L’aube d’une nouvelle année

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2021

Par Jerry Barret

À chaque année, au premier janvier, des millions d’Américains ont en vue de s’améliorer en prenant des résolutions personnelles et en s’établissant des buts. Vous pouvez voir cela par les fenêtres de tous les lieux d’exercices à travers le pays. Ceux qui s’emploient à la bonne santé en faisant régulièrement de l’exercice sont forcés d’ajuster leur horaire pour éviter les foules qui s’en suivent. Toutefois, cela n’est pour eux qu’un embêtement mineur. Ils savent qu’en février ces guerriers qui foncent dans les séances d’entraînement auront abandonné en retournant à leurs vieilles habitudes.

Toutefois, ce janvier-ci ne sera pas comme ceux de mémoire récente. De nombreux gyms ont été fermés à cause d’un confinement draconien ordonné par les gouvernements locaux ou étatiques. Bien que jugé inconstitutionnel par les propriétaires commerciaux touchés, le public en général s’est à peine prononcé. « Nous devons pratiquer ces lignes de conduite au nom de la sécurité, » a-t-il comme mantra.

À mesure que s’accroit notre « sécurité », nos libertés rétrécissent. Ceux qui croient encore être libres en Amérique, vous devez vous réveiller et humer le café. Lentement, mais sûrement, nos libertés se sont érodées pour n’être qu’à deux doigts du néant.

Je me rappelle qu’enfant je marchais avec Papa jusqu’aux portes de l’aéroport en vue de son vol vers une destination déterminée par ses supérieurs des Forces aériennes des États-Unis. Notre famille avait l’habitude de se promener nonchalamment dans tout l’aéroport en attendant que son vol soit annoncé, en le regardant marcher vers la passerelle, puis voir son avion décoller.

Grâce au travail interne appelé 9/11, une grosse colonne de liberté fut enlevée des piliers de l’Amérique. Aujourd’hui, seuls ceux qui ont des billets peuvent se rendre jusqu’aux portes. Et ce après avoir passé par un contrôle de sécurité où l’on vérifie votre identité et votre carte d’embarquement. Une fois accepté, vous devez pratiquement vous déshabiller et passer dans une machine à rayon-x. Tous les bagages que vous transportez doivent aussi passer au rayon-x, testés pour fin de résidus d’explosifs avant qu’on vous les redonne pendant que vous vous rhabillez. Les accolades et les embrassades d’au revoir sont maintenant restreintes à la zone de chargement, et tout cela au nom de la sécurité.

Nous, les moutons, n’avons rien à penser de ces nouvelles « précautions ». Nos leaders ont nos meilleurs intérêts à cœur, n’est-ce pas ? Peu importe le fait que certains employés mécréants des aéroports sont reconnus pour partager des images des machines à scanner les corps. Ni le fait qu’aucun acte terroriste n’ait été contrecarré par ces procédures envahissantes. Au début, les reporters et les enquêteurs indépendants se mirent à tester l’efficacité de ces procédures, et ils finirent par être fortement désappointés.

Cette phase du grand plan étant complétée, il était temps de faire le pas suivant. Cet événement annonciateur arriva le 18 octobre 2019 à New York City. Tenu conjointement entre le Centre de Sécurité Sanitaire Johns Hopkins, le Forum Économique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Événement 201 s’avéra un exercice pandémique de haut niveau. Cet exercice servait à illustrer les domaines où les partenariats publics et privés seraient nécessaire en cas de pandémie sévère.

Ainsi que j’en ai fait la documentation dans des bulletins précédents et dans des émissions radiophoniques antérieures, cette pLandémie a été lancée sur une population sans méfiance en surgissant sur la scène en mars de 2020. La peur, répandue par les grands courants médiatiques sous la direction de l’élite, a agrippé le pays dans sa poigne d’acier. Un nombre croissant de mort a occupé la une des reportages de nouvelles. On a présenté des images d’hôpitaux remplis de médecins et d’infirmier(e)s désespérés essayant apparemment de traiter des milliers de patients. Des sacs mortuaires remplissaient les chariots que l’on acheminait vers les camions réfrigérés.

Les gouverneurs et les fonctionnaires locaux ou étatiques élus ont tous promulgué des ordres de confinement dans l’effort « d’aplatir la courbe » des infections qui, semblait-il, se répandait comme une traînée de poudre sur toute la planète. Au début de ces ordonnances, l’on nous a dit que deux semaines seraient probablement suffisantes pour reprendre le contrôle de la situation. Hélas, nous aplatissons la courbe depuis maintenant neuf mois.

Chose ironique ou non, cette pLandémie est survenue au moment même où l’économie américaine rebondissait. Des usines revenaient en Amérique, et avec elles des emplois dont nous avons grand besoin. Le chômage dans les communautés minoritaires connaissait des baisses record. Les transactions et les traités qui ne bénéficiaient pas à l’Amérique furent réécris. On remettait de l’avant le concept de « l’Amérique d’abord ». Est-ce que les accusations infructueuses contre le Président Donald Trump et son soutien croissant par la classe moyenne des travailleurs ont mis la puce à l’oreille de l’élite ?

Comme on dit, avec du recul, c’est 20/20. Il est toujours plus facile de discerner les motifs une fois que les dés sont jetés, et le temps est un allié, pas un handicap à la prise de décision. Mais avec l’Agenda 21 des Nations Unis pointant à l’horizon, on peut se demander ce qui va suivre.

Avec la soi-disant victoire électorale de Joe Biden en tant que prochain Président, un changement crucial semble venir, et il ne sera pas beau. La législation imminente de la Chambre des Représentants contrôlée par les démocrates met en lumière l’avenir sombre de notre pays. La Loi sur l’Égalité, ainsi que la Loi sur la Sensibilisation envers l’Antisémitisme — lesquelles j’ai discuté avec le révérend Ted Pike dans mon émission radio [Anti-Christian Legislation is Pouring Out of Congress (Une législation antichrétienne déferle du Congrès) disponible en format cassette ou CD] — sont des assauts directs contre les chrétiens. Si les démocrates peuvent mettre la main sur le Sénat en se sauvant avec la Géorgie, comme le dit le vieux dicton : « Katy, barre la porte à double tour ».

Il y a aussi, dans le pipeline de la destruction, le H.R. 5717, surnommé la Loi sur la Prévention de la Violence par les Armes et la Sécurité Communautaire. Si cet projet de loi législatif est adopté et signé en tant que loi, la structure de la réglementation gouvernementale va changer radicalement. Entre autres changements, le projet de loi propose ce qui suit :

  • Il exige des individus qu’ils obtiennent un permis d’achat, d’acquisition ou de possession d’armes à feu ou de munitions [l’emphase est ajoutée] ;
  • L’âge minimum des acheteurs d’armes à feu et de munitions passe de 18 à 21 ans ;
  • Il établit de nouvelles exigences d’examens d’antécédents pour les transferts d’armes à feu entre parties privées ;
  • Il exige que les agences de mise en application de la loi soient notifiées si un examen d’antécédents donne un résultat négatif ;
  • Il crée un processus légal pour qu’un membre de famille ou de ménage puisse pétitionner à la cour pour qu’on enlève les armes à feu à un individu qui court le risque de commettre de la violence [la Loi Drapeau Rouge]

99,7 % des propriétaires d’armes à feu de notre grand pays sont, et vont continuer à être, des Américains obéissant aux lois. Ajouter des lois pour rendre encore plus difficile de se défendre légalement ne découragera en rien les 0,3 % d’individus à l’esprit maléfique.

Ce projet de loi rendra également les armes à feu taxables à 30 % et les munitions (les cartouches et les balles) taxables à 50 %. Actuellement, les armes à feu et les munitions sont taxées à 10 %. De plus, l’on n’a pas besoin d’un permis pour acheter des munitions !

Quiconque a étudié l’histoire, même juste un peu, sait que la première étape d’une dictature totalitaire s’accomplit par le contrôle des armes. Après que cette mesure est prise, la liberté d’expression et de religion devient la cible suivante. Est-ce que le Plan – dont a si souvent parlé notre pasteur émérite Texe Marrs – fait des bonds de géant grâce à l’abêtissement des Américains ? Combien de temps reste-t-il avant que les camps de rééducation soient pleins de moutons dociles ? Est-ce que les vaccins planifiés pour le Covid-19 font partie de la « nouvelle normalité » de la dépopulation ?

Il y a un vieil adage que me disait mon père : « Si tu ne te tiens pas debout pour quelque chose, tu seras à genoux pour n’importe quoi ». Il est temps pour les chrétiens craignant Dieu et rachetés par Son sang de se tenir debout et de crier sur les toits ! Ce n’est pas une conspiration si c’est la vérité. Power of Prophecy crie la vérité depuis plus de trente ans. 2021 ne sera pas différent. Vous joindrez-vous à nous ?

***

Par Michelle Hallmark Powell

Nous avons été avertis

En 2004, la Commission sur la Réforme des Élections Fédérale fut constituée par l’ancien Président Jimmy Carter et James A. Baker III (Secrétaire général et Secrétaire d’État sous les Présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush) pour examiner le processus électoral aux États-Unis. Organisation privée et bipartisane, la Commission assembla des leaders des deux partis, de même que des groupements civiques académiques et non partisans afin de maximiser l’accès et l’intégrité des votes. Il y avait 87 recommandations étalées dans un rapport de 91 pages. Mettre en œuvre toutes les suggestions aurait exigé une action du Congrès au coût de 1,35 milliards $. Le rapport demandait également une supervision professionnelle et étatique non partisane des élections. Voici certaines des autres recommandations :

  • Développer un « système d’inscription au vote universel » dirigé par les états plutôt que par des juridictions locales ;
  • Accroître l’effort d’inscription des électeurs par les états, y compris l’effort de permettre à des anciens détenus de voter sous certaines conditions.
  • Créer une méthode d’identification photo uniforme pour assortir l’électeur à la liste électorale, tout en établissant plus de bureaux pour les électeurs sans permis de conduire afin qu’ils s’enregistrent plus facilement et acquièrent leur carte d’identification photo.
  • Suite aux caucus en Iowa et aux primaires du New Hampshire dans les années d’élection présidentielles, les états devraient tenir quatre primaires et des caucus régionaux à la place des horaires actuels dans le but de réduire l’influence des états de l’est dans le choix de leurs candidats.

Si ces recommandations avaient été mises en place, nous ne serions peut-être pas dans la situation de fraude électorale que nous voyons présentement.

Avertis, mais bêtement désarmés

Reculons maintenant seize ans avant l’élection de 2020. D’abord, nous avons utilisé les machines à vote conçues par les Systèmes de Vote Dominion. Cette compagnie fut fondée en 2003 et sa mission était de fournir un système électronique de vote qui s’avérait avenant pour les progressistes. La compagnie ne marcha pas très bien jusqu’à ce que l’administration Obama arrive au pouvoir. Le dur effondrement du SEV (Système électronique de vote) mis en marché par la compagnie aux États-Unis arriva en août 2009.

  • 40 % ES&S
  • 30 % Diebold/Premier
  • 20 % Sequoia/Smartmatic
  • 10 % Hart Intercivic
  • 0 % Dominion

Puis, moins d’un an plus tard, grâce à l’administration Obama :

  • 50 % Dominion
  • 40 % ES&S (qui fut restreint dans sa compagnie contre Dominion)
  • 10 % Hart Intercivic

L’Administration Obama confisqua tous les actifs des systèmes électroniques de vote (logiciel, propriété intellectuelle, outils de manufacture, clientèle de base, etc.) Elle donna alors cette information à Dominion qui obtint en même temps plusieurs employés de Smartmatic – un Système Électronique de Vote dont les propriétaires sont à l’étranger – qui était relié à Hugo Chavez du Venezuela. Comme nous le savons tous, Chavez utilisa les machines de vote truquées pour gagner ses élections. Donc, comme vous pouvez le voir, le système n’était pas seulement partisan, mais hyper partisan en faveur du Parti démocrate. Il y aurait plus à dire sur les liens du Parti démocrate avec ses supporteurs prééminents aux États-Unis et outremer, mais nous n’entrerons pas ici dans les détails.

L’historique de Dominion

La Dominion Voting System Corp., qui a été fondée au Canada, acquit éventuellement les Systèmes de Vote Sequoia – faisant anciennement partie de la Smartamatic Corp. maintenant une compagnie basée au Royaume Uni. Le logiciel Dominion a été utilisé par 40 % des électeurs dans cette élection de 2020, principalement par les états et les commissions de vote démocrates. Aucune protection n’a été mise en place contre les renversements, les effacements ou la création de votes. En fait, le logiciel utilisé était saisi d’un algorithme qui permettait aux machines de vote d’ajuster le compte des bulletins de vote à partir de 22h30 heure de l’est. Le compte des bulletins de vote stoppa dans bon nombre d’états contestés. Le propre site internet de Dominion dit que le logiciel a été utilisé dans des états « chaudement disputés » comme le Michigan, la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. On l’a aussi employé dans les grands états « démocrates » comme la Californie, le New Jersey et New York. C’est courir après la fraude électorale.

La combine

Vous n’entendez pas la vérité sur les canaux des grands courants médiatiques, mais voici quelques informations fournies à propos des bulletins de vote frauduleux qui s’avèrent des bulletins photocopiés, des bulletins de personnes décédées ou d’électeurs non-résidents. Vous avez ci-dessous l’effondrement des états clés durement contestés et ce qui a eu lieu quand les bulletins ont été révisés.

Comme vous pouvez le voir, c’est plus de 1 200 000 votes qui auraient dû aller à notre Président Donald Trump.

Combattre la corruption

Il se tient des audiences législatives dans chacun de ces états grâce à des affidavits signés par des centaines de témoins déclarant des contradictions massives du vote et des fraudes ayant eu lieu. Chaque législature étatique a le droit, selon notre Constitution, de changer le soi-disant appel à la victoire de Biden en celui de la victoire de Trump si l’on juge qu’il y a suffisamment de preuves de fraude électorale. Bien sûr, il faudra certains hommes braves pour se rebiffer contre le système et redonner aux Américains leur vrai vote. Puissions-nous tous prier notre Dieu qu’Il bénisse l’Amérique.




De la mer à l’océan étincelant, les « temps fous » sont arrivés en Amérique

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Décembre 2020

Par Jerry Barret

L’expérience que nos pères envisageaient est au bord du précipice de la destruction complète. Notre Constitution est continuellement attaquée et ne constitue plus qu’un morceau de papier usé et en lambeaux. Les freins et les contrepoids – mis en place pour limiter chaque branche du gouvernement – ont été usurpés par les acteurs du pouvoir de l’élite et les juges de la Cour Suprême légifèrent maintenant depuis le tribunal.

Alors que la poussière retombe suite à la période électorale de 2020, de nombreux problèmes inquiétants s’érigent face à ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Fait troublant, nos concitoyens sont victimes du contrôle mental constant émanant des grands courants médiatiques. Il ne peut y avoir aucune autre explication aux conséquences méprisables de nombreux états de notre pays jadis si grand.

Drogues psychotropes légalisées

La gauche soutient la dépénalisation des drogues qui crée une base de gens facilement manipulables, émotionnellement et intellectuellement. Et qui dépendront des « leaders » des médias politiques, sociaux et grand public pour leur dire quoi penser, comment penser, quand penser, etc.

L’anarchie règne en maître dans le quadrant supérieur nord-ouest de l’Amérique. Faut-il être surpris que les électeurs de l’Oregon aient adopté deux lois extrêmes ? La mesure 109 fait de l’Oregon le premier État du pays à autoriser l’utilisation supervisée des champignons hallucinogènes. Ce projet de loi a été adopté avec plus de cinquante-six pourcents des voix. La mesure 110 décriminalise de petites quantités de drogues, notamment la cocaïne, l’héroïne, l’oxycodone et la méthamphétamine. La possession sera désormais classée comme une infraction menant à une amende de 100 $. Cette mesure est passée avec cinquante-huit pourcents des voix !

Le New Jersey, l’Arizona, le Dakota du Sud et le Montana ont tous adopté des lois légalisant l’usage récréatif de la marijuana. Le Mississippi a légalisé la marijuana à des fins médicinales. Il ne s’agit sûrement que d’une mesure bouche-trou pour ceux qui souhaitent légaliser l’usage récréatif dans un avenir rapproché. Les gouvernements d’états sont favorables à cela parce qu4 cela veut dire d’autres recettes discales, ainsi qu’un moyen de maintenir une population induite par la drogue dans la docilité et la malléabilité.

Ces nouvelles déconcertantes, associées au programme marxiste continu implanté dans nos systèmes scolaires publics – du primaire à l’enseignement supérieur – préfigure la fin décisive de notre souveraineté en tant que peuple et nation. L’écho des révolutions précédentes résonne étrangement à nos oreilles.

Les psychopathes tourmentent l’humanité depuis le début de son histoire. Ils se sont avérés la bande de sauvages la plus assoiffée de sang qui ait foulé la surface de la terre. De Robespierre à Lénine, une traînée de sang sillonne leur passage.

Liberté, Égalité, Fraternité – ce n’est pas ce que vous pensez

La Révolution française dirigée par les Illuminati avait pour mantra : « Liberté, Égalité, Fraternité ! » Cette devise anodine cachait le mal qui se dissimulait en-dessous. « Liberté » signifiait la liberté de l’homme par rapport à Dieu, la liberté de faire ce que l’on veut, libéré des chaînes de la religion chrétienne. « Égalité » impliquait que toute autorité doit être brisée et qu’aucun homme ne devrait posséder plus de biens que ses compatriotes. « Fraternité » voulait dire que tous les hommes doivent être frères, les restrictions artificielles des frontières nationales, des religions et des races étant effacées.

Plus de trois millions de personnes périrent à travers la France. Bon nombre étaient des marchands et des commerçants, de simples fermiers et des gens craignant Dieu. Dans certains cas, des villes entières ont été rasées et détruites. Les églises furent employées pour de nombreuses voies de débauche.

En Russie tsariste, Vladimir a mené la campagne de la Terreur Rouge bolchevique. On construisit des camps de concentration d’où les victimes ne partirent jamais, des barges furent employées à noyer des gens, des familles entières furent arrêtées, torturées et assassinées. Les églises furent incendiées ou converties en entrepôts. Comme dans la France révolutionnaire, les chrétiens étaient ciblés pour extermination. À la mort de Lénine, Joseph Staline prit les rênes du pouvoir et poursuivit l’extinction supplémentaire de dizaines de millions de citoyens.

