Le devoir de chasser la tyrannie

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2023

Par Jerry Barrett

Etre d’accord pour progresser n’est plus une option

« Lorsque, dans le Cours des événements humains, il devient nécessaire à un peuple de dissoudre les bandes politiques qui se sont reliées à d’autres, et de s’attribuer les pouvoirs de la terre, la position séparée et égale à laquelle les autorisent les Lois de la Nature et du Dieu de la Nature, un respect honnête des opinions de l’humanité exige qu’ils déclarent les causes qui les poussent à la séparation. »

Déclaration d’Indépendance

Cinquante-six hommes signèrent la Déclaration d’Indépendance, commettant ainsi un acte de trahison envers le gouvernement britannique. Ces braves aïeux de notre pays crurent fermement que leur idée allait leur créer l’opportunité, à eux et aux générations futures, de s’élever comme ils le désiraient.

Comme nous célébrons le Jour de l’Indépendance le 4 juillet, nous devons rappeler de manière impérative la bataille qu’il fallut pour créer notre république. Ces hommes engagèrent leur vie dans ce rêve de liberté contre la tyrannie. Pour eux, il s’agissait d’un honneur que de se tenir debout et de combattre pour leurs croyances.

Pendant deux cent quarante-sept ans, l’Amérique fut un phare de liberté face au monde. De nos racines de treize colonies à l’unique superpuissance du monde, l’Amérique se vit enviée et méprisée pour ses richesses et sa puissance.

L’honneur n’est pas qu’un mot

L’honneur se définit comme étant « l’honnêteté, la justesse et l’intégrité se trouvant dans les croyances et les actions d’une personne ». La parole d’un homme suffisait à assurer un prêt de la banque. Une poignée de main scellait un accord qui devenait sacré. Malheureusement, ce n’est plus le cas.

Aujourd’hui, l’honneur est presque disparu. Maintenant, l’amour de l’argent et la convoitise de ce que possèdent les autres dominent notre culture. Les menteurs, les tricheurs et les voleurs amassent le sale fric au baril dans le but de devenir « roi sur la montagne ».

L’on n’a qu’à observer les actions de nos élus pour comprendre toute la profondeur de la dépravation advenue à cette nation jadis si grande. Considérez les absurdes richesses que des politiciens

En 2016, le socialiste Bernie Sanders paya – cash – 575 000 $ pour cette troisième maison, une propriété riveraine du Vermont. (Si M. Socialiste avait cet argent pour payer comptant, imaginez tout l’argent qui repose dans ses comptes bancaires.)

comme Nancy Pelosi, Elizabeth Warren, Bernie Sanders – et, bien sûr, le résident Joe Biden – ont engrangées. Un grand nombre de leurs supporteurs disent simplement que « tout le monde le fait ».

De plus, les progressistes déclarent que les criminels qui ont commis des forfaits odieux ont souffert entre les mains des suprématistes blancs et sont donc des victimes. Les gens ne sont plus tenus responsables de leurs actes. Comme signe des temps, un juge de la Cour Suprême a récemment statué que détenir un criminel qui n’a pas les moyens de payer la caution s’avère probablement une violation de la Constitution. En effet, il n’y a aucune caution pour ceux qui infligent des souffrances à la communauté.

Le respect envers notre concitoyen est tombé victime de ces idéaux ridicules. Les parents ne sont plus les gardiens de leurs enfants, car les états ont décidé d’usurper leur autorité. Les écoles publiques – alias les centres d’endoctrinement – permettent aux enseignants de semer des doutes dans l’esprit de notre jeunesse en lui présentant en classe leur idéologie tordue du genre ou leurs préférences sexuelles.

Le cheptel humain acquiesce depuis trop longtemps aux maîtres en pouvoir. On n’a qu’à regarder le nombre de masques sur les visages ou à considérer ceux qui font volontairement la queue pour prendre leur piqûre de thérapie génique expérimentale pour confirmer cette affirmation. La tyrannie est sur pied, et il est temps de se dresser et de réagir.

Calculer la dépense

Comme toute chose dans la vie, l’on doit prendre en considération toutes les options mises sur la table et prendre une décision éclairée. Notre Sauveur et notre plus grand Enseignant, Jésus-Christ, nous a laissé cette puissante leçon :

« Mais qui est celui d’entre vous, qui voulant bâtir une tour, ne s’asseye premièrement, et ne calcule la dépense pour voir s’il a de quoi l’achever ? De peur qu’après en avoir jeté le fondement, et n’ayant pu achever, tous ceux qui le verront ne commencent à se moquer de lui ; en disant : cet homme a commencé à bâtir, et il n’a pu achever (Luc 14:28-30).

Nos ancêtres comptèrent la dépense et décidèrent que la tyrannie n’était pas une option, de là leur Déclaration d’Indépendance. Le temps est venu pour les Américains patriotiques de considérer

Tout en célébrant notre liberté en ce Jour de l’Indépendance des États-Unis d’Amérique, voyons ce que nous dit ceci concernant le leadership d’alors et celui d’aujourd’hui.

la sécession comme une possibilité afin de se séparer de ce gouvernement tyrannique.

Divorce national

À mesure que notre pays s’enfonce dans l’abysse du despotisme, un grand nombre de gens exigent une séparation d’avec les doctrines marxistes émanant des capitales d’états et de Washington, D.C. Notre contrée s’est transformée en une zone de guerre idéologique mettant aux prises, d’une part, ceux qui poussent la théorie critique de la race, le transgenrisme, la pédophilie, l’avortement et autres idées malsaines, et d’autre part les chrétiens et les patriotes.

Est-ce une idée farfelue ? Le Centre de la Politique de l’Université de la Virginie a découvert par ses données de sondage : « environ 4 électeurs sur 10 (41 %) pour Biden et au moins la moitié des électeurs (52 %) pour Trump sont relativement d’accord pour dire qu’il est temps de désunir le pays, en préférant que les états bleus/rouges fassent sécession du pays. »

Cela peut-il arriver ? Lorsque l’on considère la mentalité marxiste des progressistes d’aujourd’hui, comme Harriet Beecher Stowe l’a écrit dans La case de l’oncle Tom, « Il faudra d’abord qu’il me passe sur le corps ! » Le marxisme macère dans l’assemblage et l’ajout, pas dans la soustraction.

J. Robert Smith a écrit dans son article du 13 octobre 2021, La perspective d’un divorce national :

« La gauche se compose de contrôleurs et de disciples. Les disciples gauchistes sont des gens qui cèdent gracieusement le contrôle sur leur vie. Ils échangent leur liberté contre ce qu’ils perçoivent comme de la sécurité – et pas seulement au niveau matériel. Ils veulent être libérés du combat quotidien consistant à penser de façon critique, à prendre des décisions, et à prendre leur vie en main. »

Ce qui soulève la question à savoir si vous voulez partager une frontière avec ce genre de mentalité ? Bien qu’il soit faisable à court terme de faire sécession avec ces états aux idéaux socialistes, qu’arrive-t-il après coup ? Est-ce qu’une seconde guerre civile se profilerait à l’horizon ?

L’économiste écossais Alexander Tytler, qui, en 1787 rapporte-t-on, a commenté la nouvelle République américaine d’alors, a écrit :

« La durée moyenne des plus grandes civilisations du monde tourne autour de 200 ans. Ces pays progressent toujours en suivant cette séquence : de l’esclavage à la certitude morale ; de la certitude morale au grand courage ; du grand courage à la liberté ; de la liberté à l’abondance ; de l’abondance à l’égoïsme ; de l’égoïsme au contentement de soi ; du contentement de soi à l’apathie ; de l’apathie à la dépendance ; de la dépendance à l’esclavage. »

On l’appelle le Cycle de la Liberté. Étant fondé sur la nature humaine, on ne peut le manipuler ni l’inverser soudainement. Selon l’estimation de l’auteur, nous nous trouvons dans le cycle de « l’apathie à la dépendance ». Les adeptes du socialisme de Marx continuent leurs efforts vers un plus grand contrôle gouvernemental. Les masses apathiques réaliseront un jour que leur inaction aura complété ce cycle et que seul l’esclavage se dessine.

Hommes de fer ou hommes de bois ?

Etant donné la campagne menée contre la masculinité toxique, les pasteurs incontestablement tièdes qui occupent les chaires de l’Amérique et l’apathie qui suinte dans tout le pays, y a-t-il quelque leader que ce soit qui aura le courage et l’honneur de proclamer « quand toute forme de gouvernement devient destructrice à ses fins, il est du Droit du peuple de l’altérer ou de l’abolir et d’instituer un nouveau gouvernement » ?

Les hommes timides ont l’intelligence de l’esclave. Il est temps qu’un mouvement se lève pour restaurer l’honnêteté et l’intégrité au sein du peuple. Nous devons nous rappeler que le seul héritage glorieux que nous pouvons léguer à la prochaine génération est la liberté. Dans la liberté repose la sécurité. À moins que des hommes de fer ne se présentent et ne recueillent le respect requis pour conduire la charge, les tyrans continueront d’opprimer le cheptel.

« Celui qui rend témoignage de ces choses, dit : Certainement je viens bientôt, Amen ! Oui, Seigneur Jésus, viens ! » Apocalypse 22:20).


Par Sandra Myers

Sommes-nous en train de perdre notre héritage ?

« Voici, les enfants sont un héritage donné par l’Eternel ; et le fruit du ventre est une récompense de Dieu. »

Psaume 127:3

Il n’y a aucun doute que la gauche engage une guerre sans merci contre nos familles. La guerre s’étend à la politique, à l’éducation, au divertissement et même aux genres, à la médecine, à la vie et, bien sûr, à la culture.

La Gauche déteste ce qui est normal. La Gauche déteste la paix. Vous ne pouvez pas décoller une révolution au sein d’un peuple heureux et satisfait. Sans Jésus, il n’y a que troubles et perturbations constants – il n’y a pas de paix.

« Aussi tous tes enfants seront enseignés de l’Eternel, et la paix de tes fils sera abondante » (Ésaïe 54:13).

En dehors des églises, les collèges ont été les premiers endroits à être infiltrés afin de créer la révolution. Et la Gauche y a eu tant de succès que, trop souvent, même les parents conservateurs. qui devraient être fiers que leur enfant ait gagné une place dans un collège de haut niveau, découvrent que, même après la première année, leur enfant est devenu une personne différente dotée d’une nouvelle mentalité libérale étincelante. Maintenant, la Gauche a abaissé leurs visions.

Qui servira le mieux de prochaine cible dans ces perturbations ? Est-ce nous, qui avons déjà été élevés dans les valeurs chrétiennes, ou du moins conservatrices ? Il est vrai que les troubles nous affectent sans doute. Mais nous avons une Fondation sûre, et la capacité de penser ne nous a pas encore été enlevée. Au lieu de cela, leurs visions ont été assises sur les moins aptes à défendre et à différencier les valeurs morales souterraines.

Dès l’enfance, les jeunes ont appris à obéir. Lorsque des parents placent leurs jeunes enfants sans défense dans des garderies, ils donnent librement leur autorité parentale à des étrangers qui ont souvent des valeurs morales douteuses.

L’État dit maintenant que vos enfants ne vous appartiennent plus. Vient avec cela la propagande (en faveur de valeurs libérales outrageuses) ; la suppression des idées, spécialement la « mauvaise façon de penser » ; la pensée critique est remplacée par la Théorie Critique de la Race ; la normalisation d’idées jadis radicales et immorales ; la signalisation d’avantages (lorsque les enfants, dans leur confusion, cèdent à la pression de leurs pairs influencés par des adultes dans l’espoir de créer la paix) ; programmation spécifiquement antichrétienne (mais il est correct d’assister au Club de Lecture Satanique d’Après l’École). Et ce n’est qu’à la maternelle ou à l’école.

Ajoutez à cela la turpitude morale affirmée par l’industrie du divertissement dans les films, les dessins animés, les jeux vidéos et les livres ; l’heure de lecture drag-queen ou leurs shows de danse ; cela crée des automates dépendants de l’état.

Je suis atterrée, mais il y a plus.

Ajoutez encore l’implication de l’État et de l’industrie pharmaceutique dans la santé de votre enfant. Le nombre de vaccinations exigé pour l’enfant a presque quadruplé depuis 1980. Mais vous devez vacciner. (Pourquoi l’autisme est quasi inexistant chez les Amish ?) Les traitements pour l’ADD et l’ADHD sont montés en flèche. Et nous nous demandons pourquoi les enfants attaquent les parents et les enseignants…

L’héritage de notre pays et de nos enfants est dans une position plus précaire que jamais. Mais, chose plus importante encore, l’âme même de nos enfants. Est-il trop tard ? Une chose est sûre, nous devons réclamer nos enfants et nos petits-enfants – les affermir dans l’amour de Jésus, de la famille et du pays.




Comment j’ai trouvé mon identité masculine

Dénonciation du Féminisme et du Nouvel Ordre Mondial

www.henrymakow.com

Par Henry Makow

« Voir l’amour hétérosexuel comme une danse mystique nous aide. Le mâle conduit ; la femelle suit. »

L’hétérosexualité ne se fonde pas sur « l’égalité ». Elle se fonde sur un Pouvoir inégal.

La masculinité se base sur le pouvoir. La féminité se base sur l’amour. Le mariage hétérosexuel se base sur cet échange – le pouvoir femelle pour le pouvoir mâle exprimé comme amour.

Une femme montre son amour en confiant son pouvoir à un homme qui a gagné sa confiance durant le temps qu’ils sortaient ensemble. C’est féminin.

Lorsque les hommes abandonnent leur pouvoir, ils s’émasculent.

Cet article, mon premier sur Internet il y a vingt-deux ans, décrit comment j’ai appris à suivre mes instincts masculins. Le mâle domine dans une relation hétérosexuelle. Les Kabbalistes (satanistes) ont châtré les deux sexes en enseignant aux femmes à rechercher le pouvoir plutôt que l’amour. Ils altèrent les lois fondamentales de l’univers (yin, actif – yang, passif)

Par Henry Makow PhD

« Une femme vraiment soumise doit être conservée précieusement, chérie et protégée, car elle est la seule qui puisse donner à un homme le don de domination. »
Anne Desclos

Lorsque j’avais 21 ans, et que je vivais en Israël, je reçus une lettre de ma mère. Elle avait pris mes économies et avait investi dans une maison de ville.

« Maintenant, tu es un mensch, » dit-elle.

Je me suis demandé ce qu’elle entendait par là. Comment posséder une maison faisait-il de moi « un homme » ?

J’atteignis l’âge de ma jeunesse où il me fallait « chercher mon identité ». Je la recherchai en Israël. Plus tard, je devins un nationaliste canadien. Dans chaque cas, je n’arrivai pas à trouver mon identité dans la « communauté ».

J’eus pour père un patriarche fort, un exemple excellent. Il se bâtit une carrière prospère et supporta une famille.

« Trouve un travail que tu aimes, » me disait-il. « Le travail est la colonne vertébrale d’un homme. C’est la décision la plus importante que prend un homme. Par la suite vient une femme. »

Mais pour une raison quelconque, je n’enregistrai pas son exemple. Pourquoi ?

Pendant des siècles, les hommes se sont définis en terme de masculinité. Pourquoi n’en savais-je rien ?

Je tirai mes répliques des mass-médias. J’étais un féministe.

Attaque contre le genre et la famille

J’ai grandi dans une ère qui colportait le mensonge féministe que les hommes et les femmes sont identiques. Au sein de notre culture, l’on encourage les femmes à être « égales » – faire tout ce que font les hommes, et vice-versa. « Égal » devint « identique ». Cela retarda mon développement personnel pendant vingt-cinq ans. Je doute d’avoir été le seul.

« Identique » fit en sorte que je me mis à me chercher moi-même dans une partenaire. J’étais littéralement attiré par les jeunes femmes agiles aux cheveux coupés à la garçonne : ma propre personnalité.

Je mis une femme sur un piédestal parce qu’elle possédait la clé de mon identité. Elle pouvait me refléter. Cela repoussait immédiatement certaines femmes. D’autres se réjouissaient de cette adulation pendant un certain temps, mais elles finissaient par perdre le respect.

Ce dont j’avais besoin, c’est de quelqu’un de tout à fait différent de moi, mon complément féminin.

Éventuellement, l’on reconnaîtra le féminisme pour ce qu’il est : une idéologie virulente antisociale, anti-femme et lesbienne ayant atteint le pouvoir en prétendant être la championne des « droits des femmes ». En prenant le pouvoir, le féminisme a pu émasculer les hommes et masculiniser les femmes. En d’autres mots, les femmes ont usurpé l’identité masculine et, dans le processus, les deux sexes ont perdu leur sienne propre.

Chose incroyable, la destruction de l’hétérosexualité est le programme caché des féministes qui pensent que la différence de genres est la source de toutes les injustices.

La plupart des gens ne réalisent pas que le mouvement féministe est d’origine communiste. La majorité des principales penseuses féministes, y compris Betty Friedan et Simone de Beauvoir, étaient marxistes, et un grand nombre d’entre elles étaient lesbiennes.

Le féminisme est une question de pouvoir, pas de choix. « Aucune femme ne devrait être autorisée à demeurer à la maison et élever ses enfants, » dit la fondatrice féministe Simone de Beauvoir. « Les femmes ne devraient pas avoir ce choix. Parce que si elles ont ce choix, trop de femmes prendront celui-ci » [Saturday Review, 14 juin 1975].

Si le féminisme était réellement une question de choix, il n’endoctrinerait pas les femmes à entrer sur le marché du travail et à devenir « indépendantes ». Il ne diaboliserait pas les hommes et l’amour hétérosexuel. Il n’ostraciserait pas les féministes qui se marient et fondent une famille.

Les lesbiennes ont toujours été des femmes convoitant le rôle mâle. Cela est fondé sur les notions marxistes « d’égalité » et de conflit des classes qui ne relèvent aucunement de la réalité mystique ou biologique, telle que l’amour.

La rupture avec la famille traditionnelle causée par le féminisme est la raison principale de nos problèmes sociaux, personnels et existentiels. Les gens ont toujours puisé le sens et le but de leur existence des rôles familiaux (par ex. fille, épouse et mère) et des rites du cercle de la vie (mariage, naissance et mort). En effet, le mariage et la famille sont un cheminement donné par Dieu pour parvenir à l’amour et à l’accomplissement personnel.

Nous ne trouvons pas la complétude en nous incorporant le masculin et le féminin, mais en nous unissant à notre opposé. L’amour hétérosexuel est l’attraction des opposés. En vérité, en tant qu’hétérosexuels, nous nous définissons en terme de ces différences. Si nous sommes un mâle, nous ne sommes pas une femelle, et vice versa, comme l’ombre et la lumière. Parce que je niais ces différences, je ne savais pas qui j’étais. Je ne comprenais pas les femmes et je ne savais pas comment les approcher.

Réclamer la masculinité

J’avais presque 50 ans quand j’ai résolu l’énigme. Un livre, The Flight from Women (1964) de Karl Stern, psychiatre canadien, confirma ce que me disaient mes instincts. Ma mère avait toujours eu raison. Un homme bâtit la maison ; la femme érige le foyer.

D’après Stern, la masculinité se définit par le « pouvoir » sur l’environnement naturel et social. Les hommes fournissent le contexte physique et culturel du monde domestique. Ils sont dans l’action : aventuriers et bâtisseurs, protecteurs et pourvoyeurs.

La féminité se définit par « l’amour ». La psychologie féminine s’établit sur la nourriture et l’amour portés aux maris et aux enfants et, par ce fait, se rendre utile et aimée. Les femmes sont les moteurs de l’amour, agissant un peu comme le cœur dans le corps. La famille est la composante fondamentale de la société et la fonderie du futur. Les femmes sont sa fondation.

Les hommes se définissent par leurs actions ; les femmes sont tout simplement amour : beauté, grâce, foi et bonté. Les hommes tendent à être rationnels et objectifs ; les femmes subjectives, intuitives et émotives. Ce genre de distinctions ne doit pas nous limiter. Ils forment un thème sur lequel nous pouvons jouer nos propres variations. Par exemple, ma femme tond le gazon ; je fais toutes les courses et la cuisine. Mais sans le thème, règnent le chaos et la confusion.

L’évangile féministe, disant que les rôles sexuels traditionnels sont « oppressifs », a tort. Pour bien des gens, une interprétation flexible des rôles traditionnels est essentielle au bonheur et à l’épanouissement.

J’ai extrapolé à partir des distinctions de Karl Stern. Si l’homme est motivé par le pouvoir et la femme par l’amour, l’amour hétérosexuel doit être un échange des deux.

Une femme abandonne son pouvoir dans la confiance. C’est ainsi que la femme exprime son amour. Par la confiance. De cette façon, les femmes donnent réellement du pouvoir aux hommes. Si un homme trahi cette confiance, il perd son pouvoir.

En retour de son pouvoir, une femme obtient ce qu’elle veut vraiment : le pouvoir d’un homme exprimé en amour intense et sans réserve.

Il l’inclut dans sa sphère d’intérêts : c’est ainsi que deux personnes deviennent un. Le bonheur de sa femme est son bonheur. Il ne peut la blesser sans se blesser lui-même.

Réclamer la féminité

Enseigner aux femmes à rechercher le pouvoir masculin les empêche d’obtenir ce qu’elles veulent réellement. Les femmes veulent être possédées par l’amour d’un homme.

L’amour de Dieu pour Sa création se reflète dans l’amour d’un homme pour une femme. Un homme canalise l’amour de Dieu pour une femme en faisant d’elle une épouse et une mère. Les femmes veulent le pouvoir masculin, mais il doit se trouver dans un homme.

Une amie me dit un jour : « Je veux être utilisée. » Cette même amie me dit aussi que sans un homme elle se sentait « comme un bateau sans gouvernail ». De façon similaire, un homme sans une femme est un gouvernail sans bateau.

Un homme ne peut aimer une femme qui lui fait compétition au niveau du pouvoir. Les relations entre prétendus « égaux » sont comme des fusionnements ou des compagnons de chambre.

La psychiatre Irène Claremont de Castillejo les appelle des mariages « frères-sœurs » [Knowing Women : A Feminine Psychology, 1973]

Ils ne peuvent en arriver à l’intimité comme lorsqu’une femme abandonne sa volonté à un homme et qu’un homme retourne cette confiance par son amour inconditionnel. Certains psychiatres disent que la satisfaction sexuelle d’une femme est aussi reliée à sa capacité à faire confiance et s’abandonner

[https://www.henrymakow.com/000441.html]

L’hétérosexualité n’est pas fondée sur « l’égalité ». Les femmes donnent pouvoir aux hommes en s’abandonnant à eux en échange d’amour.

La féminité est basée sur l’abandon du pouvoir pour de l’amour. Lorsque les hommes le font, ils s’émasculent.

Les femmes féminines sont des créatures de Dieu. En amour, elles sacrifient leur être pour de l’amour, ce qui, dans de nombreuses religions, est la clé de la transcendance. Helen Deutsch remarqua ce syndrome « masochiste-narcissiste » (le sacrifice pour de l’amour) dans son livre The Psychology of Women : A Psychoanalytic Interpretation (1944). La majorité des femmes ne se réalisent pleinement qu’en devenant épouses et mères. Dans leur cœur, elles le savent.

Les femmes ne peuvent pas non plus aimer un homme avec qui elles entrent en compétition. Les femmes sont hypergames, ce qui signifie qu’elles recherchent un homme de statut plus élevé qu’elles. Même la plus ardente des féministes hétérosexuelles ne peut aimer que quelqu’un qui a plus de pouvoir qu’elle.

La lutte de pouvoir empoisonne les relations homme-femme. C’est la mort de l’amour. Les hommes ne peuvent pas abandonner leur caractéristique définie (le pouvoir) et entendre être des hommes. Les femmes ne peuvent pas critiquer et défier les hommes, elles s’attendent à être aimées.

Lorsque j’ai compris cela, je me sentis libéré. J’établis une relation saine avec une femme qui est mon complément féminin et je la mariai.

