur chemin.

Saisissez-vous mieux maintenant pourquoi le président pantin sioniste de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky a banni, il y a à peine quelques jours, onze partis politiques en Ukraine et a consolidé tous les canaux médiatiques en un centre de propagande du gouvernement ?

Et en parlant de Poutine : Maintenant qu’il a pris la décision de faire la guerre aux banquiers sionistes (le vrai pouvoir) en Ukraine, un certain nombre de gens de l’élite russe (de riches sionistes) planifient déjà de l’enlever de son poste. Ce n’est PAS une coïncidence !

Le sénateur Lindsey Graham de la Caroline du Sud, un fanatique faucon de la guerre sioniste et globaliste, a demandé à répétition l’assassinat de M. Poutine. Aucun doute, Graham s’adressait directement à l’élite sioniste en Russie quand il a parlé d’assassiner Poutine, et leur plan actuel de limoger Poutine est une réponse à cet appel.

En passant, c’est ce même Lindsey Graham qui a déclaré, en parlant de Joe Biden, qu’il s’agissait « du meilleur des hommes qu’ait pu créer Dieu ».

Ensuite, il y a Liz Cheney du Wyoming, autre faucon enragé de guerre, sioniste et globaliste, qui a récemment dit que les armes chimiques devraient être considérées comme la « ligne rouge » pour amener les États-Unis en confrontation militaire directe contre la Russie. Quelle farce !

Les seules armes chimiques en Ukraine sont AMÉRICAINES ! Le Pentagone a placé plus d’une douzaine de laboratoires biologiques en Ukraine en vue d’une utilisation potentielle contre la Russie. Poutine le sait, et il n’y a pas de doute que ces bio-labos ont joué un rôle majeur dans la décision de Poutine de lancer ses opérations militaires.

Cheney a sans doute été sélectionnée comme porte-parole du NOM pour dire ce qu’elle a dit afin de semer la graine dans l’esprit du peuple américain devant la possibilité d’une attaque chimique russe, pavant ainsi le chemin à un événement sous faux drapeau dont l’on pourrait blâmer les Russes.

Dimanche dernier, j’ai donné un message intitulé A Good Citizen of Which Country ? J’encourage les lecteurs à le regarder.

Je voudrais terminer cet article en citant quelques-unes des choses que j’ai dites dans mon message de dimanche dernier :

Des politiciens et des hommes d’affaires corrompus sont bouleversés à propos de l’Ukraine à cause des milliards de dollars illicites et blanchis qu’ils ont investis dans les banques d’Ukraine, et les évangéliques utilisent l’Ukraine pour combattre la Russie, parce qu’ils croient que la Russie est le Gog et le Magog d’Ézéchiel et de l’Apocalypse – ELLE NE L’EST PAS !

La fièvre guerrière présentée par Lindsey Graham, Nancy Pelosi et les autres, ainsi que les télévangélistes, est due au fait qu’ils sont tous des lèche-bottes du sionisme. Entre bien d’autres choses, l’Ukraine est un foyer de vols et de brutalité sioniste.

À toutes les fois que vous voyez des démocrates et des républicains, l’élite d’Hollywood et les leaders évangéliques se mettre ensemble, vous pouvez savoir que la cause commune est soutenue par l’agenda sioniste.

De plus, ce n’est pas une coïncidence qu’aussitôt que la fausse pandémie Covid a commencé à battre de l’aile, il y a eu une nouvelle guerre pour prendre sa place. Quel à-propos ! Donc, les politiciens peuvent maintenant blâmer la Russie pour l’économie paralysée et l’hyperinflation – qu’ils ont causée !

Je ne suis d’aucun côté dans l’affaire d’Ukraine. Je dis simplement que, dans ce conflit, il y a bien PLUS que ce qui nous est dit et que toute la narration de guerre qu’on nous vend est en fin de compte juste une autre « crise » manufacturée, comme le Covid, la Guerre contre le Terrorisme, l’Iran, l’Irak, l’Afghanistan, etc.

Et je dis, comme George Washington, que ces conflits étrangers ne sont pas de nos affaires.




Le pompier-pyromane

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

17 mars 2022

Je commence par une citation prise de l’article de la semaine dernière :

La création de l’OTAN et de l’Israël sioniste a fait en sorte que pratiquement tous les conflits du monde sont l’affaire des Américains, alors qu’en fait, la très vaste majorité de ces conflits étrangers NE SONT PAS DE NOS AFFAIRES. La seule chose que l’implication de l’Amérique fait dans ces conflits, c’est de les rendre PIRES.

Laissez-moi vous demander ceci : Quel pays possède 800 bases militaires dans 160 différents pays ? La Russie ? La Chine ? L’Iran ? La Corée du Nord ? Non ! Les États-Unis.

Quel pays dépense plus d’argent dans la guerre que les budgets militaires de la Chine, de la Russie, du Royaume-Uni, du Japon, de la France, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, de l’Allemagne, de l’Italie et du Brésil mis ensemble ? Les États-Unis.

Quel pays a lâché plus de bombes sur le plus de pays (incluant l’Irak, l’Afghanistan, la Syrie, la Lybie, le Pakistan, le Yémen et la Somalie) et tué plus de gens (environ six millions depuis le commencement de la Guerre contre la Terreur de George W. Bush, en 2001 – dont la plupart d’innocentes victimes) que tout autre pays sur terre ? Les États-Unis.

Et pour votre information, Donald Trump a lâché plus de 100 000 bombes et missiles durant son mandat de quatre ans, soit plus que Barack Obama pendant ses deux termes (huit ans). Pourquoi dit-on encore que Trump était un Président de la « paix » ?

Depuis le début du 21e siècle, quel pays a attaqué et envahi plus de pays que n’importe quelle autre nation sur terre, attaques et invasions qui incluent l’Afghanistan, le Yémen, la Macédoine, la Colombie, le Pakistan, la Syrie, l’Ouganda, le Mali, le Niger et l’Iran ? Les États-Unis.

Quel pays utilise l’OTAN et Israël comme armées mercenaires dans le but (entre autre chose) d’enrôler des groupements terroristes (dont l’ISIS) pour effectuer des changements de régime, des assassinats politiques et des incursions militaires clandestines dans d’autres pays ? Les États-Unis.

Le conflit en Ukraine n’est pas un événement isolé non plus. Les élites de l’État Profond qui contrôlent les médias et le gouvernement ont fait de la Russie le nouveau coronavirus. Nous sommes assiégés par un blitzkrieg façon Fauci par tous les establishments des médias et du gouvernement contre la Russie. Mais je suis ici pour vous dire que le même plan de jeu qui a mis le monde sens dessus-dessous pour combattre une fausse guerre contre le coronavirus met encore le monde sens dessus-dessous pour combattre une fausse guerre contre la Russie.

