Paganisme évangélique

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

28 juillet 2022

Il est temps de faire face à la réalité : l’église évangélique n’est, en grande partie, plus rien d’autre qu’une branche du paganisme. Il n’y a presque plus rien de chrétien. C’est vrai, les édifices d’église ont la trame, les symboles et les cérémonies qui ressemblent à la chrétienté historique, mais ce n’est qu’une ruse. Le cœur et l’âme de la foi chrétienne sont morts dans la plupart des « églises » évangéliques.

Le plus récent Sondage Gallup confirme ce que je dis :

Alors que le littéralisme biblique est depuis longtemps tenue pour la méthode la plus dominante d’interprétation des Écritures chez les Évangéliques, les résultats d’un nouveau sondage émis par Gallup révèlent que moins de la moitié des chrétiens évangéliques nés de nouveau croient que l’on doit prendre la Bible de façon littérale.

Le sondage … démontre que seulement 40 % des répondants qui s’identifient aux évangéliques ou nés de nouveau voient en la Bible « la Parole réelle de Dieu ».

En 2015, près de 60 % des églises évangéliques adoptaient une interprétation littérale des Écritures, démontrent des données de Pew Research.

Pensez-y : Il y a à peine sept ans, jusqu’à 60 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » croyaient que la Bible est « réellement la Parole de Dieu » (ce qui est encore un nombre atrocement bas). Mais maintenant – juste sept courtes années plus tard – seulement 40 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » croient que la Bible est « réellement la Parole de Dieu ».

Quel sera ce chiffre dans sept ans d’ici ? Il est douloureusement évident où mènent ces chiffres.

Donc, voilà un instantané des « églises » évangéliques d’aujourd’hui : 60 % des membres ne croient pas que la Bible est réellement la Parole de Dieu. Cela signifie que 60 % ne croient pas en la divinité du Christ, prouvée par Ses miracles et Sa résurrection des morts, parce que la Bible (la Parole réelle de Dieu) enseigne de manière dogmatique et omniprésente que Jésus est Dieu dans la chair, égal à Dieu le Père en tout ce qui concerne la déité.

Cela veut dire que 60 % des chrétiens évangéliques « nés de nouveau » sont aussi perdus et destinés à l’enfer que la majorité des personnes païennes de la planète. Ils n’ont pas la grâce de Dieu, Sa miséricorde, Sa rédemption ou Son pardon des péchés.

Ça aide à comprendre que « l’église » peut-être aussi contente d’elle-même, aussi matérialiste, aussi arrogante et aussi égocentrique que, eh bien, Donald Trump. Vous voyez, la raison pour laquelle « l’église » évangélique aime Trump, c’est qu’elle est exactement comme lui : très charnelle, orgueilleuse, sur-exaltée et pleine de l’amour de l’argent.

Est-il surprenant, alors, qu’un nouveau livre blasphématoire sur Trump, écrit par un « chrétien », qui proclame que Trump est l’accomplissement de Christ en tant que Fils de l’Homme, soit le dernier testament de la relation blasphématoire que les évangéliques entretiennent avec Trump depuis 2016 ?

Ce genre d’incessant blasphème des évangéliques en ce qui regarde Trump ne fait qu’enfoncer les derniers clous dans le cercueil de cette fausse « église ».

Et il y a encore un autre signal manifeste que « l’église » évangélique a sombré dans le paganisme : son amour et son obsession pour l’Israël païen.

Mettons tout de suite les choses au clair : L’État sioniste d’Israël en Palestine, créé en 1948 par les Rothschild et les Nations Unies, n’est pas l’Israël de l’Ancien Testament. Ce n’est pas l’accomplissement d’une prophétie biblique ; ce n’est plus la Terre Sainte ; et les Juifs ashkénazes qui y habitent ne sont pas le « Peuple Élu de Dieu ».

Regardez mon message God’s Chosen People, The Children of Promise, The Israel of God and Romans Chapter Eleven [en anglais seulement].

Le judaïsme n’est pas non plus la religion des Israélites sous Moïse. En fait, vous ne trouverez nulle part le mot « judaïsme » dans la Bible (KJV). [N. du T. : Dans la version française de David Martin, le mot « judaïsme » se trouve à deux endroits, soit dans Galates 1:13 et 14 que la KJV a traduit par « the Jews’ religion » (la religion des Juifs), ce qui veut dire que Paul n’a pas été élevé dans la religion de l’Ancien Testament.] Le judaïsme est la religion des pharisiens – qui furent les ennemis mortels de notre Seigneur Jésus-Christ et dont les descendants spirituels demeurent aujourd’hui les ennemis mortels de Christ et de Son Église.

Le judaïsme est aussi païen que l’islam. Correction ! Il est PLUS païen que l’islam.

Comparez la manière que le Talmud juif et le Coran musulman traitent le Seigneur Jésus-Christ :

Dans le Talmud :

*Jésus est né en dehors des liens du mariage (Mishna Yebamoth 4,13) de Sa mère, Myryam, et de son amoureux Pantera (Shabbat 104b). On dit qu’elle fut la descendante des princes et des dirigeants, et d’avoir joué à la prostituée avec un charpentier (Sanhédrin 106a).

*Jésus passa du temps en Égypte d’où Il apprit la magie. C’était un magicien qui trompait et dévoyait Israël. Il se moquait des paroles des sages, était entaché d’hérésie et fut donc excommunié (Sanhédrin 107b).

*Il Se nommait Lui-même Dieu et également le Fils de l’Homme, et Il dit qu’Il monterait au ciel (Jerusalem Taanit 65a). Il avait cinq disciples (Sanhédrin 43a). Il fut accusé d’être trompeur et d’enseigner l’apostasie (Tosephta Sanhédrin X, 11 ; Jérusalem Sanhédrin 25c,d).

*Il fut exécuté à la veille de la Pâque, ce qui était aussi la veille du Sabbat, en étant lapidé (Tosephta Sanhédrin IX, 7).

*Il (sous le nom de Balaam) fut mis à mort par Pinchas le Voleur quand Il eut trente-trois ans (Sanhédrin 106b). Il fut puni dans la Géhenne au moyen d’excréments bouillonnants (Gittin 56b, 57a).

*Sous le nom de Balaam, Il fait partie des exclus du monde à venir (Mishna Sanhédrin X, 2).

Dans le Coran :

*Jésus est né de la Vierge Marie.

*Jésus était fortifié par le Saint-Esprit.

*Jésus reçut des révélations d’Allah.

*Jésus monta corporellement au ciel et reviendra.

*Jésus faisait des œuvres miraculeuses.

*Allah envoya l’Évangile à Jésus.

*Jésus parlait quand Il avait deux ans.

De toute évidence, aucune de ces religions ne reconnaît Jésus pour qui Il était vraiment : le Dieu de la création ; le Créateur fait chair ; le Dieu/homme parfait ; le Sauveur et le Rédempteur du monde ; le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs.

Les deux religions sont des systèmes de croyances païennes. Mais veuillez noter la différence de respect ou de manque de respect envers Jésus dans le Talmud et le Coran. Le Talmud blasphème Christ par les termes les plus vulgaires. Le Coran parle de Jésus avec dignité et respect – même s’il soumet le Christ à Mahomet, ce que même Mahomet sait maintenant qu’il s’agit d’une erreur monumentale.

Donc, si vous analysez avec objectivité les deux fausses religions du judaïsme et de l’islam, vous serez forcés de conclure que le judaïsme est de loin plus païen que l’islam.

Pourtant, les chrétiens évangéliques à l’échelle nationale adorent l’État d’Israël et expriment publiquement le désir meurtrier d’annihiler complètement les pays musulmans du monde, même si l’Évangile de Christ se répand plus rapidement dans le monde musulman, en ce moment, que dans n’importe quelle autre partie de la terre.

L’évangéliste Jimmy Swaggart a récemment dit, dans une de ses émissions télévisées, que la seule manière que Dieu puisse bénir les États-Unis, c’est si les USA bénissent Israël. Ce mensonge a été régurgité des millions de fois à la télévision et à la radio, dans des livres et des magazines, et par des pasteurs et des évangélistes dans tout le pays – et c’est un des mensonges les plus gros à avoir été propagé.

Je suggère au lecteur de regarder mon message I Will Curse Them That Bless Thee [en anglais seulement], qui se situe dans Israel Package-Set One.

Voyons voir : Nous avons « béni » Israël depuis sa création en 1948. Nous avons fourni des milliards de dollars en aide, incluant l’équipement militaire le plus sophistiqué sur terre – même de l’armement nucléaire. Nous lui avons donné de la protection militaire – même au prix de guerres étrangères et de sang américain répandu – dans le but premier de défendre Israël. Nous avons volontairement permis qu’un nombre indicible de citoyens américains et de personnel militaire soit massacré entre les mains de l’état d’Israël. Dans l’intérêt d’Israël, l’armée américaine a tué des millions de gens innocents dans tout le Proche-Orient et dans le nord de l’Afrique.

Nous avons donné à Israël un accès sans entrave à tous les niveaux de gouvernement au sein des États-Unis. Trente-cinq états des États-Unis ont passé comme loi qu’il est criminel de ne pas faire affaires avec Israël. Certains états ont même rendu illégal de critiquer Israël dans les écoles publiques et les collèges. Israël se casserait littéralement la figure sans l’assistance des payeurs de taxe provenant du Trésor américain et les milliards de dollars yankees dépensés par les touristes chrétiens sionistes qui se rendent en Israël chaque année.

En outre, les États-Unis ont camouflé le nettoyage ethnique, le génocide et la persécution apartheid du peuple palestinien depuis 74 ans.

Nous avons collaboré avec Israël dans la tentative de meurtre de tout l’équipage du USS Liberty en 1967,

Nous avons dissimulé la torture brutale et la mort de plus de 80 soldats égyptiens depuis 1967.

Nous avons dissimulé l’assassinat israélien d’un journaliste très respecté au Proche-Orient et qui était citoyen américain.

Nous regardons continuellement ailleurs quand l’armée israélienne tue de sang-froid des enfants palestiniens.

Et les évangéliques ferment nonchalamment les yeux devant le fait qu’Israël est un des plus grands promoteurs de l’avortement sur demande – en Israël, l’état offre le financement pour tuer les avortons jusqu’avant le moment de la naissance – et que Tel-Aviv est l’épicentre mondial et le plus grand exportateur du monde du comportement sodomite.

Nous sommes le Sugar Daddy d’Israël depuis 74 ans. Alors, dites-moi, où sont les bénédictions de Dieu envers l’Amérique pour toute cette bienfaisance ?

Est-ce que nos écoles publiques fournissent aujourd’hui une meilleure éducation à nos enfants qu’en 1948 ?

Nos institutions politiques sont-elles plus constitutionnelles et orientées vers la liberté ?

Nos rues sont-elles plus sécuritaires ?

Nos écoles sont-elles plus sécuritaires ?

Nos chefs politiques sont-ils plus honnêtes et craignent-ils Dieu ?

Est-ce que nos familles sont en meilleure condition qu’en 1948 ?

Est-ce que le dollar américain et notre condition globale financière sont supérieurs à ce qu’ils étaient en 1948 ?

Nos émissions de télévision et nos films sont-ils plus sains et favorables à la famille ?

Notre culture est-elle plus propre et plus honorable ?

Avons-nous moins d’alcoolisme et de dépendance à la drogue maintenant qu’en 1948 ?

Est-ce que les frontières de notre pays sont plus stables maintenant qu’en 1948 ?

Y a-t-il moins de tuerie de masse de gens innocent maintenant qu’en 1948 ?

Nos églises sont-elles plus saintes ?

Nos pasteurs sont-ils plus pieux et plus courageux ?

Les jeunes gens traitent-ils leurs parents et les autres adultes avec plus de respect qu’ils le faisaient en 1948 ?

Le personnel de la police est-il aujourd’hui davantage l’ami des citoyens pour qui il travaille, et plus fidèle à la Constitution pour laquelle il a porté serment de la préserver, qu’en 1948 ?

Nos libertés sont-elles mieux assurées aujourd’hui qu’en 1948 ?

Avons-nous davantage la liberté de posséder et de porter des armes aujourd’hui qu’en 1948 ?

Donc, M., Swaggart (M. Jeffress, M. Hagee, M. Graham, M. Copeland, M. MacArthur, M. Evans, M. Jeremiah et les autres) où sont toutes ces bénédictions divines que l’Amérique est censée recevoir pour avoir béni Israël ? Où sont-elles ?

Dieu ne bénit pas l’Amérique : Il juge l’Amérique. Et parmi les raisons pour lesquelles Dieu juge l’Amérique, il y a son alliance impie pleine d’adoration avec l’Israël païen et antichrist et la dérogation des églises évangéliques de la vérité biblique fondamentale.