Karl Marx a dit : « Si l’on peut couper les gens de leur histoire, on pourra facilement les persuader. »

Les bolcheviks étaient attachés aux idées de Karl Marx, croyant que les classes ouvrières se libéreraient du contrôle de la classe dirigeante. Une fois cet objectif atteint, une véritable société socialiste fondée sur l’égalité pourrait s’établir. Cependant, Lénine pensait que les décisions devaient être prises par une élite intellectuelle et non pas par la masse des gens. C’est peut-être ce qui a conduit l’ancien auteur socialiste George Orwell à écrire dans son roman, Animal Farm : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d’autres. »

Ceux qui n’étudient pas l’histoire sont condamnés à la répéter

L’étude de l’histoire est d’une importance vitale dans notre éducation continue. Comme Texe Marrs, j’ai lu avec voracité des écrits historiques pour m’efforcer d’élargir mon champ de vision des événements. Juri Lina, auteur d’Architectes de la tromperie, cite une parole de Karl Marx : « Si l’on peut couper les gens de leur histoire, on pourra facilement les persuader. » Les événements qui se sont produits depuis l’élection présidentielle de 2016 et les activités illicites de « l’État profond » ressemblent remarquablement aux révolutions précitées. Bien qu’il n’y ait pas eu une grande quantité de sang versé… pourtant… le précéde3nt fut établi par d’autres psychopathes qui avaient revêtu la mante du pouvoir.

Dans son livre puissant, Les psychopathes : d’hier, d’aujourd’hui et de demain, Texe Marrs a expliqué :

« Suite aux élections, les Progressistes de partout se mirent à protester dans la folie. Leurs instincts les plus sauvages ont surgi et, pendant quelques années, l’Amérique a festoyé dans la Folle Époque des Progressistes. Ceux-ci sont, en général, d’une haine furieuse, mal embouchés, ignorants, politiquement correct, anti-américains, émeutiers, fauteurs de troubles. Conduits par un nombre incroyable de véritables psychopathes, les Progressistes dirigent le pays vers la période de Folle Époque. Peut-être sans le vouloir, leur rébellion et leur haine coléreuse de l’Amérique et des Déplorables [ceux qui votent Trump] ont ouvert la porte au psychopathe qui se réjouit de l’opportunité d’abandonner toute raison et de décimer toute apparence de loi et d’ordre. »

Preston James, psychologue social, a fait remarquer, dans son article perspicace La loi secrète des opposés : « Ce petit nombre sélect qui qui siège au sommet de la Hiérarchie Mondiale du Mal contrôle toutes les institutions clés, les grandes entreprises et l’establishment en cours… Si une personne publique quelconque les contrarie et sort des paramètres alloués, elle sera sanctionnée et mise sur la liste noire à divers degrés pour ne pas participer au système de manière significative. »

 




La transition du pouvoir est en jeu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2020

Par Jerry Barrett

Est-ce que l’un ou l’autre des candidats concédera la victoire après les élections ?

« Je considère de peu d’importance de savoir qui votera dans le parti, ou comment ; mais ce qui m’importe à l’extrême, c’est de savoir qui comptera les votes et comment. »

Boris Bazhanov –Les mémoires de l’ancien secrétaire de Staline (publié en 2002, traduit du russe)

 

À tous les quatre ans, nous sommes confrontés à un choix : pour qui voterons-nous comme Président des États-Unis ? Pour de nombreux chrétiens, le choix est facile à faire. Cependant, il faut se demander si c’est le bon et ne pas se hâter dans une décision si importante.

Il y a ceux qui fustigeront les gens qui jugent les autres. Ils éructeront leur version de Matthieu 7:1 : « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. » Mais ne jugeons-nous pas qui devrait être le chef de notre pays ? Pesons-nous leurs actions, leurs paroles et leurs agissements avant de voter ?

Le but d’un gouvernement

Romains 13:1 nous dit que nous sommes obligés de nous soumettre au gouvernement. Aux versets 3 et 4, l’on nous enseigne que le but d’un gouvernement est de maintenir le bien et de punir le mal. Le bien et le mal seront déterminés par l’État. Mais nous ne devons pas obéir aveuglément au gouvernement si ce corps gouvernemental exige que nous violions la Parole de Dieu.

Dans la lettre de Paul à Timothée, l’apôtre nous enseigne à prier pour les dirigeants qui sont en position d’autorité :

« J’exhorte donc qu’avant toutes choses on fasse des requêtes, des prières, des supplications, et des actions de grâces pour tous les hommes ; pour les Rois, et pour tous ceux qui sont constitués en dignité, afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté » (1 Timothée 2:1-2)

Nous pouvons le mieux démontrer notre respect à l’autorité gouvernementale lorsque nos dirigeants sont compétents et s’acquittent correctement de leurs fonctions. Mais ce n’est pas toujours le cas. Malheureusement, la Bible ne nous dit pas que tous ceux qui sont en autorité viennent de Dieu. Proverbes 29:2 nous dit ceci :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Nous qui nous positionnons sur la Parole de Dieu savons que toute autorité vient de Dieu. Personne – que ce soit un président, un dictateur ou un monarque – n’atteint sa position sans Sa providence. Cela ne signifie toutefois pas qu’Il l’approuve.

Vous n’avez encore rien vu

Pour ceux qui pensaient que la période électorale de 2016 était controversée, comme le dit le vieil adage : « Vous n’avez encore rien vu ! » Le Président Trump a été fidèle à sa personnalité habituelle et explosive, lançant ses insultes via les médias sociaux envers le candidat démocrate Joe Biden et sa colistière Kamala Harris.

De même, Biden et Harris y sont allés de leurs propres accusations caustiques contre Trump et son administration. De plus, aucune des deux parties de cette campagne n’a déclaré qu’elle concéderait rapidement la victoire le soir des élections. Le processus se complique encore du fait que l’on maintient des décisions étatiques et judiciaires permettant le comptage des bulletins de vote par correspondance sans « date limite de dépôt ».

Stratégie de guerre ou scénario planifié ?

Au cours de l’été 2020, à l’insu de la plupart d’entre nous, une « stratégie de guerre » a été organisée pour analyser les résultats potentiels et la réaction ultérieure des deux côtés de l’allée politique. Un certain nombre de scénarios ont été envisagés au fil de plusieurs sessions. Comme je vais le dévoiler plus loin, les participants – du moins ceux qui sont prêts à se voir révélés – forment un Who’s Who de poids lourds politiques et d’initiés de Washington.

La raison pour laquelle cela a piqué mon intérêt, c’est que la précédente « stratégie de guerre » – surnommée Event 201 et organisée par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins – était tenue à New York et concernait le déclenchement d’une pandémie à travers les États-Unis. Nous avons tous vécu les confinements qui s’en sont suivis, la mise en quarantaine sans précédent d’individus en bonne santé et la propagande, d’abord du nombre de décès, puis du nombre de cas. L’Event 201 a assurément aidé les personnes impliquées à planifier et à se préparer à l’asservissement presque total des citoyens.

Gestion de crise

Le recours à la gestion de crise est pratique courante dans le monde de la sécurité nationale. Des scénarios improbables sont présentés aux participants à qui l’on donne les concepts de base d’une catastrophe. L’idée de ces sessions est de reconnaître les zones de force et de faiblesse, et de mieux préparer les décideurs face à un désastre. Cette méthode est également utilisée pour jauger les réactions du public en employant le cinéma, la programmation télévisuelle et l’exposé des grands Médias traditionnels.

La prémisse de ce groupe reposait sur sa préoccupation concernant les perturbations potentielles après les élections présidentielles de 2020 et la transition des administrations. Le groupe s’est donné comme nom le Projet d’intégrité de la transition. Quoique présenté comme un effort bipartisan, le groupe était principalement financé par d’anciens membres de l’administration Obama.

Rosa Brooks, professeure de droit à l’Université de Georgetown, cofondatrice du Projet d’intégrité de la transition.

Les cofondateurs sont Rosa Brooks, ancienne fonctionnaire au Pentagone et professeure de droit à l’Université Georgetown, et Nils Gilman, ancien vice-chancelier de l’Université de Californie à Berkeley. Y participèrent aussi plus d’une centaine de hauts fonctionnaires, anciens et actuels, du gouvernement, des leaders de la campagne, des journalistes, des universitaires et d’anciens fonctionnaires fédéraux et étatiques.

Parmi les participants confirmés, il y a Michael Steele, ancien président du Comité national républicain ; John Podesta, président de la campagne 2016 d’Hillary Clinton ; l’ancienne Gouverneure du Michigan, Jennifer Granholm ; l’ancien Secrétaire d’état du Kentucky, Trey Grayson ; Donna Brazile, ancienne présidente par intérim du Comité national démocrate ; ainsi que les journalistes William Kristol, Edward Luce, Max Boot et David Frum.

Lors de sa première répétition, le groupe a simulé un résultat électoral ambigu. L’issue de l’élection n’était pas clair après les résultats de trois États en litige, et un État a détruit les bulletins de vote. Aucune des deux parties n’est prête à concéder.

À la deuxième itération, l’on figurait une victoire nette de Biden, à la fois du vote populaire et du Collège électoral. En la situation, Trump allègue qu’il y a fraude et il prend des mesures pour lui-même et pour sa famille. Mais il cède finalement la Maison Blanche à Biden.

Le troisième scénario commença avec Trump remportant une victoire au Collège électoral, tandis que Biden obtient le vote populaire. Ici, Biden refuse de concéder, persuadant les gouverneurs démocrates de deux états que Trump a remportés d’envoyer des électeurs séparés vers le Collège électoral, encourageant trois états – la Californie, l’Oregon et Washington – à brandir la menace d’une sécession, et convaincant la Chambre des Représentants de refuser de certifier l’élection.

La quatrième et dernière campagne couverte fut une victoire étroite de Biden à la fois aux votes populaires et au Collège électoral. Dans ce scénario, Trump refuse d’avouer la défaite, créant un indicible chaos avant que le Sénat républicain et les Chefs de l’état-major confirment et acceptent la victoire de Biden. Trump refuse de quitter la Maison Blanche et il est expulsé de force par les services secrets.

L’élection de 2020 sera-t-elle entachée

Tout comme il l’a fait durant les élections de 2016, Trump a allégué la possibilité de corruption – qu’il s’agisse de la collecte des bulletins de vote, des bulletins de vote envoyés par la poste, détruits par le service postal, ou de la façon dont les bulletins de votes sont comptés. Hillary Clinton avait été déclarée gagnante malgré que les votes dans certaines régions du pays aient dépassé les listes électorales.

De manière traditionnelle, la passation d’une administration à une autre se fait en douceur. Même les différends les plus remplis de rancune ont été mis de côté – pour la plupart – et ainsi s’est poursuivie la marque de notre république démocratique.

Sera-ce le cas pour 2020 ? Alors que le grand courant médiatique ne cache plus ses préjugés et fomente une haine enragée contre le Président en exercice, cela reste à voir. Ceux qui soutiennent Trump se sentent de même menacés et sont prêts à se défendre. De mon vivant, je n’aurais jamais pensé qu’une si forte discorde soit possible.

Souvenez-vous toutefois de ceci. Dieu règne sur nos affaires et, dans Sa providence, les dirigeants s’élèvent et s’affaissent, mais nous ne devons absolument pas présumer que toutes les affaires humaines reçoivent l’approbation de Dieu. Consolez-vous en pensant que Dieu demeure en contrôle au milieu de tout ce chaos. Nous sommes amenés à déployer activement Son caractère par les choix que nous faisons.

« Et que la paix de Dieu, à laquelle vous êtes appelés pour être un seul corps, tienne le principal lieu dans vos cœurs ; et soyez reconnaissants. Que la parole de Christ habite en vous abondamment en toute sagesse, vous enseignant et vous exhortant l’un l’autre par des Psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, avec grâce, chantant de votre cœur au Seigneur. Et quelque chose que vous fassiez, soit par parole ou par œuvre, faites tout au Nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à notre Dieu et Père » (Colossiens 3:15-17).

 


Par Sandra Myers

Fuir Babylone

Belize, Panama, Nicaragua, Canada, Nouvelle-Zélande, République dominicaine, Australie, Irlande… Voilà quelques-uns des nombreux pays vers où de mes amis et de mes connaissances ont parlé de s’envoler ou qui l’ont déjà fait.

Une personne s’est récemment exclamée : « Je déteste les États-Unis, alias le Marteau du monde entier, l’Exterminateur du monde entier et le Destructeur de montagnes ! » Mais cette personne admet qu’elle ne saurait où fuir. Elle veut juste SORTIR – sortir des terribles États-Unis d’Amérique.

Je suis peut-être légèrement partiale, mais malgré toutes ses imperfections, je continue de dire que les États-Unis d’Amérique sont le meilleur endroit pour vivre sur la terre verte de Dieu. Les États-Unis ne sont pas l’endroit parfait pour vivre ; mais aucun autre pays non plus. En fin de compte, nous ne sommes que des pèlerins de passage. `Notre foyer est au–dessus. Est-ce que l’Amérique, jadis lumière brillante sur la colline, et déjà à mi-chemin sur la pente glissante, se dirige vers l’hédonisme le plus complet, le marxisme/socialisme et la loi de la rue ?

La fureur de fuir Babylone

Ces ressortissants et ceux qui voudraient l’être ont une motivation commune : échapper à ce qu’ils considèrent Babylone et à leur propre disparition physique pour avoir été dans la Babylone. Ils croient que les États-Unis sont la maléfique et horrible prostituée dont parle la Bible. En tant que tel, ils ne veulent pas participer aux ravages provoqués par les États-Unis, ou encourir les châtiments et la destruction qui ne manqueront pas d’arriver aux États-Unis d’Amérique, s’il s’agit bien de Babylone.

« Fuyez hors de Babylone, et sauvez chacun sa vie, ne soyez point exterminés dans son iniquité ; car c’est le temps de la vengeance de l’Eternel ; il lui rend ce qu’elle a mérité » (Jérémie 51:6).

Le désir de fuir le danger est compréhensible. Satan veut vous cribler et vous dévorer. Mais votre désespoir vous fait oublier que ce que vous tentez de fuir n’est que la manifestation physique d’un problème spirituel.

Encore une fois, Babylone est une maladie mondiale du cœur, non pas une maladie physique. Babylone représente le rejet du seul vrai Dieu. C’était vrai dans les plaines de Sinhar, ainsi qu’à travers l’histoire, et c’est encore vrai aujourd’hui.

Comment fuir Babylone ?

Vous, mes amis fuyant Babylone, on doit vous féliciter. Votre esprit perturbé résiste aux pressions physiques et aux attraits de Babylone. Mais sachez qu’il n’y a pas d’échappatoire. Vos troubles vous suivront jusqu’aux extrémités de la terre. Au lieu de cela, j’exhorte ceux qui voudraient fuir de laisser la Direction de Dieu être votre cure.

Bien que vous ressentiez personnellement les flammes et que vous ayez l’impression que ces flammes peuvent vous submerger à tout moment, sachez que ces mêmes flammes dévorent le monde entier autour de vous. Mais, comme Sadrac, Mésac, et Habed-négo (Daniel 3), Jésus est avec VOUS, Son enfant, toujours. Surtout dans les flammes ardentes de la Tribulation – et nous vivons certainement un temps de tribulations – Jésus est votre seul refuge contre Babylone.

TOUTES les nations ont bu de son vin et ont commis la fornication avec elle. Mais le Seigneur commande à SON PEUPLE de sortir d’elle. Ne participez pas à ses péchés. C’est en ce moment que la bataille est à son plus féroce.

« Il cria avec force à haute voix, et il dit : Elle est tombée, elle est tombée la grande Babylone, et elle est devenue la demeure des Démons, et la retraite de tout esprit immonde, et le repaire de tout oiseau immonde et exécrable. Car toutes les nations ont bu du vin de sa prostitution effrénée ; et les Rois de la terre ont commis fornication avec elle ; et les marchands de la terre sont devenus riches de l’excès de son luxe. Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:2-4).

Jésus vivait parfois l’agonie sur terre, pourtant, Il avait pour désir de faire la volonté de Son Père céleste (Luc 22:41-44). Jésus savait que Son Royaume n’était pas de ce monde (Jean 18:36). Paul a dit qu’il valait mieux mourir et être avec Christ que vivre sur terre ; mais rester signifiait continuer à servir et à travailler pour Christ (Philippiens 1:21-24).

Après avoir été tenté par le Diable pendant quarante jours et S’être fait offrir tous les royaumes physiques du monde, Jésus refusa. Jésus savait que la bataille et le Royaume sont spirituels. Et quand Jésus eût réfuté le Diable, Il est reparti avec une grande puissance de l’Esprit.

En Jésus, vous possédez une grande puissance spirituelle. Vous serez sans aucun doute vilipendés et envahis par le monde qui mettra de grandes pressions dans votre esprit et y provoquera de grandes souffrances. Mais en tant qu’enfants du Très-Haut, vous êtes consacrés pour dire la vérité, prêcher l’Évangile et tendre la main aux cœurs brisés. Si Dieu dirige votre chemin vers différents endroits, obéissez et partez par tous les moyens. Mais s’Il vous envoie ailleurs, ce ne sera pas uniquement pour votre sécurité temporelle. Penserez-vous à la bataille qui fait rage autour de vous, où que vous alliez ?




La Californie nous a donné un aperçu du… Nouveau supplice vert

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2020

Par Jerry Barrett

« Et vous ne souillerez point le pays où vous serez … Vous ne souillerez donc point le pays où vous allez demeurer »

Nombres 35:33-34

 

Depuis trois décennies, les médias contrôlés utilisent des tactiques alarmistes pour faire croire au changement climatique. L’on a été canalisé du soutien politique et des centaines de millions de dollars pour renforcer ce programme. Il s’agit d’un groupe de pseudo-scientifiques ressemblant à une secte.

Activiste environnemental bien connu et respecté, Michael Shellenberger a récemment fait des excuses écrites pour avoir perpétué ce canular. Forbes.com a publié son article, mais l’a rapidement supprimé et a censuré cet aveu révélateur. La raison pour laquelle Shellenberger est devenu honnête ? Le lavage de cerveau qui se produit chez nos enfants. Vingt pourcents des enfants britanniques interrogés ont admis avoir fait des cauchemars sur le changement climatique et la fin du monde.

De nombreux enfants traumatisés par cette propagande sont incapables de profiter du grand air. Ils n’apprécient plus la nature et ne comprennent plus son fonctionnement. Lorsque l’on considère l’ampleur du dilemme, on en arrive à la conclusion que, sans une compréhension de base, il ne peut y avoir de bonne gestion.

La prise de pouvoir du changement climatique

Comme ceux qui doutent de la véracité de l’Holocauste sont ridiculisés et catégorisés, de même ceux qui nient les soi-disant « experts » du changement climatique seront dénigrés en toute impunité. La secte verte réplique avec des attaques calomnieuses par le biais des marionnettes des médias contrôlés. L’endoctrinement de notre jeunesse monte en flèche, sans égard aux dégâts causés.

Les politiciens se sont accrochés à ce canular en vue d’une prise de pouvoir totale. La représentante Alexandra Ocasio-Cortez (D-NY) a proclamé haut et fort : « Le monde va prendre fin dans

Le Gouverneur de la Californie, Gavin Newson (à gauche) vit avec l’impact véritable d’une « protection » extrême de l’environnement. Si Joe Biden est élu Président, il prévoit mettre en œuvre la plupart des mesures du Nouvel Accord Vert draconien d’Alexandra Ocasio-Cortez dans tout le pays.

douze ans si nous n’abordons pas le changement climatique ». Elle a fièrement lancé le « Nouvel Accord Vert » appuyé par George Soros.

