Il est temps que les sionistes chrétiens prennent action selon leurs dires

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

10 avril 2025

Depuis qu’Israël a rompu l’accord de cessez-le-feu et a repris son génocide des Palestiniens à Gaza, il y a presqu’un mois, les Forces de Défense Israéliennes massacrent délibérément et gratuitement plus de cent précieux petits enfants innocents chaque jour. Et il n’y a pas la moindre protestation de la part des prétendus chrétiens.

Pourquoi nous attendre à autre chose ? Les « chrétiens » évangéliques applaudissent le génocide de masse meurtrier et le nettoyage ethnique d’Israël contre le peuple palestinien depuis le tout début – en remontant jusqu’en 1947.

Cela est dû à l’envahissante acceptation chez les évangéliques des doctrines hérétiques et blasphématoires du Dispensationnalisme Prophétique, alias le Futurisme Scofieldien ou sionisme chrétien.

Dans toute l’Amérique, les évangéliques – en public et en privé – justifient ce carnage meurtrier en Palestine par la croyance farfelue et sectaire que l’État sioniste d’Israël est une revitalisation de l’Israël de l’Ancien Testament et, par conséquent, possède la justification divine de commettre un nettoyage ethnique et un génocide contre les Palestiniens en se basant sur le commandement de Dieu au prophète Samuel d’utiliser Israël comme instrument divin de jugement contre les Amalécites, dans 1 Samuel 15.

Mais ces sionistes « chrétiens » laissent commodément échapper le fait que Dieu a aussi utilisé les Assyriens comme instrument divin de jugement contre Israël en 722 avant J.-C., et les Babyloniens comme instrument divin de jugement contre Juda en 587 avant J.-C., et les Romains en tant qu’instrument divin de jugement contre le reste des Juifs en l’an 70 après J.-C.

Dieu ne fait acception de personne :

« Alors Pierre prenant la parole, dit : en vérité je reconnais que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Actes 10:34).

« Parce que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Romains 2:11).

« Et vous maîtres, faites envers eux la même chose, et modérez les menaces, sachant que le Seigneur et d’eux et de vous est au Ciel, et qu’il n’y a point en lui acception de personnes » (Éphésiens 6:9).

« Mais celui qui agit injustement, recevra ce qu’il aura fait injustement ; car en Dieu il n’y a point d’égard à l’apparence des personnes » (Colossiens 3:25).

« Et si vous invoquez comme votre Père celui qui sans avoir égard à l’apparence des personnes, juge selon l’œuvre d’un chacun, conduisez-vous avec crainte durant le temps de votre séjour temporel » (1 Pierre 1:17).

Dieu détruisit le méchant Israël et le méchant Juda d’une façon aussi complète qu’Il détruisit les méchants Amalécites et les sept méchantes nations de Canaan. Mais encore là, les évangéliques ignorent entièrement tout cela. Qui plus est, ils refusent même d’écouter tout ce qui a trait à l’anéantissement de Dieu de l’Israël de l’Ancienne Alliance.

J’encourage les lecteurs à regarder les deux messages que j’ai livrés jusqu’ici en regard de la destruction des Amalécites et les lois de guerre d’Israël dans l’Ancienne Alliance. Ces messages démontrent que les « chrétiens » sionistes d’aujourd’hui ne comprennent même pas les lois de la conduite de guerre d’Israël dans l’Ancien Testament – encore moins le fait que l’Ancienne Alliance est abolie et que nous vivons maintenant sous la « loi de la liberté » de la Nouvelle Alliance :

« Mais celui qui aura regardé au-dedans de la Loi parfaite, qui est la Loi de la liberté ; et qui aura persévéré, n’étant point un auditeur oublieux, mais s’appliquant à l’œuvre qui lui est prescrite, celui-là sera heureux dans ce qu’il aura fait » (Jacques 1:25).

« Parlez et agissez comme devant être jugés par la Loi de la liberté » (Jacques 2:12).

Voici le message numéro un sur YouTube.

Voici le message numéro deux sur YouTube.

Les « chrétiens » sionistes vivent dans l’Ancienne Alliance. Ils ne savent presque rien de la Nouvelle Alliance de Christ. Ils parlent et vivent comme si la mort et la résurrection de Christ, ainsi que l’avènement de la Nouvelle Alliance, n’étaient jamais arrivés. Ils ne comprennent rien de ce qui concerne la signification et le sens de la destruction de Jérusalem en l’an 70 apr. J.-C. (ce qui veut dire qu’ils ne pourraient même pas comprendre le Messie d’Haendel). Ils interprètent le Nouveau Testament par le moyen de l’Ancien Testament, alors que la Nouvelle Alliance exige que nous interprétions l’Ancien Testament par le Nouveau Testament.

Quelle moquerie du Nouveau Testament et de l’œuvre de Christ sur la croix !

Ceux d’entre nous qui nous rappelons la Guerre du Vietnam nous nous souvenons de la photographie emblématique du New York Times d’une petite fille vietnamienne – surnommée La fille au napalm par la presse – marchant nue, brûlée, ensanglantée et contusionnée, s’éloignant de son village qui venait d’être bombardé par l’armée américaine. Cette photographie devint l’image de la Guerre du Vietnam et a aidé le peuple américain à en finir avec les horreurs de cette guerre inconstitutionnelle et immorale.

En passant, cette petite fille, qui se nomme Phan Thi Kim Phúc, a maintenant 61 ans et vit au Canada. Elle est allée au collège, a étudié en pharmacie et elle est créatrice d’une fondation destinée à élever la conscience sur les injustices et les atrocités de la guerre, et à lever des fonds pour les soins médicaux aux enfants qui ont été blessés durant une guerre. En 1982, elle a trouvé un Nouveau Testament et, après l’avoir lu, elle est devenue chrétienne.

Nous avons besoin d’une photographie sur la couverture du New York Times montrant les horreurs de la guerre mauvaise et immorale d’Israël et de l’Amérique à Gaza. Cela n’arrivera évidemment pas, parce que notre grand courant médiatique est entièrement contrôlé par le lobby d’Israël. Mais, au nom de l’humanité, nous avons désespérément besoin d’une pareille image qui soit vue par chacun des citoyens des États-Unis.

Mon bon ami et survivant de l’attaque d’Israël contre l’USS Liberty, Phil Tourney, a posté une telle image contenue dans une courte vidéo de 30 secondes sur la page de Quds News Network. Merci d’avoir partagé cette image, Phil. J’ai la larme à l’œil quand je vois cette image, et même seulement à y penser.

L’Amérique devrait commencer à pleurer à cause des atrocités, des crimes contre l’humanité et du génocide meurtrier que les gens de notre pays ont été forcés de soutenir en permettant que nos taxes soient utilisées comme l’instrument d’une telle mortalité massive et tant de destruction.

S’il vous plaît, regardez cette image – et partagez-la avec tout le monde. Poussez les gens à voir les réalités horrifiantes que notre gouvernement nous force à participer à Gaza.

À la différence de la guerre au Vietnam, les médias américains cachent délibérément les horribles réalités de ce que les gouvernements américain et israélien infligent à des hommes, des femmes, des enfants et des bébés innocents à Gaza et en Cisjordanie – et au Liban et en Syrie.

Il est grand temps que l’Amérique ouvre les yeux !

Il est également grand temps que les « chrétiens » sionistes prennent action selon leurs dires !

Il y a trois semaines, j’ai lancé un bref vidéo-clip de quatre minutes abordant ce sujet.

Voici le vidéo-clip YouTube de quatre minutes.

Et voici la transcription de ce que je dis dans ce court vidéo-clip :

Employer les guerres d’Israël de l’Ancienne Alliance pour justifier la violation des Lois Naturelles de Dieu et les Lois de la Moralité ne s’avère pas seulement non-biblique selon les standards de l’Ancien Testament, c’est aussi une abomination face aux lois de l’Évangile telles qu’enseignées par Christ et Ses apôtres dans la Nouvelle Alliance.

Voici ce que j’attends de voir. Je m’attends de voir les pasteurs sionistes chrétiens et les membres de leurs églises, qui soutiennent avec tant d’enthousiasme les guerres génocidaires d’Israël contre des hommes, des femmes et des enfants innocents – dont beaucoup de nos frères et sœurs en Christ – et qui crient que les Israéliens sont le peuple élu de Dieu, et que leur massacre d’innocents est justifié, de prendre action selon leurs dires.

Je m’attends à les voir – tous ceux d’entre eux en âge de combattre – de monter dans un jet et de s’envoler vers Tel-Aviv et de joindre l’armée israélienne. Je m’attends à les voir porter une mitraillette Uzi ; je m’attends à les voir porter un fusil de sniper M89SR ; je m’attends à les voir porter un poignard de combat KA-Bar.

S’ils sont trop vieux pour combattre, je m’attends à ce qu’ils envoient leurs fils et leurs filles en Israël et qu’ils joignent les FDI. Après tout, un de leurs héros sionistes chrétiens, le Secrétaire à la Défense Pete Hegseth, a dit qu’il élève son fils pour qu’il combatte pour Israël. Donc, je m’attends à voir ces pasteurs sionistes chrétiens et les membres de leurs églises faire de même.

Je m’attends à les voir regarder au travers de la lunette de leur fusil de sniper M89SR, de mettre le réticule sur l’estomac d’une mère palestinienne sans défense, enceinte de huit mois, et de presser la gâchette.

Je m’attends à ce qu’ils prennent leur mitraillette Uzi et à viser au front une petite fille palestinienne innocente de 8 ans ou un garçon palestinien de 9 ans et à presser la gâchette. Je m’attends à ce qu’ils prennent leur poignard KA-Bar et tranchent la gorge d’un grand-père palestinien ou d’une grand-mère palestinienne de 80 ans.

Je m’attends à ce qu’ils prennent en main une grenade et qu’ils la lancent dans la salle-à-dîner d’une famille palestinienne pendant qu’ils soupent. Je m’attends à ce qu’ils opèrent un drone militaire et trouvent un groupe de palestiniens déplacés et sans défense se réfugiant dans des tentes de fortune et à lancer des missiles sur eux.

Allons ! Vous tous, sionistes chrétiens qui soutenez le génocide d’Israël, vous tous, sionistes chrétiens qui dites que les Israéliens ont de bonnes raisons de tuer des femmes et des enfants innocents, si c’est permissible pour les Israéliens de tuer des femmes et des enfants innocents, cela vous est permis à vous aussi.

S’il est permissible aux Israéliens de violer des femmes gentilles, tel que le disent les principaux rabbins des FDI aux soldats israéliens, cela vous est permis à vous aussi.

Alors, pourquoi ne le faites-vous pas ?

Si les Palestiniens sont des Amalécites et doivent être anéantis pour provoquer « l’enlèvement » et le retour de Christ, pourquoi n’êtes-vous pas là-bas à contribuer à ce que cela arrive ?

Allez-y ! Prenez action selon vos dires !

Honte à tout chrétien qui voudrait utiliser les Écritures – des deux Testaments – dans le but de fermer les yeux et de justifier le meurtre de masse, le nettoyage ethnique et le génocide qui se commettent par Israël ou par quiconque !

Ces remarques étaient la conclusion de mon second message intitulé Par quelle autorité l’Israël sioniste commet-il des meurtres de masse contre des femmes et des enfants ? Étude clinique de la destruction des Amalécites et les Lois de guerre de l’Ancienne Alliance. [en anglais seulement]

Trouvez le message ici.

J’ai honte de nos « chrétiens » évangéliques qui sont si terriblement ignorants au sujet de la vérité biblique sur la Nouvelle Alliance de Christ et qui utilisent le nom de Christ pour justifier les meurtres de masse d’un Israël de contrefaçon, son génocide et ses crimes contre l’humanité.

J’ai plus que honte, je suis dégoûté.

Le soutien évangélique pour l’Israël sioniste fait vomir. Ils auraient tout aussi bien pu avoir supporté les bolcheviks en Russie et les communistes en Chine. Les sionistes d’Israël ne sont pas moins méchants.

Comme je l’ai dit plus haut, il est temps que les sionistes « chrétiens » prennent action selon leurs dires !

Encore mieux, il est plus que temps qu’ils étudient leur Bible et trouvent ce que veut dire être un chrétien sous la « loi de liberté » de la Nouvelle Alliance de Christ.




Les trois plus grandes trahisons de Trump jusqu’à maintenant

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

3 avril 2025

Écrivant pour Natural News, Lance Johnson a rédigé un sommaire précis et concis des plus grandes trahisons du Président Donald Trump jusqu’à date. Elles sont au nombre de trois.

Trahison numéro un

De Gaza au Yémen : Trump étend le massacre au Proche-Orient

La trahison de Trump est des plus évidentes dans son escalade militaire. Après avoir critiqué de manière cynique les bombardements de Biden, Trump a mené des frappes dévastatrices contre le Yémen, tuant des civiles sous le prétexte de protéger la navigation en Mer Rouge – crise manufacturée par le blocus israélien contre Gaza.

Le Dr Ron Paul en a condamné l’hypocrisie : « Le Yémen était-il en train d’attaquer les États-Unis ? Non. Le Président a-t-il demandé une déclaration de guerre ? Non. » Au lieu de cela, les bombes de Trump se sont mises à pleuvoir sur les femmes et les enfants pendant que son administration menaçait l’Iran – une provocation délibérée pouvant mener à la Troisième Guerre Mondiale.

Max Blumenthal résume le rôle de Trump de façon succincte : « Trump s’est emparé du massacre de Gaza. » L’homme même qui promettait la paix alimente maintenant l’enfer régional, les intérêts d’Israël dictant chaque mouvement.

Oui, vraiment.

Le fiasco du chat Signal du cabinet de guerre de Trump, conduit par le Secrétaire à la Défense Pete Hegseth démontre non seulement jusqu’à quel point l’administration Trump est assoiffée de sang, mais également l’ineptie purement prétentieuse et ignorante qu’exhibent ces individus au sujet des affaires internationales.

Hegseth fut le guerroyeur-en-chef dirigeant ce paquet de prédateurs pathétiques et psychopathes qui a dit sur le chat : « Personne ne sait qui sont les Houthis. »

Mais pourquoi se laisserait-on arrêter par un peu d’ignorance au sujet des gens que vous planifiez assassiner ? La discussion s’est poursuivie dans une unanimité presque complète à savoir que, peu importe qui ils sont, on doit les tuer. Le centre de la discussion tournait autour de la question à savoir comment « vendre » au peuple américain l’attaque militaire illégale, injuste et immorale contre le Yémen.

On a découvert plus tard que la raison pour laquelle Hegseth et ses laquais mégalomaniaques faisaient des plans pour attaquer le Yémen était que le Mossad israélien en avait donné l’ordre.

Vous rappelez-vous lorsque les Républicains étaient en rébellion ouverte à propos de la révélation que la Secrétaire d’État Hillary Clinton avait coulé des informations gouvernementales sensibles via ses courriels ? Les Conservateurs exigèrent à hauts cris qu’elle soit congédiée. Qu’elle ne soit pas licenciée provoqua des proclamations qu’il y avait un « double standard » de lois pour la hiérarchie démocrate.

Eh bien, nous savons maintenant qu’il existe aussi un « double standard » de lois pour la hiérarchie républicaine. Donc, le vrai double standard de lois échoit sur les électeurs de notre pays qui ne veulent qu’appliquer la règle de loi au parti politique opposant. Ils sont parfaitement à l’aise si leur parti viole la loi – ou la Constitution elle-même, pour la même raison.

L’érudit légiste et juge Andrew Napolitano est d’opinion qu’Hegseth a violé la Loi fédérale sur l’Espionnage.

À mon point de vue, le crime d’Hegseth fait paraître celui d’Hillary comme un P.V. de stationnement en comparaison, et il devrait à tout le moins être congédié et peut-être même poursuivi au criminel. D’autres personnes du gouvernement sont présentement à subir des sentences de vingt ans de prison pour des crimes de nature bien moindre que celui d’Hegseth.

Hegseth a montré au monde – les amis comme les ennemis – que les choix de cabinet de Trump forment une bande de bouffons. En lisant le chat, on penserait voir le bavardage d’enfants d’école secondaire.

Quelle incroyable incompétence !

Ensuite, bien sûr, Trump réalimenta Israël en bombes et en missiles pour continuer son génocide et son nettoyage ethnique du peuple palestinien à Gaza et puis donner le feu vert au massacre de Netanyahou sur la population civile de Gaza qui se poursuit sans discontinuer jusqu’à maintenant.

Donc, le génocide de Gaza est maintenant le GÉNOCIDE DE TRUMP. Et la guerre au Yémen est maintenant LA GUERRE DE TRUMP.

Trahison numéro deux

La marionnette et le marionnettiste – la servilité de Trump pour Netanyahou

L’allégeance de Trump envers le Premier Ministre Benjamin Netanyahou n’est pas seulement politique – elle est pathologique. Comme l’a observé sans ménagements le colonel Douglas Macgregor : « Netanyahou pratique la politique américaine au moyen de la ventriloquie. Il ne fait que faire bouger les lèvres de Trump. »

George Galloway a mis en lumière la servilité humiliante de Trump en rappelant les séquences du président américain où il tire la chaise de Netanyahou comme un serviteur. « Voici le Président des États-Unis attendant pratiquement debout à la table la visite d’un politicien, » remarque Galloway, mettant l’accent sur le grotesque déséquilibre de pouvoir.

Netanyahou ne fait pas que diriger Israël – il commande au « pouvoir et au capital de la juiverie internationale », note Macgregor. Trump en dette envers cette influence lors de ses élections, rembourse maintenant les faveurs par des bombes.

Aujourd’hui, seuls ceux qui sont « volontairement ignorants » ne savent pas que nos politiciens des deux partis à Washington, D.C., – y compris le Président Trump – sont achetés et payés par le lobby israélien. J’ai lu des estimations qui suggèrent que l’ensemble des contributions à la campagne politique de Trump, l’an dernier, de la part des donateurs sionistes dépassait le milliard de dollars. La collaboratrice du Mossad Miriam Adelson a à elle seule donné plus de cent millions de dollars à Trump.

