D.192 – Citations de chercheurs français du début du 20e siècle qui questionnaient déjà la théorie de l’évolution

evolution

NDLR: Extrait du très intéressant site de Christian Lefèvre Science et Vérité.

La critique de l’évolution est-elle seulement d’origine récente et américaine ?

Contrairement à ce que l’on pense souvent, la majorité des biologistes français du début du XXe siècle avaient déjà fait suffisamment d’observations scientifiques pour constater le manque de fondement de la théorie, à tel point que celle-ci fut officiellement reconnue comme non crédible et parue sur le point d’être abandonnée.

Voici quelques citations de chercheurs français de l’époque. Presque tous étaient transformistes (évolutionnistes).

« Les fossiles les plus anciens sont ceux d’animaux aussi complexes que les animaux actuels. Ce sont des êtres déjà élevés, et ayant une organisation définitive bien caractérisée (Polypiers, Mollusques, Arthropodes, Brachiopodes, Poissons). Les types francs d’organisation s’imposent donc dès le début. » [Jules Lefèvre, Directeur du Laboratoire de Bio-Énergétique, Manuel critique de biologie. (Masson, 1938), p. 41.]

« Si nous pouvions nous transporter sur les bords des mers cambriennes, les plus vieilles dont nous connaissions la faune, nous verrions ramper ou courir, sur un sable et au milieu de rochers semblables à ceux de nos grèves, des animaux différents, certes, des animaux actuels, mais appartenant clairement aux mêmes groupes et vivant dans les mêmes conditions physiologiques… » [Boule et Piveteau, Les fossiles (Masson, 1935), p. 51.]

Ils apparaissent brusquement, sans signes annonciateurs.

« Parmi les exemples de brusque apparition et de rapide expansion de tout un ensemble d’êtres, il n’en est pas de plus impressionnant que la survenue des Mammifères placentaires au début de l’Éocène, pour laquelle les paléontologistes ont créé le mot significatif d’Explosion. Ces Mammifères ne se montrent pas au Crétacé ; ils ne sont annoncés par aucune forme de passage ; ils apparaissent, en grand nombre et à peu près simultanément, dans trois régions que séparent de vastes espaces : les États-Unis, la Patagonie, la France ; et déjà, ils sont différenciés en Ordres parfaitement distincts, et l’on y reconnaît des Ongulés, des Carnassiers, des Primates. » [Pierre Termier, Les grandes énigmes de la Terre (Flammarion, 1935), p. 33-34.]

Ils forment des groupes bien distincts, sans relation entre eux.

« Les classes de Vertébrés qui apparaissent aux diverses époques et sans transition sont nettement des Poissons, des Batraciens, des Reptiles, des Oiseaux, des Mammifères : ils représentent, d’emblée, les classes actuelles. » [Jules Lefèvre, Manuel critique de biologie (Masson, 1938), p. 41.]

« Les grandes lignes du règne animal sont déjà tracées aux époques les plus anciennes, et les divers groupes sont séparés les uns des autres par des discontinuités de l’ordre de celles que nous constatons aujourd’hui. » [Maurice Caullery, Les étapes de la biologie (PUF, 1941), p. 59.]

Rien n’indique que ces animaux ont dérivé des uns des autres.

« On ne trouve pas, dans l’observation directe, la preuve que les causes naturelles puissent aller jusqu’à modifier profondément ces caractères (les caractères généraux qui constituent les types d’organisation). » [Paul Broca, Bulletin de la Société d’Anthropologie de Paris (Masson, 1870), tome V, 2e série, p. 203.]

« Les recherches récentes, contrairement à ce que l’on pouvait imaginer il y a une cinquantaine d’années, ont bien plutôt renforcé l’idée de la stabilité présente des formes animales et végétales, et ramené leurs variations, soit à des phénomènes purement individuels, sans retentissement dans la lignée, soit à une diversification limitée et virtuellement contenue dans le type de chaque espèce. » [Maurice Caullery, Le Problème de l‘Évolution (Payot, 1931), p. 401.[

« La biologie moderne, et c’est là une de ses acquisitions les plus essentielles, peut-être la plus imprévue, a définitivement mis en lumière la stabilité organique. La Vie a pour régime normal la constance ; changer est, pour elle, un extraordinaire. » [Jean Rostand, La nouvelle biologie (Fasquelle, 1937), p. 84.]

On ignore, également, tout de l’origine de la vie.

« La Paléontologie ne nous apporte aucune lumière sur le plus grand des problèmes, celui de l’origine de la Vie. » [Boule et Piveteau, Les fossiles (Masson, 1935), p.851.]

« Sur l’origine de la vie, convenons sans ambages que nous ne savons rien. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 41.]

Aucune théorie ne peut expliquer un phénomène d’évolution. Ce fait est admis par les biologistes français dès le début du siècle dernier. Parlant du Lamarckisme, Jean Rostand écrit : « Ils préfèrent concéder à la formation des espèces, des milliers et des milliers de siècles, afin de noyer en quelque sorte, le mystère dans la durée… » [Jean Rostand, La nouvelle biologie (Fasquelle, 1937), p. 57.]

« Après une longue période d’ardentes polémiques, on admet généralement aujourd’hui qu’aucune des grandes théories, Lamarckiste, Darwinienne ou Mutationniste, n’est capable de fournir une explication intégrale et satisfaisante du grand phénomène de l’Évolution. » [Boule et Piveteau, Les fossiles (Masson, 1935), p. 873.]

« Aujourd’hui, le darwinisme ne nous paraît plus acceptable ; sa chaîne logique a été définitivement brisée lorsqu’on reconnut que la mort n’avait nullement cette fonction de triage automatique qui est la clé de voûte du système : il y a bien quelques tarés et anormaux qui sont éliminés dès le début, mais leur disparition a plutôt un effet conservateur du type moyen de l’espèce […] Même si la sélection darwinienne existait, elle ne saurait expliquer la genèse graduelle d’une adaptation morphologique simple ou complexe… » [Lucien Cuénot, L’adaptation chez les animaux, « Bulletin de la Société des Sciences de Nancy », (n° 9, déc. 1937), p. 276.]

L’aveu officiel en 1937, des plus hauts représentants de cette discipline.

« Le Tome V de l’Encyclopédie Française marquera certainement une date dans l’histoire de nos idées sur l’Évolution : il ressort de sa lecture que cette théorie semble à la veille d’être abandonnée…

« Il résulte de cet exposé que la Théorie de l’Évolution est impossible. Au fond, malgré les apparences, personne n’y croit plus, et l’on dit, sans y attacher autrement d’importance, “évolution” pour signifier “enchaînement”, ou “plus évolués”, “moins évolués”, au sens de “plus perfectionnés”, “moins perfectionnés”, parce que c’est un langage conventionnel, admis et presque obligatoire dans le monde scientifique.

« L’Évolution est une sorte de dogme auquel ses prêtres ne croient plus, mais qu’ils maintiennent pour leur peuple. Cela, il faut avoir le courage de le dire, pour que les hommes de la génération future orientent leurs recherches d’une autre façon. » [Paul Lemoine, ancien Directeur et Professeur au Muséum, Encyclopédie Française. (1937), Tome V, p. 5-82-3 et 5-82-8.]

Pourtant, malgré cet aveu officiel, la théorie continuera d’être enseignée et finira même par s’imposer.

« Constatant, comme la plupart des personnes ayant étudié ces questions, un abandon total ou partiel du système transformiste par les leaders des sciences de la vie, j’ai toujours été choqué de voir cependant continuer, dans l’instruction de la jeunesse, l’enseignement des doctrines transformistes, présentées comme une synthèse définitivement acquise au patrimoine intellectuel de l’humanité. » [Eugène Raguin, Professeur de Géologie à l’École Nationale Supérieure des Mines, Préface de l’ouvrage L’évolution régressive (voir ci-dessous).]

On peut affirmer en toute objectivité que l’enseignement scientifique français est actuellement totalement transformiste.

« Quoi d’étonnant, dès lors, à trouver, au Palais de la Découverte, encyclopédie vivante organisée par le Gouvernement Français, le fameux “Cône de la Vie”, ayant à son sommet l’Être monocellulaire, duquel descendent, le long de courbes savantes, les représentants de tous les êtres animés. Des milliers de visiteurs ont pu emporter, gravée dans leur souvenir, cette synthèse en relief, résumé suggestif de l’Enseignement officiel. » [Georges Salet et Louis Lafont, L’évolution régressive (Éditions Franciscaines, 1943), p. 21.]

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Pourquoi la théorie n’a-t-elle pas été abandonnée ?

Deux raisons à cela :

I – La science se doit de donner une explication au problème du vivant.

Le biologiste Jean Rostand adhère à la théorie de l’évolution, tout en reconnaissant qu’elle est insuffisamment fondée.

« Pour ma part, je crois donc fermement à l’évolution des êtres organisés. Mais je n’ai garde, pour cela, de méconnaître le caractère extraordinaire, voire fantastique, des transformations que nous sommes tenus d’imaginer dans le passé de la vie, et dont il semble que ne s’étonnent suffisamment ni les profanes, qui ne se doutent pas des difficultés qu’elles soulèvent, ni peut-être certains spécialistes, trop familiarisés avec l’idée transformiste. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 24-25.]

Un aveu stupéfiant : l’évolution ne repose sur aucunes preuves, mais la théorie est tellement belle que l’on peut se passer de ces dernières.

« S’il est vrai que ni le lamarckisme ni le mutationnisme ne nous font comprendre le mécanisme de l’évolution, il faut avoir le courage de reconnaître que nous ignorons tout de ce mécanisme. […] Certains, peut-être, estimeront que, par un tel aveu d’ignorance, on laisse la partie belle à ceux qui combattent encore la doctrine transformiste. Mais, outre que la plus élémentaire probité intellectuelle commande de dire : “Je ne sais pas” partout où l’on croit ne pas savoir, je pense que cette doctrine est maintenant assez solide par elle-même pour qu’on n’ait pas besoin de l’étayer d’une représentation illusoire. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 36.]

Pour nombre de scientifiques, l’évolution est la seule hypothèse plausible et on est contraint d’y croire, faute de mieux.

« S’il existait une hypothèse scientifique autre que la descendance pour expliquer l’origine des espèces, nombre de Transformistes abandonneraient leur opinion actuelle comme insuffisamment démontrée. » [Yves Delage, L’Hérédité et les grands problèmes de la Biologie générale (2e édition, 1903), p. 204.]

« Certes, nous conviendrons, en toute objectivité, qu’on n’a pas le droit de tenir l’évolution organique pour une certitude dès lors qu’il s’agit d’événements révolus sans témoins et dont il est permis de douter que la nature actuelle nous fournisse encore l’exemple ; mais, si l’on ne peut que croire en l’évolution, il est quasiment impossible pour le biologiste, de ne pas y croire, et il serait fâcheux qu’un excès de scrupule positiviste jouât au bénéfice d’hypothèses somme toute beaucoup moins plausibles que celle de l’évolution. » [Jean Rostand, Ce que je crois (Grasset, 1953), p. 23.]

Cette opinion n’est cependant pas partagée par tous les biologistes.

« Alors ― objection classique des darwiniens ― vous ne voulez pas du darwinisme, et vous n’avez rien à mettre à sa place ? Ce n’est pas la question. Cette objection, comme l’a dit un ingénieux critique, revient à garder en prison un homme pourvu d’un excellent alibi, sous prétexte qu’il faut trouver le vrai coupable avant de le libérer ! La réponse, c’est qu’il reste à faire notre métier, c’est-à-dire à chercher autre chose… » [Rémy Chauvin, ancien Professeur honoraire à la Sorbonne, Le darwinisme ou la fin d’un mythe (Éditions du Rocher, 1997), p.10-11.]

II – La théorie de l‘évolution repose sur un présupposé philosophique.

Les scientifiques ne peuvent faire totalement abstraction de leurs opinions philosophiques.

« On dit souvent qu’il faut expérimenter sans idée préconçue. Cela n’est pas possible ; non seulement ce serait rendre toute expérience stérile, mais on le voudrait qu’on ne le pourrait pas. Chacun porte en soi sa conception du Monde, dont il ne peut se défaire aisément. Il faut bien, par exemple, que nous nous servions du langage, et notre langage n’est pétri que d’idées préconçues et ne peut l’être d’autre chose. Seulement ce sont des idées préconçues inconscientes, mille fois plus dangereuses que les autres. » [Henri Poincaré, La Science et l’Hypothèse (Flammarion, 1912), p. 170.]

