La vérité est une espèce en voie de disparition

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2019

Par Jerry Barrett

« Un mensonge fera le tour du monde pendant que la vérité retirera ses bottes. »

C. H. Spurgeon

Gems from Spurgeon (1859)

La Vérité. On dirait que c’est une denrée rare, aujourd’hui. Lors des récents débats démocrates en vue de candidats potentiels, elle fut rejetée et piétinée. Ils ont dû se faire comme raisonnement que les gens ne veulent plus de la vérité, ils ne veulent entendre que ce qui les rend heureux.

Chacun des candidats démocrates semble vouloir faire cadeau de la ferme dans le but d’influencer les électeurs. Qu’il s’agisse d’excentriques revendications sur la gratuité scolaire, du logement, des soins de santé, de l’ouverture des frontières et du droit de vote des criminels condamnés, aucune promesse n’est trop grande pour être souscrite. Malheureusement, ces menteurs professionnels savent qu’ils ne peuvent pas tenir leurs promesses.

La vérité dans les médias

Le grand courant médiatique a aussi mis la vérité de côté. Dans cette ère de « Plus jamais Trump », les faits et le processus de vérification ont cédé la place au vitriol rempli de haine. Lawrence O’Donnell d’MSNBC a récemment affirmé que le Président Trump avait fait des emprunts avec des oligarques russes comme cosignataires. Plus tard, O’Donnell a dû se rétracter. Rachel Maddow a érigé toute son émission autour du « canular de collusion russe » qui a suivi les élections de 2016.

Rachel Maddow et Lawrence O’Donnell ne font qu’écho aux propos violents de l’extrême gauche et prétendent que c’est la vérité.

Malheureusement, de nombreux soi-disant journalistes ne rapportent plus les informations, mais rendent plutôt compte de leurs opinions. Il semble bien que la vérité se trouve confinée au programme de protection des témoins en ce qui a trait aux reportages. Avec la prolifération des médias alternatifs — et leur auditoire grandissant grâce à l’Internet — la vérité recommence à voir à nouveau la lumière du jour.

Les géants de la haute technologie de Silicone Valley – Google, YouTube, Twitter, Instagram et d’autres – ont déclaré qu’ils ne censuraient pas le discours conservateur ou chrétien. Sundar Pichai, président-directeur de Google, a témoigné devant le Congrès et a menti effrontément concernant le comportement de son entreprise. Son affirmation selon laquelle Google « n’intervenait dans aucun des résultats de recherche » a été déclarée un mensonge, preuves à l’appui, par un ancien ingénieur chez Google qui avait été interviewé par un média alternatif.

La véritable histoire est « portée manquante »

Nos enfants font quotidiennement l’objet d’une propagande, que ce soit au sein des écoles privées ou publiques. Les livres d’histoire d’aujourd’hui ont été réécrits pour refléter les structures de croyances actuelles, sans trop se préoccuper de ce qui s’est réellement passé. La vérité ne compte pas quand vient le temps d’essayer d’influencer ces jeunes esprits à participer à des « groupes de réflexion ».

On se moque des vrais historiens et on les dénigre parce qu’ils ne s’en tiennent pas aux lignes directrices de l’entreprise. On les appelle des « révisionnistes » et on les qualifie de manipulateurs de la vérité alors qu’en fait, ce sont eux qui utilisent les documents écrits durant la dite période.

« Au vainqueur va le butin » est un terme que nous entendons souvent. Un grand nombre de gens n’arrivent pas à reconnaître que l’histoire est généralement écrite par les vainqueurs, jamais par les vaincus. Ceux qui tiennent vraiment à la vérité recherchent les deux côtés de la médaille pour s’assurer que les faits sont gardés en haute estime.

La vérité n’est pas une défense

À titre d’exemple, quiconque niera que l’Holocauste a eu lieu tel que décrit de manière si dogmatique devra faire face à une réaction brutale. Le regretté Ernst Zundel a publié une brochure remettant en question l’holocauste et il a été emprisonné cinq ans en Allemagne après avoir été expulsé des États-Unis et du Canada. Lors de son procès en Allemagne, son avocate déclara qu’elle tentait d’amener la vérité dans la défense de Zundel et, comme on l’a rapporté ailleurs, elle fut réprimandée par le juge qui aurait prétendu que « la vérité n’est pas une défense »

Maxine Waters (D-CA)

Actuellement, nos représentants élus au Congrès demandent des réparations pour l’esclavage. Maxine Waters (D-CA) est le membre le plus sonore pour que cela arrive. Malheureusement, Mme Waters ne crie qu’au nom de ceux qui sont d’origine africaine et ne prend pas en compte les nombreux immigrants irlandais vendus comme esclaves. À vrai dire, les esclaves africains étaient traités comme des investissements, tandis que les Irlandais ne valaient pas dix sous et travaillaient souvent jusqu’à ce que mort s’en suive.

À qui demande-t-elle de payer pour réparation ? Va-t-elle adresser une pétition aux familles des chefs de tribus africaines — ou de leur pays— qui ont capturé et vendu ces personnes en esclavage ? Adressera-t-elle une requête aux familles d’armateurs qui ont agi en tant que marchands d’esclaves – que l’histoire véritable rapporte avoir été à prédominance juive – ou à la nation d’Israël ?

Dans ce cas-ci, la vérité semble être victime des circonstances. Parce que cela ne correspond pas au récit que la gauche progressiste a proclamé, elle doit faire partie des victimes de la guerre. Charles Spurgeon avait bien raison de dire « Un mensonge fera le tour du monde pendant que la vérité retirera ses bottes ».

Depuis l’aube des temps

Les mensonges se propagent depuis l’aube des temps. Le premier compte-rendu écrit d’un mensonge se trouve dans Genèse 3:4-5 lorsque le serpent parla à Ève :

« Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez nullement ; mais Dieu sait qu’au jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. »

Lorsque Dieu donna les Dix Commandements à Moïse, l’un d’eux disait : « Tu ne porteras pas de faux témoignage contre ton prochain ». La Sainte Bible contient de nombreux exemples où Dieu nous l’enseigne à répétition. Dans les deux premiers chapitres, l’on démontre que les mensonges sont des péchés.

Mais attendez… il y a plus !

Il y a beaucoup d’autres exemples dans la Bible qui réaffirment le fait que Dieu déteste les mensonges. Dans Proverbes 6:16-19, nous apprenons ceci :

« Il y a six choses que hait l’Éternel, même sept qui lui sont en abomination : Les yeux hautains, la langue fausse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui forme de mauvais desseins, les pieds qui se hâtent pour courir au mal, le faux témoin qui prononce des mensonges, et celui qui sème des querelles entre les frères. »

Les mensonges sont une abomination pour notre Seigneur ! Apocalypse 21:8 révèle ce qu’il adviendra des menteurs :

« Mais, pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les fornicateurs, les empoisonneurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part est dans l’étang ardent de feu et de soufre ; ceci est la seconde mort. »

Nous sommes tous coupables d’avoir menti. Si vous prétendez que vous ne l’avez pas fait, vous vous leurrez. Notre pasteur émérite, Texe Marrs, a déjà mentionné qu’il avait raconté un « mensonge blanc » à son père afin de ne pas avoir d’ennui quand il était jeune. Cependant, son père l’a attrapé dans ce mensonge et sa réaction a frappé Texe au vif. Son père eut ce commentaire : « Je suis déçu de toi ».

Lorsque nous mentons, que nous jugions cela inoffensif ou pas, nous décevons notre Père céleste. Prenez le temps d’y réfléchir un instant.

Peu importe que ce soit douloureux, raconter un mensonge est trop affreux à contempler. Pour ma part, je ne tiens pas à rencontrer Jésus pour qu’Il me dise : « Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui faites métier d’iniquité » (Matthieu 7:23).

Dans Jean 14:6, Jésus nous dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ; personne ne vient au Père que par moi. » Résistez à la tentation de propager des mensonges et repentez-vous de vos péchés. Le Royaume vous attend.




Un cœur vide peut-il servir de terrain de jeu au Diable ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Septembre 2019

Par Jerry Barrett

La mort et la destruction apparaissent chaque jour dans les actualités. L’on nous bombarde constamment d’histoires de fusillades de masse, de meurtres insensés, d’agressions et plus encore. Assurément, notre pays vit une période sombre.

Pourquoi une violence aussi insensée éclate-t-elle aujourd’hui ? Serait-ce à cause de la popularité des jeux vidéo qui promeuvent et récompensent la violence ? Est-ce l’influence des films hollywoodiens dont les effets spéciaux nous donnent une vision rapprochée et personnelle des mutilations infligées au corps humain ? Notre jeunesse est-elle devenue engourdie par ces images ?

Bien que l’on puisse favoriser l’une ou l’autre des causes susmentionnées, j’estime que nous devions explorer la formule plus en profondeur. Certes, la popularité de jeux vidéo tels que Call of Duty, Grand Theft Auto et Red Dead Redemption peut modifier l’attitude d’une personne face au meurtre ou provoquer d’autres comportements psychopathiques. Toutefois, veuillez également considérer le fait qu’il n’y a pas d’interaction physique avec d’autres humains. Le monde imaginaire des jeux vidéo est fondamentalement isolationniste.

Un récent sondage de YouGov révèle une tendance inquiétante chez nos jeunes. Vingt-deux pourcent des jeunes de la génération Y – de 23 à 38 ans – ont déclaré ne pas avoir d’amis, alors que trente-et-un pourcent en ont quatre ou moins. Malheureusement, trois personnes sur dix déclarent se sentir souvent ou toujours seules. Dans un autre sondage, quatre-vingt-neuf pourcent des jeunes de 18 à 29 ans estiment que leur vie est dépourvue de sens et sans but.

La parentalité est devenue un art perdu

Avec l’avènement de la télévision et l’explosion du nombre de chaînes câblées que l’on peut voir, ainsi que de la programmation « sur demande », les enfants s’assoient devant la télévision qui leur sert de « gardienne ». Des messages subliminaux de dessins animés en apparence inoffensifs infiltrent de la propagande dans le cerveau de nos jeunes. C’est là que débute le manque d’interaction.

Quand j’étais tout jeune homme, ma mère voulait que mes frères et moi sortions de la maison. Nous étions trop heureux d’accepter son invitation, car nous préférions jouer dehors avec nos amis. En règle générale, nous ne passions que peu de temps à l’intérieur pendant les mois d’été. Nous tirions à la carabine à air, nous montions à vélo ou participions à des parties de football, de basket-ball ou de baseball.

Mes frères et moi avons appris très tôt une grande leçon : le respect. Les actions et interactions de nos parents nous ont montré à quel point le trait de caractère du « respect » était important. De nos jours, de nombreux parents déclarent catégoriquement vouloir être amis avec leurs enfants. Mais, en fait, cela diminue votre position de force et votre influence s’atténue sur eux.

La parentalité est un travail ardu

Dans un pays qui décerne des trophées de participation à ce que l’on perçoit comme des accomplissements, la discipline a été mise de côté. Nous devrions tous être punis quand nous commettons des erreurs. C’est un moyen infaillible d’apprendre une leçon. Comme le dit Proverbes 12:24 : « Celui qui épargne la verge, hait son fils ; mais celui qui l’aime se hâte de le châtier. »

Malheureusement, les parents ont permis aux forces extérieures de supplanter l’efficacité de leur enseignement. Cela se reflète dans le mécontentement imprégnant notre jeunesse qui rejoint des organisations terroristes, comme l’Antifa, ou commet des atrocités odieuses, comme des fusillades de masse.

Bien qu’Internet existe depuis des décennies, l’explosion des médias sociaux a précipité une autre culture. Il y a même des babillards électroniques où des groupes de personnes passent beaucoup de temps à discuter de chacune des fusillades de masse. L’Internet a permis aux personnes perturbées et violentes de se rassembler anonymement. Il ne s’agit pas d’une zone à la libre moralité et sans danger où votre comportement importe peu.

Combien de parents savent réellement ce que leurs enfants font sur Internet ? Utilisent-ils des contrôles parentaux pour maîtriser ce que regardent leurs enfants ? Ceux-ci vivent des temps qui leur sont périlleux. Bombardés de contenu pervers et livrés à eux-mêmes, ils s’en trouveront sûrement endommagés.

Quand la foi faiblit, le mal abonde

Beaucoup de ces individus ne se réclament d’aucune allégeance ni religion. Même si de nombreuses études ont prouvé que les chrétiens forment un groupe de gens plus heureux et en meilleure santé, l’assistance aux assemblées d’église continue sans cesse de décliner.

En même temps, les taux de dépression, d’anxiété et de dépendance ont augmenté de manière exponentielle. À l’heure actuelle, près d’un Américain sur six prend des antidépresseurs, alors que la génération Y et les adolescents utilisent une quantité astronomique de ces médicaments.