Conclusion

Il y a cette complainte universelle que les hommes ne savent pas comment être des hommes ; les femmes ne savent pas comment être des femmes. Voir dans l’amour hétérosexuel une danse mystique nous aide. Le mâle conduit ; la femelle suit. Vous ne pouvez avoir une danse gracieuse si chaque partenaire ne joue pas sa partie.

La danse est fondée sur l’amour. Le mâle considère toujours les désirs de sa partenaire parce qu’il l’aime. Dans certains cas, il lui demandera de conduire.

Il n’a aucun désir de la réprimer ou de la frustrer. Il veut qu’elle s’épanouisse parce qu’elle fait partie de lui.

Comme dans une danse de bal, qui peut dire quel rôle est le plus important ? Les deux partenaires sont de valeur égale. La danse exige à la fois le leadership et le dynamisme du mâle et la beauté, l’amour et la grâce de la femelle.

Dans la danse de l’amour, deux personnes deviennent une, et le fruit de cet union mystique est souvent un enfant.




Qui va se lever et conquérir ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2023

Par Jerry Barrett

Des hommes de fer ou de papier-mâché ?

« Or l’Eternel Dieu avait formé l’homme de la poudre de la terre, et il avait soufflé dans ses narines une respiration de vie ; et l’homme fut fait en âme vivante … Et l’Eternel Dieu avait fait germer de la terre tout arbre désirable à la vue, et bon à manger … Or l’Eternel Dieu avait dit : Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. Car l’Eternel Dieu avait formé de la terre toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux des cieux … Et l’Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur Adam, et il s’endormit ; et Dieu prit une de ses côtes, et resserra la chair dans la place de cette côte. Et l’Eternel Dieu fit une femme de la côte qu’il avait prise d’Adam, et la fit venir vers Adam. Alors Adam dit : A cette fois celle-ci est os de mes os, et chair de ma chair ; on la nommera hommesse, parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi l’homme laissera son père et sa mère, et se joindra à sa femme, et ils seront une même chair. »

Genèse 2:7-24

La récente explosion du mouvement transgenre a provoqué beaucoup de consternation. Les activistes se sont imposés aux citoyens normaux par la propagande des médias contrôlés et des réseaux sociaux. On attaque ceux qui continuent de s’opposer à ce mouvement – verbalement et physiquement.

La chute inexorable de la décence morale se poursuit à grande vitesse. C’est ce que l’on observe quand des parents amènent leurs petits enfants à des spectacles pornographiques de drag-queens et permettent à ces individus pervers et mentalement dérangés de se pavaner avec très peu ou pas du tout de vêtements.

Ce qui confond davantage ceux qui professent encore des principes et des croyances chrétiennes, c’est que ces individus ne sont pas arrêtés ni accusés de mettre des enfants en danger ou de les abuser sexuellement – que ce soit les parents ou les soi-disant « artistes » ! Au lieu de cela, ce sont ceux qui protestent qui sont arrêtés pour avoir créé du trouble.

Ce n’est plus classé maladie mentale

L’homosexualité était originalement classée comme désordre mental. L’Association Psychiatrique Américaine a enlevé cette classification en 1974. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ne

Un drag-show « ami de la famille » pousse les enfants à la débauche – pendant que les parents sourient et donnent leur encouragement. Aucun enfant ne devrait être exposé à de pareilles choses. Les parents qui les amènent à de semblables événements les abusent sexuellement.

changea pas sa définition avant 1992.

En mai 2019, l’OMS a annoncé qu’elle ne classerait plus le transgenrisme parmi les désordres mentaux, déclarant que la décision fut prise afin d’enlever l’énorme stigmate qui y était attaché. À l’image de 1984 d’Orwell, l’OMS espère que tout le monde va accepter que deux plus deux égale cinq !

À cause de la prolifération de la Culture marxiste dans nos doctrines d’éducation publique, la diversité de la perversion est à son zénith. La position longtemps respectable de l’enseignant est maintenant devenue un bastion de la perversion. Comme l’a si généreusement partagé Libs of Tik Tok sur la plateforme de média social de Twitter, une multitude d’enseignants imposent quotidiennement leurs visions perverties à des enfants innocents et naïfs.

Avant que les confinements Covid-19 ne soient commandés à la société, de nombreux parents n’avaient aucune idée de ce qui était enseigné à leurs enfants. Lorsque l’on implanta les classes virtuelles, les pourvoyeurs de saletés et de dégradation ont été exposés. Il en résulta un grand nombre de confrontations lors des comités d’écoles locales à propos du programme d’études.

Avons-nous été avertis ?

Dans son Manifeste communiste de 1848, Karl Marx en appela de l’abolition de la famille. Il dit que le communisme garantirait que les enfants soient éduqués par l’état et non par les parents.

Dans les Protocoles des Sages de Sion jamais démolis, nous lisons sous le Protocole 9 :

« Comment pourrons-nous contrôler ce qui est enseigné au peuple dans les écoles de campagne ? … Afin de ne pas détruire prématurément les institutions des Gentils, nous les avons touchées de notre main expérimentée et nous avons saisi l’extrémité des ressorts de leur mécanisme. Ceux-ci fonctionnaient autrefois suivant un ordre sévère, mais juste ; nous y avons substitué un organisme libéral déréglé … Nous avons abêti et corrompu la génération actuelle des Gentils en lui enseignant des principes et des théories que nous savions entièrement faux, mais que nous lui avons-nous-mêmes inculqués. »

Hélas, quand une avenue est bloquée par des individus alertes, les serpents sous contrôle satanique louvoient simplement dans une autre direction. Quand ceux qui détestent Jésus purent enlever Sa Parole des salles de classe, on donna le champ libre aux influenceurs démoniaques. Ajoutez à cela la décroissance des principes bibliques installés dans les foyers et nous ne devrions pas nous étonner des résultats.

Évolution de l’homme ?

Contrairement à ce qu’ont produit les marchandeurs de masse, la masculinité toxique n’existe pas. Selon les standards d’aujourd’hui, Jésus aurait été ciblé pour Sa différence. Ses disciples auraient été de même étiquetés.

La masculinité n’est pas intrinsèquement mauvaise, mais elle offre plutôt productivité et protection. Cependant, la révolution féminine a qualifié la masculinité de mauvaise et méchante, et qu’elle devait donc être éradiquée. En éclairant ce trait d’une lumière négative, beaucoup d’hommes ont acquiescé et sont devenus émasculés.

Rappelez-vous que, dans Genèse 2:22, Dieu a employé une côte tirée de l’homme et a créé la femme. Prenez en considération ce point que cet auteur a souligné il y a des années : Dieu n’a pas pris un os tiré du pied d’Adam – car la femme se trouverait sous l’homme. Il ne prit pas non plus un os du crâne d’Adam – car la femme aurait été au-dessus de lui. Dieu prit plutôt une côte d’Adam afin qu’elle soit à ses côtés.

La « pasteure » Megan Rohrer, de la Grace Lutheran Church, à San Francisco, une leader spirituelle transgenre.

À mesure que l’Église décline, la dépravation sexuelle s’accélère

Si nous pouvions remonter le temps, quelle serait la réaction face à des hommes proclamant être des femmes ? Des rires hystériques ? Des remontrances de la chaire pour ce péché grave ?

Malheureusement, ceux qui occupent un des postes les plus puissants du pays – la chaire – ne parlent pas de façon biblique de la folie qui se répand aujourd’hui. Voici quelques exemples de ces supporteurs de doctrines désalignées.

  • Le pape François a critiqué les lois qui criminalisent l’homosexualité en tant que « chose injuste », arguant que Dieu aime tous Ses enfants tels qu’ils sont. Dans une entrevue donnée à la Presse Associée, François a déclaré : « Être homosexuel n’est pas un crime. »
  • Le pasteur Andy Stanley est le fondateur et le pasteur sénior des North Point Ministries d’Atlanta, en Géorgie. Dans le clip vidéo d’un de ses sermons, Stanley dit aux auditeurs que la communauté LGBT dans l’église est une part importante et fidèle de l’église. Stanley dit : « Une personne gay qui veut encore assister à l’église après la manière qu’elle a été traitée, je vous le dis, elle a plus de foi que moi. Elle a plus de foi que bien d’entre vous. »
  • La Grace Lutheran Church de San Francisco a installé la pasteure Megan Rohrer comme son nouveau leader spirituel en 2014. La pasteure, qui préfère qu’on se réfère à elle par le pronom « ils », est transgenre.
  • Les étudiants de l’École de Divinité Duke, affiliée aux Méthodistes Unis, proclamèrent l’acceptation et le soutien de Dieu pour les relations LGBTQ dans un service de culte de la Fierté, le 22 mars 2022.
  • Lors d’une entrevue avec Larry King qui lui demandait son point de vue sur l’homosexualité, Joël Osteen répondit : « Je crois que les Écritures disent que c’est un péché, mais je dis toujours ensuite que nous ne sommes contre personne. Il y a un paquet de choses que je ne comprends pas, alors je ne veux pas prêcher à leur sujet. » King poursuivit en demandant : « Le mariage gay vous embête-t-il ? » À quoi répondit Osteen : « Cela ne m’embête pas. D’un point de vue spirituel, je ne pense pas que c’est ce que ma foi enseignerait, mais cela ne m’embête pas. »

L’apôtre Paul avait un point de vue biblique concernant les débauchés qui préfèrent partager leur lit avec ceux du même sexe. Dans Romains 1:24-32, nous lisons :

« C’est pourquoi aussi Dieu les a livrés aux convoitises de leurs propres cœurs, de sorte qu’ils se sont abandonnés à l’impureté déshonorant entre eux-mêmes leurs propres corps … C’est pourquoi Dieu les a livrés à leurs affections infâmes ; car même les femmes parmi eux ont changé l’usage naturel en celui qui est contre la nature. Et les hommes tout de même laissant l’usage naturel de la femme, se sont embrasés en leur convoitise l’un envers l’autre, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes la récompense de leur erreur, telle qu’il fallait … Dieu les a livrés à un esprit dépourvu de tout jugement, pour commettre des choses qui ne sont nullement convenables. Etant remplis de toute injustice, d’impureté, de méchanceté, d’avarice, de malignité, pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de fraude, de mauvaises mœurs, rapporteurs, médisants, haïssant Dieu, outrageux, orgueilleux, vains, inventeurs de maux, rebelles à pères et à mères, sans entendement, ne tenant point ce qu’ils ont promis, sans affection naturelle, gens qui jamais ne se rappaisent, sans miséricorde. Et qui, bien qu’ils aient connu le droit de Dieu, savoir, que ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, ne les commettent pas seulement, mais encore ils favorisent ceux qui les commettent. »

Qui porte le blâme ?

Il y a bien des années, notre pasteur émérite, feu le grand Texe Marrs, enregistra un programme intitulé À la recherche de l’homme de fer. Cette émission radiophonique puissante et poignante est

Texe Marrs

encore rapidement disponible par le biais de notre ministère, sur cassette audio ou disque compact (en anglais seulement). Il y pose plusieurs questions très succinctes comme : « Où sont les combattants chrétiens ? Pourquoi tant de personnes sont-elles devenues peureuses ? »

D’après l’auteur-ci, il semble que la réponse est toute simple. Le pastorat est tombé en amour avec l’argent ! Bien que la position donne un certain pouvoir et du prestige sur les membres de la congrégation, à la fin, il appert qu’elle tombe dans le lucre crasseux.

L’explosion des télévangélistes et de l’évangile de la prospérité en ont mené un bon nombre à rechercher la piastre rapidement gagnée. Quand on voit Kenneth Copeland et ses jets privés, son manoir luxueux avec un aéroport sur sa propriété ; quand Jesse Duplantis se montre et déclare qu’il a besoin d’un nouveau jet qui lui permette de voyager mondialement sans avoir à faire escale pour refaire le plein ; quand on voit Benny Hinn habiter de somptueuses suites hôtelières et conduire des voitures luxueuses, la tentation et l’attrait doivent être envoûtants pour ceux qui cherchent à mener la grande vie.

Ces gens-là ne sont pas des hommes de fer. Ce sont plutôt des hommes en papier-mâché. Se plier à la volonté du monde et ne pas s’ériger sur la fondation solide de la Parole de Dieu peut tout aussi bien être nommé pour ce que c’est réellement : une abomination face à Dieu !

La majorité des pasteurs ne sont pas appelés au ministère. En outre, ceux qui ont peut-être été appelés, à l’origine, ont succombé aux enseignements des nombreux séminaires.

Jean a donné un avertissement à ceux dont les valeurs ne venaient pas de Dieu. Dans 1 Jean 2:15-18, nous lisons :

« N’aimez point le monde, ni les choses qui sont au monde ; si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui. Car tout ce qui est au monde, c’est-à-dire, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie, n’est point du Père, mais est du monde. Et le monde passe, avec sa convoitise ; mais celui qui fait la volonté de Dieu, demeure éternellement. Jeunes enfants, c’est ici le dernier temps ; et comme vous avez entendu que l’Antechrist viendra, il y a même dès maintenant plusieurs Antechrists ; et nous connaissons à cela que c’est le dernier temps. »

Comment devient-on un homme de fer ?

Dans Matthieu 28:19-20, Jésus enseigne Ses disciples : « Allez donc, et enseignez toutes les nations, les baptisant au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit ; et les enseignant de garder tout ce que je vous ai commandé. Et voici, je suis toujours avec vous jusques à la fin du monde. Amen. » C’est la grande mission que chaque chrétien a reçue.

Dans Actes 1:8, Jésus demanda instamment à Ses disciples d’être des hommes de fer : « Mais vous recevrez la vertu du Saint-Esprit qui viendra sur vous ; et vous me serez témoins tant à Jérusalem qu’en toute la Judée, et dans la Samarie, et jusqu’au bout de la terre. »

Dans Jérémie 1:17-19, nous voyons Dieu faire de Jérémie un homme de fer : « Toi donc, trousse tes reins, et te lève, et dis-leur toutes les choses que je te commanderai ; ne crains point de te montrer devant eux, de peur que je ne te fasse mettre en pièces en leur présence. Car voici, je t’ai aujourd’hui établi comme une ville forte ; et comme une colonne de fer, et comme des murailles d’airain, contre tout ce pays-ci, c’est-à-dire, contre les Rois de Juda, contre les principaux du pays, contre ses Sacrificateurs, et contre le peuple du pays. Et ils combattront contre toi, mais ils ne seront pas plus forts que toi ; car je suis avec toi, dit l’Eternel, pour te délivrer. »

Ceux qui croient que Jésus est notre Seigneur et notre Sauveur ; qu’Il a payé pour nos péchés ; qui tiennent compte de Ses enseignements et les suivent ; ceux-là sont des Hommes de Fer. Affranchissez-vous des désirs de ce monde et adoptez Son message de la vie éternelle. Continuez à déclarer Sa Vérité, car on vous a donné une puissante bénédiction.




La destruction de la moralité et de la dévotion

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2023

« Et l’Eternel dit : Parce que le cri de Sodome et de Gomorrhe est augmenté, et que leur péché est fort aggravé ; je descendrai maintenant, et je verrai s’ils ont fait entièrement selon le cri qui est venu jusqu’à moi ; et si cela n’est pas, je le saurai. »

Genèse 18:20-21

« Toutefois le fondement de Dieu demeure ferme, ayant ce sceau : le Seigneur connaît ceux qui sont siens ; et, quiconque invoque le nom de Christ, qu’il se retire de l’iniquité. »

2 Timothée 2:19

Les plus grands empires de l’histoire se sont tous écroulés. De nombreux historiens ont émis une multitude de raisons provocant leur fin. Plusieurs déclarent qu’ils se sont mis à décliner dès leur naissance. D’autres croient qu’il s’agissait de fléaux, et d’autres encore pensaient que cela résulta d’une invasion ou d’une guerre.

L’ancien Empire romain, centré sur la ville de Rome, fut établi en 27 av. J.-C. à la suite de l’écroulement de la République romaine et se poursuivit jusqu’au déclin final de l’empire en Occident au 5e siècle.

Dans le volume définitif d’Edward Gibbon, Histoire du déclin et de la chute de l’Empire romain, il identifia cinq causes majeures derrière la chute de l’un des plus grands empires. M. Gibbon déclara que, d’abord et avant tout, il y eut la rupture de la famille. Ensuite, la taxation croissante. Pour conclure sa liste, Gibbon inscrivit un insatiable désir de plaisirs, une insoutenable accumulation d’armement et enfin la décadence de la religion.

Contempler l’abîme

Combien des raisons écrites sur cette liste de Gibbon reflètent l’Amérique moderne ? Y aurait-il un doute à savoir que nous nous trouvons au bord du précipice d’une chute vertigineuse ? Dans son Manifeste communiste, Karl Marx en appela de l’abolition de la famille. Marx déclara que le communisme s’assurerait que les enfants soient éduqués par l’état et non par les parents.

Aujourd’hui, l’attaque contre la dynamique familiale remonte à l’École de Frankfurt. Un de ses érudits les plus célèbres, Herbert Marcuse, émigra aux États-Unis en 1930. Son livre, Eros et la civilisation, était un best-seller en 1959. Et beaucoup croient que ce fut cet ouvrage qui conduisit à la révolution sexuelle des années 1960.

Marcuse explique pourquoi il était important de détruire la famille :

« Le corps dans son entier deviendrait … un objet duquel se réjouir – un instrument de plaisir. Ce changement dans la valeur et la portée des relations libidinales conduirait à une désintégration des institutions par lesquelles les relations interpersonnelles privées ont été organisées, particulièrement la famille monogamique et patriarcale. »

Patrisse Cullors, cofondatrice de Black Lives Matter, montre son salut marxiste. Un des principes guides de BLM est la destruction du noyau familial.

Patrisse Cullors cofonda le mouvement Black Lives Matter et déclare être une marxiste de formation. Un des principes guides de BLM est la destruction du noyau familial. Grâce aux centres d’endoctrinement d’aujourd’hui (alias les écoles publiques) poussant la Théorie de la Critique Raciale, la fluiditié et la transition du genre, le conflit radical contre la famille atteint un niveau catastrophique.

Où est allé mon argent ?

Une des propositions clés du Résident Biden durant sa campagne était l’enlèvement des coupures de taxes implantées pendant la présidence de Donald Trump. Le vieux mantra de « ces coupures ne bénéficieront qu’aux riches » marquait tous ses discours. Et ne voilà-t-il pas qu’un des premiers items de son programme après avoir envahi la Maison Blanche fut d’augmenter la taxation.

Les politiciens sont vite à exiger une augmentation de taxe, car ils peuvent se retourner et dévier cet argent vers leurs propres districts. Cela dorlote les électeurs et leur permet de rester en poste. On blâme le Parti démocrate depuis longtemps à propos des taxes et des dépenses, mais elles prévalent aussi du côté des Républicains.

Grâce à la Loi de Réduction de l’Inflation de Biden, l’économie a subi beaucoup de dommages. De nombreuses famille vivant déjà d’une paie à l’autre, doivent maintenant choisir quelle facture payer ou quel repas sauter. À cause de la menace d’augmentation de taxes pour pallier cette politique défaillante, le point de rupture approche.

De la révolution sexuelle aux personnes attirées par les mineurs

Des déviantes années 1960 où sont nés la drogue, le sexe et le rock-and-roll, à la débauche homosexuelle et au mouvement transgenre d’aujourd’hui, l’Amérique est vraiment tombée dans un style de ville hédoniste. À chaque étape de cet itinéraire, nous avons été témoins de l’accroissement de la dépravation dans la recherche du plaisir.

L’apôtre Paul s’est montré prophétique quand il a écrit aux Galates :

« Car les œuvres de la chair sont évidentes, lesquelles sont l’adultère, la fornication, la souillure, l’impudicité, l’idolâtrie, l’empoisonnement, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les colères, les disputes, les divisions, les sectes, les envies, les meurtres, les ivrogneries, les gourmandises, et les choses semblables à celles-là ; au sujet desquelles je vous prédis, comme je vous l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le Royaume de Dieu » (Galates 5:19-21).

La prolifération de la pornographie et du sexe avant le mariage ont détruit la portée morale de l’Amérique. Plus de la moitié des mariages finissent en divorce. Un tiers des enfants américains grandissent sans leur père biologique. Le lien direct entre des enfants grandissant sans figure paternelle et le taux croissant de criminalité est stupéfiant.

La chrétienté et sa mort

Il y a déclin constant de l’assistance aux églises. Beaucoup de gens n’y ont pas pensé à deux fois lorsque, pendant la pLandémie, les bars et les clubs de danseuses sont demeurés ouverts alors que les églises étaient fermées. Les bergers ont volontiers laissé se débrouiller tout seul le troupeau sans surveillance.

Un grand nombre de ces églises et de leurs leaders « spirituels » sont tièdes. On ne donne plus de viande solide de Sa Parole à ceux qui assistent encore. Ces membres se réjouissent probablement de la liberté qu’ils ont de faire ce qu’ils désirent sans crainte et sans jugement de la part de la chaire. Ils n’ont pas à s’en faire.

À cause de leaders comme Joël Osteen, le pseudo-christianisme laisse un trou béant dans notre cheminement spirituel. À propos de l’homosexualité, cet auteur et « prêcheur » bien connu mondialement a ceci à dire :

« Je crois que Dieu insuffle Sa vie dans chaque personne. Nous sommes tous dans un parcours. Personne n’est parfait. La Bible dit que le péché est l’orgueil, le péché est l’ambition égoïste … Je crois que chaque personne est faite à l’image de Dieu, et vous devez accepter chacun comme il est pendant son parcours … les Écritures enseignent la manière par laquelle les gens vont reconnaître Ses disciples, c’est-à-dire, par l’amour que nous avons les uns pour les autres et donc, je ne prêche pas la haine ou de rabaisser les gens. Je ne suis pas ici pour dire à chacun ce qu’il fait de mal. »

Dans une entrevue avec la Presse Associée, le pape François qualifia les lois criminalisant l’homosexualité de fondamentalement « injustes ». À plusieurs reprises, il s’est fait le champion des droits

Le pape François s’est souvent fait le champion des droits des homosexuels et a pris la défense de l’inclusion du peuple LGBTQ au sein de la vie catholique.

des homosexuels et a pris la défense de l’inclusion du peuple LGBTQ au sein de la vie catholique. François a aussi déclaré que la pédophilie est une maladie et que nous ne devons pas juger ceux qui en sont affligés. Pas étonnant qu’il ait affirmé que la Bible avait tort.

Prévenus et prémunis

Le prophète Ésaïe a écrit : « Certes Jérusalem est renversée, et Juda est tombé ; parce que leur langue et leurs actions sont contre l’Eternel, pour irriter les yeux de sa gloire. Ce qu’ils montrent sur leur visage rend témoignage contre eux, ils ont publié leur péché comme Sodome, et ne l’ont point célé ; malheur à leur âme, car ils ont attiré le mal sur eux ! » (Ésaïe 3:8-9).

Nous avons été prévenus par Sa Sainte Parole que des gens se rebelleraient contre Ses lois morales. Faudra-t-il que nous perdions toutes nos possessions mondaines avant que les gens se mettent à crier pour obtenir miséricorde ? Sans Son code moral, l’Amérique est condamnée à répéter ce qu’ont vécu les empires précédents.

Ces soi-disant bergers ont grand besoin de tenir compte de cet avertissement et de remplacer les doctrines des hommes par Sa Parole. La fidélité, la pureté et la sainteté doivent être tenues pour votre priorité. Nous devons nous montrer résolus dans notre dépendance envers Dieu pour avoir la grâce d’être dignes de Lui.


Par Sandra Myers

Les chrétiens deviennent-ils un sujet de raillerie ?

 

« Et que mon peuple, sur lequel mon Nom est réclamé, s’humilie, et fasse des prières, et recherche ma face, et se détourne de sa mauvaise voie, alors je l’exaucerai des cieux, et je pardonnerai leurs péchés, et je guérirai leur pays. »

2 Chroniques 7:14

Avant le passage cité ci-haut, le roi Salomon et son peuple venaient tout juste de compléter et de dédicacer le temple à l’Éternel et la gloire du Seigneur remplissait la maison. Tous les enfants de Dieu adoraient et louaient le Seigneur pour Sa bonté et Sa miséricorde.

