Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

15 février 2024

En s’assoyant avec le Président Vladimir Poutine de Russie afin d’avoir une discussion prolongée, significative, télévisée et en face-à-face, Tucker Carlson a probablement différé une guerre nucléaire mondiale.

Évidemment, le Parti guerrier de Washington, D.C., et ses laquais du grand courant médiatique ont crucifié Tucker à n’en plus finir. Voyez-vous, Tucker Carlson a fait l’impensable (et l’impardonnable) : il a dirigé une entrevue télévisée avec le deuxième plus puissant leader du monde sans les contrôles et les restrictions de l’État Profond. Il est sorti de la réserve. Il a permis à M. Poutine de parler librement et directement au peuple américain. Et les gardiens du discours du Parti guerrier n’y pouvaient rien.

Il y a des décennies que le peuple américain n’a pas entendu ou vu un reportage de nouvelles sans entraves, sans restrictions, sans contrôle, improvisé et honnête. Des décennies ! Tucker Carlson a démoli le Rideau de fer des médias.

Vive Tucker !

Le Dr Ron Paul :

L’on a dit et écrit beaucoup de choses à propos de l’entrevue de Tucker Carlson, la semaine dernière, avec le Président de la Russie, Vladimir Poutine. Au moment d’écrire ceci, la vidéo sur Twitter seulement a été vue près de 200 millions de fois, ce qui en fait probablement la nouvelle la plus regardée de l’histoire.

Un très grand nombre de millions de téléspectateurs qui n’ont pas eu accès à l’envers de l’histoire ont été informés que le conflit armé Russie/Ukraine n’a pas commencé en 2022, comme le rapporte sans cesse le grand courant médiatique, mais a débuté huit ans plus tôt par le coup d’état en Ukraine parrainé par les États-Unis. Les médias américains ne rapportent pas cela parce qu’ils ne veulent pas que les Américains commencent à remettre en question notre politique étrangère interventionniste. Ils ne veulent pas que les Américains voient que l’ingérence de leur gouvernement dans les affaires des autres pays – que ce soit par une « révolution colorée », des sanctions ou des bombes – a des conséquences réelles et fatales sur ceux qui subissent cette politique étrangère.

Pour moi, toutefois, l’aspect sans doute le plus intéressant de l’entrevue de Tucker Carlson avec Poutine fut la réaction du grand courant médiatique américain. Comme Poutine l’a dit lui-même durant l’entrevue : « Dans le monde de la propagande, les États-Unis sont très durs à battre. » Même un regard en passant sur les reportages du grand courant médiatique américain, avant et après l’entrevue, montre à quel point il a raison. Dans les jours, même les semaines, précédant l’entrevue, les médias américains étaient remplis de récits disant comme il était horrible que Tucker Carlson aille interviewer le Président russe. Il y avait danger, disaient-ils, que Poutine puisse répandre de la « désinformation ».

Que Poutine dise quelque chose qui éclaire son pays sous un meilleur angle, disaient-ils, est une raison suffisante pour ne pas le faire. Selon cette logique, pourquoi avoir du journalisme ? Tous ceux qui sont interviewés par des journalistes – certainement tous les leaders mondiaux – tenteront de décrire un portrait rose. Dans une société libre, le travail d’un journaliste devrait être de faire le reportage et de laisser les gens décider. Mais, en quelque part, cela s’est perdu. De nos jours, les grands médias vous disent ce que vous devez penser, et vous êtes aussi bien de ne pas discuter sinon vous serez révoqué.

Ce dont le grand courant médiatique s’inquiétait vraiment, c’était que « l’envers de l’histoire » puisse commencer à sonner juste aux oreilles du grand public. Ils ont donc attaqué le messager.

Le reportage de CNN au sujet de l’entrevue de Tucker résume assez bien la réaction de l’ensemble du grand courant médiatique américain. Il titrait : « Tucker Carlson est en Russie pour interviewer Poutine. Il suit déjà les ordres du Kremlin ».

En ne faisant que ce qu’on appelait jadis du « journalisme » – interviewer et faire des reportages sur les gens et les événements, qu’ils soient bons ou mauvais – l’on « suit les ordres » du sujet de l’entrevue ou du reportage ?

Pas étonnant que le camarade journaliste Julian Assange ait été enfermé dans un goulag pendant de si nombreuses années. Il osa présumer que, dans une société libre, être journaliste signifiait rapporter le bon, la brute et le truand, même si cela met ceux en pouvoir sous un mauvais éclairage.

À la fin, le succès gigantesque de l’entrevue de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine démontre une fois pour toutes que le peuple américain en a plus qu’assez des propagandistes et des menteurs du grand courant médiatique. Ils ne cherchent plus les narratifs du gouvernement, mais la vérité. Voilà la nouvelle réellement bonne en ce qui a trait à cette entrevue.

Vive Tucker !

CitizenWatchReport.com :

Cette semaine, la plus grosse nouvelle du monde entier, c’est l’entrevue de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine. Honnêtement, c’était une entrevue un peu bizarre et vous pouvez la regarder vous-mêmes ci-dessous. Mais je rends une tonne de crédits à Tucker Carlson pour s’être rendu en Russie afin de s’assoir avec Poutine. Je crois que la vraie raison pour laquelle il a fait cela, c’était qu’il voulait voir par lui-même s’il y avait de l’espoir d’éviter un conflit cataclysmique entre nos deux pays. Chaque jour, nous nous rapprochons de l’impensable, et il serait donc sensé pour les deux côtés de chercher un moyen pacifique de sortir de ce gâchis. Mais à ce moment-ci, l’élite occidentale n’est pas intéressée à la paix et elle ne veut pas que l’on parle de paix dans les médias. Elle va donc aller très loin pour discréditer l’entrevue de Tucker Carlson avec Poutine, parce qu’elle ne veut pas que ses narratifs soigneusement ciselés soient perturbés.

Michael a raison : « L’élite occidentale n’est pas intéressée à la paix et elle ne veut pas que l’on parle de paix dans les médias ». Voilà pourquoi j’ai dit au début de cet article :

En s’assoyant avec le Président Vladimir Poutine de Russie afin d’avoir une discussion prolongée, significative, télévisée et en face-à-face, Tucker Carlson a probablement différé une guerre nucléaire mondiale.

Vive Tucker !

Carlson donna lui-même un bref suivi de son entrevue avec Poutine à RT.com. Voici quelques éléments de Tucker prêts-à-emporter :

Poutine le diplomate

Carlson a dit que Poutine semblait vouloir négocier avec l’Occident, à la fois concernant la fin du conflit ukrainien et un nouvel équilibre du pouvoir dans le monde. La diplomatie est l’art du compromis, et presque tout le monde, « excepté peut-être les États-Unis durant la période unipolaire », a compris cela, dit Carlson. Mais alors que Poutine veut que le conflit prenne fin, sa position ne va que durcir s’il s’allonge, a-t-il ajouté.

