Un seul citoyen armé a fait en deux minutes ce que cent flics n’ont pas pu faire en une heure : stopper un tueur de masse

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 juillet 2022

Voici un rapport donnant des détails :

L’on a identifié lundi le tireur du Centre commercial de Greenwood Park comme étant Jonathan Sapirman, 20 ans. Il a tiré et tué un couple marié, Pedro Pineda, 56 ans, et Rosa Mirian Rivera de Pineda, 37 ans, ainsi que Victor Gomez, 30 ans, ce dimanche, avant d’être abattu par un bon Samaritain.

Sapirman, de Greenwood, est entré dans le centre d’achat à 16h54 et a continué en entrant dans les toilettes d’une aire de restauration. Il est demeuré dans les toilettes l’espace d’environ une heure avant d’en sortir et de tirer sur la foule. La police croit qu’il a pris aux toilettes le temps d’assembler le fusil Sig Sauer de style AR-15 qu’il a utilisé pour l’attaque.

Il a tiré vingt-quatre balles en deux minutes avant d’être stoppé par un client armé. Sapirman a tué trois personnes et en a blessé deux autres.

Le couple marié était assis et mangeait dans l’aire de restauration quand Sapirman a ouvert le feu. Gomez se tenait juste en dehors des toilettes de l’aire de restauration. Deux autres passants furent blessés par des éclats de tirs, incluant une jeune fille de 12 ans.

Le bon Samaritain qui a tiré et tué Sapirman a été identifié comme étant Elisjsha Dicken, âgé de 22 ans.

La police a loué le geste de Dicken.

« Beaucoup d’autres gens seraient morts ce soir-là, n’eut été d’un citoyen armé responsable, » as dit le Chef de la police de Greenwood, James Ison.

La police a récupéré deux fusils et plus de cent cartouches sur la scène. Sapirman avait également un pistolet Glock sur lui quand il a été abattu.

Pouvez-vous arriver à croire qu’un reportage de nouvelles du grand courant médiatique (au Royaume-Uni, en plus de ça) a qualifié le citoyen armé, qui a sans aucun doute empêché un autre massacre, de « bon Samaritain » ? Wow ! Apparemment, même certains des idiots utiles et décervelés des médias commencent à arriver à comprendre.

Pensez-y. Un seul citoyen armé de 22 ans a pu faire, en Indiana, en moins de deux minutes, ce que plus d’une centaine d’officiers de police professionnels ont été incapables de faire au Texas en plus d’une heure : à savoir, descendre un individu se prenant pour un tueur de masse et sauver la vie d’un grand nombre de personnes innocentes.

Évidemment, ceux de la Gauche qui jouent aux tyrans sont furieux que ce jeune homme ait empêché à lui tout seul une tragédie monstrueuse. Ils préfèrent de loin que les tueurs de masse réussissent à satisfaire leurs désirs diaboliques en tuant un paquet de gens. Sauver des vies ne les intéresse pas ; la seule chose qui les intéresse, c’est de promouvoir avec succès leur programme tyrannique d’accaparement d’armes.

Ce qui les rend encore plus furieux, c’est que des individus des médias qualifient le jeune héros de « bon Samaritain ». Certains d’entre eux ont même le front de condamner le héros pour avoir porté une arme à feu à la lumière d’une politique de la compagnie prohibant les armes dans le centre d’achat. Ouais, le centre d’achat était une autre zone sans armes – quoique la prohibition n’était qu’une politique de la compagnie et non pas une loi gouvernementale. Bien sûr, cela ne semble pas déranger les Nazis du fusil que le tireur fou ait aussi violé la politique du centre d’achat.

Ceux d’entre nous qui avons pour pratique quotidienne de porter une arme savons qu’il ne faut jamais se soumettre à une politique d’entreprise interdisant de porter, à l’intérieur de ces places d’affaire, une arme cachée. Si l’on remarque l’arme et qu’on nous demande de quitter, nous allons partir. Mais tout le monde de ce centre d’achat de l’Indiana – y compris les exécutifs et les employés du centre d’achat – sont sûrement heureux que le héros de 22 ans ait ignoré la politique du centre d’achat et ait pris son arme avec lui.

(Non, je ne porte pas d’arme dans les endroits où cela est défendu par la loi, mais je ne vais dans ces lieux que lorsque je ne peux l’éviter – c’est pourquoi j’ai choisi de vivre dans un État favorable aux armes et où de tels endroits sont limités.)

À date, quiconque n’a pas saisi le message à savoir pourquoi l’Amérique a un Second Amendement protégeant le droit des gens de conserver et de porter des armes est probablement incapable de raisonnement objectif et au-delà de tout espoir de jamais arriver à comprendre. Or, maintenant, la plupart des gens y arrivent et ont déjà acheté des armes à feu défensives et ont commencé à pratiquer, ou ils sont sur le point de le faire.

Et pourquoi les gens choisissent-ils de demeurer dans les villes et dans des États qui nient leur droit naturel à l’autodéfense, cela me dépasse.

Mesdames et messieurs, il n’y a pas d’endroit public sécuritaire. Et plus grande est la densité de gens situés dans un espace confiné, plus grande est l’attraction pour les individus démoniaques qui se prennent pour des tueurs de masse afin de frapper ce lieu – particulièrement si c’est une zone sans arme.

De toute évidence, les salles de concert et de théâtre, les centres d’achats, les grands magasins de détail, les aires piétonnières congestionnées, les écoles, les hôpitaux, les grandes surfaces d’attente, les restaurants bondés et les grosses églises s’avèrent des cibles de choix. Et il n’y a pas à débattre que les gros centres de population (les grandes villes) sont BEAUCOUP plus vulnérables à ce genre de violence de masse que les petites communautés rurales.

Je suggère FORTEMENT aux lecteurs d’avoir au moins les deux armes à feu suivantes en leur possession : 1) un pistolet et 2) un fusil AR-15. (AR signifie Armalite Rifle, c’est-à-dire, un fusil automatique rapide et ultraléger, et NON PAS Assault Rifle, c’est-à-dire, un fusil d’assaut.)

Il n’y a pas une dame en bonne santé, de quelque taille que ce soit, qui ne puisse pas apprendre à tirer confortablement avec un fusil AR-15. Ces fusils sont courts, légers et ne produisent presque pas de recul. Pour la vaste majorité des gens – y compris les femmes et les personnes âgées – il n’y a pas de meilleures défensives. C’est pourquoi l’AR-15 est l’arme la plus populaire en Amérique.

Mais achetez un fusil AR-15 de qualité. Je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis qui peuvent vous aider en vous guidant dans votre processus d’achat. Apprenez ensuite à l’utiliser. Si vous êtes comme la plupart des gens, vous allez apprécier. En réalité, c’est tout à fait agréable.

Puis, vous avez besoin d’une bonne arme de poing. L’arme que je porte tous les jours est un pistolet Glock 19. Les mordus des armes à feu vont argumenter jusqu’à la fin des temps à savoir quelle est la meilleure arme à porter. Vous n’avez pas besoin de vous laisser prendre à tout ça.

Voici le facteur important : Procurez-vous une arme que vous pourrez porter confortablement avec vous tous les jours. Une arme trop grosse ou trop pesante pour que vous la portiez tous les jours n’est PAS pour vous. Achetez une arme que vous pouvez porter avec confort sur vous tous les jours, et une arme avec laquelle vous pouvez bien tirer.

Si l’arme est inconfortable à utiliser au point où vous redoutiez d’actionner la gâchette, les chances sont que vous ne frapperez rien même si vous la déclenchez. Vous avez besoin d’une arme que vous pouvez manipuler avec confort. Votre âge, la taille de votre corps, votre condition physique et la dimension, la force et la dextérité de vos mains et de vos doigts sont plus importants que la taille de votre arme.

La plupart des dames à la frêle stature portent probablement aujourd’hui de petits semi-automatiques de calibre .380 ou de petits révolvers .38 au canon retroussé. Ces deux calibres sont assurément adéquats pour l’autodéfense. D’autres femmes sont capables de porter les plus petits des 9mms. Mais rappelez-vous ceci : la clé de l’autodéfense est d’avoir une arme SUR SOI. Une arme dans la voiture est de peu d’utilité lorsque vous êtes dans le centre d’achat.

Et comprenez bien que ce qui compte le plus dans un combat d’armes, c’est où vous projetez la balle, pas le genre de balle que vous tirez. Voilà pourquoi vous avez besoin d’une arme que vous pouvez bien manipuler.

Encore une fois, je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis familiarisés avec les armes à feu et qui peuvent vous guider au travers de votre démarche d’achat.

Elisjsha Dicken, à 22 ans, a accepté sa responsabilité en tant que citoyen dans une société libre de s’armer légalement, de pratiquer l’utilisation de son arme à feu, et de se préparer psychologiquement et spirituellement à employer son arme pour sa propre défense et celle de ses concitoyens de l’Indiana. Et, à lui tout seul, il sauva la vie d’une douzaine ou d’une vingtaine d’entre eux.

Si Dicken avait attendu qu’arrive la police pour descendre le forcené, qui sait combien de temps il aurait fallu et combien de gens seraient morts – lui compris. Au Texas, il a fallu aux flics plus d’une heure avant de faire quoi que ce soit et vingt-et-une personnes sont mortes – dont dix-neuf petits garçons et petites filles.

Mes amis, la liberté – sans mentionner la sécurité – exige que nous soyons tous des Elisjsha Dicken.

Un seul citoyen armé a fait plus en deux minutes que ce qu’ont fait des flics en plus d’une heure : stopper une tuerie de masse.

Bonjour à tous,
Permettez-moi de faire une mise en garde. À Moisson des Élus, nous ne sommes pas partisans du port d’arme comme l’est M. Chuck Baldwin. Sanstoutefois être contre, cependant, nous croyons qu’il est inutile qu’un véritable chrétien ait besoin de porter sur lui des armes pour se défendre. Notre Défenseur est Dieu Lui-même à qui appartient la Protection et la Vengeance. Nous ne pouvons imaginer l’apôtre Paul ou l’apôtre Pierre, ou encore moins notre Seigneur Jésus-Christ ayant parcouru la Judée avec des armes sur eux et prêts à se  défendre à la moindre attaque. Devant les menaces, ils ne répliquaient pas, ils ne résistaient pas et laissaient Dieu le Père agir pour eux. Je crois personnellement que c’est ce que nous  devons faire, en tant que chrétiens et enfants de Dieu. Montrons notre confiance en Dieu en Lui demandant qu’Il nous entoure de Ses anges et notre protection sera infiniment plus  efficace que toute autre forme d’assurance. Je vous invite à lire ou à relire le Psaume 91 à cet effet.

Psaumes 91 :
1  Celui qui se tient dans la demeure du Souverain, se loge à l’ombre du
Tout-Puissant.
2  Je dirai à l’Eternel : Tu es ma retraite, et ma forteresse, tu es mon Dieu en
qui je m’assure.
3  Certes il te délivrera du filet du chasseur ; et de la mortalité malheureuse.
4  Il te couvrira de ses plumes, et tu auras retraite sous ses ailes ; sa vérité te
servira de rondache et de bouclier.
5  Tu n’auras point peur de ce qui épouvante de nuit, ni de la flèche qui vole
de jour.
6  Ni de la mortalité qui marche dans les ténèbres ; ni de la destruction qui
fait le dégât en plein midi.
7  Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite ; mais la destruction
n’approchera point de toi.
8  Seulement tu contempleras de tes yeux, et tu verras la récompense des
méchants.
9  Car tu es ma retraite, ô Eternel ! tu as établi le Souverain pour ton
domicile.
10  Aucun mal ne te rencontrera, et aucune plaie n’approchera de ta tente.
11  Car il donnera charge de toi à ses Anges, afin qu’ils te gardent en toutes
tes voies.
12  Ils te porteront dans leurs mains, de peur que ton pied ne heurte contre la
pierre.
13  Tu marcheras sur le lion et sur l’aspic, et tu fouleras le lionceau et le
dragon.
14  Puisqu’il m’aime avec affection, dit le Seigneur, je le délivrerai ; je le
mettrai en une haute retraite, parce qu’il connaît mon Nom.
15  Il m’invoquera, et je l’exaucerai ; je serai avec lui dans la détresse, je
l’en retirerai, et le glorifierai.
16  Je le rassasierai de jours, et je lui ferai voir ma délivrance.
Que le Seigneur soit avec vous tous, dans toutes vos entreprises,

Roch Richer




Le traitement envers le professeur Patrick Provost de l’Université Laval inquiète les académiciens du Québec

THE EPOCH TIMES

7 juillet 2022

Deux académiciens de Québec disent être inquiets à propos de la critique et de la censure des professeurs de la province qui questionnent les réactions du gouvernement face à la pandémie, y compris la vaccination des enfants.

