Le « Soyez woke, faites faillite » frappe encore

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Avril 2023

Par Jerry Barrett

Quand la bonne santé mentale reviendra-t-elle ?

« Ne vous amassez point des trésors sur la terre, que les vers et la rouille consument et que les larrons percent et dérobent. »

Matthieu 6:19

« Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. »

1 Timothée 6:9

L‘expression « Soyez woke, faites faillite » fait maintenant partie du langage courant. En termes profanes, « woke » (éveillé) transmet comme message que vous êtes socialement au courant des problèmes systémiques de la société. Malheureusement, être « woke » ne paiera pas votre hypothèque, vos factures ni ne mettra de la nourriture sur votre table.

Il y a un grand nombre de compagnies qui ont courbé l’échine devant l’extrême gauche et deviennent des participants volontaires de cette nouvelle folie. Disney s’avère l’exemple le plus évident de cet état d’esprit. Promouvant l’homosexualité et le transgenrisme chez la jeunesse américaine, cette ancienne industrie géante du divertissement n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Cette lubie n’est pas nouvelle. Pour ceux qui ont grandi dans les années 1960, on entendait partout le mantra « Faire l’amour et pas la guerre ». Le sexe, la drogue et le rock-and-roll étaient au goût du jour. Pour ceux qui ont grandi dans les années 1970-80, le narcissisme, les grosses chevelures, la musique disco et, eeeek !, les pantalons à pattes d’éléphant constituaient la norme.

La folie actuelle du style de vie débauché va certainement s’évanouir dans les annales de l’histoire. Toutefois, les débris et les détritus laissés par ce mouvement vont joncher le paysage pendant un bon bout de temps. Malheureusement, les leaders wokes de l’industrie vont laisser un héritage terni de tromperie et de maux de tête.

Gouvernance Sociale de l’Environnement (GSE)

Qu’est-ce que la GSE ? L’extrême gauche la décrit comme un critère pour prendre des décisions stratégiques d’investissement afin d’aider les causes environnementales et sociales. Les législateurs fédéraux et des états ont commencé à passer des lois et des règlements pour obliger les compagnies à remettre des rapports de GSE. En d’autres mots, la GSE est très semblable aux « pointages de crédit social » appliqués aux individus.

Les exécutifs d’entreprise qui ont souscrit à cette façon de penser ont transformé leurs compagnies en foyers de guerriers de la justice sociale. Au lieu de concentrer leurs efforts à générer des profits pour les actionnaires, à créer des emplois et à développer des produits innovateurs pour les consommateurs, ces compagnies mènent aujourd’hui la guerre culturelle visant à promouvoir la théroe critique de la race et à redéfinir les genres.

Pourquoi cela a-t-il de l’importance ?

La question à un million de dollars que certains d’entre vous vous posez probablement, c’est pourquoi cela a-t-il de l’importance ? Cela ne m’affecte pas, ni ma famille, alors pourquoi aborder le sujet ? L’auteur de cet article déteste être celui qui apporte de mauvaises nouvelles, mais comme le prouvent les événements récents, tout ce que la gauche extrême dérange affecte chacun d’entre nous de manière exponentielle.

La GSE a affecté massivement l’énergie sur laquelle nous avons appris à dépendre. Sa cible principale est l’industrie du pétrole et du gaz. Ces alarmistes climatiques qui exigent du régime Biden qu’il restreigne le forage et la fabrication de produits pétroliers ont eu un impact direct sur le prix que vous payez à la pompe. De la même façon, la guerre contre l’industrie du charbon affecte le prix de votre énergie, de même que votre dépendance. À mesure que de plus en plus de ces industries prennent le virage de l’autonomie avec le pouvoir éolien et solaire, le déferlement des pannes électriques dues aux coupures d’énergie vont se multiplier.

Pour ceux qui investissent leur argent durement gagné dans les actions et les fonds mutuels, ils le font dans l’espoir de faire un bon profit. Il y a aussi un grand nombre de comptes de retraites qui sont lourdement investis dans les fonds mutuels.

Comme on peut le concevoir, les investissements dans les compagnies qui mettent l’accent sur l’importance du GSE offrent un retour d’investissement beaucoup plus bas que la normale. Les gérants de ces fonds mutuels devraient ressentir l’obligation morale de protéger l’argent de leurs clients, mais dans la société d’aujourd’hui, ce n’est pas souvent le cas.

Projet de loi Glass-Steagall

Après le crash boursier de 1929, le sénateur Carter Glass (D-VA) et le représentant Henry Steagall (D-AL) commanditèrent un projet pour réformer la banque. Fondamentalement, le Projet de Loi Glass-Steagall empêchait les sociétés de surveillance et les banques d’investissement de s’emparer des dépôts.

Comme l’homme a l’habitude de faire, cependant, on juge les idéologies malléables et on y ajoute des échappatoires pour refléter la mentalité du moment. Dans les années 1990, la Loi Glass-Steagall fut pillée et n’était plus une pièce viable de la législation.

Projet de Loi Dodd-Frank

À la suite de la Grande Récession de 2008, le Président Barack Obama proposa une grande refonte du système de réglementation financière. Le représentant Barney Frank (D-MA) et le sénateur Chris Dodd (D-CT) présentèrent cette législation en 2009. Cela apporta des changements dans chaque partie de l’industrie des services financiers du pays. Dodd-Frank est considéré par un grand nombre de gens comme une des lois les plus significatives adoptées durant la présidence Obama.

Les personnages de l’investissement bancaire déclarèrent que cela accroîtrait l’exploitation des opérations de données. Un important lobby de Wall Street signifia son soutien envers la loi, et conseilla vivement au Congrès de ne pas la changer ou l’abroger afin d’empêcher qu’une loi plus forte soit adoptée. À cause des pesants coûts associés à Dodd-Frank, les petites banques furent forcées de mettre fin à leurs services de contrôle gratuit, de même que les hypothèques et les emprunts de voitures.

Une autre dépression est-elle imminente ?

Bernie Marcus, fondateur de Home Depot, déclara en peu de mots que les Américains doivent « se réveiller » après que la Banque de Silicone Valley (une banque woke) se soit effondrée parce qu’elle était « plus préoccupée par le réchauffement global que par les ristournes aux actionnaires ». M. Marcus poursuivit, « La Fed continue à faire grimper les taux, et l’inflation poursuit son chemin dans la mauvaise direction … Nous avons une administration … qui persiste à parler du bon vieux temps et comme nous étions bien. »

La Banque de Silicone Valley (BSV) est la seconde plus grosse faillite bancaire de l’histoire des États-Unis. Les effets de vague ont déjà entamé une réaction en chaîne économique. La Banque Signature, la troisième plus grosse faillite bancaire de l’histoire des États-Unis, fut le domino suivant à tomber. Ironie du sort, un des membres du comité directeur de la Banque Signature n’est nul autre que Barney Frank. Beaucoup d’autres ont vu plonger la valeur de leurs actions, plusieurs jusqu’à soixante-quinze pourcent !

Est-ce le renard qui garde le poulailler ?

Les travaux internes de ces institutions sont rarement connus. La plupart du temps, il faut un événement catastrophique pour que même une parcelle de vérité puisse voir la lumière du jour. Grâce au South China Morning Post, nous savons maintenant qu’il y a un lien entre la BSV et la Chine. À la fin des années 1990, la BSV fut la première institution financière à servir les compagnies chinoises en démarrage.

N’est-ce pas choquant de la part du régime Biden de donner instruction à la FDIC et à la Réserve Fédérale de se frayer un chemin dans tous les comptes de dépôt de la banque – dont une portion significative sont des comptes appartenant à la Chine ? La circonstance pourrait être innocente, mais cela nous pousse à nous demander si Biden ne serait pas allié avec le gouvernement communiste chinois.

Le pointage de crédit social et la monnaie digitale

La Chine communiste a lancé son yuan digital en 2022. Cette monnaie digitale est le point d’appui du système de crédit social. Pour ceux qui obéissent aux décrets tyranniques du gouvernement,

Pour ceux qui obéissent aux décrets tyranniques du gouvernement, un pointage de crédit social plus élevé permettra à cet individu de recevoir des avantages qui ne seront pas offerts à ceux qui ont des pointages plus bas.

un pointage de crédit social plus élevé leur permettra de recevoir des avantages qui ne seront pas offerts à ceux qui ont des pointages plus bas. De plus, si cette personne utilise les médias sociaux pour faire la promotion des ordres draconiens du gouvernement, son pointage s’accroîtra. Ceux qui s’opposent aux leaders pourront se considérer chanceux d’avoir un quignon de pain moisi.

Le 9 mars 2022, le Résident Biden émit l’Ordre Exécutif 14067 intitulé « Garantie de Développement Responsable des Actifs Digitaux ». Biden a signalé être prêt à suivre l’exemple chinois dans le spectre de la monnaie digitale et, bien sûr, un pointage de crédit social ne sera pas loin derrière, n’est-ce pas ?

La Réserve Fédérale embarque dans cette proposition. Connu sous le nom de Devises Digitales de Banque Centrale (DDBC), ce système digital centralisera les informations et les avoirs des Américains dans une banque de données contrôlée par le gouvernement des États-Unis. Le rêve de tout dirigeant autoritaire devenu réalité, car chaque transaction sera retracée.

Comme le système de pointage de crédit social de la Chine, si le potentat résidant au 1600 Pennsylvania Avenue – ou un de ses laquais institutionnels – a connaissance de votre récent achat d’un AR-15, des fonds pourraient mystérieusement disparaître de votre compte digital pour vous punir de cette action monumentale. Cependant, si vous êtes un activiste pro-avortement, qui dit qu’il n’apparaîtra pas une centaine de dollars d’extra dans votre compte ?

Comme le déclara un jour l’auteur et journaliste PJ O’Rourke, « Donner de l’argent et du pouvoir au gouvernement, c’est un peu comme donner du whiskey et les clés de la voiture à des adolescents. » Grâce à une monnaie digitale, le gouvernement fédéral aura le contrôle final sur la façon que seront construites les usines, sur ce que les entreprises feront comme profit et quel individu se qualifiera pour obtenir un prêt pour une maison ou pour une voiture.

Alors que ces « hommes » croient que l’accumulation des richesses est le but ultime à atteindre, ils se trompent cruellement. L’apôtre Paul explique : « Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses » (1 Timothée 6:10).

Ceux qui convoitent ce qui est au-delà du nécessaire pour survivre vont souffrir. Paul note ceci :

« De vaines disputes d’hommes corrompus d’entendement, et privés de la vérité, qui estiment que la piété est un moyen de gagner » (1 Timothée 6:5).

« Car nous n’avons rien apporté au monde, et aussi il est évident que nous n’en pouvons rien emporter. Mais ayant la nourriture, et de quoi nous puissions être couverts, cela nous suffira. Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition » (1 Timothée 6:7-9).

Nous savons tous que nous avons besoin d’argent pour vivre. Autrement, comment quelqu’un pourrait-il nourrir sa famille et mettre un abri sur sa tête ? Il y a beaucoup de passages dans la Bible qui nous recommandent de mettre en réserve des choses pendant que les temps sont favorables en prévision des temps difficiles. La chose la plus importante que nous devons mettre en réserve, toutefois, c’est le trésor au ciel. Que la grâce soit avec vous.

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Par Sandra Myers

Les raclées vont se poursuivre jusqu’à ce que la moralité s’améliore

 

« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux. Car ces sortes de gens ne servent point notre Seigneur Jésus-Christ, mais leur propre ventre, et par de douces paroles et des flatteries ils séduisent les cœurs des simples. »

Romains 16:17-18

« Le gouvernement nous craint-il ? Ou avons-nous peur du gouvernement ? Quand le peuple a peur du gouvernement, la tyrannie a trouvé victoire. Le gouvernement fédéral est notre serviteur, pas notre maître ! »

Thomas Jefferson

Nous vivons une ère de peur. Ne vous y trompez pas, mes amis, cette peur est utilisée intentionnellement pour nous forcer à la soumission. Après chaque coup, on s’attend à ce que vous souriiez avec appréciation à vos abuseurs et dites « Merci, puis-je en avoir un autre ? ». Non seulement êtes-vous battu avec l’intention de vous soumettre, mais cette raclée a aussi un impact sur nos générations futures. Nous en voyons déjà les effets.

Nous rendre malléables pour le coup final

Coup moral : Enlever la prière des écoles a été un des premiers pas vers la destruction de la moralité, car la foi en Jésus-Christ est le fondement et la source de notre liberté ; « l’amour libre » détruisit l’alliance du mariage ; l’avortement sur demande, même jusqu’au moment de la naissance, a créé le mépris subséquent envers la vie humaine à tous les stades, même à l’âge d’or.

« Un mensonge ne devient pas la vérité, le mal ne devient pas le bien et ce qui est mauvais ne devient pas bon simplement parce que c’est accepté par la majorité. » [Booker T. Washington]

Intensifier leur jeu vers le contrôle fondé sur le traumatisme : des programmes conduits avec en tête votre soumission

Crises sanitaires : La campagne Covid. Ils veulent vous masquer, vous distancier et vous vacciner – par la force, si nécessaire ! La peur continuelle des variants. Les complications et les morts dues aux « vaccins ». Ils vous couvrent de honte et font même pression sur votre famille afin qu’elle vous ostracise si vous refusez. L’émission de passeports vaccinaux pour entrer dans les espaces publics et les places d’affaires, de même que pour maintenir votre emploi.

Changement climatique : Selon les derniers 50 ans de prédictions des « experts », le monde aurait dû prendre fin il y a maintenant longtemps à cause du réchauffement climatique ou du refroidissement climatique, tout dépendant qui faisait la sinistre prédiction de l’époque.

La peur basée sur le traumatisme, contrôle et soumission à leur meilleur.

Anarchie : Le définancement de la police ; émeutes, incendies criminels, pillages, vols, protestations « pacifiques » ; Soros met en place des procureurs qui relâchent même des meurtriers sans caution.

Confusion des genres : Des hommes dans les toilettes des filles ; les hommes peuvent avoir des bébés ; des hommes dans les compétitions sportives des femmes ; des spectacles « familiaux » de drag queen avec des heures de contes.

Pénuries et insécurité alimentaire : Gazoline, couches et lait maternisé pour bébé, œufs, laiterie, poulet, bœuf. Certaines sont provoquées (comme pour le papier de toilette et les masques) afin d’instiller la peur. Puces d’ordinateur. Le bois. Les maisons. Les camionneurs. L’emploi – fermetures dues au programme Covid.

Autres événements utilisés afin d’ajouter à la peur et au traumatisme : Inflation hors contrôle ; ouverture des frontières ; fentanyl ; propagande de guerre ; marxisme culturel ; effacement de l’histoire ; fausses nouvelles ; capitalisme de copinage ; Biden et la Chine ; commerce interne ; défaillance bancaire ; bulle immobilière, etc

Avec chaque cycle d’événements traumatiques, le gouvernement assure les masses de son « aide ». L’intention est de créer de l’amour imaginaire, de la confiance et de la fiabilité envers l’élite et le gouvernement qui sont là pour nous sauver. Les Américains se font flageller afin d’être soumis au 1 % – les abuseurs. Comment cela se fait-il ?

Le syndrome d’attachement traumatique

Similaire en bien des points au Syndrome de Stockholm, le Syndrome d’attachement traumatique, ou contrôle mental fondé sur le traumatisme, est une réaction psychologique face au traumatisme ou à l’abus dans lequel la victime développe une réaction de sympathie ou positive envers ses abuseurs.

Ce lavage de cerveau est renforcé par des cycles continus d’abus (ou de peur), ce qui explique pourquoi l’Amérique vit une crise après l’autre. Les abusés (le grand courant de la population) sont tellement traumatisés qu’ils ne peuvent plus penser par eux-mêmes. Cet impuissance et ce désespoir intellectuels font que les abusés voient chez les abuseurs des figures de sauveurs. Les abusés, incapables de briser le cycle, iront jusqu’à défendre leurs abuseurs, étant devenus indolents, sans esprit, sans âme.

Finalement

Ne craignez pas ce que ces abuseurs peuvent faire à votre corps, mais craignez ce qu’ils peuvent faire à votre âme et à celle de ceux que vous aimez. À travers toutes les façons qu’ils emploient pour vous battre et vous amener à la soumission, rappelez-vous que la vraie liberté se trouve en Jésus-Christ.

« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux » (Romains 16:17).

« Ils font profession de connaître Dieu, mais ils le renoncent par leurs œuvres ; car ils sont abominables, et rebelles, et réprouvés pour toute bonne œuvre » (Tite 1:16).




D.577 – Marie : mère de Jésus – sa virginité – ses autres enfants

Par Roch Richer

À la vue des événements actuels, nous croyons être arrivés tout prêt des temps de la fin, en cette période de profondes ténèbres. Tous les signes de dégradation spirituelle se répandent comme un cancer qui se généralise. Plus ou moins consciemment, un nombre croissant de gens se rendent compte que les choses ne vont qu’en empirant. Cependant, bien peu de gens sont en mesure de mettre le doigt sur le problème. Alors, la majorité de ceux qui croient en un Dieu, quelle que soit leur vision de ce Dieu, vont tenter de se réfugier dans les croyances de leur enfance et retourner à leur ancienne religion.

C’est le cas dans le monde catholique. Le culte à la « Vierge Marie » semble reprendre de la vigueur, même chez ceux qui reconnaissent que leur pape actuel est un véritable renégat s’affichant de plus en plus comme tel.

Mais rendre un culte à la « Vierge Marie » est-il une pratique chrétienne accomplissant la volonté de Dieu telle qu’enseignée dans les Saintes Écritures ? Dans ce document, nous allons citer le Catéchisme pour adultes, rédigé par les Évêques de France de l’Association épiscopale catéchistique. édition 1991, et qui cite lui-même Les Actes du Concile Vatican II, Lumen Gentium, Édition du Cerf, 1966. Nous comparerons ces citations avec la Bible de David Martin, 1744, fondée sur les Textes Reçus originaux. Nous allons explorer tous les versets qui mentionnent la mère de Jésus, Marie, femme de Joseph, afin de voir s’ils soutiennent la vision proposée par l’Église catholique concernant le « Vierge Marie ».

  1. La naissance de Jésus

Beaucoup de passages de l’Ancien Testament ont prophétisé la venue du Christ sur terre, mais un en particulier annonça Marie.

Ésaïe 7:14

« C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe ; voici, une Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, et appellera son Nom EMMANUEL. »

Il y a certains théologiens, surtout chez les Juifs orthodoxes, qui affirment que le mot hébreu almah doit être traduit par « jeune fille » ou « jeune femme », mais il veut principalement dire « vierge ». Or, nous lisons, dans Matthieu 1:22-23, que l’évangéliste cite le prophète et dit explicitement qu’il s’agit d’une « vierge » : « Or tout ceci est arrivé afin que fût accompli ce dont le Seigneur avait parlé par le Prophète, en disant : Voici, la Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils ; et on appellera son nom Emmanuel, ce qui signifie, DIEU AVEC NOUS. » Le mot original grec est parthenos qui signifie bien « vierge ».

Il est étrange que la Bible catholique de Jérusalem ait traduit almah par « jeune fille », alors que l’Église catholique, comme nous allons le voir, insiste sur la « virginité perpétuelle » de Marie.

La logique même du verset d’Ésaïe exige qu’il s’agisse d’une vierge. Dieu a dit qu’Il donnerait un signe, c’est-à-dire qu’Il effectuerait un miracle à la démonstration irréfutable. Or, qu’y aurait-il eut de miraculeux à ce qu’une « jeune fille » tombât enceinte ? Des milliards de jeunes filles ont eu un fils ! Allons-nous croire l’évangéliste Matthieu inspiré par Dieu qui s’est servi du mot grec parthenos pour traduire le mot grec almah, ou allons-nous croire des théologiens juifs ou judaïsants qui ne veulent surtout pas croire que Jésus fut le Christ annoncé ?

Oui, Dieu a bel et bien inséminé une jeune fille vierge de Judée, du nom de Marie, en insérant dans son ventre le Germe prophétisé, c’est-à-dire, un embryon complet qu’Il avait préparé avant même la création du monde et destiné à être l’Agneau de Dieu.

Ésaïe 4:2

« En ce temps-là le Germe de l’Eternel sera plein de noblesse et de gloire, et le fruit de la terre plein de grandeur et d’excellence, pour ceux qui seront réchappés d’Israël. »

Jérémie 23:5

« Voici, les jours viennent, dit l’Eternel, que je ferai lever à David un Germe juste, qui régnera comme Roi ; il prospérera, et exercera le jugement et la justice sur la terre. »

Jérémie 33:15

« En ces jours-là, et en ce temps-là je ferai germer à David le Germe de justice, qui exercera le jugement et la justice en la terre. »

Zacharie 3:8

« Ecoute maintenant, Jéhosuah, grand Sacrificateur, toi, et tes compagnons qui sont assis devant toi, parce que ce sont des gens qu’on tient pour des monstres, certainement voici, je m’en vais faire venir Germe, mon serviteur. »

Zacharie 6:12

« Et parle-lui, en disant : Ainsi a parlé l’Eternel des armées, disant : Voici un homme, duquel le nom est Germe, qui germera de dessous soi, et qui bâtira le Temple de l’Eternel. »

Germe : n.m. (lat. germen) 1. Plantule. 2. Bourgeon rudimentaire qui se développe sur certains organes souterrains (pomme de terre). [Dictionnaire Petit Larousse, 2011.]

Plantule : Embryon d’une plante contenu dans la graine. SYN. : graine. [Dictionnaire Petit Larousse, 2011.]

Dieu avait donc planifié créer un Germe avant la fondation du monde afin qu’Il devienne le Sacrifice expiatoire pour tous nos péchés. « Mais par le précieux sang de Christ, comme de l’agneau sans défaut et sans tache, déjà ordonné avant la fondation du monde, mais manifesté dans les derniers temps pour vous » (1 Pierre 1:19-20). Tout cela nous amène au point de discussion suivant.

  1. La virginité de Marie, l’humanité de Jésus

Sachant par avance tout ce qui allait survenir dans l’histoire de l’humanité, parce qu’Il ne vit pas dans le temps, Dieu forma un embryon divin complet dans lequel Il allait vivre revêtu de la chair humaine, par la puissance de Son Saint-Esprit, une fois implanté dans le ventre de la vierge Marie. Emmanuel, Dieu fait homme. Cet embryon, ce Germe divin, n’hérita pas de la nature humaine par le biais de Marie, car cela aurait impliqué que Dieu eût dû engendrer un ovule de Marie. Or, dans Ses prophéties, Dieu ne parle pas d’un « spermatozoïde divin », mais d’un Germe entier, ce qui écarte l’hypothèse de la passation de la nature humaine de Marie à Jésus.

Le Christ n’avait pas la nature humaine en Lui, c’est-à-dire, un esprit charnel que vient ensuite accompagner le Saint-Esprit lors de la conversion d’un chrétien. Jésus possédait uniquement l’Esprit de Dieu. « Car le bon plaisir du Père a été que toute plénitude habitât en lui » (Colossiens 1:19). C’est pour cette raison qu’il Lui a été possible de ne jamais pécher, car Dieu n’est pas tenté par le mal et Il a la capacité de ne jamais le commettre.

Nous pouvons dire en toute certitude que Marie, fiancée de Joseph, fut choisie par Dieu pour être la mère-porteuse de Jésus. Dans son utérus, son placenta nourrit le fœtus de Jésus pour qu’Il arrive sainement à terme. Après la naissance du Christ, Joseph et Marie, parents adoptifs de Jésus, L’entretinrent dans Ses besoins physiques. C’était la véritable mission que Dieu leur avait confiée, ni plus ni moins. Aller au-delà de cela, c’est risquer de dénaturer la mission en question. Ce que n’hésitent pourtant pas à faire les « pères » de l’Église catholique avec leurs interprétations dangereuses, comme nous le voyons dans le Catéchisme pour adultes, en page 213 :

« Marie “toujours vierge”

« La conception virginale de Jésus signifie son origine à la fois divine et humaine. Jésus a Dieu seul pour Père. Mais la foi de l’Église [catholique] a scruté le rapport entre maternité et virginité de Marie. Elle a vu dans cette virginité le signe de la consécration absolue de la Mère au Fils, le signe de la disponibilité totale de Marie à l’œuvre de Dieu.

« Aussi la foi chrétienne [la foi catholique] a-t-elle reconnu en Marie celle qui est toujours vierge, la Vierge par excellence. Elle tient que la naissance de Jésus n’a pas porté atteinte à la virginité de sa mère et que Marie est restée vierge pendant toute sa vie dans une fidélité totale.

Lorsque le catéchisme utilise l’expression « la foi de l’Église », elle veut dire « les croyances de l’Église catholique », à l’exclusion des Évangiles et de leurs enseignements. Le catholicisme tient à donner un rôle à Marie dans la conception de Jésus-Christ, rôle que ne soutient aucun passage de la Bible. Une étude honnête des Écritures montre que le rôle de Marie s’est borné à porter le fœtus de Jésus jusqu’à Sa naissance en tant qu’être humain. Elle n’a pas autrement contribué à Sa conception, car, comme nous l’avons déjà vu, Dieu a déposé un embryon complet dans son sein, le Germe prophétisé.

Alors ce n’est que spéculation et affaire d’opinion personnelle de la part des « pères » de l’Église catholique que de dire que Marie a conservé sa virginité après la naissance de Jésus. Physiquement, c’est impossible, car l’hymen de Marie ne pouvait que se déchirer à la sortie de l’enfant Jésus. Bien sûr, Dieu aurait pu alors effectuer un miracle et réparer l’hymen, mais c’eût été immanquablement écrit dans les Évangiles parce que Dieu n’aurait pas mis sous silence un pareil événement.

Dans toute cette affaire, que fait-on du cas de Joseph, époux de Marie ? Vous rendez-vous compte que supposer la virginité perpétuelle de Marie impose que Joseph soit aussi demeuré vierge ? Dieu a-t-Il exigé de Joseph qu’il ne connût jamais Marie, sa femme ? Cela nous conduit à notre point suivant.

  1. Marie et ses autres enfants

Matthieu 1:24-25

« Joseph étant donc réveillé de son sommeil, fit comme l’Ange du Seigneur lui avait commandé, et reçut sa femme. Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté son fils premier-né ; et il appela son nom Jésus. »

Luc 2:5-7

« Pour être enregistré avec Marie, la femme qui lui avait été fiancée, laquelle était enceinte. Et il arriva comme ils étaient là, que son terme pour accoucher fut accompli. Et elle mit au monde son fils premier-né, et l’emmaillota, et le coucha dans une crèche, à cause qu’il n’y avait point de place pour eux dans l’hôtellerie. »

Luc 2:22-23

« Et quand les jours de la purification de Marie furent accomplis selon la Loi de Moïse, ils le portèrent à Jérusalem, pour le présenter au Seigneur, (Selon ce qui est écrit dans la Loi du Seigneur : que tout mâle premier-né sera appelé saint au Seigneur.) »

Vous lisez ici la traduction exacte des textes originaux ; et c’est ainsi que la traduit aussi la Version Autorisée de la King James 1611. Il y a donc un problème évident en ce qui concerne la « virginité perpétuelle » de Marie. Voyons comment le catholicisme contourne ce problème. Citons d’abord la version catholique de Jérusalem : « Une fois réveillé, Joseph fit comme l’Ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse ; et, sans qu’il l’eût connue, elle enfanta un fils, auquel il donna le nom de Jésus. » Après le mot « connue », il y a un renvoi de bas de page qui dit ceci : « Litt. “et il ne la connut pas jusqu’au jour où elle enfanta”. Le texte n’envisage pas la période ultérieure, et de soi n’affirme pas la virginité perpétuelle de Marie, mais le reste de l’Évangile ainsi que la Tradition de l’Église la supposent. »

Les auteurs de la Bible de Jérusalem avouent eux-mêmes avoir falsifié et modifié le texte original en se donnant pour excuse que le reste de l’Évangile et leur Tradition supposent cette doctrine de la virginité perpétuelle de Marie. Ce n’est pas anodin. C’est même grave. Tout d’abord, il est faux de dire que les Évangiles supposent cette doctrine car, comme nous allons l’étudier, aucun verset ne vient supporter cela, au contraire. Donc, ces auteurs ne se reposent que sur la Tradition catholique qui, elle, n’a aucune fiabilité et n’apporte pour preuves aucun passage biblique pour soutenir ses assertions. Il s’agit d’un exercice flagrant d’hypocrisie.