L’OTAN et la Russie

Puisque tout l’objectif de l’OTAN était de garder l’Union Soviétique en dehors de l’Europe de l’Ouest, Carlson a dit à Dubaï : « Si les Russes demandent à joindre l’alliance, cela sous-entend que l’on a réglé le problème et que l’on peut poursuivre en faisant quelque chose de constructif de notre vie. Mais nous avons refusé. »

« Allez vous assoir une heure dans le sauna et réfléchissez à ce que cela veut dire, » a-t-il ajouté.

Le problème avec les politiciens de l’Occident

Les politiciens de l’Ouest ne se mettent pas des buts « atteignables », argue Carlson.

« J’ai entendu personnellement des fonctionnaires du gouvernement américain dire, eh bien, nous n’avons qu’à redonner la Crimée à l’Ukraine, » dit-il. « Cela n’arrivera pas, à moins d’une guerre nucléaire. C’est de la folie, en fait. »

Même apporter ce genre d’idée « montre que vous n’êtes qu’un enfant, vous ne comprenez pas du tout la région, et vous ne savez vraiment pas ce qui est possible, » conclut le journaliste.

C’est toujours Munich 1938

D’après Carlson, un des plus gros problèmes des États-Unis et de l’Occident en général, c’est la tendance à tout réduire à la conférence de Munich 1938 où la Grande-Bretagne et la France cherchèrent à « apaiser » l’Allemagne nazie en lui donnant une portion de la Tchécoslovaquie.

« Le modèle américain historique des responsables politiques est minuscule – en fait, il n’y en a qu’un – et c’est une période de deux ans à la fin des années 1930, et tout est basé sur cette compréhension de l’histoire et de la nature humaine. C’est de la folie, » dit Carlson

Comment Moscou l’a « radicalisé »

Carlson souligna qu’il a 54 ans et qu’il avait grandi dans une Amérique qui possédait de belles villes sympathiques et sécuritaires, « et nous ne les avons plus. »

Ce fut « radicalisant » de voir Moscou « plus propre, plus sécuritaire et plus jolie » que les villes américaines, dit-il, et que Dubaï et Abu-Dhabi le lui rappellent – alors qu’aux États-Unis, on ne peut pas voyager dans le métro de la Ville de New York parce que c’est sale et dangereux.

Réaction face aux contrecoups

Demandé à savoir pourquoi il n’avait soulevé certains sujets avec Poutine, Carlson dit qu’il voulait faire l’entrevue parce qu’il était intéressé à savoir comment le leader russe voyait le monde – et pas de s’insinuer dans la discussion.

La plupart des journalistes qui interviewent les leaders que les États-Unis n’aiment pas tentent de tout ramener à eux-mêmes, ajoute Carlson, et vu qu’il ne se soucie que de l’approbation de sa femme et de ses enfants, il n’avait pas besoin de signaler sa vertu.

Prié de commenter la déclaration de l’ancienne candidate présidentielle américaine Hillary Clinton l’ayant appelé un « idiot utile » de la Russie, Carlson se mit à rire.

« Ce n’est qu’une enfant, je ne l’écoute pas, » dit-il. « Comment va Lybia ? »

Vive Tucker !

Peut-être que le plus gros prêt-à-emporter de l’entrevue fut pour moi personnellement quelque chose de carrément évident – quelque chose que je n’ai vu personne d’autre discuter : Vladimir Poutine a plus de cervelle que Joe Biden (deuh !), Donald Trump et tout le Congrès américain réunis.

À cause des médias contrôlés d’Amérique, la plupart d’entre nous, les Américains, n’avons jamais eu une seule occasion de regarder et d’écouter M. Poutine dans une quelconque discussion prolongée et sans restrictions. Il apparut évident dès les premières cinq minutes de l’entrevue que Poutine est INTELLIGENT – DRÔLEMENT INTELLIGENT !

Je pense que Poutine a pris Tucker un peu au dépourvu au début de l’entrevue, et ce pour une raison évidente : Tucker a coutume d’interviewer de STUPIDES politiciens superficiels, sans vision et égocentriques d’Amérique. Lorsque vous vous assoyez en face d’un véritable érudit, vous êtes dans un autre univers.

Ce qui me rappelle qu’il y a vraiment des gens intelligents de l’autre côté du monde, des gens dont ne veulent pas parler nos politiciens américains ineptes et les bulletins de nouvelles – en tout cas, pas publiquement. Ils feraient paraître nos politiciens et journalistes pathétiques pour les imbéciles qu’ils sont en réalité.

Ils pourraient aussi faire en sorte que les Américains demandent : « Dites-nous encore pourquoi nous devons faire autant de guerres stupides et inutiles ? »

Que vous aimiez Poutine ou pas, que vous soyez d’accord ou non avec quoi que ce soit qu’ait dit Poutine, Tucker Carlson a eu le courage de défier toute l’élite de l’État Profond et il a fait ce que tout journaliste américain est censé faire : s’assoir avec les leaders du monde – même ceux du camp opposé – et avoir des discussions sincères, significatives et publiques. Comme le sait toute personne intelligente, les discussions sincères, significatives et publiques entre pays sont une composante nécessaire à la paix.

Je pense que c’est Michael de Citizen Watch Report qui l’a le mieux dit :

L’élite occidentale n’est pas intéressée à la paix et elle ne veut pas que les médias parlent de paix. Elle ira donc très loin pour discréditer l’entrevue de Tucker Carlson avec Poutine, parce qu’elle ne veut pas que ses narratifs soigneusement ciselés soient perturbés.

La vérité !

Depuis que la doctrine de « guerre contre le terrorisme » de G.W. Bush et de Benjamin Netanyahu a été implantée au début du siècle, le gouvernement américain ne fut rien de plus qu’un « état guerrier ». Les victimes de notre « guerre contre le terrorisme » inconstitutionnelle, illégale, immorale et injuste appelleraient probablement Washington, D.C., un « état terroriste ».

Je le dis encore une fois :

En s’assoyant avec le Président Vladimir Poutine de Russie afin d’avoir une discussion prolongée, significative, télévisée et en face-à-face, Tucker Carlson a probablement différé une guerre nucléaire mondiale.

[Pour regarder l’entrevue de Tucker Carlson avec Vladimir Poutine, cliquez ici]

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

8 février 2024

Peggy Hall a écrit ce reportage et elle a commencé en disant : « On doit réellement accompagner ce récit d’un avertissement contre la nausée. »

Vraiment, c’est un fait. Encore là, à peu près tout ce qui provient de Washington, D.C, ces jours-ci (ce qui inclut le côté républicain de l’allée), doit s’accompagner d’une mise en garde contre les haut-le-cœur.