Un seul citoyen armé a fait en deux minutes ce que cent flics n’ont pas pu faire en une heure : stopper un tueur de masse

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 juillet 2022

Voici un rapport donnant des détails :

L’on a identifié lundi le tireur du Centre commercial de Greenwood Park comme étant Jonathan Sapirman, 20 ans. Il a tiré et tué un couple marié, Pedro Pineda, 56 ans, et Rosa Mirian Rivera de Pineda, 37 ans, ainsi que Victor Gomez, 30 ans, ce dimanche, avant d’être abattu par un bon Samaritain.

Sapirman, de Greenwood, est entré dans le centre d’achat à 16h54 et a continué en entrant dans les toilettes d’une aire de restauration. Il est demeuré dans les toilettes l’espace d’environ une heure avant d’en sortir et de tirer sur la foule. La police croit qu’il a pris aux toilettes le temps d’assembler le fusil Sig Sauer de style AR-15 qu’il a utilisé pour l’attaque.

Il a tiré vingt-quatre balles en deux minutes avant d’être stoppé par un client armé. Sapirman a tué trois personnes et en a blessé deux autres.

Le couple marié était assis et mangeait dans l’aire de restauration quand Sapirman a ouvert le feu. Gomez se tenait juste en dehors des toilettes de l’aire de restauration. Deux autres passants furent blessés par des éclats de tirs, incluant une jeune fille de 12 ans.

Le bon Samaritain qui a tiré et tué Sapirman a été identifié comme étant Elisjsha Dicken, âgé de 22 ans.

La police a loué le geste de Dicken.

« Beaucoup d’autres gens seraient morts ce soir-là, n’eut été d’un citoyen armé responsable, » as dit le Chef de la police de Greenwood, James Ison.

La police a récupéré deux fusils et plus de cent cartouches sur la scène. Sapirman avait également un pistolet Glock sur lui quand il a été abattu.

Pouvez-vous arriver à croire qu’un reportage de nouvelles du grand courant médiatique (au Royaume-Uni, en plus de ça) a qualifié le citoyen armé, qui a sans aucun doute empêché un autre massacre, de « bon Samaritain » ? Wow ! Apparemment, même certains des idiots utiles et décervelés des médias commencent à arriver à comprendre.

Pensez-y. Un seul citoyen armé de 22 ans a pu faire, en Indiana, en moins de deux minutes, ce que plus d’une centaine d’officiers de police professionnels ont été incapables de faire au Texas en plus d’une heure : à savoir, descendre un individu se prenant pour un tueur de masse et sauver la vie d’un grand nombre de personnes innocentes.

Évidemment, ceux de la Gauche qui jouent aux tyrans sont furieux que ce jeune homme ait empêché à lui tout seul une tragédie monstrueuse. Ils préfèrent de loin que les tueurs de masse réussissent à satisfaire leurs désirs diaboliques en tuant un paquet de gens. Sauver des vies ne les intéresse pas ; la seule chose qui les intéresse, c’est de promouvoir avec succès leur programme tyrannique d’accaparement d’armes.

Ce qui les rend encore plus furieux, c’est que des individus des médias qualifient le jeune héros de « bon Samaritain ». Certains d’entre eux ont même le front de condamner le héros pour avoir porté une arme à feu à la lumière d’une politique de la compagnie prohibant les armes dans le centre d’achat. Ouais, le centre d’achat était une autre zone sans armes – quoique la prohibition n’était qu’une politique de la compagnie et non pas une loi gouvernementale. Bien sûr, cela ne semble pas déranger les Nazis du fusil que le tireur fou ait aussi violé la politique du centre d’achat.

Ceux d’entre nous qui avons pour pratique quotidienne de porter une arme savons qu’il ne faut jamais se soumettre à une politique d’entreprise interdisant de porter, à l’intérieur de ces places d’affaire, une arme cachée. Si l’on remarque l’arme et qu’on nous demande de quitter, nous allons partir. Mais tout le monde de ce centre d’achat de l’Indiana – y compris les exécutifs et les employés du centre d’achat – sont sûrement heureux que le héros de 22 ans ait ignoré la politique du centre d’achat et ait pris son arme avec lui.

(Non, je ne porte pas d’arme dans les endroits où cela est défendu par la loi, mais je ne vais dans ces lieux que lorsque je ne peux l’éviter – c’est pourquoi j’ai choisi de vivre dans un État favorable aux armes et où de tels endroits sont limités.)

À date, quiconque n’a pas saisi le message à savoir pourquoi l’Amérique a un Second Amendement protégeant le droit des gens de conserver et de porter des armes est probablement incapable de raisonnement objectif et au-delà de tout espoir de jamais arriver à comprendre. Or, maintenant, la plupart des gens y arrivent et ont déjà acheté des armes à feu défensives et ont commencé à pratiquer, ou ils sont sur le point de le faire.

Et pourquoi les gens choisissent-ils de demeurer dans les villes et dans des États qui nient leur droit naturel à l’autodéfense, cela me dépasse.

Mesdames et messieurs, il n’y a pas d’endroit public sécuritaire. Et plus grande est la densité de gens situés dans un espace confiné, plus grande est l’attraction pour les individus démoniaques qui se prennent pour des tueurs de masse afin de frapper ce lieu – particulièrement si c’est une zone sans arme.

De toute évidence, les salles de concert et de théâtre, les centres d’achats, les grands magasins de détail, les aires piétonnières congestionnées, les écoles, les hôpitaux, les grandes surfaces d’attente, les restaurants bondés et les grosses églises s’avèrent des cibles de choix. Et il n’y a pas à débattre que les gros centres de population (les grandes villes) sont BEAUCOUP plus vulnérables à ce genre de violence de masse que les petites communautés rurales.

Je suggère FORTEMENT aux lecteurs d’avoir au moins les deux armes à feu suivantes en leur possession : 1) un pistolet et 2) un fusil AR-15. (AR signifie Armalite Rifle, c’est-à-dire, un fusil automatique rapide et ultraléger, et NON PAS Assault Rifle, c’est-à-dire, un fusil d’assaut.)

Il n’y a pas une dame en bonne santé, de quelque taille que ce soit, qui ne puisse pas apprendre à tirer confortablement avec un fusil AR-15. Ces fusils sont courts, légers et ne produisent presque pas de recul. Pour la vaste majorité des gens – y compris les femmes et les personnes âgées – il n’y a pas de meilleures défensives. C’est pourquoi l’AR-15 est l’arme la plus populaire en Amérique.

Mais achetez un fusil AR-15 de qualité. Je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis qui peuvent vous aider en vous guidant dans votre processus d’achat. Apprenez ensuite à l’utiliser. Si vous êtes comme la plupart des gens, vous allez apprécier. En réalité, c’est tout à fait agréable.

Puis, vous avez besoin d’une bonne arme de poing. L’arme que je porte tous les jours est un pistolet Glock 19. Les mordus des armes à feu vont argumenter jusqu’à la fin des temps à savoir quelle est la meilleure arme à porter. Vous n’avez pas besoin de vous laisser prendre à tout ça.

Voici le facteur important : Procurez-vous une arme que vous pourrez porter confortablement avec vous tous les jours. Une arme trop grosse ou trop pesante pour que vous la portiez tous les jours n’est PAS pour vous. Achetez une arme que vous pouvez porter avec confort sur vous tous les jours, et une arme avec laquelle vous pouvez bien tirer.

Si l’arme est inconfortable à utiliser au point où vous redoutiez d’actionner la gâchette, les chances sont que vous ne frapperez rien même si vous la déclenchez. Vous avez besoin d’une arme que vous pouvez manipuler avec confort. Votre âge, la taille de votre corps, votre condition physique et la dimension, la force et la dextérité de vos mains et de vos doigts sont plus importants que la taille de votre arme.

La plupart des dames à la frêle stature portent probablement aujourd’hui de petits semi-automatiques de calibre .380 ou de petits révolvers .38 au canon retroussé. Ces deux calibres sont assurément adéquats pour l’autodéfense. D’autres femmes sont capables de porter les plus petits des 9mms. Mais rappelez-vous ceci : la clé de l’autodéfense est d’avoir une arme SUR SOI. Une arme dans la voiture est de peu d’utilité lorsque vous êtes dans le centre d’achat.

Et comprenez bien que ce qui compte le plus dans un combat d’armes, c’est où vous projetez la balle, pas le genre de balle que vous tirez. Voilà pourquoi vous avez besoin d’une arme que vous pouvez bien manipuler.

Encore une fois, je suis sûr que vous avez de la famille ou des amis familiarisés avec les armes à feu et qui peuvent vous guider au travers de votre démarche d’achat.

Elisjsha Dicken, à 22 ans, a accepté sa responsabilité en tant que citoyen dans une société libre de s’armer légalement, de pratiquer l’utilisation de son arme à feu, et de se préparer psychologiquement et spirituellement à employer son arme pour sa propre défense et celle de ses concitoyens de l’Indiana. Et, à lui tout seul, il sauva la vie d’une douzaine ou d’une vingtaine d’entre eux.

Si Dicken avait attendu qu’arrive la police pour descendre le forcené, qui sait combien de temps il aurait fallu et combien de gens seraient morts – lui compris. Au Texas, il a fallu aux flics plus d’une heure avant de faire quoi que ce soit et vingt-et-une personnes sont mortes – dont dix-neuf petits garçons et petites filles.

Mes amis, la liberté – sans mentionner la sécurité – exige que nous soyons tous des Elisjsha Dicken.

Un seul citoyen armé a fait plus en deux minutes que ce qu’ont fait des flics en plus d’une heure : stopper une tuerie de masse.

Bonjour à tous,
Permettez-moi de faire une mise en garde. À Moisson des Élus, nous ne sommes pas partisans du port d’arme comme l’est M. Chuck Baldwin. Sanstoutefois être contre, cependant, nous croyons qu’il est inutile qu’un véritable chrétien ait besoin de porter sur lui des armes pour se défendre. Notre Défenseur est Dieu Lui-même à qui appartient la Protection et la Vengeance. Nous ne pouvons imaginer l’apôtre Paul ou l’apôtre Pierre, ou encore moins notre Seigneur Jésus-Christ ayant parcouru la Judée avec des armes sur eux et prêts à se  défendre à la moindre attaque. Devant les menaces, ils ne répliquaient pas, ils ne résistaient pas et laissaient Dieu le Père agir pour eux. Je crois personnellement que c’est ce que nous  devons faire, en tant que chrétiens et enfants de Dieu. Montrons notre confiance en Dieu en Lui demandant qu’Il nous entoure de Ses anges et notre protection sera infiniment plus  efficace que toute autre forme d’assurance. Je vous invite à lire ou à relire le Psaume 91 à cet effet.

Psaumes 91 :
1  Celui qui se tient dans la demeure du Souverain, se loge à l’ombre du
Tout-Puissant.
2  Je dirai à l’Eternel : Tu es ma retraite, et ma forteresse, tu es mon Dieu en
qui je m’assure.
3  Certes il te délivrera du filet du chasseur ; et de la mortalité malheureuse.
4  Il te couvrira de ses plumes, et tu auras retraite sous ses ailes ; sa vérité te
servira de rondache et de bouclier.
5  Tu n’auras point peur de ce qui épouvante de nuit, ni de la flèche qui vole
de jour.
6  Ni de la mortalité qui marche dans les ténèbres ; ni de la destruction qui
fait le dégât en plein midi.
7  Il en tombera mille à ton côté, et dix mille à ta droite ; mais la destruction
n’approchera point de toi.
8  Seulement tu contempleras de tes yeux, et tu verras la récompense des
méchants.
9  Car tu es ma retraite, ô Eternel ! tu as établi le Souverain pour ton
domicile.
10  Aucun mal ne te rencontrera, et aucune plaie n’approchera de ta tente.
11  Car il donnera charge de toi à ses Anges, afin qu’ils te gardent en toutes
tes voies.
12  Ils te porteront dans leurs mains, de peur que ton pied ne heurte contre la
pierre.
13  Tu marcheras sur le lion et sur l’aspic, et tu fouleras le lionceau et le
dragon.
14  Puisqu’il m’aime avec affection, dit le Seigneur, je le délivrerai ; je le
mettrai en une haute retraite, parce qu’il connaît mon Nom.
15  Il m’invoquera, et je l’exaucerai ; je serai avec lui dans la détresse, je
l’en retirerai, et le glorifierai.
16  Je le rassasierai de jours, et je lui ferai voir ma délivrance.
Que le Seigneur soit avec vous tous, dans toutes vos entreprises,

Roch Richer




« VOILÀ la Liberté ! »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

7 juillet 2022

C’est vraiment peu dire que d’affirmer que l’Amérique ÉTAIT « la terre de la liberté et le foyer du brave ». Dans son ensemble, non seulement l’Amérique ne ressemble-t-elle pas à la terre libre qu’elle était jadis, mais elle a même perdu la capacité cognitive de comprendre ce à quoi une terre libre peut ressembler.

