Des nains cinglés
Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
10 février 2022
L’Amérique est dirigée par un paquet de cornichons incompétents et immoraux, et nous le savons tous. Choisissez le domaine : gouvernement, loi, religion, journalisme, médecine ou éducation. C’est toute la même chose. Au sommet, ils sont la crasse. Il n’y a pas que la crème qui surgisse du sommet.
Ce fait me revint en mémoire quand je lus un blog de Jon Rappoport. Il y identifiait quelques-uns de ces cornichons en tant que « nains cinglés ». Je ne saurais être plus d’accord.
Mon père avait l’habitude de le dire de cette façon : « Certains hommes reçoivent une éducation au-dessus de leur intelligence. » Écoutez ! Écoutez !
[Joe] Biden a été empaqueté et vendu pour plus tard. Il est captif. Il est un microphone pour Reconstruire Pire, la destruction économique, la censure, la dictature COVID, la dissolution des pays séparés, et la « Justice » Culturelle (ce qui veut dire que tout le monde y perd finalement).
La cerise sur le gâteau, c’est qu’il est incapable de trouver son chemin entre la salle de douche et la chambre dans la résidence de la Maison Blanche. Il est malade mental. Il a subi un très sérieux anévrisme au cerveau en 1988 et n’a jamais été le même depuis.
Avant 1988, c’était un sénateur au débit rapide et qui avait du chien, spécialisé dans les affaires étrangères. Il était le genre de gars que tout le monde au gouvernement écoutait, mais que l’on ignorait soigneusement. Maintenant, il alterne d’un monde à un autre, dont aucun n’est de son propre choix.
Un nain.
[Anthony] Fauci possède un truc qui lui donne l’apparence d’être intelligent. Il peut sélectionner (ou inventer) des découvertes imprécises et ambigües à partir d’études médicales et les émettre comme s’il s’agissait de touches directes au panier.
Fauci joue au scientiste à la télévision.
Ce n’est pas difficile à faire. N’importe quel présentateur de nouvelles légèrement au-dessus de la moyenne pourrait chausser ses souliers. Tout ce dont il aurait besoin, c’est d’un thème primordial pour le guider. « À toutes les occasions, fabriquez et annoncez la mise à jour pandémique la pire qu’il soit possible. »
Fauci est un présentateur utile à Pharma, Bill Gates, le Forum Économique Mondial et toute la masse coagulée des globalistes de Rockefeller.
Un nain.
En 2020, Donald Trump délégua la Présidence des États-Unis à Anthony Fauci. Voilà tout ce que vous avez besoin de savoir à propos de Trump.
Depuis lors, par intermédiaire, il préside sur le bombardement à saturation de l’économie américaine – l’économie qu’il s’était engagé à secourir et à rendre forte de nouveau.
Il a fait la promotion du Plan Warp Speed manifestement insensé pour développer les vaccins COVID (désastreusement destructifs). Il ne connaît rien aux vaccins, à la science, au COVID, ou à tout autre sujet relié.
Son point de vue est celui-ci : Si une grosse entreprise peut fabriquer quelque chose et la vendre en grande quantité, le produit est sensationnel, les gens qui l’ont produit sont magnifiques et c’est génial qu’ils soient magnifiques.
Il est encore sur le sentier de la campagne à promouvoir le vaccin. Il sait, par les huées de ses partisans, que beaucoup d’entre eux détestent les vaccins, mais cela ne l’a jamais incité à regarder sous la surface et trouver pourquoi.
Il ne regarde pas sous la surface parce qu’il ne le veut pas et ne le peut pas. Il n’a pas la concentration nécessaire. Il est incapable de coordonner l’information par lui-même. Il se fit aux autres pour lui parler et lui dire quoi est quoi. Ces autres lui disent que le vaccin est efficace.
À la fin de l’hiver de 2020, Fauci et Deborah Birx approchèrent Trump avec une projection sur ordinateur de l’un des plus gros échecs dans le domaine, Neil Ferguson.
Ferguson avait son propre département au Collège Impérial de Londres. Le département était financé par Bill Gates. Ferguson a prédit plus de deux millions de morts COVID aux États-Unis pour l’été de 2020.
Trump n’a jamais remis en question cette projection. Il n’a jamais convoqué une rencontre sérieuse de conseillers économiques pour développer les effets à long terme des confinements.
Il fut rapide a appuyer un État d’Urgence national, signalant que les États-Unis étaient prêts à fermer leur moteur économique et à se blottir dans la peur.
Un nain.
Rappoport poursuit :
De toute évidence, beaucoup d’autres personnes appartiennent à cette liste. Par exemple, Justin Trudeau, qui vit présentement dans un bunker de velours pour éviter les attaques du convoi de camionneurs canadiens. S’il était né dans une autre famille, Justin serait chanceux de pomper de l’essence dans une station isolée des Territoires du Nord-Ouest. Son seul talent reconnu, c’est celui de vendeur – mais dans son cas, il vend son pays pour un oui ou pour un non.
Nous devons fondamentalement en conclure que nous sommes des Gullivers entourés de Lilliputiens.
Traitez-les comme les petits dégueux qu’ils sont.
Voilà qui conclut l’épisode d’aujourd’hui de Quand les Morons incompétents et/ou hostiles gouvernent la société.
Vraiment.
Mais la vraie question portant à réfléchir, c’est qu’est-ce que cela fait de nous, le Peuple, qui mettons ces morons en poste de pouvoir et qui obéissons avec complaisance à leurs malicieux assauts contre notre vie et nos libertés ?
Quelqu’un a dit : « Nous avons le gouvernement que nous méritons. » Quelqu’un d’autre a dit : « Nous avons le gouvernement dont nous voulons. » Mais je crois que la meilleure façon de le dire, c’est : « Nous avons le gouvernement que nous tolérons. »
La plupart des politiciens sont des vendeurs mielleux en même temps que d’habiles magiciens. À un degré ou un autre, la vaste majorité d’entre eux sont des escrocs. Mais qui d’entre nous s’est fait vendre quelque chose dont il n’avait pas réellement envie ou besoin, et qui d’entre nous n’a pas été fasciné par l’habilité du magicien à nous tromper ?
C’est une chose que de se laisser prendre aux beaux discours d’un vendeur ; c’en est une autre que de s’assoir sans rien faire – ou même en venir à prendre la défense de l’escroc – quand il utilise ses trucs pour piller nos libertés et mettre en danger nos vies et nos familles.
Voilà où le rôle du pasteur est d’une importance critique. Son rôle est d’utiliser sa position et son influence pour contrebalancer la fausseté et le goût du pouvoir par la vérité et la conviction sainte. Par définition, le chrétien est un non-conformiste. Sous l’inspiration divine, l’apôtre Paul a commandé : « ne vous conformez point à ce présent siècle » (Romains 12:2).
Toutefois, aujourd’hui, les chrétiens d’Amérique sont parmi les gens les plus conformes de la terre. Leur existence entière empeste la conformité au monde de Satan. Et la raison en est que leurs pasteurs ne prêchent plus la non-conformité chrétienne. Ils prêchent la complaisance et l’asservissement – jusqu’au servage.
Des nains.