Les études climatiques ont démontré des périodes de réchauffement et de refroidissement. C’est un cycle en constante évolution que l’homme ne contrôle pas. Ce qu’enseigne Genèse 8:22 devrait nous réconforter : « Mais tant que la terre sera, les semailles et les moissons, le froid et le chaud, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point. »

Malheureusement, certaines personnes affichent un complexe divin par lequel elles croient être plus intelligentes que notre Père céleste. Ces individus assoiffés de pouvoir obtiennent une tribune d’intimidation et exercent leur influence sur les autres pour qu’ils rejoignent leur secte. Cette pensée maladive se propage rapidement et, grâce au soutien financier adéquat, elle enveloppe la planète.

L’énergie renouvelable est une des expressions à la mode qu’emploient ces mystificateurs du climat. Ils considèrent que l’utilisation de la lumière du soleil, du vent, de la pluie, des marées, des vagues et de la chaleur géothermique va nous sauver des « combustibles fossiles ». Cependant, les effets potentiellement dangereux sont négligés par ces cinglés de l’environnement dans leur zèle à propager ce programme.

Voitures électriques

En réalité, il n’y a pas de système énergétique qui soit renouvelable. Les machines reposent sur l’extraction et le traitement continus des matières premières. Par exemple, jetez un coup d’œil sur une voiture électrique. À première vue, cela semble une excellente idée. Mais lorsqu’on examine le procédé requis pour créer cette voiture verte, le résultat final nous revient comme une gifle au visage. Les véhicules électriques produisent encore des gaz à effet de serre provenant de leurs freins, de leurs pneus et des usines qui les construisent. La batterie d’une voiture électrique a un poids ahurissant de mille livres [± 500 kilos].

Aux mines de terre rare de Jiangxi, en Chine, les mineurs creusent des trous de huit pieds [2m50] et versent du sulfite d’ammonium pour dissoudre l’argile. Cette boue est évacuée, soumise à plusieurs bains d’acide et ensuite cuite au four. Les minéraux rares restants sont utilisés dans les voitures électriques, tandis que les parties non utilisées, contaminées par des produits chimiques toxiques, sont remises dans l’environnement. À cause de la croissance de la demande en véhicules électriques, les minéraux de la planète menacent d’être épuisés en peu de temps.

On doit recharger les batteries de ces voitures. Est-ce aussi propre qu’une voiture à essence ? Les chiffres ne corroborent pas cette affirmation. Si l’électricité provient d’une centrale au charbon, chaque véhicule électrique émet environ quinze onces de CO2 pour chaque kilomètre parcouru, tandis qu’une voiture à essence n’en produit que trois.

De même, les batteries finissent par s’user. Nous avons tous fait l’expérience de ce bip strident à 2h00 du matin parce que la pile 9 volts du détecteur de fumée est tombée en panne. De nombreux éléments qui composent une batterie ne sont pas recyclables et se retrouvent donc dans nos décharges. Est-ce écologique ?

Éoliennes

Les éoliennes sont une autre source d’énergie renouvelable qui a gagné en popularité. Vous pouvez en voir des agglomérats sur des plateaux et des montagnes. Lorsque le vent souffle, les pales tournent en générant de l’électricité. En surface, cela semble une très bonne idée. Toutefois, certaines parties mécaniques s’usent avec le temps, et la force et la quantité de vent changent constamment.

Un défaut flagrant des éoliennes est son effet sur les oiseaux migrateurs. Approximativement 234 000 oiseaux se font tuer chaque année par les hélices. Les aigles et les faucons sont les espèces les plus touchées. Les chauves-souris arboricoles ont également vu leur population diminuer, et cela inquiète les scientifiques. Il y a eu des rapports ayant déclaré que ces turbines sont éteintes durant la période de migration, ne produisant ainsi aucune électricité.

Les pales de ces turbines s’allongent jusqu’à 230 pieds [70m] et pèsent en moyenne 36 tonnes. L’enlèvement des vieilles pales, ou celles qui sont cassées, pose un difficile problème de résolution. Il existe actuellement deux méthodes courantes d’élimination des aubes de turbines : les brûler ou les jeter dans une décharge. Plus de 720 000 tonnes de matériaux d’hélices devront être éliminées au cours des vingt prochaines années. Les aubes de turbines sont généralement fabriquées de verre composite ou de carbone. Contrairement à l’acier et au cuivre, ces matériaux ne sont pas aussi précieux une fois recyclés.

Panneaux solaires

L’énergie solaire est la forme d’énergie renouvelable qui connaît la croissance la plus rapide. Son impact environnemental n’est pas aussi néfaste que les éoliennes et les barrages hydroélectriques. Néanmoins, le matériel finit par s’user et on doit en disposer. De nombreux types de panneaux solaires ne sont pas recyclables. La quantité de panneaux solaires usés pourrait constituer le double du total actuel des déchets plastiques mondiaux d’ici l’an 2050.

Le supplice vert de la Californie

La Californie s’est empressée de remplacer les sources d’énergie à combustibles fossiles par de l’énergie renouvelable en vue du Nouvel Accord Vert. En 2016, le Gouverneur d’alors, Jerry Brown, a signé un projet de loi présenté par une législature d’État dominée par les démocrates exigeant que l’État s’approvisionne à 100 % à l’énergie renouvelable avant 2045.

La Californie a donc abandonné ses formes de production d’énergie plus traditionnelles. Les centrales électriques utilisant le gaz naturel, abondant et fiable, ont été remplacées par des alternatives progressives. D’autres centrales au gaz devraient fermer dans les années à venir, et la Centrale nucléaire de San Onofre a également été fermée.

La Californie est sans doute l’État vert le plus ambitieux de l’Union. Par malheur pour ses résidents, le secteur des énergies renouvelables de Californie a surestimé la quantité qu’il pouvait fournir. On en a eu la flagrante démonstration pendant une longue vague de chaleur. Des pannes de courant déferlantes se sont produites, car la consommation d’énergie dépassait les ressources énergétiques disponibles.

Les autorités affirmèrent que le couvert nuageux entravait la capacité des fermes solaires à produire de l’électricité et que les vents étaient trop calmes pour produire de l’électricité au moyen de leurs turbines. Fait ironique, les médias de gauche attribuent la vague de chaleur et la crise énergétique au « changement climatique ».

Misère partagée du supplice vert

Cette misère partagée se présentera à tous les Américains si les démocrates prennent le contrôle de la Chambre, du Sénat et de la Maison Blanche. Les idéaux progressistes du Nouvel Accord Vert seront un supplice dans lequel nous devrons naviguer au quotidien. Notre pays reculera comme au temps où nous n’avions pas encore l’électricité.

Le Gouverneur Gavin Newson (D) a tragiquement réalisé que l’énergie renouvelable est une chimère. Il a été forcé d’admettre que l’État avait besoin de secours et d’assurance, car les sources d’énergie verte ne sont pas suffisamment fiables. La Californie est une expérience ratée ayant fait la preuve que cette idée progressiste est un Nouveau Supplice Vert.

L’on nous a assignés comme intendants de notre planète. Il nous appartient donc d’user d’un solide jugement et de raison, en ayant toujours conscience de ceux qui sont sous notre domination. Recherchez Son conseil.


Black Lives Matter et son lien occulte

Par Michelle Hallmark Powell

En 2013, trois organisatrices radicales ont créé une volonté politique et un mouvement orientés vers les Noirs, appelé « Black Lives Matter ». Ce sont Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi.

Pour un peu d’histoire à leur sujet, disons que Patrisse Cullors est allé à sa première manifestation à l’âge de dix-sept ans. Alicia Garza, lesbienne, est membre d’Astraea, organisation LBGTQ. La signification du mot Astraea est « vierge de l’étoile », ce qui, dans la mythologie grecque, était la Déesse grecque.

Les treize principes directeurs de Black Lives Matter

  1. Justice réparatrice – Nous nous engageons à travailler collectivement, avec amour, courage et de manière vigoureuse pour la liberté et la justice envers les Noirs…
  2. Empathie – Nous nous engageons à pratiquer l’empathie : nous nous enjoignons des camarades dans l’intention d’apprendre d’eux et de nous connecter à leur contexte.
  3. Engagement dans l’amour – Nous nous engageons à incarner et à pratiquer la justice, la libération et la paix dans nos engagements les uns envers les autres.
  4. Diversité – Nous nous engageons à reconnaître, à respecter et à célébrer les différences et les points communs.
  5. Globalisme – Nous nous considérons comme faisant partie de la famille noire mondiale et nous sommes conscients des façons diverses qui nous enclavent ou nous privilégient comme Noirs qui existons dans différentes parties du monde.
  6. Affirmation queer – Nous nous engageons à encourager un réseau d’affirmation des queers. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise serrée de la pensée hétéronormative…
  7. Affirmation des transgenres – Nous nous engageons à adopter et à faire de la place aux frères et sœurs transgenres afin qu’ils participent et dirigent…
  8. Valeur collective – Nous sommes guidés par le fait que toutes les vies des Noirs comptent, indépendamment de l’identité sexuelle réelle ou perçue, de l’identité de genre, de l’expression de genre, du statut économique, des capacités, du handicap, des croyances ou de l’incrédulité religieuses et du statut d’immigrant ou du lieu.
  9. Intergénérationnel – Nous nous engageons à encourager un réseau intergénérationnel et communautaire exempt d’âgisme…
  10. Familles noires – Nous nous engageons à démanteler la pratique patriarcale qui exige des mères qu’elles effectuent des « double quarts de travail » qui les obligent à materner en privé alors même qu’elles participent aux travaux de justice.
  11. Villages noirs – Nous nous engageons à rompre les exigences de la structure nucléique familiale prescrite en Occident en nous soutenant les uns les autres en tant que familles élargies et « villages » qui prennent collectivement soin les uns des autres et particulièrement de « nos » enfants dans la mesure où les mères, les parents et les enfants s’y trouvent confortables.
  12. Noirs sans aucune excuse – Nous nous positionnons Noirs sans aucune excuse. En affirmant que « La Vie des Noirs Compte », nous n’avons pas besoin de nuancer notre position…
  13. Femmes noires – Nous nous engageons à bâtir un espace affirmant les femmes noires et qui soit exempt de sexisme, de misogynie et de centralité sur les hommes.

Je trouve assez révélateur qu’il existe treize principes directeurs pour cette organisation. Quand l’on considère le chiffre 13 et sa signification occulte, il est clair que cette secte est plongée dans les arts ténébreux.

L’occulte

Black Lives Matter est un mouvement spirituel, affirme la co-fondatrice Patrisse Cullors. Celle-ci a déclaré, dans une discussion sur le rôle de la spiritualité et de la prière au sein du mouvement Black Lives Matter, lors d’un programme du Musée Fowler de l’UCLA, que la pratique consistant à proclamer les noms des victimes dont ils prennent la défense dans les manifestations et les démonstrations est un moyen d’invoquer leurs esprits. « Il s’agit presque littéralement de ressusciter un esprit pour qu’il puisse œuvrer au travers de nous pour exécuter le travail que nous devons faire, » dit Cullors. Celle-ci touche aux traditions ouest-africaines qui se concentrent sur la mémoire des ancêtres.

Une grande partie du traitement du mouvement Black Lives Matter se concentre uniquement sur ses objectifs politiques et sociaux ; mais ce que les gens ne savent pas, et qui est pourtant à la vue de tous, c’est que Black Lives Matter est un mouvement profondément spirituel et imprégné d’occultisme. Les trois fondatrices et un grand nombre des leaders de chacun des seize chapitres de Black Lives Matter sont de fervents adorateurs de l’ancien paganisme africain qui est enracinée dans la sorcellerie et la divination. Pareil au vaudou où l’on évoque l’esprit des morts. De manière réaliste, nous pouvons les appeler des sorciers invoquant l’anarchie et la révolution par leurs chants scandés.

Scander des chants, c’est dire ou chanter de façon répétitive des mots ou des sons, souvent principalement sur un ou deux tons, ce qu’on appelle des tonalités de récitation. Le chant en cadence est utilisé depuis des siècles comme pratique spirituelle dans les cultures africaine, hawaïenne, amérindienne, assyrienne et d’autres cultures aborigènes. Cela ne vient pas de Dieu.

Les chants consistent en une grande quantité de répétitions de sous-expressions musicales, comme le chant qu’ils utilisent : « Les porcs dans une nappe, faites-les frire comme du bacon ! » Cela sert à inciter la violence contre nos cols bleus. Ils chantent aussi : « Nous sommes prêts ! » « Nous arrivons ! » encore et encore pour rallier leurs disciples à la violence.

La Bible dit, dans Matthieu 6:7 :

« Or quand vous priez, n’usez point de vaines redites, comme font les Païens ; car ils s’imaginent d’être exaucés en parlant beaucoup. »

Dans Éphésiens 5:6 :

« Que personne ne vous séduise par de vains discours, car à cause de ces choses la colère de Dieu vient sur les rebelles. »

Pensons-nous que cette organisation vient de Dieu ? Non, catégoriquement ! Comme chrétiens, il est temps que nous revêtions l’armure complète de Dieu.

En passant, George Soros a fait don à l’organisation de Black Live Matter de 33 millions $ cette année. Cela devrait nous en dire long…

***




Une révolution Flocon de Neige

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Septembre 2020

Jerry Barrett

La révolution culturelle a pollué l’esprit de notre jeunesse et créé…

« Le pouvoir, c’est de mettre en pièces l’esprit humain et le reconstituer en de nouvelles formes de votre propre choix. »

George Orwell, 1984

« C’est une chose merveilleuse que la destruction des mots. »

George Orwell, 1984

« Le choix de l’humanité se situe entre la liberté et le bonheur, et pour la grande majorité de l’humanité, le bonheur est le meilleur. »

George Orwell, 1984

La folie qui s’est infiltrée dans la société d’aujourd’hui est née, il y a des décennies, à l’école de Francfort. L’idéologie connue sous le nom de « marxisme culturel » a reçu une nouvelle identité et un surnom branché, dans les années 1970-80 – « le Politiquement Correct ». Bien que cette mentalité était partagée à l’origine entre les conservateurs et les libéraux, le Politiquement Correct [PC] est devenu le territoire des extrémistes de gauche progressistes. Ceux qui exercent le contrôle de l’épée du PC frappent maintenant le fondement même sur laquelle notre nation a été basée.

Au lieu de mettre en pratique la compassion, l’empathie, la tolérance et la compréhension, les radicaux se sont considérés les pourvoyeurs d’une nouvelle culture connue sous le nom de « Woke ». Ceux qui sont « réveillés » sont étroitement mis à l’écoute de systèmes de croyance appropriés et acceptables, ainsi qu’à l’usage du langage. C’est Orwell qui l’a le mieux déclaré, dans son roman contre-utopique, 1984 : « C’est une chose merveilleuse que la destruction des mots. »

Winston Smith – le « monsieur-tout-le-monde » d’Orwell – travaillait comme employé de bureau dans le département des archives du Ministère de la Vérité. Son travail consistait à réécrire les documents historiques afin qu’ils correspondent à la politique en constant changement de Big Brother. Cependant, contrairement au protagoniste d’Orwell, la foule des réveillés d’aujourd’hui ne doute pas de la véracité de ce qu’elle choisit de changer.

Parmi les outils populaires employés par la foule des réveillés, il y a la révocation de ceux qui s’opposent à un membre de la société réveillée ou lui fait offense. La Culture de Révocation a été déchaînée comme une arme de destruction massive contre les valeurs chrétiennes ainsi que les traditions et les monuments américains datant depuis longtemps. Au cours des récentes manifestations et des émeutes suivant la mort tragique de George Floyd, le vandalisme aveugle, la dégradation et la destruction finale des statues ont atteint leur comble. Malheureusement, de nombreux jeunes qui ont entreprit la destruction de l’histoire américaine sont de parfaits illettrés quant au contexte dans lequel ces statues furent consacrées.

Détruire ces symboles historiques qui comprennent des abolitionnistes, des généraux de l’armée de l’Union, des soldats noirs de l’Union – ainsi que des chefs confédérés – ne concorde pas avec les prétendus mandats de la doctrine de la Culture de Révocation. Toutefois, vous et moi devons être révoqués si nous doutons de la sincérité de leurs actions.

Il est difficile de définir la « Culture de Révocation », car il n’y a aucune cause ou aucune idéologie définissant ce qui est nécessaire de révoquer. Il ne s’agit certainement pas de la liberté d’expression. Il y a un certain nombre de célébrités et de propriétaires d’entreprise qui ont été révoqués à cause de déclarations ou d’actions jugées offensantes par les extrémistes de gauche. J’ai récemment rapporté que Dave Andelman, fondateur et propriétaire de The Phantom Gourmet, a été contraint de démissionner après s’être moqué de manifestations anti-policières pendant la pLandémie actuelle. M. Adelman a sarcastiquement sous-entendu que les détaillants de Boston proposent un « pillage sans contact aux coins des rues ».

De même, ceux qui penchent vers la gauche sont moins susceptibles d’être révoqués. Le gouverneur de la Virginie, Ralph Northam, a posé déguisé en noir pour une photo raciste alors qu’il était en faculté. L’animateur de fin de soirée, Jimmy Kimmel, a également revêtu le visage d’un noir. Ni l’un ni l’autre n’ont été révoqués.

Si vous êtes libéral et que vous vous excusez, vous êtes pardonné. Si vous êtes conservateur et que vous vous excusez, vous êtes quand même révoqué.

De plus, beaucoup de gens d’Hollywood ont été dénoncés pour avoir publié des commentaires haineux et racistes sur les réseaux sociaux. Après d’émotives excuses et la confirmation qu’ils sont maintenant « réveillés », tout a été pardonné.

On ne peut pas en dire autant des commentateurs politiques conservateurs, comme Tucker Carlson. Ses partenaires publicitaires ont été inondés de demandes exigeant l’interruption des annonces publicitaires sur son émission populaire dans le but de faire annuler celle-ci. A&E-TV a cancellé son programme le plus populaire, Live PD, afin d’apaiser la foule sociale qui soutient Black Lives Matter. L’audience a depuis chuté de cinquante pourcent.

L’ancienne candidate à la présidence, Elizabeth Warren, a affirmé qu’elle était d’origine amérindienne. Mme Warren avait employé cette « fausse » histoire familiale pour obtenir un poste de professeure à l’École de Droit d’Harvard. Démocrate du Massachusetts, Mme Warren est une sénatrice multimillionnaire. Sa progressivité lui a permis de poursuivre dans son poste.