Ce que le passage de Matthieu 1:23 dit clairement, c’est que Joseph attendit que Marie eût mis au monde son fils premier-né avant d’avoir des relations sexuelles avec sa femme. Ils eurent ensuite ensemble une famille nombreuse.

Vous remarquerez aussi que les traditionalistes catholiques ont remplacé « son fils premier-né » par « un fils », car tout le monde peut comprendre qu’in fils n’est qualifié de « premier-né » que si un ou plusieurs autres enfants suivent, sinon, on parle de fils unique.

La majorité des gens pensent que les théologiens possèdent une compréhension des Écritures bien supérieure à la moyenne, à cause du nombre d’années qu’ils passent dans les séminaires. Mais qu’étudient-ils, en fait ? Nous commençons à nous apercevoir qu’ils sont de la même école de pensée que les Pharisiens à qui Jésus-Christ reprochait leur Tradition consistant à trouver des moyens de contourner la Parole de Dieu dans le but de l’annuler. Ne nous y laissons pas prendre.

Donc, ce passage de Matthieu 1:25 annonçait la fin de la virginité de Marie et la procréation de toute une flopée d’enfants pour le couple Joseph-Marie. Nous allons voir que, hormis Jésus, ils ont eu au moins sept autres enfants, dont quatre fils dûment nommés.

Matthieu 12:46-50

« Et comme il parlait encore aux troupes, voici, sa mère et ses frères étaient dehors cherchant de lui parler. Et quelqu’un lui dit : voilà, ta mère et tes frères sont là dehors, qui cherchent de te parler. Mais il répondit à celui qui lui avait dit cela : qui est ma mère, et qui sont mes frères ? Et étendant sa main sur ses Disciples, il dit : voici ma mère et mes frères. Car quiconque fera la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »

Luc 8:19-21

« Alors sa mère et ses frères vinrent vers lui, mais ils ne pouvaient l’aborder à cause de la foule. Et il lui fut rapporté, en disant : ta mère et tes frères sont là dehors, qui désirent de te voir. Mais il répondit, et leur dit : ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique. »

Matthieu 13:55-56

« Celui-ci n’est-il pas le fils du charpentier ? sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie ? et ses frères ne s’appellent-ils pas Jacques, Joses, Simon et Jude ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ? D’où viennent donc à celui-ci toutes ces choses ? »

Matthieu 27:55-56, 61

« Il y avait là aussi plusieurs femmes qui regardaient de loin, et qui avaient suivi Jésus depuis la Galilée, en le servant. Entre lesquelles étaient Marie-Magdeleine ; et Marie mère de Jacques et de Joses ; et la mère des fils de Zébédée [les apôtres Jacques et Jean] … Et là étaient Marie-Magdeleine et l’autre Marie, assises vis-à-vis du sépulcre. »

Marc 3:31-35

« Sur cela ses frères et sa mère arrivèrent là, et se tenant dehors ils l’envoyèrent appeler ; et la multitude était assise autour de lui. Et on lui dit : voilà ta mère et tes frères là dehors, qui te demandent. Mais il leur répondit, en disant : qui est ma mère, et qui sont mes frères ? Et après avoir regardé de tous côtés ceux qui étaient assis autour de lui, il dit : voici ma mère et mes frères. Car quiconque fera la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »

 Marc 6:3

« Celui-ci n’est-il pas charpentier ? fils de Marie, frère de Jacques, et de Joses, et de Jude, et de Simon ? et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous ? et ils étaient scandalisés à cause de lui. »

Marc 6:4

« Mais Jésus leur dit : un Prophète n’est sans honneur que dans son pays, et parmi ses parents et ceux de sa famille. »

Marc 15:47

« Et Marie-Magdeleine, et Marie mère de Joses regardaient où on le mettait. »

Marc 16:1

« Or le jour du Sabbat étant passé, Marie-Magdeleine, et Marie mère de Jacques, et Salomé achetèrent des aromates, pour le venir embaumer. »

Luc 24:10

« Or ce fut Marie-Magdeleine, et Jeanne, et Marie mère de Jacques, et les autres qui étaient avec elles, qui dirent ces choses aux Apôtres. »

Jean 2:12

« Après cela il descendit à Capernaüm avec sa mère, et ses frères, et ses Disciples ; mais ils y demeurèrent peu de jours. »

Dans ces passages, nous voyons Marie et ses enfants cités comme étant la famille physique de Jésus. Dans Matthieu 12:46-50, que raconte également Luc 8:19-21 et Marc 3:31-35, le contexte montre sans ambiguïté que celui qui interpela Jésus pour L’avertir que Sa mère et Ses frères se trouvaient là et cherchaient à Lui parler, entendait bien par là qu’il s’agissait de la famille immédiate de Jésus. C’est par allégorie que notre Seigneur parla ensuite de Ses frères spirituels. De toute évidence, l’individu qui avait interpelé Jésus ne pensait pas à l’aspect spirituel. Nous voyons donc que Marie eut d’autres enfants. D’ailleurs, dans Matthieu 13:55-56, ils sont désignés par leur nom. Il y a ici quatre frères de Jésus et, selon toute logique, au moins trois sœurs. S’il y avait eu deux sœurs, Matthieu n’aurait sans doute pas eu à écrire « toutes parmi nous ». Marie eut, au minimum, huit (8) enfants !

Cela devait fortement embarrasser les « pères » catholiques qui tenaient à la « virginité perpétuelle » de Marie. Ces versets les gênaient ; ils ont donc trouvé une excuse pour contourner l’obstacle. Dans la Bible de Jérusalem catholique, ils ont rédigée une note de bas de page en rapport avec Matthieu 12:46 en croyant que ce serait suffisant pour « prouver » leur point. Elle se lit comme suit : « Non des fils de Marie, mais des proches parents, comme par exemple des cousins, que l’hébreu et l’araméen appelaient aussi “frères”, cf. Gn 13:8 ; 14:16 ; 29:15 ; Lv 19:4 ; 1 Ch 3:22. » Allons voir ces versets afin de déterminer si l’argument catholique tient le coup.

Genèse 13:8 : « Et Abram dit à Lot : Je te prie qu’il n’y ait point de dispute entre moi et toi, ni entre mes pasteurs et les tiens ; car nous sommes frères. » Dans Genèse 11:31 et 12:5, le degré de parenté entre Abraham et Lot est mentionné clairement. Il est donc évident que Moïse employa ici le mot « frère » dans son sens élargi. Cela ne prouve toutefois pas que les évangélistes aient suivi le même exemple, car sinon, à toutes les fois que l’on parlerait de « frères », nous serions dans le doute parc e que nous ne pourrions distinguer entre des frères utérins et des membres de même parenté.

Genèse 14:16 : « Et il ramena tout le bien qu’ils avaient pris ; il ramena aussi Lot son frère, ses biens, les femmes et le peuple. » Moïse utilise encore le sens large de « frère » pour accentuer le fait qu’Abraham était allé sauver un membre de sa parenté. Mais nous avons vu que le niveau de parenté avait déjà été établi auparavant. Ce n’est pas davantage une preuve en faveur des « pères » catholiques.

Genèse 29:15 : « Après quoi Laban dit à Jacob : Me serviras-tu pour rien, parce que tu es mon frère ? Dis-moi quel sera ton salaire ? » Le degré de parenté entre Laban et Jacob est parfaitement établi à plusieurs reprises avant cette parole de Laban à Jacob, dont Genèse 28:5. Alors, il se sert évidemment du mot « frère » dans son sens général, simplement pour souligner qu’ils sont du même sang. Cela ne peut toujours pas constituer une preuve pour les catholiques.

Lévitique 10:4 : « Et Moïse appela Misaël et Eltsaphan les fils de Huziel, oncle d’Aaron, et leur dit : Approchez-vous, emportez vos frères de devant le Sanctuaire hors du camp. » Encore là, Moïse souligne un lien de parenté, car tous faisaient partie d’une même grande lignée familiale. Mais il n’y a pas à s’y méprendre, parce que Moïse établit tout de suite avant quel est le niveau de parenté, ce qui n’est pas fait dans Matthieu 12 et les autres passages évangéliques. On ne peut donc se servir de ce passage pour affirmer que Marie n’eut pas d’autres enfants.

1 Chroniques 23:22 : « Et Eléazar mourut, et n’eut point de fils, mais des filles ; et les fils de Kis leurs frères les prirent pour femmes. » Toujours employé dans le sens large de parenté, il est toutefois évident qu’il ne pouvait s’agir de frères utérins parce qu’ils marièrent ces filles.

Voilà ce qu’il en est des passages de l’Ancien Testament où, comme nous pouvons le noter, le niveau réel de parenté est toujours préétabli afin que le lecteur des Écritures ne soit pas confondu. En ce qui a trait au texte araméen du Nouveau Testament, les « pères » catholiques ne peuvent citer aucun exemple et ne donnent donc pas de référence. Dans le texte évangélique original, le mot grec traduit par « frère » est adelphos qui signifie littéralement « frères utérins », c’est-à-dire, d’une même mère.

Et même, si vous faites attention, vous verrez que la Bible de Jérusalem a supprimé le verset 47 de Matthieu 12 pour l’insérer en note de bas de page, en caractères minuscules, afin de cacher ce passage gênant, prétextant qu’il s’agit d’une reprise omise par « de bons témoins », sans cependant préciser qui sont ces « témoins ». C’est un bel exemple d’hypocrisie embarrassante qui démontre que l’on est prêt à toutes les malhonnêtetés dans le but de conserver la fausse doctrine de la « virginité perpétuelle »  de Marie.

Il fallut un certain temps avant que les frères et sœurs de Jésus comprennent qui était vraiment leur Aîné. Dans Jean 7:3-5, nous lisons ceci : « Et ses frères lui dirent : pars d’ici, et t’en va en Judée, afin que tes disciples aussi contemplent les œuvres que tu fais. Car on ne fait rien en secret, lorsqu’on cherche de se porter franchement ; si tu fais ces choses-ci, montre-toi toi-même au monde. Car ses frères mêmes ne croyaient point en lui. » Ici, les frères de Jésus ne pouvaient être Ses disciples, car ils ne croyaient pas en Lui. Les remarques qu’ils Lui font sonnent comme un cinglant reproche, presqu’une insulte. Nous pouvons supposer qu’ils ressentaient à la fois de la honte et de la jalousie. Honte d’être associés à un « hurluberlu » qui provoquait la colère du Sanhédrin ; et jalousie parce que Jésus attirait de grandes foules qui cherchaient à écouter Ses enseignements. Tout cela devait avoir des répercussions sur Sa famille. Cela explique ce que Jésus a dit dans Marc 6:4 : « Mais Jésus leur dit : un Prophète n’est sans honneur que dans son pays, et parmi ses parents et ceux de sa famille. » Vous remarquerez que Jésus fait la distinction entre la parenté et la famille. Cet opprobre avait préalablement été prophétisée dans Psaume 69:8 : « Je suis devenu étranger à mes frères, et un homme de dehors aux enfants de ma mère. » Cette prophétie regardant Jésus ne laisse planer aucun doute quant à la progéniture de Marie. On ne peut pas appeler « cousins » les enfants de sa propre mère ! Ce n’est pas une figure de style, il est littéralement question des frères de Jésus, tous fils d’une même mère qui est Marie.

Manifestement, Ses frères, et probablement aussi Ses sœurs, s’étaient détachés de Lui au début de Son ministère. Mais il a dû survenir quelque chose, à un moment donné, car ils se sont éventuellement convertis pour devenir Ses disciples. En effet, après Sa mort, Sa résurrection et Son ascension, mais avant la Pentecôte, nous lisons, dans Actes 1:14 : « Tous ceux-ci persévéraient unanimement en prières et en oraisons avec les femmes, et avec Marie mère de Jésus, et avec ses Frères. »

Évidemment, la Bible catholique de Jérusalem ne peut s’empêcher de mettre en bas de page la note suivante : « Au sens large de cousins, parents ». Mais elle ne donne aucune preuve biblique pour soutenir cela, tout en ne fournissant que le seul soutien de sa propre note de bas de page de Matthieu 12:46 qui ne prouve strictement rien. Cette version catholique de la Bible est viciée, corrompue et elle falsifie le texte biblique original pour appuyer tout un tas de fausses doctrines. Or, malheur à ceux qui ajoutent ou enlèvent de la Parole de Dieu (Apocalypse 22:18-19). On ne doit rien rater de ce que Dieu enseigne, car : « Toute l’Ecriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, et pour instruire selon la justice; » (2 Timothée 3:16). Changer le texte biblique est extrêmement dangereux.

  1. Marie : immaculée, sans péché ?

Voyons tout d’abord ce que déclare le Catéchisme pour adultes, à la page 212 :

« Marie, la vierge sainte conçue sans péché

« C’est en approfondissant les paroles de l’ange : “Je te salue, comblée de grâce”, que la Tradition a pu exprimer le double mystère de l’Immaculée Conception et de l’Assomption, au commencement et à l’accomplissement de la vie de la Vierge. »

« …en approfondissant » signifie que, dans leurs élucubrations, ils sont allés au-delà du texte biblique original et, en fondant leur « approfondissement » sur une mauvaise traduction du texte original (« comblée de grâce », au lieu de « reçue en grâce »), les « pères » catholiques ont pu inventer les doctrines de l’immaculée conception et de l’assomption de Marie. Le catholicisme qualifie toujours de mystère ce qu’il n’arrive pas à expliquer bibliquement. Cependant, les « pères » l’avouent, c’est l’œuvre de leur Tradition, car ils devaient être parfaitement au courant que la Bible ne parle ni de l’une ni de l’autre. Continuons à la page 213 :

« « “Au premier instant de sa conception, par la grâce et le privilège de Dieu tout-puissant, et en considération des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, la Vierge Marie fut préservée intacte de toute souillure du péché originel.” Telle est la foi de l’Église catholique, définie en 1854 par le pape Pie IX.

« Marie est entièrement sainte, elle n’a commis aucun péché. Plus encore, sa sainteté est “originelle”. C’est la sainteté qui a été accordée gratuitement par Dieu à celle qui a donné au monde la source de la grâce. »

Au moyen des Écritures, nous savons que cette affirmation des « pères » catholiques est un vulgaire mensonge. C’est sans ambages que la Parole de Dieu dit ceci :

« La justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus-Christ, s’étend à tous et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a nulle différence, vu que tous ont péché, et qu’ils sont entièrement privés de la gloire de Dieu » (Romains 3:22).

« C’est pourquoi comme par un seul homme le péché est entré au monde, la mort y est aussi entrée par le péché ; et ainsi la mort est parvenue sur tous les hommes, parce que tous ont péché » (Romains 5:12).

Si Marie avait été préservée du péché, ne pensez-vous pas que l’apôtre Paul eût été au courant et qu’il aurait cité l’exception ? Il n’aurait alors pas pu dire que « tous ont péché ». Donc, Marie avait la nature charnelle et défaillante que possèdent tous les hommes et toutes les femmes depuis Adam et Ève. Elle n’était pas l’exception célèbre qu’en ont fait les « pères » catholiques sans se fier à la Parole de Dieu. Non, tous ont péché, Marie incluse.

D’ailleurs, elle-même se reconnaissait le besoin d’un Sauveur. C’est ce que nous lisons dans sa louange à Dieu pour lui avoir accordé une grâce :

Luc 1:26-56

« Or au sixième mois, l’Ange Gabriel fut envoyé de Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth ; vers une Vierge fiancée à un homme nommé Joseph, qui était de la maison de David ; et le nom de la Vierge était Marie. Et l’Ange étant entré dans le lieu où elle était, lui dit : je te salue, ô toi qui es reçue en grâce ; le Seigneur est avec toi ; tu es bénie entre les femmes. Et quand elle l’eut vu, elle fut fort troublée à cause de ses paroles ; et elle considérait en elle-même quelle était cette salutation. Et l’Ange lui dit : Marie, ne crains point ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu concevras en ton ventre, et tu enfanteras un fils, et tu appelleras son nom JESUS. Il sera grand, et sera appelé le Fils du Souverain, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père. Et il régnera sur la maison de Jacob éternellement, et il n’y aura point de fin à son règne. Alors Marie dit à l’Ange : comment arrivera ceci, vu que je ne connais point d’homme ? Et l’Ange répondant lui dit : le Saint-Esprit surviendra en toi, et la vertu du Souverain t’enombrera ; c’est pourquoi ce qui naîtra de toi Saint, sera appelé le Fils de Dieu. Et voici, Elizabeth, ta cousine, a aussi conçu un fils en sa vieillesse ; et c’est ici le sixième mois de la grossesse de celle qui était appelée stérile. Car rien ne sera impossible à Dieu. Et Marie dit : voici la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon ta parole ! Et l’Ange se retira d’avec elle. Or en ces jours-là Marie se leva, et s’en alla en hâte au pays des montagnes dans une ville de Juda. Et elle entra dans la maison de Zacharie, et salua Elisabeth. Et il arriva qu’aussitôt qu’Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, le petit enfant tressaillit en son ventre, et Elisabeth fut remplie du Saint-Esprit. Et elle s’écria à haute voix, et dit : tu es bénie entre les femmes, et béni est le fruit de ton ventre. Et d’où me vient ceci, que la mère de mon Seigneur vienne vers moi ? Car voici, dès que la voix de ta salutation est parvenue à mes oreilles, le petit enfant a tressailli de joie en mon ventre. Or bienheureuse est celle qui a cru : car les choses qui lui ont été dites par le Seigneur, auront leur accomplissement. Alors Marie dit : Mon âme magnifie le Seigneur ; et mon esprit s’est égayé en Dieu, qui est mon Sauveur. Car il a regardé la bassesse de sa servante ; voici, certes désormais tous les âges me diront bienheureuse. Car le Puissant m’a fait de grandes choses, et son Nom est Saint. Et sa miséricorde est de génération en génération en faveur de ceux qui le craignent. Il a puissamment opéré par son bras ; il a dissipé les desseins que les orgueilleux formaient dans leurs cœurs. Il a renversé de dessus leurs trônes les puissants, et il a élevé les petits. Il a rempli de biens ceux qui avaient faim ; il a renvoyé les riches vides. Il a pris en sa protection Israël, son serviteur, pour se souvenir de sa miséricorde ; (selon qu’il en a parlé à nos pères, savoir à Abraham et à sa postérité) à jamais. Et Marie demeura avec elle environ trois mois, puis elle s’en retourna en sa maison. »

Ce passage des Écritures, où Marie reçoit la visite de l’Ange Gabriel pour lui faire l’annonce de sa grossesse, et où la jeune vierge épanche son âme en reconnaissance envers le Seigneur, regorge de renseignements révélateurs dont plusieurs ont échappé à trop de chrétiens et à tous les catholiques, semble-t-il. Tout d’abord, notons que l’Ange dit à Marie qu’elle a été « reçue en grâce » et non pas qu’elle est elle-même « pleine de grâce » ou « comblée en grâce ». Ce n’est pas la même chose. Après la salutation de l’Ange, pourquoi Marie fut-elle fort troublée ? Si elle était la femme parfaite, sans péché, comblée de grâce et possédant le Saint-Esprit depuis sa naissance, ne devait-elle pas comprendre qu’elle serait choisie pour une mission spéciale ? Le catholicisme la dit « Mère de Dieu », mais elle-même se considérait comme la basse servante du Seigneur !

Lors de sa visite chez Élisabeth, elle rend louange à Dieu « qui est mon Sauveur ». Mais comment Dieu l’a-t-Il sauvée si elle n’a commis aucun péché ? De quoi fut-elle sauvée ? La Bible explique en long et en large que le Christ est venu sur terre afin de nous sauver de l’amende de nos péchés. Si quelqu’un n’a jamais péché, il n’a pas besoin d’un Sauveur. Mais nous avons vu que tous ont péché. Tout de suite après avoir reconnu son besoin d’un Sauveur, Marie parle de la bassesse de sa condition devant Dieu. Nous voyons que les propos de Marie contredisent sans cesse ce que les « pères » catholiques disent d’elle. Ainsi, étant donné que Marie avait reconnu son besoin d’un Sauveur, regardons comment les « pères » catholiques tentent d’échapper à leur propre piège :

« Mais le dogme de l’Immaculée Conception ne dit pas que Marie a échappé au besoin de Rédemption et de salut, qui concerne toute la famille humaine. Elle appartient pleinement au peuple des rachetés, elle est la première rachetée. Par rapport à la Rédemption, elle est du même côté que nous. Comme nous tous, elle a été libérée du péché et sauvée par le Christ. Mais la grâce de Dieu la précède de façon unique, le salut lui vient déjà, “dès le premier instant de sa conception”, par anticipation, de la mort et de la résurrection de son Fils. Le salut prend chez elle, non la forme de la guérison ou de la purification, mais celle de la préservation.

« “Nous ne pouvons pas oublier que Marie est vénérée à Lourdes par des millions de croyants, justement comme celle qui a dit : ‘Je suis l’Immaculée Conception’.” »

Les « pères » de l’Église catholique devaient espérer que leurs fidèles ne se rendent pas compte de la défaillance de leur logique en poursuivant le raisonnement jusqu’à son aboutissement inévitable. Si Marie devait être une personne parfaite parce qu’elle allait concevoir le Christ parfait, il aurait préalablement fallu que son père et sa mère soient également préservés de toute souillure. Et pour ce faire, il aurait également fallu qu’ils descendent eux-mêmes d’êtres humains parfaits, et ainsi de suite en remontant jusqu’à Noé qui, incidemment, n’était pas parfait, ni aucun de ses enfants. Alors, cherchez l’erreur.

Non, croyons plutôt les paroles toutes simples et bibliques de Marie qui s’avouait pécheresse, ayant besoin du Sauveur au même titre que tous les autres êtres humains, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. C’est ce que dit Sa Parole. Comprenons bien que Dieu n’avait pas besoin que Marie soit parfaite étant donné qu’Il ne S’est pas servi d’un de ses ovules pour engendrer Son Emmanuel. Mais les « pères » catholiques ne peuvent admettre cela s’ils veulent conserver l’image de leur « Vierge ». Ils préfèrent verser dans l’absurde plutôt que risquer de perdre leur déesse.

La « Vierge » qui est apparu à Lourdes fut une spectaculaire manifestation satanique, un de ces prodiges mensongers qu’il est permis au Diable de déployer aux temps de la fin, avant qu’il ne soit enfermé dans l’abîme. En attendant son sort, Satan se fait adorer par l’intermédiaire d’idoles de toutes sortes dans le monde, y compris une déesse appelée « Immaculée Conception ».

  1. Marie, Mère de Dieu ?

 L’élaboration d’une « Marie toujours vierge » a fini par faire tomber les « pères » catholiques dans le blasphème. C’est ce que l’on constate en prenant connaissance d’un article suivant du Catéchisme pour adultes :

« Mère de Jésus, donc Mère de Dieu

« Telle est l’affirmation centrale de la foi chrétienne au sujet de Marie : Marie a été choisie pour devenir la mère de Jésus, le Christ, le Fils de Dieu, notre Sauveur. On l’appelle Mère de Jésus mais, puisque Jésus est le Fils de Dieu et Dieu lui-même, la Tradition de l’Église affirme que Marie est Mère de Dieu. »

Dieu est l’Être éternel n’ayant eu ni commencement de jour, ni fin de vie. Comment aurait-Il pu avoir une Mère ? Dans sa lettre aux Hébreux, l’apôtre Paul fait une description du Roi de Salem, Melchisédec, qui était le Dieu souverain Lui-même ayant visité Abraham. Paul dit de Lui qu’Il est « sans père, sans mère, sans généalogie, n’ayant ni commencement de jour, ni fin de vie ; mais étant fait semblable au Fils de Dieu [Jésus], il demeure sacrificateur à toujours » (Hébreux 7:3). Dieu est apparu à Abraham dans un corps semblable à celui qu’Il allait habiter plus tard sous le nom de Jésus-Christ. Ainsi, Marie fut la mère de Jésus sous Son aspect corporel humain, mais pas sous Son aspect spirituel divin. Elle fut plutôt une créature de Son aspect spirituel divin, car la Parole a créé toutes choses (Jean 1:3) et donc Marie aussi. Le terme « Mère de Dieu » n’existe pas dans la Bible parce que c’est un non-sens évident.

Alors, d’où vient cette appellation de l’Église catholique ? Les écrivains du catéchisme l’avouent eux-mêmes : de la Tradition de cette église. Une tradition des hommes qui ne sont pas fiables ! Ils se sont créé une déesse. Car dire que c’est la « Mère de Dieu » équivaut bien à en faire une déesse. Que disent-ils ensuite ?

« Ce titre, déjà acquis au IVe siècle, est proclamé en 431 au Concile d’Éphèse, au moment des débats sur l’unité personnelle du Christ, homme et Dieu. Il ne signifie pas que Marie donne naissance à la divinité du Christ, ce qui n’aurait aucun sens. Elle a engendré selon sa chair celui qui est éternellement engendré par Dieu. Parce que “le Fils de Dieu prit d’elle la nature humaine (LG 58), elle est véritablement la Mère de Dieu, celle que les chrétiens d’Orient appellent la “Theotokos”, c’est-à-dire, “celle qui engendre Dieu”. »

« Ce titre n’ajoute rien à ce qui est déjà dans les évangiles. Et pourtant, il représente une intelligence approfondie, et donc neuve, du rôle de Marie dans l’Incarnation. Mère de Dieu, Marie, Nouvelle Ève, est devenue, à la croix, mère des hommes, lorsque le Rédempteur l’a confiée au disciple qu’il aimait (cf. RM 45).

Vous prendrez bien soin de noter que ces idées concernant Marie n’ont pas vu le jour dans l’Église primitive fondée par le Christ et ne tiennent pas leur origine de la Bible, mais elles ont été adoptées en l’an 431 de notre ère au sein d’un Concile d’une église déjà dénaturée. Ces « pères » du catholicisme stipulèrent que Marie avait engendré le Fils de Dieu. Nous avons vu au Point 1 (La naissance de Jésus) que ce ne pouvait être le cas. L’embryon déposé dans le ventre de Marie était déjà complet. Marie n’y a rien contribué. Dieu n’appelle pas cet embryon « Germe » par hasard. Comme l’on insère un germe de plante dans une bonne terre, ainsi fut planté le Germe dans le sein de Marie. La bonne terre n’a pas produit le germe, elle ne fait que lui donner les nutriments nécessaires à sa croissance. De même, Marie ne produisit pas l’embryon, elle ne fit que Le porter et Lui fournir les aliments nécessaires à Sa croissance.