Dans un article du média Québécor du 22 juin, Patrick Provost, professeur à temps plein au département de microbiologie et d’immunologie de l’Université Laval, s’est demandé s’il était bien d’imposer des passeports et des mandats vaccinaux, et de « museler les professionnels et les académiciens qui critiquent les mesures de santé ».

Le jour suivant, Québécor a enlevé l’article de sa plateforme.

À la mi-juin, Laval a suspendu Provost pour huit semaines sans salaire pour avoir dit, en décembre 2021, que les risques de la vaccination des enfants contre le COVID-19 outrepassent les bénéfices. L’université a ensuite infligé une suspension aussi longue à un second professeur, Nicolas Derome, de la faculté de science et du département de biologie de l’ingénierie, pour ses propres commentaires concernant la réaction au COVID-19.

Douglas Farrow, professeur de théologie et d’éthique à l’Université. McGill de Montréal, appelle les suspensions de Laval « Un acte politique répressif » dans un article du Substack qu’il a écrit le 30 juin.

« L’Université. Laval a eu recours à la violence professionnelle pour appuyer la narration Covid croulante du Québec, » écrit Farrow. « Comme seconde victime de la violence, il y a le principe de liberté académique. »

Dans une entrevue avec The Epoch Times, Farrow a caractérisé les sanctions comme étant une manifestation parmi d’autres d’un projet plus grand visant à censurer les opinions de la minorité au sujet de la pandémie et des réactions face à celle-ci.

« Il y a une pression majeure exercée pour empêcher le public d’entendre des arguments réfléchis à propos de ces choses-là, et il n’importe pas vraiment que l’argument soit statistique, ou qu’il soit

Patrick Provost, professeur au département de microbiologie et d’immunologie à l’Université Laval, à Québec [Courtoisie de Patrick Provost]

médical ou scientifique, ou encore politique, » dit-il.

« Patrick [Provost] est le genre de personne qui peut s’exécuter sur le front médical scientifique ; il peut également le faire sur le front statistique et il peut le faire sur le front du gros bon sens politique. Mais de toute évidence, ils ne veulent pas que les gens entendent tout cela, et ils ont donc pris action contre lui. »

Une nouvelle loi protégeant la liberté académique

En mars 2020, le gouvernement du Québec a créé un comité sur la liberté académique en réaction aux rapports disant que les professeurs avaient cessé d’enseigner des sujets controversés afin de ne pas offenser des étudiants. En tout, 1 079 professeurs et 992 étudiants ont participé à un sondage dans lequel 60 pourcent des professeurs dirent qu’ils s’étaient engagés à s’autocensurer et 82 pourcent de ces professeurs voulaient que toute restriction soit enlevée quant à ce qu’ils peuvent dire en classe.

Le rapport du comité, soumis en décembre 2021, déterminait que les classes universitaires ne devaient pas être des espaces sécuritaires et qu’elles ne devaient pas exiger d’avertissements à savoir si les classes devaient inclure de la matière offensive. Le gouvernement du Québec a accepté toutes les recommandations du comité dans le Projet de Loi 32 qui a été adopté au début de juin.

Lorsque le projet de loi fut présenté, la Ministre de l’Éducation Supérieure, Danielle McCann, donna un an aux écoles pour s’y plier. Dans un email envoyé à The Epoch Times, McCann a dit que la suspension de Provost démontre la pertinence de la législation.

« Ce genre de situations à l’Université Laval confirme qu’il était nécessaire de légiférer sur cette question, » dit-elle. « La loi met également l’emphase sur le fait que la liberté académique doit être pratiquée en conformité avec les normes de la rigueur scientifique. »

Farrow trouve remarquable que l’université ait entrepris pareille action contre les deux professeurs, Provost et Derome, malgré la loi.

« Ils ont décidé de procéder en dépit de cette nouvelle loi, malgré le gros bon sens, malgré la tradition au sein des universités. Et n’importe quel professeur d’université dans quelque discipline que ce soit et qui voit ce qui arrive … devrait vraiment s’inquiéter de ce que ce genre d’action est jugé acceptable par l’administration d’une université majeure, » dit-il.

« Voilà une façon de dire à toutes les autres universités et aux professeurs : “Ne faites pas ce qu’il a fait, sinon nous allons vous attraper.” »

Quand Epoch Times contacta l’université, Laval dit qu’elle « ne commente pas les situations de ses employés ».

« Effet glacial »

Le syndicat de la faculté de Laval a dit à la fin de juin qu’il avait levé un grief au sujet de la suspension de Provost, ajoutant qu’il était soucieux du fait que les actions de l’université « pourraient avoir un effet glacial sur les autres professeurs qui partagent des points de vue controversés. »

David Robinson, directeur exécutif de l’Association Canadienne des Enseignants d’Université, a dit que les professeurs ne devraient être disciplinés que pour les commentaires qui démontrent de l’incompétence ou qui violent les limites légales du langage, comme les lois sur la diffamation.

Farrow dit croire que les professeurs ont de puissants arguments et qu’une victoire établirait un précédent positif. Toutefois, il s’inquiète de ce que beaucoup de professeurs, d’étudiants et de Canadiens ne se lèvent pas pour parler.

« Si le peuple n’est pas prêt à se lever contre les pratiques, les directives du gouvernement, et éventuellement contre les lois qui limitent leurs libertés de manière inconvenante, alors les tribunaux ne pourront pas sauver Patrick Provost ou n’importe qui d’autre. En ce moment, je crois qu’ils le peuvent encore et j’espère que certains d’entre eux le feront, » dit-il.

« Mais pour moi, en-dessous de tout cela, la question qui me brûle le plus, c’est pourquoi … si peu d’entre eux [les professeurs] se dressent, même lorsqu’un collègue est aussi maltraité … Si la majorité des profs ne se dressent pas, et ne résistent pas dans les universités, je ne sais s’il reste quelque espoir. »

Travis Smith, professeur associé en science politique à l’Université Concordia à Montréal, exprima de fortes inquiétudes vis-à-vis le traitement des érudits.

« Je suis sous le choc. C’est ahurissant et épouvantable, » a dit Smith dans une entrevue.

« Les érudits devraient être complètement libres de poser n’importe laquelle de ces questions et les poursuivre là où leurs pensées et leurs découvertes les mènent. L’idée que, non seulement les médias les censurent, mais aussi que les institutions académiques appliquent des punitions contre leur faculté permanente et à temps plein pour avoir posé ces questions – cela m’apparait tout à fait stupéfiant, je suis dans tous mes états. »

« Et voilà où on en est au Canada, » ajoute-t-il. « Ce n’est pas le Canada que je connais et que j’aime. Ce n’est pas le genre de comportement auquel je m’attends des universités d’un pays comme le nôtre. »

Smith dit que les professeurs s’engagent souvent dans l’autocensure parce qu’eux et leurs institutions sont de plus en plus redevables envers les intérêts corporatifs au fur et à mesure qu’ils courent après les dollars en recherche. Il dit que les érudits qui ne posent pas de questions ne font pas leur travail, non plus que les médias qui ne permettent pas que l’on pose ces questions.

« Je suis sous le choc parce que cela ne devrait pas arriver. On parle de quelque chose de profondément inquiétant qui survient dans les médias du pays, c’est relié à toutes sortes d’inquiétudes que nous avons à propos des médias qui sont subventionnés par le gouvernement et qui parlent à l’unisson et d’une seule voix à travers le pays, » dit Smith.

« Ils permettent certains dissidents, et ils réalisent rapidement qu’ils ne devraient permettre aucune dissidence. Et ce n’est pas du bon journalisme. Ce n’est pas le genre de journalisme sur lequel nous comptons dans un pays libre. »

Noé Chartier et la Presse Canadienne ont contribué à ce rapport.




« VOILÀ la Liberté ! »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

7 juillet 2022

C’est vraiment peu dire que d’affirmer que l’Amérique ÉTAIT « la terre de la liberté et le foyer du brave ». Dans son ensemble, non seulement l’Amérique ne ressemble-t-elle pas à la terre libre qu’elle était jadis, mais elle a même perdu la capacité cognitive de comprendre ce à quoi une terre libre peut ressembler.

Le titre de cet article est le même que celui de mon message du Jour de l’Indépendance de dimanche dernier. Cet article y tire certains éléments.

Dans mon message, je passe en revue les principes spirituels bibliques et les principes constitutionnels américains qui contribuent à définir la Liberté.

Par exemple :

  1. La liberté de dire la vérité

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de rendre culte sans entrave

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de s’assembler paisiblement, de protester et de redresser le gouvernement

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de conserver et de porter des armes pour son autodéfense

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté que l’on nous laisse tranquille dans nos associations et nos opinions

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté d’être en sécurité dans nos foyers et dans nos effectifs

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de notre intimité personnelle

VOILÀ la Liberté

Ce ne sont pas simplement des droits civils octroyés par décret gouvernemental : ce sont des Droits Naturels dont nous a dotés notre Créateur.

Notre Guerre Révolutionnaire fut une Guerre Juste combattue pour la défense des principes sacrés qui sont énumérés dans notre Déclaration d’Indépendance :

  • Le principe d’indépendance sous Dieu
  • Le principe que tous les hommes sont créés égaux sous les lois et les privilèges de Dieu
  • Le principe que la vie, la liberté et l’auto-gouvernance sont des dons de Dieu
  • Le principe qu’un gouvernement et une autorité juste découlent du consentement du peuple
  • Le principe de l’autodéfense vis-à-vis les menaces à l’encontre de notre vie et de notre liberté
  • Le principe que la résistance contre les conspirations tyranniques est un droit et un devoir moral
  • Le principe que la mort et la tuerie ne sont honorables que dans l’application et l’exécution d’une loi juste, de l’autodéfense et des droits et des devoirs naturels des hommes sous l’autorité morale de leur Créateur
  • Le principe voulant que, lorsque l’on nie la source de nos libertés (Dieu), Son autorité propre et Sa souveraineté (par le rejet de la Loi naturelle et révélée), le fondement de nos libertés est détruit

La Déclaration débute ainsi :

Lorsque, dans le cours des événements humains, il devient nécessaire à un peuple de dissoudre le cercle politique qui les relie les uns aux autres, et d’assumer parmi les pouvoirs de la terre, la position égale et séparée vers laquelle l’habilitent les Lois de la Nature et le Dieu de la Nature, un décent respect des opinions de l’humanité requiert qu’il déclare les causes qui le poussent à la séparation.

Nous tenons ces vérités comme évidentes par elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que, parmi eux, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. — Que, pour sécuriser ces droits, des Gouvernements sont institués chez les hommes, tenant leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés, — Que, lorsque qu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.

La prudence dictera, en effet, que les Gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des raisons légères et éphémères ; et, de la même manière, l’expérience a démontré que l’humanité est plus disposée à souffrir, quand les maux sont supportables, que de se donner droit en abolissant les formes auxquelles elle est habituée. Mais lorsqu’un long train d’abus et d’usurpations, poursuivant invariablement un même Objectif, manifeste un plan pour la réduire sous un Despotisme absolu, c’est son droit, c’est son devoir, de se libérer d’un pareil Gouvernement et de pourvoir à de nouveaux Gardiens pour sa sécurité future. — Telle a été la patiente souffrance de ces Colonies ; et telle est maintenant la nécessité qui les contraint d’altérer leurs anciens Systèmes de Gouvernement.

L’histoire du présent Roi d’Angleterre en est une qui répète les préjudices et les usurpations ayant tous pour objectif direct l’établissement d’une Tyrannie absolue sur ces États. Afin de le prouver, soumettons les Faits à un monde sincère.

La Déclaration se termine ainsi :

Par conséquent, nous, les Représentants des États unis d’Amérique, en Congrès Général, Assemblés, faisant appel au Juge Suprême du monde concernant la rectitude de nos intentions, publions solennellement, au Nom et de par l’Autorité du bon Peuple de ces Colonies, et déclarons, Que ces Colonies unies sont, et doivent être par Droit, des États Libres et Indépendants, qu’elles sont absoutes de l’Allégeance à la Couronne Britannique, et que tout lien politique entres elles et l’État de la Grande-Bretagne est, et doit être, totalement dissous ; et qu’en tant qu’États libres et indépendants, elles ont plein Pouvoir de faire la Guerre, conclure la Paix, contracter des Alliances, établir le Commerce, et de faire tout Acte et toute Chose que les États indépendants ont le droit de faire. — Et en support à cette Déclaration, avec la ferme confiance en la Divine Providence, nous engageons mutuellement nos Vies, nos Fortunes et notre Honneur sacré les uns envers les autres.