Qu’il est commode à Joe Biden (qui est plus communiste que Vladimir Poutine) d’utiliser le conflit en Ukraine comme raison de notre inflation massive – dont les prix obscènes de l’essence à la pompe – dans le but d’essayer de masquer le fait que l’hyperinflation de l’Amérique n’a RIEN à voir avec la Russie, mais TOUT à voir avec les habitudes néfastes de dépenses déficitaires du propre gros gouvernement de l’Amérique, qui escaladent à des niveaux gargantuesques sous prétexte de combattre le Covid.

Et maintenant que la crise Covid se meurt, la « guerre » en Ukraine donne l’opportunité à l’élite gouvernementale au sein de la Périphérie de poursuivre ses habitudes de Grosses Dépenses en toute impunité. Ce n’est pas sa faute, voyez-vous. C’est la faute de la Russie.

Mon ami et ancien candidat à la vice-présidence Darrell Castle a fait un excellent sommaire de la culpabilité de l’Occident dans le conflit de la Russie contre l’Ukraine. Je vous encourage à le lire.

Le rapport de Darrell est une preuve de plus que l’OTAN est en fait le Pompier-pyromane :

Les Français ont une merveilleuse expression : le pompier-pyromane. On décrit ainsi une personne ou une entité qui craque une allumette et crée un incendie dévastateur pour ensuite foncer précipitamment et éteindre les flammes de manière héroïque sous les applaudissements et les accolades. À ce stade du conflit en Ukraine, il est difficile d’imaginer un meilleur terme pour qualifier l’OTAN.

Il y a présentement un effort concerté en cours au sein de l’alliance transatlantique pour dépeindre le conflit en Ukraine comme étant une impasse Russie-Ukraine sans lien avec l’OTAN. Sauf que l’Occident, mené par les États-Unis, et duquel l’OTAN est un pilier important, est largement responsable, non seulement d’avoir mis le feu au conflit, mais aussi d’avoir amassé le petit bois sous forme « d’aide étrangère » aux groupes de société reconnus pour mobiliser l’opinion publique contre la Russie, pour avoir livré des armes, pour avoir cassé les pieds des fonctionnaires publics avec des promesses d’intégration à l’OTAN ou à l’Union Européenne, et pour avoir entraîné clandestinement des combattants mercenaires antirusses et néonazis. L’Armée canadienne enquête présentement à savoir comment diable il se fait que son personnel aurait été impliqué dans les dernières de ces tentatives, malgré qu’elle ait été avertie dès 2015, avant que ne commencent les opérations d’entraînement.

L’insistance de l’Occident à jouer avec des allumettes à proximité d’une poudrière mène déjà à un fâcheux retour d’effet pour les citoyens de partout, y compris leurs propres citoyens. Il est à espérer qu’il passera rapidement à la séquence du boyau d’arrosage en atténuant sa belligérance et en cherchant véritablement à assurer la paix.

Les hommes honnêtes et pacifiques, tant de l’Est que de l’Ouest, devraient être en mesure de constater la sagesse de cet appel au gros bon sens. Il doit bien rester quelques-uns de ces hommes. Sinon, nous sommes cuits.

Et, en parlant de la « guerre » en Ukraine, voici un rapport sur vidéo touchant le narratif fabriqué provenant de Kiev (prononcer « Kive » selon Joe Biden). Voici le bref résumé de ce qui se trouve dans le rapport vidéo de quinze minutes :

Le reporter montre une équipe de filmage ukrainienne et son attirail, et comment ils s’y prennent pour mettre en scène le chaos, comme de bloquer la plupart des portes de stations de train de manière à ce que les gens aient à passer en entonnoir par une seule porte ou deux pour faire en sorte qu’il semble y avoir plus de gens qu’en réalité.

Il n’a pu avoir de chambre dans un hôtel, pas parce que les réfugiés y étaient, mais parce que l’équipe de filmage ukrainienne avait tout rempli. Bien que les médias déclarent qu’il y a la guerre dans les rues de Kiev, il marche à travers la cité qui ressemble à une ville fantôme. Il n’y a aucune preuve de guerre. D’autres vidéos montrent les Ukrainiens marchant dans les différentes places et vaquant à leurs affaires normales quotidiennes : des gens qui promènent leurs chiens, qui s’approvisionnent dans les stations d’essence, etc.

À 7m15s de la vidéo, il montre « l’illusion des tactiques de guerre » avec tout le monde enfermé après le couvre-feu, des sirènes de bombardement qui retentissent (sans explosions ni balles). Il explique que Kiev est une scène de film. Et il montre une vidéo et des photos de voitures abandonnées et de barrages (des étais) placés autour de la ville par des équipes d’effets visuels.

Il montre des épiceries remplies de nourriture. Il montre l’extérieur d’un hôpital situé à 30 minutes de Kiev. L’on n’entend aucun bruit de guerre et on ne voit pas de soldats blessés. À peu près aucune activité autour de l’hôpital. Il ne voit aucun signe de guerre de toute façon.

Dans le compte-rendu vidéo, il rappelle aux gens les reportages de la BBC et d’autres réseaux sur les combats et les bombardements à Kiev et montre un de ces reportages. Il était à Kiev quelques jours après le reportage de la BBC et n’a vu aucune preuve de combat. Il a dit qu’ils étaient tous des acteurs de crise. Il a également dit que les agents armés ukrainiens tentaient d’empêcher quiconque d’utiliser son téléphone pour enregistrer ce qui se passait – ou qui ne se passait pas – dans le pays.

Voici un autre rapport montrant la fabrication de la narration de guerre en Ukraine :

Dans tout conflit, il y a des morts – la mort d’innocentes personnes. Et je suis sûr que c’est aussi vrai en Ukraine. Mais le dernier rapport cité plus haut note la duplicité du gouvernement ukrainien en impliquant à la Russie des victimes que l’Ukraine a faites elle-même. Les gouvernements corrompus de l’histoire – y compris ceux de la Russie – n’ont eu aucune hésitation à tuer leurs propres gens quand cela entrait dans les priorités de leurs relations politiques et publiques. L’Ukraine n’est pas différente.

La chose qui m’embête au plus haut point, c’est que l’Amérique – particulièrement les chrétiens – simulent la plus profonde compassion envers les victimes en Ukraine (lesquelles méritent notre compassion), mais ne se sont pas soucié le moins du monde des quelques cinq millions d’innocents Palestiniens qui ont été battus, violés, démembrés, torturés, affamés et assassinés par l’état d’apartheid d’Israël au cours des derniers soixante-dix ans et des millions de personnes innocentes que les bombes, les missiles et les drones américains ont tué au fil des derniers vingt ans.