« Dans ce domaine, consciemment ou inconsciemment, tout savant est influencé par ses opinions métaphysiques. Le système philosophique auquel adhère son esprit l’imprègne malgré lui, et tend à le guider dans son exploration de l’inconnu. […] cet aspect de la question est très généralement passé sous silence, les théories évolutionnistes étant présentées comme d’origine et de nature exclusivement expérimentales et scientifiques… » [Georges Salet et Louis Lafont, L’Évolution régressive (Éditions Franciscaines, 1943), p. 26.]

« Je prends ici la première personne, pour montrer que je parle en mon nom et non en celui des Transformistes dont beaucoup seront scandalisés en lisant cette déclaration. Je suis cependant absolument convaincu qu’on est, ou qu’on n’est pas Transformiste, non pour des raisons tirées de l’Histoire Naturelle, mais en raison de ses opinions philosophiques. » [Yves Delage, zoologiste et transformiste, L’hérédité et les grands problèmes de la biologie générale (1903), p. 204.]

Dix ans seulement après la sortie du livre de Charles Darwin, les biologistes avaient été mis en garde. Un grand scientifique avait vu le danger.

« Ce que Darwin a présenté comme la théorie de l’origine des espèces, ce n’est pas le résultat graduellement conquis de recherches pénibles, s’appliquant a la solution de quelques points de détail pour s’élever ensuite à une synthèse générale et compréhensive ; non, c’est une doctrine qui de la conception descend aux faits, et cherche des faits pour soutenir une idée. Il n’est pas surprenant qu’un tel ensemble de vues ait été décoré du nom d’Unisme. Est ce un éloge, est-ce un blâme ? Je ne sais, mais le fait reste. Le Darwinisme sera une des phases par lesquelles l’Histoire naturelle aura passé dans le cours de ce siècle. Je reconnais dans le caractère et la portée de cet enseignement une certaine analogie avec ce qui s’est produit lorsque les physio-philosophes, s’inspirant de Schelling, appliquèrent sa philosophie à l’histoire naturelle. Alors aussi, on vit acclamer une doctrine toute faite, embrassant la nature tout entière, et dont le point de départ était que l’Homme est le résumé et la synthèse individualisée de toute la création animale. […] Toute la science acquise jusqu’à cette époque-là, au prix des plus longues et des plus laborieuses recherches, fut mise de côté et remplacée par des conceptions purement théoriques. L’infatuation alla si loin que les travaux les plus spéciaux et les mieux faits de l’époque contemporaine n’étaient accueillis, dans l’École, qu’après avoir été recouverts du vernis de la Doctrine. Je crois qu’il en sera de l’enseignement de Darwin comme de celui de cette secte. » [Louis Agassiz, naturaliste américain d’origine Suisse, spécialiste mondial en glaciologie, De l’Espèce et de la Classification en Zoologie (Balliere, 1869), p. 375-391, Partie 3, Chapitre 7.]

D’autres scientifiques avaient fait la même constatation.

« Dans son ouvrage : Les Transformations du Monde Animal, M. Depéret expose le développement historique des idées transformistes et montre que Lamarck, Darwin et Haekel se préoccupèrent beaucoup plus de construire un système que de chercher à contrôler leurs idées par les données paléontologiques. » [Georges Salet et Louis Lafont, L’Évolution régressive (Éditions Franciscaines, 1943), p. 24.]

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Le mythe de l’évolution a toujours été combattu en France par de nombreux chercheurs, et non des moindres.

« Mais considérez l’exemple de Pierre-Paul Grassé, auteur de L’évolution du vivant. Matériaux pour une nouvelle théorie transformiste. Theodosius Grigorievich Dobzhansky, une sommité de la synthèse néo-darwinienne, a écrit au sujet du livre de Grassé : “ Le livre de Pierre-P. Grassé est une attaque directe contre toutes les formes du darwinisme. Son but est de détruire le mythe de l’évolution comme phénomène simple, bien compris et expliqué, et de démontrer que l’évolution est un mystère au sujet duquel on ne connaît ― et peut-être on ne peut connaître ― que peu de chose. Maintenant, on peut ne pas être d’accord avec Grassé, mais on ne peut l’ignorer. C‘est le plus distingué des zoologistes français, le rédacteur des 28 volumes du Traité de Zoologie, l‘auteur de nombreuses recherches originales, et l’ex-président de l’Académie des Sciences. Sa connaissance du monde vivant est encyclopédique. ” » [Cité par les Professeurs George Aldhizer, Gary Johnston et Douglas Krull (membres du Sénat de Faculté, à la Northern Kentucky University (NKU) aux USA), dans un article publié dans The Kentucky Post, le 4 janvier 2000.]

Ce dernier point est partagé par le biologiste français, Rémy Chauvin, qui écrit au sujet de Grassé :

« Mais il accomplit tout de même une prouesse que je n’ai jamais vu réalisée ailleurs : il avait quasiment digéré toute la zoologie, au point de mettre en chantier son illustre Traité de Zoologie, le seul qui soit au monde. […] Mais quand Grassé donne son avis sur l’évolution, en tant que zoologiste, il mérite au plus haut point d’être écouté : personne, j’ose le dire, ne connaissait mieux que lui l’évolution animale dans son ensemble. » [Le darwinisme ou la fin d’un mythe. (Éditions du Rocher, 1997), p. 19.]

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Pour conclure, voici quelques citations de Philip E. Johnson, juriste américain :

« Le darwinisme reste un échec scientifique […] En dépit d’un triomphalisme conventionnel, les savants darwinistes ne sont toujours pas parvenus à produire les confirmations empiriques qu’ils cherchent : les archives fossiles montrent trop de discontinuité dans l’évolution, et les découvertes de la biologie moléculaire obligent à conclure, avec Yves Coppens, que “le hasard fait trop bien les choses pour être crédible”. Mais la crise qui secoue actuellement l’édifice darwinien reste largement ignorée du public. » [Postface du livre Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997).]

Mais il continue toujours d’être enseigné.

« Si le darwinisme continue d’être le catéchisme enseigné dans les manuels, c’est parce qu’il est l’unique concurrent à l’hypothèse d’une Intelligence créatrice (œuvrant éventuellement de façon progressive). Mais n’est-t-il pas lui-même un acte de foi, faisant du hasard un dieu créateur, alors même que la thermodynamique l’a reconnu comme le maître du chaos ? » [Postface du livre Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997).]

Un mauvais présupposé philosophique peut conduire à une aberration.

« Pour les scientifiques naturalistes, reconnaître une réalité surnaturelle est faire preuve de superstition, et donc trahir la science. Pour les théistes en revanche, le concept d’un esprit surnaturel, à l’image duquel nous avons été créés, constitue la base métaphysique essentielle pour croire que le cosmos est rationnel et, dans une certaine mesure, compréhensible. Pour les naturalistes scientifiques, paradoxalement, le cosmos ne peut être compris par un esprit rationnel que s’il n’a pas été créé par un esprit rationnel. Cette méprise grotesque sur la théologie et sur l’histoire de la science nous enseigne que le monde scientifique est imprégné de mauvaise philosophie… » [Phillip E. Johnson, Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997), p. 222.]

A méditer :

« Les darwinistes nous disent qu’il est inutile de considérer la possibilité que les plantes et les animaux dussent leur existence à un créateur surnaturel, parce que des mécanismes naturels comme la mutation et la sélection sont capables d’accomplir l’œuvre de la création. Ce que je veux savoir, c’est si cette affirmation est vraie, et non pas si c’est la meilleure spéculation naturaliste disponible. Je ne doute pas que les biologistes évolutionnistes soient dévoués à la théorie par laquelle ils définissent leur discipline, et je ne doute pas que les scientifiques considèrent le projet naturaliste comme une réussite fantastique. Il n’en reste pas moins que des personnes ne partageant pas leur engagement préalable au naturalisme philosophique peuvent correctement penser que la théorie régnante n’est pas simplement incomplète, mais contredite par les faits.

« Ces questions ne peuvent être laissés à l’appréciation exclusive d’une classe d’experts, qui se comporteraient en prêtrise gardienne de l’orthodoxie ; des questions importantes de religion, de philosophie et de pouvoir culturel sont en jeu, et elles concernent tout le monde. L’évolution naturaliste n’est pas simplement une théorie scientifique : c’est devenu le récit officiel de la création dans la culture moderne. La prêtrise scientifique qui s’arroge l’autorité d’écrire et d’interpréter ce récit des origines y gagne une influence culturelle immense, et pourrait la perdre si le récit s’avérait un mythe sans fondement historique. C’est pourquoi les experts ont un intérêt, sinon une mission, à protéger ce récit, et à imposer des règles de raisonnement qui le rende invulnérable. Lorsque nous demandons “ votre récit est-il vrai ? ”, nous ne pouvons pas être satisfait de nous entendre dire : “ C’est de la bonne science, telle que nous la définissons. ” » [Phillip E. Johnson, Le Darwinisme en question, (Éditions Exergue, 1997), p. 215-216. ]

(Science-et-Verite.fr)




D.151 – La Terre ne bouge pas – Partie 7

 

SEPTIÈME PARTIE

LA CHUTE DE BABYLONE

Eschatologie.

C’est ainsi que l’on nomme l’enseignement biblique à propos de la Fin des Temps sur Terre. Cela vient du mot grec eschatos, qui signifie « le plus loin » ou « le dernier », et du mot logos qui veut dire « discours ». Ainsi, on dit, en théologie : « La doctrine des dernières choses, ou des choses finales, comme la mort, la résurrection, l’immortalité, le jugement. »

La Chute de Babylone est une partie de l’eschatologie que l’on retrouve à différents endroits dans la Bible, spécialement dans le dernier livre : l’Apocalypse. Or, le cœur même de la croyance chrétienne est son eschatologie au sujet du retour de Jésus. Il va revenir dans les nuées, de la même manière qu’Il est parti, il y a deux milles ans, mais, cette-fois-ci, en faisant éclater Sa Gloire sur toute la Terre. Il va mettre fin au système de ce monde et va démarrer un système éternel, paradisiaque, appelé le Royaume de Dieu sur Terre.

Il y a évidemment toutes sortes d’interprétations à savoir comment et quand tout cela va arriver, pendant cette période cruciale de la Fin des Temps. Le sujet est vaste et vital et, comme de bien entendu, rempli de séductions ! Mais ce n’est pas la place, ici, pour traiter de cela en profondeur. Nous vous référons pour ça à d’autres séries d’articles que nous avons à votre disposition dans notre site. Tout ce que nous avons besoin de faire, ici, c’est de voir et de comprendre que la dénonciation de la séduction universelle concernant le mouvement de la Terre est, non seulement apte à devenir le tapis que l’on tirera sous les pieds des contrefacteurs, dans le scénario de la Fin des Temps, mais ce fait même est garanti !

Il va falloir bien des explications, car nous savons qu’il n’y a qu’un minuscule pourcentage de la population mondiale qui prétend croire que la Bible est la Parole véritable de Dieu et même parmi ces gens, il y a toutes sortes d’idées au sujet de ce qui va arriver à la fin des temps. Voilà la raison pour laquelle le Corps des chrétiens dans le monde croyant à la Bible peut voir que le renversement du copernicisme doit conduire vers un grand retour à la Bible. Comment un chrétien croyant à la Bible peut-il s’opposer ou se montrer peu enthousiaste devant l’exposition d’une grande séduction satanique qui mène directement à la preuve que la Bible a toujours eu raison, même si le monde entier, y compris les églises chrétiennes, s’est laissé prendre par la séduction ?!

Nous nous attendons à ce qu’il y ait beaucoup de résistance, même au sein des églises dites fondamentalistes, spécialement quand elles verront l’Évolutionnisme s’effriter avec l’héliocentrisme et, en fin de compte, tout le système global humaniste qui, non seulement contrôle l’establishment scientifique, mais aussi l’éducation, les gouvernements, les loisirs, nommez-les… Elles en verront toute la destruction potentielle et même la destruction de leur propre dénomination, car, si une vague de fond de Vérité biblique déferle — ce que la dénonciation de la séduction héliocentrique va déclencher — chaque doctrine de chaque église devra être mesurée à la loupe de la Vérité scripturale qui sera enfin mise de l’avant clairement et indubitablement. Beaucoup de gens dans les églises résisteront à tout ce genre de mouvement et avec tous les moyens qui sont à leur portée ! Surtout dans la hiérarchie du pouvoir ! Car pour elle, ce sera la perte de ce pouvoir !