La dépression et l’anxiété chez les adolescents et la génération Y ont augmenté de façon exponentielle.

Saul Alinsky, auteur de Rules for Radicals (Règles pour les radicaux), a déclaré ceci : « Au tout début, le premier travail de l’organisateur, c’est de créer les complications et les problèmes. La création de problèmes fait en sorte que les gens se sentent tellement frustrés, vaincus et perdus qu’ils sont prêts à abandonner le passé et à risquer l’avenir. » L’objectif des radicaux d’aujourd’hui est, semble-t-il, le renversement de la dépendance envers Dieu et de la liberté individuelle.

L’indice de la Misère grimpe à des niveaux records

L’occultisme et la sorcellerie gagnent en popularité et en membres. Aujourd’hui, près de 1,5 million de gens s’identifient comme sorciers. Les jeunes de la génération Y affluent en masse vers ce « spiritualisme ». L’enfer s’élargit chaque jour pour faire place à l’abondante récolte de Satan.

Le sataniste Aleister Crowley a écrit, dans son infâme Livre de la loi : « Faites comme bon vous semble, là sera toute la loi. » Ce mantra est au cœur de toutes les actions perverses commises aujourd’hui. Le terrain de jeu du Diable s’est étendu au cœur des perdus.

Après avoir été témoins des événements vicieux d’El Paso (au Texas) et de Dayton (en Ohio), qui s’ajoutent aux événements de Parkland (en Floride) et de Las Vegas (au Nevada), ainsi que le stockage quotidien de morts à Chicago, à New York, à Baltimore et ailleurs, force est d’admettre que Satan fait des affaires d’or en Amérique. Ses sbires suivent ses ordres de manière alarmante.

Le Seigneur est mon Berger

L’Amérique est remplie de brebis égarées à la recherche d’un bon berger. Imaginez le spectacle pitoyable que voit Jésus. Les pauvres disciples sont couverts de poussière, ensanglantés par les attaques, et ils ont envie de la véritable Parole de Dieu. Un sentiment de désespoir extrême envahit nos villes et notre pays.

Comme le dit Psaume 23:1-6 :

« L’Éternel est mon berger ; je n’aurai point de disette. Il me fait reposer dans des pâturages herbeux ; il me mène le long des eaux tranquilles. Il restaure mon âme, il me conduit dans les sentiers de la justice, à cause de son nom. Même quand je marcherais dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrais aucun mal ; car tu es avec moi ; c’est ton bâton et ta houlette qui me consolent. Tu dresses la table devant moi, à la vue de ceux qui me persécutent ; tu oins ma tête d’huile; ma coupe déborde. Oui, les biens et la miséricorde m’accompagneront tous les jours de ma vie, et j’habiterai dans la maison de l’Éternel pour l’éternité. »

Heureusement, il est encore temps de renverser le cours du mal. Jésus est notre bon Berger. Ses voies sont les meilleures, et nous devrions Le suivre et L’honorer. Il sait exactement ce dont nous avons besoin.

Les parents doivent se tenir debout et devenir des parents. Sortez vos enfants du champ dans lequel ils errent sans but. Les réchauffeurs de bancs d’église doivent se transformer en Béréens et passer leurs pasteurs à la vérification ; s’ils ne font pas l’affaire, priez pour avoir le discernement et la sagesse pour trouver un serviteur véritablement fidèle à Jésus. Nous devons exiger le meilleur pour nous et notre famille.

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La grande conspiration

Par Michelle Hallmark Powell

La Planète Terre a présenté au public de nombreuses théories du complot. La tragédie du 11 septembre, l’assassinat de John F. Kennedy, le crash d’un vaisseau extraterrestre à Roswell et la prise de contrôle du Nouvel Ordre Mondial ne sont que quelques exemples. Il se trouve depuis récemment de nombreux livres, des vidéos, des bulletins d’information et des articles qui révèlent le sujet de la « conspiration ».

Que veut dire le mot « conspiration » ?

  1. L’action de conspirer
  2. Un plan diabolique, illégal, perfide ou subreptice formulé en secret par deux personnes ou plus ; complot, conjuration

Dans la Concordance de Strong, on constate que le mot « conspiration » est mentionné plusieurs fois dans l’Ancien Testament. Il provient du mot hébreu qesher (keh’-sher) qui signifie une alliance illégale : confédération, complot, trahison (Strong’s 7195). Nous voyons une fois le mot « complot » dans le Nouveau Testament (Actes 23), quoique celui-ci regorge d’avertissements et de prophéties concernant les derniers jours.

Le Sanhédrin

Dans la Bible et dans l’Histoire, il y a toujours eu des complots. De nombreux dirigeants du monde entier conspirèrent pour s’emparer d’autres pays et nations. Nébucadnetsar, Cyrus de Perse, Alexandre le Grand et Gengis Khan n’en sont que quelques-uns. Mais la conspiration la plus importante dont les hommes doivent être conscients, c’est le complot visant à éliminer Dieu, Jésus-Christ, notre Seigneur et Sauveur. On le voit tout au long de la Bible, dans Ésaïe, les Psaumes, les Actes, les épîtres aux Hébreux et aux Romains, dans Jude et, bien sûr, dans l’Apocalypse.

La guerre contre Dieu et le Christ est bien vivante. Les sociétés secrètes qui, le démontre-t-on souvent, règnent en coulisse sur le monde, s’efforcent de faire entrer les hommes dans un empire global et, par le biais de leurs écrits et de leurs actions, révèlent sans cesse leur programme caché. Après examen, nous réalisons que leur principal ennemi est notre Seigneur Dieu, Jésus-Christ Lui-même, et ils conspirent pour L’éliminer de notre histoire, de notre monde et dedans notre cœur.

La grande conspiration

Le meurtre du Christ à Jérusalem, suscité par les anciens juifs, les scribes et les principaux sacrificateurs, fut la conspiration ultime. Il a été conçu par Satan, car il a influencé les hommes pervers à s’aveugler et à s’attaquer directement à Jésus même. Satan est derrière les conspirations du passé, du présent et du futur.

La Bible nous dit que les dirigeants et les rois conspireront à nouveau contre Jésus à la fin des temps :

« Pourquoi ce tumulte parmi les nations ? Et pourquoi les peuples projettent-ils des choses vaines ? Les rois de la terre se sont levés, et les princes se sont concertés ensemble contre l’Éternel et contre son Oint » (Psaume 2:1-2).

La fin de l’apogée de la grande conspiration visant à débarrasser la planète terre de Jésus-Christ se trouve dans plusieurs chapitres de l’Apocalypse. Un véritable chrétien devrait-il prêter attention aux théories du complot ? Celles-ci sont-elles compatibles avec la Grande Mission ? La Parole dit :

« Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront en mon nom, disant : Je suis le Christ, et ils séduiront beaucoup de gens » (Matthieu 24:4-5).

Alors, oui, nous devrions être au courant des complots afin de ne pas nous laisser tromper :

« Car ainsi m’a dit l’Éternel, lorsque sa main me saisit, et qu’il m’avertit de ne point marcher dans la voie de ce peuple: Ne dites point : Conjuration ! toutes les fois que ce peuple dit : Conjuration ! Ne craignez pas ce qu’il craint, et ne soyez pas effrayés. Sanctifiez l’Éternel des armées; que lui soit votre crainte et votre frayeur » (Ésaïe 8:11-13).

Ce qui nous dit qu’il y a effectivement des complots (des conjurations), mais nous ne devons pas nous en inquiéter ni les craindre. Comme nous l’explique Apocalypse 17:17, c’est Dieu qui, en définitive, dirige les résultats des événements mondiaux. Il nous appartient de révéler les conspirations sous un jour qui glorifie le seul vrai Dieu, notre Seigneur Jésus-Christ !




Doctrines de démons et la grande révolte

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2019

Par Jerry Barrett

Apostasie (nom) : Totale désertion ou abandon de sa religion, de ses principes, de son parti, de sa cause, etc.

Apostasie. Beaucoup de pasteurs des églises auxquelles j’ai assisté n’ont jamais prononcé ce mot. C’est peut-être parce qu’il ne se trouve pas dans la Bible King James. Cependant, je crois qu’ils ont rendu un mauvais service à leurs troupeaux en ne le mentionnant pas.

Ce n’est pas un sujet facile à aborder que ls désertion totale de sa religion. C’est l’une des pensées les plus tristes que j’ai jamais eues. Comment peut-on proclamer Jésus extérieurement tout en étant rempli de démons intérieurement ? Qu’est-il arrivé à l’Église chrétienne ?

L’apostasie ne se limite pas aux méga-églises dont vous entendez parler ou que vous voyez à la télévision. Cela se produit tout aussi bien dans les petites églises de communautés. Chaque dimanche, les occupants des bancs d’églises de partout dans le monde sont soumis à des enseignements, à des ministères et à de la musique qui ne sont pas de Dieu.

Nous savons que la Bible nous enseigne qu’il y aura des fidèles qui persévéreront jusqu’à la fin. De plus, la Bible nous enseigne qu’il y aura également une épidémie de fausses doctrines infiltrant l’église dans les derniers jours.

L’apôtre Paul nous a donné cet avertissement :

« Que personne donc ne vous séduise en quelque manière que ce soit ; car ce jour-là ne viendra point que la révolte ne soit arrivée auparavant, et que l’homme de péché, le fils de perdition, ne soit révélé » (2 Thessaloniciens 2:3).

En tant que protestants, nous avons tous acquiescé de la tête avec désinvolture lorsque des cas répétés de pédophilie dans l’Église catholique ont été exposés. Évidemment, le clergé de cette institution est extrêmement prodigue en pédophiles et en homosexuels, dont beaucoup sont déclarés. Un grand nombre de gens se sont demandé comment cela avait pu se produire depuis si longtemps sans dénonciation. C’est sûrement un signe de la grande révolte, non ?

Bien sûr, les péchés de l’Église catholique ne surviendraient jamais dans les églises protestantes… n’est-ce pas ? Comme nous l’enseigne Ézéchiel 8:8, nous n’avons qu’à creuser un trou dans le mur pour voir le mal que font les hommes derrières des portes closes, pensant que Dieu ne peut pas les voir.

Ce n’est qu’après que l’Houston Chronicle et le San Antonio Express-News aient rassemblé des centaines d’allégations couvrant vingt états dans un regard sans précédent jeté sur la conduite sexuelle au sein de sa dénomination que la Convention Baptiste du Sud a admis publiquement qu’il y avait une crise d’abus sexuel. Plus de deux cents abuseurs baptistes du Sud ont été reconnus coupables ou ont plaidé en faveur de leurs crimes depuis 1998 ; de ce nombre, quatre-vingt-dix demeurent en prison et cent autres sont inscrits en tant que délinquants sexuels. Mais plus troublant encore : un grand nombre de ces pasteurs, employés et bénévoles, qui ont eu un comportement prédateur se sont encore trouvé du travail dans les églises au fil des deux dernières décennies.

La Convention Baptiste du Sud semble être un cloaque plein de serpents voués à la perdition. La dénomination jadis conservatrice a graduellement évolué vers une organisation politique plus progressiste axée sur l’engagement culturel.

Des reporters d’Houston et de San Antonio, au Texas, ont découvert un nombre impressionnant de déviants sexuels qui abusent de leurs membres depuis plus de vingt ans. Ceux-ci comprenaient des ministres, des pasteurs, des ministres à la jeunesse et des enseignants de l’école du dimanche totalisant plus de deux cents délinquants.

« Dieu agite la CBS. Il a exposé une quantité surprenante de péchés parmi nous. Il a ébranlé bon nombre de nos fondements », a écrit le président nouvellement élu, JD Greear. Les réformes concrètes promises pour empêcher les abus sexuels vont-elles se concrétiser ou s’agit-il de belles paroles qui apaisent par leurs excuses ?

Dans leur sillage, ils ont détruit plus de sept cents victimes par leurs actes odieux. Comme dans l’Église catholique, les récits des victimes ont été régulièrement balayés sous le tapis par les responsables d’églises. De même, des dizaines de ces prédateurs furent déplacés d’église en église.

Dans une importante église baptiste du Sud située à Dallas, au Texas, l’Église du Village avait conclu un certain accord avec ses membres. Cet arrangement interdit aux membres de poursuivre l’église en justice et requiert plutôt une médiation et un arbitrage contraignants. Le plus souvent, ces sessions se déroulent dans le plus grand secret.

Dans un des cas, une fillette de 11 ans informa sa mère qu’elle avait été agressée au camp d’été pour enfants de l’église. Alors que les parents attendaient que les leaders de l’église leur expliquent comment cela avait pu se produire – et également qu’ils prennent leur responsabilité et s’en excusent – les dirigeants de l’église mirent « les chariots du convoi en cercle », préférant protéger l’institution.

