Qu’est-ce que Justin Trudeau et Kristi Noem ont en commun ? Tous les deux veulent vous mettre en prison si vous avez des opinions impopulaires

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 mars 2024

Les côtés gauche et droit d’une ellipse décrivent bien la politique de la Gauche et de la Droite. Au sommet de l’ellipse, il y a la Liberté. En bas de l’ellipse, il y a la Tyrannie. Les Républicains et les Démocrates passent la plupart de leur temps à discuter de choses qui se trouvent au milieu de l’ellipse.

Je définie la Tyrannie comme tout ce qui promeut le pouvoir de l’état de contrôler la vie et la liberté du peuple au-delà des Lois naturelles de notre Créateur. Je définie la Liberté comme tout ce qui limite le pouvoir de l’état de contrôler la vie et la liberté des gens au-delà des Lois naturelles de notre Créateur.

Le problème avec tellement de gens de la Gauche politique et de la Droite politique, c’est que, peu importe leurs différences concernant les questions se trouvant au milieu de l’ellipse, ils se rejoignent à l’unisson en bas de l’ellipse. Trump et Biden, les Républicains et les Démocrates, tous veulent utiliser le pouvoir du gouvernement pour contraindre, intimider ou forcer les citoyens américains à faire ce qu’ils veulent que nous fassions. Que nous soyons d’accord ou pas avec un des deux côtés, cela ne compte pas. Le fait que nous leur permettions d’exercer le pouvoir gouvernemental pour nous imposer LEURS idées personnelles devrait être anathème pour tout vrai partisan de la liberté.

Et il n’y a pas de liberté ordonnée par Dieu qui soit plus précieuse aux hommes libres et aux femmes libres que la liberté d’expression et la liberté de religion (conscience).

Il y a présentement une parfaite illustration de ce que je viens de dire et qui se joue devant nos yeux en les personnes du Premier Ministre Gauchiste du Canada, Justin Trudeau, et la gouverneure conservatrice du Dakota du Sud, Kristi Noem.

Le libéral Justin Trudeau

Le gouvernement canadien met rapidement de l’avant ses plans pour introduire une tyrannie déclarée et va commencer bientôt à prononcer des condamnations de prison à vie contre les citoyens qui seront trouvés coupables d’avoir commis des « crimes » de prétendue « haine ».

Un grand nombre de gens comparent ces nouvelles lois au roman contre-utopique 1984 de George Orwell alors que le Canada va bientôt commencer à distribuer de sévères punitions pour de mauvaises façons de penser.

La campagne de sentences à vie fait partie de la législation « anti-haine » du Premier Ministre « libéral » Justin Trudeau.

La nouvelle loi choquante, cachée sous le projet de loi C-63, déclare :

« Quiconque commet une offense à cette loi, ou toute autre loi du Parlement, si la commission de l’offense est motivée par une haine fondée sur la race, l’origine ethnique ou nationale, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, l’incapacité mentale ou physique, l’orientation sexuelle ou l’identité ou l’expression de genre, est coupable d’une offense grave et passible d’emprisonnement à vie. »

Cette nouvelle loi provient du Canada, alors que l’administration Trudeau, contrôlée par le Forum Économique Mondial, cherche à mettre rapidement de l’avant la descente du pays vers une tyrannie globaliste.

Le gouvernement a introduit plusieurs nouvelles lois qui semblent dépouiller le public de ses libertés.

Comme le rapporte Slay News, parmi les nouvelles lois draconiennes, il y a des pouvoirs qui permettent aux autorités de commencer à emprisonner les citoyens qui « pourraient » commettre un crime.

Le gouvernement Trudeau pousse sur la nouvelle autorité « pré-crime » qui, déclarent ses fonctionnaires, va contribuer à s’attaquer aux soi-disant « crimes de haine ».

(Source)

Naturellement, les conservateurs du côté droit de l’ellipse sont atterrés et en colère face à une proposition si tyrannique – ce qui est justifié. Il n’y a aucun doute que le fils canadien de Fidel Castro veut transformer notre voisin du nord en état communiste de climat froid à l’image de la prison douce qu’est l’île de Cuba.

