Israël planifie-t-il de se relocaliser en Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

23 juin 2022

Dans ma rubrique du 7 avril, j’ai cité le Président Volodymyr Zelensky qui avait dit que, quand la guerre serait terminée en Ukraine, celle-ci serait un « gros Israël ». Évidemment, Zelensky est lui-même juif ashkénaze et l’Ukraine est la patrie originale de ceux qui sont devenus des Juifs ashkénazes.

Se pourrait-il qu’un des motifs cachés derrière la guerre en Ukraine soit la relocalisation éventuelle d’Israël de la Palestine vers l’Ukraine ?

« Absurde ! » direz-vous. Peut-être bien. Peut-être pas.

Jusqu’ici, j’ai déjà perdu 80 % des évangéliques américains qui se sont fait laver le cerveau par les doctrines pseudo-prophétiques de Cyrus Scofield et qui croient que l’état d’Israël apparu en 1948 est un accomplissement de la prophétie biblique et est un – non, LE – signe prophétique central de la Seconde Venue de Christ.

Et la vaste majorité des conservateurs politiques se sont fait laver le cerveau à croire qu’Israël est le « plus grand allié » de l’Amérique au Proche-Orient et qu’on doit le soutenir au moyen de nos dollars américains et le protéger par le sang des Américains – à tout prix.

Les évangéliques comme les conservateurs politiques sont totalement aveugles quant au rôle majeur que l’Israël sioniste joue dans l’ensemble des machinations et des agendas globalistes. Cet aveuglement est la source d’une grave dissonance cognitive à l’intérieur de leur esprit.

Ils feront n’importe quoi pour soutenir et défendre l’État sioniste d’Israël, ne réalisant pas qu’Israël est un des pires ennemis que l’Amérique – et la Liberté – ait jamais eu et qu’il a fait plus pour détruire notre culture et notre héritage chrétien, notre stabilité économique et nos libertés constitutionnelles, que n’importe quel autre pays sur terre.

Par conséquent, ce que je m’apprête à vous dire à partir d’ici sera largement ignoré et dénigré par les évangéliques chrétiens et les conservateurs politiques.

Qu’il en soit ainsi.

Ce que j’écris aujourd’hui est bien plus qu’une simple fantaisie. C’est une idée dont on discute sérieusement au sein des groupes de réflexion géopolitiques.

Je vais citer ceci d’une analyse gouvernementale :

Appelez cela une théorie de la conspiration si vous voulez, mais j’ai lu à plus d’un endroit que l’agenda caché des États-Unis en Ukraine est de créer une nouvelle patrie pour le peuple d’Israël qui veut y migrer dans le but de sortir de ce qui est de plus en plus un état en faillite se dirigeant vers son écroulement.

Il est facile de ridiculiser cette théorie, mais je crois qu’on y trouve quelque chose à considérer.

(Prenez note de l’écroulement actuel du quatrième gouvernement d’Israël en seulement trois ans.)

Israël ressemble de plus en plus à un état qui a échoué. Il consiste en une poignée de gens juifs – moins de neuf millions – s’accrochant à une parcelle sèche et inhospitalière de roches et de sable sur la côte est de la Méditerranée, où ils sont isolés au milieu d’un vaste océan humain de populations et de culture musulmanes [et chrétiennes].

Je ne dis pas cela en tant que personne antisémite ou opposée à Israël. Je ne suis contre personne et ne m’oppose à aucun peuple, aucun groupe ethnique ou aucun pays. En fait, j’éprouve beaucoup de sympathie pour quiconque est pris dans les absurdités et la violence de la vie dans le monde d’aujourd’hui.

Mais soyons réaliste. Regardez la condition présente d’Israël. Mais avant, remontons un peu dans le temps. Il est communément accepté de croire que les Britanniques ont originalement acquiescé à la désignation de la Palestine comme patrie future du peuple juif en tentant d’établir une tête de pont pro-occidentale dans une région riche en minerai. Avançons rapidement de près d’un siècle à la Guerre contre le Terrorisme des États-Unis, qui a été un échec lamentable. Cette campagne était de toute évidence destinée à diriger une ingérence pour Israël dans son émergence en tant que pouvoir directeur régional au sein du Proche-Orient, ou même peut-être un pouvoir mondial.

Voyez le nombre de pays que la Guerre contre le Terrorisme était supposé renverser. Selon le général américain Wesley Clark, héros américain du bombardement de la Serbie à la fin des années 1990, l’inventaire des pays à assujettir par un changement de régime pro-américain devait comprendre, avec l’Afghanistan déjà occupée, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran.

Or, la Guerre contre le Terrorisme a été en grande partie abandonnée après un gaspillage de plus de vingt ans au coût d’innombrables trillions de dollars. Bien que les États-Unis aient écrasé et humilié l’Irak, ce pays est revenu au point de légiférer un ban complet, jusqu’à la peine de mort, de toutes normalisations des relations avec Israël. Le Liban est un désastre économique, mais il est en grande partie contrôlé par l’ennemi par excellence d’Israël, le Hezbollah. L’Iran demeure indépendant et défiant, malgré les menaces et les sanctions américaines.

Les États-Unis ont tenté d’utiliser des cadres terroristes analogues à Al-Qaeda pour détruire et renverser la Syrie, mais la Russie a envoyé des forces pour l’en empêcher, et la Syrie a pu rejoindre la Ligue Arabe. Et l’échec d’Israël à faire la paix avec les Palestiniens en a fait un paria international. Plus encore, après des années d’occupation, les colonies israéliennes en Cisjordanie sont des îlots en zone de guerre, alors que ses villes sont des camps armés. Même avec les incitatifs envers les Juifs vivant outremer, l’émigration vers Israël est quasi inexistante. Presque personne, sauf les fugitifs et/ou les blanchisseurs d’argent, n’est assez fou pour vouloir y déménager.

En outre, l’économie d’Israël est faible et continue de dépendre pour sa subsistance de l’aide et des dons des États-Unis par les Juifs américains. Parmi ceux qui prédisent une crise existentielle et un écroulement à court terme, il n’y a pas que les opposants extérieurs à Israël, mais également beaucoup d’Israéliens renseignés et influents. Et avec la Turquie et l’Arabie Saoudite qui s’alignent de plus en plus avec la Russie, l’influence des États-Unis en tant que protecteur d’Israël est sur son déclin.

Donc, je ne serais pas surpris le moins du monde si une partie du plan des États-Unis pour ravir l’Ukraine à la Russie, plan qui a cours depuis plus de trente ans à partir de la rupture de l’Union soviétique en 1991, pourrait avoir toujours été de la capturer pour en faire un refuge juif en vue de l’échec du projet-Israël. Et nous savons que la tentative gouvernementale américaine pour éloigner l’Ukraine de l’influence russe a été le fer de lance de la faction des Néoconservateurs qui a largement instigué la Guerre pro-Israël contre le Terrorisme. Les Néoconservateurs sont dirigés par des personnages comme Victoria Nuland du Département d’État et son mari Robert Kagan, cofondateur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain et de son poste à Brookings, un des principaux faucons guerriers de Washington.

Ainsi, je crois que le plan des Néoconservateurs était probablement que les États-Unis emploient la junte ukrainienne qu’ils avaient installée en 2014, dirigée maintenant par Zelensky, et anciennement par Poroshenko, tous les deux juifs, mais aidés par des néo-nazis comme le Bataillon Azov, pour chasser les Russes ethniques du pays. Cela devait se faire, et ce fut commencé, par une campagne d’intimidation et de bombardement terroriste, et un génocide si nécessaire.

Donc, est-ce que cela a été exécuté dans le but de faire de la place aux immigrants israéliens ? Nous ne le savons pas de manière sûre, mais Zelensky nous a bien dit que, lorsque ce serait accompli, l’Ukraine finirait par être gouverné « comme Israël ».

Les quartiers généraux hégémoniques sionistes déménageraient-ils de Tel-Aviv à Kiev que cela donnerait aux globalistes européens le deuxième plus gros pays d’Europe à partir duquel opérer. Imaginez partir d’une petite bande de terre, environ de la dimension du New Jersey, au deuxième plus gros pays de l’Europe. En plus, la vaste majorité des gouvernements du monde sont de plus en plus outrés par le traitement génocidaire continu du peuple palestinien par l’armée israélienne.

Ajoutez-y le fait que l’Ukraine est le foyer historique de l’Empire khazar qui fut l’ancêtre des Juifs ashkénazes maintenant localisés en Palestine et vous pouvez voir l’attraction que cela exerce sur l’élite sioniste.

Évidemment, si jamais cette relocalisation survient, cela fera exploser en mille morceaux les fausses doctrines prophétiques des futuristes Scofield. Mais j’ai confiance que les dispensationnalistes s’arrangeront pour trouver une autre contorsion biblique à faire au Livre de l’Apocalypse. C’est toujours ce qu’ils font.

N’oubliez jamais que, depuis la Deuxième Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis n’a pas fait une seule guerre ou engagé un seul conflit armé qui ne fasse pas avancer la cause du sionisme d’une façon ou d’une autre. Je suis absolument convaincu que cela s’applique aussi à la guerre des États-Unis en Ukraine.

Rappelez-vous également que le nettoyage ethnique des Palestiniens de langue arabe était un prérequis des Sionistes pour prendre le pouvoir en Palestine. Et tout le conflit actuel en Ukraine est dû au nettoyage ethnique de Zelensky contre les gens de langue russe dans le Donbass.

Coïncidence ? Nous verrons bien.




Dommages collatéraux des confinements Covid ; épreuve de force au Sénat sur le contrôle des armes à feu

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

16 juin 2022

Le nombre des morts et des estropiés causés par les vaccins Covid est nettement sous-rapporté par le Système de Rapports de Cas Négatifs des Vaccins (VAERS). En vertu de la manière par laquelle ces statistiques sont accumulées, ces chiffres reflètent au mieux 10 % du total réel. Par conséquent, les 28 000 décès que rapporte le VAERS sont en fait 280 000 décès, et le rapport de 1,3 million de gens estropiés est en réalité de 13 millions d’estropiés.

Mais ces chiffres ne tiennent pas compte des dommages collatéraux occasionnés par la réaction tyrannique du gouvernement face au narratif Covid frauduleux, plus précisément les confinements.

Voici le rapport :

Les États-Unis ont enregistré un excédent de 170 000 morts durant la pandémie du Covid-19, lesquels n’ont pas été causés par le virus en lui-même – comme l’obésité, l’abus de substances toxiques et d’autres tueurs ayant fait éclosion durant les confinements imposés par le gouvernement, nous montre une nouvelle étude.

Les chiffres ont été révélés dans un rapport émis ce mois-ci par le Bureau National des Recherches Économique (NBER).

Le rapport suggère que l’excédent de morts non-Covid pourraient être des « dommages collatéraux dus aux choix politiques ». Le NBER indique des facteurs tels que la violence accrue par les armes à feu, l’utilisation de drogues et d’alcool, la cigarette et le gain de poids durant les confinements.

« Nous remarquons particulièrement que les résultats de santé non-Covid n’avaient pas fait l’objet d’un suivi étroit pour déterminer, entre autres choses, si les politiques Covid privées ou publiques les aggravaient, » disent les auteurs de l’étude. Ils ajoutent que, bien que les critiques blâment les choix personnels pour l’excédent de morts, plutôt que les politiques publiques, « cela ne donne pas d’excuse pour ignorer l’essor du taux de mortalité ou de mettre l’examen de ces décès en veilleuse. »

Les morts causées par la drogue et l’alcool ont augmenté de 13 % et 28 % respectivement, excédant les niveaux de base de 24 000 personnes par année, dit le NBER. Il y a eu 32 000 morts annuelles excédentaires à cause des maladies circulatoires, environ 4 % au-dessus du niveau de base, et les fatalités causées par le diabète et l’obésité ont été de 10 % plus élevées que prévu, atteignant une moyenne estimée à 15 000 cas additionnels chaque année.

Même si le gouvernement suit de près les cas et les morts Covid, très peu de données sont offertes sur ce qu’il en est des conséquences sanitaires en dehors du virus, dit le NBER. « L’on a montré bien peu de curiosité à savoir si les politiques Covid publiques et privées avaient aggravé les problèmes précédents de santé, » poursuivent les auteurs, en ajoutant que leurs découvertes sur les torts causés à la santé et vécus durant la pandémie étaient « significatifs et historiques. »

« D’autres données sur la dépendance aux drogues, les fusillades non-fatales, le gain de poids et les dépistages de cancer indiquent une urgence sanitaire historique, bien que largement non-reconnue, » disent les auteurs.

Une étude de l’Université John Hopkins émise plus tôt cette année suggère que les confinements Covid-19 autour du monde n’ont empêché que peu ou pas de morts causées par le virus. « Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements n’ont eu que peu ou pas du tout d’effets sur la santé publique, ils ont toutefois imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés, » disent les auteurs de l’étude. « En conséquence, les politiques de confinement sont mal-fondées et devraient être rejetées comme instrument de politique pandémique. »

En ajoutant les 170 000 morts « excédentaires » aux 280 000 décès sous-rapportés par le VAERS, nous arrivons à un nombre réel de morts attribués au faux narratif Covid de plus de 450 000.

En plus, cette étude ne prend pas en considération l’impact psychologique pernicieux que des protocoles orwellien du CDC tels que les masques, la distanciation sociale et l’isolement ont eu sur tout le monde – particulièrement les enfants d’âge scolaire.

Personne ne peut redonner ces deux ans aux étudiants du secondaire et du collège de notre pays. Ils ont perdu deux des années les plus importantes de leur vie. Et au retour à l’école, ce seront des créatures différentes.

L’omniprésente propagande Covid et le narratif Covid maladroit et tyrannique ont, non seulement ôté deux des années les plus importantes et formatrices de ces jeunes gens, mais ils ont changé leur psyché pour toujours.

Allez dans n’importe quel collège d’Amérique et voyez ce qui s’y passe. Vous y verrez des robots pour la plupart déconnectés, anti-sociaux et sans amis, dont on a recircuité les cerveaux et dont on a détruit l’interaction normale (saine) d’adolescent, la socialisation et les rêves d’avenir.

Ils s’assoient en classe avec leur cellulaire branché dans les oreilles ; ils sont assis seuls à la cafétéria, encore avec leurs cellulaires ; ils ne regardent pas les autres étudiants et leur parlent encore moins. Ils sont totalement détachés de la réalité et effrayés d’interagir dans la société.

Récemment, j’étais en train de manger dans un restaurant fast food et une étudiante de seconde année au collège attendait à ma table. Je mange fréquemment à cet endroit et j’ai développé une relation amicale avec bon nombre des membres du personnel qui y travaillent, y compris cette étudiante collégiale.