Cependant, beaucoup de gens dans les églises sont « des appelés, des élus et des fidèles » (Apocalypse 17:14). Ils aiment la Vérité et haïssent la séduction ! Ils aiment la Bible et veulent la voir triompher sur tous les sujets ! Ils se réjouiront à la perspective de voir la Parole de Dieu victorieuse sur les mensonges de Satan à propos de la Terre qui tourne et de l’homme en tant qu’animal évolué. Quand ils verront (et beaucoup sont prêts à voir !) que l’effondrement de ces deux séductions sataniques signifie qu’on lève le rideau sur le Système du Nouvel Ordre Mondial anti-biblique, humaniste et nouvel-âge et qui n’est qu’une contrefaçon de Satan du Plan des Temps de la Fin de Dieu, alors ils se joindront au combat en poussant des cris de joie et des alléluias ! Regardez-les bien lorsqu’ils prendront conscience que Dieu emballe ce vieux monde contrôlé par Satan, le jugera et détruira toutes les œuvres du Diable et que le Royaume ne sera qu’à un pas !

Un pas difficile à franchir, d’après ce qu’on peu lire dans la Bible, c’est vrai. Mais il y a deux côtés à cette médaille. L’endos sera rude, il n’y a pas de doute. Mais, comme il fut du temps des plaies répandues sur Pharaon et les Égyptiens, à l’époque de l’Ancien Testament lorsque Dieu protégea Son peuple, Il en fera de même avec son peuple des Temps de la Fin quant aux plaies qui ne frapperont que ceux dont le nom ne sera pas inscrit dans le Livre de Vie.

« Et il leur fut dit, qu’elles ne nuisissent point à l’herbe de la terre, ni à aucune verdure, ni à aucun arbre, mais seulement aux hommes qui n’ont point la marque de Dieu sur leurs fronts » (Apocalypse 9:4).

« Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:4).

Donc, l’essentiel, c’est qu’un groupe de gens dans toutes les églises chrétiennes vont bien accueillir et prendre la défense de la dénonciation des séductions de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme, et ils vont espérer que cela signifie que la Fin est proche, alors qu’un autre groupe, plus grand ou plus petit, Dieu seul le sait, va haïr cette dénonciation et y résister.

C’est ainsi que cela se passa avec « l’église » séduite, lorsque Jésus apporta des vérités qui entrèrent en conflit avec les doctrines et les traditions que la hiérarchie rabbinique avait établies. Et c’est ainsi que ça va se passer avec « l’église » présente, quand l’Esprit-Saint de Vérité (qui rend toujours témoignage de Jésus — Jean 15:26) apportera la Vérité au sujet du copernicisme et de l’évolutionnisme. « Un grand nombre aussi de Sacrificateurs obéissait à la foi » et suivait Jésus, malgré ce qu’en disait leur « église » (Actes 6:7). Et, bien sûr, une multitude du petit peuple Le suivirent également, en dépit de ce que leur disaient leurs leaders religieux. Mais, en grande part, évidemment, les Écritures nous montrent clairement que le Grand Prêtre et la majorité du sacerdoce était ces leaders qui résistaient à la Vérité qu’amenait Jésus et ils étaient ceux qui le firent crucifier.

Ce sera exactement le même scénario, lorsque seront mises de l’avant les Vérités qui vont détruire les séductions de Satan et tout le plan bien établi qui repose sur ces séductions. Ces Vérités signaleront le commencement de la Fin des systèmes de ce monde et le retour de Jésus dans les nuées. Certains s’en réjouiront, d’autres détesteront. Vous pouvez y compter.

Cela ne ressemble-t-il pas à ce que les Écritures nous disent : « …le jugement commence par la maison de Dieu… » (1 Pierre 4:17-18) ? Jésus a « crucifié » verbalement les leaders de l’église de Son époque en beaucoup d’occasions et impitoyablement ! Il leur donna toutes sortes de noms (Matthieu 23:13-39, etc.) et, le plus révélateur, Il leur dit que leur guide spirituel était Satan, pas Dieu (Jean 8:44). Jésus jugea cette « église » durement et souvent, il n’y a pas de doute. Ensuite, comme nous le savons, quelque trente ans après la résurrection de Christ, Pierre émit que l’Église serait jugée avant les Temps de la Fin. Voici mon point. Le jugement va commencer lorsque Dieu, et Dieu seul, mettra de l’avant les deux puissantes Vérités du géocentrisme et du créationnisme. Ces Vérités vont pousser les églises à admettre leurs fautes et à se repentir de leurs erreurs sur l’une (ou les deux !) de ces Vérités scripturales fondamentales. De cette manière, Dieu forcera ces églises, qui se targuent d’être chrétiennes, soit d’accepter Sa Parole comme étant Sa source confirmée de toute Vérité et s’en réjouir, soit refuser d’aimer et de recevoir Sa Vérité à partir de cette source.

Il s’agit donc d’un jugement fondé sur l’obéissance volontaire à la Parole confirmée et prouvée de Dieu. C’est ce que les Écritures mêmes disent. L’obéissance à la Parole est la clé du jugement de Dieu envers les églises lors de la Fin des Temps. Voyez plutôt :

« Car il est temps que le jugement commence par la maison de Dieu ; or s’il commence premièrement par nous [de la maison de Dieu], quelle sera la fin de ceux qui [dans la maison de Dieu] n’obéissent point à l’Evangile de Dieu ? 18Et si le juste [dans la maison de Dieu] est difficilement sauvé, où comparaîtra le méchant et le pécheur [dans la maison de Dieu] ? » (1 Pierre 4:17-18, emphase ajoutée).

Ainsi, l’obéissance à l’Évangile de Dieu EST ce sur quoi la maison de Dieu est jugée ! L’obéissance aux Vérités de Dieu (ainsi que leur perpétuation) telles qu’étalées dans la Parole constitue le travail de l’Église. Et cela veut dire de la première à la dernière page. Souvenez-vous que Jésus est Celui qui a tout créé ! Satan a dérobé au monde et aux églises ces Vérités sur la Création — une Terre immobile et la création en six jours de tout ce qui existe. Le temps est proche où le Seigneur des seigneurs et le Roi des rois va exposer les séductions de Satan et RÉVÉLER Sa Vérité en la matière. Et Il va séparer ceux qui se repentent et sont obéissants à Sa Parole de ceux qui ne le seront pas.

C’est là où entre dans le portrait l’Épouse de Christ, que nous voyons dans Éphésiens 5:27 : « Afin qu’il se la rendît une Eglise glorieuse, n’ayant ni tache, ni ride, ni autre chose semblable, mais afin qu’elle fût sainte et irrépréhensible » : et dans Apocalypse 21:2, 9 et 27 : « Et moi, Jean, je vis la sainte Cité, la nouvelle Jérusalem, qui descendait du Ciel, de devers Dieu, parée comme une épouse qui s’est ornée pour son mari … 9Alors un des sept Anges qui avaient eu les sept fioles pleines des sept dernières plaies, s’approcha de moi et me parla en disant: Viens et je te montrerai l’Epouse, qui est la femme de l’Agneau … 27Il n’y entrera aucune chose souillée, ni personne qui s’abandonne à l’abomination et au mensonge ; mais seulement ceux qui sont écrits au Livre de vie de l’Agneau. »

De toute évidence, cette Épouse est le symbole de l’Église qui a été purifiée de toutes ses FAUSSES DOCTRINES séductrices. Il est inconcevable que cette Église purifiée qui est « sans tache, ni ride [et] qui a un même avis » (Éphésiens 5:27 ; 2 Corinthiens 13:11 ; 1 Corinthiens 1:10) puisse être le mélange fragmenté des églises qui existent aujourd’hui, dont certaines ont remplacé les Écritures depuis fort longtemps par leurs propres commandements et traditions.

Nombre de prêcheurs disent que Jésus pourrait revenir avant qu’ils n’aient terminé leur sermon, et autres choses du genre. Il m’apparaît qu’il devra arriver un paquet de choses au sein et à l’extérieur des églises avant que Jésus ne revienne. Ces prêcheurs et la fausse eschatologie qu’ils prêchent est justement une des nombreuses fausses doctrines qui empêchent les gens dans toutes les églises d’être « d’un même avis ».

Ainsi, ces fausses doctrines sont des dominos qui sont renversés en exposant d’abord la séduction du copernicisme qui frappe ensuite la séduction du darwinisme qui, à son tour, renverse une autre fausse doctrine qui tombe sur une autre et ainsi de suite. Une fois que la séduction du copernicisme aura commencé à basculer, tenez-vous bien, car ce sera la chute de TOUTES les fausses doctrines !

La Chute de Babylone ! Voilà où mènera le renversement du copernicisme ! Examinons quelques Écritures sur le sujet et voyons ce qu’on y trouve de plus. Que veut dire « Babylone », tout d’abord ? L’ancienne cité était réputée pour ses richesses et son degré de méchanceté. Elle était située dans le même coin que Bagdad aujourd’hui, et Dieu fit en sorte que les enfants de Juda y furent captifs aux environ du sixième siècle avant Jésus-Christ. Il fut prophétisé qu’elle serait totalement détruite et nivelée et que personne n’y vivrait plus, ce qui a été accompli à la lettre, en dépit des récents efforts avortés de Saddam Hussein. Mais alors, à quoi se réfère donc la Bible quand elle parle d’une Babylone qui existera quelque deux millénaires et demi plus tard, et comment chutera-t-elle ?

« Babel » était un vieux mot hébreu qui signifiait « confusion », selon le Dictionnaire biblique Strong (#896). Il veut également dire « mélanger, mêler et être confondu » (#1101). Cela a beaucoup de bon sens parce que, lorsque Dieu mit un frein à la construction de Nemrod de la grande Tour de Babel astrologique, la Parole dit :

« Or ça, descendons, et confondons là leur langage, afin qu’ils n’entendent point le langage l’un de l’autre » (Genèse 11:7).

Les langues furent mélangées et mêlées, et il en résultat la confusion. C’est la signification du mot Babel qui n’est que l’ancien nom de Babylone. Donc, le synonyme de Babylone est « confusion ». Mais il y a des ajouts à cette signification du mot « Babylone » quand utilisé dans le Nouveau Testament. La signification grecque du mot « Babylone » — en plus d’indiquer la confusion — décrit aussi « un type de tyrannie » et résulte en « calamité » (#897-894).

En conséquence, si je rassemble tout ça, je sais que quand le mot « Babylone » est employé dans l’Apocalypse en référence aux Temps de la Fin, on parle du symbole en un mot unique désignant un « type de tyrannie » qui a mélangé et confondu les Vérités de Dieu avec les séductions de Satan qui maintient le monde entier dans la « confusion » et qui le dirige vers la « calamité ». Voilà le tableau.

Donc, quand la Bible parle de la Chute de Babylone, elle dit que Dieu apportera la « calamité » (la ruine) sur le « type de tyrannie » qu’a utilisé Satan pour « confondre » le monde entier. La Chute de Babylone n’a rien à voir avec une quelconque localité de l’Irak où était l’ancienne cité et où les efforts pour reconstruire la cité ne sont que des stratagèmes de fausse propagande utilisés pour garder en vie une eschatologie de contrefaçon. La Chute de Babylone veut plutôt dire la chute de la confusion, la chute des séductions de Satan, la chute de la tyrannie que Satan a exercée sur tout le monde en mélangeant et en mixant ses mensonges avec les Vérités de Dieu et ce, dans tous les domaines de la pensée et de l’activité humaines. La Chute de Babylone est un laps de temps bien défini où seront dénoncées toutes les séductions sataniques, où toute confusion sera levée, où la Parole de Dieu sera démontrée comme seule et unique source et mesure de la VÉRITÉ.