Après cette célébration, l’Éternel rappela Son alliance à Salomon et à son peuple. Ce n’est pas une nouvelle alliance. C’est la même alliance qu’Il passa avec Abraham. Mais encore ici, Il établit clairement à Son peuple le sérieux des responsabilités et les graves conséquences s’ils cessent de Le suivre seul :

« Mais si vous vous détournez, et si vous abandonnez mes statuts, et mes commandements que je vous ai proposés, et que vous vous en alliez et serviez d’autres dieux, et vous prosterniez devant eux ; je les arracherai de dessus ma terre, que je leur ai donnée, et je rejetterai de devant moi cette maison, que j’ai consacrée à mon Nom, et je ferai qu’elle sera un sujet de raillerie parmi tous les peuples. Et quiconque passera près de cette maison, qui aura été haut élevée, sera étonné, et on dira : Pourquoi l’Eternel a-t-il traité ainsi ce pays, et cette maison ? Et on répondra : Parce qu’ils ont abandonné l’Eternel le Dieu de leurs pères, qui les avait retirés du pays d’Egypte, et qu’ils se sont attachés à d’autres dieux, et se sont prosternés devant eux, et les ont servis, à cause de cela il a fait venir tout ce mal sur eux » (2 Chroniques 7:19-21).

Est-ce que l’Amérique, jadis fondée sur une assise biblique, est en train de suivre les mêmes traces que l’ancien Israël ?

Les chrétiens d’Amérique deviendront-ils un sujet de raillerie ?

Dans des conversations et des lettres provenant d’amis de ce ministère, nous semblons tirer les mêmes conclusions : comme on dit, l’Amérique est une balle de neige se dirigeant vers l’enfer. Il semble n’y avoir aucune fin à la profondeur de dépravation dans laquelle plonge l’Amérique.

Selon un sondage de 2021, on estime que 63 % d’Américains déclarent être chrétiens. Dans un sondage Gallup de mars 2022, on voyait que 7,2 % des adultes s’identifient aux lesbiennes, aux gays, aux bisexuels, aux transgenres ou à quelque chose d’autre que les hétérosexuels. Alors pourquoi l’Amérique est-elle soudainement étranglée et contrôlée par une population aussi minuscule ? Où est la tempête de protestation des 63 % des soi-disant chrétiens ?

Chrétienté homogénéisée

La définition d’homogénéisé est le mélange d’éléments différents, spécialement en réduisant un élément en particules et en les dispersant au travers d’une autre substance. Le monde a-t-il si bien brisé la chrétienté en minuscules particules et nous a mélangé au monde qu’il a presque rendu la chrétienté méconnaissable et nous a enlevé tout pouvoir ?

Et est-ce que nous, qui nous appelons chrétiens (les élus appelés du nom de Dieu), sommes devenus si engourdis par cette homogénéisation que nous en soyons venus à préférer notre état dilué au lieu d’être un peuple particulier, mis à part en tant que témoins de Dieu et de Son salut ? Le monde peut-il faire la différence entre lui et nous ?

Nous humilier devant Dieu

Malheureusement, une grande partie du leadership du grand courant chrétien ressemble au Pharisien de Luc 18:11-14. Orgueilleux, vantard, suffisant et plus encore. Qu’y a-t-il d’étonnant à ce que la chrétienté se soit homogénéisé ?

« Le Pharisien se tenant à l’écart priait en lui-même en ces termes : ô Dieu ! je te rends grâces de ce que je ne suis point comme le reste des hommes, qui sont ravisseurs, injustes, adultères, ni même comme ce péager. Je jeûne deux fois la semaine, et je donne la dîme de tout ce que je possède. Mais le péager se tenant loin, n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais frappait sa poitrine, en disant : ô Dieu ! sois apaisé envers moi qui suis pécheur ! Je vous dis que celui-ci descendit en sa maison justifié, plutôt que l’autre ; car quiconque s’élève, sera abaissé, et quiconque s’abaisse, sera élevé. »

En tant que pays, nous savons que nous sommes dans le trouble. Si le monde réussit ce qu’il veut, notre Sauveur deviendra un sujet de moquerie – méprisé et ridiculisé chez les païens. Mais Son Alliance tient toujours pour nous. Nous devons toujours témoigner et attester de Sa Puissance et de Sa Gloire à ce monde par le Salut en Jésus-Christ, Son Fils, notre Rédempteur.

Il n’en tient qu’à nous, l’humble résidu, de réveiller un esprit de repentir, d’humilité, de joie et de louange à notre Seigneur. Je crois que nous humilier et nous détourner de nos voies méchantes n’est pas chose passive. Comme chrétiens, nous devons réclamer notre propre particularité, nous dé-homogénéiser de la folie du monde que celui-ci adopte ; parler contre les choses qui confrontent le dessein de Dieu ; et répandre la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ.

« Mais vous êtes la race élue, la Sacrificature royale, la nation sainte, le peuple acquis, afin que vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à sa merveilleuse lumière » (1 Pierre 2:9).




Le « Soyez woke, faites faillite » frappe encore

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Avril 2023

Par Jerry Barrett

Quand la bonne santé mentale reviendra-t-elle ?

« Ne vous amassez point des trésors sur la terre, que les vers et la rouille consument et que les larrons percent et dérobent. »

Matthieu 6:19

« Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. »

1 Timothée 6:9

L‘expression « Soyez woke, faites faillite » fait maintenant partie du langage courant. En termes profanes, « woke » (éveillé) transmet comme message que vous êtes socialement au courant des problèmes systémiques de la société. Malheureusement, être « woke » ne paiera pas votre hypothèque, vos factures ni ne mettra de la nourriture sur votre table.

Il y a un grand nombre de compagnies qui ont courbé l’échine devant l’extrême gauche et deviennent des participants volontaires de cette nouvelle folie. Disney s’avère l’exemple le plus évident de cet état d’esprit. Promouvant l’homosexualité et le transgenrisme chez la jeunesse américaine, cette ancienne industrie géante du divertissement n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Cette lubie n’est pas nouvelle. Pour ceux qui ont grandi dans les années 1960, on entendait partout le mantra « Faire l’amour et pas la guerre ». Le sexe, la drogue et le rock-and-roll étaient au goût du jour. Pour ceux qui ont grandi dans les années 1970-80, le narcissisme, les grosses chevelures, la musique disco et, eeeek !, les pantalons à pattes d’éléphant constituaient la norme.

La folie actuelle du style de vie débauché va certainement s’évanouir dans les annales de l’histoire. Toutefois, les débris et les détritus laissés par ce mouvement vont joncher le paysage pendant un bon bout de temps. Malheureusement, les leaders wokes de l’industrie vont laisser un héritage terni de tromperie et de maux de tête.

Gouvernance Sociale de l’Environnement (GSE)

Qu’est-ce que la GSE ? L’extrême gauche la décrit comme un critère pour prendre des décisions stratégiques d’investissement afin d’aider les causes environnementales et sociales. Les législateurs fédéraux et des états ont commencé à passer des lois et des règlements pour obliger les compagnies à remettre des rapports de GSE. En d’autres mots, la GSE est très semblable aux « pointages de crédit social » appliqués aux individus.

Les exécutifs d’entreprise qui ont souscrit à cette façon de penser ont transformé leurs compagnies en foyers de guerriers de la justice sociale. Au lieu de concentrer leurs efforts à générer des profits pour les actionnaires, à créer des emplois et à développer des produits innovateurs pour les consommateurs, ces compagnies mènent aujourd’hui la guerre culturelle visant à promouvoir la théroe critique de la race et à redéfinir les genres.

Pourquoi cela a-t-il de l’importance ?

La question à un million de dollars que certains d’entre vous vous posez probablement, c’est pourquoi cela a-t-il de l’importance ? Cela ne m’affecte pas, ni ma famille, alors pourquoi aborder le sujet ? L’auteur de cet article déteste être celui qui apporte de mauvaises nouvelles, mais comme le prouvent les événements récents, tout ce que la gauche extrême dérange affecte chacun d’entre nous de manière exponentielle.

La GSE a affecté massivement l’énergie sur laquelle nous avons appris à dépendre. Sa cible principale est l’industrie du pétrole et du gaz. Ces alarmistes climatiques qui exigent du régime Biden qu’il restreigne le forage et la fabrication de produits pétroliers ont eu un impact direct sur le prix que vous payez à la pompe. De la même façon, la guerre contre l’industrie du charbon affecte le prix de votre énergie, de même que votre dépendance. À mesure que de plus en plus de ces industries prennent le virage de l’autonomie avec le pouvoir éolien et solaire, le déferlement des pannes électriques dues aux coupures d’énergie vont se multiplier.

Pour ceux qui investissent leur argent durement gagné dans les actions et les fonds mutuels, ils le font dans l’espoir de faire un bon profit. Il y a aussi un grand nombre de comptes de retraites qui sont lourdement investis dans les fonds mutuels.

Comme on peut le concevoir, les investissements dans les compagnies qui mettent l’accent sur l’importance du GSE offrent un retour d’investissement beaucoup plus bas que la normale. Les gérants de ces fonds mutuels devraient ressentir l’obligation morale de protéger l’argent de leurs clients, mais dans la société d’aujourd’hui, ce n’est pas souvent le cas.

Projet de loi Glass-Steagall

Après le crash boursier de 1929, le sénateur Carter Glass (D-VA) et le représentant Henry Steagall (D-AL) commanditèrent un projet pour réformer la banque. Fondamentalement, le Projet de Loi Glass-Steagall empêchait les sociétés de surveillance et les banques d’investissement de s’emparer des dépôts.

Comme l’homme a l’habitude de faire, cependant, on juge les idéologies malléables et on y ajoute des échappatoires pour refléter la mentalité du moment. Dans les années 1990, la Loi Glass-Steagall fut pillée et n’était plus une pièce viable de la législation.

Projet de Loi Dodd-Frank

À la suite de la Grande Récession de 2008, le Président Barack Obama proposa une grande refonte du système de réglementation financière. Le représentant Barney Frank (D-MA) et le sénateur Chris Dodd (D-CT) présentèrent cette législation en 2009. Cela apporta des changements dans chaque partie de l’industrie des services financiers du pays. Dodd-Frank est considéré par un grand nombre de gens comme une des lois les plus significatives adoptées durant la présidence Obama.

Les personnages de l’investissement bancaire déclarèrent que cela accroîtrait l’exploitation des opérations de données. Un important lobby de Wall Street signifia son soutien envers la loi, et conseilla vivement au Congrès de ne pas la changer ou l’abroger afin d’empêcher qu’une loi plus forte soit adoptée. À cause des pesants coûts associés à Dodd-Frank, les petites banques furent forcées de mettre fin à leurs services de contrôle gratuit, de même que les hypothèques et les emprunts de voitures.

Une autre dépression est-elle imminente ?

Bernie Marcus, fondateur de Home Depot, déclara en peu de mots que les Américains doivent « se réveiller » après que la Banque de Silicone Valley (une banque woke) se soit effondrée parce qu’elle était « plus préoccupée par le réchauffement global que par les ristournes aux actionnaires ». M. Marcus poursuivit, « La Fed continue à faire grimper les taux, et l’inflation poursuit son chemin dans la mauvaise direction … Nous avons une administration … qui persiste à parler du bon vieux temps et comme nous étions bien. »

La Banque de Silicone Valley (BSV) est la seconde plus grosse faillite bancaire de l’histoire des États-Unis. Les effets de vague ont déjà entamé une réaction en chaîne économique. La Banque Signature, la troisième plus grosse faillite bancaire de l’histoire des États-Unis, fut le domino suivant à tomber. Ironie du sort, un des membres du comité directeur de la Banque Signature n’est nul autre que Barney Frank. Beaucoup d’autres ont vu plonger la valeur de leurs actions, plusieurs jusqu’à soixante-quinze pourcent !

Est-ce le renard qui garde le poulailler ?

Les travaux internes de ces institutions sont rarement connus. La plupart du temps, il faut un événement catastrophique pour que même une parcelle de vérité puisse voir la lumière du jour. Grâce au South China Morning Post, nous savons maintenant qu’il y a un lien entre la BSV et la Chine. À la fin des années 1990, la BSV fut la première institution financière à servir les compagnies chinoises en démarrage.

N’est-ce pas choquant de la part du régime Biden de donner instruction à la FDIC et à la Réserve Fédérale de se frayer un chemin dans tous les comptes de dépôt de la banque – dont une portion significative sont des comptes appartenant à la Chine ? La circonstance pourrait être innocente, mais cela nous pousse à nous demander si Biden ne serait pas allié avec le gouvernement communiste chinois.

Le pointage de crédit social et la monnaie digitale

La Chine communiste a lancé son yuan digital en 2022. Cette monnaie digitale est le point d’appui du système de crédit social. Pour ceux qui obéissent aux décrets tyranniques du gouvernement,

Pour ceux qui obéissent aux décrets tyranniques du gouvernement, un pointage de crédit social plus élevé permettra à cet individu de recevoir des avantages qui ne seront pas offerts à ceux qui ont des pointages plus bas.

un pointage de crédit social plus élevé leur permettra de recevoir des avantages qui ne seront pas offerts à ceux qui ont des pointages plus bas. De plus, si cette personne utilise les médias sociaux pour faire la promotion des ordres draconiens du gouvernement, son pointage s’accroîtra. Ceux qui s’opposent aux leaders pourront se considérer chanceux d’avoir un quignon de pain moisi.

Le 9 mars 2022, le Résident Biden émit l’Ordre Exécutif 14067 intitulé « Garantie de Développement Responsable des Actifs Digitaux ». Biden a signalé être prêt à suivre l’exemple chinois dans le spectre de la monnaie digitale et, bien sûr, un pointage de crédit social ne sera pas loin derrière, n’est-ce pas ?

La Réserve Fédérale embarque dans cette proposition. Connu sous le nom de Devises Digitales de Banque Centrale (DDBC), ce système digital centralisera les informations et les avoirs des Américains dans une banque de données contrôlée par le gouvernement des États-Unis. Le rêve de tout dirigeant autoritaire devenu réalité, car chaque transaction sera retracée.

Comme le système de pointage de crédit social de la Chine, si le potentat résidant au 1600 Pennsylvania Avenue – ou un de ses laquais institutionnels – a connaissance de votre récent achat d’un AR-15, des fonds pourraient mystérieusement disparaître de votre compte digital pour vous punir de cette action monumentale. Cependant, si vous êtes un activiste pro-avortement, qui dit qu’il n’apparaîtra pas une centaine de dollars d’extra dans votre compte ?

Comme le déclara un jour l’auteur et journaliste PJ O’Rourke, « Donner de l’argent et du pouvoir au gouvernement, c’est un peu comme donner du whiskey et les clés de la voiture à des adolescents. » Grâce à une monnaie digitale, le gouvernement fédéral aura le contrôle final sur la façon que seront construites les usines, sur ce que les entreprises feront comme profit et quel individu se qualifiera pour obtenir un prêt pour une maison ou pour une voiture.

Alors que ces « hommes » croient que l’accumulation des richesses est le but ultime à atteindre, ils se trompent cruellement. L’apôtre Paul explique : « Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses » (1 Timothée 6:10).

Ceux qui convoitent ce qui est au-delà du nécessaire pour survivre vont souffrir. Paul note ceci :

« De vaines disputes d’hommes corrompus d’entendement, et privés de la vérité, qui estiment que la piété est un moyen de gagner » (1 Timothée 6:5).

« Car nous n’avons rien apporté au monde, et aussi il est évident que nous n’en pouvons rien emporter. Mais ayant la nourriture, et de quoi nous puissions être couverts, cela nous suffira. Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition » (1 Timothée 6:7-9).

Nous savons tous que nous avons besoin d’argent pour vivre. Autrement, comment quelqu’un pourrait-il nourrir sa famille et mettre un abri sur sa tête ? Il y a beaucoup de passages dans la Bible qui nous recommandent de mettre en réserve des choses pendant que les temps sont favorables en prévision des temps difficiles. La chose la plus importante que nous devons mettre en réserve, toutefois, c’est le trésor au ciel. Que la grâce soit avec vous.

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Par Sandra Myers

Les raclées vont se poursuivre jusqu’à ce que la moralité s’améliore

 

« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux. Car ces sortes de gens ne servent point notre Seigneur Jésus-Christ, mais leur propre ventre, et par de douces paroles et des flatteries ils séduisent les cœurs des simples. »

Romains 16:17-18

« Le gouvernement nous craint-il ? Ou avons-nous peur du gouvernement ? Quand le peuple a peur du gouvernement, la tyrannie a trouvé victoire. Le gouvernement fédéral est notre serviteur, pas notre maître ! »

Thomas Jefferson

Nous vivons une ère de peur. Ne vous y trompez pas, mes amis, cette peur est utilisée intentionnellement pour nous forcer à la soumission. Après chaque coup, on s’attend à ce que vous souriiez avec appréciation à vos abuseurs et dites « Merci, puis-je en avoir un autre ? ». Non seulement êtes-vous battu avec l’intention de vous soumettre, mais cette raclée a aussi un impact sur nos générations futures. Nous en voyons déjà les effets.

Nous rendre malléables pour le coup final

Coup moral : Enlever la prière des écoles a été un des premiers pas vers la destruction de la moralité, car la foi en Jésus-Christ est le fondement et la source de notre liberté ; « l’amour libre » détruisit l’alliance du mariage ; l’avortement sur demande, même jusqu’au moment de la naissance, a créé le mépris subséquent envers la vie humaine à tous les stades, même à l’âge d’or.

« Un mensonge ne devient pas la vérité, le mal ne devient pas le bien et ce qui est mauvais ne devient pas bon simplement parce que c’est accepté par la majorité. » [Booker T. Washington]

Intensifier leur jeu vers le contrôle fondé sur le traumatisme : des programmes conduits avec en tête votre soumission

Crises sanitaires : La campagne Covid. Ils veulent vous masquer, vous distancier et vous vacciner – par la force, si nécessaire ! La peur continuelle des variants. Les complications et les morts dues aux « vaccins ». Ils vous couvrent de honte et font même pression sur votre famille afin qu’elle vous ostracise si vous refusez. L’émission de passeports vaccinaux pour entrer dans les espaces publics et les places d’affaires, de même que pour maintenir votre emploi.

Changement climatique : Selon les derniers 50 ans de prédictions des « experts », le monde aurait dû prendre fin il y a maintenant longtemps à cause du réchauffement climatique ou du refroidissement climatique, tout dépendant qui faisait la sinistre prédiction de l’époque.

La peur basée sur le traumatisme, contrôle et soumission à leur meilleur.

Anarchie : Le définancement de la police ; émeutes, incendies criminels, pillages, vols, protestations « pacifiques » ; Soros met en place des procureurs qui relâchent même des meurtriers sans caution.

Confusion des genres : Des hommes dans les toilettes des filles ; les hommes peuvent avoir des bébés ; des hommes dans les compétitions sportives des femmes ; des spectacles « familiaux » de drag queen avec des heures de contes.

Pénuries et insécurité alimentaire : Gazoline, couches et lait maternisé pour bébé, œufs, laiterie, poulet, bœuf. Certaines sont provoquées (comme pour le papier de toilette et les masques) afin d’instiller la peur. Puces d’ordinateur. Le bois. Les maisons. Les camionneurs. L’emploi – fermetures dues au programme Covid.

Autres événements utilisés afin d’ajouter à la peur et au traumatisme : Inflation hors contrôle ; ouverture des frontières ; fentanyl ; propagande de guerre ; marxisme culturel ; effacement de l’histoire ; fausses nouvelles ; capitalisme de copinage ; Biden et la Chine ; commerce interne ; défaillance bancaire ; bulle immobilière, etc

Avec chaque cycle d’événements traumatiques, le gouvernement assure les masses de son « aide ». L’intention est de créer de l’amour imaginaire, de la confiance et de la fiabilité envers l’élite et le gouvernement qui sont là pour nous sauver. Les Américains se font flageller afin d’être soumis au 1 % – les abuseurs. Comment cela se fait-il ?

Le syndrome d’attachement traumatique

Similaire en bien des points au Syndrome de Stockholm, le Syndrome d’attachement traumatique, ou contrôle mental fondé sur le traumatisme, est une réaction psychologique face au traumatisme ou à l’abus dans lequel la victime développe une réaction de sympathie ou positive envers ses abuseurs.

Ce lavage de cerveau est renforcé par des cycles continus d’abus (ou de peur), ce qui explique pourquoi l’Amérique vit une crise après l’autre. Les abusés (le grand courant de la population) sont tellement traumatisés qu’ils ne peuvent plus penser par eux-mêmes. Cet impuissance et ce désespoir intellectuels font que les abusés voient chez les abuseurs des figures de sauveurs. Les abusés, incapables de briser le cycle, iront jusqu’à défendre leurs abuseurs, étant devenus indolents, sans esprit, sans âme.

Finalement

Ne craignez pas ce que ces abuseurs peuvent faire à votre corps, mais craignez ce qu’ils peuvent faire à votre âme et à celle de ceux que vous aimez. À travers toutes les façons qu’ils emploient pour vous battre et vous amener à la soumission, rappelez-vous que la vraie liberté se trouve en Jésus-Christ.

« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux » (Romains 16:17).

« Ils font profession de connaître Dieu, mais ils le renoncent par leurs œuvres ; car ils sont abominables, et rebelles, et réprouvés pour toute bonne œuvre » (Tite 1:16).




D.577 – Marie : mère de Jésus – sa virginité – ses autres enfants

Par Roch Richer

À la vue des événements actuels, nous croyons être arrivés tout prêt des temps de la fin, en cette période de profondes ténèbres. Tous les signes de dégradation spirituelle se répandent comme un cancer qui se généralise. Plus ou moins consciemment, un nombre croissant de gens se rendent compte que les choses ne vont qu’en empirant. Cependant, bien peu de gens sont en mesure de mettre le doigt sur le problème. Alors, la majorité de ceux qui croient en un Dieu, quelle que soit leur vision de ce Dieu, vont tenter de se réfugier dans les croyances de leur enfance et retourner à leur ancienne religion.

C’est le cas dans le monde catholique. Le culte à la « Vierge Marie » semble reprendre de la vigueur, même chez ceux qui reconnaissent que leur pape actuel est un véritable renégat s’affichant de plus en plus comme tel.

Mais rendre un culte à la « Vierge Marie » est-il une pratique chrétienne accomplissant la volonté de Dieu telle qu’enseignée dans les Saintes Écritures ? Dans ce document, nous allons citer le Catéchisme pour adultes, rédigé par les Évêques de France de l’Association épiscopale catéchistique. édition 1991, et qui cite lui-même Les Actes du Concile Vatican II, Lumen Gentium, Édition du Cerf, 1966. Nous comparerons ces citations avec la Bible de David Martin, 1744, fondée sur les Textes Reçus originaux. Nous allons explorer tous les versets qui mentionnent la mère de Jésus, Marie, femme de Joseph, afin de voir s’ils soutiennent la vision proposée par l’Église catholique concernant le « Vierge Marie ».

  1. La naissance de Jésus

Beaucoup de passages de l’Ancien Testament ont prophétisé la venue du Christ sur terre, mais un en particulier annonça Marie.

Ésaïe 7:14

« C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe ; voici, une Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils, et appellera son Nom EMMANUEL. »

Il y a certains théologiens, surtout chez les Juifs orthodoxes, qui affirment que le mot hébreu almah doit être traduit par « jeune fille » ou « jeune femme », mais il veut principalement dire « vierge ». Or, nous lisons, dans Matthieu 1:22-23, que l’évangéliste cite le prophète et dit explicitement qu’il s’agit d’une « vierge » : « Or tout ceci est arrivé afin que fût accompli ce dont le Seigneur avait parlé par le Prophète, en disant : Voici, la Vierge sera enceinte, et elle enfantera un fils ; et on appellera son nom Emmanuel, ce qui signifie, DIEU AVEC NOUS. » Le mot original grec est parthenos qui signifie bien « vierge ».

Il est étrange que la Bible catholique de Jérusalem ait traduit almah par « jeune fille », alors que l’Église catholique, comme nous allons le voir, insiste sur la « virginité perpétuelle » de Marie.