Par conséquent, il est faux de la part de ces « pères » catholiques d’affirmer que Marie transmit sa nature humaine au Christ. Elle n’a pas « engendré Dieu » et ne peut être qualifiée de « Mère de Dieu ». C’est une insulte à la face de Dieu, Créateur de toutes choses ! Marie fut choisie pour être la mère-porteuse de l’enfant Jésus. De plus, elle n’est ni la « Nouvelle Êve », ni la « Mère des hommes ». Tout cela fut effectivement ajouté de manière arbitraire à ce que disent réellement les Évangiles. Ceux-ci ne parlent de rien de tout cela. Ces proclamations imaginaires proviennent des Traditions des hommes, et vous savez ce que Jésus-Christ pensait des Traditions des hommes…

Lisons maintenant Luc 11:27-28 : « Or il arriva comme il disait ces choses, qu’une femme d’entre les troupes éleva sa voix, et lui dit : bienheureux est le ventre qui t’a porté, et les mamelles que tu as tétées. Et il dit : mais plutôt bienheureux sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent. »

À une dame qui se mit à louanger la mère de Jésus, le Christ réagit en soulignant qu’il valait mieux étudier la Sainte Bible et garder les Paroles de Dieu. Qu’eût-Il dit à ceux qui adorent la « vierge catholique » ? Christ nous remet Marie dans la bonne perspective. Lisons également Jean 2:3-5 :

« Et le vin étant venu à manquer, la mère de Jésus lui dit : ils n’ont point de vin. Mais Jésus lui répondit : qu’y a-t-il entre moi et toi, femme ? mon heure n’est point encore venue. Sa mère dit aux serviteurs : faites tout ce qu’il vous dira. »

Nous voyons un aspect révélateur de la relation entre Jésus et Marie. Tout d’abord, Marie s’adresse à Lui comme à son fils, mais le Christ la reprend en S’adressant à elle comme Dieu à Sa créature, c’est-à-dire, une simple femme humaine. Il est le Maître et personne, sinon le Père, ne peut Lui commander un miracle. Marie a tout de suite compris le message et enjoint les serviteurs de la noce de Lui obéir en toute chose. Elle n’était manifestement pas la « Mère de Dieu ».

Dans Jean 19:25-27, que les « pères » catholiques utilisent pour faire croire que Marie est devenue la « Mère des hommes », nous lisons : « Or près de la croix de Jésus étaient sa mère, et la sœur de sa mère, savoir Marie femme de Cléopas, et Marie Magdelaine. Et Jésus voyant sa mère, et auprès d’elle le Disciple [Jean] qu’il aimait, il dit à sa mère : femme, voilà ton Fils. Puis il dit au Disciple : voilà ta Mère ; et dès cette heure-là ce Disciple la reçut chez lui. »

Ici encore, Jésus utilise Son autorité divine, en appelant Marie « femme », pour confier à l’apôtre Jean la tâche de prendre soin de Marie. Il est possible que les frères et sœurs du Christ n’étaient pas encore convertis à ce moment-là, ou qu’ils avaient chacun leur propre famille. Ce ne sont que des hypothèses. Nous ne savons pas non plus si Jean ait jamais été marié. Il est inutile de spéculer à cet effet. Nous devons nous en tenir à ce que le geste de Jésus, que Celui-ci n’a pas expliqué, en a été un de bienveillance envers Sa mère et Son ami intime pour que chacun prenne soin de l’autre en s’entretenant dans le Seigneur. Il est tout à fait tiré par les cheveux de présupposer que cela fit de Marie la « Mère de tous les hommes ». Donc, encore une fois, les « pères » catholiques y sont allés de suppositions arbitraires pour assoir une affirmation que rien ne soutient bibliquement.

Vous remarquerez aussi dans ce passage que Marie, mère de Jésus, avait une sœur s’appelant aussi Marie. Les « pères » catholiques ont-ils également profité de cela pour faire croire que la Marie possédant des enfants était cette femme de Cléopas ? Il faut s’attendre à tout d’eux.

  1. Marie élevée au ciel ?

Nous passons maintenant à l’Assomption, c’est-à-dire, à la montée au ciel de Marie sans qu’elle ait à passer par la mort. Voici d’abord le décret de l’Église catholique tel qu’émis dans son Catéchisme :

« Marie dans la gloire

« L’Assomption est, au terme de la vie terrestre de Marie, le répondant de ce qu’est l’Immaculée Conception à son origine : Marie a été préservée, d’une part de la mort spirituelle du péché, et d’autre part de la corruption du tombeau. En 1950, le pape Pie XII a solennellement défini que “l’Immaculée Mère de Dieu, Marie toujours Vierge, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée en corps et en âme à la gloire céleste” (FC 410). »

En cette date toute récente de 1950, le pape Pie XII s’est mis à fabuler sur quelque chose qui ne se trouve nulle part dans les Saintes Écritures. Pourtant, un événement aussi spectaculaire aurait obligatoirement été rapporté par les Évangélistes et/ou les Apôtres. Or, étant donné le silence total des Évangiles et des Épîtres à ce sujet, nous ne pouvons que nous poser la question à savoir d’où Pie XII a-t-il pu obtenir ses informations. Poursuivons donc notre lecture du Catéchisme pour adultes :

« Ainsi Dieu “a préservé de la dégradation du tombeau le corps qui avait porté son propre Fils et mis au monde l’auteur de la vie” (cf. préface de la fête de l’Assomption). Le Ressuscité a déjà pleinement manifesté en Marie la fécondité de sa propre résurrection, nous donnant en elle le signe vivant de notre accomplissement à venir. Nous croyons en l’Assomption, sur le fondement de la foi traditionnelle de l’Église interprétant les données du Nouveau Testament. L’Assomption était devenue l’objet d’une foi unanime dans l’Église catholique avant d’être définie par le pape Pie XII en 1950. »

Tout d’abord, n’est-il pas étrange que « le Ressuscité », c’est-à-dire, Jésus-Christ, ait eu, Lui, à passer trois jours et trois nuits dans le tombeau, mais pas Marie ? Sur quelle base fonder son statut particulier à première vue supérieur à celui du Christ même ? Et où trouve-t-on le récit de la « Vierge Marie » montant au ciel (l’Assomption) ? Le catéchisme nous offre la réponse : dans la Tradition catholique qui interprète à sa convenance le Nouveau Testament et tente de nous faire avaler qu’elle y voit ce qui ne s’y trouve pas. Les « pères » catholiques ont inséré l’Assomption dans leur théologie, un peu à la façon des banquiers qui créent de l’argent à partir de rien, et les croyants, à qui l’on a interdit la lecture de la Bible pendant des siècles, ont accepté le tout sans poser de question. C’est ce qui arrive quand les hautes instances hiérarchiques religieuses maîtrisent l’art hypocrite de la démagogie en employant des formules imagées et prétendument savantes pour détourner les membres laïcs de la vérité biblique toute simple.

Nous ne pouvons nous référer à des passages scripturaires afin de prouver notre point et ce, pour une raison évidente : l’Assomption de Marie n’existe pas dans la Bible.

Rendus à ce stade-ci de notre étude, vous vous demanderez peut-être : « Pourquoi ces “pères” de l’Église catholique ont-ils déployé autant d’efforts dans le but de créer une identité aussi fausse de Marie, mère de Jésus, femme de Joseph ? » La question est inévitable, en effet, et c’est notre septième et dernier point qui y répondra.

  1. Marie, Reine des cieux ?

Si la Parole de Dieu n’offre aucun soutien à la vision catholique de la « Vierge Marie », qu’est-ce qui a motivé les « pères » catholiques à concocter un personnage féminin de la stature de Christ, et même de Dieu le Père, jusqu’à la qualifier de « Mère de Dieu » ? Citons un passage de Les Actes du Concile de Vatican II, Lumen Gentium 59, à la page I-95, et qui pourrait éclairer leurs véritables intentions :

« La Vierge Immaculée, préservée intacte de toute souillure de la faute originelle, ayant achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée, avec son corps et son âme, à la gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l’univers, pour être plus pleinement conformée à son Fils. »

Marie adorée comme Reine de l’univers, ou Reine du ciel, ou encore, Reine des cieux. Voilà enfin de but des « pères » catholiques en déifiant Marie. Ce que les Traditions de l’Église catholiques se garderont bien de révéler, c’est que ces « pères » catholiques, loin d’être des chrétiens, étaient d’abord et avant tout des adorateurs de la « reine des cieux ». Ils s’acharnèrent donc à introduire leur culte au sein de l’Église catholique naissante. Marie, mère de Jésus, leur sembla le véhicule idéal. Les instigateurs de l’Église catholique étaient pour la plupart des Juifs kabbalistes s’étant infiltrés à l’intérieur de l’Église à Rome ; des crypto-Juifs, des loups ravisseurs dont l’apôtre Paul avait prédit l’émergence dans les assemblées : « Car je sais qu’après mon départ, il s’introduira parmi vous des loups ravissants, qui n’épargneront point le troupeau » (Actes 20:29).  Le Christ nous en avait avertis : « Or gardez-vous des faux Prophètes, qui viennent à vous en habit de brebis, mais qui au-dedans sont des loups ravissants. » (Matthieu 7:16). Ces faux pasteurs, déguisés en croyants, revêtaient l’apparence de la piété et empruntaient la nomenclature biblique pour introduire leurs fausses doctrines.

Ces faux pasteurs sont à l’origine des changements graduels apportés à l’enseignement du véritable Évangile de Christ et son remplacement par des concepts païens. Le culte à la « reine des cieux » en est un des principaux éléments. Les Juifs traînaient depuis des siècles ce culte à leur déesse, dont un des noms est « Shekinah ». Il existait déjà à l’époque du prophète Jérémie de l’Ancien Testament. En effet, la Bible parle de la « reine des cieux » qu’Israël et Juda adoraient dans leurs nombreuses périodes de rébellion contre l’Éternel, mais elle n’en parle pas en termes élogieux :

Jérémie 7:18

« Les fils amassent le bois, et les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte pour faire des gâteaux à la Reine des cieux ; et pour faire des aspersions aux dieux étrangers, afin de m’irriter. »

Jérémie 44:17-19, 25

« Mais nous ferons assurément tout ce qui est sorti de notre bouche en faisant des encensements à la Reine des cieux, et lui faisant des aspersions, comme nous et nos pères, nos Rois, et les principaux d’entre nous avons fait dans les villes de Juda, et dans les rues de Jérusalem, et nous avons eu alors abondamment de pain, nous avons été à notre aise, et nous n’avons point vu de mal. Mais depuis le temps que nous avons cessé de faire des encensements à la Reine des cieux, et de lui faire des aspersions, nous avons eu faute de tout, et nous avons été consumés par l’épée et par la famine. Quand nous faisions des encensements à la Reine des cieux, et quand nous lui faisions des aspersions, lui avons-nous offert à l’insu de nos maris des gâteaux sur lesquels elle était représentée, ou lui avons-nous répandu des aspersions ? … Ainsi a parlé l’Eternel des armées le Dieu d’Israël, en disant : c’est vous, et vos femmes qui ont parlé par votre bouche touchant ce que vous avez accompli de vos mains, en disant : certainement nous accomplirons nos vœux que nous avons voués, en faisant des encensements à la Reine des cieux ; et lui faisant des aspersions. Vous avez entièrement accompli vos vœux, et vous les avez effectués très exactement. »

Cette « reine des cieux » s’appelait Astarté ou Hastaroth, et portait encore bien d’autres noms dans les diverses civilisations (Isis, Diane, Aphrodite, Vénus, etc.). Croyez-vous que l’Éternel Dieu était d’accord avec le fait que les enfants de Juda rendent un culte à la « reine des cieux » ? Voyons ce qu’Il dit juste après, aux versets 26 et 27 :

« C’est pourquoi écoutez la parole de l’Eternel, vous tous ceux de Juda qui demeurez au pays d’Egypte : voici, j’ai juré par mon grand Nom, a dit l’Eternel, que mon Nom ne sera plus réclamé par la bouche d’aucun de Juda, qui dise en tout le pays d’Egypte : le Seigneur l’Eternel est vivant. Voici, je veille contre eux pour leur mal, et non pour leur bien ; et tous les hommes de Juda qui sont au pays d’Egypte seront consumés par l’épée, et par la famine, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus aucun. »

Pensez-vous que Dieu, qui ne change pas, ne soit pas irrité par les adorateurs de la « reine des cieux » d’aujourd’hui, des gens qui se disent « chrétiens » mais qui ignorent Sa Parole ? Dieu n’a jamais commandé que l’on rende culte et hommages à une quelconque déesse catholique.

Cependant, Satan, le Diable, a depuis le début tenté de détourner le culte rendu à Dieu afin de se l’accaparer. Toutes les idoles qu’il a inspirées aux hommes ne tendent qu’à un but : l’adoration des démons.

« Que dis-je donc ? que l’idole soit quelque chose ? ou que ce qui est sacrifié à l’idole, soit quelque chose ? Non. Mais je dis que les choses que les Gentils sacrifient, ils les sacrifient aux démons, et non pas à Dieu ; or je ne veux pas que vous soyez participants des démons » (1 Corinthiens 10:19-20).

« Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques-uns se révolteront de la foi, s’adonnant aux Esprits séducteurs, et aux doctrines des Démons. Enseignant des mensonges par hypocrisie, et ayant une conscience cautérisée ; défendant de se marier, commandant de s’abstenir des viandes que Dieu a créées pour les fidèles, et pour ceux qui ont connu la vérité, afin d’en user avec des actions de grâces » (1 Timothée 4:1-3).

Nous avons pu voir l’hypocrisie cachée derrière l’argumentaire des « pères » de l’Église catholique pour faire adorer leur idole par leurs ouailles. Nous voyons de plus en plus le résultat d’une doctrine démoniaque de célibat forcé pour les prêtres. Beaucoup d’entre eux deviennent homosexuels et/ou pédophiles. Ce qui nous permet de saisir pourquoi ils ont également supposé à Marie, femme mariée à Joseph, une vie d’abstinence sexuelle totale dépeint comme un trait de sainteté.

Aux temps de la fin, dont nous approchons à grands pas, ce genre d’individus poursuivra l’œuvre de leurs exécrables ancêtres idéologiques.

« Mais le reste des hommes qui ne furent point tués par ces plaies, ne se repentit pas des œuvres de leurs mains, pour ne point adorer les Démons, les idoles d’or, d’argent, de cuivre, de pierre, et de bois, [de même que de plâtre et de plastique] qui ne peuvent ni voir, ni ouïr, ni marcher » (Apocalypse 9:20).

Ne vous y trompez pas : rendre culte à la « Vierge Marie » catholique, c’est de l’idolâtrie et c’est rendre culte au Diable. Il s’agit d’une irritante abomination aux yeux de Dieu, et cette idolâtrie ne peut demeurer impunie.

Un jour, la véritable Marie, mère de Jésus, sera ressuscitée des morts avec tous les saints décédés en Christ, lors de la Première Résurrection. Elle sera sans doute fort surprise et contristée de se rendre compte de ce qu’on a fait d’elle dans le monde chrétien.

Le jour vient cependant où le Grand Dieu Tout-puissant va rétablir toute la vérité et faire s’évaporer tous les mensonges en fumée. Et Il sera le seul et unique à recevoir toute l’adoration. Nous Lui rendrons alors culte avec une joie indescriptible.




FAIT ou FICTION : Qui dit la vérité ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mars 2023

Par Jerry Barrett

La vérité est devenue aujourd’hui une espèce en voie de disparition. Pour la chercher, l’on doit passer au crible toute la rhétorique disponible et la soupeser avec le gros bon sens et le discernement. Ceux dont nous avions confiance qu’ils nous fournissaient la vérité se sont évanouis dans la nature.

Lorsque j’étais garçon, mon père accueillait chaque soir Walter Cronkite à la maison. Sa voix transmettait à tous ceux qui le regardaient l’idée qu’il était le diffuseur de nouvelles le plus fiable du pays. Son expression de signature, « That’s the way it is… » (C’est ainsi que ça s’est passé…), semblait appuyer la notion qu’il était le diseur de vérité prééminent.

Avec le développement de l’Internet, les nouvelles et les ressources encyclopédiques ne se trouvent qu’à un clic. Toutefois, c’est là l’ennui. Parmi la multitude des sources de nouvelles, lesquelles sont fiables ?

Les engins de recherche Internet

Pour ceux qui utilisent un des nombreux engins de recherche pour fouiller un sujet, les médias contrôlés seront toujours parmi les dix premiers résultats Ce but est atteint de bien des façons. D’abord et avant tout, l’algorithme qui est programmé dans l’engin de recherche leur donne la priorité (Google, Yahoo, DuckDuckGo, etc.).

Le Dictionary.com définit l’algorithme comme suit : « un processus ou série de règles à suivre comme calcul ou autre opération de résolution de problèmes, particulièrement par un ordinateur ». Quand la majorité des engins de recherche emploient des programmeurs qui ont été endoctrinés dans une manière de penser libérale, ils vont laisser leur penchant prendre les devants.

Si vous recherchez « Nouvelles du Jour », les mêmes acteurs des médias contrôlés sont au sommet de la page : NBC News, Fox News, ABC News, NPR, CNN, Associated Press, USA Today, CBS News et le Washington Post étaient les neuf premiers dans une recherche Google que j’ai menée récemment. Des recherches démontrent que beaucoup de gens arrêtent de regarder après les cinq à dix premiers résultats qui apparaissent.

Deuxièmement, les engins de recherche acceptent les paiements des compagnies pour apparaître au sommet des pages de résultats de recherche. Un grand nombre de gens vont « cliquer » le premier résultat qui apparaît sans jamais se rendre compte qu’il s’agit d’une annonce. La soi-disant source « fiable » de nouvelles a payé pour avoir ce résultat.

Il ne devrait pas y avoir de scrupule envers ces entreprises gagnant de l’argent pour continuer à opérer, ou pour ceux qui paient pour ces services. On devrait toutefois porter la responsabilité carrément sur le chercheur qui n’est pas assez diligent pour s’assurer d’avoir la vérité qu’il recherche. Pour ceux qui exercent le discernement et le gros bon sens, il y a une mine d’or d’informations très utiles disponibles aux bouts de vos doigts.

Fournisseurs de vérité ?

Nous avons tous besoin d’argent pour subsister. On ne peut réfuter ce fait. Cependant, il y a ceux qui ne font que convoiter leur propre enrichissement. L’apôtre Paul nous en a avertis dans 1 Timothée 6:9-10 : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piège, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. »

Quelques hommes nous viennent rapidement en tête quand vient le temps de considérer les personnes les plus riches du monde : Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos et Elon Musk. Ces hommes sont toujours au sommet, ou proche du sommet, dans la liste des personnes les plus riches de Forbes.

Sans ordre particulier, examinons les manigances de cette élite. Nous n’irons pas en profondeur, mais assez pour que le présent auteur espère que cela vous amène à vous poser plus de questions et faire des recherches en quête de la vérité.

Jeff Bezos, propriétaire de WaPo et Amazon

Jeff Bezos est actuellement le propriétaire du Washington Post. Qu’il contrôle les opération journalières de ce géant des nouvelles n’a pas d’importance, mais cela porte à réfléchir et à méditer. Quelle meilleure manière de contrôler la narration ? Combien d’articles accablants seront imprimées concernant les conditions de travail risquées chez Amazon ? Combien d’exposés seront rédigés à propos de la participation de Bezos au Forum Économique Mondial ? AUCUN !

L’homme derrière le rideau

Avec ses Fondations de Société Ouverte, Soros peut répandre ses « gains » au moyen de ses efforts soi-disant philanthropiques. Cela lui permet de garder les mains nettes tout en achetant de l’influence et de propager sa vision d’un gouvernement mondial unique.

Les chercheurs du Centre de Recherche des Médias (CRM) ont trouvé qu’entre 2016 et 2020, Soros a craché au moins 131 millions $ pour influencer 253 groupes médiatiques. Imaginez combien d’histoires ont été touchées par cela et combien d’autres n’ont jamais été racontées ! On ne peut nier l’endoctrinement journalier de millions de personnes par ces points de vue tordus.

Lester Holt

En suivant la piste de l’argent, le CRM révèle que des reporters, des présentateurs de nouvelles, des journalistes, des rédacteurs et des cadres attachés à ABC. CBS, NPR, Bloomberg News, Reuters et le New York Times – de même que bien d’autres exutoires – furent récompensés par les largesses de Soros. Un des très nombreux groupements de sa fondation a donné 2,7 millions $ au Comité de la Protection des Journalistes. Chez les membres de la direction, il y a Matthew Winkler, cofondateur de Bloomberg News, Christiane Amanpour de CNN et le présentateur à NBC News Lester Holt.

Qui vérifie les vérificateurs ?

Une autre source de nouvelles que le groupe Soros supporte, du moins en partie, c’est PolitiFact. Durant la présidence de Donald Trump, PolitiFact gagna en popularité chez les médias contrôlés. On publia beaucoup d’articles en donnant cette organisation comme référence comme fournisseur ultime de « faits ».

À l’insu de beaucoup de gens, le fait est que PolitiFact est un site web dirigé par un groupe de journalistes d’extrême gauche du Tampa Bay Times. La classification exacte de ce groupe devrait être « opération de propagande démocrate ».

Exemple typique : pendant la campagne de Barack Obama en 2008, PolitiFact évalua sa déclaration au sujet de l’ObamaCare disant que « si vous avez un plan santé que vous aimez, vous pouvez le conserver » comme étant VRAIE. Les experts du pays répandirent cette déclaration et cela eut évidemment un impact marqué sur le résultat de l’élection. En 2013, PolitiFact changea son évaluation sur la déclaration d’Obama et de VRAIE elle devint le « feu au pantalon », ce qui lui valu d’être « le mensonge de l’année 2013 ».

Une étude de 2013 du Centre des Affaires Médiatiques et Publiques de l’Université George Mason a découvert que PolitiFact déclare que les Républicains sont trois fois plus malhonnêtes que les Démocrates. Toute ma vie, j’ai trouvé que les politiciens en général – peu importe leur affiliation partisane – mentiront à quiconque en face d’eux pour conserver en fonction leur poste pépère. Comme je l’ai demandé bien des fois, combien de politiciens laisseriez-vous garder vos enfants ?

PolitiFact a été au centre de la plandémie. Ces vérificateurs « fiables » réfutaient ceux qui déclaraient que les « vaccins » Covid-19 ne marchaient pas. Il soutenait également comme un fait que ces « vaccins » avaient été testés proprement. Toute déclaration jetant un regard négatif sur la piqûre et ses effets était rejetée comme de la « désinformation ».

Le Babylon Bee offre une leçon de maître en satyre. Ses gros titres excentriques, ses articles et ses vidéos sont humoristiques et teintés d’un fond de vérité. Ceux qui lisent le Bee le font afin de pouvoir rire. De toute évidence, les gens de PolitiFact n’ont pas le sens de l’humour. Dans un post de 2017 sur son site web, le Babylon Bee déclara « Isis baisse les bras après l’appel passionné de Katy Perry de “Aimez, juste coexistez” ». Les gens très bien de PolitiFact y mirent l’étiquette de « feu dans le pantalon ».

Les dossiers de Twitter exposent des opérations vilaines

Lorsqu’Elon Musk a acheté le géant des médias sociaux Twitter, il fit vœu que la vérité serait à nouveau disséminée sur la plateforme. Un grand nombre de gauchistes devinrent fous furieux. Avec la sortie des Dossiers Twitter, nous savons maintenant pourquoi. Des centaines, sinon des milliers, d’individus qui avaient été bannis à vie ont reçu l’autorisation de revenir sur le forum. Si l’on exilait pas quelqu’un, on le mettait toutefois sur la liste noire et ses posts ne voyaient pas la lumière du jour.

Voici certaines des révélations alarmantes des Dossiers Twitter :

  1. L’équipe de Biden a envoyé des e-mails à Twitter demandant que l’on censure du contenu avant les élections de 2020.
  2. Twitter a banni dans l’ombre – à l’interne, on appelle cela « filtration de visibilité » – le contenu de professeurs d’université aux sentiments anti-confinement.
  3. Une fois qu’ils eurent banni le compte de Trump, les employés de Twitter devinrent ivres de pouvoir et discutèrent de ce qu’ils pourraient faire avec d’autres présidents.
  4. Des cadres de Twitter se vantèrent de leurs rencontres avec des agences fédérales.
  5. Yoël Roth (chef de l’équipe de Confiance & Sécurité de Twitter à l’époque) discuta du bannissement des « termes QAnon ».
  6. Le corps expéditionnaire du FBI centré sur les médias sociaux, nommé FTIF, créé à la veille des élections de 2016, atteint le nombre de 80 agents.
  7. Des agences comme le FBI et le DHS envoyèrent régulièrement du contenu de média social à Twitter à travers de multiples points d’entrée, pour donner l’alerte à la modération.
  8. Des agents du FBI demandèrent aux cadres de Twitter s’ils pouvaient inviter aux conférences des fonctionnaires de la CIA.
  9. D’autres compagnies de technologie, comme Facebook, Microsoft, Verizon, Reddit et même Pinterest, tinrent des rencontres régulières avec le gouvernement.
  10. Lorsque l’administration Biden entra en fonction, une de ses premières rencontres de requêtes avec des cadres de Twitter concernait le Covid. On devait se concentrer sur les « comptes des anti-vaxxeurs ».

La censure, c’est l’altération ou la suppression du droit de parole, du droit d’écrire, ou toute autre forme d’information en se basant sur l’opinion qu’un tel matériel est subversif, obscène, pornographique, politiquement inacceptable, ou nuisible d’une manière ou d’une autre envers le bien-être public. Lorsque le gouvernement fédéral usurpe l’autorité de la Constitution, il devrait y avoir de sévères conséquences pour ceux qui sont impliqués. Pourtant, les médias contrôlés ne se sont même pas préoccupé, ne serait-ce que pour la forme, de parler des Dossiers Twitter.

Facebook en collusion avec le régime Biden ?

Twitter n’a pas été la seule entreprise en collusion avec les leaders élus. L’Administration Biden se mit à contrôler Facebook et faire pression pour que l’on censure les posts reliés à la plandémie et jugés problématiques. Le Résident Biden déclara même que les plateformes de médias sociaux allaient « tuer des gens » s’ils refusaient de censurer les posts.

D’une manière qui donne froid dans le dos, un membre du Comité de Surveillance de Facebook, Helle Thorning Schmidt, déclara : « La libre expression n’est pas un droit humain absolu. » Dans l’histoire, des partisans de l’autorité restreignirent la liberté d’expression. Lénine, Staline, Castro et Mao nous viennent à l’esprit. Cette liste inclut-elle maintenant Joe Biden ?

Qui est en charge de la désinformation ?

Qui possédait l’autorité de qualifier des posts de « désinformation » ? Était-ce le CDC ? Vous rappelez-vous de son titulaire bureaucratique Rochelle Walensky ? Walensky voulait que nous fassions confiance à la science derrière les piqûres de thérapie génique, mais dit également que les hommes peuvent tomber enceints ! Était-ce Anthony F(r)audci, le « docteur de l’Amérique » ? Fauci employa de l’argent des payeurs de taxe pour financer de la recherche qui était « illégale » en Amérique à ce moment-là. Il a aussi proclamé cette affirmation célèbre : « Je représente la science ». Ou était-ce le Ministère de la Vérité créé par le Directeur de la Sécurité du Territoire de Biden, Alejandro Mayorkas ?