Tout le monde sur cette Terre aura, soit à aimer la Vérité, soit la haïr. Tous vont la savoir. Tous auront à décider de suivre le Dieu de la Bible où se rebeller contre Lui. Cela ne se fera pas tout à la même période de temps. Car chacun sera appelé à connaître la Vérité en son temps, c’est-à-dire, pour faire partie de la Première Résurrection, ou alors de la Deuxième Résurrection qui aura lieu après les mille ans de règne de Jésus-Christ sur Terre (l’ancienne), ou à la Troisième Résurrection qui mène à la seconde mort d’où il n’y a pas de retour à la vie.

Quand Babylone tombera, les séductions de Satan seront mises à nu. Il en est le seul auteur. Il n’y aura pas de milieu. Ce sera l’heure de la décision, celle que personne ne pourra ignorer. Suivre Dieu ou suivre Satan ; ce sera le seul choix. Quand Babylone sera tombée, elle ne se relèvera plus. Un nouveau délai commencera au son de la Première Trompette. À partir de là et pendant les 3½ ans du règne de la Bête, jusqu’à sa destruction et à la perte de Satan, la population mondiale sera divisée en deux catégories : les adorateurs de Dieu et les adorateurs de Satan. La confusion sera tombée, elle sera terminée ; tout le monde verra les plaies sans nombre et tous les autres détails de l’Apocalypse s’accomplir.

Il est donc très nécessaire à Satan de séduire les églises au sujet du déroulement des Temps de la Fin. Spécialement les églises qui professent croire à la Bible ! Par conséquent, l’on y trouve toutes sortes de scénarios des Temps de la Fin bibliquement impossibles et qui poussent les gens des églises à croire à l’une ou l’autre de ces contrefaçons eschatologiques, ce qui a pour conséquence qu’ils n’ont pas la moindre idée de ce qui se passe réellement ou à quoi s’attendre ! Il n’est pas particulièrement difficile de dénoncer ces séductions eschatologiques et nous entreprenons de le faire en marge de cette série-ci d’articles. Nous savons que c’est la bonne chose à faire parce que la Parole de Dieu dit clairement que le Peuple de Dieu est supposé savoir ce qui va arriver. Le monde ne sait pas et ne peut pas savoir ce qui va vraiment se passer car c’est spirituellement qu’on le discerne. Mais les chrétiens sont supposés le savoir, on présume qu’ils sont dans la lumière…

« … point dans les ténèbres de sorte que ce jour-là vous surprenne comme le larron » (1 Thessaloniciens 5:4).

Ainsi, quel est l’essentiel que nous devons garder en tête en ce qui a trait à la Chute de Babylone en rapport avec la séduction du copernicisme ? La chose principale à comprendre, c’est qu’il s’agit d’une période de temps où la Vérité de Dieu — débutant avec la Vérité de la Création — sera imposée au monde entier, séparant ceux qui aimeront la Vérité de ceux qui la haïront. Nous le voyons illustré dans Apocalypse 14:6-7 où « l’Évangile éternel » est prêché à toute la Terre, autant à ceux qui vont le recevoir que ceux qui vont le rejeter. « Les habitants de la Terre » dans l’Apocalypse se réfèrent toujours à ceux qui ne sont pas convertis (Apocalypse 13:8). Tout le monde va entendre l’Évangile (la Parole, la Vérité)…

« … car l’heure de son [Babylone] jugement est venue… » (Apocalypse 14:7).

Tout le monde aura le message que, si l’on veut suivre le Vrai Dieu, on doit commencer par reconnaître et adorer Jésus, le Dieu Créateur …

« …celui qui a fait le ciel et la terre, la mer et les fontaines des eaux » (Apocalypse 14:7).

Ce sera un temps de jugement sur le système du monde entier qui a été lié par un nœud gordien dans les séductions sataniques. Mais nous voulons ici souligner que le jugement commence par la maison de Dieu où il y a un gros ménage à faire en regard des doctrines qu’on y enseigne. Les Vérités sur la Création se répandront dans le monde, c’est sûr, mais le processus commence par les églises chrétiennes. Elles doivent se purger de toutes leurs fausses doctrines, en débutant par les contrefaçons de Satan à propos de la Création de Dieu, les enseignements de la fausse science sur le copernicisme et le darwinisme. Ensuite, Dieu fera chuter les « doctrines de démons » (1 Timothée 4:1) l’une après l’autre. Dieu le dit en termes indubitables :

« … Sortez de Babylone MON PEUPLE… » (Apocalypse 18:4).

On dirait bien que Son Peuple est également DANS la Babylone, en ce moment ! Qu’est-ce que cela signifie ? Peut-on réellement purger les églises et les purifier de leurs fausses doctrines ? Les membres de leurs hiérarchies permettront-ils que l’on dénonce le pouvoir qu’ils exercent sur le christianisme ? Est-ce que Dieu sous-entend qu’il nous faut réformer les églises ? Ne veut-Il pas dire, plutôt, qu’il faut sortir le peuple de Dieu de dans les églises ?

Si l’on comprend que la Grande Prostituée sera constituée du rassemblement sous une même égide de toutes les croyances religieuses du monde, y compris les églises dites chrétiennes (par le mouvement œcuménique), alors on en arrive à voir ce que Dieu entendait faire comprendre dans la Parole qu’Il a prononcée et transmise au prophète Ézéchiel, dans le chapitre 34 de son livre :

« 2Fils d’homme, prophétise contre les Pasteurs d’Israël [la maison de Dieu]… »

Lorsque le contexte est bien compris, on ne peut y voir qu’une prophétie directe à l’encontre de la hiérarchie ecclésiastique des Temps de la Fin. On y parle des télévangélistes comme des pasteurs, ministres, prêtres, évangélistes et tout ce qui constitue le corpus de la hiérarchie des églises d’hommes, églises où se trouve encore une bonne partie des enfants de Dieu. Mais voyez ce que Dieu a à reprocher à ces pasteurs :

« …malheur aux Pasteurs d’Israël qui ne paissent qu’eux-mêmes ! Les pasteurs ne paissent-ils pas le troupeau ? 3Vous en mangez la graisse, et vous vous habillez de la laine ; vous tuez ce qui est gras, et vous ne paissez point le troupeau ! 4Vous n’avez point fortifié les brebis languissantes, vous n’avez point donné de remède à celle qui était malade, vous n’avez point bandé la plaie de celle qui avait la jambe rompue, vous n’avez point ramené celle qui était chassée, et vous n’avez point cherché celle qui était perdue ; mais vous les avez maîtrisées avec dureté et rigueur. 5Et elles ont été dispersées, par la disette des Pasteurs, et elles ont été exposées à toutes les bêtes des champs, pour en être dévorées, étant dispersées… »

Les membres du Corps de Christ qui fréquentent toujours ces églises du corps des hommes souffrent d’une disette de Vérité qui est entretenue par le système de croyance rigide et sévère des hiérarchies en place depuis des millénaires. Certaines églises ne sont constituées que de fausses doctrines et n’ont rien de chrétien, malgré qu’elles s’affichent comme telles. Elles avalent tous les mensonges que Satan, en lion rugissant, a inséré dans la chrétienté. Elles nourrissent donc leurs ouailles d’une nourriture spirituelle corrompue, puante et nocive, mais les pauvres brebis, ne connaissant encore rien d’autre, doivent s’en contenter pour ne pas mourir de faim.

« Mes brebis ont été errantes par toutes les montagnes, et par tous les coteaux élevés ; mes brebis ont été dispersées sur tout le dessus de la terre ; et il n’y a eu personne qui les recherchât, et il n’y a eu personne qui s’en enquît. 7C’est pourquoi Pasteurs, écoutez la parole de l’Eternel. 8Je suis vivant, dit le Seigneur l’Eternel, si je ne fais justice de ce que mes brebis ont été exposées en proie, et de ce que mes brebis ont été exposées à être dévorées de toutes les bêtes des champs, parce qu’elles n’avaient point de Pasteur ; et de ce que mes Pasteurs n’ont point recherché mes brebis, mais que les Pasteurs se sont nourris simplement eux-mêmes, et n’ont point fait paître mes brebis. 9C’est pourquoi Pasteurs, écoutez la parole de l’Eternel. 10Ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : Voici, j’en veux à ces Pasteurs-là, et je redemanderai mes brebis de leur main, je les ferai cesser de paître les brebis ; et les pasteurs ne se repaîtront plus uniquement eux-mêmes, mais je délivrerai mes brebis de leur bouche, et elles ne seront plus dévorées par eux. 11Car ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : me voici, je redemanderai mes brebis, et je les rechercherai. 12Comme le Pasteur se trouvant parmi son troupeau, recherche ses brebis dispersées ; ainsi je rechercherai mes brebis, et les retirerai de tous les lieux où elles auront été dispersées au jour de la nuée et de l’obscurité. »

Quoique le langage soit imagé, il dépeint exactement ce qui se passe aujourd’hui dans le « christianisme organisé ». Dieu dénonce la furie de convoitise qui étreint la multitude de loups ravisseurs qui se sont érigés en télévangélistes pour enseigner les choses les plus délirantes aux gens ignorants de la Parole de Dieu. Car ils se sont bien gardés d’enseigner la Parole dans toute sa largeur, sa longueur et sa profondeur ! Ils y auraient perdu leur pouvoir de séduction extrêmement lucratif ! Alors, que fera Dieu ? Ils ôtera Ses enfants de leurs mains ! Il les fera sortir des églises ! Car ces églises sont au cœur de la Grande Babylone à Mystères !

« 15Moi-même je paîtrai mes brebis, et les ferai reposer, dit le Seigneur l’Eternel. 16Je chercherai celle qui sera perdue, et je ramènerai celle qui sera chassée, je banderai la plaie de celle qui aura la jambe rompue, et je fortifierai celle qui sera malade ; mais je détruirai la grasse et la forte ; je les paîtrai par raison. 17Mais quant à vous, mes brebis ; ainsi a dit le Seigneur l’Eternel : voici, je m’en vais mettre à part les brebis, les béliers, et les boucs. »

Dieu va S’occuper Lui-même de Ses enfants en les sortant des églises et en les éduquant Lui-même par Son Esprit. Dieu n’a-t-Il pas dit, dans Jérémie 31:33 : « Car c’est ici l’alliance que je traiterai avec la maison d’Israël après ces jours-là, dit l’Eternel : Je mettrai ma Loi au dedans d’eux, je l’écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple » ? Et que le Saint-Esprit va nous conduire dans toute la Vérité ? « Mais le Consolateur, qui est le Saint-Esprit, que le Père enverra en mon Nom, vous enseignera toutes choses » (Jean 14:26) ; « Mais quand celui-là, savoir l’Esprit de vérité, sera venu, il vous conduira en toute vérité » (Jean 16:13).

Notre Créateur Se chargera de nous sortir des mensonges de Satan et instruira Son peuple dans toute la Vérité. Il est la Vérité ; Il est le Chemin qui y conduit ; Il est l’amour qui y pourvoit !

Ézéchiel 34 : « 18Vous est-ce peu de chose d’être nourries de bonne pâture, que vous fouliez à vos pieds le reste de votre pâture ? et de boire des eaux claires, que vous troubliez le reste avec vos pieds ? 19Mais mes brebis sont nourries de la pâture que vous foulez à vos pieds, et elles boivent ce que vos pieds ont troublé. 20C’est pourquoi le Seigneur l’Eternel leur a dit ainsi : me voici, je mettrai moi-même à part la brebis grasse, et la brebis maigre. 21Parce que vous avez poussé du côté et de l’épaule, et que vous heurtez de vos cornes toutes celles qui sont languissantes, jusqu’à ce que vous les ayez chassées dehors ; 22Je sauverai mon troupeau, tellement qu’il ne sera plus en proie, et je distinguerai entre brebis et brebis. »

Les loups ravisseurs ayant envahi les églises depuis l’ère apostolique ont changé la nourriture spirituelle de Dieu pour du fac-similé sans substance et les enfants de Dieu crèvent de faim. Les fausses doctrines ont été frelatées et insérées dans le credo des différentes confessions. Pour sa part, le « sacerdoce scientifique » ne fut pas en reste et a entraîné le monde entier à croire que la Bible n’avait rien de scientifique et ne pouvait donc pas être fiable en ce qui a trait à l’origine du monde, à son caractère et à son fonctionnement.

