Où sont les hippies anti-guerre quand on a besoin d’eux ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

5 mai 2022

Certains d’entre nous sommes assez âgés pour nous rappeler l’époque de Woodstock et du mouvement hippie. Je parle des années 1960. La guerre au Vietnam battait son plein et la sous-culture hippie anti-guerre sortait en force pour protester contre la guerre.

Ils brûlaient leurs ordres d’incorporation ; certains fuyaient au Canada ; ils marchaient dans les rues par centaines de milliers ; ils organisaient des sit-ins devant les buildings gouvernementaux et les bâtisses d’administration collégiale ; ils peignaient des slogans anti-guerre aux couleurs brillantes sur leurs vans Beetle ; on voyait leur slogan « LBJ, LBJ, combien de jeunes as-tu tué aujourd’hui ? » sur des pancartes dans tout le pays ; et ils contribuèrent éventuellement à mettre fin à une guerre dans laquelle l’Amérique n’aurait jamais dû entrer.

À l’époque, j’étais la quintessence du gars qui fonce vers la guerre. Mon père fit tout en son pouvoir pour me convaincre de ne pas abandonner mes études et joindre la Marine et combattre au Vietnam. Je lui en suis très reconnaissant.

Les hippies avaient tort concernant leur style de vie de promiscuité sexuelle infestée de drogues (même si la « guerre contre la drogue » du gouvernement avait été un fiasco constitutionnel) `et ce style de vie erroné leur a apporté beaucoup de chagrin et beaucoup de sottises, à eux et au pays pendant les nombreuses années qui ont suivi. Mais leur croisade anti-guerre était juste. (Il m’a fallu du temps avant d’arriver à le comprendre.)

À coup sûr, bon nombre d’organisateurs de ce mouvement anti-guerre à ce moment-là n’avaient pas les motifs les plus purs. Ils n’étaient pas nécessairement aussi anti-guerre qu’ils étaient procommunistes. Ces radicaux s’opposaient à la guerre pour des raisons de politique de gauche, pas pour la promotion de la paix. Beaucoup des radicaux des années 1960, au sein de la génération hippie, sont devenus certains des politiciens les plus pro-guerre d’Amérique.

Toutefois, des millions d’hippies ordinaires étaient véritablement pro-paix et anti-guerre pour les bonnes raisons.

Pour ceux d’entre vous qui êtes trop jeunes pour vous rappeler l’époque dont je parle, vous seriez sous le choc de savoir que même les médias de nouvelles de ce temps-là étaient anti-guerre. Chaque soir, dans les émissions de nouvelles des trois principaux réseaux, on nous soumettait des vidéos successifs sur les résultats monstrueux de la guerre : des corps morts et mutilés jonchant les rues des villages, des enfants sans parents et errant nus ça et là en cherchant quelque chose à manger, les visages émaciés et affamés des vieillards, etc.

Il s’agissait de l’époque avant que les lobbys israéliens deviennent la force dominante et déterminante qu’elle est aujourd’hui dans les médias de nouvelles et au sein du gouvernement américain.

Donc, où sont les activistes pacifistes et anti-guerre, aujourd’hui ?

On ne les trouve certainement pas dans nos églises. Plusieurs évangéliques sont, dans le monde, parmi les meneuses de claques les plus enragées en faveur de la guerre. On ne les trouve pas dans les salles de nouvelles des journaux et des magazines d’Amérique. On ne les trouve pas dans les studios de nouvelles télévisées. On ne les trouve pas dans les facultés des établissements d’enseignement d’Amérique.

Où sont les hippies anti-guerres quand on a besoin d’eux ?

Oh ! Comme tous ceux qui proclament être anti-guerre – jusqu’à ce que la guerre éclate. Alors, soudainement, ils deviennent zélés pour la guerre.

Caitlin Johnstone a écrit un superbe article expliquant ce phénomène :

Personne ne se pense belliciste, mais ensuite la machine se met en marche et, avant que vous le sachiez, ils sortent les slogans qu’ils sont programmés à sortir et brandissent les drapeaux qu’ils sont programmés à brandir et consentent à tout ce que la machine de guerre impériale veut à ce moment-là.

Quand on le demande, pratiquement tout le monde vous dira qu’il est pour la paix et déteste la guerre ; la guerre est la pire chose au monde et personne de sain d’esprit ne s’en délecte. Mais lorsque les roues touchent la route et qu’il est temps de s’opposer à la guerre et à revendiquer la paix, ceux qui, précédemment, se proclamaient « anti-guerre », se retrouvent de l’autre côté en hurlant pour déverser encore plus d’armes dans une guerre par procuration que leur gouvernement a délibérément provoquée.

C’est parce que la théorie d’être anti-guerre est bien différente de la pratique. En théorie, les gens sont tout simplement opposés à l’idée de faire exploser d’autres gens sans aucune bonne raison. En pratique, ils sont toujours frappés par un barrage très intense de messages médiatiques leur donnant ce qui semble de très bonnes raisons disant pourquoi ces gens-là doivent exploser.

Être véritablement anti-guerre n’est pas chose facile. Cela ne ressemble pas à ce que les gens s’imaginent. Cela ressemble plus au fait de se faire écraser par un déluge d’information destinée à manipuler et à confondre, et à l’assumer pendant que l’on se fait crier après par ceux qui ont subi le lavage de cerveau. Ce n’est pas joli. Ce n’est pas plaisant. Ce n’est pas l’époque de bien-être du flower power que les gens ressentaient intuitivement quand ils voyaient en eux-mêmes la part où ils cherchaient la paix. C’est se dresser contre la machine de propagande la plus sophistiquée qui ait jamais existée quand on nous offre toutes les raisons de ne pas le faire.

Lorsque les gens se pensent « anti-guerre », ils s’imaginent habituellement comme anti autre guerre en Irak, ou théoriquement anti quelqu’autre président à la Hitler débutant une guerre parce qu’il aime tuer des gens. Ils ne s’illustrent pas réellement ce que c’est en pratique que d’être réellement anti-guerre.

Parce que vendre la guerre au public est un élément inné de toute la stratégie guerrière, la guerre aura toujours l’air nécessaire du point de vue du courant dominant, et elle ne ressemblera pas à ces autres guerres qui, nous le savons maintenant en rétrospective, étaient des erreurs. Elle est toujours conçue pour être attirante. Il y aura toujours une propagande d’atrocité. Il y aura toujours des raisons dont on vous nourrira pour vous vendre cette intervention militaire comme étant spéciale et complètement nécessaire. Ce sera le cas à toutes les fois parce que c’est ainsi que les guerres modernes sont emballées et présentées.

Voilà pourquoi vous allez toujours voir un certain nombre de gens se décrivant gauchistes et anti-impérialistes acclamant le dernier projet de guerre américain. Ils sont idéologiquement opposés à l’idée de guerre en théorie, mais la manière de le démontrer en pratique est toujours différente de ce qu’ils dépeignent.

Notre civilisation entière est formée par la propagande domestique.

La propagande est l’aspect le plus négligé et le plus sous-évalué de notre société. Elle a beaucoup plus d’influence sur la façon de penser, de voter et d’agir du public que tout autre mécanisme officiel pour ce faire, et pourtant, on n’en discute que rarement, on ne l’enseigne pas à l’école, et même les meilleures idéologies politiques y touchent à peine, comparée aux autres domaines sur lesquels elles se concentrent.

La propagande ne fonctionne que sur ceux qui ne savent pas qu’ils sont soumis à la propagande. La capacité de l’empire centralisé aux États-Unis à cacher sa machine de propagande est un élément fondamental de son éclat brillant.

Il faut beaucoup de travail afin de voir assez clair pour se former un point de vue réellement basé sur la vérité. Mais si vous ne le faites pas, il est impossible d’être véritablement anti-guerre, parce que vous ne pouvez vous opposer intelligemment à quelque chose que vous ne comprenez pas. Pour combattre la machine de guerre impériale, il faut combattre la machine de propagande impériale.

Amen, Caitlin !

Et n’oubliez jamais que la « machine de propagande » inclut au moins 80 % des églises évangéliques américaines. Comme les églises évangéliques ont fait partie de la propagande Covid, de même maintenant font-elles parties de la propagande de guerre en Ukraine – même au point de ramasser des millions de dollars des poches des chrétiens crédules pour le boucher sanguinaire et dépravé qui se fait appeler président de l’Ukraine.

Cela ne cesse jamais de m’étonner de voir que les évangéliques peuvent posséder des convictions pro-vie si fortes en ce qui concerne l’avortement (ce qui est admirable) et pourtant posséder des convictions tellement pro-mort quant aux guerres injustes (ce qui est déplorable).

Et vous seriez peut-être surpris d’apprendre que la vaste majorité du monde est du côté de la Russie contre les États-Unis en Ukraine. « Sur 195 pays, seulement 30 ont honoré les sanctions des États-Unis contre la Russie. Cela signifie qu’environ 165 pays dans le monde ont refusé de se joindre aux sanctions. Ces pays représentent de loin la majorité de la population mondiale. »

Que Biden réprimande la Russie pour crimes de guerre est de la plus haute hypocrisie. Depuis que G. W. Bush a lancé son homicide horrifiant de la « guerre contre le terrorisme », les États-Unis (sous Bush, Obama, Trump et maintenant Biden) ont assassiné 6 millions d’innocentes personnes (y compris des bébés) et cela n’inclut pas les 5 millions et plus de Palestiniens que les États-Unis ont aidé Israël à tuer depuis 1948.

Deux fois (2008, 2012) l’Amérique a eu l’opportunité d’élire un véritable président chrétien constitutionnaliste, un vrai homme de paix : le Dr Ron Paul. Et par deux fois, les soi-disant conservateurs et chrétiens républicains ont rejeté la candidature du Dr Paul et ont proposé des bellicistes de l’establishment.

Et voici encore une autre incroyable ironie en ce qui concerne la façon que les conservateurs chrétiens ont rejeté Ron Paul : Si la rumeur s’avère que la Cour Suprême a décidé de renverser Roe vs Wade [le droit à l’avortement], les chrétiens conservateurs de partout vont danser dans les rues – comme moi aussi.

Mais voilà le hic : Pendant des années, le Dr Ron Paul a présenté la Loi sur l’Inviolabilité de la Vie à la Chambre américaine des Représentants, et par laquelle les Présidents et les congressistes républicains auraient pu renverser Roe vs Wade. Et à chaque année, les conservateurs chrétiens bâillaient et l’ignoraient totalement – allant même, dans certains cas, jusqu’à le rejeter carrément.

Si nous pouvons nous fier à l’histoire du Politico disant que la Cour Suprême a voté pour renverser Roe vs Wade, la décision sera probablement une copie carbone du projet de loi sur l’Inviolabilité de la Vie du Dr Paul – ou le projet de loi de Ron aurait en réalité été plus fort. Si les chrétiens pro-vie avaient été derrière le projet de loi de Paul et avaient poussé le GOP à adopter la loi, il y a bien des années, des millions de bébés non-nés auraient été sauvés.

Or, maintenant, ils applaudiront une décision de la Cour Suprême qui reproduit un projet de loi proposé il y a quelques décennies et qui fut sponsorisé par Ron Paul – un projet de loi contre lequel les évangéliques s’opposaient ouvertement.

Et pourquoi s’opposaient-ils au Dr Paul ? Parce qu’il n’était ni belliciste ni un lèche-bottes sioniste. Les évangéliques aiment que leurs politiciens soient des Faucons de la Guerre et des sionistes. Mais alors, les deux vont ensemble.

Considérant la manière que les évangéliques rejetèrent Ron Paul, et considérant le fait qu’ils acclament et applaudissent la mort et la destruction à l’échelle globale par des guerres injustes, il semble clair que de nombreux évangéliques ne sont pro-vie que lorsque cela s’avère politiquement opportun.

Comme je l’ai dit, où sont les hippies anti-guerres quand on en a besoin ?




« La guerre est un racket », et cela inclut la guerre en Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

28 avril 2022

Le toujours consistent champion de la paix, Ron Paul, est dans sa bonne forme habituelle dans son récent article La guerre en Ukraine est un racket :

« La guerre est un racket, » écrivit le major-général américain Smedley Butler, en 1935. Il explique : « Un racket est, je crois, le mieux décrit comme étant quelque chose qui n’est pas ce qu’il semble pour la majorité des gens. Seul un petit groupe à “l’interne” sait de quoi il s’agit. Il est mené au bénéfice d’un très petit nombre, au dépend de beaucoup d’autres. Un petit nombre de gens soutirent une énorme fortune de la guerre. »

L’observation du général Butler décrit parfaitement la réaction US/OTAN dans la guerre en Ukraine.

La propagande continue d’illustrer la guerre en Ukraine comme celle d’un Goliath non provoqué en route pour décimer un innocent David à moins que nous, les USA et l’OTAN, contribuions par des quantités massives d’équipement militaire afin que l’Ukraine vainque la Russie. Comme c’est toujours le cas de la propagande, cette version des événements est manipulée afin de susciter une réaction émotive au bénéfice d’intérêts spéciaux.

Un de ces groupes d’intérêts spéciaux qui profite énormément de la guerre, c’est le complexe militaro-industriel américain. Le PDG de Raytheon, Greg Hayes, a dit récemment dans une rencontre d’actionnaires : « Tout ce qui est expédié aujourd’hui en Ukraine provient, bien sûr, des stocks de réserve, soit du DOD, soit de nos alliés de l’OTAN, et ce sont de très bonnes nouvelles. Éventuellement, nous devrons nous réapprovisionner et nous verrons le commerce faire du bénéfice. »

Il ne mentait pas. Raytheon, ainsi que Lockheed Martin et d’innombrables autres manufacturiers d’armement profitent d’une manne qu’ils n’avaient pas eue depuis des années. Les États-Unis ont engagé plus de trois milliards de dollars dans l’aide militaire à l’Ukraine. Ils appellent cela de l’aide, mais c’est en réalité du bien-être d’entreprise : Washington qui envoie des milliards de dollars aux manufacturiers d’armement pour des armes expédiées outremer.

Au dire de beaucoup de gens, ces expéditions d’armes, comme le missile antitank Javelin (conjointement manufacturé par Raytheon et Lockheed Martin) se font exploser aussitôt qu’ils arrivent en Ukraine. Cela ne dérange pas Raytheon du tout. Plus les Russes font exploser d’armes en Ukraine, plus de nouvelles commandes viennent du Pentagone.

Les anciens pays du Pacte de Varsovie, maintenant membres de l’OTAN, font aussi partie de l’ARNAQUE. Ils ont découvert comment disposer de leurs armes de fabrication soviétique et vieilles de plus de trente ans, et recevoir du remplacement moderne des États-Unis et d’autres pays occidentaux de l’OTAN.

Bien qu’un grand nombre de gens qui sympathisent avec l’Ukraine applaudissent, ce paquet d’armes de plusieurs milliards de dollars ne fera pas une grosse différence. Comme l’a dit un ancien officier des renseignements de la Marine américaine, Scott Ritter, dans un Liberty Report de Ron Paul, la semaine dernière : « Je puis dire avec une certitude absolue que, même si cette aide se rend jusqu’au champ de bataille, cela n’aura aucun impact sur le combat. Et Joe Biden le sait bien ! »

Nous voyons les Russes s’emparer à la tonne des armes modernes des États-Unis et de l’OTAN et même les employer à tuer encore plus d’Ukrainiens. Quelle ironie. Aussi, quel genre d’opportunités ne sera-t-il pas fourni aux terroristes avec ces milliers de tonnes d’armement mortel de haute technologie circulant en Europe ? Washington a admit qu’il n’y a pas moyen de retracer les armes que l’on envoie en Ukraine et aucune façon d’empêcher qu’elles tombent dans les mains de méchants garçons.

La guerre est un racket, c’est sûr. Les États-Unis s’ingèrent en Ukraine depuis la fin de la Guerre Froide, allant jusqu’à renverser le gouvernement en 2014 et semant les graines de la guerre dont nous sommes aujourd’hui témoins. La seule manière de sortir du trou, c’est d’arrêter de creuser. N’espérez pas cela pour bientôt. La guerre est trop profitable.

