Le dressage des Américains est presque complété

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2021

Jerry Barrett

« Ceux qui forgent de leurs fusils des hoyaux laboureront pour ceux qui ne le font pas. »

Thomas Jefferson

« La liberté n’est qu’une génération de l’extinction. Nous ne l’avons pas passée à nos enfants par notre sang. On doit se battre pour elle, la protéger et la donner aux autres pour qu’ils fassent de même, sinon, un jour, nous passerons nos vieux jours à raconter à nos enfants et à nos petits-enfants ce que c’était jadis aux États-Unis quand les hommes étaient libres. »

Ronald Reagan

Il y a une analogie qui circule sur Internet et qui est fort appropriée pour les temps que nous vivons. C’est l’histoire d’un étudiant qui demanda à son professeur s’il savait comment attraper des cochons sauvages. Croyant que c’était une farce, le professeur voulut connaître la chute de l’histoire. L’étudiant l’assura qu’il n’y avait pas de quoi rire et il lui raconta l’histoire :

« Vous attrapez des cochons sauvages en trouvant un endroit convenable dans les bois et en parsemant du maïs sur le sol. Les cochons le trouvent et commencent à venir tous les jours manger le maïs gratuit. Lorsqu’ils sont habitués à venir tous les jours, vous plantez une clôture sur un côté de l’endroit où ils ont l’habitude de venir. Quand ils se sont faits à la clôture, ils recommencent à manger le maïs et vous posez un autre côté de la clôture. Ils s’habituent à cela aussi et recommencent à manger. Vous continuez ainsi jusqu’à ce que les quatre côtés de la clôture soient érigés, avec une porte dans le dernier côté. S’étant habitués à manger le maïs, les cochons se mettent à passer par la porte pour venir manger le maïs. Puis, vous rabattez la porte et attrapez toute la horde. Soudainement, les cochons perdent leur liberté. Ils tournent à l’intérieur tout autour de la clôture, mais ils sont pris. Bientôt, ils retournent manger le maïs gratuit. Ils s’y sont tellement bien habitués qu’ils ont oublié comment fourrager dans la forêt, Donc, ils acceptent leur captivité. »

Dans cette analogie, le « maïs gratuit » – dans le cas des citoyens américains – ce sont les subventions gouvernementales qui sont accordées pour contrôler les masses. Le Bien-être, les Timbres alimentaires, les Crédits salariaux, l’habitation gratuite, les téléphones gratuits, l’internet gratuit, les soins de santé, etc., nous sont balancés à la figure depuis des décennies. Nous nous éclaboussons volontairement dans l’auge du gouvernement.

Cependant, nous devrions tous savoir qu’un buffet « gratuit », ça n’existe pas. Il y a invariablement un prix à payer. Dans le cas de l’Amérique d’aujourd’hui, le prix est devenu exorbitant. On a crédité l’auteur du Manifeste communiste, Karl Marx, de la citation suivante : « Enlevez une liberté par génération et bientôt, vous n’avez plus de liberté et personne pour l’avoir remarqué. »

Ne possédez rien… contrôlez tout

La Phase un du Plan implique le contrôle de l’argent. La gestion monétaire et le système bancaire actuels sont en place depuis plus de cent ans. Vous et moi ne concevons pas comment les banques opéraient pendant toutes ces années avant que la banque centrale – la Réserve « Fédérale » – soit créée. Au moyen de la propagande et l’achat des politiciens, les banquiers de Wall Street et les chefs d’entreprises ont pu contraindre la population à accepter un système de banque centrale.

Avec la création du système de la Réserve Fédérale, notre pays a ratifié un Amendement Constitutionnel qui mit en œuvre une taxe fédérale sur le revenu. L’essentiel de la propagande fut conçu ainsi : Faire casquer les riches. Cette technique de contrôle mental marche depuis une éternité. J.P. Morgan et John D. Rockefeller furent les personnages les plus influents de cette époque et leur machination s’avérait impérative pour qu’ils acquièrent le contrôle de la politique monétaire.

Rockefeller déclara un jour : « Ne possédez rien… mais contrôlez tout. » Fondamentalement, voilà ce qu’il voulait dire : « ce que vous ne possédez pas ne peut vous être enlevé. » Dans le but de protéger sa richesse de ces taxes menaçantes, Rockefeller créa une fondation exempte de taxes par laquelle il pouvait « écouler » son argent tout en maintenant toujours son contrôle. Ce concept est aujourd’hui extrêmement populaire chez l’élite, elle n’est qu’enrobée de philanthropie.

Le krach

Dans l’esprit de nombreux « experts » financiers, le krach du marché boursier de 1929 fut une démolition contrôlée pour enrichir l’élite et lui obtenir encore plus de maîtrise sur les paysans d’Amérique. Au sein des affres du chaos surgit Franklin D. Roosevelt et son New Deal [Nouvel Accord].

Son plan socialiste devait ressusciter l’économie de notre pays en réarrangeant financièrement ceux qui avaient été meurtris par des pertes massives d’emplois et d’argent. La Phase deux du Plan arriva durant cette période. Les hommes de l’époque étaient faits d’acier et non pas de bois. Les subventions du gouvernement étaient perçues comme un affront à leur masculinité. Pour circonvenir cela, Roosevelt mis en plan le Programme des Travaux, en payant des hommes pour qu’ils travaillent sur des soi-disant projets bénéficiant au pays. La mise sur pied de ce que nous savons être le bien-être était commencé.

Durant son règne, Roosevelt mis aussi à exécution le Système de Sécurité Sociale parce que les paysans étaient trop ignorants pour gérer leurs économies et leurs comptes de retraite. À l’origine, on a dit aux citoyens que le numéro de Sécurité Sociale ne serait pas utilisé comme identificateur. La politique changea rapidement et de manière permanente alors que le NSS est devenu le moyen d’identification de facto – exigé par le Service Intérieur du Revenu, l’armée, les banques, les collèges, les compagnies d’assurance santé et bien d’autres choses.

Au débit de la Deuxième Guerre Mondiale, Roosevelt établit le Comité de Production en temps de Guerre. La coordination entre l’industrie privée et la production en temps de guerre est considéré par plusieurs comme le commencement du « complexe militaro-industriel » dont parla le Président Eisenhower dans son discours d’adieu. La guerre froide qui s’en suivit avec la Russie mena à une expansion croissante de l’industrie des armes.

Le coup d’état final

En 1942, le Bureau des Services Stratégiques [OSS] fut créé par Franklin D. Roosevelt. Ce fut le précurseur de l’Agence Centrale de Renseignement [Central Intelligence Agency (CIA)]. Allen Dulles était l’un de ses opérateurs.

Leader ayant servi le plus longtemps à la CIA, le travail d’Allen Dulles, pour le dire simplement, était de détourner le gouvernement américain afin qu’il profite aux riches.

Dulles devint le premier directeur civil de la CIA et il a l’insigne distinction d’avoir été son leader le plus longtemps en service. Dans son étonnant exposé, Final Judgment, Michael Collins Piper argumente avec force que Dulles fut extrêmement impliqué dans l’assassinat de John F. Kennedy.

Le renversement de Kennedy du trône du pouvoir assura que la CIA ne soit pas fermée. Avec l’ascension de Lyndon B. Johnson à la présidence, la CIA put étendre son intervention dans le conflit avec le Vietnam.

Nous avons également vécu dans les années 1960 une vague d’ingénierie sociale au moyen des universités et des collèges. Le marxisme culturel, ou la rectitude politique, a finalement infiltré ces institutions de haut savoir et la graduation et l’expansion de cette idéologie se répand maintenant dans notre société.

Soumission des paysans

Après l’action sous faux drapeau de la destruction des Tours Jumelles de New York City, l’élite fit un grand bond contre l’humanité. Grâce à l’implantation du Patriot Act, le Quatrième Amendement fut sommairement touché dans notre Constitution.

Les Américains n’étaient plus en sécurité dans leurs foyers alors que cette nouvelle loi permettait que l’on fouille un foyer ou un commerce sans consentement ou connaissance sous certaines circonstances. On accorda au FBI d’examiner les téléphones, les courriels et les registres financiers sans ordonnance d’un tribunal. L’Agence de Sécurité Nationale [NSA] a étendu ses installations pour supporter ses unités informatiques centrales massives ou sont conservés les dossiers de nos citoyens.

Malheureusement, pas le moindre mot d’opposition ne fut offert par les masses. Ayant avalé le Kool-Aid dégluti par les mass-médias, la pensée de sécurité et de sauvegarde supplanta tout désir de liberté. La soumission de l’Amérique à l’élite atteint son aboutissement.

Quarantaines et confinements

La pLandémie qui a été lancée sur notre pays au printemps 2020 a mené aux ordres les plus draconiens jamais émis par des fonctionnaires élus. Jamais dans toute notre histoire des gens en santé ont-ils été mis en quarantaine. Les débuts hâtifs de symptômes étaient ignorés tant que n’avait pas évolué une crise sanitaire.

On bloqua l’usage de médicaments alternatifs à haut taux d’efficacité. Un tout petit opérateur sinistre, Anthony Fauci, fut installé en plein centre de ce complot. À l’insu des masses, cet homme avait financé – avec l’argent des payeurs de taxes américains – des recherches sur les armes biologiques en Chine.

L’obligation de masques, les ordres de confinement et la quarantaine dominèrent le cycle des nouvelles. Les nombres de cas et de morts ont été constamment bombardés dans l’esprit de nos citoyens. Ceux que l’on peut facilement influencer avalèrent l’hameçon de la désinformation. Si quelqu’un osait offrit une opinion divergente, les masses se mettaient à crier à tue-tête : « C’est dans les nouvelles, c’est partout sur Internet. Ce doit être la vérité. Vous devez être un complotiste ! »

Pour ceux qui cherchent la vérité avec diligence, l’écriture est nettement sur le mur. La réduction de la population étant un but déclaré de l’élite, cette complodémie est la parfaite rampe de lancement pour y arriver.

Que sait-on des « vaccins » mRNA qu’ont pris des millions de gens ? Quels effets secondaires pourraient-ils créer ? Seul le temps le dira. Je ne vois pas de meilleure manière de stériliser un grand nombre de gens que de créer une pandémie et de mettre sur pied une vaccination obligatoire.

Ronald Reagan avait raison de déclarer : « La liberté n’est qu’à une génération de l’extinction. » Chers amis, il est temps de se préparer.

« Veillez donc, priant en tout temps, afin que vous soyez faits dignes d’éviter toutes ces choses qui doivent arriver ; et afin que vous puissiez subsister devant le Fils de l’homme. (Luc 21:36).


Signe avant-coureur de la Marque

Par Michelle Hallmark Powell

« Et elle faisait que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, prenaient une marque en leur main droite, ou en leurs fronts ; et qu’aucun ne pouvait acheter, ni vendre, s’il n’avait la marque ou le nom de la bête, ou le nombre de son nom. »

Apocalypse 13:16-17

La marque de la bête sera l’identification exigée par l’Antichrist aux temps de la fin. La Bible dit que ce sera une marque sur la main droite ou sur le front de quelqu’un. Sans cette marque, une personne ne pourra ni acheter ni vendre. En ces temps tumultueux, qui peut dire ce qu’inclura cette marque en dehors du fait d’acheter ou de vendre ? Elle empêchera probablement d’aller chez le médecin, de louer une maison, de voyager, de voter et d’assister à l’église. Les églises sujettes à la clause 501(c)3 devront s’en tenir aux règles qu’impose le gouvernement pour demeurer ouvertes. Une des règles sera d’exiger que les membres portent la « marque » pour assister au service.

Il y a beaucoup de controverse sur ce que sera effectivement la marque, mais si l’on prend la Bible de façon littérale, elle montre que nous sommes au bord de savoir ce qu’est la marque et d’être forcés de prendre la marque ou nous en souffrirons les conséquences.

La peur du virus mène au contrôle

Le Corona Virus a été un test pour voir jusqu’à quel point l’on peut pousser les gens du monde à faire des choses et jusqu’où ils se laisseront contrôler. Dans certains pays, les gouvernements installent des « passeports vaccinaux ». Si vous n’avez pas l’un de ces passeports disant que vous êtes vacciné, vous ne pouvez voyager dans votre pays ou dans un autre. Si vous partez, vous ne pourrez revenir dans votre propre pays et vous découvrirez que vous ne pourrez rentrer sans votre passeport vaccinal.

L’Agence de Projets Avancés de la Défense du Pentagone (DARPA) a travaillé sur une puce électronique que l’on peut implanter dans les humains pour détecter les virus. Le colonel américain à la retraite, Matt Hepburn, physicien militaire en maladies infectieuses, qui est impliqué dans la recherche pandémique, a accordé une entrevue à 60 minutes. Il dit qu’une puce électronique qui suivrait de près les signes viraux du corps humain serait merveilleuse car le personnel du Département de la Défense américaine et leurs personnes à charge ont été infectés à hauteur de 250 000 personnes.

Serait-ce la Marque ?

Des puces à insérer sous notre peau, voilà un des domaines à croissance rapide des sciences biomédicales. La fiole que le Colonel tenait dans le programme télévisé 60 minutes pendant l’entrevue était pleine d’un gel vert d’apparence cutanée qui contenait la minuscule puce. La puce dit tout ce qui se passe à l’intérieur du corps comme la lumière de « vérification du moteur » dans une automobile et elle signale que vous allez être malade demain.

Dans une entrevue à 60 minutes, les chercheurs du Pentagone déclarent avoir créé un appareil sous-cutané qui va détecter le Covid-19 lorsqu’installé sous la peau, et d’autres technologies pour combattre la maladie.

Les chrétiens comme les non-chrétiens se demandent si la puce est la Marque de la Bête. Quand une puce sera imposée dans le monde entier par le leader d’un gouvernement unique, alors cette puce pourrait fort bien être la marque. Jusqu’ici, on ne nous a pas obligés à prendre cette puce par le biais d’un homme qui semble faire toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges (2 Thessaloniciens 2:9).

Mais c’est définitivement un signe avant-coureur de la marque, et il met la table et prépare le monde pour les temps de la fin. Pendant bien des décennies, il y a eu quelqu’un pour relier toutes les avancées technologiques majeures à quelque chose qui se trouve dans le livre de l’Apocalypse.

Est-ce que quelque technologie sera utilisée par Satan et l’Antichrist ? Absolument. La marque de la bête pourrait-elle être un implant électronique ? Eh bien, oui, mais en ce moment, la puce DARPA n’est pas la marque. Une autre puce pourrait très bien l’être, tout dépendant de ses capacités. Notre Seigneur est miséricordieux et Il va S’assurer que quiconque prenne la marque soit pleinement au courant de ce qu’il ou de ce qu’elle fait. Il les livrera à un esprit dépourvu de tout jugement.

Même si les choses semblent aller mal, nous ne sommes pas encore entrés dans la grande tribulation. Il y a une séquence d’événements qui, selon la Bible, doit survenir :

  • Viendra d’abord la tribulation et la persécution des Saints aux mains des leaders mondiaux inspirés par Satan.
  • Ensuite, l’Antichrist sera révélé.
  • Puis, la marque de la bête sera exigée.

Comme vous pouvez le voir, rien de tout cela n’est arrivé, mais les douleurs de l’enfantement sont commencées.

« Mais toutes ces choses ne sont qu’un commencement de douleurs. Alors ils vous livreront pour être affligés, et vous tueront ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon Nom » (Matthieu 24:8-9).

Dieu merci, la Bible dit, dans Matthieu 24:13 :

« Mais qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. »




L’Amérique est aux portes de la mort

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2021

Par Jerry Barrett

Imaginez un homme d’affaires démocrate de New York ayant fait et perdu des millions de dollars. Cet homme a reçu une récompense humanitaire de la NAACP. Il a animé un show télévisé à succès aux heures de grande écoute. Il est extrêmement populaire auprès des politiciens – des deux côtés de l’allée – à cause de ses contributions électorales.

Maintenant, imaginez que cet homme décide de recycler ses affiliations à un parti politique et annonce sa campagne pour la nomination républicaine afin de devenir Président des États-Unis. Combien d’entre vous aurait pu le prédire et croire qu’il avait une chance de gagner ?

Donald J. Trump n’a pas été le plus grand Président à avoir occupé le 1600 Pennsylvania Avenue. Son élection improbable à la Présidence a été un choc pour un grand nombre de ceux qui sont dans le secret, y compris les experts politiques employés par le Piètre Grand Courant Médiatique. Quand Ann Coulter eut l’audace de déclarer que Trump allait gagner la nomination et probablement les élections, elle a été sévèrement critiquée et raillée.

Barack Obama, Hillary Clinton et Eric Holder : servira-t-on la justice ?

Toutefois, après huit ans de Barack Obama, c’est comme si le peuple américain en avait eu marre de la direction que prenait le pays. Celui-ci a souffert de l’exode des emplois manufacturiers, de l’écroulement économique, de la crise de la bulle immobilière, du chômage record, de la stagnation des salaires et d’une multitude d’autres maladies dépressives.

Cela n’inclut pas la chasse aux fusils du Département de la Justice d’Obama et que l’on a surnommé « Rapide et dangereux ». La débâcle de Benghazi lorsque la Secrétaire d’État Hillary Clinton a permis le meurtre de diplomates américains et de membres du personnel militaire. L’escroquerie de la fausse « Énergie Verte » dans lequel la compagnie d’énergie solaire nommée Solyndra s’est vue accorder 500 millions $ des payeurs de taxes pour les refiler ensuite aux riches démocrates et aux supporteurs d’Obama.

Ils seront nombreux à souligner les points positifs de la période de Trump en tant que Président. Oui, des emplois manufacturiers sont revenus en Amérique. Oui, les déséquilibres commerciaux ont été rectifiés jusqu’à une certaine mesure. Oui, le chômage – particulièrement dans les communautés minoritaires – a décru. Oui, l’économie semble rebondir de la dépression survenue lors de la Présidence d’Obama.

La chose qui ressort aux yeux de l’auteur est la quantité de mensonges sulfureux qui ont été crachés à la face de Trump. La guerre contre les races, commencée sous le régime d’Obama, fut accru au moins dix fois par les propagandistes des médias contrôlés. Si vous faites un pas en arrière et regardez l’ensemble du portrait, demandez-vous qui bono (à qui cela profite-t-il ?).

Avec l’addition des oligarques du Big Tech – Facebook, Twitter, YouTube, Google et d’autres – le contrôle du message atteint des sommets historiques. La censure à une échelle sans précédent a conduit à une division plus grande de notre pays. L’avènement du média social a donné naissance au nouvel activiste… le Guerrier de la Justice Sociale !

Ce qui a débuté dans les années 1960 au sein des universités à travers l’Amérique a pu finalement porter son fruit alors que la Culture marxiste a eu l’avant-dernière plateforme. Les manieurs de mots, en ligne de front de la bataille, ont écrit des slogans qui ont fait dresser l’oreille de la plupart des Américains. Des slogans ingénieusement conçus, des rappels et d’autres éléments de propagande entraînant la division ont balayé une jeunesse facilement influençable.

Ces diplômés se sont bientôt infiltrés dans les écoles primaires et secondaires, propageant la programmation politiquement correcte de contrôle mental nécessaire au succès final. D’autres gradués ont eu accès aux agences de publicité, répandant encore les mantras du Parti Communiste. Finalement, encore d’autres diplômés ont pu acquérir des positions au sein des salles de conseil des entreprises majeures.

La guerre contre la clause de libre expression du Premier Amendement débuta immédiatement. « Oui, vous aurez encore le droit de vous exprimer, pourvu que cela ne vienne pas heurter les sentiments de quelqu’un. » Voilà la nouvelle adaptation à notre Constitution. Dans cette nouvelle définition, le christianisme fondamental est un système de croyances que l’on doit éradiquer parce « qu’il dit que l’homosexualité est une abomination ».

Ce qui suit à l’agenda

L’État Profond s’est assurément réjoui du succès de sa manipulation des masses. Malheureusement pour lui, Donald Trump joui encore d’une grande foule de partisans. De toute évidence, il n’y a pas que les mâles blancs de la classe moyenne qui se soient campés dans ses nombreux ralliements à travers le pays. Ce fut un choc de constater qu’un certain nombre de minorités peuplaient l’auditoire.

Pour étouffer l’enthousiasme et la réélection presque certaine de Trump, une immense tergiversation devait être mise en œuvre. Bill Gates, Klaus Schwab et une foule d’autres sont apparus sur scène dans un exercice de gérance de crise d’une pandémie du nom d’Event 201. Miraculeusement, quatre mois plus tard, une crise atteignait les rives de l’Amérique – le COVID-19.

Le pantin parfait pour exécuter des suggestions politiques draconiennes n’était nul autre que le récipiendaire des largesses de Bill Gates… Anthony Fauci. Le Centers for Disease Control and Prevention (CDC – Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie) est descendu dans l’arène – peut-être sur l’ordre de George Soros, de Gates ou de Scwab ? – et a commencé à émettre des mandats pour tenter « d’aplatir la courbe ».

Le Lamentable Grand Courant Médiatique a répandu l’évangile de Fauci dans tous les segments – c’est du moins ce qu’il semble – de ses bulletins de nouvelles. Les docteurs qui ont essayé de présenter les faits concernant la pLandémie ont été censurés et beaucoup ont perdu leur emploi. L’on a interdit de soigner les malades en utilisant des médicaments bien-connus, même si le Dr Fauci était au courant de leur efficacité au début des années 2000.

Les gouverneurs et les politiciens locaux ont commencé à brandir leur gourdin devant les entreprises qui s’objectaient à leurs ordres de confinement. L’économie ronflante de l’Administration Trump fut écrabouillée, le chômage monta en flèche et… qui sont venus ensuite sur scène pour « Sauver l’Amérique » ? Les démocrates qui offrent de l’argent gratuit à ceux qui en ont le besoin.

Assurer la victoire

Même au travers de la calamité qui est arrivée en Amérique en 2020, la popularité de Donald Trump n’a pas diminué au point d’assurer la victoire à un démocrate à la Maison Blanche. L’on a mis sommairement en place des plans pour truquer les élections, en partie grâce au cadeau de Gates et Schwab… la pLandémie. Les votes par la poste firent fureur chez ceux qui souhaitaient altérer la défaite potentielle, de même que les algorithmes des machines de vote électronique.

Joe Biden et Kamala Harris vécurent une anomalie vraiment unique… ils défirent un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes, c’est-à-dire, plus de votes que le populaire Barack Obama quand il défit John McCain. Un autre facteur intéressant que l’on ne rapporte jamais, le pourcentage allégué de participation électorale pour les élections de 2020 fut le plus élevé en 120 ans !

Joe Biden et Kamala Harris ont vécu une anomalie vraiment unique… ils ont défait un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes.

Temps de jouer de la flûte

Avec Biden en poste, l’État Profond semble exercer une vendetta majeure contre ceux qui questionnent son autorité. Le pantin de la Maison Blanche et sa caquetante V.-P. sont d’enthousiastes participants de la comédie. Qui croyez-vous a dressé la quantité énorme d’Ordres Exécutifs que Biden a signés au jour 1 de sa fonction ?

Notre frontière est à nouveau une passoire pour les émigrants illégaux. La Chambre de Commerce américaine doit être extrêmement reconnaissante pour cet afflux de main d’œuvre bon marché alors que ces bienfaiteurs auront plus d’argent à mettre dans leurs coffres. La Chambre des Représentants, qui contrôle la bourse de notre pays, a ouvert les voûtes dans l’effort d’apaiser ceux qu’elle déclare être les moins fortunés. Après tout, acheter des votes n’est-il pas un élément de plateforme de l’extrême gauche ?

Récemment, les tueries de masse se sont encore accrues. Ces opérations « sous faux drapeau » ne visent qu’une seule chose… VOS armes à feu. Joe Biden a ouvertement déclaré la guerre contre la NRA (National Rifle Association – Association nationale des armes à feu) durant sa campagne, et maintenant il va chercher à confisquer le plus d’armes à feu possible. Se pourrait-il que son Ordre Exécutif place en fait les propriétaires d’armes légales dans la mire d’une imposition de loi ?

Nos pères fondateurs reconnaissaient la tyrannie et mirent en fonction le Deuxième Amendement afin de donner du pouvoir au peuple. Un nombre record de nouveaux propriétaires d’arme à feu a pris pleinement conscience du besoin potentiel de se défendre, eux et leur famille. La violation de votre droit de garder et de porter des armes, bien qu’inconstitutionnelle, est le plus gros obstacle que doit franchir l’État Profond. S’il y réussi, notre Constitution deviendra nulle et non avenue.

Prenez en considération certains leaders qui ont pu implanter le contrôle des armes durant leur régime et la mainmise qu’ils purent avoir sur les paysans : Pol Pot, Vladimir Lénine, Joseph Staline, Mao Tsé-toung.

Beaucoup d’autres grands empires, comme le grec et le romain, sont tous tombés victimes du contentement de soi, de l’apathie et de la léthargie. L’échec à se tenir debout pour quelque chose conduit à la chute totale. Chers amis, gardez les yeux et les oreilles ouverts. Préparez-vous de votre mieux, car si l’État Profond continue sans être réprimé, la grande expérience connue sous le nom d’Amérique connaîtra la même fin que les autres grands empires.


Par Sandra Myers

Qu’ont en commun les cigarettes, le DDT et la radiation ?

Seriez-vous surpris de savoir qu’ils sont sans danger pour vous – du moins, à une époque, la communauté scientifique, votre gouvernement et les grands courants médiatiques disaient qu’ils étaient sans danger. Souvent mis sur le marché comme étant NOUVEAU, approuvé par le médecin, la science et/ou le gouvernement, rien ne pouvait être plus sécuritaire et meilleur… d’accord ?

Les cigarettes (et autres produits du tabac)

Dans les années 1930 et 1940, à l’époque prestigieuse de la cigarette, les compagnies de tabac réussirent avec succès à influencer les médecins, non seulement pour qu’ils promeuvent la notion que la fumée était saine, mais qu’en fait ils la recommandent comme traitement pour les irritations de la gorge, l’asthme, la bronchite, le rhume des foins et l’influenza. Une variété de compagnies de tabac conçurent, achetèrent et payèrent des études scientifiques qui formulèrent ces tests pour qu’ils apparaissent comme des faits prouvés et non biaisés.

Fumer fut aussi publicisé et promu comme une manière de conserver plus petit le bébé d’une femme enceinte (pour faciliter le passage) ; pour la digestion ; et pour la perte de poids (bon pour la silhouette de la femme et pour de meilleures capacités athlétiques chez l’homme).

Même si des rapports sur les taux significatifs de croissance du cancer des poumons, auparavant rare, furent émis dans les années 1930, la crédibilité de ces rapports fut remise en cause jusqu’à la fin des années 1950. Ce ne fut pas avant 1964 que le Rapport du Ministre de la Santé américain démontra la relation entre la fumée et le cancer. En 1986, il concluait également que la fumée passive est dangereuse.

DDT (dichloro-diphenyl-trichloroethane)

Le DDT fut d’abord synthétisé en 1874, mais sa qualité insecticide n’a été découverte qu’en 1939. Jadis salué comme une grande bénédiction pour l’humanité, on l’utilisa dans la Deuxième Guerre Mondiale pour contrôler une variété d’insectes porteurs de la malaria, de la dengue et du typhus. (À cause des tensions avec le Japon, le plus grand producteur de pyréthrine, notre approvisionnement d’ingrédient naturel de contrôle des insectes était coupé.) En 1945, le DDT fut disponible à la vente publique aux États-Unis. Des publicités encourageaient même que l’on vaporise du DDT directement au-dessus de nos enfants pour les protéger des mouches, des pous et des moustiques.