On ne peut en dire de même de la charmante jeune fille amérindienne qui honore l’emballage du beurre Land O’Lakes depuis plus de quatre-vingt-dix ans. Connue sous le nom de Mia, elle a été dessinée par l’artiste amérindien Patrick DesJarlait, membre de la nation Ojibwe de Red Lake, dans le nord du Minnesota. Un communiqué publié par la société n’a mentionné aucune raison expliquant pourquoi la jeune fille a été retirée de l’emballage. Peut-on en déduire qu’elle a été révoquée à cause de flocons de neige trop sensibles ?

Mia n’est pas la seule image de longue date à être supprimée. Aunt Jemima a été décapitée par la Quaker Foods après 130 ans de service. L’entreprise envisage de renommer ses sirops et ses aliments pour le petit-déjeuner. Dans la société réveillée d’aujourd’hui, une image qui rappelle les plantations d’avant la Guerre de Sécession doit être effacée de l’espace public.

De la même manière, Uncle Ben ne sera plus le visage du riz de marque Mars. À la manière typique des réveillés, Mars a publié cette déclaration : « Nous avons la responsabilité de prendre position pour aider à mettre fin aux préjugés raciaux et aux injustices … en particulier dans la communauté noire … nous reconnaissons que le moment est venu de faire évoluer la marque d’Uncle Ben, ce qui comprend son identité visuelle de marque. »

La chaîne d’épicerie nationale Trader Joe’s a récemment été critiquée pour la dénomination « irréfléchie » de ses produits. Des étudiants de Californie ont lancé une pétition pour supprimer les noms « racistes » et les représentations ethniques de certains de leurs produits. Refusant de se prosterner devant la génération des flocons de neige, les dirigeants ont déclaré que les noms « représentent de légers efforts d’inclusion ». Pour le moment, Trader Ming’s (cuisine chinoise), Arabian Joe (cuisine du Moyen-Orient), Trader Giotto (cuisine italienne) et Trader José (cuisine mexicaine) demeureront sur les étagères.

Avec l’encouragement de ses clients, Trader Joe’s lutte contre la Culture de Révocation et dit qu’elle ne changera pas le nom de ses aliments.

Tout n’est pas perdu non plus chez Red Bull. Le PDG Dietrich Mateschitz a licencié les deux principaux dirigeants de l’Amérique du Nord, ainsi que des équipes entières de marketing qui se vouaient totalement à pousser le mensonge du racisme systémique. Reconnaissant que l’apaisement n’est jamais possible, ces guerriers de la justice sociale ont rapidement été révoqués.

L’immobilier se profile à l’horizon comme cible de la justice sociale. De nombreux agents ne listeront plus des maisons contenant une chambre « des maîtres », mais plutôt une chambre « principale » ou « première » chambre. La stigmatisation du « maître » ne sera plus imposée à une maison sans méfiance. Certains constructeurs acquiescent et ont commencé à appeler la chambre « retraite du propriétaire ». Cependant, les esclaves n’étaient-ils pas le bien de leurs « propriétaires » ? Cette tendance mourra certainement d’une mort rapide et sans douleur.

L’explosion des médias sociaux et la portée sans cesse croissante de l’Internet ont renforcé cette Culture de Révocation. Les boycotts et les manifestations peuvent être organisés en peu de temps et leur portée est énorme. Bien qu’il s’agisse d’un outil principalement utilisé par la gauche, le côté droit du spectre n’est pas sans culpabilité. On en a eu comme exemple le boycott actuel de la Ligue Nationale de Football par beaucoup de gens qui sont en colère contre les joueurs qui mettent un genou par terre lors de l’exécution de l’hymne national.

Notre pays a été fondé sur l’échange d’informations et d’idées. Il est courant d’entendre aujourd’hui des réclamations de rétribution contre une transgression perçue comme telle. Les limites se rétrécissent régulièrement. Les chrétiens qui s’appuient sur la Sainte Parole de Jésus sont également visés.

Si vous croyez comme moi que la vie commence à la conception, on vous accusera de faire la guerre aux femmes en leur refusant l’option d’avorter. Quant au mariage, les chrétiens savent qu’il s’agit d’une union entre un homme et une femme. Mais ils seront taxés à cor et à cri d’homophobie et d’intolérance.

Comment un chrétien devrait-il réagir devant cela ? La persécution est un appel à la persévérance courageuse. Dans sa lettre à Timothée, l’apôtre Paul déclare :

« Or tous ceux aussi qui veulent vivre selon la piété en Jésus-Christ, souffriront persécution. Mais les hommes méchants et séducteurs iront en empirant, séduisant, et étant séduits. Mais toi, demeure ferme dans les choses que tu as apprises, et qui t’ont été confiées, sachant de qui tu les as apprises » (2 Timothée 3:12-14).

Nous savons que notre croyance en Jésus-Christ ne sera pas populaire auprès de ceux du monde. Réconfortez-vous comme nous le dit Jésus :

« Si le monde vous hait, sachez que j’en ai été haï avant vous. Si vous eussiez été du monde, le monde aimerait ce qui serait sien ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai élus du monde, à cause de cela le monde vous hait » (Jean 15:18-19).

Cherchez la récompense de Dieu avant l’acclamation de la culture. Quant à moi et notre famille de Power of Prophecy, nous avons choisi de nous engager dans la vérité et la grâce.


Par Sandra Myers

Qu’arrivera-t-il après le trois novembre ?

« Les hommes doivent être gouvernés par Dieu, sinon ils seront gouvernés par des tyrans. »

William Penn

Fondateur de la Pennsylvanie

Je ne suis pas une apologiste de Trump, mais on ne peut ignorer l’amélioration de l’ensemble de la vie américaine au cours de sa présidence. La tentative de coup d’état de la part des « Never-Trumpers » a été contrecarrée (pour le moment), l’économie était en plein essor, le taux de chômage a connu un niveau historiquement bas, les revenus étaient en hausse, L’accession à la propriété était disponible à plus de gens que jamais. Les choses s’amélioraient pour les personnes de tous les horizons.

Cette année de 2020 est probablement l’année la plus étrange – une année charnière – de l’histoire de l’Amérique moderne. Est d’abord apparue la pandémie du coronavirus et le confinement initial pour « aplatir la courbe ». Bien entendu, cela a eu un coût économique très élevé. Nous avons eu ensuite l’étincelle George Floyd qui a déclenché de violents bouleversements sociaux et les incessantes « protestations » qui ont suivi, financées par des fondations libérales dans l’intention de détruire la culture de la liberté américaine.

Nous sommes confrontés aujourd’hui à l’élection la plus controversée que j’aie connue. En vérité, c’est une année que nous ne sommes pas près d’oublier.

Premièrement, je ne crois pas que nous aurons des résultats instantanés d’élection, cette fois. Avec les bulletins de vote par la poste et les haut-cris de fraude électorale, les résultats pourraient prendre des jours… voire des semaines et même plus longtemps.

Peu importe qui gagne…

  1. « Le vote a été truqué, » criera-t-on de l’autre côté
  2. Émeutes et pillages
  3. Si le Président Trump remporte, les émeutes et les pillages seront pires que jamais parce que les libéraux voudront faire payer tout le monde pour avoir renvoyé Trump au pouvoir.
  4. Si Joe Biden et Kamala Harris gagnent, les émeutes et les pillages prendront une tournure quelque peu festive, mais ils seront aussi une démonstration de pouvoir pour remettre les conservateurs à leur place.

Si le Président Trump et le Vice-président Pence gagnent…

  1. L’Amérique restera la priorité absolue en matière de commerce
  2. Ils encourageront les entreprises à ramener d’importantes manufactures aux États-Unis (en commençant par les médicaments et les équipements médicaux)
  3. Plans pour sortir les États-Unis de l’OTAN et de l’ONU
  4. Poursuite du mur frontalier et de la restriction de l’immigration
  5. L’Armée demeurera forte
  6. Continuité de la Force Spatiale (ce qui est important compte tenu de la capacité de la Chine à détruire des satellites dans l’espace depuis le sol)
  7. Ajout de juges plus conservateurs à la Cour Suprême, etc. Trump peut-il faire annuler la Roe vs Wade ?
  8. Le Président Trump prendra-t-il la Réserve Fédérale pour cible ? Plusieurs s’interrogent à ce sujet.

Si Joe Biden et Kamala Harris gagnent…

  1. Réduction quasi instantanée et annulation de tout ce que Trump a fait. (Rappelez-vous, ce sont des « Never Trumpers ». Peu importe si c’était une bonne chose ou à qui cela bénéficiait, tous les programmes et les idées de Trump vont partir !)
  2. Vos impôts personnels vont monter en flèche afin de soutenir tous les nouveaux programmes sociaux
  3. Voici le Green New Deal (Nouvel accord vert). Le changement climatique sera de retour au premier plan. Certains des objectifs sont de « répondre à 100 % à la demande en électricité aux États-Unis grâce à des sources d’énergie propres, renouvelables et sans émission ». Également répertoriés dans la plate-forme du GND, « des emplois garantis à des salaires plus élevés (sécurité économique) ; « le collège gratuit » ; « la sécurité sociale pour tous » (même les étrangers illégaux) ; l’assurance-maladie pour tous
  4. Davantage de criminels libérés de prison
  5. Diminution additionnelle du financement de la police
  6. Le contrôle des frontières et de l’immigration disparaîtra – ouvrez les vannes, ainsi que les gangs criminels violents. Diminution du financement de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) – (mise en application sur l’immigration et les coutumes)
  7. Une relation plus étroite avec la Chine : fermer les yeux sur les violations des droits de l’homme ainsi que sur la liberté d’expression et les limitations religieuses. Vendre n’importe quelle partie de l’Amérique ou la recherche et la technologie que veut la Chine
  8. Vos droits aux armes à feu seront sévèrement réprimés
  9. Votre liberté d’expression ne sera tolérée que si vous êtes d’accord avec la plate-forme libérale. (Rappelez-vous que le Président Obama s’est servi de l’IRS [fisc américain] pour cibler les participants au Tea Party et d’autres groupements conservateurs. Biden/Harris l’élèveront à un tout nouveau degré
  10. Vos valeurs et vos droits chrétiens conservateurs seront visés
  11. L’accès à l’avortement plus facile que jamais et financé par le gouvernement
  12. Avec Trump hors de fonction, sera-t-il oublié ou continueront-ils à le persécuter et/ou à le poursuivre ?

Se préparer à la tempête

Pas de doute, il y a une tempête à l’horizon. S’agit-il d’un gros orage ou d’un ouragan de catégorie 4 ou 5 de plus longue durée et plus dévastateur ? Compte tenu de tout ce que j’ai décrit jusqu’à présent (et j’aurais pu en ajouter tellement plus), je vais prendre des risques pour sonner l’alerte. À ce titre, je vous encourage à vous préparer à assurer votre sécurité, celle de votre famille et celle de votre maison. Je vous conseille d’avoir, au minimum, un mois (ou plus, si vous le pouvez) de réserve de médicaments, de nourriture, d’articles de toilette et d’autres produits essentiels. Il n’est pas trop tard pour acheter de la nourriture supplémentaire chaque fois que vous allez faire le magasinage (boîtes de thon, poulet, ragoûts, haricots, contenants de beurre de cacahuète, café ou thé, etc. – achetez ce que vous voulez manger). Économisez ou achetez de l’eau maintenant ; ayez une lampe de poche et des piles. Cela vous semble-t-il extrême ? Peut-être. Mais je n’aurais jamais pensé que nous verrions des élus, non seulement rester les bras croisés sans agir pour faire respecter la loi et l’ordre, mais, en fait, encourager l’anarchie. Cela me porte à croire que les choses pourraient dégénérer bien au-delà de ce que nous avons vu jusqu’à présent.

Mais avant tout, Jésus est sur Son trône

Bien sûr, le problème que confronte l’Amérique n’est finalement pas premièrement politique, ni même culturel, mais spirituel. En vérité, les derniers mois nous ont démontré qu’il y a un besoin criant de la foi en Jésus-Christ en ces temps de la fin. Les turbulences et les défis de ces derniers mois nous font réaliser qu’il n’y a que la Promesse de Dieu à laquelle nous pouvons tenir. Il ne nous quittera ni ne nous oubliera jamais. Il est toujours avec nous.

***




La Vérité n’est pas notre ennemi

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2020

Par Jerry Barrett

D’Ésaïe à aujourd’hui, la vérité de Dieu ne peut pas être changée

« Que c’est ici un peuple rebelle, des enfants menteurs, des enfants qui ne veulent point écouter la Loi de l’Eternel ; qui ont dit aux Voyants ; ne voyez point ; et à ceux qui voient des visions ; ne voyez point de visions de justice, mais dites-nous des choses agréables, voyez des visions trompeuses. »

Ésaïe 30:9-10

Ceux qui souhaitent être des « dieux sur terre » ne connaissent aucune limites, comme à l’époque d’Ésaïe où les anarchistes ne voulaient pas qu’on leur dise la vérité. Étonnant de voir que les êtres humains n’aient toujours pas changé en des milliers d’années. Ils choisissent de rationaliser une situation en fonction du désir de leur cœur.

Bon nombre se forgent une nouvelle norme en se levant chaque matin, oubliant du coup le chemin qu’ils ont parcouru jusque-là. C’est ce qui leur profitera aujourd’hui qui a la plus grande importance. N’est-il pas incroyable que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament survienne encore aujourd’hui ? Dans Psaume 50:16-17, nous lisons ceci :

« Mais Dieu a dit au méchant : qu’as-tu que faire de réciter mes statuts, et de prendre mon alliance en ta bouche ; Vu que tu hais la correction, et que tu as jeté mes paroles derrière toi ? »

À cause de l’abondance de pasteurs et de paroissiens tièdes, la Parole de Dieu a été remplacée par une doctrine diluée. Joël Osteen illustre le mieux cette attitude laodicéenne. En 2012, dans une

Joël Osteen et Oprah Winfrey vantent leurs richesses et leur succès (voir Apocalypse 3:14-17).

entrevue accordée à la nouvel-âgiste Oprah Winfrey, Osteen expliqua que, puisque personne n’est totalement exempt de péché, il pense que les homosexuels seront acceptés au paradis. En 2014, dans une entrevue avec Larry King, Osteen a dit : « Nous ne sommes contre personne. Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas, donc, je ne veux tout simplement pas prêcher là-dessus, prêcher à ce sujet. »

Malheureusement, de nombreux dirigeants « chrétiens » d’aujourd’hui n’enseignent jamais l’Apocalypse. Or, dans Apocalypse 3:14-17, nous voyons :

« Ecris aussi à l’Ange de l’Eglise de Laodicée : l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la créature de Dieu, dit ces choses. Je connais tes œuvres, c’est que tu n’es ni froid, ni bouillant; ô si tu étais ou froid, ou bouillant ! Parce donc que tu es tiède, et que tu n’es ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Car tu dis : je suis riche, et je suis dans l’abondance, et je n’ai besoin de rien ; mais tu ne connais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. »

A cause du rapide déclin de l’assistance des églises chrétiennes, ne nous surprenons pas que la société se nourrisse de haine les uns contre les autres. La tolérance et la compréhension sont révolues depuis longtemps. On les a remplacées par des accusations viles et dégoûtantes.

Avec l’avènement du World Wide Web, l’Internet, on a rapidement mis la main sur des outils facilement disponibles en vue de l’amélioration présumée de l’humanité. Comme avec n’importe quel outil, il peut être utilisé pour le bien ou pour le mal. Dans la mythologie grecque, Épiméthée avait en sa possession un pot pour la bonne garde. Lorsque Pandore eut ouvert ce pot, des fléaux non spécifiés s’échappèrent dans le monde. Pandore replaça immédiatement le couvercle sur le pot, mais ce faisant, il ne lui restait plus que l’espoir.

Les êtres malfaisants emploieront tous les outils à leur disposition, et l’Internet ne fait pas exception. La population ne cessant de croître, les outils de notre destruction sont maintenant fabriqués. Facebook, Twitter, Instagram et le reste ont été créés sous apparence inoffensive pour solliciter la participation des masses. Vantés comme moyen de renouer avec des amis perdus depuis longtemps, des membres de la famille dispersés dans le pays, ou simplement pour se glorifier de ses propres réalisations, les médias sociaux se sont avérés un succès soutenu.

À mesure que de plus en plus de gens migraient vers les médias sociaux, il est rapidement apparu aux personnes qui cherchent à perturber la société et à la modeler selon leur utopie personnelle, que ce format était le parfait véhicule. Le marxisme culturel, également connu sous le vocable de rectitude politique (ce qui est politiquement correct) a été le berceau de cet état d’esprit fourvoyé. Qui plus est, la prise de contrôle socialiste de l’enseignement public et des universités étant achevée, un nouveau mouvement est né : la « justice sociale ».

Des « guerriers de la justice sociale » autoproclamés ont commencé à utiliser cette plateforme pour exécuter du changement et infliger des préjudices aux individus qui ne sont pas d’accord. Les normes sociétales ont été déplacées vers la gauche et ceux qui ne s’adaptaient pas correctement furent ciblés.

De nouveaux termes ont été créés pour dénoncer et ridiculiser « l’ancienne » faible mentalité. « Woke » (réveillé) est devenu le cri de ralliement de ceux qui s’étaient éveillés aux injustices infligées à la société, principalement perpétrées par de « vieux blancs morts » – Washington, Jefferson, Adams, Lincoln, etc.

« Révoquer la culture » est le dernier terme imposé à la société. Ceux que l’on juge avoir offensé la sensibilité des « réveillés » doivent être oblitérés comme s’ils se trouvaient dans une rivière pleine de piranhas qui se régalent de la carcasse du contrevenant. Pour la Gestapo du PC, aucun remords ne sera acceptable.

La mort récente de George Floyd a déclenché des troubles civils dans tout le pays. Des protestations de Black Lives Matter se sont transformées en émeutes où des biens ont été détruits, des entreprises ont été volées et la police est devenue la cible. Quiconque a osé dénoncer ce comportement odieux fut mis sur la liste des « oblitérés ».

Voici quelques-uns de ceux qui ont été expulsés :

  • James Bennet était le rédacteur en chef de la page éditoriale du New York Times. M. Bennet publia une lettre ouverte du sénateur Tom Cotton (R-AR) qui en appelait de l’armée américaine pour qu’elle réprime « l’orgie de violence » dans les villes américaines. Des membres du personnel, irrités, ont exigé des mesures menant à la démission forcée de M. Bennet.
  • Le principal rédacteur du Philadelphia Inquirer, Stan Wischnowski, fut contraint de démissionner après avoir publié un titre disant : « Buildings Matter, Too » (Les bâtiments comptent aussi).
  • La personnalité de la télévision canadienne Jessica Mulroney a été accusée par un blogueur d’avoir démontré son « privilège blanc », et son émission a donc été annulée.
  • Le fondateur et propriétaire de The Phantom Gourmet, Dave Adelman, a été forcé de démissionner après s’être moqué des manifestations anti-policières. M. Adelman avait suggéré aux détaillants de Boston d’offrir le « pillage de trottoir, sans contact ».
  • Benji Backer s’est vu annuler un engagement à prendre la parole parce qu’il avait tweeté qu’il y avait un lien entre le Covid-19 et la Chine.
  • Tiffany Riley, directrice d’école publique au Vermont, a été évincée après avoir publié sur les réseaux sociaux : « Je ne pense pas que les gens devraient se sentir obligés de choisir la race noire plutôt que la race humaine. »

James Bennet, Dave Adelman et Tiffany Riley ont tous été visés par la culture d’annulation. La liberté d’expression ne s’applique pas à eux. Vont-ils céder, s’incliner devant leurs nouveaux maîtres et s’excuser ?