Amen et amen !

Zerohedge.com cite la remarquable analyse de GLOBAL INTEL HUB sur les sinistres plans économiques à l’œuvre et impliquant le conflit en Ukraine.

  1. Manque de refuge sûr – La Fed américaine a saisi plus de 800 milliards de dollars en Russie et dans les atouts associés. Si vous êtes un investisseur qui ne vient pas des États-Unis, vous devrez y penser à deux fois avant de conserver des fonds en « sécurité » aux États-Unis. Il y a de nombreuses alternatives, comme Singapour, la Suisse, Dubaï, les îles Caïman, pour n’en nommer que quelques-unes. Disons-le autrement, la « fuite vers la sécurité » n’est plus « d’acheter des dollars » – peu importe ce qui remplacera le dollar américain, il importe qu’il soit remplacé.
  2. Manque de pétrodollar – Sanctionner le plus gros producteur de pétrole au monde a fait en sorte que la Russie exige que l’on paie le pétrole en rouble, de manière à ce que la nouvelle devise globale pour le pétrole soit le rouble. En parallèle, la Russie fixe le cours du rouble sur l’or, de telle sorte que le rouble est maintenant appuyé sur le pétrole et l’or. Soit que la plupart des pays du BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine) en fassent autant ou qu’ils soient d’accord pour faire le commerce du pétrole en yuan ou en rouble. Le blocage de l’administration Biden de la production de pétrole américaine n’a pas aidé, et ce n’était pas non plus un signal des leaders américains qu’ils allaient combattre l’inflation par plus d’inflation. La Chine a été d’accord pour transiger le pétrole avec le yuan ou le rouble pour sa base manufacturière assoiffée, établissant un précédent par son puissant refus du dollar américain.
  3. Changement de la SWIFT au SPFS-CIPS – Le bannissement de la Russie de la SWIFT [Société de télécommunication financière interbancaire mondiale] a forcé ceux qui étaient bannis à chercher une alternative. La Russie et la Chine possédaient une alternative à la SWIFT, qu’elles développent depuis des années, comme le CIPS [China International Payments System – Système de paiement interbancaire transfrontalier] et le Nium basé à Singapour.
  4. Déménagement vers le yuan – Avant les événements entourant le conflit russo-ukrainien, la Chine était perçue comme un château de cartes toxique. Cela a drastiquement changé avec des milliards affluant en yuan, non seulement de la Russie, mais aussi de partenaires de la Russie qui vont joyeusement régler leurs transactions en yuan, et voient en la Chine une superpuissance moins agressive et plus compréhensive (alors que la Chine fait les frais de l’hégémonie américaine).
  5. Statut de réserve mondiale abandonné – Durant une crise, la Fed fournit les Dollars au besoin via des accords d’échanges et le gouvernement américain supplée à l’aide par l’intermédiaire d’entités contrôlées par les ONG et DC, comme le Fonds Monétaire International, la Banque Mondiale, etc. Les actions prises contre la Russie sont sans précédent. Tout en jouant à la superpuissance militaire globale, les États-Unis ont toujours conservé en sûreté entre leurs mains les fonds des ennemis, même s’il s’agissait d’Adolf Hitler ou de Saddam Hussein. En effet, la Banque de la Réserve Fédérale a même fondu l’or nazi pour ensuite l’engraver de nouveau – vous parlez d’un service aux gants blancs. Cela a permis à la guerre de se poursuivre, sans mentionner les milliards en financement fournis par les banquiers américains pour financer l’autre côté (les Nazis), souventes fois directement à Hitler lui-même.
  6. Hypersoniques – Le dollar américain n’est « supporté par rien », comme beaucoup le déclarent. En réalité, il est soutenu par les bombes – ou, en d’autres mots, la Supériorité militaire américaine. La Marine protège les routes commerciales, les Forces aériennes protègent les communications, etc. La Russie a utilisé un missile hypersonique pour descendre une base secrète de l’OTAN à l’intérieur de l’Ukraine. Le message envoyé à l’Occident était évident – les missiles hypersoniques n’ont pas de parade ni d’avertissement, et parce qu’ils sont tellement rapides, l’on n’a même pas besoin de les armer (avec une bombe nucléaire, par exemple). Bien que les États-Unis ne soient pas officiellement impliqués dans la guerre (même si l’on a vu de nombreux Américains combattre les Russes en Ukraine), il s’agit d’une victoire de la Russie dans la guerre cinétique. En employant des armes hypersoniques, les Russes pourraient descendre la Marine américaine et les bases militaires en une période de temps relativement courte. Bien sûr, les États-Unis pourraient réagir en « vitrifiant Moscou », mais là n’est pas la question. La guerre est une partie d’échec, et la Supériorité de l’armée américaine a fait en sorte que le dollar américain règne sans partage depuis que les Britanniques ont passé le flambeau aux Américains, il y a quelques générations. La politique étrangère américaine se compose de 80 % d’Orgueil démesuré et de 20 % de Supériorité technologique – la Supériorité qui demeure se limite à l’Espace. L’unique endroit où les États-Unis possèdent un avantage massif sur la Russie et la Chine, c’est l’Espace. De toute façon, ici, le contexte se situe dans le sort du Dollar US comme devise de réserve mondiale.
  7. Les BRICs et l’OPEC cherchent des alternatives – Maintenant qu’un grand nombre est forcé de se convertir au rouble et au yuan pour acheter du pétrole, beaucoup cherchent des réseaux de paiement alternatifs. Ce n’est pas une voie à sens unique – la Russie a imposé des contrôles de capital et des ressortissants russes ont pris environ trente jours pour installer des compagnies au Kazakhstan, en Chine, à Hong-Kong, à Singapour et dans d’autres endroits pour circonvenir les règles. Cela a fait affluer davantage de centres de capital alternatifs (autres que NY/Londres) et ces endroits sont littéralement inondés de nouvelles entreprises.
  8. Les États-Unis, importateurs nets – Puisque 80 % des biens sont manufacturés en Chine, les acteurs économiques américains doivent payer pour les mêmes matériaux avec leurs dollars hyper gonflés. En d’autres mots, la valeur du Dollar US en décroissance se voit à la pompe et au marché d’alimentation.

Pourquoi détruire votre propre devise ? Pour le profit !

Nous devrions tous nous poser la question à savoir pourquoi les faiseurs de politiques [occidentales] veulent ruiner leur propre devise. Il n’y a pas de réponse courte à cela, sauf un seul mot : le Profit. C’est le modèle économique du tueur à gages Soros appliqué à tout le pays qui a créé cela. Les frères Dulles, Kermit Roosevelt et William Stephenson (l’intrépide) ont créé un modèle économique d’Impérialisme mêlé au Capitalisme marchand (monopole de politique canonnière) exactement quand les Britanniques passèrent le flambeau aux Muricans. Les Yankees en retirèrent tout le crédit, mais nous savons tous qui tire encore les ficelles à partir de Londres – le même groupe qui contrôle le marché de l’or et la moitié des finances du monde.

Le modèle est tout simple. Premièrement, vous financez l’activisme et soutenez un candidat politique controversé comme Zelensky (un acteur est tout indiqué parce que c’est ce que le rôle demande). Ses points de vue et ses politiques n’ont pas de rapport, il n’a qu’un seul travail à faire et vous l’avez assez graissé avec des appartements à Miami et de la drogue, et des femmes (et des garçons, pour le goût) qu’il est littéralement votre pantin. Un seul appel téléphonique et toutes les photos de lui en train de faire le vilain se retrouvent partout. Mais ça ne l’inquiète pas, il est payé des dizaines de millions de dollars pour ne faire qu’une seule chose : accepter les 20 % d’intérêt sur un prêt du FMI [Fonds Monétaire International]. Il n’y a aucune façon de le rembourser. Lorsqu’arrivera le défaut de paiement, le pays donnera finalement ses matières les plus précieuses, quelles qu’elles soient.

Les États-Unis sont évidemment un peu plus compliqués parce que la plupart de ces prêts et de ces programmes proviennent des États-Unis – mais le modèle est le même. Cela implique toujours une dévaluation de la devise, de l’agitation civile et parfois une « révolution » sanglante qui ressemble plus à un coup de tueurs à gages. Biden est à vendre, de même que les États-Unis, et leur plan est de briser l’Amérique en petits morceaux et de la revendre aux plus offrants (elle a plus de valeur ainsi).

Et n’oubliez pas que l’inflation est bonne pour le riche et mauvaise pour le pauvre. En d’autres termes, c’est une guerre entre ceux qui ont et ceux qui n’ont pas. Voyez comme les portefeuilles de la classe à la valeur nette ultra élevée ont gonflé durant le Covid, pendant que les classes moyenne et inférieure ont souffert.

Rappelons-nous que la Fed peut créer autant de Dollars US qu’elle veut, le système fonctionnant en donnant le pouvoir aux banques membres qui possèdent la Fed. La guerre est toujours précédée ou suivie d’une dévaluation de devise. 25 % est un bond énorme pour ce que l’on appelait la Devise de Réserve Globale. Si vous pensez que ce chiffre n’est pas exact, vérifiez votre reçu à la station d’essence, au marché d’alimentation, ou chez Lowes pour des achats de bois. Tout monte, et ce n’est pas seulement à cause du pétrole. Voici quelques autres facteurs techniques qui surviennent, tels que la diminution des exigences de la Trésorerie américaine.

Maintenant, lisez soigneusement ce dernier paragraphe :

Dans les six prochains mois, nous allons certainement voir une détérioration supplémentaire de la valeur du Dollar US, mais la réaction du public demeure incertaine. Même si les Élites aimeraient que nous croyions que l’avenir est déterminé par eux, il ne l’est pas. Quand on montre des sondages dans les médias, c’est afin de changer l’opinion publique. Des études montrent que si vous exposez des études avec un certain penchant, ou qu’elles étudient la mauvaise chose, cela affectera la conscience de masse. Comment les gens, les entreprises et les autres acteurs économiques réagiront aux pénuries de nourriture, aux manques de produits ou aux crashs boursiers déterminera quel cours l’avenir prendra.

S’il vous plaît, lisez ce dernier paragraphe jusqu’à ce qu’il soit bien ancré dans votre esprit.

Les Élites qui mènent la barque dans la guerre d’Ukraine utilisent ce conflit pour leur propre bénéfice financier. C’est ce qu’ils font toujours. Cette guerre n’a PAS de rapport avec la survie de la « démocratie » en Europe, ou la défense de la liberté – ni dans sa forme, ni dans sa manière. L’implication de l’Occident dans cette guerre se rapporte à l’ARGENT pour les Profiteurs de la Guerre, comme l’a dit le général Butler en 1935.

L’analyse citée ci-haut décrit parfaitement comment les Élites occidentales planifient employer la guerre en Ukraine pour contribuer à détruire le Dollar US (qui coule de toute manière) et concevoir une nouvelle devise – sans doute digitale – qui, comme expliqué plus haut, dévaluerait les comptes de banques de tout le monde et anéantirait pratiquement toute la classe moyenne, en rendant la classe des milliardaires encore plus riches que ce qu’on peut imaginer.

Les leaders occidentaux ne font PAS la guerre à la Russie (excepté qu’ils détestent Poutine qui résiste aux Changeurs d’argent à Londres, à New York et à Tel-Aviv) ; ils font la guerre à la sécurité financière et au bien-être de leurs propres peuples – et cela compte double pour Biden et les États-Unis.

Mais comme le déclare le dernier paragraphe cité plus haut :

Même si les Élites aimeraient que nous croyions que l’avenir est déterminé par eux, il ne l’est pas … Comment les gens, les entreprises et les autres acteurs économiques réagiront aux pénuries de nourriture, aux manques de produits ou aux crashs boursiers déterminera quel cours l’avenir prendra.

En d’autres mots, nous, le peuple, allons déterminer le résultat final de cette attaque contre notre Liberté et notre Prospérité. Les plans de l’Élite vont tourner court si nous, le peuple, ne nous permettons plus d’être manipulés par eux.

Cela requiert que nous rejetions la propagande perpétuelle des médias en ce qui concerne l’Ukraine et que nous commencions à exiger que les États-Unis ne se mêlent pas de ce conflit (ce qui mettrait presque immédiatement fin au dit-conflit) et commencent à rectifier les folles habitudes de dépense du gouvernement américain – ce qui est un présage d’inflation galopante et de ruine financière éventuelle pour le peuple américain – et retournent à de sains principes financiers.

Les criminels de D.C. espèrent que, à mesure que l’inflation continue d’escalader, à mesure que vos revenus chutent sous le niveau du coût de la vie, à mesure que plonge le marché boursier, à mesure que la nourriture et autres nécessités deviennent de plus en plus difficiles à trouver, vous fixerez tellement vos regards sur le combat dans une fausse guerre à la défense d’un comédien ukrainien qui se fait appeler président que vous ne remarquerez pas que les mécréants machiavéliques qui dirigent ce plan à la Ponzi sont sur le point de vous dépouiller de vos libertés ainsi que de votre stabilité financière, et nous amènent dans un système féodal où ils sont les maîtres et nous les serfs.

Ce que feront les Américains dans les prochains six mois déterminera probablement notre avenir pour les six prochaines générations.

[« Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses… » 1 Timothée 6:10) « Or maintenant, vous riches, pleurez, et poussez de grands cris à cause des malheurs, qui s’en vont tomber sur vous » (Jacques 5:1).]




D’autres mythes (de la CIA) concernant l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 avril 2022

Nous pourrions appeler le conflit en Ukraine Covid-22, parce que les mêmes propagandistes qui ont créé la fausse narration Covid-19 créent maintenant la fausse narration Ukraine.

Je m’en vais directement à l’excellent traité de Lew Rockwell :

Tout Américain raisonnable convient que nous ne devrions pas nous impliquer dans la guerre Russe-Ukraine. Les bellicistes néoconservateurs, avec un Joe Biden sans cervelle comme figure de proue, veulent détruire la Russie, et ils sont prêts à risquer une guerre nucléaire pour ce faire. Mais cela n’annule pas ce que je viens de dire. Ces monstres sont tout sauf raisonnables. Mais, parlant de monstres, cela nous amène à une autre question. Tout le monde connaît la position de John Quincy Adams : « L’Amérique ne va pas à l’étranger à la recherche de monstres à détruire. » Est-ce la raison pour laquelle nous devrions nous tenir loin de la guerre en Ukraine ? Poutine est-il un monstre n’amenant que la mort et la destruction à un peuple innocent, ou quelqu’un dont nous devons ignorer les actions parce qu’il est trop dangereux d’agir contre lui ? Les gens qui disent cela ignorent ce qui arrive. Poutine est un homme d’état raisonnable, aux intérêts de sécurité légitimes, et le prétendu héro Zelensky est un personnage douteux.

Pourquoi les gens pensent-ils autrement ? Une des raisons, c’est les accusations d’atrocité attribuées aux Russes à Bucha. Ces accusations ne sont que cela, des « accusations ». Les fausses déclarations d’atrocité sont souvent la façon prise pour enflammer les gens dans le but qu’ils soutiennent la guerre, et les accusations de Bucha en sont le dernier exemple. Christopher Roche, qui n’est pas pro-Poutine, explique pourquoi nous ne devrions pas nous laisser avoir par cela : « Les reportages et les photographies montrant un apparent massacre à Bucha, en Ukraine, sont vraiment terribles. Ils nous rappellent les atrocités utilisées pour galvaniser l’opinion occidentale durant les Guerre yougoslaves des années 1990, quand le massacre de Srebrenica et le siège de Sarajevo furent imprégnés dans la conscience occidentale. »

Évidemment, les photos ne racontent pas toujours toute l’histoire. Par exemple, pour déterminer si un crime de guerre a eu lieu, nous devons savoir qui a exécuté la tuerie, pourquoi et comment. Après tout, les États-Unis ont tué de nombreux milliers d’Irakiens et d’Afghans, souvent par accident, au cours de ces guerres. Peu de gens, aux États-Unis ou en Europe, appelleraient ces actions des crimes de guerre. Tout est devenu apparent après que les États-Unis se disculpèrent d’avoir annihilé une famille afghane par une frappe de missile durant le retrait des forces américaines l’été dernier. Oups.