Washington, D.C., est MALADE ! La plupart des politiciens et des bureaucrates qui le dirigent sont des dégénérés éthiques, moraux et spirituels. Beaucoup d’entre eux sont de véritables psychopathes. Et ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils ne fassent totalement sombrer l’état d’Amérique.

Le reportage d’aujourd’hui n’est qu’un autre exemple de la maladie cancéreuse terminale qu’est Washington, D.C.

Pour tous ceux d’entre vous, authentiques Américains, qui avez fait votre propre chemin, fait des sacrifices, TRAVAILLÉ pour de l’argent, traversé des années de vache maigre, ainsi que les épreuves et les tribulations qui viennent avec le fait d’avoir agi à votre façon, ce récit vous retournera sans doute l’estomac comme il me l’a fait.

Particulièrement si vous êtes comme moi, avec des valeurs et de l’éthique, une moralité et des standards, et le désir de la JUSTICE pour tout le monde (non, pas la justice sociale ou la justice climatique, ou la justice du genre – ouais, c’est une chose.) Simplement la JUSTICE.

Je parle de la vraie définition de la justice, qui est : « l’application égale de la loi ». En d’autres mots, là où personne n’est traité différemment, avec plus ou moins de considération, ou à qui l’on donne quelque privilège ou préférence que ce soit. Je sais, je sais… il est probable que vous pensez qu’il s’agit de promesses en l’air où on prend ses désirs pour la réalité. Mais ce désir EST basé sur des principes et des valeurs pour lesquels il vaut la peine de se battre.

Et je vais continuer à me battre pour ces principes, pour expliquer, exhorter, encourager et habiliter ceux qui ont la volonté d’entreprendre le combat à mes côtés.

Je réalise que ce combat peut être épuisant quand nous sommes éclaboussés encore et toujours des eaux grasses les plus vilaines – comme je m’y prépare en partageant avec vous ce dernier compte-rendu sur la manière que votre argent, et mon argent, que l’on nous vole de nos poches à chaque paye (et créé du vent par le gouvernement) est TRANSMIS SANS CONDITIONS à des gens qui déclarent être des victimes, des réfugiés ou des chercheurs d’asile aux États-Unis.

Et attendez de voir qui est derrière cette invasion d’illégaux inondant nos frontières, les mains tendues et les poches ouvertes qui n’attendent que d’être remplies de l’argent et des ressources qui DEVRAIENT aller aux Américains réels, les vétérans, les vieillards et les gens à faible revenu. Je serai la première en ligne pour prêter main forte où s’en fait sentir le besoin (et c’est ce que j’ai fait toute ma vie), mais faciliter ouvertement la décimation de l’Amérique en l’inondant intentionnellement de gens qui veulent une subvention ? Euh, ce doit être un gros N-O-N.

Qu’en est-il des criminels, des vendeurs de drogues, des trafiquants d’enfants, de ceux qui portent des maladies ?! Vous savez, ces maladies pour lesquelles on a forcé d’authentiques Américains à se faire injecter ? Qui sait ce que sont ces gens que L’ON AMÈNE à traverser NOS FRONTIÈRES ? Ils ne s’échappent pas, ils sont escortés. C’est la différence entre ce que j’appelle des immigrants traditionnels versus les immigrants fabriqués d’aujourd’hui.

Je viens d’une famille d’immigrants qui a FAIT SON CHEMIN, qui n’a eu AUCUNE aide du gouvernement ; pas de classe de langue anglaise ; pas de revenu de sécurité sociale, pas d’assistance logement, pas d’allocation monétaire, pas de transport, pas de timbres alimentaires, pas de stage de travail. Mon histoire d’immigrant inclut des gens qui voulaient s’ASSIMILER à la culture américaine et apprendre sa langue et ses coutumes, tout en célébrant les traditions de l’Europe de l’Est (moins le communisme).

Mais, pour l’amour du monde, qu’est-ce qui arrive ici, maintenant, où des gens sont littéralement repêchés de leurs propres foyers et communautés d’un pays fort éloigné et se voient, comme traitement, dérouler un royal tapis rouge et donner un sac plein de cash et d’autres aides – bien au-delà de ce qu’obtiennent les Américains authentiques ?

Et c’est ici qu’on sort le seau à vomi.

Voici les sales détails sombres sur la façon que les États-Unis paient financièrement la note de l’invasion d’immigrants.

Il y a une organisation juive qui s’appelle l’HIAS, soit Hebrew Immigrant Aid Society (Société d’aide hébraïque pour immigrant).

L’HIAS obtient des centaines de millions de dollars en fonds américains par l’Office of Refugees Resettlement (ORR) (Bureau de réinstallation des réfugiés). L’ORR a été créé par Brandon Biden comme faisant partie du Département de la Santé et des Services Humanitaires du gouvernement fédéral. (Note : juste pour vous rappeler jusqu’à quel point le gouvernement fédéral est démesuré et excessif. Il n’y a rien dans la Constitution qui permette que ces agences sans entraves soient créées selon le caprice du président.)

Examinez ici le site Internet du ORR et notez près du bas de la page la liste des agences qui obtiennent des subventions assorties à partir de VOTRE argent.

Vous verrez que l’HIAS est sur la liste de ces agences.

Peggy poursuit :

L’HIAS dépense l’argent de VOS taxes pour amener 500 000 illégaux de l’Amérique du Sud et de l’Amérique Centrale jusqu’aux États-Unis.

Vous pensez peut-être que les pauvres immigrants devraient être accueillis avec le tapis rouge. Après tout, pensons aux conditions déplorables auxquelles ils échappent, sans mentionner les risques que prennent ces chercheurs d’asile en essayant de s’échapper vers une vie meilleure.

Hum… ce n’est pas vraiment le cas, à tout le moins pour ces réfugiés qui reçoivent à chaque étape de leur itinéraire de l’aide de l’HIAS (financé à coup de millions de dollars par le gouvernement américain).

Poursuivez votre lecture et je vais vous montrer comment exactement l’HIAS aide UN DEMI MILLION de réfugiés à traverser le dangereux Golfe de Darién dans la jungle panaméenne, pour s’accaparer de l’argent, du logement, du transport, des subventions monétaires des soins médicaux et des emplois qui devraient revenir aux Américains authentiques.

Selon le site Internet de l’HIAS :

« Beaucoup de réfugiés traversent de multiples pays des Amériques dans leur voyage, ce qui leur rend difficile de recevoir une protection adéquate et du soutien continuel. Pour rectifier ce problème, l’HIAS a implanté des programmes de traversée de frontières, fournissant ainsi une façon innovatrice de soutenir les survivants GBV et les gens LGBTQ du Darién. »

C’est ici que les choses deviennent réellement abjectes.

