M. Joseph Sakala, homme de Dieu, s’est éteint au matin du 19 août 2022 dans la résidence où il demeurait. Après le décès de son épouse Agathe, sa santé s’est détériorée lentement et il a dernièrement perdu la vue. Mais il avait un moral élevé et tenait bon dans la sérénité. Il fut le contributeur le plus important du site de Moisson des Élus avec des milliers de pages dans lesquelles on pouvait sentir l’inspiration divine. Son empathie envers son entourage et ses lecteurs fait qu’il a laissé sa marque dans nos cœurs et nous lui en sommes tous reconnaissants. Il se trouve maintenant dans l’attente inconsciente de la Première Résurrection à laquelle il participera assurément et il recevra ses récompenses des mains mêmes de notre Seigneur Jésus-Christ pour qui il était dévoué. Qu’il nous serve maintenant d’exemple d’un homme qui suivait Dieu dans Ses instructions. Son voyage est terminé, mais le nôtre continue et nous devons, comme lui, achever le bon combat.
« Le déclin et la chute de l’Empire occidental »
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
11 août 2022
Presque tout le monde le voit, et presque personne ne veut en discuter : l’Amérique et l’Europe occidentale descendent en vrille sans contrôle. Et la vitesse de la descente s’accélère en crescendo.
Il a fallu du temps avant que le vieil Empire romain ne s’écroule. Les germes de sa mort se développèrent lentement, mais les gens possédant des connaissances historiques parmi les Romains virent croître les destructives plantes mangeuses de nation quand elles commencèrent à apparaître, mais personne ne les crut. Et lorsque la fin arriva, elle vint rapidement – presque du jour au lendemain.
L’Empire romain était si riche et si prospère, avec une armée tellement puissante que personne au sein de l’Empire ne pouvait imaginer que son écroulement était possible. Je suis sûr que ce que j’ai entendu des centaines d’Américains dire : « Ça ne peut pas arriver ici ! », s’entendait aussi en écho dans tout l’Empire romain depuis des générations.
Quelque part dans un avenir plus ou moins rapproché, un académicien érudit écrira un tome volumineux portant le titre de Déclin et chute de l’Empire occidental. Peut-être que la Table des matières contiendra-t-elle, entre autres, douze chapitres aux titres semblables à ceci : Première Guerre Mondiale, Deuxième Guerre Mondiale, Corée, Vietnam, Palestine, Iran, Nicaragua, Afghanistan, Irak, Syrie, Ukraine, Taïwan.
En fait, Karin Kneissel, ancienne Ministre autrichienne des Affaires Étrangères, est justement en train d’écrire un livre ayant pour titre provisoire Un requiem pour l’Europe. Dans une entrevue accordée au Asia Times, le 31 juillet, elle déclara que « les pays européens deviennent de plus en plus faibles sur la scène internationale et leur place est prise par les pays asiatiques. » Elle dit que l’Europe « où elle est née et a grandi, et à laquelle elle se dévouait, n’existe plus. » « Les leaders européens, par ignorance ou arrogance, négligent les réalités géopolitiques actuelles et les principes de base de la diplomatie, et cela a créé une situation dangereuse. »
Elle ajouta : « C’est relié à l’eurocentrisme. Nous croyons être tellement géniaux que personne ne peut rien faire sans nous … Il me semble, à moi, que l’Europe a plus besoin de la Russie que la Russie a besoin de l’Europe. Si j’ai raison, alors, est-ce vraiment dans l’intérêt de l’Ancien Monde de traiter Moscou en ennemi en poussant Moscou vers Beijing ? Aujourd’hui, les Européens sont de plus en plus désillusionnés et désespérés, et cela pourrait provoquer un désordre de masse et de la violence anti-gouvernementale. »
Originaire de l’Europe centrale, Kneissel nous donne le sentiment que l’Europe vit dans le passé, avant 1914, lorsque sa politique était au centre du monde, au lieu d’être plus ou moins le trou politiquement perdu et sans pertinence qu’elle est en 2022. Ce qui est certain, c’est que la chute physique d’un empire est toujours précédée de sa chute spirituelle.
La chute spirituelle précède toujours la chute de l’État. En Ukraine, un grand nombre de gens ont noté les tatouages sataniques et les pentagrammes sur les corps des brutes néo-nazies qui composent l’élite des forces armées du régime de Kiev, et beaucoup de gens ont vu les vidéos montrant leurs rites sataniques.
Ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est l’autojustification du monde occidental pour son propre suicide et son refus d’admettre que quelque chose ne va pas chez lui. Bien au contraire, seules les « valeurs » de « liberté, de démocratie et de droits humains » sont justes et doivent par conséquent être répandues à travers le « monde libre ». Tous ceux qui n’acceptent pas ses « valeurs », qui sont en fait des antivaleurs parce qu’elles sont destructrices, et non pas constructives comme de vraies valeurs, doivent être raillés, diffamés et, si nécessaire, bombardés jusqu’à soumission. Le monde occidental d’aujourd’hui se met visiblement à ressembler aux fresques médiévales illustrant les tourments de l’enfer, ce qu’est la mort spirituelle. Le Monde occidental a été démonisé, les démons ont été appelés des enrailles de l’enfer pour l’occuper et, visiblement et railleusement, lui infliger les « valeurs occidentales ».
Saisissez-vous ce qu’il a dit ? « La chute spirituelle précède toujours la chute de l’État ». C’est ce que je dis depuis plus de trois décennies. Combien de fois m’avez-vous entendu dire que les problèmes premiers de l’Amérique sont spirituels, pas politiques ?
Mes critiques me qualifient souvent de pasteur « politique ». Si ces mêmes personnes m’avaient réellement écouté pendant une période de temps significative, ils auraient su que je suis un des prêcheurs les plus apolitiques au pays. Bien que les pasteurs qui me qualifient de « trop politique » soient des partisans politiques jusqu’au cou, en définissant les problèmes de l’Amérique en termes majoritairement politiques, en promouvant le Parti républicain et en refusant de s’opposer aux politiciens du GOP quand ceux-ci s’engagent dans des activités et des politiques destructrices et anti-libertaires par crainte que, ce faisant, cela « aiderait les Démocrates », je n’épargne aucun parti et aucun politicien. Je ne m’intéresse pas à ce qui est bon pour le parti ; je ne m’intéresse qu’à ce qui est bon pour le pays et à ce qui est DROIT.
La partisannerie, le compromis, les agendas personnels, l’arrogance, l’ignorance volontaire de la Constitution et le manque total de crainte de Dieu ont transformé la vaste majorité de nos leaders politiques des deux partis en dangereux démagogues qui facilitent la destruction de notre pays. En vérité, ce sont les « leaders aveugles des aveugles ».
Si les problèmes premiers de l’Amérique sont spirituels (ce qu’ils sont véritablement, et ce que The Saker observe avec finesse), alors les solutions sont principalement spirituelles. Et cette réalité impose la responsabilité de fournir ces solutions spirituelles et de les mettre carrément sur les épaules des bergers spirituels de l’Amérique : les pasteurs.
Mais, comme vous le savez fort bien, dans leur ensemble, les pasteurs de l’Amérique sont totalement indifférents et pas intéressés à fournir le courageux leadership spirituel dont l’Amérique a désespérément besoin.
Très rapidement, permettez que je vous dise pourquoi cela arrive. Être pasteur vétéran de plus de 47 ans me qualifie pour apporter une analyse à la fois éducatrice et remplie d’expérience. Les pasteurs ne tomberont pas tous dans chacune des catégories mentionnées ci-après, mais considérées conjointement, les catégories suivantes englobent la vaste majorité des pasteurs évangéliques, sans tenir compte des dénominations.
Les pasteurs sont des mercenaires
Ils servent au bon plaisir du comité ou de la direction de l’église. Ils ne s’appartiennent pas. Ils sont achetés et vendus par les dénominations ou les conseils gouverneurs de l’église.
Les pasteurs sont attirés par le succès
Les pasteurs convoitent le « succès ». Ils savent qu’ils ont besoin de gens pour remplir leurs bâtiments et financer leurs programmes. Ils savent aussi que s’ils prêchent trop de « dures » vérités, ils vont perdre un pourcentage significatif de leurs congrégations et, donc, perdre un pourcentage considérable de leur revenu.
Afin d’avoir du « succès », ils utilisent donc des combines, de la musique, des trucs de théâtre, du divertissement, de la récréation et du PRÊCHI-PRÊCHA DOUCEREUX pour amener les masses – et les garder. En conséquence, beaucoup de pasteurs ne sont pas des bergers et des gardiens ; ce sont des orateurs motivateurs, des comiques et des fantaisistes.
En bref, ils cherchent à plaire aux hommes, pas à Dieu.
Je ne puis résister ici à la forte envie de citer l’apôtre Paul : « Car maintenant prêché-je les hommes, ou Dieu ? ou cherché-je à complaire aux hommes ? Certes si je complaisais encore aux hommes, je ne serais pas le serviteur de Christ » (Galates 1:10).
Les pasteurs craignent le gouvernement plus que Dieu
La crainte de l’Éternel n’est pas leur premier souci ; la peur du gouvernement occupe cette position.
La genèse de ce transfert d’allégeance a débuté en 1954 quand Lyndon Johnson, alors sénateur, se fit le fer de lance de la loi qui amena les églises sous l’autorité du Service de Revenu Intérieur [SRI] en tant que corporations 501(c) (3) à but non lucratif.
La possibilité de violer une « ligne directrice » du SRI pour les organisations à but non lucratif et, par conséquent, perdre le « précieux statut d’exemption de taxe des églises » est de la plus haute importance dans leur esprit à chaque fois qu’un pasteur se présente au lutrin.
Au fil du temps, cet esprit de servilité – soutenu par leur commode interprétation erronée de Romains 13 – a transformé les pasteurs en serviteurs penauds de l’état.
Les pasteurs sont des lâches
Ils savent que, à l’époque où nous vivons, prendre une position hardie sur des vérités controversées et gênantes va COÛTER quelque chose – et ça pourrait coûter cher. Ça, ils ne sont pas prêts à le faire.
Dans mon itinéraire pastoral, j’ai fait partie des milieux internes de la soi-disant Droite Religieuse de la fin des années 1970 jusqu’au début des années 2000. Je connaissais un grand nombre des « gros noms » de prêcheurs évangéliques de cette ère. Je les connaissais en public ; je les connaissais en privé.
Je vis le « vœu de mariage » qu’ils firent au GOP. J’entendis leurs admissions privées à savoir qu’être accepté par l’establishment politique, c’est-à-dire, « avoir un siège à la table », était directement relié à leur fortune personnelle. Je vis l’esprit de convoitise du pouvoir, de la position, de la notoriété et de l’argent. Je vis les jalousies et les âpres ambitions.
Assurément, ces accusations ne s’appliquent pas à certains d’entre eux – DIEU SOIT LOUÉ ! Mais elles s’appliquent à beaucoup, beaucoup trop d’entre eux.
Il est facile d’attaquer « courageusement » les Démocrates quand ce sont les Républicains qui mettent du beurre sur votre pain. En effet, si vous pouviez voir la liste des donateurs des politiciens majeurs républicains et celle des leaders évangéliques majeurs, vous verriez que ces listes concordent presque parfaitement. Ça en dit pas mal sur l’affaire.
Les pasteurs sont les serviteurs et les porte-parole de l’Israël sioniste
Appelez-moi ce que vous voulez, mais c’est la vérité quand je vous dis que les intérêts et les idéologies d’Israël dominent la vaste majorité des pasteurs évangéliques. Les fausses doctrines prophétiques de Cyrus Scofield vendu aux sionistes (alias, le Dispensationnalisme prophétique, le Futurisme prophétique, le sionisme chrétien, etc.) dominent la vaste majorité des séminaires et des collèges évangéliques, la vaste majorité des évangélistes à la télévision, la vaste majorité des programmes radiophoniques évangéliques, la vaste majorité des entreprises d’édition évangéliques et la vaste majorité des églises évangéliques.