Si des civils ont été tirés et tués à dessein à Bucha, c’est sans aucun doute un crime de guerre et une chose horrible. Mais il y a de bonnes raisons de croire que le soi-disant Massacre de Bucha ne fut pas le fait des Forces russes, mais plutôt des Ukrainiens – soit la milice locale, soit le SBU, ou encore une combinaison des deux – comme faisant partie des représailles brutales contre les « saboteurs » et les « collaborateurs russes ».

Premièrement, cela s’accorde avec le modèle des Forces ukrainiennes qui violent les règles de la guerre, comme le prouvent de nombreuses vidéos montrant les fusillades de prisonniers, la torture de civils et autres choses du même genre. Contrairement aux photos figées de Bucha, les vidéos montrent le déroulement des actions elles-mêmes, comme d’ailleurs les auteurs, ce qu’a même reconnu récemment le New York Times.

Deuxièmement, le Président ukrainien Voldomir Zelenskyy a donné un grand nombre de discours appelant à la punition des « saboteurs » et des « traîtres » en disant que la guerre se terminera finalement par la « dé-russification » de l’Ukraine. Ce sont des paroles dures qui tendent clairement à enflammer et à encourager les éléments les plus extrêmes.

Troisièmement, l’atmosphère en Ukraine est mûre pour les crimes de guerre. Alors que les supporteurs du Deuxième Amendement américain étaient naturellement encouragés par le cadeau d’armes du gouvernement ukrainien, certaines de ces armes finirent entre les mains de criminels et de personnages indisciplinés. Ce n’était pas par mégarde ; l’Ukraine a délibérément libéré des prisonniers avec expérience de combat afin de leur permettre de se battre. On ne peut attendre des membres de ce groupe qu’ils deviennent de scrupuleux adhérents aux lois de la guerre.

Il y a également beaucoup de récits documentés au sujet d’Ukrainiens se tuant les uns les autres par paranoïa à cause des espions et des saboteurs. Il est assez facile de voir pourquoi. Il y a un cheveu de différence entre les Ukrainiens et les Russes et un grand nombre dans l’Est ne parlent que le russe, ont soutenu les Russes, ou à tout le moins n’ont qu’une attitude peu enthousiaste envers le régime ukrainien. Cela attise la possibilité de violence intestine, ce qui sera rationalisé après coup comme le nettoyage de traîtres et de membres de la cinquième colonne.

Quatrièmement, le moment de la sortie des rapports a créé des doutes réels à savoir si les Russes avaient perpétré le Massacre de Bucha. Il est largement reconnu que les Forces russes ont quitté Bucha le 30 mars. Ensuite, le maire de Bucha a joyeusement annoncé leur retrait le 31 mars, sans aucune mention de massacres, de cadavres dans les rues et autres crimes de guerre. Finalement, le SBU ukrainien dit qu’il avait emménagé à Bucha le 2 avril afin de diriger une opération de « nettoyage » contre les saboteurs et les traîtres.

Les photos de cadavres ne sont apparues que le 2 avril et puis Zelenskyy s’est présenté afin de faire la tournée avec les journalistes internationaux. Reuters et le New York Times ont aussi posté des images satellites Maxar montrant apparemment des corps dans les rues, plus tôt, le 19 mars, Ce n’est pas aussi convaincant que ce pourrait l’être ; des cadavres laissés dehors pendant deux semaines ne seraient pas dans la condition de ceux montrés dans les photos du 2 avril, mais ils seraient plutôt décomposés de manière significative. S’il y avait eu des cadavres dans les rues plus tôt en mars – que ce soit des combattants ou des civils – ce serait des gens différents que les civils décédés et montrés le 2 avril.

Au lieu de cela, il est question de savoir si les récits d’atrocités conduiront à l’implication des États-Unis dans une autre guerre qui ne fait rien pour mettre de l’avant les intérêts nationaux américains. Que ce soit le Viol de la Belgique allégué dans la Première Guerre Mondiale, le génocide au Kosovo, ou les soldats irakiens « enlevant des bébés des incubateurs » au Koweït, les horribles et faux récits d’atrocité ont été utilisé auparavant pour encourager l’implication occidentale dans des guerres inutiles. Quant aux enquêtes criminelles ordinaires, il vaut toujours la peine de se demander si la source a motif de mentir à propos de la culpabilité.

La Russie a demandé une enquête indépendante sur ces événements par le Conseil de Sécurité des Nations Unies, mais la présidence actuelle, le Royaume-Uni, a apparemment refusé de convoquer le Conseil. Pourquoi ? Une enquête indépendante n’aurait-elle pas été le meilleur moyen de déterminer ce qui s’est passé ? Bien sûr, ici, la vérité est secondaire, et ni l’Ukraine ni l’Occident n’auraient d’intérêt à découvrir l’étendue des crimes de guerre ukrainiens. À la place, les États-Unis et l’Union européenne se consacrent à prolonger la guerre afin d’affaiblir et de punir la Russie, même si la prochaine étape pourrait probablement être bien pire pour toutes les parties impliquées, avec un gouvernement de Kiev demandant, dans ses plus récentes communications, l’évacuation en masse de l’Est.

Malgré tout l’encre coulé pour condamner ce qu’on appelle le Massacre de Bucha, on se demande si les appels à des procès pour crimes de guerre et les déclarations disant que le gouvernement responsable de cela est illégitime seront retirés s’il se trouve que, non pas Vladimir Poutine et la Russie, mais Voldomyr Zelenskyy et l’Ukraine sont responsables de ce qui est arrivé à Bucha. Poser la question, c’est y répondre.

Les vraies atrocités se commettent par les Forces de Zelnskyy, ce qui comprend des néo-nazis. Les Russes se rappellent des horreurs de l’invasion allemande lors de la Deuxième Guerre Mondiale et ils ne veulent pas que cela se répète. D’où l’exigence de Poutine à ce que le gouvernement ukrainien purge les éléments nazis de son gouvernement, particulièrement ceux que l’on trouve dans le régiment Azov. Comme le dit Joe Lauria : « Le Président ukrainien Volodimyr Zelensky a fait une tournée mondiale virtuelle avec relais vidéos vers les parlements autour du monde, ainsi qu’aux Grammy Awards et au Conseil de Sécurité des Nations Unies, parfois avec des résultats pénibles. »

Jugeons de la sagesse du grand Dr Ron Paul qui nous a mis en garde contre le fait d’aller en guerre par l’intermédiaire des faussetés de la CIA concernant des atrocités commises : « La semaine dernière, un article extraordinaire est apparu, entre autres endroits, dans les Nouvelles NBC, rapportant que la communauté des renseignements américains alimente sciemment de l’information, qu’elle ne croit pas exacte, au grand courant médiatique américain pour la faire consommer à l’auditoire américain. »

En d’autres mots, l’article rapporte que « l’état profond » américain admet s’engager activement à mentir au peuple américain dans l’espoir de pouvoir manipuler l’opinion publique.

J’ai creusé le sujet des mensonges de la CIA – y compris l’admission d’NBC – dans mon bulletin de la semaine dernière.

Pourquoi le gouvernement américain insiste-t-il pour prolonger et exacerber ce conflit ? Je crois que Rockwell a raison : les profiteurs de la guerre à Washington, D.C., VEULENT une guerre contre la Russie. En premier lieu, il n’y a jamais eu de guerre que le Parti de la Guerre, bien installé à D.C. n’ait pas aimée – et contribué à déclencher.

En second lieu, Joe Biden et le reste des criminels au sein de la Périphérie savent que l’économie américaine s’enfonce dans une spirale « mauvaise et plus mauvaise » – et ils savent qu’ils en sont responsables. La guerre est la distraction parfaite pour détourner l’attention du peuple américain de leurs propres malheurs économiques causés par leurs propres leaders politiques et ceux-ci leur fournissent un « monstre étranger » à haïr.

Je vais répéter ce que je dis depuis plus de vingt-cinq ans : Nous avons plus à craindre de la part des misérables mécréants de Washington, D.C., que de n’importe qui d’autre. Si vous voulez trouver des monstres, vous n’avez pas à regarder outremer pour les trouver ; vous n’avez qu’à jeter un coup d’œil sur le putride marais au bord du Potomac, et vous en trouverez des centaines.

Les demandes de Poutine sont raisonnables. L’Ukraine n’a pas d’affaire dans l’OTAN. En plus, les néo-nazis de la milice militaire ukrainienne Azov sont les vrais criminels de guerre. Cela fait des années qu’ils commettent des meurtres de masse et des génocides contre le peuple russophone du Donbass. La défense russe de ces victimes innocentes contre les oppresseurs nazis ukrainiens est plus que justifiée – particulièrement après que le peuple du Donbass se soit séparé légalement du gouvernement ukrainien et ait fait appel à la protection de la Russie.

La terre des Khazars (Ukraine) est remplie de corruption, de barbarie, de meurtre et de guerre depuis le 6e siècle. C’est une terre qui n’a jamais compris ou apprécié la civilité ni la loi. Les dirigeants sans foi ni loi de l’Ukraine ont rejoint presque tous les tyrans et les despotes (et les brutes et les gangsters) qui se sont présentés – incluant particulièrement Hitler. Qualifier de « héros » Zelenskyy et sa bande assoiffée de sang de mercenaires nazis et risquer une Troisième Guerre Mondiale pour défendre ces adeptes d’Hitler, c’est le sommet de la démence.

S’il vous plaît, lisez ce rapport-ci à propos d’un infâme mercenaire nazi ukrainien.

Les mythes créés par la CIA ont conduit l’Amérique dans pratiquement toutes les guerres dans lesquelles nous nous sommes engagés depuis que l’agence a été créée en 1947 : de la Corée au Vietnam, à la Guerre du Golfe, à la Somalie, à Haïti, à la Bosnie, au Kosovo, au Liban à l’Afghanistan, à l’Irak, au Yémen, au Pakistan, au Kenya, en Lybie, en Ouganda et en Syrie.

Et il semble maintenant que les mythes de la CIA amènent l’Amérique dans une guerre contre la Russie.

Pendant combien de temps Dieu laissera-t-Il les États-Unis survivre à leur propre stupidité ?




L’Occident s’autodétruit

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

14 avril 2022

L’Amérique et l’Europe occidentale semblent obsédées par la peur de la Russie. Qu’importe si la puissance militaire combinée des États-Unis et de l’OTAN éclipse littéralement celle de la Russie, l’Occident se comporte comme si la Russie était sur le point de conquérir le monde.

Il n’y a pas de doute que la Russie est une des superpuissances du monde en termes de missiles nucléaires ; mais si c’est la guerre nucléaire qui effraie l’Occident, pourquoi menace-t-il la Russie en encerclant ce pays de bases militaires et de missiles hypersoniques ? Pourquoi l’OTAN pousse-t-elle la Russie en violant les ententes de ne PAS empiéter sur la frontière russe ? Pourquoi les États-Unis et l’OTAN entreprennent-ils des manœuvres militaires aux portes de la Russie ? On pourrait avoir l’idée que l’Occident tente d’aiguillonner la Russie vers une guerre nucléaire.

Avec les États-Unis qui encerclent la Russie de bases et de missiles, nous n’avons pas oublié que la Russie ne se trouve qu’à 55 milles de l’Alaska, n’est-ce pas ?

L’Amérique et l’Europe de l’Ouest devraient s’inquiéter davantage de ce qu’ils se font à eux-mêmes plutôt que ce que la Russie peut leur faire, parce que l’Occident s’autodétruit.

Comme l’a dit le célèbre personnage de bande dessinée, Pogo : « Nous avons rencontré l’ennemi, et c’est nous. »

Daniel Webster le dit ainsi :

Si nous sommes fidèles aux principes enseignés dans la Bible, notre pays va continuer à prospérer et à prospérer ; mais si nous et notre postérité négligeons ses instructions et son autorité, aucun homme ne peut prévoir la soudaine catastrophe qui nous engloutira et enterrera notre gloire dans l’obscurité profonde.

Les principes bibliques de Liberté de la loi naturelle et le constitutionalisme ont été expulsés de Washington, D.C., à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. (Plusieurs argueraient qu’Abraham Lincoln a décimé ces principes en 1861.)

Alors que l’Occident est obnubilé à l’idée de prendre sa revanche contre la Russie sur l’Ukraine, il ne semble pas remarquer qu’il se met lui-même la corde autour du cou.

Avec tous ces marionnettistes qui contrôlent ces jours-ci les leaders politiques, il est difficile de déterminer l’intelligence individuelle de ces leaders. Il appert toutefois que l’intelligence de Poutine de la Russie écrase celle de Macron de la France, de Duda de la Pologne, de Johnson de la Grande-Bretagne, de Scholz de l’Allemagne – et particulièrement celle de l’imbécile qui réside au 1600 de l’Avenue Pennsylvania à Washington, D.C.

Par exemple, la décision de Poutine de relier le rouble russe à l’or fut un coup de génie. (Le rouble basé sur l’or pourrait-il remplacer le prétrodollar ? Ce n’est pas tiré par les cheveux.)

De toutes les décisions crétines que le Président américain Richard Nixon a prises, sa décision d’enlever le standard-or de l’Amérique fut sa pire décision – d’un point de vue constitutionnel de gouvernement limité et de la Liberté, s’entend. Les politiciens du Gros Gouvernement, les Grands Banquiers et le complexe militaro-industriel adorèrent ça.

Relier le rouble à l’or change la donne économique – en particulier si l’on considère toutes les sanctions économiques prises contre la Russie par l’Occident. Laissez-moi l’établir ainsi : ça va être un hiver TRÈS FROID pour l’Europe de l’Ouest.

De TheCradle.com :

Signal des conséquences économiques catastrophiques à venir ressenties par les Européens dans leur vie quotidienne (mais pas par les cinq pourcent les plus riches) : inflation dévorant les salaires et les épargnes ; factures d’énergie du prochain hiver qui en prennent un coup ; produits qui disparaissent des supermarchés ; réservations des fêtes presque gelées. Le Petit Roi de France, Emmanuel Macron – faisant peut-être face à une désagréable surprise électorale – a même annoncé : « Les timbres de nourriture comme dans la Deuxième Guerre Mondiale sont une possibilité ».

Nous voyons l’Allemagne qui fait face au fantôme de l’hyperinflation de Weimar. Le Président de BlackRock, Rob Kapito, a dit, au Texas : « Pour la première fois, cette génération va se rendre dans un magasin et ne sera pas en mesure d’obtenir ce qu’elle veut. » Les fermiers africains ne sont pas du tout capables de se permettre des fertilisants cet été, réduisant la production agricole d’une quantité qui pourrait nourrir 100 millions de personnes.

Jusqu’ici, la Russie vendait 155 milliards de mètres/cube de gaz à l’Europe chaque année. L’UE a théoriquement promis de s’en débarrasser d’ici 2027, et de réduire de 100 milliards de mètres/cube avant la fin de 2022. Gromov demande « comment »  et fait remarquer que « aucun expert n’a la réponse. La plus grande partie du gaz naturel de la Russie est acheminée par pipelines. On ne peut tout simplement pas le remplacer par du Gaz Naturel Liquéfié (GNL). »

La risible réponse de l’Europe fut « commencez à épargner », comme dans « préparez-vous au pire » et « réduisez la température dans vos foyers ». Gromov nota qu’en Russie « 22 à 25 degrés en hiver est la norme. L’Europe fait passer 16 degrés pour “sanitaire” et fait la promotion du port de chandails pendant la nuit. »

L’Europe ne pourra pas obtenir de la Norvège ou de l’Algérie le gaz naturel dont elle a besoin (ces pays privilégiant la consommation domestique). L’Azerbaïdjan pourrait fournir au mieux 10 milliards de mètres/cube par année, mais « il faudra de deux à trois ans avant que cela n’arrive ».

