Israël planifie-t-il de se relocaliser en Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

23 juin 2022

Dans ma rubrique du 7 avril, j’ai cité le Président Volodymyr Zelensky qui avait dit que, quand la guerre serait terminée en Ukraine, celle-ci serait un « gros Israël ». Évidemment, Zelensky est lui-même juif ashkénaze et l’Ukraine est la patrie originale de ceux qui sont devenus des Juifs ashkénazes.

Se pourrait-il qu’un des motifs cachés derrière la guerre en Ukraine soit la relocalisation éventuelle d’Israël de la Palestine vers l’Ukraine ?

« Absurde ! » direz-vous. Peut-être bien. Peut-être pas.

Jusqu’ici, j’ai déjà perdu 80 % des évangéliques américains qui se sont fait laver le cerveau par les doctrines pseudo-prophétiques de Cyrus Scofield et qui croient que l’état d’Israël apparu en 1948 est un accomplissement de la prophétie biblique et est un – non, LE – signe prophétique central de la Seconde Venue de Christ.

Et la vaste majorité des conservateurs politiques se sont fait laver le cerveau à croire qu’Israël est le « plus grand allié » de l’Amérique au Proche-Orient et qu’on doit le soutenir au moyen de nos dollars américains et le protéger par le sang des Américains – à tout prix.

Les évangéliques comme les conservateurs politiques sont totalement aveugles quant au rôle majeur que l’Israël sioniste joue dans l’ensemble des machinations et des agendas globalistes. Cet aveuglement est la source d’une grave dissonance cognitive à l’intérieur de leur esprit.

Ils feront n’importe quoi pour soutenir et défendre l’État sioniste d’Israël, ne réalisant pas qu’Israël est un des pires ennemis que l’Amérique – et la Liberté – ait jamais eu et qu’il a fait plus pour détruire notre culture et notre héritage chrétien, notre stabilité économique et nos libertés constitutionnelles, que n’importe quel autre pays sur terre.

Par conséquent, ce que je m’apprête à vous dire à partir d’ici sera largement ignoré et dénigré par les évangéliques chrétiens et les conservateurs politiques.

Qu’il en soit ainsi.

Ce que j’écris aujourd’hui est bien plus qu’une simple fantaisie. C’est une idée dont on discute sérieusement au sein des groupes de réflexion géopolitiques.

Je vais citer ceci d’une analyse gouvernementale :

Appelez cela une théorie de la conspiration si vous voulez, mais j’ai lu à plus d’un endroit que l’agenda caché des États-Unis en Ukraine est de créer une nouvelle patrie pour le peuple d’Israël qui veut y migrer dans le but de sortir de ce qui est de plus en plus un état en faillite se dirigeant vers son écroulement.

Il est facile de ridiculiser cette théorie, mais je crois qu’on y trouve quelque chose à considérer.

(Prenez note de l’écroulement actuel du quatrième gouvernement d’Israël en seulement trois ans.)

Israël ressemble de plus en plus à un état qui a échoué. Il consiste en une poignée de gens juifs – moins de neuf millions – s’accrochant à une parcelle sèche et inhospitalière de roches et de sable sur la côte est de la Méditerranée, où ils sont isolés au milieu d’un vaste océan humain de populations et de culture musulmanes [et chrétiennes].

Je ne dis pas cela en tant que personne antisémite ou opposée à Israël. Je ne suis contre personne et ne m’oppose à aucun peuple, aucun groupe ethnique ou aucun pays. En fait, j’éprouve beaucoup de sympathie pour quiconque est pris dans les absurdités et la violence de la vie dans le monde d’aujourd’hui.

Mais soyons réaliste. Regardez la condition présente d’Israël. Mais avant, remontons un peu dans le temps. Il est communément accepté de croire que les Britanniques ont originalement acquiescé à la désignation de la Palestine comme patrie future du peuple juif en tentant d’établir une tête de pont pro-occidentale dans une région riche en minerai. Avançons rapidement de près d’un siècle à la Guerre contre le Terrorisme des États-Unis, qui a été un échec lamentable. Cette campagne était de toute évidence destinée à diriger une ingérence pour Israël dans son émergence en tant que pouvoir directeur régional au sein du Proche-Orient, ou même peut-être un pouvoir mondial.

Voyez le nombre de pays que la Guerre contre le Terrorisme était supposé renverser. Selon le général américain Wesley Clark, héros américain du bombardement de la Serbie à la fin des années 1990, l’inventaire des pays à assujettir par un changement de régime pro-américain devait comprendre, avec l’Afghanistan déjà occupée, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran.

Or, la Guerre contre le Terrorisme a été en grande partie abandonnée après un gaspillage de plus de vingt ans au coût d’innombrables trillions de dollars. Bien que les États-Unis aient écrasé et humilié l’Irak, ce pays est revenu au point de légiférer un ban complet, jusqu’à la peine de mort, de toutes normalisations des relations avec Israël. Le Liban est un désastre économique, mais il est en grande partie contrôlé par l’ennemi par excellence d’Israël, le Hezbollah. L’Iran demeure indépendant et défiant, malgré les menaces et les sanctions américaines.

Les États-Unis ont tenté d’utiliser des cadres terroristes analogues à Al-Qaeda pour détruire et renverser la Syrie, mais la Russie a envoyé des forces pour l’en empêcher, et la Syrie a pu rejoindre la Ligue Arabe. Et l’échec d’Israël à faire la paix avec les Palestiniens en a fait un paria international. Plus encore, après des années d’occupation, les colonies israéliennes en Cisjordanie sont des îlots en zone de guerre, alors que ses villes sont des camps armés. Même avec les incitatifs envers les Juifs vivant outremer, l’émigration vers Israël est quasi inexistante. Presque personne, sauf les fugitifs et/ou les blanchisseurs d’argent, n’est assez fou pour vouloir y déménager.

En outre, l’économie d’Israël est faible et continue de dépendre pour sa subsistance de l’aide et des dons des États-Unis par les Juifs américains. Parmi ceux qui prédisent une crise existentielle et un écroulement à court terme, il n’y a pas que les opposants extérieurs à Israël, mais également beaucoup d’Israéliens renseignés et influents. Et avec la Turquie et l’Arabie Saoudite qui s’alignent de plus en plus avec la Russie, l’influence des États-Unis en tant que protecteur d’Israël est sur son déclin.