Et je ne suis pas sûr d’accepter tous les rapports d’analyse de M. Poutine – l’homme – bien qu’avec toutes les fausses narrations qui sont disséminées en ce moment à propos de Poutine et de la Russie, il est difficile de savoir ce qui est vrai et ce qui est faux. Mais lorsqu’un monstre globaliste comme Klaus Schwab coupe toute relation avec la Russie et chasse Poutine de son Forum Économique Mondial diabolique, l’homme n’est peut-être pas si mauvais.

Mais ce qui semble tout à fait exact dans le rapport ci-haut, c’est la manipulation et la fabrication de rations de nouvelles qui sortent de l’Ukraine. C’est presqu’une copie carbone du genre de manipulation et de fabrication qui sont sorties du CDC, de la Maison Blanche et des mass-médias majeurs durant la pLandémie Covid.

Encore une fois, le peuple américain se fait jouer par le Pompier-pyromane.




Voulez-vous vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale – une guerre nucléaire en plus ? Certains idiots la veulent

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

10 mars 2022

Avec la fraude Covid qui tente de s’échapper en vitesse à temps pour que les Démocrates essaient de sauver ce qui s’annonce pour eux comme une sanglante débâcle aux élections congressistes en novembre, les roulements de tambour de la guerre arrivent juste au bon moment afin de reprendre le bâton de la duplicité gouvernementale.

Je me rappelle, dans les années 1990, qu’un évangéliste, bon ami à moi, était venu à l’époque prendre la parole devant ma congrégation et avait fait une déclaration que je n’ai jamais oubliée : « Les gens aiment se faire mentir. » Bigre, est-ce qu’il leur avait cloué le bec avec celle-là.

Quelqu’un se souvient-il de ces autocollants que l’on voyait partout et qui disaient : « Je ne crois pas aux médias » ? Pouvez-vous vous rappeler quelqu’un avoir dit : « Si un politicien bouge des lèvres, c’est qu’il ment » et tout le monde dans la pièce applaudissait ?

Qu’est-il advenu de cette époque ? Les gens ont-ils perdu l’esprit ? Je pense que bien d’entre eux l’ont perdu.

Pratiquement tout le monde dans le MSM et le gouvernement – des deux partis – est devenu des meneuses de claques en faveur de la guerre avec la Russie contre l’Ukraine.

Voulez-vous vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale – une guerre nucléaire en plus ? Plusieurs idiots la veulent.

Laissez-moi vous demander ceci : qu’a fait l’Ukraine pour vous dernièrement ? Qu’a fait l’Ukraine pour les États-Unis ? Dites-m’en trois. Dites-m’en deux. Dites-moi UNE chose que l’Ukraine a faite pour les États-Unis.

Le gouvernement ukrainien est un cloaque de corruption – en majeure partie de la corruption occidentale, ce qui veut dire américaine, britannique et israélienne. Des fonctionnaires gouvernementaux corrompus en Occident sont en panique parce qu’ils ont des milliards de dollars qui se font blanchir dans les banques de l’Ukraine. L’appel à la guerre de ces fonctionnaires gouvernementaux n’a rien à voir avec la sécurité et la sauvegarde des États-Unis – ou même la liberté en Ukraine – mais tout à voir avec un paquet de gangsters gouvernementaux tentant de se cramponner à leur butin volé.

Patrick McShay a fait une excellente analyse de l’Ukraine :

Ces politiciens et ces pontifes qui disent que soutenir l’Ukraine, c’est soutenir la liberté et la démocratie, sont complètement ignorants ou en bénéficient, d’une manière ou d’une autre, c’est ridicule ! Ce sont ces mêmes personnes qui ont réussi à convaincre plus de la moitié de la population américaine de prendre un vaccin expérimental et dangereux dont nous savons maintenant qu’il s’agit d’une thérapie génique qui change l’ADN, et à mettre des masques sur la figure de leurs enfants à l’école. La vérité, c’est que, si l’Ukraine était libérée des criminels actuellement en charge, nous pourrions alors comprendre jusqu’à quel point certains de nos politiciens américains sont sales. [Emphase ajoutée.]

L’époux de Victoria Nuland et le Juif néoconservateur Robert Kagan, qui a cofondé le Projet d’un Nouveau Siècle Américain et a écrit le livre blanc intitulé Rupture Définitive pour Bibi Netanyahu en 1996. Cela en appelait de la domination toute gamme d’Israël au Proche-Orient et devint la marque de la politique étrangère de George W. Bush et le plan de sa désastreuse érection de pays dans la région.

La prétendue invasion de la région du Dunbass et de la Crimée telle que présentée par les médias américains est un autre mensonge énorme. Après les protestations du Maidan à Kiev, l’Armée ukrainienne commença à bombarder la région du Dunbass parlant russe et cela se perpétue depuis de façon intermittente, en violation de l’accord de Minsk signé en 2015. Cet accord aurait dû mettre fin au combat dans l’est de l’Ukraine et donner l’autonomie au territoire russophone de la Région du Dunbass, mais depuis que l’accord a été signé, le gouvernement ukrainien a refusé de respecter l’accord.

Dans un autre accord passé en 1992, après la dissolution de l’Union soviétique, les États-Unis donnèrent l’assurance à la Russie qu’aucune base de l’OTAN ne serait construite sur ses frontières. Le dernier ambassadeur américain en Union Soviétique, Jack Matlock, qui a sans cesse soutenu, y compris dans un témoignage au Congrès à ce sujet, que Gorbatchev avait reçu des assurances que si l’Allemagne était réunie et demeurait dans l’OTAN, les limites de l’OTAN ne se déplaceraient pas plus à l’est. Cela ne dura pas longtemps.

En 1990, le Secrétaire d’État de George H. W. Bush, James Baker, a promis au Président Gorbatchev de la Russie qu’après la réunification de l’Allemagne, « l’OTAN ne s’étendrait pas d’un pouce à l’est », et le diplomate allemand Jurgen Chrobog a dit dans la même rencontre que « l’OTAN ne s’étendrait pas au-delà de la Rivière Elbe et, par conséquent, n’offrirait pas d’adhésion à la Pologne et aux autres. »

En 2007, à la Conférence de la Sécurité de Munich, Poutine accusa l’OTAN de duplicité et de menacer la Russie, et il dit « l’expansion de l’OTAN représente une sérieuse provocation et réduit le niveau de confiance mutuelle. » Joe Biden et son pantin Zelensky ont violé à plusieurs reprises l’accord de Minsk, causant de ce fait 14 000 morts et plus de 1.2 millions de réfugiés qui ont été forcés d’abandonner leurs maisons et de s’enfuir en Russie. Où sont les médias américains devant ce problème d’une importance capitale à la narration ?