En vérité, l’armée américaine n’est rien de plus qu’une armée de mercenaires au service d’Israël. Cela débuta sérieusement lors de la première administration présidentielle de G. W. Bush. Depuis un quart de siècle maintenant, les politiques étrangères des administrations présidentielles américaines (sans égard au parti) n’ont été rien de plus que des effets de marionnettes aux mains d’Israël.

Comme je l’ai noté dans cette rubrique la semaine dernière, voyez ce que ce rabbin juif très influent a dit récemment :

Ça n’a vraiment pas d’importance que ce soit Donald Trump ou Donald Duck qui gagne les élections américaines. Ça n’a pas plus d’importance que ce soit Kamala Harris ou Kermit la Grenouille qui gagne.

En ce qui a trait aux affaires internationales, en tout ce qui touche à l’avenir de ce monde, Donald Trump ou Kamala Harris n’ont aucune liberté de choix. Ils deviennent des pantins. Et qui tirent les ficelles de ces marionnettes ? Nous. Le peuple juif.

La politique étrangère de l’Amérique n’est pas conçue par notre président ou notre secrétaire d’état ; elle est conçue par Benjamin Netanyahou et les sionistes d’Israël.

Trahison numéro trois

La guerre de Trump contre la liberté d’expression : faire taire les critiques contre Israël

L’administration Trump a armé le pouvoir fédéral afin d’écraser la dissidence face à l’occupation brutale d’Israël en Palestine. Le juge Andrew Napolitano et le professeur John Mearsheimer ont récemment dénoncé la réalité effrayante : « La principale plus grande menace contre la liberté d’expression aux États-Unis, à ce moment-ci, c’est Israël et ses souteneurs, ici, aux États-Unis », a déclaré Mearsheimer.

En dépit de la déclaration creuse de Trump – « J’ai mis fin à toute censure gouvernementale et j’ai ramené la liberté d’expression en Amérique » – son régime a intensifié les mesures de répression contre les voix propalestiniennes. Les manifestants font face à la déportation, les universités censurent la critique contre Israël, et tout défi aux narratifs sionistes est traité avec des représailles de sanctions d’état.

Le professeur Mearsheimer a raison à cent pourcent. « La principale plus grande menace contre la liberté d’expression aux États-Unis, à ce moment-ci, c’est Israël et ses souteneurs, ici, aux États-Unis ».

Publié sur VaccineImpact.com, voici un reportage de Brian Shilhavy intitulé « Le Corps Expéditionnaire sur l’Antisémitisme » de RFK Jr opérant comme une nouvelle police secrète traquant et terrorisant les résidents légaux des États-Unis.

Le Secrétaire aux Services de Santé Humanitaires (HHS), Robert F. Kennedy Jr, a continué à attaquer ceux qui protestent contre le génocide qui se produit à Gaza en faisant en sorte que son Corps Expéditionnaire sur l’Antisémitisme traque et terrorise les résidents américains LÉGAUX, y compris des résidents permanents qui sont ici avec des Cartes Vertes.

Voici une vidéo de surveillance qui a capté la manière par laquelle cette nouvelle force de police secrète qui opère aux États-Unis agit de façon très similaire à la Gestapo allemande et au KGB russe qui opéraient durant la Seconde Guerre Mondiale où les dissidents étaient enlevés et envoyés dans des Camps de Concentration.

Le journaliste Glenn Greenwald, lui-même d’ethnie juive, est le dernier à avoir critiqué Kennedy pour son organisation du Corps Expéditionnaire sur l’Antisémitisme.

Greenwald a soutenu Kennedy et son mouvement MAHA (Make America Healthy Again), mais a peine à croire maintenant que Kennedy se joint aux sionistes et restreint la liberté d’expression.

Un grand nombre des étudiants qui sont traqués, saisis sans aucun mandat et que l’on fait disparaître dans des centres de détention ICE en Louisiane, dirigés par des contractants privés dans des conditions déplorables, sans aucun dossier d’accusation contre eux, ne sont pas ici avec des visas étudiants, mais sont des résidents permanents ayant des Cartes Vertes, ce qui signifie que l’immigration les a déjà interviewés et leur a accordé la résidence permanente aux États-Unis.

Si cette nouvelle force de police secrète s’en tire avec cela, pensez-vous honnêtement qu’elle va s’en tenir seulement à enlever des étudiants ? Pourquoi devrait-elle s’arrêter seulement aux étudiants ?

Si son but est de faire taire toute dissidence contre le mouvement sioniste, vous pouvez être sûr qu’elle va éventuellement courir après tous ceux qui ne supportent pas le sionisme.

Comme je l’ai dit dans mon homélie de dimanche dernier, intitulée Aucun Roi sauf Jésus ! :

Notez bien ceci : Les évangélistes judaïques qui se réjouissent de la persécution inconstitutionnelle des collégiaux qui vocifèrent leur déplaisir face au génocide d’Israël à Gaza sont les mêmes qui se réjouiront de la persécution inconstitutionnelle contre vous et moi qui disons que l’Israël de Dieu n’est PAS l’état sioniste né en 1948.

Et ici même, j’encourage fortement les lecteurs à visionner cette brève vidéo dans laquelle Benjamin Netanyahou se vante virtuellement que Trump soit sa marionnette et suit ses ordres en faisant la guerre contre quiconque s’oppose à l’État sioniste d’Israël – et pousse vivement Trump (et tout autre leader gouvernemental) à incarcérer tous ceux qui parlent contre Israël.

S’il vous plaît, regardez également cette courte vidéo d’une minute du professeur Jeffrey Sachs abordant ce sujet spécifique avec une honnêteté brutale et directe.

Aussi, dans mon message de dimanche dernier, j’ai cité un article de Jesse Smith de Technocracy.News intitulé L’équipe Trump est bourrée de technocrates « contre-élitistes » de Peter Thief :

Trump est à peine depuis deux mois dans son second mandat et une cellule de réflexion républicaine, appelée Projet Troisième Mandat, cherche une façon de le faire revenir en poste au-delà de sa besogne actuelle qui expire en 2028. Ils travaillent à amender la Constitution pour rendre la chose possible. Leurs items promotionnels décrivent Trump comme un César romain.

Je recommande vivement aux lecteurs de jeter un œil sur cette affiche promouvant le Projet Troisième Mandat qui est apparue à la récente convention CPAC et qui fait exactement ce qu’a dit Jesse : dépeindre Trump comme un César romain.

Smith continue en écrivant ceci :

Coïncidence, Musk a posté en novembre dernier que « L’Amérique est la Nouvelle Rome ».

Musk imagine-t-il l’administration Trump comme équivalant à la « Paix Romaine » de César Auguste qui fut exécutée par le travail des esclaves et mettait en scène des expansions territoriales agressives ?

Ou est-il en faveur de la société où les Césars dirigeaient d’une main de fer et où toute dissension pouvait résulter en enlèvement et/ou en exécution ? Ou est-ce un mélange des deux ?

L’incursion de Trump dans la limitation de la liberté d’expression pour avoir critiqué Israël et l’étiquetage des vandales de Tesla de terroristes domestiques fournit des indices à savoir vers où nous nous en allons.

Oui, en effet.

Dans le film de Star Wars « La revanche des Siths », le chancelier suprême Palpatine, qui est secrètement Darth Sidious, déclare la formation de l’Empire Galactique.

Padmé Amidala, une sénatrice qui représente l’idéal de la République, regarde avec désarroi ses compagnons sénateurs applaudir avec enthousiasme l’établissement de l’Empire.

Amidala dit à un autre sénateur : « Ainsi, voilà comment meurt la liberté, par un tonnerre d’applaudissements. »

Nous sommes témoins de cette même scène dans la vraie vie alors que la Synagogue-église et les Républicains conservateurs – aveugles quant à l’identité du réel Darth Sidious – applaudissent au démantèlement de notre Constitution et au commencement du pouvoir absolument autoritaire du Gouvernement-Corporation Technocratique.

On aurait pensé que les trahisons de Trump auraient réveillé les chrétiens évangéliques et les Républicains conservateurs devant l’autoritarisme qui émerge rapidement dans notre pays. Mais, hélas ! ils sont aveugles comme toujours.

Ave César !




Nous sommes tous des Amalécites

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

27 mars 2025

Les leaders israéliens se référent constamment aux Palestiniens en les qualifiant « d’Amalécites ». Mais leur suprématie juive va encore plus loin. Benjamin Netanyahou et ses acolytes sionistes se réfèrent constamment au peuple palestinien (les « Amalécites ») comme étant des « animaux », des « sous-humains » que l’on peut tuer et torturer sans merci et en toute impunité morale ou civile.

À l’époque de Moïse, les Amalécites étaient les descendants d’Ésaü, fils d’Isaac et frère de Jacob. Ils étaient donc au point de vue biologique les neveux et les nièces de Jacob (renommé « Israël » par l’Éternel). Le fait est donc que les Écritures de l’Ancien Testament disent clairement que les Amalécites étaient un peuple (des êtres humains) – de la parenté même des Israélites.

Le Dieu d’Abraham et de Moïse ne regarda jamais les Amalécites autrement que comme des gens – un peuple méchant, mais néanmoins des gens. En fait, Dieu traita les Amalécites avec grande patience et avec grâce, attendant plus de 400 ans avant de porter Son jugement divin sur eux en donnant ainsi au peuple d’Amalec tout le temps pour se détourner de sa méchanceté et trouver miséricorde et pardon auprès de Dieu. Pourquoi ? Parce que Dieu aime l’humanité et que nous sommes tous faits à Son image, étant des âmes vivantes. Dieu donna Son Fils unique afin qu’Il meure pour les péchés de l’humanité – ce qui signifie clairement que toute l’humanité possède le potentiel de l’éternité.

Le plus grand de tous les commentateurs bibliques, Matthew Henry (1662-1714), écrivit dans ses commentaires, en regard des guerres d’Israël dans l’Ancienne Alliance :

En faisant affaire avec les pires des ennemis, les lois de justice et d’honneur doivent être observées.

« Les lois de justice et d’honneur [les Lois de la Nature] doivent être observées » parce que même un ennemi est un être humain fait à l’image de Dieu et est donc, par conséquent, candidat à la miséricorde et à la rédemption de Dieu.

J’invite les lecteurs à regarder le premier message de ma série intitulée Par quelle autorité l’Israël sioniste commet-il des meurtres de masse contre des femmes et des enfants ? Étude clinique de la destruction des Amalécites et les Lois de la guerre de l’Ancienne Alliance [en anglais seulement].

À visionner ici.

Mais la philosophie de l’administration de Donald Trump veut que n’importe qui peut être désigné de palestinien, c’est-à-dire, amalécite indigne des droits naturels ou constitutionnels.

« Il n’est plus juif. C’est un palestinien. »

Par ces mots, le Président américain Donald Trump ne fit pas seulement qu’insulter le sénateur démocrate Chuck Schumer, mais il exposa quelque chose d’encore plus insidieux. Dans le langage de Trump, palestinien n’est pas seulement une nationalité, c’est une accusation, une sentence d’exil, une marque de délégitimation.

Le crime de Schumer était d’avoir remis en question le gouvernement sans cesse plus autoritaire de Benjamin Netanyahou. Schumer, loyal sioniste qui se positionne depuis longtemps comme un des plus inébranlables défenseurs d’Israël, a osé sous-entendre que l’extrémisme de Netanyahou faisait du tort à l’avenir d’Israël.

Cela seul fut suffisant pour que Trump le dépouille de sa juiveté et le qualifie de quelque chose d’autre, quelque chose qui se voulait dégradant.

Ce n’est pas la première fois que Trump brandit le mot « palestinien » comme une insulte. Il l’a employé contre l’ancien Président Joe Biden, contre Schumer antérieurement et, en fait, contre quiconque ose remettre en question les politiques d’Israël.

Un Palestinien peut être arrêté pour avoir protesté, être congédié pour avoir parlé, ou être mis sur une liste noire pour avoir différé d’opinion.

Voilà l’avertissement réel derrière l’attaque de Trump. Vous n’avez pas à être palestinien pour être puni comme tel. Pas besoin d’être arabe ou musulman. Vous n’avez qu’à sortir des rangs.

Même la juiveté n’est plus une protection. Votre identité est devenue conditionnelle, votre histoire sans importance. Vous pouvez être déclaré traître, ennemi intérieur, déchu de votre place.

Du moment que vous remettez Israël en question, vous devenez palestinien – pas par la naissance, mais par décret. Parce que dans ce monde-ci, un Palestinien n’a pas de droits, ni personne qui le défend.

(Source)

Donald Trump introduit une nouvelle marque de l’autoritarisme, une marque infligée par une seule accusation – une accusation qui est si étendue que le Reich de Trump peut l’interpréter comme bon lui semble : l’accusation d’antisémitisme.

Écoutez la procureure générale hyper-sioniste de Trump, Pam Bondi :

La procureure générale des États-Unis qualifie les manifestants propalestiniens de « terroristes domestiques ».

La procureure générale américaine Pam Bondi a décrit les étudiants protestataires propalestiniens comme des « terroristes domestiques » en avertissant que les universités pourraient perdre leur financement fédéral si elles ne s’occupent pas de l’antisémitisme sur leurs campus.

En février, le Département de la Justice a formé un corps spécial multi-agences centré sur le combat contre l’antisémitisme avec comme cible prioritaire le harassement dans les écoles et les universités. Des fonctionnaires ont dit que le groupe allait coordonner la mise en application de la loi et « déraciner » le comportement antisémite sur les campus à l’échelle nationale.

Les manifestants, incluant des étudiants juifs, arguent que la critique de la politique d’Israël ne constitue pas de l’antisémitisme. Ils disent que la défense des droits des Palestiniens s’aligne sur le noyau des valeurs américaines.

(Source)

On pourrait penser qu’une procureure aurait au moins une compréhension rudimentaire du Premier Amendement de notre Charte des Droits :

« Le Congrès ne fera aucune loi quant à l’établissement d’une religion ou en interdisant le libre exercice, ou en réduisant la liberté d’expression, ou de la presse ; ou quant au droit du peuple de s’assembler de manière pacifique et de pétitionner le gouvernement afin qu’il redresse des sujets de plainte. »

C’est passablement clair pour moi. Le gouvernement ne peut pas réduire le droit du peuple à la liberté d’expression – même l’expression qu’il n’aime pas – ou la liberté de s’assembler paisiblement (manifestations) et de pétitionner le gouvernement pour qu’il redresse les sujets de plainte.

Mes amis, comprenons bien ce qui est en jeu, ici. Si nous ne sommes pas libres de nous exprimer, nous ne sommes pas libres !

Candace Owens l’a proclamé une fois pour toutes dans ce vidéo-clip :

Nous ne voyons tout simplement pas de vie humaine chez les musulmans. Et pour moi, parler de Gaza et parler de casinos et d’hôtels, et de ces gens qui viennent tout juste de perdre des familles entières, c’est tellement éloigné de l’humanité. Et j’ai été très déçue par Trump et ses perspectives au sujet de Gaza. Je crois que c’est mal. Et je suis fatiguée que l’on prenne l’Amérique pour la tirelire d’Israël.

Pour une raison quelconque, tout le monde peut critiquer tout autre pays qui nous soutire de l’argent, mais tout le monde ferme les yeux quand vient le tour d’Israël.

Voir ces enfants palestiniens. Et les images sont fixées dans mon esprit. Les cris, les pleurs, les saignements, le matériel que l’on voit sur X pour la première fois, et réaliser vraiment comme on nous a menti à propos de ce qui arrivait dans cette région. Ça m’a été facile de parler. Je n’ai qu’à me tenir du côté humain des choses.

En autant que je sache, Candace ne possède pas de diplôme en droit, mais elle comprend de toute évidence mieux le Premier Amendement que la procureure générale de Trump.

En passant, Trump et Bondi sont sur le point de mettre en application une loi nationale Red Flag de confiscation des armes. De toute évidence, ni un ni l’autre ne comprend non plus le Second Amendement.

Et Trump et Bondi sont drôlement sérieux en ce qui a trait à la suppression du langage propalestinien :

L’exigence du Président Trump, mardi, de bannir les masques aux manifestations anti-Israël « illégales » n’est venue qu’une journée après que le PDG de la Ligue Anti-Diffamation (ADL), Jonathan Greenblatt, ait émis la même exigence au congrès Never is Now de l’ADL.

(Source)

Bien sûr, bannir les masques aux protestations permet la surveillance du gouvernement pour identifier chacun des manifestants afin qu’ils puissent être poursuivis en justice après coup. Que les manifestants se sentent poussés à porter des masques montre qu’en ce moment-même, l’Amérique ne peut pas se définir comme un pays libre.

Trump qualifie les manifestants anti-Israël « d’illégaux ». Mais le Premier Amendement dit que non seulement sont-ils « légaux », mais qu’ils sont aussi « protégés ».

Il est douloureusement évident que Trump se fout de la Constitution, de la Charte des Droits, de la liberté ou de la règle de la loi. Tout en Donald Trump exhale l’autoritarisme.

Tant que je vivrai dans un monde composé d’hommes déchus moralement et spirituellement, je ne désirerai pas être plus sous l’autoritarisme de l’aile droite que sous l’autoritarisme de l’aile gauche, l’autoritarisme théocratique ou l’autoritarisme séculier. En ce monde, l’autoritarisme de quelque genre que ce soit est l’ennemi de la liberté.

Le 18 avril 1775, au mépris des soldats de la Couronne britannique, John Adams s’écria : « Nous ne reconnaissons de souveraineté que celle de Dieu, et aucun roi sauf Jésus ! » Ce devint le cri de ralliement et la devise de notre Guerre pour l’Indépendance.