Donc, je ne serais pas surpris le moins du monde si une partie du plan des États-Unis pour ravir l’Ukraine à la Russie, plan qui a cours depuis plus de trente ans à partir de la rupture de l’Union soviétique en 1991, pourrait avoir toujours été de la capturer pour en faire un refuge juif en vue de l’échec du projet-Israël. Et nous savons que la tentative gouvernementale américaine pour éloigner l’Ukraine de l’influence russe a été le fer de lance de la faction des Néoconservateurs qui a largement instigué la Guerre pro-Israël contre le Terrorisme. Les Néoconservateurs sont dirigés par des personnages comme Victoria Nuland du Département d’État et son mari Robert Kagan, cofondateur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain et de son poste à Brookings, un des principaux faucons guerriers de Washington.

Ainsi, je crois que le plan des Néoconservateurs était probablement que les États-Unis emploient la junte ukrainienne qu’ils avaient installée en 2014, dirigée maintenant par Zelensky, et anciennement par Poroshenko, tous les deux juifs, mais aidés par des néo-nazis comme le Bataillon Azov, pour chasser les Russes ethniques du pays. Cela devait se faire, et ce fut commencé, par une campagne d’intimidation et de bombardement terroriste, et un génocide si nécessaire.

Donc, est-ce que cela a été exécuté dans le but de faire de la place aux immigrants israéliens ? Nous ne le savons pas de manière sûre, mais Zelensky nous a bien dit que, lorsque ce serait accompli, l’Ukraine finirait par être gouverné « comme Israël ».

Les quartiers généraux hégémoniques sionistes déménageraient-ils de Tel-Aviv à Kiev que cela donnerait aux globalistes européens le deuxième plus gros pays d’Europe à partir duquel opérer. Imaginez partir d’une petite bande de terre, environ de la dimension du New Jersey, au deuxième plus gros pays de l’Europe. En plus, la vaste majorité des gouvernements du monde sont de plus en plus outrés par le traitement génocidaire continu du peuple palestinien par l’armée israélienne.

Ajoutez-y le fait que l’Ukraine est le foyer historique de l’Empire khazar qui fut l’ancêtre des Juifs ashkénazes maintenant localisés en Palestine et vous pouvez voir l’attraction que cela exerce sur l’élite sioniste.

Évidemment, si jamais cette relocalisation survient, cela fera exploser en mille morceaux les fausses doctrines prophétiques des futuristes Scofield. Mais j’ai confiance que les dispensationnalistes s’arrangeront pour trouver une autre contorsion biblique à faire au Livre de l’Apocalypse. C’est toujours ce qu’ils font.

N’oubliez jamais que, depuis la Deuxième Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis n’a pas fait une seule guerre ou engagé un seul conflit armé qui ne fasse pas avancer la cause du sionisme d’une façon ou d’une autre. Je suis absolument convaincu que cela s’applique aussi à la guerre des États-Unis en Ukraine.

Rappelez-vous également que le nettoyage ethnique des Palestiniens de langue arabe était un prérequis des Sionistes pour prendre le pouvoir en Palestine. Et tout le conflit actuel en Ukraine est dû au nettoyage ethnique de Zelensky contre les gens de langue russe dans le Donbass.

Coïncidence ? Nous verrons bien.




Dommages collatéraux des confinements Covid ; épreuve de force au Sénat sur le contrôle des armes à feu

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

16 juin 2022

Le nombre des morts et des estropiés causés par les vaccins Covid est nettement sous-rapporté par le Système de Rapports de Cas Négatifs des Vaccins (VAERS). En vertu de la manière par laquelle ces statistiques sont accumulées, ces chiffres reflètent au mieux 10 % du total réel. Par conséquent, les 28 000 décès que rapporte le VAERS sont en fait 280 000 décès, et le rapport de 1,3 million de gens estropiés est en réalité de 13 millions d’estropiés.

Mais ces chiffres ne tiennent pas compte des dommages collatéraux occasionnés par la réaction tyrannique du gouvernement face au narratif Covid frauduleux, plus précisément les confinements.

Voici le rapport :

Les États-Unis ont enregistré un excédent de 170 000 morts durant la pandémie du Covid-19, lesquels n’ont pas été causés par le virus en lui-même – comme l’obésité, l’abus de substances toxiques et d’autres tueurs ayant fait éclosion durant les confinements imposés par le gouvernement, nous montre une nouvelle étude.

Les chiffres ont été révélés dans un rapport émis ce mois-ci par le Bureau National des Recherches Économique (NBER).

Le rapport suggère que l’excédent de morts non-Covid pourraient être des « dommages collatéraux dus aux choix politiques ». Le NBER indique des facteurs tels que la violence accrue par les armes à feu, l’utilisation de drogues et d’alcool, la cigarette et le gain de poids durant les confinements.

« Nous remarquons particulièrement que les résultats de santé non-Covid n’avaient pas fait l’objet d’un suivi étroit pour déterminer, entre autres choses, si les politiques Covid privées ou publiques les aggravaient, » disent les auteurs de l’étude. Ils ajoutent que, bien que les critiques blâment les choix personnels pour l’excédent de morts, plutôt que les politiques publiques, « cela ne donne pas d’excuse pour ignorer l’essor du taux de mortalité ou de mettre l’examen de ces décès en veilleuse. »

Les morts causées par la drogue et l’alcool ont augmenté de 13 % et 28 % respectivement, excédant les niveaux de base de 24 000 personnes par année, dit le NBER. Il y a eu 32 000 morts annuelles excédentaires à cause des maladies circulatoires, environ 4 % au-dessus du niveau de base, et les fatalités causées par le diabète et l’obésité ont été de 10 % plus élevées que prévu, atteignant une moyenne estimée à 15 000 cas additionnels chaque année.

Même si le gouvernement suit de près les cas et les morts Covid, très peu de données sont offertes sur ce qu’il en est des conséquences sanitaires en dehors du virus, dit le NBER. « L’on a montré bien peu de curiosité à savoir si les politiques Covid publiques et privées avaient aggravé les problèmes précédents de santé, » poursuivent les auteurs, en ajoutant que leurs découvertes sur les torts causés à la santé et vécus durant la pandémie étaient « significatifs et historiques. »

« D’autres données sur la dépendance aux drogues, les fusillades non-fatales, le gain de poids et les dépistages de cancer indiquent une urgence sanitaire historique, bien que largement non-reconnue, » disent les auteurs.

Une étude de l’Université John Hopkins émise plus tôt cette année suggère que les confinements Covid-19 autour du monde n’ont empêché que peu ou pas de morts causées par le virus. « Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements n’ont eu que peu ou pas du tout d’effets sur la santé publique, ils ont toutefois imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés, » disent les auteurs de l’étude. « En conséquence, les politiques de confinement sont mal-fondées et devraient être rejetées comme instrument de politique pandémique. »

En ajoutant les 170 000 morts « excédentaires » aux 280 000 décès sous-rapportés par le VAERS, nous arrivons à un nombre réel de morts attribués au faux narratif Covid de plus de 450 000.