L’engagement au sionisme garde les pasteurs dans l’esclavage. On ne peut pas séparer « l’élite globale », la « clique de Davos », le « un pourcent », les promoteurs du « Nouvel Ordre Mondial », la cabale moderne des « changeurs » internationaux et les promoteurs de tout ce qu’il y a d’antichrétien, d’anti-Amérique et d’anti-Liberté de l’Israël sioniste. Ils sont inséparables.
Aussi longtemps que les pasteurs seront esclaves du sionisme, ils seront incapables de discerner le mal, encore moins d’y résister.
Citons encore The Saker : « La chute spirituelle précède toujours la chute de l’État. »
Quand Le déclin et la chute de l’Empire occidental sera éventuellement écrit, il ne sera pas tendre envers les pasteurs évangéliques et les leaders protestants de cette génération. Et je le dis avec douceur.
Nancy Pelosi a fait de son mieux pour faire évaporer les enfants non-nés, éradiquer les armes à feu, étendre le gouvernement et promulguer la tyrannie – pourquoi ne pas finir en beauté et faire éclater la Troisième Guerre Mondiale ?
Pelosi est une idiote, mais elle n’est pas stupide. Elle sait qu’il y a des conséquences. Les Chinois ont clairement fait savoir qu’ils ne veulent pas que Pelosi aille à Taïwan. Les tensions sont déjà grande entre les États-Unis et la Chine, et ce voyage n’aidera sûrement pas.
Or, de toute évidence, il n’appartient pas à la Chine de dicter la politique et les actions des États-Unis. Mais comme le voyage d’Alcibiade au Péloponnèse, en l’an 418 av. J.-C., il n’y a absolument aucun bénéfice à ce que Pelosi aille à Taïwan.
L’économie des États-Unis est en chute libre. Les parents n’arrivent plus à trouver du lait maternisé à bébé, l’inflation fait rage. Les gens souffrent.
Qu’est-ce exactement que cette femme veut réussir à faire ? Sa visite à Taïwan va-t-elle, en quelque sorte, miraculeusement faire reculer l’inflation ? Le lait maternisé pour bébé va-t-il soudainement réapparaître sur les tablettes ?
Bien sûr que non. Alors, s’il n’y aucun bénéfice pour les Américains, pourquoi y aller ?
D’un autre côté, le voyage comporte un grand nombre de risques. La Chine ne veut pas avoir l’air faible, et quelles que soient les mesures de représailles qu’elle entreprendra, elles ne seront sans doute pas positives pour les États-Unis.
La réaction initiale de la Chine, il fallait s’y attendre, a été vive. Elle a déjà démarré des exercices militaires de combat, c’est-à-dire, avec des vraies armes et de vraies munitions, et elle a littéralement entouré Taïwan par la mer. Apparemment, ces exercices militaires vont comprendre des tests de missiles à proximité de la côte est de Taïwan.
Pendant ce temps-là, les États-Unis ont mis en position au moins deux vaisseaux de la marine et plusieurs jets de combat près de la côte est de Taïwan, augmentant ainsi la possibilité d’un conflit, ou même juste un accident.
Heureusement, il ne se passe rien de catastrophique. Mais encore une fois, quel est l’objet exact de ce voyage ? Il n’y a que des risques et aucun bénéfice… sauf celui de permettre à Pelosi de crâner devant les caméras avant qu’elle ne se retire l’an prochain.
On penserait que quelqu’un ayant des décennies d’expérience politique – une « experte » en diplomatie internationale – comprendrait une réalité aussi simple, et choisirait de manière rationnelle la ligne de conduite qui bénéficierait le plus à son pays. Mais c’est une proposition dérisoire.
Pelosi a à son compte des décennies de tromperie, de déloyauté, de couardise et d’arrogance. Elle est même méprisée par des membres éminents de son propre parti.
Pelosi n’est qu’un exemple parmi bien d’autres – une #mefirst (moi d’abord) hypocrite et égocentrique qui est devenue l’Alcibiade des temps modernes. Et elle entrera probablement dans l’histoire de la même façon qu’il l’a fait.
Veuillez lire tout l’article duquel cet extrait est tiré et vous comprendrez les références historiques.
Comme je le dis depuis le début de la guerre en Ukraine – qui est le catalyseur de tout le trouble qui se produit actuellement entre l’Est et l’Occident : la guerre en Ukraine n’a pas été décollée par les Russes en 2022. Elle a été lancée en 2014 par les États-Unis. La Russie s’est montrée plus que patiente d’avoir attendu huit ans pendant que le Donbass se transformait en incinérateur géant à cause de Zelensky et de sa foule de gangsters nazis et de ses monstres animalistiques.
Et toutes les sanctions économiques et les transferts de milliards de dollars des payeurs de taxe – sans mentionner les milliards de dollars en armes et munitions militaires – des États-Unis et de l’OTAN ont non seulement exacerbé, élargi et prolongé le conflit ukrainien, mais ils ont eu de SÉRIEUSES ramifications négatives sur les pays qui ont pris ces sanctions – y compris les États-Unis.
Joe Biden peut bien essayer de blâmer tant qu’il veut Poutine pour la récession en Amérique : le peuple américain sait que c’est Washington, D.C., et non pas Moscou, qui est responsable de notre malaise économique. Les Américains ne croient peut-être pas beaucoup ce que dit Poutine, mais ils ne croient à RIEN DU TOUT de ce que dit Biden.
Mais l’autre ramification sérieuse (pour les États-Unis), c’est que le conflit en Ukraine a créé une grande division entre l’Est et l’Occident comme rien d’autre ne l’a fait depuis la Guerre Froide. Et à ce point-ci, l’Est s’étend de manière exponentielle, tandis que l’Occident rétrécit au même rythme.
Donc, en plein milieu de toute cette pagaille, Pelosi choisit de narguer plus de la moitié de la planète et de se faire engluer au centre d’un champ de mine international.
Cela ne fait que renforcer ce que j’avais dit auparavant : tous les signes indiquent que le gouvernement des États-Unis à Washington, D.C., fait tout ce qu’il peut pour provoquer la Troisième Guerre Mondiale. Pratiquement tout ce que Washington fait s’épelle N-O-U-S V-O-U-L-O-N-S L-A G-U-E-R-R-E.
Mais est-ce que le peuple américain, lui, veut la Troisième Guerre Mondiale ? Il n’y a pas de doute que des faucons de guerre républicains comme Lindsey Graham la veulent. Et des sionistes chrétiens guerriers comme John Hagee aussi. Mais le peuple américain dans son ensemble veut-il la guerre ouverte contre la Russie et la Chine ? Pas du tout !
Mais depuis quand est-ce que ce que veut le peuple affecte-t-il quoi que ce soit que fait l’élite du pouvoir de Washington, D.C. ?
Et pour sortir du marécage domestique qu’ils ont créé, il n’y a absolument rien de mieux pour les bêtes de proie au sein de la Beltway que de démarrer une guerre. Non seulement la guerre enrichit-elle ses profiteurs ; elle retranche l’élite politique corrompue. Lorsqu’il y a une guerre en action, les gens oublient complètement jusqu’à quel point les serpents puants et sans âmes de Washington, D.C., les ont violés et pillés.
La guerre assure aux créatures écailleuses des rives du Potomac qu’elles peuvent commettre pratiquement n’importe quel crime – aussi mauvais et meurtrier soit-il – en toute impunité.
Comme le dit l’article ci-haut : « Heureusement, il ne se passe rien de catastrophique. »
Mais si rien de catastrophique n’est arrivé, ce n’est pas parce que Pelosi, Biden et le reste des mécréants de Washington, D.C., n’ont pas tout fait en leur pouvoir pour créer une catastrophe. Ça, c’est sûr.
Les vaccins COVID-19 entravent le système immunitaire, mènent à des maladies plus sévères : Dr Robert Malone
THE EPOCH TIMES
4 août 2022
Une étude provenant du Royaume-Uni démontre que les travailleurs de la santé qui ont reçu plusieurs vaccins de rappel COVID-19 après avoir été initialement infectés par la souche virale originale de Wuhan sont plus enclins à la réinfection chronique par le variant Omicron.
Cela pourrait permettre d’expliquer pourquoi les gens qui reçoivent plusieurs vaccins de rappel COVID-19 composent de plus en plus ceux qui se retrouvent à l’hôpital avec des symptômes sévères de COVID-19 se terminant souvent par la mort, a dit le scientiste et physicien, le Dr Robert Malone.
Dans une entrevue du 21 juillet à l’émission Crossroads d’EpochTV, Malone, inventeur de la technologie du vaccin ARN-messager, a dit que ce phénomène est le résultat d’un processus appelé « empreinte immunitaire » par laquelle l’exposition initiale à la souche virale peut empêcher le corps de produire assez d’anticorps neutralisants contre une nouvelle souche.
Il ajoute que ce processus est renforcé par de multiples inoculations.
« Partout dans le monde, nous voyons des séries de données qui démontrent que, malheureusement, les personnes qui meurent et celles qui sont hospitalisées se trouvent par une majorité écrasante celles qui sont fortement vaccinées, » dit-il. « Ce ne sont pas ceux qui ont une immunité naturelle. »
Des vaccins basés sur de vieilles souches
Les vaccins COVID-19 actuellement en circulation sont basés sur la souche Wuhan du virus du PCC (Parti Communiste Chinois), que l’on appelle aussi SARS-CoV-2 causant la maladie que l’on identifie aujourd’hui comme le COVID-19.
Un certain nombre de souches a émergé et est devenu dominant depuis que s’est répandue la souche Wuhan, y compris l’actuel variant dominant Omicron.
Le problème réside dans le fait que les vaccins COVID-19 n’utilisent qu’un seul des composants de tout le virus, qui est une pointe de protéine du virus original identifié à Wuhan, Cette souche de virus n’existe plus et ne circule plus dans la population, dit Malone.
Si un vaccin basé sur une souche virale maintenant défunte est administré à répétition, il forme le système immunitaire à se concentrer de plus en plus sur l’antigène livré par le vaccin et à négliger tout ce qui est légèrement différent, explique Malone, appelant ce phénomène empreinte immunitaire.
« La littérature sur l’empreinte immunitaire est indestructible, » dit Malone. « Article après article, après article, maintenant, dans les journaux revus par les pairs provenant des plus grands laboratoires du monde, en font la documentation. »
Le phénomène est connu depuis longtemps dans le domaine de la vaccination, dit le Dr Malone, mais le sujet est défendu, et les gens qui travaillent dans le domaine préfèrent ne pas en discuter, dit-il.
Immunité par le vaccin vs immunité naturelle
Des travailleurs de la santé du Royaume-Uni – dont beaucoup ont été infectés par le variant Wuhan du virus et qui ont également reçu de trois à quatre doses du vaccin COVID-19 – ont développé des contaminations chroniques répétées du variant Omicron, nous a dit Malone, citant un article publié dans le journal académique Science.
Un autre article publié dans Nature montre que l’évolution du virus ne provient pas de la population en général, mais plutôt des personnes immuno-compromises qui ont reçu de multiples doses de vaccin, dit Malone, et environ 30 % de la population entièrement vaccinée se retrouve avec des infections à répétition.
Cela va à l’encontre du narratif promulgué qui veut que ce soit les non-vaccinés qui mettent toute la population en danger, remarque Malone.
L’immunité naturelle à l’infection COVID-19 dure au moins quatorze mois, y compris l’immunité contre les souches Omicron, dit Malone, en citant un article scientifique du Qatar qui n’a pas encore été révisé par les pairs (pdf).
L’immunité induite par le vaccin cependant, ne dure qu’environ deux mois, ajoute-t-il.