Après avoir amassé une grande quantité d’informations reliées à la plandémie, l’auteur-ci ne peut pas décliner clairement qui avait une telle autorité. Cependant, ce qui est douloureusement clair, c’est que rien de tout cela ne fut basé sur des faits, mais seulement sur des opinions.

Bill Gates à la rescousse

L’immunologiste et virologue notoire, mais avant tout l’homme-dieu Bill Gates – s’il vous plaît, comprenez l’ironie – semble avoir réponse à tout. Il se promène partout en jet privé pour parler de changement climatique et s’avère une publicité sur deux pattes pour le compte de l’industrie pharmaceutique depuis maintenant des années. Les talk-shows des médias contrôlés invitent cet homme pour parler de manière autoritaire sur un paquet de sujets.

En cette ère de déchaînement de « désinformation », Gates a une idée pour la combattre. Dans une entrevue avec Handelsblatt, un diffuseur médiatique allemand de nouvelles, Gates déclara que l’intelligence artificielle (IA) devrait être employée comme outil pour combattre la « désinformation digitale ».

Selon le CSU Global (particule de l’Université d’État du Colorado), « L’Intelligence Artificielle est une technologie qui permet aux machines et aux applications d’ordinateur d’imiter l’intelligence humaine, apprendre par l’expérience via le procédé itératif et l’entraînement algorithmique ». Je me questionne à savoir qui écrit les applications d’ordinateur et les algorithmes ? S’ils sont une partie intégrante de la façon de penser gauchiste, leur « code » ne pencherait-il pas vers ce spectre ?

Le contrôle de la narration

En mars de 2022, DirecTV annonça à ses abonnés que One America News (un diffuseur conservateur de nouvelles) serait enlevé de sa liste de collaborateurs. En janvier 2023, DirecTV coupa le signal de Newsmax, autre diffuseur conservateur. À ce moment-là, Newsmax s’avérait le quatrième canal de nouvelles à l’indice d’écoute le plus élevé du pays.

CNN subit aujouord’hui une baisse de cote d’écoute. Il a délesté un grand nombre de ses animateurs aux salaires les plus hauts et sa plateforme digitale, CNN+, a complètement été éliminée. Les Américains savent que ce réseau propage de la désinformation et l’évitent comme la peste. Or, DirecTV permet encore à ce réseau libéral d’en profiter tout en éliminant OAN et Newsmax.

En février 2021, la représentante Anna Eshoo (D-CA) et le représentant d’alors Jerry McNerney (D-CA) exigèrent des pourvoyeurs de câble et satellites télé d’expliquer leur rôle allégué dans « l’épandage de dangereuse désinformation » en supportant les réseaux conservateurs. Coïncidence ou pas, l’Administration Biden approuva la fusion de la division WarnerMedia d’AT&T avec Discovery peu après avoir laissé tomber OAN.

L’essence de la vérité

Les instructions de la Bible soulignent le chemin de la vérité. L’intention est de mener le peuple à Lui. Dieu désire que nous soyons un peuple de vérité. Dans Éphésiens 4:14-15, l’apôtre Paul a écrit : « Afin que nous ne soyons plus des enfants flottants, et emportés çà et là à tous vents de doctrine, par la tromperie des hommes, et par leur ruse à séduire artificieusement. Mais afin que suivant la vérité avec la charité, nous croissions en toutes choses en celui qui est le Chef, c’est-à-dire, Christ. »

Dans Philippiens 4:8 : « Au reste, mes frères, que toutes les choses qui sont véritables, toutes les choses qui sont vénérables, toutes les choses qui sont justes, toutes les choses qui sont pures, toutes les choses qui sont aimables, toutes les choses qui sont de bonne renommée, toutes celles où il y a quelque vertu et quelque louange, pensez à ces choses. »

La Parole de Dieu est vraie et nous pouvons croire à tout ce qu’Il fait. Dieu est l’essence de la vérité. Jésus nous a dit : « Je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14:6).




Le Plan de croissance intelligente de l’homme n’est pas le Plan de Dieu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

février 2023

Par Jerry Barrett

De la Tour de Babel au Développement durable

« Malheur à ceux qui joignent maison à maison, et qui approchent un champ de l’autre, jusques à ce qu’il n’y ait plus d’espace, et que vous vous rendiez seuls habitants du pays. L’Eternel des armées me fait entendre, disant : Si des maisons vastes ne sont réduites en désolation, et si les grandes et les belles maisons ne sont sans habitants ? »

Ésaïe 5:8-9

« Puis ils dirent : Or ça, bâtissons-nous une ville, et une tour de laquelle le sommet soit jusqu’aux cieux ; et acquérons-nous de la réputation, de peur que nous ne soyons dispersés sur toute la terre. Alors l’Eternel descendit pour voir la ville et la tour que les fils des hommes bâtissaient. Et l’Eternel dit : Voici, ce n’est qu’un seul et même peuple, ils ont un même langage, et ils commencent à travailler ; et maintenant rien ne les empêchera d’exécuter ce qu’ils ont projeté. Or ça, descendons, et confondons là leur langage, afin qu’ils n’entendent point le langage l’un de l’autre. Ainsi l’Eternel les dispersa de là par toute la terre, et ils cessèrent de bâtir la ville. C’est pourquoi son nom fut appelé Babel ; car l’Eternel y confondit le langage de toute la terre, et de là il les dispersa sur toute la terre. »

Genèse 11:4-9

Dans Genèse 2, nous apprenons que l’Éternel planta un jardin en Éden et y plaça l’homme. Une rivière sortait d’Éden pour arroser le jardin. Dieu commanda à Adam qu’il pouvait manger de tout arbre sauf un.

Un grand nombre de critiques de Sa Parole Sainte disent que ce n’est qu’un mythe. Ils ferment les yeux sur le fait que, dans ce simple enseignement, Dieu révélait une chose importante. Entouré d’arbres, de rivières et de créatures vivantes, il s’agissait d’un habitat parfait pour l’homme.

Des recherches ont montré que le contact avec la nature s’avère thérapeutique. On a documenté que les patients qui peuvent voir par leur fenêtre des arbres, des plans d’eau et des animaux recouvrent plus rapidement la santé que ceux qui ne peuvent voir que des murs et des bâtiments. Dans le numéro de septembre 2003 du American Journal of Public Health, des chercheurs ont observé ceci : « Un des cadres les plus efficace pour guérir de la fatigue d’attention implique l’environnement de la nature – l’exposition aux arbres, aux chutes d’eau, aux lacs, aux fleurs… »

Avant les années 1800, moins de deux pourcent de la population mondiale vivait dans les villes. Aujourd’hui, plus de quatre-vingt pourcent vivent entassés les uns sur les autres. Des experts ont prédit que cette tendance ne changera pas.

L’homme en sait plus

L’originale « croissance intelligente » de l’homme – la Tour de Babel.

Après le Déluge, l’homme commença à construire des villes. L’architecture de ces anciennes cités promouvait la vanité humaine. Si nous ne l’avons pas oublié, l’homme décida de construire une énorme structure pour atteindre les cieux.

Un grand mur entourait un grand nombre de ces cités. Ces fortifications avaient pour but d’interdire l’accès aux animaux sauvages, de même qu’aux bandes de malfaiteurs qui maraudaient. Mais ils créèrent aussi des problèmes imprévus. La surpopulation, le bruit et l’hygiène publique en faisaient partie.

Au début des années 1990, le terme de « Croissance intelligente » fit partie du jargon des politiciens et des planificateurs de villes. La théorie était de créer un centre compact où l’on pouvait marcher et rouler à bicyclette pour éviter l’étalement urbain. Il y aurait des écoles de voisinage, un grand étalage d’options d’habitations et des centres d’achats commodes. On avait pour but de créer un sentiment de communauté.

Malheureusement, ces intellectuels ne pensaient pas aux conséquences qu’il y a à entasser un grand nombre de gens dans des buildings et dans des chaussées routières. Le nombre encombrant de véhicules menant à des bouchons de trafic, des trottoirs bourrés de piétons marchant épaules à épaules, des distractions telles que les panneaux d’affichage et autres signalisations conduisent à la fatigue mentale qui se traduit souvent en violence.

Combien de fois l’homme, dans sa vaine tentative d’atteindre le statut divin, n’a-t-il pas pris en considération les réactions négatives à ses idées ? Si ces planificateurs avaient suivi les principes bibliques, ils auraient reconnu le besoin d’avoir des espaces libres adéquats.

Quand la ville devint surpeuplée, les développeurs arrivèrent avec un autre plan brillant… les banlieues ! En créant des communautés dans des cadres ruraux – mais pas trop loin des villes – ils purent apaiser certains problèmes irritants tout en faisant fortune.

Malheureusement, ceux qui ne pouvaient se permettre de déménager dans les banlieues furent laissés derrière. Eventuellement, le déclin s’infiltra alors que les entreprises suivirent les masses ayant de l’argent à dépenser.

« Pas dans ma cour » – actions et réactions

Avec la dégradation régnant dans les régions urbaines, il y a des opportunistes cherchant à ramener les jours glorieux. Toutefois, ces idées brillantes ne sont pas toujours pour le meilleur intérêt de ceux qui sont laissés derrière par les masses en exode.

Il y a toujours des projets qui ne sont pas populaires auprès des citoyens, mais qui sont nécessaires au bien-être des gens. Que ce soit les installations d’eaux usées, les terrains d’enfouissement, les foyers pour les sans-abri, les éoliennes, etc., on doit bien les mettre quelque part.

Les rencontres de conseils municipaux où l’on discute de ces projets peuvent parfois devenir controversées et litigieuses. En fin de compte, comme nous le savons tous, ces projets ne sont jamais

L’ONU traça un programme idyllique en 2015 et qu’elle entend nous imposer pour 2030 – l’Agenda 2030. Ça a tellement l’air magnifique. Pourquoi l’élite ne donne-t-elle pas l’exemple au lieu de voyager en jet et en bateau vers leurs enclaves autour du monde ?

installés dans le voisinage des riches. Les foules fortunées crieraient assurément : « Pas dans ma cour ! » D’où leur appellation de PDMC.

Ces gens-là croient que tout projet modifiant les peuples locaux devrait clairement leur bénéficier. Les PDMC travaillent à être propriétaires et on les a souvent décrit comme cherchant à garder leurs maisons à un prix élevé. Des recherches montrent que les conservateurs et les libéraux sont également susceptibles de s’opposer aux nouveaux développements mobiliers dans leurs localités.

L’Agenda 2030

Dix-sept buts ont été adoptés par toutes les nations membres de l’ONU en 2015. Cela faisait partie de l’Agenda 2030 en vue d’un Développement durable. Selon l’ONU, ces buts sont un appel à agir afin de mettre fin à la pauvreté, à protéger la planète et à améliorer la vie de chacun.

Pour accomplir ce programme, l’ONU a ciblé l’action locale qui va enchâsser les transitions requises dans ses politiques, son budget, ses institutions et les structures réglementaires de gouvernements, de villes et d’autorités locales.

De même, le monde universitaire a aidé et soutenu un programme pour concrétiser l’Agenda 2030. Par la propagande dirigée vers notre jeunesse, les médias contrôlés, les unions, le monde universitaire et bien d’autres, l’ONU cherche à générer un mouvement irrépressible faisant pression pour obtenir les transformations requises.

Essentiellement, les planificateurs de l’Agenda 2030 de l’ONU souhaitent créer une migration massive retournant dans les centres urbains. Ils envisagent des habitations empilées les unes sur les autres et cherchant à atteindre les cieux. Cela permettra à la « Mère Terre » de réclamer la majorité des terres et d’éviter ainsi le changement climatique.

Le Développement durable vs la Vérité biblique

À cause des crimes non réprimés et de la pollution – bruit, lumière et smog – cette option insalubre commencera à tomber dans l’oreille de sourds. Ces personnes éconduites ne connaissent pas les enseignements bibliques de Dieu. Ils sont consumés par le désir malsain de contrôler les masses.

Comme nous l’a enseigné Jésus :

« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance » (Jean 10:7-10).

En tant que chrétiens, non seulement avons-nous la commande de répandre l’Évangile de Jésus-Christ, mais aussi de « préparer au Seigneur un peuple bien disposé » (Luc 1:17). Nous devons tout faire en notre pouvoir pour dénoncer cet agenda maléfique et réveiller ceux qui sommeillent.

 


Par Sandra Myers

Bénédictions, malédictions et Alliance éternelle

 

Il y a encore des gens qui continuent à nous dire qu’ils ne sont pas d’accord avec la position de Texe au sujet des Juifs. Texe, nous et tous les autres qui dénonçons les mauvaises actions des Juifs, nous serons maudits, nous dit-on. Ce doit bien être vrai, n’est-ce pas ? Regardez le sort de Jean-Baptiste et de mon Sauveur Jésus-Christ – décapité et crucifié pour avoir appelé les Pharisiens, les scribes et les autres anciens une génération de vipères (Jean-Baptiste : Luc et Matthieu 4:17 ; et Jésus : Matthieu 12:34 et 23:33).

Les deux petits versets suivants dans la Genèse ont été réquisitionnés par ceux qui se nomment eux-mêmes Juifs et qui ont pris l’habitude de propager et de programmer un modèle de pensée chez les chrétiens et le monde pour démontrer leur supériorité. Et personne n’ose remettre en question leur narration afin de ne pas être qualifié « d’antisémite », être vilipendé et esquivé.

Autre examen de Genèse 12:2-3

« Et je te ferai devenir une grande nation, et te bénirai, et je rendrai ton nom grand, et tu seras béni. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12:2-3).

Je ne vois pas ici Dieu tendant le monde à Abram (pas encore Abraham) sur un plateau d’argent (le contrôle mondial et les biens). Il ne s’agit pas d’un discours d’encouragement de la part de Dieu pour relever l’estime de soi d’Abram. Il s’agit plutôt de démontrer jusqu’à quel point le nom d’Abraham en tant que patriarche d’un peuple/nation imprégné d’un commandement serait reconnu pour avoir été un témoin de Dieu. C’est un appel à l’action et au devoir ! Une responsabilité.

« Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12:3).

Encore ici, la plupart des gens appliquent des standards humains à ce verset. Je le comprends au niveau spirituel : que cela signifie que, si vous croyez et répandez le message de Dieu et Son témoignage (tel que livré à cette époque et maintenant dans la Nouvelle Alliance), vous êtes béni de Dieu, spirituellement parlant. Si vous entravez ou érigez des barrages devant l’œuvre que Dieu nous a appelés à faire, nous et Abraham – être un témoignage qui atteigne toutes les familles de la terre – vous serez maudit. La bénédiction, c’est la vie éternelle, et la malédiction, c’est la condamnation.

Une Alliance éternelle

« J’établirai donc mon alliance entre moi et toi, et entre ta postérité après toi en leurs âges, pour être une alliance perpétuelle ; afin que je te sois Dieu, et à ta postérité après toi. Et je te donnerai, et à ta postérité après toi, le pays où tu demeures comme étranger, savoir tout le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je leur serai Dieu. Dieu dit encore à Abraham : Tu garderas donc mon alliance, toi et ta postérité après toi en leurs âges. Et c’est ici mon alliance entre moi et vous, et entre ta postérité après toi, laquelle vous garderez, savoir que tout mâle d’entre vous sera circoncis. Et vous circoncirez la chair de votre prépuce; et cela sera pour signe de l’alliance entre moi et vous. Tout enfant mâle de huit jours sera circoncis parmi vous en vos générations, tant celui qui est né dans la maison, que l’esclave acheté par argent de tout étranger qui n’est point de ta race. On ne manquera donc point de circoncire celui qui est né dans ta maison, et celui qui est acheté de ton argent, et mon alliance sera en votre chair, pour être une alliance perpétuelle. Et le mâle incirconcis, la chair du prépuce duquel n’aura point été circoncise, sera retranché du milieu de ses peuples, parce qu’il aura violé mon alliance » (Genèse 17:7-14).

« Et toutes les nations de la terre seront bénies en ta semence, parce que tu as obéi à ma voix » (Genèse 22:18).

La Terre sainte

Est-il vraiment question de la terre poussiéreuse du Proche-Orient ? L’on nous a aussi programmés à croire ça. Pourquoi Dieu a-t-Il donné à Abraham et à sa descendance ce lotissement de terre – même, en possession éternelle ? (Joint à cette phrase de manière sacrée : « et je serai leur Dieu »). Je crois que c’était pour leur donner une place pour demeurer et se nourrir aussi bien que de leur garder Dieu à l’esprit et aider à mettre la population en garde contre l’influence des païens. Je crois que c’est la raison pour laquelle Dieu ordonnait parfois la destruction complète de tous les êtres vivants lorsqu’ils prenaient possession d’une région – afin de ne pas amener la corruption parmi Son peuple. Si la localisation géographique est si importante, est-ce que les Juifs habitant Israël aujourd’hui sont plus saints que ceux de la diaspora ? Pourquoi les Juifs ne se rendent-ils pas tous en Israël ? Questions idiotes parce que tout cela n’a toujours été qu’une affaire de cœur.

La Circoncision

La circoncision est un signe de l’alliance. La vraie circoncision est du cœur – pour ceux à qui Il sera leur Dieu.

Dieu a dit à Abraham de circoncire, non seulement ceux de sa propre famille, mais la chair de tout mâle qui vivait en sa maison : né dans sa demeure ou non, étranger ou ami : libre ou esclave ; de ne faire acception de personne. Voilà le témoignage de Dieu envers tous, sans égard à leur race. C’est Abraham partageant le témoignage de Dieu.

Jean-Baptiste rejette la race

« Faites des fruits convenables à la repentance, et ne vous mettez point à dire en vous-mêmes : nous avons Abraham pour père ; car je vous dis, que Dieu peut faire naître, même de ces pierres, des enfants à Abraham » (Luc 3:8).

Jean rejeta simplement la valeur de la lignée sanguine, disant que Dieu pouvait en faire naître des pierres ? Des pierres, des roches ! Jean réduisit à rien leurs lignées sanguines et dit que les pierres pouvaient naître en tant qu’enfants d’Abraham. Comment Jean pouvait-il oser réduire leur lignée sanguine à une moindre valeur que les pierres ! Mais Jean savait à qui il faisait face – les scribes, les Pharisiens et ceux qui enseignaient les traditions des hommes (le Talmud) plutôt que le conseil de Dieu (la Torah/Bible).

Jean héla d’abord les Juifs parce que Dieu avait mis sur leurs épaules la responsabilité de montrer le chemin vers le Salut. Mais Jean inclut toutes les personnes autour de lui, illustrant par là qu’en croyant, leur témoignage de vie serait aussi un témoignage de leur cœur (Luc 3:10-14).

Jean poursuivit en disant que la cognée était déjà mise à la racine des faux adorateurs – cette génération de vipères – les scribes et les Pharisiens qui veulent avoir pour eux des bénédictions physiques et un salut facile, mais dont le manque de fruit spirituel rendait témoignage de leur dérogation à la bénédiction d’Abraham. Ces grands prêtres ne sont pas des témoins de Dieu et ont donc amenés la malédiction sur eux, et même sur ceux qui les suivent.

Conversation entre Jésus et les Pharisiens et les scribes

« Il dit aussi cette parabole à quelques-uns qui se confiaient en eux-mêmes d’être justes, et qui tenaient les autres pour rien » (Luc 18:9).

« Sur cela les Pharisiens et les Scribes l’interrogèrent, en disant : pourquoi tes Disciples ne se conduisent-ils pas selon la tradition des Anciens, mais prennent leur repas sans se laver les mains ? Et il leur répondit, et leur dit : certainement Esaïe a bien prophétisé de vous, hypocrites, comme il est écrit : ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est bien éloigné de moi. Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes. Car en laissant le commandement de Dieu, vous retenez la tradition des hommes, savoir de laver les pots et les coupes, et vous faites beaucoup d’autres choses semblables. Il leur dit aussi : vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition » (Marc 7:5-9).

Jésus et Jean-Baptiste connaissaient tous deux le cœur des leaders religieux de l’époque – que les scribes et les Pharisiens avaient cessé depuis longtemps de suivre Dieu. Ceux-ci avaient le sentiment qu’on menaçait leur pouvoir. « Que se passera-t-il si le peuple retourne réellement vers Dieu et croit en Son Messie plutôt qu’aux doctrines et aux traditions des hommes ? »

Dans l’Évangile de Jean, au chapitre 7, Jésus « demeurait en Galilée, car il ne voulait point demeurer en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir … Le monde ne peut pas vous avoir en haine, mais il me hait : parce que je rends témoignage contre lui que ses œuvres sont mauvaises » (vs 1 et 7). Jésus savait que les Pharisiens Le haïssaient parce qu’Il prêchait le message de Son Père, ce qui exposait le leadership juif pour ce qu’il était – impie, égoïste et mauvais.

Alors comme aujourd’hui, la pression du pouvoir et du leadership juifs se faisait lourde, car « personne ne parlait franchement de Lui, à cause de la crainte qu’on avait des Juifs » (Jean 7:13).

Jean-Baptiste et Jésus furent-ils maudits selon Genèse 12:2-3 ? Le monde dirait que oui. Mais en tant que chrétienne qui croit en la Bible, je sais que tout le monde a besoin de Jésus – tout genou fléchira et tout le monde confessera que Jésus est le Seigneur. Ne devrions-nous pas tenter d’atteindre aussi les Juifs sans leur détourner les yeux ? J’ai choisi d’être messagère et témoin de Dieu et de mon Sauveur Jésus-Christ.

Enfin, si vous êtes encore un apologiste de ceux qui se disent Juifs, qu’en est-il d’Apocalypse 2:9 et 3:9 – ceux qui se disent Juifs mais n’en sont pas et qui mentent, et qui sont plutôt la Synagogue de Satan ? Leurs fruits témoignent-ils de notre Père, ou sont-ils des hypocrites, un peuple qui cache de la méchanceté sous un masque de vertue (nous avons Abraham pour père – leur sépulcre blanchi [Matthieu 23:27]) ?

« Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse » (Galates 3:29).




D.576 – La gouverne de l’homme

Par Roch Richer

Lors de la création de l’homme, il y a quelques six mille ans, Dieu lui donna le libre arbitre, c’est-à-dire, la liberté de choisir Sa voie, Sa conduite, Ses conseils. Pour ce faire, l’Éternel a accordé à Sa créature un esprit afin qu’elle possède la faculté de penser, de réfléchir, de raisonner. Mais cet esprit était limité et le domaine spirituel lui échappait. Or, telle était l’intention de Dieu, car Il voulait par la suite ajouter de Son propre Esprit à l’esprit humain pour que l’homme puisse avoir accès à la véritable connaissance.

« Mais ainsi qu’il est écrit [dans Ésaïe 64:4] : ce sont des choses que l’œil n’a point vues ; que l’oreille n’a point ouïes, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme [incapable de les saisir par son esprit charnel], lesquelles Dieu a préparées à ceux qui l’aiment. Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit. Car l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu. Car qui est-ce des hommes qui sache les choses de l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui ? De même aussi nul n’a connu les choses de Dieu, sinon l’Esprit de Dieu. Or nous avons reçu non point l’esprit de ce monde, mais l’Esprit qui est de Dieu ; afin que nous connaissions les choses qui nous ont été données de Dieu ; lesquelles aussi nous proposons, non point avec les paroles que la sagesse humaine enseigne [par le seul moyen de son esprit charnel limité], mais avec celles qu’enseigne le Saint-Esprit, appropriant les choses spirituelles à ceux qui sont spirituels [c’est-à-dire, nous qui avons le Saint-Esprit pouvons nous approprier la connaissance des choses spirituelles qui nous étaient auparavant inaccessibles]. Or l’homme animal [uniquement guidé par son esprit charnel] ne comprend point les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont une folie [l’homme n’admet pas ne pas les comprendre ; dans sa vanité, il les qualifie simplement de folie, d’idiotie, d’ignorance, et il méprise ceux qui ont l’Esprit pour comprendre et les traite d’insensés, de fous] ; et il ne peut même les entendre [dans le sens de comprendre, de saisir], parce qu’elles se discernent spirituellement. Mais l’homme spirituel [possédant en lui l’Esprit de Dieu] discerne toutes choses, et il n’est jugé de personne. Car qui a connu la pensée du Seigneur pour le pouvoir instruire ? mais nous, nous avons l’intention de Christ » (1 Corinthiens 2:9-16).

Ceux qui se proclament « sages » en ce monde croient que l’Évangile est une folie, tout simplement parce qu’ils ne le comprennent pas. Ils qualifient les croyants de rétrogrades parce que la vérité qui est révélée à ceux-ci se trouve au-dessus de la capacité d’entendement des dits sages.

« Où est le sage ? où est le Scribe ? où est le Disputeur de ce Siècle ? Dieu n’a-t-il pas manifesté la folie de la sagesse de ce monde ? Car puisqu’en la sapience de Dieu, le monde n’a point connu Dieu par la sagesse, le bon plaisir de Dieu a été de sauver les croyants par la folie de la prédication » (1 Corinthiens 1:20-21).

« Que personne ne s’abuse lui-même ; si quelqu’un d’entre vous croit être sage en ce monde, qu’il se rende fou [selon le monde], afin de devenir sage [selon Dieu]. Parce que la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu; car il est écrit [dans Job 5:13] : il surprend les sages en leur ruse. Et encore [dans Psaume 94:11] : le Seigneur connaît que les discours des sages sont vains » (1 Corinthiens 3:18-20).

Malgré tous ses efforts, l’homme est incapable par lui-même de connaître les vérités divines. Il a beau avoir recours à toute son intelligence pour philosopher sur les questions existentielles, il ne sait toujours pas quelle est son origine et quelle sera sa fin. Cependant, au fil du temps, depuis Adam et Ève, il lui a fallu se débrouiller pour vivre en société, qu’il organise la vie en commun. Heureusement, dès le départ, Dieu lui a donné des directives. Mais comme nous venons de le voir, l’homme se croit plus sage que Dieu et Ses directives lui semblent une folie.

De plus, Satan, le Diable, a toujours été dans les parages pour encourager sa rébellion et ses réticences face aux Paroles de Dieu. Le Démon a donc suggéré à l’homme toutes sortes de systèmes pour se gouverner. Mais au bout d’un certain temps, les choses se sont mises à aller si mal, et l’homme était devenu si corrompu, que Dieu déclencha Son Déluge pour mettre un terme à cette véritable folie.

Mais ne vous leurrez point : ce n’était nullement un échec de la part de Dieu. Cela faisait partie de Son Plan. Toutes les générations subséquentes, jusqu’à aujourd’hui, ont pu profiter de cet événement pour en tirer quelque leçon. Mais le cœur de l’homme étant ce qu’il est, nous en sommes rendus aujourd’hui au même point qu’à l’époque de Noé, car la fin est proche :

« Mais comme il en était aux jours de Noé, il en sera de même de l’avènement du Fils de l’homme » (Matthieu 24:37).