Gromov souligne « qu’il n’y a pas de surplus dans le marché d’aujourd’hui pour le GNL des États-Unis et du Qatar », et le prix pour les consommateurs asiatiques est toujours plus élevé. Cela aura pour résultat que « à la fin de 2022, l’Europe ne pourra plus réduire de manière significative ce qu’elle achète de la Russie. » « Ils peuvent couper 50 milliards de mètres/cube maximum. » Et les prix dans le marché au comptant seront plus élevés – au moins 1 300 $ le mètre/cube.

Je suis à lire des économistes qui disent que les sanctions moralisatrices de l’Europe contre la Russie pourraient mener à l’écroulement de l’OTAN et de l’Union Européenne. Poutine a peut-être déjà tout figuré cela.

Quant aux États-Unis, les sanctions contre la Russie – et les contre-sanctions de la Russie contre nous – contribuent à alimenter une économie déjà dépressive à cause de la fausse pandémie Covid. L’Amérique vit déjà des niveaux d’inflation les plus élevés depuis des décennies – et ça n’ira qu’en empirant. Et tous les signes montrent que le plancher va se rompre au marché boursier.

En permettant aux néoconservateurs et aux néolibéraux bellicistes de contrôler les deux partis majeurs à Washington, D.C., le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes. En tenant compte des mensonges et des faussetés des propagandistes professionnels des mass-médias, le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes. Et en donnant son cœur à l’establishment, et aux pasteurs et aux églises étatistes, le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes.

En de rares occasions, les médias vont même admettre que, afin de promouvoir le programme de guerre, on mentira au peuple américain.

NBC News a sorti un nouveau rapport citant une multitude d’officiels américains, intitulé avec humour En rupture avec le passé, les États-Unis emploient des renseignements pour combattre dans une guerre de l’information contre la Russie – même si les renseignements ne sont pas « solides comme le roc ».

Les fonctionnaires américains disent que l’administration Biden a rapidement avancé de « l’information », à propos des plans de la Russie en Ukraine, qui n’est « pas très fiable » ou « basée davantage sur des analyses que sur des preuves solides », ou qui est simplement tout à fait fausse, afin de mener une guerre de l’information contre Poutine.

Ce fut une assertion attirant l’attention qui a fait manchette autour du monde : Des fonctionnaires américains ont dit qu’ils avaient des indications suggérant que la Russie pourrait se préparer à utiliser des agents chimiques en Ukraine.

Le Président Biden l’a dit plus tard publiquement. Mais trois fonctionnaires américains ont dit à NBC News cette semaine qu’il n’y a aucune preuve que la Russie ait amené quelque arme chimique que ce soit à proximité de l’Ukraine. Ils dirent que les États-Unis a lancé cette information pour dissuader la Russie d’utiliser les munitions bannies.

C’est une des kyrielles d’exemples de violation de l’administration Biden avec de récents précédents en déployant de l’information déclassifiée dans une guerre de renseignement contre la Russie. L’administration l’a fait même quand l’information n’était pas solide comme le roc, ont dit les fonctionnaires, afin de garder le Président russe Vladimir Poutine hors d’équilibre.

Sur la déclaration de l’empire, la semaine dernière, que Poutine est éconduit par ses conseillers parce que ceux-ci ont peur de lui dire la vérité, NBC rapporte que cette évaluation « n’était pas concluante – fondée davantage sur de l’analyse que sur des preuves solides. »

Ce rapport d’NBC confirme des rumeurs que nous entendons depuis des mois. La pute de guerre professionnelle, Max Boot a dit, via le groupe de réflexion du Conseil des Affaires Étrangères [CFR], en février, que l’administration Biden avait inauguré une « nouvelle ère d’opérations d’information » avec des émissions de renseignements destinées à ne pas dire la vérité, mais à influencer les décisions de Poutine. L’ancien chef du MI6, John Sawers, a dit au groupe de réflexion du Conseil Atlantique, en février, que les émissions de « renseignements » de l’Administration Biden étaient davantage fondées sur l’ambiance générale que sur des informations réelles, et qu’elles étaient conçues pour manipuler plutôt que pour informer. (Source)

Et comme c’est arrivé avec le faux narratif Covid, je viens juste de recevoir un mot de mes webmasters que Google est en train de commencer à censurer l’information qui n’est PAS antirusse. Nous pouvons nous attendre à ce que les autres géants des médias sociaux emboitent le pas rapidement. Cela dit tout ce que nous devons savoir sur la véracité du narratif de l’Ukraine..

En parlant de cela, le Dr Paul Craig Roberts a fait du bon travail, cette semaine, en résumant la fausse narration de l’Ukraine :

Il faut comprendre qu’il n’y a pas eu d’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les troupes russes n’opèrent que dans les parties est et sud de l’Ukraine. Les soldats ont pour but de prévenir qu’une grande armée ukrainienne, aujourd’hui encerclée et piégée, ne conquièrent les deux républiques russes du Dunbass, récemment reconnues par la Russie après un délai de huit ans. L’autre tâche assignée aux troupes russes consiste à exterminer la milice néo-nazie Azov qui a commis des atrocités contre les Russes du Dunbass. Le processus s’est fait lentement, parce que le combat a principalement lieu au Dunbass qui est peuplé de Russes, et le Kremlin veut secourir les gens, pas les tuer.

La Russie n’a pas besoin ni l’intention d’envahir la Pologne, la Roumanie, les Baltiques, la Finlande et la Suède. Les bases de missiles situées dans ces pays peuvent être éliminées avec des armes de précision à partir d’une grande distance. La Russie a envoyé des soldats en Ukraine afin de libérer le Dunbass des attaques et de l’occupation Azov, et pour empêcher l’invasion du Dunbass par 100 000 soldats ukrainiens.

J’encourage les lecteurs à lire cette analyse en profondeur sur la situation en Ukraine qui augmente la brève analyse du Dr Roberts ci-dessus et qui a été écrite par un ancien officier des renseignements de l’OTAN, ancien colonel du Personnel Général, ex-membre des renseignements stratégiques de la Suisse, spécialiste des pays de l’est, Jacques Baud. Il a été formé dans les services de renseignements américains et britanniques. Il a servi comme Chef de Politique des Opérations de Paix des Nations Unies en tant qu’expert en règle de loi et en institution de la sécurité.

S’il vous plaît, lisez son rapport.

De plus, j’incite fortement les lecteurs de regarder cette vidéo de deux minutes de l’ancien directeur des opérations à la CIA, John Stockwell, à propos de la façon que le gouvernement manipule les nouvelles des médias.

Voici une transcription de cette vidéo :

John Stockwell, ancien Directeur des Opérations à la CIA

Stockwell : Il y a cependant plusieurs fonctions, certaines plus légitimes que les autres. L’une d’entre elles est de mener des guerres secrètes. Une autre est de semer de la propagande afin d’influencer l’esprit des gens. Et c’est une fonction majeure de la CIA. Et malheureusement, bien sûr, cela empiète sur la récolte d’information. Vous contactez un journaliste, vous lui donnez des histoires vraies, vous obtiendrez de l’information de lui. Vous lui donnerez aussi de fausses histoires. Vous jouerez également sur ses vulnérabilités humaines pour le recruter, dans le sens classique, pour en faire votre agent, et ainsi vous pouvez contrôler ce qu’il fait, donc, vous n’aurez pas, en quelque sorte, à le dresser en mettant quelqu’un au-dessus de lui, et ainsi vous pouvez dire : « Voici, introduisez celle-là mardi prochain. »

Interviewer : Pouvez-vous le faire avec des reporters responsables ?

Stockwell : Oui. Le Comité de l’Église l’a sorti en 1975 et ensuite Woodward et Bernstein ont mis un article dans le Rolling Stone quelque deux ans plus tard. Quatre cent journalistes coopérant avec la CIA, y compris certains des plus gros noms dans le domaine, pour introduire les histoires de manière consciente dans la presse.

Interviewer : Veuillez me donner un exemple concret de la façon que vous utilisez la presse de cette manière.

Stockwell : Eh bien, par exemple, dans ma guerre, la Guerre d’Angola que j’ai contribué à gérer, un tiers de mon personnel étaient de la propagande. J’avais des propagandistes partout dans le monde, principalement à Londres, au Kinshasa et en Zambie. Nous avons pris des histoires, que nous avions écrites, et nous les avons mises dans le Zambia Times, pour ensuite les sortir et les envoyer à un journaliste de notre personnel en Europe, mais son récit de couverture, voyez-vous, fut qu’il les avaient obtenues de son correspondant de Lusaka qui les avaient obtenues du Zambia Times. Mais à partir de ce point-là, les journalistes de Reuters et de l’AFP, l’administration n’était pas au courant. Or, notre contact en Europe l’était, et nous avons coulé des douzaines d’histoires concernant les atrocités cubaines, les violeurs cubains. Mais nous n’avions connaissance d’aucune atrocité commises par les Cubains. Ce n’était que de la pure propagande brute et fausse pour créer l’illusion, vous voyez, que les communistes mangeaient des bébés pour déjeuner.

L’on cite encore Stockwell :

C’est la fonction de la CIA de garder le monde instable et, pour soumettre à la propagande et enseigner au peuple américain à haïr, plusieurs laisseront l’Establishment dépenser tout l’argent qu’il faut.

Les prétendues entreprises de « défense » sont des conglomérats multinationaux qui n’éprouvent pas de grande loyauté pour les États-Unis. En fait, ce ne sont plus des entreprises des États-Unis, mais des entités transnationales loyales seulement envers elles-mêmes.

La fonction majeure du secret à Washington, D.C., c’est d’empêcher le peuple américain de savoir ce que font les leaders du pays.

Les États-Unis sont moulés dans le rôle de Garde prétorien, protégeant les intérêts de l’ordre financier global contre les éléments hargneux du Tiers-monde.

Les ennemis sont nécessaires pour que tournent les rouages de la machine militaire américaine.

Une dernière citation de Daniel Webster résume le tout :

Il n’y a pas un pays sur terre assez puissant pour nous vaincre. Notre destruction, devait-elle venir, proviendra d’un autre milieu. De l’inattention du peuple aux affaires du gouvernement, de sa négligence et de son manque de précaution. Je dois confesser que j’appréhende le danger. J’ai peur que l’on mette trop de confiance implicite en nos serviteurs publics. Et que l’on ne scrute pas convenablement leur conduite ; que, de cette manière, l’on fasse de nous des dupes en désignant des hommes et que nous devenions les instruments de notre propre perte.

Comme je l’ai dit, l’Occident s’autodétruit.




Vous croyez sérieusement que les mêmes médias qui mentaient à propos du Covid disent maintenant la vérité concernant l’Ukraine ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

7 avril 2022

Pendant plus de deux ans, les médias de nouvelles ont menti à répétition à propos de la fausse pandémie de Covid. Pratiquement tout ce qu’ils nous ont dit était du mensonge en pleine face.

La précision des tests PCR était un mensonge flagrant. Le besoin de distanciation sociale était un mensonge flagrant. Le nombre de morts dues au Covid était un mensonge flagrant. Le besoin de masques était un mensonge flagrant. Le besoin de fermer les écoles et les églises était un mensonge flagrant. Le besoin de fermer les commerces était un mensonge flagrant. Le besoin de vaccination était un mensonge flagrant. La sécurité et l’efficacité des vaccins étaient un mensonge flagrant.

TOUT ce que l’on nous a dit à propos du Covid était un mensonge flagrant !

Or maintenant, les mêmes gens qui se sont réveillés face aux mensonges Covid régurgités par les mass-médias gobent tout le narratif des médias sur l’Ukraine.

Chaque fois que je vois tout l’establishment du pouvoir s’aligner en parfait accord, disant tous exactement la même chose et le répétant sans cesse encore et encore, JE SAIS que ce n’est rien d’autre que de la propagande. Avant même que je connaisse les joueurs, avant même que je connaisse les circonstances et les événements, JE SAIS que j’entends de la propagande.

Lorsque tous les réseaux de télévision, de CNN à FOX News, tous les lecteurs de nouvelles, de Joe Scarborough à Sean Hannity, toutes les têtes d’affiche d’Hollywood et du divertissement et tous les leaders évangéliques sionistes chrétiens régurgitent la même narration – et condamnent au feu de l’enfer tous ceux qui osent défier cette narration – JE SAIS que j’entends de la propagande.

En conséquence, je suis convaincu de tout mon être que tout ce que j’entends concernant l’Ukraine de la part de l’establishment n’est que pure propagande – un mensonge flagrant. Et oui, cela inclut les « nouvelles » à propos de Bucha.

Au fil des ans, j’en suis venu à apprécier et à respecter les analyses de l’ancien officier des renseignements de l’USMC, Scott Ritter. Il n’a pas peur de nager à contre-courant et de dire des vérités impopulaires. Il ne déçoit pas dans son analyse récente du « massacre de Bucha ».

« Dans la guerre, la vérité est la première victime. » Cette citation est attribuée à Eschyle, tragédien grec du 6e siècle av. J.-C., remarqué pour son « copieux usage de l’imagerie, de l’allusion mythique, de son langage grandiose, de jeux de mots et d’énigmes ». Il n’est que juste, par conséquent, que l’homme qui, le premier, a nommé le concept de propagande en temps de guerre en ces temps modernes verrait sa citation prendre vie dans l’Ukraine d’aujourd’hui. Le gouvernement de Kiev et leurs conseillers occidentaux en renseignements de guerre ont dû récupérer tous les mécanismes théâtraux d’Eschyle pour fabriquer une tragédie moderne dans la ville ukrainienne de Bucha qui illustre la notion de mensonge, non seulement comme sous-produit dérivé, mais aussi comme arme de guerre.

La source principale de la tragédie de Bucha est un enregistrement vidéo, pris par la Police Nationale ukrainienne, de l’un de leurs convois parcourant une rue dans la ville. Une douzaine de cadavres environ jonchent la chaussée, beaucoup ayant été apparemment ligotés. Cette vidéo est devenue virale, produisant une pandémie d’angoisse et de colère qui a balayé une grande partie du monde en captant l’attention des chefs d’état comme de la tête de l’Église catholique, causant ainsi une vague de condamnation et de scandale dirigée contre la Russie et son président, Vladimir Poutine. La relation de cause à effet entre la vidéo et la répercussion globale est claire – cette dernière ne pourrait exister sans la première.

Une des premières leçons d’objectivité, c’est de ralentir les choses pour s’assurer que le fait n’est pas obscurci par l’émotion. La vidéo de Bucha est troublante. La vidéo a été lancée dans sa forme présente, semble-t-il, avec l’intention expresse de produire un effet viscéral de « choc et de crainte » chez le téléspectateur. Si c’est vraiment le cas, alors ceux qui l’ont lancée – la Police Nationale ukrainienne – ont réussi au-delà de toutes leurs espérances les plus folles. Ou celles de leurs conseillers, comme c’est sans doute le cas.

Le lien entre les morts et l’armée russe a été établi immédiatement, sans aucune donnée de base pour le soutenir, et a par la suite fait écho dans tous les genres de médias – du grand courant médiatique comme des réseaux sociaux. Quiconque ose remettre en question la narration « la Russie a fait cela » a été conspué et minimisé comme étant un « compère des Russes », ou pire.

Que ces conclusions soient le sous-produit d’une hystérie de masse n’a rien à voir – pourquoi chercher à être objectif quand le narratif s’agence avec tous les stéréotypes qui ont été soigneusement assemblés à l’avance par les mêmes personnes qui répètent aujourd’hui l’histoire de Bucha. Le « pré-conditionnement » social d’un auditoire qui n’a pas l’habitude de la pensée critique est une étape essentielle pour amener cet auditoire à prendre tout ce qui lui est présenté pour acquis, peu importe jusqu’à quel point les faits de l’histoire mettent extrêmement sa crédibilité à rude épreuve. Et soyons clair – le narratif ukrainien des événements à Bucha semblent outrepasser la crédibilité.