Ce ne sont là que quelques victimes de la « Révocation de la culture ». Si on est enclin à le faire, l’on peut passer des heures et des heures à documenter chaque exemple ridicule. Ces « révocations » ne provoquent-elles pas une réflexion sur ce qui s’est passé en Russie bolchevique ?

La Vérité est une arme puissante

La tolérance les uns envers les autres a disparu. Nous ne pouvons plus coexister avec ceux avec qui nous sommes en désaccord. Malheureusement, les paroles de l’apôtre Paul n’arrivent pas à apaiser les foules « réveillées » :

« Christ devient inutile à l’égard de vous tous qui voulez être justifiés par la Loi ; et vous êtes déchus de la grâce. Mais pour nous, nous espérons par l’esprit d’être justifiés par la foi … Je m’assure de vous en notre Seigneur, que vous n’aurez point d’autre sentiment ; mais celui qui vous trouble en portera la condamnation, quel qu’il soit … Car, mes frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne prenez pas une telle liberté pour une occasion de vivre selon la chair ; mais servez-vous l’un l’autre avec charité. Car toute la Loi est accomplie dans cette seule parole : tu aimeras ton Prochain comme toi-même » (Galates 5:4-14).

Aujourd’hui, les pasteurs de Laodicée font la promotion d’une grâce au rabais qui ne peut pas libérer les pécheurs du péché parce qu’il n’y a pas de repentance. Par la grâce de Dieu, les vrais croyants sont transformés. L’apôtre Jean nous dit : « Et la Parole a été faite chair, elle a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, qui a été une gloire, comme la gloire du Fils unique du Père, pleine de grâce et de vérité … Car la Loi a été donnée par Moïse ; la grâce et la vérité est venue par Jésus-Christ » (Jean 1:14-17).

Jésus a dit aux Juifs qui croyaient en Lui que, s’ils persévéraient dans Sa Parole, ils seraient Ses disciples. Jésus a dit : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 6:32). En tant que Ses disciples, nous devons continuer à faire briller la lumière de la vérité dans nos communautés. Car en accomplissant ce devoir, nous l’aurons fait !


Par Michelle Hallmark Powell

La Guerre contre la loi et l’ordre

On pense que la police est un concept relativement nouveau. Mais si nous nous tournons vers la Bible, elle parle de gens soumis à une autorité supérieure, comme les magistrats (Tite 3:1-2), les rois (1 Pierre 2:13-17) et les chefs d’état (Romains 13:1-14). Or, en tant que chrétiens, nous savons tous que Jésus-Christ est la plus haute autorité, mais Il a respecté la loi tout au long de Sa vie.

Comme l’humanité ne semble pas en mesure de se policer elle-même, la version moderne de la « police » s’avère une nécessité.

La définition de Police est :

« La force civile d’un gouvernement national ou local, chargée de la prévention et de la détection de la criminalité et du maintien de l’ordre public. »

La première force de police financée par l’état avec des agents en service à plein temps aux États-Unis a été créée à Boston en 1838. Parce que Boston était un grand centre d’expédition, les entreprises avaient embauché des gens pour protéger leurs biens et assurer le transport de leurs marchandises vers d’autres endroits. Avant la police, il appartenait à l’individu de se protéger lui-même ou d’engager des personnes pour ce faire. Quiconque ayant quelque moyen et devant parcourir les routes risquait de tomber sur des bandits de grand chemin. Ils avaient du personnel ménager pour assurer leur protection ou, pour les très fortunés, ils engageaient des mercenaires – la plupart du temps d’anciens soldats. Au fur et à mesure que le capitalisme se développait en Amérique, la nécessité de protéger votre entreprise, votre famille et votre personne devint l’une des principales raisons pour lesquelles la police fut mise en place.

À l’heure actuelle, tous les pays ont une sorte de système d’application de la loi parrainé par le gouvernement, que ce soit la police ou l’armée. Aujourd’hui comme alors, le rôle de la police est de protéger la société contre les scélérats prédateurs. Les gens ont besoin de protection et c’est pourquoi nous habilitons la police à former une barrière entre « eux » et « nous ».

La police : notre seule défense contre eux et le règne de la foule

Alors, que signifie réellement le « règne de la foule » ? Selon Wikipédia, c’est :

« Le contrôle d’une situation politique en dehors du domaine conventionnel ou légal, impliquant généralement la violence et l’intimidation. »

Or, regardons ce qui se passe dans nos chers États-Unis. Il y a un petit contingent qui veut abolir la police. Les contestataires (je les appelle des anarchistes) ont pris le contrôle du quartier Capitol Hill de Seattle. La mairesse, Jenny Durkan, a dit à la police d’abandonner l’arrondissement est et de laisser les manifestants posséder leur territoire. Le gouvernement local et les supporteurs des contestataires ont dit qu’il s’agissait en quelque sorte d’un camp d’été socialiste. Des soirées cinéma sous les étoiles, de la nourriture gratuite, de l’amour et de la paix, une grande fête de quartier – et pas de police.

La police partie, les manifestants ont pris le relais. Ils ont érigé des barrières, des bâtiments peints à la bombe aérosol dans tout le secteur et un nombre incalculable de vols, de viols et de meurtres ont eu lieu. Ils ont nommé la zone CHAZ (Capital Hill Autonomous Zone – « Zone autonome de Capital Hill »). Plus tard, ils l’ont renommée CHOP (Capital Hill Occupation Protest – « Manifestation d’occupation de Capital Hill »).

Enfin, après que la violence ait tourné au tragique avec la mort de deux adolescents, la mairesse Durkan a autorisé la police à démolir les barricades et à éloigner les manifestants. La mairesse a dû comprendre que le règne de la foule est pire que la protection de la police après que cette foule ait fait irruption dans son quartier et ait protesté devant son manoir.

Tout pays de taille un tant soit peu importante et dépourvu de police l’inventerait assez rapidement, merci, ou quelque chose de très similaire. La majorité des gens aux États-Unis préfèrent l’ordre au désordre et veulent des lois qui les protègent, eux et leurs biens. Cela nécessite quelqu’un qui soit prêt à appliquer des lois et cela signifie, bien sûr, une quelconque police.

Il aura fallu la mort de deux adolescents et la foule se présentant dans le quartier de la mairesse Durkan pour démanteler la Zone CHOP.

Donc, un pays sans police serait contrôlé par des lyncheurs. Nous devons conserver notre police parce que même les pires policiers de l’Amérique moderne font preuve de plus de respect envers les procédures d’application de la loi et les droits de l’accusé qu’une bande de lyncheurs peut en démontrer. Comme en font preuve les événements récents, une foule de lyncheurs ne serait pas contrainte par la Constitution. Évidemment, vous risqueriez beaucoup plus d’être lynché si une rumeur – vraie ou fausse – circulerait à l’effet que vous avez commis un méfait. Ils vous pendraient d’abord et poseraient des questions ensuite.

Nous devons soutenir notre police locale et nationale afin de nous assurer que notre pays et nos droits soient protégés et que la loi et l’ordre prévalent.




Faire de l’argent sur le dos des victimes est chose détestable

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2020

        Jerry Barrett

« Dieu hait ces six choses, et même sept lui sont en abomination ; savoir, les yeux hautains, la fausse langue, les mains qui répandent le sang innocent ; le cœur qui machine de mauvais desseins ; les pieds qui se hâtent pour courir au mal ; le faux témoin qui profère des mensonges ; et celui qui sème des querelles entre les frères. »

Proverbes 6:16-19

Cash Over Victims Is Detestable

De nombreuses vérités ont été mises en lumière à la suite de la plandémie connue sous le nom de Covid-19. Par exemple, cette vérité choquante que les hôpitaux ont reçu treize mille dollars pour chaque patient identifié comme un malade du Covid. De plus, si on mettait le patient sous un ventilateur, la prime était augmentée à trente-neuf mille dollars. Révélation étonnante, n’est-ce pas ?

Sans blague : Les hôpitaux étiquettent-ils les décès non liés comme des décès dus au Covid-19, et l’utilisation d’un ventilateur juste pour réclamer plus d’argent du gouvernement ?

Depuis des lunes, les administrateurs d’hôpitaux crient au loup au sujet des dépenses toujours croissantes rencontrées lors du traitement de ceux qui n’ont pas d’assurance ou sont privés des fonds nécessaires pour payer. Ces administrateurs ont été régulièrement fustigés par le grand public pour avoir facturé 4 $ par comprimé d’ibuprofène donné à un patient. Mais aucune protestation publique n’a été notée en regard de la manne financière ci-mentionnée et que chaque patient amenait à l’hôpital.

Bien que la mort de milliers d’amis, de membres de la famille et de voisins ne soit pas sujet à rire, la propension des reportages à parler de cette plandémie, le tout amplifié par les ordres tyranniques des gouvernements à « se confiner sur place », a atteint le point de saturation. Il semble que ce soit devenu la grosse blague au sein de la population. De nombreuses blagues rebondissent sur Internet via les courriels, comme celles-ci au titre ridicule : « Un surfeur attaqué par un requin… meurt du Covid » ; « Daredevil saute d’un avion sans parachute… et meurt du Covid ». Le choix est abondant.

Malfaiteurs en position de pouvoir

En tant que pays, nous sommes un peuple résilient. Quand la vie nous offre des citrons, nous en faisons de la limonade. Comme chrétiens, nous savons que Jésus a le contrôle. Lors même que nous poursuivons notre mission, Son joug s’avère léger. Cela ne signifie cependant pas que nous ne soyons pas affectés par les actions des malfaiteurs. Il y a de nombreuses victimes innocentes dont la vie est changée à jamais.

Prenons comme exemple le nombre astronomique de décès survenus à New York. En février et en mars, le maire de New York, Bill de Blasio, et son haut responsable à la santé, Oxiris Barbot, ont dit aux habitants de continuer à prendre le métro, à assister aux défilés et à profiter de la vie nocturne de la ville.

Dans un tweet du 2 février, Barbot a déclaré : « Alors que nous nous préparons à célébrer le #LunarNewYear à New York, je tiens à assurer aux New Yorkais qu’il n’y a aucune raison pour quiconque de modifier ses plans de vacances, d’éviter le métro ou certaines parties de la ville à cause du #coronavirus. » Elle a réitéré : « Je veux être claire. Il s’agit d’un virus, pas d’un groupe de gens. Il n’y a AUCUNE excuse pour personne qui veut discriminer ou stigmatiser des gens d’origine asiatique. Nous sommes ici aujourd’hui pour exhorter tous les New Yorkais à continuer de vivre leur vie comme d’habitude. » Elle faisait référence au défilé dans le quartier chinois pour célébrer le nouvel an chinois.

Des pertes de mémoire à court terme affectent les politiciens

Lors d’une interview sur MSNBC, le 10 février, le maire de Blasio a déclaré : « Si vous avez moins de 50 ans et que vous êtes en bonne santé, ce qui est le cas de la plupart des New Yorkais, la menace est minime, ici. Même si vous l’attrapez, cette maladie agit essentiellement comme un rhume ou une grippe. Et la transmission n’est pas simple. » Le 2 mars, lors d’une conférence de presse avec le gouverneur Andrew Cuomo, de Blasio a déclaré : « Nous avons maintenant beaucoup d’informations, des informations qui nous montrent, en fait., des éléments qui devraient nous donner raison de rester calmes et de vaquer à nos occupations. »

Deux semaines plus tard, de Blasio fustigeait le Président Donald Trump et la réaction de son administration face au virus. Dans une entrevue du 14 mars sur MSNBC, de Blasio déclara : « Il s’agit d’une situation de guerre. Nous vivons un scénario de guerre et le gouvernement fédéral prend une attitude d’obstruction. »

Les politiciens doivent souffrir de pertes de mémoire à court terme, car il y a au moins cinq cas distincts où de Blasio et sa responsable de la santé ont minimisé publiquement la gravité du virus. On a également oublié les mesures prises le 31 janvier par l’administration Trump pour restreindre les voyages de la Chine aux États-Unis. Certains voyageurs américains qui avaient visité la Chine récemment ont été placés en quarantaine pendant quatorze jours et l’on a déclaré l’urgence en santé publique.

Des personnes âgées reçoivent des sentences de mort

Le gouverneur Andrew Cuomo est un autre des principaux acteurs des ravages qui se sont répandus dans l’État de New York. À ce jour, on a recensé près de 380 000 cas de Covid-19 dans l’État de New York, dont 30 000 décès. Ces chiffres dépassent de loin tout autre État de l’Union.

Bien que nous ne puissions pas déterminer positivement le nombre réel de décès dus à cette plandémie, nous pouvons affirmer sans équivoque que les mesures mises en œuvre sous l’administration Cuomo ont considérablement exacerbé le nombre de décès dans les maisons de soins infirmiers. Le 25 mars 2020, une directive du commissaire à la santé de New York, Howard Zucker, la sous-commissaire exécutive Sally Dreslin et le gouverneur Cuomo a été publiée sous le titre de « Sorties d’hôpitaux et admissions dans les maisons de soins infirmiers ». Dans cette directive, on déclare : « Aucun résident ne se verra refuser la réadmission ou l’admission aux Soins Infirmiers uniquement sur la base d’un diagnostic confirmé ou suspecté de Covid-19. Il est interdit aux Soins Infirmiers de demander à un résident hospitalisé et déterminé médicalement stable de subir un test de dépistage du Covid-19 avant son admission ou sa réadmission. »

Cette directive a entraîné la mort de 5 300 patients dans les maisons de soins infirmiers de l’État de New York. Mais attendez, il y a plus !

Dans un article convaincant écrit par Yaacov Apelbaum et publié sur son blog (https://abelbaum.wordpress.com/2020/05/25/jaccuse/), on fournit des preuves encore plus incriminantes. Il y a une traînée d’argent derrière les directives émises par le gouverneur Andrew Cuomo :

Apelbaum écrit :

« En 2018, alors que le gouverneur Andrew Cuomo était confronté à une contestation de sa candidature à la réélection dans la primaire démocrate de l’État de New York, il a obtenu une infusion en espèces de dernière minute d’un million de dollars de la General New York Hospital Association (GNYHA) – un puissant groupe de l’industrie de la santé à New York. Le 2 avril 2020, il a remboursé la faveur en signant discrètement une loi protégeant les dirigeants des hôpitaux et des maisons de soins infirmiers de toute poursuite découlant de l’épidémie de Covid-19. Les clauses insérées dans le projet de loi de finances annuelles accordaient une protection immunitaire globales aux dirigeants et administrateurs du secteur des soins de santé, les mêmes personnes et les mêmes institutions qui ont fait fortune en déplaçant les patients malades de Covid-19 des hôpitaux vers les maisons de soins infirmiers. »

Apelbaum poursuit :

« La législation de Cuomo sur l’immunité juridique ne s’est pas produite dans le vide. Il s’avère que la GNYHA a donné au comité démocrate de l’État de New York de Cuomo des sommes importantes qui ont été déposées dans le compte de gestion de son parti et utilisées pour financer sa réélection. L’argent a notamment été utilisé pour acheter des publicités télévisées pour soutenir son budget et son lancement proposés, son programme anti-armes à feu et sa campagne de 2018. »

Des résidents de maisons de soins infirmiers de New York ont été condamnés à mort.

Le résultat final de ces manigances, c’est que les centres pour personnes âgées de New York ont fait des millions de dollars, Cuomo et les démocrates de New York ont enrichi leurs coffres et la parenté de milliers de New Yorkais décédés est laissée pour compte.

Big Pharma a le contrôle

Ce type de chicane existe au sein de notre gouvernement depuis des décennies. En 1986, Ronald Reagan a signé la Loi Nationale sur les Blessures par Vaccins sur les Enfants. Cette loi créa un programme spécial visant à gérer les différends dans le but d’assurer un approvisionnement stable des vaccins tout en protégeant les entreprises de la plupart des poursuites. Cette Loi annule complètement la responsabilité de l’industrie en ce qui concerne les préjudices physiques causés par les vaccins et l’on peut considérer que le gouvernement accorde à Big Pharma une immunité économique sans précédent et carte blanche en ce qui regarde les préjudices physiques causés par les vaccins.

Dans mon Bulletin de février 2019 de Power of Prophecy, Big Pharma contrôle-t-il l’Amérique ?, j’ai remarqué que les enfants d’Amérique reçoivent soixante-douze vaccins avant l’âge de dix-huit ans. En 1962, le total était de cinq ! J’ai également signalé que l’autisme a grimpé d’un cas sur deux mille cinq cent à un cas sur quarante aujourd’hui.

Élitiste aux grandes idées de réduction de la population grâce aux vaccinations obligatoires dans le monde entier, Bill Gates a rencontré le Président Trump à plusieurs reprises pour décourager son désir de faire des recherches sur les effets néfastes des vaccins. Le contrôle de Gates sur la vaccination en Inde a mené à la paralysie de plus de 490 000 enfants.

Dans sa lettre à Timothée, l’apôtre Paul nous a parlé de ceux qui chérissent la richesse au détriment de la bonté. Lisez ses paroles profondes, chers amis. Paul a écrit : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. Mais toi, homme de Dieu ! fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur » (1 Timothée 6:9-11).


Neuf manières par lesquelles la Chine contrôle l’Amérique

Par Sandra Myers

« Le riche dominera sur les pauvres ; et celui qui emprunte, sera serviteur de l’homme qui prête. »

Proverbes 22:7

« L’art suprême de la guerre, c’est de maîtriser l’ennemi sans combattre. »

Sun Tzu, L’Art de la guerre

La Chine œuvre avec acharnement à la conquête des États-Unis par l’intérieur. Comprenez que, lorsque l’on entretient des affaires avec un pays communiste, la personne ou l’entreprise court toujours le risque que le gouvernement communiste retire son autorisation, puis accède et même usurpe l’existence de la compagnie en Chine. Celle-ci exerce son pouvoir avec un gant de fer.

S’il vous plaît, sachez que je ne rechigne pas à ce que le travailleur chinois gagne sa vie. Et j’aimerais assurément voir davantage de liberté et de respect des droits humains en Chine. Cet article cible l’État chinois. La machine chinoise n’a que peu de considération pour la vie de ses propres citoyens.