Lorsque quelqu’un est infecté par le virus original, cette personne va générer une réaction immune qui comprend « toutes les sortes de protéines du virus », pourvu qu’il ou elle n’ait pas expérimenté trop d’empreinte immune, explique Malone.
« Le problème qu’il y a avec ces vaccins monovalents, ou vaccins à simple antigène, c’est qu’ils activent toute votre réaction immune contre une seule chose par opposition à tout le virus. Donc, tout ce que le virus a à faire, c’est, de manière génétique et par évolution, de modifier légèrement quelques bosses pour échapper à ça, » dit-il. « Et c’est exactement ce qui est arrivé avec l’Omicron. »
Ce qu’il y a de paradoxal, c’est que la plupart des pays aux économies émergeantes et au bas taux de vaccination ont également les taux les plus bas au monde de mortalité par le COVID-19, poursuit Malone.
« Il est probable que nous allons continuer à voir cette tendance, » dit-il.
Selon Our World in Data (Notre monde en données), seulement 1,4 % de la population d’Haïti a été vaccinée et le pays a enregistré 838 morts COVID-19, un taux de 73 morts par million d’habitants.
En Afrique du Sud, où 32 % de la population est vaccinée, il y a eu près de 102 000 morts, un taux de 1 717 morts par million d’habitants.
Au Royaume-Uni, 75 % de la population est vaccinée et plus de 184 000 personnes sont mortes, ce qui constitue un taux de 2 736 décès par million.
Et aux États-Unis, 67 % de la population est vaccinée et 1,03 million de gens sont morts du virus, soit un taux de 3 058 décès par million de gens.
D’autres problèmes causés par les vaccins
Malone souligne un problème avec les vaccins ARN-messager actuels.
Lorsqu’un vaccin est injecté dans le bras d’un patient, l’ARN du vaccin, qui est un ARN modifié, est censé ne durer qu’une couple d’heures, mais une étude de l’Université Stanford montre que « l’ARN reste pendant au moins 60 jours, » dit Malone.
Toutefois, le gouvernement ne tient compte que des réactions et des maladies vaccinales qui sont enregistrées par le Système de Rapport d’Événement Adverse Vaccinal (VAERS) à l’intérieur des deux premières semaines après la vaccination, même si le médicament est encore dans le corps deux mois après, dit Malone.
« L’ARN du vaccin produit plus de pointes de protéine que ne le fait l’infection naturelle, » dit-il. « Il est donc tout à fait sensé que nous voyions davantage d’effets adverses à cause de ces vaccins que ce que nous avons vu à cause de l’infection elle-même, parce que la pointe est une toxine. »
Le VAERS a été établi par les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies [CDC] et l’Administration des Aliments et des Médicaments [FDA] pour collecter et analyser les données concernant les effets adverses de la vaccination.
Le système se fie aux individus pour qu’ils envoient des rapports, et on ne s’attend pas à ce qu’il détermine si un problème de santé rapporté a été causé par un vaccin, mais il est « particulièrement utile pour détecter les modèles inhabituels et inattendus du reportage des effets adverses qui pourrait indiquer un possible problème de sécurité du vaccin, » selon le Département des Services de Santé Humaine.
Malone, qui est président et cofondateur de l’Alliance Internationale des Physiciens et des Scientistes Médicaux, dit que plus de 17 000 docteurs et scientifiques ont signé une déclaration disant de manière non équivoque que les vaccins génétiques doivent être retirés.
« Ces vaccins génétiques ne marchent pas, » dit-il.
Intoxication de l’Amérique
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Août 2022
Par Jerry Barrett
Les médicaments comme solution de fortune et prescrites par les psychiatres tuent notre nation
« Soyez sobres, et veillez : car le diable, votre adversaire, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer. »
Romains 16:17-19
« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance. »
Jean 10:7-10
L’Amérique souffre d’une dramatique épidémie de sur-médication. Au lieu de rechercher Dieu, de plus en plus de gens se tournent vers Big Pharma pour avoir des réponses. Cette mentalité de « solution de fortune » est en train de détruire notre pays jadis si grand.
Y a-t-il à se demander pourquoi il y a de nos jours plus de tueries de masse ? L’assistance aux églises est en déclin alors que le culte à Satan s’accroît. Au lieu de vivre de manière biblique, plusieurs ont tourné le dos et croient qu’ils en savent maintenant plus que Lui.
La « dépression » se caractérise par des sentiments de tristesse, de désespoir et d’anxiété. Selon un article paru dans National Library of Medicine, le désordre dépressif majeur (DDM) est le plus commun des désordres d’humeur en Amérique. Le taux moyen de ceux qui vivent un DDM est de 2 à 7 % en Amérique et en Europe.
La dépression était-elle courante dans la société ?
Avant la découverte des antidépresseurs narcotiques, les patients étaient envoyés dans des lieux de repos ou des asiles. Beaucoup de traitements étaient inhumains d’après les standards d’aujourd’hui – ils comprenaient la thérapie par électrochocs, la thérapie convulsive, l’isolation, les saignées et plus encore. Puisque la psychiatrie est davantage une science sociale qu’une science pure, les comportements humains peuvent s’avérer difficiles à comprendre.
La première drogue pharmaceutique utilisée dans le traitement des patients ayant un diagnostic de dépression fut la Trofanil. À l’origine, elle fut créée pour traiter les patients atteints de tuberculose, mais les médecins notèrent une amélioration de l’humeur chez ceux qui l’utilisaient. Cela mena au développement d’autres médications d’antidépresseurs. Comme c’est toujours le cas avec les médicaments que font les hommes, les effets secondaires étaient déplaisants.
À la fin des années 1980, Big Pharma introduisit le Prozac. Cela conduisit à un matraquage d’autres narcotiques (Zoloft, Paxil, Wellbutrin, Trinitellix, etc.) que l’on reconnaît être des inhibiteurs sélectifs de réactivation de la sérotonine (ISRS). Ces drogues visent les niveaux de sérotonine dans le cerveau.
Aujourd’hui, on prescrit ces médicaments à un taux alarmant. Ils sont la troisième médication la plus prise aux États-Unis. De nombreux cliniciens croient que, puisque nous en savons fort peu sur les maladies mentales, nous pouvons bien essayer ces pilules. Mais prescrit-on trop de ces narcotiques ?
Tout le monde passe par des périodes de dépression et d’anxiété. Il y a un flux et un reflux de choses qui nous affectent dans la vie, qu’elles soient positives ou négatives. Le déchaînement d’hormones chez les adolescents qui vivent la transition entre la jeunesse et l’état adulte en est un exemple. Au lieu de parler de ces problèmes avec un pasteur de confiance ou des parents, notre pays se contente maintenant de faire usage de drogues comme solution de fortune.
Dans un article écrit par Caleb Owens et intitulé Une vérité inconfortable : Est-ce que la hausse des antidépresseurs et des ISRS alimente les tueries de masse ? (http://www.psychreg.org/antidepressants-ssri-mass-shootings/, nous apprenons :
« Une étude publiée dans Psychotherapyand Psychosomatics a examiné 5 639 patients aux États-Unis qui étaient diagnostiqués par leur clinicien comme ayant une dépression et on a comparé leurs symptômes aux critères DSM de dépression clinique. De ces patients, seulement 38.4 % rencontrèrent les critères, même si l’on avait prescrit à la majorité des 5 639 patients de la médication antidépressive. »
Une autre question que l’on doit se poser, c’est combien de psychiatres sont parrainés par Big Pharma ? La réponse peut être aussi alarmante que le mauvais diagnostique mentionné ci-haut :
« Plus de la moitié des psychiatres actifs (55,7 %) reçoivent une forme quelconque de paiement de la part des manufacturiers pharmaceutiques. De ceux-là, les 2,8 % des psychiatres situés au sommet reçoivent 82,6 % des paiements. Les manufacturiers pharmaceutiques pourvoient 812 877 paiements d’une valeur de 110 512 607.18 $ à 26 422 psychiatres aux États-Unis. » (National Library of Medecine)
Y a-t-il un lien entre les antidépresseurs et les tueries de masse ?
Le psychiatre Peter Breggin, auteur de Toxic Psychiatry and Talking Back to Prozac, a abondamment écrit au sujet de la violence associée aux antidépresseurs ISRS. On a entendu M. Breggin dire un jour : « Le phénomène des réactions maniaques induites par les médicaments et causées par les antidépresseurs est si largement reconnu qu’on en a discuté à plusieurs reprises dans le Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Desorders of the American Psychiatric Association (Manuel de diagnostiques et de statistiques des désordres mentaux de l’Association Psychiatrique Américaine). »
Les Big Pharmas argumenteront que les suicides et/ou les homicides sont déclenchés par la « maladie » et non pas par le « médicament ». Mais à mesure que surviennent les tueries de masse, les données semblent contredire cette déclaration. De soi-disant experts, qui sont ou ne sont pas sur la liste de paie de Big Pharma, continuent d’arguer que la corrélation n’équivaut pas à une causalité. Bien que la dépression par elle-même ne conduise pas nécessairement à la violence, la croissance massive de prescription d’antidépresseurs ISRS a une corrélation avec le chiffre croissant des tueries de masse.
Quelle est la définition d’une tuerie de masse ?
Il n’y a pas de consensus sur la définition. Certains déclarent que, dans l’incident, il doit y avoir quatre personnes ou plus qui sont tuées ou touchées – sans inclure le tueur – en une courte période de temps. D’autres disent que, dans l’incident, il doit y avoir trois personnes ou plus de touchées par les tirs. Gardez toutefois en tête que la violence par les drogues et les gangs ne sont jamais classés dans les événements de tuerie de masse.
Peu importe la définition choisie, il y a des preuves irréfutables qu’un grand nombre d’auteurs de tueries sont sous l’effet de médicaments psychotropes. Nous ne saurons peut-être jamais la vérité à propos des antidépresseurs utilisés, soit par le tireur de l’École élémentaire Robb d’Uvalde, au Texas, (je refuse de publier leur nom) ou à la Parade du 4 juillet en Illinois. Cependant, lorsque l’on considère ceux qui sont venus avant, il s’agit d’une question à laquelle on devrait répondre.
Voici une courte liste de tueurs de masse que l’on savait être sous l’effet de médicaments psychotropes :
James Eagan Holmes, 24 ans, 12 morts, 70 blessés, [antidépresseur : Zoloft (générique)]
James Eagan Holmes, le « Tueur du Film Batman », a tiré dans une salle de cinéma d’Aurora, au Colorado, en juillet 2012. Dans son livre de notes personnelles, qu’il envoya à son psychiatre le jour de son accès de folie meurtrière, Holmes dit qu’à part d’avoir perdu son anxiété, il avait perdu sa peur des représailles.
Eric Harris, 17 ans, 14 morts, 23 blessés, [antidépresseurs : Zoloft, Luvox]
La moitié des « Tueurs de Colombine » assassina 12 étudiants et un enseignant à Littleton, au Colorado, en 1999. Harris avait transféré d’antidépresseurs du Zoloft au Luvox qui est reconnu pour causer la folie et la violence qui l’accompagne. On trouva de l’ISRS dans son sang lors de l’autopsie.
Patrick Purdy, 25 ans, 5 morts, 30 blessés [antidépresseurs : Amitryptyline]
Purdy tua cinq enfants et en blessa 30 autres dans une cour d’école lors de son accès de folie meurtrière, à Stockton, en Californie, en janvier 1989. Il prenait de l’antidépresseur Amitryptyline de même que de l’antipsychotique Thorazine.
Seung-Hui Cho déambula dans le campus de l’Université Tech de la Virginie, le 16 avril 2007, et il assassina 32 étudiants. On lui avait diagnostiqué un désordre dépressif majeur et on lui avait prescrit du Prozac après qu’il eut été sur le Paxil.