Au cours des derniers siècles, les hommes ont tenté de faire l’essai de toutes sortes de systèmes de gouvernement. Ils ont cependant toujours regardé derrière, les yeux fixés sur le système qu’avait voulu mettre en place Nemrod, fondateur de Babylone : une dictature sous un Ordre Mondial. Tous les hommes rassemblés sous un seul gouvernement totalitaire reniant la souveraineté de Dieu.

Après l’ascension du Christ et l’émergence de Son Église, il s’est installé une certaine stabilité grâce aux Écritures de Dieu qui se répandaient un peu partout. Les pays se sont formés, tant bien que mal, tiraillés par des conflits au sujet de conquêtes de territoires ou à cause de différends théologiques. Des royautés se sont élevées, des empires se sont succédés, des ententes furent établies.

De tous les systèmes imaginés par les hommes, la démocratie a semblé le moins déficient, offrant un certain degré de liberté au peuple. Mais à partir de l’an 1917, les choses se sont sérieusement détériorées. Des idées démoniaques ont surgi pour amener l’humanité vers un déclin graduel. Des hommes mal intentionnés sapent les fondements chrétiens de la société depuis des centaines d’années et la ruine va en s’accélérant.

Dans notre monde moderne, la démocratie est morte. Elle ne fait pas le jeu de l’élite mondiale au pouvoir parce que celle-ci n’en veut tout simplement pas. Elle s’apprête à installer un communisme à l’échelle mondiale. Alors, quand les politiciens modernes parlent de démocratie, ils en donnent une définition contrefaite afin que le peuple ne puisse se rendre compte du piège et qu’on le dirige, en vérité, vers un régime communiste totalitaire et dictatorial que ce peuple rejetterait s’il lui était proposé franchement.

Comprenons que dans la société actuelle, les gens honnêtes sont écartés de tout pouvoir, bien qu’il puisse survenir occasionnellement des accidents de parcours, comme l’émergence d’un Poutine ou d’un Trump. Mais alors, l’État profond a recours à toute sa malhonnêteté et tire toutes les ficelles pour truquer les élections ou fomenter de fausses guerres artificielles, à la face de la population aveugle, comme on en a été témoins lors des dernières élections américaines, canadiennes et françaises, et comme on le voit par le conflit en Ukraine.

Par ailleurs, Dieu n’élèvera pas « un homme de Dieu » à la tête d’aucun pays, car cela n’entre pas dans Son plan de salut. En ce moment, l’Éternel veut que l’homme au cou roide prouve une fois pour toutes qu’il est incapable de se gérer tout seul. Il permet donc, avec sans doute un brin d’humour, que Satan place ses propres hommes dans les postes gouvernementaux, des imbéciles qui ne savent pas distinguer entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux. Devant ce genre d’hommes et de femmes, le chrétien doit se montrer circonspect et prudent. Dans les églises pseudo-chrétiennes, les faux pasteurs sont bien prompts à sortir Romains 13 pour que les membres obéissent aveuglément aux autorités. Mais ces pasteurs, dirait-on, ne savent pas lire la Bible. Que dit le passage ?

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes » (vs 1-2).

La plupart du temps, les pasteurs s’arrêtent là et disent de manière péremptoire à leurs ouailles qu’elles doivent obéir à tous les décrets (souvent extraordinairement stupides) et les mandats obligatoires que régurgitent leurs gouvernements. Mais ne devraient-ils pas lire la suite où l’apôtre Paul élabore sur les conditions ?

« Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange » (v. 3).

Déjà, ici, nous avons un problème avec l’interprétation des pasteurs, car les autorités – les Puissances – se permettent de plus en plus de punir les gens qui veulent bien faire, c’est-à-dire, suivre les instructions divines. Les restrictions sont de plus en plus sévères contre ceux qui dénoncent l’homosexualité, le transgenrisme, l’avortement, la pédophilie, etc. Et l’on veut faire avaler aux gens des mensonges aussi grossiers que le « changement climatique », la pénurie d’énergie et autres bêtises. Récemment, l’on a adopté une loi américaine qui interdit de remettre en question la légitimité des élections, alors que les preuves de fraudes s’accumulent et deviennent criantes.

Depuis deux ans, les autorités poussent les gens à se faire injecter un produit si nocif qu’un nombre effarant de gens en meurent et encore plus subissent des séquelles irréparables ; et les médecins qui osent mettre leurs patients en garde risquent de perdre leur licence de pratique. Donc, aujourd’hui on doit craindre les « princes » pour de bonnes actions. Lisons la suite du passage.

« Car le Prince est le serviteur de Dieu pour ton bien… » (v. 4).

Voilà qui devrait éclairer les gens. Les chefs d’états que nous avons en ce moment partout dans le monde ne sont tout simplement pas des serviteurs de Dieu, quoique qu’il y en ait peut-être un ou deux qui croient en un Dieu. Pour la plupart, ce sont des psychopathes.

« …mais si tu fais le mal, crains… » (v. 4) Aux États-Unis, les juges démocrates financés par George Soros ne condamnent pas les malfaiteurs et ne les mettent pas en prison. Le mal demeure donc impuni et les récidivistes se multiplient. En plus, on définance la police.

« …parce qu’il ne porte point vainement l’épée, car il est le serviteur de Dieu, ordonné pour faire justice en punissant celui qui fait le mal » (v. 4).

De nos jours, c’est exactement le contraire qui se passe. Le système politique et judiciaire est tellement corrompu que les pires bandits de la société se trouvent au sommet de la hiérarchie du pouvoir. Les sorciers dominent. Ils détestent Dieu et les pasteurs voudraient qu’on leur obéisse sans questionner ? N’est-ce pas renier la faculté de penser que Dieu nous a accordée ? Voyons plutôt un autre passage écrit par l’apôtre Paul :

« Soyez revêtus de toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister aux embûches du Démon. Car nous n’avons point à combattre contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les Seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes » (Éphésiens 6:11-12).

Est-ce une contradiction de la part de Paul ? Bien sûr que non. Dans Romains 13, il parle de chefs d’état qui sont des serviteurs de Dieu, Ici, il parle de chefs d’états qui sont des serviteurs de Satan. Il nous faut savoir faire la différence afin de résister aux mauvais gouverneurs. Un grand nombre des chefs d’état d’aujourd’hui font partie de sociétés occultes où l’on adore Satan. Beaucoup sont des êtres pervers et dépravés qui pratiquent la sorcellerie, la pédophilie, le vol et le meurtre à grande échelle. Nous ne pouvons pas suivre ce genre d’hommes aveuglément.

Cette élite mondialiste, qui cherche à imposer un Nouvel Ordre, se doit d’être fort bien organisée afin d’œuvrer, premièrement dans la clandestinité et jusqu’au jour où il sera impossible au reste du monde de refuser de s’y conformer ; et alors, l’élite, dirigée par l’homme du péché, l’antichrist des temps de la fin, se montrera au grand jour et infligera sa dictature sans que le peuple puisse rien y faire. C’est inévitable, car prédit par les Écritures.

Pour y arriver, l’élite sataniste a recours à de nombreux organismes qu’elle a créés au fil des siècles – mais surtout au 20e siècle – afin d’assurer son pouvoir et répandre sa propagande dans toutes les sphères de la société. Parmi ces organisations, il y a les sociétés secrètes et il y a les puissantes agences de renseignement, ou services secrets. Certaines sont très importantes et exercent leur influence partout dans le monde : le Mossad israélien, les MI5 et MI6 britanniques, le FBI, la NSA et la CIA américains, etc. Entre autres tâches, ces agences ont la mission de mettre en place un peu partout dans le monde des gouvernements qui agissent en accord avec le programme mondialiste des dirigeants occultes non élus. Si les chefs d’état n’obéissent pas à l’agenda global, l’État profond occulte mobilise une agence de renseignement (souvent la CIA) qui va se rendre dans le pays pour déstabiliser le régime politique récalcitrant, provoquer de nouvelles élections (qu’elle s’arrange pour truquer) ou assassiner le chef d’état rebelle, puis elle installe au pouvoir un homme de paille de l’élite, préalablement endoctriné par des organismes comme le Forum Économique Mondial de Klaus Schwab, le Groupe de Bilderberg, le Club de Rome, le Council of Foreign Relations, les Skull & Bones, ou toute autre société plus ou moins secrète.

L’outil principal et primordial de tout ce système, c’est… le mensonge !

Le mensonge érigé en système existe depuis la nuit des temps. Déjà le prophète Jérémie en était découragé, car il ne cessait d’en être témoin au sein de son peuple :

« Plût à Dieu que j’eusse au désert une cabane de voyageurs, j’abandonnerais mon peuple, et me retirerais d’avec eux ; car ils sont tous des adultères, et une troupe de perfides. Ils ont tendu leur langue, qui leur a été comme leur arc pour décocher le mensonge, et ils se sont renforcés dans la terre contre la fidélité, parce qu’ils sont allés de malice en malice, et ne m’ont point reconnu, dit l’Eternel. Gardez-vous chacun de son intime ami, et ne vous fiez à aucun frère ; car tout frère fait métier de supplanter, et tout intime ami va médisant. Et chacun se moque de son intime ami, et on ne parle point en vérité ; ils ont instruit leur langue à dire le mensonge, ils se tourmentent extrêmement pour mal faire. Ta demeure est au milieu de la tromperie ; ils refusent à cause de la tromperie de me reconnaître, dit l’Eternel … Leur langue est un trait décoché, elle profère des fraudes ; chacun a la paix dans sa bouche avec son intime ami, mais dans son intérieur il lui dresse des embûches » (Jérémie 9:2-6, 8).

Construites sur le mensonge, les agences de renseignement en ont fait leur outil de prédilection. De par leur nature, elles ne peuvent travailler ouvertement. Ce sont des espions, des agents secrets, habitués à leurrer, à tromper. Elles disent agir ainsi pour le bien commun, et elles présentent même le mensonge comme une nécessité, sous le faux prétexte de la sécurité nationale, ou pour épargner les sensibilités du peuple qui ne pourrait comprendre. Car, selon eux, tout le monde ne mérite pas d’avoir la vérité, car la vaste majorité serait, toujours selon eux, incapable de la supporter. Mais la réalité est tout autre. Ces agences, parrainées et financées par les oligarques mondialistes, poursuivent des agendas cachés et inavouables.

Nous devons vraiment reconnaître que nous vivons dans un monde de censure de la vérité. Car, avance-t-on, « toute vérité n’est pas bonne à dire ». On assume que la population générale est trop bête pour la saisir, l’analyser, la comprendre. Mais le but véritable est de cacher les actions mauvaises et perverses dont l’élite se rend coupable tous les jours.

Dans le monde actuel, si quelqu’un veut s’élever au-dessus de la masse et atteindre les hautes sphères de la société, il se sent poussé à recourir au mensonge et à toutes sortes de roublardises malfaisantes. Il doit obéir aux dictateurs de la Synagogue de Satan, sinon, il sera irrémédiablement écrasé. Les maîtres du pouvoir sont des adeptes inconditionnels des philosophies de Satan. À cet effet, ils sont devenus des menteurs compulsifs et pathologiques. Ils ne savent apparemment plus différencier le bien du mal, le vrai du faux. Beaucoup d’entre eux s’en fichent, d’ailleurs, car la vérité, au mieux, n’a pas d’importance à leurs yeux et, au pire, s’avère une menace qu’il faut combattre. Parce que, lorsque l’on œuvre dans les ténèbres afin de dissimuler les choses mauvaises que l’on fait, la lumière de la vérité fait mal aux yeux et dévoile les œuvres infructueuses.

Pendant ce temps, le peuple se laisse endormir par tous ces mensonges et se forge un idée complètement déformée du monde et de l’humanité, ne comprenant pas la tournure réelle des événements. L’humanité n’en sortira pas avant que Dieu ne vienne Lui-même la libérer. Alors seulement, l’homme verra ce qu’est la vraie puissance.

Pouvez-vous imaginer ce que serait le monde si, du jour au lendemain, le mensonge disparaissait ? si tous les gens ne disaient que la vérité à leur prochain ? La face de la terre en serait radicalement changée, les guerres n’auraient plus lieu, la confiance régnerait entre les pays, entre les citoyens, entre les membres d’un même foyer…

Or, le Plan de Dieu prévoit un pareil monde pour sa conclusion. Et ce n’est pas seulement le mensonge qui disparaîtra, mais également tous les travers humains. Ce monde-là est inaccessible à l’homme par sa propre force et par sa propre intelligence, mais il sera accessible par la grâce et la miséricorde de Dieu. Il l’est d’hors et déjà à tous ceux qui acceptent Son appel et font Sa volonté. Et alors que le joug de l’homme est pesant, celui de Dieu est léger.

Que le Seigneur vous garde.




Vous lèverez-vous ou Le renierez-vous trois fois ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2023

Par Jerry Barrett

En perdant de la crédibilité à chaque jour

« Bienheureux sont ceux qui sont persécutés pour la justice ; car le Royaume des cieux est à eux. Vous serez bienheureux quand on vous aura injuriés et persécutés, et quand, à cause de moi, on aura dit faussement contre vous toute sorte de mal. »

Matthieu 5:10-11

« Et elle exerçait toute la puissance de la première bête, en sa présence, et faisait que la terre et ses habitants adorassent la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie. Et elle faisait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre devant les hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre, à cause des prodiges qu’il lui était donné de faire devant la bête, commandant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait reçu le coup mortel de l’épée, et qui néanmoins était vivante. »

Apocalypse 13:12-14

Texe Marrs, notre bien-aimé Pasteur Émérite, avait le bonheur d’avoir le don du discernement. Grâce à sa vive perspicacité, il était toujours de dix à vingt ans en avant du peloton. Son habileté à percevoir les problèmes avant qu’ils n’apparaissent faisait de lui la cible des dénigreurs.

Exemple : Dans un article écrit en 1997 et intitulé Bientôt : un Bureau Fédéral de persécution religieuse, Texe releva cette réalité manifeste :

« Ceux qui contrôlent notre gouvernement ont déjà donné un nom à cette nouvelle agence. On doit l’appeler officiellement Le Bureau de la Surveillance de la Persécution Religieuse (ORPM) … Il est clair qu’une fois que cette agence maléfique aura été établie et commencera à exercer ses pouvoirs redoutables, on réinventera la spiritualité du monde entier. Toutes les religions et toutes les églises feront partie d’un système contrôlé par l’élite, tolérant, détestant la Bible, privilégiant l’unité dans la diversité. Quel étonnant accomplissement de la prophétie biblique ! Se pourrait-il que le directeur de cette nouvelle agence policière devienne le « Faux Prophète » annoncé dans Apocalypse 13 ? »

Y a-t-il de la persécution religieuse en Amérique ?

Lifeway Research a sondé 1 005 Américains et cinquante-quatre pourcent croient que la liberté de religion est en train de s’éroder. Quand on leur demande ce qu’il en est du traitement des chrétiens et de leurs croyances, la majorité des Américains (59 %) disent maintenant que la tolérance envers les chrétiens décline aussi aux États-Unis.

Cette information est un choc en considérant le fait que l’on nous a enseigné que l’Amérique a été fondée en tant que nation chrétienne. Cela ne veut pas dire que l’Amérique a été fondée sur les bases d’une théocratie, comme Israël où aucune autre religion n’est tolérée. Les principes bibliques ont été insérés dans la Constitution et ses lois subséquentes.

Nombreux sont ceux qui vont déclarer que les chrétiens ne sont pas persécutés en Amérique en soulignant le nombre de chrétiens ciblés et assassinés dans d’autres pays. L’Afghanistan, la Corée du Nord, la Somalie, la Lybie et le Yémen affichent les plus hauts taux de persécution, globalement. Open Doors dit qu’au moins 360 millions de chrétiens dans le monde vivent de « hauts niveaux de persécution et de discrimination ». Le groupe estime aussi que le nombre de chrétiens tués à cause de leur foi a grimpé à 5 898 en 2022, par rapport aux 4 761 de 2021.

Ces chrétiens aimant Christ et lavés pas Son sang choisirent leur foi plutôt que leur corps terrestre. Ils ne suivirent pas l’exemple de Pierre :

« Le Seigneur dit aussi : Simon, Simon, voici, Satan a demandé instamment à vous cribler comme le blé ; mais j’ai prié pour toi que ta foi ne défaille point ; toi donc, quand tu seras un jour converti, fortifie tes frères. Et Pierre lui dit : Seigneur, je suis tout prêt d’aller avec toi, soit en prison soit à la mort. Mais Jésus lui dit : Pierre, je te dis que le coq ne chantera point aujourd’hui, que premièrement tu ne renies par trois fois de m’avoir connu » (Luc 22:31-34).

Même si les chrétiens d’Amérique ne subissent pas la menace de la guillotine – pour l’instant – on voit définitivement qu’il y a déclin. L’infestation de doctrines libérales au sein de l’église est le début de la pente glissante. Cela s’est fait sans pompes afin de ne pas attirer l’attention de ses membres. Malheureusement, ceux qui ont vu le déclin ont choisi de ne pas parler et de ne pas protester.

L’on peut présumer que, si l’église chrétienne et ses pasteurs en Amérique avaient maintenu leur foi avec force, la légalisation de l’avortement par la Cour Suprême (Roe vs Wade) ; la suppression de la prière dans les salles de classe ; et l’accueil aux homosexuels et aux transgenres derrière les chaires n’auraient trouvé aucune traction. Non plus que l’acceptation de la Nouvelle Version Internationale de la Bible n’eut été possible. Il y a dans l’Ancien et le Nouveau Testaments des enseignements dont auraient dû tenir compte les traducteurs de la version NVI et des autres versions bâtardes : Deutéronome 4:2 et Apocalypse 22:18-19.

Lors des nombreuses attaques contre Dieu et les chrétiens, vous lèverez-vous ou renierez-vous Jésus par trois fois ?

A quoi faisons-nous face comme persécution ?

Combien d’entre vous auriez pu imaginer des pasteurs fermant les portes de leurs églises ? C’est précisément ce qui est arrivé durant la pLandémie. Ceux qui ont bravement tenu bon ont été arrêtés et/ou condamnés à une amende. En acquiesçant à ces obligations illégales, les soi-disant pasteurs ont laissé leurs troupeaux sans surveillance et en proie aux loups.

Les médias contrôlés réprimandent sans cesse les vrais chrétiens qui refusent de soutenir les programmes homosexuels et transgenres. Combien ont perdu leur emploi pour avoir refusé de glorifier cette débauche ? Qui plus est, ces mêmes personnalités de la radio et de la télévision sont aux premières lignes pour promouvoir les histoires d’enseignants transformant leurs classes en centres non-binaires de fluidité de genre. Le mantra que l’on utilise ? Diversité, Équité et Inclusion !

L’on a employé le Service de Revenu Intérieur (IRS) comme outil contre les organisations chrétiennes. Gardez à l’esprit que la « Loi sur la Réduction de l’Inflation » du Résident Biden a alloué des fonds pour engager 87 000 nouveaux agents ! De même, ceux qui ont naïvement accepté les règles et prescriptions qu’est le 501(c)3 sont à la merci de l’IRS.

Combien d’entreprises privées ont été poursuivies parce que leurs propriétaires refusaient des services en déclarant que ces exigences entraient en conflit avec leurs profondes croyances religieuses ? Des pâtissiers, des photographes et des propriétaires de salles de noces ont tous été affligés de persécutions.

Les Démon-crates attaquent

Notre Constitution a été construite de manière à prévenir les actions despotiques de toutes et chacune des trois branches du gouvernement. On appelle cela « les Freins et les Contrepoids ». Cette idée fut sévèrement menacée quand la Cour Suprême décida de légiférer au tribunal dans le cas connu sous le nom de « Roe vs Wade ».

Heureusement, les juges de la Cour Suprême ont récemment rectifié cet abus de limites et ont renversé la règle légalisant l’avortement. Ce qui outragea beaucoup de gens de la politique et des médias qui possèdent des idéaux à tendance gauchiste. Le Résident Biden a proclamé qu’il allait diriger le Congrès pour adopter une loi qui codifierait l’avortement – en en faisant une loi du pays – au lieu de laisser cela aux états individuels.

Après bien des tergiversations, Biden expliqua d’un air triste qu’il n’y avait pas eu le nombre de vote suffisant pour accomplir ce but. Toutefois, cela a attisé les politiciens démon-crates de Capital Hill. Si la Cour peut effrontément renverser l’avortement, il est fort concevable qu’elle veuille aussi renverser la législation sur le mariage de même sexe ! On doit immédiatement faire quelque chose !

À l’égard de la loi du mariage

Entrez « Respect for Marriage Act ». C’est conçu dans le but d’annuler les derniers restes exécutoires de la « Loi sur la défense du mariage » signée par – BILL CLINTON ! – en 1996. Cet élément de législation « codifiera «  la loi fédérale en ce qui se rattache au mariage de même sexe ».

Même si une version substitut du Sénat déclare que cela va arranger les problèmes de liberté religieuse, ces « protections » ne s’avérerait qu’une façade. Chose triste, trente-neuf membres républicains de la Chambre et vingt sénateurs républicains ont voté pour faire adopter ce projet de loi odieux.

Cette prochaine loi sera une attaque directe contre la liberté de religion en Amérique. Parmi les nombreuses dispositions incluses dans ce projet de loi :

  • Il établit une fausse définition du mariage
  • Il ouvre la porte au mariage polygame
  • Il met en péril le statut d’exemption de taxe des organisations à but non lucratif
  • Litige déloyal contre les organisations de service social fondées sur la foi

Les églises qui se positionnent de manière inébranlables sur la Parole de Dieu seront poursuivies si elles n’ouvrent pas leurs portes aux couples homosexuels qui veulent se marier. De la même façon, les agences d’adoption fondées sur la foi devront assurément fermer leurs portes pour éviter un litige coûteux.

Pour être clair, la persécution religieuse survient en Amérique. Mais nous en avions été avertis, n’est-ce pas ? L’apôtre Paul a écrit :

« Or tous ceux aussi qui veulent vivre selon la piété en Jésus-Christ, souffriront persécution. Mais les hommes méchants et séducteurs iront en empirant, séduisant, et étant séduits. Mais toi, demeure ferme dans les choses que tu as apprises, et qui t’ont été confiées, sachant de qui tu les as apprises » (2 Timothée 3:12-14).


 

Par Sandra Myers

Retour au féodalisme

Est-ce que le système politique qui prévalait en Europe du 9e au 15e siècle est revenu en force en Amérique ? Est-ce que le système de gouvernance en Amérique, et même dans le monde entier, en est revenu fondamentalement à une relation de seigneur à vassal ?

Malgré tous les avertissements que donnent les conservateurs à propos du cours ultrarapide de la gauche vers le socialisme et le communisme, je pense que nous avons perdu de vue où l’Amérique est déjà descendue. Nous sommes carrément au milieu d’un « féodalisme de l’Angleterre d’antan ».

Le Nouvel Ordre du féodalisme

Attendu que le premier rang de l’état féodale « d’antan », détenant l’autorité finale, était la monarchie, tel que le roi, la reine et l’empereur, aujourd’hui, au sommet de la classe dirigeante moderne, nous avons une poignée d’oligarques entrepreneuriaux : les banquiers centraux mondiaux, comme à la Réserve Fédérale, la Banque mondiale, la Banque centrale européenne la Banque d’accords internationaux, etc.

Dans le système d’antan, il y avait ensuite au niveau d’en-dessous la mi-royauté, comme les ducs, les comtes et les barons. Toutefois, aujourd’hui, suivant immédiatement – et peut-être même entremêlés avec le niveau supérieur – nous avons les influenceurs milliardaires ultra-riches. Ils forment l’élite qui brandit avec impunité son argent sale dans la politique, la révolution culturelle et le contrôle du climat : Georges Soros, Michael Bloomberg, Tom Steyer, les frères Koch, Warren Buffett, les Rothschild et encore d’autres.

Suivaient ensuite dans le système féodal d’antan le clergé de l’église – les évêques et les prêtres. Puis, il y avait les chanceliers, les shérifs et les constables, suivis des commerçants et des explorateurs. Au sein des deux derniers échelons, on retrouvait les péons supérieurs, comme les propriétaires agricoles et les officiers militaires. En derniers, il y avait les paysans, les travailleurs et les conscrits.

Dans notre système féodal moderne, le troisième niveau se compose des titans de l’élite entrepreneuriale. La ligne de démarcation entre le troisième niveau et le niveau deux est floue. Au sein de cette élite corporative, il y a les compagnies de médias (les médias sociaux aussi bien que les diffuseurs de « nouvelles ») et les compagnies très riches. Parmi ceux de leur acabit, on trouve des noms que nous reconnaissons immédiatement : Jeff Bezos d’Amazon, Mark Zuckerberg et sa femme Priscilla Chan de Meta/Facebook, Bill Gates, Sheldon et Miriam Adelson (Sheldon est décédé récemment, mais son épouse a fait vœu de poursuivre), Rupert Murdoch et bien d’autres. Ce sont eux qui contrôlent le niveau suivant, nos fonctionnaires élus.

Vous auriez pu penser que la corrélation moderne avec le monarque d’hier eût été notre président. Hélas, notre présidence et notre congrès ont été faits les esclaves des banques internationales, des entreprises et de leur argent sale, des médias et de ceux qui brandissent le pouvoir comme tel. Cela a fait descendre le statut de notre présidence de plusieurs niveaux dans l’échelle féodale.

Nos fonctionnaires « élus », de la présidence à nos conseils de ville locaux, sont directement assujettis à ceux qui achètent leurs postes électoraux et, en tant que tel, sont sujets aux caprices et aux fantaisies (ou aux lubies) de la vision mondiale.

Le reste d’entre nous sommes sans doute divisés en deux classes de professionnels et d’artistes de haut niveau ; puis vient le niveau inférieur de professionnels avec les travailleurs au col bleu, les soldats et les étudiants qui sont à la merci de nos seigneurs.

De retour à l’état féodal en Amérique moderne

Au Moyen-âge, peu de gens avaient des propriétés. Nous, les humbles serfs qui croyons posséder des maisons et même avoir payé la banque, les seigneurs du manoir détiennent notre propriété dans leur fief. Nous tombons sous le coup des codes de construction, des ordonnances de zones, des restrictions de semence, et de la possibilité de saisie imminente du domaine ou de notre propriété, si c’est pour le « bien général ».

Les jeunes gens d’aujourd’hui ne détiennent presqu’aucune valeur en ce qui a trait à la propriété de maison (et même aucune valeur en soi). Beaucoup d’entre eux demeurent encore chez leurs parents et n’éprouvent aucun désir de se forger une vie et de bâtir eux-mêmes une famille. On a lavé leur cerveau à « ne rien posséder et à en être heureux » (comme dit Klaus Schwab). Ils se contentent de se fier à l’état féodal au-dessus d’eux en ce qui regarde tout ce qu’il y a de droits et de permissions dans leur vie, leur travail et leur existence même. (Le Covid en est un bon exemple.)

Le féodalisme institutionnel

Le gouvernement et les médias mainstream ont un système à niveaux multiples de mise en application des droits du peuple. Nous ne sommes plus un pays pour « Nous, le peuple » avec des freins et des contrepoids afin de maintenir et de mettre en force des lois de manière égale, mais nous sommes descendus au niveau de « des règles pour vous, mais pas pour moi ». Les riches ou les élites favorisées ne subissent que peu de conséquences pour les mêmes offenses que commettent le petit peuple, car leurs copains reconnaissent et respectent leur rang dans l’ordre. Ce nouveau féodalisme n’est pas sujet aux lois du territoire, mais à l’élite qui contrôle les fonctionnaires élus.