Je lui demandai nonchalamment comment ça va à l’école. Elle me répondit qu’elle avait sauté ses deux dernières semaines d’école et n’y retournerait pas l’automne prochain. Je lui demandai pourquoi et elle me dit que l’école était un cauchemar. Elle m’avoua ne pas avoir d’amis et que très peu se préoccupaient de se faire des amis. Elle me dit que l’atmosphère ressemblait plus à celle d’un salon funéraire que d’une école secondaire. Elle en avait assez, me dit-elle.

Donc, voilà une autre décrocheuse du collège qui n’a que peu d’espoir dans le futur, qui jette sur la vie un regard complètement découragé et dépressif. Mettez-la sur le compte des dommages collatéraux provoqués par le faux narratif Covid.

Effacez les deux dernières années de tyrannie Covid et cette jeune fille serait sans aucun doute une adolescente heureuse, enthousiaste et optimiste, toute excitée à l’idée de devenir une étudiante de dernière année avec tout le plaisir que cela implique et les expériences mémorables qui vont avec.

Cette jeune fille fait partie de millions d’autres à travers le pays. On ne les verra pas dans les feuilles de statistiques de quiconque, mais ce sont des victimes de la GUERRE CONTRE LA LIBERTÉ de Bill Gates/Anthony Fauci/Donald Trump/Joe Biden/CDC.

Épreuve de forces au Sénat au sujet des armes à feu :

La proposition la plus extrême sur le contrôle des armes à feu considérée par le Sénat américain est une disposition qui autoriserait le gouvernement fédéral à suborner les états pour qu’ils promulguent des lois Red Flag de confiscation d’armes – en fait, une loi Red Flag nationale.

De ZeroHedge :

Les lois Red Flag (Drapeau Rouge), connues également sous le nom de « Ordres de Protection Extrême », sont généralement associées aux suppositions de désordre mental et d’instabilité (rappelez-vous bien du mot « suppositions »). Les paramètres de ce genre de lois semblent être incroyablement larges et ambigus, et permettent à quiconque en proximité régulière d’une personne de l’accuser d’être psychologiquement instable. L’accusation peut venir d’un membre de la famille, d’un partenaire, un associé au travail, etc.

Une fois que l’accusation est lancée, les autorités peuvent confisquer les armes à feu de la personne ciblée sans procédure selon la loi, en raison qu’elles représentent un danger pour elle-même ou pour les autres. Aucun jury, aucun examen, aucune preuve ne sont requis pour obtenir un ordre de la cour. C’est alors à l’accusé de prouver qu’il n’est PAS instable, et qu’il mérite qu’on lui retourne ses armes à feu. Ce processus peut prendre des années, à condition que ses armes ne lui soient jamais retournées.

Certaines versions des projets de loi Red Flag permettent même à la police de vous déclarer d’elle-même dangereux, même sans contact direct ou sans témoin. En d’autres mots, c’est un système de « pré-crime » qui ouvre la porte aux abus de masse. Et gardez à l’esprit que nous vivons dans une ère digitale dans laquelle les médias sociaux sont soigneusement contrôlés, souvent par des gens qui n’ont pas vos meilleurs intérêts à cœur. Les lois Red Flag pourraient même s’étendre aux commentaires émis et pris hors contexte sur les plateformes de médias sociaux.

Comme dans toute propagande gauchiste, Biden et les Démocrates ont vu à associer toutes les intérêts politiques et sociaux, de même que les affaires constitutionnelles, aux vils comportements tels que le racisme et la trahison. Si vous vous opposez à l’immigration illégale, que vous exigez une preuve de citoyenneté pour voter, que vous soutenez le droit d’avoir des armes et le droit constitutionnel d’avoir une milice, que vous croyez que le gouvernement est corrompu et qu’il a surpassé ses mandats constitutionnels, que vous vous opposez au globalisme et au monopole des entreprises, etc. alors vous êtes un extrémiste aux yeux de l’Administration Biden. Non seulement cela, mais vous êtes comparable à des groupements comme le Ku Klux Klan et des terroristes individuels comme le poseur de bombe de l’Oklahoma City.

Les lois Red Flag ouvrent la porte aux punitions pour opposition politiques en associant les points de vue contraires à « l’extrémisme » et l’extrémisme à l’instabilité mentale. Les politiques de Biden mentionnent spécifiquement les gens qui sont hostiles à l’autorité gouvernementale, ce qui tombe en plein dans la ligne de la rhétorique employée par le DHS et les autres agences-alphabet des dernières années en relation avec ce qu’on appelle le « Désordre de l’Opposition Provocatrice ».

Les partisans autoritaires anti-armes ont peur de la confrontation directe et de la confiscation directe. Faire du porte-à-porte n’est pas, dans leur idée, une partie de plaisir. Ils vont plutôt préférer la confiscation par la porte arrière, en courant après une poignée de gens, pour ensuite aller vers le groupe suivant. D’abord lentement, jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que les gens s’organisent contre eux. Le 2e Amendement n’est pas un privilège accordé à la loyauté envers un régime donné ou une idéologie particulière, et il ne dépend pas du taux de criminalité ; il est sacro-saint et s’érige en dehors des conditions de l’époque dans laquelle nous vivons. Les fusillades peuvent se multiplier ou chuter, mais cela n’a pas d’importance – une fois que le droit de porter des armes sera enlevé, il est improbable qu’il ne revienne jamais.

Dix-neuf états et le District de Columbia ont déjà fait passer les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu. Ce sont la Californie, le Colorado, le Connecticut, le Delaware, la Floride, Hawaï, l’Illinois, l’Indiana, le Maryland, le Massachusetts, le Nevada, le New Jersey, le Nouveau-Mexique, New York, l’Oregon, le Rhode Island, le Vermont, et l’état de Washington.

Notez que ces états comprennent des Bleu Profond et des Rouge Profond.

Je vous encourage – particulièrement vous, les dames – à lire l’excellent article intitulé An Open Letter to Women Who Want Gun Control, de Daisy Luther.

En passant, le témoignage personnel de Mme Luther à propos de la présence d’une arme et l’empressement à l’utiliser en état d’autodéfense, ce qui a réussi à lui éviter l’éventualité de blessures sérieuses ou la mort, à elle-même ainsi qu’à sa fille, c’est aussi le témoignage de ma famille en six occasions séparées.

Quiconque permettrait au gouvernement de le désarmer est un insensé.

Si vous tenez à votre liberté – et à votre sécurité – vous devez envoyer un message fort et clair à vos sénateurs républicains (et une poignée de démocrates professant le 2e Amendement) et laissez-leur savoir en termes sans équivoque que s’ils votent pour soutenir ces nouvelles mesures de contrôle des armes à feu, ils auront perdu votre vote pour toujours.

Et vous, les amis du Texas, vous devez savoir que votre sénateur, John Cornyn, est un des leaders du Sénat à promouvoir cette nouvelle loi Red Flag nationale de contrôle des armes à feu. Il doit vous entendre MAINTENANT !




Plus de tueries dans les zones sans fusils et plus de réaction inepte policière

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

2 juin 2022

Nous y voilà encore : un autre imbécile rendu fou (ou programmé ?) déambule dans une zone sans fusil, avec un fusil, et prend la vie de 19 écoliers et 2 enseignants. Et malgré une vingtaine de policiers postés autour et en dehors de la scène de crime – pendant qu’avait lieu la tuerie – ils ne se donnèrent pas la peine de stopper le méchant garçon avant une bonne heure.

Non seulement les policiers n’ont-ils pas essayé de prendre le tireur, mais ils ont arrêté, menotté et électrocuté au taseur les parents frénétiques qui essayaient de secourir leurs enfants.

Les officiers chargés de faire appliquer la loi à Uvalde, au Texas, ont refusé jeudi de commenter pourquoi les agents de police ne sont pas entrés dans l’école élémentaire, pendant une heure, pour tuer un tireur en série. Les parents accusent et la police locale et la police fédérale pour n’avoir « rien fait »  dans le but de mettre fin au carnage, et d’avoir menotté ces parents qui essayaient eux-mêmes d’intervenir.

Gomez dit que dans les 40 minutes qu’il lui a fallu pour être au courant de la fusillade et se rendre en voiture à l’école, les officiers de police n’étaient pas entrés. Quand elle souleva ses inquiétudes aux marshals fédéraux, elle dit avoir été arrêtée et menottée pour être intervenue dans une enquête en cours. Après que la police locale eut convaincu les marshals de la laisser aller, Gomez dit qu’elle sauta la clôture de l’école et courut secourir ses deux enfants à l’intérieur.

Des vidéos partagées sur les médias sociaux montrent encore plus de parents qui, comme Gomez, plaidaient auprès des officiers de police pour qu’ils entrent dans l’école et sauvent leurs enfants.

Voyez aussi ce rapport.

Et voici un autre rapport :

Comme nous en avons rendu compte jeudi, de multiples rapports et des vidéos ont surgi au sujet de la réaction des forces de l’ordre, ou plutôt leur manque de réaction, concernant la fusillade de masse à l’école élémentaire Robb. Au lieu de se précipiter pour arrêter le tireur d’assassiner des écoliers à l’intérieur, les officiers de police ont érigé une barricade et un périmètre pour empêcher les parents d’essayer de sauver leurs propres enfants.

Pendant ce temps-là, le tueur a eu plus d’une heure pour en finir avec 19 écoliers et 2 enseignants qu’il a massacré dans l’enceinte.

Or, au fur et à mesure que les détails émergent, la réaction policière face à la situation semble encore plus dégoûtante. Selon les informations les plus récentes, le tireur a pu faire feu tout autour de l’école, à l’extérieur, pendant 12 minutes, sans obstruction et sans opposition de la part des forces de l’ordre, avant d’entrer dans l’école et de tuer les enfants.

D’après le déroulement du temps publié jeudi soir, le tireur a accidenté sa voiture à 11h28 et a commencé à tirer sur les gens de la foule à l’extérieur de l’école. À 11h40, il est entré sans obstacle à l’intérieur de l’école où il s’est mis à tuer des gens. La police n’est arrivée sur les lieux que 4 minutes après que le tireur eut pénétré dans l’école.

Lors de l’heure et cinq minutes suivantes, le tireur est demeuré à l’intérieur de l’école, sans être défié par les forces de l’ordre pendant que celles-ci attendaient à l’extérieur qu’une unité tactique de la Patrouille Frontalière se montre et le fasse sortir.

Pendant que la police cherchait gauchement à l’extérieur comment réagir, une foule de parents en colère exigea qu’on les laisse entrer afin de sauver leurs enfants. Comme le ferait tout parent, un grand nombre d’entre eux tentèrent de forcer le cordon policier pour entrer dans l’école, mais ils furent saisis à bras-le-corps, vaporisés de gaz poivré et même menottés.

Alors que des flics lourdement armés d’AR-15 et portant des gilets pare-balles se tournaient les pouces pendant qu’un tireur de masse assassinait des enfants à l’intérieur de l’école, Gomez – sans gilet pare-balle et sans aucune arme – sauta la clôture et se rua dans l’école.

Rassemblant plus de courage que n’importe quel des officiers de police devant l’école, Gomez parcourut les couloirs de l’École Élémentaire Robb, qui abritait un tireur, avant de trouver ses enfants et de les amener en vitesse en sécurité.

Non seulement les policiers n’ont-ils rien fait pour sauver la vie des victimes, mais ils ont refusé de laisser d’autres agences policières – particulièrement la Patrouille Frontalière – aller au secours des enfants.

Lisez ce rapport :

Non seulement la police locale a-t-elle été lente à confronter le tireur qui a tué 19 enfants et deux adultes lors du massacre de jeudi dans une école du Texas, mais ils auraient également refusé de permettre à des agents fédéraux de confronter le bandit armé pendant près d’une heure après qu’ils soient arrivés sur les lieux.

Des agents spécialement équipés de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis, qui arrivèrent à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, entre 12h00 et 12h10, se virent interdire par la police locale d’ouvrir une brèche dans les salles de classe adjoignant celle dans laquelle le tireur s’était enfermé, jusqu’à environ 13h00, a rapporté le New York Times vendredi en citant des officiers fédéraux non identifiés.

« On nous a dit d’attendre, » a dit un officier de la Patrouille Frontalière, vendredi à Yahoo News. « On nous a dit d’attendre et d’attendre, et l’équipe voulait s’en aller. Mais vous devez comprendre, la Patrouille Frontalière n’est pas l’agence dirigeante, donc elle devait attendre, et maintenant voyez ce qui est arrivé. »

Un agent de la Patrouille Frontalière qui s’était rendu en vitesse à l’école pour secourir sa femme et sa fille (et d’autres) n’était même pas initialement sur les lieux. Il se faisait faire une coupe de cheveux chez un barbier quand sa femme – qui était à l’intérieur de l’école avec sa fille – lui envoya un texto.

Un agent de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis qui n’était pas en service se rua courageusement dans l’École Élémentaire Robb avec le fusil de chasse de son barbier et vint à la rescousse d’une douzaine d’enfants et sa fille après que sa femme l’eut texté pour lui dire qu’il y avait un tireur actif.

Jacob Albarado venait tout juste de s’assoir pour une coupe de cheveux quand il reçut le message horrifiant de sa femme, Trisha, enseignante de quatrième année à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, dit-il au New York Times.

« Il y a un tireur actif, » écrivit-elle. « Au secours, » texta-t-elle avant d’envoyer un effrayant « Je t’aime ».

Il bondit immédiatement de son siège, attrapa le fusil du barbier et partit en vitesse vers l’école.

Sa fille, écolière de deuxième année, était enfermée à l’intérieur d’une salle de bain pendant que sa femme se cachait sous les pupitres avec ses étudiants, rapporta le Times.

Il dit être entré par l’aile de l’école où il savait que se situait sa fille et, pendant qu’il la cherchait, il commença à « explorer toutes les classes de l’aile de sa fille. » dit-il au Times.

« Je suis tellement en colère, attristé et reconnaissant en même temps, Seul le temps va guérir leur douleur et, je l’espère, des changements seront apportés à toutes les écoles aux États-Unis, et les enseignants seront formés et on leur permettra d’amener l’ordre pour se protéger ainsi que leurs étudiants, » écrit-il.

Finalement, après que ce soit passé une heure et vingt minutes, une équipe tactique de la police fit sortir le tireur.

Il s’est passé en tout 80 minutes entre le moment où les policiers furent appelés à l’école, à 11h30, et le moment où l’équipe tactique est entrée dans les classes verrouillées et ont tué le tireur, à 12h50, a dit McCraw. L’équipe tactique a pu entrer en utilisant les clés du concierge, a-t-il ajouté.

En fin de compte, à 12h50, l’équipe tactique entra dans la salle de cours, tira et tua le suspect.