Jeff Weise, 16 ans, 10 morts, 12 blessés [antidépresseur : Prozac]
L’on aurait prescrit des antidépresseurs à Jeff Weise après une tentative de suicide. Un jour, en 2005, il fit feu et tua son grand-père et l’amie de son grand-père, puis 7 personnes dans une école secondaire de Red Lake, au Minnesota, avant de se suicider.
La clameur actuelle venant des médias contrôlés, comme de la gauche folle, demande qu’il y ait plus de contrôle des armes. Aussi longtemps que Big Pharma continuera à financer les grands réseaux de nouvelles et les politiciens, il n’y aura pas de rapport complet exposant les effets toxiques de ces médicaments qui altèrent l’esprit. Malheureusement, il n’y aura pas non plus de leur part d’appel à venir au Christ Jésus. C’est là le plus gros problème de l’Amérique.
***
Par Michelle Hallmark Powell
Notre Seigneur et Sauveur donnera-t-Il un répit aux États-Unis ?
Un miracle de Dieu est survenu la semaine dernière. L’horrible précédent Roe vs Wade fut retiré par la Cour Suprême. Dieu soit loué. Nous devrions tous remercier quotidiennement le Seigneur pour cette décision et prier pour que cela donne un peu de répit à notre pays.
Un peu partout dans la Bible, Dieu parle des Arabes, des Égyptiens, des Grecs, des Romains et des Israélites.
L’avortement, en réalité, existe depuis environ l’an 1550 av. J.-C.. On en a enregistré dans le Papyrus Ebers égyptien. Donc, Dieu a été fort patient envers nos meurtres d’innocents.
Bien qu’il y ait eu pas mal de luttes et d’émeutes à cause de la décision, cela n’a pas vraiment arrêté l’avortement. Il est laissé aux gouvernements d’états individuels de décider, tout dépendant qui a été élu et quels sont ses points de vue pour rendre la question des avortements légale ou pas. Les états peuvent limiter l’âge du bébé que l’on peut avorter (bien que ce soit un meurtre à n’importe quel âge et épouvantable pour Dieu). Ils peuvent mettre les cliniques d’avortement en banqueroute en les rendant illégales dans un état particulier. Le Gouvernement d’État peut donner une amende ou pénaliser toute institution ou toute personne qui exécute un avortement. Le tout dépend de l’état. De nombreux états n’ont aucune restriction en ce qui concerne l’avortement. Ils promeuvent et annoncent aux femmes qu’elles peuvent venir dans leur état pour obtenir leur soin de santé (avortement) si nécessaire. C’est devenu si commun que l’avortement est en réalité une autre forme de contrôle des naissances.
C’est un argument tel, pour les gauchistes, qu’il s’agit réellement pour eux d’un « culte de la mort ». Ils sont remplis de joie devant le sang répandu d’un innocent. Cette célébration particulière était vue comme une merveilleuse chose pour la femme qui assassine son enfant. Il y a même un choix sélectif d’avortement. Si vous êtes pour avoir des jumeaux ou des triplets, et que vous ne voulez pas autant d’enfants, vous et votre médecin devrez choisir quel enfant vivra et quels autres mourront. Quelle chose horrible à faire vivre à l’enfant survivant, si on le lui dit jamais.
L’Union soviétique de Lénine fut le premier pays de l’ère moderne à légaliser l’avortement. Cette décision a été formellement changée par Poutine.
La Chine incita à l’avortement au 20e siècle pour réduire sa population. Malheureusement, la Chine entretient encore des choix sélectifs d’avortement, tout dépendant de son besoin de bébés femelles ou mâles.
Il y a tout un tas de gens dingues et fourvoyés qui veulent faire la promotion de l’avortement. Un homme armé s’est rendu à la maison du Juge Kavanaugh où vivent lui et sa famille, et l’homme en colère qui était vexé du renversement de la décision Roe vs Wade décida de prendre les choses en main. Par chance, la police atrappa l’homme avant qu’il n’assassine le juge Kavanaugh. Nous ne devrions pas être surpris de ce genre d’événement, car l’ancienne porte-parole à la Maison Blanche, Jen Psaki, a encouragé les protestataires à manifester devant les maisons des « juges conservateurs de la Cour Suprême ». Puis, nous avons l’AOC qui fulmine de protestations. Mais pire encore, nous avons Maxine Waters qui dit vouloir ignorer les règlements de la Cour Suprême et protester.
Amanda Herring, à l’extérieur de la Cour Suprême, le 24 juin 2022, avec un message écrit disant que le bébé à naître bientôt n’était pas encore réellement un être humain. Son bébé est né le 25 juin. [Twitter]
Nous avons ensuite la « Vengeance de Jane », un groupe terroriste qui menace continuellement de destruction, de vandalisme et d’incendie les multiples sièges du mouvement Pro-vie. Il a déjà frappé plusieurs installations Pro-vie chrétiennes en essayant de nous épuiser. Nous devons continuer à remercier Dieu pour ce miracle et prier pour demeurer forts, ne cessant de nous repentir pour les atrocités accomplies et persister à protéger les bébés innocents pas encore nés.
Nous devons faire comme le peuple de Ninive qui se repentit et Dieu ne les détruisit pas, leur donnant même encore quelques années (Jonas 3:9).
Avec le repentir et beaucoup de prières, Dieu ajouta quinze ans à la vie d’Ézéchias et le délivra, lui et sa ville, du roi d’Assyrie (2 Rois 20:6).
Notre Seigneur est le Seigneur des deuxièmes chances, si l’on se repent, si l’on change et si l’on prie constamment. Prions donc pour qu’Il donne aux États-Unis une autre chance, quoi qu’il y ait bien d’autres péchés graves dont nous devrions nous repentir.
Paganisme évangélique
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
28 juillet 2022
Il est temps de faire face à la réalité : l’église évangélique n’est, en grande partie, plus rien d’autre qu’une branche du paganisme. Il n’y a presque plus rien de chrétien. C’est vrai, les édifices d’église ont la trame, les symboles et les cérémonies qui ressemblent à la chrétienté historique, mais ce n’est qu’une ruse. Le cœur et l’âme de la foi chrétienne sont morts dans la plupart des « églises » évangéliques.
Alors que le littéralisme biblique est depuis longtemps tenue pour la méthode la plus dominante d’interprétation des Écritures chez les Évangéliques, les résultats d’un nouveau sondage émis par Gallup révèlent que moins de la moitié des chrétiens évangéliques nés de nouveau croient que l’on doit prendre la Bible de façon littérale.
Le sondage … démontre que seulement 40 % des répondants qui s’identifient aux évangéliques ou nés de nouveau voient en la Bible « la Parole réelle de Dieu ».
En 2015, près de 60 % des églises évangéliques adoptaient une interprétation littérale des Écritures, démontrent des données de Pew Research.
Pensez-y : Il y a à peine sept ans, jusqu’à 60 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » croyaient que la Bible est « réellement la Parole de Dieu » (ce qui est encore un nombre atrocement bas). Mais maintenant – juste sept courtes années plus tard – seulement 40 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » croient que la Bible est « réellement la Parole de Dieu ».
Quel sera ce chiffre dans sept ans d’ici ? Il est douloureusement évident où mènent ces chiffres.
Donc, voilà un instantané des « églises » évangéliques d’aujourd’hui : 60 % des membres ne croient pas que la Bible est réellement la Parole de Dieu. Cela signifie que 60 % ne croient pas en la divinité du Christ, prouvée par Ses miracles et Sa résurrection des morts, parce que la Bible (la Parole réelle de Dieu) enseigne de manière dogmatique et omniprésente que Jésus est Dieu dans la chair, égal à Dieu le Père en tout ce qui concerne la déité.
Cela veut dire que 60 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » sont aussi perdus et destinés à l’enfer que la majorité des personnes païennes de la planète. Ils n’ont pas la grâce de Dieu, Sa miséricorde, Sa rédemption ou Son pardon des péchés.
Ça aide à comprendre que « l’église » peut-être aussi contente d’elle-même, aussi matérialiste, aussi arrogante et aussi égocentrique que, eh bien, Donald Trump. Vous voyez, la raison pour laquelle « l’église » évangélique aime Trump, c’est qu’elle est exactement comme lui : très charnelle, orgueilleuse, sur-exaltée et pleine de l’amour de l’argent.
Est-il surprenant, alors, qu’un nouveau livre blasphématoire sur Trump, écrit par un « chrétien », qui proclame que Trump est l’accomplissement de Christ en tant que Fils de l’Homme, soit le dernier testament de la relation blasphématoire que les évangéliques entretiennent avec Trump depuis 2016 ?
Ce genre d’incessant blasphème des évangéliques en ce qui regarde Trump ne fait qu’enfoncer les derniers clous dans le cercueil de cette fausse « église ».
Et il y a encore un autre signal manifeste que « l’église » évangélique a sombré dans le paganisme : son amour et son obsession pour l’Israël païen.
Mettons tout de suite les choses au clair : L’État sioniste d’Israël en Palestine, créé en 1948 par les Rothschild et les Nations Unies, n’est pas l’Israël de l’Ancien Testament. Ce n’est pas l’accomplissement d’une prophétie biblique ; ce n’est plus la Terre Sainte ; et les Juifs ashkénazes qui y habitent ne sont pas le « Peuple Élu de Dieu ».
Le judaïsme n’est pas non plus la religion des Israélites sous Moïse. En fait, vous ne trouverez nulle part le mot « judaïsme » dans la Bible (KJV). [N. du T. : Dans la version française de David Martin, le mot « judaïsme » se trouve à deux endroits, soit dans Galates 1:13 et 14 que la KJV a traduit par « the Jews’ religion » (la religion des Juifs), ce qui veut dire que Paul n’a pas été élevé dans la religion de l’Ancien Testament.] Le judaïsme est la religion des pharisiens – qui furent les ennemis mortels de notre Seigneur Jésus-Christ et dont les descendants spirituels demeurent aujourd’hui les ennemis mortels de Christ et de Son Église.
Le judaïsme est aussi païen que l’islam. Correction ! Il est PLUS païen que l’islam.
Comparez la manière que le Talmud juif et le Coran musulman traitent le Seigneur Jésus-Christ :
Dans le Talmud :
*Jésus est né en dehors des liens du mariage (Mishna Yebamoth 4,13) de Sa mère, Myryam, et de son amoureux Pantera (Shabbat 104b). On dit qu’elle fut la descendante des princes et des dirigeants, et d’avoir joué à la prostituée avec un charpentier (Sanhédrin 106a).
*Jésus passa du temps en Égypte d’où Il apprit la magie. C’était un magicien qui trompait et dévoyait Israël. Il se moquait des paroles des sages, était entaché d’hérésie et fut donc excommunié (Sanhédrin 107b).
*Il Se nommait Lui-même Dieu et également le Fils de l’Homme, et Il dit qu’Il monterait au ciel (Jerusalem Taanit 65a). Il avait cinq disciples (Sanhédrin 43a). Il fut accusé d’être trompeur et d’enseigner l’apostasie (Tosephta Sanhédrin X, 11 ; Jérusalem Sanhédrin 25c,d).
*Il fut exécuté à la veille de la Pâque, ce qui était aussi la veille du Sabbat, en étant lapidé (Tosephta Sanhédrin IX, 7).
*Il (sous le nom de Balaam) fut mis à mort par Pinchas le Voleur quand Il eut trente-trois ans (Sanhédrin 106b). Il fut puni dans la Géhenne au moyen d’excréments bouillonnants (Gittin 56b, 57a).
*Sous le nom de Balaam, Il fait partie des exclus du monde à venir (Mishna Sanhédrin X, 2).
Dans le Coran :
*Jésus est né de la Vierge Marie.
*Jésus était fortifié par le Saint-Esprit.
