Les vaccins COVID-19 entravent le système immunitaire, mènent à des maladies plus sévères : Dr Robert Malone

THE EPOCH TIMES

4 août 2022

Une étude provenant du Royaume-Uni démontre que les travailleurs de la santé qui ont reçu plusieurs vaccins de rappel COVID-19 après avoir été initialement infectés par la souche virale originale de Wuhan sont plus enclins à la réinfection chronique par le variant Omicron.

Cela pourrait permettre d’expliquer pourquoi les gens qui reçoivent plusieurs vaccins de rappel COVID-19 composent de plus en plus ceux qui se retrouvent à l’hôpital avec des symptômes sévères de COVID-19 se terminant souvent par la mort, a dit le scientiste et physicien, le Dr Robert Malone.

Dans une entrevue du 21 juillet à l’émission Crossroads d’EpochTV, Malone, inventeur de la technologie du vaccin ARN-messager, a dit que ce phénomène est le résultat d’un processus appelé « empreinte immunitaire » par laquelle l’exposition initiale à la souche virale peut empêcher le corps de produire assez d’anticorps neutralisants contre une nouvelle souche.

Il ajoute que ce processus est renforcé par de multiples inoculations.

« Partout dans le monde, nous voyons des séries de données qui démontrent que, malheureusement, les personnes qui meurent et celles qui sont hospitalisées se trouvent par une majorité écrasante celles qui sont fortement vaccinées, » dit-il. « Ce ne sont pas ceux qui ont une immunité naturelle. »

Des vaccins basés sur de vieilles souches

Les vaccins COVID-19 actuellement en circulation sont basés sur la souche Wuhan du virus du PCC (Parti Communiste Chinois), que l’on appelle aussi SARS-CoV-2 causant la maladie que l’on identifie aujourd’hui comme le COVID-19.

Un certain nombre de souches a émergé et est devenu dominant depuis que s’est répandue la souche Wuhan, y compris l’actuel variant dominant Omicron.

Le problème réside dans le fait que les vaccins COVID-19 n’utilisent qu’un seul des composants de tout le virus, qui est une pointe de protéine du virus original identifié à Wuhan, Cette souche de virus n’existe plus et ne circule plus dans la population, dit Malone.

Si un vaccin basé sur une souche virale maintenant défunte est administré à répétition, il forme le système immunitaire à se concentrer de plus en plus sur l’antigène livré par le vaccin et à négliger tout ce qui est légèrement différent, explique Malone, appelant ce phénomène empreinte immunitaire.

« La littérature sur l’empreinte immunitaire est indestructible, » dit Malone. « Article après article, après article, maintenant, dans les journaux revus par les pairs provenant des plus grands laboratoires du monde, en font la documentation. »

Le phénomène est connu depuis longtemps dans le domaine de la vaccination, dit le Dr Malone, mais le sujet est défendu, et les gens qui travaillent dans le domaine préfèrent ne pas en discuter, dit-il.

Immunité par le vaccin vs immunité naturelle

Des travailleurs de la santé du Royaume-Uni – dont beaucoup ont été infectés par le variant Wuhan du virus et qui ont également reçu de trois à quatre doses du vaccin COVID-19 – ont développé des contaminations chroniques répétées du variant Omicron, nous a dit Malone, citant un article publié dans le journal académique Science.

Un autre article publié dans Nature montre que l’évolution du virus ne provient pas de la population en général, mais plutôt des personnes immuno-compromises qui ont reçu de multiples doses de vaccin, dit Malone, et environ 30 % de la population entièrement vaccinée se retrouve avec des infections à répétition.

Cela va à l’encontre du narratif promulgué qui veut que ce soit les non-vaccinés qui mettent toute la population en danger, remarque Malone.

L’immunité naturelle à l’infection COVID-19 dure au moins quatorze mois, y compris l’immunité contre les souches Omicron, dit Malone, en citant un article scientifique du Qatar qui n’a pas encore été révisé par les pairs (pdf).

L’immunité induite par le vaccin cependant, ne dure qu’environ deux mois, ajoute-t-il.

Lorsque quelqu’un est infecté par le virus original, cette personne va générer une réaction immune qui comprend « toutes les sortes de protéines du virus », pourvu qu’il ou elle n’ait pas expérimenté trop d’empreinte immune, explique Malone.

« Le problème qu’il y a avec ces vaccins monovalents, ou vaccins à simple antigène, c’est qu’ils activent toute votre réaction immune contre une seule chose par opposition à tout le virus. Donc, tout ce que le virus a à faire, c’est, de manière génétique et par évolution, de modifier légèrement quelques bosses pour échapper à ça, » dit-il. « Et c’est exactement ce qui est arrivé avec l’Omicron. »

Ce qu’il y a de paradoxal, c’est que la plupart des pays aux économies émergeantes et au bas taux de vaccination ont également les taux les plus bas au monde de mortalité par le COVID-19, poursuit Malone.

« Il est probable que nous allons continuer à voir cette tendance, » dit-il.

Selon Our World in Data (Notre monde en données), seulement 1,4 % de la population d’Haïti a été vaccinée et le pays a enregistré 838 morts COVID-19, un taux de 73 morts par million d’habitants.

En Afrique du Sud, où 32 % de la population est vaccinée, il y a eu près de 102 000 morts, un taux de 1 717 morts par million d’habitants.

Au Royaume-Uni, 75 % de la population est vaccinée et plus de 184 000 personnes sont mortes, ce qui constitue un taux de 2 736 décès par million.

Et aux États-Unis, 67 % de la population est vaccinée et 1,03 million de gens sont morts du virus, soit un taux de 3 058 décès par million de gens.

D’autres problèmes causés par les vaccins

Malone souligne un problème avec les vaccins ARN-messager actuels.

Lorsqu’un vaccin est injecté dans le bras d’un patient, l’ARN du vaccin, qui est un ARN modifié, est censé ne durer qu’une couple d’heures, mais une étude de l’Université Stanford montre que « l’ARN reste pendant au moins 60 jours, » dit Malone.

Toutefois, le gouvernement ne tient compte que des réactions et des maladies vaccinales qui sont enregistrées par le Système de Rapport d’Événement Adverse Vaccinal (VAERS) à l’intérieur des deux premières semaines après la vaccination, même si le médicament est encore dans le corps deux mois après, dit Malone.

« L’ARN du vaccin produit plus de pointes de protéine que ne le fait l’infection naturelle, » dit-il. « Il est donc tout à fait sensé que nous voyions davantage d’effets adverses à cause de ces vaccins que ce que nous avons vu à cause de l’infection elle-même, parce que la pointe est une toxine. »

Le VAERS a été établi par les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies [CDC] et l’Administration des Aliments et des Médicaments [FDA] pour collecter et analyser les données concernant les effets adverses de la vaccination.

Le système se fie aux individus pour qu’ils envoient des rapports, et on ne s’attend pas à ce qu’il détermine si un problème de santé rapporté a été causé par un vaccin, mais il est « particulièrement utile pour détecter les modèles inhabituels et inattendus du reportage des effets adverses qui pourrait indiquer un possible problème de sécurité du vaccin, » selon le Département des Services de Santé Humaine.

Malone, qui est président et cofondateur de l’Alliance Internationale des Physiciens et des Scientistes Médicaux, dit que plus de 17 000 docteurs et scientifiques ont signé une déclaration disant de manière non équivoque que les vaccins génétiques doivent être retirés.

« Ces vaccins génétiques ne marchent pas, » dit-il.

 




Intoxication de l’Amérique

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2022

Par Jerry Barrett

Les médicaments comme solution de fortune et prescrites par les psychiatres tuent notre nation

« Soyez sobres, et veillez : car le diable, votre adversaire, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer. »

Romains 16:17-19

« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance. »

Jean 10:7-10

L’Amérique souffre d’une dramatique épidémie de sur-médication. Au lieu de rechercher Dieu, de plus en plus de gens se tournent vers Big Pharma pour avoir des réponses. Cette mentalité de « solution de fortune » est en train de détruire notre pays jadis si grand.

Y a-t-il à se demander pourquoi il y a de nos jours plus de tueries de masse ? L’assistance aux églises est en déclin alors que le culte à Satan s’accroît. Au lieu de vivre de manière biblique, plusieurs ont tourné le dos et croient qu’ils en savent maintenant plus que Lui.

La « dépression » se caractérise par des sentiments de tristesse, de désespoir et d’anxiété. Selon un article paru dans National Library of Medicine, le désordre dépressif majeur (DDM) est le plus commun des désordres d’humeur en Amérique. Le taux moyen de ceux qui vivent un DDM est de 2 à 7 % en Amérique et en Europe.

La dépression était-elle courante dans la société ?

Avant la découverte des antidépresseurs narcotiques, les patients étaient envoyés dans des lieux de repos ou des asiles. Beaucoup de traitements étaient inhumains d’après les standards d’aujourd’hui – ils comprenaient la thérapie par électrochocs, la thérapie convulsive, l’isolation, les saignées et plus encore. Puisque la psychiatrie est davantage une science sociale qu’une science pure, les comportements humains peuvent s’avérer difficiles à comprendre.

La première drogue pharmaceutique utilisée dans le traitement des patients ayant un diagnostic de dépression fut la Trofanil. À l’origine, elle fut créée pour traiter les patients atteints de tuberculose, mais les médecins notèrent une amélioration de l’humeur chez ceux qui l’utilisaient. Cela mena au développement d’autres médications d’antidépresseurs. Comme c’est toujours le cas avec les médicaments que font les hommes, les effets secondaires étaient déplaisants.

À la fin des années 1980, Big Pharma introduisit le Prozac. Cela conduisit à un matraquage d’autres narcotiques (Zoloft, Paxil, Wellbutrin, Trinitellix, etc.) que l’on reconnaît être des inhibiteurs sélectifs de réactivation de la sérotonine (ISRS). Ces drogues visent les niveaux de sérotonine dans le cerveau.

Aujourd’hui, on prescrit ces médicaments à un taux alarmant. Ils sont la troisième médication la plus prise aux États-Unis. De nombreux cliniciens croient que, puisque nous en savons fort peu sur les maladies mentales, nous pouvons bien essayer ces pilules. Mais prescrit-on trop de ces narcotiques ?

Tout le monde passe par des périodes de dépression et d’anxiété. Il y a un flux et un reflux de choses qui nous affectent dans la vie, qu’elles soient positives ou négatives. Le déchaînement d’hormones chez les adolescents qui vivent la transition entre la jeunesse et l’état adulte en est un exemple. Au lieu de parler de ces problèmes avec un pasteur de confiance ou des parents, notre pays se contente maintenant de faire usage de drogues comme solution de fortune.

Dans un article écrit par Caleb Owens et intitulé Une vérité inconfortable : Est-ce que la hausse des antidépresseurs et des ISRS alimente les tueries de masse ? (http://www.psychreg.org/antidepressants-ssri-mass-shootings/, nous apprenons :

« Une étude publiée dans Psychotherapy and Psychosomatics a examiné 5 639 patients aux États-Unis qui étaient diagnostiqués par leur clinicien comme ayant une dépression et on a comparé leurs symptômes aux critères DSM de dépression clinique. De ces patients, seulement 38.4 % rencontrèrent les critères, même si l’on avait prescrit à la majorité des 5 639 patients de la médication antidépressive. »

Une autre question que l’on doit se poser, c’est combien de psychiatres sont parrainés par Big Pharma ? La réponse peut être aussi alarmante que le mauvais diagnostique mentionné ci-haut :

« Plus de la moitié des psychiatres actifs (55,7 %) reçoivent une forme quelconque de paiement de la part des manufacturiers pharmaceutiques. De ceux-là, les 2,8 % des psychiatres situés au sommet reçoivent 82,6 % des paiements. Les manufacturiers pharmaceutiques pourvoient 812 877 paiements d’une valeur de 110 512 607.18 $ à 26 422 psychiatres aux États-Unis. » (National Library of Medecine)

Y a-t-il un lien entre les antidépresseurs et les tueries de masse ?

Le psychiatre Peter Breggin, auteur de Toxic Psychiatry and Talking Back to Prozac, a abondamment écrit au sujet de la violence associée aux antidépresseurs ISRS. On a entendu M. Breggin dire un jour : « Le phénomène des réactions maniaques induites par les médicaments et causées par les antidépresseurs est si largement reconnu qu’on en a discuté à plusieurs reprises dans le Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Desorders of the American Psychiatric Association (Manuel de diagnostiques et de statistiques des désordres mentaux de l’Association Psychiatrique Américaine). »

Les Big Pharmas argumenteront que les suicides et/ou les homicides sont déclenchés par la « maladie » et non pas par le « médicament ». Mais à mesure que surviennent les tueries de masse, les données semblent contredire cette déclaration. De soi-disant experts, qui sont ou ne sont pas sur la liste de paie de Big Pharma, continuent d’arguer que la corrélation n’équivaut pas à une causalité. Bien que la dépression par elle-même ne conduise pas nécessairement à la violence, la croissance massive de prescription d’antidépresseurs ISRS a une corrélation avec le chiffre croissant des tueries de masse.

Quelle est la définition d’une tuerie de masse ?