L’agent Albarado a donné à l’Amérique la solution à ces fusillades de série : permettre aux enseignants et aux employés d’école de porter leurs propres armes à feu de défense. Laissez un ou deux tueurs de masse se faire tirer par un employé d’école avant qu’il ne puisse exécuter ses intentions meurtrières et vous verrez ces fusillades prendre fin rapidement.

Mais ne comptez pas sur les législateurs pour faire quelque chose d’aussi raisonnable. Déjà, les républicains Mitch McConnell et Lindsey Graham, et les démocrates Chuck Schumer et Richard Blumenthal tordent des bras au Congrès pour faire passer des lois Red Flag tyranniques.

Mais, comme c’est le cas dans chacune de ces fusillades de masse, il y a tellement de questions sans réponses que cela laisse sous-entendre qu’il y a ici à l’œuvre quelque chose de plus qu’un tireur dément solitaire.

Des questions comme : où un décrocheur scolaire sans emploi a-t-il pu obtenir de 4 000 $ à 6 000 $ afin d’acheter deux Daniel Defense AR-15 qui sont parmi les fusils AR les plus dispendieux sur le marché, et 1 500 cartouches ?

Une autre question : les officiers de police qui se tenaient dans les alentours et qui ne faisaient rien, sauf arrêter et menotter des parents affolés et en panique, ont participé à deux exercices de tireur actif juste deux mois auparavant. Donc, que leur a-t-on enseigné ? Leur a-t-on montré à se tenir debout tout autour et à ne rien faire pendant que 19 enfants et 2 enseignants se font massacrer dans le bâtiment scolaire ?

En voici une autre : Comment se fait-il que les officiers de police doivent utiliser une CLÉ pour déverrouiller une porte d’école afin d’entrer (après avoir attendu UNE HEURE) ? Il n’y a pas de porte que les flics ne peuvent pas briser quand ils le veulent réellement – et je veux dire DANS L’URGENCE !

Bien sûr, la plus grosse question est : qui a donné l’ordre du retrait ? Non, je ne veux pas dire le commandant de la police sur les lieux. Je veux dire, qui a vraiment donné l’ordre du retrait ?

Je croirai toujours qu’il se trouve quelques forces gouvernementales derrière chacune de ces fusillades de masse. Appelez-moi comme vous voulez. Il y a tout simplement trop de circonstances illogiques, inconscientes et presque impossibles entourant chacune de ces fusillades de masses pour penser autrement.

Les satanistes globalistes de l’État Profond des cavernes infestées de chauves-souris, pleines de sangsues et de cafards grouillants de Washington, D.C., ne cesseront pas tant qu’ils n’auront pas manipulé avec succès les politiciens sans colonne, conduits par leur ego et qui aiment l’argent pour les amener à tenter de désarmer complètement le peuple américain.

Notre cœur et nos prières vont aux familles de ces innocentes victimes.

La partie la plus tragique de toute cette affaire, c’est que les véritables vilains derrière ces fusillades de masse sont les politiciens et les juges qui ont rendu illégale que les honnêtes citoyens se défendent.

N’oubliez jamais cela !

De plus, la prochaine fois que l’on vous dira que des policiers vont venir vous protéger quand votre vie va être menacée par une personne folle, souvenez-vous seulement de cette vingtaine de flics stationnés tout autour à l’extérieur pendant qu’une seule personne folle tuait 21 personnes à l’intérieur.




Les bellicistes en politique, les loups en chaire

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

19 mai 2022

Combien de fois m’avez-vous entendu dire qu’il n’y a véritablement qu’un seul parti à Washington, D.C., et c’est le Parti de la Guerre ? Eh bien, je le redis encore.

Dans la Chambre américaine, le vote fut de 368 – 57 en faveur d’envoyer un 40 milliards $ additionnel à l’Ukraine afin de prolonger et d’augmenter la guerre américaine par procuration contre la Russie en Ukraine.

Parmi les votes négatifs, il y a eu Marjorie Taylor Greene (R) de la Géorgie. Selon Greene, les 40 milliards $ de corruption des payeurs de taxe américains ressemblent à « un plan de blanchiment d’argent ».

Voici le rapport :

Le soutien financier que l’Amérique fournit à l’Ukraine ressemble beaucoup à « un plan de blanchiment d’argent ». a dit la représentante Marjorie Taylor Greene (R-GA) au podcast The Truth With Lisa Boothe, ce lundi. L’argent censément destiné aux Ukrainiens finit par aboutir dans les poches des « ONG à but non lucratif » qui sont souvent dirigées par des proches des politiciens de Washington, a déclaré Greene.

« Ils veulent donner 40 milliards $ à l’Ukraine, et ces 40 milliards s’ajoutent à l’argent qui a déjà été donné. Ce qui fait un montant de 53 milliards $. C’est plus des deux-tiers de tout le budget du Département d’État pour l’année », a dit la représentante, faisant référence au dernier montant d’aide qui est présentement soumis au Sénat américain.

D’après Greene, les fonctionnaires américains le font dans l’éventualité de financer les ONG opérées par « leurs familles et leurs amis ». « Il s’agit fondamentalement d’un plan de blanchiment d’argent, » dit-elle.

Au Sénat américain, le vote s’établit à 81 – 11 en faveur de l’approbation des 40 milliards $ de programme d’aide à l’Ukraine. Voici les onze sénateurs républicains qui ont gardé leur serment à la Constitution et ont mis l’Amérique et la paix au-dessus de la soif des globalistes pour la guerre et le fric :

Blackburn, Tennessee

Boozman, Arizona

Braun, Indiana

Crapo, Idaho

Hagerty, Tennessee

Hawley, Missouri

Lee, Utah

Lummis, Wyoming

Marshall, Kansas

Paul, Kentucky

Turberville, Alabama

Si votre sénateur (ou vos sénateurs) n’est pas dans cette liste, sachez qu’il ou elle est un lèche-bottes acheté et payé par les bellicistes pour le complexe militaro-industriel et leurs maîtres globalistes. Républicains ou démocrates, ils ne devraient plus jamais recevoir votre vote. Et vous devriez leur écrire ou les appeler pour le leur dire.

Le Parti de la Guerre est probablement en train de conduire l’Amérique directement vers une guerre nucléaire. Et même si d’aventure l’on évite la guerre nucléaire (ce ne sera pas parce que les politiciens démoniaques de Washington n’auront pas essayé), ils ont déjà mené le pays dans une inflation paralysante et probablement vers une récession majeure.

Et pendant que nous avons des bellicistes en politique, nous avons aussi des loups en chaire :

La culture américaine s’effiloche. Peu de gens pourraient dire autrement. Que vous soyez à droite ou à gauche de la fosse politique, nous semblons tous nous accorder sur un point : il y a quelque chose qui va terriblement mal.

Les États-Unis sont devenus les états séparés. « E pluribus unum » est devenu « ex uno plures ». Alors que nous étions jadis un peuple diversifié se rassemblant pour une cause commune, nous avons maintenant l’air d’un pays fracturé sans liement social et moral pour nous lier ensemble.

Un pays qui, encore hier, enseignait à sa progéniture la valeur d’axiomes comme « donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort », réagit maintenant, face à une « crise » au taux de survie de plus de 99 %, en s’écriant « J’ai peur de la mort, donc tout le monde doit perdre sa liberté ».

Nous nous réfutons nous-mêmes à chaque tournant. Ceux qui se déclarent tolérants hurlent qu’ils ne peuvent tolérer l’intolérance de tous les autres. Les gens qui brandissent la bannière de « l’amour bat la haine » déclarent qu’ils détestent absolument ceux qu’ils considèrent comme haineux. Les professeurs enseignent que la vérité n’existe pas. Les prédicateurs prêchent qu’ils savent que rien ne peu être connu. Les politiciens jurent d’honorer et de défendre une Constitution qu’ils déprécient ensuite comme étant un document antique de racisme systémique, intersectionnel et de privilège blanc.

Les féministes nient le fait biologie de la femelle. Des misogynes marchent avec MeToo. Des défenseurs de l’enfant préconisent le droit de tuer des enfants. Les partisans de la santé prénatale se font maintenant les apologistes de la mort périnatale.

Comment sommes-nous entrés dans ce gâchis ?

Le Dr Len Munsil, président de l’Université de l’Arizona, a récemment partagé ceci : « Une grande majorité des pasteurs américains ne possèdent pas une vision biblique du monde, selon les dernières découvertes, d’après l’Inventaire 2022 de la Vision Mondiale Américaine conduit par le Centre de Recherches Culturelles de l’ACU. En effet, à peine un peu plus du tiers (37 %) possède une vision biblique du monde, et la majorité – 62 % – adopte une vision mondiale hybride que l’on appelle Syncrétisme. »

Et ces chiffres sont encore pires en ce qui concerne les organisations parareligieuses comme les collèges et les universités reliés à une église.

L’infaillibilité, l’authenticité et l’autorité de la Bible, de même que le corollaire des vérités évidentes enracinées dans la loi naturelle (i.e., l’objectivité de la révélation de Dieu à l’homme) sont maintenant encadrés comme étant du racisme et de la bigoterie dans votre église locale et dans vos écoles chrétiennes locales. Ces gens-là « adorent la créature plutôt que le Créateur » depuis si longtemps qu’ils sont devenus complètement nuls. Ils ont « changé la vérité de Dieu en un mensonge » et ils ont vraiment été « livrés à un esprit dépourvu de tout jugement ». Dans l’esprit du péché originel, ils se sont déclarés « comme Dieu » et, en retour, « Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera ».

Il a été dit que les loups en habits de brebis sont dangereux, mais les loups en habits de berger sont carrément mortels. Les leaders ecclésiastiques de l’Amérique sont devenus des loups déguisés en pasteurs. Nos pasteurs et nos facultés chrétiennes, qui sont censés être le sel et la lumière au sein d’une culture mourante et d’un monde ténébreux, sont à peine du pain blanc grillé insipide pour une nation au besoin désespéré du puissant breuvage de l’Évangile. Christ a dit Lui-même qu’Il recracherait ce genre de personne de Sa bouche.

Comment en sommes-nous rendus là ? Ne regardez pas plus loin que votre église locale et son école chrétienne. Il y a environ 60 % de chances que le gars qui se tient derrière le lutrin sur le podium soit un « berger » aux dents bien acérées et dégoulinantes de sang. [Emphase ajoutée]

Amen !

Je le dirai sans ambages : Tout pasteur qui s’est soumis d’un air penaud aux confinements et aux vaccins Covid est un ennemi de la liberté, un ennemi de l’Amérique et un ami de la Bête. Et les personnes qui s’assoient au pied de ces loups en habit de brebis sont des co-conspirateurs dans l’effusion de sang innocent et la ruine de notre pays.

Idem pour les bellicistes chrétiens qui soutiennent la guerre par procuration, inconstitutionnelle et immorale, en Ukraine.

Des bellicistes en politique et des loups en chaire ; c’est la combinaison la plus dévastatrice connue de l’homme, et l’Amérique en est dévorée.




Thomas Massie est-il le seul représentant américain qui ne soit pas acheté par le lobby israélien ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

26 mai 2022

J’ai montré dans nombre d’articles que la vaste majorité des fonctionnaires gouvernementaux américains (de même que les médias de nouvelles, les institutions financières et les industries du divertissement) sont achetés et rémunérés par le gros poids lourd omniprésent connu sous le nom de lobby israélien. S’assurer qu’Israël ne soit pas offensé est la priorité primordiale de pratiquement tous les fonctionnaires élus et les bureaucrates de Washington, D.C.

Voici un rapport rédigé pour Reason.com par Christian Britschgi qui illustre ce dont je parle :

Le représentant Thomas Massie (R-Ky) suscite l’indignation en étant le seul vote dissident lors d’une résolution sur laquelle on ne peut apparemment pas s’objecter et qui condamne l’antisémitisme. Mais l’opposition du représentant semble beaucoup plus raisonnable si l’on considère les implications de la résolution en regard de la libre expression et de la règlementation de l’Internet.

Mercredi, la Chambre des Représentants a adopté la loi H.R. 1125, qui condamne en gros le langage et la violence antisémites tout en appelant à davantage de surveillance et de censure en ligne contre les visions antisémites et les théories de la conspiration.

Ce fut adopté à la Chambre par 420 contre 1.

Les politiciens exigeant que les compagnies de médias sociaux adoptent certaines politiques de modération ou des priorités de contenu sont de nature à soulever des inquiétudes en ce qui concerne la libre expression, même si ces exigences se font sous la forme d’une résolution non-obligatoire.

L’implication que les compagnies de médias sociaux vont subir des conséquences politiques ou règlementaires est inévitable, même si cela vient avec une clause de libre expression.

C’est particulièrement vrai dans ce contexte-ci. L’auteur principal de la résolution d’hier, la représentante Debbie Wassermann Schultz (D-Fla) a en partie mis la fusillade fatale de Buffalo, New York, sur le dos de l’amplification des compagnies de médias sociaux de « leur contenu radicalisant et des théories de conspiration ».

La résolution d’hier a aussi demandé au Congrès qu’il travaillke plkus étroitement avec le Corps Spécial Interparlementaire pour Combattre l’Antisémitisme en Ligne – un groupe de travail international dont les membres comprennent des législateurs du Royaume-Uni, du Canada, d’Israël, des États-Unis et de l’Australie.

La première rencontre du corps spécial, en novembre 2020, a fait figurer des présentations de groupes demandant aussi une réforme de la Section 230 et le maintien des plateformes et des exécutifs responsables du langage antisémite.

Étant donné que le Département de la Sécurité du Territoire ne devrait pas exister, grossir son financement ne semble pas une bonne idée. On voit pourquoi un faucon du budget aux tendances libertaires comme Massie ne veut pas non plus de cette disposition.

Il va sans dire que l’antisémitisme, comme tout genre de bigoterie raciale ou religieuse, est une chose horrible. Mais la résolution de la Chambre fait plus que le condamner. Elle demande plutôt aux compagnies de médias sociaux de supprimer l’expression par ailleurs protégée et endosse plus de dépenses fédérales. C’est une raison suffisante pour s’y opposer.

L’obéissance universelle à la tyrannie Covid a montré à l’élite totalitaire que le monde (y compris les États-Unis) est prêt à plonger sérieusement dans l’asservissement. Et vu que l’on ne peut faire la distinction entre le Nouvel Ordre Mondial globaliste et l’hégémonie sioniste globale, on peut s’attendre à ce que la première chose que les tyrans aient sur leur liste de choses à faire soit une guerre totale contre la libre pensée et la libre expression – particulièrement quant à la vache sacrée des globalistes : Israël.

La liberté, un gouvernement constitutionnel, des budgets équilibrés, la souveraineté de l’État, la liberté individuelle : tout cela est mis de côté afin de s’agenouiller devant Tel-Aviv.