« 23Je susciterai sur elles un Pasteur qui les paîtra, savoir mon serviteur David ; il les paîtra, et lui-même sera leur Pasteur. 24Et moi l’Eternel, je serai leur Dieu ; et mon serviteur David sera Prince au milieu d’elles ; moi l’Eternel j’ai parlé. 25Et je traiterai avec elles une alliance de paix ; et je détruirai dans le pays les mauvaises bêtes ; et les brebis habiteront au désert sûrement, et dormiront dans les forêts. 26Et je les comblerai de bénédiction, et tous les environs aussi de mon coteau ; et je ferai tomber la pluie en sa saison ; ce seront des pluies de bénédiction. 27Et les arbres des champs produiront leur fruit, et la terre rapportera son revenu ; et elles seront en leur terre sûrement, et sauront que je suis l’Eternel, quand j’aurai rompu les bois de leur joug, et que je les aurai délivrées de la main de ceux qui se les asservissaient. 28Et elles ne seront plus en proie aux nations, et les bêtes de la terre ne les dévoreront plus ; mais elles habiteront sûrement, et il n’y aura personne qui les épouvante. 29Je leur susciterai une plante célèbre ; elles ne mourront plus de faim sur la terre, et elles ne porteront plus l’opprobre des nations. 30Et ils sauront que moi l’Eternel leur Dieu suis avec eux, et qu’eux, la maison d’Israël, sont mon peuple, dit le Seigneur l’Eternel. 31Or vous êtes mes brebis, vous hommes, les brebis de mon pâturage, et je suis votre Dieu, dit le Seigneur l’Eternel. »

L’accomplissement de cette prophétie est pour très bientôt. Lors du retour de Jésus-Christ en tant que Roi des rois et Seigneur des Seigneurs, la Vérité sera mise de l’avant dans tous les domaines et Dieu Lui-même guérira les plaies spirituelles occasionnées par la confusion de doctrines étranges et fausses qui parsèment le parterre des églises du monde. Mais ce grand ménage commencera avant même que notre Seigneur arrive, car, pendant les 3½ ans de règne de la Bête, ceux qui sont appelés les 144 000 auront à enseigner et à dénoncer ! Ils feront face aux Antichrists et aux Faux Prophètes et exposeront leurs supercheries. Ils faut donc que l’Esprit les éduque dès maintenant. Et cet exposé sur la Terre qui ne tourne pas en est le début.

Les églises de ce monde sont tellement criblées de séductions que l’on doit en purifier les membres qui ont à cœur la Vérité de Dieu. Le monde ne suit pas la Parole de Dieu, mais il apprendra ses erreurs. Les églises chrétiennes qui sont supposées maintenir les enfants de Dieu séparés des voies du monde, gardés au sein du Royaume de Dieu et enseignés dans la Parole sont devenues tellement séduites qu’elle font partie de la grande Babylone ! C’est pourquoi Dieu doit dire à chacun des chrétiens, individuellement, par quelque inspiration, de « sortir du milieu d’elle[s] » et de leurs séductions et cesser de suivre de fausses doctrines quand il peut avoir une meilleure connaissance, ou il aura à souffrir des mêmes plaies qui tomberont sur tous ceux qui refuseront d’obéir à Sa Parole quand ils entendront la Vérité.

Or, peu après que le monde entier aura entendu l’Évangile de Vérité, Dieu annoncera que « Babylone est tombée ! » (Apocalypse 14:6-8). Puis, les plaies de la Colère de Dieu se répandront pendant un court laps de temps et le Roi des rois, Jésus-Christ, installera Son règne qui ne sera jamais détruit (Daniel 2:44).

Donc la période de jugement qui commence par la Maison de Dieu, alors que la Vérité se répand dans le monde entier et le divise entre ceux qui adoreront le Dieu de la Création biblique (lequel ils sauront qu’il s’agit de Jésus-Christ, la Parole) et ceux qui refuseront d’adorer Jésus-Christ, est la période où la Babylone moderne chutera. Évidemment, la « Chute de Babylone » englobe bien plus que la dénonciation des mensonges sataniques du copernicisme et du darwinisme. Nous devons le souligner.

Nous mettons donc l’emphase sur le fait que tout l’Évangile sera mis de l’avant ! Toute la Vérité sera inspirée surnaturellement et sera imposée à tout le monde pour que tous entendent les Vérités divines, qu’on le veuille ou non. « Et cet Evangile du Royaume sera prêché dans toute la terre habitable, pour servir de témoignage à toutes les nations, et alors viendra la fin, » a dit Jésus, dans Matthieu 24:14. Cet évangélisation, la dernière grande avant le retour de Christ, aura pour effet de réveiller les ouvriers de la dernière heure, les martyrs de la grande tribulation, le reste des compagnons de service qui doivent être mis à mort (Apocalypse 6:11). Qui sont-ils ? « Ce sont ceux qui sont venus de la grande tribulation, et qui ont lavé et blanchi leurs longues robes dans le sang de l’Agneau » (Apocalypse 7:14).

Mais cette évangélisation sera effectuée par qui, tout d’abord ? Dans Apocalypse 7, nous voyons qu’il s’agit des 144 000 serviteurs de Dieu qui évangéliseront pendant les 3½ ans du règne de la Bête, ainsi que les deux Témoins fidèles (Apocalypse 11). (Pour une bonne compréhension de ces symboles, référez-vous à notre message D.011 Les Saints Martyrs et les 144 000 et D.015 Les deux témoins.)

La période de la Fin des Temps ne sera pas un pique-nique du dimanche ! Loin de là ! C’est l’époque où Dieu fera connaître Ses Vérités et un avant-goût de la Colère de Dieu contre tous les mensonges qui ont pris les systèmes du monde au piège. C’est le moment où les œuvres du Diable seront détruites. Toute les séductions de Satan tomberont durant la Chute de Babylone. Non seulement les séductions religieuses seront-elles dénoncées et anéanties, mais également les grandes conspirations se faisant passer pour des organisations bénéfiques sur le plan économique, politique, social ou religieux. La Bible dit qu’elles seront désolées (Apocalypse 18:19).

En l’an 51 apr. J.-C., l’apôtre Paul a prophétisé que Jésus ne reviendrait pas avant que « la révolte ne soit arrivée auparavant, et que l’homme de péché, le fils de perdition, ne soit révélé » (2 Thessaloniciens 2:3). Beaucoup enseignent qu’il s’agit d’une espèce de révolte contre l’Église et que c’est une mauvaise chose. Si l’on comprend que le Corps de Christ n’est pas une constitution corporative officiellement établie, avec siège social et tout le bataclan, comme les églises des hommes, mais qu’il est formé d’enfants de Dieu qu’Il est le seul à connaître dans leur totalité, l’affirmation précédente n’a pas beaucoup de sens. Toutefois, nous pouvons avancer, sans risque de nous tromper et en nous basant sur la connaissance que nous avons apprise dans cette série d’articles, qu’il y aura une révolte contre toutes les églises institutionnalisées et se faisant passer pour chrétiennes, lorsque le copernicisme et le darwinisme seront révélés ! Vous pouvez en être sûr !

Mais ce ne sera que le prélude — le coup d’envoi, si vous préférez — à la Chute de Babylone. Il s’agira du jugement dans la Maison de Dieu qui précédera le jugement sur la foule en dehors des églises chrétiennes. La Chute de Babylone en soi, i.e., le jugement et la division du monde par la Vérité de Dieu (Sa Parole), suit le jugement de l’Église.

Nous pouvons donc dire que le jugement de l’Église, c’est le sort que subiront tous les appelés, aujourd’hui dispersés dans les églises, durant la période de grande tribulation de 3½ ans. À la fin de ces 3½ ans, le retour en gloire de Jésus-Christ sonnera le moment de la Première Résurrection, lors de la fameuse septième Trompette. Et alors, la Colère de Dieu s’abattra sur la Babylone et la détruira en « une heure » ! Ce sera son jugement final inéluctable !

Et cette partie parlant de « l’homme du péché » qui ne sera pas révélé avant que ne vienne la révolte, comment cela entre-t-il dans le décor ? Nous savons que cet « homme du péché » est aussi appelé « le fils de perdition » dans le même verset de 2 Thessaloniciens 2:3. Cette dernière expression ne sert pas seulement à nommer Judas Iscariote (Jean 17:12), mais aussi « la Bête » des chapitres 13 et 17 de l’Apocalypse, car cet « Antichrist » est indubitablement « l’homme du péché » appelé également « le fils de perdition ». Dans 2 Thessaloniciens 2:3 ainsi que dans Apocalypse 13:4, nous voyons que cet individu investi des pleins pouvoirs de Satan possède une position très haute d’autorité dans le monde avant la Chute de Babylone. Nous voyons qu’il est une figure « religieuse » faisant d’extraordinaires déclarations et…

« …qu’on adore, jusqu’à être assis comme Dieu au Temple de Dieu voulant se faire passer pour un Dieu » (2 Thessaloniciens 2:4).

Cette description devrait rétrécir passablement le champ des candidats ! Qui, dans le monde « s’élève contre tout ce qui est nommé Dieu, ou qu’on adore, jusqu’à être assis comme Dieu au Temple de Dieu voulant se faire passer pour un Dieu » ? Vous me répondrez peut-être qu’il pourrait s’agir du pape, mais il y a de très bonnes raisons d’affirmer qu’il ne peut s’agir de la papauté, même si celle-ci jouera sûrement un rôle prédominent pendant le règne de la Bête. D’abord, n’oubliez pas que l’Église catholique est assurément la Grande Prostituée décrite dans Apocalypse 17. La description que l’ange fait à l’apôtre Jean est par trop évidente. Cette église faussement chrétienne aura tout probablement atteint son but d’œcuménisme et commencera à régner en maîtresse sur ses filles (les églises protestantes).

Mais remarquez qu’au chapitre 13, il est question d’une deuxième Bête qui sort de la terre, cette fois. Le contexte nous montre qu’il s’agit du Faux Prophète, le dirigeant de la grande religion unique qui englobera le monde pendant les 3½ ans du règne de la première Bête. Or, voyez ce qui arrive au chapitre 17, des versets 15 à 17 :

« Puis il me dit : Les eaux que tu as vues, et sur lesquelles la prostituée est assise, sont des peuples, des nations et des Langues. 16Mais les dix cornes que tu as vues à la bête, sont ceux qui haïront la prostituée, qui la désoleront, la dépouilleront, et mangeront sa chair, et la brûleront au feu. 17Car Dieu a mis dans leurs cœurs de faire ce qu’il lui plaît, et de former un même dessein, et de donner leur Royaume à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Dieu soient accomplies »

La Grande Prostituée, i.e., l’Église catholique, le Vatican, sera détruite par la Bête et le Faux Prophète ! Comment pourraient-ils détruire l’Église catholique si l’un ou l’autre était le pape ?! Nous devons donc conclure que le dernier Antichrist religieux, le chef de la dernière religion unique, NE SERA PAS CHRÉTIEN ! Au contraire, il fera la guerre aux chrétiens, cherchant par tous les moyens à les détruire parce qu’ils dénoncent ses agissements comme étant inspirés directement de Satan !

La séduction du monde à propos de ces hommes est ancrée si profondément qu’il est écrit que les dirigeants du monde « prendront puissance comme Rois, en même temps avec la bête. 13Ceux-ci ont un même dessein, et ils donneront leur puissance et leur autorité à la bête » (Apocalypse 17:12-13). Dans la version d’Ostervald, il est écrit : « …ils auront la puissance comme rois, avec la bête, pour une heure. »

Cette heure est la dernière étape avant la guerre d’Armageddon, celle qui débutera la Colère de Dieu, alors que Jésus-Christ, posant le pied sur la montagne des Oliviers, « vendangea la vigne de la terre, et il jeta la vendange en la grande cuve de la colère de Dieu » (Apocalypse 14:19).

« Pourquoi y a-t-il du rouge en ton vêtement ? et pourquoi tes habits sont-ils comme les habits de ceux qui foulent au pressoir ? 3J’ai été tout seul à fouler au pressoir, et personne d’entre les peuples n’a été avec moi ; cependant j’ai marché sur eux en ma colère, et je les ai foulés en ma fureur ; et leur sang a rejailli sur mes vêtements, et j’ai souillé tous mes habits. 4Car le jour de la vengeance est dans mon cœur, et l’année en laquelle je dois racheter les miens, est venue » (Ésaïe 63:2-4).