En plus, cette étude ne prend pas en considération l’impact psychologique pernicieux que des protocoles orwellien du CDC tels que les masques, la distanciation sociale et l’isolement ont eu sur tout le monde – particulièrement les enfants d’âge scolaire.

Personne ne peut redonner ces deux ans aux étudiants du secondaire et du collège de notre pays. Ils ont perdu deux des années les plus importantes de leur vie. Et au retour à l’école, ce seront des créatures différentes.

L’omniprésente propagande Covid et le narratif Covid maladroit et tyrannique ont, non seulement ôté deux des années les plus importantes et formatrices de ces jeunes gens, mais ils ont changé leur psyché pour toujours.

Allez dans n’importe quel collège d’Amérique et voyez ce qui s’y passe. Vous y verrez des robots pour la plupart déconnectés, anti-sociaux et sans amis, dont on a recircuité les cerveaux et dont on a détruit l’interaction normale (saine) d’adolescent, la socialisation et les rêves d’avenir.

Ils s’assoient en classe avec leur cellulaire branché dans les oreilles ; ils sont assis seuls à la cafétéria, encore avec leurs cellulaires ; ils ne regardent pas les autres étudiants et leur parlent encore moins. Ils sont totalement détachés de la réalité et effrayés d’interagir dans la société.

Récemment, j’étais en train de manger dans un restaurant fast food et une étudiante de seconde année au collège attendait à ma table. Je mange fréquemment à cet endroit et j’ai développé une relation amicale avec bon nombre des membres du personnel qui y travaillent, y compris cette étudiante collégiale.

Je lui demandai nonchalamment comment ça va à l’école. Elle me répondit qu’elle avait sauté ses deux dernières semaines d’école et n’y retournerait pas l’automne prochain. Je lui demandai pourquoi et elle me dit que l’école était un cauchemar. Elle m’avoua ne pas avoir d’amis et que très peu se préoccupaient de se faire des amis. Elle me dit que l’atmosphère ressemblait plus à celle d’un salon funéraire que d’une école secondaire. Elle en avait assez, me dit-elle.

Donc, voilà une autre décrocheuse du collège qui n’a que peu d’espoir dans le futur, qui jette sur la vie un regard complètement découragé et dépressif. Mettez-la sur le compte des dommages collatéraux provoqués par le faux narratif Covid.

Effacez les deux dernières années de tyrannie Covid et cette jeune fille serait sans aucun doute une adolescente heureuse, enthousiaste et optimiste, toute excitée à l’idée de devenir une étudiante de dernière année avec tout le plaisir que cela implique et les expériences mémorables qui vont avec.

Cette jeune fille fait partie de millions d’autres à travers le pays. On ne les verra pas dans les feuilles de statistiques de quiconque, mais ce sont des victimes de la GUERRE CONTRE LA LIBERTÉ de Bill Gates/Anthony Fauci/Donald Trump/Joe Biden/CDC.

Épreuve de forces au Sénat au sujet des armes à feu :

La proposition la plus extrême sur le contrôle des armes à feu considérée par le Sénat américain est une disposition qui autoriserait le gouvernement fédéral à suborner les états pour qu’ils promulguent des lois Red Flag de confiscation d’armes – en fait, une loi Red Flag nationale.

De ZeroHedge :

Les lois Red Flag (Drapeau Rouge), connues également sous le nom de « Ordres de Protection Extrême », sont généralement associées aux suppositions de désordre mental et d’instabilité (rappelez-vous bien du mot « suppositions »). Les paramètres de ce genre de lois semblent être incroyablement larges et ambigus, et permettent à quiconque en proximité régulière d’une personne de l’accuser d’être psychologiquement instable. L’accusation peut venir d’un membre de la famille, d’un partenaire, un associé au travail, etc.

Une fois que l’accusation est lancée, les autorités peuvent confisquer les armes à feu de la personne ciblée sans procédure selon la loi, en raison qu’elles représentent un danger pour elle-même ou pour les autres. Aucun jury, aucun examen, aucune preuve ne sont requis pour obtenir un ordre de la cour. C’est alors à l’accusé de prouver qu’il n’est PAS instable, et qu’il mérite qu’on lui retourne ses armes à feu. Ce processus peut prendre des années, à condition que ses armes ne lui soient jamais retournées.

Certaines versions des projets de loi Red Flag permettent même à la police de vous déclarer d’elle-même dangereux, même sans contact direct ou sans témoin. En d’autres mots, c’est un système de « pré-crime » qui ouvre la porte aux abus de masse. Et gardez à l’esprit que nous vivons dans une ère digitale dans laquelle les médias sociaux sont soigneusement contrôlés, souvent par des gens qui n’ont pas vos meilleurs intérêts à cœur. Les lois Red Flag pourraient même s’étendre aux commentaires émis et pris hors contexte sur les plateformes de médias sociaux.

Comme dans toute propagande gauchiste, Biden et les Démocrates ont vu à associer toutes les intérêts politiques et sociaux, de même que les affaires constitutionnelles, aux vils comportements tels que le racisme et la trahison. Si vous vous opposez à l’immigration illégale, que vous exigez une preuve de citoyenneté pour voter, que vous soutenez le droit d’avoir des armes et le droit constitutionnel d’avoir une milice, que vous croyez que le gouvernement est corrompu et qu’il a surpassé ses mandats constitutionnels, que vous vous opposez au globalisme et au monopole des entreprises, etc. alors vous êtes un extrémiste aux yeux de l’Administration Biden. Non seulement cela, mais vous êtes comparable à des groupements comme le Ku Klux Klan et des terroristes individuels comme le poseur de bombe de l’Oklahoma City.

Les lois Red Flag ouvrent la porte aux punitions pour opposition politiques en associant les points de vue contraires à « l’extrémisme » et l’extrémisme à l’instabilité mentale. Les politiques de Biden mentionnent spécifiquement les gens qui sont hostiles à l’autorité gouvernementale, ce qui tombe en plein dans la ligne de la rhétorique employée par le DHS et les autres agences-alphabet des dernières années en relation avec ce qu’on appelle le « Désordre de l’Opposition Provocatrice ».

Les partisans autoritaires anti-armes ont peur de la confrontation directe et de la confiscation directe. Faire du porte-à-porte n’est pas, dans leur idée, une partie de plaisir. Ils vont plutôt préférer la confiscation par la porte arrière, en courant après une poignée de gens, pour ensuite aller vers le groupe suivant. D’abord lentement, jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que les gens s’organisent contre eux. Le 2e Amendement n’est pas un privilège accordé à la loyauté envers un régime donné ou une idéologie particulière, et il ne dépend pas du taux de criminalité ; il est sacro-saint et s’érige en dehors des conditions de l’époque dans laquelle nous vivons. Les fusillades peuvent se multiplier ou chuter, mais cela n’a pas d’importance – une fois que le droit de porter des armes sera enlevé, il est improbable qu’il ne revienne jamais.