En vérité, les signataires de la Déclaration d’Indépendance de l’Amérique ont enduré le sacrifice du tribut et du sang. Le père de Rush Limbaugh, Rush H. Limbaugh Jr, a écrit de manière éloquente :

Des 56 qui signèrent la Déclaration d’Indépendance, neuf moururent de leurs blessures ou de leurs épreuves durant la guerre. Cinq furent capturés et emprisonnés, dans chaque cas avec un traitement brutal. Plusieurs perdirent leur femme, des enfants ou toute la famille. L’un perdit ses treize enfants. Deux femmes furent brutalement traitées. Tous furent, à un moment donné ou l’autre, victimes de chasses à l’homme et évincés de leurs foyers. Douze des signataires virent brûler complètement leur maison. Dix-sept perdirent tout ce qu’ils possédaient. Pourtant, personne ne fit défection ou ne revint sur sa parole engagée. Leur honneur, ainsi que la nation qu’ils créèrent avec tant de sacrifice, demeurent intacts.

John Adams et Thomas Jefferson moururent tous les deux le 4 juillet 1826 – cinquante ans après le jour de la Déclaration – ce que l’on doit considérer comme un point d’exclamation de Dieu de Son approbation envers leurs efforts altruistes, car ils furent les deux hommes principalement responsables d’avoir suscité la Déclaration. Daniel Webster fit les éloges des deux hommes le 2 août. Dans ses remarques en ce jour-là, les mots suivants sont à noter : « Elle [la Déclaration d’Indépendance] est le sentiment que je ressens et, par la bénédiction de Dieu, ce sera mon sentiment à ma mort. L’indépendance aujourd’hui, et l’indépendance pour toujours. »

Avec tous les dénigrements et la diabolisation des Pères Fondateurs de la part de la Gauche comme de la Droite, ces jours-ci, je crois pertinent que nous nous rappelions les mots de notre SEIGNEUR, qui a dit : « Vous les connaîtrez donc à leurs fruits » (Matthieu 7:20).

Nous pouvons savoir le genre de chênes géants qu’étaient nos Pères Fondateurs par les fruits de Liberté qu’ils ont produit.

S’il vous plaît, souvenez-vous qu’il fut un temps où les peuples opprimés de par le monde parlaient avec envie de l’Amérique en disant : « VOILÀ la Liberté ! »

Mais CETTE Amérique-là est partie depuis longtemps.

Aujourd’hui, le monde est choqué d’angoisse de voir comment « l’Amérique : terre de la liberté » est devenue aussi rapidement « l’Amérique : la terre de la guerre et de l’oppression ». Mais le nom d’un pays importe peu. Ce qui compte, ce sont les libertés protégées par ce pays. Comme l’a écrit Jefferson dans la Déclaration :

Lorsqu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.

Que Dieu, dans Sa bienveillante miséricorde, accorde à une nouvelle génération de patriotes américains l’honneur de rétablir les principes ci-mentionnés de constitutionnalisme et de liberté dans cette patrie – quelque soit son nom – vers laquelle les gens opprimés de par le monde jetteront un regard avec une nouvelle lueur d’espoir dans les yeux et diront une fois encore : « VOILÀ la Liberté ! »




Nous devons faire quelque chose…

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2022

Par Jerry Barrett

Aurons-nous jamais des yeux pour voir ?

« Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux. Car ces sortes de gens ne servent point notre Seigneur Jésus-Christ, mais leur propre ventre, et par de douces paroles et des flatteries ils séduisent les cœurs des simples. Car votre obéissance est venue à la connaissance de tous. Je me réjouis donc de vous ; mais je désire que vous soyez prudents quant au bien, et simples quant au mal. »

Romains 16:17-19

« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance. »

Jean 10:7-10

Il y a un dicton fort approprié pour ces jours-ci : « On a fermé les portes de la grange après que les chevaux se soient échappés. » Comme la Boîte de Pandore, nos fonctionnaires élus annoncent à grands cris que nous avons besoin d’un plus grand contrôle des armes. Malheureusement, pour ceux d’entre nous qui obéissons aux lois, il s’agit encore d’un empiètement sur nos droits et nos libertés.

Le Second Amendement déclare : « Le droit du peuple de garder et de porter des armes ne sera pas enfreint. » « Ne sera pas enfreint » est l’expression que des réitérations précédentes de notre Cour Suprême ont citée contre les lois sur les armes. Nous devons alors nous demander si ce groupe de juges va reconnaître nos droits, ou si les clameurs des accapareurs vont avoir préséance.

C’est un narratif sans fin que les socialistes progressifs poussent de l’avant au Congrès (et à la Maison Blanche) et que répètent les médias contrôlés. Les exigences de ces victimes d’opérations psychologiques (psyops), se rapportant aux récentes séries de fusillades de masse dans notre pays, ont aussi sauté dans le wagon des accapareurs d’armes.

Rahm Emmanuel, faisant écho à son mentor Saul Alinsky, a déclaré : « Ne jamais laisser une bonne crise se gaspiller. » Par le nombre de photos et de vidéos utilisés par les médias, l’on constate

Rahm Emmanuel et le Vice-président d’alors, Joe Biden, rient ensemble – probablement à nos dépens.

que cette crise s’est vue bénie du nombre de ceux qui soutiennent cet effort pour ôter les armes des mains des citoyens.

Une partie du Plan ?

Pourquoi le nombre des fusillades de masse a-t-il augmenté dans les derniers quelques mois ? Les membres de l’élite de l’État Profond sont-ils à fomenter un plan d’action ? Le FBI a-t-il été coopté par les politicards qui souhaitent créer le Nouvel Ordre Mondial ?

À chaque jour qui passe, il y a de plus en plus d’information disponible pour ceux qui cherchent la vérité. Rappelez-vous que ce sont ces mêmes personnes qui proclamaient que le soi-disant vaccin Covid-19 allait créer l’immunité collective et protéger tout le monde de ce virus mortel ; qui clamaient que la Russie envahissait le petit pays de l’Ukraine et infligeait d’horribles crimes de guerre aux citoyens de cette nation ; ce sont les mêmes gens qui criaient sur les toits que le Président Trump était en collusion avec les Russes et que le portable d’Hunter Biden était une campagne de désinformation de la part de Vladimir Poutine.

Qui se rappelle du prétendu complot d’enlèvement contre le Gouverneur du Michigan, Gretchen Whitmer ? Êtes-vous au courant que le FBI a joué sa part dans la planification de cet attentat bâclé ? N’est-ce pas aussi le FBI qui fut impliqué dans le canular Trump/Russie ? Maintenant, vous êtes peut-être en mesure de mettre les pièces du casse-tête en place.

Événements sous faux drapeau

Quand Joe Biden fit campagne pour la présidence, un des éléments de sa plateforme a été d’abolir l’Association Nationale des Armes à Feu, de même que votre droit individuel de posséder une arme à feu. Après un grand nombre de fusillades de masse fortement publicisées à travers le pays, son régime et ses acolytes crurent qu’un changement séismique de l’opinion publique permettrait que ce complot porte ses fruits.

Je ne contesterai pas le fait que beaucoup d’enfants soient morts dans la fusillade scolaire d’Uvalde. Comme je ne remettrai pas en question le fait que de nombreuses personnes aient été abattues dans une épicerie de Buffalo. Cependant, je suis curieux – après avoir lu bon nombre de rapports dans les médias alternatifs – à propos de l’implication alléguée de fonctionnaires (actifs ou retirés) de mise en application des lois fédérales qui ont eu auparavant des conversations avec ces deux tireurs.

La manière la plus sûre de créer un soutien acharné pour le contrôle des armes, c’est de massacrer des bébés innocents et des personnes âgées. Cela fait vibrer fortement nos cordes sensibles. Nos émotions commencent à l’emporter sur notre esprit analytique.

Escalade des crimes et de la violence

Comme je l’écrivais dans ma lettre du mois dernier, Le Far West était-il si sauvage ?, une grande vague de crimes s’est répandue dans notre pays. Les procureurs de district soutenus par George Soros ont réécrit les lignes directrices des fondés de pouvoir, toutes dans le but d’assurer aux criminels des peines d’emprisonnement minimales ou pas d’emprisonnement du tout. Les législateurs de New York et de la Californie sont allés extrêmement loin pour créer une porte tournante avec des programmes de cautions sans argent.

Les membres de la communauté noire sont la cible depuis des années d’un maintien de l’ordre injuste. Toutes ces nouvelles lignes directrices visent à créer « l’équité ». Ces « sauveurs des opprimés » ont choisi de donner aux criminels de carrière une porte de sortie. Gardez en tête que les conseils de ville d’extrême gauche à travers le pays ont définancé de nombreux départements de police. Vérifiez les statistiques de crimes à Seattle et à Minneapolis pour voir jusqu’à quel point cette brillante idée a bien fonctionné. Les citoyens obéissant aux lois et vivant dans ces villes sont plantés là.

Qu’en est-il des bonnes gens avec des armes à feu ?

Les médias contrôlés ne permettront pas que change le narratif. Les nouvelles nationales refusent de rapporter les cas où des propriétaires de fusils qui obéissent aux lois ont sauvé d’innombrables vies en se mettant en brèche quand des criminels effrontés ont attaqué. Les nouvelles locales partagent peut-être ces récits, mais ceux-ci seront rapidement remplacés par d’autres items qui « valent les manchettes ». En avez-vous entendu parler ?

  • En Virginie occidentale, un criminel reconnu, illégalement en possession d’un AR-15, a tiré plusieurs balles en direction d’un party de graduation et d’anniversaire. Heureusement, personne n’a été blessé, sauf l’homme qui a tenté cette fusillade de masse. Une femme qui assistait à la fête a tiré calmement un pistolet et a sauvé plusieurs vies.
  • Dans le Comté de Dekalb, en Géorgie, un criminel est entré dans un restaurant en portant un masque et en brandissant un fusil dans une tentative de vol. Il ordonna à tous les clients de se coucher sur le sol, mais un des clients avait un permis de port d’arme dissimulée. Après un échange de tirs, le criminel a été mortellement touché. Il n’y a pas eu d’autres blessés.
  • À Waco, au Texas, un mâle poignardait activement une femme quand un Bon Samaritain fit feu de son arme pour la défendre, frappant son assaillant.

Ce n’est qu’un échantillon des récits disponibles aux chercheurs de vérité, mais vous ne pouvez compter sur les grands mass-médias pour les transmettre. Un résident de Buffalo a été interviewé par Fox News après la fusillade de masse dans une épicerie et il a fait une observation très intéressante, encore que l’on ne l’ait pas diffusé très longtemps.

Cet homme a déclaré : « C’est ridicule. Ça doit changer. De bas en haut, parce qu’ils ne font rien, nous devons faire quelque chose… Si plus de gens étaient armés, et savaient quoi faire avec une arme, parce que ce n’est une question d’arme, mais de la personne derrière l’arme. »

Pas étonnant que cette entrevue n’ait pas été diffusée largement partout. Cela va contre le narratif que les accapareurs d’armes veulent pousser de l’avant. Néanmoins, la déclaration de ce gentleman frappait dans le mille.

« Ça doit changer … Si plus de gens étaient armés et savaient quoi faire avec une arme, parce que ce n’est pas une question d’arme, mais de la personne derrière l’arme. »

Quel est le nœud du problème ?

Depuis la fusillade à Uvalde, au Texas, il y a eu des centaines d’autres incidents impliquant des armes. Trente-trois sont qualifiées de fusillades de masse. Le facteur causal le plus important est l’absence de Dieu dans la vie de ces auteurs de crime.

L’âge moyen des tireurs de masse est de 18 ans en Amérique. Ces garçons ont été élevés en prédominance dans des foyers sans père et sans notre Père. Les politiques d’extrême gauche ont encouragé les deux ! Lorsque le côté le plus sombre de la nature humaine est favorisé, ce genre de mal se répand.

Dans Matthieu 22:39, Jésus a dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Nous avons reçu comme mission d’aller de par le monde et partager Son message. Être Son représentant est une bénédiction énorme. Faite partie de la solution.

***

Par Michelle Hallmark Powell

RACISME

Les Écritures nous disent que Dieu a créé les êtres humains à Son image. Il n’y a pas d’exception. Puisque nous sommes tous faits à Son image, nous sommes tous uniques et précieux à Ses yeux. Il n’y a aucune démonstration de hiérarchie d’êtres humains dans les Écritures. Jésus est venu pour que nous soyons tous sauvés.

L’on définit le racisme comme étant un préjudice, de la discrimination ou de l’antagonisme dirigé contre quelqu’un de race différente en se basant sur la croyance que votre propre race est supérieure. Il en résulte de la haine, de la crainte et un traitement inhumain envers quelqu’un à cause de la nation de laquelle il provient ou de la couleur de sa peau.

Dieu a créé l’humanité à Son image, mais la Bible enseigne qu’il y a beaucoup de nations et d’ethnicités. Dieu n’a jamais fait de distinction entre elles. Toutes, elles faisaient partie de la race humaine de Dieu. Leur couleur, leur provenance ou leur religion et leurs croyances importaient peu.

Au fil de la Bible, Dieu parle d’Arabes, d’Égyptiens, de Grecs, de Romains et d’Israélites.