La chronologie de la narration produit le premier drapeau rouge montrant que l’histoire propagée par l’Ukraine et répandue en Occident n’est pas ce qu’elle semble. C’est un fait établi que les troupes russes ont évacué Bucha le 30 mars. La Police Nationale ukrainienne a commencé à entrer dans Bucha le 31 mars, et ce même jour, le maire de Bucha a annoncé que la ville était entièrement sous le contrôle des fonctionnaires ukrainiens. En aucun moment n’a-t-il été sous-entendu, par le maire ou tout autre officiel ukrainien, une tuerie de masses entreprise par la Russie. L’enregistrement vidéo en question a été lancé par les autorités ukrainiennes le 2 avril ; il n’est pas certain si la vidéo a été prise plus tôt ou le même jour. Chose certaine, c’est que les images montrées dans la vidéo diffèrent nettement de la narration initiale donnée par le maire.

Un exemple de cette tactique qui se manifeste, c’est la réaction du Président américain, Joe Biden : « Vous avez vu ce qui s’est passé à Bucha, » explique-t-il en commentaire aux reporters, ajoutant que le Président russe Vladimir Poutine « est un criminel de guerre ». Biden a pris avantage de la crise à Bucha pour préconiser la livraison de plus d’armement en Ukraine. « Nous devons continuer à fournir à l’Ukraine des armes dont elle a besoin pour poursuivre le combat, » dit-il. « Et nous devons assembler tous les détails pour qu’il puisse y avoir un vrai procès pour crimes de guerre. »

Tout ça du président d’un pays qui a refusé de reconnaître la Cour Criminelle Internationale. Pour des raisons qui devraient être évidentes à quiconque veut appliquer quelque pensée critique.

Heureusement pour le Président Biden et le gouvernement ukrainien, le procureur-en-chef de la cour britannique, Karim Khan, a annoncé, au début de mars 2022, qu’il avait lancé une enquête sur les crimes de guerre allégués et les crimes contre l’humanité commis en Ukraine. Étant donné le profil élevé des allégations de Bucha, on imagine que Khan a expédié une équipe médico-légale pour prendre le contrôle de la scène de crime et superviser les autopsies sur les victimes de manière à établir l’heure de la mort, le mécanisme de la mort et à savoir si les victimes sont mortes à l’endroit où on les aurait trouvées ou si elles ont été déplacées là à partir d’un autre endroit.

Khan a aussi eu le pouvoir de diriger les entrevues avec la Police Nationale ukrainienne qui a un historique de relations étroites avec les membres de l’extrême droite ukrainienne, y compris l’infâme Bataillon Azov. S’avérerait d’un intérêt particulier toute enquête sur les ordres donnés à la police concernant le traitement des civils ukrainiens que l’on juge avoir collaboré avec l’armée russe durant son occupation à Bucha.

Le résultat d’une telle enquête entrerait fort probablement en conflit avec le narratif poursuivi par le gouvernement ukrainien et répandu en Occident par des médias et des politiciens complaisants. C’est la raison principale pour laquelle Khan n’est pas présentement sur le terrain à Bucha. On peut assumer que si et quand Khan aura éventuellement accès aux preuves concernant les tueries de Bucha, elles auront été manipulées par la Police Nationale ukrainienne à un point tel que désapprouver les allégations sera pratiquement impossible.

Les preuves de ce qui est arrivé à Bucha s’y trouvent, attendant qu’on les découvre. Malheureusement, cette vérité semble inopportune pour ceux qui sont en position de la poursuivre de manière agressive au moyen d’une enquête basée sur le médico-légal au site-même. S’il venait à arriver qu’émerge éventuellement le fait que la Police Nationale ukrainienne ait tué des civils ukrainiens pour le crime d’avoir collaboré avec les Russes lors de leur courte occupation de Bucha, et que les forces de la loi internationale soient amenées contre les vrais auteurs de ce crime, toute poursuite en justice véritable devrait inclure les gouvernements américain et britannique comme co-conspirateurs conscients dans toute accusation de crime.

Le SEUL espoir qu’a le président pantin ukrainien dans son désir de maintenir sa position en tant que gardien de la corruption de l’État Profond globaliste en Ukraine, c’est d’inciter assez de passion et d’émotion antirusse dans les pays occidentaux – particulièrement les États-Unis – pour les amener en confrontation directe avec la Russie pour la protection de l’Ukraine. L’histoire de Bucha serait le parfait faux drapeau pour accomplir cela. Et si Bucha ne marche pas, vous pouvez parier qu’il y en aura d’autres.

Comme je l’ai fait remarquer dans mon bulletin de la semaine dernière, plusieurs fidèles partisans de Liberty Fellowship qui vivent en Ukraine ou qui ont de la parenté vivant en Ukraine ont témoigné de ce que l’armée ukrainienne – spécialement le notoire Bataillon Azov – détruit ses propres villes et tue ses propres citoyens.

Et il n’est pas difficile de s’imaginer les motifs. Il y en a deux évidents : 1) L’armée ukrainienne prend sa revanche sur les citoyens ukrainiens qui se montrent loyaux et sympathiques envers la Russie et, 2) les forces ukrainiennes sèment la mort et la destruction afin de mettre tout le blâme sur la Russie et ainsi stimuler les États-Unis et l’OTAN à entrer en guerre contre la Russie.

Et peu importe ce que vous entendez de la part des médias menteurs et des leaders évangéliques crédules, le conflit en Ukraine n’est PAS un scénario où le bon gars affronte le mauvais gars. Loin de là ! Zelenski n’est pas George Washington, comme l’allèguent follement certains conservateurs. Il ressemble plus à Benedict Arnold.

Le gouvernement de l’Ukraine est profondément corrompu. C’est un vassal de l’État Profond pour laver l’argent sale, faire le trafic d’enfants, être une banque criminelle internationale, etc. Zelenski est un lèche-bottes sioniste de George Soros et de l’État Profond occidental.

Vous n’avez probablement pas entendu parler de l’élection en Hongrie – parce que les médias propagandistes ne veulent pas que vous en entendiez parler. Le Premier Ministre hongrois Victor Orban vient de remporter son quatrième mandat dimanche dernier.

Viktor Orban de Hongrie, fraîchement élu pour un quatrième mandat en tant que premier ministre, aux élections de dimanche, a dit que son parti est sorti victorieux en dépit des interférences de la part des forces de la gauche, à la maison, et des « opposants » autour du monde, en incluant le Président ukrainien Volodymyr Zelenski et l’activiste politique milliardaire George Soros.

« Nous nous rappellerons de cette victoire jusqu’à la fin de nos jours parce que nous avons eu à combattre contre une énorme quantité d’opposants. »

Ces forces comprenaient non seulement les partis d’opposition de la Hongrie, dit-il, mais aussi « les bureaucrates de Bruxelles, l’empire Soros – avec son argent – les mass-médias internationaux et à la fin même le Président ukrainien. Nous n’avons jamais eu autant d’opposants en même temps. »

« Le monde entier peut voir que notre marque de politiques chrétiennes démocratiques, conservatrices et patriotiques a gagné. »

Comme dévoués sionistes/globalistes, Zelenski et son bienfaiteur George Soros ont fait tout ce qu’ils ont pu pour défaire le Premier Ministre chrétien hongrois. Ils ont perdu, mais pas par faute d’avoir essayé.

Le respectable éducateur et écrivain chrétien Don Boys a écrit cette semaine :

George Soros, Klaus Schwab, Barack Obama, Bill Clinton et d’autres ont pris le leadership de l’agenda globaliste. Ces hommes ne sont simplement que des gauchistes radicaux, avides et maléfiques avec un programme d’extrême-gauche pour le monde, pas juste un pays. Ensemble, ils utilisent leur argent, leur influence et leur position pour produire un déséquilibre dans divers pays.

C’est exactement ça (sauf que je suggèrerais que des politiciens comme Obama et Clinton sont des laquais, pas des leaders). Alors, posez-vous la question : Pourquoi Soros. Schwab et le reste de la cabale globaliste SOUTIENNENT-ILS L’UKRAINE ?

Donc, félicitations à tous les conservateurs politiques et les évangéliques chrétiens qui applaudissent l’Ukraine : vous, George Soros et Klaus Schwab faites maintenant partie de la MÊME ÉQUIPE !

Cela ne veut pas du tout dire que Poutine et la Russie sont les « bons gars ». Cela signifie simplement que le peuple des États-Unis n’a aucune chance dans ce combat. Le problème, c’est que les vandales de l’État Profond à Washington, D.C., sont tout aussi corrompus que ceux du théâtre européen ; et si nous les laissons faire, ils nous traîneront tous dans la boue et la fange – et la mort et la destruction – de leurs machinations maléfiques.

Et si vous doutez encore de ce que je dis à propos de la bonne foi sioniste de Zelenski, l’homme vient juste de dire de but en blanc que l’Ukraine d’après-guerre sera un « gros Israël ». (Demandez aux Palestiniens ce que cela veut dire.)

L’ambassadeur israélien en Ukraine, Michael Brodsky, a dit à Haaretz, que « l’État juif a toujours été un modèle pour l’Ukraine ».

Ce n’est pas surprenant. Si les évangéliques n’avaient pas le cerveau aussi lavé par les doctrines diaboliques du sionisme chrétien, ils sauraient que l’Ukraine était jadis l’épicentre de l’Empire khazar, soit les ancêtres des Juifs ashkénazes qui sont devenus l’État sioniste d’Israël.

Allez-vous réellement continuer à avaler la propagande globaliste des mass-médias à propos de l’Ukraine ? Si oui, alors au moins ayez la cohérence d’arrêter de vous plaindre de l’État Profond, car quand vous vous laissez prendre aux mensonges des mass-médias, vous en venez à en faire partie.




L’histoire interne de l’intérieur de l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

31 mars 2022

Cette chronique – et particulièrement mes messages vidéo en direct et en archives – compte des amateurs de partout dans le monde. Comme vous pouvez vous y attendre, nous avons une quantité considérable de supporteurs dans des pays comme le Canada, la Grande-Bretagne, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, l’Écosse, la France, l’Allemagne, la Suisse, etc. Nous avons également un nombre significatif de supporteurs à Singapour, dans les Caraïbes, en Amérique Centrale et dans le Proche-Orient, y compris au Liban – et particulièrement en Palestine. Mais vous serez peut-être surpris d’apprendre que nous avons aussi un nombre substantiel de partisans dans le Nord de l’Europe, en incluant la Finlande, et en Europe de l’Est, dont la Russie et l’Ukraine.

Je vais utiliser cet article pour partager avec mes lecteurs ce que me disent les gens en Ukraine à propos du conflit avec la Russie. Mais avant, je dois vous diriger vers ce que je crois être la MEILLEURE analyse de la situation ukrainienne que j’ai lue jusqu’à date – et j’en ai lu un PAQUET.

Je veux parler de cet article de David Stockman :

Les dangers économiques, sociaux et politiques abondent. C’est que Washington et ses serviteurs du grand courant médiatique délirent d’une fièvre guerrière comme jamais au cours des sept dernières décennies.

La poursuite irresponsable d’une Guerre de Sanctions délirantes qui s’en suit contre la Russie constitue une menace grave à l’économie mondiale et la prospérité domestique, et cela pour aucune bonne raison en regard de la sécurité du territoire et n’importe quoi d’autre.

En ce qui a trait à cette dernière, les faits absolus sont irrésistibles. Nous les répétons donc avec un total ajouté pour les budgets militaires respectifs : à savoir, la puissance économique de l’OTAN est 29 fois plus grande que celle de la Russie, et son budget de défense combiné est 18 fois plus gros, ce qui vous en dit long sur ce que vous devez savoir à propos de la « menace russe » :

OTAN : 42,78 trillions $ de PNB : 945 millions de population ; 45 130 $ de revenu per capita ; 1 200 milliards $ de budget défense.

RUSSIE : 1,46 trillions $ de PNB : 144 millions de population ; 10 300 $ de revenu per capita ; 57 milliards $ de budget défense.

Étant donné ces réalités, pourquoi Washington s’en fait-il à propos d’une bataille murale entre peuples et territoires contigus qui sont joints à la hanche depuis les 1 300 dernières années ?

La réponse implicite, c’est qu’il s’est appointé police du monde et Administrateur-en-chef de la Fessée.

Le fait est que l’Ukraine est la Pologne et la Tchécoslovaquie des temps présents – un état artificiel rempli de Russes, sans raison d’exister dans sa forme et sa circonférence actuelles. Eh bien, encore une fois, sans autre raison que l’insistance fanatique de Washington que la mappe hasardeuse illustrant les unités administratives, qui ont découlées de l’écroulement de l’Union Soviétique, constitue des frontières sacrées que l’on doit préserver de tout danger.

Au contraire, ce que veut Poutine, ironiquement, c’est le statu quo pré-communiste. C’est-à-dire, il veut la Crimée, russe depuis 1783, et où les Ukrainiens ne constituent qu’une infime minorité. Et ce qui est encore plus important, elle possède le plus grand atout militaire qu’aura par la suite la Russie – la grande base navale à la source de la Mer Noire, à Sébastopol.

De même, le Donbass et les territoires est de la Rivière Dniepr, et le long de la lisière nord de la Mer Noire et de la Mer d’Azov, sont russes depuis plus de 300 ans. Selon tous les faits de l’histoire d’avant 1922, ces territoires revenaient à la Novorossiya (Nouvelle Russie) tel que le démontre cette carte de 1897.

Il se trouve qu’ils devinrent « Ukrainiens » seulement par acte judiciaire de deux des plus grands monstres de l’histoire – Vladimir Lénine et Joseph Staline – qui les placèrent dans l’unité administrative de la République Soviétique Socialiste d’Ukraine pour des raisons qui n’ont aucune validité historique.

Pourtant, une guerre dévastatrice s’y passe aujourd’hui – une guerre qui mène vers le précipice de la Troisième Guerre Mondiale – parce que Washington encourage Kiev à insister pour retenir « chaque pouce » d’une mappe montée par Lénine, Staline et Khrouchtchev.

La pire des choses est bien sûr que toute cette « guerre du socialisme » n’a rien à voir avec la défense de la patrie ou quoi que ce soit de rationnel. Au contraire, c’est la progéniture pourrie d’une Cité Impériale peuplée de politiciens carriéristes qui prennent leur pied à être les suzerains de l’humanité et les Administrateurs-en-chef de Fessées aux malfaiteurs de la planète.

Malheureusement, nous ne voyons que la moitié de la pagaille actuelle. Les MSM présentent un portrait tellement déformé et fantaisiste des conditions sur le terrain en Ukraine que le public américain est totalement dans le noir concernant ce qui va arriver. C’est-à-dire que l’armée ukrainienne a été décimée et la résistance du gouvernement de Kiev va bientôt lâcher – même si le clownesque président du pays ne cesse de siffloter devant le cimetière.

Stockman en a bien plus à dire, évidemment, et je vous encourage à lire tout son traité. Comme je l’ai dit, c’est le meilleur que j’ai lu jusqu’à date.

Mais le dernier paragraphe de Stockman cité ci-haut est un enchaînement parfait avec ce que les gens de l’intérieur de l’Ukraine me disent. Je ne dévoilerai pas les sources pour des raisons évidentes.

La lettre qui suit résume la plupart des sentiments que j’ai reçus de personnes vivant en Ukraine ou qui ont de la famille qui vit en Ukraine. (FYI : Un des membres de ma famille immédiate par mariage est ukrainien d’un côté de la famille et russe de l’autre.)

D’un fidèle disciple de Liberty Fellowship (la lettre a été révisée pour entrer dans l’espace et adoucir l’anglais cassé) :

Allô Pasteur Chuck,

L’Ukraine et la Russie sont une seule nation. Plus de 75 % de l’Ukraine, de la Russie, de la Biélorussie et de la Pologne ont des ancêtres communs.