Dix-neuf états et le District de Columbia ont déjà fait passer les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu. Ce sont la Californie, le Colorado, le Connecticut, le Delaware, la Floride, Hawaï, l’Illinois, l’Indiana, le Maryland, le Massachusetts, le Nevada, le New Jersey, le Nouveau-Mexique, New York, l’Oregon, le Rhode Island, le Vermont, et l’état de Washington.

Notez que ces états comprennent des Bleu Profond et des Rouge Profond.

Je vous encourage – particulièrement vous, les dames – à lire l’excellent article intitulé An Open Letter to Women Who Want Gun Control, de Daisy Luther.

En passant, le témoignage personnel de Mme Luther à propos de la présence d’une arme et l’empressement à l’utiliser en état d’autodéfense, ce qui a réussi à lui éviter l’éventualité de blessures sérieuses ou la mort, à elle-même ainsi qu’à sa fille, c’est aussi le témoignage de ma famille en six occasions séparées.

Quiconque permettrait au gouvernement de le désarmer est un insensé.

Si vous tenez à votre liberté – et à votre sécurité – vous devez envoyer un message fort et clair à vos sénateurs républicains (et une poignée de démocrates professant le 2e Amendement) et laissez-leur savoir en termes sans équivoque que s’ils votent pour soutenir ces nouvelles mesures de contrôle des armes à feu, ils auront perdu votre vote pour toujours.

Et vous, les amis du Texas, vous devez savoir que votre sénateur, John Cornyn, est un des leaders du Sénat à promouvoir cette nouvelle loi Red Flag nationale de contrôle des armes à feu. Il doit vous entendre MAINTENANT !




Plus de tueries dans les zones sans fusils et plus de réaction inepte policière

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

2 juin 2022

Nous y voilà encore : un autre imbécile rendu fou (ou programmé ?) déambule dans une zone sans fusil, avec un fusil, et prend la vie de 19 écoliers et 2 enseignants. Et malgré une vingtaine de policiers postés autour et en dehors de la scène de crime – pendant qu’avait lieu la tuerie – ils ne se donnèrent pas la peine de stopper le méchant garçon avant une bonne heure.

Non seulement les policiers n’ont-ils pas essayé de prendre le tireur, mais ils ont arrêté, menotté et électrocuté au taseur les parents frénétiques qui essayaient de secourir leurs enfants.

Les officiers chargés de faire appliquer la loi à Uvalde, au Texas, ont refusé jeudi de commenter pourquoi les agents de police ne sont pas entrés dans l’école élémentaire, pendant une heure, pour tuer un tireur en série. Les parents accusent et la police locale et la police fédérale pour n’avoir « rien fait »  dans le but de mettre fin au carnage, et d’avoir menotté ces parents qui essayaient eux-mêmes d’intervenir.

Gomez dit que dans les 40 minutes qu’il lui a fallu pour être au courant de la fusillade et se rendre en voiture à l’école, les officiers de police n’étaient pas entrés. Quand elle souleva ses inquiétudes aux marshals fédéraux, elle dit avoir été arrêtée et menottée pour être intervenue dans une enquête en cours. Après que la police locale eut convaincu les marshals de la laisser aller, Gomez dit qu’elle sauta la clôture de l’école et courut secourir ses deux enfants à l’intérieur.

Des vidéos partagées sur les médias sociaux montrent encore plus de parents qui, comme Gomez, plaidaient auprès des officiers de police pour qu’ils entrent dans l’école et sauvent leurs enfants.

Voyez aussi ce rapport.

Et voici un autre rapport :

Comme nous en avons rendu compte jeudi, de multiples rapports et des vidéos ont surgi au sujet de la réaction des forces de l’ordre, ou plutôt leur manque de réaction, concernant la fusillade de masse à l’école élémentaire Robb. Au lieu de se précipiter pour arrêter le tireur d’assassiner des écoliers à l’intérieur, les officiers de police ont érigé une barricade et un périmètre pour empêcher les parents d’essayer de sauver leurs propres enfants.

Pendant ce temps-là, le tueur a eu plus d’une heure pour en finir avec 19 écoliers et 2 enseignants qu’il a massacré dans l’enceinte.

Or, au fur et à mesure que les détails émergent, la réaction policière face à la situation semble encore plus dégoûtante. Selon les informations les plus récentes, le tireur a pu faire feu tout autour de l’école, à l’extérieur, pendant 12 minutes, sans obstruction et sans opposition de la part des forces de l’ordre, avant d’entrer dans l’école et de tuer les enfants.

D’après le déroulement du temps publié jeudi soir, le tireur a accidenté sa voiture à 11h28 et a commencé à tirer sur les gens de la foule à l’extérieur de l’école. À 11h40, il est entré sans obstacle à l’intérieur de l’école où il s’est mis à tuer des gens. La police n’est arrivée sur les lieux que 4 minutes après que le tireur eut pénétré dans l’école.

Lors de l’heure et cinq minutes suivantes, le tireur est demeuré à l’intérieur de l’école, sans être défié par les forces de l’ordre pendant que celles-ci attendaient à l’extérieur qu’une unité tactique de la Patrouille Frontalière se montre et le fasse sortir.

Pendant que la police cherchait gauchement à l’extérieur comment réagir, une foule de parents en colère exigea qu’on les laisse entrer afin de sauver leurs enfants. Comme le ferait tout parent, un grand nombre d’entre eux tentèrent de forcer le cordon policier pour entrer dans l’école, mais ils furent saisis à bras-le-corps, vaporisés de gaz poivré et même menottés.

Alors que des flics lourdement armés d’AR-15 et portant des gilets pare-balles se tournaient les pouces pendant qu’un tireur de masse assassinait des enfants à l’intérieur de l’école, Gomez – sans gilet pare-balle et sans aucune arme – sauta la clôture et se rua dans l’école.

Rassemblant plus de courage que n’importe quel des officiers de police devant l’école, Gomez parcourut les couloirs de l’École Élémentaire Robb, qui abritait un tireur, avant de trouver ses enfants et de les amener en vitesse en sécurité.

Non seulement les policiers n’ont-ils rien fait pour sauver la vie des victimes, mais ils ont refusé de laisser d’autres agences policières – particulièrement la Patrouille Frontalière – aller au secours des enfants.

