D.578 – Un Dieu unique ou une trinité – Introduction

Par Roch Richer

Introduction

Tout au long de son histoire, l’homme s’est posé cette question : Qui est Dieu ? Ou de manière plus vague, peut-être : Qu’est-ce que Dieu ? Un grand nombre de philosophes de toutes les civilisations et de toutes les cultures ont tenté de répondre à cette question. Des sages et des hommes religieux ont lancé toutes sortes d’idées et formé un nombre incroyable de religions. Mais comparativement bien peu d’entre eux ont vraiment consulté la Personne concernée, c’est-à-dire, Dieu Lui-même afin d’avoir une réponse sans équivoque. Or, depuis Moïse, il y a des Écritures qui révèlent le vrai Dieu. Celui-ci les a inspirées à des hommes qui devinrent Ses prophètes et Ses messagers sur terre.

« Dieu ayant anciennement parlé à nos pères par les Prophètes, à plusieurs fois, et en plusieurs manières, nous a parlé en ces derniers jours par son Fils, qu’il a établi héritier de toutes choses » (Hébreux 1:1-3). Donc, si nous voulons savoir qui est Dieu, il est des plus judicieux de s’en remettre aux prophètes, aux apôtres et surtout à Jésus-Christ qui est l’empreinte de la Personne de Dieu (v. 3). Autrement dit, c’est en s’armant de la Sainte Bible que nous pouvons répondre à cette question. Dieu ne S’est révélé nulle part ailleurs. Et si beaucoup de livres et de textes divers ont été rédigés à propos de la Divinité, seuls ceux qui se rapportent fidèlement à la Parole de Dieu ont de la valeur. Tous les autres ne sont que de la propagande imaginative destinée à tromper. Car beaucoup d’écrivains religieux ne possédaient pas, et ne possèdent pas aujourd’hui, le Saint-Esprit de Dieu pour les guider dans la vérité, et ils se laissent, consciemment ou non, influencer par les idées tordues de Satan, le Diable, qui trouve intéressant de fausser la nature de Dieu, de l’amoindrir et même de la cacher aux yeux des hommes.

Au fil des siècles, un invraisemblable éventail de propagande a été répandu dans les diverses organisations religieuses et a teinté les cultures humaines en poussant les hommes à rendre culte à toute une panoplie de faux dieux qui n’ont jamais existé que dans l’imagination fertile des hommes.

Malheureusement, les églises qui se disent aujourd’hui chrétiennes ne font pas exception, loin de là, et elles ont bientôt cédé aux pressions de loups ravisseurs infiltrés qui ont changé la saine doctrine de Dieu pour la remplacer par de fausses doctrines empruntées au paganisme.

S’érigeant en autorités suprêmes de l’Église, ces ministres de Satan ont dénaturé la Parole de Dieu et ont obligé par l’intimidation les membres de leurs congrégations à croire aveuglément à leurs dogmes frauduleux et à leur doxa mensongère rédigés dans un langage alambiqué dont le but est de cacher leur vide de sens.

Car l’œil vraiment attentif finit par apercevoir que leurs différentes doctrines ne forment pas un tout parfaitement homogène, comme peut l’être la saine doctrine de l’Évangile de Christ, mais plutôt un ramassis hétéroclite d’éléments qui ne se soutiennent pas les uns les autres et qui souvent se contrecarrent tout en contredisant le Discours divin coordonné à la perfection.

Nous faisons face à l’affrontement entre, d’une part, la pensée humaine de ceux qui se sont haussés au niveau « d’autorités théologiques » grâce au soutien de nombreux suppôts de Satan et, d’autre part, la pensée divine écrite qui inspire des hommes ayant préalablement reçu le Saint-Esprit de Dieu afin de comprendre la signification spirituelle exacte de Saintes Écritures qui échappent complètement à l’entendement des hommes charnels précités.