*Jésus reçut des révélations d’Allah.
*Jésus monta corporellement au ciel et reviendra.
*Jésus faisait des œuvres miraculeuses.
*Allah envoya l’Évangile à Jésus.
*Jésus parlait quand Il avait deux ans.
De toute évidence, aucune de ces religions ne reconnaît Jésus pour qui Il était vraiment : le Dieu de la création ; le Créateur fait chair ; le Dieu/homme parfait ; le Sauveur et le Rédempteur du monde ; le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs.
Les deux religions sont des systèmes de croyances païennes. Mais veuillez noter la différence de respect ou de manque de respect envers Jésus dans le Talmud et le Coran. Le Talmud blasphème Christ par les termes les plus vulgaires. Le Coran parle de Jésus avec dignité et respect – même s’il soumet le Christ à Mahomet, ce que même Mahomet sait maintenant qu’il s’agit d’une erreur monumentale.
Donc, si vous analysez avec objectivité les deux fausses religions du judaïsme et de l’islam, vous serez forcés de conclure que le judaïsme est de loin plus païen que l’islam.
Pourtant, les chrétiens évangéliques à l’échelle nationale adorent l’État d’Israël et expriment publiquement le désir meurtrier d’annihiler complètement les pays musulmans du monde, même si l’Évangile de Christ se répand plus rapidement dans le monde musulman, en ce moment, que dans n’importe quelle autre partie de la terre.
L’évangéliste Jimmy Swaggart a récemment dit, dans une de ses émissions télévisées, que la seule manière que Dieu puisse bénir les États-Unis, c’est si les USA bénissent Israël. Ce mensonge a été régurgité des millions de fois à la télévision et à la radio, dans des livres et des magazines, et par des pasteurs et des évangélistes dans tout le pays – et c’est un des mensonges les plus gros à avoir été propagé.
Je suggère au lecteur de regarder mon message I Will Curse Them That Bless Thee [en anglais seulement], qui se situe dans Israel Package-Set One.
Voyons voir : Nous avons « béni » Israël depuis sa création en 1948. Nous avons fourni des milliards de dollars en aide, incluant l’équipement militaire le plus sophistiqué sur terre – même de l’armement nucléaire. Nous lui avons donné de la protection militaire – même au prix de guerres étrangères et de sang américain répandu – dans le but premier de défendre Israël. Nous avons volontairement permis qu’un nombre indicible de citoyens américains et de personnel militaire soit massacré entre les mains de l’état d’Israël. Dans l’intérêt d’Israël, l’armée américaine a tué des millions de gens innocents dans tout le Proche-Orient et dans le nord de l’Afrique.
Nous avons donné à Israël un accès sans entrave à tous les niveaux de gouvernement au sein des États-Unis. Trente-cinq états des États-Unis ont passé comme loi qu’il est criminel de ne pas faire affaires avec Israël. Certains états ont même rendu illégal de critiquer Israël dans les écoles publiques et les collèges. Israël se casserait littéralement la figure sans l’assistance des payeurs de taxe provenant du Trésor américain et les milliards de dollars yankees dépensés par les touristes chrétiens sionistes qui se rendent en Israël chaque année.
Nous sommes le Sugar Daddy d’Israël depuis 74 ans. Alors, dites-moi, où sont les bénédictions de Dieu envers l’Amérique pour toute cette bienfaisance ?
Est-ce que nos écoles publiques fournissent aujourd’hui une meilleure éducation à nos enfants qu’en 1948 ?
Nos institutions politiques sont-elles plus constitutionnelles et orientées vers la liberté ?
Nos rues sont-elles plus sécuritaires ?
Nos écoles sont-elles plus sécuritaires ?
Nos chefs politiques sont-ils plus honnêtes et craignent-ils Dieu ?
Est-ce que nos familles sont en meilleure condition qu’en 1948 ?
Est-ce que le dollar américain et notre condition globale financière sont supérieurs à ce qu’ils étaient en 1948 ?
Nos émissions de télévision et nos films sont-ils plus sains et favorables à la famille ?
Notre culture est-elle plus propre et plus honorable ?
Avons-nous moins d’alcoolisme et de dépendance à la drogue maintenant qu’en 1948 ?
Est-ce que les frontières de notre pays sont plus stables maintenant qu’en 1948 ?
Y a-t-il moins de tuerie de masse de gens innocent maintenant qu’en 1948 ?
Nos églises sont-elles plus saintes ?
Nos pasteurs sont-ils plus pieux et plus courageux ?
Les jeunes gens traitent-ils leurs parents et les autres adultes avec plus de respect qu’ils le faisaient en 1948 ?
Le personnel de la police est-il aujourd’hui davantage l’ami des citoyens pour qui il travaille, et plus fidèle à la Constitution pour laquelle il a porté serment de la préserver, qu’en 1948 ?
Nos libertés sont-elles mieux assurées aujourd’hui qu’en 1948 ?
Avons-nous davantage la liberté de posséder et de porter des armes aujourd’hui qu’en 1948 ?
Donc, M., Swaggart (M. Jeffress, M. Hagee, M. Graham, M. Copeland, M. MacArthur, M. Evans, M. Jeremiah et les autres) où sont toutes ces bénédictions divines que l’Amérique est censée recevoir pour avoir béni Israël ? Où sont-elles ?
Dieu ne bénit pas l’Amérique : Il juge l’Amérique. Et parmi les raisons pour lesquelles Dieu juge l’Amérique, il y a son alliance impie pleine d’adoration avec l’Israël païen et antichrist et la dérogation des églises évangéliques de la vérité biblique fondamentale.
Un seul citoyen armé a fait en deux minutes ce que cent flics n’ont pas pu faire en une heure : stopper un tueur de masse
L’on a identifié lundi le tireur du Centre commercial de Greenwood Park comme étant Jonathan Sapirman, 20 ans. Il a tiré et tué un couple marié, Pedro Pineda, 56 ans, et Rosa Mirian Rivera de Pineda, 37 ans, ainsi que Victor Gomez, 30 ans, ce dimanche, avant d’être abattu par un bon Samaritain.
Sapirman, de Greenwood, est entré dans le centre d’achat à 16h54 et a continué en entrant dans les toilettes d’une aire de restauration. Il est demeuré dans les toilettes l’espace d’environ une heure avant d’en sortir et de tirer sur la foule. La police croit qu’il a pris aux toilettes le temps d’assembler le fusil Sig Sauer de style AR-15 qu’il a utilisé pour l’attaque.
Il a tiré vingt-quatre balles en deux minutes avant d’être stoppé par un client armé. Sapirman a tué trois personnes et en a blessé deux autres.
Le couple marié était assis et mangeait dans l’aire de restauration quand Sapirman a ouvert le feu. Gomez se tenait juste en dehors des toilettes de l’aire de restauration. Deux autres passants furent blessés par des éclats de tirs, incluant une jeune fille de 12 ans.
Le bon Samaritain qui a tiré et tué Sapirman a été identifié comme étant Elisjsha Dicken, âgé de 22 ans.
La police a loué le geste de Dicken.
« Beaucoup d’autres gens seraient morts ce soir-là, n’eut été d’un citoyen armé responsable, » as dit le Chef de la police de Greenwood, James Ison.
La police a récupéré deux fusils et plus de cent cartouches sur la scène. Sapirman avait également un pistolet Glock sur lui quand il a été abattu.
Pouvez-vous arriver à croire qu’un reportage de nouvelles du grand courant médiatique (au Royaume-Uni, en plus de ça) a qualifié le citoyen armé, qui a sans aucun doute empêché un autre massacre, de « bon Samaritain » ? Wow ! Apparemment, même certains des idiots utiles et décervelés des médias commencent à arriver à comprendre.
Pensez-y. Un seul citoyen armé de 22 ans a pu faire, en Indiana, en moins de deux minutes, ce que plus d’une centaine d’officiers de police professionnels ont été incapables de faire au Texas en plus d’une heure : à savoir, descendre un individu se prenant pour un tueur de masse et sauver la vie d’un grand nombre de personnes innocentes.
Évidemment, ceux de la Gauche qui jouent aux tyrans sont furieux que ce jeune homme ait empêché à lui tout seul une tragédie monstrueuse. Ils préfèrent de loin que les tueurs de masse réussissent à satisfaire leurs désirs diaboliques en tuant un paquet de gens. Sauver des vies ne les intéresse pas ; la seule chose qui les intéresse, c’est de promouvoir avec succès leur programme tyrannique d’accaparement d’armes.
Ce qui les rend encore plus furieux, c’est que des individus des médias qualifient le jeune héros de « bon Samaritain ». Certains d’entre eux ont même le front de condamner le héros pour avoir porté une arme à feu à la lumière d’une politique de la compagnie prohibant les armes dans le centre d’achat. Ouais, le centre d’achat était une autre zone sans armes – quoique la prohibition n’était qu’une politique de la compagnie et non pas une loi gouvernementale. Bien sûr, cela ne semble pas déranger les Nazis du fusil que le tireur fou ait aussi violé la politique du centre d’achat.
Ceux d’entre nous qui avons pour pratique quotidienne de porter une arme savons qu’il ne faut jamais se soumettre à une politique d’entreprise interdisant de porter, à l’intérieur de ces places d’affaire, une arme cachée. Si l’on remarque l’arme et qu’on nous demande de quitter, nous allons partir. Mais tout le monde de ce centre d’achat de l’Indiana – y compris les exécutifs et les employés du centre d’achat – sont sûrement heureux que le héros de 22 ans ait ignoré la politique du centre d’achat et ait pris son arme avec lui.
(Non, je ne porte pas d’arme dans les endroits où cela est défendu par la loi, mais je ne vais dans ces lieux que lorsque je ne peux l’éviter – c’est pourquoi j’ai choisi de vivre dans un État favorable aux armes et où de tels endroits sont limités.)
À date, quiconque n’a pas saisi le message à savoir pourquoi l’Amérique a un Second Amendement protégeant le droit des gens de conserver et de porter des armes est probablement incapable de raisonnement objectif et au-delà de tout espoir de jamais arriver à comprendre. Or, maintenant, la plupart des gens y arrivent et ont déjà acheté des armes à feu défensives et ont commencé à pratiquer, ou ils sont sur le point de le faire.
Et pourquoi les gens choisissent-ils de demeurer dans les villes et dans des États qui nient leur droit naturel à l’autodéfense, cela me dépasse.
Mesdames et messieurs, il n’y a pas d’endroit public sécuritaire. Et plus grande est la densité de gens situés dans un espace confiné, plus grande est l’attraction pour les individus démoniaques qui se prennent pour des tueurs de masse afin de frapper ce lieu – particulièrement si c’est une zone sans arme.
De toute évidence, les salles de concert et de théâtre, les centres d’achats, les grands magasins de détail, les aires piétonnières congestionnées, les écoles, les hôpitaux, les grandes surfaces d’attente, les restaurants bondés et les grosses églises s’avèrent des cibles de choix. Et il n’y a pas à débattre que les gros centres de population (les grandes villes) sont BEAUCOUP plus vulnérables à ce genre de violence de masse que les petites communautés rurales.
Je suggère FORTEMENT aux lecteurs d’avoir au moins les deux armes à feu suivantes en leur possession : 1) un pistolet et 2) un fusil AR-15. (AR signifie Armalite Rifle, c’est-à-dire, un fusil automatique rapide et ultraléger, et NON PAS Assault Rifle, c’est-à-dire, un fusil d’assaut.)
Il n’y a pas une dame en bonne santé, de quelque taille que ce soit, qui ne puisse pas apprendre à tirer confortablement avec un fusil AR-15. Ces fusils sont courts, légers et ne produisent presque pas de recul. Pour la vaste majorité des gens – y compris les femmes et les personnes âgées – il n’y a pas de meilleures défensives. C’est pourquoi l’AR-15 est l’arme la plus populaire en Amérique.