« Et ses pieds se tiendront debout en ce jour-là sur la montagne des Oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté d’orient ; et la montagne des Oliviers sera fendue par le milieu, vers l’Orient et l’Occident, de sorte qu’il y aura une très-grande vallée ; et une moitié de la montagne se retirera vers l’Aquilon, et l’autre moitié vers le Midi. 5Et vous fuirez par cette vallée de montagnes ; car il fera joindre cette vallée de montagnes jusqu’à Atsal ; et vous fuirez comme vous vous enfuites de devant le tremblement de terre, aux jours d’Hozias Roi de Juda ; alors l’Eternel mon Dieu viendra, et tous les saints seront avec toi. 6Et il arrivera qu’en ce jour-là, la lumière précieuse ne sera pas mêlée de ténèbres. 7Mais le jour sera sans mélange, lequel sera connu de l’Eternel : Il n’y aura point une alternative de jour et de nuit, mais au temps du soir il y aura de la lumière … 9Et l’Eternel sera Roi sur toute la terre ; en ce jour-là il n’y aura qu’un seul Eternel, et son nom ne sera qu’un … 12Or ce sera ici la plaie de laquelle l’Eternel frappera tous les peuples qui auront fait la guerre contre Jérusalem ; il fera que la chair de chacun se fondra, eux étant sur leurs pieds ; et leurs yeux se fondront dans leurs orbites, et leurs langues se fondront dans leur bouche » (Zacharie 14:4-7, 9, 12).

La bataille d’Armageddon arrivera en clôture de la Chute de Babylone, cette Babylone qui aura régné « une heure », ce qui, en langage biblique, est l’équivalent d’un très court laps de temps, que nous croyons être le règne de 3½ ans de la Bête. Il s’agit clairement d’une période où la stratégie de Satan pour détruire la Bible obtient sa dernière opportunité par la tentative de mettre en place un Nouvel Ordre Mondial, un Nouvel Âge, un système utopique pseudo-religieux. On ne ridiculise pas Dieu, ni les Siens qui sont « appelés, élus et fidèles » à Sa Parole (Apocalypse 17:14). C’est pendant cette « heure » que la question du copernicisme et de l’évolutionnisme produiront un impact sur le monde, préparant les églises chrétiennes pour le jugement et apprêtant la table pour l’effondrement de toutes les séductions de Satan dans la Chute de Babylone qui prendra également « une heure » suivant immédiatement la grande évangélisation des 144 000 et des deux Témoins. Aucun doute que les disciples de Jésus remporteront cette bataille, car elle culminera par la Première Résurrection, au moment du retour de Jésus en gloire !

Voilà donc la signification de ce qui est écrit à ce sujet. Il ne faudra qu’une légère incitation du Saint-Esprit pour rendre clair le sens de la Parole où il est dit que Dieu Lui-même tournera ceux qui auront supporté la Bête contre la Grande Prostituée, la Babylone à Mystères, pour la désoler et l’anéantir (Apocalypse 17:16-17). Cela se fera durant le règne de l’Antichrist politique et par l’Antichrist religieux (le Faux Prophète). La Bête passera pour un grand héros, aux yeux de « ceux qui habitent la terre » et qui l’adoreront parce qu’ils haïssent la Parole de Dieu et ne suivront pas Son Auteur ! Mais c’est le héros de la désobéissance, le héros sorti des cendres de l’Empire romain/babylonien (Apocalypse 13:4, 8).

L’effondrement des séductions copernicistes et darwinistes, les deux premiers dominos à tomber, sera suivi de l’effondrement graduel des autres mythes, en grande partie eschatologiques et doctrinaux, répandus dans les églises et dans le monde séculier. À mesure que les séductions vont être exposées, ceux qui veulent suivre le Seigneur seront forcés de reconsidérer sérieusement toutes leurs doctrines et leurs traditions à la lumière de la seule Parole de Dieu qui ne peut souffrir aucun enseignement contradictoire et confus et ce, sur aucun sujet donné.

Ayant constaté que la puissance de la séduction peut être si forte que le monde entier en est venu à croire et à enseigner le mensonge d’une Terre qui tourne, et que pratiquement tout le monde a cru et enseigné le mensonge de l’évolutionnisme, qui donc, dans les églises ou en dehors, peut être assez audacieux pour avancer que ses doctrines et ses croyances sont absolument pures de toute séduction ? Quelques doctrines, très rares dans les églises, sont pures de séduction. D’autres sont un mélange de Vérité et de séduction. D’autres encore ne sont que pure séduction. Malheureusement, ces dernières semblent foisonner dans les « églises chrétiennes » institutionnalisées des hommes. Ceux qui ont accepté, ou accepteront Jésus (la Vérité — Jean 14:6), seront scellés en tant que Peuple de Dieu et seront protégés des plaies qui tomberont sur les « habitants de la Terre » (Apocalypse 3:10 ; 7:3-4 ; 9:4 ; 18:4). Mais les rebelles seront conduits à servir le Diable et prendront le risque de partager sa condamnation (2 Thessaloniciens 2:12).

Bref, le monde d’aujourd’hui est sur le point d’assister à un geste de Dieu qui prouvera Sa Parole et divisera toute la population en deux camps. L’un d’eux va recevoir la Vérité de Sa Parole sur toutes les questions avec amour et joie. L’autre camp préférera les mensonges à la Vérité et choisira volontairement de suivre son vrai père, le père du mensonge, Satan lui-même (2 Thessaloniciens 2:10, 12 ; Jean 8:44).

Dieu a dit qu’Il soutient la Terre au-dessus de rien et qu’elle ne peut être ébranlée, elle ne peut bouger. L’homme, dans toute sa « sagesse », qui n’est basée sur rien d’autre que les séductions de Satan destinées à l’éloigner de la Bible, a déclaré que la Terre tourne et que Dieu est menteur. Comme ce fut le cas dès le Jardin d’Éden, c’est Satan qui a menti, pas Dieu. Chaque heure et chaque jour de l’histoire de l’humanité fut, dès le tout début, ordonné et régularisé par Dieu. Il sait toutes choses. Il savait en quoi se transformerait le début et Il sait quelle sera la Fin. S’il n’y avait pas eu de séducteur et de séduction, Adam et Ève n’auraient pas été tentés, il n’y aurait pas eu de chute de l’homme et aucun besoin que Jésus vienne racheter l’humanité. Dieu connaît le commencement et la fin. Il y a longtemps, il fut donné à Jésus…

« …toute puissance … dans le ciel et sur la terre… [et Il] est à la droite de Dieu, étant allé au Ciel ; et auquel sont assujettis les Anges, et les dominations, et les puissances » (Matthieu 28:18 ; 1 Pierre 3:22).

Tout ce qui conduit à la Fin de ce monde chargé de séductions et au Commencement du Royaume de Dieu sur Terre suit à 100 % la piste du Plan de Dieu qu’Il a établi avant même que le monde fut créé (Actes 15:18). Satan ne peut pas changer les Plans de Dieu ! Il sert d’instrument dans ce Plan, car « il a été meurtrier dès le commencement, et il n’a point persévéré dans la vérité, car la vérité n’est point en lui » (Jean 8:44). Sa fin était connue avant qu’il ne fut créé, car, bien que créé parfait, il a été le premier à pécher (Ésaïe 14:15-16 ; Ézéchiel 28:12-18 ; Apocalypse 4:11). L’homme non plus ne peut changer les Plans de Dieu ! Lui aussi est une créature (Genèse 1:27). Personne ne peut changer les Plans de Dieu. Ils sont parfaits, après tout, et n’ont pas besoin d’être changés !

Et, merci à Lui, Dieu a étalé tout Son Plan parfait, du début à la fin, dans Sa Parole de Vérité. Le rideau est à la veille de se lever sur les dernières scènes de l’Acte des Temps de la Fin de ce Drame de 6 000 ans. Les acteurs sont en place, les establishments économico-politico-scientifico-religieux sont en place. La table est mise.

Lorsque commencera le défi au copernicisme, regardez attentivement, et vous verrez le rideau se lever.

POST-SCRIPTUM

La porte est ouverte. La balle est en jeu. Amateurs comme professionnels, vous qui craignez Dieu plus que les hommes, vous pouvez trouver encore d’autres preuves abondantes que la Terre ne tourne pas et que les chrétiens de la Bible ont raison, même si le monde entier est persuadé que la Parole a tort.

Il y aura d’autres sujets de recherches avec promesse qu’ils fourniront de solides indices que la Terre est immobile au centre de l’univers : l’occultation des étoiles par la lune, le mystère des phases lunaires diurnes, des photographies télescopiques inversées des éclipses, contradiction grossière entre l’albédo réelle de la Terre et celle prédite sur la surface de la lune, l’absence de clair de Terre sur la nouvelle lune, l’orbite lunaire quotidienne autour de la Terre associée aux faits sidéraux égale ??, le Collier de Bailey ne révèle pas de renflement équatorial, les cadrans solaires, le magnétisme, les traînées de comète, etc.

Il y aurait assez de matière sur ces sujets et bien d’autres pour nous garder occupés de 5 à 10 ans, produire un document de 4 000 pages et devenir candidats pour avoir un chien d’aveugle. Il y a une tonne d’information à notre portée, attendant qu’on la tire de la poigne chancelante de la vieille mentalité héliocentrique de plus de 400 ans. Ce matériel peut être scruté sans relâche jusqu’à ce que les défauts, outre ceux signalés dans cette série d’articles, puissent être découverts. Tous ces vices mis ensemble pourront alors être grossis à un tel point de précision et de clarté que personne à nulle part ne pourra nier le message qu’ils nous envoient.

Ce message dit que nous nous sommes tous faits avoir par un mythe monstrueux, appelé vérité, qui renie la Bible.

Bientôt, les rôles seront renversés. La Parole de Dieu constitue la Vérité sur ce sujet comme sur tous les autres. On ne peut échapper à cette réalité. Le temps de marcher avec la Parole de Dieu ou contre elle arrivera quand le copernicisme crèvera et débordera sur le mythe de l’évolutionnisme.

À bon entendeur, salut !




D.150 – La Terre ne bouge pas – Partie 6

 

SIXIÈME PARTIE

L’éloquent Zodiaque

Tiré du Dictionnaire Larousse, éd. 1988
« LE ZODIAQUE — Où que se tienne le soleil dans le ciel, il cache certaines constellations d’étoiles par sa lumière. Pendant que la Terre tourne autour du soleil durant l’année, le soleil semble se déplacer vers l’est, à contre-courant des constellations en fond de toile. Les planètes et la lune semblent aussi se déplacer graduellement dans le ciel, en passant devant les mêmes constellations. »

Vous savez, il règne une grande confusion en ce qui a trait au Zodiaque. On a dit à tout le monde que l’Astrologie n’est pas scientifique, que ce n’est que de la superstition (ET C’EST VRAI !), mais, en même temps que l’on apprend cela, on apprend aussi que le Zodiaque est essentiel à l’astrologie (c’est également vrai), et si l’on a dans l’idée de rejeter l’astrologie, on rejettera aussi le Zodiaque.

C’est là qu’on commet une grave erreur et elle est directement reliée au fait que la Terre tourne ou ne tourne pas. Établissons d’abord certaines choses et nous verrons ensuite la connexion. Premièrement, la Bible ne condamne pas le Zodiaque. En fait, le Zodiaque est une Bible dans le ciel, lorsqu’utilisé tel que l’a entendu Dieu. Le problème y est le même que quand il est question des autres Vérités de Dieu, c’est-à-dire que Satan a imaginé une contrefaçon du réel et a trompé le monde de telle sorte que, soit que les gens jettent le bébé (le Zodiaque) avec l’eau du bain (l’astrologie), soit qu’ils croient à l’horoscope astrologique frelaté qui n’est qu’un paquet de mensonge d’un bout à l’autre.