Le titre de cet article est le même que celui de mon message du Jour de l’Indépendance de dimanche dernier. Cet article y tire certains éléments.

Dans mon message, je passe en revue les principes spirituels bibliques et les principes constitutionnels américains qui contribuent à définir la Liberté.

Par exemple :

  1. La liberté de dire la vérité

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de rendre culte sans entrave

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de s’assembler paisiblement, de protester et de redresser le gouvernement

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de conserver et de porter des armes pour son autodéfense

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté que l’on nous laisse tranquille dans nos associations et nos opinions

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté d’être en sécurité dans nos foyers et dans nos effectifs

VOILÀ la Liberté

  1. La liberté de notre intimité personnelle

VOILÀ la Liberté

Ce ne sont pas simplement des droits civils octroyés par décret gouvernemental : ce sont des Droits Naturels dont nous a dotés notre Créateur.

Notre Guerre Révolutionnaire fut une Guerre Juste combattue pour la défense des principes sacrés qui sont énumérés dans notre Déclaration d’Indépendance :

  • Le principe d’indépendance sous Dieu
  • Le principe que tous les hommes sont créés égaux sous les lois et les privilèges de Dieu
  • Le principe que la vie, la liberté et l’auto-gouvernance sont des dons de Dieu
  • Le principe qu’un gouvernement et une autorité juste découlent du consentement du peuple
  • Le principe de l’autodéfense vis-à-vis les menaces à l’encontre de notre vie et de notre liberté
  • Le principe que la résistance contre les conspirations tyranniques est un droit et un devoir moral
  • Le principe que la mort et la tuerie ne sont honorables que dans l’application et l’exécution d’une loi juste, de l’autodéfense et des droits et des devoirs naturels des hommes sous l’autorité morale de leur Créateur
  • Le principe voulant que, lorsque l’on nie la source de nos libertés (Dieu), Son autorité propre et Sa souveraineté (par le rejet de la Loi naturelle et révélée), le fondement de nos libertés est détruit

La Déclaration débute ainsi :

Lorsque, dans le cours des événements humains, il devient nécessaire à un peuple de dissoudre le cercle politique qui les relie les uns aux autres, et d’assumer parmi les pouvoirs de la terre, la position égale et séparée vers laquelle l’habilitent les Lois de la Nature et le Dieu de la Nature, un décent respect des opinions de l’humanité requiert qu’il déclare les causes qui le poussent à la séparation.

Nous tenons ces vérités comme évidentes par elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que, parmi eux, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. — Que, pour sécuriser ces droits, des Gouvernements sont institués chez les hommes, tenant leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés, — Que, lorsque qu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.

La prudence dictera, en effet, que les Gouvernements établis depuis longtemps ne doivent pas être changés pour des raisons légères et éphémères ; et, de la même manière, l’expérience a démontré que l’humanité est plus disposée à souffrir, quand les maux sont supportables, que de se donner droit en abolissant les formes auxquelles elle est habituée. Mais lorsqu’un long train d’abus et d’usurpations, poursuivant invariablement un même Objectif, manifeste un plan pour la réduire sous un Despotisme absolu, c’est son droit, c’est son devoir, de se libérer d’un pareil Gouvernement et de pourvoir à de nouveaux Gardiens pour sa sécurité future. — Telle a été la patiente souffrance de ces Colonies ; et telle est maintenant la nécessité qui les contraint d’altérer leurs anciens Systèmes de Gouvernement.

L’histoire du présent Roi d’Angleterre en est une qui répète les préjudices et les usurpations ayant tous pour objectif direct l’établissement d’une Tyrannie absolue sur ces États. Afin de le prouver, soumettons les Faits à un monde sincère.

La Déclaration se termine ainsi :

Par conséquent, nous, les Représentants des États unis d’Amérique, en Congrès Général, Assemblés, faisant appel au Juge Suprême du monde concernant la rectitude de nos intentions, publions solennellement, au Nom et de par l’Autorité du bon Peuple de ces Colonies, et déclarons, Que ces Colonies unies sont, et doivent être par Droit, des États Libres et Indépendants, qu’elles sont absoutes de l’Allégeance à la Couronne Britannique, et que tout lien politique entres elles et l’État de la Grande-Bretagne est, et doit être, totalement dissous ; et qu’en tant qu’États libres et indépendants, elles ont plein Pouvoir de faire la Guerre, conclure la Paix, contracter des Alliances, établir le Commerce, et de faire tout Acte et toute Chose que les États indépendants ont le droit de faire. — Et en support à cette Déclaration, avec la ferme confiance en la Divine Providence, nous engageons mutuellement nos Vies, nos Fortunes et notre Honneur sacré les uns envers les autres.

En vérité, les signataires de la Déclaration d’Indépendance de l’Amérique ont enduré le sacrifice du tribut et du sang. Le père de Rush Limbaugh, Rush H. Limbaugh Jr, a écrit de manière éloquente :

Des 56 qui signèrent la Déclaration d’Indépendance, neuf moururent de leurs blessures ou de leurs épreuves durant la guerre. Cinq furent capturés et emprisonnés, dans chaque cas avec un traitement brutal. Plusieurs perdirent leur femme, des enfants ou toute la famille. L’un perdit ses treize enfants. Deux femmes furent brutalement traitées. Tous furent, à un moment donné ou l’autre, victimes de chasses à l’homme et évincés de leurs foyers. Douze des signataires virent brûler complètement leur maison. Dix-sept perdirent tout ce qu’ils possédaient. Pourtant, personne ne fit défection ou ne revint sur sa parole engagée. Leur honneur, ainsi que la nation qu’ils créèrent avec tant de sacrifice, demeurent intacts.

John Adams et Thomas Jefferson moururent tous les deux le 4 juillet 1826 – cinquante ans après le jour de la Déclaration – ce que l’on doit considérer comme un point d’exclamation de Dieu de Son approbation envers leurs efforts altruistes, car ils furent les deux hommes principalement responsables d’avoir suscité la Déclaration. Daniel Webster fit les éloges des deux hommes le 2 août. Dans ses remarques en ce jour-là, les mots suivants sont à noter : « Elle [la Déclaration d’Indépendance] est le sentiment que je ressens et, par la bénédiction de Dieu, ce sera mon sentiment à ma mort. L’indépendance aujourd’hui, et l’indépendance pour toujours. »

Avec tous les dénigrements et la diabolisation des Pères Fondateurs de la part de la Gauche comme de la Droite, ces jours-ci, je crois pertinent que nous nous rappelions les mots de notre SEIGNEUR, qui a dit : « Vous les connaîtrez donc à leurs fruits » (Matthieu 7:20).

Nous pouvons savoir le genre de chênes géants qu’étaient nos Pères Fondateurs par les fruits de Liberté qu’ils ont produit.

S’il vous plaît, souvenez-vous qu’il fut un temps où les peuples opprimés de par le monde parlaient avec envie de l’Amérique en disant : « VOILÀ la Liberté ! »

Mais CETTE Amérique-là est partie depuis longtemps.

Aujourd’hui, le monde est choqué d’angoisse de voir comment « l’Amérique : terre de la liberté » est devenue aussi rapidement « l’Amérique : la terre de la guerre et de l’oppression ». Mais le nom d’un pays importe peu. Ce qui compte, ce sont les libertés protégées par ce pays. Comme l’a écrit Jefferson dans la Déclaration :

Lorsqu’une Forme quelconque de Gouvernement devient la destructrice de ces fins, il est du Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement, en faisant reposer sa fondation sur de tels principes et en organisant ses pouvoirs dans une forme telle qu’elle leur semblera avoir le plus de chances de réaliser leur Sécurité et leur Bonheur.

Que Dieu, dans Sa bienveillante miséricorde, accorde à une nouvelle génération de patriotes américains l’honneur de rétablir les principes ci-mentionnés de constitutionnalisme et de liberté dans cette patrie – quelque soit son nom – vers laquelle les gens opprimés de par le monde jetteront un regard avec une nouvelle lueur d’espoir dans les yeux et diront une fois encore : « VOILÀ la Liberté ! »




Les deux plus grandes menaces contre nos Libertés

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

30 juin 2022

Non ! La Russie n’est pas une des deux plus grandes menaces contre nos libertés. En fait, la menace russe n’est pas dans les dix premiers – ni même les vingt premiers. Si cela se trouve, la manière que le Parti Guerrier de Washington, D.C., et d’autres capitales occidentales exacerbent et étendent le conflit en Ukraine, ce sont eux que nous devons remercier pour le risque d’un conflit global.

Les deux plus graves menaces contre nos libertés sont aujourd’hui 1) la Tyrannie Covid, et 2) les lois Red Flag de confiscation d’armes à feu.

Les attaques les plus sérieuses contre nos libertés proviennent TOUJOURS de l’intérieur de notre gouvernement.

J’ai parlé et j’ai écrit en long et en large de ce qui a trait à la tyrannie Covid. Cette fois-ci, je me consacre aux lois Red Flag en plein essor sur la confiscation de nos armes à feu.

Alors que la Cour Suprême américaine a rendu la semaine dernière deux décisions louables – et constitutionnellement puissantes – annulant Roe vs Wade et affirmant le droit absolu du peuple à conserver et porter des armes en annulant la loi tyrannique de contrôle des armes à feu de l’État de New York interdisant aux New Yorkais de porter des armes, le Sénat américain, grâce à l’aide de 15 républicains néoconservateurs, adopta le projet de loi le plus draconien des dernières décennies sur le contrôle des armes : un projet de loi qui, en effet, crée une loi Red Flag nationale sur la confiscation des armes.

Non seulement le projet de loi empiète-t-il sur la liberté des jeunes de 18 à 20 ans d’acheter et de posséder des armes sans une restriction gouvernementale excessive, mais il fournit des millions de dollars des payeurs de taxes pour ACHETER les états afin qu’ils promulguent les lois Red Flag.

Ne vous y trompez pas : c’est un contrôle d’armes déguisé du genre le plus vil.

Cette loi permet au personnel policier de faire irruption dans votre maison et de saisir vos armes à feu sans que vous soyez accusé de crime, sans que vous menaciez de commettre un crime, sans que vous ayez commis un crime, sans enquête à savoir pourquoi l’on vous confisque vos armes, sans représentation légale et sans procès.

Tout ce dont on a besoin pour précipiter la confiscation des armes de quelqu’un, c’est une ACCUSATION. Une ACCUSATION non vérifiée, non prouvée, non confirmée, par presque quiconque ne vous aime pas – ou n’aime pas vos fusils. Et une fois que vos armes sont saisies par l’État, vous aurez plus de chances de gagner à la loterie que de revoir vos armes. Et si elles vous reviennent, ne vous attendez pas à ce qu’elles soient dans la même condition ou dans le même état de marche qu’elles étaient avant que des agents du gouvernement ne vous les volent.

Comprenez, s’il vous plaît, que ce dont il est question dans cette loi, c’est BIEN PLUS que les armes. Cette loi empiète sur la Charte des Droits. Il est question d’un procès équitable. Cela concerne le droit au conseil légal. Cela concerne l’homme qui est innocent tant qu’on n’a pas prouvé sa culpabilité. Ce projet de loi attaque le cœur même de la Liberté et de la Jurisprudence américaines et c’est le début d’une société orwellienne à pré-crime où un homme est présumé coupable jusqu’à ce que l’on prouve qu’il est innocent.

Et n’oubliez jamais que, puisque cette loi autorise la police à faire irruption chez les gens innocents et à confisquer leurs armes, le critère déterminant un pareil raid est totalement sujet à la discrétion des autorités locales qui donnent leur aval au raid.

Cela veut dire que le critère peut être n’importe quoi. Ce pourrait être un genre de « pointage » de média sociaux pour avoir exprimé des idées politiquement incorrectes ; ce pourrait être votre association avec un groupement ou une organisation impopulaire ; ce pourrait être les penchants personnels anti-arme de juges ou d’officiers de police locaux ; ce pourrait être des vendettas personnelles ou politiques.

Prenez le cas de Gary Willis, un homme dans la soixantaine du Comté Anne Arundel, au Maryland, qui fut accusé d’être instable par un membre de sa famille. Cela incita à envoyer la police confisquer ses armes à feu en vertu d’une loi Red Flag – malgré le fait que l’homme n’avait commis aucun crime, qu’il n’avait menacé personne et n’avait jamais été accusé d’un crime et, au dire de tous, ne représentait un danger pour personne – et quand cet homme résista au fait que l’on saisisse ses armes (sans intention de blesser un officier) la police tira sur lui à cinq reprises et le tua.

Si Gary Willis avait tort de résister au raid tyrannique contre son foyer par des autorités visant à saisir ses armes à feu, alors aussi les hommes de Lexington Green.