Les 420 membres de la Chambre qui ont voté pour l’effrayante résolution mentionnée plus haut ne sont vraiment rien de plus que des lèche-bottes pleurnichards d’Israël. Ils mettent tout le poids de la Chambre des Représentants américains (et je suis sûr que le Sénat va rapidement suivre) du côté de la tyrannie orwellienne. Ce n’est qu’une question de temps avant que toute parole dite ou écrite qui ose parler de la vérité – vérité qui pourrait offenser l’élite sioniste – va être qualifiée d’antisémitisme et frappée sur la place publique.

Mais l’omniprésente ombre du pouvoir qu’est le lobby israélien s’étend sur bien plus loin que Washington, D.C.. Il jette également ses sorts sur les états et les communautés locales. Jusqu’ici, 35 états ont adopté des lois anti-BDS (boycotts, dépouillement et sanction – contre Israël). En voici la liste :

Alabama, Arizona, Arkansas, Californie, Colorado, Floride, Géorgie, Idaho, Illinois, Indiana, Iowa, Kansas, Kentucky, Louisiane, Maryland, Michigan, Minnesota, Mississippi, Missouri, Nevada, New Jersey, New York, Caroline du Nord, Ohio, Oklahoma, Pennsylvanie, Rhode Island, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie, Virginie occidentale et Wisconsin.

Veuillez observer que ces états comprennent à la fois le bleu profond [démocrates] et le rouge profond [républicain]. L’affiliation de parti ne signifie rien : le lobby israélien contrôle les deux.

Ces lois anti-BDS sont de flagrantes réductions anticonstitutionnelles de la liberté de parole, de religion et de commerce. Imaginez l’adoption de lois qui vont nier aux citoyens de plusieurs états leurs libertés individuelles de s’exprimer et de dépenser – ou de ne pas dépenser – leurs dollars durement gagnés sous l’asservissement d’un pouvoir étranger, si ce pouvoir n’était pas Israël. Mais parce que c’EST Israël, les libertés constitutionnelles, religieuses et commerciales sont jetées aux égouts.

Ce que les évangéliques ne réalisent pas – et ne tiennent pas à réaliser, parce qu’on leur a lavé complètement le cerveau avec le sionisme chrétien – c’est que l’intention de l’élite sioniste est d’interdire totalement, non seulement la libre expression politique, mais aussi la libre expression religieuse. Ils ne seront pas satisfaits tant que la théologie du Nouveau Testament ne sera pas éliminée en profondeur de l’esprit et du cœur du peuple américain – et cela inclut ses églises.

Bien sûr, ils ont déjà atteint une grande partie de leur but, comme l’atteste ce rapport du Washington Times.

Un autre indicateur récent de l’emprise absolue du pouvoir israélien est le manque total de préoccupation de Washington à propos de l’assassinat israélien d’une journaliste palestino-américaine, il y a quelques jours.

La mort de la journaliste palestino-américaine Shireen Abu Akleh aurait dû être un point tournant dans l’approche du gouvernement des Etats-Unis sur la protection des journalistes outremer – mais quand un pays allié [Israël] pourrait être blâmé, cela devient un problème.

Abu Akleh, journaliste chevronnée qui travaillait pour Al-Jazeera, était bien des choses : elle était chrétienne et une brave reporter, mais, pour la plupart des Palestiniens, c’était une bien-aimée connue partout qu’un grand nombre suivait à la télévision. Sa mort a causé un choc, surtout parce que des journalistes témoins dirent que les forces israéliennes lui avait tiré dans la tête avec une cartouche de combat, lors d’un raid du Camp Janin en Cisjordanie.

Mais pourquoi devrions-nous nous attendre à ce que la Maison Blanche et le Pentagone ne cachent pas l’histoire du meurtre par Israël d’une journaliste américaine alors qu’ils cachèrent le meurtre par Israël de 34 soldats de la Marine américaine et conspirèrent même pour aider Israël dans une tentative coordonnée de couler le USS Liberty et tuer tous les 294 marins à bord ?

Chose encore plus dérangeante – en fait, c’est carrément inadmissible – nous en sommes venus à escompter qu’il soit profondément égal aux chrétiens évangéliques d’Amérique que la journaliste assassinée par l’armée israélienne ait été une sœur en Christ.

Pourquoi les évangéliques se soucieraient-ils d’un chrétien de plus assassiné par Israël ? Ils ne se sont pas soucié – pas le moins du monde – qu’Israël ait tué des millions de chrétiens depuis 1948.

Quand il s’agit d’Israël, il n’y a pas de Constitution, pas de loi, pas de liberté, pas de conscience, pas de décence, pas de moralité, pas d’éthique, pas d’intégrité, pas d’honnêteté et rien de sacré. Il n’y a que le pouvoir brut, la corruption et beaucoup, beaucoup d’argent.

Thomas Massie pourrait bien être le seul membre de la Chambre des Représentants américains qui ne soit pas un laquais acheté et payé par le lobby israélien. Son vote solitaire de dissension à la résolution démontre un cœur et un esprit qui rappellent Patrick Henry, James Otis, Thomas Jefferson, George Washington, Benjamin Franklin, Sam Adams – et Ron Paul.

Son vote solitaire de dissension expose aussi le reste du Congrès pour ce qu’ils sont vraiment : des mercenaires des lobbyistes à gros fric d’Israël.




Comme j’aime ce cheval !

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

12 mai 2022

Dans toute ma jeunesse jusqu’à l’âge adulte, j’ai été un fan de sport. J’ai commencé à jouer dans les sports de championnat organisés quand j’étais en cinquième année. Je suis né et j’ai été élevé en Indiana où les gens mangent, respirent et rêvent au basketball. Chaque école élémentaire – sans mentionner le secondaire et le collège – possède son propre gymnase. Le film Hoosiers (basé sur une autre histoire vraie et palpitante de perdants à propos d’une équipe de basketball de collège d’une petite ville de l’Indiana des années 1950 – avant qu’il y ait des divisions dans le sport collégial) est une description précise de la place que le basketball occupe dans le cœur des habitants de l’Indiana.

J’étais dans l’équipe de basketball de l’École La Porte Park durant mes cinquième et sixième années scolaires. Lors de la saison de ma cinquième année, nous sommes demeurés invaincus et avons gagné le championnat de la ville. Dans la saison de ma sixième année, nous avons perdu deux matchs contre l’École Riley, mais Riley fut battue dans les éliminatoires et nous avons gagné notre second championnat de la ville.

Je répète que c’était à l’école élémentaire.

Durant le reste de mes années scolaires – y compris mes deux premières années au collège – j’ai participé à une variété de sports, incluant le basketball, le baseball, le football, l’athlétisme, la lutte et la boxe. Jeune adulte, j’avais toujours cette folie du sport dans le sang. Je regardais à peu près tous les événements sportifs télévisés que je pouvais.

Je pris pour les Cubs de Chicago quand Ferguson Jenkins, Ernie Banks, Ron Santo, Glenn Beckert, Don Kessinger et Billy Williams jouaient dans un Wrigley Field sans éclairage. Je pris pour les Celtics de Boston quand Larry Bird, Kevin McHale, Robert Parish, Danny Ainge et Dennis Johnson étaient sur le parterre.

J’étais un fan des Packers de Green Bay depuis l’école, regardant les joueurs tout-étoiles de Vince Lombardi : Bart Starr, Jim Taylor, Boyd Dowler, Elijah Pitts, Carroll Dale, Marv Fleming, Jerry Kramer, Bill Curry, Ray Nitschke, Herb Adderley, Bob Jeter, Willie Wood et les autres. Et, bien sûr, je regardais tout plein de matchs des Hoosiers d’Indiana de Bob Knight. Je n’oublierai jamais les sept 3-points de Steve Alford et le tir de 3-points gagnant dans le match, à partir du coin, au son de la sirène, par Keith Smart pour gagner le championnat national en 1987.

J’essayais de regarder les gros matchs professionnels mettant en vedette les Sonny Liston, George Foreman, Cassius Clay, Floyd Patterson et les autres. J’aimais regarder Tom Watson et Jack Nicklaus jouer au golf. J’aimais même voir Earl Anthony lancer sa boule de quille sur l’allée. J’essayais de voir les grandes courses comme les 500 milles d’Indianapolis, les 500 milles de Daytona, et le Derby du Kentucky.

Au fil des ans, toutefois, non seulement ai-je trouvé des choses plus importantes à faire que de regarder les sports à la télé, mais toute la corruption, la tricherie, la rectitude politique et, finalement, la tyrannie Covid m’ont enlevé tout ce qui me restait d’enthousiasme pour le sport, au point où je n’en regarde plus un seul – et ce depuis plusieurs années. En plus, j’en suis venu à la conclusion que les sports – particulièrement le football – sont employés par la classe dirigeante à distraire les hommes en âge de combattre afin qu’ils ne voient pas ce que l’élite fait pour les rendre esclaves.

Mais me voilà à écrire au sujet du Derby du Kentucky de 2022 qui a eu lieu samedi dernier à Churchill Downs à Louisville, au Kentucky.

S’il vous plaît, demeurez avec moi et écoutez jusqu’au bout.

Lundi, ma femme me montra une vidéo de la course de samedi et me dit que je devais la regarder. Or, mon épouse est tout à l’opposé de moi quant aux sports. Elle n’en a jamais suivi. Aucun, Zéro. Zilch. C’est une personne totalement non sportive.

Mais elle était tout excitée et me dis que je devais regarder cette course. C’est ce que je fis. Quelle course ! Je l’ai probablement regardée une bonne vingtaine de fois depuis lors. De toute ma longue vie, je n’ai JAMAIS vu une course pareille. En fait, personne qui vive aujourd’hui n’a vu une course pareille. Il vous faudrait avoir vécu en 1913 pour voir une course semblable.

De nombreux fans de courses de chevaux fidèles disent que ce fut la plus grande course de l’histoire. Je sais que c’est la plus grande course que j’ai jamais vue ; et vous n’aurez pas à argumenter longtemps pour me convaincre qu’il s’agit de la plus grande course de tous les temps.

Voici un récit journalistique de la course – y compris une vidéo de la course.

Le cheval gagnant, Rich Strike, fut le dernier cheval ajouté à la guérite de départ – quelques moments avant la limite – parce que le nombre de vingt chevaux avait été scratché à la dernière minute. Ses chances de gagner était de 80 contre 1. Le cheval, le jockey, l’entraîneur, le panseur et le propriétaire étaient des inconnus. Rich Strike avait été acheté 30 000 $. Il coursait contre des purs-sangs valant des millions de dollars.

Aujourd’hui, Rich Strike est le nom le plus populaire du sport.

D’aussi longtemps que je me rappelle, les experts des courses disent qu’aucun cheval ne peut gagner les grosses courses – et le Derby du Kentucky est la plus grosse – si le cheval n’est pas près de la première ligne dans le dernier droit. Rich Strike était en 17e place (sur 20) au début du dernier droit.

Et il a battu les plus gros noms de la course – Epicenter, Messier, Zandon, etc. – dans ce qui est sans doute le finish le plus spectaculaire de l’histoire de la course.

Voici une vue aérienne de la remarquable victoire de Rich Strike.

D’accord. Vous pouvez lire tout ça dans une centaine de journaux. Pourquoi Chuck Baldwin utilise-t-il son article hebdomadaire spécialisé pour parler d’une course de chevaux ?

Cette course a secoué tout le monde de la course. Des milliers de gens ont perdu de grosses sommes d’argent. Tous les experts sont restés rouges de confusion et sidérés. Ce cheval inconnu a battu des machines de course millionnaires et des experts je-sais-tout ainsi que des rédacteurs sportifs – et il s’est exécuté sur la plus grosse scène de courses de chevaux.

Et j’ajouterais que Rich Strike l’a fait AVEC STYLE. Le regard qu’il jeta sur Epicenter quand il le dépassa à la ligne d’arrivée est absolument inestimable.

Mesdames et Messieurs, cette course illustre en mon cœur ce qui peut survenir en un instant.

On appelle le Derby du Kentucky : « Les deux plus excitantes minutes du sport ». Ça l’est bien, en vérité, et spécialement le 7 mai 2022.

Deux minutes. Ces deux minutes de samedi dernier ont changé la course de chevaux pour de nombreuses années à venir.

Je crois que le Derby du Kentucky illustre bien où nous en sommes en Amérique. Voyons les choses en face : l’avenir ne s’annonce pas bien pour les États-Unis – ou tout le monde libre. Pour emprunter des expressions de course, les chances de l’Amérique de vaincre les machines milliardaires qui orchestrent l’effondrement de la liberté, le gouvernement limité, les principes moraux fondateurs et une saine économie sont sensiblement les mêmes que pour Rich Strike de gagner le Derby du Kentucky.

Mais comme je l’ai dit dans mon message de la Fête des Mères de dimanche dernier, « Car avec Dieu rien n’est impossible, » citant Luc 1:37.

Je suis sûr que la classe dirigeante se convainc avec suffisance qu’elle est sur le bord de la conquête totale. D’abord la tyrannie Covid, ensuite la guerre et le chaos économique. C’est un double uppercut qui repousse l’Amérique dans les câbles – et TOUS les signes montrent que les choses ne peuvent qu’empirer.

De plus, la vaste majorité des Américains – conservateurs comme libéraux, républicains comme démocrates – vont se faire traîner par le bout du nez, l’air penaud, par la machine américaine de propagande. Et la plupart des églises évangéliques font partie de la machine de propagande.

Quand le prophète Élie de l’Ancien Testament fut pourchassé par la reine Jézabel, il cria vers Dieu de l’intérieur d’une caverne et se plaignit qu’il était le seul prophète qui résistait à la tyrannie d’Ahab. Dieu lui rappela qu’il y avait encore 7 000 prophètes qui n’avaient pas plié le genou devant Baal.

En regardant tout autour le paysage politique, civil et religieux, on peut facilement se sentir seul et sans défense, comme Élie. Quand 80 % des évangéliques sont des promoteurs majeurs de la propagande de la tyrannie Covid et de la guerre, tout genre de rétablissement ressemble à Rich Strike gagnant le Derby du Kentucky.

Mais lorsque vous regarderez cette course, vous verrez quelque chose d’indubitable dans ce cheval. Celui-ci courait avec confiance, avec courage et avec CŒUR. Il y avait quelque chose en lui, samedi dernier, qui faisait en sorte qu’il n’acceptait pas la défaite. Il regarda le cheval millionnaire dans les yeux et dit « Pas aujourd’hui ! » Il ne savait pas qu’il était censé perdre.

Même après la course, le cheval était encore en mode de combat. Comme j’aime ce cheval !

Nous devrions tous être des Rich Strike. Oubliez les paris. Oubliez ceux qui se croient des tyrans milliardaires. Oubliez les politiciens millionnaires corrompus. Oubliez les médias de propagande mensongère. Oubliez les prêcheurs poules mouillées.