La logique de répandre des produits chimiques potentiellement dangereux sur vos enfants et dans vos foyers, vos fermes et l’environnement ne coïncidait pas exactement avec les entreprises manufacturières (l’argent) ou le public (se faisant dire que c’était sans danger) de l’époque. Avec très peu d’enquête antérieure sur les effets environnementaux et sanitaires, le DDT était la nouvelle panacée pour stopper les sales insectes.

En 1972, l’EPA émit un ordre de résiliation pour le DDT en se basant sur ses effets défavorables sur l’environnement, tels que sur la faune et la flore, de même que les risques potentiels sur la santé humaine. (Mais apparemment, il est encore correct d’utiliser le DDT dans les pays en développement. Je suis sûre qu’il n’y aura aucun impact à long terme sur le bien-être des peuples africains et leur environnement, par exemple. Comme l’a dit l’ONU : « les bénéfices surpassent les risques ».

La radiation et l’infusion radioactive

Au début des années 1900, les gens croyaient que la radioactivité était bonne pour eux. À la suite de la théorie Curie/Becquerel sur la radioactivité et du travail de pionnier subséquent, la folie de la radioactivité décolla ! Il y eut parmi les items publicisés et vendus des pendentifs au radium pour les rhumatismes, des couvertures à l’uranium pour l’arthrite, des cosmétiques antivieillissement radioactifs, de l’eau radioactive, de la pâte à dent radioactive, des humidificateurs radioactifs avec masque respiratoire et bien d’autres choses.

Dans un des exemples, on mit des boissons radioactives sur le marché. Un industriel bien connu, Eben Byers, tomba et se fit mal à un bras. Sous les conseils de son médecin, Byers but trois bouteilles par jour de Radiothor. Le gros titre du Wall Street Journal de 1932 parlait ainsi de la mort de Byers : « L’eau au radium fonctionnait bien jusqu’à ce que sa mâchoire se détache ». Un autre exemple s’appelle les Filles de la radiation. Les femmes qui ont sauté sur l’opportunité d’aller travailler dans les usines en peignant les cadrans de montre avec de la peinture lumineuse au radium. Même Marie Curie et ses collaborateurs moururent de complications dues à l’exposition au radium.

Le mercure

Vous rappelez-vous vous être écorché un genou, enfant, et que votre Maman mettait du mercurochrome sur votre bobo pour le désinfecter ? La FDA a banni le mercurochrome à la fin des années 1990 à cause de nombreux rapports d’empoisonnements au mercure. Mais Mercurochrome est le nom patenté d’Eli Lily pour le thimérosal. Même après avoir banni ce composé de mercure organique pour traiter vos éraflures, on l’utilise encore largement comme agent antiseptique et antifongique pour garder frais vos vaccins. Beaucoup de pays suppriment maintenant graduellement l’emploi du thimérosal dans les vaccins pour enfants. On trouve aussi aujourd’hui du thimérosal dans un grand nombre de mascaras. Divers composés de mercure sont toujours employés dans des antidotes, des vaporisateurs nasaux, des laxatifs stimulants, des onguents contre les rougeurs dues aux couches, des solutions de verres de contact, des amalgames dentaires et de l’encre à tatouage.

Additifs alimentaires et médicamenteux

Il y a également les additifs alimentaires et médicamenteux, trop nombreux pour être énumérés dans cet article, qui ont été approuvés et ensuite rappelés aux États-Unis. De puissants groupes de lobby et des compagnies pharmaceutiques font (d’une manière ou de l’autre) pression sur la FDA pour obtenir l’approbation. Certains de ces médicaments et de ces additifs ont été refusés au Canada et dans des pays européens.

Le médicament thalidomide est une de ces horribles expériences humaines. Mise en marché pour l’anxiété, la tension, l’insomnie et les nausées matinales, la thalidomide cause les caillots de sang, l’anémie et la neuropathie. Les mères enceintes ont trouvé très élevé le prix de « la pilule contre les nausées matinales » quand leurs enfants innocents sont nés avec de sévères déformations.

Qu’est-ce que toutes ces choses ont en commun ?

Les éléments communs entre les items listés ici (et tant d’autres), c’est qu’on nous a dit que ces items ont été scientifiquement testés et approuvés par le gouvernement et on les considérait donc comme de la « science établie ». Puis le grand courant médiatique sauta dans le wagon afin de devenir votre « source fiable de vérité », en battant la mesure pour pousser la course des ventes en s’exclamant : « Ceci (remplir l’espace vide) est un nouveau produit magnifique, parfaitement sécuritaire et vous pouvez vous y fier. »

En faisant la revue de ce que nous savons à propos des médicaments approuvés et surpublicisés, des vaccins et des produits, pour voir ensuite trop tard les dommages infligés, nous pouvons en conclure que la « science établie » n’existe pas. La science établie n’est maintenant devenu qu’un terme de publicité ; demandez aux défenseurs du Changement Climatique et de l’évolution. L’horrible trio du gouvernement, de la science et des médias planifie de faire appel à votre peur ou à votre fantaisie (pour capter votre attention et pour programmer vos réactions et vos désirs, souvent par des moyens fondés sur le traumatisme.)

Or, je ne suis pas en train de vous dire que la science ne nous a pas donné des développements et des médicaments étonnants et salvateurs au fil des ans, car c’est le cas. Cependant, en chrétien sagace, nous sommes appelés à nous questionner sur ce que le monde nous dit et nous vend – de façon à être sage. Comme l’a dit Jerry dans l’article principal de ce document, vous devez vous demander Qui bono ? (à qui cela profite-t-il ?)

P.S. : Vous ne devriez pas seulement remettre en question les vaccins et les nouveaux médicaments, mais également toute nouvelle folie ou tout produit surpublicisé (les boissons énergétiques et les e-cigarettes nous viennent aussi à l’esprit).




Pourquoi je ne prendrai PAS le vaccin Covid

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

18 mars 2021

Je continue de maintenir que le narratif du Covid est le plus gros canular de l’histoire du monde. Je vais le dire de manière catégorique : Bill Gates, Anthony « Heil Hitler » Fauci, le CDC, l’OMS, la grande industrie médicale, les grandes compagnies pharmaceutiques, le grand courant médiatique, les politiciens des deux partis entretenant la peur – tout comme les couards pasteurs étatistes et les églises qui embrassent le narratif falsifié – nous MENTENT en ce qui concerne le Covid.  Pourquoi ? Ils sont TOUS remplis d’un esprit de convoitise et récoltent d’énormes avantages financiers pour leur empressement à prostituer leurs professions à des fins de gain personnel.

Par exemple, comment les professionnels de la santé peuvent-ils regarder le peuple américain dans les yeux et nous dire que le virus omniprésent de la grippe a disparu (par coïncidence) au fil de la croissance du coronavirus ? Et ils nous disent cela avec sérieux, rien de moins. On ne devrait pas laisser sortir quiconque pouvant débiter une absurdité aussi monstrueuse, encore moins un porte-parole de la science médicale.

Ce n’est qu’un exemple parmi des centaines de mensonges que les pourvoyeurs du narratif effrayant du Covid espèrent nous faire croire. Et ils se demandent ensuite pourquoi la confiance des gens envers la profession médicale connaît une baisse historique.

Puisque mon message de dimanche passé portait sur le livre de Jérémie, au chapitre 6, l’accusation divine contre la nation condamnée de Juda est encore toute fraîche à mon esprit. Par exemple, le verset 13 de ce chapitre décrit exactement tous ceux qui, en Amérique, répètent le narratif falsifié du Covid :

« Parce que depuis le plus petit d’entre eux jusques au plus grand, chacun s’adonne au gain déshonnête, tant le Prophète que le Sacrificateur, tous se portent faussement. »

Quiconque promeut le narratif falsifié du Covid s’acquiert un bénéfice personnel pour avoir suivi la ligne directrice de l’establishment, ce qui veut dire, comme anciennement pour Juda, que « chacun [d’entre eux] s’adonne au gain déshonnête »

L’existence même d’une nation libre dépend de l’intégrité de son peuple, particulièrement ceux qui occupent des positions de confiance et d’influence. Les médecins, les enseignants et les ministres occupent certainement le sommet de la liste de ces positions de confiance. Mais également les professionnels de notre pays dans différents domaines. Toute occupation qui exige une licence ou un serment pour pratiquer requiert intrinsèquement une conduite professionnelle possédant intégrité et honnêteté.

Par exemple, imaginez les désastres qui échoiraient à une communauté si les architectes, les ingénieurs et les entrepreneurs compromettaient l’intégrité de leurs services à des profits personnels. Pourtant, des médecins et des scientistes médicaux compromettent l’intégrité de leurs services pour récolter les grands avantages à mentir sur le Covid. Il en résulte le désastre médical que nous vivons présentement.

Quant aux politiciens, essayez de nommer une poignée d’entre eux (des deux partis) qui sont affranchis du dégoûtant péché de la convoitise. Même les hommes qui se dressent derrière les lutrins sacrés se sont largement laissé aller à l’esprit de convoitise – exactement comme Jérémie a accusé les prophètes et les sacrificateurs de Juda.

Et qu’est-il arrivé à l’Amérique, « la terre de la personne libre et le foyer du brave » ? Allez dans n’importe quel gros centre d’achat et regardez tous ces gens naïfs qui portent une couche sur le visage. Ces personnes sont-elles donc incapables de penser et de réfléchir ? Sont-elles inaptes ou désintéressées à entreprendre leurs propres recherches d’enquête ? Depuis quand le peuple américain est-il devenu du bétail idiot et aveugle que l’on conduit et entasse dans des cages ?

En premier lieu, la communauté scientifique n’a même pas prouvé que le SARS-CoV-2 existe. En second lieu, s’il existe, le taux de mortalité du virus est grossièrement (et délibérément) exagéré. Et en troisième lieu, le soi-disant vaccin est lui-même une gigantesque fraude. Mais non seulement est-il une fraude, c’est le commencement de la fin de la liberté.

Je comprends cela quand une personne non convertie ne discerne pas la vérité spirituelle ; mais c’est ahurissant quand des gens convertis (des chrétiens) ne possèdent pas de discernement spirituel. Sont-ils vraiment convertis ?

Tout chrétien qui ne reconnaît pas la signification spirituelle – et l’esprit antichrist – représenté par le port du masque ordonné par le gouvernement est complètement dénué de tout discernement spirituel. L’obligation des masques et des vaccins est sans doute, et sans réserve possible, la première étape d’un complot satanique pour réduire en esclavage le peuple d’Amérique (et le monde entier).

TOUTE exigence mandatée par l’état que l’on doive porter un masque ou prendre un vaccin, ou accepter un « passeport vert » géré par l’état pour pouvoir voyager, travailler, acheter, vendre, etc., est d’origine satanique.

Je suggère fortement aux lecteurs de regarder ma série de cinq messages intitulée The Rise of the Beast : Coronavirus and Antichrist (1 DVD, en anglais seulement).

S’il vous plaît, regardez aussi mon message The Babylon of Revelation 18 (1 DVD, en anglais seulement). Ce message montre le lien profond entre le système antichrist babylonien et la sorcellerie (ensorcellement) ainsi que la pharmaceutique.

Évidemment, la raison principale pour laquelle tant de gens qui se disent chrétiens sont dénués de discernement spirituel est due à leur acceptation de la fausse doctrine du sionisme chrétien, y compris le faux enseignement d’un « enlèvement » relié à la tribulation.

J’encourage encore une fois les lecteurs à regarder ces messages cruciaux qui enseignent la vérité à propos d’Israël – incluant l’état sioniste moderne d’Israël.

The Israel Package (3 sets)

God’s Divorce From Israel (1 DVD)

Why A Third Jewish Temple Will Not Be Rebuild And How Supporting One Serves Antichrist (1 DVD)

L’essentiel, c’est : Je n’ai jamais porté le masque antichrist et, de même, je ne prendrai PAS le vaccin Covid antichrist.

Heureusement, il y a des millions de gens qui sont déterminés à ne pas prendre le vaccin Covid, y compris des professionnels de la santé et de grands penseurs dans chaque domaine – même des leaders religieux en dehors de la foi chrétienne.

Je trouve cela incroyable. Alors que d’innombrables leaders chrétiens, qui sont supposés être habités par le Saint-Esprit, s’alignent servilement avec l’esprit antichrist en promouvant tout le narratif Covid, beaucoup de leaders non chrétiens perçoivent cette mascarade diabolique et en avertissent leurs sympathisants.

Un de ces hommes est le rabbin israélien ChananyaWeissman. Il a récemment écrit une thèse intitulée 31 ReasonsWhy I Won’tTake Vaccine (31 raisons pour lesquelles je ne prendrai pas le vaccin).

Par contrainte d’espace, je ne ferai la liste que de quelques excellentes raisons du rabbin de refuser le vaccin Covid :

  1. Ce n’est pas un vaccin : Par définition, un vaccin fournit l’immunité contre une maladie. Ce vaccin-ci ne donne l’immunité contre rien. Dans le meilleur des scénarios, il ne fait que réduire les chances de subir un cas sévère du virus si on l’attrape. D’où le fait que c’est un traitement médical, pas un vaccin. Je ne veux pas prendre un traitement médical pour une maladie que je n’ai pas.
  2. Les compagnies de médicaments, les politiciens, l’establishment médical et les médias joignent leurs forces pour s’y référer mondialement comme étant un vaccin alors que ce n’en est pas un, dans l’intention de manipuler les gens pour qu’ils se sentent en sécurité en subissant un traitement médical. Parce que ce sont des tricheurs, je ne leur fais pas confiance, et je ne veux rien savoir de leur traitement médical.
  3. L’establishment insiste pour dire que ce traitement est sécuritaire. Ils ne peuvent pas le savoir parce que les effets à long termes sont parfaitement inconnus et le seront pendant des années. Ils peuvent spéculer sur sa sécurité, mais c’est de la fourberie de leur part de faire une pareille affirmation, car on ne peut le savoir. Parce qu’ils sont fourbes, je n’ai pas confiance en eux et je ne veux pas de leur traitement.
  4. Les compagnies de médicaments n’ont aucune responsabilité si quelque chose ne va pas et on ne peut les poursuivre. Même chose pour les politiciens qui poussent ce traitement de l’avant. Je ne me ferai pas injecter un procédé médical nouveau et expérimental alors que les gens qui sont derrière n’acceptent aucune responsabilité si quelque chose ne tourne pas rond. Je ne risquerai pas ma santé et ma vie quand eux ne prennent aucun risque.
  5. Le Premier Ministre d’Israël a ouvertement admis que le peuple d’Israël sert de laboratoire mondial pour ce traitement expérimental. Je ne suis pas intéressé à servir de cobaye ou à donner mon corps à la science.
  6. On mentionne que les cadres et les membres du conseil de Pfizer n’ont pas pris leur propre traitement malgré toute la fanfare et les promesses. Ils déclarent qu’il ne serait pas juste qu’ils « brisent la ligne ». C’est une excuse ridicule, et il faut avoir un front incroyable pour dire une chose pareille. Cette « ligne » est une invention de leur propre imagination. S’ils s’attribuaient une couple d’injections pour eux-mêmes, personne ne crierait à l’injustice. En plus, les milliardaires avec leurs jets privés et leurs îles personnelles ne sont pas reconnus pour attendre en ligne en attendant que des centaines de millions de paysans de partout dans le monde aillent recevoir quoi que ce soit que ces milliardaires veulent pour eux.
  7. L’establishment a célébré de façon entièrement unilatérale ce traitement. Les politiciens et les médias poussent les gens à le prendre, à la fois comme devoir moral et comme devoir civique. Les bénéfices du traitement sont grandement exagérés, les risques sont ignorés et les inconnues sont balayées du revers de la main. Parce qu’ils sont tricheurs et manipulateurs, je ne jouerai pas mon bien-être personnel sur leur intégrité.
  8. Il y a une intense campagne de propagande pour que les gens prennent ce traitement. Les politiciens et les célébrités se prennent en selfies se faisant injecter (peut-être dans certains cas font-ils semblant de se faire injecter), les médias en font un battage énorme comme étant la chose la plus cool, la plus intelligente, la plus joyeuse et la plus plaisante à faire. C’est la campagne de marketing la plus répandue de l’histoire. Ce n’est pas du tout approprié pour un quelconque traitement médical que ce soit, encore moins pour une nouvelle marque, et cela me fait reculer.
  9. Ceux qui soulèvent leurs inquiétudes concernant ce traitement médical sont brutalisés, diffamés, raillés, censurés, ostracisés, menacés et congédiés de leur emploi. Cela inclut les professionnels de la santé qui possèdent les bases scientifiques à leurs inquiétudes au sujet du médicament et les travailleurs sociaux qui ont été témoins de gens à leur charge souffrant de réactions horribles et de la mort peu après avoir été injectés. Lorsque l’establishment élimine les bonnes personnes qui risquent tout, simplement pour avoir soulevé des inquiétudes à propos d’un nouveau traitement médical – même s’ils ne s’y opposent pas carrément – je vais faire confiance à ces braves gens avant l’establishment à chaque fois. Je ne peux me rappeler aucun cas similaire dans l’histoire où la vérité et la moralité se sont trouvées du côté de l’establishment.
  10. S’ils se trouvaient en face des masses, très peu de gens seraient d’accord pour participer à une telle expérience. Manipuler les masses pour qu’elles participent à une expérience médicale sous de faux prétextes viole les fondements de l’éthique médicale et de la loi démocratique. Je ne permettrai pas à des gens sans éthique qui s’engagent dans une conduite pareille qu’ils m’injectent quoi que ce soit.
  11. Les compagnies de médicaments ont une longue et glorieuse histoire de carnage massif par des médicaments merveilleux qu’elles imposent aux populations sans méfiance, même après que de sérieux problèmes viennent à être connus. Au lieu de presser le bouton de pause et d’arrêter la mise en marché de ces médicaments jusqu’à ce que l’on ait étudié ces problèmes comme il faut, les compagnies de médicaments ont fait tout en leur pouvoir pour supprimer l’information et continuer la vente de leurs produits. Puisque les compagnies et leurs gens démontrent un manque de souci aussi grossier envers la vie humaine, je ne leur fais pas confiance quand ils font un tel battage pour un nouveau médicament merveilleux. Nous n’en sommes pas à notre premier rodéo.
  12. En vérité, les histoires d’horreurs surgissent déjà à grande vitesse, mais les politiciens ne s’en soucient pas le moindrement, l’establishment médical les balaie du revers de la main comme n’ayant aucun lien ou comme étant négligeables, les médias les ignorent, les compagnies de médicaments vont de l’avant à pleine vapeur et ceux qui soulèvent un drapeau rouge continuent d’être brutalisés, censurés et punis. Assurément, ma vie et mon bien-être ne sont pas leur première préoccupation. Je ne serai pas leur prochain cobaye dans leur laboratoire, je ne prendrai pas le risque de devenir la prochaine « coïncidence ».
  13. Je vois tous les mensonges, toute la corruption, toute la propagande, toute la manipulation, toute la censure, toute la brutalité et toutes les violations de l’éthique médicale, le manque d’intégrité dans le processus scientifique, la suppression des réactions adverses gênantes, le mépris des inquiétudes légitimes, l’hystérie, le comportement sectaire, l’ignorance, l’étroitesse d’esprit, la peur, la tyrannie politique et médicale, la dissimulation des protocoles, le manque de véritable souci envers la vie humaine, le manque de respect envers les libertés et les droits fondamentaux humains, la perversion de la Torah et du gros bon sens, la diabolisation des bonnes gens, la plus grande expérience médicale de tous les temps menée par des gens impies, avides, indignes de confiance, le manque de fiabilité de ceux qui exigent de moi que je risque tout… Je vois tout ça et j’ai décidé qu’ils peuvent tous prendre ma place dans la ligne d’attente. Je vais mettre ma confiance en Dieu. Je vais utiliser l’esprit dont Il m’a fait don et faire confiance à mes instincts naturels. Ce qui me conduit à la raison finale pour laquelle je ne serai pas « vacciné ».
  14. Toute l’affaire pue.

Amen, rabbin Weissman.

Mes amis, vous savez que les choses sont sens dessusdessous quand un ecclésiaste qui rejette le Christ peut discerner ce maléfique complot diabolique et que les chrétiens qui adoptent si ostensiblement les enseignements du Christ et le Nouveau Testament, et qui sont prétendument remplis de l’Esprit de Christ, peuvent être si aveugles.

C’est avec justesse que le Seigneur Jésus nous a avertis : « Et les propres domestiques d’un homme seront ses ennemis » (Matthieu 10:36).

Que les globalistes sataniques qui imposent ces vaccins expérimentaux et esclavagistes ne comptent pas sur moi.

JE NE ME SOUMETTRAI PAS !




Vous ne posséderez rien… ET VOUS AIMEREZ CELA !

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Avril 2021

Par Jerry Barrett

Les buts de la Grande Réinitialisation

« Celui qui aime l’argent, n’est point assouvi par l’argent ; et celui qui aime un grand train, n’en est pas nourri ; cela aussi est une vanité. »

Ecclésiaste 5:10

« Car une nation s’élèvera contre une autre nation, et un Royaume contre un autre Royaume ; et il y aura des famines, et des pestes, et des tremblements de terre en divers lieux. Mais toutes ces choses ne sont qu’un commencement de douleurs. Alors ils vous livreront pour être affligés, et vous tueront ; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon Nom. Et alors plusieurs seront scandalisés, et se trahiront l’un l’autre, et se haïront l’un l’autre. Et il s’élèvera plusieurs faux prophètes, qui en séduiront plusieurs. Et parce que l’iniquité sera multipliée, la charité de plusieurs se refroidira. Mais qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. Et cet Evangile du Royaume sera prêché dans toute la terre habitable, pour servir de témoignage à toutes les nations, et alors viendra la fin. »

Matthieu 24:7-14

Il y a un épouvantable combat contre les chrétiens et le christianisme. Les lâches pasteurs qui courbent l’échine devant les politiciens et ferment les portes de leurs églises face aux ordres draconiens de confinement de 2020 font partie du problème. La poursuite de la vie, de la liberté et du bonheur – que nos pères fondateurs avaient garantie – n’existe plus.

Heureusement, il y a encore un reste qui s’accroche fortement à la Parole de Dieu. Ces gens-là sont dans le camp des saints et la gloire les attend. En outre, ils ne seront pas influencés à croire aux fausses doctrines et aux idéologies mensongères. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’on ne leur empilera pas des tentations sur la tête.

Jésus nous a enseigné cette puissante leçon dans Matthieu 4:3-11 :

« Et le Tentateur s’approchant, lui dit : Si tu es le Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent des pains. Mais Jésus répondit, et dit : Il est écrit : L’homme ne vivra point de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. Alors le diable le transporta dans la sainte ville, et le mit sur les créneaux du Temple ; et il lui dit : Si tu es le Fils de Dieu, jette-toi en bas ; car il est écrit : Il ordonnera à ses Anges de te porter en leurs mains, de peur que tu ne heurtes ton pied contre quelque pierre. Jésus lui dit : il est aussi écrit : tu ne tenteras point le Seigneur ton Dieu. Le diable le transporta encore sur une fort haute montagne, et lui montra tous les Royaumes du monde et leur gloire ; et il lui dit : je te donnerai toutes ces choses, si en te prosternant en terre, tu m’adores. Mais Jésus lui dit : va Satan : car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur ton Dieu, et tu le serviras lui seul. Alors le diable le laissa, et voilà, les Anges s’approchèrent, et le servirent. »

Un Grand Plan

Pendant les épreuves et les tribulations qui sont devant nous, nous devrons tenir ferme à Sa Parole. L’élite a certainement érigé un Grand Plan pour faire de ce monde une société utopique – enfin,

Certaines personnes jugent que Klaus Schwab, PDG et fondateur du Forum Économique Mondial, est le nouveau Karl Marx.

à leurs yeux. On a surnommé ce Grand Plan « la Grande Réinitialisation ». Certaines personnes jugent que Karl Schwab, PDG et fondateur du Forum Économique Mondial, est le nouveau Karl Marx.

Selon la Grande Réinitialisation, on refera le monde. La propriété privée sera abolie. Le transport privé sera refusé. Le contenu imprimé ou verbal qui ne s’en tient pas à la nouvelle normalité sera censuré. Les technologies vertes remplaceront les combustibles « fossiles ». Il n’y aura plus de potagers personnels. Les vaccins seront obligatoires. Le christianisme sera supprimé.

Si ce plan se réalise, vous n’aurez plus de propriétés – terrain ou véhicule. L’argent sera remplacé par une société « sans monnaie ». Le montant d’argent qui vous sera alloué sera sujet à votre compte de crédit social. Parlez en mal du pouvoir, c’est-à-dire, refusez d’accepter la vaccination, ou démontrez votre non-conformité sous quelque forme que ce soit et votre compte bancaire va se dessécher jusqu’à se fondre dans le néant.

Égalité pour tous

Pas besoin de vous soucier de votre dette impayée. Elle sera effacée aussitôt que vous aurez cédé par écrit tous vos biens – oui, même la chemise sur votre dos ! L’équité dont ils parlent aujourd’hui se réalisera si et quand ce plan sera implanté. Tout le monde sera pauvre et assujetti de manière égale aux maîtres.

Vous n’avez pas d’emploi ? Ne vous inquiétez pas, on vous placera sur le Revenu de Base Universel. Évidemment, il sera sujet à votre compte de crédit social. Vous utiliserez cet « argent » pour louer tout ce que vous requerrez. Cependant, on s’attendra à ce que vous pratiquiez la « consommation viable ».

La vision utopienne de Schwab entraîne la transformation de la société, ce qui occasionnera des restrictions permanentes de nos libertés fondamentales. Des systèmes de surveillance massive seront installés pour gérer les foules. L’élite qui met en œuvre ce plan deviendra propriétaire de tout.

Le 20 avril 2020, le Wall Street Journal affichait ce gros titre : Le FMI, la Banque Mondial reçoit un déluge de demandes d’aide des pays en développement. Cette aide représente la recette idéale pour assurer la dépendance. Ce quiproquo offre aux conglomérats la parfaite porte ouverte pour forcer les pays à acquiescer à leurs exigences.

Ne jamais laisser se gaspiller une bonne crise

Schwab fait lui-même écho aux paroles de Saul Alinsky, quand il a déclaré dans son livre, COVID-19 : La Grande Réinitialisation : « Faites bon usage de la pandémie en ne la laissant pas se gaspiller ». Ce plan inclut également un système pour transformer l’industrie agricole et la diète humaine.

L’usage d’organismes génétiquement modifiés, de protéines fabriquées en laboratoire, de produits pharmaceutiques et de produits chimiques industriels sera employé comme solution viable à la nourriture et aux soins de santé. Une de ces organisations, Impossible Foods, a été cofinancée par Jeff Bezos, Google et Bill Gates. Cette firme biotechnique entend remplacer la nourriture aux nutriments sains par des créations génétiquement modifiées en laboratoire.

Dans une entrevue avec MIT Technology Review, Gates dit que le comportement des gens devrait changer pour qu’ils apprennent à aimer la fausse viande. Sinon, des règles et des lois doivent être implantées pour forcer les gens à aimer cela. Gates a également déclaré :

« Je pense que tous les pays riches devraient aller vers le bœuf synthétique à 100 %. On peut s’habituer à la différence de goût, et ils disent qu’ils peuvent rendre le goût encore meilleur avec le temps. En fin de compte, cette prime verte est assez modeste pour que vous puissiez en quelque sorte changer [le comportement] des gens, ou employer une règlementation pour changer totalement la demande. Donc, pour la viande dans les pays à revenus moyens et au-dessus, je crois que c’est possible. Mais c’est un de ces choses que, wow, l’on doit traquer et le revoir tous les ans, et les politiques [sont difficiles]. Il y a tous ces projets de loi qui disent que l’on doit appeler fondamentalement cela de l’ordure de laboratoire à vendre. Ils ne veulent pas que l’on utilise l’étiquette de bœuf. »

Schwab mentionne aussi dans son livre : « La sécurité globale de la nourriture ne sera atteinte que si les règles sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité que la mise au point génique offre une méthode précise, efficace et sécuritaire d’amélioration des semences. »

Bill Gates est silencieusement devenu le plus gros propriétaire de terres agricoles aux États-Unis. La Fondation Gates a annoncé la création d’un nouvel organisme à but non lucratif, surnommé Gates Ag One. [Composition photographique du New York Post, Mike Guillen.]