Il n’y a pas de consensus sur la définition. Certains déclarent que, dans l’incident, il doit y avoir quatre personnes ou plus qui sont tuées ou touchées – sans inclure le tueur – en une courte période de temps. D’autres disent que, dans l’incident, il doit y avoir trois personnes ou plus de touchées par les tirs. Gardez toutefois en tête que la violence par les drogues et les gangs ne sont jamais classés dans les événements de tuerie de masse.

Peu importe la définition choisie, il y a des preuves irréfutables qu’un grand nombre d’auteurs de tueries sont sous l’effet de médicaments psychotropes. Nous ne saurons peut-être jamais la vérité à propos des antidépresseurs utilisés, soit par le tireur de l’École élémentaire Robb d’Uvalde, au Texas, (je refuse de publier leur nom) ou à la Parade du 4 juillet en Illinois. Cependant, lorsque l’on considère ceux qui sont venus avant, il s’agit d’une question à laquelle on devrait répondre.

Voici une courte liste de tueurs de masse que l’on savait être sous l’effet de médicaments psychotropes :

 

James Eagan Holmes, 24 ans, 12 morts, 70 blessés, [antidépresseur : Zoloft (générique)]

James Eagan Holmes, le « Tueur du Film Batman », a tiré dans une salle de cinéma d’Aurora, au Colorado, en juillet 2012. Dans son livre de notes personnelles, qu’il envoya à son psychiatre le jour de son accès de folie meurtrière, Holmes dit qu’à part d’avoir perdu son anxiété, il avait perdu sa peur des représailles.

 

 

Eric Harris, 17 ans, 14 morts, 23 blessés, [antidépresseurs : Zoloft, Luvox]

La moitié des « Tueurs de Colombine » assassina 12 étudiants et un enseignant à Littleton, au Colorado, en 1999.  Harris avait transféré d’antidépresseurs du Zoloft au Luvox qui est reconnu pour causer la folie et la violence qui l’accompagne.  On trouva de l’ISRS dans son sang lors de l’autopsie.

 

 

 

Patrick Purdy, 25 ans, 5 morts, 30 blessés [antidépresseurs : Amitryptyline]

Purdy tua cinq enfants et en blessa 30 autres dans une cour d’école lors de son accès de folie meurtrière, à Stockton, en Californie, en janvier 1989. Il prenait de l’antidépresseur Amitryptyline de même que de l’antipsychotique  Thorazine.

 

 

 

Seung-Hui Cho, 23 ans, 32 morts, 23 blessés [antidépresseurs : Prozac, Paxil]

Seung-Hui Cho déambula dans le campus de l’Université Tech de la Virginie, le 16 avril 2007, et il assassina 32 étudiants. On lui avait diagnostiqué un désordre dépressif majeur et on lui avait prescrit du Prozac après qu’il eut été sur le Paxil.

 

 

Jeff Weise, 16 ans, 10 morts, 12 blessés [antidépresseur : Prozac]

L’on aurait prescrit des antidépresseurs à Jeff Weise après une tentative de suicide. Un jour, en 2005, il fit feu et tua son grand-père et l’amie de son grand-père, puis 7 personnes dans une école secondaire de Red Lake, au Minnesota, avant de se suicider.

 

 

 

La clameur actuelle venant des médias contrôlés, comme de la gauche folle, demande qu’il y ait plus de contrôle des armes. Aussi longtemps que Big Pharma continuera à financer les grands réseaux de nouvelles et les politiciens, il n’y aura pas de rapport complet exposant les effets toxiques de ces médicaments qui altèrent l’esprit. Malheureusement, il n’y aura pas non plus de leur part d’appel à venir au Christ Jésus. C’est là le plus gros problème de l’Amérique.

***

Par Michelle Hallmark Powell

Notre Seigneur et Sauveur donnera-t-Il un répit aux États-Unis ?

Un miracle de Dieu est survenu la semaine dernière. L’horrible précédent Roe vs Wade fut retiré par la Cour Suprême. Dieu soit loué. Nous devrions tous remercier quotidiennement le Seigneur pour cette décision et prier pour que cela donne un peu de répit à notre pays.

Un peu partout dans la Bible, Dieu parle des Arabes, des Égyptiens, des Grecs, des Romains et des Israélites.

L’avortement, en réalité, existe depuis environ l’an 1550 av. J.-C.. On en a enregistré dans le Papyrus Ebers égyptien. Donc, Dieu a été fort patient envers nos meurtres d’innocents.

Bien qu’il y ait eu pas mal de luttes et d’émeutes à cause de la décision, cela n’a pas vraiment arrêté l’avortement. Il est laissé aux gouvernements d’états individuels de décider, tout dépendant qui a été élu et quels sont ses points de vue pour rendre la question des avortements légale ou pas. Les états peuvent limiter l’âge du bébé que l’on peut avorter (bien que ce soit un meurtre à n’importe quel âge et épouvantable pour Dieu). Ils peuvent mettre les cliniques d’avortement en banqueroute en les rendant illégales dans un état particulier. Le Gouvernement d’État peut donner une amende ou pénaliser toute institution ou toute personne qui exécute un avortement. Le tout dépend de l’état. De nombreux états n’ont aucune restriction en ce qui concerne l’avortement. Ils promeuvent et annoncent aux femmes qu’elles peuvent venir dans leur état pour obtenir leur soin de santé (avortement) si nécessaire. C’est devenu si commun que l’avortement est en réalité une autre forme de contrôle des naissances.

C’est un argument tel, pour les gauchistes, qu’il s’agit réellement pour eux d’un « culte de la mort ». Ils sont remplis de joie devant le sang répandu d’un innocent. Cette célébration particulière était vue comme une merveilleuse chose pour la femme qui assassine son enfant. Il y a même un choix sélectif d’avortement. Si vous êtes pour avoir des jumeaux ou des triplets, et que vous ne voulez pas autant d’enfants, vous et votre médecin devrez choisir quel enfant vivra et quels autres mourront. Quelle chose horrible à faire vivre à l’enfant survivant, si on le lui dit jamais.

L’Union soviétique de Lénine fut le premier pays de l’ère moderne à légaliser l’avortement. Cette décision a été formellement changée par Poutine.

La Chine incita à l’avortement au 20e siècle pour réduire sa population. Malheureusement, la Chine entretient encore des choix sélectifs d’avortement, tout dépendant de son besoin de bébés femelles ou mâles.

Il y a tout un tas de gens dingues et fourvoyés qui veulent faire la promotion de l’avortement. Un homme armé s’est rendu à la maison du Juge Kavanaugh où vivent lui et sa famille, et l’homme en colère qui était vexé du renversement de la décision Roe vs Wade décida de prendre les choses en main. Par chance, la police atrappa l’homme avant qu’il n’assassine le juge Kavanaugh. Nous ne devrions pas être surpris de ce genre d’événement, car l’ancienne porte-parole à la Maison Blanche, Jen Psaki, a encouragé les protestataires à manifester devant les maisons des « juges conservateurs de la Cour Suprême ». Puis, nous avons l’AOC qui fulmine de protestations. Mais pire encore, nous avons Maxine Waters qui dit vouloir ignorer les règlements de la Cour Suprême et protester.

Amanda Herring, à l’extérieur de la Cour Suprême, le 24 juin 2022, avec un message écrit disant que le bébé à naître bientôt n’était pas encore réellement un être humain. Son bébé est né le 25 juin. [Twitter]

Nous avons ensuite la « Vengeance de Jane », un groupe terroriste qui menace continuellement de destruction, de vandalisme et d’incendie les multiples sièges du mouvement Pro-vie. Il a déjà frappé plusieurs installations Pro-vie chrétiennes en essayant de nous épuiser. Nous devons continuer à remercier Dieu pour ce miracle et prier pour demeurer forts, ne cessant de nous repentir pour les atrocités accomplies et persister à protéger les bébés innocents pas encore nés.

Nous devons faire comme le peuple de Ninive qui se repentit et Dieu ne les détruisit pas, leur donnant même encore quelques années (Jonas 3:9).

Avec le repentir et beaucoup de prières, Dieu ajouta quinze ans à la vie d’Ézéchias et le délivra, lui et sa ville, du roi d’Assyrie (2 Rois 20:6).

Notre Seigneur est le Seigneur des deuxièmes chances, si l’on se repent, si l’on change et si l’on prie constamment. Prions donc pour qu’Il donne aux États-Unis une autre chance, quoi qu’il y ait bien d’autres péchés graves dont nous devrions nous repentir.




Paganisme évangélique

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

28 juillet 2022

Il est temps de faire face à la réalité : l’église évangélique n’est, en grande partie, plus rien d’autre qu’une branche du paganisme. Il n’y a presque plus rien de chrétien. C’est vrai, les édifices d’église ont la trame, les symboles et les cérémonies qui ressemblent à la chrétienté historique, mais ce n’est qu’une ruse. Le cœur et l’âme de la foi chrétienne sont morts dans la plupart des « églises » évangéliques.

Le plus récent Sondage Gallup confirme ce que je dis :

Alors que le littéralisme biblique est depuis longtemps tenue pour la méthode la plus dominante d’interprétation des Écritures chez les Évangéliques, les résultats d’un nouveau sondage émis par Gallup révèlent que moins de la moitié des chrétiens évangéliques nés de nouveau croient que l’on doit prendre la Bible de façon littérale.

Le sondage … démontre que seulement 40 % des répondants qui s’identifient aux évangéliques ou nés de nouveau voient en la Bible « la Parole réelle de Dieu ».

En 2015, près de 60 % des églises évangéliques adoptaient une interprétation littérale des Écritures, démontrent des données de Pew Research.

Pensez-y : Il y a à peine sept ans, jusqu’à 60 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » croyaient que la Bible est « réellement la Parole de Dieu » (ce qui est encore un nombre atrocement bas). Mais maintenant – juste sept courtes années plus tard – seulement 40 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » croient que la Bible est « réellement la Parole de Dieu ».

Quel sera ce chiffre dans sept ans d’ici ? Il est douloureusement évident où mènent ces chiffres.

Donc, voilà un instantané des « églises » évangéliques d’aujourd’hui : 60 % des membres ne croient pas que la Bible est réellement la Parole de Dieu. Cela signifie que 60 % ne croient pas en la divinité du Christ, prouvée par Ses miracles et Sa résurrection des morts, parce que la Bible (la Parole réelle de Dieu) enseigne de manière dogmatique et omniprésente que Jésus est Dieu dans la chair, égal à Dieu le Père en tout ce qui concerne la déité.

Cela veut dire que 60 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » sont aussi perdus et destinés à l’enfer que la majorité des personnes païennes de la planète. Ils n’ont pas la grâce de Dieu, Sa miséricorde, Sa rédemption ou Son pardon des péchés.

Ça aide à comprendre que « l’église » peut-être aussi contente d’elle-même, aussi matérialiste, aussi arrogante et aussi égocentrique que, eh bien, Donald Trump. Vous voyez, la raison pour laquelle « l’église » évangélique aime Trump, c’est qu’elle est exactement comme lui : très charnelle, orgueilleuse, sur-exaltée et pleine de l’amour de l’argent.

Est-il surprenant, alors, qu’un nouveau livre blasphématoire sur Trump, écrit par un « chrétien », qui proclame que Trump est l’accomplissement de Christ en tant que Fils de l’Homme, soit le dernier testament de la relation blasphématoire que les évangéliques entretiennent avec Trump depuis 2016 ?

Ce genre d’incessant blasphème des évangéliques en ce qui regarde Trump ne fait qu’enfoncer les derniers clous dans le cercueil de cette fausse « église ».

Et il y a encore un autre signal manifeste que « l’église » évangélique a sombré dans le paganisme : son amour et son obsession pour l’Israël païen.

Mettons tout de suite les choses au clair : L’État sioniste d’Israël en Palestine, créé en 1948 par les Rothschild et les Nations Unies, n’est pas l’Israël de l’Ancien Testament. Ce n’est pas l’accomplissement d’une prophétie biblique ; ce n’est plus la Terre Sainte ; et les Juifs ashkénazes qui y habitent ne sont pas le « Peuple Élu de Dieu ».

Regardez mon message God’s Chosen People, The Children of Promise, The Israel of God and Romans Chapter Eleven [en anglais seulement].

Le judaïsme n’est pas non plus la religion des Israélites sous Moïse. En fait, vous ne trouverez nulle part le mot « judaïsme » dans la Bible (KJV). [N. du T. : Dans la version française de David Martin, le mot « judaïsme » se trouve à deux endroits, soit dans Galates 1:13 et 14 que la KJV a traduit par « the Jews’ religion » (la religion des Juifs), ce qui veut dire que Paul n’a pas été élevé dans la religion de l’Ancien Testament.] Le judaïsme est la religion des pharisiens – qui furent les ennemis mortels de notre Seigneur Jésus-Christ et dont les descendants spirituels demeurent aujourd’hui les ennemis mortels de Christ et de Son Église.

Le judaïsme est aussi païen que l’islam. Correction ! Il est PLUS païen que l’islam.

Comparez la manière que le Talmud juif et le Coran musulman traitent le Seigneur Jésus-Christ :

Dans le Talmud :

*Jésus est né en dehors des liens du mariage (Mishna Yebamoth 4,13) de Sa mère, Myryam, et de son amoureux Pantera (Shabbat 104b). On dit qu’elle fut la descendante des princes et des dirigeants, et d’avoir joué à la prostituée avec un charpentier (Sanhédrin 106a).