Socialisme ou féodalisme ?

Nous déclarons que nous sommes en train de descendre radicalement dans le socialisme/communisme. Mais ce pouvoir total et centralisé ressemble au système féodal. Aujourd’hui comme jadis, le pouvoir sera brandi pour que le tiers supérieur puisse l’exercer. Bernie Sanders, AOC et les autres fomenteurs de promesse d’égalité totale (le socialisme) subissent la propagande et la programmation dans le but de céder au pouvoir de l’élite qui leur confère finalement les titres et les fonctions royales selon leur caprice. En retour, ces seigneurs mineurs sont aussi sujet à s’agenouiller, et ils seront brisés s’il devient à propos de les briser, et on leur retirera leurs privilèges féodaux quand on le désirera.

Dieu possède le pouvoir absolu sur toute chose

Dieu est toujours sur le Trône. Lorsque les rois d’antan n’arrivaient plus à reconnaître et à révérer Dieu, leurs royaumes chutaient. Satan et ses généraux terrestres essaient actuellement de chasser Dieu et de corrompre les hommes pour qu’ils cherchent à s’emparer du pouvoir et à s’élever. L’Homme moderne est tombé dans un piège où on lui enseigne à mépriser Dieu. Sommes-nous parfaits ? Bien sûr que non. Mais notre Seigneur et Sauveur l’est, et sans Dieu, notre pays n’a aucune chance.




D.575 – La fête de Noël : chrétienne ou païenne ?

Par Roch Richer

La majorité des églises faisant partie de la chrétienté observent la fête de Noël. Mais cela ne s’arrête pas là. Dans beaucoup d’autres religions, on fête également Noël, ou une fête équivalente, lors du 25 décembre ou autour de cette date. De plus, un grand nombre de gens se disant athées l’observent aussi tout en y excluant l’esprit religieux. Si l’on pose la question à savoir qu’elle est l’origine de Noël, la vaste majorité répondra qu’il s’agit de la commémoration de la naissance du Christ et que c’est une tradition qui fait partie intégrante de la chrétienté.

Mais ce faisant, les églises doivent s’expliquer sur un problème de taille. Car vous aurez beau scruter le Nouveau Testament de long en large, vous ne trouverez aucune mention d’une commémoration annuelle de la nativité de Jésus. Les Évangiles sont muets là-dessus, Jésus n’ayant donné aucun commandement en ce sens, et les apôtres n’en parlent d’aucune façon, soit dans les Actes, soit dans les épîtres.

Pendant les trois premiers siècles de son existence, l’Église chrétienne ne s’est pas occupée de célébrer l’anniversaire de la naissance de Jésus-Christ dont elle ignorait même la date. La première mention d’une célébration « chrétienne » un 25 décembre date de l’an 336 apr. J.-C., à Rome. Le christianisme devient ainsi à son tour un des cultes et religions de l’Empire romain célébrant une festivité pendant cette période de l’année. Pourquoi voulut-on soudainement fêter l’anniversaire de la naissance de Jésus alors qu’on en ignorait la date ? Et pourquoi le 25 décembre fut-il choisi ? N’aurait-on pas dû plutôt éviter cette date que l’on savait au centre d’une période de festivités répandues dans toutes les contrées que l’on voulait toucher par l’Évangile ? Ou bien, au contraire, n’était-ce pas exactement le but visé ?

Il est relativement connu que Noël vient peu de temps après le solstice d’hiver auquel elle est associée. Elle a graduellement pris la place des différentes fêtes du paganisme reliées à la renaissance du soleil, comme la fête germanique de Yule, la fête de Mithra, les Saturnales romaines, etc. On a substitué la nativité du Christ au culte romain du Sol Invictus, c’est-à-dire le Soleil Invaincu (la fête officielle du dies natalis solis invicti ou « jour de la naissance du soleil invaincu ») que l’on a extrait de son contexte païen pour lui donner une signification d’apparence chrétienne.

Et le prétexte, ou l’excuse, était déjà tout trouvé dans les Écritures où l’on voit que le Christ est présenté ainsi : « Mais pour vous qui craignez mon nom, se lèvera le Soleil de justice, et la santé sera dans ses rayons… » (Malachie 4:2). Par ailleurs, on lit ceci, dans 2 Pierre 1:19 : « Nous avons aussi la parole des Prophètes plus ferme, à laquelle vous faites bien d’être attentifs, comme à une chandelle qui a éclairé dans un lieu obscur, jusqu’à ce que le jour ait commencé à luire, et que l’étoile du matin se soit levée dans vos cœurs. » Aussi, dans Apocalypse 2:28 : « …et je lui donnerai l’étoile du matin », que l’on retrouve plus loin, dans Apocalypse 22:16 : « Moi Jésus, j’ai envoyé mon Ange pour vous confirmer ces choses dans les Eglises. Je suis la racine et la postérité de David ; l’étoile brillante du matin. »

Le symbolisme utilisé par Jésus est simple : comme le soleil physique qui est l’étoile du matin venant éclairer le jour sur terre, Jésus est de même le soleil brillant spirituel qui vient éclairer nos cœurs pour leur apporter la lumière spirituelle de Son Évangile. Or, ces paroles divines viennent-elles justifier le « vernissage chrétien » que l’on a appliqué à toutes les festivités païennes entourant le solstice d’hiver et donc l’adoration du « Soleil invaincu » ?

Y a-t-il le moindre passage dans toutes les Écritures où Dieu agrée à ce que l’homme adapte le culte aux faux dieux à Son culte personnel ? Dieu Se réjouit-Il qu’on lui rende un culte par des rites païens ? On vous proposera sans doute comme argument, dans les églises pseudo-chrétiennes, que Dieu ne peut être en désaccord avec ces célébrations puisqu’on les fait en Son Nom et pour L’adorer. Ces membres d’églises le font avec un cœur bien intentionné, non ? Ils oublient ce que Dieu a dit :

« Le cœur est rusé, et désespérément malin par-dessus toutes choses ; qui le connaîtra ? » (Jérémie 17:9).

Pourtant, n’est-ce pas une bonne idée pour étendre l’évangélisation ?

« Il y a telle voie qui semble droite à l’homme, mais dont l’issue sont les voies de la mort » (Proverbes 14:12) et « il y a telle voie qui semble droite à l’homme, mais dont la fin sont les voies de la mort » (Proverbes 16:25).

Les raisonnements du cœur humain ne conduisent pas à la volonté de Dieu et ont parfois des conséquences très douloureuses. L’ancien peuple d’Israël en a souvent fait l’expérience et en a payé le prix. Mais la chrétienté moderne argue qu’elle n’est pas idolâtre comme l’étaient régulièrement les enfants d’Israël, « Par ces fêtes, nous adorons le vrai Dieu ! » s’écrit-elle.

Croyez-vous que le peuple d’Israël ne disait pas la même chose ? Relisez le récit biblique racontant comment les enfants d’Israël, voyant que Moïse était monté sur le mont Sinaï et s’y attardait longtemps, se sont persuadés les uns les autres, et même Aaron, de rendre culte à l’Éternel et à L’adorer en empruntant les rites et coutumes qu’ils avaient appris dans leur long séjour de 400 ans en Égypte. Repassez-en le récit dans Exode, au chapitre 32.

Maintenant, remarquez particulièrement les versets 3 à 5 : « Et incontinent tout le peuple mit en pièces les bagues d’or, qui étaient à leurs oreilles, et ils les apportèrent à Aaron, qui les ayant reçues de leurs mains, forma l’or avec un burin, et il en fit un Veau de fonte. Et ils dirent : ce sont ici tes dieux, ô Israël, qui t’ont fait monter du pays d’Egypte. Ce qu’Aaron ayant vu, il bâtit un autel devant le Veau ; et cria, en disant : demain il y aura une fête solennelle à l’Eternel. »

Oui, ce peuple avait le cou raide et l’esprit charnel, même Aaron. Moïse étant parti depuis trop longtemps, selon eux, le peuple prit sur lui de créer une fête à l’Éternel et de L’adorer à sa façon. Habitué aux rituels égyptiens, il voulut en « israéliser » certains pour les adapter à son culte personnel. Les enfants d’Israël se fabriquèrent donc une idole en l’honneur de Dieu. Tout en n’ayant aucune idée de quoi Il avait l’air. Mais c’est bien l’Éternel Dieu qu’ils voulaient adorer en se servant de cette idole. Et c’est bien à l’Éternel Dieu qu’ils voulaient célébrer une fête solennelle de leur cru. Leur perspective et leurs intentions n’avaient rien de différents de ceux qui fêtent aujourd’hui Noël en l’honneur de Jésus-Christ.

Que fut la réaction de Dieu ? Dit-Il à Moïse : « Vois comme ce peuple a bon cœur, il veut me faire une jolie fête pour m’adorer et il a même fondu un veau d’or pour me personnifier. N’est-ce pas charmant de leur part ? »

Loin de là ! Lisez plutôt Sa réaction, des versets 7 à 10 : « Alors l’Eternel dit à Moïse : va, descends ; car ton peuple que tu as fait monter du pays d’Egypte, s’est corrompu. Ils se sont bientôt détournés de la voie que je leur avais commandée [voir Exode 20:3-5], ils se sont fait un Veau de fonte, et se sont prosternés devant lui, et lui ont sacrifié, et ont dit : Ce sont ici tes dieux, ô Israël, qui t’ont fait monter du pays d’Egypte. L’Eternel dit encore à Moïse : j’ai regardé ce peuple, et voici, c’est un peuple de col roide. Or maintenant laisse-moi, et ma colère s’embrasera contre eux, et je les consumerai ; mais je te ferai devenir une grande nation. »

Prenez le temps d’y réfléchir. Croyez-vous que Dieu Se réjouisse de vous voir Le célébrer par une fête païenne qui était préalablement destinée aux démons, et que vous avez remodelé et raccommodé pour lui donner un air de sainteté ? Dieu Se contenterait-Il de vos restants ? Dieu est-Il le même hier et aujourd’hui ? Essentiellement, ce que se disaient les Israélites, à ce moment-là, ressemble en tout point à ce que disent bien des pseudo-chrétiens aujourd’hui : « Adorez Dieu à votre façon ; moi, j’adore Dieu à ma façon. » Est-ce bien la manière biblique de penser ? Ne devrait-on pas plutôt tenir compte de ce que Dieu nous enseigne sur la bonne façon de L’adorer ? C’est ce qui prime sur tout le reste.

Il s’agit d’une évidence qui devrait être acquise par tous les véritables chrétiens. Alors, qu’est-ce qui a bien pu pousser les ecclésiastiques du IIIe siècle à inventer une nouvelle mouture d’un vieux culte païen ? Que nous revienne donc cette parole prophétique de l’apôtre Paul comme dernier avertissement aux anciens de l’Église d’Éphèse qu’il savait ne plus devoir revoir après son départ :

« Car je sais qu’après mon départ il entrera parmi vous des loups très dangereux, qui n’épargneront point le troupeau. Et qu’il se lèvera d’entre vous-mêmes des hommes qui annonceront des doctrines corrompues dans la vue d’attirer des disciples après eux » (Actes 20:29-30). Et c’est exactement ce qui est arrivé par la suite au sein même du christianisme. Des hommes corrompus se sont élevés dans les congrégations, surtout celle de Rome, s’emparant du rang de pasteur, mais étant, en réalité, des ministres de Satan. Et par le moyen de Conciles, ils ont introduit dans la saine doctrine de Christ des concepts païens carrément sataniques pour détourner les croyants de la bonne compréhension du salut de Dieu pour les hommes.

Ces individus vaniteux voulaient s’attirer des disciples après eux. Car il s’agissait, ni plus ni moins, de cupides chefs d’entreprise qui avaient un produit à vendre à la plus vaste clientèle possible : de la religion. Ainsi, pour étendre leur marché, ils entamèrent une grande campagne de marketing visant à présenter aux territoires ciblés une version « christianisée » de leurs fêtes païennes.

Voici quelques citations de documents expliquant l’historique de ce plan marketing religieux :

« Bien avant l’apparition du christianisme, l’époque du solstice d’huver était déjà une période charnière de l’année, qui regroupait de nombreuses croyances païennes relatives à la fertilité, la maternité, la procréation et l’astronomie. Elle donnait donc lieu à de nombreuses manifestations. Ces traditions antiques ont de nombreux points de similitude avec la fête chrétienne. Les chrétiens ont ainsi progressivement réussi à s’approprier les cultures environnantes qui sont devenues partie prenante de leur identité et qui finalement ont évolué sous l’effet du syncrétisme et de la christianisation de la société antique, phénomène connu des historiens sous le nom d’interpretatio christiana (« interprétation chrétienne »). [Hervé Inglebert, Interpretatio christiana. Les mutations des savoirs, cosmographie, géographie, ethnographie, histoire, dans l’antiquité chrétienne, 30-630 après J.-C., Institut d’études augustiniennes, 2002, 632 p., tiré de Wikipédia.]

« Avant la christianisation de l’Occident, une fête appelée Dies Natalis Solis Invicti, « jour de la naissance du soleil invaincu » avait été fixée au 25 décembre par l’empereur romain Aurélien en 274, comme grande fête du culte de Sol Invictus (le soleil invaincu). Aurélien choisit ainsi une date proche du solstice d’hiver, correspondant au lendemain de la fin des traditionnelles Saturnales romaines, mais aussi au jour où la naissance de la divinité solaire Mithra est fêtée. Aurélien souhaite en effet unifier religieusement l’empire, en choisissant cette date il contente les adeptes de Sol Invictus et du culte de Mithra tout en plaçant la fête dans la continuité des festivités traditionnelles romaines. » [CNDP.fr/Musagora | Le culte de Sol Invictus | La crise du IIIe siècle : 270-275 Aurélien (http://www.cndp.fr/archive-musagora/merveilles/merveillesfr/colosse/sol.htm]

« À partir du règne d’Aurélien (270-275), les Romains fêtent officiellement Sol Invictus (le soleil invaincu) au moment du solstice d’hiver qui commençait la nouvelle année, annoncé par le rallongement des jours. Ce culte, qui reprend des aspects de la mythologie d’Apollon et du culte de Mithra, s’est répandu aux IVe et IIIe siècles av. J.-C. et se concluait par le sacrifice d’un taureau, le Sol Invictus correspondant à la naissance du jeune dieu solaire qui, reprenant les traditions mithraïques, était censé surgir d’un rocher ou d’une grotte sous la forme d’un jeune homme. » [Mithraism (http://www.iranicaonline.org/articles/mithraism)]

« Progressivement va apparaître le désir d’historiciser la naissance de Jésus-Christ. À partir du IVe siècle, une fête de la conception et de la naissance de Jésus-Christ, traduites par l’Épiphanie et Noël, va prendre place à côté des fêtes plus anciennes de Pâques et de la Pentecôte dans le calendrier liturgique chrétien en composition. Aussi au IVe siècle, la date du 25 décembre a été choisie comme date pour la fête de Noël, principalement dans le but de la substituer aux fêtes païennes qui étaient d’usage à l’époque, comme la fête de la renaissance du Soleil Invaincu (Sol Invictus), le solstice d’hiver et les Saturnales romaines qui avaient toutes lieu à la période du 25 décembre, “en leur donnant un sens nouveau”. Le document le plus ancien mentionnant une célébration chrétienne à cette date du 25 décembre est le Chronographe de 354 (faisant référence à des recensions remontant au moins à 336) » [Susan K. Roll, Toward the Origins of Christmas, Peeters Publishers, 1995, p. 85.]

« L’impression reste que, pour les chrétiens, les deux fêtes (le 25 décembre et le 6 janvier) s’ajoutent aux traditionnelles célébrations des Saturnales et des calendes. Au lieu de rompre avec les pratiques anciennes, la tentation est donc forte d’allonger la durée festive en lui consacrant près de quinze jours. » [Françoise Monfrin, « La fête des calendes de Janvier, entre Noël et Épiphanie », in La Nativité et le temps de Noël, études réunies par Jean-Paul Boyer et Gilles Dorival, Publications de l’Université de Provence, 2003, p. 117.]

« Il est donc possible que le choix du 25 décembre comme date commémorative de la naissance de Jésus-Christ, au IVe siècle, “ne répond pas à la préoccupation de neutraliser une fête païenne, mais plutôt à un soucis de profiter du symbolisme cosmique et de l’évidence du solstice pour tous les fidèles … Les Pères de l’Église auraient donc choisi le 25 décembre justement parce que cette date, pourtant riche de significations cosmiques, ne coïncidait pas avec une grande fête païenne”. » [Alain Cabantous, François Walter, Noël, une si longue histoire…, Payot, 2916, p. 18.]

« En 425, l’empereur d’Orient Théodose II codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël. Cette commémoration se répand progressivement en Gaule et en Orient. » [fête de Noël origine histoire jour de noel (cybercuré)

(http://catholique-nanterre.cef.fr/faq/fetes_noel_fete.htm)]

À mesure que l’Église catholique étend son territoire, elle adopte à chaque étape un nouveau rite qu’elle ajoute à sa panoplie :

« La fête de Noël continue progressivement à se répandre en Europe : fin du Ve siècle en Irlande, au VIIe siècle en Angleterre, au VIIIe siècle en Allemagne, au IXe siècle dans les pays scandinaves, aux IXe et Xe siècles dans les pays slaves. La fête s’inscrit dans le calendrier liturgique et implique une période de jeûne, l’Avent. Le gens décorent leur maison de houx et de verdure, ils s’habillent de neuf. En dehors de la messe de minuit qui marque le début de l’année liturgique, se multiplient des célébrations collectives (notamment la fête des Fous au cours de laquelle on élit le pape, l’évêque des fous, l’abbé des sots, personnages qui sont, pour une durée déterminée, rois de Noël), de nombreuses réjouissances (chants et danses, divers jeux de hasard ou d’adresse, notamment les dés) et de copieux repas (plats à base de bœuf ou d’oie engraissée). Les enfants, souvent costumés, forment des bandes de guisarts (déguisés en anciens français) qui vont de maison en maison, chanter et présenter leurs vœux, recevant en échange des fruits, gâteaux ou quelques pièces de monnaie. » [Claude Lévi-Strauss, « Le Père Noël supplicié », Les Temps Modernes, no 77, 1952, p. 1584 ; Jean Verdon, S’amuser au Moyen-âge, Tallandier, 1980, p. 47 ; Claude Lévi-Strauss, « Le Père Noël supplicié », Les Temps Modernes, no 77, 1952, p. 1587.]

Parmi les manifestations diaboliques qui ont surgi au fil des siècles au cœur de la fête de Noël, il y a un personnage devenu universel. La plupart des gens ne comprennent pas que cet être qu’ils admirent et élèvent n’est rien d’autre qu’une tentative de Satan pour détourner le cœur des hommes du Grand Dieu vers un autre dieu, qui n’est évidemment pas un dieu, mais Satan lui-même.

Ce faux dieu, on l’appelle le Père Noël, le joyeux vieil elfe. Oui, le Père Noël est censé être un elfe. Mais qu’est-ce qu’un « elfe » ? Selon le Dictionnaire américain Noah Webster de langue anglaise, un elfe est « un esprit troublant la nuit ; un fantôme, un sorcier ou une sorcière … un esprit merveilleux ; une fée, un gobelin … un esprit mauvais, un démon » [Noah Webster, American Dictionary of the English Language (1ière édition 1828) réédité par la Fondation pour une Éducation américaine chrétienne, San Francisco, Californie.] Nous devons en conclure que le bien-aimé Père Noël est un démon !

 On l’appelle également St.Nick, La tradition catholique romaine enseigne que le Père Noël est, en réalité, fondé sur le nom d’un évêque catholique romain qui se nommait Nicholas. Ainsi, on pourrait en venir à croire que Nick n’est qu’un diminutif de Nicholas. Cependant, l’occultisme et la sorcellerie recèlent de nombreux noms et des termes qui possèdent un double-sens. Un coup d’œil dans le dictionnaire nous informe que Nick se définit comme un esprit mauvais. En fait, l’expression Old Nick (le Vieux Nick) de la mythologie scandinave veut dire, en fait, « le démon ». Est-ce une simple coïncidence que l’on appelle le Père Noël « Old Nick » ?

Il est assez ironique de voir l’évolution du rituel de Noël par l’intermédiaire de ce Père Noël. Originalement, on a voulu remplacer la célébration des faux dieux en leur substituant le culte à l’Enfant-Jésus. Mais au fil des siècles, et surtout le dernier, on a graduellement remplacé le culte à l’Enfant-Jésus pour le remplacer par le Père Noël… un retour aux sources du paganisme, en quelque sorte.

L’homme, guidé par les élans de son cœur rusé et désespérément malin, a toujours cherché des raisons de désobéir à Dieu et à se donner prétexte, sous couvert de « bonnes intentions », non seulement de faire le mal, mais aussi de décider de ce qui est bien et de ce qui est mal. S’il croit en un Dieu, il veut pouvoir L’adorer à sa façon, non pas à la façon que Dieu lui commande. La célébration de Noël est un exemple clair de ce penchant humain contraire à la volonté divine.

En fait de rituels pour les croyants de la Nouvelle Alliance, Jésus-Christ ne nous a laissé que deux cérémonies à observer : la célébration annuelle de la Pâque et la cérémonie du baptême. Hors de ces deux observances, vous risquez de tomber dans le paganisme déguisé que Satan a inséré dans la chrétienté moderne.

Et il y aura des conséquences pour ceux qui savent, mais ne font pas la volonté de Dieu.

À vous de choisir.




D.574 – Conspiration vs conspirationisme

Par Roch Richer

Tout le monde sait ce qu’est une conspiration, ou son synonyme, un complot, Il s’agit de la concertation secrète de plusieurs personnes qui ourdissent un plan contre un individu, une institution, un gouvernement ou un régime afin de le renverser. Cela s’est produit souvent dans l’histoire, à une fréquence telle, en fait, qu’on ne peut que constater qu’il s’agit d’un trait marqué de la nature humaine.

Le terme conspirationisme est beaucoup plus récent et n’a réellement été largement répandu qu’avec l’avènement de la pseudo-pandémie Covid, dont les gens découvrent de plus en plus qu’elle fut elle-même une vaste conspiration. Depuis avril 2020, les gouvernements et les médias subventionnés accolent l’étiquette de « conspirationiste » ou de « complotiste » à toute personne qui remet un tant soit peu en question la doxa officielle estampillée par les dirigeants.

Être conspirationiste est censé s’avérer une insulte suprême, un stigmate honteux, car cela sous-entend que la personne ainsi qualifiée n’a pas toute sa tête et déraisonne parce qu’elle est tombée dans les élucubrations fomentées par des hurluberlus ayant inventé des théories de conspiration où les gens riches les plus puissants de ce monde se sont concertés secrètement dans le but d’asservir la grande masse de la population. Car, voyez-vous, si l’on est prêt à croire que des individus peuvent comploter pour chercher à renverser un gouvernement, l’on ne peut toutefois pas se résoudre à croire qu’un gouvernement puisse comploter pour renverser le peuple. Ce genre de complot est tenu pour absurde, grotesque, invraisemblable.

Donc, on voudrait nous faire accepter qu’être qualifié de « complotiste » ou de « conspirationiste » est une malédiction. Pourtant, au final, qu’est-ce qu’un conspirationiste sinon une personne qui dénonce tout simplement les comploteurs ? Et si voilà vraiment la définition toute simple du mot « complotiste », ou du mot « conspirationiste », eh bien sachez, chers amis, que nous devrions porter ce titre avec fierté, car nous sommes en très excellente compagnie, croyez-moi.

Ézéchiel 22:25-31 :

« Il y a un complot de ses Prophètes au milieu d’elle [la maison d’Israël (v. 18)] ; ils seront [se perpétue dans le futur] comme des lions rugissants, qui ravissent la proie : ils ont dévoré les âmes [assassiné beaucoup de gens] ; ils ont emporté les richesses, et la gloire ; ils ont multiplié les veuves au milieu d’elle. Ses Sacrificateurs ont fait violence à ma Loi [le Talmud des rabbins] ; et ont profané mes choses saintes ; ils n’ont point mis différence entre la chose sainte et la profane, ils n’ont point donné à connaître la différence qu’il y a entre la chose immonde et la nette, et ils ont caché leurs yeux de mes Sabbats, et j’ai été profané au milieu d’eux. Ses principaux ont été au milieu d’elle comme des loups qui ravissent la proie, pour répandre le sang et pour détruire les âmes, pour s’adonner au gain déshonnête [système bancaire international inique]. Ses Prophètes aussi les ont enduits de mortier mal lié [fausses doctrines et prophéties fondées sur une interprétation falsifiée des Écritures] ; ils ont des visions fausses, et ils leur devinent le mensonge, en disant : ainsi a dit le Seigneur l’Eternel ; et cependant l’Eternel n’avait point parlé. Le peuple du pays a usé de tromperies, et ils ont ravi le bien d’autrui, et ont opprimé l’affligé et le pauvre, et ont foulé l’étranger contre tout droit. Et j’ai cherché quelqu’un d’entre eux qui refît la cloison, et qui se tînt à la brèche devant moi pour le pays, afin que je ne le détruisisse point ; mais je n’en ai point trouvé. C’est pourquoi je répandrai sur eux mon indignation, et je les consumerai par le feu de ma fureur ; je ferai tomber la peine de leur train sur leur tête, dit le Seigneur l’Eternel. »

Psaume 2:1-4 :

« Pourquoi se mutinent les nations, et pourquoi les peuples projettent-ils des choses vaines ? Les Rois de la terre se trouvent en personne [les rencontres du G8, les sommets de Davos et autres rencontres], et les Princes consultent [complotent] ensemble contre l’Eternel, et contre son Oint. “Rompons”, disent-ils, “leurs liens, et jetons loin de nous leurs cordes.” Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera. »

Jérémie 11:9-10, 15 :

« Et l’Eternel me dit : il y a une conjuration [synonyme de complot et de conspiration] parmi les hommes de Juda, et parmi les habitants de Jérusalem. Ils sont retournés aux iniquités de leurs ancêtres, qui ont refusé d’écouter mes paroles, et qui sont allés après d’autres dieux [Satan et ses démons] pour les servir ; la maison d’Israël et la maison de Juda ont enfreint mon alliance, que j’avais traitée avec leurs pères … Qu’est-ce que mon bien-aimé a à faire dans ma maison, que tant de gens se servent d’elle pour y faire leurs complots ? la chair sainte est transportée loin de toi, et encore quand tu fais mal, tu t’égayes. »

En lisant ces passages, on devine que les médias qualifieraient immédiatement Dieu Lui-même d’être « complotiste », le premier conspirationiste de l’histoire ! Vous remarquerez cependant que les complots qu’Il dénonçait en termes succincts, mais précis, n’étaient pas de la « théorie ». Ils étaient réels. Et ils se sont projetés dans l’avenir. Aujourd’hui, en effet, nous assistons à l’aboutissement final de ce même complot, une conspiration millénaire perpétuée par les générations successives de ces faux prophètes d’Israël et de Juda, une conspiration ayant traversé les siècles sous une même inspiration, l’esprit de Python, le Serpent ancien, le Dragon roux appelé le Diable et Satan.