Mais achetez un fusil AR-15 de qualité. Je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis qui peuvent vous aider en vous guidant dans votre processus d’achat. Apprenez ensuite à l’utiliser. Si vous êtes comme la plupart des gens, vous allez apprécier. En réalité, c’est tout à fait agréable.
Puis, vous avez besoin d’une bonne arme de poing. L’arme que je porte tous les jours est un pistolet Glock 19. Les mordus des armes à feu vont argumenter jusqu’à la fin des temps à savoir quelle est la meilleure arme à porter. Vous n’avez pas besoin de vous laisser prendre à tout ça.
Voici le facteur important : Procurez-vous une arme que vous pourrez porter confortablement avec vous tous les jours. Une arme trop grosse ou trop pesante pour que vous la portiez tous les jours n’est PAS pour vous. Achetez une arme que vous pouvez porter avec confort sur vous tous les jours, et une arme avec laquelle vous pouvez bien tirer.
Si l’arme est inconfortable à utiliser au point où vous redoutiez d’actionner la gâchette, les chances sont que vous ne frapperez rien même si vous la déclenchez. Vous avez besoin d’une arme que vous pouvez manipuler avec confort. Votre âge, la taille de votre corps, votre condition physique et la dimension, la force et la dextérité de vos mains et de vos doigts sont plus importants que la taille de votre arme.
La plupart des dames à la frêle stature portent probablement aujourd’hui de petits semi-automatiques de calibre .380 ou de petits révolvers .38 au canon retroussé. Ces deux calibres sont assurément adéquats pour l’autodéfense. D’autres femmes sont capables de porter les plus petits des 9mms. Mais rappelez-vous ceci : la clé de l’autodéfense est d’avoir une arme SUR SOI. Une arme dans la voiture est de peu d’utilité lorsque vous êtes dans le centre d’achat.
Et comprenez bien que ce qui compte le plus dans un combat d’armes, c’est où vous projetez la balle, pas le genre de balle que vous tirez. Voilà pourquoi vous avez besoin d’une arme que vous pouvez bien manipuler.
Encore une fois, je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis familiarisés avec les armes à feu et qui peuvent vous guider au travers de votre démarche d’achat.
Elisjsha Dicken, à 22 ans, a accepté sa responsabilité en tant que citoyen dans une société libre de s’armer légalement, de pratiquer l’utilisation de son arme à feu, et de se préparer psychologiquement et spirituellement à employer son arme pour sa propre défense et celle de ses concitoyens de l’Indiana. Et, à lui tout seul, il sauva la vie d’une douzaine ou d’une vingtaine d’entre eux.
Si Dicken avait attendu qu’arrive la police pour descendre le forcené, qui sait combien de temps il aurait fallu et combien de gens seraient morts – lui compris. Au Texas, il a fallu aux flics plus d’une heure avant de faire quoi que ce soit et vingt-et-une personnes sont mortes – dont dix-neuf petits garçons et petites filles.
Mes amis, la liberté – sans mentionner la sécurité – exige que nous soyons tous des Elisjsha Dicken.
Un seul citoyen armé a fait plus en deux minutes que ce qu’ont fait des flics en plus d’une heure : stopper une tuerie de masse.
Bonjour à tous,
Permettez-moi de faire une mise en garde. À Moisson des Élus, nous ne sommes pas partisans du port d’arme comme l’est M. Chuck Baldwin. Sanstoutefois être contre, cependant, nous croyons qu’il est inutile qu’un véritable chrétien ait besoin de porter sur lui des armes pour se défendre. Notre Défenseur est Dieu Lui-même à qui appartient la Protection et la Vengeance. Nous ne pouvons imaginer l’apôtre Paul ou l’apôtre Pierre, ou encore moins notre Seigneur Jésus-Christ ayant parcouru la Judée avec des armes sur eux et prêts à se défendre à la moindre attaque. Devant les menaces, ils ne répliquaient pas, ils ne résistaient pas et laissaient Dieu le Père agir pour eux. Je crois personnellement que c’est ce que nous devons faire, en tant que chrétiens et enfants de Dieu. Montrons notre confiance en Dieu en Lui demandant qu’Il nous entoure de Ses anges et notre protection sera infiniment plus efficace que toute autre forme d’assurance. Je vous invite à lire ou à relire le Psaume 91 à cet effet.
Psaumes 91 :
1 Celui qui se tient dans la demeure du Souverain, se loge à l’ombre du
Tout-Puissant.
2 Je dirai à l’Eternel : Tu es ma retraite, et ma forteresse, tu es mon Dieu en
qui je m’assure.
3 Certes il te délivrera du filet du chasseur ; et de la mortalité malheureuse.
4 Il te couvrira de ses plumes, et tu auras retraite sous ses ailes ; sa vérité te
servira de rondache et de bouclier.
5 Tu n’auras point peur de ce qui épouvante de nuit, ni de la flèche qui vole
de jour.
6 Ni de la mortalité qui marche dans les ténèbres ; ni de la destruction qui
fait le dégât en plein midi.
7 Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite ; mais la destruction
n’approchera point de toi.
8 Seulement tu contempleras de tes yeux, et tu verras la récompense des
méchants.
9 Car tu es ma retraite, ô Eternel ! tu as établi le Souverain pour ton
domicile.
10 Aucun mal ne te rencontrera, et aucune plaie n’approchera de ta tente.
11 Car il donnera charge de toi à ses Anges, afin qu’ils te gardent en toutes
tes voies.
12 Ils te porteront dans leurs mains, de peur que ton pied ne heurte contre la
pierre.
13 Tu marcheras sur le lion et sur l’aspic, et tu fouleras le lionceau et le
dragon.
14 Puisqu’il m’aime avec affection, dit le Seigneur, je le délivrerai ; je le
mettrai en une haute retraite, parce qu’il connaît mon Nom.
15 Il m’invoquera, et je l’exaucerai ; je serai avec lui dans la détresse, je
l’en retirerai, et le glorifierai.
16 Je le rassasierai de jours, et je lui ferai voir ma délivrance.
Que le Seigneur soit avec vous tous, dans toutes vos entreprises,
Roch Richer
Le traitement envers le professeur Patrick Provost de l’Université Laval inquiète les académiciens du Québec
THE EPOCH TIMES
7 juillet 2022
Deux académiciens de Québec disent être inquiets à propos de la critique et de la censure des professeurs de la province qui questionnent les réactions du gouvernement face à la pandémie, y compris la vaccination des enfants.
Dans un article du média Québécor du 22 juin, Patrick Provost, professeur à temps plein au département de microbiologie et d’immunologie de l’Université Laval, s’est demandé s’il était bien d’imposer des passeports et des mandats vaccinaux, et de « museler les professionnels et les académiciens qui critiquent les mesures de santé ».
Le jour suivant, Québécor a enlevé l’article de sa plateforme.
À la mi-juin, Laval a suspendu Provost pour huit semaines sans salaire pour avoir dit, en décembre 2021, que les risques de la vaccination des enfants contre le COVID-19 outrepassent les bénéfices. L’université a ensuite infligé une suspension aussi longue à un second professeur, Nicolas Derome, de la faculté de science et du département de biologie de l’ingénierie, pour ses propres commentaires concernant la réaction au COVID-19.
Douglas Farrow, professeur de théologie et d’éthique à l’Université. McGill de Montréal, appelle les suspensions de Laval « Un acte politique répressif » dans un article du Substack qu’il a écrit le 30 juin.
« L’Université. Laval a eu recours à la violence professionnelle pour appuyer la narration Covid croulante du Québec, » écrit Farrow. « Comme seconde victime de la violence, il y a le principe de liberté académique. »
Dans une entrevue avec The Epoch Times, Farrow a caractérisé les sanctions comme étant une manifestation parmi d’autres d’un projet plus grand visant à censurer les opinions de la minorité au sujet de la pandémie et des réactions face à celle-ci.
« Il y a une pression majeure exercée pour empêcher le public d’entendre des arguments réfléchis à propos de ces choses-là, et il n’importe pas vraiment que l’argument soit statistique, ou qu’il soit
Patrick Provost, professeur au département de microbiologie et d’immunologie à l’Université Laval, à Québec [Courtoisie de Patrick Provost]
médical ou scientifique, ou encore politique, » dit-il.
« Patrick [Provost] est le genre de personne qui peut s’exécuter sur le front médical scientifique ; il peut également le faire sur le front statistique et il peut le faire sur le front du gros bon sens politique. Mais de toute évidence, ils ne veulent pas que les gens entendent tout cela, et ils ont donc pris action contre lui. »
Une nouvelle loi protégeant la liberté académique
En mars 2020, le gouvernement du Québec a créé un comité sur la liberté académique en réaction aux rapports disant que les professeurs avaient cessé d’enseigner des sujets controversés afin de ne pas offenser des étudiants. En tout, 1 079 professeurs et 992 étudiants ont participé à un sondage dans lequel 60 pourcent des professeurs dirent qu’ils s’étaient engagés à s’autocensurer et 82 pourcent de ces professeurs voulaient que toute restriction soit enlevée quant à ce qu’ils peuvent dire en classe.
Le rapport du comité, soumis en décembre 2021, déterminait que les classes universitaires ne devaient pas être des espaces sécuritaires et qu’elles ne devaient pas exiger d’avertissements à savoir si les classes devaient inclure de la matière offensive. Le gouvernement du Québec a accepté toutes les recommandations du comité dans le Projet de Loi 32 qui a été adopté au début de juin.
Lorsque le projet de loi fut présenté, la Ministre de l’Éducation Supérieure, Danielle McCann, donna un an aux écoles pour s’y plier. Dans un email envoyé à The Epoch Times, McCann a dit que la suspension de Provost démontre la pertinence de la législation.
« Ce genre de situations à l’Université Laval confirme qu’il était nécessaire de légiférer sur cette question, » dit-elle. « La loi met également l’emphase sur le fait que la liberté académique doit être pratiquée en conformité avec les normes de la rigueur scientifique. »
Farrow trouve remarquable que l’université ait entrepris pareille action contre les deux professeurs, Provost et Derome, malgré la loi.
« Ils ont décidé de procéder en dépit de cette nouvelle loi, malgré le gros bon sens, malgré la tradition au sein des universités. Et n’importe quel professeur d’université dans quelque discipline que ce soit et qui voit ce qui arrive … devrait vraiment s’inquiéter de ce que ce genre d’action est jugé acceptable par l’administration d’une université majeure, » dit-il.
« Voilà une façon de dire à toutes les autres universités et aux professeurs : “Ne faites pas ce qu’il a fait, sinon nous allons vous attraper.” »
Quand Epoch Times contacta l’université, Laval dit qu’elle « ne commente pas les situations de ses employés ».
« Effet glacial »
Le syndicat de la faculté de Laval a dit à la fin de juin qu’il avait levé un grief au sujet de la suspension de Provost, ajoutant qu’il était soucieux du fait que les actions de l’université « pourraient avoir un effet glacial sur les autres professeurs qui partagent des points de vue controversés. »
David Robinson, directeur exécutif de l’Association Canadienne des Enseignants d’Université, a dit que les professeurs ne devraient être disciplinés que pour les commentaires qui démontrent de l’incompétence ou qui violent les limites légales du langage, comme les lois sur la diffamation.
Farrow dit croire que les professeurs ont de puissants arguments et qu’une victoire établirait un précédent positif. Toutefois, il s’inquiète de ce que beaucoup de professeurs, d’étudiants et de Canadiens ne se lèvent pas pour parler.
« Si le peuple n’est pas prêt à se lever contre les pratiques, les directives du gouvernement, et éventuellement contre les lois qui limitent leurs libertés de manière inconvenante, alors les tribunaux ne pourront pas sauver Patrick Provost ou n’importe qui d’autre. En ce moment, je crois qu’ils le peuvent encore et j’espère que certains d’entre eux le feront, » dit-il.