Où la Bible parle-t-elle du Zodiaque ? Lisez ceci :

« …Job parle du Zodiaque comme étant la manière dont les étoiles se déplacent dans le ciel (Job 38:32). Et Job parle de Son témoin dans le ciel (Job 16:19). Job 9:9 parle d’Orion, de la Grande Ourse et des Pléiades. Ils sont encore mentionnés dans Job 38:31. Job parle du dragon ou serpent dans le ciel, dans Job 26:13. Ils font tous partie des signes du Zodiaque et, puisque Job dit clairement qu’ils sont la création de Dieu, ils ne peuvent être mauvais. Le premier but de Dieu en faisant les étoiles, dans Genèse 1:14, fut d’en faire des “signes”. »[1]

On se rappellera de cette partie des Écritures. Il y a également le Psaume 50:6 qui dit :

« Les cieux aussi annonceront sa justice : parce que Dieu est le juge… »

Dans Psaume 97:6 :

« Les cieux annoncent sa justice, et tous les peuples voient sa gloire. »

Le mot hébreu traduit par « annoncent » est nagad qui signifie « déclarer… faire ressortir avec assurance… manifester… expliquer… interpréter pleinement… mettre de l’avant… parler avec sûreté… dire… ». Donc, l’auteur que nous avons cité est en terrain sûr lorsqu’il avance :

« Cela signifie que, d’une certaine façon, les cieux déclarent l’Évangile … Ainsi, il est clair que les signes du Zodiaque peuvent être utilisés d’une manière chrétienne, fondée sur la Bible. »[2]

Mais l’astrologie est une toute autre paire de manches…

« L’astrologie prêche que les planètes ont leur propre conscience … L’astrologie, en définitive, enseigne que le système solaire possède une super-conscience qui opère sans Dieu… »[3]

En d’autres termes, l’astrologie enseigne que notre destin, notre sort, sont déterminés par la position du soleil, de la lune, des planètes et des étoiles ; et que ces sphères sont dans différentes parties du Zodiaque avec diverse étoiles en toile de fond durant les mois variés de l’année ; et que ces différentes localités s’appellent des « maisons » et qu’elles portent des noms comme « Bélier, Taureau, Gémeaux, etc. ».

Par exemple : récemment, un de ces magazines de supermarché qu’on appelle « feuilles de chou » exhibait une « Carte des étoiles » sur une pleine page couleur avec un relevé du mois d’août. Tous les douze « signes » étaient présentés de façon élaborée avec des illustrations à l’appui, des dates et des signes astrologiques. Août montrait une tête de lion, les dates allaient du 23 juillet au 22 août et le tout sous-titré du mot LION. En-dessous, il y avait ce message surnaturel :

« De bonnes opportunités de travail peuvent vous arriver. Des problèmes que vous croyiez morts et enterrés reviennent vous hanter. Évitez les arguments à propos de l’argent. Vous serez peut-être forcé de changer ou de remettre des plans pour la fin de semaine. »[4]

On se demande combien de gens croient à ce genre de chose… Or, de récents sondages Gallup démontrèrent que plus de 32 millions d’Américains répondirent « oui » à la question suivante :

« Les planètes dirigent-elles nos vies ? »[5]

La même source…

« …estime que 1 200 journaux quotidiens sur 1 750 tiennent une rubrique astrologique. »[6]

C’est au-delà de 80 % des journaux ! Ça en fait une GROSSE religion ! Mais avant que quelqu’un s’écrie que toute la chose est un parfait non-sens, laissez-moi vous rappeler que c’est un non-sens seulement parce que ça a été tordu et brassé jusqu’à ce que ça devienne une rusée contrefaçon des signes réels que Dieu a mis dans le Zodiaque.

La Bible dit que Dieu a mis certains signes réels dans le ciel pour donner au monde un message venant de Sa part, mais ces signes ont été transformés en horoscope plein d’animaux afin de bloquer le message et accrocher les gens à la contrefaçon. Or, la Bible est remplie d’avertissements contre tout le fourbi horoscopique. D’où confusion.

Allons-y étape par étape. Premièrement : nous avons vu que la Bible enseigne qu’il y a des signes dans le ciel où Dieu les a mis, et que ces signes déclarent Sa justice et Sa gloire. Deuxièmement : tout le fourbi horoscopique est une contrefaçon de Satan des signes réels de Dieu, et des millions de personnes s’accrochent à plus ou moins de degré à cette contrefaçon.

Troisièmement : La Bible condamne tout genre d’horoscope. Comme vous le savez, la Bible enseigne que Dieu a détruit la Tour de Babel. Eh bien, cette tour était…

« …une ziggourat ou tour astrologique sur le toit de laquelle des prêtres pouvaient diriger l’observation et l’adoration du soleil, de la lune et des planètes. »[7]

Voilà à quoi servait la Tour de Babel ! Et il y a de nombreux endroits dans l’Ancien Testament qui montrent que…

« …le culte astrologique rivalisait avec le culte à YHWH (Jéhovah) dans le cœur du peuple. [En fait :] …la condamnation finale d’Israël fut reliée directement à la participation du peuple au culte astrologique des planètes. »[8]

Nous voyons, dans 1 Rois 12:26-29, que l’on donna à deux veaux d’or le titre de dieux. Nous pouvons voir qu’Israël…

« …s’inclina devant toute l’armée des étoiles. »[9]

Nous voyons qu’un des rois de Juda érigea des images au bœuf Taurus et au bélier Aries, dans 2 Chroniques 11:15 et Lévitique 17:7, ces dieux n’étant rien d’autres que des démons. Dans 2 Rois 23:4-7, on parle de ceux qui…

« …brûlaient de l’encens à Baal, au soleil, à la lune, aux constellations et à toute l’armée des cieux. »[10]

En outre, le culte à « Remphan » (la planète Saturne) est condamné dans le Nouveau Testament : « Mais vous avez porté le tabernacle de Moloc, et l’étoile de votre dieu Remphan ; qui sont des figures que vous avez faites pour les adorer ; c’est pourquoi je vous transporterai au-delà de Babylone » (Actes 7:43). Actes 19:23-41 traite d’une énorme émeute soulevée contre l’apôtre Paul par les adorateurs de la déesse lunaire Diane. Nous pourrions montrer pendant des heures où la Bible condamne le culte aux étoiles, à Vénus, au soleil, à la lune, etc.. On ne peut avoir aucun doute à ce sujet.

Pourtant, la Bible enseigne aussi en même temps qu’il y a un message dans le ciel pour l’humanité et que Dieu l’y a mis pour Se déclarer Lui-même au monde et qu’il soit employé comme signe. En fait, nous pouvons davantage apprécier le message de Dieu dans le ciel une fois que nous réalisons que ce message n’est ni plus ni moins que l’Évangile dans les étoiles. Un merveilleux livre portant ce titre fut écrit par un astronome danois, nommé Seiss, il y a quelque cent ans et, je vais vous dire, on ne peut lire ce livre sans constater que l’Évangile est écrit dans les étoiles !

Il y a donc réellement un grand message pour les gens dans le Zodiaque, en plus de certains signes utiles et pratiques. Disons que cela clôt notre quatrièmement.

Cinquièmement : la chose suivante qu’une personne doit comprendre concernant cette religion horoscopique séductrice et contrefaite est franchement retorse, mais, l’un dans l’autre, ce n’est pas si difficile à comprendre… Je parle de la connexion copernicienne, bien entendu.

En réalité, il s’agit, en quelque sorte, d’une affaire passablement bancale et à double tranchant ayant débuté avec le fait que le fourbi horoscopique fut entièrement fondé sur la croyance que la Terre est immobile au centre de l’univers et que tout le reste tourne autour. Mais c’est ce qu’enseigne la Bible, me direz-vous ! C’est parfaitement exact. Et c’est en partie ce qui rend l’affaire un peu ardue… Pensez-y. À cause de Copernic, de Kepler, de Newton, d’Einstein, etc., le monde entier ne crut plus que la Terre est immobile au centre de l’univers avec tout le reste qui tourne autour, n’est-ce pas ?

Or, voici : la « science » moderne peut dire — et tous les gens éduqués sont d’accord — que le fourbi horoscopique n’est qu’un superstitieux non-sens parce qu’il était (et est encore en grande partie) basé sur une Terre immobile. Mais, puisque tout le bataclan horoscopique est mauvais, cela n’a-t-il pas un bon effet sur le copernicisme ? Mes amis, lorsque quelque chose de mauvais produit un bon effet, il serait sage de fouiller les broussailles pour voir si Satan n’y aurait pas manigancé un de ses trucs…

Rappelez-vous que nous avons établi que :

—    « …les signes du Zodiaque peuvent être utilisés d’une manière chrétienne, fondée sur la Bible »[11] ;

—    le bazar horoscopique n’est qu’une distorsion des vrais messages et des signes du Zodiaque de Dieu ;

—    l’ancien système de lecture des étoiles antérieur à Copernic était basé sur une Terre immobile.

Mais jadis, avant les distorsions, il y avait un système de messages et de signes dans le ciel qui provenait de Dieu, précédant et corroborant la Bible. Vous me voyez venir ? Une Terre immobile et le véritable message du Zodiaque céleste sont reliés ensemble de manière inséparable. Nous ne pouvons lire le vrai message à moins que la Terre ne bouge pas !

Cependant, n’oublions pas que l’ancien mauvais système de l’horoscope était également fondé sur une Terre immobile. Nous pouvons dire que le mauvais fourbi horoscopique constitue encore une grosse affaire, de nos jours, même si personne ne croit plus que la Terre est immobile. Ne voyons-nous pas que ce système particulier de mensonges est une affaire lucrative, peu importe que la Terre tourne ou pas ? Il semblerait, en effet, mais, en toute équité envers les faits, nous devons souligner que la plus grande partie du bataclan horoscopique est encore fondée sur une Terre qui ne bouge pas !

Mais, parce que l’ancien système horoscopique était abominable et mauvais, cela ne veut pas dire que l’idée d’une Terre immobile était mauvaise ! Car, voyez-vous, le dessein surnaturel caché derrière l’ancien système d’horoscope était d’embrouiller et d’étouffer le message de Dieu écrit dans les cieux, lequel était aussi fondé sur une Terre fixe ! Il m’apparaît donc que la véritable lutte se fait entre le vrai et le faux messages du Zodiaque, à savoir, si la Terre tourne ou pas.

Nous voyons donc que cette affaire d’horoscope est à la fois fausse et anti-biblique. Mais nous constatons également que le Zodiaque en lui-même est un phénomène réel et ne doit pas être rejeté parce que les horoscopes basés sur lui sont à rejeter. Arrêtons-nous ici pour développer une meilleure compréhension de ce qu’est réellement le Zodiaque. Notons l’explication que voici tirée d’un article du Science Digest :

« …Le Zodiaque est une mince ceinture d’étoiles fixes d’un bout à l’autre du ciel et au-travers duquel nous voyons sillonner le soleil, la lune et les planètes … Ces corps célestes traversent toujours les cieux à l’intérieur des limites du Zodiaque. »[12] (emphase ajoutée)

Et nous pouvons lire ailleurs que la ceinture du Zodiaque est d’un largeur de 18 degrés ou un dixième d’une parfaite hémisphère d’un horizon à l’autre. Donc, le soleil, la lune et les cinq « étoiles vagabondes », i.e., les planètes Mercure, Vénus, Mars, Saturne et Jupiter, se déplacent à l’intérieur de la ceinture zodiacale et n’en sortent pas. Au deuxième siècle, les Grecs…

« …organisèrent mathématiquement le zodiaque en calculant ses douze segments, ou signes, en arcs de 30 degrés chacun. Les douze arcs correspondaient à 12 constellations. Puisque la plupart furent représentés par des animaux, les Grecs appelèrent la zone zodiacus kikles, “cercle des animaux”. »[13]

C’est de là que nous provient le Lion, le Taureau, le Poisson et le reste. Mais le problème, c’est que ce Zodiaque, que l’on vint à nommer « Zodiaque de Ptolémée »…

« …est, en réalité, basé sur des constellations qui ne sont que des illusions d’optique. Un regard au travers d’un télescope nous démontre que des constellations comme celle du Lion, ou du Poisson, ou encore du Sagittaire, n’existent pas en réalité. »[14]

Alors, quand des lignes sont tracées d’une étoile à l’autre pour former un lion, ou un taureau, ou un poisson, ce n’est que pure imagination ! Et qui plus est, les signes imaginés, desquels les astrologues tirent leur lecture des horoscopes, sont en dehors de la plaque par une signe entier ! Cavendish explique :

« Le 21 mars de chaque année, les astrologues disent que le soleil est dans le Bélier. En réalité, le soleil n’est pas dans la constellation du Bélier … mais dans la constellation du Poisson. De nos jours, lorsqu’un astrologue dit que le soleil est dans tel signe du Zodiaque, il est en réalité dans le signe précédent. »[15]

Voilà qui semble défaire le dernier nœud de l’ancienne rigolade horoscopique, non ? C’est déjà se tromper assez que de croire et suivre vraiment des instructions quotidiennes inventées sur votre vie en se fondant sur votre date de naissance et l’emplacement des planètes, du soleil et de la lune, alors, quelle poisse ça peut être que de compter sur un tel guide et de tels conseils pour vous apercevoir que les instructions que l’on donne au sujet de votre vie appartiennent, en réalité, à des gens qui sont nés sous le signe qui vous précède !