La Chambre des Représentants américains fait les premiers pas pour mettre en accusation le secrétaire de la Homeland Security, Alejandro Mayorkas pour « son refus volontaire et systématique de se plier à la loi » et pour manquement envers la confiance publique.

Au moment de la rédaction de cet article, la Chambre GOP a échoué à sa tentative d’accusation sur Mayorkas. Le GOP continue d’être aussi inepte que d’habitude. Oubliez la mise en accusation de Biden par le GOP. Les Démocrates ont pu entamer des poursuites DEUX fois contre Trump, mais les Républicains ne peuvent même pas mettre UNE fois en accusation un membre corrompu du cabinet démocrate. Mike Johnson n’est pas mieux que Kevin McCarthy, et Mitch McConnell a toujours été un saboteur de cinquième colonne pour l’État Profond.

Ouais, ouais, tout cela pourrait bien avoir été mis en scène pour que les Américains outragés soient amenés à penser que l’on fait réellement quelque chose au sujet de la crise frontalière sur laquelle Mayorkas ferme les yeux.

Oh, vous ne saviez pas ? Mayorkas est un Cubain juif. (Une connaissance à moi qui a le même héritage mélangé se qualifie lui-même de Cubish [Jewish Cuban].)

La raison pour laquelle je mentionne l’héritage Cubain-juif de Mayorkas, c’est à cause de son lien spécial avec l’HIAS. l’organisation juive de réfugiés qui obtient des millions de dollars des payeurs de taxe américains pour aider les illégaux à faire la grande randonnée au travers de la jungle panaméenne afin d’avoir leurs subventions aux États-Unis.

Voyez-vous le lien spécial ? Mayorkas était membre du comité de direction de l’HIAS PENDANT QU’IL ÉTAIT DIRECTEUR DE L’IMMIGRATION DES ÉTATS-UNIS !!! Ouais, ce bon vieux « Mayorkas des frontières ouvertes » s’assurait que des millions et des millions de vos dollars de taxes aillent au transport de ces illégaux vers les États-Unis, tout en supervisant le USCIS (services de consommation et d’immigration des États-Unis) et il refuserait probablement à votre grand-mère (et à d’autres postulants LÉGAUX) l’obtention d’un visa pour venir vous visiter aux États-Unis.

Pouah… je vous avais avertis que cette histoire donnait des haut-le-cœur.

La corruption est si répandue dans le gouvernement à tous les échelons que ça vous donne le tournis.

Ce qui rend ce rapport encore plus nauséeux (si c’est possible), c’est la politique d’Israël envers les non-Juifs dans son propre pays. Il n’y a PAS de frontières ouvertes en Israël. Tout l’opposé. Israël est en train (et ce depuis plus de 75 ans) de commettre un nettoyage ethnique génocidaire dans son effort militaire de tuer (le taux de décès à Gaza excède maintenant 35 000) ou de chasser les « illégaux » d’Israël.

Mais en réalité, les Israéliens sont les illégaux en Palestine ; ils ont défait les résidents légaux du territoire par la force des armes sous les auspices de la Déclaration Balfour parrainée par le sionisme, les Nations Unies et le Président américain Harry Truman.

Le but de Biden est d’amener les nombreux millions d’illégaux qu’il faut pour pouvoir s’assurer que les Démocrates aient les votes nécessaires dans le but de ne plus perdre une autre élection nationale. Il se fout complètement de faire entrer en Amérique beaucoup de criminels violents, des meurtriers, des violeurs, des vendeurs de drogue, des cartels de drogue, des trafiquants d’êtres humains ou des gens malades ou infectés. Il sait que la plupart de ces illégaux du tiers-monde ne comprennent RIEN des principes de la Loi Naturelle, de la liberté, du fédéralisme et du constitutionalisme. Tout ce qu’ils savent, c’est le pouvoir de la force brute. Plus il y en aura en Amérique, plus on exigera la force brute (nommément, les pouvoirs de l’état policier – appliqués contre le peuple américain, bien sûr). Biden compte là-dessus pour garder son parti dépravé et tyrannique en poste et pouvoir étendre encore son agenda pro-tyrannique.

Et nous apprenons maintenant que Biden distribue des centaines de millions de dollars des payeurs de taxe à ses copains sionistes juifs pour aider à faciliter cette invasion de notre pays. Cela signifie qu’Israël est un co-conspirateur dans cette invasion d’illégaux en Amérique.

Comme je l’ai dit, parmi les millions d’illégaux qui entrent au pays, il y a d’innombrables milliers de membres du cartel de drogue. Ces hommes sont parmi les gens les plus violents et assoiffés de sang du monde. Le meurtre fait partie de leur routine quotidienne. La vie humaine ne veut absolument RIEN dire pour eux. Et Biden leur a donné tout ce qu’il faut pour installer leurs boucheries en Amérique.

Lorsque mon fils aîné travaillait comme officier de police, il m’a dit : « Papa, tu ne croirais jamais jusqu’à quel point le trafic d’êtres humains prend lieu sous notre nez dans le pays. » Il me dit : « L’Amérique est inondée par le trafic humain relié aux gangs. »

La marque de commerce la plus évidente de ces cartels de trafic de drogue et d’êtres humains est leur façon de décapiter (et souvent de démembrer) leurs victimes – et les victimes ne sont pas encore mortes quand ils les décapitent.

Jusqu’à date, je n’ai vue que deux comptes-rendus de nouvelles dans les médias traditionnels documentant ces décapitations aux États-Unis. Un des cas se trouvait au Minnesota et l’autre en Californie. Les deux décapitations eurent lieu après que Biden eut pris son poste, et dans les deux cas, les auteurs de ces crimes vicieux étaient des illégaux. Évidemment, le Minnesota et la Californie sont deux états démocrates à frontières ouvertes ayant des villes-sanctuaires majeures.

Ce que je veux dire, c’est qu’il n’y a pas moyen de dire combien de décapitations par le cartel ont eu lieu dans notre pays, car les médias de nouvelles sionistes pro-étrangers illégaux feront sans doute de leur mieux pour cacher ces atrocités aux Américains, à moins que nous nous enragions et que nous nous soulevions en masse contre ces politiciens qui ouvrent les frontières, comme Joe Biden.

Je l’ai dit auparavant, et je vais le répéter : Si vous ne possédez pas d’arme, achetez-en une ! Et si vous ne portez pas d’arme, commencez à en porter une ! Et si vous demeurez dans un état où vous ne pouvez en acheter une, ou en porter une, DÉMÉNAGEZ ! Si vous pouvez déménager, FAITES-LE !

Une fois que ces cartels auront eu le temps de s’étendre et de s’organiser, cela voudra dire des guerres ouvertes dans les rues, et dans les magasins, et dans les restaurants, et dans les événements sportifs, et dans les concerts et les églises et les foyers partout en Amérique. Et si vous pensez que la police sera en mesure de vous protéger de ces meutes de loups à deux pattes, allez juste parler aux habitants du Mexique et de la Colombie.