Maintenant, visitons l’autre côté de l’ellipse, le côté droit, le côté conservateur.

La conservatrice Kristi Noem

En signant sa propre loi draconienne et tyrannique sur la « haine » au Dakota du Sud, aux États-Unis, la gouverneure Kristi Noem (sur la liste des candidats présélectionnés par Trump) a dit ce qui suit (rapporté par Chris Menehan d’InfoWars) :

« Quand j’étais petite, mon père rassemblait toujours notre famille et nous priions pour Israël. Il me fut inculqué dès mon plus jeune âge que les Juifs étaient le peuple choisi de Dieu, qu’Israël était la Terre Sainte et que nous devions toujours prier pour eux.

« J’apportai ces idées fondamentales avec moi quand je me retrouvai à la Législature d’État, quand je fus au Congrès et maintenant que je suis gouverneure du Dakota du Sud. Soutenir l’État d’Israël et notre communauté juive a toujours été important pour moi. Il est important de supporter Israël pour des raisons spirituelles, historiques et de sécurité nationale. Je maintiens ma position pour le peuple juif en signant une législation historique pour les protéger de l’antisémitisme.

« Je fus vraiment fière de signer l’HB 1076, un projet de loi très important pour combattre l’antisémitisme. Ce projet de loi définit l’antisémitisme et rend plus aisé de prouver qu’une conduite discriminatoire est motivée par l’antisémitisme. Il s’agit d’un élément législatif rempli d’impact qui assurera la sauvegarde du peuple juif et renforcera les lois antidiscriminatoires du Dakota du Sud.

« Nous avons tenu une belle et émouvante cérémonie de signature pour ce projet de loi à la Rotonde de notre Capitole d’État à Pierre. De nombreux leaders juifs y ont assisté, y compris Elan Carr, PDG du conseil d’Actions Israélo-américain ; Dan Rosen, leader juif reconnu au pays et fondateur de la Société Jacobson ; le rabbin et directeur du Centre National de Plaidoyer Juif, le Dr Mark Goldfeder ; le rabbin Mendel Alperowitz du Centre Chabad Juif du Dakota du Sud ; Renie Schreiber de la part de Yinam Cohen, consul Général d’Israël dans le Midwest ; et Jordan Cope de Stand With Us. Quelques-uns de nos invités spéciaux dirent quelques mots au sujet de l’impact que cette législation aura pour le peuple juif.

« Ce projet législatif passe en loi d’état l’étalon-or de la définition de l’antisémitisme de l’Alliance Internationale du Souvenir de l’Holocauste.

« J’espère que bien d’autres états de par notre grand pays suivront l’exemple que nous fixons ici au Dakota du Sud. Il est plus important que jamais que les leaders de notre pays se dressent pour combattre l’antisémitisme. Nous devons sans cesse œuvrer à assurer la sécurité du peuple choisi de Dieu. »

Menahan écrit :

La définition de l’Alliance Internationale du Souvenir de l’Holocauste (AISH) est complètement antithétique au Premier Amendement.

L’AISH définit ainsi l’antisémitisme :

« Faire des allégations mensongères, déshumanisantes, diabolisantes ou stéréotypées contre les Juifs comme tels ou contre le pouvoir collectif des Juifs – tels que, spécialement mais pas exclusivement, le mythe à propos d’une conspiration mondiale juive, ou d’un contrôle juif des médias, de l’économie, du gouvernement ou autres institutions sociétales.

« Accuser comme peuple les Juifs d’être responsables de méfaits, réels ou imaginés, commis par une seule personne juive ou un seul groupe juif, ou même par des actions commises par des non-Juifs.

« Nier le fait, la possibilité, les mécanismes (ex., les chambres à gaz) ou l’intention d’un génocide du peuple juif aux mains de l’Allemagne Nationale Socialiste, de ses supporteurs et de ses complices durant la Deuxième Guerre Mondiale (l’Holocauste).