*Jésus passa du temps en Égypte d’où Il apprit la magie. C’était un magicien qui trompait et dévoyait Israël. Il se moquait des paroles des sages, était entaché d’hérésie et fut donc excommunié (Sanhédrin 107b).

*Il Se nommait Lui-même Dieu et également le Fils de l’Homme, et Il dit qu’Il monterait au ciel (Jerusalem Taanit 65a). Il avait cinq disciples (Sanhédrin 43a). Il fut accusé d’être trompeur et d’enseigner l’apostasie (Tosephta Sanhédrin X, 11 ; Jérusalem Sanhédrin 25c,d).

*Il fut exécuté à la veille de la Pâque, ce qui était aussi la veille du Sabbat, en étant lapidé (Tosephta Sanhédrin IX, 7).

*Il (sous le nom de Balaam) fut mis à mort par Pinchas le Voleur quand Il eut trente-trois ans (Sanhédrin 106b). Il fut puni dans la Géhenne au moyen d’excréments bouillonnants (Gittin 56b, 57a).

*Sous le nom de Balaam, Il fait partie des exclus du monde à venir (Mishna Sanhédrin X, 2).

Dans le Coran :

*Jésus est né de la Vierge Marie.

*Jésus était fortifié par le Saint-Esprit.

*Jésus reçut des révélations d’Allah.

*Jésus monta corporellement au ciel et reviendra.

*Jésus faisait des œuvres miraculeuses.

*Allah envoya l’Évangile à Jésus.

*Jésus parlait quand Il avait deux ans.

De toute évidence, aucune de ces religions ne reconnaît Jésus pour qui Il était vraiment : le Dieu de la création ; le Créateur fait chair ; le Dieu/homme parfait ; le Sauveur et le Rédempteur du monde ; le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs.

Les deux religions sont des systèmes de croyances païennes. Mais veuillez noter la différence de respect ou de manque de respect envers Jésus dans le Talmud et le Coran. Le Talmud blasphème Christ par les termes les plus vulgaires. Le Coran parle de Jésus avec dignité et respect – même s’il soumet le Christ à Mahomet, ce que même Mahomet sait maintenant qu’il s’agit d’une erreur monumentale.

Donc, si vous analysez avec objectivité les deux fausses religions du judaïsme et de l’islam, vous serez forcés de conclure que le judaïsme est de loin plus païen que l’islam.

Pourtant, les chrétiens évangéliques à l’échelle nationale adorent l’État d’Israël et expriment publiquement le désir meurtrier d’annihiler complètement les pays musulmans du monde, même si l’Évangile de Christ se répand plus rapidement dans le monde musulman, en ce moment, que dans n’importe quelle autre partie de la terre.

L’évangéliste Jimmy Swaggart a récemment dit, dans une de ses émissions télévisées, que la seule manière que Dieu puisse bénir les États-Unis, c’est si les USA bénissent Israël. Ce mensonge a été régurgité des millions de fois à la télévision et à la radio, dans des livres et des magazines, et par des pasteurs et des évangélistes dans tout le pays – et c’est un des mensonges les plus gros à avoir été propagé.

Je suggère au lecteur de regarder mon message I Will Curse Them That Bless Thee [en anglais seulement], qui se situe dans Israel Package-Set One.

Voyons voir : Nous avons « béni » Israël depuis sa création en 1948. Nous avons fourni des milliards de dollars en aide, incluant l’équipement militaire le plus sophistiqué sur terre – même de l’armement nucléaire. Nous lui avons donné de la protection militaire – même au prix de guerres étrangères et de sang américain répandu – dans le but premier de défendre Israël. Nous avons volontairement permis qu’un nombre indicible de citoyens américains et de personnel militaire soit massacré entre les mains de l’état d’Israël. Dans l’intérêt d’Israël, l’armée américaine a tué des millions de gens innocents dans tout le Proche-Orient et dans le nord de l’Afrique.

Nous avons donné à Israël un accès sans entrave à tous les niveaux de gouvernement au sein des États-Unis. Trente-cinq états des États-Unis ont passé comme loi qu’il est criminel de ne pas faire affaires avec Israël. Certains états ont même rendu illégal de critiquer Israël dans les écoles publiques et les collèges. Israël se casserait littéralement la figure sans l’assistance des payeurs de taxe provenant du Trésor américain et les milliards de dollars yankees dépensés par les touristes chrétiens sionistes qui se rendent en Israël chaque année.

En outre, les États-Unis ont camouflé le nettoyage ethnique, le génocide et la persécution apartheid du peuple palestinien depuis 74 ans.

Nous avons collaboré avec Israël dans la tentative de meurtre de tout l’équipage du USS Liberty en 1967,

Nous avons dissimulé la torture brutale et la mort de plus de 80 soldats égyptiens depuis 1967.

Nous avons dissimulé l’assassinat israélien d’un journaliste très respecté au Proche-Orient et qui était citoyen américain.

Nous regardons continuellement ailleurs quand l’armée israélienne tue de sang-froid des enfants palestiniens.

Et les évangéliques ferment nonchalamment les yeux devant le fait qu’Israël est un des plus grands promoteurs de l’avortement sur demande – en Israël, l’état offre le financement pour tuer les avortons jusqu’avant le moment de la naissance – et que Tel-Aviv est l’épicentre mondial et le plus grand exportateur du monde du comportement sodomite.

Nous sommes le Sugar Daddy d’Israël depuis 74 ans. Alors, dites-moi, où sont les bénédictions de Dieu envers l’Amérique pour toute cette bienfaisance ?

Est-ce que nos écoles publiques fournissent aujourd’hui une meilleure éducation à nos enfants qu’en 1948 ?

Nos institutions politiques sont-elles plus constitutionnelles et orientées vers la liberté ?

Nos rues sont-elles plus sécuritaires ?

Nos écoles sont-elles plus sécuritaires ?

Nos chefs politiques sont-ils plus honnêtes et craignent-ils Dieu ?

Est-ce que nos familles sont en meilleure condition qu’en 1948 ?

Est-ce que le dollar américain et notre condition globale financière sont supérieurs à ce qu’ils étaient en 1948 ?

Nos émissions de télévision et nos films sont-ils plus sains et favorables à la famille ?

Notre culture est-elle plus propre et plus honorable ?

Avons-nous moins d’alcoolisme et de dépendance à la drogue maintenant qu’en 1948 ?

Est-ce que les frontières de notre pays sont plus stables maintenant qu’en 1948 ?

Y a-t-il moins de tuerie de masse de gens innocent maintenant qu’en 1948 ?

Nos églises sont-elles plus saintes ?

Nos pasteurs sont-ils plus pieux et plus courageux ?

Les jeunes gens traitent-ils leurs parents et les autres adultes avec plus de respect qu’ils le faisaient en 1948 ?

Le personnel de la police est-il aujourd’hui davantage l’ami des citoyens pour qui il travaille, et plus fidèle à la Constitution pour laquelle il a porté serment de la préserver, qu’en 1948 ?

Nos libertés sont-elles mieux assurées aujourd’hui qu’en 1948 ?

Avons-nous davantage la liberté de posséder et de porter des armes aujourd’hui qu’en 1948 ?

Donc, M., Swaggart (M. Jeffress, M. Hagee, M. Graham, M. Copeland, M. MacArthur, M. Evans, M. Jeremiah et les autres) où sont toutes ces bénédictions divines que l’Amérique est censée recevoir pour avoir béni Israël ? Où sont-elles ?

Dieu ne bénit pas l’Amérique : Il juge l’Amérique. Et parmi les raisons pour lesquelles Dieu juge l’Amérique, il y a son alliance impie pleine d’adoration avec l’Israël païen et antichrist et la dérogation des églises évangéliques de la vérité biblique fondamentale.




Un seul citoyen armé a fait en deux minutes ce que cent flics n’ont pas pu faire en une heure : stopper un tueur de masse

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 juillet 2022

Voici un rapport donnant des détails :

L’on a identifié lundi le tireur du Centre commercial de Greenwood Park comme étant Jonathan Sapirman, 20 ans. Il a tiré et tué un couple marié, Pedro Pineda, 56 ans, et Rosa Mirian Rivera de Pineda, 37 ans, ainsi que Victor Gomez, 30 ans, ce dimanche, avant d’être abattu par un bon Samaritain.

Sapirman, de Greenwood, est entré dans le centre d’achat à 16h54 et a continué en entrant dans les toilettes d’une aire de restauration. Il est demeuré dans les toilettes l’espace d’environ une heure avant d’en sortir et de tirer sur la foule. La police croit qu’il a pris aux toilettes le temps d’assembler le fusil Sig Sauer de style AR-15 qu’il a utilisé pour l’attaque.

Il a tiré vingt-quatre balles en deux minutes avant d’être stoppé par un client armé. Sapirman a tué trois personnes et en a blessé deux autres.

Le couple marié était assis et mangeait dans l’aire de restauration quand Sapirman a ouvert le feu. Gomez se tenait juste en dehors des toilettes de l’aire de restauration. Deux autres passants furent blessés par des éclats de tirs, incluant une jeune fille de 12 ans.

Le bon Samaritain qui a tiré et tué Sapirman a été identifié comme étant Elisjsha Dicken, âgé de 22 ans.

La police a loué le geste de Dicken.

« Beaucoup d’autres gens seraient morts ce soir-là, n’eut été d’un citoyen armé responsable, » as dit le Chef de la police de Greenwood, James Ison.

La police a récupéré deux fusils et plus de cent cartouches sur la scène. Sapirman avait également un pistolet Glock sur lui quand il a été abattu.

Pouvez-vous arriver à croire qu’un reportage de nouvelles du grand courant médiatique (au Royaume-Uni, en plus de ça) a qualifié le citoyen armé, qui a sans aucun doute empêché un autre massacre, de « bon Samaritain » ? Wow ! Apparemment, même certains des idiots utiles et décervelés des médias commencent à arriver à comprendre.

Pensez-y. Un seul citoyen armé de 22 ans a pu faire, en Indiana, en moins de deux minutes, ce que plus d’une centaine d’officiers de police professionnels ont été incapables de faire au Texas en plus d’une heure : à savoir, descendre un individu se prenant pour un tueur de masse et sauver la vie d’un grand nombre de personnes innocentes.

Évidemment, ceux de la Gauche qui jouent aux tyrans sont furieux que ce jeune homme ait empêché à lui tout seul une tragédie monstrueuse. Ils préfèrent de loin que les tueurs de masse réussissent à satisfaire leurs désirs diaboliques en tuant un paquet de gens. Sauver des vies ne les intéresse pas ; la seule chose qui les intéresse, c’est de promouvoir avec succès leur programme tyrannique d’accaparement d’armes.

Ce qui les rend encore plus furieux, c’est que des individus des médias qualifient le jeune héros de « bon Samaritain ». Certains d’entre eux ont même le front de condamner le héros pour avoir porté une arme à feu à la lumière d’une politique de la compagnie prohibant les armes dans le centre d’achat. Ouais, le centre d’achat était une autre zone sans armes – quoique la prohibition n’était qu’une politique de la compagnie et non pas une loi gouvernementale. Bien sûr, cela ne semble pas déranger les Nazis du fusil que le tireur fou ait aussi violé la politique du centre d’achat.

Ceux d’entre nous qui avons pour pratique quotidienne de porter une arme savons qu’il ne faut jamais se soumettre à une politique d’entreprise interdisant de porter, à l’intérieur de ces places d’affaire, une arme cachée. Si l’on remarque l’arme et qu’on nous demande de quitter, nous allons partir. Mais tout le monde de ce centre d’achat de l’Indiana – y compris les exécutifs et les employés du centre d’achat – sont sûrement heureux que le héros de 22 ans ait ignoré la politique du centre d’achat et ait pris son arme avec lui.

(Non, je ne porte pas d’arme dans les endroits où cela est défendu par la loi, mais je ne vais dans ces lieux que lorsque je ne peux l’éviter – c’est pourquoi j’ai choisi de vivre dans un État favorable aux armes et où de tels endroits sont limités.)

À date, quiconque n’a pas saisi le message à savoir pourquoi l’Amérique a un Second Amendement protégeant le droit des gens de conserver et de porter des armes est probablement incapable de raisonnement objectif et au-delà de tout espoir de jamais arriver à comprendre. Or, maintenant, la plupart des gens y arrivent et ont déjà acheté des armes à feu défensives et ont commencé à pratiquer, ou ils sont sur le point de le faire.

Et pourquoi les gens choisissent-ils de demeurer dans les villes et dans des États qui nient leur droit naturel à l’autodéfense, cela me dépasse.

Mesdames et messieurs, il n’y a pas d’endroit public sécuritaire. Et plus grande est la densité de gens situés dans un espace confiné, plus grande est l’attraction pour les individus démoniaques qui se prennent pour des tueurs de masse afin de frapper ce lieu – particulièrement si c’est une zone sans arme.

De toute évidence, les salles de concert et de théâtre, les centres d’achats, les grands magasins de détail, les aires piétonnières congestionnées, les écoles, les hôpitaux, les grandes surfaces d’attente, les restaurants bondés et les grosses églises s’avèrent des cibles de choix. Et il n’y a pas à débattre que les gros centres de population (les grandes villes) sont BEAUCOUP plus vulnérables à ce genre de violence de masse que les petites communautés rurales.