Les campagnes de propagande mensongère auxquelles nous assistons sans notre consentement et que nous voyons étalées dans les médias et le monde politique d’aujourd’hui ne datent pas d’hier et ne sont que la continuité de ce qui s’exerce depuis bien longtemps dans les cercles du monde religieux. Dès les tout débuts de l’Église primitive, l’Adversaire, le Diable, le lion rugissant cherchant à dévorer, s’est mis à tourner autour des congrégations fondées par Christ et Ses apôtres. L’Église lui apparut comme un ennemi potentiel implacable. Satan s’est rapidement mis en branle et a lancé l’attaque sur deux fronts : 1) la hiérarchie de l’Église et 2) la Parole écrite de Dieu.

Inspiré de Dieu, l’apôtre Paul prophétisa cette attaque, car il écrivit : « Car tels faux Apôtres sont des ouvriers trompeurs, qui se déguisent en Apôtres de Christ. Et cela n’est pas étonnant : car Satan lui-même se déguise en Ange de lumière. Ce n’est donc pas un grand sujet d’étonnement si ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice ; mais leur fin sera conforme à leurs œuvres » (2 Corinthiens 11:13-15).

Une fois infiltrés dans le clergé, qu’allaient faire ces hommes malveillants ? « Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques-uns se révolteront de la foi, s’adonnant aux Esprits séducteurs, et aux doctrines des Démons ; enseignant des mensonges par hypocrisie, et ayant une conscience cautérisée » (1 Timothée 4:1-2).

Assurément, le Saint-Esprit avait prévenu Paul de ce qui allait arriver dans les siècles subséquents, et Paul prit soin d’en avertir les frères : « Car je sais qu’après mon départ il entrera parmi vous des loups très dangereux, qui n’épargneront point le troupeau. Et qu’il se lèvera d’entre vous-mêmes des hommes qui annonceront des doctrines corrompues dans la vue d’attirer des disciples après eux » (Actes 20:29-30).

Réfléchissons un instant à ces paroles. D’après Paul, et sous l’inspiration directe du Seigneur, au sein même des congrégations qu’il avait fondées, il allait se lever des pasteurs mal intentionnés, mais fort probablement charismatiques, se présentant en hommes de Dieu pieux et savants dans les Écritures, et qui prendraient en charge la direction du troupeau. Cette prise en main a bel et bien eu lieu au fil des siècles suivants, alors que des hommes avides de prestige et de pouvoir s’emparèrent des commandes de l’Église et en chassèrent peu à peu les véritables enfants de Dieu. Ils cherchèrent à donner de l’expansion à cette nouvelle mouture de l’Église (qui n’était déjà plus l’Église) et ordonnèrent des conciles afin d’établir la stratégie permettant d’attirer des disciples après eux. Ces hommes sans scrupules et surtout sans l’Esprit-Saint pour les conduire ne se soucièrent pas de l’Évangile de Christ et introduisirent des doctrines corrompues, tirées du paganisme que la plupart d’entre eux n’avaient jamais délaissé.

Or, une de ces doctrines païennes concernait la nature de la Divinité. Il fallait tenter d’introduire la vision païenne, fort ancienne et acceptée des civilisations précédentes, d’une trinité divine, et l’adapter aux enseignements de la Sainte Bible chrétienne. Ainsi, les nouveaux convertis au « christianisme » ne seraient pas dépaysés, retrouvant presqu’intact leur culte à leurs vieilles idoles. Ainsi, les renégats à la tête de ce christianisme altéré pourraient continuer à adorer leurs faux dieux sans éveiller les soupçons.