La logique même du verset d’Ésaïe exige qu’il s’agisse d’une vierge. Dieu a dit qu’Il donnerait un signe, c’est-à-dire qu’Il effectuerait un miracle à la démonstration irréfutable. Or, qu’y aurait-il eut de miraculeux à ce qu’une « jeune fille » tombât enceinte ? Des milliards de jeunes filles ont eu un fils ! Allons-nous croire l’évangéliste Matthieu inspiré par Dieu qui s’est servi du mot grec parthenos pour traduire le mot grec almah, ou allons-nous croire des théologiens juifs ou judaïsants qui ne veulent surtout pas croire que Jésus fut le Christ annoncé ?

Oui, Dieu a bel et bien inséminé une jeune fille vierge de Judée, du nom de Marie, en insérant dans son ventre le Germe prophétisé, c’est-à-dire, un embryon complet qu’Il avait préparé avant même la création du monde et destiné à être l’Agneau de Dieu.

Ésaïe 4:2

« En ce temps-là le Germe de l’Eternel sera plein de noblesse et de gloire, et le fruit de la terre plein de grandeur et d’excellence, pour ceux qui seront réchappés d’Israël. »

Jérémie 23:5

« Voici, les jours viennent, dit l’Eternel, que je ferai lever à David un Germe juste, qui régnera comme Roi ; il prospérera, et exercera le jugement et la justice sur la terre. »

Jérémie 33:15

« En ces jours-là, et en ce temps-là je ferai germer à David le Germe de justice, qui exercera le jugement et la justice en la terre. »

Zacharie 3:8

« Ecoute maintenant, Jéhosuah, grand Sacrificateur, toi, et tes compagnons qui sont assis devant toi, parce que ce sont des gens qu’on tient pour des monstres, certainement voici, je m’en vais faire venir Germe, mon serviteur. »

Zacharie 6:12

« Et parle-lui, en disant : Ainsi a parlé l’Eternel des armées, disant : Voici un homme, duquel le nom est Germe, qui germera de dessous soi, et qui bâtira le Temple de l’Eternel. »

Germe : n.m. (lat. germen) 1. Plantule. 2. Bourgeon rudimentaire qui se développe sur certains organes souterrains (pomme de terre). [Dictionnaire Petit Larousse, 2011.]

Plantule : Embryon d’une plante contenu dans la graine. SYN. : graine. [Dictionnaire Petit Larousse, 2011.]

Dieu avait donc planifié créer un Germe avant la fondation du monde afin qu’Il devienne le Sacrifice expiatoire pour tous nos péchés. « Mais par le précieux sang de Christ, comme de l’agneau sans défaut et sans tache, déjà ordonné avant la fondation du monde, mais manifesté dans les derniers temps pour vous » (1 Pierre 1:19-20). Tout cela nous amène au point de discussion suivant.

  1. La virginité de Marie, l’humanité de Jésus

Sachant par avance tout ce qui allait survenir dans l’histoire de l’humanité, parce qu’Il ne vit pas dans le temps, Dieu forma un embryon divin complet dans lequel Il allait vivre revêtu de la chair humaine, par la puissance de Son Saint-Esprit, une fois implanté dans le ventre de la vierge Marie. Emmanuel, Dieu fait homme. Cet embryon, ce Germe divin, n’hérita pas de la nature humaine par le biais de Marie, car cela aurait impliqué que Dieu eût dû engendrer un ovule de Marie. Or, dans Ses prophéties, Dieu ne parle pas d’un « spermatozoïde divin », mais d’un Germe entier, ce qui écarte l’hypothèse de la passation de la nature humaine de Marie à Jésus.

Le Christ n’avait pas la nature humaine en Lui, c’est-à-dire, un esprit charnel que vient ensuite accompagner le Saint-Esprit lors de la conversion d’un chrétien. Jésus possédait uniquement l’Esprit de Dieu. « Car le bon plaisir du Père a été que toute plénitude habitât en lui » (Colossiens 1:19). C’est pour cette raison qu’il Lui a été possible de ne jamais pécher, car Dieu n’est pas tenté par le mal et Il a la capacité de ne jamais le commettre.

Nous pouvons dire en toute certitude que Marie, fiancée de Joseph, fut choisie par Dieu pour être la mère-porteuse de Jésus. Dans son utérus, son placenta nourrit le fœtus de Jésus pour qu’Il arrive sainement à terme. Après la naissance du Christ, Joseph et Marie, parents adoptifs de Jésus, L’entretinrent dans Ses besoins physiques. C’était la véritable mission que Dieu leur avait confiée, ni plus ni moins. Aller au-delà de cela, c’est risquer de dénaturer la mission en question. Ce que n’hésitent pourtant pas à faire les « pères » de l’Église catholique avec leurs interprétations dangereuses, comme nous le voyons dans le Catéchisme pour adultes, en page 213 :

« Marie “toujours vierge”

« La conception virginale de Jésus signifie son origine à la fois divine et humaine. Jésus a Dieu seul pour Père. Mais la foi de l’Église [catholique] a scruté le rapport entre maternité et virginité de Marie. Elle a vu dans cette virginité le signe de la consécration absolue de la Mère au Fils, le signe de la disponibilité totale de Marie à l’œuvre de Dieu.

« Aussi la foi chrétienne [la foi catholique] a-t-elle reconnu en Marie celle qui est toujours vierge, la Vierge par excellence. Elle tient que la naissance de Jésus n’a pas porté atteinte à la virginité de sa mère et que Marie est restée vierge pendant toute sa vie dans une fidélité totale.

Lorsque le catéchisme utilise l’expression « la foi de l’Église », elle veut dire « les croyances de l’Église catholique », à l’exclusion des Évangiles et de leurs enseignements. Le catholicisme tient à donner un rôle à Marie dans la conception de Jésus-Christ, rôle que ne soutient aucun passage de la Bible. Une étude honnête des Écritures montre que le rôle de Marie s’est borné à porter le fœtus de Jésus jusqu’à Sa naissance en tant qu’être humain. Elle n’a pas autrement contribué à Sa conception, car, comme nous l’avons déjà vu, Dieu a déposé un embryon complet dans son sein, le Germe prophétisé.

Alors ce n’est que spéculation et affaire d’opinion personnelle de la part des « pères » de l’Église catholique que de dire que Marie a conservé sa virginité après la naissance de Jésus. Physiquement, c’est impossible, car l’hymen de Marie ne pouvait que se déchirer à la sortie de l’enfant Jésus. Bien sûr, Dieu aurait pu alors effectuer un miracle et réparer l’hymen, mais c’eût été immanquablement écrit dans les Évangiles parce que Dieu n’aurait pas mis sous silence un pareil événement.

Dans toute cette affaire, que fait-on du cas de Joseph, époux de Marie ? Vous rendez-vous compte que supposer la virginité perpétuelle de Marie impose que Joseph soit aussi demeuré vierge ? Dieu a-t-Il exigé de Joseph qu’il ne connût jamais Marie, sa femme ? Cela nous conduit à notre point suivant.

  1. Marie et ses autres enfants

Matthieu 1:24-25

« Joseph étant donc réveillé de son sommeil, fit comme l’Ange du Seigneur lui avait commandé, et reçut sa femme. Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté son fils premier-né ; et il appela son nom Jésus. »

Luc 2:5-7

« Pour être enregistré avec Marie, la femme qui lui avait été fiancée, laquelle était enceinte. Et il arriva comme ils étaient là, que son terme pour accoucher fut accompli. Et elle mit au monde son fils premier-né, et l’emmaillota, et le coucha dans une crèche, à cause qu’il n’y avait point de place pour eux dans l’hôtellerie. »

Luc 2:22-23

« Et quand les jours de la purification de Marie furent accomplis selon la Loi de Moïse, ils le portèrent à Jérusalem, pour le présenter au Seigneur, (Selon ce qui est écrit dans la Loi du Seigneur : que tout mâle premier-né sera appelé saint au Seigneur.) »

Vous lisez ici la traduction exacte des textes originaux ; et c’est ainsi que la traduit aussi la Version Autorisée de la King James 1611. Il y a donc un problème évident en ce qui concerne la « virginité perpétuelle » de Marie. Voyons comment le catholicisme contourne ce problème. Citons d’abord la version catholique de Jérusalem : « Une fois réveillé, Joseph fit comme l’Ange du Seigneur lui avait prescrit : il prit chez lui son épouse ; et, sans qu’il l’eût connue, elle enfanta un fils, auquel il donna le nom de Jésus. » Après le mot « connue », il y a un renvoi de bas de page qui dit ceci : « Litt. “et il ne la connut pas jusqu’au jour où elle enfanta”. Le texte n’envisage pas la période ultérieure, et de soi n’affirme pas la virginité perpétuelle de Marie, mais le reste de l’Évangile ainsi que la Tradition de l’Église la supposent. »

Les auteurs de la Bible de Jérusalem avouent eux-mêmes avoir falsifié et modifié le texte original en se donnant pour excuse que le reste de l’Évangile et leur Tradition supposent cette doctrine de la virginité perpétuelle de Marie. Ce n’est pas anodin. C’est même grave. Tout d’abord, il est faux de dire que les Évangiles supposent cette doctrine car, comme nous allons l’étudier, aucun verset ne vient supporter cela, au contraire. Donc, ces auteurs ne se reposent que sur la Tradition catholique qui, elle, n’a aucune fiabilité et n’apporte pour preuves aucun passage biblique pour soutenir ses assertions. Il s’agit d’un exercice flagrant d’hypocrisie.

Ce que le passage de Matthieu 1:23 dit clairement, c’est que Joseph attendit que Marie eût mis au monde son fils premier-né avant d’avoir des relations sexuelles avec sa femme. Ils eurent ensuite ensemble une famille nombreuse.

Vous remarquerez aussi que les traditionalistes catholiques ont remplacé « son fils premier-né » par « un fils », car tout le monde peut comprendre qu’in fils n’est qualifié de « premier-né » que si un ou plusieurs autres enfants suivent, sinon, on parle de fils unique.

La majorité des gens pensent que les théologiens possèdent une compréhension des Écritures bien supérieure à la moyenne, à cause du nombre d’années qu’ils passent dans les séminaires. Mais qu’étudient-ils, en fait ? Nous commençons à nous apercevoir qu’ils sont de la même école de pensée que les Pharisiens à qui Jésus-Christ reprochait leur Tradition consistant à trouver des moyens de contourner la Parole de Dieu dans le but de l’annuler. Ne nous y laissons pas prendre.

Donc, ce passage de Matthieu 1:25 annonçait la fin de la virginité de Marie et la procréation de toute une flopée d’enfants pour le couple Joseph-Marie. Nous allons voir que, hormis Jésus, ils ont eu au moins sept autres enfants, dont quatre fils dûment nommés.

Matthieu 12:46-50

« Et comme il parlait encore aux troupes, voici, sa mère et ses frères étaient dehors cherchant de lui parler. Et quelqu’un lui dit : voilà, ta mère et tes frères sont là dehors, qui cherchent de te parler. Mais il répondit à celui qui lui avait dit cela : qui est ma mère, et qui sont mes frères ? Et étendant sa main sur ses Disciples, il dit : voici ma mère et mes frères. Car quiconque fera la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »

Luc 8:19-21

« Alors sa mère et ses frères vinrent vers lui, mais ils ne pouvaient l’aborder à cause de la foule. Et il lui fut rapporté, en disant : ta mère et tes frères sont là dehors, qui désirent de te voir. Mais il répondit, et leur dit : ma mère et mes frères sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique. »

Matthieu 13:55-56

« Celui-ci n’est-il pas le fils du charpentier ? sa mère ne s’appelle-t-elle pas Marie ? et ses frères ne s’appellent-ils pas Jacques, Joses, Simon et Jude ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ? D’où viennent donc à celui-ci toutes ces choses ? »

Matthieu 27:55-56, 61

« Il y avait là aussi plusieurs femmes qui regardaient de loin, et qui avaient suivi Jésus depuis la Galilée, en le servant. Entre lesquelles étaient Marie-Magdeleine ; et Marie mère de Jacques et de Joses ; et la mère des fils de Zébédée [les apôtres Jacques et Jean] … Et là étaient Marie-Magdeleine et l’autre Marie, assises vis-à-vis du sépulcre. »

Marc 3:31-35

« Sur cela ses frères et sa mère arrivèrent là, et se tenant dehors ils l’envoyèrent appeler ; et la multitude était assise autour de lui. Et on lui dit : voilà ta mère et tes frères là dehors, qui te demandent. Mais il leur répondit, en disant : qui est ma mère, et qui sont mes frères ? Et après avoir regardé de tous côtés ceux qui étaient assis autour de lui, il dit : voici ma mère et mes frères. Car quiconque fera la volonté de Dieu, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. »

 Marc 6:3

« Celui-ci n’est-il pas charpentier ? fils de Marie, frère de Jacques, et de Joses, et de Jude, et de Simon ? et ses sœurs ne sont-elles pas ici parmi nous ? et ils étaient scandalisés à cause de lui. »

Marc 6:4

« Mais Jésus leur dit : un Prophète n’est sans honneur que dans son pays, et parmi ses parents et ceux de sa famille. »

Marc 15:47

« Et Marie-Magdeleine, et Marie mère de Joses regardaient où on le mettait. »

Marc 16:1

« Or le jour du Sabbat étant passé, Marie-Magdeleine, et Marie mère de Jacques, et Salomé achetèrent des aromates, pour le venir embaumer. »

Luc 24:10

« Or ce fut Marie-Magdeleine, et Jeanne, et Marie mère de Jacques, et les autres qui étaient avec elles, qui dirent ces choses aux Apôtres. »

Jean 2:12

« Après cela il descendit à Capernaüm avec sa mère, et ses frères, et ses Disciples ; mais ils y demeurèrent peu de jours. »

Dans ces passages, nous voyons Marie et ses enfants cités comme étant la famille physique de Jésus. Dans Matthieu 12:46-50, que raconte également Luc 8:19-21 et Marc 3:31-35, le contexte montre sans ambiguïté que celui qui interpela Jésus pour L’avertir que Sa mère et Ses frères se trouvaient là et cherchaient à Lui parler, entendait bien par là qu’il s’agissait de la famille immédiate de Jésus. C’est par allégorie que notre Seigneur parla ensuite de Ses frères spirituels. De toute évidence, l’individu qui avait interpelé Jésus ne pensait pas à l’aspect spirituel. Nous voyons donc que Marie eut d’autres enfants. D’ailleurs, dans Matthieu 13:55-56, ils sont désignés par leur nom. Il y a ici quatre frères de Jésus et, selon toute logique, au moins trois sœurs. S’il y avait eu deux sœurs, Matthieu n’aurait sans doute pas eu à écrire « toutes parmi nous ». Marie eut, au minimum, huit (8) enfants !

Cela devait fortement embarrasser les « pères » catholiques qui tenaient à la « virginité perpétuelle » de Marie. Ces versets les gênaient ; ils ont donc trouvé une excuse pour contourner l’obstacle. Dans la Bible de Jérusalem catholique, ils ont rédigée une note de bas de page en rapport avec Matthieu 12:46 en croyant que ce serait suffisant pour « prouver » leur point. Elle se lit comme suit : « Non des fils de Marie, mais des proches parents, comme par exemple des cousins, que l’hébreu et l’araméen appelaient aussi “frères”, cf. Gn 13:8 ; 14:16 ; 29:15 ; Lv 19:4 ; 1 Ch 3:22. » Allons voir ces versets afin de déterminer si l’argument catholique tient le coup.

Genèse 13:8 : « Et Abram dit à Lot : Je te prie qu’il n’y ait point de dispute entre moi et toi, ni entre mes pasteurs et les tiens ; car nous sommes frères. » Dans Genèse 11:31 et 12:5, le degré de parenté entre Abraham et Lot est mentionné clairement. Il est donc évident que Moïse employa ici le mot « frère » dans son sens élargi. Cela ne prouve toutefois pas que les évangélistes aient suivi le même exemple, car sinon, à toutes les fois que l’on parlerait de « frères », nous serions dans le doute parc e que nous ne pourrions distinguer entre des frères utérins et des membres de même parenté.

Genèse 14:16 : « Et il ramena tout le bien qu’ils avaient pris ; il ramena aussi Lot son frère, ses biens, les femmes et le peuple. » Moïse utilise encore le sens large de « frère » pour accentuer le fait qu’Abraham était allé sauver un membre de sa parenté. Mais nous avons vu que le niveau de parenté avait déjà été établi auparavant. Ce n’est pas davantage une preuve en faveur des « pères » catholiques.

Genèse 29:15 : « Après quoi Laban dit à Jacob : Me serviras-tu pour rien, parce que tu es mon frère ? Dis-moi quel sera ton salaire ? » Le degré de parenté entre Laban et Jacob est parfaitement établi à plusieurs reprises avant cette parole de Laban à Jacob, dont Genèse 28:5. Alors, il se sert évidemment du mot « frère » dans son sens général, simplement pour souligner qu’ils sont du même sang. Cela ne peut toujours pas constituer une preuve pour les catholiques.

Lévitique 10:4 : « Et Moïse appela Misaël et Eltsaphan les fils de Huziel, oncle d’Aaron, et leur dit : Approchez-vous, emportez vos frères de devant le Sanctuaire hors du camp. » Encore là, Moïse souligne un lien de parenté, car tous faisaient partie d’une même grande lignée familiale. Mais il n’y a pas à s’y méprendre, parce que Moïse établit tout de suite avant quel est le niveau de parenté, ce qui n’est pas fait dans Matthieu 12 et les autres passages évangéliques. On ne peut donc se servir de ce passage pour affirmer que Marie n’eut pas d’autres enfants.

1 Chroniques 23:22 : « Et Eléazar mourut, et n’eut point de fils, mais des filles ; et les fils de Kis leurs frères les prirent pour femmes. » Toujours employé dans le sens large de parenté, il est toutefois évident qu’il ne pouvait s’agir de frères utérins parce qu’ils marièrent ces filles.

Voilà ce qu’il en est des passages de l’Ancien Testament où, comme nous pouvons le noter, le niveau réel de parenté est toujours préétabli afin que le lecteur des Écritures ne soit pas confondu. En ce qui a trait au texte araméen du Nouveau Testament, les « pères » catholiques ne peuvent citer aucun exemple et ne donnent donc pas de référence. Dans le texte évangélique original, le mot grec traduit par « frère » est adelphos qui signifie littéralement « frères utérins », c’est-à-dire, d’une même mère.

Et même, si vous faites attention, vous verrez que la Bible de Jérusalem a supprimé le verset 47 de Matthieu 12 pour l’insérer en note de bas de page, en caractères minuscules, afin de cacher ce passage gênant, prétextant qu’il s’agit d’une reprise omise par « de bons témoins », sans cependant préciser qui sont ces « témoins ». C’est un bel exemple d’hypocrisie embarrassante qui démontre que l’on est prêt à toutes les malhonnêtetés dans le but de conserver la fausse doctrine de la « virginité perpétuelle »  de Marie.

Il fallut un certain temps avant que les frères et sœurs de Jésus comprennent qui était vraiment leur Aîné. Dans Jean 7:3-5, nous lisons ceci : « Et ses frères lui dirent : pars d’ici, et t’en va en Judée, afin que tes disciples aussi contemplent les œuvres que tu fais. Car on ne fait rien en secret, lorsqu’on cherche de se porter franchement ; si tu fais ces choses-ci, montre-toi toi-même au monde. Car ses frères mêmes ne croyaient point en lui. » Ici, les frères de Jésus ne pouvaient être Ses disciples, car ils ne croyaient pas en Lui. Les remarques qu’ils Lui font sonnent comme un cinglant reproche, presqu’une insulte. Nous pouvons supposer qu’ils ressentaient à la fois de la honte et de la jalousie. Honte d’être associés à un « hurluberlu » qui provoquait la colère du Sanhédrin ; et jalousie parce que Jésus attirait de grandes foules qui cherchaient à écouter Ses enseignements. Tout cela devait avoir des répercussions sur Sa famille. Cela explique ce que Jésus a dit dans Marc 6:4 : « Mais Jésus leur dit : un Prophète n’est sans honneur que dans son pays, et parmi ses parents et ceux de sa famille. » Vous remarquerez que Jésus fait la distinction entre la parenté et la famille. Cet opprobre avait préalablement été prophétisée dans Psaume 69:8 : « Je suis devenu étranger à mes frères, et un homme de dehors aux enfants de ma mère. » Cette prophétie regardant Jésus ne laisse planer aucun doute quant à la progéniture de Marie. On ne peut pas appeler « cousins » les enfants de sa propre mère ! Ce n’est pas une figure de style, il est littéralement question des frères de Jésus, tous fils d’une même mère qui est Marie.

Manifestement, Ses frères, et probablement aussi Ses sœurs, s’étaient détachés de Lui au début de Son ministère. Mais il a dû survenir quelque chose, à un moment donné, car ils se sont éventuellement convertis pour devenir Ses disciples. En effet, après Sa mort, Sa résurrection et Son ascension, mais avant la Pentecôte, nous lisons, dans Actes 1:14 : « Tous ceux-ci persévéraient unanimement en prières et en oraisons avec les femmes, et avec Marie mère de Jésus, et avec ses Frères. »

Évidemment, la Bible catholique de Jérusalem ne peut s’empêcher de mettre en bas de page la note suivante : « Au sens large de cousins, parents ». Mais elle ne donne aucune preuve biblique pour soutenir cela, tout en ne fournissant que le seul soutien de sa propre note de bas de page de Matthieu 12:46 qui ne prouve strictement rien. Cette version catholique de la Bible est viciée, corrompue et elle falsifie le texte biblique original pour appuyer tout un tas de fausses doctrines. Or, malheur à ceux qui ajoutent ou enlèvent de la Parole de Dieu (Apocalypse 22:18-19). On ne doit rien rater de ce que Dieu enseigne, car : « Toute l’Ecriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, et pour instruire selon la justice; » (2 Timothée 3:16). Changer le texte biblique est extrêmement dangereux.

  1. Marie : immaculée, sans péché ?

Voyons tout d’abord ce que déclare le Catéchisme pour adultes, à la page 212 :

« Marie, la vierge sainte conçue sans péché

« C’est en approfondissant les paroles de l’ange : “Je te salue, comblée de grâce”, que la Tradition a pu exprimer le double mystère de l’Immaculée Conception et de l’Assomption, au commencement et à l’accomplissement de la vie de la Vierge. »

« …en approfondissant » signifie que, dans leurs élucubrations, ils sont allés au-delà du texte biblique original et, en fondant leur « approfondissement » sur une mauvaise traduction du texte original (« comblée de grâce », au lieu de « reçue en grâce »), les « pères » catholiques ont pu inventer les doctrines de l’immaculée conception et de l’assomption de Marie. Le catholicisme qualifie toujours de mystère ce qu’il n’arrive pas à expliquer bibliquement. Cependant, les « pères » l’avouent, c’est l’œuvre de leur Tradition, car ils devaient être parfaitement au courant que la Bible ne parle ni de l’une ni de l’autre. Continuons à la page 213 :

« « “Au premier instant de sa conception, par la grâce et le privilège de Dieu tout-puissant, et en considération des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, la Vierge Marie fut préservée intacte de toute souillure du péché originel.” Telle est la foi de l’Église catholique, définie en 1854 par le pape Pie IX.

« Marie est entièrement sainte, elle n’a commis aucun péché. Plus encore, sa sainteté est “originelle”. C’est la sainteté qui a été accordée gratuitement par Dieu à celle qui a donné au monde la source de la grâce. »

Au moyen des Écritures, nous savons que cette affirmation des « pères » catholiques est un vulgaire mensonge. C’est sans ambages que la Parole de Dieu dit ceci :

« La justice, dis-je, de Dieu par la foi en Jésus-Christ, s’étend à tous et sur tous ceux qui croient ; car il n’y a nulle différence, vu que tous ont péché, et qu’ils sont entièrement privés de la gloire de Dieu » (Romains 3:22).

« C’est pourquoi comme par un seul homme le péché est entré au monde, la mort y est aussi entrée par le péché ; et ainsi la mort est parvenue sur tous les hommes, parce que tous ont péché » (Romains 5:12).