En 2008, quand George W. Bush annonça que l’Ukraine et la Géorgie étaient éligibles à l’adhésion à l’OTAN, l’ancien représentant Ron Paul affirma qu’il savait que c’était une « idée terrible ». « Fournir des garanties militaires américaines à l’Ukraine et à la Géorgie ne peut que mettre notre armée à rude épreuve. Cette expansion de l’OTAN pourrait bien impliquer l’Armée américaine dans des conflits sans aucun lien avec nos intérêts nationaux. » Le Dr Paul avait raison une fois de plus et c’est la raison pour laquelle on ne lui permettra jamais d’être Président.

D’après Webb, Zelensky possède un manoir de 35 millions $ près de Miami. Webb dit également qu’il a des preuves qu’un autre milliardaire juif ukrainien, Victor Pinchuk, déposait 12 millions $ par mois dans le compte de Zelensky qui y a plus d’un milliard de dollars. Au cas où vous ne vous en souviendriez pas, Kolomoyskyi est un actionnaire majeur de la Compagnie de Pétrole Burisma, appartenant à un autre personnage louche, un autre oligarque juif nommé Mykola Zlochevsky, la compagnie qui paya Hunter Biden, son partenaire d’affaires Devon Archer et l’ancien atout de la CIA Cofer Black des dizaines de milliers de dollars par mois chacun pour siéger sur le comité de direction de Burisma. Devon Archer vient juste d’être emprisonné la semaine dernière pour avoir fraudé la tribu indienne sioux Oglala par une autre arnaque criminelle.

L’Ukraine est une plaque tournante d’activités criminelles et un grand nombre de nos politiciens, y compris la Famille du crime Biden y font une fortune en argent sale. Cette guerre coûte des milliards de dollars à ces pirates. Webb rapporte aussi que Kolomoyskyi opère onze bio-laboratoires en Ukraine et au Kazakhstan, financés par le Pentagone américain.

Pour les crétins des médias qui ne peuvent pas comprendre pourquoi Poutine et les Russes ont entrepris ce mouvement, imaginez si la Russie dépensait des milliards de dollars afin de déstabiliser le Mexique, armait plusieurs groupements dissidents, planifiait une révolution, forçait son Président à s’enfuir par un coup d’état sanglant, installait un président fantoche qui ne se plaindrait pas quand ont pillerait le trésor et commencerait ensuite à installer des bases militaires russes sur le bord des frontières côtoyant le Texas et l’Arizona. C’est ce qu’ont fait les politiciens américains des deux côtés de l’aile parlementaire en Ukraine, grâce à Barack Obama, Joe Biden, Adam Schiff, John Kerry, John McCain, Lindsey Graham, Richard Burr, Nacy Pelosi et bien d’autres.

Pourtant, les médias mensongers de la Ville de New York et les escrocs gouvernementaux de Washington, D.C., ont fait entrer le public américain dans une frénésie guerrière dans laquelle des gens qui souhaitent la mort, des deux côtés de l’aile politique, marchent dans les rues en réclamant la Troisième Guerre Mondiale.

Ne vous y trompez pas : une guerre entre l’Est et l’Ouest impliquerait des armes nucléaires. C’est une certitude absolue.

Et, comme on peut s’y attendre, les évangéliques sont parmi les plus enthousiastes meneurs de claque en faveur d’une guerre avec la Russie (et dont les justifications ne sont toutes que des MNSONGES). Cela parce que 80 % des évangéliques ont été complètement dupés par le Futurisme Scofield et croient que Poutine et la Russie sont les « Gog et Magog » d’Ézéchiel et de l’Apocalypse. (Ils ne le sont pas !) Ainsi, ils croient que si l’Amérique entre en guerre contre la Russie, « l’antichrist » va se présenter et diriger une attaque russe contre Israël (Troisième Guerre Mondiale), ce qui va provoquer le retour de Jésus. Comme il est prévisible, beaucoup d’entre eux qualifient Poutine « d’antichrist ». (Il ne l’est pas !) Fort à propos, ils croient qu’ils n’auront pas à endurer les conséquences calamiteuses d’une guerre nucléaire, étant donné qu’ils seront « enlevés » d’abord au ciel. (Ils ne le seront pas !)

La création de l’OTAN et de l’Israël sioniste a fait en sorte que pratiquement tous les conflits du monde sont l’affaire des Américains, alors qu’en fait, la très vaste majorité de ces conflits étrangers NE SONT PAS DE NOS AFFAIRES. La seule chose que l’implication de l’Amérique fait dans ces conflits, c’est de les rendre PIRES.

Dans le Message d’Adieu de George Washington (le plus grand message présidentiel américain), il nous a mis en garde contre les dangers des imbroglios étrangers :

Contre les ruses insidieuses des influences étrangères (je vous prie de me croire, amis citoyens), la jalousie d’un peuple libre doit demeurer constamment alerte ; ainsi que l’histoire et l’expérience le prouvent, l’influence étrangère est un des ennemis les plus mortels du Gouvernement républicain.

Pour nous, la grande règle de conduite, en ce qui regarde les pays étrangers, c’est, tout en étendant nos relations commerciales, d’avoir avec eux aussi peu que possible de liens politiques.

L’Europe a une série d’intérêts primaires qui n’ont aucune ou très peu de relations avec nous. D’où le fait qu’elle doive s’engager dans de fréquentes controverses, dont les causes sont essentiellement étrangères à nos affaires. D’où, par conséquent, le fait qu’il ne serait pas sage de notre part de nous impliquer, par des liens artificiels, dans les vicissitudes ordinaires de sa politique, ou les combinaisons et les collisions quelconques de ses amitiés et de ses inimitiés.

Pourquoi quitter notre propre sol pour aller à l’étranger ? Pourquoi, en entremêlant notre destin avec celui de n’importe quelle partie de l’Europe, emmêlerions-nous notre paix et notre prospérité dans les rets de l’ambition, des rivalités, de l’intérêt, de l’humeur ou des caprices de l’Europe ?

Il est de notre véritable politique d’éviter les alliances permanentes avec quelque portion que ce soit du monde étranger.

Plût à Dieu que les leaders politiques et le peuple de l’Amérique eussent suivi fidèlement les conseils de Washington. Pratiquement tous les problèmes politiques, sociaux, militaires et économiques qu’a affronté l’Amérique dans le passé et maintenant résultent du fait d’avoir ignoré les instructions sagaces de Washington.

Prions tous pour que l’ingérence stupide, sinistre et pharisaïque de l’Amérique dans le conflit d’Ukraine ne fasse pas tomber de bombes nucléaires sur nos têtes.