Drapés de leur manteau d’autorité intouchable, ces nouveaux théologiens, les « pères de l’église », statuèrent que Dieu est formé d’un trio de Personnes divines – Père, Fils et Saint-Esprit – et nommèrent cela la « Trinité ». Depuis lors, la vaste majorité des croyants ont adopté ce dogme qu’ils n’arrivent pas à comprendre et encore moins à expliquer et tous ceux qui s’opposaient furent qualifiés d’hérétiques (nous dirions aujourd’hui « complotistes ») et un grand nombre furent brûlés au bûcher ou torturés par toutes sortes de procédés. Les méthodes de coercition de l’homme ont peut-être changé au fil des siècles, en se raffinant dans l’horreur, mais les buts visés par la haute hiérarchie n’ont pas changé, et nous voyons encore aujourd’hui l’application de diverses méthodes imposant une multitude de mensonges à faire avaler au peuple. Depuis des milliers d’années, le modus operandi inspiré par Satan opère dans le cœur des hommes mauvais assoiffés de puissance et incapables de se plier aux vraies doctrines de Dieu.

Aujourd’hui plus que jamais, les églises sont infestées de loups ravisseurs qui induisent les membres en erreur et les rendent incapables de discerner la vérité biblique. Même des vrais pasteurs de Dieu s’y sont laissés prendre et enseignent sincèrement une théologie bancale. Oh, ils citent de vrais versets de la Bible, mais ils ne se servent pas de toute la Parole de Dieu pour couvrir un sujet. Ils délaissent une grande partie de la Bible, car il y a des passages qui contredisent leurs enseignements et leurs professeurs de théologie ne leur ont pas appris à faire appel à tout le Conseil de Dieu, c’est-à-dire, la Bible au complet. Les « pères de l’église », qui ont succédé aux apôtres et aux premiers chrétiens, ont agi de manière contraire au procédé scripturale enseigné par Dieu pour étudier Sa Parole. Alors que notre Seigneur et Ses apôtres nous ont montré qu’il nous faut adapter notre compréhension à ce que disent les Écritures, ces premiers loups ravisseurs ont tenté d’adapter les Écritures à leur vision personnelle païenne préconçue et inspirée du diable.

Ce qui nous amène au second front de l’attaque de Satan contre l’Église : la falsification des Écritures. Car celles-ci étant rédigées avec un raffinement et une précision tels qu’il est impossible de les utiliser pour soutenir une fausse doctrine, il a fallu au diable qu’il rédige sa propre version des Écritures. La Parole de Dieu étant sous la protection divine, Satan ne pouvait y toucher. Il ne suffisait pas aux faux docteurs d’ignorer les versets gênants et de les biffer de leur théologie, ils croyaient devoir se forger leurs propres « manuscrits anciens » en y apportant toutes les modifications nécessaires afin de cacher la vérité et d’étayer leurs doctrines corrompues.

Satan ne peut détruire la vérité, car Dieu est la Vérité ; et il ne peut toucher à la Parole de Dieu, car la Parole est Dieu. Cependant, il a pu confectionner des faux manuscrits qui, en fin de compte, ne constituent pas les Écritures saintes divinement inspirées, mais ont un air juste assez crédible pour passer comme telles aux yeux des yeux non avertis. Ils empêchent ainsi les croyants d’avoir accès à la vérité. Donc, les versions bibliques corrompues se sont multipliées, surtout depuis le dernier siècle, et elles inondent le marché religieux. Pendant ce temps, la vraie Parole de Dieu dans une version intègre est beaucoup plus difficile à trouver.

La nature véritable de Dieu est un des éléments les plus importants de la saine doctrine et les chrétiens ont grand intérêt à la bien comprendre afin de savoir Qui est leur Créateur et Qui est leur Sauveur. Lorsque Dieu dit qu’Il est le seul et unique Dieu, Il entend exactement ce qu’Il dit.

Pour dissimuler le fait que Dieu est une seule et unique Personne S’étant manifesté de plusieurs façons, les faux docteurs ont manipulé les Écritures, enlevant des versets, et même des passages complets, en remplaçant des mots par d’autres qui, bien que semblables, changent le sens d’un verset, en ôtant d’autres mots et en reformulant des versets pour qu’ils aillent dans le sens de leurs idées préconçues. Tout cela sous le prétexte fallacieux de « moderniser » la Sainte Bible.