Et les flics assassins ne furent évidemment pas accusés de crime et ne furent même pas réprimandés.

Voici les quinze sénateurs républicains communistes ayant donné licence aux flics inspirés par la Gestapo de surgir dans vos maisons et de saisir vos armes sans que vous n’ayez rien fait de mal :

  1. Mitch McConnell du Kentucky, leader de la minorité au Sénat
  2. Roy Blunt du Missouri (qui se retirera à la fin de son terme)
  3. Richard Burr de la Caroline du Nord (qui se retirera à la fin de son terme)
  4. Shelley Moore Capito de la Virginie occidentale
  5. Bill Cassidy de la Louisiane
  6. Susan Collins du Maine
  7. John Cornyn du Texas
  8. Joni Ernst de l’Iowa
  9. Lindsey Graham de la Caroline du Sud
  10. Lisa Murkowsky de l’Alaska (en lice pour sa réelction en novembre)
  11. Rob Portman de l’Ohio (qui se retirera à la fin de son terme)
  12. Mitt Romney de l’Utah
  13. Thom Tillis de la Caroline du Nord
  14. Pat Toomey de la Pennsylvanie (qui se retirera à la fin de son terme)
  15. Todd Young de l’Indiana (en lice pour sa réélection en novembre)

Voici les 19 états qui ont djà adopté les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu, en partie grâce à l’endossement enthousiaste du Président Donald Trump pour ces lois tyranniques :

Californie, Colorado, Connecticut, Delaware, Floride, Hawaï, Illinois, Indiana, Maryland, Massachusetts, Nevada, New Jersey, Nouveau-Mexique, New York, Oregon, Rhode Island, Vermont, Virginie et Washington.

Or, l’on va acheter le reste des états grâce aux millions de dollars des Washington, D.C., pour qu’ils promulguent leurs propres lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Tous les citoyens qui aiment la liberté et qui demeurent dans les 31 états qui n’ont pas encore adopté les lois Red Flag doivent faire savoir à leurs législateurs, leurs sénateurs et leurs gouverneurs du GOP, en termes sans équivoque, qu’ils ne TOLÉRERONT AUCUNE tentative de faire passer dans leur État une loi Red Flag sur la confiscation des armes à feu.

Si nous avons à défendre notre liberté UNE MAISON À LA FOIS, nos politiciens – en particulier le personnel local de mise en vigueur de la loi – doivent savoir que c’est exactement ce que nous allons faire.

Et si votre sénateur du GOP – ou, dans le cas de la Caroline du Nord, les deux sénateurs – se trouve dans la liste ci-haut de ceux qui ont voté pour ce projet de loi tyrannique, vous devez avoir comme partie de votre mission de vous assurer que ce sénateur ne soit jamais réélu à un poste politique.

Voici une vidéo YouTube de sept minutes concernant mon évaluation et mon avertissement contre ce projet de loi monstrueusement tyrannique sur la confiscation des armes à feu. S’il vous plaît, partagez cette vidéo avec le plus de gens possible. Pendant que les conservateurs sont occupés à se réjouir de la décision Roe, ils sont pour la plupart inconscients du danger de ce nouveau projet de loi de confiscation des armes adopté par le Sénat et bientôt signé comme loi par Joe Biden.

À quoi bon une loi qui « protège » votre droit de posséder et de porter des armes si le gouvernement peut les confisquer – même si vous n’avez rien fait de mal – n’importe quand il est sournoisement enclin à le faire ?

Je vous le dis : avec la tyrannie Covid (qui est encore très active), cette loi Red Flag nationale de confiscation des armes à feu est une des menaces les plus graves contre nos libertés – de tout notre vivant !

 




Israël planifie-t-il de se relocaliser en Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

23 juin 2022

Dans ma rubrique du 7 avril, j’ai cité le Président Volodymyr Zelensky qui avait dit que, quand la guerre serait terminée en Ukraine, celle-ci serait un « gros Israël ». Évidemment, Zelensky est lui-même juif ashkénaze et l’Ukraine est la patrie originale de ceux qui sont devenus des Juifs ashkénazes.

Se pourrait-il qu’un des motifs cachés derrière la guerre en Ukraine soit la relocalisation éventuelle d’Israël de la Palestine vers l’Ukraine ?

« Absurde ! » direz-vous. Peut-être bien. Peut-être pas.

Jusqu’ici, j’ai déjà perdu 80 % des évangéliques américains qui se sont fait laver le cerveau par les doctrines pseudo-prophétiques de Cyrus Scofield et qui croient que l’état d’Israël apparu en 1948 est un accomplissement de la prophétie biblique et est un – non, LE – signe prophétique central de la Seconde Venue de Christ.

Et la vaste majorité des conservateurs politiques se sont fait laver le cerveau à croire qu’Israël est le « plus grand allié » de l’Amérique au Proche-Orient et qu’on doit le soutenir au moyen de nos dollars américains et le protéger par le sang des Américains – à tout prix.

Les évangéliques comme les conservateurs politiques sont totalement aveugles quant au rôle majeur que l’Israël sioniste joue dans l’ensemble des machinations et des agendas globalistes. Cet aveuglement est la source d’une grave dissonance cognitive à l’intérieur de leur esprit.

Ils feront n’importe quoi pour soutenir et défendre l’État sioniste d’Israël, ne réalisant pas qu’Israël est un des pires ennemis que l’Amérique – et la Liberté – ait jamais eu et qu’il a fait plus pour détruire notre culture et notre héritage chrétien, notre stabilité économique et nos libertés constitutionnelles, que n’importe quel autre pays sur terre.

Par conséquent, ce que je m’apprête à vous dire à partir d’ici sera largement ignoré et dénigré par les évangéliques chrétiens et les conservateurs politiques.

Qu’il en soit ainsi.

Ce que j’écris aujourd’hui est bien plus qu’une simple fantaisie. C’est une idée dont on discute sérieusement au sein des groupes de réflexion géopolitiques.

Je vais citer ceci d’une analyse gouvernementale :

Appelez cela une théorie de la conspiration si vous voulez, mais j’ai lu à plus d’un endroit que l’agenda caché des États-Unis en Ukraine est de créer une nouvelle patrie pour le peuple d’Israël qui veut y migrer dans le but de sortir de ce qui est de plus en plus un état en faillite se dirigeant vers son écroulement.

Il est facile de ridiculiser cette théorie, mais je crois qu’on y trouve quelque chose à considérer.

(Prenez note de l’écroulement actuel du quatrième gouvernement d’Israël en seulement trois ans.)

Israël ressemble de plus en plus à un état qui a échoué. Il consiste en une poignée de gens juifs – moins de neuf millions – s’accrochant à une parcelle sèche et inhospitalière de roches et de sable sur la côte est de la Méditerranée, où ils sont isolés au milieu d’un vaste océan humain de populations et de culture musulmanes [et chrétiennes].

Je ne dis pas cela en tant que personne antisémite ou opposée à Israël. Je ne suis contre personne et ne m’oppose à aucun peuple, aucun groupe ethnique ou aucun pays. En fait, j’éprouve beaucoup de sympathie pour quiconque est pris dans les absurdités et la violence de la vie dans le monde d’aujourd’hui.

Mais soyons réaliste. Regardez la condition présente d’Israël. Mais avant, remontons un peu dans le temps. Il est communément accepté de croire que les Britanniques ont originalement acquiescé à la désignation de la Palestine comme patrie future du peuple juif en tentant d’établir une tête de pont pro-occidentale dans une région riche en minerai. Avançons rapidement de près d’un siècle à la Guerre contre le Terrorisme des États-Unis, qui a été un échec lamentable. Cette campagne était de toute évidence destinée à diriger une ingérence pour Israël dans son émergence en tant que pouvoir directeur régional au sein du Proche-Orient, ou même peut-être un pouvoir mondial.

Voyez le nombre de pays que la Guerre contre le Terrorisme était supposé renverser. Selon le général américain Wesley Clark, héros américain du bombardement de la Serbie à la fin des années 1990, l’inventaire des pays à assujettir par un changement de régime pro-américain devait comprendre, avec l’Afghanistan déjà occupée, l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran.

Or, la Guerre contre le Terrorisme a été en grande partie abandonnée après un gaspillage de plus de vingt ans au coût d’innombrables trillions de dollars. Bien que les États-Unis aient écrasé et humilié l’Irak, ce pays est revenu au point de légiférer un ban complet, jusqu’à la peine de mort, de toutes normalisations des relations avec Israël. Le Liban est un désastre économique, mais il est en grande partie contrôlé par l’ennemi par excellence d’Israël, le Hezbollah. L’Iran demeure indépendant et défiant, malgré les menaces et les sanctions américaines.

Les États-Unis ont tenté d’utiliser des cadres terroristes analogues à Al-Qaeda pour détruire et renverser la Syrie, mais la Russie a envoyé des forces pour l’en empêcher, et la Syrie a pu rejoindre la Ligue Arabe. Et l’échec d’Israël à faire la paix avec les Palestiniens en a fait un paria international. Plus encore, après des années d’occupation, les colonies israéliennes en Cisjordanie sont des îlots en zone de guerre, alors que ses villes sont des camps armés. Même avec les incitatifs envers les Juifs vivant outremer, l’émigration vers Israël est quasi inexistante. Presque personne, sauf les fugitifs et/ou les blanchisseurs d’argent, n’est assez fou pour vouloir y déménager.

En outre, l’économie d’Israël est faible et continue de dépendre pour sa subsistance de l’aide et des dons des États-Unis par les Juifs américains. Parmi ceux qui prédisent une crise existentielle et un écroulement à court terme, il n’y a pas que les opposants extérieurs à Israël, mais également beaucoup d’Israéliens renseignés et influents. Et avec la Turquie et l’Arabie Saoudite qui s’alignent de plus en plus avec la Russie, l’influence des États-Unis en tant que protecteur d’Israël est sur son déclin.

Donc, je ne serais pas surpris le moins du monde si une partie du plan des États-Unis pour ravir l’Ukraine à la Russie, plan qui a cours depuis plus de trente ans à partir de la rupture de l’Union soviétique en 1991, pourrait avoir toujours été de la capturer pour en faire un refuge juif en vue de l’échec du projet-Israël. Et nous savons que la tentative gouvernementale américaine pour éloigner l’Ukraine de l’influence russe a été le fer de lance de la faction des Néoconservateurs qui a largement instigué la Guerre pro-Israël contre le Terrorisme. Les Néoconservateurs sont dirigés par des personnages comme Victoria Nuland du Département d’État et son mari Robert Kagan, cofondateur du Projet pour un Nouveau Siècle Américain et de son poste à Brookings, un des principaux faucons guerriers de Washington.

Ainsi, je crois que le plan des Néoconservateurs était probablement que les États-Unis emploient la junte ukrainienne qu’ils avaient installée en 2014, dirigée maintenant par Zelensky, et anciennement par Poroshenko, tous les deux juifs, mais aidés par des néo-nazis comme le Bataillon Azov, pour chasser les Russes ethniques du pays. Cela devait se faire, et ce fut commencé, par une campagne d’intimidation et de bombardement terroriste, et un génocide si nécessaire.

Donc, est-ce que cela a été exécuté dans le but de faire de la place aux immigrants israéliens ? Nous ne le savons pas de manière sûre, mais Zelensky nous a bien dit que, lorsque ce serait accompli, l’Ukraine finirait par être gouverné « comme Israël ».

Les quartiers généraux hégémoniques sionistes déménageraient-ils de Tel-Aviv à Kiev que cela donnerait aux globalistes européens le deuxième plus gros pays d’Europe à partir duquel opérer. Imaginez partir d’une petite bande de terre, environ de la dimension du New Jersey, au deuxième plus gros pays de l’Europe. En plus, la vaste majorité des gouvernements du monde sont de plus en plus outrés par le traitement génocidaire continu du peuple palestinien par l’armée israélienne.

Ajoutez-y le fait que l’Ukraine est le foyer historique de l’Empire khazar qui fut l’ancêtre des Juifs ashkénazes maintenant localisés en Palestine et vous pouvez voir l’attraction que cela exerce sur l’élite sioniste.

Évidemment, si jamais cette relocalisation survient, cela fera exploser en mille morceaux les fausses doctrines prophétiques des futuristes Scofield. Mais j’ai confiance que les dispensationnalistes s’arrangeront pour trouver une autre contorsion biblique à faire au Livre de l’Apocalypse. C’est toujours ce qu’ils font.

N’oubliez jamais que, depuis la Deuxième Guerre Mondiale, le gouvernement des États-Unis n’a pas fait une seule guerre ou engagé un seul conflit armé qui ne fasse pas avancer la cause du sionisme d’une façon ou d’une autre. Je suis absolument convaincu que cela s’applique aussi à la guerre des États-Unis en Ukraine.