Je suggère FORTEMENT aux lecteurs d’avoir au moins les deux armes à feu suivantes en leur possession : 1) un pistolet et 2) un fusil AR-15. (AR signifie Armalite Rifle, c’est-à-dire, un fusil automatique rapide et ultraléger, et NON PAS Assault Rifle, c’est-à-dire, un fusil d’assaut.)

Il n’y a pas une dame en bonne santé, de quelque taille que ce soit, qui ne puisse pas apprendre à tirer confortablement avec un fusil AR-15. Ces fusils sont courts, légers et ne produisent presque pas de recul. Pour la vaste majorité des gens – y compris les femmes et les personnes âgées – il n’y a pas de meilleures défensives. C’est pourquoi l’AR-15 est l’arme la plus populaire en Amérique.

Mais achetez un fusil AR-15 de qualité. Je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis qui peuvent vous aider en vous guidant dans votre processus d’achat. Apprenez ensuite à l’utiliser. Si vous êtes comme la plupart des gens, vous allez apprécier. En réalité, c’est tout à fait agréable.

Puis, vous avez besoin d’une bonne arme de poing. L’arme que je porte tous les jours est un pistolet Glock 19. Les mordus des armes à feu vont argumenter jusqu’à la fin des temps à savoir quelle est la meilleure arme à porter. Vous n’avez pas besoin de vous laisser prendre à tout ça.

Voici le facteur important : Procurez-vous une arme que vous pourrez porter confortablement avec vous tous les jours. Une arme trop grosse ou trop pesante pour que vous la portiez tous les jours n’est PAS pour vous. Achetez une arme que vous pouvez porter avec confort sur vous tous les jours, et une arme avec laquelle vous pouvez bien tirer.

Si l’arme est inconfortable à utiliser au point où vous redoutiez d’actionner la gâchette, les chances sont que vous ne frapperez rien même si vous la déclenchez. Vous avez besoin d’une arme que vous pouvez manipuler avec confort. Votre âge, la taille de votre corps, votre condition physique et la dimension, la force et la dextérité de vos mains et de vos doigts sont plus importants que la taille de votre arme.

La plupart des dames à la frêle stature portent probablement aujourd’hui de petits semi-automatiques de calibre .380 ou de petits révolvers .38 au canon retroussé. Ces deux calibres sont assurément adéquats pour l’autodéfense. D’autres femmes sont capables de porter les plus petits des 9mms. Mais rappelez-vous ceci : la clé de l’autodéfense est d’avoir une arme SUR SOI. Une arme dans la voiture est de peu d’utilité lorsque vous êtes dans le centre d’achat.

Et comprenez bien que ce qui compte le plus dans un combat d’armes, c’est où vous projetez la balle, pas le genre de balle que vous tirez. Voilà pourquoi vous avez besoin d’une arme que vous pouvez bien manipuler.

Encore une fois, je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis familiarisés avec les armes à feu et qui peuvent vous guider au travers de votre démarche d’achat.

Elisjsha Dicken, à 22 ans, a accepté sa responsabilité en tant que citoyen dans une société libre de s’armer légalement, de pratiquer l’utilisation de son arme à feu, et de se préparer psychologiquement et spirituellement à employer son arme pour sa propre défense et celle de ses concitoyens de l’Indiana. Et, à lui tout seul, il sauva la vie d’une douzaine ou d’une vingtaine d’entre eux.

Si Dicken avait attendu qu’arrive la police pour descendre le forcené, qui sait combien de temps il aurait fallu et combien de gens seraient morts – lui compris. Au Texas, il a fallu aux flics plus d’une heure avant de faire quoi que ce soit et vingt-et-une personnes sont mortes – dont dix-neuf petits garçons et petites filles.

Mes amis, la liberté – sans mentionner la sécurité – exige que nous soyons tous des Elisjsha Dicken.

Un seul citoyen armé a fait plus en deux minutes que ce qu’ont fait des flics en plus d’une heure : stopper une tuerie de masse.

Bonjour à tous,
Permettez-moi de faire une mise en garde. À Moisson des Élus, nous ne sommes pas partisans du port d’arme comme l’est M. Chuck Baldwin. Sanstoutefois être contre, cependant, nous croyons qu’il est inutile qu’un véritable chrétien ait besoin de porter sur lui des armes pour se défendre. Notre Défenseur est Dieu Lui-même à qui appartient la Protection et la Vengeance. Nous ne pouvons imaginer l’apôtre Paul ou l’apôtre Pierre, ou encore moins notre Seigneur Jésus-Christ ayant parcouru la Judée avec des armes sur eux et prêts à se  défendre à la moindre attaque. Devant les menaces, ils ne répliquaient pas, ils ne résistaient pas et laissaient Dieu le Père agir pour eux. Je crois personnellement que c’est ce que nous  devons faire, en tant que chrétiens et enfants de Dieu. Montrons notre confiance en Dieu en Lui demandant qu’Il nous entoure de Ses anges et notre protection sera infiniment plus  efficace que toute autre forme d’assurance. Je vous invite à lire ou à relire le Psaume 91 à cet effet.

Psaumes 91 :
1  Celui qui se tient dans la demeure du Souverain, se loge à l’ombre du
Tout-Puissant.
2  Je dirai à l’Eternel : Tu es ma retraite, et ma forteresse, tu es mon Dieu en
qui je m’assure.
3  Certes il te délivrera du filet du chasseur ; et de la mortalité malheureuse.
4  Il te couvrira de ses plumes, et tu auras retraite sous ses ailes ; sa vérité te
servira de rondache et de bouclier.
5  Tu n’auras point peur de ce qui épouvante de nuit, ni de la flèche qui vole
de jour.
6  Ni de la mortalité qui marche dans les ténèbres ; ni de la destruction qui
fait le dégât en plein midi.
7  Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite ; mais la destruction
n’approchera point de toi.
8  Seulement tu contempleras de tes yeux, et tu verras la récompense des
méchants.
9  Car tu es ma retraite, ô Eternel ! tu as établi le Souverain pour ton
domicile.
10  Aucun mal ne te rencontrera, et aucune plaie n’approchera de ta tente.
11  Car il donnera charge de toi à ses Anges, afin qu’ils te gardent en toutes
tes voies.
12  Ils te porteront dans leurs mains, de peur que ton pied ne heurte contre la
pierre.
13  Tu marcheras sur le lion et sur l’aspic, et tu fouleras le lionceau et le
dragon.
14  Puisqu’il m’aime avec affection, dit le Seigneur, je le délivrerai ; je le
mettrai en une haute retraite, parce qu’il connaît mon Nom.
15  Il m’invoquera, et je l’exaucerai ; je serai avec lui dans la détresse, je
l’en retirerai, et le glorifierai.
16  Je le rassasierai de jours, et je lui ferai voir ma délivrance.
Que le Seigneur soit avec vous tous, dans toutes vos entreprises,

Roch Richer




Le traitement envers le professeur Patrick Provost de l’Université Laval inquiète les académiciens du Québec

THE EPOCH TIMES

7 juillet 2022

Deux académiciens de Québec disent être inquiets à propos de la critique et de la censure des professeurs de la province qui questionnent les réactions du gouvernement face à la pandémie, y compris la vaccination des enfants.

Dans un article du média Québécor du 22 juin, Patrick Provost, professeur à temps plein au département de microbiologie et d’immunologie de l’Université Laval, s’est demandé s’il était bien d’imposer des passeports et des mandats vaccinaux, et de « museler les professionnels et les académiciens qui critiquent les mesures de santé ».

Le jour suivant, Québécor a enlevé l’article de sa plateforme.

À la mi-juin, Laval a suspendu Provost pour huit semaines sans salaire pour avoir dit, en décembre 2021, que les risques de la vaccination des enfants contre le COVID-19 outrepassent les bénéfices. L’université a ensuite infligé une suspension aussi longue à un second professeur, Nicolas Derome, de la faculté de science et du département de biologie de l’ingénierie, pour ses propres commentaires concernant la réaction au COVID-19.

Douglas Farrow, professeur de théologie et d’éthique à l’Université. McGill de Montréal, appelle les suspensions de Laval « Un acte politique répressif » dans un article du Substack qu’il a écrit le 30 juin.

« L’Université. Laval a eu recours à la violence professionnelle pour appuyer la narration Covid croulante du Québec, » écrit Farrow. « Comme seconde victime de la violence, il y a le principe de liberté académique. »

Dans une entrevue avec The Epoch Times, Farrow a caractérisé les sanctions comme étant une manifestation parmi d’autres d’un projet plus grand visant à censurer les opinions de la minorité au sujet de la pandémie et des réactions face à celle-ci.

« Il y a une pression majeure exercée pour empêcher le public d’entendre des arguments réfléchis à propos de ces choses-là, et il n’importe pas vraiment que l’argument soit statistique, ou qu’il soit

Patrick Provost, professeur au département de microbiologie et d’immunologie à l’Université Laval, à Québec [Courtoisie de Patrick Provost]

médical ou scientifique, ou encore politique, » dit-il.

« Patrick [Provost] est le genre de personne qui peut s’exécuter sur le front médical scientifique ; il peut également le faire sur le front statistique et il peut le faire sur le front du gros bon sens politique. Mais de toute évidence, ils ne veulent pas que les gens entendent tout cela, et ils ont donc pris action contre lui. »

Une nouvelle loi protégeant la liberté académique

En mars 2020, le gouvernement du Québec a créé un comité sur la liberté académique en réaction aux rapports disant que les professeurs avaient cessé d’enseigner des sujets controversés afin de ne pas offenser des étudiants. En tout, 1 079 professeurs et 992 étudiants ont participé à un sondage dans lequel 60 pourcent des professeurs dirent qu’ils s’étaient engagés à s’autocensurer et 82 pourcent de ces professeurs voulaient que toute restriction soit enlevée quant à ce qu’ils peuvent dire en classe.

Le rapport du comité, soumis en décembre 2021, déterminait que les classes universitaires ne devaient pas être des espaces sécuritaires et qu’elles ne devaient pas exiger d’avertissements à savoir si les classes devaient inclure de la matière offensive. Le gouvernement du Québec a accepté toutes les recommandations du comité dans le Projet de Loi 32 qui a été adopté au début de juin.

Lorsque le projet de loi fut présenté, la Ministre de l’Éducation Supérieure, Danielle McCann, donna un an aux écoles pour s’y plier. Dans un email envoyé à The Epoch Times, McCann a dit que la suspension de Provost démontre la pertinence de la législation.

« Ce genre de situations à l’Université Laval confirme qu’il était nécessaire de légiférer sur cette question, » dit-elle. « La loi met également l’emphase sur le fait que la liberté académique doit être pratiquée en conformité avec les normes de la rigueur scientifique. »

Farrow trouve remarquable que l’université ait entrepris pareille action contre les deux professeurs, Provost et Derome, malgré la loi.

« Ils ont décidé de procéder en dépit de cette nouvelle loi, malgré le gros bon sens, malgré la tradition au sein des universités. Et n’importe quel professeur d’université dans quelque discipline que ce soit et qui voit ce qui arrive … devrait vraiment s’inquiéter de ce que ce genre d’action est jugé acceptable par l’administration d’une université majeure, » dit-il.

« Voilà une façon de dire à toutes les autres universités et aux professeurs : “Ne faites pas ce qu’il a fait, sinon nous allons vous attraper.” »

Quand Epoch Times contacta l’université, Laval dit qu’elle « ne commente pas les situations de ses employés ».

« Effet glacial »

Le syndicat de la faculté de Laval a dit à la fin de juin qu’il avait levé un grief au sujet de la suspension de Provost, ajoutant qu’il était soucieux du fait que les actions de l’université « pourraient avoir un effet glacial sur les autres professeurs qui partagent des points de vue controversés. »

David Robinson, directeur exécutif de l’Association Canadienne des Enseignants d’Université, a dit que les professeurs ne devraient être disciplinés que pour les commentaires qui démontrent de l’incompétence ou qui violent les limites légales du langage, comme les lois sur la diffamation.

Farrow dit croire que les professeurs ont de puissants arguments et qu’une victoire établirait un précédent positif. Toutefois, il s’inquiète de ce que beaucoup de professeurs, d’étudiants et de Canadiens ne se lèvent pas pour parler.

« Si le peuple n’est pas prêt à se lever contre les pratiques, les directives du gouvernement, et éventuellement contre les lois qui limitent leurs libertés de manière inconvenante, alors les tribunaux ne pourront pas sauver Patrick Provost ou n’importe qui d’autre. En ce moment, je crois qu’ils le peuvent encore et j’espère que certains d’entre eux le feront, » dit-il.

« Mais pour moi, en-dessous de tout cela, la question qui me brûle le plus, c’est pourquoi … si peu d’entre eux [les professeurs] se dressent, même lorsqu’un collègue est aussi maltraité … Si la majorité des profs ne se dressent pas, et ne résistent pas dans les universités, je ne sais s’il reste quelque espoir. »

Travis Smith, professeur associé en science politique à l’Université Concordia à Montréal, exprima de fortes inquiétudes vis-à-vis le traitement des érudits.