Et, en parlant de cette dernière, Trump planifie-t-il réellement de ramener l’Amérique sous le Commonwealth britannique ? Trump a-t-il appris quoi que ce soit de la Bataille de Lexington, du discours de Patrick Henry, « Donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort », ou de la Déclaration d’Indépendance ?

Trump dit qu’il « aime » le Roi Charles. Il n’y a pas de doute, car Trump aime le pouvoir de la monarchie. Et, comme je l’ai écrit ici et ici, Trump et Elon Musk travaillent avec ardeur à amener l’Amérique sous le règne d’une techno-monarchie. Ce n’est pas une coïncidence si le Premier Ministre britannique Keir Starmer et le Premier Ministre du Canada Mark Carney sont tous les deux membres de la Commission Trilatérale globaliste et technocratique.

Lisez cet article très important en rapport avec la décision possible de Trump de ramener les États-Unis dans le Commonwealth britannique. Tout cela fait partie du plan Trump/Musk/Thiel pour entraîner le règne global technocratique sur lequel j’ai déjà écrit.

Trump doit aimer également l’attaque britannique contre la liberté d’expression.

Trump devrait lire ce rapport :

Je suis un survivant de l’Holocauste. La police du Royaume-Uni m’a interrogé concernant la manifestation contre le génocide.

Il est vital que nous, tous les Britanniques, parlions maintenant contre la complicité de notre gouvernement dans le génocide d’Israël.

J’avais sept ans lorsque l’Allemagne envahit et occupa son peu fiable allié, la Hongrie, en mars de 1944. J’ai donc maintenant 87 ans. Mais les souvenirs que j’ai de m’être caché en tant que fugitif juif, sous de faux papiers, et de la complète dévastation du combat à son apogée autour de nous, entre une armée allemande coincée et l’Armée Rouge, me sont encore très clairs. Je vois les voitures incendiées, les tanks, les chevaux morts et les cadavres humains, les munitions et les casques éparpillés, les édifices brûlés, des montagnes de déchets et du verre brisé partout – tout comme Gaza tragiquement détruite nous apparaît aujourd’hui.

Depuis plus d’un an maintenant, il est clair que le plan d’Israël est de détruire la société palestinienne de Gaza dans le but de forcer le plus de gens possible à partir. Cette politique comporte beaucoup de différences avec le plan de l’Allemagne nazie de détruire la société juive en Europe – mais elle a aussi beaucoup de similitudes. C’est pourquoi, en tant que survivant de l’Holocauste, je me suis senti poussé à joindre diverses manifestations pro-Palestine à Londres.

Nous ne savons pas tout à fait jusqu’où ceux qui sont en pouvoir entendent aller avec leurs restrictions sur le droit de protester. Mais nous savons qu’ils veulent dépeindre les démonstrations pro-Palestine de Londres comme entachées d’antisémitisme. Cela en dépit du fait que ces protestations incluent des milliers de Juifs et que de nombreux Juifs, comme moi-même, se sont adressés aux manifestants sur la tribune.

Chose plus importante encore, toute cette campagne est une distraction intentionnelle pour détourner de la question principale qui est d’arrêter immédiatement le génocide à Gaza. Alors qu’Israël reprend son bombardement aveugle – assassinant des centaines de civils de plus à Gaza – il est vital que nous, tous les Britanniques, parlions contre la complicité de notre gouvernement dans le génocide d’Israël.

À chaque fois que nous écoutons un politicien parler d’Israël, il l’appelle « le plus grand ami et le plus grand allié de l’Amérique ». Vraiment ? Quelle est sa définition de l’amitié ? Nommez une seule chose qu’Israël ait faite POUR l’Amérique. Tout ce que fait Israël, c’est de saigner l’Amérique financièrement, moralement, spirituellement, culturellement et politiquement – et traîner l’Amérique dans de perpétuelles guerres d’agression qui ne comportent AUCUN intérêt national pour les États-Unis.

Quand le Président Trump et la procureure générale Pam Bondi traitent les gens d’Amérique de « Palestiniens » et de « terroristes domestiques », ils régurgitent le mantra suprématiste/raciste de Benjamin Netanyahou et de ses camarades sionistes.

Vous ne me croyez pas ? Écoutez ce que ce rabbin juif très influent a récemment dit :

Ça n’a vraiment pas d’importance que ce soit Donald Trump ou Donald Duck qui gagne les élections américaines. Ça n’a pas plus d’importance que ce soit Kamala Harris ou Kermit la Grenouille qui gagne.

En ce qui a trait aux affaires internationales, en tout ce qui touche à l’avenir de ce monde, Donald Trump ou Kamala Harris n’ont aucune liberté de choix. Ils deviennent des pantins. Et qui tirent les ficelles de ces marionnettes ? Nous. Le peuple juif.

En d’autres termes, nous sommes tous des Amalécites.

 




Trump montre ses vraies couleurs

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

20 mars 2025

Il n’a pas fallu beaucoup de temps à Trump avant qu’il ne montre ses vraies couleurs.

Trump a remporté une victoire écrasante en novembre dernier d’abord à cause de sa promesse d’ARRÊTER les « stupides » guerres de l’Amérique. Il est maintenant évident pour tous que, bien que Trump puisse pouvoir négocier un traité afin de stopper la guerre en Ukraine – une guerre que la Russie a déjà remportée – il a résolument l’intention d’accélérer et d’étendre les guerres américaines au Proche-Orient.

Mais sitôt que je dis la vérité au sujet de la duplicité morbide de l’esprit de Trump et le dérèglement moral du cœur de Trump, les évangéliques réagissent de manière féroce en signalant les « bonnes » choses qu’il fait, comme si cela pouvait effacer le mal qu’il inflige à la fois à l’Amérique et au monde.

Les évangéliques sont rongés par la maladie du Dispensationalisme Prophétique et voient en Trump le signe avant-coureur de leur eschatologie. Le Dispensationalisme Prophétique est un cancer moral et spirituel qui atteint le cerveau et endurcit le cœur. Et c’est une épidémie chez les évangéliques.

Je me rappelle très bien, quand j’étais un jeune pasteur, que j’entendais parfois des pasteurs fondamentalistes/évangéliques employer Jacques 5:20 pour justifier tout acte de méchanceté qu’ils pouvaient commettre tout en utilisant Genèse 12:3 pour justifier toute action méchante que pose l’Israël sioniste.

Jacques 5:20 dit : « Qu’il sache que celui qui aura ramené un pécheur de son égarement, sauvera une âme de la mort, et couvrira une multitude de péchés. » [Version David Martin]

Ils avaient pour interprétation de ce verset que si un chrétien était un « sauveur d’âme » et gagnait des gens à Christ, Dieu « couvrirait » une « multitude de péchés » de ce sauveur d’âme. En d’autres mots, tant qu’un chrétien est sauveur d’âme, aucun de ses péchés n’a d’importance – peu importe qu’ils soient vils et méchants.

[Note du traducteur : Le verset ne dit nullement que ce sont les péchés du sauveur d’âme qui sont couverts, mais parce qu’il a ramené un pécheur de son égarement, ce sont les péchés du pécheur qui sont couverts par la conversion et le repentir.]

C’est la même façon de penser qui habite les lèche-bottes de Trump aujourd’hui. Aussi longtemps que Trump fait quelque chose de bon, on ne peut pas le condamner pour quoi que ce soit qu’il fait de mauvais.

Mais Donald Trump a choisi une voie qui pourrait mener l’Amérique à la Troisième Guerre Mondiale et transformer notre république constitutionnelle en dictature autoritaire où la marque fondamentale d’une société libre – la libre expression – sera éviscérée.

En regard de ce dernier point, le juge Andrew Napolitano et le professeur John Mearsheimer (West Point, Armée des États-Unis, Forces de l’Air américaines, diplômé de l’Université de Cornell, professeur, Université de Chicago) ont eu cet échange :

Professeur John Mearsheimer : La vérité, juge, c’est que la plus grande menace contre la liberté d’expression aux États-Unis, à ce moment-ci, c’est Israël et ses supporteurs ici aux États-Unis. Il est franchement étonnant de voir jusqu’à quel point les supporteurs d’Israël sont prêts à aller très loin afin de supprimer la liberté d’expression, non seulement sur les campus universitaires, mais à travers tout le pays.

Juge Napolitano : Incroyable. J’ai oublié de faire jouer ce clip il y a quelques minutes. C’est le patron de Marco Rubio, le patron de la procureure générale Bondi, le patron de la Secrétaire à la Sécurité du Territoire Kristi Noem parlant de la liberté d’expression.

Vidéo-clip du Président Donald Trump : « Et j’ai arrêté toute la censure du gouvernement et ramené la libre expression en Amérique, Elle est de retour. »

Mearsheimer : Je suis effectivement surpris de voir jusqu’à quel point Trump et son administration ont supprimé la liberté d’expression. Je veux dire, je savais que tout ne serait pas parfait une fois qu’il aurait pris son poste, mais je suis étonné.

Le cas auquel vous vous référez et qui implique ce gentleman de l’Université de Columbia n’est que la pointe de l’iceberg. Toutes sortes d’activités ont lieu de la part du gouvernement pour supprimer la liberté d’expression, spécialement en ce qui a trait au conflit Israël-Palestine.

Nous avons ici un gros problème. Et l’idée que Donald Trump facilite la liberté d’expression et enlève les obstacles devant cette liberté d’expression est risible.

En vérité.

Concernant ce dernier point, George Galloway et le colonel Douglas Macgregor ont eu l’échange suivant :

Col. Macgregor : Je pense que Netanyahou pratique la politique américaine par le moyen de la ventriloquie. Il ne fait que faire bouger les lèvres de Trump, et Trump dit ce qu’il veut qu’il dise. Et c’est malheureusement et tragiquement la perception aux États-Unis que Trump n’est pas un acteur libre. Il n’est qu’une simple marionnette. Et le marionnettiste, c’est Netanyahou.

George Galloway : C’est tout à fait extraordinaire, à tel point qu’il y a cette vidéo, que j’ai vue, et vous la verrez aussi, où Trump tire sa [Netanyahou] chaise, le fait asseoir et la repousse de la manière qu’on le ferait à son épouse. Il s’agit du Président des États-Unis pratiquement aux petits soins d’un politicien en visite, et de plus, un politicien sur qui il y a encore un mandat d’arrestation international.

Col. Macgregor : Eh bien, rappelez-vous que le Président Netanyahou ne fait pas que représenter six millions de Juifs israéliens. Il représente le pouvoir et le capital de la Juiverie internationale. Et donc, il reçoit un traitement différent pour cette raison, ne serait-ce que la seule.

Il serait erroné de dire : « Pourquoi le Président Trump se permet-il d’être manipulé et exploité par un homme qui représente si peu de gens ? » C’est une erreur. Il représente une plus grande concentration de pouvoir et de capital. Trump le sait et il en dépend. Il en dépendait pour être élu. Alors maintenant, il fait ce pour quoi il a été élu.

Encore une fois, ça n’a pas été long.

Quoi que ce soit que le Département d’Efficacité Gouvernementale (DOGE) de Trump/Musk réduise, nous savons déjà que Trump n’a AUCUNE intention de réduire la totalité des dépenses gouvernementales. Il n’a fait qu’enfoncer un projet de loi de dépense bouche-trou par le Congrès qui perpétue les niveaux de dépenses fédérales de Joe Biden. Les conservateurs ne veulent pas se rappeler que Trump a ajouté plus de 8 trillions $ à la dette nationale durant son premier mandat – le même montant que Biden. Mais prenez en considération que les dépenses de Trump n’incluaient pas les dépenses fédérales pour appuyer la tyrannie Covid.

Quel que soit l’argent que Trump veuille sauver en mettant fin à la mine d’or pour l’Ukraine, il a l’intention de se lancer dans une guerre américaine expansive au Proche-Orient.

Israël a (illégalement) mis fin au cessez-le-feu avec Gaza et a repris le génocide (en employant les bombes, les missiles, etc., que Trump a envoyés à Israël après être devenu président) pendant qu’au même moment, Trump lance des raids de bombardement massif sur le Yémen, tuant principalement des femmes et des enfants innocents.

Max Blumenthal a dit au juge Napolitano que Trump avoue le massacre de Gaza, qu’il (Trump) a admis avoir déclenché « l’abattoir à Gaza … sur la population civile. »

Trump est l’image éthérée de Joe Biden.

À propos de la guerre de Trump au Yémen, le Dr Ron Paul a écrit :

En fin de semaine, le Président Trump a ordonné une lourde opération militaire contre le petit pays du Yémen. Le Yémen était-il sur le point d’attaquer les États-Unis ? Non. Dans ce cas-ci, le Président est-il allé devant le Congrès pour obtenir une déclaration de guerre contre ce pays ? Non. Le fait est que le Yémen n’avait même pas menacé les États-Unis avant que les bombes ne commencent à tomber.

L’an dernier, le candidat Trump critiquait fortement l’obsession de l’Administration Biden pour l’interventionnisme étranger au détriment de nos propres problèmes à la maison. Dans une entrevue à la Convention Nationale Libertaire, il critiqua la soif guerrière de Biden devant Tim Pool en disant : « On peut résoudre des problèmes au téléphone. À la place, ils commencent à lancer des bombes. Récemment, ils ont lâché des bombes sur tout le Yémen. L’on n’a pas à faire cela. »

Pourtant, une fois en poste, Trump se tourna vers les forces armées en tant que sa première option. Depuis le plan de cessez-le-feu Israël/Hamas négocié par l’envoyé spécial de Trump, Steve Witkoff, le Yémen a laissé tranquille la navigation sur la mer Rouge. Cependant, après qu’Israël eut implanté un blocus total de l’aide humanitaire aux citoyens de Gaza, la semaine dernière, les leaders houthis ont menacé de recommencer le blocage des activités navales d’Israël sur la mer Rouge.

Cela fut suffisant pour que le Président Trump lâche des bombes et lance des missiles pendant des heures, tuant plusieurs douzaines de civiles yéménites – y compris des femmes et des enfants – dans le processus.

Après l’attaque, non seulement Trump menaça-t-il d’utiliser plus de force contre le Yémen, mais il menaça aussi l’Iran. Son conseiller à la Sécurité Nationale, Mike Waltz, ajouta que les États-Unis pourraient débuter le bombardement des navires iraniens de la région, geste qui mènerait certainement à une guerre majeure au Proche-Orient.

Comme les récents Présidents Bush et Obama, le candidat Trump promit la paix après quatre ans de propagande belliciste de Joe Biden et de stratégie de corde raide de Troisième Guerre Mondiale. Il y a peu de doute qu’avec notre population lasse de la guerre, cela s’avéra la marge de sa victoire. Malheureusement, comme de Bush et d’Obama, maintenant qu’il est Président, il semble se diriger dans une voie différente.

Ou en fait la même voie.

Trump prouve rapidement que sa rhétorique de campagne le présentant comme un « président de la paix » était un mensonge éhonté. Trump n’est que le dernier d’une longue lignée de présidents-pantins. Comme l’a dit le Col. Macgregor : « [Trump] n’est qu’une marionnette. Et le marionnettiste est Netanyahou. »

Même Scott Ritter, qui est fortement prédisposé à soutenir Trump, exprimait une critique enflammée contre Trump après qu’il eut commencé à bombarder le Yémen. Voici des extraits de ses commentaires durant son entrevue avec le juge Napolitano :

Trump est un idiot.

Cela ne marchera pas, M. le Président.

Et ce qui va arriver, c’est l’une de deux choses. Pour une, vous allez avoir l’air fou, parce que vous allez devoir reculer quand votre secrétaire à la Défense dit : « Nous ne pouvons intensifier davantage sans mettre 700 000 bottes sur le terrain. C’est une invasion majeure qui va faire en sorte que la région entière va exploser. Le prix du pétrole va grimper de manière incontrôlable, et votre économie va crasher, et vous serez fini, M. le Président. C’en sera fait de vous. De tout ce que vous essayez de faire. Le peuple américain ne tolérera pas du pétrole à 120 $, parce qu’il ne le peut pas, économiquement. Tous les changements que vous faites supposent un fondement de stabilité économique et ne surviendront pas si vous jetez par la fenêtre la sécurité d’approvisionnement de pétrole et d’énergie en allant en guerre contre l’Iran. Arrêtez cela. »

Ou bien il va réellement aller en guerre, pensant en quelque sorte que les bombes américaines ordonnées par Donald Trump possèdent un genre de propriété angélique et explosent avec plus de violence en semant plus de terreur que toute autre bombe ayant jamais été fabriquée. Et ensuite les Iraniens vont fermer le Détroit d’Ormuz, faire exploser les installations américaines, détruire Israël et inviter les représailles nucléaires américaines. Et boum ! l’homme qui pensait recevoir le Prix Nobel de la Paix passera à l’histoire comme le plus grand guerroyeur des temps modernes.

L’État Profond sioniste qui a installé Joe Biden en poste en 2020 pour aider à la guerre génocidaire d’Israël à Gaza a installé Donal Trump en poste en 2024 pour aider à la guerre d’Israël contre le Yémen. Et vous pouvez mettre ceci en banque : Attaquer le Yémen n’est que la première phase du plan sioniste visant à attaquer l’Iran. Trump a été mis en poste afin de mener la guerre israélo-américaine contre l’Iran.

Peut-être que RumorMillNews.com offre le meilleur résumé de ce dont nous parlons aujourd’hui :

Trump est-il devenu fou, ou est-ce son sionisme acharné qui s’est emparé du meilleur de lui-même ?

La question est peut-être discutable, car le sionisme est une maladie qui conduit à la folie.