Les Arpents Verts revus ?

Bill Gates, depuis longtemps partisan des aliments OGM, est silencieusement devenu le plus gros propriétaire de terres agricoles aux États-Unis. En 2020, la Fondation Bill et Melinda Gates a annoncé la création d’un nouvel organisme à but non lucratif surnommé Gates Ag One. Une de ses filiales est membre d’un organisme à but non lucratif qui se concentre sur l’agriculture viable.

Une entreprise fantôme, Cascade Investment, fut clandestinement ouverte pour acheter de grandes portions de terre. Présentement, Gates possède plus de 69 000 acres en Louisiane ; 48 000 acres en Arkansas ; et près de 28 000 acres en Arizona. Récemment, Gates a acheté 14 500 acres dans l’état de Washington.

Avec plus de 242 000 acres dans son portfolio, on doit se demander si Gates ne se prépare pas à prendre le contrôle des fermiers d’Amérique et à décider de la direction de l’agriculture en accord avec les Nations Unies. Les OGM expérimentaux seront-ils plantés ?

Les écodistricts seront la norme

Comme le dit le vieil adage : « La terre est un bon investissement… ils n’en feront pas davantage. » Un autre des buts de Gates dans l’accumulation de terre, c’est le développement de « villes intelligentes ». Surnommées « les cités viables » ou « écodistricts », ces communautés tenteront de mettre la viabilité, l’égalité et l’accessibilité au cœur de leur développement.

Les bâtisses de ces communautés opéreront en utilisant l’énergie renouvelable, réduiront la consommation d’énergie, fourniront la collecte prévoyante des déchets, et elles offriront le transport public.

Un de ces développements financés par Gates se trouve dans l’ouest de Phoenix, en Arizona. Cette métropole s’appelle Belmont et, quand elle sera terminée, elle se glorifiera de 80 000 foyers ; 3 800 acres d’espaces industriels, à bureaux et de détail ; 470 acres d’écoles publiques. On projette d’y faire habiter 200 000 personnes qui seront sans aucun doute sujettes à une surveillance constante et à la récolte d’informations personnelles.

Huit prédictions

Klaus Schwab et le Forum Économique Mondial ont produit une vidéo contenant huit prédictions d’événements devant arriver avant 2030. Trop peu de gens sont au courant des malheurs qui émanent de cet empire satanique. D’après ces prédictions : « Vous ne posséderez rien et vous en serez très heureux ; les États-Unis ne seront plus la principale superpuissance du monde ; vous ne mourrez plus en attendant une transplantation d’organes – ils seront faits par une imprimante 3D ; vous mangerez moins de viande pour le bien de l’environnement ; le Changement Climatique déplacera un milliard de gens ; les pollueurs paieront pour émettre du dioxyde de carbone ; vous pourriez aller sur Mars ; les valeurs occidentales auront été testées jusqu’au point de rupture. »

Il y a plusieurs choses que j’ai écrites ici qui peuvent être troublantes. Néanmoins, nous devons tenir ferme aux vérités bibliques. L’apôtre Paul a écrit :

« Ne vous abusez point, Dieu ne peut être moqué ; car ce que l’homme aura semé, il le moissonnera aussi. C’est pourquoi celui qui sème à sa chair, moissonnera aussi de la chair la corruption ; mais celui qui sème à l’Esprit, moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. Or ne nous relâchons point en faisant le bien ; car nous moissonnerons en la propre saison, si nous ne devenons point lâches. C’est pourquoi pendant que nous en avons le temps, faisons du bien à tous; mais principalement aux domestiques de la foi » (Galates 6:7-10).

Nous avons pour instruction d’endurer et de ne pas lâcher. Comme l’a dit Dieu à Josué, « Ne t’ai-je pas commandé, et dit, fortifie-toi et te renforce ? Ne t’épouvante point, et ne t’effraye de rien ; car l’Eternel ton Dieu est avec toi partout où tu iras » (Josué 1:9).


Par Michelle Hallmark Powell

Deux pas en avant, trois pas en arrière

Trump vs Biden – Deux pas en avant versus trois pas en arrière

Bon sang, qu’est-ce qui se passe ? On dirait que tout le progrès fait à notre pays est en train de se faire détruire, un décret après l’autre. Nous avons un nouveau Président qui semble mettre en œuvre une succession d’ordres exécutifs pour mettre par terre tout le travail que l’ancien Président Trump a mis en place afin de « Refaire de l’Amérique un grand pays » et mettre en premier les Américains.

Il y a eu tellement de changements effectués dans les cinquante derniers jours qu’il faudrait des pages pour en faire la liste. Nous ne discuterons que de dix pour exhiber les conséquences horribles de la nouvelle administration qui fait passer les Américains en dernier.

Trump a initié un boum économique sans précédent. L’Amérique a acquis de nouveaux emplois, le chômage a été à son taux le plus bas et les revenus ont augmenté pour la première fois en trois décennies.

Biden a immédiatement révoqué le permis pour le pipeline de Keystone, coupant plus de 8 000 emplois et stoppant la construction du mur frontalier, ce qui a éliminé 5 000 emplois de plus.

Trump a décollé plus de 7 millions de gens du système de bons de nourriture et les bas salaires des travailleurs cols-bleus ont été élevés de 16 pourcent.

Biden, de son côté, a demandé aux agences d’accroître l’aide alimentaire et la livraison de chèques stimulus pour conserver les bas revenus et la classe moyenne sur la liste d’aumône du gouvernement.

Trump a mis fin à l’Accord de Libre Échange Nord-Américain (ALENA) et a mis en branle l’Accord États-Unis/Mexique/Canada (AEUMC) pour échanger avec ses voisins et en bénéficier de manière équitable. Trump est entré en guerre commerciale contre la Chine en initiant de gros tarifs commerciaux sur les importations chinoises.

Biden a admis que l’AEUMC est meilleur que l’ALENA, mais a descendu en flammes l’approche de Trump de faire cavalier seul. La principale différence, c’est que Biden a promis de s’unir aux alliés de l’Union Européenne pour faire front commun contre la Chine.

Trump a négocié avec succès plus de cinquante accords avec divers pays du monde pour accroître les exportations des produits agricole américains. Il a pris une approche plus bilatérale et individuelle pour négocier.

Biden peut continuer les accords, mais il les amende pour inclure des coalitions avec des partenaires mondiaux qui partagent le même esprit commercial.

Trump a réenclenché le potentiel du pétrole et du gaz naturel américains dans le but de faire en sorte que l’Amérique soit énergétiquement indépendante pour la première fois en soixante-deux ans.

Biden a mis un moratoire à la production de pétrole et de gaz naturel, faisant grimper le prix de la gazoline des véhicules et l’huile des foyers. Cela pour apaiser les supporteurs « verts » dont il avait désespérément besoin pour se faire élire.

Trump a préservé les emplois des travailleurs américains et a rejeté l’importation des ouvriers étrangers bon marché.

Biden permet l’afflux de centaines de milliers d’illégaux qui vont remplir les postes de travail bon marché, en faisant mal aux travailleurs américains.

Trump a rendu les patients plus forts en élargissant le choix, la transparence et l’accessibilité aux soins de santé

Biden va ramener « Obamacare » qui limite votre choix aux accès de soins de santé et dont les coûts sont exorbitants.

Trump a sécurisé la frontière sud des États-Unis en construisant plus de 6 400 kilomètres de mur, a arrêté la prise et le relâchement des passeurs, et a renforcé les lois sur l’immigration aux États-Unis.

Biden a arrêté la construction du mur sud frontalier, a recommencé la prise et le relâchement des passeurs et il a rouvert la frontière où passent quotidiennement plus de mille immigrants illégaux.

Trump a restauré le leadership américain dans le monde et a réussi à négocier pour assurer que nos alliés paient leur part équitable pour la protection de notre armée. Il croyait à la paix par la force et un puissant nationalisme qui fait passer l’Amérique en premier.

Biden en est revenu au soutien de l’OTAN et à tenter de renouveler l’esprit des alliances occidentales nées après la Deuxième Guerre Mondiale. La politique de Biden, c’est l’agenda globaliste et l’Amérique en dernier.

Trump soutenait inébranlablement l’inviolabilité de toute vie humaine et travaillait à empêcher le gouvernement de financer l’avortement.

Biden a immédiatement recommencé à financer des organismes comme Planned Parenthood dont la fonction première est le contrôle des naissances et l’avortement, pas la santé des femmes.

Il y a des centaines d’autres accomplissements de Trump pour fortifier son engagement à Redonner sa grandeur à l’Amérique et que Biden s’empresse d’altérer et d’enlever. Il a signé plus d’ordres exécutifs en ses premiers cinquante jours que la plupart des Présidents ne l’ont fait dans leurs termes entiers.

Il semble que l’Amérique soit dans une spirale descendante alors que notre nouvelle administration implante son programme globaliste. Tous les Américains doivent être au courant des nombreux changements effectués et qu’ils aillent voter en sachant qui nous élisons et quelles sont leurs positions sur les questions importantes.

L’Amérique doit mettre Dieu à la première place et voter en conséquence. Nous devons tous prier pour les États-Unis dans l’espérance que le peuple reviendra à Dieu, qui nous a bénis de ce grand pays afin que nous ayons la vie, la liberté et la poursuite du bonheur.




« Nous sommes tous des Palestiniens, maintenant »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

11 mars 2021

Au cours de la dernière année, le narratif falsifié du Covid a confiné des milliards de gens et fait perdre des millions d’emplois partout dans le monde. Bill Gates et son malicieux petit lèche-bottes Anthony « Heil Hitler » Fauci, de même que le CDC et l’OMS, ont fermé des centaines de milliers d’entreprises, transformé des pasteurs et des églises en brebis idiotes et appauvri des millions de gens. Et comme je l’ai noté dans mon article de la semaine dernière, le narratif falsifié du Covid a résulté en la mort de 10 000 enfants africains par mois.

En aparté, vous devriez regarder cette brève vidéo montrant Anthony « Heil Hitler » Fauci tentant d’instiller le même genre de confinement et de fermeture effrayants dix ans auparavant. Même scénario. Même tactiques. Même joueurs.

Regardez la vidéo ici.

Si Gates et Fauci y parviennent, les États-Unis et le reste du monde vont demeurer en mode confinement effrayant pendant encore au moins un an ou deux. S’ils pouvaient y arriver, leurs confinements dureraient indéfiniment.

Et si horrifiant les confinements Covid peuvent-ils avoir été pour tout le monde, nous devons prendre le temps de réfléchir au confinement de quatorze ans que deux millions de Palestiniens endurent aux mains de l’Israël sioniste – un confinement qui défie l’imagination et repousse les limites de l’humanité.

Je parle du peuple palestinien qui vit dans la plus grande prison à ciel ouverte du monde, dans la Bande de Gaza – une étroite bande de terre d’environ 40 kilomètres de long et 225 km carrés.

Voici l’histoire :

Même si le reste du monde peut se plaindre avec raison de la manière que les misérables confinements causés par le Covid ont affecté nos vies, ayez une pensée pour les deux millions de Palestiniens emprisonnés dans le blocus brutal et illégal d’Israël.

« Nous sommes tous des Palestiniens, maintenant », disent certaines personnes, alors que les peuples autour du monde sont sous le confinement du Covid-19 et sans emploi. Bien que la référence soit pertinente, les Palestiniens de Gaza sont sous le confinement le plus sévère du monde depuis quatorze ans.

À mesure que file 2021, il devient sans cesse plus clair que les confinements autour du monde affectent les gens de façon douloureuse et mortelle et ce bien au-delà des effets déjà terribles de revenus coupés et d’isolement.

Donc, imaginez ce genre de vie,qui ne s’étire pas sur une période de quelques semaines ou quelques mois, mais pendant toute l’année, année après année, sans en voir la fin, rendant l’existence invivable.

Et même s’il n’y a absolument aucune raison valable qu’Israël emprisonne deux millions de gens, cela continue, année après année, en violation des obligations d’Israël sous la loi internationale, comme le note l’Agence des Nations Unies sur le Travail Humanitaire pour les Réfugiés en Palestine (UNRWA).

Les coupures d’électricité, les pénuries de gazoline et de gaz naturel, les dramatiques manques de nourriture, la croissance retardée des enfants, cinquante pourcents de chômage, et 96 % d’eau non potable, voilà la réalité de Gaza depuis des années.

Pensez à un hôpital fonctionnel avec des machines de dialyse, des unités de soin intensif qui marchent, etc. Et maintenant imaginez-le dont l’électricité est limitée ou coupée depuis quatorze ans, et après trois guerres. C’est Gaza.

Et chaque année, à cause des restrictions israéliennes sur l’importation, Gaza possède moins d’un mois de réserves de médicaments essentiels (48 % en 2019, 42 % en janvier 2021). En décembre 2019, par exemple, 58 % des médicaments de chimiothérapie et 41 % des médicaments de dialyse de rein étaient en rupture de stock.

Le confinement de Gaza a fait un grand nombre de chômeurs, incapables de voyager, et a empêché les diplômés d’université, ayant des bourses d’étude pour l’extérieur, de compléter leurs études.

Des choses dangereuses comme des couches, des souliers, du papier A4, du bétail, des semences, des réfrigérateurs, des machines à laver, du tissu, des ampoules électriques, des instruments de musique, des crayons, des vêtements… et plus encore, ont été explicitement interdites d’entrer.

Israël a également mis les Palestiniens « à la diète » en incendiant ou en kidnappant les fermiers et les pêcheurs, en démolissant les puits et les citernes, en détruisant ou en volant les bateaux de pêche, en incendiant ou en répandant des produits chimiques sur les fermes.

Pendant mon séjour à Gaza, j’ai documenté les tirs en direct des mitraillettes des tireurs d’élite israéliens, me trouvant régulièrement moi-même sous le feu des tirs, et ce parfois sur de longues périodes.

Les soldats israéliens visaient-ils des « terroristes » ? Non, il y avait des fermiers et des familles, y compris des vieillards et des femmes. Aucun ne posait de menace pour Israël.

Les soldats israéliens prenaient aussi pour cible des travailleurs et des enfants qui ramassaient des décombres et du métal dans les maisons bombardées ou démolies, les transportant habituellement sur des charrettes tirées par des ânes, vers des endroits où on pouvait les vendre pour réutilisation dans la construction.

Lorsque je voyageais du centre ou du sud de Gaza sur la route côtière, le taxi partagé dans lequel j’étais passait à travers Wadi Gaza, une petite vallée qui était parfois submergée par l’odeur fétide de plus de 90 millions de litres d’eaux usées non traitées ou partiellement traitées qui était quotidiennement drainées vers la mer.

Parce que Gaza ne peut pas traiter ses eaux usées, et qu’il ne lui est pas permis d’importer le matériel requis pour entretenir ou améliorer ses citernes de retenue des eaux usées, il ne reste comme solution que de les envoyer dans la mer. Sinon, les bassins de retenue des eaux usées débordent sur les régions résidentielles.

Protestant contre le confinement de Gaza, la « Grande Marche du Retour » de mars 2018 à la fin de 2019 a vu 214 Palestiniens tués par Israël, incluant 46 enfants, et il y eut 36 100 blessés, y compris près de 8 800 enfants, selon les Nations Unies.

Imaginez les gros titres si cela s’était produit en Russie ou en Syrie.

Ceux qui sont confinés par le Covid-19 ne vivent qu’une petite fraction de ce que les Palestiniens de Gaza endurent depuis si longtemps. J’espère qu’en fin de compte plus de gens puissent être émus et exigent qu’Israël mette fin à ce confinement de quatorze ans de Gaza.

Les personnes qui ont lu le livre monumental de l’historien israélien renommé Ilian Pappe, The EthnicCleansing of Palestine, savent que le traitement barbare fait aux habitants de Gaza par le gouvernement israélien n’est que la continuité du barbarisme qui est commis sans arrêt contre le peuple palestinien depuis 70 ans.

Mais ce barbarisme, ce génocide et, oserai-je dire, cet holocauste (Israël a assassiné plus de cinq millions de Palestiniens innocents depuis décembre 1947, ce qui, dans mon livre à moi, le qualifie d’holocauste) perpétré contre le peuple palestinien par l’Israël sioniste ne veut absolument rien dire pour la vaste majorité des chrétiens évangéliques d’Amérique. Les évangéliques sont ensorcelés par un esprit démoniaque de séduction portant le nom de sionisme chrétien, alias le dispensationnalisme de Scofield.

L’intensité de cet enchantement maléfique sous lequel les évangéliques sont tombés est si hypnotisant qu’ils ne se soucient même pas qu’un grand nombre des Palestiniens qui sont tués, mutilés, torturés, battus, affamés et emprisonnés soient des frères et des sœurs en Christ – des camarades chrétiens !

J’entends des pasteurs évangéliques dire que la raison pour laquelle ils se soumettent au masque obligatoire, c’est parcompassion pour leurs camarades humains.

S’IL VOUS PLAÎT !

Où est leur compassion pour leurs propres frères et sœurs chrétiens en Palestine qui vivent une persécution abjecte aux mains du gouvernement païen sioniste chaque jour de leur vie ? Où est leur compassion pour les enfants et les adolescents chrétiens palestiniens que les soldats israéliens prennent régulièrement comme cible pour se pratiquer ? Où est leur compassion pour les femmes et les filles chrétiennes palestiniennes qui se font violer et battre – et dont les avortons sont massacrés – par les soldats israéliens ? Où est leur compassion pour les jeunes hommes chrétiens palestiniens qui sont torturés, emprisonnés, mis dans des camps de travaux forcés et assassinés par les soldats israéliens ? Où est leur compassion pour les familles chrétiennes palestiniennes qui ont vu leurs maisons brûler et bulldozer, leur terre volée (terre sur laquelle ils vivent depuis des centaines d’années) et leurs moyens de subsistance détruits par les soldats israéliens ?

Ces pasteurs américains qui se soumettent volontiers à l’obligation du masque et du confinement de l’antichrist ne démontrent pas de compassion chrétienne ; ils démontrent une couardise crasse.

Bien qu’il y ait de nombreuses personnes chrétiennes sincères qui soient victimes des fausses doctrines du sionisme chrétien (j’en fus moi-même victime jadis), il n’y a aucun doute que l’homme qui a été employé par les forces du mal pour laver le cerveau des évangéliques d’Amérique avec les doctrines démoniaques du sionisme chrétien, C. I. Scofield, était lui-même un escroc, un filou, un voleur, un abuseur d’enfant, un déserteur de femme, un criminel coupable et un homme totalement frauduleux (faites vos recherches).

Ce n’est pas une coïncidence si les mêmes évangéliques qui ont succombé à Scofield succombent également à Trump. Les deux hommes avaient le même caractère dépravé, et les deux hommes étaient des pantins des sionistes. Plusieurs suggèrent même que le réel Président lors des quatre dernières années a été l’hyper sioniste Jared Kushner [un Juif], le beau-fils de Trump. Ces personnes sous-entendent que Trump n’était simplement que le petit laquais de Kushner. C’est certainement possible, étant donné le compte-rendu ultra sioniste de Trump quand il était en poste.

Et avec ceci en tête, on peut également spéculer que le vrai Président actuel n’est pas Joe Biden, mais Kamala Harris, la méga-sioniste – avec son mari sioniste Douglas Emhoff qui est maintenant aussi à la Maison Blanche.

Pour les chrétiens qui sont assez honnêtes pour désirer la vérité de la Parole de Dieu au sujet d’Israël, j’ai une série de 29 messages en trois sets sur DVD expliquant la vérité fondamentale regardant Israël– passé et présent. Cette série de trois sets est intitulée The Israel Package. Comprendre les vérités mises de l’avant dans cette série de messages est absolument essentiel pour saisir la vérité des prophéties bibliques.

La plupart des évangéliques ont été dupés à croire qu’Israël est enveloppé dans la prophétie et que la prophétie est enveloppée dans Israël. C’est une erreur monumentale. Voilà pourquoi je dis que, pour comprendre la prophétie, on doit d’abord comprendre les vérités expliquées dans cette série de messages.

Commandez les trois sets de The Israel Package en cliquant ici.

En outre, je viens de lancer un bref mais crucial message intitulé God’s Divorce FromIsrael maintenant disponible sur DVD.

Ce message explique la vérité biblique que Dieu Yahvé a officiellement (au tribunal céleste) divorcé de Son épouse de l’Ancien Testament : la nation d’Israël. De plus, Il a pris une NOUVELLE épouse : l’Église du Nouveau Testament. La destruction de Jérusalem, en l’an 70 apr. J.-C., fut l’acte final de divorce d’avec Israël.

Par conséquent, aux yeux de Dieu, l’amour obsessionnel que les évangéliques éprouvent envers le faux état moderne d’Israël n’est rien de plus que de l’adultère spirituel et de l’idolâtrie.

Commandez le message sur DVD God’s Divorce FromIsrael en cliquant ici.

Comme je l’ai souligné dans l’article de la semaine dernière, Israël est le laboratoire de tout ce qu’il y a de tyrannique. Israël est un laboratoire pour les confinements Covid et les vaccins expérimentaux. Israël est un laboratoire pour l’état policier militaire. Et Israël est un laboratoire pour les grandes prisons à ciel ouvert.

En d’autres mots, Israël est le terrain d’essais et d’expérimentation pour les actions tyranniques qui seront prises aux États-Unis – ce qui a déjà commencé, d’ailleurs. Et personne sur terre n’a autant souffert comme cobayes humains que le peuple palestinien en Cisjordanie et dans la Bande de Gaza.

Le narratif falsifié du Covid imposé au peuple américain cette dernière année montre que les totalitaires sont prêts à sortir les expériences tyranniques du laboratoire (Israël) et à les répandre dans tout l’Occident – spécialement aux États-Unis.

En vérité, « nous sommes tous maintenant des Palestiniens ».

Et ce qui est répugnant, c’est que les mêmes chrétiens évangéliques qui tournent un œil aveugle vers la tyrannie continuelle d’Israël contre le peuple palestinien à Gaza et en Cisjordanie tournent aussi un œil aveugle vers la tyrannie du Covid contre leurs propres concitoyens ici, en Amérique.

C’est tout sauf de la compassion.




Le laboratoire pour tout ce qu’il y a de tyrannique

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

4 mars 2021

Au début du 21e siècle, les États-Unis entreprirent un effort concerté pour créer une société d’état policier tyrannique. L’Europe socialiste et des pays libres tels que le Canada, la Grande-Bretagne, la Nouvelle-Zélande et l’Australie, ont entamé cet effort lors de la dernière moitié du 20e siècle et ils font maintenant beaucoup de progrès dans leur avancée vers l’autoritarisme.

Ce qu’il y a de tragique, c’est que la vaste majorité des chrétiens et des conservateurs semblent inconscients du flirt de l’Amérique avec la tyrannie d’un état policier. Non seulement la vaste majorité des chrétiens et des conservateurs semblent ne pas reconnaître les dangers d’une telle condition, mais ils sont les supporteurs les plus bruyants dans les véhicules qui nous transportent tous au cœur de cette situation.

L’engouement des conservateurs de l’Amérique pour notre armée et notre police les a aveuglés de telle manière que les totalitaires du gouvernement (à l’intérieur des deux grands partis) poussent notre police et l’armée à des actions au comportement sans cesse plus tyrannique. C’est une des raisons pour laquelle je continue à dire qu’il est bien plus important de savoir pour qui voter en tant que shérif de comté que de savoir pour qui voter comme Président.

L’autre chose de laquelle les chrétiens et les conservateurs sont inconscients, c’est le mal absolu du sionisme. Il est juste de dire que, sans leur support enthousiaste – et aveugle – envers l’Israël sioniste, le pouvoir et l’influence maléfiques du sionisme n’existeraient pas.

Je réalise que beaucoup de gens souhaiteraient que je laisse tomber le sujet, car il leur est très inconfortable de traiter de cela. Mais j’ai passé trois décennies à proclamer l’erreur doctrinale en ce qui regarde les sujets de l’Israël biblique et le (faux) Israël moderne. Je me suis depuis lors repenti de cette erreur et je suis maintenant résolu à passer le reste de ma vie à proclamer la vérité, quoi qu’en soit le prix.

S’il vous plaît, jetez un coup d’œil à ma série de 29 messages en trois sets de DVD intitulée The Israel Package ici.

Cette série de messages enseigne la vérité biblique sur Israël (passé et présent) et démontre que le sionisme chrétien est une doctrine vouée à l’échec qui, dans son noyau même, s’avère une attaque haineuse contre l’œuvre de Christ sur la croix et contre la Nouvelle Alliance.

Le sionisme est un parasite. Un parasite se nourrit des organes vitaux de son hôte. Il retarde la croissance et estropie le corps de son hôte. Il engourdie le processus cognitif de son hôte. Et si on ne l’enlève pas du corps, il peut même causer la mort de son hôte.

Le parasite mortel du sionisme se nourrit du corps de son hôte : l’église évangélique. Il a engourdi la capacité cognitive des esprits de l’église ; il a retardé la croissance spirituelle et estropié le corps spirituel de l’église ; et il est en train de détruire complètement la vie spirituelle de l’église.

J’encourage les lecteurs à prendre le temps de lire ce remarquable article intitulé Christian Sionism as a Parasitic Ideology de Andrew Joyce, Ph.D.

Cet article prend l’exemple de la façon que le processus cognitif des évangéliques a été engourdi, telle que le prouve leur raisonnement durant la présidence de Donald Trump.

Dans l’ensemble, les évangéliques ont soutenu Trump pour deux raisons : 1) Son soutien enragé envers Israël, 2) Son opposition déclaré à l’État profond globaliste. Mais c’est de la folie, un raisonnement alambiqué. Les évangéliques sont complètement inconscients du fait que les sionistes juifs sont les fondateurs et les bâtisseurs de l’État profond globaliste. Le soutien évangélique de l’un permet le succès de l’autre.

Voilà comment, mes amis, l’idéologie parasitique (et la théologie sioniste) brouille l’esprit. Mais il serait plus facile de convaincre les sionistes chrétiens que le soleil se lève à l’ouest que de les convaincre que la théologie sioniste est à la fois malhonnête et destructrice.

Le sionisme est construit sur le communisme et le totalitarisme. En fait, le communisme et le totalitarisme sont bâtis sur le sionisme. Les sionistes juifs qui ont créé l’État moderne d’Israël (en employant la richesse et le pouvoir de la Grande-Bretagne et des États-Unis) étaient des totalitaires jusque dans l’âme. En pratique, la Déclaration Balfour créa un quartier général global pour l’expansion du totalitarisme à travers tout le monde occidental. Dit simplement, les bolcheviks autoritaires et assoiffés de sang de la Russie (qui étaient pour la plupart sionistes) déplacèrent leur centre d’opérations vers le territoire palestinien conquis par les sionistes.

À ce moment-ci, je suggère fortement aux lecteurs de lire le livre phénoménal écrit par l’historien israélien Ilan Pappe et intitulé The Ethnic Cleansing of Palestine (en anglais seulement).

Ce bouquin raconte la véritable histoire de la manière qu’Israël est devenu un état émergeant du sang, du viol et du nettoyage ethnique du peuple palestinien.

Et depuis le nettoyage de la Palestine, il concentre ses énergies à nettoyer les États-Unis de notre héritage chrétien et de nos principes constitutionnels de Liberté.