« Je suis sous le choc. C’est ahurissant et épouvantable, » a dit Smith dans une entrevue.

« Les érudits devraient être complètement libres de poser n’importe laquelle de ces questions et les poursuivre là où leurs pensées et leurs découvertes les mènent. L’idée que, non seulement les médias les censurent, mais aussi que les institutions académiques appliquent des punitions contre leur faculté permanente et à temps plein pour avoir posé ces questions – cela m’apparait tout à fait stupéfiant, je suis dans tous mes états. »

« Et voilà où on en est au Canada, » ajoute-t-il. « Ce n’est pas le Canada que je connais et que j’aime. Ce n’est pas le genre de comportement auquel je m’attends des universités d’un pays comme le nôtre. »

Smith dit que les professeurs s’engagent souvent dans l’autocensure parce qu’eux et leurs institutions sont de plus en plus redevables envers les intérêts corporatifs au fur et à mesure qu’ils courent après les dollars en recherche. Il dit que les érudits qui ne posent pas de questions ne font pas leur travail, non plus que les médias qui ne permettent pas que l’on pose ces questions.

« Je suis sous le choc parce que cela ne devrait pas arriver. On parle de quelque chose de profondément inquiétant qui survient dans les médias du pays, c’est relié à toutes sortes d’inquiétudes que nous avons à propos des médias qui sont subventionnés par le gouvernement et qui parlent à l’unisson et d’une seule voix à travers le pays, » dit Smith.

« Ils permettent certains dissidents, et ils réalisent rapidement qu’ils ne devraient permettre aucune dissidence. Et ce n’est pas du bon journalisme. Ce n’est pas le genre de journalisme sur lequel nous comptons dans un pays libre. »

Noé Chartier et la Presse Canadienne ont contribué à ce rapport.




« VOILÀ la Liberté ! »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

7 juillet 2022

C’est vraiment peu dire que d’affirmer que l’Amérique ÉTAIT « la terre de la liberté et le foyer du brave ». Dans son ensemble, non seulement l’Amérique ne ressemble-t-elle pas à la terre libre qu’elle était jadis, mais elle a même perdu la capacité cognitive de comprendre ce à quoi une terre libre peut ressembler.

Le titre de cet article est le même que celui de mon message du Jour de l’Indépendance de dimanche dernier. Cet article y tire certains éléments.

Dans mon message, je passe en revue les principes spirituels bibliques et les principes constitutionnels américains qui contribuent à définir la Liberté.

Par exemple :

  1. La liberté de dire la vérité

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de rendre culte sans entrave

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de s’assembler paisiblement, de protester et de redresser le gouvernement

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de conserver et de porter des armes pour son autodéfense

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté que l’on nous laisse tranquille dans nos associations et nos opinions

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté d’être en sécurité dans nos foyers et dans nos effectifs

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de notre intimité personnelle

VOILÀ la Liberté

Ce ne sont pas simplement des droits civils octroyés par décret gouvernemental : ce sont des Droits Naturels dont nous a dotés notre Créateur.

Notre Guerre Révolutionnaire fut une Guerre Juste combattue pour la défense des principes sacrés qui sont énumérés dans notre Déclaration d’Indépendance :

  • Le principe d’indépendance sous Dieu
  • Le principe que tous les hommes sont créés égaux sous les lois et les privilèges de Dieu
  • Le principe que la vie, la liberté et l’auto-gouvernance sont des dons de Dieu
  • Le principe qu’un gouvernement et une autorité juste découlent du consentement du peuple
  • Le principe de l’autodéfense vis-à-vis les menaces à l’encontre de notre vie et de notre liberté
  • Le principe que la résistance contre les conspirations tyranniques est un droit et un devoir moral
  • Le principe que la mort et la tuerie ne sont honorables que dans l’application et l’exécution d’une loi juste, de l’autodéfense et des droits et des devoirs naturels des hommes sous l’autorité morale de leur Créateur
  • Le principe voulant que, lorsque l’on nie la source de nos libertés (Dieu), Son autorité propre et Sa souveraineté (par le rejet de la Loi naturelle et révélée), le fondement de nos libertés est détruit

La Déclaration débute ainsi :

Lorsque, dans le cours des événements humains, il devient nécessaire à un peuple de dissoudre le cercle politique qui les relie les uns aux autres, et d’assumer parmi les pouvoirs de la terre, la position égale et séparée vers laquelle l’habilitent les Lois de la Nature et le Dieu de la Nature, un décent respect des opinions de l’humanité requiert qu’il déclare les causes qui le poussent à la séparation.

Nous tenons ces vérités comme évidentes par elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que, parmi eux, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. — Que, pour sécuriser ces droits, des Gouvernements sont institués chez les hommes, tenant leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés, — Que, lorsque qu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.

La prudence dictera, en effet, que les Gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des raisons légères et éphémères ; et, de la même manière, l’expérience a démontré que l’humanité est plus disposée à souffrir, quand les maux sont supportables, que de se donner droit en abolissant les formes auxquelles elle est habituée. Mais lorsqu’un long train d’abus et d’usurpations, poursuivant invariablement un même Objectif, manifeste un plan pour la réduire sous un Despotisme absolu, c’est son droit, c’est son devoir, de se libérer d’un pareil Gouvernement et de pourvoir à de nouveaux Gardiens pour sa sécurité future. — Telle a été la patiente souffrance de ces Colonies ; et telle est maintenant la nécessité qui les contraint d’altérer leurs anciens Systèmes de Gouvernement.

L’histoire du présent Roi d’Angleterre en est une qui répète les préjudices et les usurpations ayant tous pour objectif direct l’établissement d’une Tyrannie absolue sur ces États. Afin de le prouver, soumettons les Faits à un monde sincère.

La Déclaration se termine ainsi :

Par conséquent, nous, les Représentants des États unis d’Amérique, en Congrès Général, Assemblés, faisant appel au Juge Suprême du monde concernant la rectitude de nos intentions, publions solennellement, au Nom et de par l’Autorité du bon Peuple de ces Colonies, et déclarons, Que ces Colonies unies sont, et doivent être par Droit, des États Libres et Indépendants, qu’elles sont absoutes de l’Allégeance à la Couronne Britannique, et que tout lien politique entres elles et l’État de la Grande-Bretagne est, et doit être, totalement dissous ; et qu’en tant qu’États libres et indépendants, elles ont plein Pouvoir de faire la Guerre, conclure la Paix, contracter des Alliances, établir le Commerce, et de faire tout Acte et toute Chose que les États indépendants ont le droit de faire. — Et en support à cette Déclaration, avec la ferme confiance en la Divine Providence, nous engageons mutuellement nos Vies, nos Fortunes et notre Honneur sacré les uns envers les autres.

En vérité, les signataires de la Déclaration d’Indépendance de l’Amérique ont enduré le sacrifice du tribut et du sang. Le père de Rush Limbaugh, Rush H. Limbaugh Jr, a écrit de manière éloquente :

Des 56 qui signèrent la Déclaration d’Indépendance, neuf moururent de leurs blessures ou de leurs épreuves durant la guerre. Cinq furent capturés et emprisonnés, dans chaque cas avec un traitement brutal. Plusieurs perdirent leur femme, des enfants ou toute la famille. L’un perdit ses treize enfants. Deux femmes furent brutalement traitées. Tous furent, à un moment donné ou l’autre, victimes de chasses à l’homme et évincés de leurs foyers. Douze des signataires virent brûler complètement leur maison. Dix-sept perdirent tout ce qu’ils possédaient. Pourtant, personne ne fit défection ou ne revint sur sa parole engagée. Leur honneur, ainsi que la nation qu’ils créèrent avec tant de sacrifice, demeurent intacts.

John Adams et Thomas Jefferson moururent tous les deux le 4 juillet 1826 – cinquante ans après le jour de la Déclaration – ce que l’on doit considérer comme un point d’exclamation de Dieu de Son approbation envers leurs efforts altruistes, car ils furent les deux hommes principalement responsables d’avoir suscité la Déclaration. Daniel Webster fit les éloges des deux hommes le 2 août. Dans ses remarques en ce jour-là, les mots suivants sont à noter : « Elle [la Déclaration d’Indépendance] est le sentiment que je ressens et, par la bénédiction de Dieu, ce sera mon sentiment à ma mort. L’indépendance aujourd’hui, et l’indépendance pour toujours. »

Avec tous les dénigrements et la diabolisation des Pères Fondateurs de la part de la Gauche comme de la Droite, ces jours-ci, je crois pertinent que nous nous rappelions les mots de notre SEIGNEUR, qui a dit : « Vous les connaîtrez donc à leurs fruits » (Matthieu 7:20).

Nous pouvons savoir le genre de chênes géants qu’étaient nos Pères Fondateurs par les fruits de Liberté qu’ils ont produit.

S’il vous plaît, souvenez-vous qu’il fut un temps où les peuples opprimés de par le monde parlaient avec envie de l’Amérique en disant : « VOILÀ la Liberté ! »

Mais CETTE Amérique-là est partie depuis longtemps.

Aujourd’hui, le monde est choqué d’angoisse de voir comment « l’Amérique : terre de la liberté » est devenue aussi rapidement « l’Amérique : la terre de la guerre et de l’oppression ». Mais le nom d’un pays importe peu. Ce qui compte, ce sont les libertés protégées par ce pays. Comme l’a écrit Jefferson dans la Déclaration :

Lorsqu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.

Que Dieu, dans Sa bienveillante miséricorde, accorde à une nouvelle génération de patriotes américains l’honneur de rétablir les principes ci-mentionnés de constitutionnalisme et de liberté dans cette patrie – quelque soit son nom – vers laquelle les gens opprimés de par le monde jetteront un regard avec une nouvelle lueur d’espoir dans les yeux et diront une fois encore : « VOILÀ la Liberté ! »




Nous devons faire quelque chose…

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2022

Par Jerry Barrett

Aurons-nous jamais des yeux pour voir ?

« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux. Car ces sortes de gens ne servent point notre Seigneur Jésus-Christ, mais leur propre ventre, et par de douces paroles et des flatteries ils séduisent les cœurs des simples. Car votre obéissance est venue à la connaissance de tous. Je me réjouis donc de vous ; mais je désire que vous soyez prudents quant au bien, et simples quant au mal. »

Romains 16:17-19

« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance. »

Jean 10:7-10

Il y a un dicton fort approprié pour ces jours-ci : « On a fermé les portes de la grange après que les chevaux se soient échappés. » Comme la Boîte de Pandore, nos fonctionnaires élus annoncent à grands cris que nous avons besoin d’un plus grand contrôle des armes. Malheureusement, pour ceux d’entre nous qui obéissons aux lois, il s’agit encore d’un empiètement sur nos droits et nos libertés.

Le Second Amendement déclare : « Le droit du peuple de garder et de porter des armes ne sera pas enfreint. » « Ne sera pas enfreint » est l’expression que des réitérations précédentes de notre Cour Suprême ont citée contre les lois sur les armes. Nous devons alors nous demander si ce groupe de juges va reconnaître nos droits, ou si les clameurs des accapareurs vont avoir préséance.

C’est un narratif sans fin que les socialistes progressifs poussent de l’avant au Congrès (et à la Maison Blanche) et que répètent les médias contrôlés. Les exigences de ces victimes d’opérations psychologiques (psyops), se rapportant aux récentes séries de fusillades de masse dans notre pays, ont aussi sauté dans le wagon des accapareurs d’armes.

Rahm Emmanuel, faisant écho à son mentor Saul Alinsky, a déclaré : « Ne jamais laisser une bonne crise se gaspiller. » Par le nombre de photos et de vidéos utilisés par les médias, l’on constate

Rahm Emmanuel et le Vice-président d’alors, Joe Biden, rient ensemble – probablement à nos dépens.

que cette crise s’est vue bénie du nombre de ceux qui soutiennent cet effort pour ôter les armes des mains des citoyens.

Une partie du Plan ?

Pourquoi le nombre des fusillades de masse a-t-il augmenté dans les derniers quelques mois ? Les membres de l’élite de l’État Profond sont-ils à fomenter un plan d’action ? Le FBI a-t-il été coopté par les politicards qui souhaitent créer le Nouvel Ordre Mondial ?

À chaque jour qui passe, il y a de plus en plus d’information disponible pour ceux qui cherchent la vérité. Rappelez-vous que ce sont ces mêmes personnes qui proclamaient que le soi-disant vaccin Covid-19 allait créer l’immunité collective et protéger tout le monde de ce virus mortel ; qui clamaient que la Russie envahissait le petit pays de l’Ukraine et infligeait d’horribles crimes de guerre aux citoyens de cette nation ; ce sont les mêmes gens qui criaient sur les toits que le Président Trump était en collusion avec les Russes et que le portable d’Hunter Biden était une campagne de désinformation de la part de Vladimir Poutine.

Qui se rappelle du prétendu complot d’enlèvement contre le Gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer ? Êtes-vous au courant que le FBI a joué sa part dans la planification de cet attentat bâclé ? N’est-ce pas aussi le FBI qui fut impliqué dans le canular Trump/Russie ? Maintenant, vous êtes peut-être en mesure de mettre les pièces du casse-tête en place.