L’Ukraine n’est pas une victime

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

3 mars 2022

En tant qu’analyste politique et, chose plus importante, en tant qu’étudiant des Écritures spirituellement disposé, j’en suis absolument convaincu. Lorsque les establishments majeurs se précipitent sur un sujet, qu’ils décident collectivement qui est victime et qui est vilain, et qu’ils battent ensemble sans cesse la mesure à l’unisson, la narration qu’ils présentent est à cent pourcent à l’envers.

Or, maintenant, l’establishment du pouvoir a décidé de nous ensorceler avec un agenda antirusse et pro-ukrainien. Mais, comme toute propagande de l’establishment, c’est un gros mensonge bien gras.

Je débute par l’excellent commentaire de Ron Paul :

Lorsque l’administration Bush annonça, en 2008, que l’Ukraine et la Géorgie seraient éligibles à faire partie de l’OTAN, je sus que c’était une très mauvaise idée. Près de deux décennies après la fin du Pacte de Varsovie et de la Guerre Froide, une expansion de l’OTAN n’a pas de sens. L’OTAN elle-même n’a pas de sens.

Pour expliquer mon « non » au vote sur un projet de loi endossant l’expansion, je dis à l’époque :

« L’OTAN est une organisation dont le dessein a pris fin au terme de son adversaire, le Pacte de Varsovie … Cette reprise actuelle de l’expansion de l’OTAN est une récompense politique aux gouvernements de la Géorgie et de l’Ukraine qui ont acquis le pouvoir suite au support américain des révolutions, la prétendue Révolution Orange et la Révolution de la Rose. »

« Fournir des garanties militaires américaines à l’Ukraine et à la Géorgie ne peut que mettre encore plus notre armée à l’épreuve. Cette expansion de l’OTAN pourrait bien entraîner l’armée américaine dans des conflits sans liens avec notre intérêt national. »

Malheureusement, comme nous l’avons vu cette dernière semaine, mes craintes se sont avérées. L’on n’a pas besoin d’approuver les actions militaires de la Russie pour analyser ses motivations déclarées : l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était une ligne rouge que la Russie ne voulait pas voir traverser. Alors même que nous voyons le risque d’une terrible escalade, nous devons nous rappeler que cela ne devait pas se passer ainsi. Il n’y avait pas d’avantages pour les États-Unis à étendre ou à menacer d’étendre l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie. On ne peut contester le fait que l’OTAN s’est mise à dérailler bien longtemps avant 2008, toutefois. L’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord a été signé le 4 avril 1949 et, au début de la Guerre de Corée, juste un peu plus d’un an plus tard, l’OTAN fut fort impliquée dans l’opération militaire de la guerre en Asie, pas en Europe !

On avait déclaré que le dessein de l’OTAN était de « garantir la sécurité et la liberté de ses membres par des moyens politiques et militaires. » Ça n’a pas été du travail bien fait !

J’y crois aussi fermement aujourd’hui qu’en 2008, dans mon discours devant l’Assemblée à qui je disais : « L’OTAN devrait être démantelée, pas expansée. » En attendant, l’expansion devrait être écartée de la table.

Bravo, bravo, Dr Paul.

Je vous encourage aussi à lire cet article formidable du représentant John Whitehead intitulé Perpetual Tyranny: Endless Wars Are The Ennemy Of Freedom.

Dans cet article, Whitehead écrit :

Tant que les politiciens américains continueront de nous impliquer dans des guerres qui ruinent le pays, qui mettent nos militaires et nos femmes en danger, accroissent les chances de terrorisme domestique et de répercussions, et poussent notre pays au bord du gouffre, « nous, le peuple », nous sentirons dans un état perpétuel de tyrannie.

Il est temps que le gouvernement américain cesse de faire la police dans le monde.

Cette dernière crise – la part des États-Unis dans l’épreuve de force entre la Russie et l’Ukraine – vient immédiatement à la suite d’une longue lignée d’autres crises, fabriquées ou pas, qui arrivées de manière bien à point pour distraire les Américains, les tromper, les amuser et les isoler des empiètements réguliers du gouvernement sur nos libertés.

Et cela se poursuit à la façon orwellienne.

Deux ans après que le COVID-19 ait placé le monde dans un état d’autoritarisme global, juste au moment où la tolérance des gens envers les lourdes mesures obligatoires semble s’être finalement usée, l’on nous apprête à la distraction suivante et la prochaine ponction sur notre économie.

Or, policer le globe et faire sans cesse la guerre outremer ne rendent pas l’Amérique – ou le reste du monde – plus sécuritaire, cela ne grandit certainement pas à nouveau l’Amérique et cela l’enfonce indéniablement plus profondément dans les dettes.

La guerre est devenue une énorme entreprise lucrative et le gouvernement des États-Unis, grâce à son vaste empire militaire, est un des plus gros vendeurs et acheteurs.

Ce que la plupart des Américains – endoctrinés à croire que le patriotisme signifie de soutenir la machine de guerre – n’arrivent pas à reconnaître, c’est que ces guerres incessantes n’ont que peu à voir avec le fait de garder le pays en sécurité, mais tout à voir avec le fait d’appuyer un complexe militaro-industriel qui continue de dominer, de dicter et de façonner chacun des aspects de notre vie.

Prenez ceci en considération : Nous sommes une culture militaire engagée dans la continuité. De la guerre. Nous avons été un pays en guerre durant presque toute notre existence. Nous sommes une nation qui gagnons notre vie à tuer au moyen de contrats de défense, de manufactures d’armes et de guerres sans fin.

Les États-Unis sont les plus grands consommateurs, exportateurs et auteurs de violence et d’armes violentes dans le monde. Sérieusement, l’Amérique dépense plus d’argent pour la guerre que les budgets combinés de la Chine, de la Russie, du Royaume-Uni, du Japon, de la France, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, de l’Allemagne, de l’Italie et du Brésil. L’Amérique est la police du monde grâce à 800 bases militaires et des soldats stationnés dans 160 pays. De plus, les faucons de la guerre ont presque transformé le territoire américain en champ de bataille avec de l’équipement, des armes et des tactiques militaires. En retour, les forces policières domestiques sont devenues des extensions errantes de l’armée – une armée permanente.

L’Empire américain – avec ses guerres incessantes combattues par les soldats de l’armée américaine qui ont été réduits au niveau de fusils à louer : sous-traités, trop étirés, déployés en des endroits très vastes pour policer le globe – approche de son point de rupture.

Allons, bonnes gens. Que ferait l’Amérique si la Russie ou la Chine tentaient d’ériger des bases militaires sur nos frontières canadiennes ou mexicaines ? Que pensez-vous qu’il arriverait ?

En outre, le leader de l’Ukraine est tout sauf un héros. Il a joyeusement permis aux banques d’Ukraine d’être employées au blanchiment d’argent pour les riches hommes d’affaires et politiciens, et aux trafics d’influence au sein des politiques américaines.