« Mais pour moi, en-dessous de tout cela, la question qui me brûle le plus, c’est pourquoi … si peu d’entre eux [les professeurs] se dressent, même lorsqu’un collègue est aussi maltraité … Si la majorité des profs ne se dressent pas, et ne résistent pas dans les universités, je ne sais s’il reste quelque espoir. »
Travis Smith, professeur associé en science politique à l’Université Concordia à Montréal, exprima de fortes inquiétudes vis-à-vis le traitement des érudits.
« Je suis sous le choc. C’est ahurissant et épouvantable, » a dit Smith dans une entrevue.
« Les érudits devraient être complètement libres de poser n’importe laquelle de ces questions et les poursuivre là où leurs pensées et leurs découvertes les mènent. L’idée que, non seulement les médias les censurent, mais aussi que les institutions académiques appliquent des punitions contre leur faculté permanente et à temps plein pour avoir posé ces questions – cela m’apparait tout à fait stupéfiant, je suis dans tous mes états. »
« Et voilà où on en est au Canada, » ajoute-t-il. « Ce n’est pas le Canada que je connais et que j’aime. Ce n’est pas le genre de comportement auquel je m’attends des universités d’un pays comme le nôtre. »
Smith dit que les professeurs s’engagent souvent dans l’autocensure parce qu’eux et leurs institutions sont de plus en plus redevables envers les intérêts corporatifs au fur et à mesure qu’ils courent après les dollars en recherche. Il dit que les érudits qui ne posent pas de questions ne font pas leur travail, non plus que les médias qui ne permettent pas que l’on pose ces questions.
« Je suis sous le choc parce que cela ne devrait pas arriver. On parle de quelque chose de profondément inquiétant qui survient dans les médias du pays, c’est relié à toutes sortes d’inquiétudes que nous avons à propos des médias qui sont subventionnés par le gouvernement et qui parlent à l’unisson et d’une seule voix à travers le pays, » dit Smith.
« Ils permettent certains dissidents, et ils réalisent rapidement qu’ils ne devraient permettre aucune dissidence. Et ce n’est pas du bon journalisme. Ce n’est pas le genre de journalisme sur lequel nous comptons dans un pays libre. »
Noé Chartier et la Presse Canadienne ont contribué à ce rapport.
« VOILÀ la Liberté ! »
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
7 juillet 2022
C’est vraiment peu dire que d’affirmer que l’Amérique ÉTAIT « la terre de la liberté et le foyer du brave ». Dans son ensemble, non seulement l’Amérique ne ressemble-t-elle pas à la terre libre qu’elle était jadis, mais elle a même perdu la capacité cognitive de comprendre ce à quoi une terre libre peut ressembler.
Dans mon message, je passe en revue les principes spirituels bibliques et les principes constitutionnels américains qui contribuent à définir la Liberté.
Par exemple :
La liberté de dire la vérité
VOILÀ la Liberté
La liberté de rendre culte sans entrave
VOILÀ la Liberté
La liberté de s’assembler paisiblement, de protester et de redresser le gouvernement
VOILÀ la Liberté
La liberté de conserver et de porter des armes pour son autodéfense
VOILÀ la Liberté
La liberté que l’on nous laisse tranquille dans nos associations et nos opinions
VOILÀ la Liberté
La liberté d’être en sécurité dans nos foyers et dans nos effectifs
VOILÀ la Liberté
La liberté de notre intimité personnelle
VOILÀ la Liberté
Ce ne sont pas simplement des droits civils octroyés par décret gouvernemental : ce sont des Droits Naturels dont nous a dotés notre Créateur.
Notre Guerre Révolutionnaire fut une Guerre Juste combattue pour la défense des principes sacrés qui sont énumérés dans notre Déclaration d’Indépendance :
Le principe d’indépendance sous Dieu
Le principe que tous les hommes sont créés égaux sous les lois et les privilèges de Dieu
Le principe que la vie, la liberté et l’auto-gouvernance sont des dons de Dieu
Le principe qu’un gouvernement et une autorité juste découlent du consentement du peuple
Le principe de l’autodéfense vis-à-vis les menaces à l’encontre de notre vie et de notre liberté
Le principe que la résistance contre les conspirations tyranniques est un droit et un devoir moral
Le principe que la mort et la tuerie ne sont honorables que dans l’application et l’exécution d’une loi juste, de l’autodéfense et des droits et des devoirs naturels des hommes sous l’autorité morale de leur Créateur
Le principe voulant que, lorsque l’on nie la source de nos libertés (Dieu), Son autorité propre et Sa souveraineté (par le rejet de la Loi naturelle et révélée), le fondement de nos libertés est détruit
La Déclaration débute ainsi :
Lorsque, dans le cours des événements humains, il devient nécessaire à un peuple de dissoudre le cercle politique qui les relie les uns aux autres, et d’assumer parmi les pouvoirs de la terre, la position égale et séparée vers laquelle l’habilitent les Lois de la Nature et le Dieu de la Nature, un décent respect des opinions de l’humanité requiert qu’il déclare les causes qui le poussent à la séparation.
Nous tenons ces vérités comme évidentes par elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que, parmi eux, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. — Que, pour sécuriser ces droits, des Gouvernements sont institués chez les hommes, tenant leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés, — Que, lorsque qu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.
La prudence dictera, en effet, que les Gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des raisons légères et éphémères ; et, de la même manière, l’expérience a démontré que l’humanité est plus disposée à souffrir, quand les maux sont supportables, que de se donner droit en abolissant les formes auxquelles elle est habituée. Mais lorsqu’un long train d’abus et d’usurpations, poursuivant invariablement un même Objectif, manifeste un plan pour la réduire sous un Despotisme absolu, c’est son droit, c’est son devoir, de se libérer d’un pareil Gouvernement et de pourvoir à de nouveaux Gardiens pour sa sécurité future. — Telle a été la patiente souffrance de ces Colonies ; et telle est maintenant la nécessité qui les contraint d’altérer leurs anciens Systèmes de Gouvernement.
L’histoire du présent Roi d’Angleterre en est une qui répète les préjudices et les usurpations ayant tous pour objectif direct l’établissement d’une Tyrannie absolue sur ces États. Afin de le prouver, soumettons les Faits à un monde sincère.
La Déclaration se termine ainsi :
Par conséquent, nous, les Représentants des États unis d’Amérique, en Congrès Général, Assemblés, faisant appel au Juge Suprême du monde concernant la rectitude de nos intentions, publions solennellement, au Nom et de par l’Autorité du bon Peuple de ces Colonies, et déclarons, Que ces Colonies unies sont, et doivent être par Droit, des États Libres et Indépendants, qu’elles sont absoutes de l’Allégeance à la Couronne Britannique, et que tout lien politique entres elles et l’État de la Grande-Bretagne est, et doit être, totalement dissous ; et qu’en tant qu’États libres et indépendants, elles ont plein Pouvoir de faire la Guerre, conclure la Paix, contracter des Alliances, établir le Commerce, et de faire tout Acte et toute Chose que les États indépendants ont le droit de faire. — Et en support à cette Déclaration, avec la ferme confiance en la Divine Providence, nous engageons mutuellement nos Vies, nos Fortunes et notre Honneur sacré les uns envers les autres.
Des 56 qui signèrent la Déclaration d’Indépendance, neuf moururent de leurs blessures ou de leurs épreuves durant la guerre. Cinq furent capturés et emprisonnés, dans chaque cas avec un traitement brutal. Plusieurs perdirent leur femme, des enfants ou toute la famille. L’un perdit ses treize enfants. Deux femmes furent brutalement traitées. Tous furent, à un moment donné ou l’autre, victimes de chasses à l’homme et évincés de leurs foyers. Douze des signataires virent brûler complètement leur maison. Dix-sept perdirent tout ce qu’ils possédaient. Pourtant, personne ne fit défection ou ne revint sur sa parole engagée. Leur honneur, ainsi que la nation qu’ils créèrent avec tant de sacrifice, demeurent intacts.
John Adams et Thomas Jefferson moururent tous les deux le 4 juillet 1826 – cinquante ans après le jour de la Déclaration – ce que l’on doit considérer comme un point d’exclamation de Dieu de Son approbation envers leurs efforts altruistes, car ils furent les deux hommes principalement responsables d’avoir suscité la Déclaration. Daniel Webster fit les éloges des deux hommes le 2 août. Dans ses remarques en ce jour-là, les mots suivants sont à noter : « Elle [la Déclaration d’Indépendance] est le sentiment que je ressens et, par la bénédiction de Dieu, ce sera mon sentiment à ma mort. L’indépendance aujourd’hui, et l’indépendance pour toujours. »
Avec tous les dénigrements et la diabolisation des Pères Fondateurs de la part de la Gauche comme de la Droite, ces jours-ci, je crois pertinent que nous nous rappelions les mots de notre SEIGNEUR, qui a dit : « Vous les connaîtrez donc à leurs fruits » (Matthieu 7:20).
Nous pouvons savoir le genre de chênes géants qu’étaient nos Pères Fondateurs par les fruits de Liberté qu’ils ont produit.
S’il vous plaît, souvenez-vous qu’il fut un temps où les peuples opprimés de par le monde parlaient avec envie de l’Amérique en disant : « VOILÀ la Liberté ! »
Mais CETTE Amérique-là est partie depuis longtemps.
Aujourd’hui, le monde est choqué d’angoisse de voir comment « l’Amérique : terre de la liberté » est devenue aussi rapidement « l’Amérique : la terre de la guerre et de l’oppression ». Mais le nom d’un pays importe peu. Ce qui compte, ce sont les libertés protégées par ce pays. Comme l’a écrit Jefferson dans la Déclaration :
Lorsqu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.
Que Dieu, dans Sa bienveillante miséricorde, accorde à une nouvelle génération de patriotes américains l’honneur de rétablir les principes ci-mentionnés de constitutionnalisme et de liberté dans cette patrie – quelque soit son nom – vers laquelle les gens opprimés de par le monde jetteront un regard avec une nouvelle lueur d’espoir dans les yeux et diront une fois encore : « VOILÀ la Liberté ! »
Nous devons faire quelque chose…
Lettre mensuelle de Power of Prophecy
Juillet 2022
Par Jerry Barrett
Aurons-nous jamais des yeux pour voir ?
« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux. Car ces sortes de gens ne servent point notre Seigneur Jésus-Christ, mais leur propre ventre, et par de douces paroles et des flatteries ils séduisent les cœurs des simples. Car votre obéissance est venue à la connaissance de tous. Je me réjouis donc de vous ; mais je désire que vous soyez prudents quant au bien, et simples quant au mal. »
Romains 16:17-19
« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance. »
Jean 10:7-10
Il y a un dicton fort approprié pour ces jours-ci : « On a fermé les portes de la grange après que les chevaux se soient échappés. » Comme la Boîte de Pandore, nos fonctionnaires élus annoncent à grands cris que nous avons besoin d’un plus grand contrôle des armes. Malheureusement, pour ceux d’entre nous qui obéissons aux lois, il s’agit encore d’un empiètement sur nos droits et nos libertés.
Le Second Amendement déclare : « Le droit du peuple de garder et de porter des armes ne sera pas enfreint. » « Ne sera pas enfreint » est l’expression que des réitérations précédentes de notre Cour Suprême ont citée contre les lois sur les armes. Nous devons alors nous demander si ce groupe de juges va reconnaître nos droits, ou si les clameurs des accapareurs vont avoir préséance.
C’est un narratif sans fin que les socialistes progressifs poussent de l’avant au Congrès (et à la Maison Blanche) et que répètent les médias contrôlés. Les exigences de ces victimes d’opérations psychologiques (psyops), se rapportant aux récentes séries de fusillades de masse dans notre pays, ont aussi sauté dans le wagon des accapareurs d’armes.