Événements sous faux drapeau

Quand Joe Biden fit campagne pour la présidence, un des éléments de sa plateforme a été d’abolir l’Association Nationale des Armes à Feu, de même que votre droit individuel de posséder une arme à feu. Après un grand nombre de fusillades de masse fortement publicisées à travers le pays, son régime et ses acolytes crurent qu’un changement séismique de l’opinion publique permettrait que ce complot porte ses fruits.

Je ne contesterai pas le fait que beaucoup d’enfants soient morts dans la fusillade scolaire d’Uvalde. Comme je ne remettrai pas en question le fait que de nombreuses personnes aient été abattues dans une épicerie de Buffalo. Cependant, je suis curieux – après avoir lu bon nombre de rapports dans les médias alternatifs – à propos de l’implication alléguée de fonctionnaires (actifs ou retirés) de mise en application des lois fédérales qui ont eu auparavant des conversations avec ces deux tireurs.

La manière la plus sûre de créer un soutien acharné pour le contrôle des armes, c’est de massacrer des bébés innocents et des personnes âgées. Cela fait vibrer fortement nos cordes sensibles. Nos émotions commencent à l’emporter sur notre esprit analytique.

Escalade des crimes et de la violence

Comme je l’écrivais dans ma lettre du mois dernier, Le Far West était-il si sauvage ?, une grande vague de crimes s’est répandue dans notre pays. Les procureurs de district soutenus par George Soros ont réécrit les lignes directrices des fondés de pouvoir, toutes dans le but d’assurer aux criminels des peines d’emprisonnement minimales ou pas d’emprisonnement du tout. Les législateurs de New York et de la Californie sont allés extrêmement loin pour créer une porte tournante avec des programmes de cautions sans argent.

Les membres de la communauté noire sont la cible depuis des années d’un maintien de l’ordre injuste. Toutes ces nouvelles lignes directrices visent à créer « l’équité ». Ces « sauveurs des opprimés » ont choisi de donner aux criminels de carrière une porte de sortie. Gardez en tête que les conseils de ville d’extrême gauche à travers le pays ont définancé de nombreux départements de police. Vérifiez les statistiques de crimes à Seattle et à Minneapolis pour voir jusqu’à quel point cette brillante idée a bien fonctionné. Les citoyens obéissant aux lois et vivant dans ces villes sont plantés là.

Qu’en est-il des bonnes gens avec des armes à feu ?

Les médias contrôlés ne permettront pas que change le narratif. Les nouvelles nationales refusent de rapporter les cas où des propriétaires de fusils qui obéissent aux lois ont sauvé d’innombrables vies en se mettant en brèche quand des criminels effrontés ont attaqué. Les nouvelles locales partagent peut-être ces récits, mais ceux-ci seront rapidement remplacés par d’autres items qui « valent les manchettes ». En avez-vous entendu parler ?

  • En Virginie occidentale, un criminel reconnu, illégalement en possession d’un AR-15, a tiré plusieurs balles en direction d’un party de graduation et d’anniversaire. Heureusement, personne n’a été blessé, sauf l’homme qui a tenté cette fusillade de masse. Une femme qui assistait à la fête a tiré calmement un pistolet et a sauvé plusieurs vies.
  • Dans le Comté de Dekalb, en Géorgie, un criminel est entré dans un restaurant en portant un masque et en brandissant un fusil dans une tentative de vol. Il ordonna à tous les clients de se coucher sur le sol, mais un des clients avait un permis de port d’arme dissimulée. Après un échange de tirs, le criminel a été mortellement touché. Il n’y a pas eu d’autres blessés.
  • À Waco, au Texas, un mâle poignardait activement une femme quand un Bon Samaritain fit feu de son arme pour la défendre, frappant son assaillant.

Ce n’est qu’un échantillon des récits disponibles aux chercheurs de vérité, mais vous ne pouvez compter sur les grands mass-médias pour les transmettre. Un résident de Buffalo a été interviewé par Fox News après la fusillade de masse dans une épicerie et il a fait une observation très intéressante, encore que l’on ne l’ait pas diffusé très longtemps.

Cet homme a déclaré : « C’est ridicule. Ça doit changer. De bas en haut, parce qu’ils ne font rien, nous devons faire quelque chose… Si plus de gens étaient armés, et savaient quoi faire avec une arme, parce que ce n’est une question d’arme, mais de la personne derrière l’arme. »

Pas étonnant que cette entrevue n’ait pas été diffusée largement partout. Cela va contre le narratif que les accapareurs d’armes veulent pousser de l’avant. Néanmoins, la déclaration de ce gentleman frappait dans le mille.

« Ça doit changer … Si plus de gens étaient armés et savaient quoi faire avec une arme, parce que ce n’est pas une question d’arme, mais de la personne derrière l’arme. »

Quel est le nœud du problème ?

Depuis la fusillade à Uvalde, au Texas, il y a eu des centaines d’autres incidents impliquant des armes. Trente-trois sont qualifiées de fusillades de masse. Le facteur causal le plus important est l’absence de Dieu dans la vie de ces auteurs de crime.

L’âge moyen des tireurs de masse est de 18 ans en Amérique. Ces garçons ont été élevés en prédominance dans des foyers sans père et sans notre Père. Les politiques d’extrême gauche ont encouragé les deux ! Lorsque le côté le plus sombre de la nature humaine est favorisé, ce genre de mal se répand.

Dans Matthieu 22:39, Jésus a dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Nous avons reçu comme mission d’aller de par le monde et partager Son message. Être Son représentant est une bénédiction énorme. Faite partie de la solution.

***

Par Michelle Hallmark Powell

RACISME

Les Écritures nous disent que Dieu a créé les êtres humains à Son image. Il n’y a pas d’exception. Puisque nous sommes tous faits à Son image, nous sommes tous uniques et précieux à Ses yeux. Il n’y a aucune démonstration de hiérarchie d’êtres humains dans les Écritures. Jésus est venu pour que nous soyons tous sauvés.

L’on définit le racisme comme étant un préjudice, de la discrimination ou de l’antagonisme dirigé contre quelqu’un de race différente en se basant sur la croyance que votre propre race est supérieure. Il en résulte de la haine, de la crainte et un traitement inhumain envers quelqu’un à cause de la nation de laquelle il provient ou de la couleur de sa peau.

Dieu a créé l’humanité à Son image, mais la Bible enseigne qu’il y a beaucoup de nations et d’ethnicités. Dieu n’a jamais fait de distinction entre elles. Toutes, elles faisaient partie de la race humaine de Dieu. Leur couleur, leur provenance ou leur religion et leurs croyances importaient peu.

Au fil de la Bible, Dieu parle d’Arabes, d’Égyptiens, de Grecs, de Romains et d’Israélites.

Dieu a toujours ouvert les bras au monde entier. Dans la vie et la mort de Jésus, nous apprenons l’amour, la compassion et la miséricorde de Dieu montrés à tous les peuples. Dieu a envoyé Jésus afin de mourir pour tout le monde (Jean 3:16) et Il a enseigné aux disciples d’aller dans toutes les nations et de partager l’Évangile afin que chaque nation et chaque génération ait l’opportunité d’obtenir la vie éternelle.

« Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ » (Galates 3:28).

Évolution

La racine du racisme est fondamentalement ancrée dans la croyance en « l’évolution ». Sans l’évolution, le racisme ne peut exister. L’idée que certaines races soient supérieures et d’autres inférieures ne se maintient uniquement que par le concept que certaines races sont plus évoluées et avancées que les autres races.

Voici un exemple de ce que l’on trouve sur Wikipédia concernant le racisme :

« On l’appelle parfois le racisme académique, des théories dont on avait besoin pour vaincre la résistance de l’Église aux comptes-rendus positivistes de l’histoire et son soutien au monogénisme. L’on devait se débarrasser de la théorie que tous les êtres humains proviennent des mêmes ancêtres (Adam et Ève – 1 Timothée 2:13).

Selon la Bible, nous savons tous que Dieu a créé Adam à partir de la poussière de la terre et a insufflé dans ses narines le souffle de vie (Genèse 2:7). Et le Seigneur Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui » (Genèse 2:18).

À l’origine, l’Église s’opposa à l’évolution à cause du récit biblique de la Création. La Bible ne discute pas réellement de racisme. Celui-ci ne peut pas exister, car la Bible enseigne qu’il n’y a qu’une seule race…la race humaine.

La Bible traite du Péché, pas du racisme. Le racisme est une conséquence du péché. Le péché existe et le monde essaie de le remplacer par le racisme, lequel est de l’orgueil, de l’arrogance, une vision trop élevée de soi-même, etc.

« Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les leur aussi de même, car c’est là la Loi et les Prophètes » (Matthieu 7:12).

Le racisme abonde partout

Presqu’à chaque mois, il arrive un terrible incident où plusieurs personnes sont tuées. On met toujours le blâme sur le racisme. On a lavé le cerveau de quelqu’un pour qu’il soit antisémite, ce qui est la même chose que d’être raciste. L’agenda politique dans son entier insiste pour que chaque incident qui arrive soit dû au racisme. Et franchement, ils tentent de le relier à leurs buts et leurs plans racistes. Au fil du temps, nous avons vu le fatras anti-blancs croître pendant des années, et les noirs comme les blancs commencent à en avoir marre.

Tout a réellement rapport à Jésus !

« Mais rejetez maintenant toutes ces choses, la colère, l’animosité, la médisance ; et qu’aucune parole déshonnête ne sorte de votre bouche. Ne mentez point l’un à l’autre ayant dépouillé le vieil homme avec ses actions, et ayant revêtu le nouvel homme, qui se renouvelle en connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé. En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous. Soyez donc, comme étant des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtus des entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, d’esprit patient ; vous supportant les uns les autres, et vous pardonnant les uns aux autres ; et si l’un a querelle contre l’autre, comme Christ vous a pardonné, vous aussi faites-en de même. Et outre tout cela, soyez revêtus de la charité, qui est le lien de la perfection » (Colossiens 3:8-14).




Les deux plus grandes menaces contre nos Libertés

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

30 juin 2022

Non ! La Russie n’est pas une des deux plus grandes menaces contre nos libertés. En fait, la menace russe n’est pas dans les dix premiers – ni même les vingt premiers. Si cela se trouve, la manière que le Parti Guerrier de Washington, D.C., et d’autres capitales occidentales exacerbent et étendent le conflit en Ukraine, ce sont eux que nous devons remercier pour le risque d’un conflit global.

Les deux plus graves menaces contre nos libertés sont aujourd’hui 1) la Tyrannie Covid, et 2) les lois Red Flag de confiscation d’armes à feu.

Les attaques les plus sérieuses contre nos libertés proviennent TOUJOURS de l’intérieur de notre gouvernement.

J’ai parlé et j’ai écrit en long et en large de ce qui a trait à la tyrannie Covid. Cette fois-ci, je me consacre aux lois Red Flag en plein essor sur la confiscation de nos armes à feu.

Alors que la Cour Suprême américaine a rendu la semaine dernière deux décisions louables – et constitutionnellement puissantes – annulant Roe vs Wade et affirmant le droit absolu du peuple à conserver et porter des armes en annulant la loi tyrannique de contrôle des armes à feu de l’État de New York interdisant aux New Yorkais de porter des armes, le Sénat américain, grâce à l’aide de 15 républicains néoconservateurs, adopta le projet de loi le plus draconien des dernières décennies sur le contrôle des armes : un projet de loi qui, en effet, crée une loi Red Flag nationale sur la confiscation des armes.

Non seulement le projet de loi empiète-t-il sur la liberté des jeunes de 18 à 20 ans d’acheter et de posséder des armes sans une restriction gouvernementale excessive, mais il fournit des millions de dollars des payeurs de taxes pour ACHETER les états afin qu’ils promulguent les lois Red Flag.

Ne vous y trompez pas : c’est un contrôle d’armes déguisé du genre le plus vil.

Cette loi permet au personnel policier de faire irruption dans votre maison et de saisir vos armes à feu sans que vous soyez accusé de crime, sans que vous menaciez de commettre un crime, sans que vous ayez commis un crime, sans enquête à savoir pourquoi l’on vous confisque vos armes, sans représentation légale et sans procès.

Tout ce dont on a besoin pour précipiter la confiscation des armes de quelqu’un, c’est une ACCUSATION. Une ACCUSATION non vérifiée, non prouvée, non confirmée, par presque quiconque ne vous aime pas – ou n’aime pas vos fusils. Et une fois que vos armes sont saisies par l’État, vous aurez plus de chances de gagner à la loterie que de revoir vos armes. Et si elles vous reviennent, ne vous attendez pas à ce qu’elles soient dans la même condition ou dans le même état de marche qu’elles étaient avant que des agents du gouvernement ne vous les volent.

Comprenez, s’il vous plaît, que ce dont il est question dans cette loi, c’est BIEN PLUS que les armes. Cette loi empiète sur la Charte des Droits. Il est question d’un procès équitable. Cela concerne le droit au conseil légal. Cela concerne l’homme qui est innocent tant qu’on n’a pas prouvé sa culpabilité. Ce projet de loi attaque le cœur même de la Liberté et de la Jurisprudence américaines et c’est le début d’une société orwellienne à pré-crime où un homme est présumé coupable jusqu’à ce que l’on prouve qu’il est innocent.