Si Marie avait été préservée du péché, ne pensez-vous pas que l’apôtre Paul eût été au courant et qu’il aurait cité l’exception ? Il n’aurait alors pas pu dire que « tous ont péché ». Donc, Marie avait la nature charnelle et défaillante que possèdent tous les hommes et toutes les femmes depuis Adam et Ève. Elle n’était pas l’exception célèbre qu’en ont fait les « pères » catholiques sans se fier à la Parole de Dieu. Non, tous ont péché, Marie incluse.

D’ailleurs, elle-même se reconnaissait le besoin d’un Sauveur. C’est ce que nous lisons dans sa louange à Dieu pour lui avoir accordé une grâce :

Luc 1:26-56

« Or au sixième mois, l’Ange Gabriel fut envoyé de Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth ; vers une Vierge fiancée à un homme nommé Joseph, qui était de la maison de David ; et le nom de la Vierge était Marie. Et l’Ange étant entré dans le lieu où elle était, lui dit : je te salue, ô toi qui es reçue en grâce ; le Seigneur est avec toi ; tu es bénie entre les femmes. Et quand elle l’eut vu, elle fut fort troublée à cause de ses paroles ; et elle considérait en elle-même quelle était cette salutation. Et l’Ange lui dit : Marie, ne crains point ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu concevras en ton ventre, et tu enfanteras un fils, et tu appelleras son nom JESUS. Il sera grand, et sera appelé le Fils du Souverain, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père. Et il régnera sur la maison de Jacob éternellement, et il n’y aura point de fin à son règne. Alors Marie dit à l’Ange : comment arrivera ceci, vu que je ne connais point d’homme ? Et l’Ange répondant lui dit : le Saint-Esprit surviendra en toi, et la vertu du Souverain t’enombrera ; c’est pourquoi ce qui naîtra de toi Saint, sera appelé le Fils de Dieu. Et voici, Elizabeth, ta cousine, a aussi conçu un fils en sa vieillesse ; et c’est ici le sixième mois de la grossesse de celle qui était appelée stérile. Car rien ne sera impossible à Dieu. Et Marie dit : voici la servante du Seigneur ; qu’il me soit fait selon ta parole ! Et l’Ange se retira d’avec elle. Or en ces jours-là Marie se leva, et s’en alla en hâte au pays des montagnes dans une ville de Juda. Et elle entra dans la maison de Zacharie, et salua Elisabeth. Et il arriva qu’aussitôt qu’Elisabeth eut entendu la salutation de Marie, le petit enfant tressaillit en son ventre, et Elisabeth fut remplie du Saint-Esprit. Et elle s’écria à haute voix, et dit : tu es bénie entre les femmes, et béni est le fruit de ton ventre. Et d’où me vient ceci, que la mère de mon Seigneur vienne vers moi ? Car voici, dès que la voix de ta salutation est parvenue à mes oreilles, le petit enfant a tressailli de joie en mon ventre. Or bienheureuse est celle qui a cru : car les choses qui lui ont été dites par le Seigneur, auront leur accomplissement. Alors Marie dit : Mon âme magnifie le Seigneur ; et mon esprit s’est égayé en Dieu, qui est mon Sauveur. Car il a regardé la bassesse de sa servante ; voici, certes désormais tous les âges me diront bienheureuse. Car le Puissant m’a fait de grandes choses, et son Nom est Saint. Et sa miséricorde est de génération en génération en faveur de ceux qui le craignent. Il a puissamment opéré par son bras ; il a dissipé les desseins que les orgueilleux formaient dans leurs cœurs. Il a renversé de dessus leurs trônes les puissants, et il a élevé les petits. Il a rempli de biens ceux qui avaient faim ; il a renvoyé les riches vides. Il a pris en sa protection Israël, son serviteur, pour se souvenir de sa miséricorde ; (selon qu’il en a parlé à nos pères, savoir à Abraham et à sa postérité) à jamais. Et Marie demeura avec elle environ trois mois, puis elle s’en retourna en sa maison. »

Ce passage des Écritures, où Marie reçoit la visite de l’Ange Gabriel pour lui faire l’annonce de sa grossesse, et où la jeune vierge épanche son âme en reconnaissance envers le Seigneur, regorge de renseignements révélateurs dont plusieurs ont échappé à trop de chrétiens et à tous les catholiques, semble-t-il. Tout d’abord, notons que l’Ange dit à Marie qu’elle a été « reçue en grâce » et non pas qu’elle est elle-même « pleine de grâce » ou « comblée en grâce ». Ce n’est pas la même chose. Après la salutation de l’Ange, pourquoi Marie fut-elle fort troublée ? Si elle était la femme parfaite, sans péché, comblée de grâce et possédant le Saint-Esprit depuis sa naissance, ne devait-elle pas comprendre qu’elle serait choisie pour une mission spéciale ? Le catholicisme la dit « Mère de Dieu », mais elle-même se considérait comme la basse servante du Seigneur !

Lors de sa visite chez Élisabeth, elle rend louange à Dieu « qui est mon Sauveur ». Mais comment Dieu l’a-t-Il sauvée si elle n’a commis aucun péché ? De quoi fut-elle sauvée ? La Bible explique en long et en large que le Christ est venu sur terre afin de nous sauver de l’amende de nos péchés. Si quelqu’un n’a jamais péché, il n’a pas besoin d’un Sauveur. Mais nous avons vu que tous ont péché. Tout de suite après avoir reconnu son besoin d’un Sauveur, Marie parle de la bassesse de sa condition devant Dieu. Nous voyons que les propos de Marie contredisent sans cesse ce que les « pères » catholiques disent d’elle. Ainsi, étant donné que Marie avait reconnu son besoin d’un Sauveur, regardons comment les « pères » catholiques tentent d’échapper à leur propre piège :

« Mais le dogme de l’Immaculée Conception ne dit pas que Marie a échappé au besoin de Rédemption et de salut, qui concerne toute la famille humaine. Elle appartient pleinement au peuple des rachetés, elle est la première rachetée. Par rapport à la Rédemption, elle est du même côté que nous. Comme nous tous, elle a été libérée du péché et sauvée par le Christ. Mais la grâce de Dieu la précède de façon unique, le salut lui vient déjà, “dès le premier instant de sa conception”, par anticipation, de la mort et de la résurrection de son Fils. Le salut prend chez elle, non la forme de la guérison ou de la purification, mais celle de la préservation.

« “Nous ne pouvons pas oublier que Marie est vénérée à Lourdes par des millions de croyants, justement comme celle qui a dit : ‘Je suis l’Immaculée Conception’.” »

Les « pères » de l’Église catholique devaient espérer que leurs fidèles ne se rendent pas compte de la défaillance de leur logique en poursuivant le raisonnement jusqu’à son aboutissement inévitable. Si Marie devait être une personne parfaite parce qu’elle allait concevoir le Christ parfait, il aurait préalablement fallu que son père et sa mère soient également préservés de toute souillure. Et pour ce faire, il aurait également fallu qu’ils descendent eux-mêmes d’êtres humains parfaits, et ainsi de suite en remontant jusqu’à Noé qui, incidemment, n’était pas parfait, ni aucun de ses enfants. Alors, cherchez l’erreur.

Non, croyons plutôt les paroles toutes simples et bibliques de Marie qui s’avouait pécheresse, ayant besoin du Sauveur au même titre que tous les autres êtres humains, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. C’est ce que dit Sa Parole. Comprenons bien que Dieu n’avait pas besoin que Marie soit parfaite étant donné qu’Il ne S’est pas servi d’un de ses ovules pour engendrer Son Emmanuel. Mais les « pères » catholiques ne peuvent admettre cela s’ils veulent conserver l’image de leur « Vierge ». Ils préfèrent verser dans l’absurde plutôt que risquer de perdre leur déesse.

La « Vierge » qui est apparu à Lourdes fut une spectaculaire manifestation satanique, un de ces prodiges mensongers qu’il est permis au Diable de déployer aux temps de la fin, avant qu’il ne soit enfermé dans l’abîme. En attendant son sort, Satan se fait adorer par l’intermédiaire d’idoles de toutes sortes dans le monde, y compris une déesse appelée « Immaculée Conception ».

  1. Marie, Mère de Dieu ?

 L’élaboration d’une « Marie toujours vierge » a fini par faire tomber les « pères » catholiques dans le blasphème. C’est ce que l’on constate en prenant connaissance d’un article suivant du Catéchisme pour adultes :

« Mère de Jésus, donc Mère de Dieu

« Telle est l’affirmation centrale de la foi chrétienne au sujet de Marie : Marie a été choisie pour devenir la mère de Jésus, le Christ, le Fils de Dieu, notre Sauveur. On l’appelle Mère de Jésus mais, puisque Jésus est le Fils de Dieu et Dieu lui-même, la Tradition de l’Église affirme que Marie est Mère de Dieu. »

Dieu est l’Être éternel n’ayant eu ni commencement de jour, ni fin de vie. Comment aurait-Il pu avoir une Mère ? Dans sa lettre aux Hébreux, l’apôtre Paul fait une description du Roi de Salem, Melchisédec, qui était le Dieu souverain Lui-même ayant visité Abraham. Paul dit de Lui qu’Il est « sans père, sans mère, sans généalogie, n’ayant ni commencement de jour, ni fin de vie ; mais étant fait semblable au Fils de Dieu [Jésus], il demeure sacrificateur à toujours » (Hébreux 7:3). Dieu est apparu à Abraham dans un corps semblable à celui qu’Il allait habiter plus tard sous le nom de Jésus-Christ. Ainsi, Marie fut la mère de Jésus sous Son aspect corporel humain, mais pas sous Son aspect spirituel divin. Elle fut plutôt une créature de Son aspect spirituel divin, car la Parole a créé toutes choses (Jean 1:3) et donc Marie aussi. Le terme « Mère de Dieu » n’existe pas dans la Bible parce que c’est un non-sens évident.

Alors, d’où vient cette appellation de l’Église catholique ? Les écrivains du catéchisme l’avouent eux-mêmes : de la Tradition de cette église. Une tradition des hommes qui ne sont pas fiables ! Ils se sont créé une déesse. Car dire que c’est la « Mère de Dieu » équivaut bien à en faire une déesse. Que disent-ils ensuite ?

« Ce titre, déjà acquis au IVe siècle, est proclamé en 431 au Concile d’Éphèse, au moment des débats sur l’unité personnelle du Christ, homme et Dieu. Il ne signifie pas que Marie donne naissance à la divinité du Christ, ce qui n’aurait aucun sens. Elle a engendré selon sa chair celui qui est éternellement engendré par Dieu. Parce que “le Fils de Dieu prit d’elle la nature humaine (LG 58), elle est véritablement la Mère de Dieu, celle que les chrétiens d’Orient appellent la “Theotokos”, c’est-à-dire, “celle qui engendre Dieu”. »

« Ce titre n’ajoute rien à ce qui est déjà dans les évangiles. Et pourtant, il représente une intelligence approfondie, et donc neuve, du rôle de Marie dans l’Incarnation. Mère de Dieu, Marie, Nouvelle Ève, est devenue, à la croix, mère des hommes, lorsque le Rédempteur l’a confiée au disciple qu’il aimait (cf. RM 45).

Vous prendrez bien soin de noter que ces idées concernant Marie n’ont pas vu le jour dans l’Église primitive fondée par le Christ et ne tiennent pas leur origine de la Bible, mais elles ont été adoptées en l’an 431 de notre ère au sein d’un Concile d’une église déjà dénaturée. Ces « pères » du catholicisme stipulèrent que Marie avait engendré le Fils de Dieu. Nous avons vu au Point 1 (La naissance de Jésus) que ce ne pouvait être le cas. L’embryon déposé dans le ventre de Marie était déjà complet. Marie n’y a rien contribué. Dieu n’appelle pas cet embryon « Germe » par hasard. Comme l’on insère un germe de plante dans une bonne terre, ainsi fut planté le Germe dans le sein de Marie. La bonne terre n’a pas produit le germe, elle ne fait que lui donner les nutriments nécessaires à sa croissance. De même, Marie ne produisit pas l’embryon, elle ne fit que Le porter et Lui fournir les aliments nécessaires à Sa croissance.

Par conséquent, il est faux de la part de ces « pères » catholiques d’affirmer que Marie transmit sa nature humaine au Christ. Elle n’a pas « engendré Dieu » et ne peut être qualifiée de « Mère de Dieu ». C’est une insulte à la face de Dieu, Créateur de toutes choses ! Marie fut choisie pour être la mère-porteuse de l’enfant Jésus. De plus, elle n’est ni la « Nouvelle Êve », ni la « Mère des hommes ». Tout cela fut effectivement ajouté de manière arbitraire à ce que disent réellement les Évangiles. Ceux-ci ne parlent de rien de tout cela. Ces proclamations imaginaires proviennent des Traditions des hommes, et vous savez ce que Jésus-Christ pensait des Traditions des hommes…

Lisons maintenant Luc 11:27-28 : « Or il arriva comme il disait ces choses, qu’une femme d’entre les troupes éleva sa voix, et lui dit : bienheureux est le ventre qui t’a porté, et les mamelles que tu as tétées. Et il dit : mais plutôt bienheureux sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent. »

À une dame qui se mit à louanger la mère de Jésus, le Christ réagit en soulignant qu’il valait mieux étudier la Sainte Bible et garder les Paroles de Dieu. Qu’eût-Il dit à ceux qui adorent la « vierge catholique » ? Christ nous remet Marie dans la bonne perspective. Lisons également Jean 2:3-5 :

« Et le vin étant venu à manquer, la mère de Jésus lui dit : ils n’ont point de vin. Mais Jésus lui répondit : qu’y a-t-il entre moi et toi, femme ? mon heure n’est point encore venue. Sa mère dit aux serviteurs : faites tout ce qu’il vous dira. »

Nous voyons un aspect révélateur de la relation entre Jésus et Marie. Tout d’abord, Marie s’adresse à Lui comme à son fils, mais le Christ la reprend en S’adressant à elle comme Dieu à Sa créature, c’est-à-dire, une simple femme humaine. Il est le Maître et personne, sinon le Père, ne peut Lui commander un miracle. Marie a tout de suite compris le message et enjoint les serviteurs de la noce de Lui obéir en toute chose. Elle n’était manifestement pas la « Mère de Dieu ».

Dans Jean 19:25-27, que les « pères » catholiques utilisent pour faire croire que Marie est devenue la « Mère des hommes », nous lisons : « Or près de la croix de Jésus étaient sa mère, et la sœur de sa mère, savoir Marie femme de Cléopas, et Marie Magdelaine. Et Jésus voyant sa mère, et auprès d’elle le Disciple [Jean] qu’il aimait, il dit à sa mère : femme, voilà ton Fils. Puis il dit au Disciple : voilà ta Mère ; et dès cette heure-là ce Disciple la reçut chez lui. »

Ici encore, Jésus utilise Son autorité divine, en appelant Marie « femme », pour confier à l’apôtre Jean la tâche de prendre soin de Marie. Il est possible que les frères et sœurs du Christ n’étaient pas encore convertis à ce moment-là, ou qu’ils avaient chacun leur propre famille. Ce ne sont que des hypothèses. Nous ne savons pas non plus si Jean ait jamais été marié. Il est inutile de spéculer à cet effet. Nous devons nous en tenir à ce que le geste de Jésus, que Celui-ci n’a pas expliqué, en a été un de bienveillance envers Sa mère et Son ami intime pour que chacun prenne soin de l’autre en s’entretenant dans le Seigneur. Il est tout à fait tiré par les cheveux de présupposer que cela fit de Marie la « Mère de tous les hommes ». Donc, encore une fois, les « pères » catholiques y sont allés de suppositions arbitraires pour assoir une affirmation que rien ne soutient bibliquement.

Vous remarquerez aussi dans ce passage que Marie, mère de Jésus, avait une sœur s’appelant aussi Marie. Les « pères » catholiques ont-ils également profité de cela pour faire croire que la Marie possédant des enfants était cette femme de Cléopas ? Il faut s’attendre à tout d’eux.

  1. Marie élevée au ciel ?

Nous passons maintenant à l’Assomption, c’est-à-dire, à la montée au ciel de Marie sans qu’elle ait à passer par la mort. Voici d’abord le décret de l’Église catholique tel qu’émis dans son Catéchisme :

« Marie dans la gloire

« L’Assomption est, au terme de la vie terrestre de Marie, le répondant de ce qu’est l’Immaculée Conception à son origine : Marie a été préservée, d’une part de la mort spirituelle du péché, et d’autre part de la corruption du tombeau. En 1950, le pape Pie XII a solennellement défini que “l’Immaculée Mère de Dieu, Marie toujours Vierge, après avoir achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée en corps et en âme à la gloire céleste” (FC 410). »

En cette date toute récente de 1950, le pape Pie XII s’est mis à fabuler sur quelque chose qui ne se trouve nulle part dans les Saintes Écritures. Pourtant, un événement aussi spectaculaire aurait obligatoirement été rapporté par les Évangélistes et/ou les Apôtres. Or, étant donné le silence total des Évangiles et des Épîtres à ce sujet, nous ne pouvons que nous poser la question à savoir d’où Pie XII a-t-il pu obtenir ses informations. Poursuivons donc notre lecture du Catéchisme pour adultes :

« Ainsi Dieu “a préservé de la dégradation du tombeau le corps qui avait porté son propre Fils et mis au monde l’auteur de la vie” (cf. préface de la fête de l’Assomption). Le Ressuscité a déjà pleinement manifesté en Marie la fécondité de sa propre résurrection, nous donnant en elle le signe vivant de notre accomplissement à venir. Nous croyons en l’Assomption, sur le fondement de la foi traditionnelle de l’Église interprétant les données du Nouveau Testament. L’Assomption était devenue l’objet d’une foi unanime dans l’Église catholique avant d’être définie par le pape Pie XII en 1950. »

Tout d’abord, n’est-il pas étrange que « le Ressuscité », c’est-à-dire, Jésus-Christ, ait eu, Lui, à passer trois jours et trois nuits dans le tombeau, mais pas Marie ? Sur quelle base fonder son statut particulier à première vue supérieur à celui du Christ même ? Et où trouve-t-on le récit de la « Vierge Marie » montant au ciel (l’Assomption) ? Le catéchisme nous offre la réponse : dans la Tradition catholique qui interprète à sa convenance le Nouveau Testament et tente de nous faire avaler qu’elle y voit ce qui ne s’y trouve pas. Les « pères » catholiques ont inséré l’Assomption dans leur théologie, un peu à la façon des banquiers qui créent de l’argent à partir de rien, et les croyants, à qui l’on a interdit la lecture de la Bible pendant des siècles, ont accepté le tout sans poser de question. C’est ce qui arrive quand les hautes instances hiérarchiques religieuses maîtrisent l’art hypocrite de la démagogie en employant des formules imagées et prétendument savantes pour détourner les membres laïcs de la vérité biblique toute simple.

Nous ne pouvons nous référer à des passages scripturaires afin de prouver notre point et ce, pour une raison évidente : l’Assomption de Marie n’existe pas dans la Bible.

Rendus à ce stade-ci de notre étude, vous vous demanderez peut-être : « Pourquoi ces “pères” de l’Église catholique ont-ils déployé autant d’efforts dans le but de créer une identité aussi fausse de Marie, mère de Jésus, femme de Joseph ? » La question est inévitable, en effet, et c’est notre septième et dernier point qui y répondra.

  1. Marie, Reine des cieux ?

Si la Parole de Dieu n’offre aucun soutien à la vision catholique de la « Vierge Marie », qu’est-ce qui a motivé les « pères » catholiques à concocter un personnage féminin de la stature de Christ, et même de Dieu le Père, jusqu’à la qualifier de « Mère de Dieu » ? Citons un passage de Les Actes du Concile de Vatican II, Lumen Gentium 59, à la page I-95, et qui pourrait éclairer leurs véritables intentions :

« La Vierge Immaculée, préservée intacte de toute souillure de la faute originelle, ayant achevé le cours de sa vie terrestre, a été élevée, avec son corps et son âme, à la gloire du ciel, et exaltée par le Seigneur comme la Reine de l’univers, pour être plus pleinement conformée à son Fils. »

Marie adorée comme Reine de l’univers, ou Reine du ciel, ou encore, Reine des cieux. Voilà enfin de but des « pères » catholiques en déifiant Marie. Ce que les Traditions de l’Église catholiques se garderont bien de révéler, c’est que ces « pères » catholiques, loin d’être des chrétiens, étaient d’abord et avant tout des adorateurs de la « reine des cieux ». Ils s’acharnèrent donc à introduire leur culte au sein de l’Église catholique naissante. Marie, mère de Jésus, leur sembla le véhicule idéal. Les instigateurs de l’Église catholique étaient pour la plupart des Juifs kabbalistes s’étant infiltrés à l’intérieur de l’Église à Rome ; des crypto-Juifs, des loups ravisseurs dont l’apôtre Paul avait prédit l’émergence dans les assemblées : « Car je sais qu’après mon départ, il s’introduira parmi vous des loups ravissants, qui n’épargneront point le troupeau » (Actes 20:29).  Le Christ nous en avait avertis : « Or gardez-vous des faux Prophètes, qui viennent à vous en habit de brebis, mais qui au-dedans sont des loups ravissants. » (Matthieu 7:16). Ces faux pasteurs, déguisés en croyants, revêtaient l’apparence de la piété et empruntaient la nomenclature biblique pour introduire leurs fausses doctrines.

Ces faux pasteurs sont à l’origine des changements graduels apportés à l’enseignement du véritable Évangile de Christ et son remplacement par des concepts païens. Le culte à la « reine des cieux » en est un des principaux éléments. Les Juifs traînaient depuis des siècles ce culte à leur déesse, dont un des noms est « Shekinah ». Il existait déjà à l’époque du prophète Jérémie de l’Ancien Testament. En effet, la Bible parle de la « reine des cieux » qu’Israël et Juda adoraient dans leurs nombreuses périodes de rébellion contre l’Éternel, mais elle n’en parle pas en termes élogieux :

Jérémie 7:18

« Les fils amassent le bois, et les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte pour faire des gâteaux à la Reine des cieux ; et pour faire des aspersions aux dieux étrangers, afin de m’irriter. »

Jérémie 44:17-19, 25

« Mais nous ferons assurément tout ce qui est sorti de notre bouche en faisant des encensements à la Reine des cieux, et lui faisant des aspersions, comme nous et nos pères, nos Rois, et les principaux d’entre nous avons fait dans les villes de Juda, et dans les rues de Jérusalem, et nous avons eu alors abondamment de pain, nous avons été à notre aise, et nous n’avons point vu de mal. Mais depuis le temps que nous avons cessé de faire des encensements à la Reine des cieux, et de lui faire des aspersions, nous avons eu faute de tout, et nous avons été consumés par l’épée et par la famine. Quand nous faisions des encensements à la Reine des cieux, et quand nous lui faisions des aspersions, lui avons-nous offert à l’insu de nos maris des gâteaux sur lesquels elle était représentée, ou lui avons-nous répandu des aspersions ? … Ainsi a parlé l’Eternel des armées le Dieu d’Israël, en disant : c’est vous, et vos femmes qui ont parlé par votre bouche touchant ce que vous avez accompli de vos mains, en disant : certainement nous accomplirons nos vœux que nous avons voués, en faisant des encensements à la Reine des cieux ; et lui faisant des aspersions. Vous avez entièrement accompli vos vœux, et vous les avez effectués très exactement. »

Cette « reine des cieux » s’appelait Astarté ou Hastaroth, et portait encore bien d’autres noms dans les diverses civilisations (Isis, Diane, Aphrodite, Vénus, etc.). Croyez-vous que l’Éternel Dieu était d’accord avec le fait que les enfants de Juda rendent un culte à la « reine des cieux » ? Voyons ce qu’Il dit juste après, aux versets 26 et 27 :

« C’est pourquoi écoutez la parole de l’Eternel, vous tous ceux de Juda qui demeurez au pays d’Egypte : voici, j’ai juré par mon grand Nom, a dit l’Eternel, que mon Nom ne sera plus réclamé par la bouche d’aucun de Juda, qui dise en tout le pays d’Egypte : le Seigneur l’Eternel est vivant. Voici, je veille contre eux pour leur mal, et non pour leur bien ; et tous les hommes de Juda qui sont au pays d’Egypte seront consumés par l’épée, et par la famine, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus aucun. »

Pensez-vous que Dieu, qui ne change pas, ne soit pas irrité par les adorateurs de la « reine des cieux » d’aujourd’hui, des gens qui se disent « chrétiens » mais qui ignorent Sa Parole ? Dieu n’a jamais commandé que l’on rende culte et hommages à une quelconque déesse catholique.