En même temps que Trump est censé négocier avec Poutine la paix en Ukraine, je vois des gros titres comme celui d’aujourd’hui, dans la mise à jour de nouvelles de George Eaton :

« Trump dit que tous les coups tirés par les Houthis seront considérés comme ayant été tirés de l’Iran. »

« VIENT D’ARRIVER – Trump menace l’Iran pour toute prochaine attaque des Houthis. »

« LES ÉTATS-UNIS AVERTISSENT L’IRAQ DE TOUTE FRAPPE DE L’IRAN SOUS TRUMP. »

« Un média iranien rapporte qu’au moins quatre navires de missiles iraniens ont traversé le Détroit d’Ormuz sous la protection de la marine de l’IRGC. »

« Trump donne l’ordre d’envoyer 35 vaisseaux de guerre et 1 750 marines au Proche-Orient. »

« Les forces armées de l’Iran demeurent sous haute alerte, prête pour une “défense généralisée et une contre-attaque sévère” contre les intérêts ennemis du Proche-Orient, dit Nournews d’Iran. »

Et finalement, de la Porte-parole de la Maison Blanche, Caroline Labate : « Les attaques israéliennes étaient coordonnées avec nous, les portes de l’enfer sont sur le point de s’ouvrir, et le Président Trump n’a pas peur de défendre son allié et ami, Israël ! »

Donc, se référait-elle au bombardement israélien de Palestiniens déplacés qui vivent dans des tentes sur les rues de Gaza auxquelles on a mis le feu la nuit dernière ? Je ne peux voir aucun autre point de référence et c’en est certainement une nouvelle sur nous.

Est-ce que l’ego aveuglé de Trump vole si haut qu’il est inconscient de ce que peut faire l’Iran ?

Le sionisme est une maladie semblable au Syndrome d’Aliénation Mentale Trump. Trump est fortement frappé, et j’espère qu’à cause de sa maladie, cela ne finira pas mal pour nous tous. [Emphase ajoutée]

Et pendant que j’essaie de suivre au mieux tous ces développements se déroulant rapidement dans la tentative combattive de maintenir les lecteurs pleinement informés, je dois inclure des déclarations faites par le sioniste juif par excellence, le professeur Alan Dershowitz. Pour une fois, ses déclarations sont réalistes et ne présagent rien de bon en ce qui a trait à l’État d’Israël.

Je ne serai pas aussi optimiste que les quatre derniers orateurs. Nous avons survécu dans le passé. Cela ne veut pas dire que nous allons survivre dans le futur.

Les États-Unis vont survivre. Cela est sûr, peu importe qui est en charge. Nous possédons un système de « freins et contrepoids » ; ça marche. Les États-Unis vont survivre.

La survie d’Israël n’est pas garantie.

Ces déclarations proviennent de la bouche d’un des sionistes antichrists dirigeants du monde, Alan Dershowitz : « La survie d’Israël n’est pas garantie. » En vérité, elle ne l’est pas, contrairement à la croyance erronée des sionistes chrétiens d’Amérique. Mais c’est vraiment incroyable d’entendre cela de la bouche d’un homme comme Dershowitz.

Pour ne voir qu’un brin de l’information factuelle confirmant ce que dit Dershowitz, regardez cette courte vidéo d’une minute.

Si vous regardez l’allocution de Dershowitz, vous allez l’entendre fustiger l’éminent érudit juif Norman Finkelstein. En conséquence, je vais laisser le professeur Finkelstein réagir :

Netanyahou est un bon représentant de la société israélienne. Ce n’est pas comme s’il était une excroissance, mot savant pour désigner un développement artificiel. Il n’est pas une excroissance. Le fait qu’il soit le premier ministre en poste depuis le plus longtemps en Israël, il y a une très bonne raison à cela, parce qu’il est un suprématiste juif détestable et pharisaïque. Et c’est le reflet de 95 % de la société israélienne : une société détestable de suprématistes juifs pharisaïques. Netanyahou n’orchestre pas tant la société israélienne qu’il la reflète.

Contrairement au peuple d’Amérique qui a voté pour Trump à cause de sa promesse de mettre fin aux « stupides » guerres de l’Amérique, les évangéliques ont voté pour Trump à cause de son soutien acharné à l’État guerroyeur d’Israël. En d’autres mots, Trump a été élu par deux groupes d’électeurs de deux pôles opposés, chaque groupe votant pour le même homme pour des raisons complètement contraires aux raisons du groupe opposé.

Ne serait-ce pas ironique pour les sionistes chrétiens qui ont voté pour Trump à cause de son soutien fanatique pour Israël de finir par devenir les instruments de destruction de l’état sioniste, ce que même Alan Dershowitz considère très faisable ?

Tout comme la destruction de Jérusalem, en l’an 70, fut exigée de Dieu afin que l’Église primitive comprenne la Nouvelle Alliance de Christ, de même aussi la destruction de l’état sioniste (comme se le demandait Scott Ritter plus haut) pourrait être requise par Dieu pour que l’Église occidentale comprenne la Nouvelle Alliance de Christ, parce que la vérité de la Nouvelle Alliance de Christ est perdue par les évangéliques d’Amérique depuis 1948.

Cela paraîtrait plus que de la justice poétique si Dieu utilisait Donald John Trump comme Il a utilisé Titus Flavius Vespasien.

Quand même, très vite après avoir été investi de ses fonctions, le Président Donald Trump a montré ses vraies couleurs.

 




Trump cherche-t-il à remplacer les Nations Unies par l’Organisation des 70 Nations ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

13 mars 2025

Les constitutionalistes ont universellement du dédain pour les Nations Unies (ONU), car ils empoisonnent la souveraineté américaine depuis le début de son existence. J’ai déclaré publiquement, et je le crois toujours, que l’ONU a été créée premièrement dans le dessein de conduire à la naissance de l’État sioniste d’Israël. Toutefois, au fil du temps, le nettoyage ethnique perpétuel et le génocide de l’État d’Israël contre ses voisins palestiniens ont fait en sorte que l’ONU devienne sans cesse plus critique envers le comportement d’Israël. Maintenant, avec Donald comme président, les conservateurs se réjouissent de la perspective qu’il puisse sortir les États-Unis de l’ONU.

Ce genre d’anticipation a subi une remontée symbolique lorsque Trump a annoncé qu’il ne renouvellerait pas le financement du Conseil des Droits Humanitaires de l’ONU basé à Genève. Je dis symbolique parce que son prédécesseur, Joe Biden, avait déjà discontinué le financement de cette agence de l’ONU. Mais les conservateurs anti-ONU le prennent pour un signe que Trump va sortir tout à fait les États-Unis de l’ONU.

Évidemment, le motif de Trump derrière cette décision (son annonce coïncidant avec la visite à la Maison Blanche du Premier Ministre d’Israël Benjamin Netanyahou) est que cette agence fournit de l’aide humanitaire aux réfugiés palestiniens. Et, en tant que chabadiste juif secret, Trump déteste tout ce qui est palestinien, y compris le peuple palestinien.

Trump est un sioniste si arrogant (l’arrogance des sionistes découle de leur croyance bien ancrée qu’ils sont supérieurs à tous les autres) qu’il cible maintenant le représentant Thomas Massie (R-KY) pour l’enlever de son poste, faisant vœu de soutenir un adversaire républicain aux prochaines élections primaires. Ce n’est pas une coïncidence que Massie soit le membre GOP du Congrès à Washington le plus critique envers l’Israël sioniste (et supporteur du peuple palestinien) et qui refuse d’accepter les pots-de-vin du lobby israélien ou de se prosterner devant ses exigences.

Que Trump sépare véritablement les États-Unis de l’ONU, cela demeure à voir. Mais s’il fait vraiment ce geste, ce ne sera pas pour les mêmes raisons dont parlent les membres de la Société John Birch depuis si longtemps. S’il fait ce geste, ce sera pour le désir de remplir son engagement de campagne de « rendre sa grandeur à Israël ».

Le 12 février 2025, le Sanhédrin juif de Jérusalem a envoyé une lettre de félicitations au Président Trump. J’en cite une partie :

« Nous exprimons notre gratitude la plus chaleureuse pour le fait de mettre en évidence la culture américaine et mondiale par l’établissement de l’Office des Religions de la Maison Blanche. Votre reconnaissance de l’importance de la religion dans la vie publique est un pas de l’avant vers la restauration des valeurs morales et du leadership spirituel dans le monde.

« Quand Hashem a donné la Torah aux Enfants d’Israël, Il a fourni un standard d’éthique au monde entier. On connaît ce standard sous le nom des Sept Commandements de Noé, qui constituent la base de la moralité universelle. Lorsqu’une personne accepte les Sept Lois Noachiques, elle reçoit des bénédictions divines. »

Vous ne trouverez nulle part les « Sept Lois Noachiques » dans les Livres de Moïse, ni d’ailleurs en quelque part dans l’Ancien Testament. Les « Sept Lois Noachiques » sont l’invention du Talmud juif. Lorsque le Sanhédrin parle de la « Torah », il parle du Talmud, PAS du Pentateuque de l’Ancien Testament.

« En 2017, le Sanhédrin Naissant fit battre une monnaie spéciale mettant en vedette votre image sur un côté et celle de Cyrus le Grand sur l’autre. Cela symbolisait votre rôle historique comparé à celui de Cyrus qui fut choisi par Hashem pour remplir une mission divine.

« Vous avez été élu, comme Cyrus le fut à son époque, pour accomplir une pesante mission : unir tous les croyants en Dieu et mettre de l’avant la coopération éthique à travers toutes les sphères de l’activité humaine. Un Appel à Établir une Cour Divine Internationale – CDI.

« Nous vous invitons à rencontrer la Cour des Rabbins du Sanhédrin à Jérusalem pour discuter de l’établissement d’une Cour Divine Internationale (CDI) pour tous les pays. Cette cour sera fondée sur les sept commandements universels donnés à Noé et réaffirmés au Mont Sinaï – une fondation pour la paix mondiale et la justice divine. »

La « Cour Divine Internationale » du Sanhédrin nécessite le plan du Sanhédrin pour instituer « l’Organisation des 70 Nations » en remplacement des Nations Unies.

Le 8 mars de cette année, mon ami Steven Bennun, de Israeli News Live, publia un podcast intitulé Les Sept Lois Noachiques – les faits seulement. Je cite des fragments de sa diffusion extrêmement instructive ;

Je ne connais aucune époque dans la base de la société où nous ayons eu quelque preuve que ce soit qu’il y eût ce qu’on appelle les Sept Lois Noachiques. Mais c’est là qu’arriva la Révolution et, bien sûr, ils l’exécutent par l’éducation. Or, ils le font par l’éducation de la manière qu’ils le font ici. Et nous pensions qu’ils allaient essayer de l’instituer comme loi des États-Unis, mais ils vont en faire une loi internationale. En passant, c’est pour cela que la CDI a trouvé Netanyahou coupable de crimes de guerre violents pour le meurtre et le génocide du peuple palestinien, et avec raison.

Mais qu’a fait Trump ensuite ? Mettre des sanctions au CDI. Comme Nikky Haley l’a fait contre les Nations Unies il y a quelques années, non ? Donc, on fait tout cela pour pouvoir installer votre nouveau système global, ce nouvel ordre mondial.

Alors, ils préparent le monde à cela. Et ils vont se débarrasser des Nations Unies et de la CDI, et ils vont finir par les remplacer par le Sanhédrin.

Aussi, dans le site web mizrachi.org, Pas seulement Sept Mitzvot Noachiques, une entrevue avec le rabbin Oury Cherki. Mais on y dit : « Dans Parashat Noach, Hashem commande à Noé et à ses enfants d’accomplir certains commandements connus comme les sept mitzvot noachiques. Le rabbi Oury Cherki, cependant, explique que ces sept mitzvot ne sont que le commencement. Le but plus large, dit-il, est de glorifier le nom de Hashem dans le monde et de transmettre le message universel du judaïsme à toutes les nations. »

Écoutez [le rabbin] :

« Le rabbin Yisroel Goldstein, ancien directeur du Chabad de Poway : Et le rabbin plaida à savoir que, si seulement les Nations Unies retournaient aux bases et donnaient pouvoir à leurs pays d’adopter les Sept Lois Noachiques, alors ce monde serait bien différent, et peut-être n’aurions-nous pas perdu les 150 millions de vies que nous avons perdues dans les deux cents dernières années. Donc, je demande à chacune des nations qui sont ici, à tout le monde qui écoute : Envisagez de prendre les Sept Lois Noachiques à la base et de les appliquer à la vie réelle de tous les jours et nous verrons une différence mondiale. »

Ainsi, comme je vous l’ai mentionné, Nikki Haley doit être la présidente honoraire de l’Organisation des 70 Nations, c’est ce qu’ils poussaient de l’avant.

Et donc, Nikki Haley n’aime définitivement pas les Nations Unies. Ils vont les remplacer éventuellement. Ça va arriver.

Le rabbin Mizrachi en vient ici aux Sept Lois Noachiques. Écoutons un peu ce qu’il a à dire à propos des Lois Noachiques :

« Rabbin Mizrachi : On a six milliards d’adorateurs d’idoles qui mettent Dieu en colère à chaque seconde de leur vie : des Indiens, des Chinois, des Japonais, au Tibet, au Népal, en Thaïlande, tant de gens. 500 millions en Inde à elle seule ; la Chine est à 2 milliards, tant de gens ; deux milliards de chrétiens qui sont adorateurs d’idole. Entre les Chinois, l’Inde, les Hindous, les bouddhistes et les chrétiens, au moins six à six milliards et demi de gens sont des adorateurs d’idole qui, selon la Torah, n’ont pas le droit de vivre. Idolâtre, goy. C’est la peine de mort. »

Voyez. C’est là devant nous.

Steve et Jana Bennun ont un magnifique podcast et sortent de l’information fort utile en ce qui regarde tout ce qui a trait aux Juifs et à Israël.

Il y a quelques années, j’ai livré un message intitulé Le Talmud, le Chabadisme et les Lois Noachiques. (C’est mon second message le plus demandé et le plus regardé de tous, en passant.) Je cite maintenant de cette allocution :

Tous les Présidents, depuis Jimmy Carter, en 1978, jusqu’à Donald Trump ont signé cette loi publique instituant les Lois Noachiques et le Chabadisme aux États-Unis.

La Loi Noachique juive demande la mort de quiconque pratique l’idolâtrie (tous ceux qui adorent le Seigneur Jésus-Christ sont des idolâtres selon la Loi Noachique), le blasphème (c’est l’accusation qu’utilisa le Sanhédrin contre le Christ) ; l’immoralité sexuelle (selon la loi du Talmud) et le vol (des Juifs – mais il est parfaitement permis aux Juifs de voler les Goyim) ; elle oblige également les non-Juifs à établir des tribunaux pour mener à bien ces exécutions talmudiques.

Le rabbin Schneerson, dont on commémore la date de naissance, a déclaré que, selon la loi juive, les non-Juifs n’ont d’autre but que de servir les Juifs qui sont la raison de la création.

La fille de Trump, Ivanka, est une sectaire du Chabad-Loubavitch (tout comme son époux Jared Kushner). Elle prie sur la tombe du rabbin Schneerson et elle a été bénie par les rabbins qui exigent que les non-Juifs (Goyim) suivent les Lois Noachiques et se réfèrent à eux comme à des « animaux ».

Étant chabadiste en secret, Donald Trump suit les lois de Maimonides en ne remboursant pas les prêts et les investissements. Il a déclaré banqueroute sept fois et s’en est sorti à chaque fois avec l’aide de copains chabadistes.

Je conclus avec un résumé :

Les Lois Noachiques sont des Lois juives appliquées à tous les non-Juifs dans le monde, qui interdisent toute forme de culte qui n’est pas approuvé par le judaïsme, le blasphème contre les dieux juifs, les relations sexuelles qui ne sont pas approuvées par la religion judaïque et exigent que les non-Juifs mettent sur pied des tribunaux qui renforcent ces lois.

La Loi Publique américaine 102-14 déclare que ces lois sont le fondement de la civilisation américaine (PAS VRAI), qu’il est de notre responsabilité de les transmettre à la génération suivante, et que tous les présidents depuis Jimmy Carter ont signé un manuscrit international, de même que d’autres chefs d’état, en s’engageant à se servir de l’éducation afin de mettre le monde sous les Lois Noachiques.

Les groupes légaux juifs qui recommandent les Lois Noachiques font la promotion de la peine capitale qui se soumet à la forme d’exécution talmudique, en d’autres mots, que soit établie la décapitation.

Il y a des non-Juifs (incluant les sionistes chrétiens) qui se soumettent volontiers à cet agenda et ils œuvrent avec la Sanhédrin d’Israël pour promouvoir les Lois Noachiques.

Les pasteurs, les chrétiens et les églises qui soutiennent le sionisme, le chabadisme, le talmudisme, etc., blasphèment Dieu en supportant un agenda antichrist qui cherche à :

*Nier la divinité, le messianisme et le statut de Sauveur de Jésus-Christ.

*Nier Son œuvre complète sur la croix pour nos péchés.

*Nier la Nouvelle Alliance, le Corps de Christ, l’Église.

*Nier les doctrines de la grâce du Nouveau Testament.

Et à établir :

*Un ordre talmudique mondial.

*La mise en force de la loi talmudique par la peine capitale.

*Une religion mondiale de salut par les œuvres basé sur la loi talmudique.

*Une union politique mondiale basée sur les doctrines du sionisme.

C’est la sale et basse réalité dont il est question dans l’agenda pro-Israël de Trump. Et c’est ce que soutiennent les chrétiens sionistes d’Amérique.

Par conséquent, si le Président Trump décide de nous séparer des Nations Unies, vous pouvez être sûrs que l’Organisation des 70 Nations des Juifs va prendre sa place. Et si vous pensez que l’ONU était mauvaise, vous n’avez encore rien vu !