Le Président ukrainien Volodymyr Zelenskyy (un Juif sioniste) est également accusé de traitement barbare – même génocidaire – contre le peuple résidant dans les deux provinces séparatistes de Donetsk et de Lugansk – qui possèdent un Droit naturel de par Dieu de se séparer de l’Ukraine et qui font appel à la protection de la Russie. (Dites-moi, l’Irak et l’Afghanistan ont-ils invité l’Amérique à envoyer son armée dans leur pays avant de les envahir ?) Est-il étonnant que l’Ukraine se tourne vers Israël pour avoir de l’assistance militaire ? Après tout, Israël est extrêmement compétent en ce qui a trait au nettoyage ethnique et au génocide.

N’oublions pas non plus que l’Ukraine est le foyer de plus d’une douzaine de bio-laboratoires américains sponsorisés et financés par le Pentagone. En d’autres mots, ces labos sont là pour des opérations militaires potentielles. Encore une fois, que pensez-vous que ferait l’Amérique si la Russie construisait une douzaine de bio-laboratoires militaires juste au-delà de nos frontières avec le Canada et le Mexique ?

L’Ukraine n’est PAS une victime. Elle est depuis des années et jusqu’au cou dans le subterfuge global (particulièrement antirusse), les vols, les actes d’inhumanité et les crimes de guerre. L’Ukraine n’est pas l’amie de la liberté ou des États-Unis. Mais elle est l’amie des politiciens et des hommes d’affaires corrompus.

Quoi qu’il se passe réellement en Ukraine, cela n’a rien à voir avec la narration proposée par les establishments majeurs.

  1. Laissez-moi vous poser une question : Si les États-Unis se croient justifiés de déclencher des invasions préventives de l’Irak et de l’Afghanistan – qui incluent des occupations à long terme – à des milliers de kilomètres de nos frontières contre de petits pays arriérés qui n’offrent aucune menace à l’Amérique, alors comment le Russie ne serait-elle pas justifiée de déclencher une campagne préventive pour se protéger contre une formidable et sérieuse expansion militaire à sa frontière – particulièrement quand sa protection est recherchée par des états légitimes indépendants ? (Souvenez-vous que l’Amérique a déjà été un pays séparatiste.) S’il vous plaît, lisez le commentaire du Dr Paul référencé ci-haut à savoir pourquoi le vrai vilain dans cette situation est l’OTAN, pas la Russie. À nouveau, que ferions-nous si nous étions dans les souliers de la Russie ?

Si la Russie voulait vraiment conquérir l’Ukraine, elle pourrait facilement le faire. L’Ukraine est totalement incapable de résister avec succès à l’armée russe, si la Russie désire réellement la conquête militaire (ce qu’elle ne veut pas). Le leader russe Vladimir Poutine a dit au monde pourquoi il entreprenait de telles actions, ce que ses actions en Ukraine étaient destinées à faire et à ne pas faire – dont ne PAS occuper l’Ukraine – et comment elles seraient menées. Je pense que vous devriez écouter ce qu’il a dit.

  1. Les bio-laboratoires américains sont-ils un objectif important ? Si je comprends bien, les labos ont pu avoir été détruits très tôt lors de l’opération. Si c’est le cas, c’est une TRÈS BONNE chose.
  2. Maintenant que le peuple américain a fait savoir qu’il en avait terminé avec la fausse narration Covid-19 et que le facteur de la peur est complètement parti, est-ce que l’élite totalitaire est en train d’utiliser la menace d’une guerre globale pour à nouveau remplir de peur le cœur des gens ? Comme le dit Whitehead, « Les guerres incessantes sont l’ennemi de la liberté ». (Je le dis depuis des années.) La peur est aussi un outil pour nous rendre esclaves. Tôt dans la charade Covid, j’ai écrit un message à ce sujet.
  3. Est-ce une diversion pour détourner notre attention du Pass Vaccinal National (et d’autres tentatives de notre gouvernement central pour attenter à nos libertés) que l’on présente, supporté par les Démocrates ainsi que les Républicains ?
  4. Serait-ce encore une autre manipulation du monde à partir des coulisses du CFR et des Bilderbergs dans le but d’atteindre leur objectif d’ensemble de gouvernance globale ?

Bien sûr, les futuristes Scofield courent dans toute la place en criant à « la prophétie de la fin des temps ». Quelles balivernes ! On aurait pensé que les chrétiens se seraient mis à utiliser un peu plus leur cervelle et arrêtent d’écouter tous ces sensationnalistes de fausses prophéties qui se rendent imbéciles par leurs prophéties erronées sur les derniers jours.

Quelle que soit la vraie histoire en Ukraine, je peux vous dire ceci : ce n’est PAS ce que les establishments majeurs vous disent. Et l’Ukraine n’est PAS une victime.




Qui allez-vous croire, moi ou vos yeux qui mentent ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mars 2022

Par Jerry Barrett

La vérité se présente en de nombreuses saveurs et toutes sortes de dimensions, ces jours-ci. Dans les années passées, les gens qui ne dirent pas la vérité étaient hélés et tenus responsables de leurs actions. Malheureusement, aujourd’hui, cela ne semble plus être le cas. Les manieurs de mots et les départements de relation publique ont fait apparaître des expressions afin d’amoindrir la sévérité de se faire appeler menteur dans le domaine public.

Andrew McCabe, ancien sous-directeur du FBI, fut dénoncé par l’Inspecteur général du Département de la Justice comme ayant « manqué de franchise ».

Andrew McCabe, ancien sous-directeur du FBI, a été dénoncé par l’Inspecteur général du Département de la Justice comme ayant « manqué de franchise » dans ses relations avec la presse et son patron. En fait, McCabe a menti sous serment quand on le questionna sur ses actions. Sa récompense ? L’Université George Mason l’a invité à se joindre à sa faculté à l’École Schar de la Politique et du Gouvernement en tant que Professeur Distingué en Visite.

Possibilité de démenti plausible

Le concept de possibilité de démenti plausible a été créé par la CIA au début des années 1960. Nul besoin de chercher plus loin que l’assassinat de John F. Kennedy pour le comprendre. Peut-être le plus gros coup jamais conçu et exécuté, un seul « pigeon » fut assigné à tomber pendant que les principaux joueurs derrière le plan remplissaient les halls du Congrès, la Maison Blanche et étaient en liberté au travers du public.

On a perfectionné le concept au sein du commerce et du spectre politique. Le « Gros Gars », le résident actuel du 1600 Pennsylvania Avenue à Washington, D.C., utilise son fils Hunter et son frère Jim pour s’enrichir. Même lorsque l’officier de la Marine à la retraite, Tony Bobulinski, confessa à l’hôte de Fox, Tucker Carlson, les liens financiers enchevêtrés et le trafic d’influence, pas une seule âme n’exigea d’enquête immédiate.