Dieu a toujours ouvert les bras au monde entier. Dans la vie et la mort de Jésus, nous apprenons l’amour, la compassion et la miséricorde de Dieu montrés à tous les peuples. Dieu a envoyé Jésus afin de mourir pour tout le monde (Jean 3:16) et Il a enseigné aux disciples d’aller dans toutes les nations et de partager l’Évangile afin que chaque nation et chaque génération ait l’opportunité d’obtenir la vie éternelle.

« Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ » (Galates 3:28).

Évolution

La racine du racisme est fondamentalement ancrée dans la croyance en « l’évolution ». Sans l’évolution, le racisme ne peut exister. L’idée que certaines races soient supérieures et d’autres inférieures ne se maintient uniquement que par le concept que certaines races sont plus évoluées et avancées que les autres races.

Voici un exemple de ce que l’on trouve sur Wikipédia concernant le racisme :

« On l’appelle parfois le racisme académique, des théories dont on avait besoin pour vaincre la résistance de l’Église aux comptes-rendus positivistes de l’histoire et son soutien au monogénisme. L’on devait se débarrasser de la théorie que tous les êtres humains proviennent des mêmes ancêtres (Adam et Ève – 1 Timothée 2:13).

Selon la Bible, nous savons tous que Dieu a créé Adam à partir de la poussière de la terre et a insufflé dans ses narines le souffle de vie (Genèse 2:7). Et le Seigneur Dieu dit : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui » (Genèse 2:18).

À l’origine, l’Église s’opposa à l’évolution à cause du récit biblique de la Création. La Bible ne discute pas réellement de racisme. Celui-ci ne peut pas exister, car la Bible enseigne qu’il n’y a qu’une seule race…la race humaine.

La Bible traite du Péché, pas du racisme. Le racisme est une conséquence du péché. Le péché existe et le monde essaie de le remplacer par le racisme, lequel est de l’orgueil, de l’arrogance, une vision trop élevée de soi-même, etc.

« Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les leur aussi de même, car c’est là la Loi et les Prophètes » (Matthieu 7:12).

Le racisme abonde partout

Presqu’à chaque mois, il arrive un terrible incident où plusieurs personnes sont tuées. On met toujours le blâme sur le racisme. On a lavé le cerveau de quelqu’un pour qu’il soit antisémite, ce qui est la même chose que d’être raciste. L’agenda politique dans son entier insiste pour que chaque incident qui arrive soit dû au racisme. Et franchement, ils tentent de le relier à leurs buts et leurs plans racistes. Au fil du temps, nous avons vu le fatras anti-blancs croître pendant des années, et les noirs comme les blancs commencent à en avoir marre.

Tout a réellement rapport à Jésus !

« Mais rejetez maintenant toutes ces choses, la colère, l’animosité, la médisance ; et qu’aucune parole déshonnête ne sorte de votre bouche. Ne mentez point l’un à l’autre ayant dépouillé le vieil homme avec ses actions, et ayant revêtu le nouvel homme, qui se renouvelle en connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé. En qui il n’y a ni Grec, ni Juif, ni Circoncision, ni Prépuce, ni Barbare, ni Scythe, ni esclave, ni libre ; mais Christ y est tout, et en tous. Soyez donc, comme étant des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtus des entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, d’esprit patient ; vous supportant les uns les autres, et vous pardonnant les uns aux autres ; et si l’un a querelle contre l’autre, comme Christ vous a pardonné, vous aussi faites-en de même. Et outre tout cela, soyez revêtus de la charité, qui est le lien de la perfection » (Colossiens 3:8-14).




Les deux plus grandes menaces contre nos Libertés

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

30 juin 2022

Non ! La Russie n’est pas une des deux plus grandes menaces contre nos libertés. En fait, la menace russe n’est pas dans les dix premiers – ni même les vingt premiers. Si cela se trouve, la manière que le Parti Guerrier de Washington, D.C., et d’autres capitales occidentales exacerbent et étendent le conflit en Ukraine, ce sont eux que nous devons remercier pour le risque d’un conflit global.

Les deux plus graves menaces contre nos libertés sont aujourd’hui 1) la Tyrannie Covid, et 2) les lois Red Flag de confiscation d’armes à feu.

Les attaques les plus sérieuses contre nos libertés proviennent TOUJOURS de l’intérieur de notre gouvernement.

J’ai parlé et j’ai écrit en long et en large de ce qui a trait à la tyrannie Covid. Cette fois-ci, je me consacre aux lois Red Flag en plein essor sur la confiscation de nos armes à feu.

Alors que la Cour Suprême américaine a rendu la semaine dernière deux décisions louables – et constitutionnellement puissantes – annulant Roe vs Wade et affirmant le droit absolu du peuple à conserver et porter des armes en annulant la loi tyrannique de contrôle des armes à feu de l’État de New York interdisant aux New Yorkais de porter des armes, le Sénat américain, grâce à l’aide de 15 républicains néoconservateurs, adopta le projet de loi le plus draconien des dernières décennies sur le contrôle des armes : un projet de loi qui, en effet, crée une loi Red Flag nationale sur la confiscation des armes.

Non seulement le projet de loi empiète-t-il sur la liberté des jeunes de 18 à 20 ans d’acheter et de posséder des armes sans une restriction gouvernementale excessive, mais il fournit des millions de dollars des payeurs de taxes pour ACHETER les états afin qu’ils promulguent les lois Red Flag.

Ne vous y trompez pas : c’est un contrôle d’armes déguisé du genre le plus vil.

Cette loi permet au personnel policier de faire irruption dans votre maison et de saisir vos armes à feu sans que vous soyez accusé de crime, sans que vous menaciez de commettre un crime, sans que vous ayez commis un crime, sans enquête à savoir pourquoi l’on vous confisque vos armes, sans représentation légale et sans procès.

Tout ce dont on a besoin pour précipiter la confiscation des armes de quelqu’un, c’est une ACCUSATION. Une ACCUSATION non vérifiée, non prouvée, non confirmée, par presque quiconque ne vous aime pas – ou n’aime pas vos fusils. Et une fois que vos armes sont saisies par l’État, vous aurez plus de chances de gagner à la loterie que de revoir vos armes. Et si elles vous reviennent, ne vous attendez pas à ce qu’elles soient dans la même condition ou dans le même état de marche qu’elles étaient avant que des agents du gouvernement ne vous les volent.

Comprenez, s’il vous plaît, que ce dont il est question dans cette loi, c’est BIEN PLUS que les armes. Cette loi empiète sur la Charte des Droits. Il est question d’un procès équitable. Cela concerne le droit au conseil légal. Cela concerne l’homme qui est innocent tant qu’on n’a pas prouvé sa culpabilité. Ce projet de loi attaque le cœur même de la Liberté et de la Jurisprudence américaines et c’est le début d’une société orwellienne à pré-crime où un homme est présumé coupable jusqu’à ce que l’on prouve qu’il est innocent.

Et n’oubliez jamais que, puisque cette loi autorise la police à faire irruption chez les gens innocents et à confisquer leurs armes, le critère déterminant un pareil raid est totalement sujet à la discrétion des autorités locales qui donnent leur aval au raid.

Cela veut dire que le critère peut être n’importe quoi. Ce pourrait être un genre de « pointage » de média sociaux pour avoir exprimé des idées politiquement incorrectes ; ce pourrait être votre association avec un groupement ou une organisation impopulaire ; ce pourrait être les penchants personnels anti-arme de juges ou d’officiers de police locaux ; ce pourrait être des vendettas personnelles ou politiques.

Prenez le cas de Gary Willis, un homme dans la soixantaine du Comté Anne Arundel, au Maryland, qui fut accusé d’être instable par un membre de sa famille. Cela incita à envoyer la police confisquer ses armes à feu en vertu d’une loi Red Flag – malgré le fait que l’homme n’avait commis aucun crime, qu’il n’avait menacé personne et n’avait jamais été accusé d’un crime et, au dire de tous, ne représentait un danger pour personne – et quand cet homme résista au fait que l’on saisisse ses armes (sans intention de blesser un officier) la police tira sur lui à cinq reprises et le tua.

Si Gary Willis avait tort de résister au raid tyrannique contre son foyer par des autorités visant à saisir ses armes à feu, alors aussi les hommes de Lexington Green.

Et les flics assassins ne furent évidemment pas accusés de crime et ne furent même pas réprimandés.

Voici les quinze sénateurs républicains communistes ayant donné licence aux flics inspirés par la Gestapo de surgir dans vos maisons et de saisir vos armes sans que vous n’ayez rien fait de mal :

  1. Mitch McConnell du Kentucky, leader de la minorité au Sénat
  2. Roy Blunt du Missouri (qui se retirera à la fin de son terme)
  3. Richard Burr de la Caroline du Nord (qui se retirera à la fin de son terme)
  4. Shelley Moore Capito de la Virginie occidentale
  5. Bill Cassidy de la Louisiane
  6. Susan Collins du Maine
  7. John Cornyn du Texas
  8. Joni Ernst de l’Iowa
  9. Lindsey Graham de la Caroline du Sud
  10. Lisa Murkowsky de l’Alaska (en lice pour sa réelction en novembre)
  11. Rob Portman de l’Ohio (qui se retirera à la fin de son terme)
  12. Mitt Romney de l’Utah
  13. Thom Tillis de la Caroline du Nord
  14. Pat Toomey de la Pennsylvanie (qui se retirera à la fin de son terme)
  15. Todd Young de l’Indiana (en lice pour sa réélection en novembre)

Voici les 19 états qui ont djà adopté les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu, en partie grâce à l’endossement enthousiaste du Président Donald Trump pour ces lois tyranniques :

Californie, Colorado, Connecticut, Delaware, Floride, Hawaï, Illinois, Indiana, Maryland, Massachusetts, Nevada, New Jersey, Nouveau-Mexique, New York, Oregon, Rhode Island, Vermont, Virginie et Washington.

Or, l’on va acheter le reste des états grâce aux millions de dollars des Washington, D.C., pour qu’ils promulguent leurs propres lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Tous les citoyens qui aiment la liberté et qui demeurent dans les 31 états qui n’ont pas encore adopté les lois Red Flag doivent faire savoir à leurs législateurs, leurs sénateurs et leurs gouverneurs du GOP, en termes sans équivoque, qu’ils ne TOLÉRERONT AUCUNE tentative de faire passer dans leur État une loi Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Si nous avons à défendre notre liberté UNE MAISON À LA FOIS, nos politiciens – en particulier le personnel local de mise en vigueur de la loi – doivent savoir que c’est exactement ce que nous allons faire.

Et si votre sénateur du GOP – ou, dans le cas de la Caroline du Nord, les deux sénateurs – se trouve dans la liste ci-haut de ceux qui ont voté pour ce projet de loi tyrannique, vous devez avoir comme partie de votre mission de vous assurer que ce sénateur ne soit jamais réélu à un poste politique.

Voici une vidéo YouTube de sept minutes concernant mon évaluation et mon avertissement contre ce projet de loi monstrueusement tyrannique sur la confiscation des armes à feu. S’il vous plaît, partagez cette vidéo avec le plus de gens possible. Pendant que les conservateurs sont occupés à se réjouir de la décision Roe, ils sont pour la plupart inconscients du danger de ce nouveau projet de loi de confiscation des armes adopté par le Sénat et bientôt signé comme loi par Joe Biden.

À quoi bon une loi qui « protège » votre droit de posséder et de porter des armes si le gouvernement peut les confisquer – même si vous n’avez rien fait de mal – n’importe quand il est sournoisement enclin à le faire ?

Je vous le dis : avec la tyrannie Covid (qui est encore très active), cette loi Red Flag nationale de confiscation des armes à feu est une des menaces les plus graves contre nos libertés – de tout notre vivant !

 




Israël planifie-t-il de se relocaliser en Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

23 juin 2022

Dans ma rubrique du 7 avril, j’ai cité le Président Volodymyr Zelensky qui avait dit que, quand la guerre serait terminée en Ukraine, celle-ci serait un « gros Israël ». Évidemment, Zelensky est lui-même juif ashkénaze et l’Ukraine est la patrie originale de ceux qui sont devenus des Juifs ashkénazes.

Se pourrait-il qu’un des motifs cachés derrière la guerre en Ukraine soit la relocalisation éventuelle d’Israël de la Palestine vers l’Ukraine ?

« Absurde ! » direz-vous. Peut-être bien. Peut-être pas.

Jusqu’ici, j’ai déjà perdu 80 % des évangéliques américains qui se sont fait laver le cerveau par les doctrines pseudo-prophétiques de Cyrus Scofield et qui croient que l’état d’Israël apparu en 1948 est un accomplissement de la prophétie biblique et est un – non, LE – signe prophétique central de la Seconde Venue de Christ.