 




Si seulement Trump avait dit à Netanyahou ce qu’il a dit à Zelensky

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

6 mars 2025

Je suis sûr que la plupart des lecteurs ont vu le dialogue féroce et colérique entre le Président Donald Trump et l’ancien Président de l’Ukraine Volodymyr Zelensky dans le Bureau Ovale, il y a quelques jours. Lors de la conférence de presse, Trump admit qu’il avait laissé la conférence se continuer aussi longtemps qu’il l’a fait en sachant que Zelensky n’aimerait pas ce que Trump (et le Vice-président Vance) allait dire et qu’il deviendrait agité et irrité – ce qui arriva.

Trump a joué avec Zelensky de la manière que Netanyahou joue avec Trump.

Peu après l’altercation à la Maison Blanche, Trump a annoncé qu’il suspendait l’aide militaire à l’Ukraine.

Il apparaît clairement que Trump planifie vraiment d’arrêter la guerre en Ukraine – sans que la Russie ne retourne quelque territoire ukrainien qui a voté pour revenir dans la mère-patrie russe, ce qui a engendré une campagne génocidaire de Zelensky contre ceux que l’Opération Militaire Spéciale de Poutine a libérés avec succès. Et il est aussi clair que les jours à la barre de l’Ukraine du corrompu et meurtrier Zelensky sont comptés.

Si seulement Trump disait au corrompu et meurtrier Premier Ministre d’Israël, Benjamin Netanyahou, ce qu’il a dit à Zelensky. Mais il ne le fera jamais. Et, comme tout président de mémoire récente et la vaste majorité des membres du Congrès des deux partis, Trump appartient au Lobby israélien.

Au lieu que Trump montre la porte à Netanyahou de la même manière qu’il l’a fait pour Zelensky, quand Netanyahou a visité la Maison Blanche, il fut traité comme un roi. Voici la vidéo de Trump démontrant sa déférence envers Netanyahou à la Maison Blanche, comme si Netanyahou était le président américain et que Trump était son subordonné (ce qu’il est, bien sûr).

Non seulement Trump n’a-t-il pas démontré la moindre intention de stopper le nettoyage ethnique génocidaire d’Israël à Gaza et en Cisjordanie, mais il a déjà entrepris de donner à Israël encore davantage d’aide américaine.

Le Secrétaire d’État américain Marco Rubio a signé une déclaration pour expédier la livraison d’environ 4 milliards $ d’aide militaire à Israël, qualifiant le Président Donald Trump de plus grand allié de l’état juif, selon une déclaration émise samedi.

Le geste fait partie de l’effort plus élargi de la Maison Blanche pour soutenir les capacités militaires d’Israël au milieu des tensions régionales incessantes. Depuis que Trump a pris son poste en janvier 2025, son administration aurait approuvé près de 12 milliards $ de ventes militaires étrangères majeures à Jérusalem ouest.

Vendredi, le Pentagone a annoncé que le Département d’État avait approuvé la vente potentielle d’une valeur de près de 3 milliards $ en bombes, en kits de démolition et autres armements à Israël. Cette approbation d’urgence a contourné le processus de révision habituel du Congrès, marquant, dans les récentes semaines, la seconde occasion où l’on a expédié la vente d’armes à Israël au milieu d’un fragile cessez-le-feu avec les militants du Hamas – dans une guerre qui a déjà réclamé la vie de 1 700 Israéliens et 62 000 Palestiniens.

En mai, Biden stoppa temporairement la livraison de bombes de 2 000 livres à Israël et annonça que d’autres armes feraient l’objet d’un embargo si les Forces de Défense d’Israël (FDI) persévéraient dans leur invasion de Rafah, au sud de Gaza. Les FDI sont néanmoins entrées et, éventuellement, Biden abolit le gel temporaire des armes.

Le Département d’État loua la dernière décision de renverser « l’embargo partiel des armes » de Biden comme étant « un autre signe qu’Israël n’a pas de plus grand allé à la Maison Blanche que le Président Trump ». Le Secrétaire Rubio invoqua l’autorité d’urgence pour accélérer cette aide, en citant les intérêts de sécurité nationale des États-Unis.

(Source)

Assurez-vous de voir la photo de Trump à côté de Netanyahou dans le reportage ci-haut. Je n’ai jamais vu Trump avec un sourire si fendu sur le visage que dans cette photographie. Il sourit rarement, encore moins un sourire comme celui d’un enfant assis tout près de son joueur de football professionnel favori.

« Citant les intérêts de sécurité nationale des États-Unis, » À VOMIR !

Le peuple innocent, non armé et affamé de Gaza n’est absolument d’AUCUNE menace aux intérêts de sécurité nationale des États-Unis. AUCUN ! NONE ! NADA ! ZERO ! ZILCH !

Il n’est question que de ce dont il est toujours question : Israël !

Dans la Unz Review, Philip Giraldi a écrit un article intitulé Making America Great is All About Israel (Rendre sa grandeur à l’Amérique, tout est question d’Israël). Dans sa missive, il a écrit :

Bien que cela ne puisse sembler que symbolique, se référer à la Cisjordanie comme « la Judée et la Samarie » est une démonstration nette de soutien à l’annexion d’Israël. Mike Huckabee, désigné par Trump afin de servir d’ambassadeur américain en Israël, se réfère aussi à la Cisjordanie en employant le même langage et il a dit que l’annexion est possible sous la nouvelle administration Trump.

Plus tôt ce mois-ci, le sénateur Tom Cotton de l’Arkansas a aussi réintroduit un projet de loi qui exigerait l’utilisation du terme « la Judée et la Samarie » dans tous les documents officiels américains.

La représentante Claudia Tenney de New York a également présenté une législation identique en Chambre et a maintenu que « le peuple israélien a un droit légal et historique indiscutable et indéniable sur la Judée et la Samarie. »

Le Congrès et la Maison Blanche sont devenus clairement des territoires israéliens occupés, comme l’a un jour décrit de manière coloré Pat Buchanan en parlant du gouvernement américain.

Et il y a plus, bien plus, mais certains développements sont plus intéressants parce qu’ils ont un impact domestique aux États-Unis et sur les libertés et les droits constitutionnels qui sont assiégés, car le Lobby israélien et l’Équipe Trump cherchent à supprimer toute critique contre l’état juif et/ou les activités illégales exécutées par ses supporteurs au moyen de leur corruption du gouvernement à tous les niveaux aux États-Unis.

Ma ligne favorite, crachée régulièrement, et par les Démocrates et par les Républicains, est une version quelconque de l’affirmation qu’Israël est une sorte de « merveilleuse démocratie qui est la meilleure amie des États-Unis et son alliée la plus proche ». La Procureure Générale Pam Bondi a dépassé la mesure quand elle a appelé Israël « notre plus grand allié dans le monde » dans une entrevue chez Fox News. Chose intéressante, cet état criminel de guerre apartheid d’Israël n’est en fait ni une démocratie, ni un ami, ni un allié, mais quand l’aveugle conduit l’aveugle, tout peut sortir de sa bouche, particulièrement lorsque cela n’est pas connecté à un cerveau fonctionnel qui a réellement une conscience.

Les commentaires chaleureux du FBI semblent aussi être une règle générale avec Dan Bongino, le tout nouvel assistant général du FBI, lorsqu’il répondit à une question à savoir ce qui pouvait s’avérer les causes les plus chères à son cœur en déclarant : « Israël. La Défense d’Israël. » Son commentaire reflète un engagement général au sein du FBI et du Département de la Justice à prioriser les relations avec Israël, comme en fait écho le Directeur du FBI Kash Patel qui affirme que : « L’Amérique va donner priorité à Israël et nous épaulons notre allié numéro un. » Elle est bonne, Kash ! Est-ce vraiment ton prénom ou juste un pseudonyme ? Peut-être devrais-tu examiner les divers accords fermes internationaux conclus avec les États-Unis garantissant les arrangements qui sont violés par Israël au Liban, en Syrie et à Gaza ? Ils constituent des crimes de guerre et Washington en est complice.

Dans une récente interview avec le juge Andrew Napolitano, le journaliste Max Blumenthal, Juif lui-même, a dit ce qui suit :

Nous venons tout juste d’apprendre que le ministre de la Défense, Israël Katz, envisage de bombarder les funérailles d’Hassan Nasrallah où des milliers – des centaines de milliers – de gens non armés pleuraient le leader décédé, sans armes. Ils étaient dans un stade de Bierut. Et Israël dirigeait plutôt un survol de F-16 en menaçant la foule. C’est fondamentalement un instrument de terreur du parlement.

Et l’idée même que l’on ait considéré le faire démontre l’impunité dont jouit Israël à Washington, de même que le reste des commentaires de Netanyahou disant qu’ils venaient juste de voler le Mont Hermon en violation d’un accord de 1973 des Nations Unies. Ils viennent juste de voler le point le plus élevé en Syrie pour y installer des pentes de ski. Ils ont volé un large segment du sud de la Syrie, grâce en grande partie à l’opération de changement de régime soutenu par l’OTAN et la CIA qui a vu la nouvelle forme refabriquée d’Al-Qaeda prendre le pouvoir à Damas, et elle n’a pas tiré un seul coup de feu contre Israël. Mais ils ne font que prendre. Et les États-Unis n’ont rien à y dire. Il n’y a pas de problème là.

Évidemment, les États-Unis piquèrent une crise quand les habitants de la Crimée votèrent pour l’annexion avec la Russie. Les États-Unis se mirent en colère aux Nations Unis et émirent des sanctions envers la Russie et commencèrent à marcher vers une guerre de proxy en Ukraine. Mais ici, Israël a la permission de voler tout ce qu’il veut.

Napolitano : Le même gouvernement qui vous a arrêté à Dulles. Le président a pris un clip généré par Intelligence Artificielle dans lequel on se moque de la transformation de Gaza en Trump Gaza Riviera. L’a-t-on fait jouer en Israël ?

Blumenthal : Eh bien, tout le monde en parle. Cela fait rage dans les médias israéliens. Je pense que cela a provoqué beaucoup d’amusement en Israël. Faut vraiment le voir pour y croire, pour comprendre. Il y a des images d’hommes barbus avec des corps de femme faisant la danse du ventre sur les ruines de Gaza. Elon Musk lance de l’argent. L’inondation d’enfants sur les plages de Gaza avec de l’argent. Il y a des côtes dorées et des buildings ressemblant à ceux de Dubaï et s’élevant alors que Donald Trump force son rôle, sans chemise sur la plage en portant un toast à Netanyahou. Ils ont pris le contrôle de la Bande de Gaza après l’Holocauste auquel nous venons juste d’assister. Et une statue d’or de Donald Trump s’élève au centre de Gaza City.

C’est une vidéo satanique que plusieurs commentateurs décrivent comme antichrétienne. Antichrétienne en ce sens qu’elle ressemble à ce que l’antichrist ferait.

Vraiment.

Voici le clip vidéo « satanique », « antichrétien » et antichrist auquel se réfère Max.

The Gouvernment Rag Intelligence Report a émis un bref exposé sur la vidéo « satanique » ci-mentionnée, intitulé : L’IDOLÂTRIE PAÏENNE SANS PRÉCÉDENT DE LA GAZA DE TRUMP :

La proposition de Trump [que les États-Unis fassent le nettoyage ethnique et occupent Gaza] a rencontré la critique mondiale à la fois des législateurs et des analystes qui craignent que le plan déplacerait par la force la population de Gaza de deux millions de personnes, pendant que les critiques américains se demandent si la vision du Président ne plongerait pas le pays dans le rôle potentiellement sanguinaire de puissance d’occupation.

Mais tard dans la soirée de jeudi, Trump a semblé pousser plus loin la promotion de son plan en postant une vidéo de 35 secondes sur son compte de Truth Social qui commence avec la question : « Gaza 2025 : Qu’arrive-t-il ensuite? »

La vidéo générée par Intelligence Artificielle montre, en une série d’images effrontées et crues, un nouvel hôtel Trump, une statue dorée géante de Trump et un enfant tenant un ballon Trump au milieu des complexes balnéaires faces à une grève resplendissante.

Qu’un chrétien quelconque supporte cette idolâtrie m’échappe.

Moi aussi.

Lors de la conférence de presse conjointe à la Maison Blanche avec Zelensky, Trump déclara hardiment qu’il avait l’intention d’arrêter l’envoi d’argent américain vers l’Ukraine afin de l’utiliser à « autre chose ». Mais alors qu’il faisait cette déclaration, il a failli révéler ce qu’il avait réellement l’intention de faire avec cet argent : l’expédier à Israël pour augmenter encore son agression militaire au Proche-Orient – comme il l’a déjà indiqué en livrant 12 milliards $ d’aide militaire à Israël seulement dans le premier mois de son mandat, comme je l’ai remarqué auparavant.

Si seulement Trump avait dit à Netanyahou ce qu’il a dit à Zelensky.

 




En la science, nous nous confions

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

27 février 2025

Je me vois contraint de continuer le même thème que j’ai commencé dans cette rubrique la semaine dernière. La plupart des Américains ne font pas attention (rien de neuf en cela, bien sûr), mais c’est particulièrement vrai en ce qui a trait aux conservateurs politiques et aux évangéliques religieux. Or, l’introduction imminente par Elon Musk d’un système gouvernemental dominé par la technocratie, étant lancé sous Donald Trump, est plus dangereuse que ne le réalise la majorité d’entre nous.

Je vais beaucoup me référer à un traité fascinant – portant le titre que j’ai emprunté pour cet article – écrit par Ira Basen en 2021.

Il commence ainsi :

Le 13 octobre 1940, un chiropraticien de Régina, nommé Joshua Haldeman, apparut en cour civile pour faire face à deux accusations sous la Loi de la Défense du Canada.

Son offense alléguée était d’appartenir à la Technocracy Incorporated, une organisation qui avait été bannie par le Gouvernement du Canada quelques mois auparavant dans un grand ratissage de groupements qu’il considère subversifs devant l’effort de guerre.

La Technocracty Incorporated n’était pas un mouvement politique – en fait, les politiciens ou les membres de partis politiques n’avaient pas la permission de s’y joindre. Elle fut fondée dans la Ville de New York en 1933 en tant qu’organisation éducative de recherche promouvant une restructuration radicale de la vie politique, sociale et économique au Canada et aux États-Unis, avec la science comme principe central d’opération.

Il n’y aurait eu aucun pays appelé Canada ou États-Unis non plus – seulement une masse géante de terre continentale appelée la Technate, une utopie technologique dirigée par des ingénieurs et autres « experts » dans leurs domaines. Dans la Tachnate, tout le monde serait bien logé et bien nourri. On prendrait soin de tous les besoins matériels, que vous ayez un emploi ou non.

Comme je l’ai souligné la semaine dernière, la vision de Trump de l’unification des États-Unis, du Canada et du Groenland est un plan des technocrates vieux de près de cent ans, et qui est promu fortement au sein de l’administration Trump par des gens comme Elon Musk et Peter Thiel. Donc, n’écartez pas ce que Trump dit à ce sujet, parce que ces milliardaires sont drôlement sérieux et il n’y a pas à débattre que Donald Trump ait rempli son administration avec plus de milliardaires que tout autre Président américain précédent – et il est plus enclin à donner aux milliardaires davantage de contrôle sur la politique américaine que tout autre Président américain précédent.

Joshua Haldeman fut un leader de la Technocracy Incorporated au Canada de 1936 à 1941, mais éventuellement il perdit ses illusions à propos de l’organisation, de même que du pays, et il plia bagages avec sa petite famille pour se refaire une nouvelle vie en Afrique du Sud.

En juin 1971, la fille d’Haldeman, Maeve, donna naissance à son premier petit-fils. Son nom est Elon Musk. [Emphase ajoutée]

Dans un discours devant un auditoire américain, en 1963, Howard Scott, fondateur et leader de la Technocarcy Incorporated, déclara : « En ce qui concerne les idées de la Technocracy, nous sommes tellement à gauche que le communisme a l’air d’une bourgeoisie à côté de nous. »

L’idéologie de la Technocracy défie la caractérisation facile. Elle était anticapitaliste et antidémocratique, mais pas fasciste. Elle était anti-gouvernementale, mais pas libertaire. Elle croyait en une forme radicale d’égalité sociale et économique, mais elle n’était pas marxiste.

Elle rejetait toutes ces idéologies parce qu’aucune d’elles n’acceptait l’idée que la science et la technologie puissent transformer la vie nord-américaine, et que seulement des ingénieurs et des experts de haute formation étaient capables de construire une « nouvelle » Amérique du Nord.

Pendant que Trump lâchait la tyrannie Covid sur le monde dans les derniers jours de son terme en 2020, on donna la tâche à Joe Biden d’implanter pleinement et de mettre en force – par l’intermédiaire du scientiste fou Anthony Fauci – cette expérience de gouvernement par et pour les technocrates. Souvenez-vous du mantra de Fauci : « Faites confiance à la science ». (La pseudoscience de Fauci, bien sûr.) C’est exactement de cela que l’on parle ici. Et c’est exactement ce dont parlent Musk et Thiel à Trump.

Alors que d’autres partis politiques et groupes de protestations vendaient des plans pour remettre les gens au travail, la Technocracy répondait ainsi : « Ne vous préoccupez pas de cela. » Le monde avait changé et les emplois supprimés par les machines ne reviendraient pas.

Au cœur du système des prix, il y avait l’argent. C’est ce qui forçait les gens à se mettre en dette, à enfreindre la loi, à devenir cupides et à s’engager dans toutes sortes d’autres comportements. Mais le secours était en chemin.

« La marche de la technologie, avec son abondance croissante, va détruire toutes les valeurs du système des prix, » déclara Scott dans un discours donné à Sylvan Lake, Alberta, lors d’une tournée oratoire dans l’Ouest canadien en septembre 1939. « C’est un affrontement entre l’obsolescence et la modernité, entre la technologie et les valeurs, entre la science et le chaos. »

Selon un rapport de 2019 du groupe de recherche Oxford Economics du Royaume-Uni, environ 1,7 millions d’emplois ont déjà été perdus mondialement en faveur des robots depuis l’an 2000. Même les personnes qui ont aidé à concevoir ce tsunami sont inquiètes.