Rappelez-vous également que le nettoyage ethnique des Palestiniens de langue arabe était un prérequis des Sionistes pour prendre le pouvoir en Palestine. Et tout le conflit actuel en Ukraine est dû au nettoyage ethnique de Zelensky contre les gens de langue russe dans le Donbass.

Coïncidence ? Nous verrons bien.




Dommages collatéraux des confinements Covid ; épreuve de force au Sénat sur le contrôle des armes à feu

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

16 juin 2022

Le nombre des morts et des estropiés causés par les vaccins Covid est nettement sous-rapporté par le Système de Rapports de Cas Négatifs des Vaccins (VAERS). En vertu de la manière par laquelle ces statistiques sont accumulées, ces chiffres reflètent au mieux 10 % du total réel. Par conséquent, les 28 000 décès que rapporte le VAERS sont en fait 280 000 décès, et le rapport de 1,3 million de gens estropiés est en réalité de 13 millions d’estropiés.

Mais ces chiffres ne tiennent pas compte des dommages collatéraux occasionnés par la réaction tyrannique du gouvernement face au narratif Covid frauduleux, plus précisément les confinements.

Voici le rapport :

Les États-Unis ont enregistré un excédent de 170 000 morts durant la pandémie du Covid-19, lesquels n’ont pas été causés par le virus en lui-même – comme l’obésité, l’abus de substances toxiques et d’autres tueurs ayant fait éclosion durant les confinements imposés par le gouvernement, nous montre une nouvelle étude.

Les chiffres ont été révélés dans un rapport émis ce mois-ci par le Bureau National des Recherches Économique (NBER).

Le rapport suggère que l’excédent de morts non-Covid pourraient être des « dommages collatéraux dus aux choix politiques ». Le NBER indique des facteurs tels que la violence accrue par les armes à feu, l’utilisation de drogues et d’alcool, la cigarette et le gain de poids durant les confinements.

« Nous remarquons particulièrement que les résultats de santé non-Covid n’avaient pas fait l’objet d’un suivi étroit pour déterminer, entre autres choses, si les politiques Covid privées ou publiques les aggravaient, » disent les auteurs de l’étude. Ils ajoutent que, bien que les critiques blâment les choix personnels pour l’excédent de morts, plutôt que les politiques publiques, « cela ne donne pas d’excuse pour ignorer l’essor du taux de mortalité ou de mettre l’examen de ces décès en veilleuse. »

Les morts causées par la drogue et l’alcool ont augmenté de 13 % et 28 % respectivement, excédant les niveaux de base de 24 000 personnes par année, dit le NBER. Il y a eu 32 000 morts annuelles excédentaires à cause des maladies circulatoires, environ 4 % au-dessus du niveau de base, et les fatalités causées par le diabète et l’obésité ont été de 10 % plus élevées que prévu, atteignant une moyenne estimée à 15 000 cas additionnels chaque année.

Même si le gouvernement suit de près les cas et les morts Covid, très peu de données sont offertes sur ce qu’il en est des conséquences sanitaires en dehors du virus, dit le NBER. « L’on a montré bien peu de curiosité à savoir si les politiques Covid publiques et privées avaient aggravé les problèmes précédents de santé, » poursuivent les auteurs, en ajoutant que leurs découvertes sur les torts causés à la santé et vécus durant la pandémie étaient « significatifs et historiques. »

« D’autres données sur la dépendance aux drogues, les fusillades non-fatales, le gain de poids et les dépistages de cancer indiquent une urgence sanitaire historique, bien que largement non-reconnue, » disent les auteurs.

Une étude de l’Université John Hopkins émise plus tôt cette année suggère que les confinements Covid-19 autour du monde n’ont empêché que peu ou pas de morts causées par le virus. « Bien que cette méta-analyse conclue que les confinements n’ont eu que peu ou pas du tout d’effets sur la santé publique, ils ont toutefois imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où ils ont été adoptés, » disent les auteurs de l’étude. « En conséquence, les politiques de confinement sont mal-fondées et devraient être rejetées comme instrument de politique pandémique. »

En ajoutant les 170 000 morts « excédentaires » aux 280 000 décès sous-rapportés par le VAERS, nous arrivons à un nombre réel de morts attribués au faux narratif Covid de plus de 450 000.

En plus, cette étude ne prend pas en considération l’impact psychologique pernicieux que des protocoles orwellien du CDC tels que les masques, la distanciation sociale et l’isolement ont eu sur tout le monde – particulièrement les enfants d’âge scolaire.

Personne ne peut redonner ces deux ans aux étudiants du secondaire et du collège de notre pays. Ils ont perdu deux des années les plus importantes de leur vie. Et au retour à l’école, ce seront des créatures différentes.

L’omniprésente propagande Covid et le narratif Covid maladroit et tyrannique ont, non seulement ôté deux des années les plus importantes et formatrices de ces jeunes gens, mais ils ont changé leur psyché pour toujours.

Allez dans n’importe quel collège d’Amérique et voyez ce qui s’y passe. Vous y verrez des robots pour la plupart déconnectés, anti-sociaux et sans amis, dont on a recircuité les cerveaux et dont on a détruit l’interaction normale (saine) d’adolescent, la socialisation et les rêves d’avenir.

Ils s’assoient en classe avec leur cellulaire branché dans les oreilles ; ils sont assis seuls à la cafétéria, encore avec leurs cellulaires ; ils ne regardent pas les autres étudiants et leur parlent encore moins. Ils sont totalement détachés de la réalité et effrayés d’interagir dans la société.

Récemment, j’étais en train de manger dans un restaurant fast food et une étudiante de seconde année au collège attendait à ma table. Je mange fréquemment à cet endroit et j’ai développé une relation amicale avec bon nombre des membres du personnel qui y travaillent, y compris cette étudiante collégiale.

Je lui demandai nonchalamment comment ça va à l’école. Elle me répondit qu’elle avait sauté ses deux dernières semaines d’école et n’y retournerait pas l’automne prochain. Je lui demandai pourquoi et elle me dit que l’école était un cauchemar. Elle m’avoua ne pas avoir d’amis et que très peu se préoccupaient de se faire des amis. Elle me dit que l’atmosphère ressemblait plus à celle d’un salon funéraire que d’une école secondaire. Elle en avait assez, me dit-elle.

Donc, voilà une autre décrocheuse du collège qui n’a que peu d’espoir dans le futur, qui jette sur la vie un regard complètement découragé et dépressif. Mettez-la sur le compte des dommages collatéraux provoqués par le faux narratif Covid.

Effacez les deux dernières années de tyrannie Covid et cette jeune fille serait sans aucun doute une adolescente heureuse, enthousiaste et optimiste, toute excitée à l’idée de devenir une étudiante de dernière année avec tout le plaisir que cela implique et les expériences mémorables qui vont avec.

Cette jeune fille fait partie de millions d’autres à travers le pays. On ne les verra pas dans les feuilles de statistiques de quiconque, mais ce sont des victimes de la GUERRE CONTRE LA LIBERTÉ de Bill Gates/Anthony Fauci/Donald Trump/Joe Biden/CDC.

Épreuve de forces au Sénat au sujet des armes à feu :

La proposition la plus extrême sur le contrôle des armes à feu considérée par le Sénat américain est une disposition qui autoriserait le gouvernement fédéral à suborner les états pour qu’ils promulguent des lois Red Flag de confiscation d’armes – en fait, une loi Red Flag nationale.

De ZeroHedge :

Les lois Red Flag (Drapeau Rouge), connues également sous le nom de « Ordres de Protection Extrême », sont généralement associées aux suppositions de désordre mental et d’instabilité (rappelez-vous bien du mot « suppositions »). Les paramètres de ce genre de lois semblent être incroyablement larges et ambigus, et permettent à quiconque en proximité régulière d’une personne de l’accuser d’être psychologiquement instable. L’accusation peut venir d’un membre de la famille, d’un partenaire, un associé au travail, etc.

Une fois que l’accusation est lancée, les autorités peuvent confisquer les armes à feu de la personne ciblée sans procédure selon la loi, en raison qu’elles représentent un danger pour elle-même ou pour les autres. Aucun jury, aucun examen, aucune preuve ne sont requis pour obtenir un ordre de la cour. C’est alors à l’accusé de prouver qu’il n’est PAS instable, et qu’il mérite qu’on lui retourne ses armes à feu. Ce processus peut prendre des années, à condition que ses armes ne lui soient jamais retournées.

Certaines versions des projets de loi Red Flag permettent même à la police de vous déclarer d’elle-même dangereux, même sans contact direct ou sans témoin. En d’autres mots, c’est un système de « pré-crime » qui ouvre la porte aux abus de masse. Et gardez à l’esprit que nous vivons dans une ère digitale dans laquelle les médias sociaux sont soigneusement contrôlés, souvent par des gens qui n’ont pas vos meilleurs intérêts à cœur. Les lois Red Flag pourraient même s’étendre aux commentaires émis et pris hors contexte sur les plateformes de médias sociaux.

Comme dans toute propagande gauchiste, Biden et les Démocrates ont vu à associer toutes les intérêts politiques et sociaux, de même que les affaires constitutionnelles, aux vils comportements tels que le racisme et la trahison. Si vous vous opposez à l’immigration illégale, que vous exigez une preuve de citoyenneté pour voter, que vous soutenez le droit d’avoir des armes et le droit constitutionnel d’avoir une milice, que vous croyez que le gouvernement est corrompu et qu’il a surpassé ses mandats constitutionnels, que vous vous opposez au globalisme et au monopole des entreprises, etc. alors vous êtes un extrémiste aux yeux de l’Administration Biden. Non seulement cela, mais vous êtes comparable à des groupements comme le Ku Klux Klan et des terroristes individuels comme le poseur de bombe de l’Oklahoma City.

Les lois Red Flag ouvrent la porte aux punitions pour opposition politiques en associant les points de vue contraires à « l’extrémisme » et l’extrémisme à l’instabilité mentale. Les politiques de Biden mentionnent spécifiquement les gens qui sont hostiles à l’autorité gouvernementale, ce qui tombe en plein dans la ligne de la rhétorique employée par le DHS et les autres agences-alphabet des dernières années en relation avec ce qu’on appelle le « Désordre de l’Opposition Provocatrice ».

Les partisans autoritaires anti-armes ont peur de la confrontation directe et de la confiscation directe. Faire du porte-à-porte n’est pas, dans leur idée, une partie de plaisir. Ils vont plutôt préférer la confiscation par la porte arrière, en courant après une poignée de gens, pour ensuite aller vers le groupe suivant. D’abord lentement, jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour que les gens s’organisent contre eux. Le 2e Amendement n’est pas un privilège accordé à la loyauté envers un régime donné ou une idéologie particulière, et il ne dépend pas du taux de criminalité ; il est sacro-saint et s’érige en dehors des conditions de l’époque dans laquelle nous vivons. Les fusillades peuvent se multiplier ou chuter, mais cela n’a pas d’importance – une fois que le droit de porter des armes sera enlevé, il est improbable qu’il ne revienne jamais.

Dix-neuf états et le District de Columbia ont déjà fait passer les lois Red Flag sur la confiscation des armes à feu. Ce sont la Californie, le Colorado, le Connecticut, le Delaware, la Floride, Hawaï, l’Illinois, l’Indiana, le Maryland, le Massachusetts, le Nevada, le New Jersey, le Nouveau-Mexique, New York, l’Oregon, le Rhode Island, le Vermont, et l’état de Washington.

Notez que ces états comprennent des Bleu Profond et des Rouge Profond.

Je vous encourage – particulièrement vous, les dames – à lire l’excellent article intitulé An Open Letter to Women Who Want Gun Control, de Daisy Luther.

En passant, le témoignage personnel de Mme Luther à propos de la présence d’une arme et l’empressement à l’utiliser en état d’autodéfense, ce qui a réussi à lui éviter l’éventualité de blessures sérieuses ou la mort, à elle-même ainsi qu’à sa fille, c’est aussi le témoignage de ma famille en six occasions séparées.

Quiconque permettrait au gouvernement de le désarmer est un insensé.

Si vous tenez à votre liberté – et à votre sécurité – vous devez envoyer un message fort et clair à vos sénateurs républicains (et une poignée de démocrates professant le 2e Amendement) et laissez-leur savoir en termes sans équivoque que s’ils votent pour soutenir ces nouvelles mesures de contrôle des armes à feu, ils auront perdu votre vote pour toujours.

Et vous, les amis du Texas, vous devez savoir que votre sénateur, John Cornyn, est un des leaders du Sénat à promouvoir cette nouvelle loi Red Flag nationale de contrôle des armes à feu. Il doit vous entendre MAINTENANT !