Les médias aux États-Unis donnent une information totalement différente de ce qui se passe réellement.

J’écris pour que vous sachiez ce qui arrive en Ukraine par l’intermédiaire de gens qui sont en Ukraine.

Voici ce que pense le peuple d’Ukraine : l’armée russe est vraiment à l’offensive, mais parce qu’elle ne veut pas nuire aux populations civiles, elle se déplace lentement.

Elle [l’armée russe] distribue de la nourriture et des médicaments aux populations civiles. Le gouvernement russe paie 10 000 roubles à chaque citoyen sénior et à chaque employé du gouvernement ukrainien dans tous les territoires qu’elle occupe pour que les travailleurs civils puissent encore fournir des services civils à la population.

Une ville ukrainienne était défendue par le Bataillon Azov [les gangsters nazis ukrainiens]. Des nombreux interviews de civils locaux, nous savons que l’armée d’Azov a détruit 80 % des édifices de la ville. Des civils ont vu l’artillerie ukrainienne tirer dans les édifices de leurs propres villes.

Parfois, les soldats du Bataillon Azov s’installent dans des écoles, des églises, des hôpitaux et dans des édifices à appartements de la ville et y restent pendant 2-3 jours ; et quand ils quittent, ils bombardent les édifices.

Des civils disent que des avions ukrainiens bombardent leurs propres cités.

Les soldats d’Azov ne laissent pas les vieillards, les femmes et les enfants sortir des villes. Ils disent : « Vous êtes nos boucliers vivants. » Parfois, ils ne laissent pas les civils sortir de leur sous-sol pendant plus de 20 jours sans nourriture ni eau.

Les gens d’une certaine ville disent qu’avant la guerre, s’ils parlaient russe en public, ils étaient pénalisés par de grosses amendes.

Ces villes d’Ukraine ont été territoire russe pendant plus de 300 ans.

La plupart des soldats russes capturés sont torturés. Un soldat russe a été crucifié et brûlé sur une croix par l’armée ukrainienne. Beaucoup de soldats russes sont castrés par les Ukrainiens.

J’espère que ces informations vous sont utiles et vous aideront à avoir une meilleure compréhension de ce qui se passe réellement en Ukraine.

Nom tenu caché

La propagande des médias en ce qui regarde l’Ukraine est tout aussi grotesque que sa propagande en ce qui concerne la fausse pandémie Covid. Pour toutes les raisons déclarées par David Stockman précité et par un grand nombre de témoignages oculaires que j’ai reçus de personnes vivant en Ukraine, que les médias nazis, comme Sean Hannity, soutiennent sottement la guerre contre la Russie – même une guerre nucléaire – en Ukraine fait en sorte que lui et le reste des nababs médiatiques stupides paraissent aussi mentalement dérangés que le midget cognitif résidant au 1600 de l’Avenue Pennsylvania.

Le sénateur Rand Paul a parfaitement raison : les facultés mentales déclinantes de Joe Biden représentent un « risque à la sécurité nationale » qui pourrait voir les États-Unis traînés dans une guerre contre la Russie. Et les MSM semblent joyeusement insouciants dans leur hâte à suivre cet idiot malavisé dans une possible guerre nucléaire globale.

Et pour quoi ? Pour ce qui n’est pas plus qu’une laverie financière de l’État Profond globaliste en Europe de l’Est – le foyer de plus de néo-nazis et de gangs de néo-nazis que dans tous les autres pays du monde.

Le peuple américain – y compris les chrétiens – doit se sortir de sa fascination pour la propagande de guerre et les propagandistes de la guerre, parce que ce n’est PAS drôle du tout ! Ce n’est PAS une plaisanterie ! Ce n’est PAS un jeu d’enfants ! C’est TRÈS SÉRIEUX !

Le peuple russe a enduré les horreurs de la guerre dans leur patrie comme le peuple américain ne peut même pas commencer à imaginer. Si l’impensable arrive, ces gens-là sont un million de fois mieux préparés que les Américains à endurer les épreuves qui s’en suivraient. En fait, je ne peux penser à un ensemble de citoyens dans le monde qui soit moins préparé à une guerre nucléaire globale que le peuple gâté et dorloté des États-Unis.

Moi et beaucoup de gens que je connais donnerions gaiement nos vies pour la défense de notre patrie contre les attaques d’une force étrangère. Mais il fera froid dans le hades avant que je veuille donner ma vie – et la vie de ma famille – pour aider les criminels corrompus de l’État Profond globaliste à se cramponner à leur argent souillé de sang dans une terre de gangsters nazis et de banquiers sionistes dans l’autre moitié du monde.




Le Nouvel Ordre Mondial de Biden et l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

24 mars 2022

Rejoignant d’éminents globalistes comme George Herbert Walker Bush, Tony Blair, Henry Kissinger, Walter Cronkite, Bill Gates, George Soros, Barack Obama et bien d’autres, Joe Biden fait encore la promotion du Nouvel Ordre Mondial en plein essor.

Ayant pris la parole à la Réunion Trimestrielle des PDG d’Affaire de la Table Ronde, Biden a dit : « Il va y avoir un nouvel ordre mondial et nous devons le diriger, et nous devons unir le reste du monde libre pour ce faire. »

Biden régurgite ce que les globalistes, à l’extérieur ou à l’intérieur du Conseil des Relations Étrangères (CFR), disent depuis des décennies. Les agents du Nouvel Ordre Mondial ont récompensé un nombre considérable de politiciens des deux partis au sein de la Beltway – y compris Biden.

Les globalistes du Nouvel Ordre Mondial se concentrent principalement en Occident où ils contrôlent la richesse – et donc les politiciens – par l’intermédiaire des banques centrales. Les politiciens vont et viennent, mais l’élite globaliste demeure bien enracinée.

Et l’on ne peut comprendre le Nouvel Ordre Mondial sans saisir le rôle dominant joué par le Vatican et l’Élite sioniste – particulièrement cette dernière.

Ce qui nous amène à l’Ukraine.

Ian Greenhalgh a écrit avec courage un traité très perspicace (et très ignoré) en ce qui a trait au rôle joué en Ukraine par l’élite sioniste internationale.

Dans le dessein de comprendre la situation actuelle en Ukraine, la chose à faire est d’étudier les oligarques ukrainiens qui dirigent, à commencer par Ihor Kolomoisky, et aussi quelques Russes, comme Mikhaïl Fridman.

Ce sont tous des Juifs, tous possèdent la citoyenneté israélienne en même temps que la citoyenneté ukrainienne/russe.

C’est fort simple, il est question d’argent – l’Ukraine était de loin la plus riche et la plus industrialisée des républiques soviétiques ; elle possède plusieurs industries de classe mondiale, comme les massifs travaux de chemin de fer Kharkov, l’usine avionique Antonov juste en dehors de Kiev, les fonderies de minerai de fer et d’aluminium du Donbas, l’agriculture de la ceinture céréalière du sud, pour n’en nommer que quelques-unes.

Or, l’Ukraine est le deuxième plus gros pays d’Europe (après la Russie), mais le deuxième plus pauvre (après la Moldavie) et toutes les industries sont parties, les avoirs dépouillés et mis en banqueroute par les oligarques ; l’Ukraine a vu son produit intérieur brut stagner depuis deux ans ; le chômage est endémique – des millions de gens sont partis en dehors pour travailler, il y a eu peu de construction ou de réaménagement depuis que l’URSS est tombée ; c’est un pays qui retourne en arrière de bien des façons, dévalisé aveuglément par une poignée d’oligarques juifs.

Quant au nazisme, dont parle Poutine mais que l’Occident minimise ou rejette carrément, eh bien, les nazis originaux étaient également une création de la haute finance juive, mais c’est une autre histoire, plutôt longue.

Les Nazis d’Allemagne, de l’Ukraine d’aujourd’hui, des États-Unis et de partout ailleurs étaient, et sont toujours, la création de l’élite monétaire juive. Même Stroessner au Paraguay, Perón en Argentine et Pinochet au Chili, les très médiocres personnages qui se prenaient pour des Hitler, furent leur création.

Pouvez-vous maintenant comprendre pourquoi le Parlement ukrainien identifiait hier l’Ukraine moderne à l’Allemagne nazie ?

Tous les présidents et premiers ministres ukrainiens depuis 2004, lors de leur première révolution colorée, sauf le pro-moscovite Yanukovich, ont été triés sur le volet par les oligarques.

Kolomoisky et une poignée d’autres oligarques sont responsables d’avoir créé et financé les gangs armés nazis qui prétendent se porter volontaires pour défendre l’Ukraine des hordes d’invasion russe depuis la mythique invasion de 2014, mais qui, en réalité, sont responsables du meurtre d’au moins 14 000 civiles ukrainiens, de massacres telle que l’attaque bestiale contre les protestataires pro-Yanukovich d’Odessa où ils ont violé et tué des femmes enceintes et où d’autres ont été brûlées à mort. Ils n’ont cessé de bombarder les gens du Donbas au fil des derniers huit ans, pendant que les médias du monde prétendent qu’ils n’existent pas ou, s’ils reconnaissent leur existence, les dépeignent comme des croisés héroïques retenant la vague du maléfique impérialisme russe.

Ils portent des noms comme les bataillons Azov et Dnipro et leur direction est assurée par les pires criminels, voyous, sociopathes, psychopathes, violeurs et meurtriers que l’argent peu acheter, la lie, non seulement de l’Europe, mais aussi des Amériques, du Proche-Orient, de l’Afrique et de l’Asie – ils viennent de partout dans le monde censément pour faire une croisade contre les méchants Russes, mais, en réalité, ils ne sont rien de plus que les muscles des oligarques et l’instrument de violence et de mort que ceux-ci utilisent pour achever leur vil agenda.

Donc, qu’ils soient nazis ou non est discutable, l’idéologie n’est qu’une charade. En réalité, ils sont les muscles des patrons du crime qui ont dépouillé l’Ukraine de ses biens et qui ont des plans pour faire de même en Russie, si ce n’était de ce Poutine empoisonnant qui est sur leur chemin.

Saisissez-vous mieux maintenant pourquoi le président pantin sioniste de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky a banni, il y a à peine quelques jours, onze partis politiques en Ukraine et a consolidé tous les canaux médiatiques en un centre de propagande du gouvernement ?

Et en parlant de Poutine : Maintenant qu’il a pris la décision de faire la guerre aux banquiers sionistes (le vrai pouvoir) en Ukraine, un certain nombre de gens de l’élite russe (de riches sionistes) planifient déjà de l’enlever de son poste. Ce n’est PAS une coïncidence !

Le sénateur Lindsey Graham de la Caroline du Sud, un fanatique faucon de la guerre sioniste et globaliste, a demandé à répétition l’assassinat de M. Poutine. Aucun doute, Graham s’adressait directement à l’élite sioniste en Russie quand il a parlé d’assassiner Poutine, et leur plan actuel de limoger Poutine est une réponse à cet appel.

En passant, c’est ce même Lindsey Graham qui a déclaré, en parlant de Joe Biden, qu’il s’agissait « du meilleur des hommes qu’ait pu créer Dieu ».

Ensuite, il y a Liz Cheney du Wyoming, autre faucon enragé de guerre, sioniste et globaliste, qui a récemment dit que les armes chimiques devraient être considérées comme la « ligne rouge » pour amener les États-Unis en confrontation militaire directe contre la Russie. Quelle farce !

Les seules armes chimiques en Ukraine sont AMÉRICAINES ! Le Pentagone a placé plus d’une douzaine de laboratoires biologiques en Ukraine en vue d’une utilisation potentielle contre la Russie. Poutine le sait, et il n’y a pas de doute que ces bio-labos ont joué un rôle majeur dans la décision de Poutine de lancer ses opérations militaires.

Cheney a sans doute été sélectionnée comme porte-parole du NOM pour dire ce qu’elle a dit afin de semer la graine dans l’esprit du peuple américain devant la possibilité d’une attaque chimique russe, pavant ainsi le chemin à un événement sous faux drapeau dont l’on pourrait blâmer les Russes.

Dimanche dernier, j’ai donné un message intitulé A Good Citizen of Which Country ? J’encourage les lecteurs à le regarder.

Je voudrais terminer cet article en citant quelques-unes des choses que j’ai dites dans mon message de dimanche dernier :

Des politiciens et des hommes d’affaires corrompus sont bouleversés à propos de l’Ukraine à cause des milliards de dollars illicites et blanchis qu’ils ont investis dans les banques d’Ukraine, et les évangéliques utilisent l’Ukraine pour combattre la Russie, parce qu’ils croient que la Russie est le Gog et le Magog d’Ézéchiel et de l’Apocalypse – ELLE NE L’EST PAS !

La fièvre guerrière présentée par Lindsey Graham, Nancy Pelosi et les autres, ainsi que les télévangélistes, est due au fait qu’ils sont tous des lèche-bottes du sionisme. Entre bien d’autres choses, l’Ukraine est un foyer de vols et de brutalité sioniste.

À toutes les fois que vous voyez des démocrates et des républicains, l’élite d’Hollywood et les leaders évangéliques se mettre ensemble, vous pouvez savoir que la cause commune est soutenue par l’agenda sioniste.

De plus, ce n’est pas une coïncidence qu’aussitôt que la fausse pandémie Covid a commencé à battre de l’aile, il y a eu une nouvelle guerre pour prendre sa place. Quel à-propos ! Donc, les politiciens peuvent maintenant blâmer la Russie pour l’économie paralysée et l’hyperinflation – qu’ils ont causée !

Je ne suis d’aucun côté dans l’affaire d’Ukraine. Je dis simplement que, dans ce conflit, il y a bien PLUS que ce qui nous est dit et que toute la narration de guerre qu’on nous vend est en fin de compte juste une autre « crise » manufacturée, comme le Covid, la Guerre contre le Terrorisme, l’Iran, l’Irak, l’Afghanistan, etc.

Et je dis, comme George Washington, que ces conflits étrangers ne sont pas de nos affaires.




Le pompier-pyromane

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

17 mars 2022

Je commence par une citation prise de l’article de la semaine dernière :

La création de l’OTAN et de l’Israël sioniste a fait en sorte que pratiquement tous les conflits du monde sont l’affaire des Américains, alors qu’en fait, la très vaste majorité de ces conflits étrangers NE SONT PAS DE NOS AFFAIRES. La seule chose que l’implication de l’Amérique fait dans ces conflits, c’est de les rendre PIRES.

Laissez-moi vous demander ceci : Quel pays possède 800 bases militaires dans 160 différents pays ? La Russie ? La Chine ? L’Iran ? La Corée du Nord ? Non ! Les États-Unis.

Quel pays dépense plus d’argent dans la guerre que les budgets militaires de la Chine, de la Russie, du Royaume-Uni, du Japon, de la France, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, de l’Allemagne, de l’Italie et du Brésil mis ensemble ? Les États-Unis.

Quel pays a lâché plus de bombes sur le plus de pays (incluant l’Irak, l’Afghanistan, la Syrie, la Lybie, le Pakistan, le Yémen et la Somalie) et tué plus de gens (environ six millions depuis le commencement de la Guerre contre la Terreur de George W. Bush, en 2001 – dont la plupart d’innocentes victimes) que tout autre pays sur terre ? Les États-Unis.

Et pour votre information, Donald Trump a lâché plus de 100 000 bombes et missiles durant son mandat de quatre ans, soit plus que Barack Obama pendant ses deux termes (huit ans). Pourquoi dit-on encore que Trump était un Président de la « paix » ?

Depuis le début du 21e siècle, quel pays a attaqué et envahi plus de pays que n’importe quelle autre nation sur terre, attaques et invasions qui incluent l’Afghanistan, le Yémen, la Macédoine, la Colombie, le Pakistan, la Syrie, l’Ouganda, le Mali, le Niger et l’Iran ? Les États-Unis.