« Nous vivons le plus grand tournant économique et technologique de l’histoire de l’humanité, » a déclaré l’entrepreneur de Silicon Valley, Andrew Yang, lors de son improbable candidature à la nomination présidentielle démocrate en 2020. « Nous avons besoin d’une façon d’aider des millions d’Américains à faire la transition à travers cette période. »

Yang amenait comme solution un revenu de base universel de 1 000 $ US par mois. Cette idée a gagné une traction considérable chez les ingénieurs et entrepreneurs de Silicon Valley, ces dernières années – même chez ceux qui s’opposent habituellement à tout genre d’expansion du gouvernement.

Au Sommet Gouvernemental Mondial à Dubaï, en 2017, Elon Musk – qui fait constamment la guerre aux agences qui tentent de réglementer ses voitures et ses fusées, et dont les plans pour fabriquer des véhicules entièrement autonomes pourraient coûter des millions d’emplois – exprima son soutien à un revenu de base garanti. [Emphase ajoutée]

« Le chômage de masse » sera « un défi social massif », avertit Musk. Faisant écho aux paroles que son grand-père a probablement émises de nombreuses fois, Musk conclut : « Il y aura de moins en moins d’emplois où les robots ne peuvent faire mieux. Avec l’automation viendra l’abondance. »

L’abondance pour les technocrates.

Je recommande vivement aux lecteurs de regarder un remarquable synopsis vidéo du monde de l’IA fait par un membre du comité directeur de la Commission du Service Public et physicienne du Montana, la Dre Ann Bukacek. Elle a magistralement livré une allocution fortement documentée dessinant les buts et les objectifs – et les dangers – des technocrates de l’IA tels que Musk et Thiel.

Pour la Technocracy, aborder la « maladie » signifiait de se débarrasser du système des prix et de l’infrastructure politique qui le supporte. Ils peuvent fournir aux citoyens bien plus de sécurité que tout autre genre de revenu de base garanti.

« Sous la Technate, nous serons responsables de la santé et du bien-être de tous les êtres humains, » déclare Howard Scott. « C’est plus que ce qu’a fait tout autre gouvernement politique. »

Le plan de la Technocracy était de remplacer le système de prix par un système basé sur l’énergie. Dans les années 1920, Scott et ses collègues débutèrent un énorme et ambitieux programme appelé la Survie de l’Énergie en Amérique du Nord. L’idée était d’établir une valeur à tous les biens et services produits sur le continent, non pas en mesurant la quantité de travail consacré, ou d’argent dépensé, mais en évaluant la quantité d’énergie employée à les produire.

Ils diviseraient alors la quantité d’énergie totale employée par le nombre de citoyens au sein de la Technate et au-dessus de l’âge de 25 ans, et ils émettraient à chacun de ces citoyens un nombre égal de Certificats d’Énergie, qu’ils travaillent ou non. Ces Certificats serviraient de devise à la Technate.

Chaque fois que vous achèteriez quelque chose, un montant de votre crédit énergie serait déduit et parce que les certificats seraient émis directement au propriétaire, on ne pourrait les acheter, les vendre, les marchander ou les voler. Personne ne serait capable d’accumuler plus de crédits que quiconque. C’était une prescription de l’état radicalement égalitaire qui aurait fait rougir d’envie les bolcheviques. [Emphase ajoutée]

« Personne ne serait capable d’accumuler plus de crédits que quiconque » – excepté les technocrates eux-mêmes, évidemment. La Technocratie n’est qu’un dérivé scientifique du Communisme, du Fascisme, du Sionisme et de leur copain le Capitalisme – systèmes qu’elle clame abhorrer. En d’autres mots, juste une autre sorte de tyrannie.

Dans la Technate, votre vie ouvrière ne commencerait pas avant l’âge de 25 ans. Quand vous auriez rejoint la force ouvrière, vous travailleriez 16 heures par semaine, vous auriez 78 jours de vacances par année et vous vous retireriez à l’âge de 45 ans.

« Une des maladies sociales les plus sombres est la croyance en la moralité du travail, » dit-il à un auditoire à Calgary. « Si vous voulez savoir ce que le travail a fait pour vous, retournez à la maison et regardez-vous dans un miroir et voyez quel gâchis vous êtes. » [Emphase ajoutée]

D’une perspective morale et biblique, c’est un des aspects les plus vils de tout le système technocratique. Il y a VRAIMENT de la moralité dans le travail – et de l’immoralité dans l’oisiveté. Et, chose tragique, il y a un pourcentage considérable d’Américains – y compris ceux qui se professent chrétiens – qui ne comprennent pas et n’adhèrent pas à cette moralité. Les Américains ont permis aux politiques socialistes du gouvernement de désensibiliser le travail dans leur esprit. À cause des politiques socialistes du gouvernement des États-Unis, les Américains voient le travail, soit comme un fardeau, soit comme un mal nécessaire – et certains d’entre eux considèrent même le travail avec un dédain et un dégoût manifestes. Dans tout le pays, essayer de mettre les gens au travail est devenu un des plus gros problèmes ; et un grand nombre de ceux qui « travaillent » n’ont aucun égard pour leur « métier ». La qualité du travail en Amérique n’a jamais été aussi basse qu’aujourd’hui. Et c’est omniprésent. Aucune industrie n’est épargnée. Et, encore une fois, l’expérience tyrannique du Covid conduite de manière technocratique n’était que la dernière impulsion de ce concept « d’oisiveté ».

Dans ses sorties publiques, la Technocracy Incorporated avait une apparence étrangement militariste. Ses membres, hommes et femmes, portaient des costumes gris faits sur mesure et conduisaient des automobiles aussi peintes en gris. Ils s’accueillaient les uns les autres avec un salut.

La Technocracy croyait que, dans un monde dépendant de la science et de la technologie, seuls les gens avec de l’expertise éprouvée dans ces domaines devaient être responsables de sa gouvernance. Cela excluait tout suspect habituel – les gens d’affaires, les avocats, les banquiers, les académiciens – dont aucun n’avait les habiletés pratiques qu’exigeait l’ère moderne.

Trump a fait campagne sur le thème du populisme, en répudiant publiquement les « experts » de la politique. Mais il s’est entouré d’idéalistes extrémistes (sionistes) et de la classe des milliardaires qui sont des « experts » en finance – mais beaucoup d’entre eux, comme Musk et Thiel, ont acquis leur richesse en collaborant et en coopérant avec le gouvernement. J’aimerais bien voir un rapport d’enquête sur le pourcentage de milliardaires qui ont obtenu leur fortune de manière indépendante face aux subventions, aux contrats, aux ristournes, aux avantages fiscaux, etc. du gouvernement.

Si je ne prends pas le temps de couvrir l’article claironnant de Chris Hedges intitulé The Road to Dictatorship, je vous encourage toutefois fortement à le lire.

« Ceux qui créent une civilisation vont éventuellement la dominer, » proclama Scott dans un discours à Winnipeg. « Les ingénieurs et les mécaniciens ont créé cette civilisation et ils vont un jour la dominer. » La Technocracy construisait « une armée technologique de gens fonctionnellement compétents. »

Cela signifie qu’il n’y aurait pas de place pour la démocratie dont on n’aurait aucun besoin. Toutes les fonctions normales du gouvernement – éducation, santé, hygiène, sécurité publique – seraient dirigées par des experts choisis par leurs pairs. Les médecins voteraient pour la personne en charge du système de soins de santé, les enseignants voteraient pour la personne qui dirigerait les écoles, et ainsi de suite. Il y aurait un cabinet composé d’une centaine de ces experts et ils sélectionneraient un « directeur continental » pour superviser l’ensemble des choses.

Bertsou a étudié l’émergence des gouvernements « technocratiques » autour du monde, particulièrement en Europe. En février 2021, Mario Draghi, économiste et ancien président de la Banque Centrale Européenne, qui n’a jamais détenu de poste politique, fut nommé premier ministre italien pour contribuer à gérer le rétablissement économique postpandémique du pays.

Draghi est un « technocrate », choisi pour l’expérience spécifique qu’il apporte à l’emploi. Les Italiens aiment beaucoup les technocrates, spécialement quand les temps sont durs, et Draghi y est le quatrième premier ministre technocrate depuis 1993. Vous trouverez aussi des technocrates du niveau du cabinet en Grèce, en France et au Liban, entre autres pays. Mais aucun d’entre eux ne serait adopté par la Technocracy parce qu’ils opèrent encore au sein du système des prix, traitant donc encore les « symptômes » et pas la maladie.

Aujourd’hui, personne ne parle d’une Technate nord-américaine ou d’une semaine de 16 heures de travail, ou de remplacer l’argent par des certificats d’énergie. Mais l’on aurait tort d’évacuer la Technocracy Incorporated comme n’étant qu’un autre plan utopique manqué.

Rappelez-vous que ceci a été écrit en 2021. Dans l’univers Trump/Musk/Thiel de 2025, la technocratie nord-américaine est non seulement fort vivante, mais elle est pratiquement en charge au 1600 Pennsylvania Avenue.

Et laissez-moi terminer cet article par quelque chose de légèrement en dehors du sujet, mais dont la pertinence est définitive avec ledit sujet.

Cela ne m’apparaîtrait pas comme une surprise que Donald Trump soit assassiné avant la fin de son terme – mais PAS pour les raisons que pensent les lèche-bottes de Trump. Si une telle tragédie devait survenir (que Dieu l’en préserve), cela ferait probablement partie du planning des propres initiés de Trump (technocrates et sionistes) qui ont utilisé Trump pour mettre J.D. Vance à la Maison Blanche.

Comme je l’ai rapporté la semaine dernière, Vance fut sélectionné par Musk, Thiel et le lobby israélien. De même que Trump, bien sûr, mais Vance représente un protégé de la maison pour la prochaine génération qui pourrait élever au niveau suivant le rêve technocratique de transformation de l’Amérique en société de surveillance totale. Si les chiffres de sondage de Trump devaient chanceler plus tard dans sa présidence, mettant en doute l’élection de Vance en 2028, les éminences grises au sein de la technocratie et du sionisme (souvent une seule et même chose) pourraient considérer que Trump n’est plus indispensable.

Ne vous y trompez pas : Vance est le Golden Boy de l’État profond pour l’an 2028.

J’encourage fortement les lecteurs à lire l’incroyable exposé documenté écrit par Whitney Webb sur les liens de la technocratie Musk/Thiel avec la CIA, le débitage du Covid, le Mossad d’Israël, Facebook, la poussée vers des lois « précrimes » (les lois Red Flag en sont le précurseur), le but technocratique d’un état de surveillance totale aux États-Unis et J.D. Vance.

Sérieusement ! Lisez, s’il vous plaît, son rapport d’enquête en profondeur.




Trump et Musk poussent-ils l’Amérique vers un état de surveillance de masse dirigé par les technocrates ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

20 février 2025

Quand il est question de Donald Trump, très peu de conservateurs et d’évangéliques veulent entendre quoi que ce soit de négatif. Et lorsqu’ils en entendent, ils attaquent le messager et déprécient le message – sans considération aucune envers la véracité du message. Il en était ainsi lors de Trump 1 ; comme ce le fut durant les deux termes de G. W. Bush ; et il en sera de même quand le prochain républicain sera élu président. Dans l’ensemble, les conservateurs et les évangéliques n’en n’ont TOUS que pour le parti, pas la vérité.

En plus, la très vaste majorité des experts conservateurs et des chaires évangéliques ne diront absolument rien contre Trump – peu importe que ses paroles, ses actions et ses politiques soient inconstitutionnelles ou mauvaises.

À cause de cela, j’ai en grande estime les personnes indépendantes, objectives, orientées vers la vérité et amoureux de la liberté et d’un gouvernement constitutionnel qui sont là à proclamer hardiment la vérité à propos de Trump.

L’un de ces hommes est l’ancien présentateur de FOX News, Clayton Morris. Récemment, sur son podcast, il a interviewé un véritable reporter d’enquête nommé Derrick Broze (oui, il y a encore quelques-uns de ces braves guerriers journalistiques dans les parages) qui a fait des recherches à savoir vers où Trump et Elon Musk entraînent les États-Unis en termes de société de surveillance déjà bourgeonnante (grâce à G.W. Bush).

Je vais emprunter abondamment de cette entrevue dans l’article d’aujourd’hui. Ce message DOIT sortir !

Clayton Morris : Donc, pourquoi autant de gens, Américains épris de liberté, semblent-ils en ce moment fermer les yeux devant l’état de surveillance massive aux États-Unis d’Amérique, qui pourrait s’y étendre avec tous ses oligarques de la technologie ? Rappelez-vous, ils étaient tous debout derrière le Président Trump lors de l’inauguration et louangeaient en quelque sorte Elon Musk d’une seule voix pour tous les dévoilements du DOGE. Mais sommes-nous aveugles ? Sommes-nous en train de rater quelque chose, ici ? Avons-nous un point aveugle massif quand il est question de la tournure technocratique et de l’état de surveillance massive qui pourraient être étendus à tous les États-Unis ?

Une chose à propos de DOGE : Pourquoi Musk insiste-t-il pour qu’on lui donne accès à TOUS les comptes-rendus fiscaux du peuple américain ? Je n’ai entendu personne s’attaquer au sujet. Ce serait une ÉNORME violation du droit du peuple américain à la vie privée. Il suffit déjà que nous ayons une gigantesque bureaucratie gouvernementale comme l’IRS qui détient toutes ces informations sensibles. Allons-nous maintenant les donner au technocrate-en-chef Elon Musk ?

Morris : Donc, quelle est votre plus grosse inquiétude, en ce moment, quand vous regardez ce genre de paysage technocratique dans cette sorte d’état de biosurveillance massive qui a l’air de se frayer un chemin dans nos vies ?

Derrick Broze : Au cours des deux derniers mois et demi, j’ai écrit trois articles dans The Last American Vagabond, dont chacun s’emparait de l’affaire.

Le premier dont vous avez fait allusion, Clayton, était centré sur le contrat d’Elon Musk. C’est un contrat secret de 1,8 milliards $ sur un projet appelé Starshield, lequel est le côté complexe militaro-industriel du réseau de renseignement Starlink. La plupart des gens savent que Starlink est la compagnie de satellites Internet qui vous permettent d’accéder à l’internet à peu près partout dans le monde. Et elle a fait plusieurs grandes choses, en aidant les gens dans des situations de désastre aussi bien que des personnes restant dans des régions à faible largeur de bande.

Mais comme je l’ai dit, il y a un autre angle, et c’est qu’à toutes les fois qu’Elon Musk a lancé une de ces fusées Falcon, et que les gens font la fête comme si la course à l’espace recommençait, il envoie aussi réellement des charges classifiées, fort probablement au Bureau de Reconnaissance Nationale, qui est une agence gouvernementale américaine demeurée secrète jusqu’au début des années 1990 et qui traite des satellites et de la surveillance par satellites.

Et donc, SpaceX est en partenariat avec l’armée, et le programme Starshield a rapport avec la création du plus gros réseau de satellite d’espionnage du monde. Et dans mon article du TheLastAmericanVagabond.com, je mentionne le chef du Bureau de Reconnaissance Nationale, son nom est Christopher Scolese. En fait, il a fait un discours à la fin de 2024 dans lequel il dit en ses propres mots : « Vous ne pouvez vous cacher. » Or, évidemment, il faisait référence aux méchants garçons, les terroristes, seulement les criminels, en disant que c’était sur quoi on allait se concentrer. Mais je pense que c’est quelque chose qui a sans doute échappé à beaucoup de gens, d’après plusieurs choses que vous avez dites ; les gens font la fête avec le DOGE et d’autres avec le fait qu’Elon Musk est un contracteur du complexe militaro-industriel, un des plus gros.

Et donc, beaucoup de gens ne sont sans doute tout simplement pas prêts à voir ce qui se passe réellement ; que ces mêmes technocrates, les Peter Thiel (qui a au moins une douzaine de gens dans la nouvelle administration Trump et qui remontent tous jusqu’à la Maffia PayPal), Elon Musk, bien sûr, David Sacks, Peter Thiel, sont reliés au Groupe de Bilderberg. Peter Thiel est un membre du comité de pilotage du Groupe de Bilderberg, comme son cofondateur à Palantir, Alex Karp. Les gens peuvent avoir manqué ces détails, s’ils n’essaient pas de les ignorer de manière délibérée.

Selon plusieurs rapports, Elon Musk et quelques autres personnes de ce cercle dirent à Donald Trump que J.D. Vance devrait être son candidat à la vice-présidence. Et bien sûr, J.D. Vance est un de ces acolytes de Peter Thiel, largement financé et qui a gagné sa course au Sénat à cause de l’argent de Peter Thiel, et il a dit que, lorsqu’il a entendu parler Peter Thiel à Yale, ce fut pour lui un grand moment d’inspiration. Ils commencèrent à travailler et à collaborer.

Donc, vous avez ici un membre du comité de pilotage du Groupe Bilderberg soutenant Trump, un membre soutenant Harris aux élections de 2024 et, quand tout est dit et accompli, ils cheminent en quelque sorte dans la même direction. Je crois que c’est ce que les gens devraient réellement noter également.

Vous pouvez fouiller davantage chez Larry Ellison, chez Sam Altman et voir de quoi il est question. Ce sont les hommes qui se tenaient côte-à-côte de Donald Trump lorsqu’ils faisaient l’annonce de l’IA, de l’ARN messager, des vaccins contre le cancer qui vont soi-disant résoudre cette maladie. Mais vous retournez à l’article d’opinion que Larry Ellison a publié dans une édition de janvier 2002 du New York Times et rédigé juste quelques mois après le 11 septembre 2001, et dans lequel il en appelait d’un état de surveillance complète, de biométrie, d’une carte d’identité nationale, d’une carte d’identité digitale… Il y a vingt ans de cela, et nous en sommes tout près maintenant. Mais il préconise ces idées depuis un certain temps et il a parlé plus récemment de l’utilisation de l’Intelligence Artificielle et de la reconnaissance faciale pour que les citoyens affichent leur meilleur comportement. Évidemment, il est à la tête d’Oracle, et Sam Altman dirige OpenAI ; OpenAI est en ce moment sous enquête parce que son sonneur d’alerte se serait apparemment suicidé malgré tous les signes du contraire.