Et n’oubliez jamais que, puisque cette loi autorise la police à faire irruption chez les gens innocents et à confisquer leurs armes, le critère déterminant un pareil raid est totalement sujet à la discrétion des autorités locales qui donnent leur aval au raid.

Cela veut dire que le critère peut être n’importe quoi. Ce pourrait être un genre de « pointage » de média sociaux pour avoir exprimé des idées politiquement incorrectes ; ce pourrait être votre association avec un groupement ou une organisation impopulaire ; ce pourrait être les penchants personnels anti-arme de juges ou d’officiers de police locaux ; ce pourrait être des vendettas personnelles ou politiques.

Prenez le cas de Gary Willis, un homme dans la soixantaine du Comté Anne Arundel, au Maryland, qui fut accusé d’être instable par un membre de sa famille. Cela incita à envoyer la police confisquer ses armes à feu en vertu d’une loi Red Flag – malgré le fait que l’homme n’avait commis aucun crime, qu’il n’avait menacé personne et n’avait jamais été accusé d’un crime et, au dire de tous, ne représentait un danger pour personne – et quand cet homme résista au fait que l’on saisisse ses armes (sans intention de blesser un officier) la police tira sur lui à cinq reprises et le tua.

Si Gary Willis avait tort de résister au raid tyrannique contre son foyer par des autorités visant à saisir ses armes à feu, alors aussi les hommes de Lexington Green.

Et les flics assassins ne furent évidemment pas accusés de crime et ne furent même pas réprimandés.

Voici les quinze sénateurs républicains communistes ayant donné licence aux flics inspirés par la Gestapo de surgir dans vos maisons et de saisir vos armes sans que vous n’ayez rien fait de mal :

  1. Mitch McConnell du Kentucky, leader de la minorité au Sénat
  2. Roy Blunt du Missouri (qui se retirera à la fin de son terme)
  3. Richard Burr de la Caroline du Nord (qui se retirera à la fin de son terme)
  4. Shelley Moore Capito de la Virginie occidentale
  5. Bill Cassidy de la Louisiane
  6. Susan Collins du Maine
  7. John Cornyn du Texas
  8. Joni Ernst de l’Iowa
  9. Lindsey Graham de la Caroline du Sud
  10. Lisa Murkowsky de l’Alaska (en lice pour sa réelction en novembre)
  11. Rob Portman de l’Ohio (qui se retirera à la fin de son terme)
  12. Mitt Romney de l’Utah
  13. Thom Tillis de la Caroline du Nord
  14. Pat Toomey de la Pennsylvanie (qui se retirera à la fin de son terme)
  15. Todd Young de l’Indiana (en lice pour sa réélection en novembre)

Voici les 19 états qui ont djà adopté les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu, en partie grâce à l’endossement enthousiaste du Président Donald Trump pour ces lois tyranniques :

Californie, Colorado, Connecticut, Delaware, Floride, Hawaï, Illinois, Indiana, Maryland, Massachusetts, Nevada, New Jersey, Nouveau-Mexique, New York, Oregon, Rhode Island, Vermont, Virginie et Washington.

Or, l’on va acheter le reste des états grâce aux millions de dollars des Washington, D.C., pour qu’ils promulguent leurs propres lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Tous les citoyens qui aiment la liberté et qui demeurent dans les 31 états qui n’ont pas encore adopté les lois Red Flag doivent faire savoir à leurs législateurs, leurs sénateurs et leurs gouverneurs du GOP, en termes sans équivoque, qu’ils ne TOLÉRERONT AUCUNE tentative de faire passer dans leur État une loi Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Si nous avons à défendre notre liberté UNE MAISON À LA FOIS, nos politiciens – en particulier le personnel local de mise en vigueur de la loi – doivent savoir que c’est exactement ce que nous allons faire.

Et si votre sénateur du GOP – ou, dans le cas de la Caroline du Nord, les deux sénateurs – se trouve dans la liste ci-haut de ceux qui ont voté pour ce projet de loi tyrannique, vous devez avoir comme partie de votre mission de vous assurer que ce sénateur ne soit jamais réélu à un poste politique.

Voici une vidéo YouTube de sept minutes concernant mon évaluation et mon avertissement contre ce projet de loi monstrueusement tyrannique sur la confiscation des armes à feu. S’il vous plaît, partagez cette vidéo avec le plus de gens possible. Pendant que les conservateurs sont occupés à se réjouir de la décision Roe, ils sont pour la plupart inconscients du danger de ce nouveau projet de loi de confiscation des armes adopté par le Sénat et bientôt signé comme loi par Joe Biden.

À quoi bon une loi qui « protège » votre droit de posséder et de porter des armes si le gouvernement peut les confisquer – même si vous n’avez rien fait de mal – n’importe quand il est sournoisement enclin à le faire ?

Je vous le dis : avec la tyrannie Covid (qui est encore très active), cette loi Red Flag nationale de confiscation des armes à feu est une des menaces les plus graves contre nos libertés – de tout notre vivant !

 




Israël planifie-t-il de se relocaliser en Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

23 juin 2022

Dans ma rubrique du 7 avril, j’ai cité le Président Volodymyr Zelensky qui avait dit que, quand la guerre serait terminée en Ukraine, celle-ci serait un « gros Israël ». Évidemment, Zelensky est lui-même juif ashkénaze et l’Ukraine est la patrie originale de ceux qui sont devenus des Juifs ashkénazes.

Se pourrait-il qu’un des motifs cachés derrière la guerre en Ukraine soit la relocalisation éventuelle d’Israël de la Palestine vers l’Ukraine ?

« Absurde ! » direz-vous. Peut-être bien. Peut-être pas.

Jusqu’ici, j’ai déjà perdu 80 % des évangéliques américains qui se sont fait laver le cerveau par les doctrines pseudo-prophétiques de Cyrus Scofield et qui croient que l’état d’Israël apparu en 1948 est un accomplissement de la prophétie biblique et est un – non, LE – signe prophétique central de la Seconde Venue de Christ.

Et la vaste majorité des conservateurs politiques se sont fait laver le cerveau à croire qu’Israël est le « plus grand allié » de l’Amérique au Proche-Orient et qu’on doit le soutenir au moyen de nos dollars américains et le protéger par le sang des Américains – à tout prix.

Les évangéliques comme les conservateurs politiques sont totalement aveugles quant au rôle majeur que l’Israël sioniste joue dans l’ensemble des machinations et des agendas globalistes. Cet aveuglement est la source d’une grave dissonance cognitive à l’intérieur de leur esprit.

Ils feront n’importe quoi pour soutenir et défendre l’État sioniste d’Israël, ne réalisant pas qu’Israël est un des pires ennemis que l’Amérique – et la Liberté – ait jamais eu et qu’il a fait plus pour détruire notre culture et notre héritage chrétien, notre stabilité économique et nos libertés constitutionnelles, que n’importe quel autre pays sur terre.

Par conséquent, ce que je m’apprête à vous dire à partir d’ici sera largement ignoré et dénigré par les évangéliques chrétiens et les conservateurs politiques.

Qu’il en soit ainsi.

Ce que j’écris aujourd’hui est bien plus qu’une simple fantaisie. C’est une idée dont on discute sérieusement au sein des groupes de réflexion géopolitiques.

Je vais citer ceci d’une analyse gouvernementale :

Appelez cela une théorie de la conspiration si vous voulez, mais j’ai lu à plus d’un endroit que l’agenda caché des États-Unis en Ukraine est de créer une nouvelle patrie pour le peuple d’Israël qui veut y migrer dans le but de sortir de ce qui est de plus en plus un état en faillite se dirigeant vers son écroulement.

Il est facile de ridiculiser cette théorie, mais je crois qu’on y trouve quelque chose à considérer.

(Prenez note de l’écroulement actuel du quatrième gouvernement d’Israël en seulement trois ans.)

Israël ressemble de plus en plus à un état qui a échoué. Il consiste en une poignée de gens juifs – moins de neuf millions – s’accrochant à une parcelle sèche et inhospitalière de roches et de sable sur la côte est de la Méditerranée, où ils sont isolés au milieu d’un vaste océan humain de populations et de culture musulmanes [et chrétiennes].

Je ne dis pas cela en tant que personne antisémite ou opposée à Israël. Je ne suis contre personne et ne m’oppose à aucun peuple, aucun groupe ethnique ou aucun pays. En fait, j’éprouve beaucoup de sympathie pour quiconque est pris dans les absurdités et la violence de la vie dans le monde d’aujourd’hui.

Mais soyons réaliste. Regardez la condition présente d’Israël. Mais avant, remontons un peu dans le temps. Il est communément accepté de croire que les Britanniques ont originalement acquiescé à la désignation de la Palestine comme patrie future du peuple juif en tentant d’établir une tête de pont pro-occidentale dans une région riche en minerai. Avançons rapidement de près d’un siècle à la Guerre contre le Terrorisme des États-Unis, qui a été un échec lamentable. Cette campagne était de toute évidence destinée à diriger une ingérence pour Israël dans son émergence en tant que pouvoir directeur régional au sein du Proche-Orient, ou même peut-être un pouvoir mondial.

Voyez le nombre de pays que la Guerre contre le Terrorisme était supposé renverser. Selon le général américain Wesley Clark, héros américain du bombardement de la Serbie à la fin des années 1990, l’inventaire des pays à assujettir par un changement de régime pro-américain devait comprendre, avec l’Afghanistan déjà occupée, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran.

Or, la Guerre contre le Terrorisme a été en grande partie abandonnée après un gaspillage de plus de vingt ans au coût d’innombrables trillions de dollars. Bien que les États-Unis aient écrasé et humilié l’Irak, ce pays est revenu au point de légiférer un ban complet, jusqu’à la peine de mort, de toutes normalisations des relations avec Israël. Le Liban est un désastre économique, mais il est en grande partie contrôlé par l’ennemi par excellence d’Israël, le Hezbollah. L’Iran demeure indépendant et défiant, malgré les menaces et les sanctions américaines.

Les États-Unis ont tenté d’utiliser des cadres terroristes analogues à Al-Qaeda pour détruire et renverser la Syrie, mais la Russie a envoyé des forces pour l’en empêcher, et la Syrie a pu rejoindre la Ligue Arabe. Et l’échec d’Israël à faire la paix avec les Palestiniens en a fait un paria international. Plus encore, après des années d’occupation, les colonies israéliennes en Cisjordanie sont des îlots en zone de guerre, alors que ses villes sont des camps armés. Même avec les incitatifs envers les Juifs vivant outremer, l’émigration vers Israël est quasi inexistante. Presque personne, sauf les fugitifs et/ou les blanchisseurs d’argent, n’est assez fou pour vouloir y déménager.

En outre, l’économie d’Israël est faible et continue de dépendre pour sa subsistance de l’aide et des dons des États-Unis par les Juifs américains. Parmi ceux qui prédisent une crise existentielle et un écroulement à court terme, il n’y a pas que les opposants extérieurs à Israël, mais également beaucoup d’Israéliens renseignés et influents. Et avec la Turquie et l’Arabie Saoudite qui s’alignent de plus en plus avec la Russie, l’influence des États-Unis en tant que protecteur d’Israël est sur son déclin.

Donc, je ne serais pas surpris le moins du monde si une partie du plan des États-Unis pour ravir l’Ukraine à la Russie, plan qui a cours depuis plus de trente ans à partir de la rupture de l’Union soviétique en 1991, pourrait avoir toujours été de la capturer pour en faire un refuge juif en vue de l’échec du projet-Israël. Et nous savons que la tentative gouvernementale américaine pour éloigner l’Ukraine de l’influence russe a été le fer de lance de la faction des Néoconservateurs qui a largement instigué la Guerre pro-Israël contre le Terrorisme. Les Néoconservateurs sont dirigés par des personnages comme Victoria Nuland du Département d’État et son mari Robert Kagan, cofondateur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain et de son poste à Brookings, un des principaux faucons guerriers de Washington.

Ainsi, je crois que le plan des Néoconservateurs était probablement que les États-Unis emploient la junte ukrainienne qu’ils avaient installée en 2014, dirigée maintenant par Zelensky, et anciennement par Poroshenko, tous les deux juifs, mais aidés par des néo-nazis comme le Bataillon Azov, pour chasser les Russes ethniques du pays. Cela devait se faire, et ce fut commencé, par une campagne d’intimidation et de bombardement terroriste, et un génocide si nécessaire.

Donc, est-ce que cela a été exécuté dans le but de faire de la place aux immigrants israéliens ? Nous ne le savons pas de manière sûre, mais Zelensky nous a bien dit que, lorsque ce serait accompli, l’Ukraine finirait par être gouverné « comme Israël ».

Les quartiers généraux hégémoniques sionistes déménageraient-ils de Tel-Aviv à Kiev que cela donnerait aux globalistes européens le deuxième plus gros pays d’Europe à partir duquel opérer. Imaginez partir d’une petite bande de terre, environ de la dimension du New Jersey, au deuxième plus gros pays de l’Europe. En plus, la vaste majorité des gouvernements du monde sont de plus en plus outrés par le traitement génocidaire continu du peuple palestinien par l’armée israélienne.

Ajoutez-y le fait que l’Ukraine est le foyer historique de l’Empire khazar qui fut l’ancêtre des Juifs ashkénazes maintenant localisés en Palestine et vous pouvez voir l’attraction que cela exerce sur l’élite sioniste.