Un grand nombre de ces jeunes victimes ont été forcées de pardonner à leurs agresseurs, de se faire avorter ou d’accepter de l’argent sous la table si elles ne voulaient pas se faire rejeter de la communauté. Plusieurs de ces victimes, ainsi que leurs familles, signèrent des arrangements d’adhésion par écrit contenant des clauses légales protégeant l’église. Jésus a parlé de la damnation de ceux qui feraient du mal aux enfants : « Mais quiconque scandalisera l’un de ces petits qui croient en moi, il lui vaudrait mieux qu’on mit une pierre de meule autour de son cou, et qu’on le jetât dans la mer » (Marc 9:42).

Or, après vingt ans de dissimulation, lors de la Convention des Baptistes du Sud de 2019 à Birmingham, en Alabama, le président JD Greear admet qu’il y a crise d’abus sexuels. La CBS pourrait-elle être l’Église laodicéenne dont il est question dans Apocalypse 3:15-17 ?

« Je connais tes œuvres, c’est que tu n’es ni froid, ni bouillant ; ô si tu étais ou froid, ou bouillant ! Parce donc que tu es tiède, et que tu n’es ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Car tu dis : je suis riche, et je suis dans l’abondance, et je n’ai besoin de rien ; mais tu ne connais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. »

Cette Église est composée de gens non convertis qui se posent en croyants dévots. Ils possèdent de la richesse, un statut social, de beaux bâtiments et un réseau de liens d’affaires, mais ils n’ont pas le Saint-Esprit. Comment une institution proclamant le nom de Jésus-Christ peut-elle permettre pendant si longtemps des actes aussi odieux ?

Il est choquant de dire que ce n’est pas tout. Certains leaders d’église accueillent comme membres des homosexuels, des racistes et même des païens. Il semble que le mot « inclusion » soit le mantra adopté par ces gens possédés du démon.

Malheureusement, la Réforme protestante est terminée. Il n’y a plus de protestations. On dirait que l’Église protestante est condamnée à répéter les mêmes errements qui échurent à l’Église de Galatie. Les accusations de Paul s’appliquent à de nombreuses églises évangéliques d’aujourd’hui : « O Galates dépourvus de sens ! qui vous a fascinés pour que vous n’obéissiez plus à la vérité ? vous, aux yeux de qui Jésus-Christ a été vivement dépeint, et comme crucifié en vous ? » (Galates 3:1).

Lorsqu’on accorde plus de valeurs aux doctrines des hommes qu’à la Parole de Dieu, c’est que l’on a bifurqué du chemin étroit pour se verrouiller sur la route large menant à la géhenne. On n’élève plus la Parole inhérente de Dieu et les traditions des hommes polluent la pureté de la Vérité divine.

Power of Prophecy soutient depuis longtemps le mouvement des églises de maison. Le culte ne se limite pas à une église ou à une dénomination spécifique. Jésus nous dit : « Car là où il y en a deux ou trois assemblés en mon Nom, je suis là au milieu d’eux » (Matthieu 18:20). Inventez parents et amis à apporter leur Bible King James en se réunissant avec vous pour étudier ensemble la Parole de Dieu. Jésus sera à vos côtés.




Une nation soumise au « Lobby »

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2019

Par Jerry Barrett

O belle, pour tes cieux spacieux,

Pour tes vagues de grains d’ambre,

Pour la majesté de tes montagnes pourpres

Au-dessus des plaines en fruits !

Amérique ! Amérique !

Dieu a répandu Sa grâce sur toi

Et couronné ton bien par la fraternité

D’une mer luisante à l’autre

America the Beautiful (version 1911)

L’Amérique est un beau pays. L’idée derrière notre pays était brillante dès le départ. Mais, tout comme une lanterne de cuivre est belle quand elle est toute neuve, si elle n’est pas entretenue et polie, elle ternira ; l’Amérique a un besoin extrême de nettoyage.

Nous sommes peuplés de beaucoup de gens merveilleux possédant quantité d’antécédents différents. Notre pays a été gratifié de ressources naturelles qui nous rendent autosuffisants. Basé sur le rêve de nos pères fondateurs, notre pays célèbre ce mois-ci son glorieux anniversaire.

Il court cette opinion erronée que le 4 juillet est le jour où nous avons déclaré, en tant que nation, notre indépendance de la monarchie tyrannique britannique. En réalité, le 2 juillet est la date où notre Congrès continental a déclaré l’indépendance, et le 4 juillet est la date où le Congrès a approuvé la rédaction finale de notre Déclaration d’Indépendance. En 1870, le Congrès a passé une résolution indiquant cette date comme fête nationale.

Tous les ans à cette date, les bons Américains se réunissent en famille et entre amis. Des parades, des barbecues et des feux d’artifice dominent la journée. Un joyeux moment déferlera sûrement sur les multitudes stupidement inconscientes du mal qui se tapit de façon inquiétante juste derrière le coin.

Un véritable ami de l’humanité

Nos fondateurs recherchaient les bénéfices communs de l’autodéfense et de la prospérité. La loi constitutionnelle qui fut produite avait, pour l’intérêt national, un but plus élevé. Ce but était de démontrer au monde entier que l’autogouvernement et la pertinence de la justice étaient la bonne assise pour installer des relations entre nations. Notre sympathie et nos actions appropriées montrèrent que l’Amérique était un véritable ami de l’humanité.

Toutefois, cette mentalité a été irrévocablement endommagée par un groupe rusé. Le plan — Les Protocoles des Sages de Sion — fut conçu au début du 20e siècle et a été implanté dans le pays sans méfiance de la Russie. Ce plan fut financé clandestinement par la dynastie des Rothschild qui cherchait à créer une Utopie sioniste.

L’Amérique ne fut pas épargnée dans cette quête. Grâce à leurs agents en place, la subversion de l’Amérique commença dans l’ombre. Injectant leurs doctrines dans l’esprit des politiciens, et faisant l’achat de la vaste majorité des maisons d’édition de journaux, le message pouvait être contrôlé et propagé dans tout le territoire.

Onze minutes conduisent à toute une vie de tromperie

Harry Truman reçut un cadeau évocateur du nouveau chef d’état d’Israël nouvellement reconnu, David Ben Gourion.

Les historiens prennent maintenant note que la Première Guerre Mondiale a été combattue pour établir un pays juif en Palestine. Même si cela n’a pas été un succès, cette guerre a été la préparation vers un futur état sioniste. Au terme de la Deuxième Guerre Mondiale, les fruits du labeur des Rothschild furent finalement réalisés.

Onze minutes après que David Ben Gourion, premier Premier ministre d’Israël, ait lu sa Déclaration d’Indépendance, le Président Harry S. Truman reconnaissait le pays d’Israël.

Depuis la fondation de la nation d’Israël, elle fut la récipiendaire des plus gros montants d’aide étrangère. Le gouvernement des États-Unis a donné à Israël 233 milliards $ (ajustés à l’inflation) des années 1948 à 2012. L’ancien congressiste James Traficant a déclaré un jour que les payeurs de taxe d’Amérique avaient été tondus pour la coquette somme de 15 milliards $ par année pour supporter Israël.

En outre, il y a un grand nombre de projets qui ne sont pas portés à la connaissance du public. L’ancien président de l’AIPAC, David Steiner, s’est un jour vanté qu’il « avait obtenu près d’un milliard de dollars par d’autres petits cadeaux [dans des négociations avec le secrétaire d’état du Président Bill Clinton, Jim Baker] dont les gens ne savent rien ».

Le Lobby vole les payeurs de taxes américains

Dans un article écrit par Phillip Giraldi et publié par le Council for the National Interest, l’ancien commandant-en-chef d’Israël, le général Gabi Ashkenazi, a admit que « entre 2009 et 2012, les payeurs de taxe américains ont financé davantage le budget de défense de mon pays que les payeurs de taxe israéliens. » Aucun autre pays ne bénéficie davantage de l’argent des contributeurs américains qu’Israël.

Giraldi explique plus loin dans son article :

« Parmi les organisations clés des États-Unis, on inclut l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) [Comité des affaires publiques Amérique-Israël], l’American Jewish Committee (AJC) [Comité juif américain], la Zionist Organization of America (ZOA) [Organisation sioniste d’Amérique], et l’Anti-Defamation League (ADL) [Ligue anti-diffamation]. Des centaines d’autres, y compris un petit nombre d’organisations chrétiennes évangéliques, jouent un rôle dans un vaste écosystème qui exige le soutien américain inconditionnel envers Israël. Dans l’année 2012, l’aile à but non lucratif du lobby d’Israël a récolté 3,7 milliards de dollars en revenu. Elle est sur le point d’atteindre 6,3 milliards en 2020. Collectivement, elle emploie 14 000 personnes et déclare 350 000 volontaires. »

Cet argent ne comprend même pas les milliards de dollars collectés de donations privées canalisées directement vers Israël. En haut de tout cela, Israël bénéficie des actions législatives du Congrès gratifiées d’un statut commercial préférentiel qui présente un surplus de 9 milliards de dollars par année.

Mais le gouvernement d’Israël n’est pas le seul bénéficiaire des largesses de l’Amérique. Les compagnies et organisations d’Israël peuvent soumissionner sur les projets de la défense et de la sécurité nationale des États-Unis — les agences de respect de la loi, les télécommunications et les garanties de voyage n’en sont qu’un échantillon. Les payeurs de taxe américains ont subventionné les producteurs d’armes d’Israël au détriment d’emplois américains dans cette industrie.

Le mouvement de base connu sous le nom de Boycott, Divest and Sanctions (BDS) [Boycotter, dépouiller et sanctionner] a pris de la vitesse dans les dernières années. Le but de ce mouvement est de promouvoir des formes variées de boycottage contre Israël jusqu’à ce que celui-ci rencontre ses obligations sous la loi internationale définissant qu’il doit retraiter des territoires occupés, enlever la barrière de séparation en Cisjordanie, accorder la pleine égalité aux citoyens arabes palestiniens en Israël et respecter, protéger et promouvoir les droits des réfugiés palestiniens de retourner dans leurs foyers et leurs propriétés.

60 % des individus n’ont aucune opinion en ce qui a trait aux lois anti-BDS — mais attendez, on leur en donnera une.

Avec Washington qui se met au pas…

L’AIPAC et d’autres membres du Lobby d’Israël ont saturé les postes de contrôle à la Maison Blanche et au Congrès. Le Lobby tourne maintenant son attention collective vers les gouvernements étatiques et locaux dans l’intention de circonvenir notre Charte des Droits.

Depuis avril de cette année, il y a maintenant vingt-sept états avec une législation anti-BDS en suspens. Certains vont refuser les services étatiques à ceux qui ne signeront pas l’accord pour ne pas boycotter Israël.

La Floride a adopté une loi qui assimile toute critique envers Israël à de l’antisémitisme ; elle définit explicitement Israël comme un état juif et va permettre que quiconque dise autrement soit poursuivi. Alors, qui se préoccupe du Premier Amendement ?

Le gouverneur républicain nouvellement élu, Ron DeSantis, a menacé tous ceux qui se montrent critiques envers Israël en déclarant : « Si vous boycottez Israël, l’état de la Floride vous boycottera. » DeSantis a menacé de prendre des sanctions contre la compagnie de location de vacances Aibnb lorsqu’elle refusa d’offrir des propriétés situées dans les colonies illégales israéliennes en Cisjordanie.

La Floride n’est pas le seul état sous le contrôle du Lobby. Le soi-disant Virginia-Israel Advisory Board (VIAB) [Comité consultatif Virginie-Israël] a été financé par les payeurs de taxes de la Virginie afin de promouvoir et même de subventionner le commerce israélien dans l’état qui donne présentement ce qu’on estime 500 millions $ par année à Israël.

L’Institut de recherche : Politique du Proche-Orient (IRMEP) de Grant Smith a effectué des fouilles considérables dans les affaires de la VIAB. Smith a observé que « la VIAB est un projet pilote afin de savoir comment Israël peut tranquillement obtenir du financement des contribuables et un statut officiel pour les entités de réseautage qui font avancer Israël à partir de l’intérieur des gouvernements étatiques clés. »

Une femme musulmane du Minnesota parle de la vérité

En tant que pays fondé sur des principes d’autogouvernement et de justice pour tous, pourquoi sommes-nous redevables envers un minuscule pays du Proche-Orient ? Permettre aveuglément à un état-nation étranger de dicter notre politique pour son propre bénéfice va sûrement mal se terminer pour nous.