Et c’est ce genre de personne qui sont partenaires de Trump à hauteur de 500 milliards $ pour ce nouveau projet de Stargate. Et pour ajouter à ce que je viens de dire, il y a une douzaine d’acolytes de Peter Thiel dans l’administration courante de Trump.

Avez-vous vu cela ? Il y a au moins une douzaine d’acolytes de Peter Thiel au sein de la nouvelle administration Trump. Partout où vous regardez dans l’administration Trump, vous trouvez des sionistes et des mondialistes.

Broze : J’ai abordé le cas de J.D. Vance. Il y a bien sûr David Sacks, qui émane de la Maffia PayPal. Il est le Tzar de la Crypto et de l’IA. Vous avez Howard Lutnick et le Secrétaire au Commerce. Il est aussi relié à Peter Thiel, comme il finance aussi Rumble. Et Cantor Fitzgerald qui était également un voisin de Jeffrey Epstein à un moment donné. Et la liste se poursuit.

Et il y a aussi Ken Howery. Je ne mentionnerai que lui. Une dernière chose à son propos. Je crois qu’il constitue également une importante pièce de ce casse-tête. Il fut désigné ambassadeur au Danemark. Et certaines personnes disent des choses comme « Okay, la belle affaire. L’acolyte de Peter Thiel devient l’ambassadeur au Danemark. Il n’a aucun pouvoir, aucune influence. » Il n’a d’ailleurs pas travaillé qu’une seule fois avec Peter Thiel. Il faisait partie de son cercle de camaraderie, de la Fondation Thiel et d’autres organisations comme celle-là.

Maintenant, lisez les trois paragraphes suivants très attentivement.

Broze : Mais lorsque vous mettez cela en contexte avec l’appel de Trump qui veut acheter ou prendre le Groenland et l’intégrer aux États-Unis, le Groenland fait partie du royaume du Danemark. Donc, Ken Howery, cet acolyte et associé de Peter Thiel, est maintenant en position d’aider les négociations et il tente que cela arrive si c’est vraiment ce que veut Trump.

Et l’autre pièce importante de tout cela, c’est que, si vous retournez au plan original des technocrates de 1930, le mouvement technocrate original, qui dit que nous ne devrions pas avoir de classe politique, que nous ne devrions pas avoir de classe d’affaires, que nous devrions avoir plutôt des technologues et des ingénieurs, et l’élite scientifique pour microgérer fondamentalement la société en utilisant les machines, ou ce que nous appelons aujourd’hui l’Intelligence Artificielle, leur plan original faisait appel à la technologie naissante de l’Amérique du Nord. Et cela incluait les États-Unis, le Canada, le Panama et le Groenland.

Donc, ce que demande Trump est en fait très, très similaire à ce que nous avons entendu il y a presque cent ans de la part du mouvement technocrate original.

Ça ouvre les yeux ! Trump n’est pas un malade mental parlant au travers de son chapeau ; c’est un homme contrôlé suivant méticuleusement un script soigneusement rédigé.

Morris : Vous avez parlé en citant votre article, et je pense que si les gens sont assis là à dire : « Attendez une seconde, cela semble fou, » ne faites que regarder ce qui arrive maintenant avec le mur de la frontière et l’idée que nous allons construire une sorte de mur frontalier biométrique pour garder les gens en dehors, et c’en est fait. C’est toujours ainsi que ça marche.

Après le 11 septembre, le Patriot Act : « C’est pour votre sécurité », qu’ils nous ont dit, d’accord ?  « Donc, vous devez abandonner vos libertés civiles, vous devez enlever vos chaussures à l’aéroport. Et maintenant tout va être scanné. Nous allons avoir un système biométrique que le gouvernement fédéral va diriger. Et Peter Thiel de Palantir, et ces gars-là, ces acolytes, vont contrôler toutes ces données et ces informations. Vous n’avez rien à craindre. » Je veux dire, c’est ce qui semble bien arriver.

Broze : Trump a déjà dit lui-même qu’il y aurait un procédé d’entrée et de sortie biométrique. Cette discussion qu’il y a à savoir comment arranger la crise frontalière, ou, disons, résoudre le système de vote, va malheureusement jouer en faveur de ceux qui veulent promouvoir l’Identité digitale, qui veulent promouvoir la reconnaissance facile partout et l’Intelligence Artificielle. Et on va vendre cela comme une façon de sécuriser les élections, de sécuriser la frontière pour nous sauvegarder. Et cela ne veut pas dire que nous ne devons pas agir et faire quelque chose d’une manière ou d’une autre, mais je pense que nous devrions, qu’il nous faut être prudents face aux solutions que l’on met devant nous, et nous assurer que nous ne sommes pas en train de nous réjouir et de célébrer notre propre esclavage.

Voilà pourquoi je dis depuis le tout début de l’annonce de Trump de « sécuriser la frontière » que « Je suis pour la sécurité de la frontière (c’était un point majeur de ma plateforme dès 2008), mais ce qui m’inquiète, c’est à savoir comment exactement. Trump planifie de le faire. Avec Trump, l’antidote peut être pire que la maladie. »

Morris : C’est vrai. J’en ai ras le bol de cela. Je pense que j’en ai vraiment ras le bol d’un paquet de conservateurs en ce moment, qui, je ne sais pas, ils restent tout simplement silencieux là-dessus. Ils sont totalement muets sur ce sujet particulier.

Clayton, ils sont muets sur TOUS les sujets qui pourraient mettre Trump sous un mauvais éclairage.

Nathalie Morris : Eh bien, c’est ce qu’on appelle la Droite Woke.

Clayton Morris : Ils en avaient ras le bol durant la pandémie, maintenant ils sont silencieux.

Broze : Quand c’est leur équipe, c’est correct. Ouais. Je pense que cela en dit beaucoup sur l’importance de la constance. Et quiconque d’entre vous qui êtes là, n’attrapez pas froid, que ce soit le froid de Trump, le froid de Harris, Biden, Obama ou n’importe qui. Allez où mène la vérité. Je pense que c’est ce dont plus d’entre nous devons nous rappeler, que ce n’est pas de la politique de sport d’équipe, que nous nous réjouissons quand ça va de notre côté et que nous conspuons quand ça va de l’autre côté.

Amen, Derrick, Clayton et Nathalie ! Je crie ce message depuis des décennies et j’ai les cicatrices pour le prouver.

Ces gens-là touchent l’épicentre de tout le problème.

Le problème est la base conservatrice/évangélique : Quand « leur » homme est en poste, ils « n’entendent aucun mal, ne voit aucun mal et ne parlent d’aucun mal ». Mais en fait, c’est pire que cela. En pratique, ils aident « leur » homme à représenter le mal – des choses mauvaises qui, si elles étaient faites par le parti opposé, ils en hurleraient à faire sauter le plafond.

VOILÀ LE PROBLÈME !

Je ne me fais pas de brûlures d’estomac à cause des conservateurs et des évangéliques qui soutiennent quelqu’un comme Donald Trump qui se présente contre une personne comme Kamala Harris – pas du tout. Ce qui m’exaspère au plus haut point, c’est quand ces mêmes conservateurs et ces mêmes évangéliques ferment les yeux lorsque leur héros républicain viole son serment à la Constitution et permet davantage l’abolition de nos libertés personnelles protégées par la Constitution. Cela m’irrite quand ils refusent même de reconnaître le comportement fâcheux du porte-étendard GOP, ou pire, lorsqu’ils réajustent la balance de la justice et de la droiture dans le but d’accommoder et de faciliter ce comportement fâcheux.

Les chrétiens devraient spécialement être mieux informés.

« La fausse balance est une abomination à l’Eternel ; mais le poids juste lui plaît » (Proverbes 11:1).

« Le double poids est en abomination à l’Eternel, et la fausse balance n’est pas bonne » (Proverbes 20:23).

L’alliance Trump/Musk/Thiel est un ÉNORME signal d’avertissement de la liberté.

Peut-être que ce que le petit garçon de quatre ans de Musk semble avoir dit à Trump dans le Bureau Ovale, l’autre jour, est plus vrai qu’on ne le réalise, quand il a dit de manière ostentatoire : « Tu n’es pas le Président ! » Or, si le petit bambin a réellement dit cela (quelques-uns disent que non), où pensez-vous qu’il ait entendu cela ?

Dans la vidéo de Musk et de son môme, dans le Bureau Ovale avec Trump, j’ai été frappé par le langage corporel de Trump. Il donnait l’apparence d’un homme qui n’était PAS en charge, mais qui démontrait d’un air penaud de la déférence pour l’homme qui était dans le Bureau : Elon Musk.

Je suis convaincu que le Vice-président Dick Cheney était le vrai président, l’homme qui menait la barque dans les administrations de G.W. Bush. Il semble qu’Elon Musk soit le Cheney de Trump. Et s’il y a le moindre brin de vérité dans cette supposition, les perspectives de nos futures libertés sont désastreuses.

Souvenez-vous que les républicains Bush et Cheney ont décollé la spirale de l’Amérique dans l’abysse d’un état de surveillance totalitaire en créant le Département de la Sécurité du Territoire, la Loi des Patriotes, la Loi sur les Commissions Militaires, etc. La tyrannie Covid ne se serait jamais réalisée sans le mantra de « guerre contre le terrorisme » de Bush/Cheney qui a lancé l’appareil de surveillance du gouvernement américain contre les citoyens américains. Avancez rapidement vers les technocrates de Trump et de Musk qui dirigent Washington, D.C., et la société utopienne technologiquement renforcée d’Orwell pourrait être à nos portes.

Et pour moi, la partie qui m’apparaît réellement effrayante dans tout cela : Si la trinité impie de Trump, Musk et Thiel était en train de mettre en force cette tyrannie technocratique aux États-Unis, est-ce que les conservateurs et les évangéliques l’ont remarqué – s’en soucient-ils ? Parce que, rappelez-vous, c’est une administration républicaine et la plupart d’entre eux ne remarquent rien de fâcheux dans ce que font les Républicains.




À la tête de l’Office des Religions à la Maison Blanche de Trump, Paula White : la grande prêtresse des faux prophètes

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

13 février 2025

Pour ne pas être en reste avec son prédécesseur, G. W. Bush, dans son enthousiasme pour calmer les supporteurs chrétiens sionistes, Donald Trump a créé le tout premier Office des Religions à la Maison Blanche. Pour diriger cette nouvelle bureaucratie gouvernementale, conçue spécifiquement pour cibler la religion en Amérique, Trump a assigné sa conseillère spirituelle, Paula White.

Comme vous vous en rappelez peut-être, le plus jeune Bush créa l’Initiative fondée sur la foi, dans laquelle il distribua des centaines de millions de dollars des payeurs de taxe pour la création d’un mécanisme d’utilisation d’argent du gouvernement fédéral afin de financer divers programme d’églises variées – achetant ainsi directement le soutien aux politiciens qui fournissaient ce support (comme si l’exemption de taxe du gouvernement n’était pas suffisante) et procurant un véhicule par lequel le gouvernement peut contrôler la religion à son goût. Des milliers d’églises ont tendu leurs mains impies pour recevoir ces fonds des payeurs de taxe américains.

Cela me rappelle une citation du père fondateur Thomas Jefferson à ce sujet :

Pousser un homme à fournir des contributions d’argent à la propagation d’opinions auxquelles il ne croit pas et qu’il abhorre, est immoral et tyrannique.

Amen !

Tout mélange de l’église et de l’état, par l’état, est anathème à la Sainte Parole de Dieu, la Constitution des États-Unis et à tout principe naturel de Liberté sur lesquels notre pays fut fondé. J’encourage fortement les lecteurs à regarder mon message de dimanche dernier (seulement 38 minutes de long, l’auriez-vous cru ?) dans lequel j’aborde ce sujet saillant.

Malheureusement, la plupart des évangéliques ont perdu toute appréciation et tout respect pour l’enseignement biblique d’une chaire libre et indépendante, d’un gouvernement constitutionnel et des principes de Liberté. A cet égard, ils sont aussi mauvais que la Gauche radicale. Les deux groupes veulent que les gouvernements, fédéral et étatique, financent et légifèrent leurs agendas indépendamment des Droits naturels et des protections de ces droits pour tout le peuple.

Or, Trump a placé la barre plus haute que Bush dans l’intrusion gouvernementale au sein du sanctuaire en créant un Office des Religions à la Maison Blanche. Il n’y a pas de doute, les églises qui coopèrent avec l’Office des Religions seront récompensées avec toutes sortes de bénéfices de l’Oncle Sam. Mais qu’arrivera-t-il des églises qui refuseront d’abandonner leurs sanctuaires à l’autorité du roi ?

J’ai bien peur que ces institutions religieuses qui ne voudront pas répéter le narratif provenant de l’Office des Religions auront à faire face à toutes sortes de menaces, à l’intimidation et peut-être même de possibles représailles légales – spécialement en ce qui regarde le narratif de Trump au sujet d’Israël.

La procureure générale de Trump, Pam Bondi, et la secrétaire du Département de la Sécurité Nationale, Kristi Noem, sont des hypers sionistes chrétiennes et bien établies dans leur soutien de la censure contre toute protestation et tout discours faits par quiconque critique Israël – au point même de déterminer des punitions de déportation et/ou d’accusations criminelles par le FBI.

Comme de chacune des assignations administratives clés de Donald Trump, Paula White est une sioniste « chrétienne » radicale.

Je cite ceci d’un article qui est apparu dans un média israélien appelé y net news, qui est pris de doux vertige à propos de l’assignation de White par Trump à cette position clé dans le gouvernement américain.

Le Président américain Donald Trump a établi le rôle de la religion dans la gouvernance américaine et fort probablement dans le façonnage de la politique étrangère – particulièrement quant à Israël – en créant le tout premier Office des Religions à la Maison Blanche.

Oh, wow ! Donc, nous pouvons maintenant nous attendre à ce que John Hagee, Kenneth Copeland et Richard Jeffress dirigent la politique étrangère de l’Amérique ?

La révérante Paula White, depuis longtemps conseillère spirituelle de Trump et une des figures les plus influentes dans son administration précédente, dirige l’initiative.

White a joué un rôle clé dans le renforcement des liens entre le président et Israël et sa part fut déterminante dans son appui pour que l’ambassade américaine soit relocalisée de Tel-Aviv à Jérusalem, entre autres politiques fondées sur la foi.

En même temps, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou a signalé que maintenant plus que jamais Israël accueillera favorablement le soutien chrétien politique, biblique et diplomatique. Bien qu’il n’ait pas rencontré les leaders juifs – sauf un groupement de leaders étudiants juifs – Netanyahou a tenu une rencontre de 90 minutes avec plus d’une douzaine de leaders évangéliques américains, ce lundi-ci, avant sa rencontre avec Trump, selon All Israel News.

Dans une récente conversation à Washington, White a décrit Trump comme étant une personne spirituelle.

Voilà pourquoi Trump utilise si souvent le nom de Dieu de manière blasphématoire.

White a joué un rôle clé dans la conception de la politique de Trump envers Israël et le Proche-Orient, en travaillant de manière étroite avec les anciens conseillers juifs orthodoxes du président, incluant le beau-fils de Trump Jared Kushner.

Pendant plusieurs années consécutives, la Fondation des Alliés d’Israël a reconnu White comme une des Alliées chrétiennes du Top 50 en mettant en lumière son profond engagement à renforcer les liens entre chrétiens et Israël.

Lors d’une visite à Israël en juin 2023, White a fait une déclaration audacieuse dans une entrevue avec votre reporter en soulignant que les chrétiens devraient chercher à apprendre des Juifs plutôt que de chercher à les convertir.

Elle se référa aux enseignements de l’apôtre Paul en disant : « Paul établit clairement que Dieu avait étendu son amour aux Gentils, mais il n’enleva rien aux Juifs et ne nous dit pas de retourner en arrière et de courir les corriger ou les convertir. Je ne veux pas convertir les Juifs ou les envoyer [vivre] en Israël pour l’enlèvement. Le plan de salut des Juifs appartient à Dieu. »

En plus de ses efforts humanitaires, White agit en tant que leader sénior dans le programme Israël365 des Actions pour la Conservation du Territoire de Dieu, lequel préconise la souveraineté israélienne sur la Judée et la Samarie [Cisjordanie].

La création de cet office est une autre indication que Trump donne la priorité aux intérêts de ses supporteurs évangéliques – un bloc clé de votes qui le soutient de façon consistante.

Cela marque aussi une victoire significative des factions de l’aile droite d’Israël qui préconise un alignement plus fort entre la politique israélienne et les valeurs conservatrices bibliques et basées sur la foi.

Cela pourrait également signaler que ces valeurs formeront le fondement d’une politique renforçant les profonds liens historiques entre le peuple juif et la terre d’Israël, y compris la Judée, la Samarie, Jérusalem et même Gaza.

Si vous êtes un chrétien qui connaissez votre Bible, vous aurez déniché immédiatement l’hérésie de White.

White a fait une déclaration audacieuse dans une entrevue avec votre reporter en soulignant que les chrétiens devraient chercher à apprendre des Juifs plutôt que de chercher à les convertir.

Elle se référa aux enseignements de l’apôtre Paul en disant : « Paul établit clairement que Dieu avait étendu son amour aux Gentils, mais il n’enleva rien aux Juifs et ne nous dit pas de retourner en arrière et de courir les corriger ou les convertir … Le plan de salut des Juifs appartient à Dieu. »

C’est le blasphème par excellence du sionisme de prospérité théologique chrétien vendu avec insistance par des gens tels que John Hagee qui disent que les Juifs ont un plan spécial de salut avec Dieu qui n’inclut pas le salut par Christ.