Cependant, Satan, le Diable, a depuis le début tenté de détourner le culte rendu à Dieu afin de se l’accaparer. Toutes les idoles qu’il a inspirées aux hommes ne tendent qu’à un but : l’adoration des démons.

« Que dis-je donc ? que l’idole soit quelque chose ? ou que ce qui est sacrifié à l’idole, soit quelque chose ? Non. Mais je dis que les choses que les Gentils sacrifient, ils les sacrifient aux démons, et non pas à Dieu ; or je ne veux pas que vous soyez participants des démons » (1 Corinthiens 10:19-20).

« Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques-uns se révolteront de la foi, s’adonnant aux Esprits séducteurs, et aux doctrines des Démons. Enseignant des mensonges par hypocrisie, et ayant une conscience cautérisée ; défendant de se marier, commandant de s’abstenir des viandes que Dieu a créées pour les fidèles, et pour ceux qui ont connu la vérité, afin d’en user avec des actions de grâces » (1 Timothée 4:1-3).

Nous avons pu voir l’hypocrisie cachée derrière l’argumentaire des « pères » de l’Église catholique pour faire adorer leur idole par leurs ouailles. Nous voyons de plus en plus le résultat d’une doctrine démoniaque de célibat forcé pour les prêtres. Beaucoup d’entre eux deviennent homosexuels et/ou pédophiles. Ce qui nous permet de saisir pourquoi ils ont également supposé à Marie, femme mariée à Joseph, une vie d’abstinence sexuelle totale dépeint comme un trait de sainteté.

Aux temps de la fin, dont nous approchons à grands pas, ce genre d’individus poursuivra l’œuvre de leurs exécrables ancêtres idéologiques.

« Mais le reste des hommes qui ne furent point tués par ces plaies, ne se repentit pas des œuvres de leurs mains, pour ne point adorer les Démons, les idoles d’or, d’argent, de cuivre, de pierre, et de bois, [de même que de plâtre et de plastique] qui ne peuvent ni voir, ni ouïr, ni marcher » (Apocalypse 9:20).

Ne vous y trompez pas : rendre culte à la « Vierge Marie » catholique, c’est de l’idolâtrie et c’est rendre culte au Diable. Il s’agit d’une irritante abomination aux yeux de Dieu, et cette idolâtrie ne peut demeurer impunie.

Un jour, la véritable Marie, mère de Jésus, sera ressuscitée des morts avec tous les saints décédés en Christ, lors de la Première Résurrection. Elle sera sans doute fort surprise et contristée de se rendre compte de ce qu’on a fait d’elle dans le monde chrétien.

Le jour vient cependant où le Grand Dieu Tout-puissant va rétablir toute la vérité et faire s’évaporer tous les mensonges en fumée. Et Il sera le seul et unique à recevoir toute l’adoration. Nous Lui rendrons alors culte avec une joie indescriptible.




FAIT ou FICTION : Qui dit la vérité ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mars 2023

Par Jerry Barrett

La vérité est devenue aujourd’hui une espèce en voie de disparition. Pour la chercher, l’on doit passer au crible toute la rhétorique disponible et la soupeser avec le gros bon sens et le discernement. Ceux dont nous avions confiance qu’ils nous fournissaient la vérité se sont évanouis dans la nature.

Lorsque j’étais garçon, mon père accueillait chaque soir Walter Cronkite à la maison. Sa voix transmettait à tous ceux qui le regardaient l’idée qu’il était le diffuseur de nouvelles le plus fiable du pays. Son expression de signature, « That’s the way it is… » (C’est ainsi que ça s’est passé…), semblait appuyer la notion qu’il était le diseur de vérité prééminent.

Avec le développement de l’Internet, les nouvelles et les ressources encyclopédiques ne se trouvent qu’à un clic. Toutefois, c’est là l’ennui. Parmi la multitude des sources de nouvelles, lesquelles sont fiables ?

Les engins de recherche Internet

Pour ceux qui utilisent un des nombreux engins de recherche pour fouiller un sujet, les médias contrôlés seront toujours parmi les dix premiers résultats Ce but est atteint de bien des façons. D’abord et avant tout, l’algorithme qui est programmé dans l’engin de recherche leur donne la priorité (Google, Yahoo, DuckDuckGo, etc.).

Le Dictionary.com définit l’algorithme comme suit : « un processus ou série de règles à suivre comme calcul ou autre opération de résolution de problèmes, particulièrement par un ordinateur ». Quand la majorité des engins de recherche emploient des programmeurs qui ont été endoctrinés dans une manière de penser libérale, ils vont laisser leur penchant prendre les devants.

Si vous recherchez « Nouvelles du Jour », les mêmes acteurs des médias contrôlés sont au sommet de la page : NBC News, Fox News, ABC News, NPR, CNN, Associated Press, USA Today, CBS News et le Washington Post étaient les neuf premiers dans une recherche Google que j’ai menée récemment. Des recherches démontrent que beaucoup de gens arrêtent de regarder après les cinq à dix premiers résultats qui apparaissent.

Deuxièmement, les engins de recherche acceptent les paiements des compagnies pour apparaître au sommet des pages de résultats de recherche. Un grand nombre de gens vont « cliquer » le premier résultat qui apparaît sans jamais se rendre compte qu’il s’agit d’une annonce. La soi-disant source « fiable » de nouvelles a payé pour avoir ce résultat.

Il ne devrait pas y avoir de scrupule envers ces entreprises gagnant de l’argent pour continuer à opérer, ou pour ceux qui paient pour ces services. On devrait toutefois porter la responsabilité carrément sur le chercheur qui n’est pas assez diligent pour s’assurer d’avoir la vérité qu’il recherche. Pour ceux qui exercent le discernement et le gros bon sens, il y a une mine d’or d’informations très utiles disponibles aux bouts de vos doigts.

Fournisseurs de vérité ?

Nous avons tous besoin d’argent pour subsister. On ne peut réfuter ce fait. Cependant, il y a ceux qui ne font que convoiter leur propre enrichissement. L’apôtre Paul nous en a avertis dans 1 Timothée 6:9-10 : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piège, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. »

Quelques hommes nous viennent rapidement en tête quand vient le temps de considérer les personnes les plus riches du monde : Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos et Elon Musk. Ces hommes sont toujours au sommet, ou proche du sommet, dans la liste des personnes les plus riches de Forbes.

Sans ordre particulier, examinons les manigances de cette élite. Nous n’irons pas en profondeur, mais assez pour que le présent auteur espère que cela vous amène à vous poser plus de questions et faire des recherches en quête de la vérité.

Jeff Bezos, propriétaire de WaPo et Amazon

Jeff Bezos est actuellement le propriétaire du Washington Post. Qu’il contrôle les opération journalières de ce géant des nouvelles n’a pas d’importance, mais cela porte à réfléchir et à méditer. Quelle meilleure manière de contrôler la narration ? Combien d’articles accablants seront imprimées concernant les conditions de travail risquées chez Amazon ? Combien d’exposés seront rédigés à propos de la participation de Bezos au Forum Économique Mondial ? AUCUN !

L’homme derrière le rideau

Avec ses Fondations de Société Ouverte, Soros peut répandre ses « gains » au moyen de ses efforts soi-disant philanthropiques. Cela lui permet de garder les mains nettes tout en achetant de l’influence et de propager sa vision d’un gouvernement mondial unique.

Les chercheurs du Centre de Recherche des Médias (CRM) ont trouvé qu’entre 2016 et 2020, Soros a craché au moins 131 millions $ pour influencer 253 groupes médiatiques. Imaginez combien d’histoires ont été touchées par cela et combien d’autres n’ont jamais été racontées ! On ne peut nier l’endoctrinement journalier de millions de personnes par ces points de vue tordus.

Lester Holt

En suivant la piste de l’argent, le CRM révèle que des reporters, des présentateurs de nouvelles, des journalistes, des rédacteurs et des cadres attachés à ABC. CBS, NPR, Bloomberg News, Reuters et le New York Times – de même que bien d’autres exutoires – furent récompensés par les largesses de Soros. Un des très nombreux groupements de sa fondation a donné 2,7 millions $ au Comité de la Protection des Journalistes. Chez les membres de la direction, il y a Matthew Winkler, cofondateur de Bloomberg News, Christiane Amanpour de CNN et le présentateur à NBC News Lester Holt.

Qui vérifie les vérificateurs ?

Une autre source de nouvelles que le groupe Soros supporte, du moins en partie, c’est PolitiFact. Durant la présidence de Donald Trump, PolitiFact gagna en popularité chez les médias contrôlés. On publia beaucoup d’articles en donnant cette organisation comme référence comme fournisseur ultime de « faits ».

À l’insu de beaucoup de gens, le fait est que PolitiFact est un site web dirigé par un groupe de journalistes d’extrême gauche du Tampa Bay Times. La classification exacte de ce groupe devrait être « opération de propagande démocrate ».

Exemple typique : pendant la campagne de Barack Obama en 2008, PolitiFact évalua sa déclaration au sujet de l’ObamaCare disant que « si vous avez un plan santé que vous aimez, vous pouvez le conserver » comme étant VRAIE. Les experts du pays répandirent cette déclaration et cela eut évidemment un impact marqué sur le résultat de l’élection. En 2013, PolitiFact changea son évaluation sur la déclaration d’Obama et de VRAIE elle devint le « feu au pantalon », ce qui lui valu d’être « le mensonge de l’année 2013 ».

Une étude de 2013 du Centre des Affaires Médiatiques et Publiques de l’Université George Mason a découvert que PolitiFact déclare que les Républicains sont trois fois plus malhonnêtes que les Démocrates. Toute ma vie, j’ai trouvé que les politiciens en général – peu importe leur affiliation partisane – mentiront à quiconque en face d’eux pour conserver en fonction leur poste pépère. Comme je l’ai demandé bien des fois, combien de politiciens laisseriez-vous garder vos enfants ?

PolitiFact a été au centre de la plandémie. Ces vérificateurs « fiables » réfutaient ceux qui déclaraient que les « vaccins » Covid-19 ne marchaient pas. Il soutenait également comme un fait que ces « vaccins » avaient été testés proprement. Toute déclaration jetant un regard négatif sur la piqûre et ses effets était rejetée comme de la « désinformation ».

Le Babylon Bee offre une leçon de maître en satyre. Ses gros titres excentriques, ses articles et ses vidéos sont humoristiques et teintés d’un fond de vérité. Ceux qui lisent le Bee le font afin de pouvoir rire. De toute évidence, les gens de PolitiFact n’ont pas le sens de l’humour. Dans un post de 2017 sur son site web, le Babylon Bee déclara « Isis baisse les bras après l’appel passionné de Katy Perry de “Aimez, juste coexistez” ». Les gens très bien de PolitiFact y mirent l’étiquette de « feu dans le pantalon ».

Les dossiers de Twitter exposent des opérations vilaines

Lorsqu’Elon Musk a acheté le géant des médias sociaux Twitter, il fit vœu que la vérité serait à nouveau disséminée sur la plateforme. Un grand nombre de gauchistes devinrent fous furieux. Avec la sortie des Dossiers Twitter, nous savons maintenant pourquoi. Des centaines, sinon des milliers, d’individus qui avaient été bannis à vie ont reçu l’autorisation de revenir sur le forum. Si l’on exilait pas quelqu’un, on le mettait toutefois sur la liste noire et ses posts ne voyaient pas la lumière du jour.

Voici certaines des révélations alarmantes des Dossiers Twitter :

  1. L’équipe de Biden a envoyé des e-mails à Twitter demandant que l’on censure du contenu avant les élections de 2020.
  2. Twitter a banni dans l’ombre – à l’interne, on appelle cela « filtration de visibilité » – le contenu de professeurs d’université aux sentiments anti-confinement.
  3. Une fois qu’ils eurent banni le compte de Trump, les employés de Twitter devinrent ivres de pouvoir et discutèrent de ce qu’ils pourraient faire avec d’autres présidents.
  4. Des cadres de Twitter se vantèrent de leurs rencontres avec des agences fédérales.
  5. Yoël Roth (chef de l’équipe de Confiance & Sécurité de Twitter à l’époque) discuta du bannissement des « termes QAnon ».
  6. Le corps expéditionnaire du FBI centré sur les médias sociaux, nommé FTIF, créé à la veille des élections de 2016, atteint le nombre de 80 agents.
  7. Des agences comme le FBI et le DHS envoyèrent régulièrement du contenu de média social à Twitter à travers de multiples points d’entrée, pour donner l’alerte à la modération.
  8. Des agents du FBI demandèrent aux cadres de Twitter s’ils pouvaient inviter aux conférences des fonctionnaires de la CIA.
  9. D’autres compagnies de technologie, comme Facebook, Microsoft, Verizon, Reddit et même Pinterest, tinrent des rencontres régulières avec le gouvernement.
  10. Lorsque l’administration Biden entra en fonction, une de ses premières rencontres de requêtes avec des cadres de Twitter concernait le Covid. On devait se concentrer sur les « comptes des anti-vaxxeurs ».

La censure, c’est l’altération ou la suppression du droit de parole, du droit d’écrire, ou toute autre forme d’information en se basant sur l’opinion qu’un tel matériel est subversif, obscène, pornographique, politiquement inacceptable, ou nuisible d’une manière ou d’une autre envers le bien-être public. Lorsque le gouvernement fédéral usurpe l’autorité de la Constitution, il devrait y avoir de sévères conséquences pour ceux qui sont impliqués. Pourtant, les médias contrôlés ne se sont même pas préoccupé, ne serait-ce que pour la forme, de parler des Dossiers Twitter.

Facebook en collusion avec le régime Biden ?

Twitter n’a pas été la seule entreprise en collusion avec les leaders élus. L’Administration Biden se mit à contrôler Facebook et faire pression pour que l’on censure les posts reliés à la plandémie et jugés problématiques. Le Résident Biden déclara même que les plateformes de médias sociaux allaient « tuer des gens » s’ils refusaient de censurer les posts.

D’une manière qui donne froid dans le dos, un membre du Comité de Surveillance de Facebook, Helle Thorning Schmidt, déclara : « La libre expression n’est pas un droit humain absolu. » Dans l’histoire, des partisans de l’autorité restreignirent la liberté d’expression. Lénine, Staline, Castro et Mao nous viennent à l’esprit. Cette liste inclut-elle maintenant Joe Biden ?

Qui est en charge de la désinformation ?

Qui possédait l’autorité de qualifier des posts de « désinformation » ? Était-ce le CDC ? Vous rappelez-vous de son titulaire bureaucratique Rochelle Walensky ? Walensky voulait que nous fassions confiance à la science derrière les piqûres de thérapie génique, mais dit également que les hommes peuvent tomber enceints ! Était-ce Anthony F(r)audci, le « docteur de l’Amérique » ? Fauci employa de l’argent des payeurs de taxe pour financer de la recherche qui était « illégale » en Amérique à ce moment-là. Il a aussi proclamé cette affirmation célèbre : « Je représente la science ». Ou était-ce le Ministère de la Vérité créé par le Directeur de la Sécurité du Territoire de Biden, Alejandro Mayorkas ?

Après avoir amassé une grande quantité d’informations reliées à la plandémie, l’auteur-ci ne peut pas décliner clairement qui avait une telle autorité. Cependant, ce qui est douloureusement clair, c’est que rien de tout cela ne fut basé sur des faits, mais seulement sur des opinions.

Bill Gates à la rescousse

L’immunologiste et virologue notoire, mais avant tout l’homme-dieu Bill Gates – s’il vous plaît, comprenez l’ironie – semble avoir réponse à tout. Il se promène partout en jet privé pour parler de changement climatique et s’avère une publicité sur deux pattes pour le compte de l’industrie pharmaceutique depuis maintenant des années. Les talk-shows des médias contrôlés invitent cet homme pour parler de manière autoritaire sur un paquet de sujets.

En cette ère de déchaînement de « désinformation », Gates a une idée pour la combattre. Dans une entrevue avec Handelsblatt, un diffuseur médiatique allemand de nouvelles, Gates déclara que l’intelligence artificielle (IA) devrait être employée comme outil pour combattre la « désinformation digitale ».

Selon le CSU Global (particule de l’Université d’État du Colorado), « L’Intelligence Artificielle est une technologie qui permet aux machines et aux applications d’ordinateur d’imiter l’intelligence humaine, apprendre par l’expérience via le procédé itératif et l’entraînement algorithmique ». Je me questionne à savoir qui écrit les applications d’ordinateur et les algorithmes ? S’ils sont une partie intégrante de la façon de penser gauchiste, leur « code » ne pencherait-il pas vers ce spectre ?

Le contrôle de la narration

En mars de 2022, DirecTV annonça à ses abonnés que One America News (un diffuseur conservateur de nouvelles) serait enlevé de sa liste de collaborateurs. En janvier 2023, DirecTV coupa le signal de Newsmax, autre diffuseur conservateur. À ce moment-là, Newsmax s’avérait le quatrième canal de nouvelles à l’indice d’écoute le plus élevé du pays.

CNN subit aujouord’hui une baisse de cote d’écoute. Il a délesté un grand nombre de ses animateurs aux salaires les plus hauts et sa plateforme digitale, CNN+, a complètement été éliminée. Les Américains savent que ce réseau propage de la désinformation et l’évitent comme la peste. Or, DirecTV permet encore à ce réseau libéral d’en profiter tout en éliminant OAN et Newsmax.

En février 2021, la représentante Anna Eshoo (D-CA) et le représentant d’alors Jerry McNerney (D-CA) exigèrent des pourvoyeurs de câble et satellites télé d’expliquer leur rôle allégué dans « l’épandage de dangereuse désinformation » en supportant les réseaux conservateurs. Coïncidence ou pas, l’Administration Biden approuva la fusion de la division WarnerMedia d’AT&T avec Discovery peu après avoir laissé tomber OAN.

L’essence de la vérité

Les instructions de la Bible soulignent le chemin de la vérité. L’intention est de mener le peuple à Lui. Dieu désire que nous soyons un peuple de vérité. Dans Éphésiens 4:14-15, l’apôtre Paul a écrit : « Afin que nous ne soyons plus des enfants flottants, et emportés çà et là à tous vents de doctrine, par la tromperie des hommes, et par leur ruse à séduire artificieusement. Mais afin que suivant la vérité avec la charité, nous croissions en toutes choses en celui qui est le Chef, c’est-à-dire, Christ. »

Dans Philippiens 4:8 : « Au reste, mes frères, que toutes les choses qui sont véritables, toutes les choses qui sont vénérables, toutes les choses qui sont justes, toutes les choses qui sont pures, toutes les choses qui sont aimables, toutes les choses qui sont de bonne renommée, toutes celles où il y a quelque vertu et quelque louange, pensez à ces choses. »

La Parole de Dieu est vraie et nous pouvons croire à tout ce qu’Il fait. Dieu est l’essence de la vérité. Jésus nous a dit : « Je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14:6).




Le Plan de croissance intelligente de l’homme n’est pas le Plan de Dieu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

février 2023

Par Jerry Barrett

De la Tour de Babel au Développement durable

« Malheur à ceux qui joignent maison à maison, et qui approchent un champ de l’autre, jusques à ce qu’il n’y ait plus d’espace, et que vous vous rendiez seuls habitants du pays. L’Eternel des armées me fait entendre, disant : Si des maisons vastes ne sont réduites en désolation, et si les grandes et les belles maisons ne sont sans habitants ? »

Ésaïe 5:8-9

« Puis ils dirent : Or ça, bâtissons-nous une ville, et une tour de laquelle le sommet soit jusqu’aux cieux ; et acquérons-nous de la réputation, de peur que nous ne soyons dispersés sur toute la terre. Alors l’Eternel descendit pour voir la ville et la tour que les fils des hommes bâtissaient. Et l’Eternel dit : Voici, ce n’est qu’un seul et même peuple, ils ont un même langage, et ils commencent à travailler ; et maintenant rien ne les empêchera d’exécuter ce qu’ils ont projeté. Or ça, descendons, et confondons là leur langage, afin qu’ils n’entendent point le langage l’un de l’autre. Ainsi l’Eternel les dispersa de là par toute la terre, et ils cessèrent de bâtir la ville. C’est pourquoi son nom fut appelé Babel ; car l’Eternel y confondit le langage de toute la terre, et de là il les dispersa sur toute la terre. »

Genèse 11:4-9

Dans Genèse 2, nous apprenons que l’Éternel planta un jardin en Éden et y plaça l’homme. Une rivière sortait d’Éden pour arroser le jardin. Dieu commanda à Adam qu’il pouvait manger de tout arbre sauf un.

Un grand nombre de critiques de Sa Parole Sainte disent que ce n’est qu’un mythe. Ils ferment les yeux sur le fait que, dans ce simple enseignement, Dieu révélait une chose importante. Entouré d’arbres, de rivières et de créatures vivantes, il s’agissait d’un habitat parfait pour l’homme.

Des recherches ont montré que le contact avec la nature s’avère thérapeutique. On a documenté que les patients qui peuvent voir par leur fenêtre des arbres, des plans d’eau et des animaux recouvrent plus rapidement la santé que ceux qui ne peuvent voir que des murs et des bâtiments. Dans le numéro de septembre 2003 du American Journal of Public Health, des chercheurs ont observé ceci : « Un des cadres les plus efficace pour guérir de la fatigue d’attention implique l’environnement de la nature – l’exposition aux arbres, aux chutes d’eau, aux lacs, aux fleurs… »

Avant les années 1800, moins de deux pourcent de la population mondiale vivait dans les villes. Aujourd’hui, plus de quatre-vingt pourcent vivent entassés les uns sur les autres. Des experts ont prédit que cette tendance ne changera pas.

L’homme en sait plus

L’originale « croissance intelligente » de l’homme – la Tour de Babel.

Après le Déluge, l’homme commença à construire des villes. L’architecture de ces anciennes cités promouvait la vanité humaine. Si nous ne l’avons pas oublié, l’homme décida de construire une énorme structure pour atteindre les cieux.

Un grand mur entourait un grand nombre de ces cités. Ces fortifications avaient pour but d’interdire l’accès aux animaux sauvages, de même qu’aux bandes de malfaiteurs qui maraudaient. Mais ils créèrent aussi des problèmes imprévus. La surpopulation, le bruit et l’hygiène publique en faisaient partie.

Au début des années 1990, le terme de « Croissance intelligente » fit partie du jargon des politiciens et des planificateurs de villes. La théorie était de créer un centre compact où l’on pouvait marcher et rouler à bicyclette pour éviter l’étalement urbain. Il y aurait des écoles de voisinage, un grand étalage d’options d’habitations et des centres d’achats commodes. On avait pour but de créer un sentiment de communauté.

Malheureusement, ces intellectuels ne pensaient pas aux conséquences qu’il y a à entasser un grand nombre de gens dans des buildings et dans des chaussées routières. Le nombre encombrant de véhicules menant à des bouchons de trafic, des trottoirs bourrés de piétons marchant épaules à épaules, des distractions telles que les panneaux d’affichage et autres signalisations conduisent à la fatigue mentale qui se traduit souvent en violence.

Combien de fois l’homme, dans sa vaine tentative d’atteindre le statut divin, n’a-t-il pas pris en considération les réactions négatives à ses idées ? Si ces planificateurs avaient suivi les principes bibliques, ils auraient reconnu le besoin d’avoir des espaces libres adéquats.

Quand la ville devint surpeuplée, les développeurs arrivèrent avec un autre plan brillant… les banlieues ! En créant des communautés dans des cadres ruraux – mais pas trop loin des villes – ils purent apaiser certains problèmes irritants tout en faisant fortune.