Alors Vice-président, Biden employa sa position et son pouvoir pour introduire Hunter dans le comité de directeurs de Burisma, une compagnie de gaz naturel d’Ukraine. Afin de s’assurer que l’argent allait continuer à entrer, on allègue que Joe força le gouvernement ukrainien à évincer Viktor Shokin comme procureur-en-chef. Shokin avait enquêté sur le propriétaire de Burisma concernant des évasions fiscales et du blanchiment d’argent.

Le résident Biden continue de proclamer son innocence, déclarant qu’il n’avait jamais parlé à son fils à propos des transactions d’affaire qu’Hunter a faites avec Burisma, de même que les entreprises chinoises. Toutefois, de l’information obtenue par le New York Post de l’ordinateur portable abandonné de Hunter montre que Joe a dîné avec la milliardaire russe Yelena Baturina, son mari Yury Luzhkov – ancien maire corrompu de Moscou – et Vadym Pozharskyi – cadre supérieur de Burisma au début de 2015.

Jos Biden continue à proclamer son innocence, déclarant qu’il n’a jamais parlé à son fils à propos des transactions d’affaire que Hunter a faites avec Burisma, de même que les entreprises chinoises.

Trafic d’initié

Le 4 avril 2012, le Président Barack Obama a signé la Loi STOCK – mettant fin au trafic d’initié des membres du Congrès. Prétendument, cette loi avait pour but d’empêcher les membres du Congrès et leur personnel de bénéficier d’informations internes et d’ainsi s’enrichir. Moins d’un an plus tard, cette loi fut étripée par la Maison Blanche. L’on ne permettait techniquement pas encore aux fonctionnaires élus de faire du commerce, mais le personnel et les employés pouvaient faire ce qui leur plaisait.

Nancy Pelosi est une des membres les plus riches du Congrès. Elle fut d’abord élue à la Chambre des Représentants en 1987. De toute évidence, Mme Pelosi a fort bien profité du trafic d’influence… eh bien… techniquement, c’est son mari, Paul, qui a ramassé le fric à la pelle. Paul a fait plus de 30 millions de dollars en échangeant des parts d’actions de Big Tech. Quand le consensus a commencé à se faire des deux côtés de l’aile parlementaire afin de limiter les membres et leurs époux dans leurs échanges d’actions, elle s’est mise à parler pour ne rien dire.

Madame la Porte-parole n’est pas la seule membre élue à avoir grossi sa richesse grâce au trafic d’influence. De nombreux membres de

Le mari de la Porte-parole de la Maison Blanche Nancy Pelosi, Paul Pelosi, a acheté plus de 11 millions $ d’actions Big Tech.

la magistrature ont plongé les mains dans le panier aux œufs d’or. Une enquête du Wall Street Journal a découvert que 131 juges fédéraux ont surveillé des cas à la cour impliquant des compagnies dont eux ou leur famille possédaient des parts. Bien que l’on exige des membres du Congrès qu’ils rapportent leurs activités de transactions, les juges fédéraux en sont exemptés.

Notre boussole morale

Les fondateurs de notre pays sont venus en Amérique pour trouver la liberté religieuse. La Constitution, tout comme la Déclaration d’Indépendance, manifeste notre dépendance à Dieu. Malheureusement, notre délabrement moral a atteint le fond de l’abîme par son rapide déclin.

En 1962, le Juge de la Cour Suprême, Hugo Black, a statué contre le christianisme, en rendant inconstitutionnel de prier dans les écoles publiques. C’est ainsi que commença le déclin abrupt des standards moraux de notre République constitutionnelle. L’Humanisme séculier est devenu la religion dominante. Le non-respect des lois et l’anarchie ont suivi tout de suite après.

Les membres du Congrès ne jugent plus que leurs constituants soient importants. Une fois en poste, les attraits du pouvoir anéantissent tout jugement en faveur de l’amélioration des électeurs. On pourrait classer ces membres parmi les oligarques, alors que le reste d’entre nous sommes les esclaves de la plantation socialiste.

Ésaïe a prophétisé ce comportement :

« Malheur à ceux qui appellent le mal, bien, et le bien, mal ; qui font les ténèbres, lumière, et la lumière, ténèbres ; qui font l’amer, doux, et le doux, amer. Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et intelligents en se considérant eux-mêmes. Malheur à ceux qui sont puissants à boire le vin, et vaillants à avaler la cervoise ; qui justifient le méchant pour des présents, et qui ôtent à chacun des justes sa justice. C’est pourquoi comme le flambeau de feu consume le chaume, et la flamme consume la balle, ils seront ainsi consumés ; leur racine sera comme la pourriture, et leur fleur sera détruite comme la poussière, parce qu’ils ont rebuté la Loi de l’Eternel des armées, et rejeté par mépris la parole du Saint d’Israël. C’est pourquoi la colère de l’Eternel s’est embrasée contre son peuple, et il a étendu sa main sur lui, et l’a frappé ; et les montagnes en ont croulé, et leurs corps morts ont été mis en pièces au milieu des rues. Malgré tout cela il n’a point fait cesser sa colère, mais sa main est encore étendue » (Ésaïe 5:20-25).

Notre culture actuelle glorifie l’usage de la drogue, la promiscuité sexuelle et la violence dans les films et à la télévision. Œuvrant main dans la main, les médias sociaux et les propagandistes du grand courant médiatique continuent à creuser un fossé entre nous. La plandémie a accéléré la division de notre pays, comme la compassion envers nos compatriotes.

Un sondage Gallup de 2018 a révélé que les Américains constatent notre déclin au point où il en résulte une baisse record en ce qui a trait à la croyance que notre moralité est excellente ou bonne. De même, soixante-dix-sept pourcent des Américains ont le sentiment que nos valeurs ont empiré ! Quand on regarde les sujets de honte et de ridicule, l’avortement et l’homosexualité viennent en premier lieu. La poussée actuelle pour l’inclusion de ceux qui composent la communauté LGBTQ aggrave le déclin.

Il y a toutefois de l’espoir, mes amis. Il est encore temps de régler la vilenie qui s’insinue dans notre nation et de la réprimander comme étant l’œuvre de Satan. Il est écrit dans 2 Chroniques 7:14 :

« Et que mon peuple, sur lequel mon Nom est réclamé, s’humilie, et fasse des prières, et recherche ma face, et se détourne de sa mauvaise voie, alors je l’exaucerai des cieux, et je pardonnerai leurs péchés, et je guérirai leur pays. »

Jusqu’au moment où nous – pays jadis grand – tomberons sur nos genoux et demanderons à notre Seigneur et Sauveur de nous pardonner, nous vivrons un délabrement aux proportions épiques. Les vertus et la morale ne sont pas des principes naturels, on doit nous les enseigner. Exigez plus du pasteur derrière sont lutrin. L’unité familiale se doit de retourner à l’église.