Dans de nombreux passages de la Bible, Dieu explique la manière d’opérer des comploteurs. Or, tous ceux qui expliquent aujourd’hui la façon d’opérer des conspirateurs ne font, en fin de cmpte, que suivre l’exemple de Dieu, qu’ils s’en rendent compte ou non.

À partir d’ici, je ne vais que relever quelques passages tirés des Psaumes et des Proverbes en examinant leur pertinence en rapport avec les événements que nous vivons de nos jours. Vous serez peut-être étonnés de voir que ces paroles sont prophétiques, car, comme l’a dit l’Ecclésiaste : « Ce qui a été, c’est ce qui sera ; et ce qui a été fait, est ce qui se fera, et il n’y a rien de nouveau sous le soleil » (Ecclésiaste 1:9).

Psaume 10:2-4 :

« Le méchant par son orgueil poursuit ardemment l’affligé ; mais ils seront pris par les machinations qu’ils ont préméditées. Car le méchant se glorifie du souhait de son âme, il estime heureux l’avare, et il irrite l’Eternel. Le méchant marchant avec fierté ne fait conscience de rien ; toutes ses pensées sont, qu’il n’y a point de Dieu. »

Cette description s’applique parfaitement aux méchants modernes ; le même esprit cupide, le même cœur athée de ces psychopathes qui ourdissent leurs complots en se fichant des Paroles de Dieu, qu’ils renient, cherchant, par avarice, à s’accaparer toutes les richesses et tout pouvoir sur les peuples de la terre à qui ils disent : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ! »

Psaume 12:1-2 :

« Délivre, ô Eternel ! parce que l’homme de bien ne se voit plus, et que les véritables ont disparu entre les fils des hommes. Chacun dit la fausseté à son compagnon avec des lèvres flatteuses, et ils parlent avec un cœur double. »

S’il vivait aujourd’hui, David dirait la même chose. Si le cœur de l’homme n’a pas changé, il s’est toutefois donné les moyens de faire le mal à l’échelle mondiale. Les politiciens véreux entrent en campagne électorale en formulant des promesses qu’ils ne tiendront pas. Ils se lancent en politique parce que les membres de l’Élite mondialiste leur ont promis mers et monde s’ils appliquent à la lettre les instructions qu’ils leur fournissent. À tous les niveaux, l’on exerce cette double mentalité dont parlait George Orwell dans son livre, 1984.

Psaume 14:1-3 :

« L’insensé a dit en son cœur : il n’y a point de Dieu. Ils se sont corrompus, ils se sont rendus abominables en leurs actions ; il n’y a personne qui fasse le bien. L’Eternel a regardé des cieux sur les fils des hommes, pour voir s’il y en a quelqu’un qui soit intelligent, et qui cherche Dieu. Ils se sont tous égarés, ils se sont tous ensemble rendus odieux, il n’y a personne qui fasse le bien, non pas même un seul. »

Pour ceux qui auraient l’impression que cela s’adressait aux hommes de l’époque de David, détrompez-vous. Du haut de son trône céleste, Dieu voit toute l’histoire de l’humanité, du début à la fin, car Il est hors du temps. De notre point de vue, nous pouvons constater que l’athéisme ne cesse de gagner du terrain, car la religion n’est plus enseignée, ni dans les écoles ni dans les familles, et des idées perverses s’y sont plutôt infiltrées, en totale opposition avec les valeurs divines. De plus en plus, les hommes veulent se donner le pouvoir et l’autorisation de décider eux-mêmes ce qui est bien et ce qui est mal, et se donner ainsi raison de faire le mal impunément. Nous sommes revenus à l’époque de Noé, et de Sodome et Gommorhe.

Psaume 35:19-20 :

« Que ceux qui me sont ennemis sans sujet ne se réjouissent point de moi ; et que ceux qui me haïssent sans cause ne m’insultent point par leurs regards. Car ils ne parlent point de paix ; mais ils préméditent des choses pleines de fraude contre les pacifiques de la terre. »

Les chrétiens ont des ennemis qui les haïssent sans sujet, sans cause, sans raison légitime, parce qu’ils mettent en lumière, par leurs bonnes actions, les iniquités des méchants qui en sont fort irrités. Ces derniers vont de plus en plus accuser faussement les chrétiens d’être des extrémistes, des fanatiques de la droite, des obsédés de Dieu, etc.

Psaume 36:1-4 :

« La transgression du méchant me dit au-dedans du cœur, qu’il n’y a point de crainte de Dieu devant ses yeux. Car il se flatte en soi-même quand son iniquité se présente pour être haïe. Les paroles de sa bouche ne sont qu’injustice et que fraude, il se garde d’être attentif à bien faire. Il machine sur son lit les moyens de nuire ; il s’arrête au chemin qui n’est pas bon ; il n’a point en horreur le mal. »

Illustration du psychopathe ayant atteint, par des moyens frauduleux et criminels, les hautes sphères du pouvoir. Voilà le champion du complot, le conspirateur par excellence, celui qui veut faire des autres êtres humains ses esclaves. Nous pourrions dresser ici une longue liste de noms, dont de nombreux politiciens, des membres du barreau, des membres de la presse, des hauts-dirigeants de compagnie, et surtout, des banquiers…

Psaume 58:1-4 :

« En vérité, vous gens de l’assemblée, prononcez-vous ce qui est juste ? Vous fils des hommes, jugez-vous avec droiture ? Au contraire, vous tramez des injustices dans votre cœur ; vous balancez la violence de vos mains en la terre. Les méchants se sont égarés dès la matrice, ils ont erré dès le ventre de leur mère, en parlant faussement. Ils ont un venin semblable au venin du serpent, et ils sont comme l’aspic sourd, qui bouche son oreille. »

Ces « gens de l’assemblée » sont les principaux du peuple, les leaders, les dirigeants, les juges qui rendent des jugements iniques après avoir reçu des pots-de-vin ou des menaces. Des politiciens délibèrent pour proposer des lois injustes qui désavantagent la population. Ils suivent les traces de leur père, le Serpent, et répandent leur venin partout.

Psaume 73:3-12 :

« Car j’ai porté envie aux insensés, en voyant la prospérité des méchants. Parce qu’il n’y a point d’angoisses en leur mort, mais leur force est en son entier. Ils ne sont point en travail avec les autres hommes, et ils ne sont point battus avec les autres hommes. C’est pourquoi l’orgueil les environne comme un collier, et un vêtement de violence les couvre. Les yeux leur sortent dehors à force de graisse ; ils surpassent les desseins de leur cœur. Ils sont pernicieux, et parlent malicieusement d’opprimer ; ils parlent comme placés sur un lieu élevé. Ils mettent leur bouche aux cieux, et leur langue parcourt la terre. C’est pourquoi son peuple en revient là, quand on lui fait sucer l’eau à plein verre. Et ils disent : comment le Dieu Fort connaîtrait-il, et y aurait-il de la connaissance au Souverain ? Voilà, ceux-ci sont méchants, et étant à leur aise en ce monde, ils acquièrent de plus en plus des richesses. »

On a le vertige de voir jusqu’à quel point cette description s’applique aux hommes de pouvoir d’aujourd’hui. Ce sont ces milliardaires puissants qui ourdissent des complots contre le peuple. Ils ne souffrent pas de la pauvreté, s’étant accaparé des richesses colossales ; ils ne travaillent pas à la sueur de leur front, comme les autres hommes, ils spéculent, ils transigent, ils commercent, ils spolient les pauvres ; ils ne vont pas à la guerre pour se battre, mais dirigent les conflits de loin, bien à l’abri ; ils sont pleins d’orgueil et de violence ; ils mangent dans les plus grands restaurants tandis que les autres hommes ont peine à se procurer la nourriture nécessaire ; ils ne sont jamais satisfaits des buts qu’ils atteignent et en veulent toujours plus ; ils trament des plans pour oppresser encore davantage les peuples et les soumettre à leur joug pesant ; ils s’en croient le droit, s’imaginant au-dessus de la mêlée, des êtres supérieurs par leur fourberie et leur intelligence à faire le mal. Ils sont athées, ou se pensent eux-mêmes des dieux, et ils ne voient pas qu’un Dieu tout-puissant puisse les atteindre et leur rétribuer ce qu’ils méritent. Cependant, ils ne perdent rien pour attendre.

Psaume 75:6-7 :

« Car l’élévation ne vient point d’Orient, ni d’Occident, ni du désert. Car c’est Dieu qui gouverne ; il abaisse l’un, et élève l’autre. »

Certes, Satan dirige le monde actuel ; il met ses serviteurs en place, ceux qui acceptent de l’adorer ; mais il n’agit que dans les limites que lui permet Dieu et, en fin de compte, c’est le Souverain suprême qui décide qui règne sur les nations. Dans le plan divin, il est décrété un temps pour que l’homme démontre son incapacité à se gouverner sans faire appel à Dieu. On peut voir en ceci de l’humour de la part de Dieu qui consent à ce que des imbéciles, des pantins, des fantoches sans colonne, des pédophiles, des maniaques, des psychopathes président à la destinée de leurs peuples respectifs. Voilà pourquoi les choses se mettent à déraper au point où la méchanceté des hommes nous ramène à l’époque de Noé, juste avant le Déluge. Et si Dieu n’intervenait pas bientôt, le monde sombrerait dans le chaos total de la tyrannie ou de l’anarchie.

Psaume 94:4-7 :

« Jusques à quand tous les ouvriers d’iniquité proféreront-ils et diront-ils des paroles rudes, et se vanteront-ils ? Eternel, ils froissent ton peuple, et affligent ton héritage. Ils tuent la veuve et l’étranger, et ils mettent à mort les orphelins. Et ils ont dit : L’Eternel ne le verra point ; le Dieu de Jacob n’en entendra rien. »

Prenez bien note de ceci : bien que ce fut écrit par David, il y a des milliers d’années, « ton peuple » et « ton héritage » se réfèrent à l’Église de toutes les époques, le peuple des Élus de Dieu. Car les chrétiens, qui constituent le véritable peuple de Dieu, ont toujours été persécutés au travers les siècles, même en « périodes d’accalmie ». Cependant, aujourd’hui, la gauche des wokes recommence à grincer des dents contre tous les préceptes moraux chrétiens et les principes fondamentaux de la société tirés de la Bible : la liberté de pensée, la liberté d’expression, la famille, les deux genres uniques de l’humanité, les droits naturels, etc. L’athéisme gagne du terrain, car le concept d’un Dieu créateur gêne les tyrans modernes qui se vautrent dans le mal tout en se présentant comme les nouveaux dieux du monde.

Proverbes 6:12-15 :

« L’homme qui imite le démon, est un homme violent et ses discours sont faux. Il fait signe de ses yeux, il parle de ses pieds, il enseigne de ses doigts. Il y a des renversements dans son cœur, il machine du mal en tout temps, il fait naître des querelles. C’est pourquoi sa calamité viendra subitement, il sera subitement brisé, il n’y aura point de guérison. »

Étonnant portrait de la haute hiérarchie des sociétés secrètes, comme la Franc-maçonnerie, qui a vendu son âme au Diable. Dans les pièces secrètes de leurs temples et de leurs synagogues, ils ont élaboré tout un langage corporel destiné à la communication secrète entre initiés, des signes par lesquels ils se reconnaissent en silence. Ils apostasient les croyances religieuses non babyloniennes pour s’adonner au culte à Lucifer, leur Grand Maître, leur Grand Architecte. Ils établissent des complots à l’échelle mondiale et engendrent des conflits et des guerres entre les nations afin de s’enrichir tout en créant des veuves et des orphelins ; tout cela pour obtenir sans cesse plus de pouvoir. Mais ce pouvoir n’est que temporaire, et lorsque le Christ reviendra, ils ne pourront rien y faire. Ils se cacheront dans leurs bunkers souterrains, criant aux montagnes de les couvrir, mais ce sera en vain, car leur faux dieu sera chassé et emprisonné dans l’abîme et eux seront détruits. Incidemment, il est ironique de voir ce passage écrit par Salomon, lequel les francs-maçons disent qu’il fut le premier Grand Maître de leur Ordre.

Proverbes 10:2 :

« Les trésors de méchanceté ne profiteront de rien ; mais la justice garantira de la mort. »

Les banquiers juifs internationaux s’occupent entièrement à concentrer toutes les richesses du monde entre leurs mains incroyablement avides. Ces richesses sont acquises par des activités malicieuses et maléfiques, comme le système bancaire mondial qui asservit les nations. Mais, paradoxalement, aucun des milliardaires méchants n’emporte un seul sou avec lui dans le séjour des morts. Et s’ils ne se convertissent, la seconde mort les attend et l’on oubliera même qu’ils aient jamais existé. Tandis que l’homme qui pratique la justice de Dieu ne verra jamais la seconde mort, mais il vivra éternellement.

Proverbes 14:22 :

« Ceux qui machinent du mal ne se fourvoient-ils pas ? Mais la bonté et la vérité seront pour ceux qui procurent le bien. »

Veuillez prendre note que l’expression « machiner du mal » signifie essentiellement « comploter ». Et l’on machine le mal dans le plus grand secret pour ne pas risquer de se faire prendre. Or, comment peut-on s’imaginer pouvoir comploter dans le dos de Dieu ? C’est véritablement se fourvoyer, car l’homme ne peut rien cacher à Dieu.

Proverbes 14:34 :

« La justice élève une nation ; mais le péché est l’opprobre des peuples. »

Des pays, des nations, des empires se sont créés en ayant pour principes directeurs les ordonnances de Dieu et une bonne santé morale. Ils se sont alors élevés et ont prospéré. Mais la nature humaine étant ce qu’elle est, l’on a peu à peu laissé les psychopathes de la Synagogue de Satan s’emparer du pouvoir et miner la culture religieuse chrétienne. La corruption et le péché se répandent dans tout l’empire et la chute s’en suit. Nous en voyons aujourd’hui l’exemple au sein de l’Empire américain et dans tout l’Occident. C’est le résultat de cette conspiration que peu de gens veulent reconnaître tout en en étant victimes. Mais…

Proverbes 15:3 :

« Les yeux de l’Eternel sont en tous lieux, contemplant les méchants et les bons. »

Peu importe les plans démoniaques de l’État profond et de son Nouvel Ordre Mondial, ils ne surprendront pas Dieu qui voit dans le secret. Il observe toutes les manigances de ces comploteurs et Il va agir le temps venu. Rien ni personne ne L’en empêchera.

Proverbes 15:11 :

« Le sépulcre et le gouffre sont devant l’Eternel ; combien plus les cœurs des enfants des hommes ? »

Dans leur folie meurtrière, les hommes ignobles de ce monde disent qu’il n’y a point de Dieu. Or, Celui qui les a créés connaît la moindre de leurs pensées et voit toutes leurs iniquités. Ils vivront donc bientôt la honte de voir tous leurs péchés dévoilés au grand jour, si ce n’est en ces temps-ci, ce sera lors du Jour du Jugement. Comment réagiront-ils alors ? Se repentiront-ils ou seront-ils trop orgueilleux pour s’humilier devant le Seigneur ?

Proverbes 16:4-5 :

« L’Eternel a fait tout pour soi-même ; et même le méchant pour le jour de la calamité. L’Eternel a en abomination tout homme hautain de cœur ; de main en main il ne demeurera point impuni. »

Des hommes au « cœur hautain », voilà qui décrit parfaitement et succinctement « l’Élite mondialiste » qui s’est donnée elle-même le pouvoir de régner en dictateurs sur le monde. Ces hommes se sont convaincus, par une torsion exécrable de l’esprit étalée sur des millénaires de propagande interne, d’avoir le droit, de par leur « intelligence supérieure » et leur « connaissance d’initiés », de diriger le peuple et de dicter jusqu’à ses pensées les plus intimes, formant de ce fait une armée d’esclaves prête à les servir en toute chose. Cette tyrannie se prépare depuis l’époque de Nemrod et « l’élite » est sur le point d’atteindre l’apogée de son pouvoir, ce qui mènera toutefois le monde à la catastrophe annoncée par la prophétie biblique. Cependant, les méchants ne sont pas obligés de demeurer méchants ; s’ils se repentaient, ils pourraient être sauvés. L’exemple de l’apôtre Paul nous le montre. Il fut meurtrier, tuant les enfants de Dieu. Mais le Seigneur l’appela et il se repentit amèrement pour devenir par la suite un important véhicule de l’Évangile.

Proverbes 16:18-19 :

« L’orgueil va devant l’écrasement ; et la fierté d’esprit devant la ruine. Mieux vaut être humilié d’esprit avec les débonnaires, que de partager le butin avec les orgueilleux. »

Dieu résiste aux orgueilleux et ceux-ci, malgré toute leur fierté, ne sauraient Lui tenir tête. L’orgueil est le premier péché inventé par Satan qui, pour en avoir souffert, a connu une chute retentissante. Depuis lors, il transmet cette faiblesse de caractère aux hommes arrogants qui s’en intoxiquent. L’orgueil pousse à s’élever au-dessus des autres, à se faire servir par les autres, à en faire ses esclaves, parce que l’on a une idée fausse de ce que l’on est en réalité. Ces hommes se croient supérieurs à ce qu’ils sont vraiment. Ils sont incapables de se voir objectivement et selon la perspective de Dieu. Les élites mondialistes sont remplies de vanité et se bourrent d’illusions. Lucifer avait une fausse opinion de lui-même ; son orgueil lui a fait croire qu’il était supérieur à Dieu Lui-même. Ça l’aveugla au point où il se crut capable de renverser Dieu et de s’asseoir sur le trône de l’univers. Son complot tourna court et sa chute fut brutale ; il fut jeté par terre. Il a toutefois conservé son orgueil et l’a inspiré aux grands milliardaires comploteurs qui vivront aussi leur chute et seront aussi jetés au sol. Quelle sera leur réaction quand ils se retrouveront face au Seigneur des seigneurs, le Roi des rois, et qu’ils prendront la mesure de leurs activités malsaines et futiles et de leur comportement inique ? Il est à espérer que le plus grand nombre – sinon tous – se réveilleront de leur torpeur et se repentiront humblement.

Proverbes 17:15 :

« Celui qui déclare juste le méchant, et celui qui déclare méchant le juste, sont tous deux en abomination à l’Eternel. »

Ici, en quelques mots, nous voyons décrite la conduite des membres du barreau à tous les niveaux – sauf de rares exceptions, peut-être – et les membres des médias traditionnels. Juges, avocats, procureurs, tous ces acteurs du système judiciaire moderne corrompu se prêtent à ce sombre jeu ; tandis que les médias mainstream font et défont des réputations au gré des tendances du discours unique en cours. Ceux qui veulent dévoiler la vérité sont déclarés méchants, sont avilis et conspués, alors que ceux qui propagent de grossiers mensonges sont portés aux nues et adulés en héros, protégés, subventionnés, financés, achetés. Le vrai est devenu le faux et le faux passe pour être vrai.

Proverbes 17:26 :

« Il n’est pas juste de condamner l’innocent à l’amende, ni que les principaux d’entre le peuple frappent quelqu’un pour avoir agi avec droiture. »

Dans les deux dernières années et demie, les exemples se sont multipliés de manière fulgurante où de pauvres gens cherchant à préserver leur liberté et leur santé se sont fait punir par des amendes et des interdictions de toutes les sortes. Avec la mise en force des fausses mesures sanitaires, il est devenu commun de condamner d’innocentes personnes qui savent qu’obéir à ces mesures ne fait pas que brimer leurs droits, mais s’avèrent inutiles et même nuisibles à leur santé physique et mentale. L’imposition de la vaccination – de ce qui n’est pas un vaccin, mais une thérapie génique destinée à altérer votre ADN, et qui a déjà fait des millions de morts et encore plus de blessés – a immédiatement été suivie de mesures coercitives et punitives qui ont fait perdre leur emploi à une grande partie de la population. On a privé les gens de leur gagne-pain et de la compagnie d’êtres chers, et certains ont fait de la prison ou ont reçu des amendes salées. Posséder la liberté et s’en servir est devenu un privilège accordé seulement aux plus riches et aux plus élevés de la société, ceux qui dirigent les nations vers un Nouvel Ordre Mondial où la majorité n’aura plus de liberté.

Proverbes 19:5, 9 :

« Le faux témoin ne demeurera point impuni ; et celui qui profère des mensonges, n’échappera point … Le faux témoin ne demeurera point impuni ; et celui qui profère des mensonges, périra. »

N’en dépaise à ceux qui disent que la Bible se répète inutilement, ils ne comprennent tout simplement pas l’importance de ce que Dieu répète intentionnellement pour bien nous l’entrer dans la tête. Car il y a des cous roides. Considérez les multiples organisations gouvernementales – le Mossad, la CIA, le FBI, la NSA, les MI-5 et 6, l’Interpol, etc. – qui obéissent à l’Élite mondialiste au doigt et à l’eil, et qui montent des dossiers véritables ou falsifiés pour mettre au pas les politiciens, ou qui fabriquent des campagnes de dénigrement pour essayer d’incriminer ceux qui tentent de mettre en lumière la terrible corruption de l’État profond et de toutes ses institutions, comme le font Donald Trump, Vladimir Poutine, Ron DeSantis et autres incorruptibles. Elles sont dirigées par les très puissants lobbies juifs, les banquiers juifs internationaux et leurs diverses fondations. Rappelez-vous, « Il y a une conspiration parmi mon peuple », a dit l’Éternel, et au sein même des nations, il y a cette plaie sioniste qui ronge la société comme un cancer depuis des siècles, voire des millénaires. La corruption luciférienne est maintenant si étendue que le monde va bientôt atteindre la phase terminale sous la botte de cette maffia infernale.

Proverbes 21:30 :

« Il n’y a ni sagesse, ni intelligence, ni conseil contre l’Eternel. »

L’exemple le plus frappant se trouve dans ce que Jésus nomma la « tradition des hommes » qui fut plus tard mise par écrit dans les volumes que l’on intitule aujourd’hui le Talmud babylonien et la Kabbale juive. Ce que les gens ignorent, c’est que cette « tradition » est au cœur même de la conspiration mondiale qui œuvre contre Dieu. Les rabbins qui ont écrit ces versets sataniques y tiennent souvent des propos insensés, sans sagesse ni intelligence, qui tombent dans la folie pure et l’obsession sexuelle. On se demanderait comment des adultes peuvent passer leur temps à étudier et à mémoriser ces élucubrations ineptes, si l’on ne savait pas que le but est de transformer la civilisation chrétienne en une tyrannie païenne vouée au culte à Satan. Ces écrits mènent à la psychopathie. Ils détruisent la famille en prônant le reniement du genre, en propageant la pédophilie, l’homosexualité et l’avortement. Le Talmud enseigne aux Juifs à dominer le monde et que les non-Juifs soient leurs esclaves. Mais pour ce faire, il faudra d’abord que la population des non-Juifs soit considérablement réduite afin de s’en assurer la bonne maîtrise.

Proverbes 22:7 :

« Le riche dominera sur les pauvres ; et celui qui emprunte, sera serviteur de l’homme qui prête. »

Dans le Talmud, il est affirmé que les Juifs sont une race de loin supérieure aux autres races, une race dotée de « l’étincelle divine ». Dès lors, il lui semble tout à fait normal que les Juifs puissent voler les Gentils et leur prendre tous leurs biens. Selon les rabbins, les possessions des Gentils appartiennent au premier Juif qui s’en empare. Voilà pourquoi, depuis des siècles, les Juifs se sont accaparé le pouvoir de l’argent en instituant le système bancaire afin d’émettre des prêts à des taux usuraires, ainsi que la maîtrise de l’émission des devises et de la monnaie. De nos jours, la forte majorité des institutions bancaires appartient à de riches familles juives et les plus grandes fortunes sont entre les mains de milliardaires juifs aux visées sionistes et globalistes : les Rothschild, les Rockefeller (descendants d’une ancienne branche des Rothschild), les Warburg, les Schiff, les Lehmann, etc. Alors que d’autres Juifs fortunés exercent une influence démesurée sur la politique mondiale, comme Bill Gates, George Soros, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc. Dans le judaïsme, l’amour de l’argent est encouragé sans réserve, car Mammon (l’argent) est leur dieu. C’est Karl Marx qui l’avouait lui-même. Pour les Juifs, l’argent est une bénédiction, il confère le pouvoir. Voilà pourquoi les gens les plus élevés dans la société sont affligés d’une insatiable soif d’argent et de puissance ; et ce genre de pouvoir corrompt ! Les personnes en position de pouvoir n’ont que faire du bien-être des populations en général ; ils les amènent plutôt vers un destin inspiré directement par le maître de la Corruption et de la Conspiration : Satan.

Les pays et nations sont donc surchargés de dettes qu’ils ne pourront jamais rembourser. Ils sont donc devenus la propriété des grands banquiers internationaux. Pour que les peuples voient leurs dettes remises, il leur faudra accepter le Nouvel Ordre Mondial technocratique imposé par les puissants « illuminés ». Mais heureusement, nous connaissons la suite de l’histoire. Ce Nouvel Ordre Mondial ne sera que le dernier soubresaut d’un monde corrompu et agonisant. L’homme aura alors fait la preuve qu’il ne peut pas se gouverner sans l’aide de Dieu, et qu’il ne peut définitivement pas se fier à Satan pour le conseiller.

Proverbes 22:16 :

« Celui qui fait tort au pauvre pour s’accroître, et qui donne au riche, ne peut manquer de tomber dans l’indigence. »

Tous ceux qui, en tant que chefs d’état, praticiens de la médecine conventionnelle ou journalistes dans un média officiel traditionnel, ont fait la promotion des mesures pseudo-sanitaires et ont avalisé l’imposition de l’injection de thérapies géniques ARN-messager faussement présentées comme vaccins, et qui ont de ce fait contribué à remplir les coffres des compagnies pharmaceutiques, vont éventuellement devoir en payer le prix. Si ce n’est pas entre les mains des hommes, ce sera inévitablement entre les mains de l’Éternel Dieu. Et d’indigents spirituels qu’ils sont maintenant, ils deviendront également indigents au niveau physique, car leurs fortunes leur seront enlevées et ils auront comploté en pure perte.

Les grandes familles illuministes qui dominent le monde, depuis parfois des siècles, prospèrent par leurs iniquités financières et leurs pièges économiques. Ils ont confié leur sort à Satan, leur dieu luciférien, et cela leur est néfaste à un point qu’elles ne sauraient maintenant comprendre. Croyant avoir trompé le monde, elles ignorent qu’elles sont les plus trompés des hommes, ayant été enfermées par Satan dans une disette spirituelle mortelle. Car le chemin du salut leur a été soigneusement caché depuis des générations. Ces hommes se sont égarés dans des méandres de mensonges pavés d’or et d’argent. Satan leur a appris à se servir du mensonge pour accéder au pouvoir. Alors, comment ne peuvent-ils pas concevoir qu’il leur ment à eux aussi, que ses promesses sont vides et conduisent aux ténèbres éternelles ? Il leur a fermé les portes du salut et ils ne s’en rendent pas compte.