Plus de tueries dans les zones sans fusils et plus de réaction inepte policière

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

2 juin 2022

Nous y voilà encore : un autre imbécile rendu fou (ou programmé ?) déambule dans une zone sans fusil, avec un fusil, et prend la vie de 19 écoliers et 2 enseignants. Et malgré une vingtaine de policiers postés autour et en dehors de la scène de crime – pendant qu’avait lieu la tuerie – ils ne se donnèrent pas la peine de stopper le méchant garçon avant une bonne heure.

Non seulement les policiers n’ont-ils pas essayé de prendre le tireur, mais ils ont arrêté, menotté et électrocuté au taseur les parents frénétiques qui essayaient de secourir leurs enfants.

Les officiers chargés de faire appliquer la loi à Uvalde, au Texas, ont refusé jeudi de commenter pourquoi les agents de police ne sont pas entrés dans l’école élémentaire, pendant une heure, pour tuer un tireur en série. Les parents accusent et la police locale et la police fédérale pour n’avoir « rien fait »  dans le but de mettre fin au carnage, et d’avoir menotté ces parents qui essayaient eux-mêmes d’intervenir.

Gomez dit que dans les 40 minutes qu’il lui a fallu pour être au courant de la fusillade et se rendre en voiture à l’école, les officiers de police n’étaient pas entrés. Quand elle souleva ses inquiétudes aux marshals fédéraux, elle dit avoir été arrêtée et menottée pour être intervenue dans une enquête en cours. Après que la police locale eut convaincu les marshals de la laisser aller, Gomez dit qu’elle sauta la clôture de l’école et courut secourir ses deux enfants à l’intérieur.

Des vidéos partagées sur les médias sociaux montrent encore plus de parents qui, comme Gomez, plaidaient auprès des officiers de police pour qu’ils entrent dans l’école et sauvent leurs enfants.

Voyez aussi ce rapport.

Et voici un autre rapport :

Comme nous en avons rendu compte jeudi, de multiples rapports et des vidéos ont surgi au sujet de la réaction des forces de l’ordre, ou plutôt leur manque de réaction, concernant la fusillade de masse à l’école élémentaire Robb. Au lieu de se précipiter pour arrêter le tireur d’assassiner des écoliers à l’intérieur, les officiers de police ont érigé une barricade et un périmètre pour empêcher les parents d’essayer de sauver leurs propres enfants.

Pendant ce temps-là, le tueur a eu plus d’une heure pour en finir avec 19 écoliers et 2 enseignants qu’il a massacré dans l’enceinte.

Or, au fur et à mesure que les détails émergent, la réaction policière face à la situation semble encore plus dégoûtante. Selon les informations les plus récentes, le tireur a pu faire feu tout autour de l’école, à l’extérieur, pendant 12 minutes, sans obstruction et sans opposition de la part des forces de l’ordre, avant d’entrer dans l’école et de tuer les enfants.

D’après le déroulement du temps publié jeudi soir, le tireur a accidenté sa voiture à 11h28 et a commencé à tirer sur les gens de la foule à l’extérieur de l’école. À 11h40, il est entré sans obstacle à l’intérieur de l’école où il s’est mis à tuer des gens. La police n’est arrivée sur les lieux que 4 minutes après que le tireur eut pénétré dans l’école.

Lors de l’heure et cinq minutes suivantes, le tireur est demeuré à l’intérieur de l’école, sans être défié par les forces de l’ordre pendant que celles-ci attendaient à l’extérieur qu’une unité tactique de la Patrouille Frontalière se montre et le fasse sortir.

Pendant que la police cherchait gauchement à l’extérieur comment réagir, une foule de parents en colère exigea qu’on les laisse entrer afin de sauver leurs enfants. Comme le ferait tout parent, un grand nombre d’entre eux tentèrent de forcer le cordon policier pour entrer dans l’école, mais ils furent saisis à bras-le-corps, vaporisés de gaz poivré et même menottés.

Alors que des flics lourdement armés d’AR-15 et portant des gilets pare-balles se tournaient les pouces pendant qu’un tireur de masse assassinait des enfants à l’intérieur de l’école, Gomez – sans gilet pare-balle et sans aucune arme – sauta la clôture et se rua dans l’école.

Rassemblant plus de courage que n’importe quel des officiers de police devant l’école, Gomez parcourut les couloirs de l’École Élémentaire Robb, qui abritait un tireur, avant de trouver ses enfants et de les amener en vitesse en sécurité.

Non seulement les policiers n’ont-ils rien fait pour sauver la vie des victimes, mais ils ont refusé de laisser d’autres agences policières – particulièrement la Patrouille Frontalière – aller au secours des enfants.

Lisez ce rapport :

Non seulement la police locale a-t-elle été lente à confronter le tireur qui a tué 19 enfants et deux adultes lors du massacre de jeudi dans une école du Texas, mais ils auraient également refusé de permettre à des agents fédéraux de confronter le bandit armé pendant près d’une heure après qu’ils soient arrivés sur les lieux.

Des agents spécialement équipés de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis, qui arrivèrent à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, entre 12h00 et 12h10, se virent interdire par la police locale d’ouvrir une brèche dans les salles de classe adjoignant celle dans laquelle le tireur s’était enfermé, jusqu’à environ 13h00, a rapporté le New York Times vendredi en citant des officiers fédéraux non identifiés.

« On nous a dit d’attendre, » a dit un officier de la Patrouille Frontalière, vendredi à Yahoo News. « On nous a dit d’attendre et d’attendre, et l’équipe voulait s’en aller. Mais vous devez comprendre, la Patrouille Frontalière n’est pas l’agence dirigeante, donc elle devait attendre, et maintenant voyez ce qui est arrivé. »

Un agent de la Patrouille Frontalière qui s’était rendu en vitesse à l’école pour secourir sa femme et sa fille (et d’autres) n’était même pas initialement sur les lieux. Il se faisait faire une coupe de cheveux chez un barbier quand sa femme – qui était à l’intérieur de l’école avec sa fille – lui envoya un texto.

Un agent de la Patrouille Frontalière et Douanière des États-Unis qui n’était pas en service se rua courageusement dans l’École Élémentaire Robb avec le fusil de chasse de son barbier et vint à la rescousse d’une douzaine d’enfants et sa fille après que sa femme l’eut texté pour lui dire qu’il y avait un tireur actif.

Jacob Albarado venait tout juste de s’assoir pour une coupe de cheveux quand il reçut le message horrifiant de sa femme, Trisha, enseignante de quatrième année à l’école élémentaire d’Uvalde, au Texas, dit-il au New York Times.

« Il y a un tireur actif, » écrivit-elle. « Au secours, » texta-t-elle avant d’envoyer un effrayant « Je t’aime ».

Il bondit immédiatement de son siège, attrapa le fusil du barbier et partit en vitesse vers l’école.

Sa fille, écolière de deuxième année, était enfermée à l’intérieur d’une salle de bain pendant que sa femme se cachait sous les pupitres avec ses étudiants, rapporta le Times.

Il dit être entré par l’aile de l’école où il savait que se situait sa fille et, pendant qu’il la cherchait, il commença à « explorer toutes les classes de l’aile de sa fille. » dit-il au Times.

« Je suis tellement en colère, attristé et reconnaissant en même temps, Seul le temps va guérir leur douleur et, je l’espère, des changements seront apportés à toutes les écoles aux États-Unis, et les enseignants seront formés et on leur permettra d’amener l’ordre pour se protéger ainsi que leurs étudiants, » écrit-il.

Finalement, après que ce soit passé une heure et vingt minutes, une équipe tactique de la police fit sortir le tireur.

Il s’est passé en tout 80 minutes entre le moment où les policiers furent appelés à l’école, à 11h30, et le moment où l’équipe tactique est entrée dans les classes verrouillées et ont tué le tireur, à 12h50, a dit McCraw. L’équipe tactique a pu entrer en utilisant les clés du concierge, a-t-il ajouté.

En fin de compte, à 12h50, l’équipe tactique entra dans la salle de cours, tira et tua le suspect.

L’agent Albarado a donné à l’Amérique la solution à ces fusillades de série : permettre aux enseignants et aux employés d’école de porter leurs propres armes à feu de défense. Laissez un ou deux tueurs de masse se faire tirer par un employé d’école avant qu’il ne puisse exécuter ses intentions meurtrières et vous verrez ces fusillades prendre fin rapidement.

Mais ne comptez pas sur les législateurs pour faire quelque chose d’aussi raisonnable. Déjà, les républicains Mitch McConnell et Lindsey Graham, et les démocrates Chuck Schumer et Richard Blumenthal tordent des bras au Congrès pour faire passer des lois Red Flag tyranniques.

Mais, comme c’est le cas dans chacune de ces fusillades de masse, il y a tellement de questions sans réponses que cela laisse sous-entendre qu’il y a ici à l’œuvre quelque chose de plus qu’un tireur dément solitaire.

Des questions comme : où un décrocheur scolaire sans emploi a-t-il pu obtenir de 4 000 $ à 6 000 $ afin d’acheter deux Daniel Defense AR-15 qui sont parmi les fusils AR les plus dispendieux sur le marché, et 1 500 cartouches ?

Une autre question : les officiers de police qui se tenaient dans les alentours et qui ne faisaient rien, sauf arrêter et menotter des parents affolés et en panique, ont participé à deux exercices de tireur actif juste deux mois auparavant. Donc, que leur a-t-on enseigné ? Leur a-t-on montré à se tenir debout tout autour et à ne rien faire pendant que 19 enfants et 2 enseignants se font massacrer dans le bâtiment scolaire ?

En voici une autre : Comment se fait-il que les officiers de police doivent utiliser une CLÉ pour déverrouiller une porte d’école afin d’entrer (après avoir attendu UNE HEURE) ? Il n’y a pas de porte que les flics ne peuvent pas briser quand ils le veulent réellement – et je veux dire DANS L’URGENCE !

Bien sûr, la plus grosse question est : qui a donné l’ordre du retrait ? Non, je ne veux pas dire le commandant de la police sur les lieux. Je veux dire, qui a vraiment donné l’ordre du retrait ?

Je croirai toujours qu’il se trouve quelques forces gouvernementales derrière chacune de ces fusillades de masse. Appelez-moi comme vous voulez. Il y a tout simplement trop de circonstances illogiques, inconscientes et presque impossibles entourant chacune de ces fusillades de masses pour penser autrement.

Les satanistes globalistes de l’État Profond des cavernes infestées de chauves-souris, pleines de sangsues et de cafards grouillants de Washington, D.C., ne cesseront pas tant qu’ils n’auront pas manipulé avec succès les politiciens sans colonne, conduits par leur ego et qui aiment l’argent pour les amener à tenter de désarmer complètement le peuple américain.

Notre cœur et nos prières vont aux familles de ces innocentes victimes.

La partie la plus tragique de toute cette affaire, c’est que les véritables vilains derrière ces fusillades de masse sont les politiciens et les juges qui ont rendu illégale que les honnêtes citoyens se défendent.

N’oubliez jamais cela !

De plus, la prochaine fois que l’on vous dira que des policiers vont venir vous protéger quand votre vie va être menacée par une personne folle, souvenez-vous seulement de cette vingtaine de flics stationnés tout autour à l’extérieur pendant qu’une seule personne folle tuait 21 personnes à l’intérieur.




Les bellicistes en politique, les loups en chaire

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

19 mai 2022

Combien de fois m’avez-vous entendu dire qu’il n’y a véritablement qu’un seul parti à Washington, D.C., et c’est le Parti de la Guerre ? Eh bien, je le redis encore.

Dans la Chambre américaine, le vote fut de 368 – 57 en faveur d’envoyer un 40 milliards $ additionnel à l’Ukraine afin de prolonger et d’augmenter la guerre américaine par procuration contre la Russie en Ukraine.

Parmi les votes négatifs, il y a eu Marjorie Taylor Greene (R) de la Géorgie. Selon Greene, les 40 milliards $ de corruption des payeurs de taxe américains ressemblent à « un plan de blanchiment d’argent ».

Voici le rapport :

Le soutien financier que l’Amérique fournit à l’Ukraine ressemble beaucoup à « un plan de blanchiment d’argent ». a dit la représentante Marjorie Taylor Greene (R-GA) au podcast The Truth With Lisa Boothe, ce lundi. L’argent censément destiné aux Ukrainiens finit par aboutir dans les poches des « ONG à but non lucratif » qui sont souvent dirigées par des proches des politiciens de Washington, a déclaré Greene.

« Ils veulent donner 40 milliards $ à l’Ukraine, et ces 40 milliards s’ajoutent à l’argent qui a déjà été donné. Ce qui fait un montant de 53 milliards $. C’est plus des deux-tiers de tout le budget du Département d’État pour l’année », a dit la représentante, faisant référence au dernier montant d’aide qui est présentement soumis au Sénat américain.