Je suis conscient que la plupart des évangéliques sont totalement aveugles et sourds à toute vérité inconfortable regardant Israël. Mais dans les rares opportunités que vous pourriez avoir d’en éclairer un au sujet du net danger actuel qu’Israël représente pour les États-Unis, parlez-lui de la Société d’aide hébraïque pour immigrant financée grâce aux taxes américaines par la Maison Blanche de Biden et autorisée par les deux chambres du Congrès – y compris la Chambre des Représentants républicaine – et qu’elle a personnellement escorté des centaines de milliers d’étrangers illégaux vers notre pays.

 

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

1er février 2024

Écrivant pour le Veterans Today, Dragan Filipovic a rédigé un reportage fascinant et fort instructif sur le Premier Ministre d’Israël Benjamin Netanyahu intitulé Bibi : A False Messiah.

Ardent disciple du leader juif radical du Chabad-Loubavitch sioniste, le rabbin Menachem Mendel Schneerson, Netanyahu est la personnification par excellence de la doctrine ultra raciste de Schneerson du suprématisme juif.

Lorsqu’ils se sont rencontrés pour la première fois, en 1984, le leader du Chabad-Loubavitch, le rabbin Menehem Mendel Schneerson, prophétisa que Benjamin Netanyahu deviendrait le premier ministre d’Israël qui « passerait le sceptre au Messie ».

Bien sûr, le Messie est déjà venu, et Schneerson et ses ancêtres pharisiens L’on pendu sur une croix. Et comme nous le savons, le Messie eut un précurseur, et son nom n’était pas Netanyahu ; c’était Jean – Jean le Baptiste. Et quel est exactement ce sceptre que le menteur, meurtrier et antichrist Netanyahu aurait à « passer » à quiconque ?

N’oublions pas que la vaste majorité des évangéliques d’Amérique s’accroupissent aux pieds de sionistes comme Schneerson (ils portent d’autres noms, évidemment : John Darby, C.I. Scofield, J. Dwight Pentecost, Clarence Larkin, Lewis Sperry Chafer, John Walvoord, Hal Lindsey, John Hagee, Robert Jeffress, Franklin Graham, Greg Laurie et bien d’autres) et adoptent ce qui est maintenant le système de foi majeur de l’évangélicalisme : le sionisme chrétien, qui régurgite la théologie de Schneerson voulant que le Messie revienne pour établir le royaume de David sur terre. Comme tel, je suis sûr que beaucoup de pasteurs évangéliques régurrgitent aussi la prophétie de Schneerson que Netanyahu est effectivement le précurseur du retour du Messie.

Le rabbin Schneerson a toujours soutenu les guerres israéliennes et s’opposait à toute retraite. En 1974, il s’opposa fortement au retrait israélien de la région du Canal de Suez. Il promit à Israël des faveurs divines s’il persistait à occuper le territoire. Après sa mort, des milliers de ses partisans israéliens jouèrent un rôle important dans la victoire électorale de Benjamin Netanyahu. Parmi les colons religieux des territoires occupés, les Chabad Hassidiques constituent un des groupements les plus extrémistes. Baruch Goldstein, le tueur en série de Palestiniens, était un des leurs.

L’auteur Alison Weir condamna Schneerson dans Why is the US Honoring a Racist Rabbi ? (Pourquoi les États-Unis honorent-ils un rabbin raciste ?).

… certaines des parties les plus extrêmes des enseignements de Schneerson – tels que les Juifs qui sont une espèce complètement différente des non-Juifs et que les non-Juifs n’existent que pour servir les Juifs – ont été soigneusement cachées, semble-t-il, même à ceux qui se considèrent comme ses partisans … des visions comme celles-là ont eu un impact marqué sur la vie des Palestiniens encore en vie – et morts – sous l’occupation israélienne et les invasions militaires.

De la même manière, le rabbin Lévi Sudri parle des « nombreux parallèles entre le premier ministre et Jomathan, le fils du roi Saül de la Bible », et déclara que Netanyahu occupait la fonction de Moshiach ben Yosef (Messie de la maison de Joseph) soit la première partie de deux étapes du processus messianique qui inclut le rétablissement de la Dynastie de David et la complétion du Troisième Temple.

« Il est très clair que nous voyons que le Premier Ministre Benjamin Netanyahu accomplit son destin en tant que Moshiach ben Yosef, c’est-à-dire, la réincarnation de Jonathan, » a dit le rabbin Sudri aux Breaking Israel News … « Le nom de “Netanyahu” (נתניה) se compose des mêmes lettres que le nom de “Jonathan” (ויהונתן). »

Ce sentiment fut répété par le rabbin Moshe ben Tov qui, après avoir attaché une mezuzah dans le bureau du premier ministre, fit une remarquable déclaration à Netanyahu : « Il est très important que votre amour pour Israël se poursuive jusqu’à ce que vienne le Moshiach parce que vous allez demeurer en poste et le rencontrer. Vous êtes celui qui lui donnera les clés de ce bureau. »

Blasphèmes et occultisme antichrist sont omniprésents dans la théologie de Schneerson. Le criminel de guerre international, meurtrier de masse et maniaque génocidaire Benjamin Netanyahu serait une réincarnation du Jonathan de l’Ancien Testament ? C’est lui qui va donner les clés du royaume de David au Messie ? Et les sionistes chrétiens essaient de m’accuser de croire à des doctrines folles ?

Le jeu de mots du rabbin Sudri comparant les épellations hébraïques de « Netanyahu » et de « Jonathan » me rappelle comment les futuristes Scofield comparent le nombre 666 à, eh bien, tout ce qu’ils veulent bien le comparer comme preuve que le premier prédit le dernier.

Tout cela n’est que balivernes spiritualisées !

« Pour les Juifs orthodoxes engagés à rétablir le Temple, les problèmes présents dans le monde et les problèmes auxquels font face les Juifs ne seront tous résolus que par la reconstruction. »

Il y a des millions d’évangéliques qui croient aussi que la Bible prédit la construction d’un troisième temple juif dans lequel les sacrifices d’animaux de l’Ancienne Alliance vont recommencer au retour du Messie.

La Bible n’enseigne pas une telle chose. Quelle moquerie, quel blasphème contre l’œuvre achevée de Jésus-Christ sur la croix !