Lorsque Dieu Tout-puissant sera prêt à dire Son « Pas aujourd’hui ! » à Son Reste courageux et infatigable afin de changer la course, Il pourra le faire en deux minutes.

Mais nous devons posséder ce qu’avait ce cheval de course samedi dernier. Nous devons avoir le courage, l’endurance et la détermination pour mettre tout notre cœur dans cette course pour la Vérité et la Liberté. Et, comme Rich Strike, nous devons refuser d’accepter la défaite.

Comme j’aime ce cheval !




Où sont les hippies anti-guerre quand on a besoin d’eux ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

5 mai 2022

Certains d’entre nous sommes assez âgés pour nous rappeler l’époque de Woodstock et du mouvement hippie. Je parle des années 1960. La guerre au Vietnam battait son plein et la sous-culture hippie anti-guerre sortait en force pour protester contre la guerre.

Ils brûlaient leurs ordres d’incorporation ; certains fuyaient au Canada ; ils marchaient dans les rues par centaines de milliers ; ils organisaient des sit-ins devant les buildings gouvernementaux et les bâtisses d’administration collégiale ; ils peignaient des slogans anti-guerre aux couleurs brillantes sur leurs vans Beetle ; on voyait leur slogan « LBJ, LBJ, combien de jeunes as-tu tué aujourd’hui ? » sur des pancartes dans tout le pays ; et ils contribuèrent éventuellement à mettre fin à une guerre dans laquelle l’Amérique n’aurait jamais dû entrer.

À l’époque, j’étais la quintessence du gars qui fonce vers la guerre. Mon père fit tout en son pouvoir pour me convaincre de ne pas abandonner mes études et joindre la Marine et combattre au Vietnam. Je lui en suis très reconnaissant.

Les hippies avaient tort concernant leur style de vie de promiscuité sexuelle infestée de drogues (même si la « guerre contre la drogue » du gouvernement avait été un fiasco constitutionnel) `et ce style de vie erroné leur a apporté beaucoup de chagrin et beaucoup de sottises, à eux et au pays pendant les nombreuses années qui ont suivi. Mais leur croisade anti-guerre était juste. (Il m’a fallu du temps avant d’arriver à le comprendre.)

À coup sûr, bon nombre d’organisateurs de ce mouvement anti-guerre à ce moment-là n’avaient pas les motifs les plus purs. Ils n’étaient pas nécessairement aussi anti-guerre qu’ils étaient procommunistes. Ces radicaux s’opposaient à la guerre pour des raisons de politique de gauche, pas pour la promotion de la paix. Beaucoup des radicaux des années 1960, au sein de la génération hippie, sont devenus certains des politiciens les plus pro-guerre d’Amérique.

Toutefois, des millions d’hippies ordinaires étaient véritablement pro-paix et anti-guerre pour les bonnes raisons.

Pour ceux d’entre vous qui êtes trop jeunes pour vous rappeler l’époque dont je parle, vous seriez sous le choc de savoir que même les médias de nouvelles de ce temps-là étaient anti-guerre. Chaque soir, dans les émissions de nouvelles des trois principaux réseaux, on nous soumettait des vidéos successifs sur les résultats monstrueux de la guerre : des corps morts et mutilés jonchant les rues des villages, des enfants sans parents et errant nus ça et là en cherchant quelque chose à manger, les visages émaciés et affamés des vieillards, etc.

Il s’agissait de l’époque avant que les lobbys israéliens deviennent la force dominante et déterminante qu’elle est aujourd’hui dans les médias de nouvelles et au sein du gouvernement américain.

Donc, où sont les activistes pacifistes et anti-guerre, aujourd’hui ?

On ne les trouve certainement pas dans nos églises. Plusieurs évangéliques sont, dans le monde, parmi les meneuses de claques les plus enragées en faveur de la guerre. On ne les trouve pas dans les salles de nouvelles des journaux et des magazines d’Amérique. On ne les trouve pas dans les studios de nouvelles télévisées. On ne les trouve pas dans les facultés des établissements d’enseignement d’Amérique.

Où sont les hippies anti-guerres quand on a besoin d’eux ?

Oh ! Comme tous ceux qui proclament être anti-guerre – jusqu’à ce que la guerre éclate. Alors, soudainement, ils deviennent zélés pour la guerre.

Caitlin Johnstone a écrit un superbe article expliquant ce phénomène :

Personne ne se pense belliciste, mais ensuite la machine se met en marche et, avant que vous le sachiez, ils sortent les slogans qu’ils sont programmés à sortir et brandissent les drapeaux qu’ils sont programmés à brandir et consentent à tout ce que la machine de guerre impériale veut à ce moment-là.

Quand on le demande, pratiquement tout le monde vous dira qu’il est pour la paix et déteste la guerre ; la guerre est la pire chose au monde et personne de sain d’esprit ne s’en délecte. Mais lorsque les roues touchent la route et qu’il est temps de s’opposer à la guerre et à revendiquer la paix, ceux qui, précédemment, se proclamaient « anti-guerre », se retrouvent de l’autre côté en hurlant pour déverser encore plus d’armes dans une guerre par procuration que leur gouvernement a délibérément provoquée.

C’est parce que la théorie d’être anti-guerre est bien différente de la pratique. En théorie, les gens sont tout simplement opposés à l’idée de faire exploser d’autres gens sans aucune bonne raison. En pratique, ils sont toujours frappés par un barrage très intense de messages médiatiques leur donnant ce qui semble de très bonnes raisons disant pourquoi ces gens-là doivent exploser.

Être véritablement anti-guerre n’est pas chose facile. Cela ne ressemble pas à ce que les gens s’imaginent. Cela ressemble plus au fait de se faire écraser par un déluge d’information destinée à manipuler et à confondre, et à l’assumer pendant que l’on se fait crier après par ceux qui ont subi le lavage de cerveau. Ce n’est pas joli. Ce n’est pas plaisant. Ce n’est pas l’époque de bien-être du flower power que les gens ressentaient intuitivement quand ils voyaient en eux-mêmes la part où ils cherchaient la paix. C’est se dresser contre la machine de propagande la plus sophistiquée qui ait jamais existée quand on nous offre toutes les raisons de ne pas le faire.

Lorsque les gens se pensent « anti-guerre », ils s’imaginent habituellement comme anti autre guerre en Irak, ou théoriquement anti quelqu’autre président à la Hitler débutant une guerre parce qu’il aime tuer des gens. Ils ne s’illustrent pas réellement ce que c’est en pratique que d’être réellement anti-guerre.

Parce que vendre la guerre au public est un élément inné de toute la stratégie guerrière, la guerre aura toujours l’air nécessaire du point de vue du courant dominant, et elle ne ressemblera pas à ces autres guerres qui, nous le savons maintenant en rétrospective, étaient des erreurs. Elle est toujours conçue pour être attirante. Il y aura toujours une propagande d’atrocité. Il y aura toujours des raisons dont on vous nourrira pour vous vendre cette intervention militaire comme étant spéciale et complètement nécessaire. Ce sera le cas à toutes les fois parce que c’est ainsi que les guerres modernes sont emballées et présentées.

Voilà pourquoi vous allez toujours voir un certain nombre de gens se décrivant gauchistes et anti-impérialistes acclamant le dernier projet de guerre américain. Ils sont idéologiquement opposés à l’idée de guerre en théorie, mais la manière de le démontrer en pratique est toujours différente de ce qu’ils dépeignent.

Notre civilisation entière est formée par la propagande domestique.

La propagande est l’aspect le plus négligé et le plus sous-évalué de notre société. Elle a beaucoup plus d’influence sur la façon de penser, de voter et d’agir du public que tout autre mécanisme officiel pour ce faire, et pourtant, on n’en discute que rarement, on ne l’enseigne pas à l’école, et même les meilleures idéologies politiques y touchent à peine, comparée aux autres domaines sur lesquels elles se concentrent.

La propagande ne fonctionne que sur ceux qui ne savent pas qu’ils sont soumis à la propagande. La capacité de l’empire centralisé aux États-Unis à cacher sa machine de propagande est un élément fondamental de son éclat brillant.

Il faut beaucoup de travail afin de voir assez clair pour se former un point de vue réellement basé sur la vérité. Mais si vous ne le faites pas, il est impossible d’être véritablement anti-guerre, parce que vous ne pouvez vous opposer intelligemment à quelque chose que vous ne comprenez pas. Pour combattre la machine de guerre impériale, il faut combattre la machine de propagande impériale.

Amen, Caitlin !

Et n’oubliez jamais que la « machine de propagande » inclut au moins 80 % des églises évangéliques américaines. Comme les églises évangéliques ont fait partie de la propagande Covid, de même maintenant font-elles parties de la propagande de guerre en Ukraine – même au point de ramasser des millions de dollars des poches des chrétiens crédules pour le boucher sanguinaire et dépravé qui se fait appeler président de l’Ukraine.

Cela ne cesse jamais de m’étonner de voir que les évangéliques peuvent posséder des convictions pro-vie si fortes en ce qui concerne l’avortement (ce qui est admirable) et pourtant posséder des convictions tellement pro-mort quant aux guerres injustes (ce qui est déplorable).

Et vous seriez peut-être surpris d’apprendre que la vaste majorité du monde est du côté de la Russie contre les États-Unis en Ukraine. « Sur 195 pays, seulement 30 ont honoré les sanctions des États-Unis contre la Russie. Cela signifie qu’environ 165 pays dans le monde ont refusé de se joindre aux sanctions. Ces pays représentent de loin la majorité de la population mondiale. »

Que Biden réprimande la Russie pour crimes de guerre est de la plus haute hypocrisie. Depuis que G. W. Bush a lancé son homicide horrifiant de la « guerre contre le terrorisme », les États-Unis (sous Bush, Obama, Trump et maintenant Biden) ont assassiné 6 millions d’innocentes personnes (y compris des bébés) et cela n’inclut pas les 5 millions et plus de Palestiniens que les États-Unis ont aidé Israël à tuer depuis 1948.

Deux fois (2008, 2012) l’Amérique a eu l’opportunité d’élire un véritable président chrétien constitutionnaliste, un vrai homme de paix : le Dr Ron Paul. Et par deux fois, les soi-disant conservateurs et chrétiens républicains ont rejeté la candidature du Dr Paul et ont proposé des bellicistes de l’establishment.

Et voici encore une autre incroyable ironie en ce qui concerne la façon que les conservateurs chrétiens ont rejeté Ron Paul : Si la rumeur s’avère que la Cour Suprême a décidé de renverser Roe vs Wade [le droit à l’avortement], les chrétiens conservateurs de partout vont danser dans les rues – comme moi aussi.

Mais voilà le hic : Pendant des années, le Dr Ron Paul a présenté la Loi sur l’Inviolabilité de la Vie à la Chambre américaine des Représentants, et par laquelle les Présidents et les congressistes républicains auraient pu renverser Roe vs Wade. Et à chaque année, les conservateurs chrétiens bâillaient et l’ignoraient totalement – allant même, dans certains cas, jusqu’à le rejeter carrément.

Si nous pouvons nous fier à l’histoire du Politico disant que la Cour Suprême a voté pour renverser Roe vs Wade, la décision sera probablement une copie carbone du projet de loi sur l’Inviolabilité de la Vie du Dr Paul – ou le projet de loi de Ron aurait en réalité été plus fort. Si les chrétiens pro-vie avaient été derrière le projet de loi de Paul et avaient poussé le GOP à adopter la loi, il y a bien des années, des millions de bébés non-nés auraient été sauvés.

Or, maintenant, ils applaudiront une décision de la Cour Suprême qui reproduit un projet de loi proposé il y a quelques décennies et qui fut sponsorisé par Ron Paul – un projet de loi contre lequel les évangéliques s’opposaient ouvertement.

Et pourquoi s’opposaient-ils au Dr Paul ? Parce qu’il n’était ni belliciste ni un lèche-bottes sioniste. Les évangéliques aiment que leurs politiciens soient des Faucons de la Guerre et des sionistes. Mais alors, les deux vont ensemble.

Considérant la manière que les évangéliques rejetèrent Ron Paul, et considérant le fait qu’ils acclament et applaudissent la mort et la destruction à l’échelle globale par des guerres injustes, il semble clair que de nombreux évangéliques ne sont pro-vie que lorsque cela s’avère politiquement opportun.

Comme je l’ai dit, où sont les hippies anti-guerres quand on en a besoin ?




« La guerre est un racket », et cela inclut la guerre en Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

28 avril 2022

Le toujours consistent champion de la paix, Ron Paul, est dans sa bonne forme habituelle dans son récent article La guerre en Ukraine est un racket :

« La guerre est un racket, » écrivit le major-général américain Smedley Butler, en 1935. Il explique : « Un racket est, je crois, le mieux décrit comme étant quelque chose qui n’est pas ce qu’il semble pour la majorité des gens. Seul un petit groupe à “l’interne” sait de quoi il s’agit. Il est mené au bénéfice d’un très petit nombre, au dépend de beaucoup d’autres. Un petit nombre de gens soutirent une énorme fortune de la guerre. »

L’observation du général Butler décrit parfaitement la réaction US/OTAN dans la guerre en Ukraine.

La propagande continue d’illustrer la guerre en Ukraine comme celle d’un Goliath non provoqué en route pour décimer un innocent David à moins que nous, les USA et l’OTAN, contribuions par des quantités massives d’équipement militaire afin que l’Ukraine vainque la Russie. Comme c’est toujours le cas de la propagande, cette version des événements est manipulée afin de susciter une réaction émotive au bénéfice d’intérêts spéciaux.

Un de ces groupes d’intérêts spéciaux qui profite énormément de la guerre, c’est le complexe militaro-industriel américain. Le PDG de Raytheon, Greg Hayes, a dit récemment dans une rencontre d’actionnaires : « Tout ce qui est expédié aujourd’hui en Ukraine provient, bien sûr, des stocks de réserve, soit du DOD, soit de nos alliés de l’OTAN, et ce sont de très bonnes nouvelles. Éventuellement, nous devrons nous réapprovisionner et nous verrons le commerce faire du bénéfice. »

Il ne mentait pas. Raytheon, ainsi que Lockheed Martin et d’innombrables autres manufacturiers d’armement profitent d’une manne qu’ils n’avaient pas eue depuis des années. Les États-Unis ont engagé plus de trois milliards de dollars dans l’aide militaire à l’Ukraine. Ils appellent cela de l’aide, mais c’est en réalité du bien-être d’entreprise : Washington qui envoie des milliards de dollars aux manufacturiers d’armement pour des armes expédiées outremer.

Au dire de beaucoup de gens, ces expéditions d’armes, comme le missile antitank Javelin (conjointement manufacturé par Raytheon et Lockheed Martin) se font exploser aussitôt qu’ils arrivent en Ukraine. Cela ne dérange pas Raytheon du tout. Plus les Russes font exploser d’armes en Ukraine, plus de nouvelles commandes viennent du Pentagone.