  1. Produits médicaux : Michelle a couvert ce sujet dans son excellent article du Bulletin de mai de Power of Prophecy. La Chine a fait en grande partie avec la médecine (et la fabrication en général) ce qu’elle a fait avec l’acier : en répandre des quantités excessives sur le marché, faire baisser les prix et forcer la concurrence américaine à fermer ou à vendre, et à devenir ainsi le principal fournisseur exclusif. La dernière usine américaine à fabriquer de la pénicilline a fermé ses portes en 2004. Grâce à ce pouvoir, la Chine a récemment sous-entendu qu’elle pourrait retenir ses antibiotiques si elle le désirait.
  2. Fabrication : De nombreuses marques populaires ont abandonné la fabrication de leur stock, en partie ou entièrement, à la Chine : Apple/iPhone, Samsonite, Johnson & Johnson Bandaids, Fossil, Lululemon, Victoria’s Secret, LL Bean, Levi Strauss, New Balance, Radio Flyer, American Girl Dolls, Ray Ben, Nike, Adidas, et mêmes de nombreux designers européens ont transféré leur production en Chine. La Chine a maintenant réglé ses sites plus haut : Made in China 2025. En mai 2015, la Chine a mis en œuvre un plan en vue de cesser d’être « l’usine mondiale » de production de biens bon marché et passer à la production de biens et services de plus grande valeur, comme l’aérospatiale, les semi-conducteurs, la biomédecine et autres technologies de pointe afin d’obtenir l’indépendance face aux fournisseurs étrangers concernant ces produits.
  3. Trésor américain : Les gouvernements étrangers détiennent environ un tiers des dettes des États-Unis. En janvier 2020, la Chine était l’investisseur étranger no 2 de la dette étrangère américaine, détenant 1,1 trillions $ de bons du Trésor américain (le Japon est no 1 avec 1,27 trillions $). La Chine achète des bons du Trésor américain afin de contribuer à la dépréciation de sa propre monnaie, ce qui fait en sorte que ses exportations s’avèrent moins chères et sont donc plus attrayantes pour les consommateurs américains.
  4. Immobilier : La Chine achète des terres agricoles, des hôtels, des immeubles à bureaux, d’autres bâtiments commerciaux et même des propriétés résidentielles. Mais ce qui est encore plus gros, c’est que, sous Obama, Hong Kong (Chine) eut le contrôle du terminal maritime de Long Beach, en Californie, l’un des plus gros terminaux maritimes des États-Unis (Trump a forcé la Chine a vendre). En février 2018, la Chine a également tenté, via une société écran, d’acheter la Bourse de Chicago, vieille de 136 ans, Après avoir donné son accord initial, la Bourse de Chicago a été contrainte de bloquer la vente sous le Président Trump.
  5. Les politiciens : (ou leurs amis et leurs familles) ont vendu leur âme à la Chine pour avoir l’opportunité de réaliser leurs rêves financiers les plus fous : Hunter Biden, fils de Joe Biden ; John Boehner, ancien président de la Chambre ; Charles Boustany, ancien représentant américain de la Louisiane ; David Firestein, diplomate américain, principalement pour les relations avec la Chine ; Mike Holtzman, conseiller spécial auprès de Bill Clinton ; Andy Purdy, ancien stratège de la cybersécurité sous George W. Bush ; James Wolfenstein, anciennement de la Banque Mondiale et tant d’autres. Certains sont enregistrés comme « agents étrangers ».
  6. Les grosses affaires : Vendues pour obtenir une part du marché chinois. Cependant, en vendant tout à la Chine, de nombreuses entreprises internationales se plaignent que la Chine leur a

    Votre nourriture est-elle importée de Chine ?
    Tilapia : 80 % de l’approvisionnement américain ; Morue : 50 % de l’approvisionnement américain ; dans les deux cas, les réservoirs des fermes monstrueusement pleins à craquer de poissons sont pollués de mercure, de plomb et d’antibiotiques. Bœuf : du porc séché vendu comme du bœuf ; Jus de pomme : 50 % de l’approvisionnement américain ; Ail : 31 % vient de Chine (produits chimiques toxiques et pesticides) ; Poulet : approuvé pour la vente aux États-Unis en 2013, la Chine est un pays où la grippe aviaire et la maladie transmise par la nourriture sont chose commune. Thé : (29 produits chimiques toxiques) ; Lait : (Contient parfois de la mélamine – un produit chimique qui cause de sérieux problèmes aux reins) ; FAUSSE NOURRITURE : Riz : (Riz de plastique – fait de résine et de fécule de patate) ; Poivre noir : (parfois de la boue mise en boule) ; Sel de table : (Du vrai sel industriel, impropre à la consommation humaine et peut causer de sérieux problèmes de thyroïde) ; Pois verts : (faux) ; Œufs : (faux, pour vrai !) ; Agneau : (peut-être de la viande de rat) ; Huile d’olive : Une grosse compagnie alimentaire de Chine a décidé de recycler la vieille huile d’olive de milliers de restaurants, de la filtrer et de la revendre ensuite.

    forcé la main pour qu’elles lui remettent des secrets commerciaux en échange d’un accès au marché. Dans certains secteurs, Pékin ne permettra aux firmes étrangères d’opérer que par le biais de coentreprises où les partenaires chinois détiennent la majorité du capital, tenant ces entreprises en otage face aux exigences de la Chine communiste.

  7. Votre nourriture vient-elle de Chine ? : La liste de droite est un petit échantillon des importations alimentaires américaines en provenance de la Chine. Les pratiques industrielles, agricoles et de production alimentaire en Chine sont, au mieux, mal réglementées. Vous faites vos achats dans les magasins d’aliments sains ? Whole Foods (Jeff Bezos / Amazon) défend l’importation de certains aliments de Chine, tandis que Trader Joe’s s’engage à ne pas stocker d’aliments importés chinois.
  8. Enseignement supérieur : La Chine fait don de milliards de dollars à 87 écoles, dont l’Institut de Technologie de la Californie, l’Université de Columbia, l’Institut de Technologie de la Géorgie, l’Institut de Technologie du Massachusetts, les Instituts de Technologie de New York et du New Jersey, et Harvard, Princeton et Yale. Pourquoi donner autant à l’enseignement supérieur américain ? La Chine est en train de créer des Instituts Confucius – dont le but est de servir de base à la guerre idéologique en pervertissant la vision des étudiants américains.
  9. Position tyrannique de la Chine : Guerre de l’espace, missiles de destruction de satellites, menace nucléaire, lasers et cyberattaques. Renseignements, espionnage, vols high-techs des secrets de la technologie et de la sécurité nationale américaines. Les États-Unis n’avaient pas engagé de poursuites en matière de sécurité depuis plus de trente ans. En septembre 2019, sous le Président Trump, on a entamé des poursuites dans trois cas d’opérations de vol de technologie – de sous-traitants américains de la Défense au cyber-piratage et à l’espionnage économique (pour avoir ciblé des secrets d’avions commerciaux à moteurs à réaction). La Chine peut également employer sa dominance mondiale dans les minerais précieux de la terre.

QUE POUVEZ-VOUS FAIRE ?

Premièrement, pour notre propre bien, faisons pression sur nos politiciens et nos sociétés pour ramener la fabrication de première nécessité aux États-Unis. Les antibiotiques, les analgésiques et autres médicaments vitaux et les équipements médicaux devraient figurer en tête de liste. Deuxièmement, tenons responsables nos politiciens, nos entreprises, nos investisseurs en capital et nos comités d’action politique pour leurs courbettes devant la Chine. Ils devraient bloquer les Chinois et la possession chinoise de sociétés écrans d’organisation ou de produit liés à la sécurité nationale, ou à la santé et au bien-être. Troisièmement, lisez les étiquettes et achetez américain (quand vous le pouvez). Sinon, achetez des produits de fabrication autre que chinoise (lorsque vous le pouvez). Il existe de nombreux sites Internet qui répertorient les articles ou les marques qui sont encore fabriqués aux États-Unis. Quatrièmement, faites affaires avec les magasins Mom-and-Pop locaux. Que retentisse la liberté !




Qui est mort et a déclaré Bill Gates un dieu ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2020

Jerry Barrett

Eugéniste, alarmiste climatique, promoteur de vaccins, partisan de l’avortement, mondialiste et philanthrope…

William Henry Gates III est bien connu comme co-fondateur de Microsoft et grâce à la création d’un système d’exploitation utilisé pour les ordinateurs personnels et qu’on appelle du nom de Windows. Or, M. Gates est principalement reconnu pour ses intérêts philanthropiques dans le monde entier. Les grands courants médiatiques le saluent comme un sauveur du monde grâce en partie à son œuvre par le biais de la Fondation Bill et Melinda Gates.

 

Cependant, une rose émet un bon parfum tout en possédant des épines qui piquent. Le changement de look des relations publiques de Bill Gates a été un long processus. En 1977, à l’âge de 22 ans et alors qu’il travaillait au Nouveau-Mexique, Bill Gates fut arrêté pour avoir conduit sans permis et avoir manqué un signal d’arrêt-stop. Miraculeusement, les détails de cette arrestation ont été perdus au fil du temps.

Microsoft est accusée depuis longtemps de pratiques monopolistiques et elle a fait face à de nombreux procès au cours des ans. La liste est longue et il serait trop ardu de tenter dans ces pages d’en faire l’analyse détaillée. Qu’il suffise de dire que Microsoft et Bill Gates n’ont pas été d’honnêtes praticiens du commerce équitable. Lors d’une déposition pour l’affaire anti-trust de 1998, États-Unis vs Microsoft, Gates a été enregistré comme étant odieux et évasif dans ses réponses envers l’examinateur, David Boies. Gates a même admis par la suite, « Je plaide coupable… pour impolitesse envers Boies au premier degré ».

La raison de son mépris ? Gates craignait que cela ne retarde la sortie du Windows 98 de son entreprise. Microsoft a été reconnue coupable de « monopolisation, de liens avec la compétition et de son blocage, tout cela en violation de la Loi Anti-trust Sherman ».

Il y a de nombreux rapports qui déclarent que Bill Gates est un Juif, mais son père a reconnu le piège d’un trop grand nombre de Juifs ayant visiblement le contrôle des méga-entreprises, des banques et des industries. Gates se proclame de descendance anglaise, allemande et écossaise-irlandaise. Je pose la question, n’y a-t-il pas des Juifs dans ces pays ? Les Khazars, après s’être convertis au judaïsme sous le roi Bulan, n’ont-ils pas migré vers l’ouest du Caucase, en Pologne, en Allemagne, etc. ?

Crypto-Juif ou non, Gates a certainement réussi à accroître sa fortune pour devenir l’un des hommes les plus riches d’Amérique. L’argent, c’est le pouvoir ; et Gates en détient une quantité démesurée. Après avoir démissionné de son poste de PDG chez Microsoft, en 2000, Gates a commencé sa transformation à partir de tactiques d’affaires anticoncurrentielles pour devenir un philanthrope hors du commun.

Dans le moule de John D. Rockefeller, Gates savait que, pour se gagner l’adoration du public, il devait paraître leur donner ce qu’il voulait : de l’argent. Rockefeller avait consacré des centaines de millions de dollars de la fortune de son monopole pétrolier à la création d’institutions telles que le Conseil de l’Éducation Générale, l’Institut Rockefeller de Recherches Médicales et la Fondation Rockefeller.

En l’an 2000, Bill et sa femme Melinda créèrent leur fondation. L’Énoncé de Mission de la Fondation Bill et Melida Gates se lit comme suit :

« Nous considérons toutes les vies de valeur égale. C’est pourquoi nous nous engageons à améliorer la qualité de vie des individus du monde entier. De l’éducation des élèves de Chicago à la santé d’une jeune mère au Nigéria, nous sommes partout des catalyseurs de promesses humaines. »

Depuis vingt ans, Bill Gates transforme son image de magnat du logiciel en bienfaiteur de l’humanité. Gates a piloté son image publique vers celle d’un saint, par le moyen d’une publicité positive. La Fondation consacre chaque année des dizaines de millions de dollars en partenariats avec les médias pour sponsoriser la couverture de ses programmes de par le monde. Parmi ceux qui ont reçu de l’argent, on retrouve la couverture d’NPR sur la santé globale, la couverture de la BBC sur les questions de la santé et du développement dans le monde, tout comme la couverture d’ABC News sur la santé mondiale. La NewsHour de Jim Lehrer a reçu 3,5 millions $ de la Fondation de Gates pour faire rapport sur les problèmes de santé mondiaux.

« J’ai accepté une invitation à parler devant la branche féminine du Ku Klux Klan … J’ai vu à travers la porte des visages sombres paradant avec des bannières et des croix illuminées … Je fus escortée jusqu’à la plate-forme, on me présenta et je commençai à parler … Au final, par de simples illustrations, j’ai cru avoir atteint mon but. On me fit une douzaine d’invitations à parler à des groupes similaires… » (Margaret Sanger : Autobiographie, p. 366.)

La dépopulation est un principe majeur de l’élite mondialiste et c’est une des questions principales que soutient la Fondation Bill et Melinda Gates. En 1939, l’eugéniste Margaret Sanger proposa le fameux « Projet Négro », plan élaboré à la demande des responsables de la santé publique des États du Sud. Sanger écrivit : « L’approche éducative la plus réussie envers le Noir se fait par le biais d’un appel à la religion. Nous ne désirons pas que la rumeur sorte que nous voulons exterminer la population nègre, et le ministre est l’homme qui peut éliminer cette idée si jamais elle surgit dans l’esprit de ses membres les plus rebelles. » Sanger a également tenté de mettre en place des cliniques de contrôle des naissances dans les quartiers pauvres de New York pour cibler « les Noirs, les Hispaniques, les Slaves, les Amérindiens, les fondamentalistes, les Juifs et les catholiques. »

Dans une entrevue avec Bill Moyers, Gates a révélé que son père était à la tête de Planned Parenthood (Parentalité planifiée). Gates a déclaré :

« Pendant que je grandissais, mes parents étaient toujours impliqués dans diverses activités de bénévolat. Mon père était le directeur de Planned Parenthood. Et cela portait beaucoup à controverse. Donc, c’est fascinant… »

Dans l’entrevue, Gates dit avoir été motivé par les progrès mesurables à propos des « questions sur la planification familiale sécuritaire de la naissance. » Gates poursuivit :

« L’on peut mesurer l’impact quand l’on peut entrer et éduquer les familles, mais surtout les femmes, sur leurs différents choix. Vous pouvez avoir un impact réel dans ce domaine. Rien à voir avec la santé génésique. »

Gates poursuivit en disant qu’il avait vu qu’en « améliorant la santé et l’éducation, la population décroît à mesure que les parents décident d’avoir moins d’enfants ». En d’autres termes, avec moins de mangeurs inutiles impliqués dans le processus, il y a plus de choses à se répartir.

L’une des méthodes préconisées par Gates est la stérilisation par la vaccination. En 2010, lors d’une Conférence de la TDC (Technologie, divertissement et conception) à Long Beach, en Californie, Gates présenta son sujet sous le titre de « Innover vers le zéro ». Dans cette présentation, Gates était d’avis que le dioxyde de carbone (CO2) doit être réduit à zéro d’ici 2050. Il affirma que chaque personne sur la planète émet environ cinq tonnes de CO2 par an. Gates a déclaré :

« D’une manière ou d’une autre, nous devons apporter les changements qui ramèneront le tout à zéro. Ça augmente constamment. Ce ne sont que quelques divers changements économiques qui l’ont à peine aplati. Nous devons donc passer de la montée rapide à la chute, puis de la chute à zéro. »

Lors de sa présentation, Gates a posé l’équation suivante : CO2 (total annuel du CO2 émis par la population) = P (personnes) x S (services par personne) x E (énergie moyenne par service) x C (CO2 moyen émis par unité d’énergie). Gates déclara :

« Examinons chacun d’eux et voyons comment nous pouvons ramener cela à zéro. L’un de ces chiffres va probablement devoir se rapprocher de zéro. Jetons un coup d’œil à cette équation. Nous avons d’abord la population. Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Cela nous amènera au alentours de 9 milliards. Or, si nous faisons vraiment du bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé génésique, nous pourrions peut-être réduire cela de 10 à 15 %. »

Jésus nous a mis en garde contre les « mauvais bergers » : « Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire … Mais le mercenaire, et celui qui n’est point berger, à qui n’appartiennent point les brebis, voyant venir le loup, abandonne les brebis, et s’enfuit … Ainsi le mercenaire s’enfuit, parce qu’il est mercenaire, et qu’il ne se soucie point des brebis » (Jean 10:10-13).

De toute évidence, Bill Gates n’est pas un homme chrétien. Son système de croyances Nouvel-Âge coïncide avec ce qu’il est en tant qu’être humain et cela teinte sa vision du monde. Gates est le « mauvais berger » par excellence. Mais les bons coups continuent de venir à lui et à sa fondation.

La Fondation Bill Gates a financé le programme Common Core ayant retardé le système d’enseignement public. Le Département de l’Éducation de l’Administration Obama était dirigé par le Juif Arne Duncan. Il est à noter que de nombreux concepteurs du Common Core ne sont pas des enseignants. Une des plaintes au sujet des développeurs du Common Core concernait le nombre de personnes ayant des désignations du College Board surpassant celles qui ont une expérience documentée de l’enseignement en classe. Ce programme a facilité l’abêtissement des Américains. Système qui, autrefois, enseignait les bases, il en est devenu un où les professeurs sont astreints à n’enseigner qu’un test standardisé. L’on ne montre plus à notre jeunesse à penser et à résoudre des problèmes.

Les tentacules de la Fondation Gates s’étendent également à l’agriculture. L’on devrait voir de manière parfaitement claire que ce bienveillant organisme de bienfaisance forme des plans ignobles.

En 2010, la Fondation a acheté 500 000 actions de Monsanto d’une valeur de plus de 23 millions de dollars. La Fondation a dépensé des milliards de dollars pour établir un monopole alimentaire mondial dominé par les cultures et les semences génétiquement modifiées. Grâce à une subvention d’au moins 264,5 millions de dollars à l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique (AGRA), la Fondation Gates impose les OGM à l’Afrique. Dans un rapport publié par La Via Campesina en 2010, 70 % des bénéficiaires de l’AGRA au Kenya travaillent directement avec Monsanto.

Le même rapport explique que la Fondation Gates a engagé 880 millions $ en avril 2010 pour créer le Programme Mondial pour l’Agriculture et la Sécurité Alimentaire qui promeut fortement les OGM. Dans un mouvement auquel s’opposaient avec véhémence de nombreux groupements d’agriculteurs et d’organismes internationaux de bienfaisance, la Fondation a investi 25 millions $ pour développer des semences enrichies en vitamines et en protéines pour les pauvres du monde. L’Université Cornell a reçu une subvention de 26,8 millions de dollars pour ses recherches sur le blé génétiquement modifié, la culture vivrière principale suivante dans le collimateur de Monsanto.