Et la vaste majorité des conservateurs politiques se sont fait laver le cerveau à croire qu’Israël est le « plus grand allié » de l’Amérique au Proche-Orient et qu’on doit le soutenir au moyen de nos dollars américains et le protéger par le sang des Américains – à tout prix.

Les évangéliques comme les conservateurs politiques sont totalement aveugles quant au rôle majeur que l’Israël sioniste joue dans l’ensemble des machinations et des agendas globalistes. Cet aveuglement est la source d’une grave dissonance cognitive à l’intérieur de leur esprit.

Ils feront n’importe quoi pour soutenir et défendre l’État sioniste d’Israël, ne réalisant pas qu’Israël est un des pires ennemis que l’Amérique – et la Liberté – ait jamais eu et qu’il a fait plus pour détruire notre culture et notre héritage chrétien, notre stabilité économique et nos libertés constitutionnelles, que n’importe quel autre pays sur terre.

Par conséquent, ce que je m’apprête à vous dire à partir d’ici sera largement ignoré et dénigré par les évangéliques chrétiens et les conservateurs politiques.

Qu’il en soit ainsi.

Ce que j’écris aujourd’hui est bien plus qu’une simple fantaisie. C’est une idée dont on discute sérieusement au sein des groupes de réflexion géopolitiques.

Je vais citer ceci d’une analyse gouvernementale :

Appelez cela une théorie de la conspiration si vous voulez, mais j’ai lu à plus d’un endroit que l’agenda caché des États-Unis en Ukraine est de créer une nouvelle patrie pour le peuple d’Israël qui veut y migrer dans le but de sortir de ce qui est de plus en plus un état en faillite se dirigeant vers son écroulement.

Il est facile de ridiculiser cette théorie, mais je crois qu’on y trouve quelque chose à considérer.

(Prenez note de l’écroulement actuel du quatrième gouvernement d’Israël en seulement trois ans.)

Israël ressemble de plus en plus à un état qui a échoué. Il consiste en une poignée de gens juifs – moins de neuf millions – s’accrochant à une parcelle sèche et inhospitalière de roches et de sable sur la côte est de la Méditerranée, où ils sont isolés au milieu d’un vaste océan humain de populations et de culture musulmanes [et chrétiennes].

Je ne dis pas cela en tant que personne antisémite ou opposée à Israël. Je ne suis contre personne et ne m’oppose à aucun peuple, aucun groupe ethnique ou aucun pays. En fait, j’éprouve beaucoup de sympathie pour quiconque est pris dans les absurdités et la violence de la vie dans le monde d’aujourd’hui.

Mais soyons réaliste. Regardez la condition présente d’Israël. Mais avant, remontons un peu dans le temps. Il est communément accepté de croire que les Britanniques ont originalement acquiescé à la désignation de la Palestine comme patrie future du peuple juif en tentant d’établir une tête de pont pro-occidentale dans une région riche en minerai. Avançons rapidement de près d’un siècle à la Guerre contre le Terrorisme des États-Unis, qui a été un échec lamentable. Cette campagne était de toute évidence destinée à diriger une ingérence pour Israël dans son émergence en tant que pouvoir directeur régional au sein du Proche-Orient, ou même peut-être un pouvoir mondial.

Voyez le nombre de pays que la Guerre contre le Terrorisme était supposé renverser. Selon le général américain Wesley Clark, héros américain du bombardement de la Serbie à la fin des années 1990, l’inventaire des pays à assujettir par un changement de régime pro-américain devait comprendre, avec l’Afghanistan déjà occupée, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran.

Or, la Guerre contre le Terrorisme a été en grande partie abandonnée après un gaspillage de plus de vingt ans au coût d’innombrables trillions de dollars. Bien que les États-Unis aient écrasé et humilié l’Irak, ce pays est revenu au point de légiférer un ban complet, jusqu’à la peine de mort, de toutes normalisations des relations avec Israël. Le Liban est un désastre économique, mais il est en grande partie contrôlé par l’ennemi par excellence d’Israël, le Hezbollah. L’Iran demeure indépendant et défiant, malgré les menaces et les sanctions américaines.

Les États-Unis ont tenté d’utiliser des cadres terroristes analogues à Al-Qaeda pour détruire et renverser la Syrie, mais la Russie a envoyé des forces pour l’en empêcher, et la Syrie a pu rejoindre la Ligue Arabe. Et l’échec d’Israël à faire la paix avec les Palestiniens en a fait un paria international. Plus encore, après des années d’occupation, les colonies israéliennes en Cisjordanie sont des îlots en zone de guerre, alors que ses villes sont des camps armés. Même avec les incitatifs envers les Juifs vivant outremer, l’émigration vers Israël est quasi inexistante. Presque personne, sauf les fugitifs et/ou les blanchisseurs d’argent, n’est assez fou pour vouloir y déménager.

En outre, l’économie d’Israël est faible et continue de dépendre pour sa subsistance de l’aide et des dons des États-Unis par les Juifs américains. Parmi ceux qui prédisent une crise existentielle et un écroulement à court terme, il n’y a pas que les opposants extérieurs à Israël, mais également beaucoup d’Israéliens renseignés et influents. Et avec la Turquie et l’Arabie Saoudite qui s’alignent de plus en plus avec la Russie, l’influence des États-Unis en tant que protecteur d’Israël est sur son déclin.

Donc, je ne serais pas surpris le moins du monde si une partie du plan des États-Unis pour ravir l’Ukraine à la Russie, plan qui a cours depuis plus de trente ans à partir de la rupture de l’Union soviétique en 1991, pourrait avoir toujours été de la capturer pour en faire un refuge juif en vue de l’échec du projet-Israël. Et nous savons que la tentative gouvernementale américaine pour éloigner l’Ukraine de l’influence russe a été le fer de lance de la faction des Néoconservateurs qui a largement instigué la Guerre pro-Israël contre le Terrorisme. Les Néoconservateurs sont dirigés par des personnages comme Victoria Nuland du Département d’État et son mari Robert Kagan, cofondateur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain et de son poste à Brookings, un des principaux faucons guerriers de Washington.

Ainsi, je crois que le plan des Néoconservateurs était probablement que les États-Unis emploient la junte ukrainienne qu’ils avaient installée en 2014, dirigée maintenant par Zelensky, et anciennement par Poroshenko, tous les deux juifs, mais aidés par des néo-nazis comme le Bataillon Azov, pour chasser les Russes ethniques du pays. Cela devait se faire, et ce fut commencé, par une campagne d’intimidation et de bombardement terroriste, et un génocide si nécessaire.

Donc, est-ce que cela a été exécuté dans le but de faire de la place aux immigrants israéliens ? Nous ne le savons pas de manière sûre, mais Zelensky nous a bien dit que, lorsque ce serait accompli, l’Ukraine finirait par être gouverné « comme Israël ».

Les quartiers généraux hégémoniques sionistes déménageraient-ils de Tel-Aviv à Kiev que cela donnerait aux globalistes européens le deuxième plus gros pays d’Europe à partir duquel opérer. Imaginez partir d’une petite bande de terre, environ de la dimension du New Jersey, au deuxième plus gros pays de l’Europe. En plus, la vaste majorité des gouvernements du monde sont de plus en plus outrés par le traitement génocidaire continu du peuple palestinien par l’armée israélienne.

Ajoutez-y le fait que l’Ukraine est le foyer historique de l’Empire khazar qui fut l’ancêtre des Juifs ashkénazes maintenant localisés en Palestine et vous pouvez voir l’attraction que cela exerce sur l’élite sioniste.

Évidemment, si jamais cette relocalisation survient, cela fera exploser en mille morceaux les fausses doctrines prophétiques des futuristes Scofield. Mais j’ai confiance que les dispensationnalistes s’arrangeront pour trouver une autre contorsion biblique à faire au Livre de l’Apocalypse. C’est toujours ce qu’ils font.

N’oubliez jamais que, depuis la Deuxième Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis n’a pas fait une seule guerre ou engagé un seul conflit armé qui ne fasse pas avancer la cause du sionisme d’une façon ou d’une autre. Je suis absolument convaincu que cela s’applique aussi à la guerre des États-Unis en Ukraine.

Rappelez-vous également que le nettoyage ethnique des Palestiniens de langue arabe était un prérequis des Sionistes pour prendre le pouvoir en Palestine. Et tout le conflit actuel en Ukraine est dû au nettoyage ethnique de Zelensky contre les gens de langue russe dans le Donbass.

Coïncidence ? Nous verrons bien.




Dommages collatéraux des confinements Covid ; épreuve de force au Sénat sur le contrôle des armes à feu

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

16 juin 2022

Le nombre des morts et des estropiés causés par les vaccins Covid est nettement sous-rapporté par le Système de Rapports de Cas Négatifs des Vaccins (VAERS). En vertu de la manière par laquelle ces statistiques sont accumulées, ces chiffres reflètent au mieux 10 % du total réel. Par conséquent, les 28 000 décès que rapporte le VAERS sont en fait 280 000 décès, et le rapport de 1,3 million de gens estropiés est en réalité de 13 millions d’estropiés.

Mais ces chiffres ne tiennent pas compte des dommages collatéraux occasionnés par la réaction tyrannique du gouvernement face au narratif Covid frauduleux, plus précisément les confinements.

Voici le rapport :

Les États-Unis ont enregistré un excédent de 170 000 morts durant la pandémie du Covid-19, lesquels n’ont pas été causés par le virus en lui-même – comme l’obésité, l’abus de substances toxiques et d’autres tueurs ayant fait éclosion durant les confinements imposés par le gouvernement, nous montre une nouvelle étude.

Les chiffres ont été révélés dans un rapport émis ce mois-ci par le Bureau National des Recherches Économique (NBER).

Le rapport suggère que l’excédent de morts non-Covid pourraient être des « dommages collatéraux dus aux choix politiques ». Le NBER indique des facteurs tels que la violence accrue par les armes à feu, l’utilisation de drogues et d’alcool, la cigarette et le gain de poids durant les confinements.

« Nous remarquons particulièrement que les résultats de santé non-Covid n’avaient pas fait l’objet d’un suivi étroit pour déterminer, entre autres choses, si les politiques Covid privées ou publiques les aggravaient, » disent les auteurs de l’étude. Ils ajoutent que, bien que les critiques blâment les choix personnels pour l’excédent de morts, plutôt que les politiques publiques, « cela ne donne pas d’excuse pour ignorer l’essor du taux de mortalité ou de mettre l’examen de ces décès en veilleuse. »

Les morts causées par la drogue et l’alcool ont augmenté de 13 % et 28 % respectivement, excédant les niveaux de base de 24 000 personnes par année, dit le NBER. Il y a eu 32 000 morts annuelles excédentaires à cause des maladies circulatoires, environ 4 % au-dessus du niveau de base, et les fatalités causées par le diabète et l’obésité ont été de 10 % plus élevées que prévu, atteignant une moyenne estimée à 15 000 cas additionnels chaque année.

Même si le gouvernement suit de près les cas et les morts Covid, très peu de données sont offertes sur ce qu’il en est des conséquences sanitaires en dehors du virus, dit le NBER. « L’on a montré bien peu de curiosité à savoir si les politiques Covid publiques et privées avaient aggravé les problèmes précédents de santé, » poursuivent les auteurs, en ajoutant que leurs découvertes sur les torts causés à la santé et vécus durant la pandémie étaient « significatifs et historiques. »

« D’autres données sur la dépendance aux drogues, les fusillades non-fatales, le gain de poids et les dépistages de cancer indiquent une urgence sanitaire historique, bien que largement non-reconnue, » disent les auteurs.

Une étude de l’Université John Hopkins émise plus tôt cette année suggère que les confinements Covid-19 autour du monde n’ont empêché que peu ou pas de morts causées par le virus. « Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements n’ont eu que peu ou pas du tout d’effets sur la santé publique, ils ont toutefois imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés, » disent les auteurs de l’étude. « En conséquence, les politiques de confinement sont mal-fondées et devraient être rejetées comme instrument de politique pandémique. »

En ajoutant les 170 000 morts « excédentaires » aux 280 000 décès sous-rapportés par le VAERS, nous arrivons à un nombre réel de morts attribués au faux narratif Covid de plus de 450 000.

En plus, cette étude ne prend pas en considération l’impact psychologique pernicieux que des protocoles orwellien du CDC tels que les masques, la distanciation sociale et l’isolement ont eu sur tout le monde – particulièrement les enfants d’âge scolaire.

Personne ne peut redonner ces deux ans aux étudiants du secondaire et du collège de notre pays. Ils ont perdu deux des années les plus importantes de leur vie. Et au retour à l’école, ce seront des créatures différentes.

L’omniprésente propagande Covid et le narratif Covid maladroit et tyrannique ont, non seulement ôté deux des années les plus importantes et formatrices de ces jeunes gens, mais ils ont changé leur psyché pour toujours.