Tristement, il fallait une femme musulmane du Minnesota pour en réveiller certains au sujet du contrôle que le Lobby exerce sur la politique américaine. Bien que sévèrement fustigée dans tous les médias, elle a hardiment dit la vérité. Il est maintenant temps que les vrais Américains crient la vérité d’une mer luisante à l’autre.




Propriétaires d’armes à feu, attention, ils viennent pour vous !

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2019

Par Jerry Barrett

La conspiration est un fait, pas une théorie

« Une bonne milice régulière étant nécessaire à la sécurité d’un état, le droit du peuple de garder et de porter des armes doit être respecté. »

Second amendement à la Constitution des États-Unis

Les premiers colons d’Amérique considéraient important le droit de porter des armes et ce pour plusieurs raisons. L’une d’elles était le désir de se sauvegarder d’un gouvernement tyrannique. Le parlement britannique et le roi George III en ont fait la preuve lorsqu’ils ont établi contre les colonies un embargo sur les armes à feu, les pièces et les munitions.

Grâce aux efforts de James Madison, notre Constitution fut amendée par ce qu’on appelle la Déclaration des Droits. Toutefois, l’amendement qui semble soulever le plus de débat, aujourd’hui, c’est le droit de porter des armes. Le contrôle des armes est omniprésent dans les médias et les législatures modernes – dans les états comme au fédéral. Malheureusement, que le représentant soit démocrate ou républicain n’a aucune importance.

Est-ce que des mesures strictes de contrôle des armes fonctionnent ?

Ce qui est inquiétant, c’est que beaucoup de localités ayant les lois les plus strictes concernant le contrôle des armes souffrent du plus prolifique taux de décès au moyen des armes. Londres, en Angleterre, longtemps le bastion du contrôle complet des armes à feu, essuie des attaques à coups de couteau sur une base apparemment quotidienne. Certains font même appel au bannissement des couteaux pour combattre ce crime en pleine croissance.

Chicago, en Illinois, continue de subir un nombre absurdement élevé de morts dues à la violence par les armes. Il semble que chaque année batte le record précédent de morts, même avec les strictes mesures de contrôle des armes mises en place.

Impossible d’arrêter le cercle vicieux ?

Cependant, à l’insu de beaucoup de gens, la poursuite contre les pourvoyeurs de la violence par les armes est entravée par manque de législation et d’engagement à stopper la politique du cercle vicieux de ces félons. Le procureur général de l’état, Kwame Raoul, a déclaré – ce qui est probablement partagé par les procureurs généraux précédents en Illinois – : « Nous ne pouvons poursuivre et incarcérer pour nous sortir de la violence par les armes. »

D’après John Boch, qui écrit pour thetruthaboutguns.com, la Floride a produit une législation qui allonge la condamnation pour crimes violents impliquant des armes. »

« Les lois de la Floride accroissant les sentences de 10 à 20 ans ou à vie ont ramené le taux de crimes violent par armes de l’État du Sunshine à un bas niveau historique. Sous ce statut, les contrevenants se servant d’une arme lors d’un crime violent se voient infliger dix ans supplémentaires de temps ferme. Pas de probation, pas de liberté conditionnelle, pas de négociation de temps d’inculpation. Que du temps ferme. Décharger l’arme leur rapporte 20 ans supplémentaires de temps ferme par-dessus la sentence pour le crime sous-jacent. Blesser quelqu’un avec une arme à feu leur amène de 25 ans à la sentence à vie. »

Pourtant, la vérité n’est pas un élément de défense quand on en vient aux armes à feu. Beaucoup de gens clament que les armes à feu devraient être abolies, que le public en général n’a pas besoin d’être armé, Leur esprit est bien arrêté sur ce point et ne comprendra aucun genre de débat. Malheureusement, s’ils pouvaient ouvrir les yeux, ils remarqueraient qu’une part prédominante de la violence par les armes implique des criminels connus dont l’intention est de blesser corporellement.

Les zones sans armes sont-elles sécuritaires ?

Grâce à la brillante idée émise par les esprits libéraux, la création de « zones sans armes » a grisé de bonheur les saisisseurs d’armes. Personne n’a le droit de porter une arme à feu dans ces zones par crainte de poursuite. Par malheur, 97,8 % de toutes les fusillades de masse surviennent dans ces zones sans armes.

Les écoles ne sont qu’un des endroits désignés comme zones sans armes. Les autres endroits comprennent les aéroports, les bâtiments fédéraux, les églises, les hôpitaux, les cliniques, les stades et les bars, pour n’en nommer que quelques-uns. Les citoyens respectueux des lois n’auront même pas la pensée d’amener une arme dans l’une de ces zones. Mais pour le criminel résolu à commettre un crime odieux, voilà un environnement riche en cibles, et ils n’ont donc aucune crainte que quelqu’un réplique aux coups de feu.

Les Lois Drapeau Rouge deviennent populaires

La fusillade scolaire au Collège Marjory Stoneman Douglas — une zone sans armes — à Parkland, en Floride, en février 2018, a conduit le gouvernement de l’état à passer une « loi drapeau rouge ». La Floride fait maintenant partie des quinze états qui admettent la confiscation d’armes des citoyens. Dans les neuf premiers mois après que la Floride ait adopté sa loi drapeau rouge, plus de 1 000 ordres de confiscation ont été accordés par les juges.

Qu’est-ce qu’une « loi drapeau rouge » ? Cette loi va permettre aux familles, aux amis, aux employés, aux administrateurs d’école, etc., de requérir d’un juge qu’il confisque toute arme à feu détenue par une personne que l’on juge présenter un danger pour elle-même ou pour les autres.

La présomption d’innocence se perd

En théorie, cela semble parfaitement raisonnable. Toutefois, quand est-il devenu correct d’entraver les Droits constitutionnels des Américains ? Cette loi semble battre carrément en brèche « la présomption d’innocence jusqu’à preuve de culpabilité ».

De plus, c’est devenu une question bipartisane. Le sénateur Lindsey Graham (R-SC), directeur du Comité judiciaire du Sénat, ainsi que Richard Blumenthal (D-CT) établirent la séance du Sénat sur les ordres de confiscation. Graham a déclaré : « Ceci [la confiscation d’armes] est le domaine où nous [les républicains et les démocrates] pouvons cheminer ensemble. »

Le Président Trump a dit clairement qu’il veut que cette législation soit adoptée le plus rapidement possible. Le récent délégué de Trump comme procureur général, William Barr, a dit à la sénatrice Diane Feinstein — une autre des notoires saisisseurs d’armes —, lors de sa séance de confirmation, que l’implantation des « lois drapeau rouge » est « la seule chose la plus importante que je crois que nous devons faire dans les zones de contrôle des armes. »

Ne jamais gaspiller une crise

Saul Alinsky, auteur du manifeste activiste connu sous le titre de Règles des radicaux, porte le crédit de la citation suivante :

« …dans l’arène de l’action, une menace ou une crise devient presqu’une condition sine qua non de la communication… »’ [Règles des radicaux, p. 89.]

Rahm Emanuel, ancien maire de Chicago – ville natale d’Alinsky – modifia quelque peu cette citation : « Ne gaspillez jamais une crise sérieuse. Et ce que j’entends par là, c’est qu’il s’agit d’une opportunité de faire les choses que vous n’auriez pas pu faire auparavant. »

On a beaucoup spéculé à l’effet qu’il y aurait eu des opérations déguisées afin d’inciter à prendre action vers des mesures plus draconiennes de contrôle des armes. Un grand nombre de ces actes « terroristes » ont eu lieu dans des écoles – élémentaires, secondaires et universitaires – et ont fait vibrer les cordes sensibles des Américains parce que des enfants étaient impliqués. D’autres actes sont arrivés dans des maisons de culte.

Tout bien considéré, les événements « terroristes » qui sont survenus en Amérique depuis l’an 2000 semblent indiquer une crise en besoin de solution. D’abord, vous devez vous demander à qui bénéficient ces actions ? Les cris les plus véhéments proviennent de ceux qui veulent que l’on renforce encore plus le contrôle des armes. Est-ce un indicatif de ce qui s’en vient ?

Diane Feinstein porte une arme pour se protéger, mais tant pis pour vous

Faites ce que je dis, pas ce que je fais

En 1995, la sénatrice Diane Feinstein proposa une législation pour neutraliser le Second Amendement et déclara qu’elle souhaitait confisquer toutes les armes à feu en Amérique. D’un air penaud, elle admit également qu’elle portait un pistolet caché afin de se protéger.

Elle n’est pas la seule sous ce rapport. Qu’ils portent une arme eux-mêmes ou qu’ils s’entourent de gardes-du-corps armés, l’hypocrisie de ceux de la gauche idéologique est époustouflante. Comme les Présidents et les Vice-présidents, les membres du Congrès ainsi que les juges de la Cour Suprême ont des gardes-du-corps armés pour les protéger contre les serfs sur qui ils règnent.

L’espoir présidentiel, le représentant Eric Swalwell (D-CA) a proposé de mettre hors-la-loi « les armes d’assaut semi-automatiques de style militaire » et de forcer les propriétaires actuels à vendre leurs armes au gouvernement ou à faire face à des poursuites. Dans un tweet devenu tristement célèbre, Swalwell a menacé de lancer des bombes atomiques sur les propriétaires d’armes qui refusent de participer.

L’Australie a mis en place un programme de rachat d’armes en 1996. Afin de payer ce programme, on a ajouté aux citoyens 1 % à leurs taxes, donc ils paient le gouvernement pour abandonner leurs armes. Depuis que ce programme a été implanté, les vols d’armes ont augmenté de 69 %, les attaques à mains armées se sont accrues de 28 %, les meurtres commis avec des armes ont augmenté de 19 % et les invasions de foyers ont grimpé de 21 %.

Le contrôle des armes mène au « démocide »

Le professeur R. J. Rummel de l’Université d’Hawaï a déclaré que le meurtre de toute personne ou de tout peuple par un gouvernement, y compris le génocide, le politicide ou le meurtre de masse s’appelle « démocide ». La confiscation ou la restriction d’armes est précurseur du démocide.

En 1911, la Turquie a établi le contrôle des armes. De 1915 à 1917, un million et demi d’Arméniens y ont été exterminés. En 1929, la Russie soviétique a implanté un contrôle des armes et, selon Alexandre Soljenitsyne, environ soixante millions de Russes ont été éliminés. En 1935, la Chine communiste a établi un contrôle des armes et plus de cinquante millions de citoyens non armés ont été tués.

Pourrait-il y avoir un démocide aux États-Unis ? L’armée a exercé ses soldats à faire du porte-à-porte pour confisquer des armes. Durant l’ouragan Katrina, les soldats de la Garde nationale ont effectivement fait du porte-à-porte pour confisquer des armes. Ces « soldats-citoyens » ont avoué que, si nécessaire, ils ouvriraient le feu sur ceux qui refuseraient de renoncer à leurs armes.

Centres de rééducation alias camps de concentration

On a approuvé trente milles drones pour patrouiller le ciel d’Amérique. Des camps de concentration, que dénonce l’exposé explosif de Texe Marrs, Gulag USA – Concentration Camps in America, ont été construits et la FEMA est prête à contrôler ses habitants. Ces « centres de rééducation » potentiels vont assurément tenter de programmer les individus pour qu’ils adoptent une forte position anti-armes. Ceux que l’on ne pourra « rééduquer », on devra s’en débarrasser sommairement.

Si votre mémoire s’en rappelle, un certain d’agences fédérales, comme les Services postaux, le Département de la sécurité du territoire, l’HUD, l’IRS, pour ne nommer que celles-là, empilent des armes et des munitions depuis maintenant des années. Big Brother se prépare-t-il à un état policier massif ?

Les criminels vont rester des criminels

Peu importe les lois mises de l’avant pour faire fléchir la courbe des ventes d’armes et de munitions, les seules gens qui en seront affectés seront les citoyens respectueux des lois. Les criminels, par définition, n’obéissent pas aux lois de toute manière. La seule façon d’assurer notre propre sécurité, c’est d’être un honnête propriétaire d’arme.

Les libéraux croient que l’expression « honnête propriétaire d’arme » est un oxymoron. Ils ne croient pas qu’on puisse en trouver – sauf les gardes-du-corps qu’ils emploient. Les conservateurs qui possèdent des armes ont l’esprit étroit et n’arrivent pas à saisir tout le tableau. S’ils étaient au moins aussi intelligents que les progressistes, ils ne seraient pas aveuglés par le reflet du viseur de leur arme.