Vous vous demandez sans doute pourquoi des « théologiens » auraient fait une chose pareille. Pourquoi tromper les croyants ? De plus, si c’était vrai, ne l’aurait-on pas compris dès le départ ? N’est-ce pas prendre la masse des croyants pour des naïfs ? Pour répondre à ces questions, rappelons d’abord ce qu’a dit Paul à leur sujet : « Car tels faux apôtres… » commence-t-il par dire dans 2 Corinthiens 11:13 ; mais de qui parle-t-il ? Voyons au verset 4 : « Car si quelqu’un venait qui vous prêchât un autre Jésus que nous n’avons prêché ; ou si vous receviez un autre Esprit [celui de Satan] que celui que vous avez reçu [le Saint-Esprit], ou un autre Evangile [celui inscrit dans les manuscrits frauduleux] que celui que vous avez reçu, feriez-vous bien de l’endurer ? » Donc, ces faux apôtres, s’étant emparés des postes ecclésiastiques élevés de l’Église, « sont des ouvriers trompeurs, qui se déguisent en apôtres de Christ » ; ils se font passer pour des hommes de Dieu ayant autorité sur les croyances dogmatiques, « et cela n’est pas étonnant ; car Satan lui-même [leur vrai maître] se déguise en ange de lumière. Ce n’est donc point un grand sujet d’étonnement si ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice » en portant toutes sortes de titres religieux plus ronflants les uns que les autres, mais n’ayez crainte et soyez patients, car Dieu agira à leur égard et « leur fin sera conforme à leurs œuvres. »

Ces faux ministres ont donc pour père et maître le Diable, car celui-ci leur a promis mers et monde s’ils lui obéissaient dans son plan de démolition. Il les a infiltrés dans les congrégations originelles de l’Église dans le but qu’ils forment une « cinquième colonne » au sein même du christianisme et ces églises ont rapidement cessé d’être des Églises de Dieu pour devenir des églises mondaines paganisées.

Mais les vérités divines des Saintes Écritures n’ont jamais disparu, conservées qu’elles furent par la main protectrice de Dieu, leur Auteur, qui les a préservées soigneusement pour tous Ses enfants tout au long des siècles. Nous allons jeter un regard objectif sur un maximum de passages bibliques qui évoquent de près ou de loin la nature de Dieu en tant que Père, Parole et Saint-Esprit.




Le devoir de chasser la tyrannie

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2023

Par Jerry Barrett

Etre d’accord pour progresser n’est plus une option

« Lorsque, dans le Cours des événements humains, il devient nécessaire à un peuple de dissoudre les bandes politiques qui se sont reliées à d’autres, et de s’attribuer les pouvoirs de la terre, la position séparée et égale à laquelle les autorisent les Lois de la Nature et du Dieu de la Nature, un respect honnête des opinions de l’humanité exige qu’ils déclarent les causes qui les poussent à la séparation. »

Déclaration d’Indépendance

Cinquante-six hommes signèrent la Déclaration d’Indépendance, commettant ainsi un acte de trahison envers le gouvernement britannique. Ces braves aïeux de notre pays crurent fermement que leur idée allait leur créer l’opportunité, à eux et aux générations futures, de s’élever comme ils le désiraient.

Comme nous célébrons le Jour de l’Indépendance le 4 juillet, nous devons rappeler de manière impérative la bataille qu’il fallut pour créer notre république. Ces hommes engagèrent leur vie dans ce rêve de liberté contre la tyrannie. Pour eux, il s’agissait d’un honneur que de se tenir debout et de combattre pour leurs croyances.

Pendant deux cent quarante-sept ans, l’Amérique fut un phare de liberté face au monde. De nos racines de treize colonies à l’unique superpuissance du monde, l’Amérique se vit enviée et méprisée pour ses richesses et sa puissance.