Allez dans n’importe quel collège d’Amérique et voyez ce qui s’y passe. Vous y verrez des robots pour la plupart déconnectés, anti-sociaux et sans amis, dont on a recircuité les cerveaux et dont on a détruit l’interaction normale (saine) d’adolescent, la socialisation et les rêves d’avenir.

Ils s’assoient en classe avec leur cellulaire branché dans les oreilles ; ils sont assis seuls à la cafétéria, encore avec leurs cellulaires ; ils ne regardent pas les autres étudiants et leur parlent encore moins. Ils sont totalement détachés de la réalité et effrayés d’interagir dans la société.

Récemment, j’étais en train de manger dans un restaurant fast food et une étudiante de seconde année au collège attendait à ma table. Je mange fréquemment à cet endroit et j’ai développé une relation amicale avec bon nombre des membres du personnel qui y travaillent, y compris cette étudiante collégiale.

Je lui demandai nonchalamment comment ça va à l’école. Elle me répondit qu’elle avait sauté ses deux dernières semaines d’école et n’y retournerait pas l’automne prochain. Je lui demandai pourquoi et elle me dit que l’école était un cauchemar. Elle m’avoua ne pas avoir d’amis et que très peu se préoccupaient de se faire des amis. Elle me dit que l’atmosphère ressemblait plus à celle d’un salon funéraire que d’une école secondaire. Elle en avait assez, me dit-elle.

Donc, voilà une autre décrocheuse du collège qui n’a que peu d’espoir dans le futur, qui jette sur la vie un regard complètement découragé et dépressif. Mettez-la sur le compte des dommages collatéraux provoqués par le faux narratif Covid.

Effacez les deux dernières années de tyrannie Covid et cette jeune fille serait sans aucun doute une adolescente heureuse, enthousiaste et optimiste, toute excitée à l’idée de devenir une étudiante de dernière année avec tout le plaisir que cela implique et les expériences mémorables qui vont avec.

Cette jeune fille fait partie de millions d’autres à travers le pays. On ne les verra pas dans les feuilles de statistiques de quiconque, mais ce sont des victimes de la GUERRE CONTRE LA LIBERTÉ de Bill Gates/Anthony Fauci/Donald Trump/Joe Biden/CDC.

Épreuve de forces au Sénat au sujet des armes à feu :

La proposition la plus extrême sur le contrôle des armes à feu considérée par le Sénat américain est une disposition qui autoriserait le gouvernement fédéral à suborner les états pour qu’ils promulguent des lois Red Flag de confiscation d’armes – en fait, une loi Red Flag nationale.

De ZeroHedge :

Les lois Red Flag (Drapeau Rouge), connues également sous le nom de « Ordres de Protection Extrême », sont généralement associées aux suppositions de désordre mental et d’instabilité (rappelez-vous bien du mot « suppositions »). Les paramètres de ce genre de lois semblent être incroyablement larges et ambigus, et permettent à quiconque en proximité régulière d’une personne de l’accuser d’être psychologiquement instable. L’accusation peut venir d’un membre de la famille, d’un partenaire, un associé au travail, etc.

Une fois que l’accusation est lancée, les autorités peuvent confisquer les armes à feu de la personne ciblée sans procédure selon la loi, en raison qu’elles représentent un danger pour elle-même ou pour les autres. Aucun jury, aucun examen, aucune preuve ne sont requis pour obtenir un ordre de la cour. C’est alors à l’accusé de prouver qu’il n’est PAS instable, et qu’il mérite qu’on lui retourne ses armes à feu. Ce processus peut prendre des années, à condition que ses armes ne lui soient jamais retournées.

Certaines versions des projets de loi Red Flag permettent même à la police de vous déclarer d’elle-même dangereux, même sans contact direct ou sans témoin. En d’autres mots, c’est un système de « pré-crime » qui ouvre la porte aux abus de masse. Et gardez à l’esprit que nous vivons dans une ère digitale dans laquelle les médias sociaux sont soigneusement contrôlés, souvent par des gens qui n’ont pas vos meilleurs intérêts à cœur. Les lois Red Flag pourraient même s’étendre aux commentaires émis et pris hors contexte sur les plateformes de médias sociaux.

Comme dans toute propagande gauchiste, Biden et les Démocrates ont vu à associer toutes les intérêts politiques et sociaux, de même que les affaires constitutionnelles, aux vils comportements tels que le racisme et la trahison. Si vous vous opposez à l’immigration illégale, que vous exigez une preuve de citoyenneté pour voter, que vous soutenez le droit d’avoir des armes et le droit constitutionnel d’avoir une milice, que vous croyez que le gouvernement est corrompu et qu’il a surpassé ses mandats constitutionnels, que vous vous opposez au globalisme et au monopole des entreprises, etc. alors vous êtes un extrémiste aux yeux de l’Administration Biden. Non seulement cela, mais vous êtes comparable à des groupements comme le Ku Klux Klan et des terroristes individuels comme le poseur de bombe de l’Oklahoma City.

Les lois Red Flag ouvrent la porte aux punitions pour opposition politiques en associant les points de vue contraires à « l’extrémisme » et l’extrémisme à l’instabilité mentale. Les politiques de Biden mentionnent spécifiquement les gens qui sont hostiles à l’autorité gouvernementale, ce qui tombe en plein dans la ligne de la rhétorique employée par le DHS et les autres agences-alphabet des dernières années en relation avec ce qu’on appelle le « Désordre de l’Opposition Provocatrice ».

Les partisans autoritaires anti-armes ont peur de la confrontation directe et de la confiscation directe. Faire du porte-à-porte n’est pas, dans leur idée, une partie de plaisir. Ils vont plutôt préférer la confiscation par la porte arrière, en courant après une poignée de gens, pour ensuite aller vers le groupe suivant. D’abord lentement, jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que les gens s’organisent contre eux. Le 2e Amendement n’est pas un privilège accordé à la loyauté envers un régime donné ou une idéologie particulière, et il ne dépend pas du taux de criminalité ; il est sacro-saint et s’érige en dehors des conditions de l’époque dans laquelle nous vivons. Les fusillades peuvent se multiplier ou chuter, mais cela n’a pas d’importance – une fois que le droit de porter des armes sera enlevé, il est improbable qu’il ne revienne jamais.

Dix-neuf états et le District de Columbia ont déjà fait passer les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu. Ce sont la Californie, le Colorado, le Connecticut, le Delaware, la Floride, Hawaï, l’Illinois, l’Indiana, le Maryland, le Massachusetts, le Nevada, le New Jersey, le Nouveau-Mexique, New York, l’Oregon, le Rhode Island, le Vermont, et l’état de Washington.

Notez que ces états comprennent des Bleu Profond et des Rouge Profond.

Je vous encourage – particulièrement vous, les dames – à lire l’excellent article intitulé An Open Letter to Women Who Want Gun Control, de Daisy Luther.

En passant, le témoignage personnel de Mme Luther à propos de la présence d’une arme et l’empressement à l’utiliser en état d’autodéfense, ce qui a réussi à lui éviter l’éventualité de blessures sérieuses ou la mort, à elle-même ainsi qu’à sa fille, c’est aussi le témoignage de ma famille en six occasions séparées.

Quiconque permettrait au gouvernement de le désarmer est un insensé.

Si vous tenez à votre liberté – et à votre sécurité – vous devez envoyer un message fort et clair à vos sénateurs républicains (et une poignée de démocrates professant le 2e Amendement) et laissez-leur savoir en termes sans équivoque que s’ils votent pour soutenir ces nouvelles mesures de contrôle des armes à feu, ils auront perdu votre vote pour toujours.

Et vous, les amis du Texas, vous devez savoir que votre sénateur, John Cornyn, est un des leaders du Sénat à promouvoir cette nouvelle loi Red Flag nationale de contrôle des armes à feu. Il doit vous entendre MAINTENANT !




Plus de tueries dans les zones sans fusils et plus de réaction inepte policière

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

2 juin 2022

Nous y voilà encore : un autre imbécile rendu fou (ou programmé ?) déambule dans une zone sans fusil, avec un fusil, et prend la vie de 19 écoliers et 2 enseignants. Et malgré une vingtaine de policiers postés autour et en dehors de la scène de crime – pendant qu’avait lieu la tuerie – ils ne se donnèrent pas la peine de stopper le méchant garçon avant une bonne heure.

Non seulement les policiers n’ont-ils pas essayé de prendre le tireur, mais ils ont arrêté, menotté et électrocuté au taseur les parents frénétiques qui essayaient de secourir leurs enfants.

Les officiers chargés de faire appliquer la loi à Uvalde, au Texas, ont refusé jeudi de commenter pourquoi les agents de police ne sont pas entrés dans l’école élémentaire, pendant une heure, pour tuer un tireur en série. Les parents accusent et la police locale et la police fédérale pour n’avoir « rien fait »  dans le but de mettre fin au carnage, et d’avoir menotté ces parents qui essayaient eux-mêmes d’intervenir.

Gomez dit que dans les 40 minutes qu’il lui a fallu pour être au courant de la fusillade et se rendre en voiture à l’école, les officiers de police n’étaient pas entrés. Quand elle souleva ses inquiétudes aux marshals fédéraux, elle dit avoir été arrêtée et menottée pour être intervenue dans une enquête en cours. Après que la police locale eut convaincu les marshals de la laisser aller, Gomez dit qu’elle sauta la clôture de l’école et courut secourir ses deux enfants à l’intérieur.

Des vidéos partagées sur les médias sociaux montrent encore plus de parents qui, comme Gomez, plaidaient auprès des officiers de police pour qu’ils entrent dans l’école et sauvent leurs enfants.

Voyez aussi ce rapport.

Et voici un autre rapport :

Comme nous en avons rendu compte jeudi, de multiples rapports et des vidéos ont surgi au sujet de la réaction des forces de l’ordre, ou plutôt leur manque de réaction, concernant la fusillade de masse à l’école élémentaire Robb. Au lieu de se précipiter pour arrêter le tireur d’assassiner des écoliers à l’intérieur, les officiers de police ont érigé une barricade et un périmètre pour empêcher les parents d’essayer de sauver leurs propres enfants.

Pendant ce temps-là, le tueur a eu plus d’une heure pour en finir avec 19 écoliers et 2 enseignants qu’il a massacré dans l’enceinte.

Or, au fur et à mesure que les détails émergent, la réaction policière face à la situation semble encore plus dégoûtante. Selon les informations les plus récentes, le tireur a pu faire feu tout autour de l’école, à l’extérieur, pendant 12 minutes, sans obstruction et sans opposition de la part des forces de l’ordre, avant d’entrer dans l’école et de tuer les enfants.

D’après le déroulement du temps publié jeudi soir, le tireur a accidenté sa voiture à 11h28 et a commencé à tirer sur les gens de la foule à l’extérieur de l’école. À 11h40, il est entré sans obstacle à l’intérieur de l’école où il s’est mis à tuer des gens. La police n’est arrivée sur les lieux que 4 minutes après que le tireur eut pénétré dans l’école.

Lors de l’heure et cinq minutes suivantes, le tireur est demeuré à l’intérieur de l’école, sans être défié par les forces de l’ordre pendant que celles-ci attendaient à l’extérieur qu’une unité tactique de la Patrouille Frontalière se montre et le fasse sortir.

Pendant que la police cherchait gauchement à l’extérieur comment réagir, une foule de parents en colère exigea qu’on les laisse entrer afin de sauver leurs enfants. Comme le ferait tout parent, un grand nombre d’entre eux tentèrent de forcer le cordon policier pour entrer dans l’école, mais ils furent saisis à bras-le-corps, vaporisés de gaz poivré et même menottés.

Alors que des flics lourdement armés d’AR-15 et portant des gilets pare-balles se tournaient les pouces pendant qu’un tireur de masse assassinait des enfants à l’intérieur de l’école, Gomez – sans gilet pare-balle et sans aucune arme – sauta la clôture et se rua dans l’école.

Rassemblant plus de courage que n’importe quel des officiers de police devant l’école, Gomez parcourut les couloirs de l’École Élémentaire Robb, qui abritait un tireur, avant de trouver ses enfants et de les amener en vitesse en sécurité.

Non seulement les policiers n’ont-ils rien fait pour sauver la vie des victimes, mais ils ont refusé de laisser d’autres agences policières – particulièrement la Patrouille Frontalière – aller au secours des enfants.

Lisez ce rapport :

Non seulement la police locale a-t-elle été lente à confronter le tireur qui a tué 19 enfants et deux adultes lors du massacre de jeudi dans une école du Texas, mais ils auraient également refusé de permettre à des agents fédéraux de confronter le bandit armé pendant près d’une heure après qu’ils soient arrivés sur les lieux.

Des agents spécialement équipés de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis, qui arrivèrent à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, entre 12h00 et 12h10, se virent interdire par la police locale d’ouvrir une brèche dans les salles de classe adjoignant celle dans laquelle le tireur s’était enfermé, jusqu’à environ 13h00, a rapporté le New York Times vendredi en citant des officiers fédéraux non identifiés.