Rahm Emmanuel, faisant écho à son mentor Saul Alinsky, a déclaré : « Ne jamais laisser une bonne crise se gaspiller. » Par le nombre de photos et de vidéos utilisés par les médias, l’on constate
Rahm Emmanuel et le Vice-président d’alors, Joe Biden, rient ensemble – probablement à nos dépens.
que cette crise s’est vue bénie du nombre de ceux qui soutiennent cet effort pour ôter les armes des mains des citoyens.
Une partie du Plan ?
Pourquoi le nombre des fusillades de masse a-t-il augmenté dans les derniers quelques mois ? Les membres de l’élite de l’État Profond sont-ils à fomenter un plan d’action ? Le FBI a-t-il été coopté par les politicards qui souhaitent créer le Nouvel Ordre Mondial ?
À chaque jour qui passe, il y a de plus en plus d’information disponible pour ceux qui cherchent la vérité. Rappelez-vous que ce sont ces mêmes personnes qui proclamaient que le soi-disant vaccin Covid-19 allait créer l’immunité collective et protéger tout le monde de ce virus mortel ; qui clamaient que la Russie envahissait le petit pays de l’Ukraine et infligeait d’horribles crimes de guerre aux citoyens de cette nation ; ce sont les mêmes gens qui criaient sur les toits que le Président Trump était en collusion avec les Russes et que le portable d’Hunter Biden était une campagne de désinformation de la part de Vladimir Poutine.
Qui se rappelle du prétendu complot d’enlèvement contre le Gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer ? Êtes-vous au courant que le FBI a joué sa part dans la planification de cet attentat bâclé ? N’est-ce pas aussi le FBI qui fut impliqué dans le canular Trump/Russie ? Maintenant, vous êtes peut-être en mesure de mettre les pièces du casse-tête en place.
Événements sous faux drapeau
Quand Joe Biden fit campagne pour la présidence, un des éléments de sa plateforme a été d’abolir l’Association Nationale des Armes à Feu, de même que votre droit individuel de posséder une arme à feu. Après un grand nombre de fusillades de masse fortement publicisées à travers le pays, son régime et ses acolytes crurent qu’un changement séismique de l’opinion publique permettrait que ce complot porte ses fruits.
Je ne contesterai pas le fait que beaucoup d’enfants soient morts dans la fusillade scolaire d’Uvalde. Comme je ne remettrai pas en question le fait que de nombreuses personnes aient été abattues dans une épicerie de Buffalo. Cependant, je suis curieux – après avoir lu bon nombre de rapports dans les médias alternatifs – à propos de l’implication alléguée de fonctionnaires (actifs ou retirés) de mise en application des lois fédérales qui ont eu auparavant des conversations avec ces deux tireurs.
La manière la plus sûre de créer un soutien acharné pour le contrôle des armes, c’est de massacrer des bébés innocents et des personnes âgées. Cela fait vibrer fortement nos cordes sensibles. Nos émotions commencent à l’emporter sur notre esprit analytique.
Escalade des crimes et de la violence
Comme je l’écrivais dans ma lettre du mois dernier, Le Far West était-il si sauvage ?, une grande vague de crimes s’est répandue dans notre pays. Les procureurs de district soutenus par George Soros ont réécrit les lignes directrices des fondés de pouvoir, toutes dans le but d’assurer aux criminels des peines d’emprisonnement minimales ou pas d’emprisonnement du tout. Les législateurs de New York et de la Californie sont allés extrêmement loin pour créer une porte tournante avec des programmes de cautions sans argent.
Les membres de la communauté noire sont la cible depuis des années d’un maintien de l’ordre injuste. Toutes ces nouvelles lignes directrices visent à créer « l’équité ». Ces « sauveurs des opprimés » ont choisi de donner aux criminels de carrière une porte de sortie. Gardez en tête que les conseils de ville d’extrême gauche à travers le pays ont définancé de nombreux départements de police. Vérifiez les statistiques de crimes à Seattle et à Minneapolis pour voir jusqu’à quel point cette brillante idée a bien fonctionné. Les citoyens obéissant aux lois et vivant dans ces villes sont plantés là.
Qu’en est-il des bonnes gens avec des armes à feu ?
Les médias contrôlés ne permettront pas que change le narratif. Les nouvelles nationales refusent de rapporter les cas où des propriétaires de fusils qui obéissent aux lois ont sauvé d’innombrables vies en se mettant en brèche quand des criminels effrontés ont attaqué. Les nouvelles locales partagent peut-être ces récits, mais ceux-ci seront rapidement remplacés par d’autres items qui « valent les manchettes ». En avez-vous entendu parler ?
En Virginie occidentale, un criminel reconnu, illégalement en possession d’un AR-15, a tiré plusieurs balles en direction d’un party de graduation et d’anniversaire. Heureusement, personne n’a été blessé, sauf l’homme qui a tenté cette fusillade de masse. Une femme qui assistait à la fête a tiré calmement un pistolet et a sauvé plusieurs vies.
Dans le Comté de Dekalb, en Géorgie, un criminel est entré dans un restaurant en portant un masque et en brandissant un fusil dans une tentative de vol. Il ordonna à tous les clients de se coucher sur le sol, mais un des clients avait un permis de port d’arme dissimulée. Après un échange de tirs, le criminel a été mortellement touché. Il n’y a pas eu d’autres blessés.
À Waco, au Texas, un mâle poignardait activement une femme quand un Bon Samaritain fit feu de son arme pour la défendre, frappant son assaillant.
Ce n’est qu’un échantillon des récits disponibles aux chercheurs de vérité, mais vous ne pouvez compter sur les grands mass-médias pour les transmettre. Un résident de Buffalo a été interviewé par Fox News après la fusillade de masse dans une épicerie et il a fait une observation très intéressante, encore que l’on ne l’ait pas diffusé très longtemps.
Cet homme a déclaré : « C’est ridicule. Ça doit changer. De bas en haut, parce qu’ils ne font rien, nous devons faire quelque chose… Si plus de gens étaient armés, et savaient quoi faire avec une arme, parce que ce n’est une question d’arme, mais de la personne derrière l’arme. »
Pas étonnant que cette entrevue n’ait pas été diffusée largement partout. Cela va contre le narratif que les accapareurs d’armes veulent pousser de l’avant. Néanmoins, la déclaration de ce gentleman frappait dans le mille.
« Ça doit changer … Si plus de gens étaient armés et savaient quoi faire avec une arme, parce que ce n’est pas une question d’arme, mais de la personne derrière l’arme. »
Quel est le nœud du problème ?
Depuis la fusillade à Uvalde, au Texas, il y a eu des centaines d’autres incidents impliquant des armes. Trente-trois sont qualifiées de fusillades de masse. Le facteur causal le plus important est l’absence de Dieu dans la vie de ces auteurs de crime.
L’âge moyen des tireurs de masse est de 18 ans en Amérique. Ces garçons ont été élevés en prédominance dans des foyers sans père et sans notre Père. Les politiques d’extrême gauche ont encouragé les deux ! Lorsque le côté le plus sombre de la nature humaine est favorisé, ce genre de mal se répand.
Dans Matthieu 22:39, Jésus a dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Nous avons reçu comme mission d’aller de par le monde et partager Son message. Être Son représentant est une bénédiction énorme. Faite partie de la solution.
***
Par Michelle Hallmark Powell
RACISME
Les Écritures nous disent que Dieu a créé les êtres humains à Son image. Il n’y a pas d’exception. Puisque nous sommes tous faits à Son image, nous sommes tous uniques et précieux à Ses yeux. Il n’y a aucune démonstration de hiérarchie d’êtres humains dans les Écritures. Jésus est venu pour que nous soyons tous sauvés.
L’on définit le racisme comme étant un préjudice, de la discrimination ou de l’antagonisme dirigé contre quelqu’un de race différente en se basant sur la croyance que votre propre race est supérieure. Il en résulte de la haine, de la crainte et un traitement inhumain envers quelqu’un à cause de la nation de laquelle il provient ou de la couleur de sa peau.
Dieu a créé l’humanité à Son image, mais la Bible enseigne qu’il y a beaucoup de nations et d’ethnicités. Dieu n’a jamais fait de distinction entre elles. Toutes, elles faisaient partie de la race humaine de Dieu. Leur couleur, leur provenance ou leur religion et leurs croyances importaient peu.
Au fil de la Bible, Dieu parle d’Arabes, d’Égyptiens, de Grecs, de Romains et d’Israélites.
Dieu a toujours ouvert les bras au monde entier. Dans la vie et la mort de Jésus, nous apprenons l’amour, la compassion et la miséricorde de Dieu montrés à tous les peuples. Dieu a envoyé Jésus afin de mourir pour tout le monde (Jean 3:16) et Il a enseigné aux disciples d’aller dans toutes les nations et de partager l’Évangile afin que chaque nation et chaque génération ait l’opportunité d’obtenir la vie éternelle.
« Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ » (Galates 3:28).
Évolution
La racine du racisme est fondamentalement ancrée dans la croyance en « l’évolution ». Sans l’évolution, le racisme ne peut exister. L’idée que certaines races soient supérieures et d’autres inférieures ne se maintient uniquement que par le concept que certaines races sont plus évoluées et avancées que les autres races.
Voici un exemple de ce que l’on trouve sur Wikipédia concernant le racisme :
« On l’appelle parfois le racisme académique, des théories dont on avait besoin pour vaincre la résistance de l’Église aux comptes-rendus positivistes de l’histoire et son soutien au monogénisme. L’on devait se débarrasser de la théorie que tous les êtres humains proviennent des mêmes ancêtres (Adam et Ève – 1 Timothée 2:13).
Selon la Bible, nous savons tous que Dieu a créé Adam à partir de la poussière de la terre et a insufflé dans ses narines le souffle de vie (Genèse 2:7). Et le Seigneur Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui » (Genèse 2:18).
À l’origine, l’Église s’opposa à l’évolution à cause du récit biblique de la Création. La Bible ne discute pas réellement de racisme. Celui-ci ne peut pas exister, car la Bible enseigne qu’il n’y a qu’une seule race…la race humaine.
La Bible traite du Péché, pas du racisme. Le racisme est une conséquence du péché. Le péché existe et le monde essaie de le remplacer par le racisme, lequel est de l’orgueil, de l’arrogance, une vision trop élevée de soi-même, etc.
« Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les leur aussi de même, car c’est là la Loi et les Prophètes » (Matthieu 7:12).
Le racisme abonde partout
Presqu’à chaque mois, il arrive un terrible incident où plusieurs personnes sont tuées. On met toujours le blâme sur le racisme. On a lavé le cerveau de quelqu’un pour qu’il soit antisémite, ce qui est la même chose que d’être raciste. L’agenda politique dans son entier insiste pour que chaque incident qui arrive soit dû au racisme. Et franchement, ils tentent de le relier à leurs buts et leurs plans racistes. Au fil du temps, nous avons vu le fatras anti-blancs croître pendant des années, et les noirs comme les blancs commencent à en avoir marre.
Tout a réellement rapport à Jésus !
« Mais rejetez maintenant toutes ces choses, la colère, l’animosité, la médisance ; et qu’aucune parole déshonnête ne sorte de votre bouche. Ne mentez point l’un à l’autre ayant dépouillé le vieil homme avec ses actions, et ayant revêtu le nouvel homme, qui se renouvelle en connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé. En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous. Soyez donc, comme étant des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtus des entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, d’esprit patient ; vous supportant les uns les autres, et vous pardonnant les uns aux autres ; et si l’un a querelle contre l’autre, comme Christ vous a pardonné, vous aussi faites-en de même. Et outre tout cela, soyez revêtus de la charité, qui est le lien de la perfection » (Colossiens 3:8-14).