L’attaque progressive contre les croyances chrétiennes

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2019

Par Jerry Barrett

« Or l’Eternel Dieu avait formé l’homme de la poudre de la terre … Il n’est pas bon que l’homme soit seul … et Dieu prit une de ses côtes … Et l’Eternel Dieu fit une femme de la côte qu’il avait prise d’Adam, et la fit venir vers Adam. Alors Adam dit : A cette fois celle-ci est os de mes os, et chair de ma chair ; on la nommera hommesse, parce qu’elle a été prise de l’homme. »

(Genèse 2:7, 18, 21-23)

Nous sommes tous nés chacun d’une femme, et notre genre est déterminé par nos parties génitales. D’après la Parole de Dieu, il n’y a que deux genres – l’homme et la femme. Dans la société d’aujourd’hui, ils sont un grand nombre à promouvoir la multiplicité des genres afin de justifier leur mentalité pervertie. Par exemple, la Ville de New York reconnaît trente et une identités de genre. Est-ce étonnant que cet endroit se nomme également Babylone ?

Célébration de la débauche

Qu’est-ce qui a conduit l’Amérique à prendre le chemin de la destruction ? N’avons-nous donc rien appris de Sodome et de Gomorrhe ? Apparemment pas. L’endoctrinement de notre jeunesse vers l’acceptation de l’homosexualité s’est intensifié au cours des récentes décennies. On célèbre la débauche dans toute sa vaine gloire.

De même des soi-disant chrétiens tièdes qui remplissent nos églises et nos chaires, et qui enseignent aux futurs pasteurs à ne pas croire à ce que la Bible dit. Les doctrines de l’homme ont supplanté les principes de la foi chrétienne biblique. Jésus nous a avertis contre ces hommes : « Or gardez-vous des faux Prophètes, qui viennent à vous en habit de brebis, mais qui au-dedans sont des loups ravissants » (Matthieu 7:15).

Beaucoup de gens sont devenus la proie de ces faux enseignants. Serviteurs de Satan, ils sont habiles dans l’art de la tromperie. Ils masquent leurs mensonges sous un air d’autorité religieuse, et leur malin évangile derrière un voile de vérité. Ils tordent et déforment Sa Parole par des traditions d’homme.

Cédez-leur un pouce…

Lorsque la Cour Suprême a jugé que les personnes de même sexe pouvaient se marier, les portes de la licence se sont tout grand ouvertes. Ce fut la préface des attaques contre l’identité de genre traditionnelle, de la masculinité et de l’équilibre de la nature.

Cette décision a également donné un coup de pouce à ceux qui appartiennent au mouvement LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres). Le vieil adage disant « cédez-leur un pouce et ils prendront un pied » est ici fort approprié.

Menace nette contre le christianisme

La porte-parole de la Maison Blanche, Nancy Pelosi, présente la Loi sur l’Égalité destinée à assurer la large protection des droits… pour tous les Américains LGBT.

Récemment montés au pouvoir à la Chambre des Représentants, ces démocrates progressifs, conduits par Nancy Pelosi, ont produit un nouveau projet de loi intitulé « la Loi sur l’Égalité ». Cette Loi donnera à la communauté LGBT une reconnaissance attendue depuis longtemps et la validation de leur progrès.

Ce projet de loi va amender la Loi des droits civils de 1964 pour y inclure l’orientation sexuelle et l’identité de genre en tant que classe protégée au niveau fédéral. Bien que cela semble inoffensif aux yeux de la moyenne des personnes, on devrait le considérer comme une menace nette contre le christianisme traditionnel. Nos libertés religieuses ont la tête sur le billot.

Cette Loi bannira la discrimination fondée sur la sexualité ou l’identification de genre aux endroits suivants : un stade ou tout autre établissement fournissant du divertissement, de la récréation ou de l’exercice ; tout établissement fournissant des biens et services, y compris un magasin, un centre d’achat, un détaillant en ligne, un centre de soin, un refuge, un salon funéraire ; ou tous les trains, autobus, taxis, avions ou autres services de transport. Ce n’est qu’un aperçu de la multitude de gens qui seront affectés par cette loi odieuse.

Plus important encore, cette loi niera toute défense mettant au défi ce mode de protection en se basant sur la Loi sur la restauration de la liberté de religion de 1993. Par sa nature, la Loi sur l’Égalité annulera les protections de la liberté religieuse fédérale et étatique. Essentiellement, cette loi pourrait, par interprétation de la cour, forcer les églises chrétiennes à officier des mariages de même sexe.

Les dictats gouvernementaux des normes sociétales

Il se pourrait bien que le précurseur de tout ce drame ait été exposé dans un projet de loi inoffensif présenté au début des années 1970. Faisant partie des Amendements de l’Éducation de 1972, le Titre IX était une loi de droits civiles permettant que : « Nulle personne aux États-Unis ne sera exclue de participation, en fonction de son sexe, privée de bénéfices, ou sujette à discrimination sous aucun programme d’éducation ou activité recevant une assistance financière fédérale. »

Pendant l’administration Obama, l’avancement de l’agenda LGBT occupa le devant de la scène. Le Département de l’Éducation et le Département de la Justice de son administration émirent une lettre comprenant un guide pour les écoles concernant la protection des droits civils des étudiants transgenres sous le Titre IX. Appelée familièrement la « loi des toilettes », la lettre expliquait les directives fédérales sur l’utilisation des toilettes et définissait l’identité de genre, le sexe assigné à la naissance, le transgenre et la transition de genre.

Le Président Obama enflamma la Maison Blanche par le mariage de même sexe.

De plus, cette lettre contenait des directives qui interdisaient de forcer un étudiant à employer des installations en inadéquation avec son identité de genre et que les écoliers transgenres ne devaient pas subir de ségrégation des autres dans les dortoirs et les vestiaires. « Inclusion » est le terme accrocheur devenu courant dans cette discussion.

Toutefois, cela ouvre les portes aux prédateurs qui abuseront de cette politique. Il y a eu de nombreux cas où une personne déviante, se faisant passer pour une femme transgenre, s’est fait arrêter pour avoir espionné des femmes et des jeunes filles. Les toilettes de la chaîne de magasins Target furent un des terrains de jeux de ces prédateurs.

La sécurité des femmes est-elle menacée ?

La Loi sur l’Égalité sera une menace contre la sécurité des femmes dans les refuges, de même que dans les vestiaires et les toilettes. Le projet de loi déclare catégoriquement : « aucun individu ne pourra être interdit d’accès à une installation partagée, ce qui comprend un dortoir, un vestiaire, une cabine d’essayage, qui s’accordent avec l’identité de genre de l’individu. »

Dans des amendements précédents à la Constitution, le terme « sexe » s’appliquait aux droits des femmes, même si le terme « égalité » voulait dire que les hommes et les femmes devaient être traités de manière égale. Aujourd’hui, l’on juge que le terme « sexe » inclut l’orientation sexuelle et l’identité de genre. Cela va effectivement annuler la protection des femmes dans les espaces séparés des hommes.

Avec cette pièce législative, qu’est-ce qui empêcherait un homme – déclarant s’identifier aux femmes – d’y pénétrer et d’abuser les résidentes actuelles ? La réponse toute simple, c’est… rien. Pourquoi n’y a-t-il aucun cri d’alarme concernant cette question de la part des organismes qui proclament être les défenseurs des femmes ?

Le genre n’est pas scientifique

Une porte-parole dans une vidéo de Teen Vogue nous assure que le genre n’a rien à voir avec les chromosomes ou l’appareil génital avec lequel une personne est née.

La propagande que l’on force nos enfants à avaler dans les écoles publiques s’est étendue aux publications libérales progressives comme le magazine Teen Vogue. Ce dernier vise les adolescentes et défend les politiques de gauche depuis des années.

Dans le but de sembler scientifique, Teen Vogue a déclaré que l’idée que le corps soit mâle ou femelle est erronée. Les éditeurs ont publié une vidéo mettant en vedette un groupe d’orateurs qui disent aux adolescents que les rôles traditionnels de genre ne sont pas scientifiques.

Dans un segment de cette vidéo, produite par Teen Vogue, l’on fait cette déclaration ridicule : « Nous possédons tous des caractéristiques qui sont typiquement mâles et typiquement femelles, et c’est vraiment par choix politique, par facteurs sociaux et par choix idéologiques si nous donnons une signification aux différentes parties de notre corps. »

Soutien parental dans la transition de genre

Mais l’assaut contre notre jeunesse ne se confine pas aux écoles et aux torchons de propagande. De soi-disant experts en santé mentale disent aux parents qu’il est dangereux de remettre en question les croyances d’un enfant à propos de son genre. En outre, on instruit les parents à soutenir la transition de l’enfant en y incluant une thérapie hormonale. De plus, dans plusieurs états, c’est maintenant devenu illégal de questionner l’identité de genre d’un enfant.

Un nouveau drapeau « genre fluide/pansexuel » a été conçu.

Malheureusement, ces traitements hormonaux influencent le développement cérébral et la santé cardio-vasculaire, et peuvent mener à un accroissement des risques de cancer. De nombreux adolescents ayant fait une transition de genre sont devenus suicidaires.

Qu’arrive-t-il au modèle masculin ?

Qu’est-il arrivé au mâle dominant, chef du foyer ? Proverbes 13:1 l’explique : « L’enfant sage écoute l’instruction de son père, mais le moqueur n’écoute point la répréhension. »

Le genre mâle qui exhibe la masculinité traditionnelle est maintenant qualifié de toxique. Il n’est plus acceptable dans la société éclairée qu’un homme soit dur, fort et affirmé.

Depuis l’explosion du mouvement féministe du début des années 1970, le chef de file mâle est devenu persona non grata. La poursuite de l’accomplissement et du statut, de la force et du déploiement de masculinité n’est plus tolérée dans la société moderne d’aujourd’hui.

En ce déclin continu de la société, on cible les hommes pour qu’ils changent, et plusieurs succombent aux normes sociétales mises en place par les féministes. Les hommes ne sont plus les chasseurs-rassembleurs qui protègent leurs familles de la mort ; on leur donne maintenant le nom de « métrosexuels ».

Le « nouvel homme » est celui qui se soucie de son habillement et de son apparence, et passer beaucoup de son temps à magasiner fait partie de son personnage. Ces hommes adoptent des coutumes et des attitudes qui appartenaient jadis aux femmes.

L’emploi des programmes télévisés a aussi joué un rôle significatif dans les changements culturels de la masculinité. La toxicité masculine a également été ciblée par les annonceurs de publicité. Les rasoirs Gillette ont commencé récemment une nouvelle campagne de publicité dirigée vers les jeunes hommes promouvant des expressions plus saines de masculinité.

Les valeurs chrétiennes visées

Les résultats de ces opérations de contrôle mental ont démontré des réactions positives. Récemment, une poignée d’hommes de la Pennsylvanie ont parti un groupe de câlins. Il a été constitué, selon un des co-fondateurs, pour permettre aux hommes d’être plus vulnérables. On s’y tient aussi par la main et on se caresse les cheveux et la barbe les uns les autres.

L’émasculation des hommes est presque complète. Les derniers mâles traditionnels intransigeants vieillissent et vont disparaître. Avec la Loi sur l’Égalité proposée par la Porte-parole Pelosi, les valeurs chrétiennes fondamentales sont carrément dans la mire. Une loi fédérale concernant l’orientation sexuelle et l’identité de genre forcera les œuvres de bienfaisance et les églises à ouvrir leurs portes à tous. Cela pourrait conduire d’innombrables organisations charitables à fermer leurs portes, laissant geler dehors ceux qui en ont besoin.

Le Ministère de la Vérité nous tombe dessus

La Loi sur l’Égalité va gaspiller d’énormes ressources tout en intimidant le monde des affaires. Il y a trop de preuves empiriques pour croire que de petits commerces ne seront pas ciblés en ne se basant que sur le fait qu’elles appartiennent à des chrétiens. Cette loi va élever le pouvoir de tyranniser au-dessus de la capacité du citoyen moyen à se battre.

La presciente nouvelle de George Orwell, 1984, décrit de manière inquiétante la situation prévalant aujourd’hui. Cette loi va permettre au gouvernement d’interférer dans les pensées des Américains, dans leur langage et dans leurs actions à la maison, dans les écoles, au travail et au jeu. Cet autoritarisme est des plus menaçants pour notre vie, notre liberté et notre poursuite du bonheur.

Ceux qui font la promotion continuelle de ce style de vie pécheur devraient tenir compte des Paroles de Jésus-Christ :

« Tous ceux qui me disent : Seigneur ! Seigneur ! n’entreront pas dans le Royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur ! Seigneur ! n’avons-nous pas prophétisé en ton Nom ? et n’avons-nous pas chassé les démons en ton Nom ? et n’avons-nous pas fait plusieurs miracles en ton Nom ? Mais je leur dirai alors tout ouvertement : je ne vous ai jamais reconnus ; retirez-vous de moi, vous qui vous adonnez à l’iniquité » (Matthieu 7:21-23).