« Accuser les Juifs en tant que peuple, ou Israël en tant qu’état, d’avoir inventé ou d’avoir exagéré l’Holocauste.

« Accuser les citoyens juifs d’être plus loyaux envers Israël, ou les priorités alléguées des Juifs autour du monde, qu’aux intérêts de leurs propres pays.

« Nier au peuple juif son droit à l’autodétermination, ex. : en déclarant que l’état d’Israël est une activité raciste.

« Appliquer un double standard en requérant de lui un comportement que l’on n’attend ni n’exige d’aucune autre nation démocratique.

« Utiliser les symboles et les images associées à l’antisémitisme (ex. : les déclarations que les Juifs ont tué Jésus, ou les sales diffamations) pour caractériser Israël ou les Israéliens.

Aucun autre groupe ethnique ou religieux d’Amérique ne reçoit de pareils privilèges.

Notez que pratiquement tout ce qui se trouve sur cette liste définissant « l’antisémitisme » se concentre sur le discours, les attitudes ou les pensées. « Allégations », « Accuser », « Nier », « Accuser », « Accuser », « Nier », « Appliquer », « Utiliser ». Tout cela se réfère au discours, aux attitudes, aux pensées.

Kristi Noem abuse du pouvoir du gouvernement en tentant de nier au peuple la liberté d’expression et la liberté de religion de leur Premier Amendement.

Si Noem veut croire que les Juifs ashkénazes du Proche-Orient sont le « Peuple élu de Dieu », c’est son droit religieux. Et si elle veut dire publiquement qu’elle croit à cela, la liberté d’expression lui en donne le droit.

MAIS…

  1. Cela ne signifie pas qu’elle a raison ; en fait, elle a TORT. Les Juifs ashkénazes de la Palestine d’aujourd’hui ne sont pas plus le Peuple élu de Dieu et la lignée descendante d’Abraham que vous et moi, ou que l’homme sur la lune.
  2. Cela ne lui donne pas le droit ou l’autorité de forcer les gens à croire comme elle, à partager sa croyance religieuse ou à utiliser le pouvoir du gouvernement pour punir ceux qui maintiennent une position contraire.

Pour votre information, Kristi,

Je CROIS que la possibilité populaire d’un Holocauste allemand EST « exagérée ».

Je CROIS que le sionisme juif EST une idéologie raciste radicale – comme le croient aussi de nombreux Israéliens, soit dit en passant.

Je CROIS    que les Juifs sionistes ONT une influence extraordinaire sur nos médias, la Réserve Fédérale, le gouvernement et les institutions sociétales – et il m’apparait qu’en signant ce projet de loi, Kristi, vous prouvez mon affirmation.

Et, oui, je crois également que les Juifs qui contraignirent Ponce Pilate et le manipulèrent pour qu’il crucifie Jésus SONT à diffamer pour Sa mort. À vrai dire, Kristi, les Pharisiens et les Juifs qui assassinèrent Jésus admirent leur responsabilité pour la mort de Christ quand ils s’écrièrent « Que son sang soit sur nous, et sur nos enfants ! » (Matthieu 27:25).

Si je vivais dans le Dakota du Sud, je suppose que je serais coupable de crime de « haine » et sujet aux représailles du gouvernement.

Donc, Noem et Trudeau sont-ils si différents ? Tous les deux veulent employer le pouvoir et la force du gouvernement pour punir les gens exerçant leur liberté de religion et d’expression accordée par Dieu d’une manière qui ne leur convient pas.

Le projet de loi tyrannique sur la « haine » de Noem n’est-il pas motivé par la cupidité et l’ambition, en utilisant ce projet de loi comme moyen d’obtenir l’aumône des lobbyistes israéliens et plus de cash pour sa campagne ?

Même chose pour le projet de loi tyrannique de Trudeau ?

Nooon !

Gauche, Droite, Libéraux. Conservateurs. Séculiers. Religieux. Tout cela s’appelle tyrannie si on se rencontre au bas de l’ellipse, comme le font maintenant Justin Trudeau et Kristi Noem.