Comme résultat et depuis lors, Israël est devenu le laboratoire pour tout ce qu’il y a de tyrannique. Tous les stratagèmes autoritaires destinés à être utilisés contre les États-Unis sont préalablement introduits et perfectionnés en Israël.

En voici l’histoire :

Si les Israéliens sont confondus par le fait que leur gouvernement les traite comme des animaux de laboratoire, s’ils se demandent pourquoi leur liberté de voyager, de socialiser ou même de gagner leur vie s’est évaporée, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a émis hier une réponse franche. Bourla a dit dans une entrevue sur NBC :

« Je crois qu’Israël est devenu dès aujourd’hui le laboratoire du monde parce que l’on n’utilise que notre vaccin dans cet état, et que l’on a vacciné une très grande partie de la population, donc, nous pouvons étudier à la fois les indices économiques et sanitaires. »

Je n’ai pas de problème avec les expériences médicales faites sur des humains si les participants sont parfaitement au courant de toutes les situations et considérations possibles impliquant leur consentement. Ce n’est pas ce qui est arrivé en Israël. Au moyen des “passeports verts”, le gouvernement a pratiquement menacé de punir quiconque serait réfractaire à participer à une expérience de laboratoire pour une compagnie pharmaceutique géante dont l’historique est fort problématique.

Les résultats de cette expérience Pfizer-Israël ne sont pas nécessairement encourageants. Bien qu’il soit possible, comme le suggèrent certaines études, que la plupart des gens vaccinés aient au moins une protection à court terme contre le Covid-19, personne ne peut nier le fait ahurissant qu’en seulement huit semaines de vaccination de masse, le nombre total des morts du Covid-19 dans l’État juif a presque doublé par rapport au nombre accumulé des dix premiers mois.

Depuis qu’Israël s’est transformé en nation de cochons d’Inde, un virus qui n’attaquait que les personnes âgées et celles qui avaient de sévères problèmes de santé a maintenant complètement changé de nature. Après deux mois de campagne de vaccination de masse « réussie », 76 % des nouveaux cas de Covid-19 se trouvent chez les moins de 39 ans. Seulement 5,5 % ont au-dessus de 60 ans. 40 % des patients dans un état critique ont moins de 60 ans. Le pays a également détecté une montée abrupte des cas de Covid-19 chez les femmes enceintes, dont un certain nombre sont dans une condition critique. Dans les quelques dernières semaines, les cas de Covid-19 chez les nouveau-nés a vu un pic de 1 300 % (de 400 cas chez les moins de deux ans en novembre 2020 à 5 800 en février 2021).

Les preuves ramassées en Israël indiquent une relation étroite entre la vaccination de masse, les cas et les décès. Cette relation nous amène à la possibilité qu’en réalité, ce sont les personnes vaccinées qui répandent le virus, ou même une gamme de mutants,et sont responsables de la montée radicale des symptômes mentionnés ci-haut.

Bourla et le Premier Ministre Netanyahu devraient faire l’effort intellectuel de nous expliquer pourquoi il est possible qu’à Gaza, une prison à ciel ouvert et une des parcelles de terrain les plus densément peuplées de la planète, le nombre de cas de Covid-19 est minimal et qu’il n’y a pas de vaccin.

Lisez aussi cet article.

Si vous voulez savoir ce que les totalitaires ont en réserve pour les États-Unis via le narratif falsifié du Covid-19, ne regardez pas plus loin que vers l’Israël sioniste. S’ils obtiennent ce qu’ils veulent, l’état policier militaire d’Israël est un avant-goût de votre avenir, les copains.

J’ai déjà écrit que la raison pour laquelle de si nombreux départements de police dans les grandes villes ont commencé à employer des tactiques d’état policier dans les rues de l’Amérique, c’est que beaucoup de nos agences d’application de la loi sont entraînées par les Israéliens.

Voyez aussi ce rapport.

Et ce rapport-ci.

Ainsi que ce rapport.

Rappelez-vous qu’Israël n’a pas de Charte des Droits. Il s’agit vraiment d’un état policier militaire. Ce n’est pas non plus une hyperbole que de dire qu’Israël est l’état le plus raciste de la terre. Ses points de vue religieux, culturaux, philosophiques et politiques sont entièrement fondés sur du racisme criant.

Pour comprendre le racisme systémique du sionisme talmudique, je vous enjoins fortement à lire le livre révolutionnaire de Michael Hoffman, Judaism’s Strange Gods.

Comme c’est si souvent le cas, les paroles de nos pères fondateurs d’Amérique nous éclairent en ce qui a trait aux nombreux principes regardant nos libertés. Et encore dans ce cas-ci.

Dans une lettre de Thomas Jefferson à Charles Thompson (secrétaire du Conseil continental) en 1816, en ce qui concerne la substance des enseignements talmudiques, Jefferson dit :

« Ils [les platoniciens] ont tiré tous leurs dogmes caractéristiques de tout ce que son Auteur [Jésus-Christ] n’a jamais dit ou vu. Ils ont composé, à partir des mystères païens, un système [le talmudisme] en dehors de la compréhension humaine, duquel le grand Réformateur [Jésus-Christ] de la morale vicieuse [le Talmud] et du déisme des Juifs, dut-Il revenir sur terre, n’en reconnaîtrait pas un trait.

Dans une lettre à John Adams, en 1813, Jefferson dit ceci du Talmud :

« Brucker, semblerait-il, est allé fort loin dans ces Dépôts de leur moralité, et Enfield, son incarnation, conclut par ces mots : “La moralité était si peu étudiée chez les Juifs que, dans toute leur compilation, appelée le Talmud, il n’y a qu’un seul traité sur des sujets moraux. Quelle misérable dépravation de sentiments et de manières a dû prédominer avant que de telles maximes [dans le Talmud] aient pu avoir crédit !” »

Et souvenez-vous, en 2014, le Premier Ministre d’Israël Benjamin Netanyahu a déclaré que le Talmud est la loi du territoire d’Israël.

« Netanyahu a aussi promis que “nous allons définir dans la loi la Gémara comme base de notre système légal en Israël”, en se référant au texte légal juif analysant la Mishna, une œuvre légale des sages juifs et qui, ensembles, forment le Talmud. »

Regardez mon message The Talmud, Chabadism and Noahide Laws, et vous allez comprendre que les lois talmudiques et noachiques sont une menace bien plus grande pour l’Amérique que la loi de la sharia.

Pour circonvenir l’écroulement complet de l’Amérique dans un état policier, non seulement devons-nous pouvoir reconnaître le fait que ce processus est déjà commencé, mais nous devons aussi pouvoir reconnaître les forces qui se trouvent derrière.

P.S. : Sans aucun doute, Michael Hoffman est l’érudit chrétien, vivant aujourd’hui, le plus éminent au sujet du Talmud juif. En janvier, M. Hoffman a parlé devant un auditoire plein à craquer de gens de tous les coins du pays, lors de la célébration du 10e anniversaire de Liberty Fellowship.

Son discours est intitulé The Talmud : Its Impact On America Contrasted With the Ethics of Jefferson.

Jamais vous n’entendrez un discours au sujet du Talmud juif, qui soit aussi érudit et captivant que celui de Michael Hoffman.

Pour commander le DVD du discours de Michael Hoffman, The Talmud : Its Impact On America Contrasted With the Ethics of Jefferson, cliquez ici.




Le test PCR du Covid est totalement frauduleux et Fauci le savait dès le début

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

25 février 2021

Jon Rappoport apporte invariablement certaines des informations les plus détaillées et les plus incisives en ce qui a trait au narratif frauduleux sur le coronavirus. Ses recherches sont inattaquables.

De son blog du 22 février :

« Cet article fait partie de ma série actuelle sur le test PCR COVID. Ces articles prouvent que le test est voué à l’échec, il cause un nombre de cas énormément gonflé et faux qui, à son tour, conduit à des confinements brutaux et inutiles.

« Directement de la source. Directement de l’homme dont on nous dit qu’il est l’expert numéro un du COVID dans le pays. Ce que dit Fauci est tenu pour un trésor de vérité.

« Eh bien, que dites-vous de ÇA ?

« Podcast du 16 juillet 2020 : “Cette semaine dans la virologie”. Fauci fait justement remarquer que le test PCR COVID est inutile et induit en erreur lorsque l’on opère le test à “35 cycles ou plus”.On ne peut accepter ou croire à son résultat positif indiquant une infection.

« Voici, en langage technique, un extrait de la citation clé de Fauci (à environ 3m50s) :

“Si vous avez [exécutez le test à] un seuil cyclique de 35 ou plus … les chances qu’il soit de reproduction compétente [qu’il soit précis] sont minuscules … vousne pouvez presque jamais cultiver un virus [détecter un vrai résultat positif] à partir d’un seuil cyclique de 37… et même 36.”

« Chaque “cycle” d’un test est un bond prodigieux en avant dans l’amplification et le grossissement du spécimen de test pris d’un patient.

« Trop de cycles et le test relèvera toutes sortes de matières sans rapport qui seront faussement interprétés comme pertinentes.

« C’est ce qu’on appelle un “faux positif”.

« Ce que Fauci n’a pas dit dans sa vidéo, c’est que la FDA [Food and Drug Administration], qui autorise le test à l’usage public, recommande que le test soit monté à 40 cycles. Pas à 35. [Au Québec, le test s’effectue à 45 cycles !]

En conséquence, tous les laboratoires aux États-Unis qui suivent les directives de la FDA participent à la fraude en toute conscience ou inconsciemment. Fraude à un niveau monstrueux, parce que…

« Des millions d’Américains se font dire qu’ils sont infectés par le virus sur la base d’un résultat faussement positif et…

« Le nombre total de cas COVID en Amérique – qui est fondé sur le test – est une grossière falsification.

« Les confinements et autres mesures restrictives sont basés sur ce nombre frauduleux de cas. »

Jon a un autre rapport brillant et accablant exposant les mensonges des tests PCR de la littérature officielle, dans son blog du 23 février. Il conclut son rapport en disant :

« Le résultat de détection de ce produit n’est qu’à titre de référence clinique et il ne devrait pas être employé comme unique preuve pour un diagnostique clinique et un traitement. L’administration clinique des patients devrait être prise en considération en y combinant les symptômes et les signes, l’historique, d’autres tests en laboratoire et les réactions au traitement. Les résultats de détection ne devraient pas être utilisés directement comme preuves d’un diagnostique clinique et ne servent que de référence aux cliniciens.

« Traduction : N’employez pas le test comme base unique pour diagnostiquer une personne avec le COVID. Et pourtant, c’est exactement ce que font les autorités sanitaires partout dans le monde. Tous les tests positifs sont rapportés aux agences gouvernementales et on les compte comme des cas de COVID.

« Ces citations, provenant du gouvernement officiel et des sources de test, torpillent toute la base “scientifique” du test.

« CONCLUSION : Le test PCR est inutile et trompeur. Il fournit aux dictateurs de facto l’opportunité de citer de “nouveaux niveaux de cas” et de confiner les populations, créant la dévastation économique et humaine.

« RÉSISTEZ, REBELLEZ-VOUS, PROTESTEZ, OUVREZ L’ÉCONOMIE PAR TOUS LES MOYENS QUE VOUS POUVEZ ! »

Mesdames et messieurs, l’on nous a bien eus. Ce canular a été concocté à des fins d’esclavage mondial – visant particulièrement les États-Unis, leader du monde libre. Avant que des types comme Bill Gates et son troupeau de globalistes puissent atteindre leur but de domination mondiale, ils ont besoin de démanteler la Chartes des Droits des États-Unis. Et c’est exactement ce que fait le faux narratif de la COVID.

Vous savez – n’est-ce pas ? – que quatre mois avant que ne débute « l’éruption » du Covid l’an dernier à ce mois-ci, Gates et Compagnie s’étaient assemblés le 18 octobre 2019 pour un « exercice pandémique » appelé Event 201 à l’Hôtel Pierre de New York, Dans l’état de New York. « L’exercice » était dirigé par la Fondation Bill et Melinda Gates, le Centre John Hopkins de la Sécurité Sanitaire et le Forum Économique Mondial.

Je répète, cet « exercice pandémique » a eu lieu à peine quatre mois avant que l’on annonce la pandémie Covid comme une réalité dans le monde, en février 2020.

Il s’agit d’un scénario par trop familier.

Par exemple, toutes les fois qu’il y a une tuerie de masse majeure au pays, les agences chargées de faire respecter la loi mènent fort à propos une sorte d’exercice de formation sur la tuerie de masse peu avant que la véritable tuerie de masse survienne.

Et maintenant que Joe Biden a annoncé ses plans pour promulguer des mesures draconiennes de contrôle des armes qui vont complètement piller le Second Amendement, vous pouvez parier votre chemise qu’il y aura bientôt une autre tuerie de masse pour donner à Biden et à ses laquais,qui entrent au Congrès au pas d’oie, l’excuse pour faire passer ces mesures.

Oui, je le dis : La peur du coronavirus était un événement calculé et planifié. Bill Gates et Tony « Heil Hitler » Fauci (de même que le reste de la cabale criminelle ayant pris part à ce « feu de Reichstag » médical clandestin) sont des gangsters internationaux, des tueurs en série et des tyrans globaux.

Et je vais le redire : Ce complot diabolique dépendait complètement de ce que Donald Trump soit Président. D’aucune façon dans le monde ce plan aurait-il pu réussir si Hillary Clinton avait été à la Maison Blanche. Et pourquoi donc ? Parce que cela exigeait que les pasteurs, les églises et les chrétiens soient d’accord. Cela n’aurait pu arriver si Hillary avait été élue.

Donald Trump était le parfait joueur de flûte pour conduire les chrétiens vers cet esclavage. Ce fut le but principal pour lequel il a été mis en poste ; et il a accompli sa tâche de manière magnifique. (Que Trump ait effectué sa tâche volontairement ou involontairement, il est le seul à le savoir de façon certaine. Mais cela ne fait rien, toutefois, parce que le résultat est le même.)

Trump a été installé au pouvoir afin d’endormir les chrétiens dans une complète acceptation (du narratif factice sur le Covid), et Biden est maintenant mis en poste pour tondre les brebis et leur enlever leurs moyens d’autodéfense pendant qu’ils sont encore drogués (par les mensonges de Fauci) et dociles.

Pensez-y : Si les chrétiens ne peuvent résister au fait de porter le masque de la bête, comment résisteront-ils à porter la marque de la bête ? La réponse, c’est qu’ils ne pourront pas. Rappelez-vous cela la prochaine fois que votre église entonnera : « En avant, soldats chrétiens ». Oh, c’est vrai : ils ne chantent plus ce vieil hymne magnifique.

Et Bill Gates : il est resté là avec son stratagème parfait.

« Peau pour peau », a dit Satan à Dieu. « Tout ce qu’un homme possède, il le donnera pour sa vie ». C’est ce qu’il disait en parlant de Job le juste. Il fut prouvé plus tard que Satan avait tort concernant Job. Mais comme la majorité des chrétiens ont été nourris d’une diète de sermonettes agréables à leurs oreilles, qui leur tapent amicalement dans le dos et les fait se sentir bien, et ce pendant la plus grande partie du dernier demi siècle, il leur manque la compréhension et la puissance spirituelles pour savoir comment vivre de manière courageuse devant la peur et ils tombent comme des dominos face à la fraude du coronavirus.

Regardez mon message Why Christians Have Capitulated Their Convictions To The Coronavirus.

Ici, on ne parle pas de science médicale. Le narratif Covid mis de l’avant par les professionnels de la médecine (se laissant diriger par Anthony « Heil Hitler » Fauci et le CDC) sont coupables de faire la promotion des « contradictions d’une science faussement ainsi nommée » (1 Timothée 6:20).

Le narratif Covid est de la science falsifiéeattaquant la foi chrétienne, l’héritage de l’Amérique et les principes de Liberté ordonnés par Dieu et enchâssés dans la Charte des Droits. Je vais le dire de façon plus claire : c’est une attaque à fond contre notre liberté.

Et la source de cette attaque n’est ni politique ni médicale. Ce ne sont que des instruments dans les mains du vrai pouvoir. Jon Rappoport et de nombreux autres ont clairement montré la science frauduleuse du narratif du coronavirus.

C’est une attaque qui provient des « principautés … puissances …seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle[et] malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes » (Éphésiens 6:12).

Gates et Fauci sont des outils de l’antichrist. Le narratif factice du Covid est un complot et un système de l’antichrist.

En d’autres mots, c’est une attaque spirituelle, ce qui signifie qu’elle ne sera vaincue que par un pouvoir spirituel.

J’encourage les lecteurs à regarder les cinq messages que je livre sur un DVD intitulé The Rise of the Beast : Coronavirus and Antichrist[en anglais seulement].

La propagande et la propagation du gouvernement du coronavirus illustrent les dommages monstrueux causés par les fausses doctrines prophétiques de C. I. Scofield. Ces messages démontrent comment l’église évangélique s’est laissé aller à ne devenir rien de plus qu’un petit groupe d’intérêt spécial glorifié (pour Israël) et elle aide inconsciemment `l’œuvre de l’antichrist par l’intermédiaire de ces faux enseignements prophétiques.

Ces cinq messages sont un appel monumental au réveil pour les évangéliques afin qu’ils se défassent du contentement et de la séduction associés au sionisme Scofield et réagissent au son du clairon de Dieu qui les appelle à être le sel et la lumière de notre pays avant que nos libertés soient totalement détruites et que nous soyons chassés et foulés sous les bottes des tyrans (voir Matthieu 5:13).

Voici le titre des cinq messages contenus dans ce DVD :

The Scofield Rapture : A False Escape From The Beast

The False Security From The Beast

The Command To Resist The Beast

The Masks Of The Beast

The Marks Of The Beast

Chers lecteurs, s’il vous plaît, veuillez comprendre : le narratif Covid est une conspiration froide, calculée et insensible contre notre foi chrétienne, nos libertés ordonnées par Dieu et même notre style de vie. Tout le narratif est fondé sur le test PCR, lequel est complètement frauduleux. Et Fauci le savait déjà au départ.

P.S. : Encore une fois, pour commander ma série de cinq messages sur DVD intitulée The Rise Of The Beast : Coronavirus And Antichrist, allez ici.




Un clairon marxiste appelle à l’autodestruction

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mars 2021

Par Jerry Barrett

Équité, diversité et inclusion

« Nous tenons ces Vérités pour évidentes en elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains Droits inaliénables, que parmi elles, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur… »

Déclaration d’Indépendance

« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout reptile qui rampe sur la terre. Dieu donc créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il les créa mâle et femelle. »

Genèse 1:26-27

Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. Dieu ne créa qu’une seule race – la race humaine. Bien qu’il puisse y avoir différentes sortes de pigmentation sur leur peau, ce ne sont pas des races multiples. Nous sommes tous faits à l’image de Dieu. Il n’y en a pas qui soit inférieur aux autres. La croyance qu’il y ait d’autres races de gens est une construction mentale humaine, pas un fait biologique.

Le racisme est un préjudice que l’on retrouve dans le cœur de l’homme envers ceux qui sont différents de soi. L’on encourageait ce concept de haine dans les sociétés anciennes. Regardez comment les Juifs voient depuis longtemps les Gentils. Dans le Talmud babylonien, le rabbin Schneur Zalman, fondateur du Chabad-Loubavitch, a déclaré que : « Les âmes des Gentils sont d’un ordre complètement différent et inférieur. Ils sont totalement méchants, sans la moindre qualité de rédemption. »

Un chrétien ne peut être raciste

Pour les chrétiens, les écrits de l’apôtre Paul dans Galates 3:28 aurait dû faire cesser le racisme dans l’Église une fois pour toutes.

« Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. »

Malheureusement, trop nombreux sont ceux qui ont ignoré cet enseignement et ont succombé aux idées et à la philosophie de ceux du monde. Paul nous a aussi mis en garde contre ce dilemme :

« Prenez garde que personne ne vous gagne par la philosophie, et par de vains raisonnements conformes à la tradition des hommes et aux éléments du monde et non point à la doctrine de Christ » (Colossiens 2:8).

Il y a de multiples versets à travers la Parole de Dieu nous enseignant à répétition que Dieu ne fait acception de personne. En voici quelques-uns :

« Alors Pierre prenant la parole, dit : en vérité je reconnais que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Actes 10:34).

« Parce que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Romains 2:11).

« Sachant que chacun, soit esclave, soit libre, recevra du Seigneur le bien qu’il aura fait. Et vous maîtres, faites envers eux la même chose, et modérez les menaces, sachant que le Seigneur et d’eux et de vous est au Ciel, et qu’il n’y a point en lui acception de personnes » (Éphésiens 6:8-9).

« Et si vous invoquez comme votre Père celui qui sans avoir égard à l’apparence des personnes, juge selon l’œuvre d’un chacun… » (1 Pierre 1:17).

Pas si vite, mes amis

Dans la société d’aujourd’hui, à cause de la culture « éveillée » formée par le Marxisme culturel, des termes comme Équité, Diversité et Inclusion se répandent à travers la conscience publique. Beaucoup de ces idéaux qu’épousent de soi-disant leaders semblent raisonnables et sincères. Assurément, nous souhaitons tous une meilleure façon de vivre pour nos voisins, n’est-ce pas ?

Équité

Ces manieurs de mots ont manipulé la conscience d’un grand nombre de gens par leurs onctueuses tournures de phrase. Par exemple, prenez le mot Équité. Au premier aspect, cela sonne comme égalité, n’est-ce pas ? Toutefois, équité signifie « possession » dans son usage le plus commun.

Dans la société américaine, chaque citoyen a une opportunité égale de réussir, sans tenir compte de l’âge, du genre, de la race, de la religion ou de l’affiliation politique. Les seules limites au succès sont les habiletés et les qualifications individuelles. Le Titre VI de la Loi sur les Droits Civiques de 1964 dit :

« Personne dans les États-Unis ne sera, pour raison de race, de couleur, ou d’origine nationale, exclu de participation à tout programme ou activité recevant de l’assistance financière fédérale, ni n’en sera refusé les bénéfices ou sujet à discrimination. »

Lorsque l’équité est vomie de la bouche de la foule des « éveillés », elle revêt une signification entièrement différente. Pour eux, elle veut dire démolir toutes les barrières structurelles qui entravent le chemin des résultats égaux. En outre, cette foule veut ajuster les partages pour donner à certains groupes d’identité des privilèges afin de s’atteler à ce qu’elle perçoit comme des déséquilibres.

Un bon exemple : Deux hommes décident de faire affaires ensemble. Chacun investit 1 000 $ pour débuter la compagnie. On les considère comme partenaires égaux, et subséquemment chacun tirera cinquante pourcent des parts de profit. L’équité entre dans l’équation quand un des partenaires réclame plus que cinquante pourcent des parts à cause de sa pigmentation de peau ou parce qu’il est démocrate.

Les libéraux appuient la redistribution des richesses afin de garantir à chaque Américain un revenu égal plutôt qu’une opportunité égale de succès. L’égalité n’est plus le but des progressistes.

Le terme « juste et équilibré » est maintenant associé aux gens bigots et biaisés dont les actions sont manifestement discriminatoires. Il n’est plus acceptable de montrer de la tolérance. L’on doit embrasser tous les aspects de ces groupes d’identité.

Diversité

Dans ma jeunesse, les professeurs de l’histoire civique et américaine parlaient de l’Amérique comme du grand « melting-pot ». On nous enseignait que les immigrants adopteraient les idéaux de liberté et d’opportunité, reconnaissants des occasions qui leur étaient offertes. À mesure qu’ils s’assimilaient à la culture américaine, certaines de leurs coutumes, de leurs traditions et de leurs nourritures furent introduites, habituellement pour l’enrichissement de la nation.

Aujourd’hui, la diversité est légiférée de manière à diviser la nation. Au lieu d’homogénéiser le pays, des groupes d’intérêts spéciaux sont classés sous le couvert de la diversité. Leur statut « spécial » est dressé contre les autres groupes, faisant croître la friction chez tous. Saul Alinsky savait que, pour ébranler notre pays jadis si grand par la destruction de nos institutions – la famille, l’église, l’école et le gouvernement – la diversité était l’arme de choix.

La diversité n’est pas ce qui a fait de l’Amérique un grand pays, ce sont les choses que nous avions en commun. L’importance de l’unité familiale était le noyau fondamental de notre société. Les valeurs du gros bon sens et la croyance en l’exceptionnalisme américain qui ont un impact sur tout le monde, peu importe la race, les croyances ou la couleur.

Comme une cale, la formation à la diversité – la Théorie Critique de la Race n’est qu’une des armes – s’est infiltrée dans nos systèmes éducatifs et s’insinue maintenant dans les salles de conseil et les entreprises à travers tout le pays. Par exemple, une des principales écoles indépendantes du pays a mené une « vérification de la diversité » pour déterminer jusqu’à quel point ses professeurs étaient « éveillés ».

Il y avait six catégories de diversité : identité raciale, identité religieuse, statut socioéconomique, structure familiale, identité sexuelle et statut d’invalidité. On demandait aux professeurs avec quelle efficacité ils transmettaient chaque sujet à leurs élèves. Le but est de « favoriser la compréhension de systèmes de pouvoir et d’encourager les étudiants à développer des outils d’équité et de justice ».

L’on définit la race comme une construction sociale utilisée pour rassembler les gens ensemble en relation avec le pouvoir et les privilèges. La famille est définie comme l’organisation qui compose une unité familiale. Ce n’est rien de plus qu’une idéologie d’extrême gauche pour diffamer le peuple blanc et élever le « peuple de couleur ».

Ces groupes de diversité font des millions de dollars en colportant de la propagande anti-blanche tout en déclarant combattre le racisme. Ils découragent également sans cesse tout sain débat sur les sujets sensibles, préférant fomenter encore plus de division au sein de notre société.

Les Pneus Goodyear et la Compagnie Rubber ont été dénoncés l’an dernier après avoir tenu une session de formation sur la diversité dans leurs usines de Topeka, au Kansas. Lors de la présentation, un employé a pris une photo d’une diapositive qui déclarait ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.

Goodyear a réagi après que l’image soit devenue virale sur les médias sociaux :

« Goodyear s’engage à mettre de l’avant un lieu de travail respectueux et inclusif … Dans cet engagement, nous permettons à nos associés d’exprimer leur soutien au sujet de l’injustice raciale et de toutes autres questions d’équité, mais nous demandons à ce qu’ils se restreignent dans leurs expressions sur le lieu de travail … comme tout autre forme similaire de plaidoyer qui sorte de la perspective des questions d’équité. »

Le double standard de ce communiqué de presse devrait enrager les masses. Mais Goodyear n’est pas seul à soutenir cette formation sur la diversité. Presque quatre-vingt-dix pourcent des compagnies du Fortune 500 ont des bureaux de la diversité épousant la manie de « l’équité, de la diversité et de l’inclusion ».

La nature de ces programmes entraînant la division est en provenance directe du manuel Règles pour les radicaux d’Alinsky. Ce qui était jadis vu comme une bénédiction pour notre pays a été transformée en « guerre civile » non déclarée dressant les voisins les uns contre les autres.

Inclusion

On décrit l’inclusion comme « un état bénéfique mutuel à la fois pour les communautés et les individus. » La société « éveillée » d’aujourd’hui exige que tout le monde soit inclus. En surface, cela semble une idée noble. Malheureusement, la liberté d’expression – protégée par le Premier Amendement de notre Constitution – ne signifie plus ce qu’elle voulait dire auparavant. Les expressions qui offensent et blessent les sentiments de quelqu’un ne devraient plus être permis, selon les « éveillés ». La censure abonde dans les médias sociaux à cause de ce système de croyance.