Lisez ce rapport :

Non seulement la police locale a-t-elle été lente à confronter le tireur qui a tué 19 enfants et deux adultes lors du massacre de jeudi dans une école du Texas, mais ils auraient également refusé de permettre à des agents fédéraux de confronter le bandit armé pendant près d’une heure après qu’ils soient arrivés sur les lieux.

Des agents spécialement équipés de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis, qui arrivèrent à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, entre 12h00 et 12h10, se virent interdire par la police locale d’ouvrir une brèche dans les salles de classe adjoignant celle dans laquelle le tireur s’était enfermé, jusqu’à environ 13h00, a rapporté le New York Times vendredi en citant des officiers fédéraux non identifiés.

« On nous a dit d’attendre, » a dit un officier de la Patrouille Frontalière, vendredi à Yahoo News. « On nous a dit d’attendre et d’attendre, et l’équipe voulait s’en aller. Mais vous devez comprendre, la Patrouille Frontalière n’est pas l’agence dirigeante, donc elle devait attendre, et maintenant voyez ce qui est arrivé. »

Un agent de la Patrouille Frontalière qui s’était rendu en vitesse à l’école pour secourir sa femme et sa fille (et d’autres) n’était même pas initialement sur les lieux. Il se faisait faire une coupe de cheveux chez un barbier quand sa femme – qui était à l’intérieur de l’école avec sa fille – lui envoya un texto.

Un agent de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis qui n’était pas en service se rua courageusement dans l’École Élémentaire Robb avec le fusil de chasse de son barbier et vint à la rescousse d’une douzaine d’enfants et sa fille après que sa femme l’eut texté pour lui dire qu’il y avait un tireur actif.

Jacob Albarado venait tout juste de s’assoir pour une coupe de cheveux quand il reçut le message horrifiant de sa femme, Trisha, enseignante de quatrième année à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, dit-il au New York Times.

« Il y a un tireur actif, » écrivit-elle. « Au secours, » texta-t-elle avant d’envoyer un effrayant « Je t’aime ».

Il bondit immédiatement de son siège, attrapa le fusil du barbier et partit en vitesse vers l’école.

Sa fille, écolière de deuxième année, était enfermée à l’intérieur d’une salle de bain pendant que sa femme se cachait sous les pupitres avec ses étudiants, rapporta le Times.

Il dit être entré par l’aile de l’école où il savait que se situait sa fille et, pendant qu’il la cherchait, il commença à « explorer toutes les classes de l’aile de sa fille. » dit-il au Times.

« Je suis tellement en colère, attristé et reconnaissant en même temps, Seul le temps va guérir leur douleur et, je l’espère, des changements seront apportés à toutes les écoles aux États-Unis, et les enseignants seront formés et on leur permettra d’amener l’ordre pour se protéger ainsi que leurs étudiants, » écrit-il.

Finalement, après que ce soit passé une heure et vingt minutes, une équipe tactique de la police fit sortir le tireur.

Il s’est passé en tout 80 minutes entre le moment où les policiers furent appelés à l’école, à 11h30, et le moment où l’équipe tactique est entrée dans les classes verrouillées et ont tué le tireur, à 12h50, a dit McCraw. L’équipe tactique a pu entrer en utilisant les clés du concierge, a-t-il ajouté.

En fin de compte, à 12h50, l’équipe tactique entra dans la salle de cours, tira et tua le suspect.

L’agent Albarado a donné à l’Amérique la solution à ces fusillades de série : permettre aux enseignants et aux employés d’école de porter leurs propres armes à feu de défense. Laissez un ou deux tueurs de masse se faire tirer par un employé d’école avant qu’il ne puisse exécuter ses intentions meurtrières et vous verrez ces fusillades prendre fin rapidement.

Mais ne comptez pas sur les législateurs pour faire quelque chose d’aussi raisonnable. Déjà, les républicains Mitch McConnell et Lindsey Graham, et les démocrates Chuck Schumer et Richard Blumenthal tordent des bras au Congrès pour faire passer des lois Red Flag tyranniques.

Mais, comme c’est le cas dans chacune de ces fusillades de masse, il y a tellement de questions sans réponses que cela laisse sous-entendre qu’il y a ici à l’œuvre quelque chose de plus qu’un tireur dément solitaire.

Des questions comme : où un décrocheur scolaire sans emploi a-t-il pu obtenir de 4 000 $ à 6 000 $ afin d’acheter deux Daniel Defense AR-15 qui sont parmi les fusils AR les plus dispendieux sur le marché, et 1 500 cartouches ?

Une autre question : les officiers de police qui se tenaient dans les alentours et qui ne faisaient rien, sauf arrêter et menotter des parents affolés et en panique, ont participé à deux exercices de tireur actif juste deux mois auparavant. Donc, que leur a-t-on enseigné ? Leur a-t-on montré à se tenir debout tout autour et à ne rien faire pendant que 19 enfants et 2 enseignants se font massacrer dans le bâtiment scolaire ?

En voici une autre : Comment se fait-il que les officiers de police doivent utiliser une CLÉ pour déverrouiller une porte d’école afin d’entrer (après avoir attendu UNE HEURE) ? Il n’y a pas de porte que les flics ne peuvent pas briser quand ils le veulent réellement – et je veux dire DANS L’URGENCE !

Bien sûr, la plus grosse question est : qui a donné l’ordre du retrait ? Non, je ne veux pas dire le commandant de la police sur les lieux. Je veux dire, qui a vraiment donné l’ordre du retrait ?

Je croirai toujours qu’il se trouve quelques forces gouvernementales derrière chacune de ces fusillades de masse. Appelez-moi comme vous voulez. Il y a tout simplement trop de circonstances illogiques, inconscientes et presque impossibles entourant chacune de ces fusillades de masses pour penser autrement.

Les satanistes globalistes de l’État Profond des cavernes infestées de chauves-souris, pleines de sangsues et de cafards grouillants de Washington, D.C., ne cesseront pas tant qu’ils n’auront pas manipulé avec succès les politiciens sans colonne, conduits par leur ego et qui aiment l’argent pour les amener à tenter de désarmer complètement le peuple américain.

Notre cœur et nos prières vont aux familles de ces innocentes victimes.

La partie la plus tragique de toute cette affaire, c’est que les véritables vilains derrière ces fusillades de masse sont les politiciens et les juges qui ont rendu illégale que les honnêtes citoyens se défendent.

N’oubliez jamais cela !

De plus, la prochaine fois que l’on vous dira que des policiers vont venir vous protéger quand votre vie va être menacée par une personne folle, souvenez-vous seulement de cette vingtaine de flics stationnés tout autour à l’extérieur pendant qu’une seule personne folle tuait 21 personnes à l’intérieur.