Comme ce fut le cas en Amérique pendant des générations, les agriculteurs ont pu conserver et échanger des semences. Ce procédé permet aux agriculteurs de garder un large éventail de semences qui contribuent à maintenir la biodiversité et à s’adapter aux changements des conditions météorologiques. Avec les semences hybrides, cette méthode de conservation des semences suivra bientôt le même chemin que l’oiseau dodo. La cupidité des entreprises financées par la Fondation Gates entraînera davantage de misère en Afrique et dans les autres pays « en développement ».

Au lieu de s’attaquer aux questions économiques et politiques qui engendrent la pauvreté, et de promouvoir une vraie souveraineté alimentaire, Gates a plutôt adopté une culture et une médecine contrôlées et détenues par les entreprises, ce qui ne fera qu’asservir davantage les plus appauvris du monde.

Parlant de médecine, quand Bill Gates est-il devenu un biologiste, un épidémiologiste ou un médecin ? Gates est obsédé par l’emploi des vaccins comme méthode de contrôle de la population.

Après le don de 450 millions de dollars de sa Fondation, Gates a pris le contrôle du Groupe National Consultatif Technique de l’Inde sur l’Immunisation rendant obligatoire jusqu’à cinquante doses de vaccins contre la polio aux enfants avant l’âge de cinq ans. Les médecins indiens accusent Gates d’avoir paralysé 490 000 enfants. En 2017, le gouvernement indien a réduit ce régime vaccinal et a demandé à Gates de prendre ses politiques de vaccination et de partir.

Robert F. Kennedy Jr, fils du défunt procureur général et candidat à la Présidence, Robert Kennedy, est le président de Children Health Defence. Franchement anti-vaccin, M. Kennedy a documenté les atrocités infligées aux enfants des pays du tiers-monde. Il convient de noter que les inflictions suivantes faites aux enfants sont publiées sur son site web documenté (https://childrenhealthdefence.org).:

  • Pendant la campagne MenAfriVac de Gates, en 2002, en Afrique subsaharienne, les agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Environ 50 des 400 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints : « Nous sommes des cobayes pour les marchands de médicaments. » L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme « impitoyables et immorales ».
  • En 2009, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par Glaxo Smith Kline (GSK) et Merck, sur 23 000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1 200 ont souffert des effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immuns et de la fertilité. Sept sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées : faire pression au procès sur les filles vulnérables du village, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées. L’affaire est maintenant devant la Cour Suprême du pays.
  • En 2010, lorsque Gates versa 10 milliards de dollars à l’OMS, il déclara : « Nous devons en faire la décennie des vaccins ». Un mois plus tard, Gates a déclaré, dans une émission de TED Talk, que les vaccins « pourraient réduire la population ». Et quatre ans plus tard, en 2014, l’Association des Médecins Catholiques du Kenya accusa l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes, grâce à une campagne de vaccination contre le « tétanos ». Des laboratoires ont trouvé une formule stérilisante dans chaque vaccin testé. Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle travaillait sur des vaccins de stérilité depuis plus d’une décennie. Des accusations similaires sont venues de la Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.
  • En 2010, la Fondation Gates a financé un essai de phase trois du vaccin expérimental contre le paludisme, de Glaxo Smith Kline, tuant 151 nourrissons africains et causant des effets indésirables graves, dont la paralysie, des crises et des convulsions fiévreuses à 1 048 des 5 949 enfants.
  • Une étude de 2017 a montré que le populaire vaccin DTC de l’OMS tue plus d’enfants africains que les maladies qu’il est censé prévenir. Les filles vaccinées au DTC ont subi dix fois plus de décès que les enfants qui n’avaient pas encore reçu le vaccin. L’OMS a refusé de rappeler le vaccin mortel qu’elle impose annuellement à des dizaines de millions d’enfants africains

Kennedy note en outre :

« Les défenseurs mondiaux de la santé publique accusent Gates de détourner le programme de l’OMS des projets qui se sont avérés efficaces pour lutter contre les maladies infectieuses : l’eau potable, l’hygiène, la nutrition et le développement économique. La Fondation Gates ne dépense pour ces domaines qu’environ 650 millions de dollars sur son budget de 5 milliards de dollars.

« En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance une société pharmaceutique privée qui fabrique des vaccins et fait don de 50 millions de dollars à douze compagnies pharmaceutiques pour accélérer le développement d’un vaccin contre le coronavirus. Lors de ses récentes apparitions dans les médias, Gates a semblé confiant que la crise du Covid-19 lui donnera maintenant la possibilité d’imposer ses programmes de vaccination dictatoriaux à tous les enfants et à tous les adultes américains. » [Source : https://childrenhealthdefence.org/news/government-corruption/gates-globalist-vaccine-agenda-a-win-win-for-pharma-and-mandatory=vaccination/)

Bill Gates a une relation de plusieurs millions de dollars avec le Dr Fauci.

En parlant de l’actuelle pandémie connue sous le nom de Covid-19, Bill Gates a une relation de plusieurs millions de dollars avec le Dr Fauci, La Dre Déborah Birx siège au conseil d’administration d’un groupe qui a reçu des milliards de dollars de la Fondation Gates. Ces liens expliquent en partie l’incessante rhétorique qui leur sort de la bouche sur le beson de vaccins.

Le journal New Eastern Outlook a rapporté : « L’argent de la Fondation Gates soutient le développement de vaccins sur tous les fronts. Inovio Pharmaceuticals de la Pennsylvanie a reçu 9 millions $ de la Coalition pour les Innovations en Matière de Préparation aux Épidémies, financée par Gates, pour développer un vaccin qui est sur le point d’être testé sur les humains en avril. De plus, la Fondation Gates vient de donner à la société 5 millions de dollars supplémentaires pour développer un dispositif intelligent exclusif pour l’administration intradermique du nouveau vaccin. »

Dans son fascinant exposé sur les liens unissant Birx, Fauci et Gates, Patrick Howley écrit : « La Fondation Gates cofinance également la société de biotechnologie de Cambridge, au Massachusetts, Moderna Inc., pour développer un vaccin contre le nouveau coronavirus de Wuhan, qu’on appelle maintenant SARS-CoV-2. L’autre partenaire de Moderna Inc. est l’Institut National Américain des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID), [dont le Dr Anthony Fauci est le chef], qui fait partie des Instituts Nationaux de la Santé (NIH). »

Dans sa lettre à l’Église de Colosses, l’apôtre Paul a écrit : « Mais celui qui agit injustement, recevra ce qu’il aura fait injustement ; car en Dieu il n’y a point d’égard à l’apparence des personnes » (Colossiens 3:25). Bill Gates incarne celui qui a le « complexe du Messie ». Il a utilisé sa vaste fortune pour promouvoir un mal satanique dans le monde. Lui et ses copains mondialistes seront sûrement rétribués pour le tort qu’ils ont fait.




Le jeu du blâme

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2020

      Jerry Barrett

« Que toute amertume, colère, irritation, crierie, et médisance, soient ôtées du milieu de vous, avec toute malice. Mais soyez doux les uns envers les autres, pleins de compassion, et vous pardonnant les uns aux autres, ainsi que Dieu vous a pardonné par Christ. »

Éphésiens 4:31-32

La panique s’est emparée du pays. Le Covid-19 est au premier plan des émissions de nouvelles locales et nationales. Le détachement spécial du Président sur la pandémie émet des mises à jour quotidiennes, ainsi que de terribles prédictions concernant le résultat final.

Les gouverneurs et les dirigeants des villes publient des directives sur les postes de refuge. Certains ont même eu recours à des mesures draconiennes pour s’assurer que les gens demeurent isolés. Des réservistes de la Garde Nationale ont été appelés à entrer en action. Une image s’est mise à circuler rapidement sur Internet montrant des chars blindés à bord de trains arrivant à Los Angeles. Selon un rapport de rappel, les tanks faisaient partie d’un exercice et sont retournés au Texas. Pourtant, beaucoup de gens se demandent jusqu’où on pourrait aller avec les lois martiales.

Le maire de Los Angeles, Eric Garcetti, a émis un ordre de confinement à domicile jusqu’à au moins fin mai. En vertu de cette directive, les entreprises non essentielles doivent fermer leurs portes. Cependant, bon nombre de ces entreprises ont refusé de se conformer, ce qui a conduit l’empereur Garcetti à menacer de « couper l’approvisionnement en eau et en électricité des entreprises qui défient l’ordonnance de la ville du blocage du coronavirus. » Garcetti a également dit : « Vous savez qui vous êtes. Vous devez arrêter ça. C’est votre chance d’intervenir et de la fermer, car si vous ne le faites pas, nous allons vous la fermer. »

Le gouverneur Gavin Newsom a déclaré, le 18 mars : « Nous ne sommes pas un quelconque État isolé. Nous sommes un État-nation. Les conditions du comté de Santa Clara sont extrêmement différentes de celles de Tulare … Et donc, même si cela semble … réconfortant … pour certains que la mesure fasse pour tout le monde, ce n’est pas le monde dans lequel nous voyons la réalité. » Le lendemain, le gouverneur Newsom émit un ordre de confinement à domicile pour que tout l’État établisse une soi-disant cohérence.

Dans un moment rare de l’américanisme, Newson remercia le Président Trump pour son aide pendant cette crise, renonçant à la rhétorique usuelle que la plupart des gouverneurs gauchisants ont adoptée. Le Gouverneur a également assumé la responsabilité des lacunes liées au dépistage des victimes présumées du coronavirus. On dirait que la crise exige d’agir et non pas de jouer à qui blâmer, comme le font d’autres gouverneurs.

Trump – Pelosi – Cuomo

Là où Newsom a décidé de s’abstenir, c’est comme si le Gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a, quant à lui, des aspirations envers le Bureau Ovale et qu’il se soit servi de cette crise pour blâmer constamment le Président Trump et son administration pour leur manque de préparation face à cette pandémie. Une récente enquête de CNN a révélé : « qu’au moins dix rapports ont été publiés par plusieurs agences fédérales sous Bush (7) et Obama (3) qui mettaient en garde contre un manque d’approvisionnement au milieu d’un débordement ».

De plus, dans son zèle pour les communiqués fédéraux, Cuomo attaqua violemment Trump pour ne pas avoir fourni assez de ventilateurs pour accommoder les victimes en nombre croissant à New York. En raison de cette pénurie, les hôpitaux de New York ont été contraints de partager les ventilateurs entre patients. Dans un autre rapport, on a révélé que Cuomo avait à sa disposition des stocks de ventilateurs, mais qu’il refusait d’en autoriser la sortie.

De Blasio – Obama – Schiff

Le Maire de New York et ancien espoir présidentiel démocrate, Bill de Blasio, a dit aux New Yorkais, dans un tweet du 2 mars, « continuez votre vie et sortez dans la ville malgré le coronavirus ». Le 9 février, le Commissaire à la santé de la Ville de New York, Oxiris Barbot, a déclaré sur Tweeter : « Aujourd’hui, notre ville célèbre le défilé du nouvel an lunaire dans le quartier chinois, une belle tradition culturelle avec une histoire riche au sein de notre ville. Je veux rappeler à tout le monde de profiter du défilé et de ne changer aucun plan en raison de la désinformation répandue sur le #coronavirus. »

Le 30 mars, le Maire de Blasio a menacé de violer le Premier Amendement de notre Constitution, affirmant que les églises qui ne respecteraient pas les directives du Gouvernement sur le coronavirus seraient définitivement fermées. De nombreux autres groupes ont sauté dans le train en marche par lequel les chrétiens sont à blâmer pour cette pandémie.

D’autres gouverneurs démocrates se sont joints au chœur des politiciens qui blâment ouvertement l’administration Trump pour manquement à ses devoirs. J. B. Pritzker de l’Illinois, Gretchen Whitmer du Michigan et Jay Inslee de l’État de Washington n’en sont que quelques-uns.

Les « Je-sais-tout » d’Hollywood ont également sauté dans le train-du-blâme et ont contribué à enflammer leurs stupides adeptes avec des commentaires sans fondement sur Facebook, Twitter, Instagram et d’autres plateformes de médias sociaux.

En février, la Présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, a visité le quartier chinois de San Francisco, écartant la menace du coronavirus. Son coup de publicité était en réaction face à une baisse des affaires. Elle aurait déclaré : « Tout va bien, ici. »

Allez au 29 mars et, durant son apparition à l’émission State of Union de CNN, Pelosi déclara [parlant du Président Trump] : « Son déni s’est avéré mortel. Je ne sais pas ce que lui disent les scientistes. Je ne sais pas ce que les scientistes lui ont dit – quand le Président a-t-il été informé de cela et que savait-il ? C’est l’examen après l’action. Mais pendant que le Président joue du violon, des gens meurent. » Elle a également laissé entendre qu’une autre série de mises en accusation pourrait découler de cette situation.

Acolyte de Pelosi lors de la précédente tentative de destitution, le représentant Adam Schiff (D-CA) a fait savoir qu’il était favorable à une enquête sur la manière dont le Président Trump a géré cette crise. La Chambre des Représentants, dirigée par les Démocrates, semble avoir pour mantra de se servir de tous les moyens nécessaires.

L’ancien Président Barack Obama a exprimé son mécontentement face à la gestion de Trump de cette pandémie. Cependant, beaucoup de gens – y compris Obama lui-même – oublient rapidement comment son administration a fait des bévues pendant les pandémies de grippe porcine et d’Ébola qui ont frappé notre pays. À cause de leur incompétence, les stocks d’urgence d’équipement et de réserves médicaux sont restés à sec. Il n’y eut aucune préparation pour une prochaine pandémie, dut-elle arriver sur nos côtes.

Le Président Donald Trump n’est pas sans tache ni ride dans le festival du blâme. Il a accusé sans cesse les gouverneurs d’êtres des incapables. Il leur a aussi dit de gérer eux-mêmes l’achat des équipements nécessaires. Trump a fustigé les médias – à juste titre ou non – sans proposer de solutions pour calmer la population.

Lorsque des nouvelles sont sorties concernant un médicament potentiel [la chloroquine] pouvant sauver des vies, le Président Trump a annoncé qu’il s’agit d’un cadeau de Dieu. Cela a immédiatement déclenché une forte opposition à ce traitement de la part des anti-Trump, des médias et du politique à travers le pays. Les grands courants médiatiques ont sauté sur l’occasion de blâmer Trump d’avoir lancé un faux message d’espoir. Les gouverneurs du Michigan, du Nevada et même Cuomo de New York ont immédiatement banni l’utilisation hors-circuit de l’hydroxychloroquine.

Heureusement que les médecins en première ligne de cette pandémie n’ont pas été dissuadés. Le Gouverneur Cuomo a cédé à son utilisation en vue d’essais dans les hôpitaux de New York. Un grand nombre d’autres docteurs, d’ici et à l’étranger, ont aussi commencé à utiliser sur leurs patients ce médicament facilement disponible, conjointement avec du zinc et un antibiotique. Jusqu’à présent, les résultats s’avèrent étonnants.

De toute évidence, il est plus facile de blâmer les autres pour leurs incapacités que d’accepter la responsabilité de ses propres défauts. L’apôtre Paul nous dit : « Prenez donc garde comment vous vous conduirez soigneusement, non point comme étant dépourvus de sagesse, mais comme étant sages : rachetant le temps : car les jours sont mauvais » (Éphésiens 5:15-16).

J’ai reçu beaucoup de messages à propos de cette pandémie. Jésus nous a donné un plan de ce qui se produira à la fin des temps : « Et il y aura de grands tremblements de terre en tous lieux, et des famines, et des pestes, et des épouvantements, et de grands signes du ciel » (Luc 21:11). Il y a actuellement des sauterelles qui ravagent l’Afrique, des tremblements de terre signalés de la Californie à l’Oklahoma, et cette horrible pandémie qui traverse le monde.

Je n’ai pas la peur au cœur, car je sais que si vous, les lecteurs, êtes engendrés dans le sang de Jésus-Christ, vous n’êtes donc que des pèlerins de passage sur le chemin de la Jérusalem spirituelle. Je me réconforte par le Psaume 23 :

« L’Eternel est mon berger, je n’aurai point de disette. Il me fait reposer dans des parcs herbeux, et me mène le long des eaux paisibles. Il restaure mon âme, et me conduit pour l’amour de son Nom, par des sentiers unis. Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrais aucun mal ; car tu es avec moi ; ton bâton et ta houlette sont ceux qui me consolent. Tu dresses la table devant moi, à la vue de ceux qui me serrent ; tu as oint ma tête d’huile odoriférante, et ma coupe est comble. Quoi qu’il en soit, les biens et la gratuité m’accompagneront tous les jours de ma vie, et mon habitation sera dans la maison de l’Eternel pour longtemps. »

Pour ceux qui ont comme bénédiction d’être inscrits dans le Livre de Vie, réjouissez-vous, car Jésus nous a préparé un poste glorieux. Levez la tête, parce que la rédemption approche.


   Par Michelle Hallmark Powell

Situations désastreuses – l’industrie pharmaceutique en crise

Savez-vous où l’on fabrique vos pilules ? Le nom du pays d’origine n’apparaît pas sur votre bouteille de prescription. Cette question a été portée à l’attention de la direction de la FDA et de l’Association Nationale des Conseils de Pharmacies – surveillant de tous les conseils d’État de la pharmacie. Malheureusement, ni la FDA ni l’Association Nationale des Conseils de Pharmacies ne se soucient beaucoup de faire connaître aux patients les détails cruciaux de leur médication.

Dans les années 1990, les États-Unis, l’Europe et le Japon fabriquaient 90 % de l’approvisionnement mondial des ingrédients clés des médicaments et des vitamines. Aujourd’hui, 80 % des ingrédients actifs des médicaments proviennent de la Chine et de l’Inde.

Alors que l’Inde est censée être un bon ami des États-Unis, ce n’est pas le cas de la Chine communiste. Pour les industries pharmaceutiques, le contrôle de la Chine sur la fabrication des médicaments aura un impact durable.

80 % des antibiotiques sont fabriqués en Chine. L’ibuprofène, l’acétaminopène, la pénicilline et l’hérapine dépendent également largement de la fabrication chinoise.

Lorsque la FDA fut créée en 1909 en tant qu’inspectrice de l’industrie pharmaceutique aux États-Unis, les ingrédients pharmaceutiques étaient principalement fabriqués aux USA. À mesure que s’est produite la mondialisation des ingrédients pharmaceutiques, la FDA a perdu la capacité d’inspecter à grande échelle les installations étrangères. L’ancien Président Bill Clinton a assoupli les restrictions commerciales contre la Chine en 2000, et plus de 700 usines chinoises ont commencé à fabriquer des médicaments et des ingrédients actifs pour les États-Unis, la FDA inspectant environ quinze de ces usines par année.

La docteure Janet Woodcock, directrice du Centre de la FDA pour l’Évaluation et la Recherche des Médicaments, affirme que la FDA se situe au sommet de ces choses, mais d’autres experts disent que les États-Unis sont très vulnérables quand ils dépendent d’autres pays pour fabriquer des médicaments essentiels. La Chine et d’autres pays n’ont pas de loi sur la protection des consommateurs et la fiabilité des produits, comme en possèdent les États-Unis. Ils soulignent également que la FDA ne peut pas contrôler ce que font les manufacturiers des autres pays et ils affirment qu’aucune inspection de la FDA ne peut garantir un approvisionnement fiable et sécuritaire des produits médicaux vitaux.