La turpitude morale n’est pas une excuse acceptable pour exclure une personne ou un groupe. Le christianisme, également protégé par le Premier Amendement, est devenu une cible principale, aujourd’hui. Les Progressistes du Congrès ont introduit une législation pour enlever les exemptions religieuses pour certaines des actions les plus blasphématoires que l’on puisse imaginer. Les portes se sont ouvertes après que la Cour Suprême eut « légiféré » chez les juges que l’on autorise le mariage de même sexe.

Les pasteurs tièdes ont été intimidés et refusent de condamner cette abomination. Vous ne les entendrez jamais prêcher ce que l’apôtre Paul a dit à propos de l’homosexualité :

« C’est pourquoi aussi Dieu les a livrés aux convoitises de leurs propres cœurs, de sorte qu’ils se sont abandonnés à l’impureté déshonorant entre eux-mêmes leurs propres corps : eux qui ont changé la vérité de Dieu en fausseté, et qui ont adoré et servi la créature, en abandonnant le Créateur, qui est béni éternellement : Amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à leurs affections infâmes ; car même les femmes parmi eux ont changé l’usage naturel en celui qui est contre la nature. Et les hommes tout de même laissant l’usage naturel de la femme, se sont embrasés en leur convoitise l’un envers l’autre, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes la récompense de leur erreur, telle qu’il fallait. Car comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, aussi Dieu les a livrés à un esprit dépourvu de tout jugement, pour commettre des choses qui ne sont nullement convenables. Etant remplis de toute injustice, d’impureté, de méchanceté, d’avarice, de malignité, pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de fraude, de mauvaises mœurs. Rapporteurs, médisants, haïssant Dieu, outrageux, orgueilleux, vains, inventeurs de maux, rebelles à pères et à mères. Sans entendement, ne tenant point ce qu’ils ont promis, sans affection naturelle, gens qui jamais ne s’apaisent, sans miséricorde. Et qui, bien qu’ils aient connu le droit de Dieu, savoir, que ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, ne les commettent pas seulement, mais encore ils favorisent ceux qui les commettent. » (Romains 1:24-32).

Votre délivrance approche

De toute ma vie, je n’ai jamais vu autant de haine et d’animosité qu’aujourd’hui. L’implantation de la rectitude politique dans nos institutions d’enseignement collégial est complétée. L’effet « dégoulinant » dans nos écoles élémentaires est presque terminé. Les automates à l’esprit contrôlé, produits à la chaîne par tout le système d’enseignement, prolifèrent dans toute l’industrie et remplissent les salles de conseil.

Les grands courants médiatiques – en conjonction avec les médias sociaux – sont les champions de la justice sociale. Leur portée a eu pour résultat une manne de convertis. En surface, l’équité, la diversité et l’inclusion semblent grandioses. Toutefois, lorsque l’on contemple la vraies signification de ces mots et la direction vers laquelle notre pays est poussé, est-ce surprenant que Dieu ait oublié notre nation ?

Aux yeux de Dieu, nous sommes tous égaux. Les chrétiens ont faim du plein conseil de Jésus, mais ils sont en manque grave parce que les enseignants refusent de le prêcher. Des versions abâtardies de la Parole de Dieu remplissent de nombreuses églises. L’apathie gagne les églises à mesure que la faim de Sa Parole décroît. Jésus nous rappelle que nous méritons tous un sort violent. On ne peut éviter cela qu’en se tournant avec repentir vers notre Dieu plein de miséricorde.

« …si vous ne vous repentez, vous périrez tous de la même manière »  (Luc 13:3).




La fin de la « Grande Expérience » est au premier plan

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Février 2021

Par Jerry Barrett

Une atmosphère lugubre est tombée sur l’Amérique

Les fondateurs de notre jadis grand pays nous ont fait connaître un plan pour que le gouvernement soit contrôlé par le peuple. Dans la Déclaration d’Indépendance envoyée en Grande-Bretagne, ces hommes éminents déclarèrent :

« Nous tenons ces vérités comme allant de soi, savoir, que tous les hommes ont été créés égaux, qu’ils sont dotés par le Créateur de certains Droits inaliénables, que parmi eux, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. – Que pour assurer ces droits, les Gouvernements sont institués parmi les Hommes, tenant leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés, – Que lorsqu’une quelconque Forme de Gouvernement devient destructive à ces fins, c’est le Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement… »

Ces hommes avaient une grande ambition en désirant créer un pays unifié. L’ébauche de notre Constitution servit de cadre à ce que le gouvernement pouvait et ne pouvait pas faire. Les items qui n’étaient pas spécifiés furent laissés aux états individuels pour gouverner tel que communiqué dans le 19e Amendement. Un système de freins et contrepoids fut créé pour limiter l’étendue de pouvoir qu’une branche quelconque pourrait exercer sur le citoyen.

Lorsque cela a commencé, il fut envisagé que des gens ordinaires serviraient – donnant volontairement de leur temps – en tant que représentants de leur district, ou de leur état, avec une chose en tête… l’amélioration de notre pays. Malheureusement, même le plan le mieux configuré peut être usurpé par ceux qui possèdent des motifs secrets.

Le pouvoir corrompt… le pouvoir absolu corrompt absolument

Le pouvoir émanant de Washington, D.C. est trop séduisant pour que tous y résistent. L’explosion des lobbyistes et des avocats, ainsi que l’avènement des politiciens professionnels a conduit à une valse de corruption. Comme le dit le vieil adage : « Le pouvoir corrompt… le pouvoir absolu corrompt absolument ».

Le principal stratège en revenu de Investmentu.com, Marc Lichtenfeld, a écrit : « J’ai une méthode infaillible pour devenir riche… et ce n’est pas très risqué, parce que l’on connaît déjà le résultat. En fait, vous y contribuez. Tout ce que vous avez à faire pour multiplier votre revenu net par dix, c’est d’être élu au Congrès. »

Ce qui a débuté comme une « Grande Expérience » – cette République constitutionnelle – s’est fractionné en un cloaque d’ordures, de corruption et d’accaparement d’argent. La politique en général et les politiciens en particulier sont majoritairement considérés de détestables créatures. Rien ne reflète plus vivement cette déclaration que les événements survenus au 21e siècle – et nous n’en sommes même pas au quart !

Qui paie sa « juste part » ?

Dans l’Article 1, Section 8, Clause 1 de la Constitution des États-Unis, il est déclaré :

« Le Congrès aura le pouvoir d’imposer et de recueillir des Taxes, des Droits, des Impôts, des Taxes d’accise pour payer les Dettes et pourvoir à la Défense commune et au Bien-être général des États-Unis ; mais tous les Droits, les Impôts et les Taxes d’accise seront égaux dans tous les États-Unis. » [Emphase ajoutée]

Un grand nombre de gens qui soumettent leur retour d’impôt à chaque mois d’avril le font en croyant que tous paient leur juste part. En fin de compte, nous sommes d’abord Américains et l’amélioration de notre pays fait appel à notre diligence. Ceux qui creusent la vérité et qui la diffusent sont mieux au courant. Avec un minimum de recherche, l’on découvre rapidement qu’Amazon.com a payé ZÉRO dollars en 2019.

Une compagnie multimillionnaire ? Comment cela se peut-il ? En déplaçant des fonds dans des organisations et des fondations « exemptes de taxes » et en utilisant d’autres lacunes écrites dans le code de taxation ! Vous pouvez être sûrs que ce ne sont pas les seules compagnies à employer ces options.

Donner des armes au gouvernement

Pendant le régime d’Obama, Loïs Lerner – directrice de l’Unité des organisations exemptées du Service de Revenu Interne (IRS) – cibla des groupements conservateurs et leur refusa le statut d’exemption de taxes. Après l’élection de Joe Biden en 2020, ces mêmes craintes sont à nouveau soulevées. Jusqu’où se vengera l’IRS sous son administration ?

De même, le Bureau Fédéral d’Investigation (FBI) a été « armé » lorsqu’Obama était en fonction à la Maison Blanche – bien que, pour dire toute la vérité, cela avait commencé sous George W. Bush. Avec le Patriot Act mis en force, l’espionnage, l’écoute téléphonique et la surveillance furent légalisés au travers des actions des tribunaux de la FISA sans procès équitables.

Non seulement le Patriot Act usurpait-il le pouvoir du 4e Amendement, mais de même les mandats, et les ordres de quarantaine et de confinement émis par les fonctionnaires locaux et étatiques. La pLandémie actuelle a permit que l’on piétine nos droits sans aucun recours. Est-ce précurseur de l’avenir ?

Faisons-nous face à un contrôle totalitaire ?

La seule chose qui ait empêché une complète prise de pouvoir totalitaire de notre pays, c’est le 2e Amendement. Toutefois, ça aussi est attaqué par des progressistes qui exigent avec véhémence une législation pour le contrôle des armes. Joe Biden s’est engagé à utiliser la législation et des Ordres exécutifs pour promulguer des mesures de contrôle des armes. Voici ce que l’on cite dans joebiden.com/gunsafety :

  • La Protection du Commerce Légal dans la Loi sur les Armes protège les manufacturiers d’armes d’être tenus civilement responsables de leurs produits. Biden mettra une priorité à abroger cette protection.
  • Bannir la manufacture et la vente d’armes d’assaut et de chargeurs à haute capacité. Pendant qu’il travaille à faire passer cette législation, Biden emploiera aussi son autorité exécutive pour bannir les importations d’armes d’assaut.
  • En tant que Président, Biden va poursuivre la législation pour régulariser la possession d’armes d’assaut existantes sous la Loi Nationale sur les Armes à feu.
  • Dans le but de réduire le stockage d’armes à feu, Biden soutient la législation astreignant à une par mois le nombre d’armes à feu qu’un individu peu acheter.
  • Biden va promulguer une législation interdisant à un individu « qui a été trouvé coupable d’un méfait de crime de haine, ou reçu une sentence prolongée d’un méfait pour cause de haine ou un penchant pour sa perpétration » d’acheter ou de posséder une arme à feu. [Emphase ajoutée]
  • Biden va promulguer une législation pour interdire toute vente en ligne d’armes à feu, de munitions, de kits et de pièces de fusil.

Une fois atteint le contrôle des armes, le droit suivant qui tombera sera le 1er Amendement. Le « politiquement correct » sera au centre de tout, et quiconque choisira de ne pas s’y plier en subira de sévères répercussions. J’ai mis à dessein l’emphase sur « méfait de crime de haine » dans la liste ci-dessus. Les progressistes ont déclaré la guerre contre les pronoms qui spécifient les genres.

Emanuel Cleaver, ministre méthodiste uni qui commence son neuvième terme, a terminé la prière d’ouverture du premier jour du nouveau Congrès en disant « amen and awomen » [men étant « hommes » et women étant « femmes »]. Newt Gingrich a tweeté ses pensées : « Parfaite prière de la Chambre des Démocrates se terminant telle que se concentre la Chambre des Démocrates sur la sécurité du genre en abolissant pratiquement tous les termes normaux de genre comme “père, mère” ».

Égalité pour tous ?

Biden s’est aussi fait le champion de l’adoption d’une législation qui est encore dans la Chambre des Représentants et nommée Loi sur l’Égalité. Cette loi donnera à la communauté LGBT la reconnaissance et la validation prévues pour le progrès. Elle bannira la discrimination fondée sur la sexualité ou l’identification de genre.

Mais plus important, ce projet de loi niera toute défense pour ceux qui défient ces protections en se basant sur la Loi de Restauration de la Liberté de Religion de 1993. Cette loi sera fort certainement utilisée pour intimider les entreprises, particulièrement les petites entreprises appartenant à des chrétiens.

Le cycle de la liberté

Notre pays sera mis en pièces si les progressistes qui tirent les ficelles de Biden arrivent à leurs fins. La dernière ligne de défense, le droit de garder et de porter des armes est – pour jouer avec les mots – carrément dans la mire des Démocrates.

Alexander Tytler, historien écossais qui vécut à l’époque de la fondation de notre pays, identifia les séquences du « Cycle de la liberté ». Elles sont comme suit :

« Une société démarre dans l’esclavage ; de l’esclavage, elle en vient à la foi spirituelle ; de la foi spirituelle au courage ; du courage à la liberté ; de la liberté à l’affluence ; de l’affluence à l’égoïsme ; de l’égoïsme à la suffisance ; de la suffisance à l’apathie ; de l’apathie à la dépendance ; et de la dépendance de retour à l’esclavage. »

Notre pays est sur le bord de compléter ce cycle. Il n’y a qu’un petit pas pour descendre de la dépendance vers l’esclavage. Le dernier bastion se dressant sur le chemin, ce sont ceux qui chérissent la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. Priez pour que bien d’autres se joignent à nous. Alors, peut-être pourrons-nous sauver notre pays de l’abîme et continuer la Grande Expérience.


Par Sandra Myers

Dieu a-t-Il été enlevé de l’éducation de nos enfants ?

Comme vous vous le rappelez, d’abord, dans les années 1960, de nouveaux manuels parurent, mettant l’emphase sur l’évolution plutôt que sur la création. Ensuite, aussi dans les années 1960, la Cour Suprême enleva des écoles la prière et la lecture de la Bible. Pourquoi donc devrions-nous nous attendre à ce que nos enfants se conduisent bien alors qu’on leur enseigne qu’ils ne sont pas plus élevés que des animaux et que les absolus des Écritures ne comptent pas ?

Puis vint l’ère des parents qui voulaient être les « meilleurs amis » de leurs enfants, n’offrant que peu dans le domaine de la discipline et de la guidance. Et avec ça, grâce à la magie de l’Internet, des jeux vidéo et de la télévision, notre jeunesse se voit constamment bombardée de sexe, de violence et de morts épouvantables, de drogues et de questions et de valeurs sociales confuses.

Qu’est-ce qui a causé ces changements drastiques de nos valeurs ? Comment est-ce arrivé si rapidement ? Les vérités absolues de Dieu ont été reniées. Or, cette façon de penser a été adoptée par les écoles, les entreprises, les organisations communautaires, les grands courants d’églises, les groupes sociaux et politiques de partout en Amérique. Tels que sont nos enfants, telle sera notre nation future.

Qu’apprennent-ils ?

De la maternelle à la douzième année, l’enseignement du Tronc Commun déclare s’assurer que tous les enfants sont préparés de manière égale à mesure qu’ils avancent d’un niveau à l’autre en leur dictant exactement ce que chaque étudiant de la maternelle à la douzième année doit savoir en art, en langue et en mathématique au moment de compléter chaque année. Le modèle d’apprentissage « uniforme pour tous » cherche à transformer les enfants en automates anonymes. C’est un véritable abêtissement de nos enfants.

L’école n’enseigne pas à nos enfants comment penser, mais quoi penser.

Or, en commençant par la maternelle, les enfants sont endoctrinés dans l’idéologie des genres. C’est une nécessité pour le bien des enfants, déclare Pamela M. Malins, de l’Université de l’Ouest de l’Ontario :

« L’hétérosexisme et la misogynie demeurent envahissants dans la société nord-américaine, et l’éducation a le potentiel de fournir aux enfants des occasions de rendre différemment le sens des choses et de cultiver une société plus respectueuse et ouverte, en commençant par un curriculum attendu… Les enfants sont actifs dans la construction de leur genre et de leur identité sexuelle, et ils font partie, ou sont entourés, de familles diverses, ou ils remettent en question leur identité personnelle. Dans une société multiculturelle et à modèles multiples, on ne peut ignorer ou éviter la diversité d’identité. Les enfants méritent et ont le droit à une éducation qui inclut et embrasse toutes les options d’identité et toutes les familles. »

Également d’un rapport de Michael McCaffrey, écrivain à RT.com à la suite des émeutes « Lloyd Floyd », sa garderie est maintenant sujette à l’apprentissage de la Théorie sur la Critique de Race et ses éducateurs « éveillés » lui enseignent comment être un activiste. « Ce n’est pas de l’éducation – c’est de l’endoctrinement éhonté, » déclare McCaffrey.

Collège : « Voulez vous des frites avec votre commande ? »

Le temps que les étudiants aillent au collège, il ne pourrait que leur rester que peu de résistance face aux influences du monde. En plus du programme qu’ils ont déjà reçu, ils sont soudainement libérés des leçons et des contraintes de leurs parents. Ils sont aussi entourés de camarades de dortoir de différentes croyances ou sans foi du tout. Dans bien des cas, la culture de la vie collégiale encourage une mêlée générale hédoniste. On oublie Dieu. Ils font partie de la tendance croissante visant à dire au revoir à la foi. Avec cela, la gauche libérale cimente chez les jeunes adultes la programmation qui survient dans la plupart des collèges. Que l’on en fasse de bons petits citoyens du monde.

Dès leur plus jeune âge, et au moment où ils sont le plus impressionnables, l’on n’enseigne pas à nos enfants à penser de façon critique et à comprendre pourquoi ils croient à ce qu’ils croient. Ils n’ont besoin que d’avoir le bon point de vue et forcer les autres à se conformer comme ils ont été forcés de se conformer. Ils s‘engagent dans des arguments où l’emporte la voix la plus forte, car le point de vue de quelqu’un n’est pas meilleur que celui des autres. Ils font pression plutôt que de persuader.

Avance rapide jusqu’à maintenant

Or, entre les émeutes et les bouleversements sociaux, tout comme la distanciation sociale et la quarantaine à cause de la pandémie, les gens, particulièrement nos jeunes, sont programmés pour s’adapter au « changement continuel » et à la « pensée de groupe ». On leur apprend les mandats et le contrôle du gouvernement et à suivre sans poser de question. Ne vous y trompez pas, c’est du contrôle mental maximum basé sur le traumatisme. C’est le genre de programmation que l’on n’oubliera jamais et qui aura un impact à vie.

Conclusion

La lente insinuation de la corruption dans nos enfants a évolué en un lavage de cerveau plein gaz. Les parents, les grands-parents, la famille et les amis doivent reprendre charge de la moralité et de l’éducation éthique de nos enfants, et pas un quelconque enseignant « éveillé » à l’esprit élevé. La Bible donne grande valeur à la connaissance, celle de Dieu et celle de Ses Œuvres. Elle décrit les fruits moraux et spirituels de cette connaissance et définie son but final. Nous devons chercher à créer une fondation chez nos enfants afin que, lorsqu’ils seront vieux, ils ne s’en détournent pas. Enseignez-leur l’amour et les promesses de Dieu. Introduisez-les à leur Seigneur et Sauveur en Le présentant comme leur meilleur ami et leur confident.

L’avenir de ce pays et plus – l’avenir même des âmes de notre précieuse jeunesse – repose sur vous, chers croyants.




D.572 – LE COMBAT DU CHRÉTIEN versus LE PÉCHÉ IMPARDONNABLE

Par Roch Richer

Au fil des ans, plusieurs personnes anxieuses m’ont écrit pour me demander si elles avaient commis le péché impardonnable. Elles ne savaient pas exactement ce que c’était, mais plusieurs passages des Écritures leur laissaient croire qu’elles l’avaient peut-être commis sans s’en rendre compte et elles souffraient d’une indicible angoisse. Peut-être Dieu les avait-Il abandonnées comme on s’éloigne d’un cas désespéré. Certaines se sentaient indignes de tout pardon et en venaient à croire que Dieu ne pouvait plus leur accorder Son pardon. Toutes étaient aux prises avec une faiblesse qu’elles n’arrivaient pas à surmonter et, sombrant dans le découragement, elles croyaient avoir perdu le Saint-Esprit. Certaines personnes se demandaient même si elles l’avaient jamais eu. Elles se sentaient si faibles devant la tentation et voyaient les autres chrétiens apparemment si forts.

Mais le simple fait qu’elles s’inquiétassent à savoir si elles avaient commis le péché impardonnable m’indiquait immanquablement qu’elles ne l’avaient pas commis. Alors, que signifient vraiment les passages des Écritures qui leur font tellement peur et, plus important, que vivaient-elles exactement ? Pourquoi n’arrivaient-elles pas à vaincre leurs faiblesses ? Elles en venaient même à préméditer leurs péchés parce qu’il ne leur semblait servir à rien de les combattre, tout en sachant que ce qu’elles allaient faire était défendu par Dieu… mais elles le faisaient quand même. N’était-ce pas « pécher volontairement » ? N’était-ce pas « retomber dans le péché » ? Ne s’agissait-il pas de « commettre le péché qui mène à la mort » ?

Dans cette étude, nous allons commencer par voir ce qu’est la vraie nature du combat que livrent ces chrétiens démunis et constater qu’il ne s’agit pas du péché impardonnable. Et pour ce faire, il est important de se débarrasser des faux concepts et des fausses théories que véhiculent un trop grand nombre de faux pasteurs et de faux ministres qui s’avèrent tout aussi ignorants que ceux à qui ils veulent enseigner. Il est malheureux qu’il en soit ainsi, mais la chose avait été prédite par Jésus-Christ et Ses apôtres, il y a quelques deux milles ans. Toutefois, il est également dit que la connaissance des Écritures allait augmenter aux temps de la fin.

Est-il vrai qu’il existe un péché impardonnable ? Certains individus haut placés dans la hiérarchie des églises du monde disent qu’une fois qu’une personne se convertit, elle est sauvée et ne peut plus perdre son salut. Ceci à l’encontre d’un grand nombre d’Écritures qui démontre que cela est faux. Dans ce message, nous ne verrons que les passages qui ont un rapport direct avec le péché impardonnable. Voici d’ailleurs un passage de base qui pose le fondement du péché impardonnable, ce péché qui mène à la mort.

« Si quelqu’un voit son frère pécher d’un péché qui n’est point à la mort, il priera pour lui, et Dieu lui donnera la vie ; savoir, à ceux qui ne pèchent point à la mort. Il y a un péché à la mort ; je ne te dis point de prier pour ce péché-là. Toute iniquité est un péché ; mais il y a quelque péché qui n’est point à la mort » (1 Jean 5:16-17).

Il y a donc un péché qui mène à la mort. Mais de quelle mort s’agit-il ? Car, en fin de compte, tout le monde finit éventuellement par mourir depuis Adam et Ève. Abraham, Isaac et Jacob sont morts aussi et Jésus a pourtant dit que l’Éternel est le Dieu des vivants : « Et quant aux morts, pour vous montrer qu’ils ressuscitent, n’avez-vous point lu dans le livre de Moïse, comment Dieu lui parla dans le buisson, en disant : Je suis le Dieu d’Abraham, et le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob. Or, Il n’est pas le Dieu des morts, mais le Dieu des vivants » (Marc 12:26-27). Nous voyons donc qu’Abraham, Isaac et Jacob seront ressuscités et hériteront de la vie éternelle. Par conséquent, le « péché qui mène à la mort », et dont parle Jean, ne mène pas à la première mort qui touche tous les êtres humains sans distinction. Non, ce péché bien spécifique mène à la mort seconde, celle pour laquelle il n’y a pas de résurrection.

Le combat du chrétien

Cependant, avant d’étudier ce péché pour lequel il n’y a pas de pardon, examinons ce que l’on appelle « le combat du chrétien ». Cette lutte est encore bien mal comprise et peu expliquée dans les sermons du dimanche. Il y a beaucoup de confusion sur la nature du péché et le processus des tentations. Beaucoup de gens croient que « pécher par faiblesse », c’est essentiellement succomber à une tentation sous l’effet d’une impulsion momentanée, sur un coup de tête, en se laissant surprendre hors de garde sans avoir le temps de réfléchir. Mais il y a bien plus. Et c’est pourquoi lorsqu’ils sont tentés sur une période plus longue dans laquelle ils ont le temps de réfléchir et qu’ils commettent le péché en sachant fort bien qu’ils contreviennent à un commandement divin, beaucoup de gens se convainquent qu’ils ne pèchent plus par faiblesse, mais « volontairement », simplement parce qu’ils sont conscients de la transgression. Ils en concluent donc qu’il ne peut s’agir que d’un péché impardonnable.

Ce que ces personnes ignorent, c’est qu’un chrétien peut être faible à plus long terme, sur une période qui varie dans le temps. Car, voyez-vous, nous pouvons avoir, sur le plan spirituel, des passages à vide, des moments dans notre vie où nous succombons à répétition sans être capables de résister, et nous avons l’impression de nous retrouver au fond d’un gouffre.

Ce phénomène est le lot de tous les chrétiens. Nous passons tous par là. Cela survient souvent après quelque temps suivant notre conversion, quand notre premier amour et notre zèle ardent ont le souffle court et s’amoindrissent ; bien que nous en sachions assez pour comprendre le fondement du salut, nous avons néanmoins encore de la peine à saisir la manière de persévérer au travers des épreuves et à résister devant les tentations. Ces chrétiens mal équipés entrent dans un combat parfois féroce où, non seulement doivent-ils vaincre leurs impulsions naturelles, mais doivent aussi lutter « …contre les principautés, contre les puissances, contre les seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les airs » (Éphésiens 6:12), autrement dit, contre Satan, ses démons et les hommes méchants et influents du monde.

Cependant, ce combat se joue à l’intérieur de nous. Et dans ces circonstances, il ne s’agit pas d’un péché volontaire, bien que l’on en soit conscient, mais plutôt d’une faiblesse prolongée sur un laps de temps. On ne doit pas confondre cela avec le péché impardonnable. Il ne s’agit pas d’une rébellion ouverte contre Dieu, car le pécheur ressent toujours une profonde tristesse après la consommation de son péché et il ne désire que la force et le courage de demander pardon à Dieu pour sa faute.

Comprenons bien qu’il s’agit de la chair qui triomphe momentanément parce que l’homme intérieur n’est pas encore suffisamment fort. Ce que l’on vit alors est le combat du chrétien. Ce combat, l’apôtre Paul l’a décrit d’une façon remarquable dans son épître aux Romains, au chapitre 7, à partir du verset 14 :

« Car nous savons que la loi est spirituelle ; mais je suis charnel, vendu au péché. Car je n’approuve point ce que je fais, puisque je ne fais point ce que je veux, mais je fais ce que je hais. Or, si ce que je fais je ne le veux point, je reconnais par cela même que la loi est bonne. Maintenant donc ce n’est plus moi qui fais cela, mais c’est le péché qui habite en moi. Car je sais qu’en moi, c’est-à-dire, en ma chair, il n’habite point de bien : vu que le vouloir est bien attaché à moi ; mais je ne trouve point le moyen d’accomplir le bien : car je ne fais pas le bien que je veux, mais je fais le mal que je ne veux point. Or, si je fais ce que je ne veux point, ce n’est plus moi qui le fais, mais c’est le péché qui habite en moi. Je trouve donc cette loi au-dedans de moi, que quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends bien plaisir à la loi de Dieu quant à l’homme intérieur ; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui combat contre la loi de mon entendement, et qui me rend prisonnier à la loi du péché, qui est dans mes membres. Ah ! misérable que je suis ! qui me délivrera du corps de cette mort ? Je rends grâce à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur. Je sers donc moi-même de l’entendement à la loi de Dieu, mais de la chair à la loi du péché » (Romains 7:14-25).

Prenez d’abord note que Paul n’a pas écrit au passé mais au présent, et qu’il vivait donc ce combat journellement après sa conversion. Pouvez-vous percevoir dans cette description le combat que vous livrez peut-être en ce moment même et qu’il vous semble toujours perdu d’avance ? L’homme intérieur dont parle Paul, c’est le nouvel homme que Dieu génère par Son Saint-Esprit. Paul ressentait la même chose que nous tous. À la fin de son exhortation, il s’exclame en réclamant la délivrance, tout comme le cri désespéré que lancent les chrétiens après une défaite au combat. Or, l’apôtre connaissait la réponse à sa question, car, par la grâce de Dieu habitant en lui, il savait que Dieu pouvait le délivrer en lui pardonnant et en lui donnant la force de se relever et de persévérer.