Les anciens pays du Pacte de Varsovie, maintenant membres de l’OTAN, font aussi partie de l’ARNAQUE. Ils ont découvert comment disposer de leurs armes de fabrication soviétique et vieilles de plus de trente ans, et recevoir du remplacement moderne des États-Unis et d’autres pays occidentaux de l’OTAN.

Bien qu’un grand nombre de gens qui sympathisent avec l’Ukraine applaudissent, ce paquet d’armes de plusieurs milliards de dollars ne fera pas une grosse différence. Comme l’a dit un ancien officier des renseignements de la Marine américaine, Scott Ritter, dans un Liberty Report de Ron Paul, la semaine dernière : « Je puis dire avec une certitude absolue que, même si cette aide se rend jusqu’au champ de bataille, cela n’aura aucun impact sur le combat. Et Joe Biden le sait bien ! »

Nous voyons les Russes s’emparer à la tonne des armes modernes des États-Unis et de l’OTAN et même les employer à tuer encore plus d’Ukrainiens. Quelle ironie. Aussi, quel genre d’opportunités ne sera-t-il pas fourni aux terroristes avec ces milliers de tonnes d’armement mortel de haute technologie circulant en Europe ? Washington a admit qu’il n’y a pas moyen de retracer les armes que l’on envoie en Ukraine et aucune façon d’empêcher qu’elles tombent dans les mains de méchants garçons.

La guerre est un racket, c’est sûr. Les États-Unis s’ingèrent en Ukraine depuis la fin de la Guerre Froide, allant jusqu’à renverser le gouvernement en 2014 et semant les graines de la guerre dont nous sommes aujourd’hui témoins. La seule manière de sortir du trou, c’est d’arrêter de creuser. N’espérez pas cela pour bientôt. La guerre est trop profitable.

Amen et amen !

Zerohedge.com cite la remarquable analyse de GLOBAL INTEL HUB sur les sinistres plans économiques à l’œuvre et impliquant le conflit en Ukraine.

  1. Manque de refuge sûr – La Fed américaine a saisi plus de 800 milliards de dollars en Russie et dans les atouts associés. Si vous êtes un investisseur qui ne vient pas des États-Unis, vous devrez y penser à deux fois avant de conserver des fonds en « sécurité » aux États-Unis. Il y a de nombreuses alternatives, comme Singapour, la Suisse, Dubaï, les îles Caïman, pour n’en nommer que quelques-unes. Disons-le autrement, la « fuite vers la sécurité » n’est plus « d’acheter des dollars » – peu importe ce qui remplacera le dollar américain, il importe qu’il soit remplacé.
  2. Manque de pétrodollar – Sanctionner le plus gros producteur de pétrole au monde a fait en sorte que la Russie exige que l’on paie le pétrole en rouble, de manière à ce que la nouvelle devise globale pour le pétrole soit le rouble. En parallèle, la Russie fixe le cours du rouble sur l’or, de telle sorte que le rouble est maintenant appuyé sur le pétrole et l’or. Soit que la plupart des pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) en fassent autant ou qu’ils soient d’accord pour faire le commerce du pétrole en yuan ou en rouble. Le blocage de l’administration Biden de la production de pétrole américaine n’a pas aidé, et ce n’était pas non plus un signal des leaders américains qu’ils allaient combattre l’inflation par plus d’inflation. La Chine a été d’accord pour transiger le pétrole avec le yuan ou le rouble pour sa base manufacturière assoiffée, établissant un précédent par son puissant refus du dollar américain.
  3. Changement de la SWIFT au SPFS-CIPS – Le bannissement de la Russie de la SWIFT [Société de télécommunication financière interbancaire mondiale] a forcé ceux qui étaient bannis à chercher une alternative. La Russie et la Chine possédaient une alternative à la SWIFT, qu’elles développent depuis des années, comme le CIPS [China International Payments System – Système de paiement interbancaire transfrontalier] et le Nium basé à Singapour.
  4. Déménagement vers le yuan – Avant les événements entourant le conflit russo-ukrainien, la Chine était perçue comme un château de cartes toxique. Cela a drastiquement changé avec des milliards affluant en yuan, non seulement de la Russie, mais aussi de partenaires de la Russie qui vont joyeusement régler leurs transactions en yuan, et voient en la Chine une superpuissance moins agressive et plus compréhensive (alors que la Chine fait les frais de l’hégémonie américaine).
  5. Statut de réserve mondiale abandonné – Durant une crise, la Fed fournit les Dollars au besoin via des accords d’échanges et le gouvernement américain supplée à l’aide par l’intermédiaire d’entités contrôlées par les ONG et DC, comme le Fonds Monétaire International, la Banque Mondiale, etc. Les actions prises contre la Russie sont sans précédent. Tout en jouant à la superpuissance militaire globale, les États-Unis ont toujours conservé en sûreté entre leurs mains les fonds des ennemis, même s’il s’agissait d’Adolf Hitler ou de Saddam Hussein. En effet, la Banque de la Réserve Fédérale a même fondu l’or nazi pour ensuite l’engraver de nouveau – vous parlez d’un service aux gants blancs. Cela a permis à la guerre de se poursuivre, sans mentionner les milliards en financement fournis par les banquiers américains pour financer l’autre côté (les Nazis), souventes fois directement à Hitler lui-même.
  6. Hypersoniques – Le dollar américain n’est « supporté par rien », comme beaucoup le déclarent. En réalité, il est soutenu par les bombes – ou, en d’autres mots, la Supériorité militaire américaine. La Marine protège les routes commerciales, les Forces aériennes protègent les communications, etc. La Russie a utilisé un missile hypersonique pour descendre une base secrète de l’OTAN à l’intérieur de l’Ukraine. Le message envoyé à l’Occident était évident – les missiles hypersoniques n’ont pas de parade ni d’avertissement, et parce qu’ils sont tellement rapides, l’on n’a même pas besoin de les armer (avec une bombe nucléaire, par exemple). Bien que les États-Unis ne soient pas officiellement impliqués dans la guerre (même si l’on a vu de nombreux Américains combattre les Russes en Ukraine), il s’agit d’une victoire de la Russie dans la guerre cinétique. En employant des armes hypersoniques, les Russes pourraient descendre la Marine américaine et les bases militaires en une période de temps relativement courte. Bien sûr, les États-Unis pourraient réagir en « vitrifiant Moscou », mais là n’est pas la question. La guerre est une partie d’échec, et la Supériorité de l’armée américaine a fait en sorte que le dollar américain règne sans partage depuis que les Britanniques ont passé le flambeau aux Américains, il y a quelques générations. La politique étrangère américaine se compose de 80 % d’Orgueil démesuré et de 20 % de Supériorité technologique – la Supériorité qui demeure se limite à l’Espace. L’unique endroit où les États-Unis possèdent un avantage massif sur la Russie et la Chine, c’est l’Espace. De toute façon, ici, le contexte se situe dans le sort du Dollar US comme devise de réserve mondiale.
  7. Les BRICs et l’OPEC cherchent des alternatives – Maintenant qu’un grand nombre est forcé de se convertir au rouble et au yuan pour acheter du pétrole, beaucoup cherchent des réseaux de paiement alternatifs. Ce n’est pas une voie à sens unique – la Russie a imposé des contrôles de capital et des ressortissants russes ont pris environ trente jours pour installer des compagnies au Kazakhstan, en Chine, à Hong-Kong, à Singapour et dans d’autres endroits pour circonvenir les règles. Cela a fait affluer davantage de centres de capital alternatifs (autres que NY/Londres) et ces endroits sont littéralement inondés de nouvelles entreprises.
  8. Les États-Unis, importateurs nets – Puisque 80 % des biens sont manufacturés en Chine, les acteurs économiques américains doivent payer pour les mêmes matériaux avec leurs dollars hyper gonflés. En d’autres mots, la valeur du Dollar US en décroissance se voit à la pompe et au marché d’alimentation.

Pourquoi détruire votre propre devise ? Pour le profit !

Nous devrions tous nous poser la question à savoir pourquoi les faiseurs de politiques [occidentales] veulent ruiner leur propre devise. Il n’y a pas de réponse courte à cela, sauf un seul mot : le Profit. C’est le modèle économique du tueur à gages Soros appliqué à tout le pays qui a créé cela. Les frères Dulles, Kermit Roosevelt et William Stephenson (l’intrépide) ont créé un modèle économique d’Impérialisme mêlé au Capitalisme marchand (monopole de politique canonnière) exactement quand les Britanniques passèrent le flambeau aux Muricans. Les Yankees en retirèrent tout le crédit, mais nous savons tous qui tire encore les ficelles à partir de Londres – le même groupe qui contrôle le marché de l’or et la moitié des finances du monde.

Le modèle est tout simple. Premièrement, vous financez l’activisme et soutenez un candidat politique controversé comme Zelensky (un acteur est tout indiqué parce que c’est ce que le rôle demande). Ses points de vue et ses politiques n’ont pas de rapport, il n’a qu’un seul travail à faire et vous l’avez assez graissé avec des appartements à Miami et de la drogue, et des femmes (et des garçons, pour le goût) qu’il est littéralement votre pantin. Un seul appel téléphonique et toutes les photos de lui en train de faire le vilain se retrouvent partout. Mais ça ne l’inquiète pas, il est payé des dizaines de millions de dollars pour ne faire qu’une seule chose : accepter les 20 % d’intérêt sur un prêt du FMI [Fonds Monétaire International]. Il n’y a aucune façon de le rembourser. Lorsqu’arrivera le défaut de paiement, le pays donnera finalement ses matières les plus précieuses, quelles qu’elles soient.

Les États-Unis sont évidemment un peu plus compliqués parce que la plupart de ces prêts et de ces programmes proviennent des États-Unis – mais le modèle est le même. Cela implique toujours une dévaluation de la devise, de l’agitation civile et parfois une « révolution » sanglante qui ressemble plus à un coup de tueurs à gages. Biden est à vendre, de même que les États-Unis, et leur plan est de briser l’Amérique en petits morceaux et de la revendre aux plus offrants (elle a plus de valeur ainsi).

Et n’oubliez pas que l’inflation est bonne pour le riche et mauvaise pour le pauvre. En d’autres termes, c’est une guerre entre ceux qui ont et ceux qui n’ont pas. Voyez comme les portefeuilles de la classe à la valeur nette ultra élevée ont gonflé durant le Covid, pendant que les classes moyenne et inférieure ont souffert.

Rappelons-nous que la Fed peut créer autant de Dollars US qu’elle veut, le système fonctionnant en donnant le pouvoir aux banques membres qui possèdent la Fed. La guerre est toujours précédée ou suivie d’une dévaluation de devise. 25 % est un bond énorme pour ce que l’on appelait la Devise de Réserve Globale. Si vous pensez que ce chiffre n’est pas exact, vérifiez votre reçu à la station d’essence, au marché d’alimentation, ou chez Lowes pour des achats de bois. Tout monte, et ce n’est pas seulement à cause du pétrole. Voici quelques autres facteurs techniques qui surviennent, tels que la diminution des exigences de la Trésorerie américaine.

Maintenant, lisez soigneusement ce dernier paragraphe :

Dans les six prochains mois, nous allons certainement voir une détérioration supplémentaire de la valeur du Dollar US, mais la réaction du public demeure incertaine. Même si les Élites aimeraient que nous croyions que l’avenir est déterminé par eux, il ne l’est pas. Quand on montre des sondages dans les médias, c’est afin de changer l’opinion publique. Des études montrent que si vous exposez des études avec un certain penchant, ou qu’elles étudient la mauvaise chose, cela affectera la conscience de masse. Comment les gens, les entreprises et les autres acteurs économiques réagiront aux pénuries de nourriture, aux manques de produits ou aux crashs boursiers déterminera quel cours l’avenir prendra.

S’il vous plaît, lisez ce dernier paragraphe jusqu’à ce qu’il soit bien ancré dans votre esprit.

Les Élites qui mènent la barque dans la guerre d’Ukraine utilisent ce conflit pour leur propre bénéfice financier. C’est ce qu’ils font toujours. Cette guerre n’a PAS de rapport avec la survie de la « démocratie » en Europe, ou la défense de la liberté – ni dans sa forme, ni dans sa manière. L’implication de l’Occident dans cette guerre se rapporte à l’ARGENT pour les Profiteurs de la Guerre, comme l’a dit le général Butler en 1935.

L’analyse citée ci-haut décrit parfaitement comment les Élites occidentales planifient employer la guerre en Ukraine pour contribuer à détruire le Dollar US (qui coule de toute manière) et concevoir une nouvelle devise – sans doute digitale – qui, comme expliqué plus haut, dévaluerait les comptes de banques de tout le monde et anéantirait pratiquement toute la classe moyenne, en rendant la classe des milliardaires encore plus riches que ce qu’on peut imaginer.

Les leaders occidentaux ne font PAS la guerre à la Russie (excepté qu’ils détestent Poutine qui résiste aux Changeurs d’argent à Londres, à New York et à Tel-Aviv) ; ils font la guerre à la sécurité financière et au bien-être de leurs propres peuples – et cela compte double pour Biden et les États-Unis.

Mais comme le déclare le dernier paragraphe cité plus haut :

Même si les Élites aimeraient que nous croyions que l’avenir est déterminé par eux, il ne l’est pas … Comment les gens, les entreprises et les autres acteurs économiques réagiront aux pénuries de nourriture, aux manques de produits ou aux crashs boursiers déterminera quel cours l’avenir prendra.

En d’autres mots, nous, le peuple, allons déterminer le résultat final de cette attaque contre notre Liberté et notre Prospérité. Les plans de l’Élite vont tourner court si nous, le peuple, ne nous permettons plus d’être manipulés par eux.

Cela requiert que nous rejetions la propagande perpétuelle des médias en ce qui concerne l’Ukraine et que nous commencions à exiger que les États-Unis ne se mêlent pas de ce conflit (ce qui mettrait presque immédiatement fin au dit-conflit) et commencent à rectifier les folles habitudes de dépense du gouvernement américain – ce qui est un présage d’inflation galopante et de ruine financière éventuelle pour le peuple américain – et retournent à de sains principes financiers.

Les criminels de D.C. espèrent que, à mesure que l’inflation continue d’escalader, à mesure que vos revenus chutent sous le niveau du coût de la vie, à mesure que plonge le marché boursier, à mesure que la nourriture et autres nécessités deviennent de plus en plus difficiles à trouver, vous fixerez tellement vos regards sur le combat dans une fausse guerre à la défense d’un comédien ukrainien qui se fait appeler président que vous ne remarquerez pas que les mécréants machiavéliques qui dirigent ce plan à la Ponzi sont sur le point de vous dépouiller de vos libertés ainsi que de votre stabilité financière, et nous amènent dans un système féodal où ils sont les maîtres et nous les serfs.