« On nous a dit d’attendre, » a dit un officier de la Patrouille Frontalière, vendredi à Yahoo News. « On nous a dit d’attendre et d’attendre, et l’équipe voulait s’en aller. Mais vous devez comprendre, la Patrouille Frontalière n’est pas l’agence dirigeante, donc elle devait attendre, et maintenant voyez ce qui est arrivé. »

Un agent de la Patrouille Frontalière qui s’était rendu en vitesse à l’école pour secourir sa femme et sa fille (et d’autres) n’était même pas initialement sur les lieux. Il se faisait faire une coupe de cheveux chez un barbier quand sa femme – qui était à l’intérieur de l’école avec sa fille – lui envoya un texto.

Un agent de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis qui n’était pas en service se rua courageusement dans l’École Élémentaire Robb avec le fusil de chasse de son barbier et vint à la rescousse d’une douzaine d’enfants et sa fille après que sa femme l’eut texté pour lui dire qu’il y avait un tireur actif.

Jacob Albarado venait tout juste de s’assoir pour une coupe de cheveux quand il reçut le message horrifiant de sa femme, Trisha, enseignante de quatrième année à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, dit-il au New York Times.

« Il y a un tireur actif, » écrivit-elle. « Au secours, » texta-t-elle avant d’envoyer un effrayant « Je t’aime ».

Il bondit immédiatement de son siège, attrapa le fusil du barbier et partit en vitesse vers l’école.

Sa fille, écolière de deuxième année, était enfermée à l’intérieur d’une salle de bain pendant que sa femme se cachait sous les pupitres avec ses étudiants, rapporta le Times.

Il dit être entré par l’aile de l’école où il savait que se situait sa fille et, pendant qu’il la cherchait, il commença à « explorer toutes les classes de l’aile de sa fille. » dit-il au Times.

« Je suis tellement en colère, attristé et reconnaissant en même temps, Seul le temps va guérir leur douleur et, je l’espère, des changements seront apportés à toutes les écoles aux États-Unis, et les enseignants seront formés et on leur permettra d’amener l’ordre pour se protéger ainsi que leurs étudiants, » écrit-il.

Finalement, après que ce soit passé une heure et vingt minutes, une équipe tactique de la police fit sortir le tireur.

Il s’est passé en tout 80 minutes entre le moment où les policiers furent appelés à l’école, à 11h30, et le moment où l’équipe tactique est entrée dans les classes verrouillées et ont tué le tireur, à 12h50, a dit McCraw. L’équipe tactique a pu entrer en utilisant les clés du concierge, a-t-il ajouté.

En fin de compte, à 12h50, l’équipe tactique entra dans la salle de cours, tira et tua le suspect.

L’agent Albarado a donné à l’Amérique la solution à ces fusillades de série : permettre aux enseignants et aux employés d’école de porter leurs propres armes à feu de défense. Laissez un ou deux tueurs de masse se faire tirer par un employé d’école avant qu’il ne puisse exécuter ses intentions meurtrières et vous verrez ces fusillades prendre fin rapidement.

Mais ne comptez pas sur les législateurs pour faire quelque chose d’aussi raisonnable. Déjà, les républicains Mitch McConnell et Lindsey Graham, et les démocrates Chuck Schumer et Richard Blumenthal tordent des bras au Congrès pour faire passer des lois Red Flag tyranniques.

Mais, comme c’est le cas dans chacune de ces fusillades de masse, il y a tellement de questions sans réponses que cela laisse sous-entendre qu’il y a ici à l’œuvre quelque chose de plus qu’un tireur dément solitaire.

Des questions comme : où un décrocheur scolaire sans emploi a-t-il pu obtenir de 4 000 $ à 6 000 $ afin d’acheter deux Daniel Defense AR-15 qui sont parmi les fusils AR les plus dispendieux sur le marché, et 1 500 cartouches ?

Une autre question : les officiers de police qui se tenaient dans les alentours et qui ne faisaient rien, sauf arrêter et menotter des parents affolés et en panique, ont participé à deux exercices de tireur actif juste deux mois auparavant. Donc, que leur a-t-on enseigné ? Leur a-t-on montré à se tenir debout tout autour et à ne rien faire pendant que 19 enfants et 2 enseignants se font massacrer dans le bâtiment scolaire ?

En voici une autre : Comment se fait-il que les officiers de police doivent utiliser une CLÉ pour déverrouiller une porte d’école afin d’entrer (après avoir attendu UNE HEURE) ? Il n’y a pas de porte que les flics ne peuvent pas briser quand ils le veulent réellement – et je veux dire DANS L’URGENCE !

Bien sûr, la plus grosse question est : qui a donné l’ordre du retrait ? Non, je ne veux pas dire le commandant de la police sur les lieux. Je veux dire, qui a vraiment donné l’ordre du retrait ?

Je croirai toujours qu’il se trouve quelques forces gouvernementales derrière chacune de ces fusillades de masse. Appelez-moi comme vous voulez. Il y a tout simplement trop de circonstances illogiques, inconscientes et presque impossibles entourant chacune de ces fusillades de masses pour penser autrement.

Les satanistes globalistes de l’État Profond des cavernes infestées de chauves-souris, pleines de sangsues et de cafards grouillants de Washington, D.C., ne cesseront pas tant qu’ils n’auront pas manipulé avec succès les politiciens sans colonne, conduits par leur ego et qui aiment l’argent pour les amener à tenter de désarmer complètement le peuple américain.

Notre cœur et nos prières vont aux familles de ces innocentes victimes.

La partie la plus tragique de toute cette affaire, c’est que les véritables vilains derrière ces fusillades de masse sont les politiciens et les juges qui ont rendu illégale que les honnêtes citoyens se défendent.

N’oubliez jamais cela !

De plus, la prochaine fois que l’on vous dira que des policiers vont venir vous protéger quand votre vie va être menacée par une personne folle, souvenez-vous seulement de cette vingtaine de flics stationnés tout autour à l’extérieur pendant qu’une seule personne folle tuait 21 personnes à l’intérieur.




Le Far West est-il si sauvage ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2022

Par Jerry Barrett

Nous avons tous entendu des récits sur le Far West. Des histoires embellies, dans le but de présenter une façon de vivre sans contrôle, ont été racontées dans de nombreux livres et des films. Était-ce aussi sauvage que ce que nous voyons aujourd’hui ?

Nous savons par les documents historiques qu’il y avait des criminels qui faisaient la manchette. Des prospecteurs d’or cherchaient la richesse grâce aux nombreux rapports qui disaient que « l’or qui se trouve dans ces montagnes ». Toutefois, globalement, la majorité des colons de la ruée vers l’ouest étaient en quête d’une terre sur laquelle s’installer, une ferme ou un ranch, pour y élever une famille.

La période du « Far West » s’étendit en gros de 1865 à 1900. Pour une grande partie de cette ère, la loi et l’ordre n’existaient presque pas. Cela ne veut pas dire qu’on vivait dans la complète anarchie. Beaucoup de ces colonies frontalières adoptèrent leur propre code d’honneur et des méthodes de maintien de l’ordre. Quand on les avertissait que des hors-la-loi campaient dans les environs, les habitants locaux formaient un détachement pour les chasser.

Malheureusement, cette époque sauvage et confuse pâlit en comparaison du mal qui advient aujourd’hui dans notre paysage. Des hommes de loi légendaires comme Wyatt Earp, Bat Masterson et Pat Garrett seraient atterrés de voir la violence et la corruption qui sévit de nos jours dans notre pays.

Définancer la police

La Squad (escouade) est constituée de démocrates progressifs socialistes. Ses membres ont demandé à grand cri que l’on définance la police. Ayanna Pressley du Massachusetts a commandité la Loi BREATHE qui vise à éliminer la loi fédérale sur le renforcement des agences. La représentante de New York, Alexandria Ocasio-Cortez, Ilhan Omar du Minnesota et Cori Bush du Missouri ont toutes élevé la voix pour en appeler de la fin de la loi sur le renforcement à travers le pays.

La Squad : Rashida Tlaib du Michigan, Ilhan Omar du Minnesota, Jamaal Bowman de New York, Alexandria Ocasio-Cortez de New York, Cori Bush du Missouri et Ayanna Pressley du Massachusetts.

Chose ironique, toutes ces femmes ont dépensé des dizaines de milliers de dollars en sécurité privée. Mme Bush, dont le district couvre St-Louis et les environs, a dépensé plus de 70 000 $ — plus que tout autre membre de ce fanatique paquet d’hypocrites – étant donné que sa vie est infiniment plus précieuse que celles de ses électeurs. On l’a citée dans le New York Post alors qu’elle déclarait : « Mon corps vaut que je sois en ce moment sur cette planète. »

Le membre mâle du Squad, le représentant de New York Jamaal Bowman, a qualifié les agents de police de suprématistes blancs. Dans sa tentative de maintenir le mantra démocrate « bon pour moi, pas pour vous », Bowman a requis que le Département de Police Yonkers protège son foyer, et ce aux dépends des payeurs de taxe.

Procureurs soutenus par Soros

Le donateur milliardaire George Soros a financé nombre de procureurs à travers l’Amérique. Ces prétendus « avocats du peuple » se retrouvent dans les villes de notre pays les plus ravagées par le crime. On permet aux criminels de sortir de prison grâce à de faibles cautions ou même de ne pas être accusés. En voici quelques-uns :

Kim Foxx est la Procureure d’État pour le Comté de Cook, à Chicago. Le taux de meurtre à Chicago est à son plus élevé depuis 30 ans. Foxx a fait serment de réformer le système de justice criminelle qui, déclare-t-elle, incarcère de façon discriminatoire trop de gens de couleur.

Pour une période de trois ans analysée par le Chicago Tribune, le bureau de Foxx a fait descendre de 8,1 % les cas d’homicide, de 9,5 % les cas de crimes sexuels, tout en accroissant le taux de cas abandonnés pour voies de fait graves et pour voies de fait aggravés avec arme à feu. Le cas le mieux connu où le bureau de Foxx a fait tomber toutes les accusations de crime fut celui de l’acteur Jussie Smollett. Celui-ci avait été accusé d’avoir mis en scène une attaque raciste et homophobe contre lui dans le centre de Chicago.

Chesa Boudin est le Procureur du District de San Francisco. Sa plateforme progressive promettait de mettre fin aux cautions en argent, de réduire la population carcérale de la ville, de « réimaginer » la justice criminelle et d’arrêter de mettre en application les lois contre les crimes soi-disant de « qualité de vie » comme la prostitution.

Deux jours après son entrée en fonction, Boudin congédia sept des procureurs principaux et engagea des avocats de la défense pour les remplacer. En dedans de trois mois, il avait relâché près de quarante pourcent de la population de la prison de la ville. À partir du moment où il entra en poste, en janvier 2020, jusqu’à mars 2021, le bureau de Boudin a jugé vingt-trois cas. En conséquence, les homicides sont en hausse, comme les cambriolages et les pirateries sur la route. Les attaques incendiaires se sont aussi accrues de presque 50 %. Le vol à l’étalage est maintenant si répandu dans la ville que Walgreen a fermé 17 succursales à San Francisco.

Un client en colère dans le magasin Walgreen de San Francisco est consterné de voir que presque tous les articles se trouvent derrière des grillages cadenassés.

George Gascón, quand il entra en fonction en décembre 2020, émit une liste de crimes contre lesquels le Bureau du Procureur de District du Comté de Los Angeles n’engagerait plus de poursuites. Gascón a annoncé qu’il arrêterait de chercher la peine de mort, qu’il ne poursuivrait plus les enfants comme des adultes et qu’il ne déposerait plus d’accusations « à trois prises » qui exigent des sentences à vie aux individus condamnés pour offenses multiples. Il fit également vœu de ne plus envoyer de Procureurs de District aux auditions de liberté sur parole afin de s’opposer à la remise en liberté, et il a dit qu’il allait réévaluer des milliers de cas pour revoir les condamnations.

Larry Krasner, Procureur de District de Philadelphie, est un autre comparse de Soros. Lorsque Krasner prit le pouvoir en tant que Procureur de District de Philly, il a annoncé que son bureau ne poursuivrait plus des crimes comme la possession de drogue, la prostitution et les vols au détail en-dessous de 500 $. Le nombre de crimes jugés par le bureau du Procureur de District a chuté, le total de tous les cas traités tombant de 47 %. Le taux de condamnation au bureau du P. D. pour tous les cas de crimes a chuté à 22,6 %. Non seulement le taux de condamnation a-t-il chuté chez les crimes violents, mais, sous Krasner, les sentences pour les criminels condamnés sont plus courtes.