Je prie pour que fassiez entendre votre voix. Soyez parmi les élus et tenez ferme aux Paroles de Christ Jésus.




Les grosses entreprises pharmaceutiques contrôlent-elles l’Amérique ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Février 2019

Par Jerry Barrett

Les gros profits l’emportent sur notre santé et notre bien-être

Grâce à leur flot de revenus abondant, les entreprises pharmaceutiques exercent un pouvoir immense – tant politique qu’économique – sur l’Amérique. Le surnom de « Big Pharma » s’avère une plaque de fabricant appropriée. Les onze plus grandes entreprises de Big Pharma ont généré des profits nets de près de trois-quarts de trillion de dollars en une seule décennie ! La majorité de ces entreprises se situent en Amérique et comprennent des noms que l’on connaît partout : Johnson & Johnson, Pfizer, Merck, Eli Lilly et Bristol Myers Squibb.

La prescription de médicaments pharmaceutiques dans le but de gérer la maladie chronique cause de sévères effets secondaires qui nuisent à la santé ou tuent. Pris entre la Big Pharma et son armée de médecins, un large pourcentage d’entre nous sommes devenus accros inconditionnels aux médicaments. Trois-quarts des citoyens américains de plus de cinquante ans prennent actuellement des médicaments sous prescription.

La prolifération de la pharmaceutique a poussé de nombreux docteurs à s’en remettre exclusivement aux compagnies de médicaments pour avoir l’information sur ce qu’ils prescrivent. Mal informés et mal équipés, les médecins d’aujourd’hui n’ont aucune idée des interactions dommageables que leurs médicaments ont sur leurs patients.

IgeaHub.com se donne le nom de « Club pharmaceutique » et a posté ce graphique des dix plus grandes compagnies pharmaceutiques et leurs ventes en milliards de dollars.

Toutefois, les adultes ne sont pas les seules victimes que vise Big Pharma. À la suite d’un programme créé par les Centres de Contrôle de la Maladie (CDC) et l’Administration de la Nourriture et des Médicaments (FDA), nos enfants ont reçu des vaccins dans lesquels on a ajouté du mercure ou de l’aluminium comme préservatifs. Depuis 1991, quand la CDC et la FDA recommandèrent que trois vaccins additionnels, avec préservatifs ajoutés, soient administrés à de très jeunes enfants, le nombre estimé de cas d’autisme est monté en flèche, de un cas sur 2 500 enfants à un cas sur quarante enfants aujourd’hui.

Au lieu de prévenir et de faire décroître la maladie, les vaccins ont trop souvent des effets opposés en accroissant la maladie de manière exponentielle et en causant des dommages irréversibles, et même la mort, chez des milliers de victimes inconscientes, et qui vivent surtout dans les pays du tiers-monde.

LearnTheRisk.org illustre l’explosion de vaccins que la CDC recommande pour les enfants. Rien d’étonnant à ce que le système immunitaire des enfants soit bouleversé, sans mentionner les poisons chimiques employés comme préservatifs.

La Cour Suprême de l’Inde étudie présentement la possibilité d’accuser Bill Gates de nuisance criminelle envers un grand nombre de ses citoyens, spécialement des enfants estropiés ou tués par son programme global de vaccination. Un nombre croissant de critiques déclare que le véritable but visé par Gates est la réduction de la population.

Bill Gates a rencontré le Président Donald Trump à deux occasions, l’avisant de ne pas faire de recherches sur les mauvais effets des vaccins. Ceci malgré que Trump ait eu questionné la fréquence du planning de vaccination pour les enfants. Ce qui fait froid dans le dos, c’est qu’à son 2010 TED Talk, Gates aborda la question de la croissance démographique et déclara que les vaccins sont une méthode efficace de réduire la population.

Étant donné la controverse qu’engendrent les vaccins, pourquoi Gates ne souhaiterait-il pas une enquête indépendante sur leur sécurité ? Cela ne dissiperait-il pas toutes les « théories conspirationnistes » ? Les Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie américains (CDC) n’ont-ils pas fait enquête là-dessus ?

La réponse est oui, mais les informations ne leur ont pas plu. À cause de Big Pharma qui contrôle l’industrie de la santé, des résultats comme ceux découverts par la CDC sont sûrs de ne jamais voir le jour. Grâce à un dénonciateur au sein des installations de recherche de la CDC, nous savons maintenant que cette information fut récurée et altérée alors que les données factuelles ont été détruites. Heureusement, ce dénonciateur a gardé ses copies originales et les a partagées.

En 1986, Ronald Reagan a signé l’Acte de Loi National sur les Vaccins pour Enfants qui éliminait pratiquement toute responsabilité financière des fabricants de vaccins en rapport avec les préjudices physiques reliés aux vaccins. Robert F. Kennedy Jr apparut à l’émission de Tucker Carlson, sur Fox News, et expliqua que le régime de vaccination avait changé en 1989. Le Congrès avait donné « l’immunité légale complète » à toutes les compagnies de vaccins. M. Kennedy continua : « Peu importe le degré de toxicité des ingrédients ou s’il y avait des blessures extrêmes infligées à votre enfant, vous ne pouviez pas poursuivre » ces compagnies. Voilà pourquoi vous n’entendez jamais parler de poursuites en recours collectif contre Big Pharma.

Kennedy parla ensuite d’une étude récente qui avait été financée par le gouvernement danois et qui faisait l’examen de la sécurité du vaccin Tdap qui fut administré à des enfants africains. D’après ce rapport, ce vaccin – appuyé par Bill Gates – tue plus de gens que les maladies contre lesquelles il est censé protéger ! M. Kennedy expliqua :

« Pratiquement tous les enfants d’Afrique l’ont reçu. Ce qu’ils ont trouvé … ils ont fait une étude sur les vaccinés versus les non-vaccinés, ce qui n’a jamais été fait … ils en ont conclu que … ils ont dit que le vaccin tue plus de gens que la la diphtérie, la coqueluche et le tétanos combinés ensemble (et pour lesquels vaccine le Tdap). »

Jusqu’à quel point Big Pharma contrôle-t-elle le message ? D’abord, elle sponsorise les émissions de nouvelles des grands médias. Prétendument, le revenu total de publicité recueilli par ces émissions de nouvelles est de 70 %. C’est un énorme signal d’alerte sur la validité de ces émissions.

Big Pharma est aussi impliquée dans l’éducation des docteurs, tout comme les pots-de-vin et les ristournes payés aux médecins qui appuient leurs produits. Ils financent aussi l’éducation médicale des étudiants et des post-étudiants. Beaucoup de ces docteurs agissent en tant qu’experts médicaux au nom de Big Pharma sans révéler ce fait.

Un autre sous-produit de la collusion entre la CDC et Big Pharma est survenu en 2009 quand l’ancienne directrice de la CDC, la Dre Julie Gerberding, fut embauchée par Merck pour diriger son programme de développement de vaccins. Bien que beaucoup de gens au sein du mouvement anti-vaccination exprimèrent leur outrage face à ce conflit d’intérêts, aucune voix ne se fit entendre provenant des bulletins de nouvelles des grands courants médiatiques.

Le montant d’argent dépensé en pots-de-vin… euh… en lobbying auprès des fonctionnaires du gouvernement est absurde. Big Pharma a dépensé 2,7 milliards $ en lobbying de 1998 à 2013. Il y a également des preuves qui confirment qu’un effort concerté est apparu pour ruiner les sources alternatives de la santé. Si plus de gens étaient au courant des remèdes homéopathiques et les utilisaient, l’industrie de la santé se flétrirait et sa base de pouvoir serait détruite.

Visitez www.texemarrs.com pour commander une copie en anglais

Le Dr Andrew Wakefield

Power of Prophecy a le plaisir de vous offrir un exposé explosif intitulé Vaxxed: From Cover-up to Catastrophe. [Nous pourrions le traduire en français par Vaxxiné : de la dissimulation à la catastrophe.] Le très estimé Dr Andrew Wakefield, le premier à signaler, en 1998, que le vaccin MMR (la rougeole, les oreillons et la rubéole) pouvait causer l’autisme, dirige ce documentaire.

A cause de son rapport de 1998 publié dans The Lancet interrogeant le lien possible entre le vaccin MMR et l’autisme, et présentant le défi que nous avions besoin de plus de recherches, Big Pharma passa à l’offensive. Essentiellement, elle détruisit sa carrière médicale et a fait tout en son pouvoir pour le discréditer.

Heureusement, cela n’a pas dissuadé le Dr Wakefield de dénoncer les dangers que représente Big Pharma et sa vaccination. Assurez-vous de commander une copie de mon entrevue avec le Dr Wakefield [en anglais seulement].

Armez-vous de la connaissance. Faites-vous entendre. Contactez votre député et exigez que des recherches indépendantes et solides soient entreprises. La santé de vos enfants, de vos petits-enfants, du pays, du monde est en jeu.




Une taxe casher, ça n’existe pas

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2019

Par Jerry Barrett

Les taxes sont perçues par le gouvernement

Avez-vous déjà remarqué un K ou un U imprimé sur l’étiquette de l’un de vos produits d’épicerie favoris ? Avez-vous été assez curieux pour chercher à trouver ce que cela représentait ? Ou étiez-vous totalement ignorant qu’il y a une signification cachée derrière ces codes ?

Depuis un certain nombre d’années, j’entends parler qu’il y a une certaine « taxe casher » ajoutée aux items que vous achetez au supermarché. Il semble que cette « taxe » soit collectée par les rabbins locaux. Toutefois, c’est impossible parce que les taxes sont collectées par les gouvernements. Je n’ai encore jamais rencontré de politicien qui accepterait de partager une opportunité de taxe avec quiconque, même un rabbin.

Je vais citer la version officielle : Une « taxe casher », ca n’existe pas. Maintenant, plusieurs d’entre vous qui ont déjà fait cette fausse déclaration doivent secouer la tête et vous êtes sans doute irrité en lisant ces lignes. Mais, s’il vous plaît, demeurez avec moi.

Dans mes recherches, je suis tombé sur un site web, www.jewishrecipes.org. Ce site a répondu à mon interrogation concernant une taxe casher prélevée sur des produits. Il déclare : « Y a-t-il vraiment une taxe juive sur la nourriture ? La réponse est NON ! »

Cependant, vous allez également découvrir dans ce site qu’il y a des compagnies de produits alimentaires qui paieront des droits pour annoncer leurs produits comme étant cashers. Le site web déclare : « Une étiquette casher est une forme de publicité directe disant au consommateur que ”cet aliment est casher et rencontre les standards bibliques dans sa façon d’avoir été préparé et quels différents produits on a utilisés dans sa confection”. C’est aussi une bonne chose parce que les compagnies alimentaires ne le feraient pas si ce n’était pas une affaire lucrative et si cela ne signifiait pas un accroissement des ventes, ce qui mène à un accroissement des profits. »

Or, cher Thomas dubitatif, vous approuvez probablement de la tête en vous accordant avec moi. Je n‘ai pas proclamé qu’il pouvait y avoir extorsion… euh… droits d’annoncer, j’ai seulement déclaré qu’il n’y a pas de « taxe casher ». Ces « droits » sont incorporés dans le prix des articles que vous et moi achetons à toutes les fois que nous magasinons.

Les entreprises paient des droits aux unions rabbiniques pour qu’elles inspectent la fabrication de leurs produits afin d’obtenir la certification casher. Ces droits vous sont ensuite refilés à vous, les consommateurs. On fait tout cela pour les quelques 1 à 3 % de la population que sont les Juifs des États-Unis [ainsi que du Canada].
 

Que veut dire « casher » ?

Selon leur « doctrines des hommes » – le Talmud babylonien – il est défendu aux Juifs orthodoxes de manger de la viande provenant d’un animal qui n’a pas le sabot fendu et qui ne rumine pas. Les poissons sont cashers s’ils ont des nageoires et des écailles. Il y a également une longue liste d’oiseaux que l’on ne doit pas manger. Les oiseaux cashers comprennent les poulets, les canards, les oies, les colombes et les cailles, entre-autres. Les oiseaux non cashers incluent les hiboux, les pélicans, les aigles, les autruches, les vautours et d’autres encore.

Les porcs ne sont pas cashers parce qu’ils n’ont pas le sabot fendu et ne ruminent pas. Les lapins, quoiqu’ils ruminent, n’ont pas de sabot fendu. Ces mêmes « règles alimentaires » interdisent aux Juifs de manger de la viande avec des produits laitiers dans le même repas. S’ils mangent de la viande, ils doivent attendre six heures avant de pouvoir manger un produit laitier.