Le Far West est-il si sauvage ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2022

Par Jerry Barrett

Nous avons tous entendu des récits sur le Far West. Des histoires embellies, dans le but de présenter une façon de vivre sans contrôle, ont été racontées dans de nombreux livres et des films. Était-ce aussi sauvage que ce que nous voyons aujourd’hui ?

Nous savons par les documents historiques qu’il y avait des criminels qui faisaient la manchette. Des prospecteurs d’or cherchaient la richesse grâce aux nombreux rapports qui disaient que « l’or qui se trouve dans ces montagnes ». Toutefois, globalement, la majorité des colons de la ruée vers l’ouest étaient en quête d’une terre sur laquelle s’installer, une ferme ou un ranch, pour y élever une famille.

La période du « Far West » s’étendit en gros de 1865 à 1900. Pour une grande partie de cette ère, la loi et l’ordre n’existaient presque pas. Cela ne veut pas dire qu’on vivait dans la complète anarchie. Beaucoup de ces colonies frontalières adoptèrent leur propre code d’honneur et des méthodes de maintien de l’ordre. Quand on les avertissait que des hors-la-loi campaient dans les environs, les habitants locaux formaient un détachement pour les chasser.

Malheureusement, cette époque sauvage et confuse pâlit en comparaison du mal qui advient aujourd’hui dans notre paysage. Des hommes de loi légendaires comme Wyatt Earp, Bat Masterson et Pat Garrett seraient atterrés de voir la violence et la corruption qui sévit de nos jours dans notre pays.

Définancer la police

La Squad (escouade) est constituée de démocrates progressifs socialistes. Ses membres ont demandé à grand cri que l’on définance la police. Ayanna Pressley du Massachusetts a commandité la Loi BREATHE qui vise à éliminer la loi fédérale sur le renforcement des agences. La représentante de New York, Alexandria Ocasio-Cortez, Ilhan Omar du Minnesota et Cori Bush du Missouri ont toutes élevé la voix pour en appeler de la fin de la loi sur le renforcement à travers le pays.

La Squad : Rashida Tlaib du Michigan, Ilhan Omar du Minnesota, Jamaal Bowman de New York, Alexandria Ocasio-Cortez de New York, Cori Bush du Missouri et Ayanna Pressley du Massachusetts.

Chose ironique, toutes ces femmes ont dépensé des dizaines de milliers de dollars en sécurité privée. Mme Bush, dont le district couvre St-Louis et les environs, a dépensé plus de 70 000 $ — plus que tout autre membre de ce fanatique paquet d’hypocrites – étant donné que sa vie est infiniment plus précieuse que celles de ses électeurs. On l’a citée dans le New York Post alors qu’elle déclarait : « Mon corps vaut que je sois en ce moment sur cette planète. »

Le membre mâle du Squad, le représentant de New York Jamaal Bowman, a qualifié les agents de police de suprématistes blancs. Dans sa tentative de maintenir le mantra démocrate « bon pour moi, pas pour vous », Bowman a requis que le Département de Police Yonkers protège son foyer, et ce aux dépends des payeurs de taxe.

Procureurs soutenus par Soros

Le donateur milliardaire George Soros a financé nombre de procureurs à travers l’Amérique. Ces prétendus « avocats du peuple » se retrouvent dans les villes de notre pays les plus ravagées par le crime. On permet aux criminels de sortir de prison grâce à de faibles cautions ou même de ne pas être accusés. En voici quelques-uns :

Kim Foxx est la Procureure d’État pour le Comté de Cook, à Chicago. Le taux de meurtre à Chicago est à son plus élevé depuis 30 ans. Foxx a fait serment de réformer le système de justice criminelle qui, déclare-t-elle, incarcère de façon discriminatoire trop de gens de couleur.

Pour une période de trois ans analysée par le Chicago Tribune, le bureau de Foxx a fait descendre de 8,1 % les cas d’homicide, de 9,5 % les cas de crimes sexuels, tout en accroissant le taux de cas abandonnés pour voies de fait graves et pour voies de fait aggravés avec arme à feu. Le cas le mieux connu où le bureau de Foxx a fait tomber toutes les accusations de crime fut celui de l’acteur Jussie Smollett. Celui-ci avait été accusé d’avoir mis en scène une attaque raciste et homophobe contre lui dans le centre de Chicago.

Chesa Boudin est le Procureur du District de San Francisco. Sa plateforme progressive promettait de mettre fin aux cautions en argent, de réduire la population carcérale de la ville, de « réimaginer » la justice criminelle et d’arrêter de mettre en application les lois contre les crimes soi-disant de « qualité de vie » comme la prostitution.

Deux jours après son entrée en fonction, Boudin congédia sept des procureurs principaux et engagea des avocats de la défense pour les remplacer. En dedans de trois mois, il avait relâché près de quarante pourcent de la population de la prison de la ville. À partir du moment où il entra en poste, en janvier 2020, jusqu’à mars 2021, le bureau de Boudin a jugé vingt-trois cas. En conséquence, les homicides sont en hausse, comme les cambriolages et les pirateries sur la route. Les attaques incendiaires se sont aussi accrues de presque 50 %. Le vol à l’étalage est maintenant si répandu dans la ville que Walgreen a fermé 17 succursales à San Francisco.

Un client en colère dans le magasin Walgreen de San Francisco est consterné de voir que presque tous les articles se trouvent derrière des grillages cadenassés.

George Gascón, quand il entra en fonction en décembre 2020, émit une liste de crimes contre lesquels le Bureau du Procureur de District du Comté de Los Angeles n’engagerait plus de poursuites. Gascón a annoncé qu’il arrêterait de chercher la peine de mort, qu’il ne poursuivrait plus les enfants comme des adultes et qu’il ne déposerait plus d’accusations « à trois prises » qui exigent des sentences à vie aux individus condamnés pour offenses multiples. Il fit également vœu de ne plus envoyer de Procureurs de District aux auditions de liberté sur parole afin de s’opposer à la remise en liberté, et il a dit qu’il allait réévaluer des milliers de cas pour revoir les condamnations.

Larry Krasner, Procureur de District de Philadelphie, est un autre comparse de Soros. Lorsque Krasner prit le pouvoir en tant que Procureur de District de Philly, il a annoncé que son bureau ne poursuivrait plus des crimes comme la possession de drogue, la prostitution et les vols au détail en-dessous de 500 $. Le nombre de crimes jugés par le bureau du Procureur de District a chuté, le total de tous les cas traités tombant de 47 %. Le taux de condamnation au bureau du P. D. pour tous les cas de crimes a chuté à 22,6 %. Non seulement le taux de condamnation a-t-il chuté chez les crimes violents, mais, sous Krasner, les sentences pour les criminels condamnés sont plus courtes.