Une vague de crimes balaie toute l’Amérique

Selon toute apparence, le crime a explosé à travers notre pays. Les meurtres se sont accrus de près de trente pourcent en 2020. Certains d’entre eux pourraient être mis aux pieds des procureurs progressifs, mais plusieurs devraient atterrir carrément sur les genoux du mouvement Black Lives Matter. Cette organisatin marxiste a employé comme plateforme la mort des criminels.

Michael Brown de Ferguson, au Missouri, et George Floyd de Minneapolis, au Minnesota, sont les plus saillants dans le public. Même s’il a été documenté que M. Brown avait agressé un employé de dépanneur et volé des cigares, qu’il s’était mis à marcher au milieu d’une rue et fut enjoint de sortir de la rue par un officier de police, qu’il avait agressé l’officier et avait essayé de prendre son arme avant de se faire tirer dessus.

George Floyd fut arrêté pour avoir fait passer un faux billet de vingt dollars dans une épicerie locale. Quand on tenta de lui mettre les menottes, M. Floyd résista. Après avoir été menotté, on le fit assoir sur le siège de sa voiture. Moins de deux minutes plus tard, on le voit debout dans la rue. Après qu’on lui ait demandé de monter dans le SUV de la police, Floyd refuse. Chose intéressante, la police n’était pas combative – comme le documentent un bon nombre de vidéos cellulaires – et elle a passé près de huit minutes à lui parler avant que celui-ci soit cloué au sol.

L’officier avait-il besoin de mettre le genou sur le cou de M. Floyd ? Probablement pas. Était-ce le meurtre d’un homme noir par un policier blanc ? Définitivement pas, selon l’opinion de l’auteur de cet article.

Quand le rapport d’autopsie fut émis, l’examinateur médical lista trois « maladies naturelles » : 1) « maladie cardiaque d’artériosclérose » qui est décrite comme « multifocale et sévère » ; 2) « maladie cardiaque d’hypertension » qui inclut un « historique clinique d’hypertension » et 3) une tumeur pelvienne gauche qualifiée de « secondaire ». Le graphique de toxicologie déclare [non traduit] :

Les émeutes qui suivirent – que les médias contrôlés caractérisèrent de « en grande partie paisibles » – déclenchèrent une série calamiteuse de destruction et de grabuge à l’échelle nationale. Les clameurs ont conduit à la position prééminente dont jouit depuis Black Lives Matter. On devrait réfléchir à savoir comment exactement la destruction d’une ville bénéficie à l’objectif de faire cohabiter paisiblement toutes les races.

Aimez votre prochain

Du jour au lendemain, semble-t-il, le sujet chaud de « l’antiracisme » a été diffusé par les organes médiatiques majeurs. Le racisme systémique et la suprématie blanche prirent l’avant-scène des problèmes majeurs auxquels fait face notre pays. On a publié des livres sur ce sujet et la Théorie Critique de la Race a été appliquée dans les grandes entreprises comme dans les écoles publiques.

Le Marxisme Culturel, ou la Rectitude Politique, a atteint son zénith. Toutes ces années à travailler dur, en corrompant l’esprit des jeunes étudiants de collège, ont porté fruit. Le Premier Amendement qui garantissait à tout le monde la liberté d’expression a été modifiée par la Cour Suprême de la Justice Sociale : « On vous garantit la liberté d’expression, en autant que cela ne heurte pas les sentiments de personne. »

Notre pays a-t-il un historique de problèmes raciaux ? Certainement. Toutefois, le problème du racisme croise toute la gamme génétique. Ce n’est pas un problème à sens unique.

Quelle est la solution ?

En cela repose le problème majeur : Qu’advient-il de la bienveillance envers notre prochain ? Dans Matthieu 22:39, Jésus nous a dit : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. »

Il y a entre nous tous des différences culturelles. Cela ne se limite pas à une race, mais cela comprend également la région où vous avez grandi. Jésus devrait nous servir de modèle et nous devrions composer notre vie de la même manière.

Malheureusement, notre société a cessé d’adopter une vision biblique du monde., les choses charnelles occupent l’esprit de tant de ceux qui se déclarent chrétiens. Grâce à l’usurpation des pasteurs, craignant Dieu et croyant en la Bible, par les théologiens libéraux, les masses sont conduites sur le mauvais chemin.

Comme me l’a dit récemment mon bon ami le pasteur Chuck Baldwin, « Les églises… dans l’esprit et le cœur des leaders ecclésiastiques, elles sont un business. De par la règlementation 501(c)3, ce sont des entreprises à but non lucratif. Le produit est conçu de manière à assurer le succès de l’entreprise. Ce qui compte, c’est l’argent, les foules, etc. » Essentiellement, les changeurs ont jeté la doctrine biblique dehors !

L’apôtre Paul nous a mis en garde contre une grande apostasie. L’élite s’est saisie de la déconnexion sociétale d’avec l’église et ont fomenté une guerre de race et de classe au sein des masses. L’enseignement de Pierre disant, dans Actes 10:34 : « Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes, » n’est pas apprécié parce que nos valeurs sont corrompues.

Il y a quand même de l’espoir, chers amis. Si nous restons fidèles aux enseignements de la Sainte Parole de Dieu, que nous pratiquons ce qui est enseigné et que nous traitons les autres comme des frères et des sœurs en Christ, nous allons vaincre. Faites comme nous le dit Jésus, dans Marc 16:15 : « Allez par tout le monde, et prêchez l’Evangile à toute créature. »




Les bellicistes en politique, les loups en chaire

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

19 mai 2022

Combien de fois m’avez-vous entendu dire qu’il n’y a véritablement qu’un seul parti à Washington, D.C., et c’est le Parti de la Guerre ? Eh bien, je le redis encore.

Dans la Chambre américaine, le vote fut de 368 – 57 en faveur d’envoyer un 40 milliards $ additionnel à l’Ukraine afin de prolonger et d’augmenter la guerre américaine par procuration contre la Russie en Ukraine.

Parmi les votes négatifs, il y a eu Marjorie Taylor Greene (R) de la Géorgie. Selon Greene, les 40 milliards $ de corruption des payeurs de taxe américains ressemblent à « un plan de blanchiment d’argent ».

Voici le rapport :

Le soutien financier que l’Amérique fournit à l’Ukraine ressemble beaucoup à « un plan de blanchiment d’argent ». a dit la représentante Marjorie Taylor Greene (R-GA) au podcast The Truth With Lisa Boothe, ce lundi. L’argent censément destiné aux Ukrainiens finit par aboutir dans les poches des « ONG à but non lucratif » qui sont souvent dirigées par des proches des politiciens de Washington, a déclaré Greene.

« Ils veulent donner 40 milliards $ à l’Ukraine, et ces 40 milliards s’ajoutent à l’argent qui a déjà été donné. Ce qui fait un montant de 53 milliards $. C’est plus des deux-tiers de tout le budget du Département d’État pour l’année », a dit la représentante, faisant référence au dernier montant d’aide qui est présentement soumis au Sénat américain.

D’après Greene, les fonctionnaires américains le font dans l’éventualité de financer les ONG opérées par « leurs familles et leurs amis ». « Il s’agit fondamentalement d’un plan de blanchiment d’argent, » dit-elle.

Au Sénat américain, le vote s’établit à 81 – 11 en faveur de l’approbation des 40 milliards $ de programme d’aide à l’Ukraine. Voici les onze sénateurs républicains qui ont gardé leur serment à la Constitution et ont mis l’Amérique et la paix au-dessus de la soif des globalistes pour la guerre et le fric :

Blackburn, Tennessee

Boozman, Arizona

Braun, Indiana

Crapo, Idaho

Hagerty, Tennessee

Hawley, Missouri

Lee, Utah

Lummis, Wyoming

Marshall, Kansas

Paul, Kentucky

Turberville, Alabama

Si votre sénateur (ou vos sénateurs) n’est pas dans cette liste, sachez qu’il ou elle est un lèche-bottes acheté et payé par les bellicistes pour le complexe militaro-industriel et leurs maîtres globalistes. Républicains ou démocrates, ils ne devraient plus jamais recevoir votre vote. Et vous devriez leur écrire ou les appeler pour le leur dire.

Le Parti de la Guerre est probablement en train de conduire l’Amérique directement vers une guerre nucléaire. Et même si d’aventure l’on évite la guerre nucléaire (ce ne sera pas parce que les politiciens démoniaques de Washington n’auront pas essayé), ils ont déjà mené le pays dans une inflation paralysante et probablement vers une récession majeure.

Et pendant que nous avons des bellicistes en politique, nous avons aussi des loups en chaire :

La culture américaine s’effiloche. Peu de gens pourraient dire autrement. Que vous soyez à droite ou à gauche de la fosse politique, nous semblons tous nous accorder sur un point : il y a quelque chose qui va terriblement mal.

Les États-Unis sont devenus les états séparés. « E pluribus unum » est devenu « ex uno plures ». Alors que nous étions jadis un peuple diversifié se rassemblant pour une cause commune, nous avons maintenant l’air d’un pays fracturé sans liement social et moral pour nous lier ensemble.

Un pays qui, encore hier, enseignait à sa progéniture la valeur d’axiomes comme « donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort », réagit maintenant, face à une « crise » au taux de survie de plus de 99 %, en s’écriant « J’ai peur de la mort, donc tout le monde doit perdre sa liberté ».

Nous nous réfutons nous-mêmes à chaque tournant. Ceux qui se déclarent tolérants hurlent qu’ils ne peuvent tolérer l’intolérance de tous les autres. Les gens qui brandissent la bannière de « l’amour bat la haine » déclarent qu’ils détestent absolument ceux qu’ils considèrent comme haineux. Les professeurs enseignent que la vérité n’existe pas. Les prédicateurs prêchent qu’ils savent que rien ne peu être connu. Les politiciens jurent d’honorer et de défendre une Constitution qu’ils déprécient ensuite comme étant un document antique de racisme systémique, intersectionnel et de privilège blanc.

Les féministes nient le fait biologie de la femelle. Des misogynes marchent avec MeToo. Des défenseurs de l’enfant préconisent le droit de tuer des enfants. Les partisans de la santé prénatale se font maintenant les apologistes de la mort périnatale.

Comment sommes-nous entrés dans ce gâchis ?

Le Dr Len Munsil, président de l’Université de l’Arizona, a récemment partagé ceci : « Une grande majorité des pasteurs américains ne possèdent pas une vision biblique du monde, selon les dernières découvertes, d’après l’Inventaire 2022 de la Vision Mondiale Américaine conduit par le Centre de Recherches Culturelles de l’ACU. En effet, à peine un peu plus du tiers (37 %) possède une vision biblique du monde, et la majorité – 62 % – adopte une vision mondiale hybride que l’on appelle Syncrétisme. »

Et ces chiffres sont encore pires en ce qui concerne les organisations parareligieuses comme les collèges et les universités reliés à une église.

L’infaillibilité, l’authenticité et l’autorité de la Bible, de même que le corollaire des vérités évidentes enracinées dans la loi naturelle (i.e., l’objectivité de la révélation de Dieu à l’homme) sont maintenant encadrés comme étant du racisme et de la bigoterie dans votre église locale et dans vos écoles chrétiennes locales. Ces gens-là « adorent la créature plutôt que le Créateur » depuis si longtemps qu’ils sont devenus complètement nuls. Ils ont « changé la vérité de Dieu en un mensonge » et ils ont vraiment été « livrés à un esprit dépourvu de tout jugement ». Dans l’esprit du péché originel, ils se sont déclarés « comme Dieu » et, en retour, « Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera ».

Il a été dit que les loups en habits de brebis sont dangereux, mais les loups en habits de berger sont carrément mortels. Les leaders ecclésiastiques de l’Amérique sont devenus des loups déguisés en pasteurs. Nos pasteurs et nos facultés chrétiennes, qui sont censés être le sel et la lumière au sein d’une culture mourante et d’un monde ténébreux, sont à peine du pain blanc grillé insipide pour une nation au besoin désespéré du puissant breuvage de l’Évangile. Christ a dit Lui-même qu’Il recracherait ce genre de personne de Sa bouche.

Comment en sommes-nous rendus là ? Ne regardez pas plus loin que votre église locale et son école chrétienne. Il y a environ 60 % de chances que le gars qui se tient derrière le lutrin sur le podium soit un « berger » aux dents bien acérées et dégoulinantes de sang. [Emphase ajoutée]

Amen !

Je le dirai sans ambages : Tout pasteur qui s’est soumis d’un air penaud aux confinements et aux vaccins Covid est un ennemi de la liberté, un ennemi de l’Amérique et un ami de la Bête. Et les personnes qui s’assoient au pied de ces loups en habit de brebis sont des co-conspirateurs dans l’effusion de sang innocent et la ruine de notre pays.

Idem pour les bellicistes chrétiens qui soutiennent la guerre par procuration, inconstitutionnelle et immorale, en Ukraine.

Des bellicistes en politique et des loups en chaire ; c’est la combinaison la plus dévastatrice connue de l’homme, et l’Amérique en est dévorée.