S’il vous plaît, lisez soigneusement les Écritures de la Nouvelle Alliance :

« Mais Christ étant venu pour être le souverain Sacrificateur des biens à venir, par un plus excellent et plus parfait tabernacle, qui n’est pas un tabernacle fait de main, c’est-à-dire, qui soit de cette structure, Il est entré une fois dans les lieux Saints avec son propre sang, et non avec le sang des veaux ou des boucs, après avoir obtenu une rédemption éternelle. Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre de la génisse, de laquelle on fait aspersion, sanctifie quant à la pureté de la chair, ceux qui sont souillés ; combien plus le sang de Christ, qui par l’Esprit éternel s’est offert lui-même à Dieu sans nulle tache, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, pour servir le Dieu vivant ? C’est pourquoi il est Médiateur du Nouveau Testament, afin que la mort intervenant pour la rançon des transgressions qui étaient sous le premier Testament, ceux qui sont appelés reçoivent l’accomplissement de la promesse qui leur a été faite de l’héritage éternel » (Hébreux 9:11-15).

« Car la Loi ayant l’ombre des biens à venir, et non la vive image des choses, ne peut jamais par les mêmes sacrifices que l’on offre continuellement chaque année, sanctifier ceux qui s’y attachent. Autrement n’eussent-ils pas cessé d’être offerts, puisque les sacrifiants étant une fois purifiés, ils n’eussent plus eu aucune conscience de péché ? Or il y a dans ces sacrifices une commémoration des péchés réitérée d’année en année. Car il est impossible que le sang des taureaux et des boucs ôte les péchés … Tu n’as point pris plaisir aux holocaustes, ni à l’oblation pour le péché … Il ôte donc le premier, afin d’établir le second. Or c’est par cette volonté que nous sommes sanctifiés, savoir par l’oblation qui a été faite une seule fois du corps de Jésus-Christ. Tout Sacrificateur donc assiste chaque jour, administrant, et offrant souvent les mêmes sacrifices, qui ne peuvent jamais ôter les péchés. Mais celui-ci ayant offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assis pour toujours à la droite de Dieu ; attendant ce qui reste, savoir que ses ennemis soient mis pour le marchepied de ses pieds. Car par une seule oblation, il a consacré pour toujours ceux qui sont sanctifiés » (Hébreux 10:1-4, 6, 9-14).

L’idée même qu’une partie de la seconde Venue de Christ inclurait un retour aux sacrifices d’animaux de l’Ancienne Alliance annule complètement les promesses des passages ci-dessus et enlève complètement toute signification au sacrifice propitiatoire éternel de Christ sur la croix.

Christopher Bollyn rapporte que le père de Netanyahu, Benzion Mileikowsky, était le secrétaire adjoint de Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisionniste faisant appel à la conquête militaire de toute la Palestine et de l’expulsion de la population non-juive, et que son fils a toujours servi ces buts.

Le « 11 septembre » fut une partie essentielle de la duperie sioniste, un spectacle de terreur destiné à changer l’opinion publique américaine et traîner l’armée américaine dans le Proche-Orient – pour combattre les ennemis d’Israël … Le premier livre de Netanyahu, Terrorisme international : défi et réaction, est basé sur les discours donnés à la conférence de Jérusalem de 1979.

Netanyahu s’est bâti une carrière en poussant la stratégie de guerre israélienne connue sous le nom de « Guerre contre le terrorisme ». Il s’agit d’une stratégie de conquête dans laquelle les États-Unis et leurs alliés font la guerre au Proche-Orient au nom de l’état sioniste et de son agenda de guerre. Créer un plus grand état d’Israël, un des buts des groupements terroristes qui ont créé le parti du Likoud dans les années 1970, fait partie de ce plan.

Finalement, après deux décennies frustrantes au pouvoir et cinq coalitions manquées, les étoiles se sont alignées pour Netanyahu quand, en décembre 2022, il manœuvra pour former ce qui est de loin son cabinet le plus radical afin de lui donner le champ libre pour finaliser son plan d’un Grand Israël tant attendu.

Le journaliste d’Haaretz Alon Pinkas décrit le gouvernement de coalition de Netanyahu de « Kakistocratie hors du commun : un gouvernement composé des ultranationalistes les pires et les moins convenables, des suprématistes juifs, des politiciens antidémocrates, racistes, bigots, homophobes, misogynes, pourris et prétendument corrompus. Une coalition dirigeante de 64 législateurs, dont 32 sont soit ultra-orthodoxes ou sionistes religieux. »

Mais c’est exactement le type de cabinet qu’aurait désiré le Rebbe et tout ce que Bibi avait à faire, c’était d’attendre un autre « moment 11 septembre » pour mettre en action son plan biblique. Heureusement pour lui, cet événement eut lieu le 7 octobre en la forme de l’opération Déluge Al-Aqsa du Hamas qui se déclencha par des assauts répétés sur la mosquée Al-Aqsa – le troisième site le plus saint du monde islamique – par des zélotes juifs sous lourde protection policière et une provocation délibérée qui incita exactement la réaction que recherchait le régime sioniste.

Comme son camarade et prédécesseur du Likoud Ariel Sharon, Netanyahu est prêt à entraîner le reste du monde avec lui en cas de désastre, comme le raconte Philip Giraldi : « … quand le Premier Ministre israélien Ariel Sharon fut interrogé à savoir comment réagirait le reste du monde si Israël employait ses têtes nucléaires pour balayer efficacement ses voisins arabes, il répondit : “Cela dépend qui le fait et à quelle vitesse cela arrive. Nous possédons quelques centaines d’ogives et de roquettes atomiques et nous pouvons les lancer sur des cibles se trouvant dans toutes les directions, peut-être même à Rome. La plupart des capitales européennes sont des cibles pour nos forces aériennes … Nous avons la capacité de mettre le monde à terre avec nous. Et je puis vous assurer que c’est ce qui va arriver avant qu’Israël se retrouve en-dessous”. »

Lentement mais sûrement, les États-Unis sont entraînés vers un conflit contre l’Iran.

Pour ne pas à avoir à faire face à de sérieuses accusations de félonie en Israël pour corruption, subornation, etc., Bibi n’hésiterait pas à déclencher la Troisième Guerre Mondiale. Il me semble que c’est exactement ce qu’a l’intention de faire Bibi. Il commet un génocide à Gaza. Il a dirigé des attaques militaires contre le Liban et la Cisjordanie. Il a manipulé les États-Unis et le Royaume-Uni pour qu’ils entrent en guerre contre le Yémen. Et il parle ouvertement d’attaquer directement l’Iran.

(Et avez-vous remarqué que le Leader de la Minorité du Sénat, Mitch McConnell, a rejoint Bibi la semaine dernière en encourageant fortement Joe Biden à attaquer l’Iran ? Je dis remarqué, parce que, comme je l’ai mentionné dans mon article du 11 janvier, McConnell est le troisième plus gros récipiendaire d’argent sale du lobby israélien au Congrès. Ce n’est bien sûr qu’une coïncidence.)

Dans un futur rapproché, la guerre à Gaza pourrait devenir une guerre régionale complète dans laquelle pourraient être entraînés, non seulement les États-Unis et le Royaume-Uni, mais aussi la Chine et la Russie.