D’après Greene, les fonctionnaires américains le font dans l’éventualité de financer les ONG opérées par « leurs familles et leurs amis ». « Il s’agit fondamentalement d’un plan de blanchiment d’argent, » dit-elle.

Au Sénat américain, le vote s’établit à 81 – 11 en faveur de l’approbation des 40 milliards $ de programme d’aide à l’Ukraine. Voici les onze sénateurs républicains qui ont gardé leur serment à la Constitution et ont mis l’Amérique et la paix au-dessus de la soif des globalistes pour la guerre et le fric :

Blackburn, Tennessee

Boozman, Arizona

Braun, Indiana

Crapo, Idaho

Hagerty, Tennessee

Hawley, Missouri

Lee, Utah

Lummis, Wyoming

Marshall, Kansas

Paul, Kentucky

Turberville, Alabama

Si votre sénateur (ou vos sénateurs) n’est pas dans cette liste, sachez qu’il ou elle est un lèche-bottes acheté et payé par les bellicistes pour le complexe militaro-industriel et leurs maîtres globalistes. Républicains ou démocrates, ils ne devraient plus jamais recevoir votre vote. Et vous devriez leur écrire ou les appeler pour le leur dire.

Le Parti de la Guerre est probablement en train de conduire l’Amérique directement vers une guerre nucléaire. Et même si d’aventure l’on évite la guerre nucléaire (ce ne sera pas parce que les politiciens démoniaques de Washington n’auront pas essayé), ils ont déjà mené le pays dans une inflation paralysante et probablement vers une récession majeure.

Et pendant que nous avons des bellicistes en politique, nous avons aussi des loups en chaire :

La culture américaine s’effiloche. Peu de gens pourraient dire autrement. Que vous soyez à droite ou à gauche de la fosse politique, nous semblons tous nous accorder sur un point : il y a quelque chose qui va terriblement mal.

Les États-Unis sont devenus les états séparés. « E pluribus unum » est devenu « ex uno plures ». Alors que nous étions jadis un peuple diversifié se rassemblant pour une cause commune, nous avons maintenant l’air d’un pays fracturé sans liement social et moral pour nous lier ensemble.

Un pays qui, encore hier, enseignait à sa progéniture la valeur d’axiomes comme « donnez-moi la liberté ou donnez-moi la mort », réagit maintenant, face à une « crise » au taux de survie de plus de 99 %, en s’écriant « J’ai peur de la mort, donc tout le monde doit perdre sa liberté ».

Nous nous réfutons nous-mêmes à chaque tournant. Ceux qui se déclarent tolérants hurlent qu’ils ne peuvent tolérer l’intolérance de tous les autres. Les gens qui brandissent la bannière de « l’amour bat la haine » déclarent qu’ils détestent absolument ceux qu’ils considèrent comme haineux. Les professeurs enseignent que la vérité n’existe pas. Les prédicateurs prêchent qu’ils savent que rien ne peu être connu. Les politiciens jurent d’honorer et de défendre une Constitution qu’ils déprécient ensuite comme étant un document antique de racisme systémique, intersectionnel et de privilège blanc.

Les féministes nient le fait biologie de la femelle. Des misogynes marchent avec MeToo. Des défenseurs de l’enfant préconisent le droit de tuer des enfants. Les partisans de la santé prénatale se font maintenant les apologistes de la mort périnatale.

Comment sommes-nous entrés dans ce gâchis ?

Le Dr Len Munsil, président de l’Université de l’Arizona, a récemment partagé ceci : « Une grande majorité des pasteurs américains ne possèdent pas une vision biblique du monde, selon les dernières découvertes, d’après l’Inventaire 2022 de la Vision Mondiale Américaine conduit par le Centre de Recherches Culturelles de l’ACU. En effet, à peine un peu plus du tiers (37 %) possède une vision biblique du monde, et la majorité – 62 % – adopte une vision mondiale hybride que l’on appelle Syncrétisme. »

Et ces chiffres sont encore pires en ce qui concerne les organisations parareligieuses comme les collèges et les universités reliés à une église.

L’infaillibilité, l’authenticité et l’autorité de la Bible, de même que le corollaire des vérités évidentes enracinées dans la loi naturelle (i.e., l’objectivité de la révélation de Dieu à l’homme) sont maintenant encadrés comme étant du racisme et de la bigoterie dans votre église locale et dans vos écoles chrétiennes locales. Ces gens-là « adorent la créature plutôt que le Créateur » depuis si longtemps qu’ils sont devenus complètement nuls. Ils ont « changé la vérité de Dieu en un mensonge » et ils ont vraiment été « livrés à un esprit dépourvu de tout jugement ». Dans l’esprit du péché originel, ils se sont déclarés « comme Dieu » et, en retour, « Celui qui habite dans les cieux se rira d’eux ; le Seigneur s’en moquera ».

Il a été dit que les loups en habits de brebis sont dangereux, mais les loups en habits de berger sont carrément mortels. Les leaders ecclésiastiques de l’Amérique sont devenus des loups déguisés en pasteurs. Nos pasteurs et nos facultés chrétiennes, qui sont censés être le sel et la lumière au sein d’une culture mourante et d’un monde ténébreux, sont à peine du pain blanc grillé insipide pour une nation au besoin désespéré du puissant breuvage de l’Évangile. Christ a dit Lui-même qu’Il recracherait ce genre de personne de Sa bouche.

Comment en sommes-nous rendus là ? Ne regardez pas plus loin que votre église locale et son école chrétienne. Il y a environ 60 % de chances que le gars qui se tient derrière le lutrin sur le podium soit un « berger » aux dents bien acérées et dégoulinantes de sang. [Emphase ajoutée]

Amen !

Je le dirai sans ambages : Tout pasteur qui s’est soumis d’un air penaud aux confinements et aux vaccins Covid est un ennemi de la liberté, un ennemi de l’Amérique et un ami de la Bête. Et les personnes qui s’assoient au pied de ces loups en habit de brebis sont des co-conspirateurs dans l’effusion de sang innocent et la ruine de notre pays.

Idem pour les bellicistes chrétiens qui soutiennent la guerre par procuration, inconstitutionnelle et immorale, en Ukraine.

Des bellicistes en politique et des loups en chaire ; c’est la combinaison la plus dévastatrice connue de l’homme, et l’Amérique en est dévorée.




Thomas Massie est-il le seul représentant américain qui ne soit pas acheté par le lobby israélien ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

26 mai 2022

J’ai montré dans nombre d’articles que la vaste majorité des fonctionnaires gouvernementaux américains (de même que les médias de nouvelles, les institutions financières et les industries du divertissement) sont achetés et rémunérés par le gros poids lourd omniprésent connu sous le nom de lobby israélien. S’assurer qu’Israël ne soit pas offensé est la priorité primordiale de pratiquement tous les fonctionnaires élus et les bureaucrates de Washington, D.C.

Voici un rapport rédigé pour Reason.com par Christian Britschgi qui illustre ce dont je parle :

Le représentant Thomas Massie (R-Ky) suscite l’indignation en étant le seul vote dissident lors d’une résolution sur laquelle on ne peut apparemment pas s’objecter et qui condamne l’antisémitisme. Mais l’opposition du représentant semble beaucoup plus raisonnable si l’on considère les implications de la résolution en regard de la libre expression et de la règlementation de l’Internet.

Mercredi, la Chambre des Représentants a adopté la loi H.R. 1125, qui condamne en gros le langage et la violence antisémites tout en appelant à davantage de surveillance et de censure en ligne contre les visions antisémites et les théories de la conspiration.

Ce fut adopté à la Chambre par 420 contre 1.

Les politiciens exigeant que les compagnies de médias sociaux adoptent certaines politiques de modération ou des priorités de contenu sont de nature à soulever des inquiétudes en ce qui concerne la libre expression, même si ces exigences se font sous la forme d’une résolution non-obligatoire.

L’implication que les compagnies de médias sociaux vont subir des conséquences politiques ou règlementaires est inévitable, même si cela vient avec une clause de libre expression.

C’est particulièrement vrai dans ce contexte-ci. L’auteur principal de la résolution d’hier, la représentante Debbie Wassermann Schultz (D-Fla) a en partie mis la fusillade fatale de Buffalo, New York, sur le dos de l’amplification des compagnies de médias sociaux de « leur contenu radicalisant et des théories de conspiration ».

La résolution d’hier a aussi demandé au Congrès qu’il travaillke plkus étroitement avec le Corps Spécial Interparlementaire pour Combattre l’Antisémitisme en Ligne – un groupe de travail international dont les membres comprennent des législateurs du Royaume-Uni, du Canada, d’Israël, des États-Unis et de l’Australie.

La première rencontre du corps spécial, en novembre 2020, a fait figurer des présentations de groupes demandant aussi une réforme de la Section 230 et le maintien des plateformes et des exécutifs responsables du langage antisémite.

Étant donné que le Département de la Sécurité du Territoire ne devrait pas exister, grossir son financement ne semble pas une bonne idée. On voit pourquoi un faucon du budget aux tendances libertaires comme Massie ne veut pas non plus de cette disposition.

Il va sans dire que l’antisémitisme, comme tout genre de bigoterie raciale ou religieuse, est une chose horrible. Mais la résolution de la Chambre fait plus que le condamner. Elle demande plutôt aux compagnies de médias sociaux de supprimer l’expression par ailleurs protégée et endosse plus de dépenses fédérales. C’est une raison suffisante pour s’y opposer.

L’obéissance universelle à la tyrannie Covid a montré à l’élite totalitaire que le monde (y compris les États-Unis) est prêt à plonger sérieusement dans l’asservissement. Et vu que l’on ne peut faire la distinction entre le Nouvel Ordre Mondial globaliste et l’hégémonie sioniste globale, on peut s’attendre à ce que la première chose que les tyrans aient sur leur liste de choses à faire soit une guerre totale contre la libre pensée et la libre expression – particulièrement quant à la vache sacrée des globalistes : Israël.

La liberté, un gouvernement constitutionnel, des budgets équilibrés, la souveraineté de l’État, la liberté individuelle : tout cela est mis de côté afin de s’agenouiller devant Tel-Aviv.

Les 420 membres de la Chambre qui ont voté pour l’effrayante résolution mentionnée plus haut ne sont vraiment rien de plus que des lèche-bottes pleurnichards d’Israël. Ils mettent tout le poids de la Chambre des Représentants américains (et je suis sûr que le Sénat va rapidement suivre) du côté de la tyrannie orwellienne. Ce n’est qu’une question de temps avant que toute parole dite ou écrite qui ose parler de la vérité – vérité qui pourrait offenser l’élite sioniste – va être qualifiée d’antisémitisme et frappée sur la place publique.

Mais l’omniprésente ombre du pouvoir qu’est le lobby israélien s’étend sur bien plus loin que Washington, D.C.. Il jette également ses sorts sur les états et les communautés locales. Jusqu’ici, 35 états ont adopté des lois anti-BDS (boycotts, dépouillement et sanction – contre Israël). En voici la liste :

Alabama, Arizona, Arkansas, Californie, Colorado, Floride, Géorgie, Idaho, Illinois, Indiana, Iowa, Kansas, Kentucky, Louisiane, Maryland, Michigan, Minnesota, Mississippi, Missouri, Nevada, New Jersey, New York, Caroline du Nord, Ohio, Oklahoma, Pennsylvanie, Rhode Island, Caroline du Sud, Dakota du Sud, Tennessee, Texas, Utah, Virginie, Virginie occidentale et Wisconsin.

Veuillez observer que ces états comprennent à la fois le bleu profond [démocrates] et le rouge profond [républicain]. L’affiliation de parti ne signifie rien : le lobby israélien contrôle les deux.

Ces lois anti-BDS sont de flagrantes réductions anticonstitutionnelles de la liberté de parole, de religion et de commerce. Imaginez l’adoption de lois qui vont nier aux citoyens de plusieurs états leurs libertés individuelles de s’exprimer et de dépenser – ou de ne pas dépenser – leurs dollars durement gagnés sous l’asservissement d’un pouvoir étranger, si ce pouvoir n’était pas Israël. Mais parce que c’EST Israël, les libertés constitutionnelles, religieuses et commerciales sont jetées aux égouts.

Ce que les évangéliques ne réalisent pas – et ne tiennent pas à réaliser, parce qu’on leur a lavé complètement le cerveau avec le sionisme chrétien – c’est que l’intention de l’élite sioniste est d’interdire totalement, non seulement la libre expression politique, mais aussi la libre expression religieuse. Ils ne seront pas satisfaits tant que la théologie du Nouveau Testament ne sera pas éliminée en profondeur de l’esprit et du cœur du peuple américain – et cela inclut ses églises.

Bien sûr, ils ont déjà atteint une grande partie de leur but, comme l’atteste ce rapport du Washington Times.