Évidemment, si jamais cette relocalisation survient, cela fera exploser en mille morceaux les fausses doctrines prophétiques des futuristes Scofield. Mais j’ai confiance que les dispensationnalistes s’arrangeront pour trouver une autre contorsion biblique à faire au Livre de l’Apocalypse. C’est toujours ce qu’ils font.

N’oubliez jamais que, depuis la Deuxième Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis n’a pas fait une seule guerre ou engagé un seul conflit armé qui ne fasse pas avancer la cause du sionisme d’une façon ou d’une autre. Je suis absolument convaincu que cela s’applique aussi à la guerre des États-Unis en Ukraine.

Rappelez-vous également que le nettoyage ethnique des Palestiniens de langue arabe était un prérequis des Sionistes pour prendre le pouvoir en Palestine. Et tout le conflit actuel en Ukraine est dû au nettoyage ethnique de Zelensky contre les gens de langue russe dans le Donbass.

Coïncidence ? Nous verrons bien.




Dommages collatéraux des confinements Covid ; épreuve de force au Sénat sur le contrôle des armes à feu

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

16 juin 2022

Le nombre des morts et des estropiés causés par les vaccins Covid est nettement sous-rapporté par le Système de Rapports de Cas Négatifs des Vaccins (VAERS). En vertu de la manière par laquelle ces statistiques sont accumulées, ces chiffres reflètent au mieux 10 % du total réel. Par conséquent, les 28 000 décès que rapporte le VAERS sont en fait 280 000 décès, et le rapport de 1,3 million de gens estropiés est en réalité de 13 millions d’estropiés.

Mais ces chiffres ne tiennent pas compte des dommages collatéraux occasionnés par la réaction tyrannique du gouvernement face au narratif Covid frauduleux, plus précisément les confinements.

Voici le rapport :

Les États-Unis ont enregistré un excédent de 170 000 morts durant la pandémie du Covid-19, lesquels n’ont pas été causés par le virus en lui-même – comme l’obésité, l’abus de substances toxiques et d’autres tueurs ayant fait éclosion durant les confinements imposés par le gouvernement, nous montre une nouvelle étude.

Les chiffres ont été révélés dans un rapport émis ce mois-ci par le Bureau National des Recherches Économique (NBER).

Le rapport suggère que l’excédent de morts non-Covid pourraient être des « dommages collatéraux dus aux choix politiques ». Le NBER indique des facteurs tels que la violence accrue par les armes à feu, l’utilisation de drogues et d’alcool, la cigarette et le gain de poids durant les confinements.

« Nous remarquons particulièrement que les résultats de santé non-Covid n’avaient pas fait l’objet d’un suivi étroit pour déterminer, entre autres choses, si les politiques Covid privées ou publiques les aggravaient, » disent les auteurs de l’étude. Ils ajoutent que, bien que les critiques blâment les choix personnels pour l’excédent de morts, plutôt que les politiques publiques, « cela ne donne pas d’excuse pour ignorer l’essor du taux de mortalité ou de mettre l’examen de ces décès en veilleuse. »

Les morts causées par la drogue et l’alcool ont augmenté de 13 % et 28 % respectivement, excédant les niveaux de base de 24 000 personnes par année, dit le NBER. Il y a eu 32 000 morts annuelles excédentaires à cause des maladies circulatoires, environ 4 % au-dessus du niveau de base, et les fatalités causées par le diabète et l’obésité ont été de 10 % plus élevées que prévu, atteignant une moyenne estimée à 15 000 cas additionnels chaque année.

Même si le gouvernement suit de près les cas et les morts Covid, très peu de données sont offertes sur ce qu’il en est des conséquences sanitaires en dehors du virus, dit le NBER. « L’on a montré bien peu de curiosité à savoir si les politiques Covid publiques et privées avaient aggravé les problèmes précédents de santé, » poursuivent les auteurs, en ajoutant que leurs découvertes sur les torts causés à la santé et vécus durant la pandémie étaient « significatifs et historiques. »

« D’autres données sur la dépendance aux drogues, les fusillades non-fatales, le gain de poids et les dépistages de cancer indiquent une urgence sanitaire historique, bien que largement non-reconnue, » disent les auteurs.

Une étude de l’Université John Hopkins émise plus tôt cette année suggère que les confinements Covid-19 autour du monde n’ont empêché que peu ou pas de morts causées par le virus. « Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements n’ont eu que peu ou pas du tout d’effets sur la santé publique, ils ont toutefois imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés, » disent les auteurs de l’étude. « En conséquence, les politiques de confinement sont mal-fondées et devraient être rejetées comme instrument de politique pandémique. »

En ajoutant les 170 000 morts « excédentaires » aux 280 000 décès sous-rapportés par le VAERS, nous arrivons à un nombre réel de morts attribués au faux narratif Covid de plus de 450 000.

En plus, cette étude ne prend pas en considération l’impact psychologique pernicieux que des protocoles orwellien du CDC tels que les masques, la distanciation sociale et l’isolement ont eu sur tout le monde – particulièrement les enfants d’âge scolaire.

Personne ne peut redonner ces deux ans aux étudiants du secondaire et du collège de notre pays. Ils ont perdu deux des années les plus importantes de leur vie. Et au retour à l’école, ce seront des créatures différentes.

L’omniprésente propagande Covid et le narratif Covid maladroit et tyrannique ont, non seulement ôté deux des années les plus importantes et formatrices de ces jeunes gens, mais ils ont changé leur psyché pour toujours.

Allez dans n’importe quel collège d’Amérique et voyez ce qui s’y passe. Vous y verrez des robots pour la plupart déconnectés, anti-sociaux et sans amis, dont on a recircuité les cerveaux et dont on a détruit l’interaction normale (saine) d’adolescent, la socialisation et les rêves d’avenir.

Ils s’assoient en classe avec leur cellulaire branché dans les oreilles ; ils sont assis seuls à la cafétéria, encore avec leurs cellulaires ; ils ne regardent pas les autres étudiants et leur parlent encore moins. Ils sont totalement détachés de la réalité et effrayés d’interagir dans la société.

Récemment, j’étais en train de manger dans un restaurant fast food et une étudiante de seconde année au collège attendait à ma table. Je mange fréquemment à cet endroit et j’ai développé une relation amicale avec bon nombre des membres du personnel qui y travaillent, y compris cette étudiante collégiale.

Je lui demandai nonchalamment comment ça va à l’école. Elle me répondit qu’elle avait sauté ses deux dernières semaines d’école et n’y retournerait pas l’automne prochain. Je lui demandai pourquoi et elle me dit que l’école était un cauchemar. Elle m’avoua ne pas avoir d’amis et que très peu se préoccupaient de se faire des amis. Elle me dit que l’atmosphère ressemblait plus à celle d’un salon funéraire que d’une école secondaire. Elle en avait assez, me dit-elle.

Donc, voilà une autre décrocheuse du collège qui n’a que peu d’espoir dans le futur, qui jette sur la vie un regard complètement découragé et dépressif. Mettez-la sur le compte des dommages collatéraux provoqués par le faux narratif Covid.

Effacez les deux dernières années de tyrannie Covid et cette jeune fille serait sans aucun doute une adolescente heureuse, enthousiaste et optimiste, toute excitée à l’idée de devenir une étudiante de dernière année avec tout le plaisir que cela implique et les expériences mémorables qui vont avec.

Cette jeune fille fait partie de millions d’autres à travers le pays. On ne les verra pas dans les feuilles de statistiques de quiconque, mais ce sont des victimes de la GUERRE CONTRE LA LIBERTÉ de Bill Gates/Anthony Fauci/Donald Trump/Joe Biden/CDC.

Épreuve de forces au Sénat au sujet des armes à feu :

La proposition la plus extrême sur le contrôle des armes à feu considérée par le Sénat américain est une disposition qui autoriserait le gouvernement fédéral à suborner les états pour qu’ils promulguent des lois Red Flag de confiscation d’armes – en fait, une loi Red Flag nationale.

De ZeroHedge :

Les lois Red Flag (Drapeau Rouge), connues également sous le nom de « Ordres de Protection Extrême », sont généralement associées aux suppositions de désordre mental et d’instabilité (rappelez-vous bien du mot « suppositions »). Les paramètres de ce genre de lois semblent être incroyablement larges et ambigus, et permettent à quiconque en proximité régulière d’une personne de l’accuser d’être psychologiquement instable. L’accusation peut venir d’un membre de la famille, d’un partenaire, un associé au travail, etc.

Une fois que l’accusation est lancée, les autorités peuvent confisquer les armes à feu de la personne ciblée sans procédure selon la loi, en raison qu’elles représentent un danger pour elle-même ou pour les autres. Aucun jury, aucun examen, aucune preuve ne sont requis pour obtenir un ordre de la cour. C’est alors à l’accusé de prouver qu’il n’est PAS instable, et qu’il mérite qu’on lui retourne ses armes à feu. Ce processus peut prendre des années, à condition que ses armes ne lui soient jamais retournées.

Certaines versions des projets de loi Red Flag permettent même à la police de vous déclarer d’elle-même dangereux, même sans contact direct ou sans témoin. En d’autres mots, c’est un système de « pré-crime » qui ouvre la porte aux abus de masse. Et gardez à l’esprit que nous vivons dans une ère digitale dans laquelle les médias sociaux sont soigneusement contrôlés, souvent par des gens qui n’ont pas vos meilleurs intérêts à cœur. Les lois Red Flag pourraient même s’étendre aux commentaires émis et pris hors contexte sur les plateformes de médias sociaux.

Comme dans toute propagande gauchiste, Biden et les Démocrates ont vu à associer toutes les intérêts politiques et sociaux, de même que les affaires constitutionnelles, aux vils comportements tels que le racisme et la trahison. Si vous vous opposez à l’immigration illégale, que vous exigez une preuve de citoyenneté pour voter, que vous soutenez le droit d’avoir des armes et le droit constitutionnel d’avoir une milice, que vous croyez que le gouvernement est corrompu et qu’il a surpassé ses mandats constitutionnels, que vous vous opposez au globalisme et au monopole des entreprises, etc. alors vous êtes un extrémiste aux yeux de l’Administration Biden. Non seulement cela, mais vous êtes comparable à des groupements comme le Ku Klux Klan et des terroristes individuels comme le poseur de bombe de l’Oklahoma City.

Les lois Red Flag ouvrent la porte aux punitions pour opposition politiques en associant les points de vue contraires à « l’extrémisme » et l’extrémisme à l’instabilité mentale. Les politiques de Biden mentionnent spécifiquement les gens qui sont hostiles à l’autorité gouvernementale, ce qui tombe en plein dans la ligne de la rhétorique employée par le DHS et les autres agences-alphabet des dernières années en relation avec ce qu’on appelle le « Désordre de l’Opposition Provocatrice ».

Les partisans autoritaires anti-armes ont peur de la confrontation directe et de la confiscation directe. Faire du porte-à-porte n’est pas, dans leur idée, une partie de plaisir. Ils vont plutôt préférer la confiscation par la porte arrière, en courant après une poignée de gens, pour ensuite aller vers le groupe suivant. D’abord lentement, jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que les gens s’organisent contre eux. Le 2e Amendement n’est pas un privilège accordé à la loyauté envers un régime donné ou une idéologie particulière, et il ne dépend pas du taux de criminalité ; il est sacro-saint et s’érige en dehors des conditions de l’époque dans laquelle nous vivons. Les fusillades peuvent se multiplier ou chuter, mais cela n’a pas d’importance – une fois que le droit de porter des armes sera enlevé, il est improbable qu’il ne revienne jamais.

Dix-neuf états et le District de Columbia ont déjà fait passer les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu. Ce sont la Californie, le Colorado, le Connecticut, le Delaware, la Floride, Hawaï, l’Illinois, l’Indiana, le Maryland, le Massachusetts, le Nevada, le New Jersey, le Nouveau-Mexique, New York, l’Oregon, le Rhode Island, le Vermont, et l’état de Washington.

Notez que ces états comprennent des Bleu Profond et des Rouge Profond.

Je vous encourage – particulièrement vous, les dames – à lire l’excellent article intitulé An Open Letter to Women Who Want Gun Control, de Daisy Luther.

En passant, le témoignage personnel de Mme Luther à propos de la présence d’une arme et l’empressement à l’utiliser en état d’autodéfense, ce qui a réussi à lui éviter l’éventualité de blessures sérieuses ou la mort, à elle-même ainsi qu’à sa fille, c’est aussi le témoignage de ma famille en six occasions séparées.

Quiconque permettrait au gouvernement de le désarmer est un insensé.

Si vous tenez à votre liberté – et à votre sécurité – vous devez envoyer un message fort et clair à vos sénateurs républicains (et une poignée de démocrates professant le 2e Amendement) et laissez-leur savoir en termes sans équivoque que s’ils votent pour soutenir ces nouvelles mesures de contrôle des armes à feu, ils auront perdu votre vote pour toujours.

Et vous, les amis du Texas, vous devez savoir que votre sénateur, John Cornyn, est un des leaders du Sénat à promouvoir cette nouvelle loi Red Flag nationale de contrôle des armes à feu. Il doit vous entendre MAINTENANT !