Hagee et White ignorent ce que Jésus a dit dans Jean 14:6 :

« Je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi. »

Encore une fois, la publication médiatique israélienne tire fierté du fait que Paula White soit une proche alliée du Juif kabbaliste/chabadiste/sioniste (et beau-fils de Trump) Jared Kushner qui est un des plus gros financiers des programmes de « colonisation » israélienne en Cisjordanie, alias « vol et occupation de territoire ». Il est aussi digne de mentionner qu’Israël considère White comme faisant partie du Top 50 des alliés chrétiens en Amérique.

Mais le blasphème de White va bien au-delà de son hérésie au sujet d’Israël. Écoutez n’importe quel de ses sermons, ils sont remplis de blasphèmes. Ces citations sont tirées d’un de ces sermons qui fut posté sur la page de Rank Heresy X.

Paula White :

Partout où je vais, Dieu règne.

Lorsque je marche sur le sol de la Maison Blanche, Dieu marche sur le sol de la Maison Blanche. J’ai tout le droit et l’autorité de déclarer que la Maison Blanche est un sol sacré, parce que je m’y tiens, et où je me tiens, c’est sacré.

White ignore de façon commode Exode 3:4-5 : « Et l’Eternel vit que Moïse s’était détourné pour regarder ; et Dieu l’appela du milieu du buisson, en disant : Moïse, Moïse ! et il répondit : me voici. Et Dieu dit : n’approche point d’ici ; déchausse tes souliers de tes pieds, car le lieu où tu es arrêté, est une terre sainte. »

Le lieu n’était pas saint parce que Moïse s’y trouvait ; le lieu était saint parce que Dieu y était. Et Moïse n’était pas Dieu.

Flash de nouvelles pour Paula White : il y a un Dieu, et ce n’est pas toi.

Paula White est la grande prêtresse des faux prophètes.

Voyez ce que White dit à propos de Trump :

Dire non au Président Trump, c’est dire non à Dieu.

Flash de nouvelles pour Paula White : il y a un Dieu et ce n’est pas Trump.

White encore sur Trump :

Que tous les réseaux démoniaques qui se sont alignés contre l’appel du Président Trump soient rompus, qu’ils soient arrachés au nom de Jésus.

Quel blasphème !

Donc, quiconque s’oppose à Donald Trump – qu’importe que ses actions et ses politiques soient inconstitutionnelles ou malignes – doit être démoniaque et doit être rompu et arraché – au nom de Jésus, bien sûr.

Trump s’est entouré de sectaires sionistes, y compris Paula White, qui veulent détruire la liberté d’expression permettant de critiquer le sionisme et Israël.

Au moment où j’écrivais cet article, une dépêche a été émise disant que le Président Trump avait annoncé que le Hamas avait jusqu’à samedi midi pour relâcher tous les prisonniers de guerre israéliens ou « l’enfer va éclater ».

Trump donne clairement le feu vert pour qu’Israël brise le cessez-le-feu et puisse utiliser les bombes de 1 800 à 2 000 livres qu’il a envoyées à Israël pour les lâcher sur les Palestiniens de Gaza. C’est évident, car peu après avoir fait cette annonce, Benjamin Netanyahou a fait écho à la menace de Trump presque mot pour mot.

Et veuillez-vous rappeler que la relâche des prisonniers de guerre israéliens par le Hamas fut spécialement définie dans un accord de cessez-le-feu en trois phases et négocié par Steve Witkoff, envoyé de Trump au Proche-Orient, et signé par les États-Unis et Israël. En d’autres mots, quand Trump annonça que le Hamas devait relâcher tous les prisonniers de guerre avant samedi midi, il brisait son propre plan de paix – plan de paix dont il se vantait tellement de créer quand il serait en poste.

En commettant cette tricherie, Trump a prouvé au monde (amis comme ennemis) que sa parole ne vaut absolument RIEN. Les ramifications de l’endossement obséquieux de Trump pour le génocide d’Israël contre le peuple palestinien vont venir le hanter (ainsi que l’Amérique) dans les attitudes et les actions de la communauté internationale pour le reste de sa présidence.

Le colonel Douglas Macgregor prédit que le feu vert de Trump à la continuation du génocide d’Israël à Gaza va avoir pour résultat l’unification des états arabes contre les États-Unis et Israël, et va mener à une guerre totale régionale et même mondiale. Il a probablement raison.

Trump utilise l’armée d’Israël (et ses bombes et ses missiles américains) pour nettoyer toute l’affaire [Gaza]. Cela veut dire terminer le travail de nettoyage ethnique et de génocide du peuple gazaoui pour que Trump et ses copains milliardaires puissent bâtir leur Riviera du Proche-Orient et transformer la côte de Gaza en un autre Atlantic City.

L’inhumanité sans pitié des leaders gouvernementaux (dont une foule de présidents et de congressistes américains) qui ont si hâte de répandre le sang de façon massive sur toute l’humanité – pour leur propre gain politique et financier – et qui démontrent une telle indifférence envers leurs victimes ne cessera jamais de m’étonner.

Donc, d’après ce que dit Trump, dès cette fin de semaine, il va rejoindre Joe Biden en tant que Criminel de Guerre et meurtrier de masse. Depuis combien de temps est-il en poste ? Trois semaines ? Cela n’a pas pris de temps. Et la fausse prophétesse Paula White sera celle qui aura vendu à la criée le génocide de Trump comme une cause juste aux évangéliques d’Amérique.

Je me demande combien de temps vont durer la liberté d’expression, le droit de manifester et le droit de redresser le gouvernement sioniste de Trump avec Paula White qui dirige l’Office des Religions à la Maison Blanche.




« Ave César ! Ceux qui vont mourir te saluent »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

6 février 2025

On doit reculer à l’administration de Grover Cleveland pour trouver un Président des États-Unis qui comprenait, révérait et tentait sincèrement d’honorer son serment à la Constitution américaine. Chose certaine, l’Amérique s’est retrouvée sous une présidence impériale pendant tout le 21e siècle – et cela inclut 2025 sous la présidence de Donald J. Trump.

Il est très difficile de sonder la totale ignorance de la Constitution, la banqueroute complète d’honnêteté et de fidélité, la profondeur de la dépravation morale, l’insondable indifférence envers la loi internationale, la froideur extrême pour l’héritage, les foyers et le cœur des gens dans d’autres contrées, et l’abdication totale de la souveraineté de l’Amérique et de ses intérêts nationaux à un pouvoir étranger – à savoir, Israël – que l’on nous a démontré dans l’administration de Joe Biden et que l’on voit maintenant dans l’administration de Donald Trump.

Le tout premier chef d’état étranger que Trump a invité à la Maison Blanche a été le Premier Ministre d’Israël, Benjamin Netanyahou. Et ce qui est ressorti de cette rencontre tient de The Twilight Zone.

Sans le moindre doute, Netanyahou est le criminel de guerre et le meurtrier de masse le plus notoire du monde – sans exception ! Au lieu de l’installer dans une limousine et de le conduire à la Maison Blanche, il aurait dû être accueilli par le personnel de renforcement de la loi, menotté et mis dans un avion en direction de La Haye afin de subir son procès pour Crimes de Guerre Internationaux, Crime contre l’Humanité et Génocide.

Beaucoup d’entre nous avions espéré que Trump amenait peut-être Le monstre du Proche-Orient à Washington pour le déposer et lui dire en termes clairs que la Maison Blanche n’était plus un pantin d’Israël. Nos espoirs furent brisés. La vie continue comme d’habitude au Bureau Ovale.

L’annonce que Trump a faite, assis à côté de Netanyahou et devant les reporters, se situe au-delà de toute description dans l’iniquité. C’est un fait que j’ai dit que je crois que Benjamin Netanyahou est un homme méchant possédé du démon. Je crois aussi qu’il y a un grand nombre de politiciens à D.C. – des deux partis – qui sont possédés par des démons. Et après l’annonce de Trump mardi, je me questionne à savoir qui possède l’âme de cet homme.

Il n’y a aucun doute qu’Hérode le Grand était un bien plus gros outil dans les mains de Satan que le maniaque de Gadara. Les personnes en position de pouvoir sont les meilleurs atouts du Malin, car leurs postes amplifient leur malice.

De Zero Hedge :

Le Premier Ministre Benjamin Netanyahou était tout sourire lors de sa visite à la Maison Blanche où il rencontra le Président Trump au Bureau Ovale ce mardi après-midi, étant donné particulièrement que Trump a dit plusieurs choses sur l’avenir de Gaza que le leader d’Israël accueillerait avec faveur.

Dans un échange avec les reporters, alors qu’il était assis à côté de « Bibi », Trump continua d’appuyer sur l’idée que les Palestiniens devraient être relocalisés en dehors de Gaza. « Il n’y a que peu de buildings debout et ceux-ci sont sur le point de s’écrouler. L’on ne peut pas vivre à Gaza pour le moment. Et je crois que nous avons besoin d’une autre localité, » a dit Trump, faisant écho à des commentaires précédents.

Trump alimenta encore la controverse en déclarant que les Palestiniens « aimeraient beaucoup partir » de Gaza – commentaire qui a déjà été condamné par les experts comme équivalant à une campagne de nettoyage ethnique. Les leaders arabes ont aussi attaqué tout plan dans lequel on verrait un exode massif ou un déplacement des Palestiniens vers des pays avoisinants.

« Qui voudrait y revenir ? » postula Trump durant la rencontre assise avec Netanyahou. Il est vrai que l’endroit a été nivelé, mais avec la tenue du cessez-le-feu, il y a des preuves d’un retour en masse de dizaines de milliers de Palestiniens vers leurs communautés en grande partie détruites, au nord de la Bande de Gaza.

« J’ai espérance que nous pourrions faire quelque chose de vraiment bien là où ils ne veulent pas revenir, » raisonna Trump, malgré la présente trêve Israël/Hamas nécessitant une future reconstruction de la Bande.

« Pas besoin que ce soit une seule région, mais vous choisissez certaines régions et vous y construisez des logements de très bonne qualité, des endroits où ils pourront vivre et non pas mourir, » a dit Trump.

« Les États-Unis vont prendre en main la Bande de Gaza et nous allons aussi y faire du bon travail, » a ajouté M. Trump.

« Elle va nous appartenir et nous serons responsables de démanteler toutes les bombes dangereuses et non explosées, ainsi que les autres armes sur le site, niveler le site et nous débarrasser des buildings détruits – les raser complètement. Créer un développement économique qui va fournir un nombre illimité d’emplois et du logement pour le peuple de la région. Faire du vrai bon travail. Faire quelque chose de différent. »

« On ne peut pas retourner en arrière, » continua-t-il. « Si l’on retourne en arrière, cela va se terminer de la même façon que depuis une centaine d’années. » – CBS [Emphase ajoutée]

D’Al-Jazeera :

Le Président des États-Unis Donald Trump a dit que les États-Unis vont « prendre en main » et « posséder » Gaza après la relocalisation des Palestiniens ailleurs selon un plan de redéveloppement extraordinaire qui, déclare-t-il, pourrait transformer l’enclave en « Riviera du Proche-Orient ».

« Les États-Unis vont prendre en main la Bande de Gaza et y faire du travail aussi. Nous allons la posséder, » a dit Trump à la Maison Blanche après des pourparlers avec le Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahou.

Dans son annonce, Trump a suggéré que les États-Unis allaient « prendre position de propriétaires à long-terme » de l’enclave.

« Cette décision n’a pas été prise à la légère. Tous ceux à qui j’en ai parlé aiment l’idée que les États-Unis possèdent ce morceau de terre en développant et en créant des milliers d’emplois grâce à quelque chose qui sera magnifique, » dit-il.

Demandé à savoir si des soldats américains allaient être envoyés à Gaza pour y maintenir la sécurité, Trump a répondu que c’était une possibilité.

«  Aussi loin que Gaza est concernée, nous allons faire ce qui est nécessaire. Si cela est nécessaire, nous allons le faire, » dit-il.

Trump nous fournit encore plus de preuves de ce que j’ai écrit dans mon article de la semaine dernière :

Trump le dit tout haut : il entend déplacer le reste du peuple palestinien de Gaza vers les états pantins des États-Unis que sont l’Égypte et la Jordanie, et dépeupler Gaza des Palestiniens.

« Nous nettoyons toute cette affaire [Gaza]. »

Trump a maintenant révélé au monde entier – y compris aux Palestiniens a qui il a menti au Michigan pour obtenir leur vote – qu’il est raciste et soutient le nettoyage ethnique d’Israël. Cela fait également partie du marché de Trump avec le gouvernement israélien et l’atout du Mossad, la milliardaire Miriam Adelson, pour les cent millions de dollars qu’ils ont mis dans la campagne électorale de Trump.

Il est intéressant de voir que Trump a employé le chiffre de « un million et demi » de Palestiniens à être déplacés. Je n’ai aucune idée d’où il a tiré le chiffre, mais supposons un instant que son chiffre soit exact. Cela voudrait dire qu’environ un million de Palestiniens ont été tués dans le génocide israélien contre Gaza, pas 40 000, ni même 200 000. La population de Gaza, avant que ne débute la guerre génocidaire israélienne avoisinait deux millions et demi. Ou peut-être veut-il garder quelques centaines de milliers de Palestiniens à Gaza afin d’agir en serviteurs pour la nouvelle classe de milliardaires qui va y déménager.

Devons-nous nous attendre à voir une nouvelle Tour Trump à Gaza ? Si les choses vont dans le sens de Trump, oui.

Les sionistes ont mis Biden en poste dans le but de faire le sale boulot consistant à aider Israël à commettre un génocide contre les Gazaouis et détruire complètement l’infrastructure, rendant Gaza invivable.

Maintenant, les sionistes ont mis Trump en poste pour travailler au déménagement du reste des Palestiniens vers les pays pantins des États-Unis (la Jordanie et l’.Égypte) afin de permettre aux États-Unis et à Israël de développer un domaine sur front de plage, face à la Mer Méditerranée, et s’emparer du pétrole, du gaz naturel et des minéraux qui y sont – et aider aussi Israël à saisir le territoire de la Cisjordanie.

Le général Smedley Butler de l’USMC avait raison : « La guerre est un racket. »

Par quelle autorité constitutionnelle, légale, morale ou éthique Trump déclare-t-il au monde entier qu’il va prendre en main, assujettir et posséder le peuple et la terre d’un territoire étranger ? Vous connaissez la réponse : il n’a pas une telle autorité.

Trump est aussi hors-la-loi que Biden.

C’est de l’impérialisme brut et un Empire non déguisé. C’est le crime d’utiliser le pouvoir pour le profit. Cela empeste la pourriture et la corruption.

La seule manière pour Trump d’accomplir ses plans pernicieux, c’est d’employer la force brutale de l’armée américaine. Donc, est-ce que les généraux et les amiraux de l’Amérique vont permettre qu’ils soient utilisés comme instruments serviles de la soif de pouvoir et de la cupidité de Trump et de Netanyahou pour émettre des ordres afin de commettre de pareils crimes ?

Je demande la question, parce que la seule manière que l’on puisse déplacer les Palestiniens de leur terre ancestrale, c’est au moyen de bombes et de balles, ce que Trump dit être prêt à faire.

Non ! La Palestine n’est PAS la terre ancestrale des Juifs ashkénazes Netanyahou, Ben-Gvir, Smotrich, etc. Leur terre ancestrale est l’Europe de l’Est – l’Ukraine, pour être plus spécifique (raison pour laquelle on les appelle des Juifs ashkénazes). Les Palestiniens peuvent retracer leurs ancêtres en Palestine sur plus d’un millier d’années. Le flagorneur israélien et ex-prêcheur/politicien, et maintenant ambassadeur américain en Israël, (en fait, il est le camelot d’Israël à Washington), Mike Huckabee, a complètement tort quand il débite de façon absurde que la patrie d’Israël remonte à 3 500 ans. Non, ce n’est pas vrai !

Les Assyriens détruisirent Israël en 722 avant J.-C. ; les Babyloniens détruisirent Juda en 587 avant J.-C. ; et les Romains détruisirent le reste des Juifs en l’an 70 après J.-C. Et Dieu n’a PAS donné la terre de Palestine aux Juifs à perpétuité. J’encourage fortement les lecteurs à regarder mon message God’s Chosen People (Le peuple élu de Dieu) dans lequel je creuse le sujet à fond. [En anglais seulement]

Vraiment, l’empereur Donald Trump est dévêtu. Dites-moi, en quoi les proclamations de Trump diffèrent de celles des césars ?

L’invasion de Trump à Gaza produirait la révolte, la violence, la guerre et un bain de sang à travers la Palestine et le monde arabe – et peut-être même autour du monde.

Et pendant que Trump sera occupé à commettre un nettoyage ethnique en Palestine pour construire sa Riviera du Proche-Orient, il veut prendre en main le Groenland (qui est le territoire souverain du Danemark) – par la force si nécessaire ; et il veut annexer le Canada pour en faire le 51e état américain.

Il semble que Trump soit trop stupide pour réaliser que si une telle chose arrive au Canada, le Parti républicain n’aura jamais plus la majorité dans les deux Chambres du Congrès américain, car la politique du Canada est en grande partie dominée par les libéraux socialistes. Y a-t-il quelqu’un au sein du GOP qui ait le flair politique et le courage intérieur pour dire à Trump jusqu’à quel point ses notions sont idiotes ? Probablement pas.

Donc, les militaires américains qui sont sur le point de recevoir l’ordre de combattre et de mourir en envahissant Gaza pour faire le nettoyage ethnique du peuple palestinien et les forces opposées qui vont combattre et mourir afin de résister à la tyrannie peuvent tous chanter à l’unisson à l’Empereur Trump :

« Ave César, ceux qui vont mourir te saluent ! »