Après que le Président Trump en eu appelé des fabricants de voitures et de climatiseurs de les manufacturer ici, aux États-Unis, sinon ils feraient face à des tarifs punitifs, la même chose doit être appliqué aux sociétés pharmaceutiques. Pour la plus grande partie, environ 75 % des dépenses américaines en médicaments sont destinés à des produits fabriqués à l’intérieur du pays. Toutefois, en raison de la taille du marché américain – de loin le plus gros du monde – 86 milliards $ de médicaments sont importés du reste du monde. Cela fait quand même des États-Unis le plus gros importateur de médicaments sur terre.

À mesure que les compagnies chinoises prennent le contrôle du marché pharmaceutique aux États-Unis, il se développe une crise sanitaire cachée. La FDA n’inspecte seulement qu’un petit nombre de manufacturiers chinois qui fabriquent des médicaments américains.

Pendant ce temps-là, les médicaments qui s’acheminent vers les États-Unis se trouvent souvent bien en-dessous des standards américains de sécurité. Certains de ces médicaments ne sont pas du tout examinés. Le fait que les médicaments chinois ne rencontrent pas les standards américains est encore aggravé par le volume des médicaments importés. La Chine est la source première de nombreux médicaments essentiels, dont la pénicilline, l’héparine et la médication capitale pour les chirurgies.

Et nous voilà maintenant en 2020, avec une pandémie qui nous arrive au pays, et la Chine qui peut retenir la plupart des produits et des ingrédients pharmaceutiques dont nous avons besoin pour fabriquer nous-mêmes les produits. On nous dit aussi qu’il s’agit d’une Menace de Sécurité Nationale. Comment nous sommes-nous mis dans cette position ? Laisser la sécurité de notre population entre les mains de la Chine, pays qui entend devenir le leader numéro un mondial – et qui méprise franchement et nous et notre liberté – et contrôler une chose aussi importante que notre santé et notre bien-être ? En laissant Big Pharma, les Lobbyistes et la Cupidité diriger notre gouvernement, nous nous sommes mis dans cette position.

Marsha Blackburn, Sénatrice du Tennessee, a dit qu’un grand nombre des produits pharmaceutiques nécessaires pour traiter certains de ces virus ne sont fabriqués qu’en Chine et nous dépendons complètement d’eux. On les appelle IPA (ingrédients pharmaceutiques actifs). Heureusement, elle présente un projet de loi qui ramènera leur production aux États-Unis.

Si vous êtes aussi indigné(e) que moi à ce sujet, s’il vous plaît, contactez vos sénateurs et vos représentants. Vous devriez aussi considérer d’écrire une lettre à la FDA pour leur dire que cela est totalement inacceptable. Nous devons ramener ici toute la production et la fabrication des produits pharmaceutiques. Seule ce genre d’action fournira sécurité et protection à nos gens.




Opération Orange Man Bad

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Avril 2020

Par Jerry Barret

Vingt-neuf personnes ont affirmé avoir entendu l’appel à défendre notre pays contre le Président actuel. Chacune d’elles croyait que le peuple américain allait entendre son message, se rallierait à sa vision pour protéger la démocratie contre cette personne perverse qui occupe en ce moment la Maison Blanche. Ces devins représentent la diversité de notre pays – des femmes, des autochtones, des homosexuels, des communistes, des banquiers, des progressistes, etc.

Surnommé « Orange Man » (l’homme orange) sur les réseaux sociaux, le Président Donald Trump n’est pas désiré – apparemment – du peuple américain. C’est un loup déguisé en brebis, représentant tout ce qui est mauvais dans la société. « Orange Man Bad » (le mal de l’homme orange) s’est répercuté sur les réseaux sociaux à l’aube de la campagne électorale démocrate.

À peine six mois après la cérémonie d’assermentation de Trump, le premier démocrate a annoncé sa candidature à l’élection présidentielle de 2020. Malheureusement pour John Delaney, ce lève-tôt ne s’est même pas rendu aux primaires. Quelques mois plus tard, Andrew Yang, a lancé son chapeau dans l’arène. Hélas, Yang a maintenant dépassé son temps et on peut désormais le voir sur CNN.

Le processus d’élimination peut s’avérer brutal pour la psyché des faibles d’esprit. Des vingt-trois espoirs présidentiels qui ont lancé leur chapeau dans l’arène lors des six premiers mois de 2019, il n’en reste que trois. Dans l’intervalle, les Américains ont été réprimandés pour avoir voulu posséder des armes à feu, pour avoir nié qu’il y ait une urgence climatique ou, que le ciel nous en préserve, avoir cru en Jésus-Christ en tant que notre Seigneur et notre Sauveur.

Le maire Pete Buttigieg, un homosexuel, croit que la Bible doit se conformer à la société d’aujourd’hui et ne pas être aussi bornée concernant le mariage homosexuel. Robert « Beto » O’Rourke a déclaré que les Américains étaient prêts à rendre leurs « fusils d’assaut AR-15 ». Pour ceux qui refuseraient de les remettre, on le leur prendrait de force. Eric Swalwell s’est montré d’accord avec le programme de saisie d’armes de Beto.

Au moment où ce bulletin est mis sous presse, il reste trois candidats officiels. Y a-t-il un empêcheur de tourner en rond qui se profile en arrière-plan ?

Bien sûr, ce n’était que la pointe de l’iceberg pour les extrémistes de la gauche. Jour après jour, d’autres candidats potentiels du Parti démocrate promirent de trahir l’Amérique.

On a prétendu que la dette étudiante – un problème auto-infligé – était astronomique et paralysait les jeunes adultes en les entravant dans la servitude contractuelle. L’enseignement supérieur devrait être gratuit pour tous ceux qui le désirent. Les Milléniaux se réjouissent de cette idée.

Les soins médicaux pour tous, une médecine socialisée, est la réponse à tout ce qui affecte l’industrie des soins de santé en Amérique. L’on nous dit que cela fonctionne à merveille en Angleterre et au Canada. Les citoyens bénéficieront à coup sûr des visites « gratuites » chez le médecin et à l’hôpital. Big Pharma sera mise à genoux et la médecine sera facilement accessible à tous.

Un autre abandon proposé est celui de notre souveraineté nationale. Ouvrir les frontières à tous ceux qui souhaitent venir au pays de l’abondance est la réponse. On accordera l’amnistie et la citoyenneté à tous ceux qui se trouvent ici illégalement. Le motif secret est assurément d’avoir un flot de démocrates nouvellement enregistrés qui soutiendront les trahisons.

Le logement ne sera pas un problème, car il est également présenté comme un droit humain. Le tas de cadeaux coûtera une fortune, non ? Comment ces gauchistes extrémistes et socialistes comptent-ils payer tout ça ? Bernie Sanders a la réponse ! Taxez les milliardaires ! Faites-leur payer leur juste part. Chose ironique, Bernie n’a pas exigé l’augmentation de la fiscalité des millionnaires – en particulier depuis qu’il a rejoint ce club exclusif après les élections de 2016.

L’ancien maire de New York Bloomberg, sur la lancée de la vague bleue qu’il a contribué à fomenter dans la Chambre des Représentants aussi bien que dans le gouvernement de l’état de la Virginie, a bombardé le pays d’une publicité incessante. Prétendant qu’il y arriverait, la seule réussite du milliardaire fut de dépenser près de cinq cents millions de dollars au cours de sa campagne de trois mois.

Son camarade milliardaire, Tom Steyer, se répandit en injures contre l’économie du Président Trump. Steyer clamait qu’elle avait besoin d’être corrigée et que son expertise en fiducie serait d’un grand bénéfice. Malheureusement pour Steyer, son message fut livré pendant que les valeurs battaient des records à la bourse de New York.

La première femme à annoncer sa candidature fut Tulsi Gabbard, représentante d’Hawaï. La plupart des experts du grand courant médiatique n’ont pas tenu compte de sa campagne. Hillary Clinton sous-entendit qu’elle avait été préparée par les Russes comme un atout.

Hillary déclara : « Elle est la préférée des Russes. Ils ont un paquet de sites et de robots, ainsi que d’autres moyens de la soutenir jusqu’à présent. »

Mme Gabbard n’a pas tardé à réfuter l’ancienne Première Dame sur Twitter et déclara : « Vous, la reine des bellicistes, incarnation de la corruption et personnification de la pourriture qui écoeurez le Parti démocrate depuis si longtemps, vous sortez finalement de derrière votre rideau. » Mme Gabbard a depuis déposé une plainte en diffamation contre Hillary Clinton.

Le Comité National Démocrate a fait de son mieux pour garder Mme Gabbard hors de vue du public. Le 15 mars 2020, ce Comité a annoncé de nouvelles règles pour les débats à venir. Pour être maintenant admissible au débat, un candidat doit être appuyé par plus de 20 % des délégués au congrès. Tulsi n’en a que deux.

Hillary Clinton pourrait-elle être l’empêcheuse de danser en rond ?

Si le Comité réussit à garder Mme Gabbard hors de la scène, il ne restera que Joe Biden et Bernie Sanders. On semble tenir pour acquis que Joe l’endormi et Bernie le Communiste seront les derniers hommes debout. Dans un parti qui prétend représenter une population qui inclut tout le monde, on dirait que seuls deux blancs fortunés et âgés soient les gladiateurs de choix.

Après avoir volé la nomination à Bernie en 2016, l’histoire se répètera-t-elle en 2020 ? Mon opinion éclairée me dit que oui. Depuis trente ans qu’il est en fonction, M. Sanders a présenté deux projets qui sont devenus des lois – et l’un d’eux était le changement de nom d’un bureau de poste !

Les partisans de Bernie ont menacé d’incendier Milwaukee – le site du Congrès National Démocrate – si Bernie est encore piégé. Les anarchistes communistes qui se sont portés volontaires pour la campagne de Bernie ont été filmés se vantant de leurs exploits. Espérons que le maire et le gouverneur ont tenu compte de ces menaces et les prennent au sérieux.

Il semble que Joe Biden obtiendra la nomination pour l’élection de 2020, n’est-ce pas ? Arrêtez-vous à cette pensée. En arrière-scène, le Comité a effectué des machinations qui devraient déranger tous les électeurs. Selon Wikipedia :

« En août 2018, les responsables du Parti démocrate ont entamé des discussions concernant le processus de nomination. Des changements ont été apportés au rôle des super-délégués, décidant de ne leur permettre de voter au premier tour de scrutin que si la nomination n’est pas contestée. »

Si les candidats restants ne rencontrent pas le seuil requis pour les délégués, une convention négociée pourrait être mise en perspective. C’est là que l’élite a le contrôle du parti.

Lorsque le milliardaire Michael Bloomberg mit fin à sa candidature, il a déclaré qu’une convention négociée était le seul moyen pour lui d’obtenir la nomination. Était-ce une remarque désinvolte ? Je crois que non.

Cependant, je ne pense pas que Bloomberg, Biden ou Sanders obtiendront la nomination, mais plutôt un candidat dormant qui se tient derrière le rideau. Depuis l’annonce des résultats époustouflants de l’élection présidentielle de 2016, on a peu entendu parler d’elle.

Récemment, il y a de petites pointes lancées en regard d’une défaite de l’ignoble Trump, et de la mise en poste de la femme légitime. Sans la collusion et l’ingérence russes, Mme Clinton aurait sûrement gagné. Du moins, c’est ce qu’elle croit fermement.

Au moment où j’écris ceci, le marché boursier est en chute libre, le pays fait face à une pandémie aux proportions épiques – en tout cas, si vous en croyez le grand courant médiatique – due au coronavirus, et une guerre des prix sur les réserves de pétrole brut fait rage entre… la Russie et l’OPEC.

L’Orange Man Bad a tiré profit d’une économie positive, du taux de chômage à des niveaux presque les plus bas de son histoire, de l’augmentation des salaires et du bonheur général des Américains. Les afflictions susmentionnées sont-elles orchestrées par l’élite ?

On remet en cause la santé mentale de Joe Biden. Un grand nombre doute même qu’il puisse être un Président à temps plein, vu son âge, ses gaffes et son apparente fragilité. Bernie Sanders est un communiste trop virulent, bien que nombre de ses promesses de campagne aient eu des échos dans le parti. La bénéficiaire de ces calamités pourrait bien être Hillary Rodham Clinton. Je crois qu’elle pourrait être la candidate négociée du Parti démocrate.

***

Par Sandra Myers

DIEU ou GOOGLE : En qui avez-vous confiance ?

« Quoiqu’il en soit, mon âme se repose en Dieu ; c’est de lui que vient ma délivrance. »

Psaumes 62:1

« Aussi mon Dieu suppléera selon ses richesses à tout ce dont vous aurez besoin, et vous donnera sa gloire en Jésus-Christ. »

Philippiens 4:19

Nous arrivons à une époque où l’incertitude est une chose du passé. La plupart des gens amènent toutes leurs questions, leurs peurs ou leur curiosité à Google ou à d’autres médias sociaux. Il n’est plus nécessaire d’être anxieux, d’avoir peur ou d’être dans le doute. Il semble que toutes les réponses aux questions de la vie, triviales ou profondes, ne soient qu’à quelques clics. Nous n’avons plus jamais à attendre après une réponse. Nous n’avons plus à attendre après Dieu.

Les géants de la haute technologie et des médias sociaux ne se soucient pas de vous. Les médias sociaux entraînent (lavent le cerveau de) cette génération, et la suivante, vers de nouveaux schémas de pensée. Ces nouveaux schémas de pensée n’incluent pas Jésus ni la confiance et l’attente après Dieu.

Google a-t-il remplacé Dieu ?

Sur terre, Google est ce qui se rapproche le plus de Dieu, du moins, semble-t-il. Google sait tout, voit tout, se souvient de tout. Comme Dieu, Google est bon, non ? La devise de la compagnie est « ne soyez pas méchants ». Les preuves de l’existence de Google abondent, ce « dieu » à portée de main est visible, instantané et suffisamment omniprésent pour la plupart des gens, donc aucune foi n’est requise.

Google répond-il aux prières ? Si vous êtes dans le besoin ou avez un dilemme, comme il est facile de se tourner vers Google. Grâce aux réponses apparemment instantanées de Google pour les urgences et aux infidèles, cela semble sage et efficace. Mais ceux qui ont foi en Jésus tombent-ils dans ce même piège de confiance en Google ? « Si Dieu ne me donne pas de réponses instantanément, peut-être est-Il trop occupé. Je vais me tourner vers quelqu’un qui me donnera des réponses rapides et faciles. »

Mais obtenons-nous vraiment des réponses de Google, ou simplement des distractions ? Notre envie désespérée de connaissance et de conseils instantanés nous arrache-t-elle à notre Père ?

Dieu ou Google : le gardien de vos secrets

Pourquoi confions-nous nos pensées les plus profondes, nos questions les plus complexes, nos peurs et parfois nos secrets les plus intimes à ce Google faible et limité ? Contrairement à Google, Dieu ne contrôle pas les réponses que vous recevez grâce à un algorithme programmé. Au lieu de cela, en tant que Père aimant et réellement omniscient, Il sait précisément ce qui vous convient le mieux.

Lorsque vous vous rapprochez de Dieu et vous tournez directement vers Lui dans la prière, vous avez accès à une source d’aide infiniment plus puissante. Dieu connaît déjà vos besoins et Il attend que vous vous tourniez vers Lui. Quand vous détournez les yeux des distractions ; lorsque vous restez tranquille et que vous vous tournez d’abord vers Lui ; vous parlez à votre meilleur ami. Il entend votre voix quand vous faites appel à Lui sans privilégier Google ou les médias sociaux.

Parfois, la meilleure chose face à nos attentes, à nos doutes et à nos questions, c’est de simplement attendre. Attendez-vous à Dieu. Il est là. Rapprochez-vous de Lui et vous entendrez Sa voix. Si vous vous sentez éloigné de Dieu, ce n’est pas Lui qui a créé la distance. Vous n’avez besoin que de vous rapprocher de Lui. Il est toujours là… au même endroit.

Le monde et toute sa sagesse, que ce soit par Google ou toute autre source en ligne, vous donnera une gratification instantanée. Cela peut vous nourrir un instant, mais vous affamer pour l’éternité. Au lieu d’amener la lumière et la vie, cela peut vous laisser dans l’obscurité totale et éternelle.

« Que si quelqu’un de vous manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu, qui la donne à tous libéralement, et qui ne la reproche point, et elle lui sera donnée. »

Jacques 1:5

Dieu ou Google : qui va pardonner ?

Est-ce que Google et les médias sociaux pardonnent et oublient ? Excepté par l’intervention de Dieu, la réponse est non. Toute frappe que vous ayez actionnée, tout endroit en ligne que vous ayez jamais visité, et même ce que vous avez retardé pour pouvoir le lire, mais sans cliquer dessus… grâce à toute cette information et à leurs algorithmes quasi-psychiques, Google, les médias sociaux et l’Internet vous connaissent mieux que la majorité combinée des gens que vous avez connus dans la vie.

Soyons honnêtes. Dieu garde également un compte-rendu de la surveillance qu’Il effectue 24 heures sur 24, 7 jours par semaine, sur vous tous – mieux que ce que Google et l’Internet pourrait rêver de faire. Mais Dieu connaît votre cœur. Et Dieu pardonne. Grâce au précieux sang dont Il couvre vos transgressions, vous pouvez devenir blanc comme neige. Il n’y a que Dieu pour donner miséricorde et grâce. Google ne pardonnera jamais ni n’oubliera jamais.

Dieu ou Google : qui se soucie de vous ?

S’il vous plait, sachez que je ne suis pas en train de dire qu’utiliser Google, les médias sociaux et l’Internet est intrinsèquement mauvais. C’est magnifique pour vérifier les appareils de cuisine ou faire des recherches sur d’autres sujets mineurs. Mais je vous implore d’être conscients de la place de Dieu dans votre vie, plutôt que Google. La prochaine fois que vous aurez des questions, des soucis ou des craintes, peut-être devrions-nous nous montrer plus lents à aller vers Google et plus rapides à nous tourner vers Dieu par la prière. Et nous devrions nous attendre à Dieu, plutôt que de nous fier à la gratification instant de Google. Google n’a pas donné sa vie pour nous et Google ne nous amènera pas vers l’éternité.

Une dernière pensée : si vous n’êtes pas sur Internet, vos enfants et vos petits-enfants le sont probablement. C’est le bon moment de partager avec eux votre confiance et votre paix en ayant foi en Dieu plutôt qu’en Google.

« Ne vous inquiétez de rien, mais en toutes choses présentez vos demandes à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu, laquelle surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos sentiments en Jésus-Christ. »

Philippiens 4:6-7