Malheureusement, ceux qui ne pouvaient se permettre de déménager dans les banlieues furent laissés derrière. Eventuellement, le déclin s’infiltra alors que les entreprises suivirent les masses ayant de l’argent à dépenser.

« Pas dans ma cour » – actions et réactions

Avec la dégradation régnant dans les régions urbaines, il y a des opportunistes cherchant à ramener les jours glorieux. Toutefois, ces idées brillantes ne sont pas toujours pour le meilleur intérêt de ceux qui sont laissés derrière par les masses en exode.

Il y a toujours des projets qui ne sont pas populaires auprès des citoyens, mais qui sont nécessaires au bien-être des gens. Que ce soit les installations d’eaux usées, les terrains d’enfouissement, les foyers pour les sans-abri, les éoliennes, etc., on doit bien les mettre quelque part.

Les rencontres de conseils municipaux où l’on discute de ces projets peuvent parfois devenir controversées et litigieuses. En fin de compte, comme nous le savons tous, ces projets ne sont jamais

L’ONU traça un programme idyllique en 2015 et qu’elle entend nous imposer pour 2030 – l’Agenda 2030. Ça a tellement l’air magnifique. Pourquoi l’élite ne donne-t-elle pas l’exemple au lieu de voyager en jet et en bateau vers leurs enclaves autour du monde ?

installés dans le voisinage des riches. Les foules fortunées crieraient assurément : « Pas dans ma cour ! » D’où leur appellation de PDMC.

Ces gens-là croient que tout projet modifiant les peuples locaux devrait clairement leur bénéficier. Les PDMC travaillent à être propriétaires et on les a souvent décrit comme cherchant à garder leurs maisons à un prix élevé. Des recherches montrent que les conservateurs et les libéraux sont également susceptibles de s’opposer aux nouveaux développements mobiliers dans leurs localités.

L’Agenda 2030

Dix-sept buts ont été adoptés par toutes les nations membres de l’ONU en 2015. Cela faisait partie de l’Agenda 2030 en vue d’un Développement durable. Selon l’ONU, ces buts sont un appel à agir afin de mettre fin à la pauvreté, à protéger la planète et à améliorer la vie de chacun.

Pour accomplir ce programme, l’ONU a ciblé l’action locale qui va enchâsser les transitions requises dans ses politiques, son budget, ses institutions et les structures réglementaires de gouvernements, de villes et d’autorités locales.

De même, le monde universitaire a aidé et soutenu un programme pour concrétiser l’Agenda 2030. Par la propagande dirigée vers notre jeunesse, les médias contrôlés, les unions, le monde universitaire et bien d’autres, l’ONU cherche à générer un mouvement irrépressible faisant pression pour obtenir les transformations requises.

Essentiellement, les planificateurs de l’Agenda 2030 de l’ONU souhaitent créer une migration massive retournant dans les centres urbains. Ils envisagent des habitations empilées les unes sur les autres et cherchant à atteindre les cieux. Cela permettra à la « Mère Terre » de réclamer la majorité des terres et d’éviter ainsi le changement climatique.

Le Développement durable vs la Vérité biblique

À cause des crimes non réprimés et de la pollution – bruit, lumière et smog – cette option insalubre commencera à tomber dans l’oreille de sourds. Ces personnes éconduites ne connaissent pas les enseignements bibliques de Dieu. Ils sont consumés par le désir malsain de contrôler les masses.

Comme nous l’a enseigné Jésus :

« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance » (Jean 10:7-10).

En tant que chrétiens, non seulement avons-nous la commande de répandre l’Évangile de Jésus-Christ, mais aussi de « préparer au Seigneur un peuple bien disposé » (Luc 1:17). Nous devons tout faire en notre pouvoir pour dénoncer cet agenda maléfique et réveiller ceux qui sommeillent.

 


Par Sandra Myers

Bénédictions, malédictions et Alliance éternelle

 

Il y a encore des gens qui continuent à nous dire qu’ils ne sont pas d’accord avec la position de Texe au sujet des Juifs. Texe, nous et tous les autres qui dénonçons les mauvaises actions des Juifs, nous serons maudits, nous dit-on. Ce doit bien être vrai, n’est-ce pas ? Regardez le sort de Jean-Baptiste et de mon Sauveur Jésus-Christ – décapité et crucifié pour avoir appelé les Pharisiens, les scribes et les autres anciens une génération de vipères (Jean-Baptiste : Luc et Matthieu 4:17 ; et Jésus : Matthieu 12:34 et 23:33).

Les deux petits versets suivants dans la Genèse ont été réquisitionnés par ceux qui se nomment eux-mêmes Juifs et qui ont pris l’habitude de propager et de programmer un modèle de pensée chez les chrétiens et le monde pour démontrer leur supériorité. Et personne n’ose remettre en question leur narration afin de ne pas être qualifié « d’antisémite », être vilipendé et esquivé.

Autre examen de Genèse 12:2-3

« Et je te ferai devenir une grande nation, et te bénirai, et je rendrai ton nom grand, et tu seras béni. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12:2-3).

Je ne vois pas ici Dieu tendant le monde à Abram (pas encore Abraham) sur un plateau d’argent (le contrôle mondial et les biens). Il ne s’agit pas d’un discours d’encouragement de la part de Dieu pour relever l’estime de soi d’Abram. Il s’agit plutôt de démontrer jusqu’à quel point le nom d’Abraham en tant que patriarche d’un peuple/nation imprégné d’un commandement serait reconnu pour avoir été un témoin de Dieu. C’est un appel à l’action et au devoir ! Une responsabilité.

« Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi » (Genèse 12:3).

Encore ici, la plupart des gens appliquent des standards humains à ce verset. Je le comprends au niveau spirituel : que cela signifie que, si vous croyez et répandez le message de Dieu et Son témoignage (tel que livré à cette époque et maintenant dans la Nouvelle Alliance), vous êtes béni de Dieu, spirituellement parlant. Si vous entravez ou érigez des barrages devant l’œuvre que Dieu nous a appelés à faire, nous et Abraham – être un témoignage qui atteigne toutes les familles de la terre – vous serez maudit. La bénédiction, c’est la vie éternelle, et la malédiction, c’est la condamnation.

Une Alliance éternelle

« J’établirai donc mon alliance entre moi et toi, et entre ta postérité après toi en leurs âges, pour être une alliance perpétuelle ; afin que je te sois Dieu, et à ta postérité après toi. Et je te donnerai, et à ta postérité après toi, le pays où tu demeures comme étranger, savoir tout le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je leur serai Dieu. Dieu dit encore à Abraham : Tu garderas donc mon alliance, toi et ta postérité après toi en leurs âges. Et c’est ici mon alliance entre moi et vous, et entre ta postérité après toi, laquelle vous garderez, savoir que tout mâle d’entre vous sera circoncis. Et vous circoncirez la chair de votre prépuce; et cela sera pour signe de l’alliance entre moi et vous. Tout enfant mâle de huit jours sera circoncis parmi vous en vos générations, tant celui qui est né dans la maison, que l’esclave acheté par argent de tout étranger qui n’est point de ta race. On ne manquera donc point de circoncire celui qui est né dans ta maison, et celui qui est acheté de ton argent, et mon alliance sera en votre chair, pour être une alliance perpétuelle. Et le mâle incirconcis, la chair du prépuce duquel n’aura point été circoncise, sera retranché du milieu de ses peuples, parce qu’il aura violé mon alliance » (Genèse 17:7-14).

« Et toutes les nations de la terre seront bénies en ta semence, parce que tu as obéi à ma voix » (Genèse 22:18).

La Terre sainte

Est-il vraiment question de la terre poussiéreuse du Proche-Orient ? L’on nous a aussi programmés à croire ça. Pourquoi Dieu a-t-Il donné à Abraham et à sa descendance ce lotissement de terre – même, en possession éternelle ? (Joint à cette phrase de manière sacrée : « et je serai leur Dieu »). Je crois que c’était pour leur donner une place pour demeurer et se nourrir aussi bien que de leur garder Dieu à l’esprit et aider à mettre la population en garde contre l’influence des païens. Je crois que c’est la raison pour laquelle Dieu ordonnait parfois la destruction complète de tous les êtres vivants lorsqu’ils prenaient possession d’une région – afin de ne pas amener la corruption parmi Son peuple. Si la localisation géographique est si importante, est-ce que les Juifs habitant Israël aujourd’hui sont plus saints que ceux de la diaspora ? Pourquoi les Juifs ne se rendent-ils pas tous en Israël ? Questions idiotes parce que tout cela n’a toujours été qu’une affaire de cœur.

La Circoncision

La circoncision est un signe de l’alliance. La vraie circoncision est du cœur – pour ceux à qui Il sera leur Dieu.

Dieu a dit à Abraham de circoncire, non seulement ceux de sa propre famille, mais la chair de tout mâle qui vivait en sa maison : né dans sa demeure ou non, étranger ou ami : libre ou esclave ; de ne faire acception de personne. Voilà le témoignage de Dieu envers tous, sans égard à leur race. C’est Abraham partageant le témoignage de Dieu.

Jean-Baptiste rejette la race

« Faites des fruits convenables à la repentance, et ne vous mettez point à dire en vous-mêmes : nous avons Abraham pour père ; car je vous dis, que Dieu peut faire naître, même de ces pierres, des enfants à Abraham » (Luc 3:8).

Jean rejeta simplement la valeur de la lignée sanguine, disant que Dieu pouvait en faire naître des pierres ? Des pierres, des roches ! Jean réduisit à rien leurs lignées sanguines et dit que les pierres pouvaient naître en tant qu’enfants d’Abraham. Comment Jean pouvait-il oser réduire leur lignée sanguine à une moindre valeur que les pierres ! Mais Jean savait à qui il faisait face – les scribes, les Pharisiens et ceux qui enseignaient les traditions des hommes (le Talmud) plutôt que le conseil de Dieu (la Torah/Bible).

Jean héla d’abord les Juifs parce que Dieu avait mis sur leurs épaules la responsabilité de montrer le chemin vers le Salut. Mais Jean inclut toutes les personnes autour de lui, illustrant par là qu’en croyant, leur témoignage de vie serait aussi un témoignage de leur cœur (Luc 3:10-14).

Jean poursuivit en disant que la cognée était déjà mise à la racine des faux adorateurs – cette génération de vipères – les scribes et les Pharisiens qui veulent avoir pour eux des bénédictions physiques et un salut facile, mais dont le manque de fruit spirituel rendait témoignage de leur dérogation à la bénédiction d’Abraham. Ces grands prêtres ne sont pas des témoins de Dieu et ont donc amenés la malédiction sur eux, et même sur ceux qui les suivent.

Conversation entre Jésus et les Pharisiens et les scribes

« Il dit aussi cette parabole à quelques-uns qui se confiaient en eux-mêmes d’être justes, et qui tenaient les autres pour rien » (Luc 18:9).

« Sur cela les Pharisiens et les Scribes l’interrogèrent, en disant : pourquoi tes Disciples ne se conduisent-ils pas selon la tradition des Anciens, mais prennent leur repas sans se laver les mains ? Et il leur répondit, et leur dit : certainement Esaïe a bien prophétisé de vous, hypocrites, comme il est écrit : ce peuple m’honore des lèvres, mais leur cœur est bien éloigné de moi. Mais ils m’honorent en vain, enseignant des doctrines qui ne sont que des commandements d’hommes. Car en laissant le commandement de Dieu, vous retenez la tradition des hommes, savoir de laver les pots et les coupes, et vous faites beaucoup d’autres choses semblables. Il leur dit aussi : vous annulez bien le commandement de Dieu, afin de garder votre tradition » (Marc 7:5-9).

Jésus et Jean-Baptiste connaissaient tous deux le cœur des leaders religieux de l’époque – que les scribes et les Pharisiens avaient cessé depuis longtemps de suivre Dieu. Ceux-ci avaient le sentiment qu’on menaçait leur pouvoir. « Que se passera-t-il si le peuple retourne réellement vers Dieu et croit en Son Messie plutôt qu’aux doctrines et aux traditions des hommes ? »

Dans l’Évangile de Jean, au chapitre 7, Jésus « demeurait en Galilée, car il ne voulait point demeurer en Judée, parce que les Juifs cherchaient à le faire mourir … Le monde ne peut pas vous avoir en haine, mais il me hait : parce que je rends témoignage contre lui que ses œuvres sont mauvaises » (vs 1 et 7). Jésus savait que les Pharisiens Le haïssaient parce qu’Il prêchait le message de Son Père, ce qui exposait le leadership juif pour ce qu’il était – impie, égoïste et mauvais.

Alors comme aujourd’hui, la pression du pouvoir et du leadership juifs se faisait lourde, car « personne ne parlait franchement de Lui, à cause de la crainte qu’on avait des Juifs » (Jean 7:13).

Jean-Baptiste et Jésus furent-ils maudits selon Genèse 12:2-3 ? Le monde dirait que oui. Mais en tant que chrétienne qui croit en la Bible, je sais que tout le monde a besoin de Jésus – tout genou fléchira et tout le monde confessera que Jésus est le Seigneur. Ne devrions-nous pas tenter d’atteindre aussi les Juifs sans leur détourner les yeux ? J’ai choisi d’être messagère et témoin de Dieu et de mon Sauveur Jésus-Christ.

Enfin, si vous êtes encore un apologiste de ceux qui se disent Juifs, qu’en est-il d’Apocalypse 2:9 et 3:9 – ceux qui se disent Juifs mais n’en sont pas et qui mentent, et qui sont plutôt la Synagogue de Satan ? Leurs fruits témoignent-ils de notre Père, ou sont-ils des hypocrites, un peuple qui cache de la méchanceté sous un masque de vertue (nous avons Abraham pour père – leur sépulcre blanchi [Matthieu 23:27]) ?

« Or si vous êtes de Christ, vous êtes donc la semence d’Abraham, et héritiers selon la promesse » (Galates 3:29).




D.576 – La gouverne de l’homme

Par Roch Richer

Lors de la création de l’homme, il y a quelques six mille ans, Dieu lui donna le libre arbitre, c’est-à-dire, la liberté de choisir Sa voie, Sa conduite, Ses conseils. Pour ce faire, l’Éternel a accordé à Sa créature un esprit afin qu’elle possède la faculté de penser, de réfléchir, de raisonner. Mais cet esprit était limité et le domaine spirituel lui échappait. Or, telle était l’intention de Dieu, car Il voulait par la suite ajouter de Son propre Esprit à l’esprit humain pour que l’homme puisse avoir accès à la véritable connaissance.

« Mais ainsi qu’il est écrit [dans Ésaïe 64:4] : ce sont des choses que l’œil n’a point vues ; que l’oreille n’a point ouïes, et qui ne sont point montées au cœur de l’homme [incapable de les saisir par son esprit charnel], lesquelles Dieu a préparées à ceux qui l’aiment. Mais Dieu nous les a révélées par son Esprit. Car l’Esprit sonde toutes choses, même les choses profondes de Dieu. Car qui est-ce des hommes qui sache les choses de l’homme, sinon l’esprit de l’homme qui est en lui ? De même aussi nul n’a connu les choses de Dieu, sinon l’Esprit de Dieu. Or nous avons reçu non point l’esprit de ce monde, mais l’Esprit qui est de Dieu ; afin que nous connaissions les choses qui nous ont été données de Dieu ; lesquelles aussi nous proposons, non point avec les paroles que la sagesse humaine enseigne [par le seul moyen de son esprit charnel limité], mais avec celles qu’enseigne le Saint-Esprit, appropriant les choses spirituelles à ceux qui sont spirituels [c’est-à-dire, nous qui avons le Saint-Esprit pouvons nous approprier la connaissance des choses spirituelles qui nous étaient auparavant inaccessibles]. Or l’homme animal [uniquement guidé par son esprit charnel] ne comprend point les choses qui sont de l’Esprit de Dieu, car elles lui sont une folie [l’homme n’admet pas ne pas les comprendre ; dans sa vanité, il les qualifie simplement de folie, d’idiotie, d’ignorance, et il méprise ceux qui ont l’Esprit pour comprendre et les traite d’insensés, de fous] ; et il ne peut même les entendre [dans le sens de comprendre, de saisir], parce qu’elles se discernent spirituellement. Mais l’homme spirituel [possédant en lui l’Esprit de Dieu] discerne toutes choses, et il n’est jugé de personne. Car qui a connu la pensée du Seigneur pour le pouvoir instruire ? mais nous, nous avons l’intention de Christ » (1 Corinthiens 2:9-16).

Ceux qui se proclament « sages » en ce monde croient que l’Évangile est une folie, tout simplement parce qu’ils ne le comprennent pas. Ils qualifient les croyants de rétrogrades parce que la vérité qui est révélée à ceux-ci se trouve au-dessus de la capacité d’entendement des dits sages.

« Où est le sage ? où est le Scribe ? où est le Disputeur de ce Siècle ? Dieu n’a-t-il pas manifesté la folie de la sagesse de ce monde ? Car puisqu’en la sapience de Dieu, le monde n’a point connu Dieu par la sagesse, le bon plaisir de Dieu a été de sauver les croyants par la folie de la prédication » (1 Corinthiens 1:20-21).

« Que personne ne s’abuse lui-même ; si quelqu’un d’entre vous croit être sage en ce monde, qu’il se rende fou [selon le monde], afin de devenir sage [selon Dieu]. Parce que la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu; car il est écrit [dans Job 5:13] : il surprend les sages en leur ruse. Et encore [dans Psaume 94:11] : le Seigneur connaît que les discours des sages sont vains » (1 Corinthiens 3:18-20).

Malgré tous ses efforts, l’homme est incapable par lui-même de connaître les vérités divines. Il a beau avoir recours à toute son intelligence pour philosopher sur les questions existentielles, il ne sait toujours pas quelle est son origine et quelle sera sa fin. Cependant, au fil du temps, depuis Adam et Ève, il lui a fallu se débrouiller pour vivre en société, qu’il organise la vie en commun. Heureusement, dès le départ, Dieu lui a donné des directives. Mais comme nous venons de le voir, l’homme se croit plus sage que Dieu et Ses directives lui semblent une folie.

De plus, Satan, le Diable, a toujours été dans les parages pour encourager sa rébellion et ses réticences face aux Paroles de Dieu. Le Démon a donc suggéré à l’homme toutes sortes de systèmes pour se gouverner. Mais au bout d’un certain temps, les choses se sont mises à aller si mal, et l’homme était devenu si corrompu, que Dieu déclencha Son Déluge pour mettre un terme à cette véritable folie.

Mais ne vous leurrez point : ce n’était nullement un échec de la part de Dieu. Cela faisait partie de Son Plan. Toutes les générations subséquentes, jusqu’à aujourd’hui, ont pu profiter de cet événement pour en tirer quelque leçon. Mais le cœur de l’homme étant ce qu’il est, nous en sommes rendus aujourd’hui au même point qu’à l’époque de Noé, car la fin est proche :

« Mais comme il en était aux jours de Noé, il en sera de même de l’avènement du Fils de l’homme » (Matthieu 24:37).

Au cours des derniers siècles, les hommes ont tenté de faire l’essai de toutes sortes de systèmes de gouvernement. Ils ont cependant toujours regardé derrière, les yeux fixés sur le système qu’avait voulu mettre en place Nemrod, fondateur de Babylone : une dictature sous un Ordre Mondial. Tous les hommes rassemblés sous un seul gouvernement totalitaire reniant la souveraineté de Dieu.

Après l’ascension du Christ et l’émergence de Son Église, il s’est installé une certaine stabilité grâce aux Écritures de Dieu qui se répandaient un peu partout. Les pays se sont formés, tant bien que mal, tiraillés par des conflits au sujet de conquêtes de territoires ou à cause de différends théologiques. Des royautés se sont élevées, des empires se sont succédés, des ententes furent établies.

De tous les systèmes imaginés par les hommes, la démocratie a semblé le moins déficient, offrant un certain degré de liberté au peuple. Mais à partir de l’an 1917, les choses se sont sérieusement détériorées. Des idées démoniaques ont surgi pour amener l’humanité vers un déclin graduel. Des hommes mal intentionnés sapent les fondements chrétiens de la société depuis des centaines d’années et la ruine va en s’accélérant.

Dans notre monde moderne, la démocratie est morte. Elle ne fait pas le jeu de l’élite mondiale au pouvoir parce que celle-ci n’en veut tout simplement pas. Elle s’apprête à installer un communisme à l’échelle mondiale. Alors, quand les politiciens modernes parlent de démocratie, ils en donnent une définition contrefaite afin que le peuple ne puisse se rendre compte du piège et qu’on le dirige, en vérité, vers un régime communiste totalitaire et dictatorial que ce peuple rejetterait s’il lui était proposé franchement.

Comprenons que dans la société actuelle, les gens honnêtes sont écartés de tout pouvoir, bien qu’il puisse survenir occasionnellement des accidents de parcours, comme l’émergence d’un Poutine ou d’un Trump. Mais alors, l’État profond a recours à toute sa malhonnêteté et tire toutes les ficelles pour truquer les élections ou fomenter de fausses guerres artificielles, à la face de la population aveugle, comme on en a été témoins lors des dernières élections américaines, canadiennes et françaises, et comme on le voit par le conflit en Ukraine.

Par ailleurs, Dieu n’élèvera pas « un homme de Dieu » à la tête d’aucun pays, car cela n’entre pas dans Son plan de salut. En ce moment, l’Éternel veut que l’homme au cou roide prouve une fois pour toutes qu’il est incapable de se gérer tout seul. Il permet donc, avec sans doute un brin d’humour, que Satan place ses propres hommes dans les postes gouvernementaux, des imbéciles qui ne savent pas distinguer entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux. Devant ce genre d’hommes et de femmes, le chrétien doit se montrer circonspect et prudent. Dans les églises pseudo-chrétiennes, les faux pasteurs sont bien prompts à sortir Romains 13 pour que les membres obéissent aveuglément aux autorités. Mais ces pasteurs, dirait-on, ne savent pas lire la Bible. Que dit le passage ?

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes » (vs 1-2).

La plupart du temps, les pasteurs s’arrêtent là et disent de manière péremptoire à leurs ouailles qu’elles doivent obéir à tous les décrets (souvent extraordinairement stupides) et les mandats obligatoires que régurgitent leurs gouvernements. Mais ne devraient-ils pas lire la suite où l’apôtre Paul élabore sur les conditions ?

« Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange » (v. 3).

Déjà, ici, nous avons un problème avec l’interprétation des pasteurs, car les autorités – les Puissances – se permettent de plus en plus de punir les gens qui veulent bien faire, c’est-à-dire, suivre les instructions divines. Les restrictions sont de plus en plus sévères contre ceux qui dénoncent l’homosexualité, le transgenrisme, l’avortement, la pédophilie, etc. Et l’on veut faire avaler aux gens des mensonges aussi grossiers que le « changement climatique », la pénurie d’énergie et autres bêtises. Récemment, l’on a adopté une loi américaine qui interdit de remettre en question la légitimité des élections, alors que les preuves de fraudes s’accumulent et deviennent criantes.

Depuis deux ans, les autorités poussent les gens à se faire injecter un produit si nocif qu’un nombre effarant de gens en meurent et encore plus subissent des séquelles irréparables ; et les médecins qui osent mettre leurs patients en garde risquent de perdre leur licence de pratique. Donc, aujourd’hui on doit craindre les « princes » pour de bonnes actions. Lisons la suite du passage.

« Car le Prince est le serviteur de Dieu pour ton bien… » (v. 4).

Voilà qui devrait éclairer les gens. Les chefs d’états que nous avons en ce moment partout dans le monde ne sont tout simplement pas des serviteurs de Dieu, quoique qu’il y en ait peut-être un ou deux qui croient en un Dieu. Pour la plupart, ce sont des psychopathes.

« …mais si tu fais le mal, crains… » (v. 4) Aux États-Unis, les juges démocrates financés par George Soros ne condamnent pas les malfaiteurs et ne les mettent pas en prison. Le mal demeure donc impuni et les récidivistes se multiplient. En plus, on définance la police.

« …parce qu’il ne porte point vainement l’épée, car il est le serviteur de Dieu, ordonné pour faire justice en punissant celui qui fait le mal » (v. 4).