Une vague de crimes balaie toute l’Amérique

Selon toute apparence, le crime a explosé à travers notre pays. Les meurtres se sont accrus de près de trente pourcent en 2020. Certains d’entre eux pourraient être mis aux pieds des procureurs progressifs, mais plusieurs devraient atterrir carrément sur les genoux du mouvement Black Lives Matter. Cette organisatin marxiste a employé comme plateforme la mort des criminels.

Michael Brown de Ferguson, au Missouri, et George Floyd de Minneapolis, au Minnesota, sont les plus saillants dans le public. Même s’il a été documenté que M. Brown avait agressé un employé de dépanneur et volé des cigares, qu’il s’était mis à marcher au milieu d’une rue et fut enjoint de sortir de la rue par un officier de police, qu’il avait agressé l’officier et avait essayé de prendre son arme avant de se faire tirer dessus.

George Floyd fut arrêté pour avoir fait passer un faux billet de vingt dollars dans une épicerie locale. Quand on tenta de lui mettre les menottes, M. Floyd résista. Après avoir été menotté, on le fit assoir sur le siège de sa voiture. Moins de deux minutes plus tard, on le voit debout dans la rue. Après qu’on lui ait demandé de monter dans le SUV de la police, Floyd refuse. Chose intéressante, la police n’était pas combative – comme le documentent un bon nombre de vidéos cellulaires – et elle a passé près de huit minutes à lui parler avant que celui-ci soit cloué au sol.

L’officier avait-il besoin de mettre le genou sur le cou de M. Floyd ? Probablement pas. Était-ce le meurtre d’un homme noir par un policier blanc ? Définitivement pas, selon l’opinion de l’auteur de cet article.

Quand le rapport d’autopsie fut émis, l’examinateur médical lista trois « maladies naturelles » : 1) « maladie cardiaque d’artériosclérose » qui est décrite comme « multifocale et sévère » ; 2) « maladie cardiaque d’hypertension » qui inclut un « historique clinique d’hypertension » et 3) une tumeur pelvienne gauche qualifiée de « secondaire ». Le graphique de toxicologie déclare [non traduit] :

Les émeutes qui suivirent – que les médias contrôlés caractérisèrent de « en grande partie paisibles » – déclenchèrent une série calamiteuse de destruction et de grabuge à l’échelle nationale. Les clameurs ont conduit à la position prééminente dont jouit depuis Black Lives Matter. On devrait réfléchir à savoir comment exactement la destruction d’une ville bénéficie à l’objectif de faire cohabiter paisiblement toutes les races.

Aimez votre prochain

Du jour au lendemain, semble-t-il, le sujet chaud de « l’antiracisme » a été diffusé par les organes médiatiques majeurs. Le racisme systémique et la suprématie blanche prirent l’avant-scène des problèmes majeurs auxquels fait face notre pays. On a publié des livres sur ce sujet et la Théorie Critique de la Race a été appliquée dans les grandes entreprises comme dans les écoles publiques.

Le Marxisme Culturel, ou la Rectitude Politique, a atteint son zénith. Toutes ces années à travailler dur, en corrompant l’esprit des jeunes étudiants de collège, ont porté fruit. Le Premier Amendement qui garantissait à tout le monde la liberté d’expression a été modifiée par la Cour Suprême de la Justice Sociale : « On vous garantit la liberté d’expression, en autant que cela ne heurte pas les sentiments de personne. »

Notre pays a-t-il un historique de problèmes raciaux ? Certainement. Toutefois, le problème du racisme croise toute la gamme génétique. Ce n’est pas un problème à sens unique.

Quelle est la solution ?

En cela repose le problème majeur : Qu’advient-il de la bienveillance envers notre prochain ? Dans Matthieu 22:39, Jésus nous a dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Il y a entre nous tous des différences culturelles. Cela ne se limite pas à une race, mais cela comprend également la région où vous avez grandi. Jésus devrait nous servir de modèle et nous devrions composer notre vie de la même manière.

Malheureusement, notre société a cessé d’adopter une vision biblique du monde., les choses charnelles occupent l’esprit de tant de ceux qui se déclarent chrétiens. Grâce à l’usurpation des pasteurs, craignant Dieu et croyant en la Bible, par les théologiens libéraux, les masses sont conduites sur le mauvais chemin.

Comme me l’a dit récemment mon bon ami le pasteur Chuck Baldwin, « Les églises… dans l’esprit et le cœur des leaders ecclésiastiques, elles sont un business. De par la règlementation 501(c)3, ce sont des entreprises à but non lucratif. Le produit est conçu de manière à assurer le succès de l’entreprise. Ce qui compte, c’est l’argent, les foules, etc. » Essentiellement, les changeurs ont jeté la doctrine biblique dehors !

L’apôtre Paul nous a mis en garde contre une grande apostasie. L’élite s’est saisie de la déconnexion sociétale d’avec l’église et ont fomenté une guerre de race et de classe au sein des masses. L’enseignement de Pierre disant, dans Actes 10:34 : « Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes, » n’est pas apprécié parce que nos valeurs sont corrompues.

Il y a quand même de l’espoir, chers amis. Si nous restons fidèles aux enseignements de la Sainte Parole de Dieu, que nous pratiquons ce qui est enseigné et que nous traitons les autres comme des frères et des sœurs en Christ, nous allons vaincre. Faites comme nous le dit Jésus, dans Marc 16:15 : « Allez par tout le monde, et prêchez l’Evangile à toute créature. »




Les bellicistes en politique, les loups en chaire

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

19 mai 2022

Combien de fois m’avez-vous entendu dire qu’il n’y a véritablement qu’un seul parti à Washington, D.C., et c’est le Parti de la Guerre ? Eh bien, je le redis encore.

Dans la Chambre américaine, le vote fut de 368 – 57 en faveur d’envoyer un 40 milliards $ additionnel à l’Ukraine afin de prolonger et d’augmenter la guerre américaine par procuration contre la Russie en Ukraine.

Parmi les votes négatifs, il y a eu Marjorie Taylor Greene (R) de la Géorgie. Selon Greene, les 40 milliards $ de corruption des payeurs de taxe américains ressemblent à « un plan de blanchiment d’argent ».

Voici le rapport :

Le soutien financier que l’Amérique fournit à l’Ukraine ressemble beaucoup à « un plan de blanchiment d’argent ». a dit la représentante Marjorie Taylor Greene (R-GA) au podcast The Truth With Lisa Boothe, ce lundi. L’argent censément destiné aux Ukrainiens finit par aboutir dans les poches des « ONG à but non lucratif » qui sont souvent dirigées par des proches des politiciens de Washington, a déclaré Greene.