Quel pays utilise l’OTAN et Israël comme armées mercenaires dans le but (entre autre chose) d’enrôler des groupements terroristes (dont l’ISIS) pour effectuer des changements de régime, des assassinats politiques et des incursions militaires clandestines dans d’autres pays ? Les États-Unis.

Le conflit en Ukraine n’est pas un événement isolé non plus. Les élites de l’État Profond qui contrôlent les médias et le gouvernement ont fait de la Russie le nouveau coronavirus. Nous sommes assiégés par un blitzkrieg façon Fauci par tous les establishments des médias et du gouvernement contre la Russie. Mais je suis ici pour vous dire que le même plan de jeu qui a mis le monde sens dessus-dessous pour combattre une fausse guerre contre le coronavirus met encore le monde sens dessus-dessous pour combattre une fausse guerre contre la Russie.

Qu’il est commode à Joe Biden (qui est plus communiste que Vladimir Poutine) d’utiliser le conflit en Ukraine comme raison de notre inflation massive – dont les prix obscènes de l’essence à la pompe – dans le but d’essayer de masquer le fait que l’hyperinflation de l’Amérique n’a RIEN à voir avec la Russie, mais TOUT à voir avec les habitudes néfastes de dépenses déficitaires du propre gros gouvernement de l’Amérique, qui escaladent à des niveaux gargantuesques sous prétexte de combattre le Covid.

Et maintenant que la crise Covid se meurt, la « guerre » en Ukraine donne l’opportunité à l’élite gouvernementale au sein de la Périphérie de poursuivre ses habitudes de Grosses Dépenses en toute impunité. Ce n’est pas sa faute, voyez-vous. C’est la faute de la Russie.

Mon ami et ancien candidat à la vice-présidence Darrell Castle a fait un excellent sommaire de la culpabilité de l’Occident dans le conflit de la Russie contre l’Ukraine. Je vous encourage à le lire.

Le rapport de Darrell est une preuve de plus que l’OTAN est en fait le Pompier-pyromane :

Les Français ont une merveilleuse expression : le pompier-pyromane. On décrit ainsi une personne ou une entité qui craque une allumette et crée un incendie dévastateur pour ensuite foncer précipitamment et éteindre les flammes de manière héroïque sous les applaudissements et les accolades. À ce stade du conflit en Ukraine, il est difficile d’imaginer un meilleur terme pour qualifier l’OTAN.

Il y a présentement un effort concerté en cours au sein de l’alliance transatlantique pour dépeindre le conflit en Ukraine comme étant une impasse Russie-Ukraine sans lien avec l’OTAN. Sauf que l’Occident, mené par les États-Unis, et duquel l’OTAN est un pilier important, est largement responsable, non seulement d’avoir mis le feu au conflit, mais aussi d’avoir amassé le petit bois sous forme « d’aide étrangère » aux groupes de société reconnus pour mobiliser l’opinion publique contre la Russie, pour avoir livré des armes, pour avoir cassé les pieds des fonctionnaires publics avec des promesses d’intégration à l’OTAN ou à l’Union Européenne, et pour avoir entraîné clandestinement des combattants mercenaires antirusses et néonazis. L’Armée canadienne enquête présentement à savoir comment diable il se fait que son personnel aurait été impliqué dans les dernières de ces tentatives, malgré qu’elle ait été avertie dès 2015, avant que ne commencent les opérations d’entraînement.

L’insistance de l’Occident à jouer avec des allumettes à proximité d’une poudrière mène déjà à un fâcheux retour d’effet pour les citoyens de partout, y compris leurs propres citoyens. Il est à espérer qu’il passera rapidement à la séquence du boyau d’arrosage en atténuant sa belligérance et en cherchant véritablement à assurer la paix.

Les hommes honnêtes et pacifiques, tant de l’Est que de l’Ouest, devraient être en mesure de constater la sagesse de cet appel au gros bon sens. Il doit bien rester quelques-uns de ces hommes. Sinon, nous sommes cuits.

Et, en parlant de la « guerre » en Ukraine, voici un rapport sur vidéo touchant le narratif fabriqué provenant de Kiev (prononcer « Kive » selon Joe Biden). Voici le bref résumé de ce qui se trouve dans le rapport vidéo de quinze minutes :

Le reporter montre une équipe de filmage ukrainienne et son attirail, et comment ils s’y prennent pour mettre en scène le chaos, comme de bloquer la plupart des portes de stations de train de manière à ce que les gens aient à passer en entonnoir par une seule porte ou deux pour faire en sorte qu’il semble y avoir plus de gens qu’en réalité.

Il n’a pu avoir de chambre dans un hôtel, pas parce que les réfugiés y étaient, mais parce que l’équipe de filmage ukrainienne avait tout rempli. Bien que les médias déclarent qu’il y a la guerre dans les rues de Kiev, il marche à travers la cité qui ressemble à une ville fantôme. Il n’y a aucune preuve de guerre. D’autres vidéos montrent les Ukrainiens marchant dans les différentes places et vaquant à leurs affaires normales quotidiennes : des gens qui promènent leurs chiens, qui s’approvisionnent dans les stations d’essence, etc.

À 7m15s de la vidéo, il montre « l’illusion des tactiques de guerre » avec tout le monde enfermé après le couvre-feu, des sirènes de bombardement qui retentissent (sans explosions ni balles). Il explique que Kiev est une scène de film. Et il montre une vidéo et des photos de voitures abandonnées et de barrages (des étais) placés autour de la ville par des équipes d’effets visuels.

Il montre des épiceries remplies de nourriture. Il montre l’extérieur d’un hôpital situé à 30 minutes de Kiev. L’on n’entend aucun bruit de guerre et on ne voit pas de soldats blessés. À peu près aucune activité autour de l’hôpital. Il ne voit aucun signe de guerre de toute façon.

Dans le compte-rendu vidéo, il rappelle aux gens les reportages de la BBC et d’autres réseaux sur les combats et les bombardements à Kiev et montre un de ces reportages. Il était à Kiev quelques jours après le reportage de la BBC et n’a vu aucune preuve de combat. Il a dit qu’ils étaient tous des acteurs de crise. Il a également dit que les agents armés ukrainiens tentaient d’empêcher quiconque d’utiliser son téléphone pour enregistrer ce qui se passait – ou qui ne se passait pas – dans le pays.

Voici un autre rapport montrant la fabrication de la narration de guerre en Ukraine :

Dans tout conflit, il y a des morts – la mort d’innocentes personnes. Et je suis sûr que c’est aussi vrai en Ukraine. Mais le dernier rapport cité plus haut note la duplicité du gouvernement ukrainien en impliquant à la Russie des victimes que l’Ukraine a faites elle-même. Les gouvernements corrompus de l’histoire – y compris ceux de la Russie – n’ont eu aucune hésitation à tuer leurs propres gens quand cela entrait dans les priorités de leurs relations politiques et publiques. L’Ukraine n’est pas différente.

La chose qui m’embête au plus haut point, c’est que l’Amérique – particulièrement les chrétiens – simulent la plus profonde compassion envers les victimes en Ukraine (lesquelles méritent notre compassion), mais ne se sont pas soucié le moins du monde des quelques cinq millions d’innocents Palestiniens qui ont été battus, violés, démembrés, torturés, affamés et assassinés par l’état d’apartheid d’Israël au cours des derniers soixante-dix ans et des millions de personnes innocentes que les bombes, les missiles et les drones américains ont tué au fil des derniers vingt ans.

Et je ne suis pas sûr d’accepter tous les rapports d’analyse de M. Poutine – l’homme – bien qu’avec toutes les fausses narrations qui sont disséminées en ce moment à propos de Poutine et de la Russie, il est difficile de savoir ce qui est vrai et ce qui est faux. Mais lorsqu’un monstre globaliste comme Klaus Schwab coupe toute relation avec la Russie et chasse Poutine de son Forum Économique Mondial diabolique, l’homme n’est peut-être pas si mauvais.

Mais ce qui semble tout à fait exact dans le rapport ci-haut, c’est la manipulation et la fabrication de rations de nouvelles qui sortent de l’Ukraine. C’est presqu’une copie carbone du genre de manipulation et de fabrication qui sont sorties du CDC, de la Maison Blanche et des mass-médias majeurs durant la pLandémie Covid.

Encore une fois, le peuple américain se fait jouer par le Pompier-pyromane.




Voulez-vous vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale – une guerre nucléaire en plus ? Certains idiots la veulent

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

10 mars 2022

Avec la fraude Covid qui tente de s’échapper en vitesse à temps pour que les Démocrates essaient de sauver ce qui s’annonce pour eux comme une sanglante débâcle aux élections congressistes en novembre, les roulements de tambour de la guerre arrivent juste au bon moment afin de reprendre le bâton de la duplicité gouvernementale.

Je me rappelle, dans les années 1990, qu’un évangéliste, bon ami à moi, était venu à l’époque prendre la parole devant ma congrégation et avait fait une déclaration que je n’ai jamais oubliée : « Les gens aiment se faire mentir. » Bigre, est-ce qu’il leur avait cloué le bec avec celle-là.

Quelqu’un se souvient-il de ces autocollants que l’on voyait partout et qui disaient : « Je ne crois pas aux médias » ? Pouvez-vous vous rappeler quelqu’un avoir dit : « Si un politicien bouge des lèvres, c’est qu’il ment » et tout le monde dans la pièce applaudissait ?

Qu’est-il advenu de cette époque ? Les gens ont-ils perdu l’esprit ? Je pense que bien d’entre eux l’ont perdu.

Pratiquement tout le monde dans le MSM et le gouvernement – des deux partis – est devenu des meneuses de claques en faveur de la guerre avec la Russie contre l’Ukraine.

Voulez-vous vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale – une guerre nucléaire en plus ? Plusieurs idiots la veulent.

Laissez-moi vous demander ceci : qu’a fait l’Ukraine pour vous dernièrement ? Qu’a fait l’Ukraine pour les États-Unis ? Dites-m’en trois. Dites-m’en deux. Dites-moi UNE chose que l’Ukraine a faite pour les États-Unis.

Le gouvernement ukrainien est un cloaque de corruption – en majeure partie de la corruption occidentale, ce qui veut dire américaine, britannique et israélienne. Des fonctionnaires gouvernementaux corrompus en Occident sont en panique parce qu’ils ont des milliards de dollars qui se font blanchir dans les banques de l’Ukraine. L’appel à la guerre de ces fonctionnaires gouvernementaux n’a rien à voir avec la sécurité et la sauvegarde des États-Unis – ou même la liberté en Ukraine – mais tout à voir avec un paquet de gangsters gouvernementaux tentant de se cramponner à leur butin volé.

Patrick McShay a fait une excellente analyse de l’Ukraine :

Ces politiciens et ces pontifes qui disent que soutenir l’Ukraine, c’est soutenir la liberté et la démocratie, sont complètement ignorants ou en bénéficient, d’une manière ou d’une autre, c’est ridicule ! Ce sont ces mêmes personnes qui ont réussi à convaincre plus de la moitié de la population américaine de prendre un vaccin expérimental et dangereux dont nous savons maintenant qu’il s’agit d’une thérapie génique qui change l’ADN, et à mettre des masques sur la figure de leurs enfants à l’école. La vérité, c’est que, si l’Ukraine était libérée des criminels actuellement en charge, nous pourrions alors comprendre jusqu’à quel point certains de nos politiciens américains sont sales. [Emphase ajoutée.]

L’époux de Victoria Nuland et le Juif néoconservateur Robert Kagan, qui a cofondé le Projet d’un Nouveau Siècle Américain et a écrit le livre blanc intitulé Rupture Définitive pour Bibi Netanyahu en 1996. Cela en appelait de la domination toute gamme d’Israël au Proche-Orient et devint la marque de la politique étrangère de George W. Bush et le plan de sa désastreuse érection de pays dans la région.

La prétendue invasion de la région du Dunbass et de la Crimée telle que présentée par les médias américains est un autre mensonge énorme. Après les protestations du Maidan à Kiev, l’Armée ukrainienne commença à bombarder la région du Dunbass parlant russe et cela se perpétue depuis de façon intermittente, en violation de l’accord de Minsk signé en 2015. Cet accord aurait dû mettre fin au combat dans l’est de l’Ukraine et donner l’autonomie au territoire russophone de la Région du Dunbass, mais depuis que l’accord a été signé, le gouvernement ukrainien a refusé de respecter l’accord.

Dans un autre accord passé en 1992, après la dissolution de l’Union soviétique, les États-Unis donnèrent l’assurance à la Russie qu’aucune base de l’OTAN ne serait construite sur ses frontières. Le dernier ambassadeur américain en Union Soviétique, Jack Matlock, qui a sans cesse soutenu, y compris dans un témoignage au Congrès à ce sujet, que Gorbatchev avait reçu des assurances que si l’Allemagne était réunie et demeurait dans l’OTAN, les limites de l’OTAN ne se déplaceraient pas plus à l’est. Cela ne dura pas longtemps.

En 1990, le Secrétaire d’État de George H. W. Bush, James Baker, a promis au Président Gorbatchev de la Russie qu’après la réunification de l’Allemagne, « l’OTAN ne s’étendrait pas d’un pouce à l’est », et le diplomate allemand Jurgen Chrobog a dit dans la même rencontre que « l’OTAN ne s’étendrait pas au-delà de la Rivière Elbe et, par conséquent, n’offrirait pas d’adhésion à la Pologne et aux autres. »

En 2007, à la Conférence de la Sécurité de Munich, Poutine accusa l’OTAN de duplicité et de menacer la Russie, et il dit « l’expansion de l’OTAN représente une sérieuse provocation et réduit le niveau de confiance mutuelle. » Joe Biden et son pantin Zelensky ont violé à plusieurs reprises l’accord de Minsk, causant de ce fait 14 000 morts et plus de 1.2 millions de réfugiés qui ont été forcés d’abandonner leurs maisons et de s’enfuir en Russie. Où sont les médias américains devant ce problème d’une importance capitale à la narration ?

En 2008, quand George W. Bush annonça que l’Ukraine et la Géorgie étaient éligibles à l’adhésion à l’OTAN, l’ancien représentant Ron Paul affirma qu’il savait que c’était une « idée terrible ». « Fournir des garanties militaires américaines à l’Ukraine et à la Géorgie ne peut que mettre notre armée à rude épreuve. Cette expansion de l’OTAN pourrait bien impliquer l’Armée américaine dans des conflits sans aucun lien avec nos intérêts nationaux. » Le Dr Paul avait raison une fois de plus et c’est la raison pour laquelle on ne lui permettra jamais d’être Président.

D’après Webb, Zelensky possède un manoir de 35 millions $ près de Miami. Webb dit également qu’il a des preuves qu’un autre milliardaire juif ukrainien, Victor Pinchuk, déposait 12 millions $ par mois dans le compte de Zelensky qui y a plus d’un milliard de dollars. Au cas où vous ne vous en souviendriez pas, Kolomoyskyi est un actionnaire majeur de la Compagnie de Pétrole Burisma, appartenant à un autre personnage louche, un autre oligarque juif nommé Mykola Zlochevsky, la compagnie qui paya Hunter Biden, son partenaire d’affaires Devon Archer et l’ancien atout de la CIA Cofer Black des dizaines de milliers de dollars par mois chacun pour siéger sur le comité de direction de Burisma. Devon Archer vient juste d’être emprisonné la semaine dernière pour avoir fraudé la tribu indienne sioux Oglala par une autre arnaque criminelle.

L’Ukraine est une plaque tournante d’activités criminelles et un grand nombre de nos politiciens, y compris la Famille du crime Biden y font une fortune en argent sale. Cette guerre coûte des milliards de dollars à ces pirates. Webb rapporte aussi que Kolomoyskyi opère onze bio-laboratoires en Ukraine et au Kazakhstan, financés par le Pentagone américain.