L’honneur n’est pas qu’un mot

L’honneur se définit comme étant « l’honnêteté, la justesse et l’intégrité se trouvant dans les croyances et les actions d’une personne ». La parole d’un homme suffisait à assurer un prêt de la banque. Une poignée de main scellait un accord qui devenait sacré. Malheureusement, ce n’est plus le cas.

Aujourd’hui, l’honneur est presque disparu. Maintenant, l’amour de l’argent et la convoitise de ce que possèdent les autres dominent notre culture. Les menteurs, les tricheurs et les voleurs amassent le sale fric au baril dans le but de devenir « roi sur la montagne ».

L’on n’a qu’à observer les actions de nos élus pour comprendre toute la profondeur de la dépravation advenue à cette nation jadis si grande. Considérez les absurdes richesses que des politiciens

En 2016, le socialiste Bernie Sanders paya – cash – 575 000 $ pour cette troisième maison, une propriété riveraine du Vermont. (Si M. Socialiste avait cet argent pour payer comptant, imaginez tout l’argent qui repose dans ses comptes bancaires.)

comme Nancy Pelosi, Elizabeth Warren, Bernie Sanders – et, bien sûr, le résident Joe Biden – ont engrangées. Un grand nombre de leurs supporteurs disent simplement que « tout le monde le fait ».

De plus, les progressistes déclarent que les criminels qui ont commis des forfaits odieux ont souffert entre les mains des suprématistes blancs et sont donc des victimes. Les gens ne sont plus tenus responsables de leurs actes. Comme signe des temps, un juge de la Cour Suprême a récemment statué que détenir un criminel qui n’a pas les moyens de payer la caution s’avère probablement une violation de la Constitution. En effet, il n’y a aucune caution pour ceux qui infligent des souffrances à la communauté.

Le respect envers notre concitoyen est tombé victime de ces idéaux ridicules. Les parents ne sont plus les gardiens de leurs enfants, car les états ont décidé d’usurper leur autorité. Les écoles publiques – alias les centres d’endoctrinement – permettent aux enseignants de semer des doutes dans l’esprit de notre jeunesse en lui présentant en classe leur idéologie tordue du genre ou leurs préférences sexuelles.

Le cheptel humain acquiesce depuis trop longtemps aux maîtres en pouvoir. On n’a qu’à regarder le nombre de masques sur les visages ou à considérer ceux qui font volontairement la queue pour prendre leur piqûre de thérapie génique expérimentale pour confirmer cette affirmation. La tyrannie est sur pied, et il est temps de se dresser et de réagir.

Calculer la dépense

Comme toute chose dans la vie, l’on doit prendre en considération toutes les options mises sur la table et prendre une décision éclairée. Notre Sauveur et notre plus grand Enseignant, Jésus-Christ, nous a laissé cette puissante leçon :

« Mais qui est celui d’entre vous, qui voulant bâtir une tour, ne s’asseye premièrement, et ne calcule la dépense pour voir s’il a de quoi l’achever ? De peur qu’après en avoir jeté le fondement, et n’ayant pu achever, tous ceux qui le verront ne commencent à se moquer de lui ; en disant : cet homme a commencé à bâtir, et il n’a pu achever (Luc 14:28-30).

Nos ancêtres comptèrent la dépense et décidèrent que la tyrannie n’était pas une option, de là leur Déclaration d’Indépendance. Le temps est venu pour les Américains patriotiques de considérer

Tout en célébrant notre liberté en ce Jour de l’Indépendance des États-Unis d’Amérique, voyons ce que nous dit ceci concernant le leadership d’alors et celui d’aujourd’hui.

la sécession comme une possibilité afin de se séparer de ce gouvernement tyrannique.