Ce que feront les Américains dans les prochains six mois déterminera probablement notre avenir pour les six prochaines générations.

[« Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses… » 1 Timothée 6:10) « Or maintenant, vous riches, pleurez, et poussez de grands cris à cause des malheurs, qui s’en vont tomber sur vous » (Jacques 5:1).]




D’autres mythes (de la CIA) concernant l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 avril 2022

Nous pourrions appeler le conflit en Ukraine Covid-22, parce que les mêmes propagandistes qui ont créé la fausse narration Covid-19 créent maintenant la fausse narration Ukraine.

Je m’en vais directement à l’excellent traité de Lew Rockwell :

Tout Américain raisonnable convient que nous ne devrions pas nous impliquer dans la guerre Russe-Ukraine. Les bellicistes néoconservateurs, avec un Joe Biden sans cervelle comme figure de proue, veulent détruire la Russie, et ils sont prêts à risquer une guerre nucléaire pour ce faire. Mais cela n’annule pas ce que je viens de dire. Ces monstres sont tout sauf raisonnables. Mais, parlant de monstres, cela nous amène à une autre question. Tout le monde connaît la position de John Quincy Adams : « L’Amérique ne va pas à l’étranger à la recherche de monstres à détruire. » Est-ce la raison pour laquelle nous devrions nous tenir loin de la guerre en Ukraine ? Poutine est-il un monstre n’amenant que la mort et la destruction à un peuple innocent, ou quelqu’un dont nous devons ignorer les actions parce qu’il est trop dangereux d’agir contre lui ? Les gens qui disent cela ignorent ce qui arrive. Poutine est un homme d’état raisonnable, aux intérêts de sécurité légitimes, et le prétendu héro Zelensky est un personnage douteux.

Pourquoi les gens pensent-ils autrement ? Une des raisons, c’est les accusations d’atrocité attribuées aux Russes à Bucha. Ces accusations ne sont que cela, des « accusations ». Les fausses déclarations d’atrocité sont souvent la façon prise pour enflammer les gens dans le but qu’ils soutiennent la guerre, et les accusations de Bucha en sont le dernier exemple. Christopher Roche, qui n’est pas pro-Poutine, explique pourquoi nous ne devrions pas nous laisser avoir par cela : « Les reportages et les photographies montrant un apparent massacre à Bucha, en Ukraine, sont vraiment terribles. Ils nous rappellent les atrocités utilisées pour galvaniser l’opinion occidentale durant les Guerre yougoslaves des années 1990, quand le massacre de Srebrenica et le siège de Sarajevo furent imprégnés dans la conscience occidentale. »

Évidemment, les photos ne racontent pas toujours toute l’histoire. Par exemple, pour déterminer si un crime de guerre a eu lieu, nous devons savoir qui a exécuté la tuerie, pourquoi et comment. Après tout, les États-Unis ont tué de nombreux milliers d’Irakiens et d’Afghans, souvent par accident, au cours de ces guerres. Peu de gens, aux États-Unis ou en Europe, appelleraient ces actions des crimes de guerre. Tout est devenu apparent après que les États-Unis se disculpèrent d’avoir annihilé une famille afghane par une frappe de missile durant le retrait des forces américaines l’été dernier. Oups.

Si des civils ont été tirés et tués à dessein à Bucha, c’est sans aucun doute un crime de guerre et une chose horrible. Mais il y a de bonnes raisons de croire que le soi-disant Massacre de Bucha ne fut pas le fait des Forces russes, mais plutôt des Ukrainiens – soit la milice locale, soit le SBU, ou encore une combinaison des deux – comme faisant partie des représailles brutales contre les « saboteurs » et les « collaborateurs russes ».

Premièrement, cela s’accorde avec le modèle des Forces ukrainiennes qui violent les règles de la guerre, comme le prouvent de nombreuses vidéos montrant les fusillades de prisonniers, la torture de civils et autres choses du même genre. Contrairement aux photos figées de Bucha, les vidéos montrent le déroulement des actions elles-mêmes, comme d’ailleurs les auteurs, ce qu’a même reconnu récemment le New York Times.

Deuxièmement, le Président ukrainien Voldomir Zelenskyy a donné un grand nombre de discours appelant à la punition des « saboteurs » et des « traîtres » en disant que la guerre se terminera finalement par la « dé-russification » de l’Ukraine. Ce sont des paroles dures qui tendent clairement à enflammer et à encourager les éléments les plus extrêmes.

Troisièmement, l’atmosphère en Ukraine est mûre pour les crimes de guerre. Alors que les supporteurs du Deuxième Amendement américain étaient naturellement encouragés par le cadeau d’armes du gouvernement ukrainien, certaines de ces armes finirent entre les mains de criminels et de personnages indisciplinés. Ce n’était pas par mégarde ; l’Ukraine a délibérément libéré des prisonniers avec expérience de combat afin de leur permettre de se battre. On ne peut attendre des membres de ce groupe qu’ils deviennent de scrupuleux adhérents aux lois de la guerre.

Il y a également beaucoup de récits documentés au sujet d’Ukrainiens se tuant les uns les autres par paranoïa à cause des espions et des saboteurs. Il est assez facile de voir pourquoi. Il y a un cheveu de différence entre les Ukrainiens et les Russes et un grand nombre dans l’Est ne parlent que le russe, ont soutenu les Russes, ou à tout le moins n’ont qu’une attitude peu enthousiaste envers le régime ukrainien. Cela attise la possibilité de violence intestine, ce qui sera rationalisé après coup comme le nettoyage de traîtres et de membres de la cinquième colonne.

Quatrièmement, le moment de la sortie des rapports a créé des doutes réels à savoir si les Russes avaient perpétré le Massacre de Bucha. Il est largement reconnu que les Forces russes ont quitté Bucha le 30 mars. Ensuite, le maire de Bucha a joyeusement annoncé leur retrait le 31 mars, sans aucune mention de massacres, de cadavres dans les rues et autres crimes de guerre. Finalement, le SBU ukrainien dit qu’il avait emménagé à Bucha le 2 avril afin de diriger une opération de « nettoyage » contre les saboteurs et les traîtres.

Les photos de cadavres ne sont apparues que le 2 avril et puis Zelenskyy s’est présenté afin de faire la tournée avec les journalistes internationaux. Reuters et le New York Times ont aussi posté des images satellites Maxar montrant apparemment des corps dans les rues, plus tôt, le 19 mars, Ce n’est pas aussi convaincant que ce pourrait l’être ; des cadavres laissés dehors pendant deux semaines ne seraient pas dans la condition de ceux montrés dans les photos du 2 avril, mais ils seraient plutôt décomposés de manière significative. S’il y avait eu des cadavres dans les rues plus tôt en mars – que ce soit des combattants ou des civils – ce serait des gens différents que les civils décédés et montrés le 2 avril.

Au lieu de cela, il est question de savoir si les récits d’atrocités conduiront à l’implication des États-Unis dans une autre guerre qui ne fait rien pour mettre de l’avant les intérêts nationaux américains. Que ce soit le Viol de la Belgique allégué dans la Première Guerre Mondiale, le génocide au Kosovo, ou les soldats irakiens « enlevant des bébés des incubateurs » au Koweït, les horribles et faux récits d’atrocité ont été utilisé auparavant pour encourager l’implication occidentale dans des guerres inutiles. Quant aux enquêtes criminelles ordinaires, il vaut toujours la peine de se demander si la source a motif de mentir à propos de la culpabilité.

La Russie a demandé une enquête indépendante sur ces événements par le Conseil de Sécurité des Nations Unies, mais la présidence actuelle, le Royaume-Uni, a apparemment refusé de convoquer le Conseil. Pourquoi ? Une enquête indépendante n’aurait-elle pas été le meilleur moyen de déterminer ce qui s’est passé ? Bien sûr, ici, la vérité est secondaire, et ni l’Ukraine ni l’Occident n’auraient d’intérêt à découvrir l’étendue des crimes de guerre ukrainiens. À la place, les États-Unis et l’Union européenne se consacrent à prolonger la guerre afin d’affaiblir et de punir la Russie, même si la prochaine étape pourrait probablement être bien pire pour toutes les parties impliquées, avec un gouvernement de Kiev demandant, dans ses plus récentes communications, l’évacuation en masse de l’Est.

Malgré tout l’encre coulé pour condamner ce qu’on appelle le Massacre de Bucha, on se demande si les appels à des procès pour crimes de guerre et les déclarations disant que le gouvernement responsable de cela est illégitime seront retirés s’il se trouve que, non pas Vladimir Poutine et la Russie, mais Voldomyr Zelenskyy et l’Ukraine sont responsables de ce qui est arrivé à Bucha. Poser la question, c’est y répondre.

Les vraies atrocités se commettent par les Forces de Zelnskyy, ce qui comprend des néo-nazis. Les Russes se rappellent des horreurs de l’invasion allemande lors de la Deuxième Guerre Mondiale et ils ne veulent pas que cela se répète. D’où l’exigence de Poutine à ce que le gouvernement ukrainien purge les éléments nazis de son gouvernement, particulièrement ceux que l’on trouve dans le régiment Azov. Comme le dit Joe Lauria : « Le Président ukrainien Volodimyr Zelensky a fait une tournée mondiale virtuelle avec relais vidéos vers les parlements autour du monde, ainsi qu’aux Grammy Awards et au Conseil de Sécurité des Nations Unies, parfois avec des résultats pénibles. »

Jugeons de la sagesse du grand Dr Ron Paul qui nous a mis en garde contre le fait d’aller en guerre par l’intermédiaire des faussetés de la CIA concernant des atrocités commises : « La semaine dernière, un article extraordinaire est apparu, entre autres endroits, dans les Nouvelles NBC, rapportant que la communauté des renseignements américains alimente sciemment de l’information, qu’elle ne croit pas exacte, au grand courant médiatique américain pour la faire consommer à l’auditoire américain. »

En d’autres mots, l’article rapporte que « l’état profond » américain admet s’engager activement à mentir au peuple américain dans l’espoir de pouvoir manipuler l’opinion publique.

J’ai creusé le sujet des mensonges de la CIA – y compris l’admission d’NBC – dans mon bulletin de la semaine dernière.

Pourquoi le gouvernement américain insiste-t-il pour prolonger et exacerber ce conflit ? Je crois que Rockwell a raison : les profiteurs de la guerre à Washington, D.C., VEULENT une guerre contre la Russie. En premier lieu, il n’y a jamais eu de guerre que le Parti de la Guerre, bien installé à D.C. n’ait pas aimée – et contribué à déclencher.

En second lieu, Joe Biden et le reste des criminels au sein de la Périphérie savent que l’économie américaine s’enfonce dans une spirale « mauvaise et plus mauvaise » – et ils savent qu’ils en sont responsables. La guerre est la distraction parfaite pour détourner l’attention du peuple américain de leurs propres malheurs économiques causés par leurs propres leaders politiques et ceux-ci leur fournissent un « monstre étranger » à haïr.

Je vais répéter ce que je dis depuis plus de vingt-cinq ans : Nous avons plus à craindre de la part des misérables mécréants de Washington, D.C., que de n’importe qui d’autre. Si vous voulez trouver des monstres, vous n’avez pas à regarder outremer pour les trouver ; vous n’avez qu’à jeter un coup d’œil sur le putride marais au bord du Potomac, et vous en trouverez des centaines.

Les demandes de Poutine sont raisonnables. L’Ukraine n’a pas d’affaire dans l’OTAN. En plus, les néo-nazis de la milice militaire ukrainienne Azov sont les vrais criminels de guerre. Cela fait des années qu’ils commettent des meurtres de masse et des génocides contre le peuple russophone du Donbass. La défense russe de ces victimes innocentes contre les oppresseurs nazis ukrainiens est plus que justifiée – particulièrement après que le peuple du Donbass se soit séparé légalement du gouvernement ukrainien et ait fait appel à la protection de la Russie.

La terre des Khazars (Ukraine) est remplie de corruption, de barbarie, de meurtre et de guerre depuis le 6e siècle. C’est une terre qui n’a jamais compris ou apprécié la civilité ni la loi. Les dirigeants sans foi ni loi de l’Ukraine ont rejoint presque tous les tyrans et les despotes (et les brutes et les gangsters) qui se sont présentés – incluant particulièrement Hitler. Qualifier de « héros » Zelenskyy et sa bande assoiffée de sang de mercenaires nazis et risquer une Troisième Guerre Mondiale pour défendre ces adeptes d’Hitler, c’est le sommet de la démence.

S’il vous plaît, lisez ce rapport-ci à propos d’un infâme mercenaire nazi ukrainien.

Les mythes créés par la CIA ont conduit l’Amérique dans pratiquement toutes les guerres dans lesquelles nous nous sommes engagés depuis que l’agence a été créée en 1947 : de la Corée au Vietnam, à la Guerre du Golfe, à la Somalie, à Haïti, à la Bosnie, au Kosovo, au Liban à l’Afghanistan, à l’Irak, au Yémen, au Pakistan, au Kenya, en Lybie, en Ouganda et en Syrie.

Et il semble maintenant que les mythes de la CIA amènent l’Amérique dans une guerre contre la Russie.

Pendant combien de temps Dieu laissera-t-Il les États-Unis survivre à leur propre stupidité ?




L’Occident s’autodétruit

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

14 avril 2022

L’Amérique et l’Europe occidentale semblent obsédées par la peur de la Russie. Qu’importe si la puissance militaire combinée des États-Unis et de l’OTAN éclipse littéralement celle de la Russie, l’Occident se comporte comme si la Russie était sur le point de conquérir le monde.

Il n’y a pas de doute que la Russie est une des superpuissances du monde en termes de missiles nucléaires ; mais si c’est la guerre nucléaire qui effraie l’Occident, pourquoi menace-t-il la Russie en encerclant ce pays de bases militaires et de missiles hypersoniques ? Pourquoi l’OTAN pousse-t-elle la Russie en violant les ententes de ne PAS empiéter sur la frontière russe ? Pourquoi les États-Unis et l’OTAN entreprennent-ils des manœuvres militaires aux portes de la Russie ? On pourrait avoir l’idée que l’Occident tente d’aiguillonner la Russie vers une guerre nucléaire.

Avec les États-Unis qui encerclent la Russie de bases et de missiles, nous n’avons pas oublié que la Russie ne se trouve qu’à 55 milles de l’Alaska, n’est-ce pas ?

L’Amérique et l’Europe de l’Ouest devraient s’inquiéter davantage de ce qu’ils se font à eux-mêmes plutôt que ce que la Russie peut leur faire, parce que l’Occident s’autodétruit.