Il y a une erreur que les gens d’églises commettent régulièrement parce que des pasteurs ignorants les encouragent en ce sens. C’est d’essayer de changer leur nature humaine. La chose est impossible et ce n’est pas ce que Dieu exige de nous. La loi du péché existera toujours en notre chair. Voilà pourquoi elle est appelée à disparaître. Voyez ce que dit Paul, dans Romains 8:6-7 : « Or, l’affection de la chair est la mort ; mais l’affection de l’Esprit est la vie et la paix ; parce que l’affection de la chair est inimitié contre Dieu ; car elle ne se rend point sujette à la loi de Dieu, et aussi ne le peut-elle point. » La nature charnelle humaine est incapable de faire le bien ; il est inutile d’essayer de la changer et de l’améliorer. Lorsque nous ressusciterons, Dieu va nous donner un nouveau corps d’une nature parfaite et incorruptible (1 Corinthiens 15), qui ne sera pas habité par la loi du péché. Dieu ne changera pas notre nature charnelle, Il va nous en débarrasser !

Le Seigneur met en nous Son Esprit, c’est-à-dire, Sa puissance spirituelle qui engendre en nous un nouvel être, « l’homme intérieur », qui vient cohabiter avec notre nature charnelle. Mais l’homme intérieur dans le nouveau converti est comme un bébé naissant qui a besoin d’être nourri au lait spirituel des Écritures avant de grandir et d’en venir à la nourriture solide. C’est-ce dont l’apôtre Pierre a fait allusion dans sa première épître : « Désirez ardemment, comme des enfants nouvellement nés, de vous nourrir du lait spirituellement pur, afin que vous croissiez par lui » (1 Pierre 2:2).

Cependant, comme le bébé humain, le chrétien ne peut s’en tenir longtemps au seul régime du lait. Or, il y a beaucoup de croyants qui restent au lait pendant des années et ne grandissent dans la connaissance que très lentement et péniblement. Paul a vu ce problème chez certains frères hébreux et il leur dit ceci : « Car au lieu que vous devriez être maîtres, vu le temps, vous avez encore besoin qu’on vous enseigne quels sont les rudiments du commencement des paroles de Dieu ; et vous êtes devenus tels, que vous avez encore besoin de lait, et non de viande solide. Or quiconque use de lait, ne sait point ce que c’est que la parole de la justice ; parce qu’il est un enfant ; mais la viande solide est pour ceux qui sont déjà hommes faits, c’est-à-dire, pour ceux qui, pour y être habitués, ont les sens exercés à discerner le bien et le mal » (Hébreux 5:12-14).

Je dois dire, à la honte de plusieurs chrétiens qui ne passent pas assez de temps à étudier la Parole de Dieu et qui ne savent pas encore utiliser la puissance du Saint-Esprit, qu’ils ne boivent que du lait depuis des années ; et voilà pourquoi, dans le combat dont parle Paul, ils sont dépourvus, démunis, presque nus, ne sachant discerner le bien du mal, le vrai du faux, et ils se promènent d’un échec à l’autre devant les tentations.

C’est la raison pour laquelle vous trouverez ici une description simple et précise de la manière d’envisager le combat du chrétien de façon à ce que vous cessiez de la prendre pour une manifestation du péché impardonnable.

Seul Dieu le Père décide qui Il appelle, ce n’est pas l’homme qui va de lui-même vers Dieu, car l’homme charnel ne cherche pas Dieu. « Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne le tire, et je le ressusciterai au dernier jour » (Jean 6:44). Puis, Dieu met en nous Son Esprit, Sa puissance spirituelle qui fait de nous un nouvel être, l’homme ou la femme intérieur(e) de nature spirituelle, et c’est cette nouvelle nature que nous avons dès lors la tâche de nourrir et de suivre. La nouvelle nature spirituelle aime Dieu parce qu’elle procède de Lui.

Ainsi, nous devenons des créatures en lesquelles se côtoient deux natures complètement opposées l’une de l’autre et qui s’affrontent journellement, l’une pour nous amener à faire le bien, l’autre pour nous faire tomber dans le mal. Le chrétien ne doit pas perdre son temps à changer sa nature humaine ; il doit plutôt apprendre à se laisser guider par l’Esprit de Dieu en lui et à cesser d’écouter sa nature charnelle.

La meilleure façon pour le chrétien de nourrir sa nature spirituelle, c’est d’étudier la Parole de Dieu . Jésus a dit, dans Jean 6:55 : « Car ma chair est une véritable nourriture, et mon sang est un véritable breuvage. » Christ Se servait de Sa chair et de Son sang comme symboles pour représenter la Parole, la Bible. Car n’oubliez pas que Jésus était la Parole faite chair et sang. En étudiant Sa Parole, nous mangeons Sa chair et buvons Son sang. Parce qu’Il a également dit : « Il est écrit : L’homme ne vivra point de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu » (Matthieu 4:4).

En nourrissant notre homme intérieur avec la Parole de Dieu, nous nous approprions la pensée de notre Seigneur Jésus-Christ et nous évacuons les pensées charnelles du monde. Comprenez bien le procédé du salut. Les êtres humains naissent avec leur nature humaine charnelle uniquement. Dieu l’a voulu ainsi pour que l’homme vienne à comprendre qu’il ne peut accéder à la vie éternelle au moyen de cette seule nature. Lorsque le Père l’attire à Christ, il réalise qu’il existe un vrai moyen efficace d’avoir le salut qui mène à cette vie éternelle. Il doit recevoir la puissance de Dieu, accepter Jésus-Christ comme son Sauveur et cheminer en nouveauté de vie.

Mais le nouveau converti est dans l’enfance de sa nature spirituelle. Comme le corps physique qui a besoin d’être nourri pour grandir, ainsi la nouvelle nature spirituelle a besoin d’être nourrie pour grandir et se renforcer. Comme nous l’avons vu, il se nourrira d’abord du lait pur spirituel qui lui permettra d’assimiler les fondements élémentaires des Écritures. C’est d’ailleurs ce que le nouveau chrétien fait avec voracité quand il entame sa nouvelle vie spirituelle.

Mais bientôt, il se voit engagé dans le combat dont a parlé l’apôtre Paul. Satan sait très bien que c’est le moment pour lui d’attaquer ce petit chrétien encore mal aguerri afin de le faire tomber. Il n’est encore qu’au lait, sa nature spirituelle est frêle, il n’a pas encore l’expérience du combat et, devant la tentation, sa nature charnelle prendra souvent le dessus. Ce sont les premiers rounds du combat. Il faut donc du temps – plus ou moins selon la personnalité de chacun – pour nourrir sa nature spirituelle de manière à ce qu’elle sorte gagnante d’un round du combat. Le tout dépend du zèle et de l’ardeur que le chrétien met à étudier la Parole, à prier, à méditer, etc. Quand il aura bien compris les fondements élémentaires de la saine doctrine, il devra manger de la viande spirituelle solide pour devenir un homme fait qui sache différencier le bien du mal et dire non à sa nature charnelle.

Le chrétien ne doit pas nourrir sa nature charnelle. Satan s’en charge en générant les tentations. Comment s’y prend-il ? Êtes-vous confus concernant la nature d’une tentation ? Croyez-vous qu’une tentation surgit toujours subitement, sans crier gare, en vous prenant par surprise pour que vous réagissiez sur un coup de tête, sans réfléchir ? Un certain nombre de gens pensent que c’est ainsi que l’on pèche « par faiblesse ». Bien que ce genre de tentation existe effectivement, la panoplie du Diable est bien plus étendue.

Voici comment Paul décrit le modus operandi de Satan : « Et lorsque vous étiez morts [spirituellement] en vos fautes et en vos péchés, dans lesquels vous avez marché autrefois, suivant le train de ce monde, selon le Prince de la puissance de l’air, qui est l’esprit [Satan] qui agit maintenant avec efficace dans les enfants rebelles à Dieu ; entre lesquels aussi nous avons tous conversé autrefois dans les convoitises de notre chair, accomplissant les désirs de la chair et de nos pensées ; et nous étions de notre nature des enfants de colère, comme les autres » (Éphésiens 2:1-3).

Évidemment, à l’époque de Paul, on ne connaissait pas les ondes radio, mais il fut possible à Paul de nous transmettre l’idée en employant l’expression « puissance de l’air » qui définit comment Satan agit sur les désirs de nos pensées charnelles et tente de nous influencer en diffusant vers notre cerveau des ondes maléfiques dans le but de jouer sur nos faiblesses particulières. Voilà comment opère l’Adversaire, car il ne peut nous apparaître et nous contacter directement. Dieu ne le lui permet pas.

Satan connaît nos faiblesses et s’y concentre. Or, plusieurs personnes inquiètes en ce qui a trait au péché impardonnable trébuchent sur le sens à donner au mot « faiblesse ». Comme je l’ai écrit un peu plus haut, ils croient que pécher par faiblesse est uniquement se faire prendre par surprise et succomber au péché avant d’en prendre vraiment conscience. Ils en déduisent ainsi que le péché conscient, prémédité, fait de manière « volontaire », n’est pas un péché par « faiblesse » et, à leurs yeux, cela s’avère bien plus grave. Donc, ne réalisant pas ce que veut dire « faiblesse », ils vivent dans la peur d’avoir commis le péché impardonnable.

Or, une faiblesse n’est pas la réaction du croyant face à la tentation, mais un défaut dans son caractère charnel. Par exemple, une personne peut avoir de la difficulté à résister aux désirs sexuels. C’est sa faiblesse. Alors, peu importe si la tentation arrive fortuitement ou qu’elle soit longuement mijotée, des deux manières la tentation s’attaque à sa faiblesse.

Conséquemment, tous les péchés sont le résultat d’une faiblesse. Tous, sans exception. Même si un péché est prémédité, il résulte d’une faiblesse enracinée dans notre nature charnelle. C’est cette nature qui VEUT pécher. Elle le veut d’une manière consciente et elle se montre volontairement faible devant la tentation. Le seul qui n’ait jamais péché par faiblesse, c’est notre Seigneur Jésus-Christ, parce qu’Il était SANS faiblesse. Il n’a pas hérité de la nature charnelle de l’homme, et « l’homme spirituel » Le remplissait parfaitement. « Car Celui que Dieu a envoyé annonce les paroles de Dieu ; car Dieu ne Lui donne point l’Esprit par mesure » (Jean 3:34). Tandis que nous, nous héritons de la nature charnelle depuis le péché d’Adam et Ève.

Alors, si une personne médite dans ses pensées sur un péché qu’elle a envie de commettre, c’est que Satan nourrit ses pensées charnelles par les ondes qu’il lance vers son cerveau et le chrétien, mal affermi, tombe dans le piège satanique et mijote des idées malsaines le poussant à se mettre en situation de pécher. Cette pauvre personne ne peut résister à cela de par ses propres forces.

C’est exactement le combat dont l’apôtre Paul parlait et qui se déroule entre le spirituel et le charnel. Et, invariablement, le chrétien qui perd ses combats à répétition le fait parce qu’il néglige de nourrir l’homme intérieur spirituel. Bien que l’Esprit l’avertisse qu’il s’apprête à commettre un péché, sa nature charnelle est encore trop forte et repousse les alertes de l’Esprit. Le combat peut s’étirer dans le temps, jusqu’à la consommation du péché. Puis, le chrétien se laisse aller au désespoir, c’est-à-dire, exactement là où voulait le voir Satan, car son but n’est pas tant de nous voir pécher comme de nous voir sombrer dans la désespérance et l’abandon. Alors, nous avons honte de nous présenter devant Dieu. Puis, une autre tentation arrive et nous succombons plus facilement ; et nous avons la sensation de nous trouver dans le sable mouvant et de nous enfoncer lentement.

La commission du péché, contrairement à ce que semblent croire un grand nombre de chrétiens, n’est pas le but ultime de Satan. Dans son plan de perdition, le péché est la première étape seulement. Il ne sert à rien à Satan de nous voir pécher si nous demandons immédiatement pardon à Dieu et nous relevons pour continuer notre cheminement spirituel. Ce que cherche Satan, c’est que nous cessions de demander pardon. Ensuite, que nous arrêtions de prier, de lire la Parole et de l’étudier. Il veut que nous ne nourrissions plus l’homme intérieur spirituel en nous jusqu’au point où nous voudrons le rejeter. Nous reparlerons de cela dans les explications au sujet du péché impardonnable.

Alors, ne sous-estimez pas la puissance de l’Esprit de Dieu en vous qui vous fera réaliser l’horreur de votre situation et qui vous rappellera sans cesse la quête du pardon de Dieu. Bien sûr, dans ces conditions, le chrétien a tendance à penser qu’il a tellement péché que le pardon est hors de portée et que la patience de Dieu doit être épuisée en ce qui le regarde. Mais il n’est écrit nulle part dans les Écritures que la patience de Dieu est à l’image de la patience des hommes. Bien au contraire, Dieu ne Se détourne jamais de Ses enfants au cœur contrit et brisé. Remarquez ce que Pierre avait demandé à Jésus concernant le pardon : « Seigneur, jusques à combien de fois mon frère péchera-t-il contre moi, et je lui pardonnerai ? sera-ce jusqu’à sept fois ? Jésus lui répondit : je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à sept fois septante [soixante-dix] fois » (Matthieu 18:22). Donc, jusqu’à quatre cent quatre-vingt-dix fois et, de cette façon, Jésus voulait dire toujours. Croyez-vous que le Seigneur aurait demandé cela de Ses disciples si Dieu ne pouvait pas pardonner bien davantage ?

Avez-vous déjà entendu un père ou une mère dire à son enfant : « Je te pardonne pour cette fois, mais ne recommence plus, sinon… » ? Sinon quoi ? Sinon le parent reniera son enfant et le chassera de sa maison ? Bien sûr que non. Il ou elle veut dire « sinon je devrai te punir ». Et c’est ainsi que Dieu doit agir parfois lorsque Son enfant chrétien se ramollit devant les tentations et qu’il succombe à répétition. Dieu le punit un instant pour que le chrétien réfléchisse et mette de l’ordre dans sa vie, qu’il se repente en revenant vers Lui et qu’il rétablisse ses priorités sur des bases divines.

C’est précisément ce que le roi David a vécu dans l’affaire Urie, ce qui nous sert d’exemple vivant du combat chrétien. Certaines personnes pensent que David a commis ses péchés sur un coup de tête parce qu’elles ne peuvent dire que David avait commis le péché impardonnable étant donné son statut devant Dieu et le poste qu’il occupera dans le Royaume de Christ. D’ailleurs, Dieu qualifia ainsi David : « J’ai trouvé David, fils de Jessé, un homme selon mon cœur, et qui fera toute ma volonté » (Actes 13:22). Ici, Paul citait 1 Samuel 13:14. Imaginez si David avait commis le péché impardonnable, combien de passages des Écritures auraient dû être modifiées par Dieu avant leur rédaction. Néanmoins, ces personnes demeurent convaincues que les gens qui ont agi comme David ont bel et bien commis le péché impardonnable !

D’autres individus disent que le roi David ne possédait pas le Saint-Esprit parce que celui-ci n’aurait été rendu disponible qu’à partir de la Pentecôte. Alors, soit que ces gens-là veulent protéger une fausse doctrine (le dispensationalisme, par exemple), soit qu’elles ne connaissent ni ne lisent la Bible. Dans les deux cas, c’est lamentable.

Examinons donc ce que disent les Écritures. Jean-Baptiste est né six mois avant Jésus. Or, il est écrit, dans Luc 1:15 : « …car il [Jean-Baptiste] sera grand devant le Seigneur, et il ne boira ni vin, ni cervoise ; et il sera rempli du Saint-Esprit dès le ventre de sa mère. » Et quant à sa mère, justement : « Et il arriva qu’aussitôt qu’Élisabeth eut entendu la salutation de Marie, le petit enfant [Jean-Baptiste] tressaillit dans son ventre, et Élisabeth fut remplie du Saint-Esprit » (v. 41). Et notez que son père ne fut pas en reste : « Alors Zacharie, son père, fut rempli du Saint-Esprit et prophétisa » (v. 67). Et un peu plus loin, on lit ceci : « Or, voici, il y avait à Jérusalem un homme qui avait nom Siméon, et cet homme était juste et craignant Dieu ; et il attendait la consolation d’Israël [la venue du Messie], et le Saint-Esprit était EN lui » (Luc 2:25). Toutes ces personnes ont reçu le Saint-Esprit avant la Pentecôte, pendant qu’elles étaient sous l’Ancienne Alliance !

Alors se peut-il que le roi David ait eut le Saint-Esprit pour être un homme selon le cœur de Dieu ? Lisez ce qu’il a écrit dans le Psaume 51, juste après avoir commis ses péchés avec Bath-Sébah et contre Urie, son mari : « Ne me rejette point loin de ta face, et ne m’ôte pas ton Esprit-Saint » (v. 11). Ne croyez-vous pas que, pour demander à Dieu de ne pas lui ôter Son Esprit, il fallait d’abord que David le possède ? Oui, le Roi David avait le Saint-Esprit, et ce depuis l’onction d’huile que le prophète Samuel lui avait administrée pour le faire successeur de Saül.

Or, si nous lisons attentivement le compte-rendu de ses péchés avec Bath-Sébah et contre Urie, il est parfaitement clair que David n’a pas agi sous un coup de tête. Il a de toute évidence prémédité de coucher avec Bath-Sébah et de faire tuer Urie. Le coup était préparé. Il observa d’abord, du haut de sa terrasse royale, la belle dame qui prenait son bain. Puis, il élabora un plan pour faire tuer Urie pendant la guerre. On ne peut prétendre que David fut ignorant de ce qu’il faisait ou d’avoir été victime d’une « faiblesse passagère ». Ceux qui le croient se mentent à eux-mêmes et se montrent de mauvaise foi.

David était manifestement dans un creux spirituel. Il expérimentait un passage à vide, comme cela nous arrive à tous occasionnellement. Dans sa nature charnelle, il avait pour faiblesse de caractère la convoitise des femmes. La Bible nous dit qu’il a eu plusieurs épouses en même temps. Son fils Salomon, malgré sa légendaire sagesse, hérita de ce défaut à un point tel qu’il sombra dans le paganisme à la fin de sa vie.

En remarquant Bath-Sébah pour la première fois, un combat a dû faire rage en David. Mais il laissa sa nature charnelle prendre le dessus. Il savait fort bien qu’il allait commettre un péché, mais il n’arrivait pas à se tirer des griffes de la chair. Celle-ci a probablement mené David a se bâtir des excuses pour se donner raison d’agir comme il l’a fait. Nous savons ce que c’est. L’influence de Satan par la puissance de l’air. Combien de temps toute cette aventure a-t-elle duré ? La Bible ne le dit pas, mais la succession des événements du récit nous montre que cela a pu s’étendre sur des jours, voire des semaines. Toutefois, après la mort d’Urie, Dieu décida d’envoyer Son serviteur Nathan.

Pourquoi Dieu a-t-Il attendu que David ait commis ses péchés avant d’intervenir ? N’aurait-Il pas pu l’empêcher de tomber dans la tentation ? Mais alors, Il aurait interféré avec le libre choix de David, libre-choix qu’Il lui avait accordé dès sa naissance. Non, Dieu a laissé agir David parce qu’Il connaissait son cœur et savait qu’il allait éventuellement se repentir. L’Éternel voulait en profiter pour mettre par écrit une grande leçon qui allait profiter à de nombreuses générations de Ses enfants par la suite. Vous qui lisez ceci, vous êtes en train de prendre connaissance de ces leçons.

Quand Nathan se présenta devant le roi et lui fit comprendre que Dieu avait révélé à son prophète les péchés de David, celui-ci, rempli de honte, s’écria à Nathan : « J’ai péché contre l’Éternel » (2 Samuel 12:13).

Selon les critères de plusieurs, ce qu’a fait David aurait censé avoir été considéré comme un péché impardonnable et il aurait dû être condamné. Or, voici ce qui est écrit dans le même verset : « Nathan dit à David : Aussi l’Éternel a fait passer ton péché ; tu ne mourras point. » Non seulement Dieu a-t-Il pardonné à David, mais Il l’a fait immédiatement, dès que David eut confessé sa faute. Pourquoi ? Parce que Dieu regarde au cœur et connaît la pensée de l’homme. Dieu savait que, malgré ses fautes et ses faiblesses, David ne Le rejetterait jamais, qu’il avait une bonne attitude et agissait selon Son cœur. Oh, certains diront que David, en péchant de la sorte, n’a certainement pas fait la volonté de Dieu. Mais qu’elle est la volonté de Dieu ? Que nous ne péchions jamais ? Notre Créateur sait mieux que quiconque que cela nous est impossible à cause de notre chair. Alors, qu’est-ce que faire la volonté de Dieu ?

« Si nous disons que nous n’avons point de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés, et nous nettoyer de toute iniquité. Si nous disons que nous n’avons point de péché, nous le faisons menteur, et sa parole n’est point en nous » (1 Jean 1:8-10). Jean faisait-il une différence entre « pécher avec la connaissance » ou « pécher sans la connaissance » ? Non, et il dit au verset suivant : « Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point ; que si quelqu’un a péché, nous avons un avocat envers le Père, savoir Jésus-Christ, le Juste » (1 Jean 2:1).

Voilà ce qu’est la volonté de Dieu. Si nous péchons – peu importe le péché et peu importe si nous avons la conscience de notre péché – nous nous présentons devant Son trône et nous Lui demandons en toute sincérité de nous pardonner et de nous rendre plus fort et plus sage lorsqu’une autre tentation surviendra. C’est ce que la Bible appelle « persévérer dans la foi ».

Satan agit toujours en contrefaçon de Dieu. Il nous tente pour que nous péchions, mais il ne s’arrête pas là. Il veut ensuite que nous nous découragions au point de ne pas nous présenter devant le trône de Dieu et Lui demander Son pardon. Et il voudrait que nous persévérions dans notre inertie jusqu’à devenir rebelle jusqu’à la toute fin et que nous soyons anéanti par la sentence du péché impardonnable. Au contraire, Dieu sait que nous allons tomber occasionnellement devant la tentation, mais ce qui Lui importe vraiment, c’est notre réaction face à cette défaite. Il veut nous voir persévérer à Lui demander Son pardon, à nous relever et à continuer notre cheminement spirituel jusqu’au retour de Christ. La persévérance dans la foi est plus importante que la défaite ou la victoire devant les tentations. C’est d’ailleurs cette persévérance qui nous amènera à pécher de moins en moins et à ressembler de plus en plus à notre Seigneur et Sauveur.

Cependant, dans l’exemple de David, Dieu nous donne aussi une autre leçon. Un père châtie son enfant pour que l’instruction pénètre plus profondément. Alors, même si Dieu a pardonné à David, Il l’a quand même puni sévèrement, suite à ses péchés, non seulement au bénéfice de David, mais également pour que cela serve aux enfants de Dieu à travers les âges.

Dieu nous accorde donc Son pardon lorsque nous nous présentons devant Lui aussi souvent que nous péchons et nous repentons. Mais lorsque la chose arrive à répétition à cause d’une faiblesse que nous n’arrivons à vaincre, Dieu n’hésitera pas à intervenir et à nous punir afin de nous secouer et nous amener à faire des changements importants dans notre vie. Un passage des Proverbes résume comment Dieu peut agir avec chacun de Ses petits enfants. En s’adressant aux parents, Il dit : « Applique ton cœur à l’instruction et tes oreilles aux paroles de science. N’écarte point du jeune enfant la correction ; quand tu l’auras frappé de la verge, il n’en mourra point. Tu le frapperas avec la verge, mais tu délivreras son âme du sépulcre » (Proverbes 23:12-14).

Dieu peut donc choisir de punir ou non un de Ses enfant s’Il juge que le besoin s’en fait sentir, mais Il ne refuse JAMAIS Son pardon à celui qui se repent avec sincérité. Le prix qu’Il a payé est trop grand pour que Sa patience soit aussi courte que celle des hommes.

Comment vaincre la nature charnelle par les exercices spirituels

Les péchés sont ainsi le résultat de nos faiblesses, des défauts de caractère que nous traînons dans notre chair. Satan connaît chacune de nos faiblesses et il s’attaque à notre chair pécheresse pour nous faire tomber. Il ne s’attaque pas à notre homme spirituel habité du Saint-Esprit. Il sait qu’il ne peut combattre l’Esprit de Dieu en nous. Alors il pousse notre nature charnelle à faire le sale boulot. Si nous ne sommes solidement ancrés au Rocher de notre salut, nous serons ballottés et nous tomberons.

Comment pouvons-nous sortir de ce maelstrom spirituel ? Comment pouvons-nous arriver à faire le bien que nous voulons faire et éviter le mal que nous ne voulons pas faire ? « Car sans moi, vous ne pouvez rien faire », a bien spécifié Jésus, dans Jean 15:5. Mais bien sûr ! Voilà précisément notre solution : Christ en nous peut vaincre la tentation qui nous assaille. Mais comment Le laisser agir ? La majorité des croyants connaissent déjà la réponse, mais en négligent la pratique.

  • Priez Dieu le Père en Lui confiant tous vos sentiments face aux tentations. Parlez-Lui comme vous parlez à un ami intime. Réalisez vraiment que Dieu connaît toutes vos pensées et le fond de votre cœur, car Il vous a fabriqué cellule par cellule et Il savait avant le début de la création qu’Il vous créerait, vous personnellement. Votre nom est écrit dans Son Livre de Vie depuis tout ce temps. Il sait ce que vous avez fait, ce que vous faites et ce que vous ferez dans l’avenir. Il est donc futile d’être embarrassé de Lui parler en toute franchise et de tout votre cœur, car Il est votre plus grand secours, votre aide infiniment précieuse et toute-puissante.
  • Lisez chaque jour la Parole de Dieu, lentement, en vous concentrant sur ce que vous lisez. Ce faisant, vous mangez le Pain de vie qui nourrit l’homme intérieur. Sans vous en rendre compte, vous assimilerez les pensées de Dieu et en viendrez peu à peu à changer votre vision du monde et des choses.
  • Chaque jour, étudiez la Parole de Dieu. Plus que la simple lecture, l’étude vous donnera la viande solide pour devenir un « homme fait et aguerri ». Écrivez dans un cahier les versets qui vous interpellent et les réflexions qu’ils vous suscitent. Cherchez les passages parlant d’un même sujet. Procurez-vous une concordance ou téléchargez un logiciel biblique pour vous aider dans vos recherches. Vous serez étonnés des progrès que vous ferez dans la compréhension des Écritures.
  • Plutôt que de mijoter une tentation à laquelle vous succomberez, méditez sur la pensée de Dieu concernant votre faiblesse ; réfléchissez aux conséquences de succomber à la tentation, sur le témoignage que vous rendez sur la terre, au scandale qu’occasionne votre chute, sur le mal que le péché vous fait subir personnellement ou fait subir à votre entourage. Analysez votre problème en ce sens plutôt que de perdre votre temps à rêvasser sur les plaisirs éphémères du péché.
  • Usez de sagesse, d’intelligence et de discipline pour éviter les occasions de pécher, les endroits inappropriés et les mauvaises relations avec des gens qui vous entraînent au mal. Cela voudra peut-être dire d’apporter des changements importants à votre style de vie, car un chrétien qui se détourne du monde ne fait plus toutes les choses malsaines qu’il faisait auparavant. Coupez les liens avec les personnes dont l’influence est néfaste. Nettoyez peu à peu votre vie. Dieu appelle Ses enfants à sortir de Babylone. Or, Babylone n’est pas un lieu précis, c’est la façon charnelle de vivre.

Nous pourrions appeler les points précités des exercices spirituels. Prenez l’exemple d’une personne qui a décidé de se mettre physiquement en forme parce que son tonus est trop faible et qu’elle manque d’énergie et de force. Elle se procure une méthode efficace d’entraînement éprouvé et débute ses séances. Au début, elle ressent de la fatigue, de la douleur et constate la faible performance de ses muscles. Elle est plusieurs fois tentée de tout laisser tomber, mais elle sait qu’elle doit persister. Alors elle continue et, à mesure que le temps passe, ses muscles se raffermissent et grossissent, ils acquièrent de la résistance et augmentent en performance. Peu à peu, la personne peut exécuter des séances plus intenses et plus longues. Elle s’aperçoit que, non seulement ses muscles ne lui font plus mal, mais ils ont maintenant tellement d’énergie qu’ils ont besoin d’exercices. Plus la personne avance et plus les séances sont faciles et bénéfiques.