Divorce national

À mesure que notre pays s’enfonce dans l’abysse du despotisme, un grand nombre de gens exigent une séparation d’avec les doctrines marxistes émanant des capitales d’états et de Washington, D.C. Notre contrée s’est transformée en une zone de guerre idéologique mettant aux prises, d’une part, ceux qui poussent la théorie critique de la race, le transgenrisme, la pédophilie, l’avortement et autres idées malsaines, et d’autre part les chrétiens et les patriotes.

Est-ce une idée farfelue ? Le Centre de la Politique de l’Université de la Virginie a découvert par ses données de sondage : « environ 4 électeurs sur 10 (41 %) pour Biden et au moins la moitié des électeurs (52 %) pour Trump sont relativement d’accord pour dire qu’il est temps de désunir le pays, en préférant que les états bleus/rouges fassent sécession du pays. »

Cela peut-il arriver ? Lorsque l’on considère la mentalité marxiste des progressistes d’aujourd’hui, comme Harriet Beecher Stowe l’a écrit dans La case de l’oncle Tom, « Il faudra d’abord qu’il me passe sur le corps ! » Le marxisme macère dans l’assemblage et l’ajout, pas dans la soustraction.

J. Robert Smith a écrit dans son article du 13 octobre 2021, La perspective d’un divorce national :

« La gauche se compose de contrôleurs et de disciples. Les disciples gauchistes sont des gens qui cèdent gracieusement le contrôle sur leur vie. Ils échangent leur liberté contre ce qu’ils perçoivent comme de la sécurité – et pas seulement au niveau matériel. Ils veulent être libérés du combat quotidien consistant à penser de façon critique, à prendre des décisions, et à prendre leur vie en main. »

Ce qui soulève la question à savoir si vous voulez partager une frontière avec ce genre de mentalité ? Bien qu’il soit faisable à court terme de faire sécession avec ces états aux idéaux socialistes, qu’arrive-t-il après coup ? Est-ce qu’une seconde guerre civile se profilerait à l’horizon ?

L’économiste écossais Alexander Tytler, qui, en 1787 rapporte-t-on, a commenté la nouvelle République américaine d’alors, a écrit :

« La durée moyenne des plus grandes civilisations du monde tourne autour de 200 ans. Ces pays progressent toujours en suivant cette séquence : de l’esclavage à la certitude morale ; de la certitude morale au grand courage ; du grand courage à la liberté ; de la liberté à l’abondance ; de l’abondance à l’égoïsme ; de l’égoïsme au contentement de soi ; du contentement de soi à l’apathie ; de l’apathie à la dépendance ; de la dépendance à l’esclavage. »

On l’appelle le Cycle de la Liberté. Étant fondé sur la nature humaine, on ne peut le manipuler ni l’inverser soudainement. Selon l’estimation de l’auteur, nous nous trouvons dans le cycle de « l’apathie à la dépendance ». Les adeptes du socialisme de Marx continuent leurs efforts vers un plus grand contrôle gouvernemental. Les masses apathiques réaliseront un jour que leur inaction aura complété ce cycle et que seul l’esclavage se dessine.

Hommes de fer ou hommes de bois ?

Etant donné la campagne menée contre la masculinité toxique, les pasteurs incontestablement tièdes qui occupent les chaires de l’Amérique et l’apathie qui suinte dans tout le pays, y a-t-il quelque leader que ce soit qui aura le courage et l’honneur de proclamer « quand toute forme de gouvernement devient destructrice à ses fins, il est du Droit du peuple de l’altérer ou de l’abolir et d’instituer un nouveau gouvernement » ?

Les hommes timides ont l’intelligence de l’esclave. Il est temps qu’un mouvement se lève pour restaurer l’honnêteté et l’intégrité au sein du peuple. Nous devons nous rappeler que le seul héritage glorieux que nous pouvons léguer à la prochaine génération est la liberté. Dans la liberté repose la sécurité. À moins que des hommes de fer ne se présentent et ne recueillent le respect requis pour conduire la charge, les tyrans continueront d’opprimer le cheptel.