Comme l’a dit le célèbre personnage de bande dessinée, Pogo : « Nous avons rencontré l’ennemi, et c’est nous. »

Daniel Webster le dit ainsi :

Si nous sommes fidèles aux principes enseignés dans la Bible, notre pays va continuer à prospérer et à prospérer ; mais si nous et notre postérité négligeons ses instructions et son autorité, aucun homme ne peut prévoir la soudaine catastrophe qui nous engloutira et enterrera notre gloire dans l’obscurité profonde.

Les principes bibliques de Liberté de la loi naturelle et le constitutionalisme ont été expulsés de Washington, D.C., à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. (Plusieurs argueraient qu’Abraham Lincoln a décimé ces principes en 1861.)

Alors que l’Occident est obnubilé à l’idée de prendre sa revanche contre la Russie sur l’Ukraine, il ne semble pas remarquer qu’il se met lui-même la corde autour du cou.

Avec tous ces marionnettistes qui contrôlent ces jours-ci les leaders politiques, il est difficile de déterminer l’intelligence individuelle de ces leaders. Il appert toutefois que l’intelligence de Poutine de la Russie écrase celle de Macron de la France, de Duda de la Pologne, de Johnson de la Grande-Bretagne, de Scholz de l’Allemagne – et particulièrement celle de l’imbécile qui réside au 1600 de l’Avenue Pennsylvania à Washington, D.C.

Par exemple, la décision de Poutine de relier le rouble russe à l’or fut un coup de génie. (Le rouble basé sur l’or pourrait-il remplacer le prétrodollar ? Ce n’est pas tiré par les cheveux.)

De toutes les décisions crétines que le Président américain Richard Nixon a prises, sa décision d’enlever le standard-or de l’Amérique fut sa pire décision – d’un point de vue constitutionnel de gouvernement limité et de la Liberté, s’entend. Les politiciens du Gros Gouvernement, les Grands Banquiers et le complexe militaro-industriel adorèrent ça.

Relier le rouble à l’or change la donne économique – en particulier si l’on considère toutes les sanctions économiques prises contre la Russie par l’Occident. Laissez-moi l’établir ainsi : ça va être un hiver TRÈS FROID pour l’Europe de l’Ouest.

De TheCradle.com :

Signal des conséquences économiques catastrophiques à venir ressenties par les Européens dans leur vie quotidienne (mais pas par les cinq pourcent les plus riches) : inflation dévorant les salaires et les épargnes ; factures d’énergie du prochain hiver qui en prennent un coup ; produits qui disparaissent des supermarchés ; réservations des fêtes presque gelées. Le Petit Roi de France, Emmanuel Macron – faisant peut-être face à une désagréable surprise électorale – a même annoncé : « Les timbres de nourriture comme dans la Deuxième Guerre Mondiale sont une possibilité ».

Nous voyons l’Allemagne qui fait face au fantôme de l’hyperinflation de Weimar. Le Président de BlackRock, Rob Kapito, a dit, au Texas : « Pour la première fois, cette génération va se rendre dans un magasin et ne sera pas en mesure d’obtenir ce qu’elle veut. » Les fermiers africains ne sont pas du tout capables de se permettre des fertilisants cet été, réduisant la production agricole d’une quantité qui pourrait nourrir 100 millions de personnes.

Jusqu’ici, la Russie vendait 155 milliards de mètres/cube de gaz à l’Europe chaque année. L’UE a théoriquement promis de s’en débarrasser d’ici 2027, et de réduire de 100 milliards de mètres/cube avant la fin de 2022. Gromov demande « comment »  et fait remarquer que « aucun expert n’a la réponse. La plus grande partie du gaz naturel de la Russie est acheminée par pipelines. On ne peut tout simplement pas le remplacer par du Gaz Naturel Liquéfié (GNL). »

La risible réponse de l’Europe fut « commencez à épargner », comme dans « préparez-vous au pire » et « réduisez la température dans vos foyers ». Gromov nota qu’en Russie « 22 à 25 degrés en hiver est la norme. L’Europe fait passer 16 degrés pour “sanitaire” et fait la promotion du port de chandails pendant la nuit. »

L’Europe ne pourra pas obtenir de la Norvège ou de l’Algérie le gaz naturel dont elle a besoin (ces pays privilégiant la consommation domestique). L’Azerbaïdjan pourrait fournir au mieux 10 milliards de mètres/cube par année, mais « il faudra de deux à trois ans avant que cela n’arrive ».

Gromov souligne « qu’il n’y a pas de surplus dans le marché d’aujourd’hui pour le GNL des États-Unis et du Qatar », et le prix pour les consommateurs asiatiques est toujours plus élevé. Cela aura pour résultat que « à la fin de 2022, l’Europe ne pourra plus réduire de manière significative ce qu’elle achète de la Russie. » « Ils peuvent couper 50 milliards de mètres/cube maximum. » Et les prix dans le marché au comptant seront plus élevés – au moins 1 300 $ le mètre/cube.

Je suis à lire des économistes qui disent que les sanctions moralisatrices de l’Europe contre la Russie pourraient mener à l’écroulement de l’OTAN et de l’Union Européenne. Poutine a peut-être déjà tout figuré cela.

Quant aux États-Unis, les sanctions contre la Russie – et les contre-sanctions de la Russie contre nous – contribuent à alimenter une économie déjà dépressive à cause de la fausse pandémie Covid. L’Amérique vit déjà des niveaux d’inflation les plus élevés depuis des décennies – et ça n’ira qu’en empirant. Et tous les signes montrent que le plancher va se rompre au marché boursier.

En permettant aux néoconservateurs et aux néolibéraux bellicistes de contrôler les deux partis majeurs à Washington, D.C., le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes. En tenant compte des mensonges et des faussetés des propagandistes professionnels des mass-médias, le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes. Et en donnant son cœur à l’establishment, et aux pasteurs et aux églises étatistes, le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes.

En de rares occasions, les médias vont même admettre que, afin de promouvoir le programme de guerre, on mentira au peuple américain.

NBC News a sorti un nouveau rapport citant une multitude d’officiels américains, intitulé avec humour En rupture avec le passé, les États-Unis emploient des renseignements pour combattre dans une guerre de l’information contre la Russie – même si les renseignements ne sont pas « solides comme le roc ».

Les fonctionnaires américains disent que l’administration Biden a rapidement avancé de « l’information », à propos des plans de la Russie en Ukraine, qui n’est « pas très fiable » ou « basée davantage sur des analyses que sur des preuves solides », ou qui est simplement tout à fait fausse, afin de mener une guerre de l’information contre Poutine.

Ce fut une assertion attirant l’attention qui a fait manchette autour du monde : Des fonctionnaires américains ont dit qu’ils avaient des indications suggérant que la Russie pourrait se préparer à utiliser des agents chimiques en Ukraine.

Le Président Biden l’a dit plus tard publiquement. Mais trois fonctionnaires américains ont dit à NBC News cette semaine qu’il n’y a aucune preuve que la Russie ait amené quelque arme chimique que ce soit à proximité de l’Ukraine. Ils dirent que les États-Unis a lancé cette information pour dissuader la Russie d’utiliser les munitions bannies.

C’est une des kyrielles d’exemples de violation de l’administration Biden avec de récents précédents en déployant de l’information déclassifiée dans une guerre de renseignement contre la Russie. L’administration l’a fait même quand l’information n’était pas solide comme le roc, ont dit les fonctionnaires, afin de garder le Président russe Vladimir Poutine hors d’équilibre.

Sur la déclaration de l’empire, la semaine dernière, que Poutine est éconduit par ses conseillers parce que ceux-ci ont peur de lui dire la vérité, NBC rapporte que cette évaluation « n’était pas concluante – fondée davantage sur de l’analyse que sur des preuves solides. »

Ce rapport d’NBC confirme des rumeurs que nous entendons depuis des mois. La pute de guerre professionnelle, Max Boot a dit, via le groupe de réflexion du Conseil des Affaires Étrangères [CFR], en février, que l’administration Biden avait inauguré une « nouvelle ère d’opérations d’information » avec des émissions de renseignements destinées à ne pas dire la vérité, mais à influencer les décisions de Poutine. L’ancien chef du MI6, John Sawers, a dit au groupe de réflexion du Conseil Atlantique, en février, que les émissions de « renseignements » de l’Administration Biden étaient davantage fondées sur l’ambiance générale que sur des informations réelles, et qu’elles étaient conçues pour manipuler plutôt que pour informer. (Source)

Et comme c’est arrivé avec le faux narratif Covid, je viens juste de recevoir un mot de mes webmasters que Google est en train de commencer à censurer l’information qui n’est PAS antirusse. Nous pouvons nous attendre à ce que les autres géants des médias sociaux emboitent le pas rapidement. Cela dit tout ce que nous devons savoir sur la véracité du narratif de l’Ukraine..

En parlant de cela, le Dr Paul Craig Roberts a fait du bon travail, cette semaine, en résumant la fausse narration de l’Ukraine :

Il faut comprendre qu’il n’y a pas eu d’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les troupes russes n’opèrent que dans les parties est et sud de l’Ukraine. Les soldats ont pour but de prévenir qu’une grande armée ukrainienne, aujourd’hui encerclée et piégée, ne conquièrent les deux républiques russes du Dunbass, récemment reconnues par la Russie après un délai de huit ans. L’autre tâche assignée aux troupes russes consiste à exterminer la milice néo-nazie Azov qui a commis des atrocités contre les Russes du Dunbass. Le processus s’est fait lentement, parce que le combat a principalement lieu au Dunbass qui est peuplé de Russes, et le Kremlin veut secourir les gens, pas les tuer.

La Russie n’a pas besoin ni l’intention d’envahir la Pologne, la Roumanie, les Baltiques, la Finlande et la Suède. Les bases de missiles situées dans ces pays peuvent être éliminées avec des armes de précision à partir d’une grande distance. La Russie a envoyé des soldats en Ukraine afin de libérer le Dunbass des attaques et de l’occupation Azov, et pour empêcher l’invasion du Dunbass par 100 000 soldats ukrainiens.

J’encourage les lecteurs à lire cette analyse en profondeur sur la situation en Ukraine qui augmente la brève analyse du Dr Roberts ci-dessus et qui a été écrite par un ancien officier des renseignements de l’OTAN, ancien colonel du Personnel Général, ex-membre des renseignements stratégiques de la Suisse, spécialiste des pays de l’est, Jacques Baud. Il a été formé dans les services de renseignements américains et britanniques. Il a servi comme Chef de Politique des Opérations de Paix des Nations Unies en tant qu’expert en règle de loi et en institution de la sécurité.

S’il vous plaît, lisez son rapport.

De plus, j’incite fortement les lecteurs de regarder cette vidéo de deux minutes de l’ancien directeur des opérations à la CIA, John Stockwell, à propos de la façon que le gouvernement manipule les nouvelles des médias.

Voici une transcription de cette vidéo :

John Stockwell, ancien Directeur des Opérations à la CIA

Stockwell : Il y a cependant plusieurs fonctions, certaines plus légitimes que les autres. L’une d’entre elles est de mener des guerres secrètes. Une autre est de semer de la propagande afin d’influencer l’esprit des gens. Et c’est une fonction majeure de la CIA. Et malheureusement, bien sûr, cela empiète sur la récolte d’information. Vous contactez un journaliste, vous lui donnez des histoires vraies, vous obtiendrez de l’information de lui. Vous lui donnerez aussi de fausses histoires. Vous jouerez également sur ses vulnérabilités humaines pour le recruter, dans le sens classique, pour en faire votre agent, et ainsi vous pouvez contrôler ce qu’il fait, donc, vous n’aurez pas, en quelque sorte, à le dresser en mettant quelqu’un au-dessus de lui, et ainsi vous pouvez dire : « Voici, introduisez celle-là mardi prochain. »

Interviewer : Pouvez-vous le faire avec des reporters responsables ?

Stockwell : Oui. Le Comité de l’Église l’a sorti en 1975 et ensuite Woodward et Bernstein ont mis un article dans le Rolling Stone quelque deux ans plus tard. Quatre cent journalistes coopérant avec la CIA, y compris certains des plus gros noms dans le domaine, pour introduire les histoires de manière consciente dans la presse.

Interviewer : Veuillez me donner un exemple concret de la façon que vous utilisez la presse de cette manière.

Stockwell : Eh bien, par exemple, dans ma guerre, la Guerre d’Angola que j’ai contribué à gérer, un tiers de mon personnel étaient de la propagande. J’avais des propagandistes partout dans le monde, principalement à Londres, au Kinshasa et en Zambie. Nous avons pris des histoires, que nous avions écrites, et nous les avons mises dans le Zambia Times, pour ensuite les sortir et les envoyer à un journaliste de notre personnel en Europe, mais son récit de couverture, voyez-vous, fut qu’il les avaient obtenues de son correspondant de Lusaka qui les avaient obtenues du Zambia Times. Mais à partir de ce point-là, les journalistes de Reuters et de l’AFP, l’administration n’était pas au courant. Or, notre contact en Europe l’était, et nous avons coulé des douzaines d’histoires concernant les atrocités cubaines, les violeurs cubains. Mais nous n’avions connaissance d’aucune atrocité commises par les Cubains. Ce n’était que de la pure propagande brute et fausse pour créer l’illusion, vous voyez, que les communistes mangeaient des bébés pour déjeuner.

L’on cite encore Stockwell :

C’est la fonction de la CIA de garder le monde instable et, pour soumettre à la propagande et enseigner au peuple américain à haïr, plusieurs laisseront l’Establishment dépenser tout l’argent qu’il faut.

Les prétendues entreprises de « défense » sont des conglomérats multinationaux qui n’éprouvent pas de grande loyauté pour les États-Unis. En fait, ce ne sont plus des entreprises des États-Unis, mais des entités transnationales loyales seulement envers elles-mêmes.

La fonction majeure du secret à Washington, D.C., c’est d’empêcher le peuple américain de savoir ce que font les leaders du pays.

Les États-Unis sont moulés dans le rôle de Garde prétorien, protégeant les intérêts de l’ordre financier global contre les éléments hargneux du Tiers-monde.

Les ennemis sont nécessaires pour que tournent les rouages de la machine militaire américaine.

Une dernière citation de Daniel Webster résume le tout :

Il n’y a pas un pays sur terre assez puissant pour nous vaincre. Notre destruction, devait-elle venir, proviendra d’un autre milieu. De l’inattention du peuple aux affaires du gouvernement, de sa négligence et de son manque de précaution. Je dois confesser que j’appréhende le danger. J’ai peur que l’on mette trop de confiance implicite en nos serviteurs publics. Et que l’on ne scrute pas convenablement leur conduite ; que, de cette manière, l’on fasse de nous des dupes en désignant des hommes et que nous devenions les instruments de notre propre perte.

Comme je l’ai dit, l’Occident s’autodétruit.