Bien que « casher » donne le droit de manger un aliment, cela ne signifie pas que la qualité de l’aliment est meilleure. Les produits alimentaires américains sont déjà inspectés par des agences gouvernementales fédérales pour en assurer la qualité et la comestibilité. En général, les aliments étiquetés casher se conforment aux traditions humaines décrites dans le Talmud.

Dans sa première épître à Timothée, l’apôtre Paul avait clairement une opinion différente de ces règles alimentaires :

« Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques-uns se révolteront de la foi, s’adonnant aux Esprits séducteurs, et aux doctrines des Démons. Enseignant des mensonges par hypocrisie, et ayant une conscience cautérisée ; défendant de se marier, commandant de s’abstenir des viandes que Dieu a créées pour les fidèles, et pour ceux qui ont connu la vérité, afin d’en user avec des actions de grâces. Car toute créature de Dieu est bonne, et il n’y en a point qui soit à rejeter, étant prise avec action de grâces. Parce qu’elle est sanctifiée par la parole de Dieu, et par la prière » (1 Timothée 4:1-5). » 

L’étiquetage casher est un racket

Le terme « extorsion » n’est pas contradictoire à cet égard. Si les manufacturiers et les producteurs ne rentrent pas dans les rangs pour que leurs produits soient certifiés « cashers », ils devront faire face au boycott et on leur collera le redoutable label « d’antisémite ». Ce « racket du casher » fut dénoncé par William Zuckerman dans sa publication Jewish Newsletter (Vol. XV, No 11, 1er juin 1959) en réaction à un article publié dans le Wall Street Journal. M. Zuckerman écrivit :

« Ce que le ̋Wall Street Journal ne rapporte pas, c’est que cette affaire de “stricte supervision de produits cashers par les rabbins” est déjà devenue un des plus gros rackets des États-Unis et menace de prendre des proportions gigantesques. »

« Le “Racket du casher”, comme on l’appelle, opère de façon simple et efficace … Les étiquettes cashers sont émises par les rabbins qui sont très grassement payés pour leurs services de certification. »

Cependant, les Américains ne sont pas les seuls qui soient sujets à ces « droits de marketing ». De nombreux pays importent de la nourriture des États-Unis et, dans bien des cas, ces denrées alimentaires ont déjà été certifiées casher. Peu importe où vous vivez, chaque fois que vous mangez, vous payez ces droits.

Est-ce que des produits non alimentaires peuvent être cashers ?

D’après Wikipédia, il y a environ 1 100 agences de certification casher dans le monde. Aux États-Unis, plus de 80 % de la nourriture casher vendue est certifiée par cinq agences. Ces cinq agences sont : OU, OK, KOF-K, Star-K et CRC.

Cela pourrait vous surprendre le nombre de produits que vous utilisez quotidiennement et qui portent l’étampe de certification casher de l’une de ces nombreuses agences. Le papier d’aluminium Reynolds Wrap porte le U de l’Union orthodoxe, tout comme le nettoyant Clorox. Je vous suggère fortement de parcourir votre garde-manger et votre salle de lavage, et de détailler le nombre de produits que vous avez inconsciemment achetés avec le « sceau d’approbation » casher.

La plupart des agences de publicité dissimuleront les symboles cashers dans leurs annonces à l’intérieur de publications non juives. C’est en nette violation de la « Loi sur la vérité dans la publicité ». Toutefois, si l’annonce apparaît dans une publication juive, attendez-vous à ce que cette certification soit bien en face et au centre.

Pourquoi des assiettes en mousse de plastique, des filtres à café, du papier d’aluminium et des produits nettoyants sont-ils certifiés casher ? Quels valeurs bibliques rendent casher des produits non comestibles ? (Ci-insérés, quelques labels d’unions cashers que vous pourriez trouver dans votre épicerie locale.)

Ce procédé qui rapporte des millions rend certains rabbins très riches. Des organismes comme l’AIPAC, le Congrès Juif Mondial et autres tirent clairement bénéfice des retombées financières recueillies par ces racketteurs.

Le rabbin en chef Shlomo Amar supervise une inspection pour certification casher. Il y a plus de 1 100 agences de certifications dans le monde.

Personne d’autre que Power of Prophecy est assez hardi pour exposer ces escrocs tels qu’ils sont. Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ nous a commandé de dénoncer ces hommes d’iniquité :

« Or c’est ici le sujet de la condamnation, que la lumière est venue au monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque s’adonne à des choses mauvaises, hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient censurées. Mais celui qui s’adonne à la vérité, vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu’elles sont faites selon Dieu » (Jean 3:19-21). »




Qu’est-il arrivé à mon pays ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2018

Par Jerry Barrett

John Adams a proclamé que l’Amérique ne fut pas fondée en tant que nation chrétienne. Il avait en partie raison. L’Amérique n’a pas été créée comme une théocratie – un pays dirigé par la religion – mais elle a plutôt été fondée sur la base d’une république constitutionnelle. Ceci dit, l’Amérique fut établie sur de profondes vérités chrétiennes.

Nos pères fondateurs eurent le sentiment que la liberté de religion était un droit, mais que le gouvernement ne devait pas créer une église établie. Cela se reflète dans le Premier Amendement de notre Constitution. Ces fondateurs croyaient fortement que Dieu a ordonné des standards moraux et que la législation devait s’accorder avec ces standards. De nombreux historiens ont cité Romains 13 comme base de ces standards :

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes. Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange » (Romains 13:1-3).

Seigneurs et serfs revisités ?

L’Amérique s’est assurément éloignée de ces principes. Un politicien britannique a un jour déclaré que : « Le pouvoir corrompt ; le pouvoir absolu corrompt absolument. » Cela pourrait expliquer pourquoi les Fondateurs ont érigé notre pays avec des contrôles et des balances entre les trois branches de gouvernement. Notre pays est une banqueroute morale dont les profondeurs de la débauche atteignent des proportions épiques. Mais la descente de notre nation est-elle un événement récent, ou est-ce que le travail préparatoire s’effectue depuis des décennies ?

Si vous lisez notre Constitution, vous remarquerez un fait qui ressort de la page : on s’attendait à ce que le gouvernement fédéral s’en remette aux droits des états et non qu’il traite les citoyens de haut. Cela en tête, on pourrait dire que les Fédéraux ont commencé leur mainmise au début du vingtième siècle, lors de la création de la Réserve Fédérale et du Service Intérieur du Revenu [le Fisc].

Cette combine s’est davantage développée après le crash boursier créé par les banquiers et la Grande Dépression qui s’en est suivi. La saisie de pouvoir du gouvernement fédéral se mit à marcher comme un rouleau compresseur après que le « New Deal » de Franklin D. Roosevelt fut mis en place.

D’un coup d’état à la débauche

L’assassinat de John F. Kennedy semble avoir achevé la mainmise des sionistes sur notre gouvernement, aidée et encouragée préalablement par Harry S. Truman et sa reconnaissance de l’état d’Israël. Le coup d’état de notre pays fut un succès et le démantèlement de notre culture pouvait commencer sérieusement.

La prolifération de la culture de la drogue et de l’amour libre des années 1960 mena au moment marquant du cas Roe vs Wade, rendant légal le meurtre des bébés partout sur le territoire. Le mariage traditionnel a aussi été victime, son taux de divorce grimpant à plus de cinquante pourcent.

La dégradation de notre système d’éducation semble avoir été la cible suivante. Il y a un certain nombre d’états qui n’exigent plus l’apprentissage de l’écriture cursive ! En implantant des examens standardisés au lieu d’encourager la résolution de problèmes et la pensée critique, ainsi que l’enseignement des trois R, l’abrutissement des élèves américains a réussi au-delà de toute espérance. Les changements de culture seront-ils maintenant introduits sans la moindre opposition ?

Après que la Cour Suprême des États-Unis eut aboli les lois contre la sodomie, en 2003, l’agenda homosexuel devint une question brûlante menant à une autre règlementation de la Cour Suprême légalisant le mariage entre même sexe. L’ancien Président Barack Obama célébra même ce moment sacrilège par un show de lumières d’arc-en-ciel à l’extérieur des murs de la Maison blanche.

Le Président Obama éclaira la Maison Blanche aux couleurs de l’arc-en-ciel en soutien au mariage de même sexe.

Pour accroître davantage la dimension du cloaque que désirait Obama, un mandat fut émis donnant instructions aux écoles publiques de permettre aux étudiants transgenres d’utiliser les toilettes qui s’apparentaient à leur « identité de genre ». Ce programme fut imité par la chaîne de vente au détail Target et d’autres magasins dès avril 2016. Target a déjà adopté une politique de signalisation de neutralité de genres pour ses sections de quincaillerie, de jouets et de divertissements.

Parti, le respect pour l’autre et envers soi, envers les petits bébés et particulièrement envers Dieu.

Le militantisme féministe revint aussi avec vengeance pendant cette époque. Des protestataires prirent part à la SlutWalks en portant de minuscules hauts et des jupes courtes, proclamant leur opposition envers « l’humiliation des putes ».

La campagne et l’organisation La vie des Noirs compte, fondée par le Juif hongrois George Soros, utilisa des moyens de protestation violents, où l’on encouragea les incendies volontaires et le pillage. Les officiers de police devinrent la cible de rétributions, après la tuerie de mécréants comme Trayvon Martin et Michael Brown. La division raciale en Amérique fut grandement élargie et Barack Obama attisa les flammes en déclarant : « Si j’avais un fils, il ressemblerait à Trayvon ! »

Pas de moral ni de scrupule

La moralité et les scrupules de nos leaders élus ont également décliné au fil des générations. Bien qu’il n’y ait pas de délimitation claire entre les deux partis politiques principaux des États-Unis, l’animosité contre ceux qui s’identifient comme conservateurs a atteint un degré fiévreux.

Maxine Walters a diffusé haut et fort son désir que ses partisans s’en prennent à ceux qui servent sous le Président Donald Trump. La Secrétaire à la Presse, Sarah Huckabee Sanders, ainsi que ses amis se sont fait demander par le propriétaire d’un restaurant de vider les lieux. Récemment, Ted Cruz et son épouse furent malmenés à un dîner et forcés de quitter un autre restaurant.

Pourquoi Dieu bénirait-Il l’Amérique ?

Les récentes allégations contre le candidat désigné à la Cour Suprême, Brett Kavanaugh, produites par Christine Blasey Ford, semblent, en surface, présenter un profil horrible. Cependant, son témoignage subséquent révèle quelqu’un dont la mémoire change à sa convenance. Les témoins qu’elle a cités ne peuvent non plus corroborer ses histoires.

Considérez également le fait qu’en juillet elle a envoyé une lettre à la sénatrice Dianne Feinstein concernant le soi-disant abus sexuel qu’elle aurait subi aux mains de Kavanaugh. Pourquoi la sénatrice Feinstein a-t-elle tu cette information jusqu’à l’audience de confirmation ? Était-ce un complot politique sournois visant à faire dérailler le candidat du Président Trump ? Serait-ce parce que Mme Ford, qui a aussi participé à un rallye anti-Trump, travaille pour une compagnie pharmaceutique qui produit une pilule d’avortement ? Comme le rapporte Jim Holt, dans le Gateway Pundit, « Le professeur Christine Blasey Ford, pendant qu’elle travaillait à l’Université Stanford, était aussi affiliée à la Corcept Therapeutics (2006-2011). Sa nouvelle page Wikipédia la décrit comme « directrice de biostatistiques chez Corcept ».

Le docteur Christine Blasey Ford, contributrice à huit journaux soutenant la pilule d’avortement RU-486.

M. Holt poursuit : « Christine Blasey Ford a participé à huit études publiées qui faisaient des recherches sur l’utilisation de la “pilule d’avortement” ou “mifepristone”. » On remarque aussi dans son article que Corcept ne possède qu’un seul produit, une pilule abortive connue sous le nom de RU-486 et étiquetée Mifeprex.

Se pourrait-il que Mme Ford et ses camarades féministes pro-avortement aient peur que, si la Cour Suprême le confirme, le juge Kavanaugh se joigne à des collègues de même esprit et renverse Roe vs Wade ?