De nos jours, c’est exactement le contraire qui se passe. Le système politique et judiciaire est tellement corrompu que les pires bandits de la société se trouvent au sommet de la hiérarchie du pouvoir. Les sorciers dominent. Ils détestent Dieu et les pasteurs voudraient qu’on leur obéisse sans questionner ? N’est-ce pas renier la faculté de penser que Dieu nous a accordée ? Voyons plutôt un autre passage écrit par l’apôtre Paul :

« Soyez revêtus de toutes les armes de Dieu, afin que vous puissiez résister aux embûches du Démon. Car nous n’avons point à combattre contre le sang et la chair, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les Seigneurs du monde, gouverneurs des ténèbres de ce siècle, contre les malices spirituelles qui sont dans les lieux célestes » (Éphésiens 6:11-12).

Est-ce une contradiction de la part de Paul ? Bien sûr que non. Dans Romains 13, il parle de chefs d’état qui sont des serviteurs de Dieu, Ici, il parle de chefs d’états qui sont des serviteurs de Satan. Il nous faut savoir faire la différence afin de résister aux mauvais gouverneurs. Un grand nombre des chefs d’état d’aujourd’hui font partie de sociétés occultes où l’on adore Satan. Beaucoup sont des êtres pervers et dépravés qui pratiquent la sorcellerie, la pédophilie, le vol et le meurtre à grande échelle. Nous ne pouvons pas suivre ce genre d’hommes aveuglément.

Cette élite mondialiste, qui cherche à imposer un Nouvel Ordre, se doit d’être fort bien organisée afin d’œuvrer, premièrement dans la clandestinité et jusqu’au jour où il sera impossible au reste du monde de refuser de s’y conformer ; et alors, l’élite, dirigée par l’homme du péché, l’antichrist des temps de la fin, se montrera au grand jour et infligera sa dictature sans que le peuple puisse rien y faire. C’est inévitable, car prédit par les Écritures.

Pour y arriver, l’élite sataniste a recours à de nombreux organismes qu’elle a créés au fil des siècles – mais surtout au 20e siècle – afin d’assurer son pouvoir et répandre sa propagande dans toutes les sphères de la société. Parmi ces organisations, il y a les sociétés secrètes et il y a les puissantes agences de renseignement, ou services secrets. Certaines sont très importantes et exercent leur influence partout dans le monde : le Mossad israélien, les MI5 et MI6 britanniques, le FBI, la NSA et la CIA américains, etc. Entre autres tâches, ces agences ont la mission de mettre en place un peu partout dans le monde des gouvernements qui agissent en accord avec le programme mondialiste des dirigeants occultes non élus. Si les chefs d’état n’obéissent pas à l’agenda global, l’État profond occulte mobilise une agence de renseignement (souvent la CIA) qui va se rendre dans le pays pour déstabiliser le régime politique récalcitrant, provoquer de nouvelles élections (qu’elle s’arrange pour truquer) ou assassiner le chef d’état rebelle, puis elle installe au pouvoir un homme de paille de l’élite, préalablement endoctriné par des organismes comme le Forum Économique Mondial de Klaus Schwab, le Groupe de Bilderberg, le Club de Rome, le Council of Foreign Relations, les Skull & Bones, ou toute autre société plus ou moins secrète.

L’outil principal et primordial de tout ce système, c’est… le mensonge !

Le mensonge érigé en système existe depuis la nuit des temps. Déjà le prophète Jérémie en était découragé, car il ne cessait d’en être témoin au sein de son peuple :

« Plût à Dieu que j’eusse au désert une cabane de voyageurs, j’abandonnerais mon peuple, et me retirerais d’avec eux ; car ils sont tous des adultères, et une troupe de perfides. Ils ont tendu leur langue, qui leur a été comme leur arc pour décocher le mensonge, et ils se sont renforcés dans la terre contre la fidélité, parce qu’ils sont allés de malice en malice, et ne m’ont point reconnu, dit l’Eternel. Gardez-vous chacun de son intime ami, et ne vous fiez à aucun frère ; car tout frère fait métier de supplanter, et tout intime ami va médisant. Et chacun se moque de son intime ami, et on ne parle point en vérité ; ils ont instruit leur langue à dire le mensonge, ils se tourmentent extrêmement pour mal faire. Ta demeure est au milieu de la tromperie ; ils refusent à cause de la tromperie de me reconnaître, dit l’Eternel … Leur langue est un trait décoché, elle profère des fraudes ; chacun a la paix dans sa bouche avec son intime ami, mais dans son intérieur il lui dresse des embûches » (Jérémie 9:2-6, 8).

Construites sur le mensonge, les agences de renseignement en ont fait leur outil de prédilection. De par leur nature, elles ne peuvent travailler ouvertement. Ce sont des espions, des agents secrets, habitués à leurrer, à tromper. Elles disent agir ainsi pour le bien commun, et elles présentent même le mensonge comme une nécessité, sous le faux prétexte de la sécurité nationale, ou pour épargner les sensibilités du peuple qui ne pourrait comprendre. Car, selon eux, tout le monde ne mérite pas d’avoir la vérité, car la vaste majorité serait, toujours selon eux, incapable de la supporter. Mais la réalité est tout autre. Ces agences, parrainées et financées par les oligarques mondialistes, poursuivent des agendas cachés et inavouables.

Nous devons vraiment reconnaître que nous vivons dans un monde de censure de la vérité. Car, avance-t-on, « toute vérité n’est pas bonne à dire ». On assume que la population générale est trop bête pour la saisir, l’analyser, la comprendre. Mais le but véritable est de cacher les actions mauvaises et perverses dont l’élite se rend coupable tous les jours.

Dans le monde actuel, si quelqu’un veut s’élever au-dessus de la masse et atteindre les hautes sphères de la société, il se sent poussé à recourir au mensonge et à toutes sortes de roublardises malfaisantes. Il doit obéir aux dictateurs de la Synagogue de Satan, sinon, il sera irrémédiablement écrasé. Les maîtres du pouvoir sont des adeptes inconditionnels des philosophies de Satan. À cet effet, ils sont devenus des menteurs compulsifs et pathologiques. Ils ne savent apparemment plus différencier le bien du mal, le vrai du faux. Beaucoup d’entre eux s’en fichent, d’ailleurs, car la vérité, au mieux, n’a pas d’importance à leurs yeux et, au pire, s’avère une menace qu’il faut combattre. Parce que, lorsque l’on œuvre dans les ténèbres afin de dissimuler les choses mauvaises que l’on fait, la lumière de la vérité fait mal aux yeux et dévoile les œuvres infructueuses.

Pendant ce temps, le peuple se laisse endormir par tous ces mensonges et se forge un idée complètement déformée du monde et de l’humanité, ne comprenant pas la tournure réelle des événements. L’humanité n’en sortira pas avant que Dieu ne vienne Lui-même la libérer. Alors seulement, l’homme verra ce qu’est la vraie puissance.

Pouvez-vous imaginer ce que serait le monde si, du jour au lendemain, le mensonge disparaissait ? si tous les gens ne disaient que la vérité à leur prochain ? La face de la terre en serait radicalement changée, les guerres n’auraient plus lieu, la confiance régnerait entre les pays, entre les citoyens, entre les membres d’un même foyer…

Or, le Plan de Dieu prévoit un pareil monde pour sa conclusion. Et ce n’est pas seulement le mensonge qui disparaîtra, mais également tous les travers humains. Ce monde-là est inaccessible à l’homme par sa propre force et par sa propre intelligence, mais il sera accessible par la grâce et la miséricorde de Dieu. Il l’est d’hors et déjà à tous ceux qui acceptent Son appel et font Sa volonté. Et alors que le joug de l’homme est pesant, celui de Dieu est léger.

Que le Seigneur vous garde.




Vous lèverez-vous ou Le renierez-vous trois fois ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2023

Par Jerry Barrett

En perdant de la crédibilité à chaque jour

« Bienheureux sont ceux qui sont persécutés pour la justice ; car le Royaume des cieux est à eux. Vous serez bienheureux quand on vous aura injuriés et persécutés, et quand, à cause de moi, on aura dit faussement contre vous toute sorte de mal. »

Matthieu 5:10-11

« Et elle exerçait toute la puissance de la première bête, en sa présence, et faisait que la terre et ses habitants adorassent la première bête, dont la plaie mortelle avait été guérie. Et elle faisait de grands prodiges, même jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre devant les hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre, à cause des prodiges qu’il lui était donné de faire devant la bête, commandant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait reçu le coup mortel de l’épée, et qui néanmoins était vivante. »

Apocalypse 13:12-14

Texe Marrs, notre bien-aimé Pasteur Émérite, avait le bonheur d’avoir le don du discernement. Grâce à sa vive perspicacité, il était toujours de dix à vingt ans en avant du peloton. Son habileté à percevoir les problèmes avant qu’ils n’apparaissent faisait de lui la cible des dénigreurs.

Exemple : Dans un article écrit en 1997 et intitulé Bientôt : un Bureau Fédéral de persécution religieuse, Texe releva cette réalité manifeste :

« Ceux qui contrôlent notre gouvernement ont déjà donné un nom à cette nouvelle agence. On doit l’appeler officiellement Le Bureau de la Surveillance de la Persécution Religieuse (ORPM) … Il est clair qu’une fois que cette agence maléfique aura été établie et commencera à exercer ses pouvoirs redoutables, on réinventera la spiritualité du monde entier. Toutes les religions et toutes les églises feront partie d’un système contrôlé par l’élite, tolérant, détestant la Bible, privilégiant l’unité dans la diversité. Quel étonnant accomplissement de la prophétie biblique ! Se pourrait-il que le directeur de cette nouvelle agence policière devienne le « Faux Prophète » annoncé dans Apocalypse 13 ? »

Y a-t-il de la persécution religieuse en Amérique ?

Lifeway Research a sondé 1 005 Américains et cinquante-quatre pourcent croient que la liberté de religion est en train de s’éroder. Quand on leur demande ce qu’il en est du traitement des chrétiens et de leurs croyances, la majorité des Américains (59 %) disent maintenant que la tolérance envers les chrétiens décline aussi aux États-Unis.

Cette information est un choc en considérant le fait que l’on nous a enseigné que l’Amérique a été fondée en tant que nation chrétienne. Cela ne veut pas dire que l’Amérique a été fondée sur les bases d’une théocratie, comme Israël où aucune autre religion n’est tolérée. Les principes bibliques ont été insérés dans la Constitution et ses lois subséquentes.

Nombreux sont ceux qui vont déclarer que les chrétiens ne sont pas persécutés en Amérique en soulignant le nombre de chrétiens ciblés et assassinés dans d’autres pays. L’Afghanistan, la Corée du Nord, la Somalie, la Lybie et le Yémen affichent les plus hauts taux de persécution, globalement. Open Doors dit qu’au moins 360 millions de chrétiens dans le monde vivent de « hauts niveaux de persécution et de discrimination ». Le groupe estime aussi que le nombre de chrétiens tués à cause de leur foi a grimpé à 5 898 en 2022, par rapport aux 4 761 de 2021.

Ces chrétiens aimant Christ et lavés pas Son sang choisirent leur foi plutôt que leur corps terrestre. Ils ne suivirent pas l’exemple de Pierre :

« Le Seigneur dit aussi : Simon, Simon, voici, Satan a demandé instamment à vous cribler comme le blé ; mais j’ai prié pour toi que ta foi ne défaille point ; toi donc, quand tu seras un jour converti, fortifie tes frères. Et Pierre lui dit : Seigneur, je suis tout prêt d’aller avec toi, soit en prison soit à la mort. Mais Jésus lui dit : Pierre, je te dis que le coq ne chantera point aujourd’hui, que premièrement tu ne renies par trois fois de m’avoir connu » (Luc 22:31-34).

Même si les chrétiens d’Amérique ne subissent pas la menace de la guillotine – pour l’instant – on voit définitivement qu’il y a déclin. L’infestation de doctrines libérales au sein de l’église est le début de la pente glissante. Cela s’est fait sans pompes afin de ne pas attirer l’attention de ses membres. Malheureusement, ceux qui ont vu le déclin ont choisi de ne pas parler et de ne pas protester.

L’on peut présumer que, si l’église chrétienne et ses pasteurs en Amérique avaient maintenu leur foi avec force, la légalisation de l’avortement par la Cour Suprême (Roe vs Wade) ; la suppression de la prière dans les salles de classe ; et l’accueil aux homosexuels et aux transgenres derrière les chaires n’auraient trouvé aucune traction. Non plus que l’acceptation de la Nouvelle Version Internationale de la Bible n’eut été possible. Il y a dans l’Ancien et le Nouveau Testaments des enseignements dont auraient dû tenir compte les traducteurs de la version NVI et des autres versions bâtardes : Deutéronome 4:2 et Apocalypse 22:18-19.

Lors des nombreuses attaques contre Dieu et les chrétiens, vous lèverez-vous ou renierez-vous Jésus par trois fois ?

A quoi faisons-nous face comme persécution ?

Combien d’entre vous auriez pu imaginer des pasteurs fermant les portes de leurs églises ? C’est précisément ce qui est arrivé durant la pLandémie. Ceux qui ont bravement tenu bon ont été arrêtés et/ou condamnés à une amende. En acquiesçant à ces obligations illégales, les soi-disant pasteurs ont laissé leurs troupeaux sans surveillance et en proie aux loups.

Les médias contrôlés réprimandent sans cesse les vrais chrétiens qui refusent de soutenir les programmes homosexuels et transgenres. Combien ont perdu leur emploi pour avoir refusé de glorifier cette débauche ? Qui plus est, ces mêmes personnalités de la radio et de la télévision sont aux premières lignes pour promouvoir les histoires d’enseignants transformant leurs classes en centres non-binaires de fluidité de genre. Le mantra que l’on utilise ? Diversité, Équité et Inclusion !

L’on a employé le Service de Revenu Intérieur (IRS) comme outil contre les organisations chrétiennes. Gardez à l’esprit que la « Loi sur la Réduction de l’Inflation » du Résident Biden a alloué des fonds pour engager 87 000 nouveaux agents ! De même, ceux qui ont naïvement accepté les règles et prescriptions qu’est le 501(c)3 sont à la merci de l’IRS.

Combien d’entreprises privées ont été poursuivies parce que leurs propriétaires refusaient des services en déclarant que ces exigences entraient en conflit avec leurs profondes croyances religieuses ? Des pâtissiers, des photographes et des propriétaires de salles de noces ont tous été affligés de persécutions.

Les Démon-crates attaquent

Notre Constitution a été construite de manière à prévenir les actions despotiques de toutes et chacune des trois branches du gouvernement. On appelle cela « les Freins et les Contrepoids ». Cette idée fut sévèrement menacée quand la Cour Suprême décida de légiférer au tribunal dans le cas connu sous le nom de « Roe vs Wade ».

Heureusement, les juges de la Cour Suprême ont récemment rectifié cet abus de limites et ont renversé la règle légalisant l’avortement. Ce qui outragea beaucoup de gens de la politique et des médias qui possèdent des idéaux à tendance gauchiste. Le Résident Biden a proclamé qu’il allait diriger le Congrès pour adopter une loi qui codifierait l’avortement – en en faisant une loi du pays – au lieu de laisser cela aux états individuels.

Après bien des tergiversations, Biden expliqua d’un air triste qu’il n’y avait pas eu le nombre de vote suffisant pour accomplir ce but. Toutefois, cela a attisé les politiciens démon-crates de Capital Hill. Si la Cour peut effrontément renverser l’avortement, il est fort concevable qu’elle veuille aussi renverser la législation sur le mariage de même sexe ! On doit immédiatement faire quelque chose !

À l’égard de la loi du mariage

Entrez « Respect for Marriage Act ». C’est conçu dans le but d’annuler les derniers restes exécutoires de la « Loi sur la défense du mariage » signée par – BILL CLINTON ! – en 1996. Cet élément de législation « codifiera «  la loi fédérale en ce qui se rattache au mariage de même sexe ».

Même si une version substitut du Sénat déclare que cela va arranger les problèmes de liberté religieuse, ces « protections » ne s’avérerait qu’une façade. Chose triste, trente-neuf membres républicains de la Chambre et vingt sénateurs républicains ont voté pour faire adopter ce projet de loi odieux.

Cette prochaine loi sera une attaque directe contre la liberté de religion en Amérique. Parmi les nombreuses dispositions incluses dans ce projet de loi :

  • Il établit une fausse définition du mariage
  • Il ouvre la porte au mariage polygame
  • Il met en péril le statut d’exemption de taxe des organisations à but non lucratif
  • Litige déloyal contre les organisations de service social fondées sur la foi

Les églises qui se positionnent de manière inébranlables sur la Parole de Dieu seront poursuivies si elles n’ouvrent pas leurs portes aux couples homosexuels qui veulent se marier. De la même façon, les agences d’adoption fondées sur la foi devront assurément fermer leurs portes pour éviter un litige coûteux.

Pour être clair, la persécution religieuse survient en Amérique. Mais nous en avions été avertis, n’est-ce pas ? L’apôtre Paul a écrit :

« Or tous ceux aussi qui veulent vivre selon la piété en Jésus-Christ, souffriront persécution. Mais les hommes méchants et séducteurs iront en empirant, séduisant, et étant séduits. Mais toi, demeure ferme dans les choses que tu as apprises, et qui t’ont été confiées, sachant de qui tu les as apprises » (2 Timothée 3:12-14).


 

Par Sandra Myers

Retour au féodalisme

Est-ce que le système politique qui prévalait en Europe du 9e au 15e siècle est revenu en force en Amérique ? Est-ce que le système de gouvernance en Amérique, et même dans le monde entier, en est revenu fondamentalement à une relation de seigneur à vassal ?

Malgré tous les avertissements que donnent les conservateurs à propos du cours ultrarapide de la gauche vers le socialisme et le communisme, je pense que nous avons perdu de vue où l’Amérique est déjà descendue. Nous sommes carrément au milieu d’un « féodalisme de l’Angleterre d’antan ».

Le Nouvel Ordre du féodalisme

Attendu que le premier rang de l’état féodale « d’antan », détenant l’autorité finale, était la monarchie, tel que le roi, la reine et l’empereur, aujourd’hui, au sommet de la classe dirigeante moderne, nous avons une poignée d’oligarques entrepreneuriaux : les banquiers centraux mondiaux, comme à la Réserve Fédérale, la Banque mondiale, la Banque centrale européenne la Banque d’accords internationaux, etc.

Dans le système d’antan, il y avait ensuite au niveau d’en-dessous la mi-royauté, comme les ducs, les comtes et les barons. Toutefois, aujourd’hui, suivant immédiatement – et peut-être même entremêlés avec le niveau supérieur – nous avons les influenceurs milliardaires ultra-riches. Ils forment l’élite qui brandit avec impunité son argent sale dans la politique, la révolution culturelle et le contrôle du climat : Georges Soros, Michael Bloomberg, Tom Steyer, les frères Koch, Warren Buffett, les Rothschild et encore d’autres.

Suivaient ensuite dans le système féodal d’antan le clergé de l’église – les évêques et les prêtres. Puis, il y avait les chanceliers, les shérifs et les constables, suivis des commerçants et des explorateurs. Au sein des deux derniers échelons, on retrouvait les péons supérieurs, comme les propriétaires agricoles et les officiers militaires. En derniers, il y avait les paysans, les travailleurs et les conscrits.

Dans notre système féodal moderne, le troisième niveau se compose des titans de l’élite entrepreneuriale. La ligne de démarcation entre le troisième niveau et le niveau deux est floue. Au sein de cette élite corporative, il y a les compagnies de médias (les médias sociaux aussi bien que les diffuseurs de « nouvelles ») et les compagnies très riches. Parmi ceux de leur acabit, on trouve des noms que nous reconnaissons immédiatement : Jeff Bezos d’Amazon, Mark Zuckerberg et sa femme Priscilla Chan de Meta/Facebook, Bill Gates, Sheldon et Miriam Adelson (Sheldon est décédé récemment, mais son épouse a fait vœu de poursuivre), Rupert Murdoch et bien d’autres. Ce sont eux qui contrôlent le niveau suivant, nos fonctionnaires élus.

Vous auriez pu penser que la corrélation moderne avec le monarque d’hier eût été notre président. Hélas, notre présidence et notre congrès ont été faits les esclaves des banques internationales, des entreprises et de leur argent sale, des médias et de ceux qui brandissent le pouvoir comme tel. Cela a fait descendre le statut de notre présidence de plusieurs niveaux dans l’échelle féodale.

Nos fonctionnaires « élus », de la présidence à nos conseils de ville locaux, sont directement assujettis à ceux qui achètent leurs postes électoraux et, en tant que tel, sont sujets aux caprices et aux fantaisies (ou aux lubies) de la vision mondiale.

Le reste d’entre nous sommes sans doute divisés en deux classes de professionnels et d’artistes de haut niveau ; puis vient le niveau inférieur de professionnels avec les travailleurs au col bleu, les soldats et les étudiants qui sont à la merci de nos seigneurs.

De retour à l’état féodal en Amérique moderne

Au Moyen-âge, peu de gens avaient des propriétés. Nous, les humbles serfs qui croyons posséder des maisons et même avoir payé la banque, les seigneurs du manoir détiennent notre propriété dans leur fief. Nous tombons sous le coup des codes de construction, des ordonnances de zones, des restrictions de semence, et de la possibilité de saisie imminente du domaine ou de notre propriété, si c’est pour le « bien général ».

Les jeunes gens d’aujourd’hui ne détiennent presqu’aucune valeur en ce qui a trait à la propriété de maison (et même aucune valeur en soi). Beaucoup d’entre eux demeurent encore chez leurs parents et n’éprouvent aucun désir de se forger une vie et de bâtir eux-mêmes une famille. On a lavé leur cerveau à « ne rien posséder et à en être heureux » (comme dit Klaus Schwab). Ils se contentent de se fier à l’état féodal au-dessus d’eux en ce qui regarde tout ce qu’il y a de droits et de permissions dans leur vie, leur travail et leur existence même. (Le Covid en est un bon exemple.)

Le féodalisme institutionnel

Le gouvernement et les médias mainstream ont un système à niveaux multiples de mise en application des droits du peuple. Nous ne sommes plus un pays pour « Nous, le peuple » avec des freins et des contrepoids afin de maintenir et de mettre en force des lois de manière égale, mais nous sommes descendus au niveau de « des règles pour vous, mais pas pour moi ». Les riches ou les élites favorisées ne subissent que peu de conséquences pour les mêmes offenses que commettent le petit peuple, car leurs copains reconnaissent et respectent leur rang dans l’ordre. Ce nouveau féodalisme n’est pas sujet aux lois du territoire, mais à l’élite qui contrôle les fonctionnaires élus.

Socialisme ou féodalisme ?

Nous déclarons que nous sommes en train de descendre radicalement dans le socialisme/communisme. Mais ce pouvoir total et centralisé ressemble au système féodal. Aujourd’hui comme jadis, le pouvoir sera brandi pour que le tiers supérieur puisse l’exercer. Bernie Sanders, AOC et les autres fomenteurs de promesse d’égalité totale (le socialisme) subissent la propagande et la programmation dans le but de céder au pouvoir de l’élite qui leur confère finalement les titres et les fonctions royales selon leur caprice. En retour, ces seigneurs mineurs sont aussi sujet à s’agenouiller, et ils seront brisés s’il devient à propos de les briser, et on leur retirera leurs privilèges féodaux quand on le désirera.

Dieu possède le pouvoir absolu sur toute chose

Dieu est toujours sur le Trône. Lorsque les rois d’antan n’arrivaient plus à reconnaître et à révérer Dieu, leurs royaumes chutaient. Satan et ses généraux terrestres essaient actuellement de chasser Dieu et de corrompre les hommes pour qu’ils cherchent à s’emparer du pouvoir et à s’élever. L’Homme moderne est tombé dans un piège où on lui enseigne à mépriser Dieu. Sommes-nous parfaits ? Bien sûr que non. Mais notre Seigneur et Sauveur l’est, et sans Dieu, notre pays n’a aucune chance.