Un autre indicateur récent de l’emprise absolue du pouvoir israélien est le manque total de préoccupation de Washington à propos de l’assassinat israélien d’une journaliste palestino-américaine, il y a quelques jours.

La mort de la journaliste palestino-américaine Shireen Abu Akleh aurait dû être un point tournant dans l’approche du gouvernement des Etats-Unis sur la protection des journalistes outremer – mais quand un pays allié [Israël] pourrait être blâmé, cela devient un problème.

Abu Akleh, journaliste chevronnée qui travaillait pour Al-Jazeera, était bien des choses : elle était chrétienne et une brave reporter, mais, pour la plupart des Palestiniens, c’était une bien-aimée connue partout qu’un grand nombre suivait à la télévision. Sa mort a causé un choc, surtout parce que des journalistes témoins dirent que les forces israéliennes lui avait tiré dans la tête avec une cartouche de combat, lors d’un raid du Camp Janin en Cisjordanie.

Mais pourquoi devrions-nous nous attendre à ce que la Maison Blanche et le Pentagone ne cachent pas l’histoire du meurtre par Israël d’une journaliste américaine alors qu’ils cachèrent le meurtre par Israël de 34 soldats de la Marine américaine et conspirèrent même pour aider Israël dans une tentative coordonnée de couler le USS Liberty et tuer tous les 294 marins à bord ?

Chose encore plus dérangeante – en fait, c’est carrément inadmissible – nous en sommes venus à escompter qu’il soit profondément égal aux chrétiens évangéliques d’Amérique que la journaliste assassinée par l’armée israélienne ait été une sœur en Christ.

Pourquoi les évangéliques se soucieraient-ils d’un chrétien de plus assassiné par Israël ? Ils ne se sont pas soucié – pas le moins du monde – qu’Israël ait tué des millions de chrétiens depuis 1948.

Quand il s’agit d’Israël, il n’y a pas de Constitution, pas de loi, pas de liberté, pas de conscience, pas de décence, pas de moralité, pas d’éthique, pas d’intégrité, pas d’honnêteté et rien de sacré. Il n’y a que le pouvoir brut, la corruption et beaucoup, beaucoup d’argent.

Thomas Massie pourrait bien être le seul membre de la Chambre des Représentants américains qui ne soit pas un laquais acheté et payé par le lobby israélien. Son vote solitaire de dissension à la résolution démontre un cœur et un esprit qui rappellent Patrick Henry, James Otis, Thomas Jefferson, George Washington, Benjamin Franklin, Sam Adams – et Ron Paul.

Son vote solitaire de dissension expose aussi le reste du Congrès pour ce qu’ils sont vraiment : des mercenaires des lobbyistes à gros fric d’Israël.




Comme j’aime ce cheval !

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

12 mai 2022

Dans toute ma jeunesse jusqu’à l’âge adulte, j’ai été un fan de sport. J’ai commencé à jouer dans les sports de championnat organisés quand j’étais en cinquième année. Je suis né et j’ai été élevé en Indiana où les gens mangent, respirent et rêvent au basketball. Chaque école élémentaire – sans mentionner le secondaire et le collège – possède son propre gymnase. Le film Hoosiers (basé sur une autre histoire vraie et palpitante de perdants à propos d’une équipe de basketball de collège d’une petite ville de l’Indiana des années 1950 – avant qu’il y ait des divisions dans le sport collégial) est une description précise de la place que le basketball occupe dans le cœur des habitants de l’Indiana.

J’étais dans l’équipe de basketball de l’École La Porte Park durant mes cinquième et sixième années scolaires. Lors de la saison de ma cinquième année, nous sommes demeurés invaincus et avons gagné le championnat de la ville. Dans la saison de ma sixième année, nous avons perdu deux matchs contre l’École Riley, mais Riley fut battue dans les éliminatoires et nous avons gagné notre second championnat de la ville.

Je répète que c’était à l’école élémentaire.

Durant le reste de mes années scolaires – y compris mes deux premières années au collège – j’ai participé à une variété de sports, incluant le basketball, le baseball, le football, l’athlétisme, la lutte et la boxe. Jeune adulte, j’avais toujours cette folie du sport dans le sang. Je regardais à peu près tous les événements sportifs télévisés que je pouvais.

Je pris pour les Cubs de Chicago quand Ferguson Jenkins, Ernie Banks, Ron Santo, Glenn Beckert, Don Kessinger et Billy Williams jouaient dans un Wrigley Field sans éclairage. Je pris pour les Celtics de Boston quand Larry Bird, Kevin McHale, Robert Parish, Danny Ainge et Dennis Johnson étaient sur le parterre.

J’étais un fan des Packers de Green Bay depuis l’école, regardant les joueurs tout-étoiles de Vince Lombardi : Bart Starr, Jim Taylor, Boyd Dowler, Elijah Pitts, Carroll Dale, Marv Fleming, Jerry Kramer, Bill Curry, Ray Nitschke, Herb Adderley, Bob Jeter, Willie Wood et les autres. Et, bien sûr, je regardais tout plein de matchs des Hoosiers d’Indiana de Bob Knight. Je n’oublierai jamais les sept 3-points de Steve Alford et le tir de 3-points gagnant dans le match, à partir du coin, au son de la sirène, par Keith Smart pour gagner le championnat national en 1987.

J’essayais de regarder les gros matchs professionnels mettant en vedette les Sonny Liston, George Foreman, Cassius Clay, Floyd Patterson et les autres. J’aimais regarder Tom Watson et Jack Nicklaus jouer au golf. J’aimais même voir Earl Anthony lancer sa boule de quille sur l’allée. J’essayais de voir les grandes courses comme les 500 milles d’Indianapolis, les 500 milles de Daytona, et le Derby du Kentucky.

Au fil des ans, toutefois, non seulement ai-je trouvé des choses plus importantes à faire que de regarder les sports à la télé, mais toute la corruption, la tricherie, la rectitude politique et, finalement, la tyrannie Covid m’ont enlevé tout ce qui me restait d’enthousiasme pour le sport, au point où je n’en regarde plus un seul – et ce depuis plusieurs années. En plus, j’en suis venu à la conclusion que les sports – particulièrement le football – sont employés par la classe dirigeante à distraire les hommes en âge de combattre afin qu’ils ne voient pas ce que l’élite fait pour les rendre esclaves.

Mais me voilà à écrire au sujet du Derby du Kentucky de 2022 qui a eu lieu samedi dernier à Churchill Downs à Louisville, au Kentucky.

S’il vous plaît, demeurez avec moi et écoutez jusqu’au bout.

Lundi, ma femme me montra une vidéo de la course de samedi et me dit que je devais la regarder. Or, mon épouse est tout à l’opposé de moi quant aux sports. Elle n’en a jamais suivi. Aucun, Zéro. Zilch. C’est une personne totalement non sportive.

Mais elle était tout excitée et me dis que je devais regarder cette course. C’est ce que je fis. Quelle course ! Je l’ai probablement regardée une bonne vingtaine de fois depuis lors. De toute ma longue vie, je n’ai JAMAIS vu une course pareille. En fait, personne qui vive aujourd’hui n’a vu une course pareille. Il vous faudrait avoir vécu en 1913 pour voir une course semblable.

De nombreux fans de courses de chevaux fidèles disent que ce fut la plus grande course de l’histoire. Je sais que c’est la plus grande course que j’ai jamais vue ; et vous n’aurez pas à argumenter longtemps pour me convaincre qu’il s’agit de la plus grande course de tous les temps.

Voici un récit journalistique de la course – y compris une vidéo de la course.

Le cheval gagnant, Rich Strike, fut le dernier cheval ajouté à la guérite de départ – quelques moments avant la limite – parce que le nombre de vingt chevaux avait été scratché à la dernière minute. Ses chances de gagner était de 80 contre 1. Le cheval, le jockey, l’entraîneur, le panseur et le propriétaire étaient des inconnus. Rich Strike avait été acheté 30 000 $. Il coursait contre des purs-sangs valant des millions de dollars.

Aujourd’hui, Rich Strike est le nom le plus populaire du sport.

D’aussi longtemps que je me rappelle, les experts des courses disent qu’aucun cheval ne peut gagner les grosses courses – et le Derby du Kentucky est la plus grosse – si le cheval n’est pas près de la première ligne dans le dernier droit. Rich Strike était en 17e place (sur 20) au début du dernier droit.

Et il a battu les plus gros noms de la course – Epicenter, Messier, Zandon, etc. – dans ce qui est sans doute le finish le plus spectaculaire de l’histoire de la course.

Voici une vue aérienne de la remarquable victoire de Rich Strike.

D’accord. Vous pouvez lire tout ça dans une centaine de journaux. Pourquoi Chuck Baldwin utilise-t-il son article hebdomadaire spécialisé pour parler d’une course de chevaux ?

Cette course a secoué tout le monde de la course. Des milliers de gens ont perdu de grosses sommes d’argent. Tous les experts sont restés rouges de confusion et sidérés. Ce cheval inconnu a battu des machines de course millionnaires et des experts je-sais-tout ainsi que des rédacteurs sportifs – et il s’est exécuté sur la plus grosse scène de courses de chevaux.

Et j’ajouterais que Rich Strike l’a fait AVEC STYLE. Le regard qu’il jeta sur Epicenter quand il le dépassa à la ligne d’arrivée est absolument inestimable.

Mesdames et Messieurs, cette course illustre en mon cœur ce qui peut survenir en un instant.

On appelle le Derby du Kentucky : « Les deux plus excitantes minutes du sport ». Ça l’est bien, en vérité, et spécialement le 7 mai 2022.

Deux minutes. Ces deux minutes de samedi dernier ont changé la course de chevaux pour de nombreuses années à venir.

Je crois que le Derby du Kentucky illustre bien où nous en sommes en Amérique. Voyons les choses en face : l’avenir ne s’annonce pas bien pour les États-Unis – ou tout le monde libre. Pour emprunter des expressions de course, les chances de l’Amérique de vaincre les machines milliardaires qui orchestrent l’effondrement de la liberté, le gouvernement limité, les principes moraux fondateurs et une saine économie sont sensiblement les mêmes que pour Rich Strike de gagner le Derby du Kentucky.

Mais comme je l’ai dit dans mon message de la Fête des Mères de dimanche dernier, « Car avec Dieu rien n’est impossible, » citant Luc 1:37.

Je suis sûr que la classe dirigeante se convainc avec suffisance qu’elle est sur le bord de la conquête totale. D’abord la tyrannie Covid, ensuite la guerre et le chaos économique. C’est un double uppercut qui repousse l’Amérique dans les câbles – et TOUS les signes montrent que les choses ne peuvent qu’empirer.

De plus, la vaste majorité des Américains – conservateurs comme libéraux, républicains comme démocrates – vont se faire traîner par le bout du nez, l’air penaud, par la machine américaine de propagande. Et la plupart des églises évangéliques font partie de la machine de propagande.

Quand le prophète Élie de l’Ancien Testament fut pourchassé par la reine Jézabel, il cria vers Dieu de l’intérieur d’une caverne et se plaignit qu’il était le seul prophète qui résistait à la tyrannie d’Ahab. Dieu lui rappela qu’il y avait encore 7 000 prophètes qui n’avaient pas plié le genou devant Baal.

En regardant tout autour le paysage politique, civil et religieux, on peut facilement se sentir seul et sans défense, comme Élie. Quand 80 % des évangéliques sont des promoteurs majeurs de la propagande de la tyrannie Covid et de la guerre, tout genre de rétablissement ressemble à Rich Strike gagnant le Derby du Kentucky.

Mais lorsque vous regarderez cette course, vous verrez quelque chose d’indubitable dans ce cheval. Celui-ci courait avec confiance, avec courage et avec CŒUR. Il y avait quelque chose en lui, samedi dernier, qui faisait en sorte qu’il n’acceptait pas la défaite. Il regarda le cheval millionnaire dans les yeux et dit « Pas aujourd’hui ! » Il ne savait pas qu’il était censé perdre.

Même après la course, le cheval était encore en mode de combat. Comme j’aime ce cheval !

Nous devrions tous être des Rich Strike. Oubliez les paris. Oubliez ceux qui se croient des tyrans milliardaires. Oubliez les politiciens millionnaires corrompus. Oubliez les médias de propagande mensongère. Oubliez les prêcheurs poules mouillées.

Lorsque Dieu Tout-puissant sera prêt à dire Son « Pas aujourd’hui ! » à Son Reste courageux et infatigable afin de changer la course, Il pourra le faire en deux minutes.

Mais nous devons posséder ce qu’avait ce cheval de course samedi dernier. Nous devons avoir le courage, l’endurance et la détermination pour mettre tout notre cœur dans cette course pour la Vérité et la Liberté. Et, comme Rich Strike, nous devons refuser d’accepter la défaite.

Comme j’aime ce cheval !