« Celui qui rend témoignage de ces choses, dit : Certainement je viens bientôt, Amen ! Oui, Seigneur Jésus, viens ! » Apocalypse 22:20).


Par Sandra Myers

Sommes-nous en train de perdre notre héritage ?

« Voici, les enfants sont un héritage donné par l’Eternel ; et le fruit du ventre est une récompense de Dieu. »

Psaume 127:3

Il n’y a aucun doute que la gauche engage une guerre sans merci contre nos familles. La guerre s’étend à la politique, à l’éducation, au divertissement et même aux genres, à la médecine, à la vie et, bien sûr, à la culture.

La Gauche déteste ce qui est normal. La Gauche déteste la paix. Vous ne pouvez pas décoller une révolution au sein d’un peuple heureux et satisfait. Sans Jésus, il n’y a que troubles et perturbations constants – il n’y a pas de paix.

« Aussi tous tes enfants seront enseignés de l’Eternel, et la paix de tes fils sera abondante » (Ésaïe 54:13).

En dehors des églises, les collèges ont été les premiers endroits à être infiltrés afin de créer la révolution. Et la Gauche y a eu tant de succès que, trop souvent, même les parents conservateurs. qui devraient être fiers que leur enfant ait gagné une place dans un collège de haut niveau, découvrent que, même après la première année, leur enfant est devenu une personne différente dotée d’une nouvelle mentalité libérale étincelante. Maintenant, la Gauche a abaissé leurs visions.

Qui servira le mieux de prochaine cible dans ces perturbations ? Est-ce nous, qui avons déjà été élevés dans les valeurs chrétiennes, ou du moins conservatrices ? Il est vrai que les troubles nous affectent sans doute. Mais nous avons une Fondation sûre, et la capacité de penser ne nous a pas encore été enlevée. Au lieu de cela, leurs visions ont été assises sur les moins aptes à défendre et à différencier les valeurs morales souterraines.

Dès l’enfance, les jeunes ont appris à obéir. Lorsque des parents placent leurs jeunes enfants sans défense dans des garderies, ils donnent librement leur autorité parentale à des étrangers qui ont souvent des valeurs morales douteuses.

L’État dit maintenant que vos enfants ne vous appartiennent plus. Vient avec cela la propagande (en faveur de valeurs libérales outrageuses) ; la suppression des idées, spécialement la « mauvaise façon de penser » ; la pensée critique est remplacée par la Théorie Critique de la Race ; la normalisation d’idées jadis radicales et immorales ; la signalisation d’avantages (lorsque les enfants, dans leur confusion, cèdent à la pression de leurs pairs influencés par des adultes dans l’espoir de créer la paix) ; programmation spécifiquement antichrétienne (mais il est correct d’assister au Club de Lecture Satanique d’Après l’École). Et ce n’est qu’à la maternelle ou à l’école.

Ajoutez à cela la turpitude morale affirmée par l’industrie du divertissement dans les films, les dessins animés, les jeux vidéos et les livres ; l’heure de lecture drag-queen ou leurs shows de danse ; cela crée des automates dépendants de l’état.

Je suis atterrée, mais il y a plus.

Ajoutez encore l’implication de l’État et de l’industrie pharmaceutique dans la santé de votre enfant. Le nombre de vaccinations exigé pour l’enfant a presque quadruplé depuis 1980. Mais vous devez vacciner. (Pourquoi l’autisme est quasi inexistant chez les Amish ?) Les traitements pour l’ADD et l’ADHD sont montés en flèche. Et nous nous demandons pourquoi les enfants attaquent les parents et les enseignants…

L’héritage de notre pays et de nos enfants est dans une position plus précaire que jamais. Mais, chose plus importante encore, l’âme même de nos enfants. Est-il trop tard ? Une chose est sûre, nous devons réclamer nos enfants et nos petits-enfants – les affermir dans l’amour de Jésus, de la famille et du pays.