Et contrairement aux attentes fantasques des évangéliques, il n’y aura PAS D’ENLÈVEMENT. Il n’y aura PAS de « tribulation de sept ans », il n’y aura PAS de troisième temple juif, il n’y aura PAS de royaume davidique terrestre et PAS de rétablissement d’un Israël national. Tout cela n’est que du baratin prophétique faussé et factice saturant les églises évangéliques, leurs collèges et leurs séminaires depuis le début du 20^e siècle via les notes sionistes achetées et payées de Cyrus Scofield et contenues dans la Bible de Références Scofield.

Qui plus est, des économistes d’un peu partout disent que l’hégémonie globale du dollar américain est déjà terminée. La complicité des créatures de la Fed et du Congrès pour commettre la mère de tous les plans Ponzi contre le peuple américain au nom des profiteurs banquiers/politiciens/guerroyeurs, etc., a décimé la stabilité économique de l’Amérique – sans mentionner la bonne volonté militaire.

Tout cela pour se faire bien voir par ce criminel de guerre international et sa bande de sionistes antichrists qui se considèrent « le Peuple Élu de Dieu » et Benjamin Netanyahu comme le précurseur du Messie.

Mais en fait, Netanyahu n’est pas le précurseur du Messie, il est l’ambassadeur de l’Enfer. Et c’est exactement là que le peuple – et les nations – qui le suivent vont aller.

 

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Février 2024

Par Jerry Barrett

« Et Dieu les bénit, et leur dit : Croissez, et multipliez, et remplissez la terre ; et l’assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur toute bête qui se meut sur la terre. »

Genèse 1:28

 

« Voici, les enfants sont un héritage donné par l’Eternel ; et le fruit du ventre est une récompense de Dieu. Telles que sont les flèches en la main d’un homme puissant, tels sont les fils d’un père qui est dans la fleur de son âge. Ô que bienheureux est l’homme qui en a rempli son carquois ! Des hommes comme ceux-là ne rougiront point de honte, quand ils parleront avec leurs ennemis à la porte. »

Psaume 127:3-5

L’élite globaliste médite la question de la réduction de la population depuis un bon bout de temps. Auparavant, l’emploi de la guerre était vu comme une disposition positive pour réduire la population.

Voir des jeunes hommes de dix-huit à trente ans mourir sur le champ de bataille pouvait certainement restreindre les futures naissances tout en éclaircissant le troupeau. Les armes nucléaires, quoiqu’assurément une option viable, feraient trop de destruction et prohiberait l’habitation future des régions touchées.

L’avènement de médications de contrôle des naissances, ainsi que la légalisation de l’avortement peuvent avoir ralenti la croissance démographique, d’une certaine façon, mais pas au point de plaire à l’élite. Tout cela, de même que de multiples autres options « terminales », a été débattu dans les salles universitaires comme aux sommets globaux.

Même la récente pLandémie lâchée sur la population mondiale avait le potentiel de leur faire atteindre partiellement leur but. Les estimations initiales de deux cent millions de pertes n’étaient, hélas, seulement que des calculs inexactes. Cela a toutefois ouvert la porte à de futurs usages de virus et de plaies, de même que des « vaccins » pour stériliser potentiellement une quantité massive de dupes involontaires.

Ils ne sont plus effrayés de la réaction publique

Dans son TedTalk de 2010, Bill Gates a révélé tout haut la partie discrète : « Tout d’abord, il y a la population. La population du monde s’élève aujourd’hui à 6,8 milliards de gens. On se dirige vers neuf milliards. Or, si nous réalisons un vrai bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services sur la santé reproductrice, nous pourrions réduire cela de, peut-être, 10 à 15 pourcent. » [l’emphase est la nôtre]

Il y a en ce moment 8,1 milliards de gens sur la Terre. Beaucoup déclareront – et ont déclaré – que cela a causé un surpeuplement, faisant en sorte que le nombre d’habitants surpasserait les ressources. Pendant des décennies, l’on a prédit une pénurie de nourriture et, hélas, il y a un certain nombre de gens autour du monde qui sont mal nourris.

Initialement, l’on ne faisait que murmurer au sein de l’élite cette réduction planifiée. Au fur et à mesure que le public en général est devenu plus apathique et paresseux, on en a laissé « couler » un peu dans le domaine public. Ne se souciant plus de ce que « le chat sorte du sac », les pouvoirs en place sont entrés en franche campagne pour accomplir leurs buts.

Il y aura famines et pestes

Imaginez un professeur de collège publiant, dans les années 1950, une chronique dans le New York Times, dans le magazine Times ou tout autre publication nationale, déclarant que quatre-vingt-dix pourcent de la population doit être éradiqué. Ce professeur et son article furent-ils largement ignorés ou y a-t-il eu un soulèvement massif ?

Dans son discours d’acceptation en recevant le Prix 2006 du Scientiste Distingué du Texas, l’écologiste de l’Université du Texas, Eric Pianka, déclara que quatre-vingt-dix pourcent de ses congénères humains devaient mourir pour sauver la planète. Pianka expliqua que la guerre et la famine de seraient pas suffisants, mais que la maladie semble être la façon la plus efficace et la plus rapide de tuer des millions de gens. Il louangea l’efficacité avec laquelle le virus Ebola tue.

Bien que beaucoup de gens fussent atterrés par ses déclarations, un grand nombre d’autres se sont mis à préconiser les idées de Pianka. Considérant les effets secondaires néfastes que l’injection ARNm Covid-19 a eu sur la société, on peut présumer que Big Pharma soit du côté des supporteurs de Pianka.

Deagal Corporation, branche mineure du complexe militaro-industriel américain, prévoit que la population de l’Amérique chutera de 68,5 pourcent d’ici 2025. Les documents confidentiels que Pfizer confia à la Food and Drug Administration américaine mentionnent ce nombre alarmant de victimes dû à l’injection. Serait-ce la raison pour laquelle la FDA et Pfizer voulaient retarder l’émission de ce rapport pendant soixante-quinze ans ?

Assurance de succès

Aucune méthode ne s’est avérée pleinement sécuritaire dans le plan de l’élite pour dépeupler la Terre. Au lieu de cela, la guerre contre la population doit être combattue sur de multiples fronts. Quelle meilleure manière d’assurer la réalisation de leurs buts ? Tout le monde devient affamé !

Il y a une centaine d’années, il était facile de délinéer entre la nourriture bonne pour votre corps et celle qui était mauvaise. Aujourd’hui, la ligne est devenue flou jusqu’à en être méconnaissable. De nos jours, au lieu d’être un chef, on doit être un scientifique pour comprendre pleinement les toxines qui ont été introduites dans notre diète.