Le même phénomène se produit quant aux exercices spirituels. Au début de vos études de la Bible, il se peut que vous ne compreniez pas grand-chose de ce que vous lisez, que vous vous lassiez et soyez tentés de tout laisser tomber. Mais si vous persévérez, les morceaux du grand casse-tête divins commenceront à se mettre en place et vous vous apercevrez que vous pensez de plus en plus en fonction de ce que vous voyez dans les Écritures. Vous serez bientôt à même de répondre aux questions que vous vous posiez au début. Vous saisirez la grande ligne directrice du Plan de Dieu pour les hommes. Vous ne voudrez plus abandonner cette Manne salvatrice et vos heures d’étude augmenteront pour votre plus grand bien.

S’il vous arrive encore parfois de tomber dans la tentation, vous ne désespérerez pas, car vous aurez les outils pour revenir plus fort, par la prière, la lecture et l’étude, la méditation et même par le jeûne dans les moments difficiles.

Cependant, ne vous faites pas l’illusion que vous devez « mériter » le pardon de Dieu. Les exercices spirituels que nous venons de voir ne vous méritent pas le salut. Ce sont des outils pour que vous persévériez dans le salut que Dieu vous donne gratuitement. Le salut ne vient pas des œuvres, il nous vient par la grâce que Dieu nous a faite de venir en chair sur terre pour payer à notre place l’amende encourue par nos péchés. Jésus-Christ, de par Sa justice parfaite, nous a mérité le pardon et le salut.

Alors, peu importe si le péché que vous avez commis vous dégoûte – et il doit vous dégoûter – cela ne doit pas vous empêcher de vous présenter humblement devant le Père au ciel pour recevoir le pardon qu’Il veut vous accorder. Ne Lui empêchez pas ce plaisir à cause de votre gêne mal placée. Il n’y a rien qui puisse ébranler Dieu ou Le surprendre. Plus votre péché est grave à vos yeux, plus Dieu sait jusqu’à quel point vous avez besoin de Lui, de son aide et de Son pardon pour avoir l’âme soulagée. Le découragement est une arme de Satan pour vous faire abandonner. Évitez ce piège en vous présentant promptement devant le trône de Dieu et en reprenant de plus bel vos exercices spirituels pour nourrir votre être intérieur rempli de l’Esprit.

Puis, allez de l’avant en ayant conscience que vous êtes à nouveau lavé et justifié aux yeux du Seigneur. « La justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus-Christ, s’étend à tous et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a nulle différence, vu que tous ont péché, et qu’ils sont entièrement privés de la gloire de Dieu » (Romains 3:22).

Le péché impardonnable

Le combat que mènent tous les chrétiens est la lutte que se livrent la nature charnelle et la nature spirituelle en chacun de nous. Cela n’a rien à voir avec le péché impardonnable. Toutefois, celui-ci existe bel et bien. Tous les péchés conduisent à la première mort. Mais ils sont effacés de devant Dieu lorsque nous nous présentons en prière devant Lui et que nous Lui demandons de les pardonner en appliquant le sang de notre Seigneur Jésus-Christ sur nos péchés. En persévérant dans cette démarche, nous revivrons en Lui dans la vie éternelle. Or, quel est ce péché singulier que Dieu ne pardonne pas et qui mène à la mort seconde mentionnée dans Apocalypse 20:14 ? « Et la mort et l’enfer furent jetés dans l’étang de feu : c’est la mort seconde. » De plus, nous voyons qui y seront jetés : « Mais quant aux timides, aux incrédules, aux exécrables, aux meurtriers, aux fornicateurs, aux empoisonneurs, aux idolâtres et à tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, qui est la mort seconde. (Apocalypse 21:8).

Mais n’avons-nous pas commis de ces péchés-là avant notre conversion et même après ? N’avons-nous pas été pardonnés ? Pourquoi Dieu nous aurait-Il pardonné si ces péchés mènent à la mort seconde ? Qu’est-ce qui fait que ces péchés pourraient devenir impardonnables ? Nous allons voir que, de par eux-mêmes, tous ces péchés sont pardonnables, mais ils peuvent devenir impardonnables si l’attitude du pécheur est mauvaise et persistante. Comment cela survient-il ?

Notre Seigneur nous a donné des indices importants sur la nature de ce péché. Voyons un passage généralement cité pour décrire le péché impardonnable. Les Pharisiens n’aimaient pas l’attention que la foule portait aux Paroles et aux miracles de Jésus-Christ et ils ne rataient aucune occasion pour Le critiquer, Le dénigrer et Le décrier.

« Mais les Pharisiens ayant entendu cela, disaient : celui-ci ne chasse les démons que par Béelzébul, prince des démons. Mais Jésus connaissant leurs pensées, leur dit : tout Royaume divisé contre soi-même sera réduit en désert ; et toute ville, ou maison, divisée contre soi-même ne subsistera point. Or si Satan jette Satan dehors, il est divisé contre soi-même ; comment donc son Royaume subsistera-t-il ? Et si je chasse les démons par Béelzébul, par qui vos fils les chassent-ils ? c’est pourquoi ils seront eux-mêmes vos juges. Mais si je chasse les démons par l’Esprit de Dieu, certes le Royaume de Dieu est venu jusqu’à vous. Ou, comment quelqu’un pourra-t-il entrer dans la maison d’un homme fort, et piller son bien, si premièrement il n’a lié l’homme fort ? et alors il pillera sa maison. Celui qui n’est point avec moi, est contre moi ; et celui qui n’assemble point avec moi, il disperse. C’est pourquoi je vous dis, que tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne leur sera point pardonné. Et si quelqu’un a parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais si quelqu’un a parlé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni en ce siècle, ni en celui qui est à venir » (Matthieu 12:24-32).

Voyons maintenant Marc 3:28-30 qui nous donne des renseignements additionnels. « En vérité je vous dis, que toutes sortes de péchés seront pardonnés aux enfants des hommes, et aussi toutes sortes de blasphèmes par lesquels ils auront blasphémé ; mais quiconque aura blasphémé contre le Saint-Esprit, n’aura jamais de pardon, mais il sera soumis à une condamnation éternelle. Or c’était parce qu’ils disaient : il est possédé d’un esprit immonde. »

Puis, Luc 12:8-10 jette encore plus de lumière sur ces paroles de Jésus : « Or je vous dis, que quiconque me confessera devant les hommes, le Fils de l’homme le confessera aussi devant les Anges de Dieu. Mais quiconque me reniera devant les hommes, il sera renié devant les Anges de Dieu. Et quiconque parlera contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné ; mais à celui qui aura blasphémé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera point pardonné. »

Nous avons donc tous les éléments pour comprendre ce que voulait dire Jésus par le blasphème contre l’Esprit. Commençons tout d’abord par le passage de Luc où Christ dit : « …quiconque me confessera devant les hommes, le Fils de l’homme le confessera aussi devant les Anges de Dieu ». Confesser Jésus devant les hommes, c’est témoigner ouvertement devant les hommes que Jésus est le Sauveur, le seul moyen de salut, comme l’a déclaré l’apôtre Pierre devant la foule : « Sachez, vous tous et tout le peuple d’Israël, que ç’a été au Nom de Jésus-Christ le Nazarien, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts ; c’est, dis-je, en son Nom, que cet homme qui parait ici devant vous, a été guéri. C’est cette Pierre, rejetée par vous qui bâtissez, qui a été faite la pierre angulaire. Et il n’y a point de salut en aucun autre : car aussi il n’y a point sous le ciel d’autre Nom qui soit donné aux hommes par lequel il nous faille être sauvés » (Actes 4:10-12)

Alors, si confesser le Fils de l’homme veut dire témoigner que le salut se trouve en Jésus-Christ seul, par opposition, renier le Fils de l’homme, Jésus-Christ, c’est donc nier devant les hommes que Jésus-Christ est la voie du salut. Or, dans Luc 12, renier le Christ est distingué de « parler contre le Fils de l’homme » parce que ceci peut être pardonné. Cependant, renier le Fils de l’homme est l’équivalent de blasphémer contre le Saint-Esprit. Et cela ne sera pas pardonné.

Dans le passage de Marc 3, nous voyons que tous les péchés seront pardonnés, et même tous les blasphèmes, car, dans le passage de Matthieu 12, il est bien écrit « tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes » ; donc, « toutes sortes de péché » veut bien dire « tout péché ». Toutefois, le « blasphème contre le Saint-Esprit » c’est-à-dire, comme nous venons de le voir dans Luc 12, « renier le Fils de l’homme devant les hommes », « n’aura point de pardon ». Et nous voyons aussi que « blasphémer contre l’Esprit », c’est « parler contre le Saint-Esprit », et donc, du même fait, « renier le Fils de l’homme », Jésus-Christ.

Les athées et les membres des autres religions renient-ils Jésus-Christ ? Il est évident qu’ils ne croient pas que Jésus-Christ soit le Messie, et certains iront même jusqu’à le blasphémer ; mais, alors pourquoi ? Premièrement, ils ne connaissent pas le Christ et, deuxièmement, ils n’ont pas le Saint-Esprit pour les éclairer. Voilà pourquoi ceux qui condamnent les Pharisiens qui ne reconnaissaient pas le Christ en Jésus, et croyaient qu’Il faisait des miracles au nom de Satan, sautent trop vite aux conclusions. N’oubliez pas qu’après la Pentecôte, « …un grand nombre aussi de sacrificateurs obéissaient à la foi » (Actes 6:7).

Jésus n’a pas dit aux Pharisiens que c’étaient eux qui avaient blasphémé contre le Saint-Esprit, « C’était parce qu’ils disaient : Il est possédé d’un esprit immonde » qu’Il en a profité pour enseigner une distinction importante.

Bien sûr, si nous n’avions que ces trois passages pour expliquer ce qu’est le blasphème contre le Saint-Esprit, il nous serait encore difficile de comprendre ; mais il existe d’autres passages pour nous éclairer davantage. Jésus a utilisé de nombreuses paraboles et des comparaisons pour enseigner Ses disciples. Or, dans ces paraboles, le Christ prenait souvent l’occasion pour insérer des instructions qui, à prime abord, ne semblaient pas avoir un rapport avec le sujet principal dont Il traitait.

En voici deux où Il a introduit des renseignements concernant le péché impardonnable. Mais la plupart des gens ne font pas le lien, car ils sont uniquement concentrés sur l’objet principal de la parabole. Commençons par Luc 19:11-27. Dans ce passage, Jésus conte la parabole des dix marcs d’argent distribués à dix des serviteurs d’un seigneur.

« Et comme ils entendaient ces choses, Jésus poursuivit son discours, et proposa une parabole, parce qu’il était près de Jérusalem, et qu’ils pensaient qu’à l’instant le Règne de Dieu devait être manifesté. Il dit donc : un homme noble [Jésus-Christ] s’en alla dans un pays éloigné [le ciel], pour se mettre en possession d’un Royaume [le Royaume de Dieu sur terre à venir bientôt], mais dans la vue de revenir. Et ayant appelé dix de ses serviteurs [des disciples et des pasteurs], il leur donna dix marcs d’argent [des dons spirituels] et leur dit : Faites-les valoir jusqu’à ce que je vienne. [Mais remarquez bien ce qui suit.] Or ses citoyens [les Juifs et les anciens] le haïssaient : c’est pourquoi ils envoyèrent après lui une députation, pour dire : nous ne voulons pas que celui-ci règne sur nous. Il arriva donc après qu’il fut retourné, et qu’il se fut mis en possession du Royaume, qu’il commanda qu’on lui appelât ces serviteurs à qui il avait confié son argent, afin qu’il sût combien chacun aurait gagné par son trafic. » Vient ensuite la revue des serviteurs par le maître et son appréciation de la fructification de son argent.

Reprenons au verset 20 : « Et un autre vint, disant : Seigneur, voici ton marc que j’ai tenu enveloppé dans un linge ; car je t’ai craint, parce que tu es un homme sévère; tu prends ce que tu n’as point mis, et tu moissonnes ce que tu n’as point semé. [Voilà bien l’attitude d’un homme qui ne veut pas servir Dieu.] Et il lui dit : méchant serviteur, je te jugerai par ta propre parole [Dieu va juger cet homme selon le choix qu’il aura librement fait de Le rejeter] : tu savais que je suis un homme sévère, prenant ce que je n’ai point mis, et moissonnant ce que je n’ai point semé [c’est l’opinion que ce genre d’homme se fait de Dieu] ; pourquoi donc n’as-tu pas mis mon argent à la banque, et à mon retour je l’eusse retiré avec l’intérêt ? [Il a refusé de faire fructifier les dons spirituels que Dieu lui avait donnés afin d’évangéliser et de porter témoignage.] Alors il dit à ceux qui étaient présents : Ôtez-lui le marc, et donnez-le à celui qui a les dix. Et ils lui dirent : Seigneur, il a dix marcs. Ainsi je vous dis, qu’à chacun qui aura, il sera donné ; et à celui qui n’a rien, cela même qu’il a, lui sera ôté. Au reste, amenez ici ces ennemis qui n’ont pas voulu que je régnasse sur eux, et tuez-les devant moi. » C’est cette petite instruction que les gens survolent sans en percevoir tout le sens.

Voilà pourtant ce qui explique le péché impardonnable et sa conséquence éternelle. Quelque personne que ce soit qui, en toute connaissance de cause et de façon volontaire et délibérée, persiste jusqu’à la fin à refuser que le Christ-Roi règne sur elle est vouée à la seconde mort qui est éternelle. Ce sont ces gens-là qui seront jetés dans le feu de la géhenne.

Pour Se faire bien comprendre de Ses disciples, Jésus a utilisé une autre parabole que nous allons aussi examiner. Il est écrit, dans Matthieu 21:33-46 :

« Ecoutez une autre similitude : il y avait un père de famille [Dieu le Père] qui planta une vigne [le peuple élu], et l’environna d’une haie [la loi], et y creusa un pressoir, et y bâtit une tour ; puis il la loua à des vignerons [les Lévites, les sacrificateurs, puis les pharisiens, les scribes et les anciens], et s’en alla dehors. Et la saison des fruits étant proche, il envoya ses serviteurs [les premiers prophètes] aux vignerons, pour en recevoir les fruits. Mais les vignerons ayant pris ses serviteurs, fouettèrent l’un, tuèrent l’autre, et en assommèrent un autre de pierres. Il envoya encore d’autres serviteurs [les petits prophètes jusqu’à Zacharie et Malachie] en plus grand nombre que les premiers, et ils leur en firent de même. Enfin, il envoya vers eux son propre fils [Jésus-Christ, Emmanuel], en disant : ils auront du respect pour mon fils. Mais quand les vignerons virent le fils, ils dirent entre eux : celui-ci est l’héritier ; venez, tuons-le [“Crucifie-Le !”], et saisissons-nous de son héritage [le Royaume de Dieu]. L’ayant donc pris, ils le jetèrent hors de la vigne [Jésus fut crucifié hors des murs de Jérusalem], et le tuèrent. Quand donc le Seigneur de la vigne sera venu [le retour du Christ-Roi], que fera-t-il à ces vignerons ? Ils [les Pharisiens de l’époque de Jésus qui s’apprêtaient à le tuer] lui dirent : il les fera périr malheureusement comme des méchants, et louera sa vigne à d’autres vignerons [les pasteurs de la véritable Église], qui lui en rendront les fruits en leur saison. Et Jésus leur dit : n’avez-vous jamais lu dans les Ecritures : “la pierre [Jésus-Christ] que ceux qui bâtissent ont rejetée, est devenue la maîtresse pierre du coin ; ceci a été fait par le Seigneur, et c’est une chose merveilleuse devant nos yeux” ? C’est pourquoi je vous dis, que le Royaume de Dieu vous sera ôté [le Royaume a été ôté des mains des Juifs qui voulaient s’en emparer sans avoir Dieu comme Roi, et il a été donné à l’Église des croyants en Christ qui acceptent joyeusement que Celui-ci soit leur Roi et Maître], et il sera donné à une nation qui en rapportera les fruits. Or celui qui tombera sur cette pierre en sera brisé ; et elle écrasera celui sur qui elle tombera. Et quand les principaux Sacrificateurs et les Pharisiens eurent entendu ces similitudes, ils connurent qu’il parlait d’eux. Et ils cherchaient à se saisir de lui, mais ils craignirent les troupes, parce qu’on le tenait pour un Prophète. »

Dans le passage de Matthieu, comme dans celui de Luc, il s’agit d’une race de vipères (c’est Christ Lui-même qui les appelle ainsi) qui, non seulement refuse le règne de Christ sur elle, mais veut aussi s’emparer du Royaume de Dieu… sans Dieu ! Leurs traditions (le Talmud babylonien et la Kabbale) leur promettent qu’il y aura une Utopie juive, un Nouvel Ordre Mondial dans lequel les Juifs seront leur propre Messie et règneront sur tous les Gentils.

Rendus à ce point, ils savent pertinemment qu’ils combattent Dieu en face et n’en tirent que de l’orgueil, sans ressentir aucun repentir. Or, sans ce repentir, Dieu ne peut leur pardonner contre leur gré, Il ne fera pas entrer dans son Royaume quelqu’un qui ne veut pas y être. Ils ont été créés avec le libre-choix et ils choisissent de dire non au salut de Dieu. Il va donc respecter leur choix et les renvoyer au néant d’où ils ont été tirés.

Nous voyons nettement que le péché impardonnable n’est pas un péché comme les autres ; mais c’est une attitude, un comportement général, une disposition d’esprit bien arrêtée chez ceux qui ont pour père le Diable de qui ils copient la rébellion ouverte. Nous allons voir un peu plus loin que Satan est l’exemple « par excellence » de l’être qui commet le péché impardonnable par son attitude vaniteuse, incroyablement orgueilleuse et qui refuse toute forme de soumission à son propre Créateur. Satan et consorts n’accepteront jamais de s’humilier devant Dieu et d’admettre qu’ils ont eu lamentablement tort. C’est l’attitude dont les apôtres nous mettent en garde.

Le Saint-Esprit est le signe en nous que nous reconnaissons la souveraineté de Dieu dans notre vie. Cependant, nous conservons notre libre-choix. Voilà pourquoi Dieu a créé l’homme de matière physique périssable. À un moment donné précis de notre vie, Dieu Se manifeste à nous et nous appelle au salut, nous faisant comprendre que, sans Son aide, sans son Saint-Esprit, il nous est impossible d’accéder à la vie éternelle qu’Il nous offre de façon gratuite. C’est alors que nous devons user de notre libre-choix :

  • Dire « oui », recevoir Son Esprit en nous et reconnaître Sa souveraineté sur nous, accepter qu’Il applique le sang de Son Fils sur nos péchés pour les effacer, persévérer jusqu’à la fin dans la foi et, ultimement, régner après la Résurrection comme rois sous la gouverne du Christ-Roi ; ou…
  • Dire d’abord « oui » à l’appel de Dieu et recevoir Son Esprit, mais cesser éventuellement de s’en servir, se rebeller contre la souveraineté de Dieu et refuser Sa gouverne dans notre vie en se disant que personne ne viendra nous dicter notre conduite. C’est un péché de nature impardonnable ; ou…
  • Dire « non » à l’appel manifeste de Dieu au salut, refuser Son Esprit sous prétexte que l’on ne veut pas que Dieu règne sur soi. C’est un péché de nature impardonnable parce que la personne refuse le pardon à cause du même orgueil démesuré qui habite Satan, le Diable.

Beaucoup de chrétiens sont encore confus quant à la nature du Saint-Esprit. En grande partie, cela est dû au fait qu’ils ont adopté le faux concept de la trinité. Mais le Saint-Esprit n’est pas une personne distincte : c’est la puissance de la pensée de Dieu. Notez bien ceci : si le Saint-Esprit était une Personne, eh bien, selon Matthieu 1:20, c’est lui qui serait le père de Jésus et non pas le Père Lui-même : « Mais comme il pensait à ces choses, voici, l’ange du Seigneur lui apparut dans un songe, et lui dit : Joseph, fils de David, ne crains point de recevoir Marie, ta femme : car ce qui a été conçu en elle, est du Saint-Esprit. »

En recevant le Saint-Esprit, le croyant est régénéré, son homme intérieur spirituel est engendré et il ou elle devient fils ou fille de Dieu. C’est ainsi le sceau spirituel par lequel le croyant démontre son appartenance au Seigneur, le Christ-Roi. Voilà pourquoi le blasphème contre le Saint-Esprit est le fait de rejeter le sceau d’appartenance à Dieu, mépriser Sa souveraineté dans notre vie et prendre le même chemin que Lucifer qui a chuté et est tombé du ciel pour devenir Satan. Dans le même sens, l’homme est aussi tombé la première fois lors du premier péché qu’il a commis dans sa vie. Il est tombé sous le coup de la condamnation. Mais Dieu a pourvu au moyen de le relever par le sacrifice de Christ. Or, si, après avoir été relevé, l’homme rejette volontairement le sacrifice pour retomber dans une vie de péchés, il n’y aura pas de pardon parce qu’il n’y a pas d’autre sacrifice. Comme Satan, ce pécheur refusera de demander pardon pour ses péchés. Car il ne croit plus que ce qu’il fait soit mal ; il remet en doute la prérogative de Dieu de lui interdire de faire tout ce que sa chair désire et qu’Il ait autorité sur lui. C’est une rébellion satanique qui nie que Dieu ait tous les droits de décréter ce qui est bien et ce qui est mal

« s’ils retombent… »

Hébreux 6:4-6 et 10:26-32 sont assurément des passages clés expliquant le péché impardonnable. Malheureusement, un manque de compréhension de certaines doctrines fondamentales des Écritures embrouille un grand nombre de croyants et les empêche d’en faire une lecture correcte. Citons donc ces versets :

« Or, il est impossible que ceux qui ont été une fois illuminés, et qui ont goûté le don céleste, et qui ont été faits participants du Saint-Esprit, et qui ont goûté la bonne Parole de Dieu, et les puissances du siècle à venir ; s’ils retombent, soient changés de nouveau par la repentance, vu que, quant à eux, ils crucifient de nouveau le Fils de Dieu, et l’exposent à l’opprobre » (Hébreux 6:4-6).

La plupart des gens qui lisent ces versets sont portés à fixer leur attention principalement sur deux éléments : « participants du Saint-Esprit » et « s’ils retombent ». C’est avec raison que la majorité s’entend pour dire que les personnes dont parle Paul ont effectivement reçu le Saint-Esprit. Mais ceux qui croient au calvinisme ou à une variante du salut inconditionnel, s’y refusent parce que cela démolit leur fausse croyance. Le verset est pourtant bien clair.

Cependant, l’expression « s’ils retombent » est automatiquement interprétée comme « si quelqu’un pèche à nouveau ». Voilà pourquoi le passage en entier leur semble si problématique, difficile à comprendre et encore plus à expliquer. Paul ne dit pas « s’ils retombent dans le péché » ; il dit simplement « s’ils retombent ». Ce sont les hommes qui ajoutent « dans le péché » à leur interprétation. Ils prennent pour acquis qu’il ne peut s’agir de rien d’autre. Ils lisent donc la suite, « qu’ils soient changés de nouveau par la repentance », sans en saisir le sens.

Détaillons le passage. Voyons de qui parlait Paul. Lorsque Dieu appelle une personne, celle-ci est illuminée par des vérités divines qui lui sont révélées, une connaissance nouvelle qui lui fait prendre conscience que Dieu existe réellement, et alors, elle goûte le don céleste du salut lui étant offert grâce au sacrifice de Christ sur la croix. Se repentant, elle se fait baptiser et reçoit le don inestimable du Saint-Esprit (Actes 2:38). Elle mange la Parole avec avidité et anticipe avec joie son entrée dans le Royaume de Dieu.

Donc, Paul parle d’une personne qui se convertit et devient fils ou fille de Dieu. Puis, Paul émet l’hypothèse d’une tragique éventualité : la perte de son salut. Paul parle de la possibilité qu’une personne pourrait retomber et qu’il lui serait alors impossible d’être à nouveau changée par la repentance. Étant donné que Paul dit « s’ils REtombent », c’est qu’ils sont d’abord tombés une première fois. Personne ne se souvient du premier péché qu’il a commis. Mais ce péché nous a effectivement fait tomber, mais dans quoi ? S’il s’agissait du péché, le deuxième que nous avons commis nous aurait déjà fait « retomber », et nous serions « retombés » des milliers de fois depuis lors. Même après notre conversion, quand Dieu nous a pardonné tous nos péchés passés, nous avons encore commis des péchés, et nous en commettons toujours, car notre combat n’est pas terminé contre notre nature charnelle. Alors, est-il sensé de dire que « retomber » veut dire « pécher à nouveau » puisque nous avons tous péché au moins une fois depuis notre conversion ? Quelle serait la conclusion logique et simple d’une telle conception ? Selon cette interprétation, PERSONNE ne pourrait être sauvé, car tous ont RE-péché.

Mais que veut dire Paul ? Qu’est-il donc arrivé lorsque nous avons péché pour la première fois et que l’iniquité fut trouvée en nous ? Essentiellement la même chose qu’avec Adam et Ève : NOUS SOMMES TOMBÉS SPIRITUELLEMENT MORTS !

En parlant des hommes non convertis, Jésus a dit : « Suis-moi, et laisse les morts ensevelir leurs morts » (Matthieu 8:22). Étant donné qu’un mort physique ne peut enterrer un cadavre, Jésus parlait de toute évidence des morts spirituels. Et Il poursuivit avec constance dans cette ligne de pensée au travers de Ses paroles. « En vérité, en vérité je vous dis : que celui qui entend ma parole, et croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle, et il ne sera point exposé à la condamnation, mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5:24). L’apôtre Paul l’avait fort bien compris et appliquait ce concept véridique dans ses écrits : « Car si par l’offense d’un seul la mort a régné par un seul, beaucoup plutôt ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce, et du don de la justice, régneront en vie par un seul, qui est Jésus-Christ … Afin que comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour conduire à la vie éternelle, par Jésus-Christ notre Seigneur » (Romains 5:17, 21). L’apôtre Jean l’avait aussi très bien saisi : « En ce que nous aimons nos frères, nous savons que nous sommes transférés de la mort à la vie : celui qui n’aime point son frère, demeure en la mort » (1 Jean 3:14).

Jésus et Ses apôtres parlaient évidemment de ceux qui sont tombés spirituellement morts. Un cadavre ne commet pas de péchés. Mais les morts spirituels sont ceux qui sont tombés dans le péché sans avoir été relevés. Et c’est ce que nous étions tous avant notre réconciliation avec Dieu par la foi dans le sacrifice de Christ. Notre état a donc été changé lors de notre repentance. C’est ce qu’explique fort bien l’apôtre Paul quand il dit : « Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, par Sa grande charité de laquelle Il nous a aimés ; lors, dis-je, que nous étions morts en nos fautes, Il nous a vivifiés ensemble avec Christ, par la grâce duquel vous êtes sauvés » (Éphésiens 2:4-5).

Pour que vous saisissiez bien que Paul parlait de morts spirituels, voyez ce qu’il a dit aux Romains, juste avant le passage cité plus haut : « Car si, lorsque nous étions ennemis nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de Son Fils, beaucoup plutôt étant déjà réconciliés, serons-nous sauvés par Sa vie » (Romains 5:10). Pour Paul « morts dans nos fautes » équivaut à « ennemis de Dieu ». Les cadavres physiques ne sont ennemis de personne ; les ennemis sont ceux qui ne sont pas réconciliés avec Lui ; spirituellement, ils sont sans vie.