Pour les crétins des médias qui ne peuvent pas comprendre pourquoi Poutine et les Russes ont entrepris ce mouvement, imaginez si la Russie dépensait des milliards de dollars afin de déstabiliser le Mexique, armait plusieurs groupements dissidents, planifiait une révolution, forçait son Président à s’enfuir par un coup d’état sanglant, installait un président fantoche qui ne se plaindrait pas quand ont pillerait le trésor et commencerait ensuite à installer des bases militaires russes sur le bord des frontières côtoyant le Texas et l’Arizona. C’est ce qu’ont fait les politiciens américains des deux côtés de l’aile parlementaire en Ukraine, grâce à Barack Obama, Joe Biden, Adam Schiff, John Kerry, John McCain, Lindsey Graham, Richard Burr, Nacy Pelosi et bien d’autres.

Pourtant, les médias mensongers de la Ville de New York et les escrocs gouvernementaux de Washington, D.C., ont fait entrer le public américain dans une frénésie guerrière dans laquelle des gens qui souhaitent la mort, des deux côtés de l’aile politique, marchent dans les rues en réclamant la Troisième Guerre Mondiale.

Ne vous y trompez pas : une guerre entre l’Est et l’Ouest impliquerait des armes nucléaires. C’est une certitude absolue.

Et, comme on peut s’y attendre, les évangéliques sont parmi les plus enthousiastes meneurs de claque en faveur d’une guerre avec la Russie (et dont les justifications ne sont toutes que des MNSONGES). Cela parce que 80 % des évangéliques ont été complètement dupés par le Futurisme Scofield et croient que Poutine et la Russie sont les « Gog et Magog » d’Ézéchiel et de l’Apocalypse. (Ils ne le sont pas !) Ainsi, ils croient que si l’Amérique entre en guerre contre la Russie, « l’antichrist » va se présenter et diriger une attaque russe contre Israël (Troisième Guerre Mondiale), ce qui va provoquer le retour de Jésus. Comme il est prévisible, beaucoup d’entre eux qualifient Poutine « d’antichrist ». (Il ne l’est pas !) Fort à propos, ils croient qu’ils n’auront pas à endurer les conséquences calamiteuses d’une guerre nucléaire, étant donné qu’ils seront « enlevés » d’abord au ciel. (Ils ne le seront pas !)

La création de l’OTAN et de l’Israël sioniste a fait en sorte que pratiquement tous les conflits du monde sont l’affaire des Américains, alors qu’en fait, la très vaste majorité de ces conflits étrangers NE SONT PAS DE NOS AFFAIRES. La seule chose que l’implication de l’Amérique fait dans ces conflits, c’est de les rendre PIRES.

Dans le Message d’Adieu de George Washington (le plus grand message présidentiel américain), il nous a mis en garde contre les dangers des imbroglios étrangers :

Contre les ruses insidieuses des influences étrangères (je vous prie de me croire, amis citoyens), la jalousie d’un peuple libre doit demeurer constamment alerte ; ainsi que l’histoire et l’expérience le prouvent, l’influence étrangère est un des ennemis les plus mortels du Gouvernement républicain.

Pour nous, la grande règle de conduite, en ce qui regarde les pays étrangers, c’est, tout en étendant nos relations commerciales, d’avoir avec eux aussi peu que possible de liens politiques.

L’Europe a une série d’intérêts primaires qui n’ont aucune ou très peu de relations avec nous. D’où le fait qu’elle doive s’engager dans de fréquentes controverses, dont les causes sont essentiellement étrangères à nos affaires. D’où, par conséquent, le fait qu’il ne serait pas sage de notre part de nous impliquer, par des liens artificiels, dans les vicissitudes ordinaires de sa politique, ou les combinaisons et les collisions quelconques de ses amitiés et de ses inimitiés.

Pourquoi quitter notre propre sol pour aller à l’étranger ? Pourquoi, en entremêlant notre destin avec celui de n’importe quelle partie de l’Europe, emmêlerions-nous notre paix et notre prospérité dans les rets de l’ambition, des rivalités, de l’intérêt, de l’humeur ou des caprices de l’Europe ?

Il est de notre véritable politique d’éviter les alliances permanentes avec quelque portion que ce soit du monde étranger.

Plût à Dieu que les leaders politiques et le peuple de l’Amérique eussent suivi fidèlement les conseils de Washington. Pratiquement tous les problèmes politiques, sociaux, militaires et économiques qu’a affronté l’Amérique dans le passé et maintenant résultent du fait d’avoir ignoré les instructions sagaces de Washington.

Prions tous pour que l’ingérence stupide, sinistre et pharisaïque de l’Amérique dans le conflit d’Ukraine ne fasse pas tomber de bombes nucléaires sur nos têtes.




L’Ukraine n’est pas une victime

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

3 mars 2022

En tant qu’analyste politique et, chose plus importante, en tant qu’étudiant des Écritures spirituellement disposé, j’en suis absolument convaincu. Lorsque les establishments majeurs se précipitent sur un sujet, qu’ils décident collectivement qui est victime et qui est vilain, et qu’ils battent ensemble sans cesse la mesure à l’unisson, la narration qu’ils présentent est à cent pourcent à l’envers.

Or, maintenant, l’establishment du pouvoir a décidé de nous ensorceler avec un agenda antirusse et pro-ukrainien. Mais, comme toute propagande de l’establishment, c’est un gros mensonge bien gras.

Je débute par l’excellent commentaire de Ron Paul :

Lorsque l’administration Bush annonça, en 2008, que l’Ukraine et la Géorgie seraient éligibles à faire partie de l’OTAN, je sus que c’était une très mauvaise idée. Près de deux décennies après la fin du Pacte de Varsovie et de la Guerre Froide, une expansion de l’OTAN n’a pas de sens. L’OTAN elle-même n’a pas de sens.

Pour expliquer mon « non » au vote sur un projet de loi endossant l’expansion, je dis à l’époque :

« L’OTAN est une organisation dont le dessein a pris fin au terme de son adversaire, le Pacte de Varsovie … Cette reprise actuelle de l’expansion de l’OTAN est une récompense politique aux gouvernements de la Géorgie et de l’Ukraine qui ont acquis le pouvoir suite au support américain des révolutions, la prétendue Révolution Orange et la Révolution de la Rose. »

« Fournir des garanties militaires américaines à l’Ukraine et à la Géorgie ne peut que mettre encore plus notre armée à l’épreuve. Cette expansion de l’OTAN pourrait bien entraîner l’armée américaine dans des conflits sans liens avec notre intérêt national. »

Malheureusement, comme nous l’avons vu cette dernière semaine, mes craintes se sont avérées. L’on n’a pas besoin d’approuver les actions militaires de la Russie pour analyser ses motivations déclarées : l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était une ligne rouge que la Russie ne voulait pas voir traverser. Alors même que nous voyons le risque d’une terrible escalade, nous devons nous rappeler que cela ne devait pas se passer ainsi. Il n’y avait pas d’avantages pour les États-Unis à étendre ou à menacer d’étendre l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie. On ne peut contester le fait que l’OTAN s’est mise à dérailler bien longtemps avant 2008, toutefois. L’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord a été signé le 4 avril 1949 et, au début de la Guerre de Corée, juste un peu plus d’un an plus tard, l’OTAN fut fort impliquée dans l’opération militaire de la guerre en Asie, pas en Europe !

On avait déclaré que le dessein de l’OTAN était de « garantir la sécurité et la liberté de ses membres par des moyens politiques et militaires. » Ça n’a pas été du travail bien fait !

J’y crois aussi fermement aujourd’hui qu’en 2008, dans mon discours devant l’Assemblée à qui je disais : « L’OTAN devrait être démantelée, pas expansée. » En attendant, l’expansion devrait être écartée de la table.

Bravo, bravo, Dr Paul.

Je vous encourage aussi à lire cet article formidable du représentant John Whitehead intitulé Perpetual Tyranny: Endless Wars Are The Ennemy Of Freedom.

Dans cet article, Whitehead écrit :

Tant que les politiciens américains continueront de nous impliquer dans des guerres qui ruinent le pays, qui mettent nos militaires et nos femmes en danger, accroissent les chances de terrorisme domestique et de répercussions, et poussent notre pays au bord du gouffre, « nous, le peuple », nous sentirons dans un état perpétuel de tyrannie.

Il est temps que le gouvernement américain cesse de faire la police dans le monde.

Cette dernière crise – la part des États-Unis dans l’épreuve de force entre la Russie et l’Ukraine – vient immédiatement à la suite d’une longue lignée d’autres crises, fabriquées ou pas, qui arrivées de manière bien à point pour distraire les Américains, les tromper, les amuser et les isoler des empiètements réguliers du gouvernement sur nos libertés.

Et cela se poursuit à la façon orwellienne.

Deux ans après que le COVID-19 ait placé le monde dans un état d’autoritarisme global, juste au moment où la tolérance des gens envers les lourdes mesures obligatoires semble s’être finalement usée, l’on nous apprête à la distraction suivante et la prochaine ponction sur notre économie.

Or, policer le globe et faire sans cesse la guerre outremer ne rendent pas l’Amérique – ou le reste du monde – plus sécuritaire, cela ne grandit certainement pas à nouveau l’Amérique et cela l’enfonce indéniablement plus profondément dans les dettes.

La guerre est devenue une énorme entreprise lucrative et le gouvernement des États-Unis, grâce à son vaste empire militaire, est un des plus gros vendeurs et acheteurs.

Ce que la plupart des Américains – endoctrinés à croire que le patriotisme signifie de soutenir la machine de guerre – n’arrivent pas à reconnaître, c’est que ces guerres incessantes n’ont que peu à voir avec le fait de garder le pays en sécurité, mais tout à voir avec le fait d’appuyer un complexe militaro-industriel qui continue de dominer, de dicter et de façonner chacun des aspects de notre vie.

Prenez ceci en considération : Nous sommes une culture militaire engagée dans la continuité. De la guerre. Nous avons été un pays en guerre durant presque toute notre existence. Nous sommes une nation qui gagnons notre vie à tuer au moyen de contrats de défense, de manufactures d’armes et de guerres sans fin.

Les États-Unis sont les plus grands consommateurs, exportateurs et auteurs de violence et d’armes violentes dans le monde. Sérieusement, l’Amérique dépense plus d’argent pour la guerre que les budgets combinés de la Chine, de la Russie, du Royaume-Uni, du Japon, de la France, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, de l’Allemagne, de l’Italie et du Brésil. L’Amérique est la police du monde grâce à 800 bases militaires et des soldats stationnés dans 160 pays. De plus, les faucons de la guerre ont presque transformé le territoire américain en champ de bataille avec de l’équipement, des armes et des tactiques militaires. En retour, les forces policières domestiques sont devenues des extensions errantes de l’armée – une armée permanente.

L’Empire américain – avec ses guerres incessantes combattues par les soldats de l’armée américaine qui ont été réduits au niveau de fusils à louer : sous-traités, trop étirés, déployés en des endroits très vastes pour policer le globe – approche de son point de rupture.

Allons, bonnes gens. Que ferait l’Amérique si la Russie ou la Chine tentaient d’ériger des bases militaires sur nos frontières canadiennes ou mexicaines ? Que pensez-vous qu’il arriverait ?

En outre, le leader de l’Ukraine est tout sauf un héros. Il a joyeusement permis aux banques d’Ukraine d’être employées au blanchiment d’argent pour les riches hommes d’affaires et politiciens, et aux trafics d’influence au sein des politiques américaines.

Le Président ukrainien Volodymyr Zelenskyy (un Juif sioniste) est également accusé de traitement barbare – même génocidaire – contre le peuple résidant dans les deux provinces séparatistes de Donetsk et de Lugansk – qui possèdent un Droit naturel de par Dieu de se séparer de l’Ukraine et qui font appel à la protection de la Russie. (Dites-moi, l’Irak et l’Afghanistan ont-ils invité l’Amérique à envoyer son armée dans leur pays avant de les envahir ?) Est-il étonnant que l’Ukraine se tourne vers Israël pour avoir de l’assistance militaire ? Après tout, Israël est extrêmement compétent en ce qui a trait au nettoyage ethnique et au génocide.

N’oublions pas non plus que l’Ukraine est le foyer de plus d’une douzaine de bio-laboratoires américains sponsorisés et financés par le Pentagone. En d’autres mots, ces labos sont là pour des opérations militaires potentielles. Encore une fois, que pensez-vous que ferait l’Amérique si la Russie construisait une douzaine de bio-laboratoires militaires juste au-delà de nos frontières avec le Canada et le Mexique ?

L’Ukraine n’est PAS une victime. Elle est depuis des années et jusqu’au cou dans le subterfuge global (particulièrement antirusse), les vols, les actes d’inhumanité et les crimes de guerre. L’Ukraine n’est pas l’amie de la liberté ou des États-Unis. Mais elle est l’amie des politiciens et des hommes d’affaires corrompus.

Quoi qu’il se passe réellement en Ukraine, cela n’a rien à voir avec la narration proposée par les establishments majeurs.

  1. Laissez-moi vous poser une question : Si les États-Unis se croient justifiés de déclencher des invasions préventives de l’Irak et de l’Afghanistan – qui incluent des occupations à long terme – à des milliers de kilomètres de nos frontières contre de petits pays arriérés qui n’offrent aucune menace à l’Amérique, alors comment le Russie ne serait-elle pas justifiée de déclencher une campagne préventive pour se protéger contre une formidable et sérieuse expansion militaire à sa frontière – particulièrement quand sa protection est recherchée par des états légitimes indépendants ? (Souvenez-vous que l’Amérique a déjà été un pays séparatiste.) S’il vous plaît, lisez le commentaire du Dr Paul référencé ci-haut à savoir pourquoi le vrai vilain dans cette situation est l’OTAN, pas la Russie. À nouveau, que ferions-nous si nous étions dans les souliers de la Russie ?

Si la Russie voulait vraiment conquérir l’Ukraine, elle pourrait facilement le faire. L’Ukraine est totalement incapable de résister avec succès à l’armée russe, si la Russie désire réellement la conquête militaire (ce qu’elle ne veut pas). Le leader russe Vladimir Poutine a dit au monde pourquoi il entreprenait de telles actions, ce que ses actions en Ukraine étaient destinées à faire et à ne pas faire – dont ne PAS occuper l’Ukraine – et comment elles seraient menées. Je pense que vous devriez écouter ce qu’il a dit.

  1. Les bio-laboratoires américains sont-ils un objectif important ? Si je comprends bien, les labos ont pu avoir été détruits très tôt lors de l’opération. Si c’est le cas, c’est une TRÈS BONNE chose.
  2. Maintenant que le peuple américain a fait savoir qu’il en avait terminé avec la fausse narration Covid-19 et que le facteur de la peur est complètement parti, est-ce que l’élite totalitaire est en train d’utiliser la menace d’une guerre globale pour à nouveau remplir de peur le cœur des gens ? Comme le dit Whitehead, « Les guerres incessantes sont l’ennemi de la liberté ». (Je le dis depuis des années.) La peur est aussi un outil pour nous rendre esclaves. Tôt dans la charade Covid, j’ai écrit un message à ce sujet.
  3. Est-ce une diversion pour détourner notre attention du Pass Vaccinal National (et d’autres tentatives de notre gouvernement central pour attenter à nos libertés) que l’on présente, supporté par les Démocrates ainsi que les Républicains ?
  4. Serait-ce encore une autre manipulation du monde à partir des coulisses du CFR et des Bilderbergs dans le but d’atteindre leur objectif d’ensemble de gouvernance globale ?

Bien sûr, les futuristes Scofield courent dans toute la place en criant à « la prophétie de la fin des temps ». Quelles balivernes ! On aurait pensé que les chrétiens se seraient mis à utiliser un peu plus leur cervelle et arrêtent d’écouter tous ces sensationnalistes de fausses prophéties qui se rendent imbéciles par leurs prophéties erronées sur les derniers jours.

Quelle que soit la vraie histoire en Ukraine, je peux vous dire ceci : ce n’est PAS ce que les establishments majeurs vous disent. Et l’Ukraine n’est PAS une victime.