Formidable empoisonnement

Un grand nombre de gens sont au courant des modifications génétiques opérées sur les végétaux. La vente de légumes organiques a augmenté de façon régulière au cours des dernières décennies. Malheureusement, quand cette « nourriture saine » est présentée avec d’autres items achetés en magasin, les bénéfices diminuent.

Afin d’accroître la durée de conservation de nombre de produits, des préservatifs ont été ajoutés, lesquels augmentent chez les consommateurs les risques de cancer, de diabète, de dommages au foie et autres maladies. Ce qui suit n’est que quelques-uns des additifs toxiques et dangereux qui garnissent un grand nombre de garde-mangers à travers le pays.

Jaune #5 et jaune #6 – On les trouve dans les céréales, les poudings, les croustilles, les biscuits, les condiments et ailleurs. Des études relient les deux teintures aux désordres d’apprentissage chez les enfants. Il y a un certain nombre d’études sur animaux démontrant des risques potentiels tels que des tumeurs aux reins et aux intestins. La FDA considère que ces risques ne sont pas dangereux pour les êtres humains.

Bleu #1 et bleu #2 – On les trouve dans la plupart des aliments bleus, pourpres et verts, comme les breuvages, les céréales, les bonbons et les glaces. On a relié les deux teintures aux cancers dans des études sur animaux.

Phosphate de sodium – On le trouve dans une bonne part de saucisses, les viandes et le jambon traitées pour les lunchs et le poisson en canne. De hauts niveaux de phosphate filtrent dans le sang et peuvent accroître les risques de maladies cardiaques. Les médecins relient le composé aux niveaux plus élevés de maladies rénales chroniques, d’affaiblissement des os et de mort prématurée.

Bromure d’huile végétale – On le trouve dans les sodas à saveur de citron et dans les boissons de sport. Un retardateur de flamme utilisé dans le carburant à fusée et qui se trouve également à faire un émulsifiant à breuvage bien pratique. Quand l’huile végétale est jointe au brome pour créer le produit chimique, c’est vraiment indigeste. Lorsqu’ajouté aux boissons, il empêche le parfum de se séparer des autres ingrédients et de flotter en haut de la bouteille. Il peut affecter de manière négative les hormones thyroïdiennes et contribue à l’inflammation interne qu’on relie à l’obésité, condition qui peut rendre la conception plus difficile. [l’emphase est la nôtre]

Sirop de maïs à haut taux de fructose (SMHTF) – On le trouve à peu près n’importe où : crème glacée, croustilles, céréales, pain, ketchup, fruits en canne, yogourt et deux-tiers de tous les breuvages sucrés. C’est un édulcorant bon marché dérivé du maïs qui représente plus de quarante pourcent de tous les édulcorants caloriques au supermarché. Le SMHTF est relié à un certain nombre de maladies chroniques, particulièrement des conditions métaboliques comme le diabète et la maladie cardiaque.

Aspartame – On le trouve dans plus de 6 000 produits d’épicerie, y compris les sodas diète, les yogourts, et les édulcorants de dessus de

table NutraSweet et Equal. Il s’agit d’un édulcorant artificiel à presque zéro calorie fabriqué en combinant deux aminoacides avec du méthanol. Il est plus communément utilisé dans le cola diète. De nombreuses études montrent que l’aspartame peut être responsable de toute une variété de cancers.

La coumarine dans la cannelle – On la trouve dans la cannelle que l’on retrouve communément dans les magasins d’épicerie. À fortes doses, la coumarine a été liée à un risque croissant de cancer et de dommages au foie. Toutefois, il est impossible de savoir quelle quantité de coumarine contient votre cannelle à moins que vous ne la fassiez tester.

Comment est-il possible que tous ces contaminants soient dans notre alimentation ? L’industrie alimentaire d’Amérique a une très forte présence lobbyiste. Pepsi dépense environ neuf millions de dollars par année en lobby, Coca-Cola et Mars Wriggly paient l’Association Diététique Américaine pour les aider à écrire leurs lignes directrices. Les intérêts entrepreneuriaux l’emportent de loin sur votre santé.

Egalement, la Food and Drug Administration n’a aucune politique en place pour réévaluer les politiques bannissant les additifs et les préservatifs. En 1969, la FDA révisa la sécurité du jaune #5 et, en 1971, celle du rouge #40. Ces évaluations sont assurément désuètes, mais il semble de règle pour cette importante agence de règlementation d’agir hors de vue et de manière inquiétante.

De la même façon, l’utilisation d’hormones de croissance est permise dans les fermes animalières américaines. Des hormones synthétiques sont employées pour augmenter la production de lait dans le cheptel. On applique parfois du monoxyde de carbone sur la viande pour préserver sa couleur. Il arrive aussi que l’on lave la volaille au chlore pour tuer les bactéries. Toutes ces pratiques sont bannies dans l’Union Européenne.

Consommer du blé ou de la paille ?

Pour tous ceux qui vont au lit le ventre affamé, il y a de même tous ceux qui sont sous-alimentés de la Parole de Dieu. La solution à chaque dilemme semble bien simple. Cependant, devant chaque problème, il y a un vil ennemi – Satan et ses laquais.

Ceux qui ont faim de Sa Parole n’ont pas été nourris proprement avec du blé. À la place, les pasteurs tièdes promeuvent de fausses doctrines et de mauvaises versions de la Bible. Sans le savoir, les couveurs de banc d’église sont affamés de vérité, car ils ne mangent que de la paille. Pendant ce temps, les séminaires contrôlés continuent à vomir des automates qui propagent des sermons pour se bien sentir et chatouiller les oreilles des perdus.

Tant que les œillères ne seront pas enlevées de la chrétienté et que le vrai message de Christ ne sera pas partagé, les masses poursuivront leur périple sur la voie large. Malheureusement, pour un grand nombre, le résultat final sera de passer l’éternité dans la misère. Dans Matthieu 7:21-23, Jésus donne un avertissement :

« Tous ceux qui me disent : Seigneur ! Seigneur ! n’entreront pas dans le Royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur ! Seigneur ! n’avons-nous pas prophétisé en ton Nom ? et n’avons-nous pas chassé les démons en ton Nom ? et n’avons-nous pas fait plusieurs miracles en ton Nom ? Mais je leur dirai alors tout ouvertement : Je ne vous ai jamais reconnus ; retirez-vous de moi, vous qui vous adonnez à l’iniquité. »

L’élite ne cherche qu’une poignée de bons esclaves pour prendre soin d’elle. En infiltrant et en compromettant le leadership de l’église, elle a effectivement éliminé la majorité des agitateurs qui auraient refusé de rester sans rien faire et de permettre à ce projet de se réaliser.

On se prépare à répandre le mal à l’échelle globale. Chrétiens, n’allez pas simplement vous coucher en toute tranquillité. Criez votre opposition sur les toits. Oui, Seigneur Jésus, viens !