 

Par Sandra Myers

« Donne-nous Barabbas »

Il n’y avait pas de logique à choisir Barabbas au lieu de Jésus. Pilate savait qu’il n’y avait pas de raison pouvant justifier la crucifixion de Jésus. Pilate fit même appel à la foule en lui demandant « qu’a-t-Il fait ? »

Même si les deux étaient des révolutionnaires, ils défendaient des pensées très différentes à propos du royaume et de la révolution. Les deux étaient radicaux, mais Pilate pensait que le choix serait évident. Le peuple choisirait assurément l’homme juste et non pas le violent voleur, cambrioleur et meurtrier. Mais le peuple, poussé et contrôlé sous l’incitation de leurs influenceurs, choisit de ne pas suivre Dieu. Ils voulaient conquérir et créer leur propre royaume sur terre. Ils choisirent les ténèbres plutôt que la Lumière. Et, dans l’espoir de tranquilliser le tumulte qui se tramait, Pilate se lava les mains et donna au peuple ce qu’il voulait.

Le peuple américain, même de nombreux chrétiens, se font embobiner par des politiques incitant à la violence et qui fonctionnent à l’émotion. La rhétorique vide qui promet des subventions gratuites, des réformes sociales et l’équité est une réalité tordue et éloigne un trop grand nombre de gens des valeurs bibliques – les valeurs mêmes sur lesquelles notre pays a été fondé.

Maintenant comme jadis, choisir Barabbas, le faux Jésus, c’est le symbole du royaume construit ici sur terre par les hommes de pouvoir et d’influence. Barabbas était présenté comme un homme puissant prêt à faire n’importe quoi pour acquérir du pouvoir et du contrôle afin de dénouer les liens des oppresseurs, les Romains. D’un autre côté, Jésus était le symbole qui s’élève au-dessus des enseignements des traditions des hommes et s’avérait donc une menace directe contre le Sanhédrin qui voulait contrôler le peuple.

Les Américains deviendront-ils un peuple voulant vraiment se faire mentir et adopter des illusions ? Si un peuple est si facilement influencé par le monde, comme il sera d’autant plus facile de tromper les gens dans le futur avec l’émergence de la bête ! C’est le même type de gens qui choisirent Barabbas au lieu de Jésus-Christ.

Rothschild, Soros, Gates, Zuckerberg, Bezos, Carnegie, Mellon, Schwab et d’autres – nos influenceurs des temps modernes – haïssent la Vérité et la Lumière aussi. Ils offrent leur type de Barabbas – ils donnent de l’argent aux causes marxistes avec des promesses vides de liberté contre l’oppression tout en ayant le même but final : la conquête et leur propre royaume sur terre.

Plusieurs exemples évidents de manipulation émotive utilisée pour inciter les foules à crier : « Donne-nous Barabbas » se retrouvent dans les groupements et les mouvements tels que Black Lives Matter et les émeutes, les vols et les incendies qui s’en suivent, ainsi que l’enseignement de la Théorie Critique Raciale. Habiter Wall Street, la folie Covid, le changement climatique, l’identité de genre, le mouvement #Me Too, et les programmes sociaux « gratuits » sont d’autres diversions, pour n’en nommer que quelques-uns, employées à distraire les gens de la justice. Ils font miroiter tellement de causes devant nous qu’il n’y a sûrement plus de place pour notre Sauveur (espèrent-ils).

Vous, mes frères et sœurs dans le Seigneur, comprenez la grande importance de résister aux attraits émotifs et à la persuasion des choix que l’on fait miroiter devant nous tous : Barabbas ou Jésus. Mais il n’en tient qu’à nous de contacter nos voisins perplexes, nos amis, notre famille et notre jeunesse. Nous devons les aider à voir au-delà du chantage émotionnel et du tirage de leurs ficelles, et les aider à se fonder sur la Vérité.

La Vérité est la Vérité et l’on ne peut pas la détruire. Les choses peuvent sembler obscures quand des hommes appellent le mal, bien, et le bien, mal, mais la Vérité et la Lumière finissent toujours par remporter. La question se pose toutefois à savoir combien de temps serons-nous esclaves avant que les gens se tournent vers Dieu en tant que notre véritable Rédempteur ?

Notre pays bien-aimé dépend de ce que nous verrons au travers de la rhétorique et de l’assaut émotif. Plus que cela, les âmes de nos bien-aimés reposent dans la balance. Contribuons à ce qu’ils voient la sagesse qu’il y a à choisir notre vrai Roi, Jésus, au lieu du faux roi de ce monde, Barabbas.

Quelques citations

« Il n’y a que deux théories principales de gouvernement dans le monde. Une repose sur la justice, l’autre repose sur la force. L’une fait appel à la raison, l’autre fait appel au glaive. L’une est illustrée par la république, l’autre est représentée par un despotisme. »

Calvin Coolidge, 15 octobre 1924

« L’homme a oublié Dieu, c’est pourquoi ceci arrive, » fut la réaction de Soljenitsyne quand on le questionna à propos du déclin de la culture moderne et du règne de terreur de Staline. En 1974, Soljenitsyne donna cet avertissement : « Je prie l’Amérique qu’elle se montre plus soigneuse dans sa confiance. Empêchez que ceux qui utilisent faussement le combat pour la paix et la justice sociale vous conduisent dans la mauvaise voie. Ils tentent de vous affaiblir … de désarmer votre pays fort et magnifique face à cette menace effrayante – menace que l’on n’a jamais vue auparavant dans l’histoire du monde. Nous ne pouvons que tendre avec détermination vers la main chaleureuse de Dieu, Lequel nous avons rejeté de manière si imprudente, remplis de confiance en soi. »

« L’état, c’est dieu qui marche sur terre … Nous devons adorer l’état … L’état ne reconnaît aucune autorité que la sienne propre … ne reconnaît aucune règle abstraite du bien et du mal … Toute la valeur qu’un être humain possède, il ne la possède que par l’état. »

Georg Wilhelm Friedrich Hegel

(Karl Marx était un membre des Jeunes Hégéliens)

« La signification de la paix, c’est l’absence d’opposition au socialisme. »

Karl Marx

« “Le problème n’est jamais le problème. Le problème est toujours la révolution”. En d’autres mots … les droits civils, les droits de la femme ou une pandémie – ce n’est jamais le vrai problème ; ces causes ne sont que les instruments d’une cause plus grande qui est le pouvoir. »

Étudiants d’une Société Démocratique (SDS), groupement de jeunesse radicale établi aux États-Unis en 1959