Proverbes 22:22-23 :

« Ne pille point le chétif, parce qu’il est chétif ; et ne foule point l’affligé à la porte. Car l’Eternel défendra leur cause, et enlèvera l’âme de ceux qui les auront volés. »

Aujourd’hui, les gouvernements pillent le peuple parce que celui-ci n’a pas de pouvoir ; ils ont adopté des lois les protégeant contre les récriminations des masses. C’est la conspiration des riches contre les pauvres. La classe moyenne qui faisait le pont entre les deux classes extrêmes est en train de disparaître. Quel avocat peut se lever pour prendre la défense des pauvres opprimés ? Tout le système judiciaire est corrompu. Mais la Parole de Dieu nous assure qu’il y a un Avocat qui va défendre les chétifs, les affligés, les opprimés et les persécutés : Jésus-Christ, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, et personne ne pourra s’opposer ou tenir devant Sa défense, sinon, il périra : « nous avons un avocat envers le Père, savoir Jésus-Christ, le Juste » (1 Jean 2:1).

Proverbes 28:5 :

« Les gens adonnés au mal n’entendent point ce qui est droit ; mais ceux qui cherchent l’Eternel entendent tout. »

Notez que le mot « entendre » a, à la fois, le sens « d’écouter » et de « comprendre ». Les êtres malfaisants n’écoutent pas la droiture et la vérité parce que, trop souvent, ils ne les comprennent pas. Un grand nombre d’entre eux n’ont pas été élevés selon les préceptes divins. Ils ne les connaissent pas. Ils ne comprennent pas pourquoi une chose mauvaise est défendue, car leur esprit a été tordu par la pratique du mal. Mais ceux qui cherchent à faire la volonté de Dieu voient l’importance de s’exercer au bien par la pratique et par l’étude minutieuse de la Parole de Dieu qui redresse nos travers de pensée.

Proverbes 28:8 :

« Celui qui augmente son bien par usure et par surcroît, l’assemble pour celui qui en fera des libéralités aux pauvres. »

Tous ces trillions de dollars ou d’euros inscrits dans les comptes des banquiers usuriers vont finir par leur échapper et retourner au petit peuple duquel ils les ont volés. Tout ce système financier insensé va s’écrouler et laisser place à la justice du Royaume de Dieu.

Proverbes 28:11 :

« L’homme riche pense être sage ; mais le chétif qui est intelligent, le sondera. »

Les gens qui ont acquis de grosses fortunes par toutes sortes de moyens plus ou moins malhonnêtes croient les avoir obtenues par leur « sagesse » et leur « intelligence supérieure », ce qu’ils appellent « avoir le sens des affaires ». Mais leur définition de ces mots n’est visiblement pas la même que celle que l’on trouve dans les Écritures divines. Ils confondent « sagesse » avec « ruse » et « roublardise ». Chercher la perte de ses concurrents et tromper les masses n’est pas de la « sagesse ». Cependant, celui qui recherche la vraie intelligence et la vraie sagesse, telles que décrites dans la Parole de Dieu, pourra toujours dénoncer le malfaiteur avec assurance et vérité. Or, cela a pour effet, de nos jours, que le méchant se fait ennemi du juste et il complote sa perte. Le gouffre entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux, s’élargit et s’approfondit sans cesse.

Proverbes 28:15-16 :

« Le dominateur méchant sur un peuple pauvre, est un lion rugissant, et comme un ours quêtant sa proie. Le Conducteur qui manque d’intelligence, fait beaucoup d’extorsions ; mais celui qui hait le gain déshonnête, prolongera ses jours. »

Qui ne pourrait reconnaître nos dirigeants dans ce portrait peu flatteur de nombreux chefs d’état ? Ils sont comme des enfants gâtés qui n’ont pas été élevés convenablement. Plusieurs n’ont jamais exercé un travail décent de leur vie. Il y a un Président sénile et débile, deux anciens acteurs médiocres, des anciens avocats tordus, des anciens journalistes, tous des professionnels du mensonge, grisés par le pouvoir et dressés par les globalistes internationaux qui, eux, sont de véritables psychopathes dénués de tout sentiment et extrêmement dangereux. Des prédateurs. Les chefs d’état ont, pour la plupart, une épée de Damoclès suspendue au-dessus de leur tête, c’est-à-dire, un gros dossier incriminant qui pourrait être rendu public si la marionnette ne fait exactement au doigt et à l’œil ce qu’on lui commande. La plupart reçoit d’énormes sommes des grands consortiums et des grosses corporations, de même que des diverses fondations. Ainsi, ils obéissent et imposent par décrets des mesures obligatoires qu’aucune science ne soutient et que rien ne justifie, et dans lesquelles l’absurde le dispute au ridicule. Crises sanitaires, campagnes de vaccination, changements climatiques, empreintes carbone, identification digitales et éventuellement… la marque de la bête. A coup sûr, il s’agit de la plus grande conspiration de l’histoire de l’humanité.

Proverbes 28:28 :

« Quand les méchants s’élèvent, l’homme se cache ; mais quand ils périssent, les justes se multiplient. »

Vous remarquerez que c’est l’homme du commun qui se cache quand les méchants prennent le pouvoir. Nous vivons une période dans laquelle les hommes perfides ont grimpé les échelons du pouvoir et dirigent le monde. Et cela va encore empirer avant que les justes prolifèrent. Mais il faudra le retour du Christ pour cela, car le juste n’a pas la puissance pour faire ce qu’Il fera en tant que notre Sauveur : faire périr les méchants et jeter par terre tout leur système sociétal communiste.

Proverbes 29:2 :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Variante sur le même thème. Au fil de l’histoire, nous avons vu une constante : un pays dirigé par un bon chef possède une population prospère et des gens vivant heureux ; mais lorsqu’un tyran prend le pouvoir, tout le pays tombe dans l’appauvrissement. Dans les dernières années, nous avons pu en observer un exemple flagrant aux États-Unis. Sous la Présidence de Donald Trump, le peuple américain a connu une fulgurante croissance économique et les Américains moyens s’en réjouissaient. Lorsque Joe Biden a usurpé la Présidence, le pays a connu une descente aux enfers vertigineuse qui se poursuit toujours à ce jour, et les Américains moyens gémissent. Vous ne pouvez réellement croire, sans être tenu dans l’ignorance, que les Américains ont rejeté, aux élections de 2020, celui qui les faisait prospérer pour élire un homme dont la débilité est plus qu’apparente. Cette élection truquée faisait évidemment partie du grand complot de l’Élite globaliste qui ne veut pas que le peuple prospère et jouisse de son indépendance et de ses libertés. Au Canada, au Québec ou en France, essayez de vous remémorer le dernier dirigeant ayant fait prospérer les habitants de son pays… !

Proverbes 29:12 :

« Tous les serviteurs d’un Prince qui prête l’oreille à la parole de mensonge, sont méchants. »

Une des caractéristiques du dirigeant inique, c’est le fait qu’il est entouré de conseillers plus puissants que lui. Ce sont eux qui lui dictent ses paroles et ses actions. Ce sont eux qui produisent des lois, des décrets et des mesures politiques/sanitaires que le gouvernement doit adopter et faire appliquer. Ce sont les messagers de l’Élite mondialiste non élue. Ce sont des comploteurs exécutants.

Proverbes 29:16 :

« Quand les méchants sont avancés, les forfaits se multiplient ; mais les justes verront leur ruine. »

Ce passage est le pendant de Proverbes 29:2 et le complète. De nos jours, nous voyons non seulement les forfaits des méchants se multiplier, mais le mal se répand aussi à travers le peuple, car les gens sont influencés par les idéologies gauchisantes des gouvernements à tendance communiste.

Proverbes 29:23 :

« L’orgueil de l’homme l’abaisse, mais celui qui est humble d’esprit obtient la gloire. »

Quel paradoxe ! L’homme orgueilleux cherche toujours à s’élever vers la gloire, celle qui est humaine et, de ce fait, bien médiocre : et il est trop aveugle pour voir que, par son orgueil, il s’abaisse aux yeux des autres qui le méprisent ou le prennent en pitié. Tandis que l’humble d’esprit est aimé de Dieu et de ses concitoyens. Il cherche à s’effacer, mais les gens ont confiance en lui et Dieu lui prépare un avenir glorieux.

Les comploteurs de ce monde sont inévitablement des personnes orgueilleuses, alors qu’on entend rarement parler des hommes et des femmes humbles et modestes qui ne recherchent ni richesse, ni pouvoir, ni gloire, ni puissance, ni l’adulation des foules.

Généralement, l’idée que se font les gens des complots se résume à une bande de personnes opprimées qui veulent renverser ceux qui les oppriment. Mais si vous suggérez qu’il se peut que ce soit ceux qui oppriment les gens qui complotent pour renverser les libertés qui restent aux opprimés pour en faire de parfaits esclaves, ces mêmes gens – qui font pourtant partie des opprimés – crient à la « théorie du complot » en s’offusquant. Il leur est difficile de croire que les gouvernements les ont trompés, car cela insulte leur intelligence et choque leur orgueil. Ils ne peuvent s’imaginer que leurs dirigeants auraient pu leur faire le coup en pleine face.

Cette réaction a été conditionnée par les comploteurs afin de se protéger contre les attaques du peuple. Ils savent que si tout le monde se révoltait devant leur complot, on ne donnerait pas cher ce leur peau ; leur pouvoir s’évanouirait et ils se retrouveraient en prison ou à l’échafaud. Toutefois, le peuple est grandement divisé et un grand nombre sont de véritables illettrés politiques et historiques. Les soulèvements et les rassemblements ne sont le fait que d’une partie de la population et celle-ci n’a pas le pouvoir de renverser les gouvernements.

Voilà pourquoi il nous faut du renfort, un Avocat qui plaidera notre cause, Jésus-Christ, le Roi qui combattra pour nous. Or, notre cause est déjà gagnée et la bataille est déjà remportée. Son pouvoir et Sa gloire surpassent toute puissance et toute gloire et ce, sans commune mesure. Il S’en vient : « Parce que tu as gardé la parole de ma patience, je te garderai aussi de l’heure de la tentation qui doit arriver dans tout le monde, pour éprouver ceux qui habitent sur la terre. Voici, je viens bientôt ; tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne t’enlève ta couronne » (Apocalypse 3:10-11).




Les choses terrifiantes que les confinements nous ont démontrées à propos de l’humanité

Nous avons appris beaucoup de choses sur nos compatriotes au cours de la panique du virus, dont un grand nombre ne sont pas flatteuses.

Le rappeur américain qui se trouve à Londres, connu sous le nom de Zuby, a fait une liste de vingt de ces choses sur Twitter, et sa liste est devenue virale sur Internet.

J’ai pensé que vous apprécieriez cela :

Vingt choses que j’ai apprises (ou confirmées) à propos de l’humanité durant la « pandémie » :

  1. La plupart des gens préfèrent faire partie de la majorité que d’avoir raison.
  2. Au moins 20 % de la population a de fortes tendances autoritaires, lesquelles apparaîtront sous de bonnes conditions.
  3. La peur de la mort n’a de rivale que la peur de la désapprobation sociale. Cette dernière peut s’avérer plus forte.
  4. La propagande est aussi efficace en ces temps modernes qu’elle l’était il y a 100 ans. L’accès à l’information illimitée n’a pas fait du citoyen moyen une personne plus sage.
  5. Tout et n’importe quoi peut et doit être politisé par les médias, le gouvernement et ceux qui leur font confiance.
  6. De nombreux politiciens et de grandes entreprises sacrifieront joyeusement des vies humaines si cela est propice à leurs aspirations politiques et financières.
  7. La plupart des gens croient que le gouvernement agit dans les meilleurs intérêts du peuple. Même un grand nombre de ceux qui critiquent ouvertement le gouvernement.
  8. Une fois que leur idée est faite, la plupart des gens préfèrent s’engager à être dans le tort qu’admette qu’elles ont eu tort.
  9. Les êtres humains peuvent être formés et conditionnés rapidement et relativement facilement à altérer leur comportement de manière significative – pour le meilleur ou pour le pire.
  10. Quand ils sont suffisamment effrayés, non seulement les gens accepteront-ils l’autoritarisme, mais ils l’exigeront.
  11. Les personnes qui sont méprisées comme étant des « théoriciens de la conspiration » sont souvent bien renseignés et tout simplement en avant du narratif dominant.
  12. La plupart des gens valorisent la sécurité et la sauvegarde plus que la liberté et l’autonomie, même si la soi-disant « sécurité » n’est qu’une illusion.
  13. L’adaptation hédoniste se produit dans les deux directions, et une fois que l’inertie s’est installée, il est difficile aux gens de revenir à la « normale ».
  14. Un pourcentage significatif de la population aime profondément être soumis.
  15. La « Science » a évolué en une espèce de pseudo-religion séculière pour des millions de gens en Occident. Cette religion n’a que très peu à voir avec la science elle-même.
  16. Les gens se soucient plus d’avoir l’air de faire la bonne chose que de faire réellement la bonne chose.
  17. La politique, les médias, la science et les industries de la santé sont tous corrompus à des degrés variés. On peut acheter aussi facilement les scientistes et les docteurs que les politiciens.
  18. Si vous rendez les gens assez confortables, ils ne se révolteront pas. Vous pouvez rendre des millions de personnes dociles pendant que vous les dépouillez de leurs droits, en leur donnant de l’argent, de la nourriture et du divertissement.
  19. Les gens modernes sont trop satisfaits et manquent de vigilance quand vient le moment de défendre leurs propres libertés contre l’atteinte gouvernementale.
  20. Il est plus facile de tromper une personne que de la convaincre qu’elle a été trompée.

J’ai eu la chance de parler à Zuby dans le Tom Woods Show, donc, au cas où vous l’auriez manqué, voilà un gars qui n’a jamais cru à la folie du Covid, à la Théorie de la Critique Raciale, ni à quelque chose de complètement dingue que l’on s’attend à ce que tout le monde croit, et il ne croit pas que sa race détermine ses opinions :

https://tomwoods.com/ep-1921-rapper-zuby-on-race-politics-and-music

 




Le Ministère de la Vérité est en activité

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Décembre 2022

Par Jerry Barrett

Et perd de la crédibilité quotidiennement

« C’était la meilleure des époques, c’était la pire des époques, c’était l’ère de la sagesse, c’était l’ère de la folie, c’était l’époque de la foi, c’était l’époque de l’incrédulité, c’était la saison de la Lumière, c’était la saison des Ténèbres, c’était le printemps de l’espoir, c’était l’hiver du désespoir, nous avions tout devant nous, nous n’avions rien devant nous, nous allions tous nous rendre au Ciel, nous allions tous aller dans une autre direction… »

L’histoire de deux villes

Charles Dickens

 

« Contre-utopie – monde ou société imaginaire dans laquelle les gens mènent une vie misérable, déshumanisée et effrayante. »

Dictionnaire Merriam-Webster

Dans son classique L’histoire de deux villes, Charles Dickens établit un ton macabre dès la première phrase : « C’était la meilleure des époques, c’était la pire des époques… » On pourrait décrire de la même façon beaucoup de choses que l’on voit aujourd’hui en Amérique. Nous avons un minimum de liberté d’expression et une chance de réussir par un dur labeur et de la persévérance. À l’inverse, nous faisons face à une inflation galopante, à l’explosion du crime et à une crise potentielle de l’énergie.

C’était la meilleure des époques, c’était la pire des époques menant à une contre-utopie de vies déshumanisées.

Les pays autour du monde ont assurément affronté des bouleversements dans la vie quotidienne de leurs citoyens grâce à la pLandémie déclenchée en 2019. Entre les confinements et les politiciens exerçant des mandats et des décrets sans précédent – bon nombre fermant les frontières sous une loi martiale – les gens sont devenus plus conscients de l’austérité les entourant.

Est-ce que cela fait partie du Grand Plan de l’élite ? À coup sûr, une personne affamée sera encline à travailler plus fort dans le but d’obtenir un morceau de pain pour ses enfants. De plus, ces mêmes gens se dépouilleront de plus en plus de leur indépendance pourvu qu’on leur garantisse la sécurité.

L’amour de l’argent est la racine de tous les maux

Depuis le 11 septembre 2001, c’est devenu un thème récurent en Amérique. Beaucoup de gens ont la perception d’une constante dissension tourmentant le pays, et si l’on prend le temps de mettre en place les pièces du casse-tête, tout le tableau devient clair comme du cristal.

Posez-vous la question suivante : « Que veut le riche ? » Vous pourriez passer par toute la gamme des réponses, en commençant par avoir plus de choses, à plus de liberté financière, jusqu’à avoir un style de vie luxueux. La réponse simple est celle-ci : PLUS ! Plus d’argent égale plus de pouvoir et de contrôle. Plus d’argent signifie qu’il y a moins de compétition.

Bill Gates et George Soros illustrent cette description. Tous les deux sont follement riches et ils utilisent leurs largesses pour financer des projets qui accroissent leur contrôle sur l’humanité. Bien que ce soit un club exclusif, ne croyez pas qu’il s’agisse des seuls membres. Cet auteur-ci est certain que vous pourriez en nommer une demi-douzaine qui vous viennent à l’esprit. Toutefois, il ne faut pas de temps pour en faire le tour.

Pour s’assurer de son contrôle, l’élite emploie une multitude de laquais qui font volontiers ce qu’elle leur ordonne.

Contrôle de la narration

La propagande s’insinue dans nos sources de nouvelles depuis des décennies. Cette tactique a été légalisée il y a peu de temps, déversant ainsi un torrent d’articles, d’émissions de nouvelles et de reportages qui visent à provoquer des réactions de la part des lecteurs et des auditeurs.

Grâce à l’avènement de l’Internet, un nouveau portail a été ouvert aux scrutateurs de la vérité cherchant à exposer les personnages infâmes et leurs marionnettes. Les médias alternatifs se sont développés dans ce domaine au grand chagrin de l’élite.

Avec cette nouvelle technologie, sont venues d’autres activités de communication comme Twitter, MySpace, Facebook, Instagram, YouTube et d’autres. Des moteurs de recherche tels que Yahoo, Lycos, Google et bien d’autres, offrent des réponses rapides aux questions qui auraient auparavant exigé une visite à la bibliothèque locale et des heures de recherches.

D’emblée, le contrôle de cette information était primordiale. Ce qui explique facilement pourquoi Google a si rapidement acheté YouTube et d’autres propriétés, pendant que Facebook a englouti Instagram.

Il n’y a rien à voir ici

Le gouvernement des États-Unis n’est pas resté là sans rien faire. Il a utilisé son pouvoir massif pour tenter de façonner le discours disponible en ligne. Vous pouvez être sûrs qu’ils ont discuté de l’importance et de l’étendue de l’intervention, tout comme des requêtes de rationalisation pour censurer l’information dommageable.

Pendant que les médias alternatifs ont continué à rapporter fidèlement les questions allant de la localité originale de la pLandémie, à l’efficacité de la thérapie génique imposée par les entités gouvernementales, les fonctionnaires du gouvernement ont travaillé fiévreusement à réfuter toutes et chacune de ces informations.

Ken Klippenstein et Lee Fang ont produit, avec The Intercept, un reportage extrêmement bien documenté exposant la collusion entre notre gouvernement fédéral et les entreprises de médias sociaux. Selon ce rapport, les fonctionnaires du gouvernement ont pu « signaler directement le contenu sur Facebook et Instagram … par le moyen d’un portail spécial de Facebook qui exige un e-mail gouvernemental ou une mise en force de la loi pour être utilisé. »

Notre propre « Ministère de la Vérité » s’associe aux médias sociaux pour régler ce que l’on doit permettre de lancer comme information aux gens.

Quoique l’on ait découvert cela durant le régime Biden, n’oubliez pas que le Département de la Sécurité du Territoire (DHS) fut créé sous George W. Bush ! C’est une question bipartisane où le contrôle de votre information est de première importance aux yeux de ces gens qui demeurent en poste au lieu d’être derrière les barreaux.

La Sécurité du Territoire a sombré dans une bureaucratie massive, en devenant un appareil glouton, un peu comme le « Ministère de la Vérité » que présenta George Orwell dans sa nouvelle, 1984. Sa mission visant à combattre la désinformation a pris forme durant l’élection présidentielle de 2020, et elle a depuis lors étendu ses tentacules de manière vorace. Les autres cibles visées par le DHS incluent : la justice raciale, le retrait d’Afghanistan, le soutien américain envers l’Ukraine, de même que le portable de Hunter Biden.

Big Brother vous surveille

En 2018, pendant la Présidence de Donald Trump, celui-ci signa la Loi sur l’Agence de Cybersécurité et de la Sécurité de l’Infrastructure qui créait une nouvelle branche au DHS. Bien qu’inoffensif au départ, Big Brother accepta rapidement ce rôle pour étendre sa portée.

En janvier 2021, la Sécurité du Territoire créa l’atelier de travail sur la « Mésinformation, Désinformation et Malinformation » (MDM). Il fut créé pour promouvoir la flexibilité afin de se centrer sur la MDM. En avril 2022, Alejandro Mayorkas, secrétaire de la Sécurité du Territoire, tenta d’établir le « Comité de Gouvernance de la Désinformation ».

Il rencontra immédiatement une sévère opposition. Le critique du média Politico, Jack Shafer, écrivit : « Notre gouvernement produit des mensonges et de la désinformation à une échelle industrielle et l’a toujours fait. Il surclasse l’information vitale aux citoyens afin que ceux-ci ne deviennent pas plus intelligents. »

Éventuellement, le DHS a suspendu le Comité de Gouvernance de la Désinformation. Ou non ? Plutôt comme une hydre à qui l’on coupe une tête et à qui il en pousse deux autres à la place. Ce béhémoth bureaucratique croit que la désinformation et la mésinformation sont une portion croissante de ses tâches.

Êtes-vous un terroriste domestique ?

Malheureusement pour les Américains, il y a d’autres entités gouvernementales qui se sont branchées à l’arène du MDM. Le FBI a dépensé des millions de dollars en logiciels de retraçage sur les médias sociaux. De nombreux agents ont été réassignés à la division du terrorisme domestique afin de faire enquête sur vous !

Ces agents vont infiltrer les salles de chat, les forums, les blogs et les comités de communiqués pour rechercher ces gangsters du clavier. Après le fiasco du Watergate, le Congrès a adopté la Loi sur la Vie Privée de 1974 restreignant la collecte de données du gouvernement sur les citoyens américains exerçant leurs droits du Premier Amendement.

 Ces pantins et leurs marionnettistes auront tous à faire face un jour au trône du jugement. Entretemps, il nous reste la résolution indéfectible de dénoncer ces êtres malfaisants. L’apôtre Paul nous a donné cette directive : « Et ne communiquez point aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais au contraire reprenez-les » (Éphésiens 5:11).

Même si nous, en tant que chrétiens, ne sommes que des voyageurs sur cette terre, nous devrions soutenir notre pays, notre gouvernement et nos leaders. Il est tout à fait bien de ressentir du patriotisme envers notre nation. Toutefois, rappelons-nous toujours que notre loyauté première va entièrement à Jésus-Christ.


Par Sandra Myers

LA RÈGLE D’OR :

Celui qui possède l’or fait les lois

Qui dirige vraiment notre pays ? Indice : ce n’est pas Biden

« Pourquoi te vantes-tu du mal, vaillant homme ? La gratuité du Dieu Fort dure tous les jours. Ta langue trame des méchancetés, elle est comme un rasoir affilé, qui trompe. Tu aimes plus le mal que le bien, et le mensonge plus que de dire la vérité ; Sélah. Tu aimes tous les discours pernicieux, et le langage trompeur. Aussi le Dieu Fort te détruira pour jamais ; il t’enlèvera et t’arrachera de ta tente, et il te déracinera de la terre des vivants ; Sélah. Et les justes le verront, et craindront, et ils se riront d’un tel homme, disant : Voilà cet homme qui ne tenait point Dieu pour sa force, mais qui s’assurait sur ses grandes richesses, et qui mettait sa force en sa malice. »

Psaume 52:1-7

Ces deux derniers mois, j’ai parlé des contrôleurs des États-Unis. Pour résumer, il s’agit de gros argent – de l’argent direct comme de l’argent sombre non divulgué. George Soros est actuellement le visage des donations d’argent sombre fourni particulièrement au Parti démocrate. Mais ce n’est pas tout : il y a Michael Bloomberg, Sam Bankman-Fried, Tom Steyer et bien d’autres. Pour les républicains, il y a Sheldon et Miriam Adelson, Richard Uihlein, Kenneth C. Griffin et Timothy Mellon, entre bien d’autres.

Des entreprises font également des donations, souvent à la fois aux républicains et aux démocrates. Je parierais qu’ils veulent se couvrir.

En plus de l’argent, cet ancien grand pays est aussi maintenant dirigé par une sorte de comité privé. Le comité se compose des mêmes personnes qui brandissent leurs milliards.

Ces milliardaires émettent des ordres à partir d’un certain nombre de plateformes comme le Conseil des Relations Étrangères, le Forum Économique Mondial de Klaus Schwab, ceux qui assistent aux rencontres du G-20, le sommet du changement climatique, les rencontres de Bilderberg, etc.

Soros et les autres multimilliardaires du « un pourcent » utilisent leur argent pour acheter les élections, causer des bouleversements culturels et l’anarchie. Celui qui possède l’or établit les règles.

Devrions-nous être impressionnés par leurs vantardises de milliardaire ? Sans aucun doute les fonctionnaires républicains et démocrates sont très certainement impressionnés. Les milliards de l’Élite ont acheté la publicité, l’influence et la coopération électorales – en essence, ils ont acheté les sièges mêmes du gouvernement dont on a besoin pour renverser l’Amérique. Certains d’entre eux l’ont également fait dans d’autres pays.

Ce qui est risible, c’est que les politiciens compromis ont fait d’eux des bouffons et ils ne s’en rendent même pas compte. Ou peut-être que si. Toujours se prêter aux exigences pour obtenir des faveurs. Leur avarice et leur orgueil démesuré les aveuglent au point d’en faire les faibles et peureux pleurnicheurs qu’ils sont devenus.

Non seulement nous ont-ils vendus, vous, moi et tout le reste de ‘Amérique, mais ils ont particulièrement vendu Dieu.

On ne se moque pas de Dieu

La justice de Dieu voit ces gens méchants pour ce qu’ils sont et Il nous le montre aussi. Nous craignons Dieu et Sa puissance, ainsi que Sa capacité à rabaisser ceux qui se fient en leurs richesses. Nous ne craignons pas ces vantards méchants et cupides qui se réjouissent des troubles qu’ils causent. Nous pouvons en rire.

Ils mentent, ils trichent, ils volent et ils se construisent des trésors ici même sur terre. Mais c’est tout ce qu’ils auront. C’est leur seule récompense. Dieu va les déraciner.

Que devons-nous faire ?

Vous pouvez faire la différence ! Ne permettez pas qu’on vous dise qu’une personne, ou quelques personnes ne peuvent pas faire une grosse différence. Tristement, une personne, Madalyn Murray O’Hair, débuta une croisade impie qui a eu un impact sur nous jusqu’à aujourd’hui et fit la différence en faveur de l’athéisme et a sorti la prière des écoles.

Car pour nous qui aimons Jésus, la réponse semble évidente et elle est souvent citée. Dans 2 Chroniques 7:14, il est déclaré : « Et que mon peuple, sur lequel mon Nom est réclamé, s’humilie, et fasse des prières, et recherche ma face, et se détourne de sa mauvaise voie, alors je l’exaucerai des cieux, et je pardonnerai leurs péchés, et je guérirai leur pays. »

Si vous proclamez, comme moi, que Jésus est votre Sauveur personnel – cela nous retombe sur les épaules. Notre future génération ne le sait pas encore, mais elle compte sur nous.

« Racontez sa gloire parmi les nations, et ses merveilles parmi tous les peuples » (Psaume 96:3).