Donc, quelque temps après notre naissance physique, le péché fut trouvé en nous et nous n’avions que notre nature charnelle pour combattre contre… notre nature charnelle. Mission impossible ! Sans le savoir à ce moment-là, nous avons crucifié le Fils de Dieu pour notre propre compte. Nous sommes alors TOMBÉS dans la mort spirituelle. Mais, bien des années plus tard, Dieu S’est manifesté à nous et Il nous a réconciliés avec Lui grâce à la mort physique de Son Fils. Alors, en mettant Son Esprit en nous, Dieu a engendré une nouvelle créature, l’homme intérieur, d’une nature spirituelle et Il nous a vivifiés par la repentance.

Toutefois, s’il advenait que nous retombions morts spirituellement, après avoir été réconciliés avec Dieu, nous ne pourrions être changés à nouveau par la repentance, car nous crucifierions à nouveau le Fils de Dieu. Or, il n’y a pas de second sacrifice de Christ, le premier ayant été amplement suffisant.

C’est exactement dans ce même sens que Paul a écrit aux Hébreux, un peu plus loin, au chapitre 10, des versets 26 à 32 : « Car si nous péchons volontairement [c’est-à-dire, si nous retombons volontairement et consciemment dans la mort spirituelle] après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés ; mais une attente terrible de jugement [la seconde mort physique], et l’ardeur d’un feu qui doit dévorer les adversaires. Si quelqu’un avait méprisé la loi de Moïse, il mourait sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins. De combien plus grand tourment pensez-vous donc que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu et qui aura tenu pour une chose profane le sang de l’alliance par lequel il avait été sanctifié et qui aura outragé l’Esprit de grâce ? Car nous connaissons Celui qui a dit : ”C’est à moi que la vengeance appartient, et je le rendrai, dit le Seigneur”. Et encore : ”Le Seigneur jugera Son peuple”. C’est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. Or, rappelez dans votre mémoire les jours précédents durant lesquels, après avoir été illuminés, vous avez soutenu un grand combat de souffrance [le combat entre la nature spirituelle et la nature charnelle]. »

Si vous comprenez convenablement le passage d’Hébreux 6, celui-ci devient clair et limpide. L’expression « si nous péchons volontairement » signifie que nous rejetons la vie de combat spirituelle et retournons à la mort spirituelle dont nous avions été relevés auparavant par le sacrifice de Christ ; nous voulons retourner à un style de vie de péchés sans plus chercher à nous en repentir. Nous nous mettons, non plus seulement à transgresser la loi de Christ, mais nous commençons à la mépriser, ce qui est beaucoup plus grave, car cela entraîne la mort seconde. Alors, Paul dit que, si ceux qui méprisaient la loi de Moïse, c’est-à-dire qui, non seulement la transgressaient, mais en plus ne voulaient plus vivre sous elle, mouraient sans miséricorde, imaginez ceux qui méprisent maintenant la loi de Christ de la Nouvelle Alliance et la rejettent en bloc, quel sera leur sort ? Il s’agit de plus qu’une transgression, consciente ou non ; il est littéralement question de fouler aux pieds le sacrifice du Fils de Dieu qui nous avait auparavant rachetés, profaner Son précieux sang qui avait jusque-là effacé tous nos péchés, faire outrage au Saint-Esprit de Dieu qui nous guidait jusqu’alors. Il s’agit d’autre chose que de simplement succomber à une tentation.

Voilà l’explication du péché impardonnable. La personne qui se rend jusque-là après avoir été convertie se donne la mort spirituellement alors qu’elle avait été vivifiée par l’Esprit. Elle le fait de manière volontaire en décidant de rejeter le Plan de salut de Dieu. Elle ne veut plus en faire partie. Vous conviendrez avec moi que c’est de la pure folie. Mais semble-t-il qu’il y aura des hommes et des femmes qui se seront rendus jusque-là. Quant à les identifier, seul Dieu peut en juger, car Il regarde au fond du cœur de chacun de nous.

C’est pourquoi l’apôtre Jean a écrit que nous ne pouvons pas prier pour ce péché-là, car cette affaire reste entre Dieu et la personne qui en est coupable. Mais nous devons nous demander ce qui pousse quelqu’un à en venir à prendre une décision aussi létale. Nous allons examiner quelques versets qui amènent une réponse. Nous verrons que l’orgueil, ce sentiment de vanité qui envahit le cœur des hommes, est au centre de cette attitude de rébellion. Nous avons dit que Satan est l’exemple numéro un de ce comportement aux conséquences irrévocables.

« Fils d’homme, prononce à haute voix une complainte sur le Roi de Tyr, et lui dis : ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : toi à qui rien ne manque, plein de sagesse, et parfait en beauté ; Tu as été en Héden le jardin de Dieu ; ta couverture était de pierres précieuses de toutes sortes, de Sardoine, de Topaze, de Jaspe, de Chrysolithe, d’Onyx, de Béryl, de Saphir, d’Escarboucle, d’Emeraude, et d’or ; ce que savaient faire tes tambours et tes flûtes a été chez toi ; ils ont été tous prêts au jour que tu fus créé. Tu as été un Chérubin, oint pour servir de protection ; je t’avais établi, et tu as été dans la sainte montagne [gouvernement] de Dieu ; tu as marché entre les pierres éclatantes. Tu as été parfait en tes voies dès le jour que tu fus créé, jusqu’à ce que la perversité a été trouvée en toi. Selon la grandeur de ton trafic on a rempli le milieu de toi de violence, et tu as péché ; c’est pourquoi je te jetterai comme une chose souillée hors de la montagne de Dieu [chassé du gouvernement de Dieu], et je te détruirai d’entre les pierres éclatantes, ô Chérubin ! qui sers de protection. Ton cœur s’est élevé à cause de ta beauté, tu as perdu ta sagesse à cause de ton éclat ; je t’ai jeté par terre, je t’ai mis en spectacle aux Rois, afin qu’ils te regardent. » (Ézéchiel 28:12-17).

Nous avons ici la description de ce qui s’est passé lorsque Lucifer, alors la plus belle création de Dieu, a littéralement créé le mal. Son incomparable beauté lui est montée à la tête et un nouveau sentiment, que personne n’avait jamais ressenti auparavant, s’est emparé de son esprit en le lui pervertissant au point qu’il s’est soulevé contre son Créateur et a fomenté un coup d’état. Il a convaincu un tiers des anges de le suivre dans sa folie des grandeurs. Mais, dans Son infinie puissance, Dieu les a chassés du ciel. Et Satan, l’Adversaire, est tombé en entraînant ses démons avec lui.

Cet être surnaturel avait perdu le sens de la soumission et de l’humilité. Il avait créé l’orgueil, la source de sa rébellion contre Dieu. Qu’est-ce que l’orgueil ? N’est-ce pas le sentiment d’être supérieur à ce que l’on est réellement, une vision faussée de sa propre position, la croyance d’être plus intelligent que les autres ? Lucifer s’est fait une opinion de lui-même enflée par le fait qu’il était parfait en beauté, en sagesse et en intelligence. Il s’est cru plus grand que Dieu Lui-même et se croyait en droit de prendre Sa place.

« Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant (Lucifer), fils de l’aurore ? Comment as-tu été abattu à terre, toi qui foulais les nations ? Tu disais en ton cœur : Je monterai aux cieux, j’élèverai mon trône au-dessus des étoiles [les anges] de Dieu : je siégerai sur la montagne [le gouvernement]  de l’assemblée, aux régions lointaines de l’Aquilon. Je monterai sur les hauteurs des nues, je serai semblable au Très-Haut. Mais tu es descendu dans le Sépulcre, dans les profondeurs du tombeau ! » (Ésaïe 14:12-15).

Après son péché, Lucifer, devenu dès lors Satan le Diable, est tombé du ciel, il a été abattu à terre et, finalement, il est descendu dans le sépulcre, les profondeurs du tombeau, c’est-à-dire, les bas-fonds de la terre, l’abîme sans fond. Il est tombé au sens littéral et aussi au sens spirituel. Lucifer est mort spirituellement. Et l’homme qui commet son premier péché meurt donc aussi spirituellement. Comme Adam et Ève qui, suite à leur péché, sont morts spirituellement. Cependant, s’il n’y a aucun salut pour le Diable et les démons, l’homme peut être relevé et vivifié.

En tant que Parole de Dieu, Jésus a vu tomber Satan : « Je contemplais Satan tombant du ciel, comme un éclair » (Luc 10:18). Et depuis la création de l’homme, Satan essaie d’amener l’humanité dans sa chute. Or, les êtres humains les plus orgueilleux sont les plus vulnérables. Ils recherchent le pouvoir, le prestige, la richesse, et Satan est prêt à le leur offrir, car il leur dit : « Je te donnerai toute cette puissance et leur gloire, car elle m’a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si tu veux donc te prosterner devant moi, tout sera tien » (Luc 4:6-7).

Parmi les plus puissants de ce monde, il y en a un nombre effarant d’êtres humains qui ont choisi d’adorer cette créature plutôt que le Créateur. Accepteront-ils un jour de s’humilier devant Dieu et de reconnaître qu’ils ont été grandement séduits par le « dieu de ce siècle », Mammon/Satan ?

Bien des gens, et même des chrétiens, ont une idée étroite de ce que peut constituer un péché. Ils n’y voient que la transgression d’une loi dûment écrite et établie. S’ils ne transgressent pas la loi, ils sont sans péché, croient-ils. Ils ne comprennent que vaguement les péchés qui ne se font qu’en pensée ou dans le cœur de notre nature charnelle. Ces transgressions sont du domaine de l’esprit et ne laissent souvent aucune trace physique. La convoitise, l’envie, l’orgueil…

Ah, cet orgueil, la propre justice, cette faiblesse subtile dont Job souffrait parce qu’il ne la percevait pas en lui, du moins, jusqu’à ce que Dieu Se compare à lui et lui signifie sa petitesse. Secoué de sa torpeur, Job a réagi avec humilité et il a reconnu l’infinie grandeur de Celui avec qui il voulait follement plaider.

Étant un péché de la pensée charnelle, l’orgueil n’est pas si facile à déceler parce que, fondamentalement, l’orgueilleux ne se reconnaît pas cette faiblesse, et bien souvent tout autre faiblesse. C’est le trait de caractère que privilégie Satan pour influencer les hommes assoiffés de pouvoir et d’argent, et ils deviennent de la pâte à modeler entre ses mains. Voilà le péché qui peut perdre et mener à la mort finale et éternelle.

Nous allons maintenant examiner quelques cas des Écritures que certains enseignants bibliques donnent comme exemples de personnes qui ont commis le péché impardonnable parce qu’ils semblent rencontrer leurs critères personnels de ce qu’est ce péché. Mais vous allez comprendre, à la lumière de ce que nous avons traité jusqu’ici, que ces enseignants se trompent et se portent en juges dans un domaine qui ne leur appartient pas de juger. Ce jugement n’appartient qu’à Dieu.

Judas Iscariot

Voyons tout d’abord le cas de Judas Iscariot. Cet homme a commis un péché que l’on qualifie d’inimaginable dans la chrétienté : il a trahi le Seigneur Jésus-Christ afin qu’Il soit crucifié. Il a vendu Dieu dans la chair. Assurément, on ne pourrait imaginer de pire crime. Et je suis sérieux en disant cela, car un homme qui trahit délibérément son Dieu a certainement commis le péché impardonnable. Mais… ce n’est pas ce que Judas a fait.

Comment a-t-il réagi à la suite de son forfait ? « Alors Judas, qui L’avait trahi, voyant qu’Il était condamné, se repentit et reporta les trente pièces d’argent aux principaux sacrificateurs et aux anciens, en leur disant : J’ai péché en trahissant le sang innocent. Mais ils lui dirent : Que nous importe ? tu y aviseras. Et après avoir jeté les pièces d’argent dans le temple, il se retira, et s’en étant allé, il s’étrangla » (Matthieu 27:3-5).

« Hommes frères, il fallait que soit accompli ce qui a été écrit, et que le Saint-Esprit a prédit par la bouche de David, touchant Judas, qui a été le guide de ceux qui ont pris Jésus. Car il était de notre corps, et il avait reçu sa part de ce ministère. Mais s’étant acquis un champ avec le salaire injuste qui lui avait été donné, et s’étant précipité, son corps s’est crevé par le milieu, et toutes ses entrailles ont été répandues » (Actes 1:16-18).

Judas fut choisi par Dieu pour accomplir une tâche bien précise : remettre Jésus entre les mains du Sanhédrin. Cet homme était nettement affligé d’une grande faiblesse : il convoitait l’argent. Et, chose ironique, c’est à lui que Jésus avait confié les cordons de la bourse du ministère des apôtres. « Alors Judas Iscariot, fils de Simon, l’un de Ses disciples, celui à qui il devait arriver de le trahir, dit : Pourquoi ce parfum n’a-t-il pas été vendu trois cents deniers, et cet argent donné aux pauvres ? Or il dit cela, non point qu’il se souciât des pauvres, mais parce qu’il était larron, et qu’il avait la bourse, et portait ce qu’on y mettait » (Jean 12:4-6).

Si l’on s’y arrête, le comportement psychologique de Judas est relativement simple à analyser. Il avait été incorporé à un groupe d’hommes entourant le Fils de Dieu parce que le Père avait vu en lui quelqu’un ayant les prédispositions requises pour accomplir ce qui avait été prophétisé. Judas ne comprenait sûrement pas cela. Il considérait sans doute Jésus comme un homme d’exception, de toute évidence béni par Dieu, mais avait-il saisi que Jésus était Dieu dans la chair ? Il était témoin de l’antagonisme qui existait entre le Maître et les sacrificateurs. À un moment donné, il a senti qu’il y avait un coup d’argent à faire et il a proposé au Sanhédrin d’identifier Jésus pour trente pièces d’argent. Il ne pensait pas que les choses dégénéreraient par la suite et que Jésus serait condamné. Il croyait probablement qu’Il allait S’en tirer, compte tenu du fait qu’il n’y avait aucun crime à Lui reprocher. Mais les choses prirent une mauvaise tournure. Judas compris que cela allait trop loin et que son geste en était responsable. Il fut envahi de remords au point qu’il s’enleva la vie.

Lorsque Jésus a choisi Judas comme disciple, Il savait déjà tout ce qui allait arriver, car Jésus connaît le cœur des hommes. Pourtant, Il ne lui fit que cette remarque : « Or, le Fils de l’homme S’en va, selon qu’il est écrit de Lui ; mais malheur à cet homme par qui le Fils de l’homme est trahi ! il eût été bon à cet homme-là de n’être point né » (Matthieu 26:24). Jésus savait quels tourments psychologiques allait subir Judas quand il se rendrait compte qu’il avait trahi son Dieu. Mais Jésus a-t-Il tenté de le dissuader ? Pas du tout, Il laissa Satan s’emparer du cœur de Judas et lui dit simplement : « Fais au plus tôt ce que tu as à faire » (Jean 13:27).

Judas est mort avant que les apôtres reçoivent le Saint-Esprit. Il n’avait donc que sa nature charnelle de non converti pour comprendre les événements. Il ne fut pas participant du Saint-Esprit ; il ne fut pas illuminé et il était ainsi comme tous ceux qui ont crucifié le Christ. Or, en parlant de tous ceux-là, le Fils de l’homme a dit à Son Père, juste avant de mourir sur la croix : « Père ! pardonne-leur : car ils ne savent ce qu’ils font » (Luc 23:34). Judas n’a eu qu’une très vague perception de ce qu’il avait fait. Mais il était trop tard, Satan s’étant emparé de lui le temps qu’il sorte de table, lors de la dernière Cène jusqu’à ce qu’il réalise la condamnation de Jésus. Alors, il s’est repenti en réalisant que ce qu’il avait fait était mal. Il a réagi comme la nature humaine pousse certaines personnes à faire, par un geste extrême de fuite : le suicide.

« Si quelqu’un a parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera pardonné, » a dit Jésus, dans Matthieu 12:32. C’est ce qu’a fait Judas, un pauvre homme non converti appelé à exécuter un sale boulot unique dans toute l’histoire de l’humanité. Judas n’a pas commis le péché impardonnable. Il ne savait probablement pas ce que c’était. J’ai la conviction qu’il fera partie de la Deuxième Résurrection dans laquelle il aura la chance de recevoir le Saint-Esprit.

Ananias et Saphira

Deux autres personnages bibliques sont aussi pointés du doigt comme ayant commis le péché impardonnable : Ananias et son épouse Saphira. Citons d’abord le passage qui se trouve dans Actes 4:36-37 et 5:1-13 :.

« Or Joses, qui par les apôtres fut surnommé Barnabas (c’est-à-dire, Fils de consolation), Lévite, et Cyprien de nation, ayant une possession, la vendit, et en apporta le prix, et le mit aux pieds des apôtres. Or un homme nommé Ananias, ayant, avec Saphira, sa femme, vendu une possession, retint une partie du prix, du consentement de sa femme, et en apporta quelque partie, et la mit aux pieds des apôtres. Mais Pierre lui dit : Ananias, comment Satan s’est-il emparé de ton cœur jusques à t’inciter à mentir au Saint-Esprit, et à soustraire une partie de la possession ? Si tu l’eusses gardée, ne te demeurait-elle pas ? Et étant vendue, n’était-elle pas en ta puissance ? Pourquoi as-tu formé un tel dessein en ton cœur ? Tu n’as pas menti aux hommes, mais à Dieu. Et Ananias entendant ces paroles, tomba et rendit l’Esprit ; ce qui causa une grande crainte à tous ceux qui en entendirent parler. Et quelques jeunes hommes se levant, le prirent et l’emportèrent dehors, et l’enterrèrent. Et il arriva, environ trois heures après, que sa femme aussi, ne sachant point ce qui était arrivé, entra ; et Pierre prenant la parole, lui dit : Dis-moi, avez-vous autant vendu le champ ? Et elle dit : Oui, autant. Alors Pierre lui dit : Pourquoi avez-vous fait un complot entre vous de tenter l’Esprit du Seigneur ? Voilà à la porte les pieds de ceux qui ont enterré ton mari, et ils t’emporteront. Et au même instant elle tomba à ses pieds, et rendit l’esprit. Et quand les jeunes hommes furent entrés, ils la trouvèrent morte ; et ils l’emportèrent dehors, et l’enterrèrent auprès de son mari. Et cela donna une grande crainte à toute l’Église, et à tous ceux qui entendaient ces choses. Et beaucoup de prodiges et de miracles se faisait parmi le peuple, par les mains des apôtres ; et ils étaient tous d’un accord au portique de Salomon. Cependant, nul des autres n’osaient se joindre à eux ; mais le peuple les louait hautement. »

Trop de gens lisent ce passage d’une manière superficielle, le tenant uniquement pour un événement sensationnel, et ils survolent sans la voir la leçon donnée par Dieu aux membres de Son l’Église. Et ils acceptent ensuite facilement les explications tout aussi superficielles de leurs pasteurs. Plusieurs idées et concepts ont été élaborés dans lesquels on cite ce passage comme preuve de leurs fausses théories. Par exemple, certains s’en servent pour obliger leurs membres à payer intégralement une dîme de leurs revenus, alors que ce passage n’a aucun rapport avec la dîme de l’Ancien Testament qui ne s’applique d’ailleurs pas du tout à l’Église.

Mais il y a aussi ceux qui y voient un exemple du péché impardonnable parce qu’ils ne comprennent pas ce qu’est celui-ci, ni ce qui est réellement arrivé dans le cas d’Ananias et Saphira, et surtout pourquoi Dieu les a tués instantanément. Or, tout est dans le texte même.

Situons d’abord l’époque. Nous sommes ici au tout début de la jeune Église de Christ, peu de temps après la Pentecôte. Les apôtres commencent alors à superviser son organisation. Le Corps de Christ se compose de gens nouvellement convertis, remplis de zèle et de ce que Christ appelle le « premier amour ». Ils ne savent encore que peu de choses du Plan de Dieu, mais ils ont l’amour de la vérité et l’ardent désir de changer leurs mauvaises voies.

À Jérusalem, les apôtres se tenaient ensemble et opéraient des prodiges et des miracles tout en affermissant l’assemblée des nouveaux croyants. D’un seul cœur, ceux-ci furent inspirés de vendre de leurs possessions afin de venir en aide à ceux qui se trouvaient dans la pauvreté dans le but de ne voir personne manquer du nécessaire. Ce devait être une période merveilleuse et chaleureuse dont nous sommes bien loin, aujourd’hui.

Or, dans l’assemblée, il y avait un homme et sa femme, nommés Ananias et Saphira, qui, après avoir vu l’exemple de Joses, dit Barnabas, qui avait eu la pensée généreuse de vendre sa possession et d’en donner le prix aux apôtres, voulurent également passer pour généreux et sans doute recevoir ensuite des louanges pour leur don. C’est une attitude très répandue dans les gros ministères modernes et les rassemblements télévangéliques où des gens fortunés donnent ostensiblement de gros montants d’argent à des prédicateurs cupides et véreux qui inscrivent volontiers le nom des vaniteux donateurs sur une plaque qu’ils affichent sur les murs de leurs églises toutes neuves.

Barnabas le Lévite était un croyant véritable et son geste n’était pas guidé par l’orgueil. On le voit plus tard prendre Saul de Tarse sous son aile et en faire son compagnon de voyage jusqu’à ce que celui-ci devienne l’apôtre Paul.

Ananias et Saphira étaient eux aussi vaniteux et cupides. Pierre devait les avoir bien observé depuis leur première venue dans l’assemblée des saints, et lorsqu’Ananias lui présenta son don, le chef des apôtres, sachant à qui il avait affaire et conduit par l’Esprit, perçut immédiatement les motifs d’Ananias. Ceux-ci ne cadraient pas avec l’attitude d’un vrai chrétien. Pierre savait ce qu’avait dit Jésus en parlant des faux prophètes et, par extension, des vrais et des faux croyants : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits » (Matthieu 7:16). Et ceux d’Ananias étaient mauvais.

Comment Pierre a-t-il su qu’Ananias mentait sur le montant d’argent de la vente de son champ ? Ananias ne le lui avait pas révélé, bien sûr. Il fallait nécessairement que Pierre l’eût observé depuis un certain temps et que le Saint-Esprit le lui inspire. Il voyait qu’Ananias et son épouse essayaient de se faire passer pour des chrétiens, mais ils n’avaient pas le Saint-Esprit. Leur tentative de tromper Pierre sur le prix du champ n’était que le mauvais fruit, l’indice d’une tare plus grave. Ce n’était pas pour ce mensonge qu’ils sont morts subitement, ni la raison pour laquelle Pierre les accusa d’avoir menti au Saint-Esprit. Toutefois, ils sont bien morts parce qu’ils avaient menti au Saint-Esprit. Incidemment, vous remarquerez qu’il est écrit qu’ils ont « menti » au Saint-Esprit, c’est-à-dire, à Dieu, et non pas qu’ils ont « blasphémé » le Saint-Esprit. La nuance est importante et il ne faut pas confondre ces deux termes. Pierre dit aussi qu’ils ont « tenté » le Saint-Esprit, ce qui équivaut à mentir.

Donc, si ce n’était pas parce qu’ils avaient menti au sujet du prix, qu’ont-ils fait ? Comment peut-on mentir au Saint-Esprit ou le tenter ? Et pourquoi cela a-t-il résulté en la mort d’Ananias et de Saphira ? Leur mensonge envers Pierre a fait comprendre à celui-ci ce qu’ils avaient fait pour tenter le Saint-Esprit. Ananias et Saphira n’éprouvaient aucun repentir. Ils étaient restés morts spirituellement. Ils avaient probablement été baptisés, mais leurs péchés restaient toujours présents parce qu’ils ne s’en étaient pas repentis. Devant les autres, ils avaient feint de se repentir à Dieu, mais ils savaient qu’ils mentaient et Dieu l’a révélé en Esprit à Pierre qui les a débusqués.

Dans le monde, beaucoup de gens pensent pouvoir tromper Dieu et Lui cacher des choses. Il y en a même qui sont membres d’églises et souvent ils occupent de hauts rangs dans la chrétienté mondaine. Mais ils devront un jour revenir de leurs illusions, car on ne Lui en passe pas.

Par conséquent, Ananias et Saphira ne pouvaient entrer dans le Corps de Christ. Ils auraient été des loups dans la bergerie. Mais Pierre aurait pu simplement les chasser et leur interdire l’accès à l’assemblée. Sont-ils morts seulement pour cela ou y avait-il une autre raison ? La réponse se trouve encore dans le texte. Cet événement tragique « …causa une grande crainte à ceux qui en entendirent parler … Et cela donna une grande crainte à toute l’Église, et à tous ceux qui entendaient ces choses » (vs 5 et 11). Pourquoi Dieu voulait-Il provoquer une sainte crainte chez Ses enfants et leur entourage ? Y avait-il un sérieux avertissement derrière tout cela ? Voyez ce qui est écrit par la suite : « Et beaucoup de prodiges et de miracles se faisait parmi le peuple, par les mains des apôtres, et ils étaient tous d’un accord au portique de Salomon » (v. 12). Les apôtres étaient les oints de Dieu et Il voulait que l’on ait un grand respect pour leur apostolat. Et nous lisons ensuite : « Cependant, nul des autres n’osaient se joindre à eux, mais le peuple les louait hautement » (v. 13).

Cela nous rappelle ce qui était survenu à Marie, la sœur de Moïse, lorsqu’elle et son frère Aaron ont manqué de respect envers leur frère. Marie a été punie par la lèpre. Il y a plusieurs autres exemples d’hommes et de femmes qui ont subi un sort funeste pour s’être dressé contre un oint de l’Éternel. Les apôtres devaient être grandement respectés, non seulement par les membres de l’Église, mais par les habitants de Jérusalem et d’ailleurs afin qu’ils puissent faire leurs œuvres avec efficacité et autorité.

Pour en revenir à la question du péché impardonnable, si nous nous référons à ce qui est écrit dans Hébreux 6:4-6, nous ne pouvons que constater qu’Ananias et Saphira ne rencontraient pas les conditions du péché impardonnable, car ils ne furent pas « illuminés », ou « participants du Saint-Esprit ». Ils ne sont donc pas « retombés » puisqu’ils n’avaient préalablement pas été relevés de leur première chute spirituelle. Comme Judas, ils sont morts sans avoir reçu l’appel de Dieu, ni le Saint-Esprit, bien qu’ils accomplissaient inconsciemment une tâche précise. Il n’y a pas de doute dans mon esprit qu’ils vont se retrouver à la Deuxième Résurrection dans des conditions idéales pour se convertir.

Conclusion

Pour terminer, j’aimerais réitérer qu’il ne faut pas confondre le combat que mène tout chrétien contre sa nature charnelle et le péché impardonnable. La personne qui chute devant la tentation, mais qui s’en repent de tout son cœur, n’a pas commis le péché impardonnable. Il lui sera toujours possible de se présenter en esprit devant Dieu par la prière et demander un pardon qui lui sera gracieusement accordé par son Père au ciel. Nous le devons tous à notre Seigneur Jésus-Christ qui S’est offert Lui-même pour que nos péchés soient effacés et pour que nous soyons toujours réconciliés à Dieu.

Tandis que le péché impardonnable est une affaire d’attitude rebelle persistante. Comme le croyant qui sera sauvé et qui entrera dans la vie éternelle s’il persévère dans la foi jusqu’à la fin, de même le rebelle sera perdu et subira la mort éternelle s’il persiste dans sa rébellion jusqu’à la fin.

Or, en persévérant dans notre combat, la victoire nous est acquise et nous recevrons une couronne qui fera de nous les rois du Grand Roi dans Son Royaume à venir.