« Ils veulent donner 40 milliards $ à l’Ukraine, et ces 40 milliards s’ajoutent à l’argent qui a déjà été donné. Ce qui fait un montant de 53 milliards $. C’est plus des deux-tiers de tout le budget du Département d’État pour l’année », a dit la représentante, faisant référence au dernier montant d’aide qui est présentement soumis au Sénat américain.

D’après Greene, les fonctionnaires américains le font dans l’éventualité de financer les ONG opérées par « leurs familles et leurs amis ». « Il s’agit fondamentalement d’un plan de blanchiment d’argent, » dit-elle.

Au Sénat américain, le vote s’établit à 81 – 11 en faveur de l’approbation des 40 milliards $ de programme d’aide à l’Ukraine. Voici les onze sénateurs républicains qui ont gardé leur serment à la Constitution et ont mis l’Amérique et la paix au-dessus de la soif des globalistes pour la guerre et le fric :

Blackburn, Tennessee

Boozman, Arizona

Braun, Indiana

Crapo, Idaho

Hagerty, Tennessee

Hawley, Missouri

Lee, Utah

Lummis, Wyoming

Marshall, Kansas

Paul, Kentucky

Turberville, Alabama

Si votre sénateur (ou vos sénateurs) n’est pas dans cette liste, sachez qu’il ou elle est un lèche-bottes acheté et payé par les bellicistes pour le complexe militaro-industriel et leurs maîtres globalistes. Républicains ou démocrates, ils ne devraient plus jamais recevoir votre vote. Et vous devriez leur écrire ou les appeler pour le leur dire.

Le Parti de la Guerre est probablement en train de conduire l’Amérique directement vers une guerre nucléaire. Et même si d’aventure l’on évite la guerre nucléaire (ce ne sera pas parce que les politiciens démoniaques de Washington n’auront pas essayé), ils ont déjà mené le pays dans une inflation paralysante et probablement vers une récession majeure.

Et pendant que nous avons des bellicistes en politique, nous avons aussi des loups en chaire :

La culture américaine s’effiloche. Peu de gens pourraient dire autrement. Que vous soyez à droite ou à gauche de la fosse politique, nous semblons tous nous accorder sur un point : il y a quelque chose qui va terriblement mal.

Les États-Unis sont devenus les états séparés. « E pluribus unum » est devenu « ex uno plures ». Alors que nous étions jadis un peuple diversifié se rassemblant pour une cause commune, nous avons maintenant l’air d’un pays fracturé sans liement social et moral pour nous lier ensemble.

Un pays qui, encore hier, enseignait à sa progéniture la valeur d’axiomes comme « donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort », réagit maintenant, face à une « crise » au taux de survie de plus de 99 %, en s’écriant « J’ai peur de la mort, donc tout le monde doit perdre sa liberté ».

Nous nous réfutons nous-mêmes à chaque tournant. Ceux qui se déclarent tolérants hurlent qu’ils ne peuvent tolérer l’intolérance de tous les autres. Les gens qui brandissent la bannière de « l’amour bat la haine » déclarent qu’ils détestent absolument ceux qu’ils considèrent comme haineux. Les professeurs enseignent que la vérité n’existe pas. Les prédicateurs prêchent qu’ils savent que rien ne peu être connu. Les politiciens jurent d’honorer et de défendre une Constitution qu’ils déprécient ensuite comme étant un document antique de racisme systémique, intersectionnel et de privilège blanc.

Les féministes nient le fait biologie de la femelle. Des misogynes marchent avec MeToo. Des défenseurs de l’enfant préconisent le droit de tuer des enfants. Les partisans de la santé prénatale se font maintenant les apologistes de la mort périnatale.

Comment sommes-nous entrés dans ce gâchis ?

Le Dr Len Munsil, président de l’Université de l’Arizona, a récemment partagé ceci : « Une grande majorité des pasteurs américains ne possèdent pas une vision biblique du monde, selon les dernières découvertes, d’après l’Inventaire 2022 de la Vision Mondiale Américaine conduit par le Centre de Recherches Culturelles de l’ACU. En effet, à peine un peu plus du tiers (37 %) possède une vision biblique du monde, et la majorité – 62 % – adopte une vision mondiale hybride que l’on appelle Syncrétisme. »

Et ces chiffres sont encore pires en ce qui concerne les organisations parareligieuses comme les collèges et les universités reliés à une église.

L’infaillibilité, l’authenticité et l’autorité de la Bible, de même que le corollaire des vérités évidentes enracinées dans la loi naturelle (i.e., l’objectivité de la révélation de Dieu à l’homme) sont maintenant encadrés comme étant du racisme et de la bigoterie dans votre église locale et dans vos écoles chrétiennes locales. Ces gens-là « adorent la créature plutôt que le Créateur » depuis si longtemps qu’ils sont devenus complètement nuls. Ils ont « changé la vérité de Dieu en un mensonge » et ils ont vraiment été « livrés à un esprit dépourvu de tout jugement ». Dans l’esprit du péché originel, ils se sont déclarés « comme Dieu » et, en retour, « Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera ».

Il a été dit que les loups en habits de brebis sont dangereux, mais les loups en habits de berger sont carrément mortels. Les leaders ecclésiastiques de l’Amérique sont devenus des loups déguisés en pasteurs. Nos pasteurs et nos facultés chrétiennes, qui sont censés être le sel et la lumière au sein d’une culture mourante et d’un monde ténébreux, sont à peine du pain blanc grillé insipide pour une nation au besoin désespéré du puissant breuvage de l’Évangile. Christ a dit Lui-même qu’Il recracherait ce genre de personne de Sa bouche.

Comment en sommes-nous rendus là ? Ne regardez pas plus loin que votre église locale et son école chrétienne. Il y a environ 60 % de chances que le gars qui se tient derrière le lutrin sur le podium soit un « berger » aux dents bien acérées et dégoulinantes de sang. [Emphase ajoutée]

Amen !

Je le dirai sans ambages : Tout pasteur qui s’est soumis d’un air penaud aux confinements et aux vaccins Covid est un ennemi de la liberté, un ennemi de l’Amérique et un ami de la Bête. Et les personnes qui s’assoient au pied de ces loups en habit de brebis sont des co-conspirateurs dans l’effusion de sang innocent et la ruine de notre pays.

Idem pour les bellicistes chrétiens qui soutiennent la guerre par procuration, inconstitutionnelle et immorale, en Ukraine.

Des bellicistes en politique et des loups en chaire ; c’est la combinaison la plus dévastatrice connue de l’homme, et l’Amérique en est dévorée.