Nous savons qu’à la fin des temps, les choses ne vont pas aller en s’améliorant. Dans 2 Timothée 3:13, Paul a dit : « Mais les hommes méchants et séducteurs iront en empirant, séduisant, et étant séduits. » Or, Jésus, notre précieux Seigneur et Sauveur nous donne Son mot de la fin dans Apocalypse 22:20 : « Celui qui rend témoignage de ces choses, dit : Certainement je viens bientôt, Amen ! Oui, Seigneur Jésus, viens ! »




La Franc-maçonnerie est-elle la Synagogue de Satan ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2018

Par Texe Marrs

« Les secrets cachés de la Franc-maçonnerie sont contenus dans le sinistre 30e degré. Le candidat maçonnique fait quatre serments pendant que le mystérieux rabbin Siméon Bar Yochaï parle du fond de son cercueil. On exige du candidat qu’il abandonne sa foi et il sera désormais guidé par la Kabbale. Il se destine à l’enfer éternel. »

Dans son manuel classique, La théocratie occulte, Lady Queensborough déclara, à propos de la Loge maçonnique : « Chaque Loge est une Synagogue de Satan et son rituel est de la sorcellerie. »

Le père de la Franc-maçonnerie est le rabbin Siméon Bar Yochaï qui mis au monde la Kabbale corrompue et méchante, ainsi que son livre mystique, le Zohar. Delmar Darrah, 33°, souligna dans son livre, Évolution de la Franc-maçonnerie (1979), que « s’il n’y avait pas de Kabbale, il n’y aurait pas de Franc-maçonnerie. »

Dans le Zohar, on nous informe que la déité de la Kabbale se nomme Ein Sof (ou Ain Sof). Son agent, le compagnon de l’homme, est nul autre que le grand Serpent. Il s’agit du même Serpent que je révèle être adoré par les Juifs kabbalistes, dans mon exposé Le Serpent sacré des Juifs.

Rex Hutchens, 33°, auteur de Un pont vers la lumière, publié en 1988 par le Conseil Suprême Mère de la Franc-maçonnerie du Rite Écossais, aux pages 251-252, affirme que le Serpent est, en fait, le troisième membre de la Sainte Trinité. Hutchens dit : « Il est le corps du Saint-Esprit. »

Le Zohar du rabbin Yochaï explique plus loin que : « Le Serpent sacré est la principale source, la racine et l’essence de toute la lumière révélatrice sacrée de Dieu. »

Albert Pike déclare que la religion maçonnique : « est identique aux anciennes religions à mystères ». Et l’histoire révèle que toutes les religions à mystères adoraient le serpent.

On dit que le Serpent sacré est celui qui élève l’homme à la Divinité et les maçons croient qu’ils deviendront des dieux divins. Éventuellement, croient-ils, ils seront les « Maîtres du monde ».

Pike écrivit (voir Un pont vers la lumière d’Hutchens, p. 325) que le Secret Royal, c’est que les Loges maçonniques « réaliseront le Saint Empire » des Illuminati sur terre.

Nous avons donc compris pourquoi le livre de l’Apocalypse de notre Sainte Bible avertit que la religion de méchanceté et d’abominations des derniers jours sur terre ne sera pas une église ou une mosquée. Ce sera plutôt la Synagogue de Satan. Et en son sein se manifestera l’adoration du Serpent ouvertement méchant, la créature même qu’adorent de manière blasphématoire les Francs-maçons et qu’ils honorent faussement en tant qu’Esprit Saint de Dieu.

Mais qui est le Serpent ? Indubitablement, nous découvrons que le Serpent est, en fait, Satan.

Dans Les premières ères de la terre, le savant G. H. Pember affirme que, dans les Mystères, nous voyons que l’objet du culte est universellement Satan. Pember écrit : « Il n’y a que peu de doute quant au fait que la culmination des Mystères était le culte rendu à Satan lui-même. »

Nous répétons donc, encore une fois, la déclaration révélatrice d’Albert Pike, 33°, qui donna au monde les trente-trois rites des Loges maçonniques et indiqua à tous les maçons l’auteur de la Kabbale, le rabbin Siméon Bar Yochaï : « La maçonnerie est identique aux anciens Mystères. »

***

La Kabbale : ultime secret de la Franc-maçonnerie

Albert Pike, 33°, ancien Souverain Grand Commandeur de la Franc-maçonnerie Universelle, appelait cela « le Mystère de la Kabbale ». C’est, en effet, l’ultime secret de la Loge maçonnique et d’elle sortent les doctrines étranges et antichristes de ce culte.

La Kabbale des Juifs est un système occulte de magie et de sorcellerie d’abord inventé par l’infâme rabbin Siméon Bar Yochaï. C’est l’un des rabbins les plus célèbres de l’histoire d’Israël. Au deuxième siècle, proclame-t-on, il passa plus d’une douzaine d’années dans les profondeurs d’une caverne. Pendant tout ce temps, il rédigea la Kabbale et son manuel initial, le Zohar. Ces livres lui furent soi-disant donnés par une équipe d’anges jadis célestes, des démons et des disciples de Lucifer.

Depuis lors, la Kabbale s’est répandue dans le monde entier. Elle est aujourd’hui grandement prisée au sein de la religion du judaïsme. La tombe du rabbin Bar Yochaï est une des principales attractions touristiques d’Israël.

La Kabbale est au cœur même du judaïsme. Elle est également la source première des sorciers, des enseignants occultes et des magiciens du monde. C’est le manuel d’instructions de la numérologie, de la nécromancie, de l’astrologie, du culte à la déesse, de la déviance sexuelle, des pouvoirs mentaux psychiques, de la vénération du serpent et du culte aux idoles. C’est aussi le fondement même de la Franc-maçonnerie en constituant la religion à Mystères de l’Ordre maçonnique.

Toutes les associations maçonniques doivent à la Kabbale leurs secrets et leurs symboles, dit Albert Pike, dans Morals and Dogma.

La Franc-maçonnerie s’enthousiasme depuis longtemps des enseignements occultes de la Kabbale. Au 19e siècle, Albert Pike révisa les rites maçonniques et ses trente-trois degrés afin de les accorder strictement à la Kabbale. Pike écrivit, dans ses Morals and Dogma :

« La vieille foi primitive qu’est la religion de la Franc-maçonnerie dérive de l’Ancienne et pure Kabbale. »

On déclare que la Kabbale est pure, mais que le christianisme est imparfait et contient des erreurs, comme le dit Pike. D’innombrables maçons de degrés élevés sont d’accord. « L’on est rempli d’admiration en pénétrant dans le Sanctuaire de la Kabbale », écrit Pike. Il poursuit : « C’est une doctrine si simple et, pourtant, si Absolue. »

La Kabbale du rabbin Bar Yochaï est immensément différente de la Sainte Bible. Elle propose qu’il existe de nombreux dieux et déesses, la plupart sexuellement immoraux. Toutefois, le vrai Messie est nul autre que le Serpent sacré ! Nous voyons par conséquent jusqu’à quel point la Loge maçonnique est dépravée et mauvaise. Ayant rejeté la Bible comme étant fausse et imprécise, la Kabbale est seule digne d’adoration et de culte. Elle seule est « pure », se vante la synagogue maçonnique de Satan.

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Les voix des morts dans la tête de l’Éventreur

Par Steve Reilly

Alors qu’il recherchait une idée pour une pièce de théâtre, Bruce Robinson, acteur, dramaturge et auteur anglais, tomba sur le sujet des meurtres non résolus de « Jack l’Éventreur », en 1888. Lorsqu’informé que l’identité de « Jack » demeurerait un mystère pour toujours, ça l’attira et il passa les douze années suivantes à faire des recherches et à écrire. Dans Ils aimaient tous Jack, Robinson identifie « Jack » et révèle que la Franc-maçonnerie s’avérait le fil conducteur dans tout ce qui était pourri au sein de l’Angleterre victorienne – y compris la protection de l’identité d’un tueur en série.

Bien que Robinson atteste qu’il ne portait aucun intérêt envers la Franc-maçonnerie au-delà de la participation de celle-ci aux meurtres, il découvrit bientôt le rôle central qu’elle tenait dans le récit. Comme il l’a dit à un intervieweur, « à l’époque de Jack l’Éventreur, il y avait quelque chose comme 360 membres tories au Parlement, dont 330 que je peux identifier comme maçons. La totalité de la classe dirigeante était maçonnique, de l’héritier du trône en descendant. Il le fallait pour être dans le club. »

Au moment des meurtres, la classe dirigeante utilisa son pouvoir pour cacher aux journalistes certains détails « inamicaux » (pour la Franc-maçonnerie). Dans les 130 ans qui suivirent, le contrôle maçonnique de la narration s’est continué.

Connu du public en tant que le chanteur et compositeur Stephen Adams, Michael Maybrick avait atteint le sommet de sa profession. Il composa la chanson numéro un (en feuille de musique) du 19e siècle, The Holy City. Cet homme, prétend Robinson, fut « Jack l’Éventreur ». Coïncidence, Maybrick a été largement supprimé de l’histoire.

Pourtant, la célébrité de Maybrick est indéniable. Et, comme grandissaient sa popularité et sa richesse, il entra dans les rangs de l’élite d’Angleterre – et il s’éleva dans la Franc-maçonnerie. Devenu 30e degré franc-maçon, Maybrick « entendit » parler du fond de son cercueil le rabbin Siméon Bar Yochaï mort depuis longtemps. Ce rite bizarre est expliqué en détail par Texe Marrs dans son dernier best-seller, Des voix venant des morts. Si l’on considère le pouvoir, à la fois de l’Angleterre victorienne et de la Franc-maçonnerie à l’époque de Maybrick, le rite devait être stupéfiant de sensation grandiose et pseudo-religieuse.

Raillant l’élite maçonnique – ce que « Jack » appelait « son drôle de petit jeu » – il joua à l’élite maçonnique un tour sans précédent. Maybrick, sachant que les élites maçonniques se mettraient en mode de crise, planifia leurs coups à l’avance. Encore et encore, Maybrick fit paraître la classe dirigeante pour des fous. Personne ne parut plus imbécile que le Commissaire de la Police Métropolitaine de Londres, Sir Charles Warren, franc-maçon célèbre dans tout le pays.

Les meurtres, exécutés avec le rituel maçonnique, fit des membres du système judiciaire et du gouvernement des conspirateurs. Mis au courant des « gorges tranchées d’une oreille à l’autre », de tout métal enlevé et autres détails révélateurs, les Francs-maçons cherchèrent à « protéger leur art ». Warren, en particulier, fit passer le bien de la « Fraternité » avant celui du public.

Aucun événement ne l’illustre mieux que cette réaction face à l’écriture trouvée sur un mur de Ghoulston Street. Après avoir commis son second meurtre, « Jack » déposa un tablier sali, qu’il avait coupé sur sa dernière victime, au pied d’un mur sur lequel il avait écrit : « Les Juifs sont les hommes qui ne seront blâmés de rien. » Citant les prééminents historiens de la Franc-maçonnerie, Albert Pike et Albert Mackay, Robinson élucide le message crypté : il se réfère aux « trois ruffians » (Jubelo, Jubela et Jubelum) qui tuèrent Hiram Abiff qui refusait de divulguer les secrets du Temple de Salomon.

Warren, qui avait – comme de fait – dirigé une expédition, nationalement célèbre, en Palestine pour localiser le Temple de Salomon, ignora le protocole de la police et ordonna que le message soit immédiatement effacé. La lettre presque railleuse de « Jack » à Warren parvint « DE YACK L’ÉVENTREUR ». En citant Mackay, Robinson explique : « La bonne prononciation du nom des “ruffians” exige que le “J” soit énoncé comme un “Y”. »

La dégénérescence sadique de Jack atteint son point le plus bas avec le meurtre du « Petit » Johnny Gill. À Bradford, le 27 décembre 1888, à la fête de St-Jean l’Évangéliste – le jour le plus important du calendrier maçonnique des loges écossaises et 75 ans depuis le jour où les « anciens » et les « modernes » se joignirent pour former la Grande Loge Unie d’Angleterre – Maybrick tua le garçon selon les rites appelés la cinquième libation. Robinson prétend : « Chacun des aspects de l’assassinat est symbolique. Il coupa les jambes et les mis sur le torse pour reproduire le crâne et les os des Chevaliers du Temple. » Le policier responsable de Bradford reconnut immédiatement le symbolisme de la scène et, comme à Londres, cacha les faits.

Bruce Robinson résolut le mystère vieux de 130 ans. Un « maçon devenu pourri » assassina des hommes, des femmes et des enfants selon les rites maçonniques et se moqua d’une élite maçonnique qui, à chaque meurtre, était forcée de prendre des positions délicates. Dans une entrevue, Robinson fit cette réflexion : « Ce n’est pas qu’ils protégeaient Maybrick, Ils se protégeaient, eux. »

Malheureusement, un livre d’une telle valeur est souillé par les visions critiques et cinglantes de l’auteur sur le christianisme de l’ère victorienne. En outre, son choix de langage s’avère bien plus que « coloré ». Power of Prophecy offre des livres qui contiennent des passages que nous trouvons désagréables. Pourtant, pour prendre les paroles de Texe, la valeur du livre surpasse de telles différences. Toutefois, Robinson incorpore son dédain du christianisme si profondément dans son écrit qu’étant donné notre mission, nous ne pouvons pas, en toute bonne conscience, offrir le livre.