Ce n’est pas pour rien que Dieu posa comme premier commandement : « Tu n’auras point d’autres dieux devant ma face » ! Dans son livre, L’horoscope et les chrétiens, Morley conclut justement :

« L’astrologie a toujours été, et est encore, une branche de la magie noire … [Par conséquent], il n’y a aucune place à l’astrologie dans la vie d’un chrétien. »[16]

Donc, encore une fois, ce sont les constellations du « cercle des animaux » et les horoscopes astrologiques basés sur eux qui s’avèrent totalement imaginaires et farfelus. Le Zodiaque, lui, est réel. Le soleil, la lune et les « étoiles vagabondes » se déplacent de façon parfaitement précise et variée à l’intérieur de ses étroites limites. De plus, les mouvements et les positions ont une double fonction ordonnée par Dieu, c’est-à-dire…

« Les cieux racontent la gloire du Dieu Fort, et l’étendue donne à connaître l’ouvrage de ses mains [et] … servent de signes pour les saisons, et pour les jours, et pour les années » (Psaume 19:1 ; Genèse 1:14).

Maintenant, veuillez noter comment tout cela se rapporte à la question de la Terre-qui-tourne : les astrologues (comme les théologiens chrétiens) ont essayé de marcher selon deux croyances mutuellement exclusives à savoir si la Terre tourne ou non. Jadis, quand tout le monde croyait que la Terre ne tourne pas, les astrologues acceptèrent ce concept et s’arrangèrent pour fonder leurs horoscopes magiques sataniquement inspirés sur les événements de la ceinture du Zodiaque.

Mais l’Église chrétienne du Nouveau Testament s’opposa à tout le fourbi horoscopique dès le début. Or, cela changea au fil des siècles. Durant les 16e et 17e siècles, alors que surgissait le copernicisme, un paquet de gens des églises catholiques et protestantes tâtèrent de l’horoscope. Par exemple, Kepler lui-même dressa des horoscopes pour la royauté. Et nous lisons des choses comme ce qui suit, concernant cette période :

« L’astrologue Galilée dressa, en 1609, un horoscope pour le Duc de Toscane qui indiquait que le Duc allait jouir d’une longue vie. Le Duc décéda deux semaines plus tard. »[17]

Néanmoins, la pratique visant à dresser ou à tenir compte des horoscopes ne fut jamais compatible avec les enseignements de la Bible. Donc, l’Église chrétienne, fondée sur les Écritures — qui professaient une Terre immobile — enseignait également que les activités reliées aux horoscopes étaient mauvaises. Mais voyez ce qui arriva : après Copernic, les églises commencèrent, lentement mais sûrement, à abandonner l’enseignement d’une Terre immobile… ce qui envoya une grosse torpille s’écraser contre la Bible, faisant éclater la moitié de son hélice et plier sérieusement la colonne de direction. Elle ne coula pas (elle ne peut pas être coulée !), mais elle subit de sérieux dommages. Elle prit l’eau, façon de parler, et donna de la bande.

En fait, aux yeux des églises et du christianisme, la Bible ne fut plus considérée comme l’illustration parfaite de la puissance de Dieu. Elle fut plutôt assommée, titubante et même estropiée au point où la confiance en son pouvoir triomphant commença à vaciller et à s’éroder au point que les requins s’assemblèrent autour, les dents longues.

Et, durant ce temps, Satan préparait sa « torpille de l’évolution » qui visait à frapper en plein centre de la coque la Bible estropiée ! Maintenant, remarquez ce qui arriva pendant que tout cela se produisait : non seulement la Bible fut-elle torpillée avec succès par le copernicisme, mais devinez ce qui le fut avec elle…

Tout le bataclan horoscopique ! Parce qu’il était aussi basé sur une Terre immobile ! Mais regardez attentivement et vous verrez un parfait exemple de la manière par laquelle s’y prend Satan en utilisant une double séduction pour arriver à ses fins. Peut-être cela ne vous apparaît-il pas très clair et que vous auriez tendance à croire que Satan s’est plutôt coupé le cou en tirant le tapis de sous sa puissante séduction des horoscopes lorsqu’il promut sa tricherie copernicienne.

Mais n’oubliez pas que nous avons affaire à M. Le Retors lui-même. Il possède un paquet de trucs, mais un seul et unique but : séduire le monde entier pour qu’il croit que la Bible est fausse, qu’elle contient des erreurs, qu’elle est faillible et, qu’ainsi, on ne puisse s’y fier pour connaître la Vérité au sujet de Jésus, la vie éternelle, sur rien, en fait.

Par conséquent, laquelle des deux séductions pensez-vous que le Diable voulait voir faire le plus de chemin : le copernicisme ou le fourbi horoscopique ?

Le copernicisme, bien sûr ! Il frappait en plein la Bible, comme le reconnurent à l’époque Martin Luther et tous les autres amants de la Bible. En plus, c’était une nouvelle frappe, l’autre ayant eu cours pendant toute l’histoire antérieure. Et elle était puissante. Elle occasionna le genre de dommages des plus difficiles à réparer, parce qu’elle fit quatre choses :

  1. Le copernicisme se déguisa en Vérité ;
  2. Il défia et, selon les apparences, mit K.O. l’autre prétendant à la Vérité, c’est-à-dire, la Bible ;
  3. Il ne tira le tapis sous les pieds du commerce des horoscopes que de manière théorique, parce que ces horoscopes étaient bâtis sur des prémisses géocentriques (et continuent à l’être en grande mesure). Le copernicisme put néanmoins s’accorder le crédit d’être objectif et l’ennemi rationnel des superstitions basées sur le surnaturel. Cette position s’accrut et s’étendit à la quatrième réalisation, la plus mortelle, c’est-à-dire…
  4. Il assimila l’indéfectible foi dans les enseignements de la Bible sur tous sujets à une mentalité superstitieuse, émotive et illogique. En retour, on mit ceci en contraste avec l’approche objective, rationnelle et impartiale d’une personne à l’esprit scientifique.

…un appel à « l’orgueil intellectuel » pur et simple. De la façon la plus astucieuse, le Diable, l’Adversaire, le Dragon, Satan, présenta à l’humanité, par le moyen du copernicisme, le nouveau dieu qu’il avait fondu et pomponné pour ressembler à la vérité avec un grand « V », la nouvelle idole vers laquelle l’homme, dans sa vanité, allait se tourner pour répondre à tous ses besoins, i.e., le remplacement de la Bible en tant que source de vérité, j’ai nommé : la « Science » !

Évidemment, il s’agissait d’une FAUSSE science, pas de la VRAIE science, parce qu’il n’y a pas de vérité en Satan, et aucune ne peut provenir de lui. Tout — la moindre petite chose que Satan veut que le monde croie — est contre la Bible et s’avère une séduction. Absolument tout. Mais, en particulier, cette séduction héliocentrique basée sur une Fausse Science est son plus grand chef-d’œuvre. C’est la perversion suprême de la Vérité dans une longue carrière d’habiles contrefaçons fabriquées surnaturellement face aux Vérités de Dieu.

Nous avons déjà rencontré l’avertissement biblique à propos de la fausse science. 1 Timothée 6:20-21 dit :

« …garde le dépôt ; en fuyant les disputes vaines et profanes, et les contradictions d’une science faussement ainsi nommée. 21De laquelle quelques-uns faisant profession, se sont DÉTOURNÉS de la foi… »

« Fuir » est un terme plutôt fort ! Et nous devons nous rappeler constamment de l’avertissement fondamental de Dieu : « Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. » Cela comprend le dieu de la Fausse Science !

En tous les cas, toute la question revient à se demander qu’est-ce qui est Vérité et qu’est-ce qui est séduction. Car Dieu a dit qu’Il ne peut mentir, alors que Satan ne peut dire la Vérité. Il a dit que Sa Parole est Vérité et que tout ce qui la contredit est mensonge.

Et Sa Parole proclame que la Terre ne tourne pas, donc, si nous croyons que Sa Parole est la Vérité sur tous les sujets, incluant celui-ci, alors la Terre ne bouge pas. Point final.

Mais Satan sait tout cela et son travail consiste à refiler à l’humanité toutes les séductions possibles et imaginables pour amoindrir, affaiblir et même ôter la Bible comme étant la source unique de Vérité sur tous les sujets.

Voilà pourquoi le Diable était prêt à sacrifier la séduction horoscopique afin d’établir la séduction copernicienne. Il savait que, non seulement la séduction coperniciste allait-elle donner un dur coup à la crédibilité de la Bible, mais qu’elle préparerait le terrain à la grande séduction de l’évolutionnisme et, en fin de compte, le couronnement de la « science » comme étant la source de vérité au lieu de la Bible.

En plus, la séduction des horoscopes n’est pas morte. Non seulement est-elle bien vivante, mais elle s’accroît, comme nous pouvons le constater. Les astrologues n’ont eu qu’à changer un peu leurs trucs ici et là et des centaines de millions de gens dans le monde se tournent encore vers ce fouillis pour se guider au lieu de se tourner vers la Bible qui leur dit de ne pas toucher à ça.

Donc, en plus d’aller encore bon train avec sa séduction horoscopique, le Diable obtient tout le millage gratuit possible en se posant comme l’ennemi de sa propre séduction des horoscopes et en devenant le champion de la « science » qui dédaigne pareilles superstitions ! Le fripon a réponse à tout !

Mais il possédait une autre carte dans sa manche concernant la séduction d’une Terre qui tourne… Vous vous souvenez que j’ai mis l’emphase sur le fait que le fouillis horoscopique était du toc, mais que le Zodiaque est bien réel. En voici la raison : le Zodiaque, tout là-haut, est un fait astronomique qu’on ne peut ignorer. Astronomique, pas astrologique. C’est également un fait biblique. Ce qui vient confirmer la Bible quand elle dit que la Terre ne tourne pas ! Regardez bien ceci : la même Bible qui dit que la Terre ne bouge pas met aussi de l’avant un Zodiaque rempli de « signes » que l’homme doit lire, dont il doit bénéficier et qui déclare la gloire de Dieu.

Donc, voici : le Zodiaque et les signes sont des éléments réels que personne, ni même la « science » moderne, ne peut nier et ils fonctionnent parce qu’on les voit à partir d’une Terre fixe !! Ils ne fonctionneraient pas si la Terre tournait sur un axe et orbitait autour du soleil ! Comment le pourraient-ils, en effet ? Si la Terre tournait à environ mille MPH [1 600 km/h] et filait autour du soleil à plus de soixante-six mille MPH [105 600 km/h] et voguait autour de la galaxie à un demi-million de MPH [800 000 km/h], comme le racontent tous les livres, ce serait toute une autre histoire au sein de la ceinture zodiacale que si nous nous tenons immobiles.

Certaines personnes au sein du monde de la « science » argumenteront que tout ce qui se déplace à l’intérieur de la ceinture zodiacale le ferait de la même façon si la Terre tournait sur un axe et orbitait autour du soleil que ce qu’il en est avec une Terre qui ne bouge pas. Mais c’est un non-sens ! Tout le monde qui y réfléchit un instant sait que l’ensemble des mouvements précis des corps célestes au sein de la ceinture zodiacale n’apparaîtraient pas, et ne pourraient pas apparaître, à partir d’une Terre qui tourne à 30 fois la vitesse d’une balle de carabine dans une direction, et 250 fois la vitesse d’une balle de carabine dans une autre direction, de la même manière qu’une Terre qui demeure absolument immobile ! Soyons sérieux ! La chorégraphie réelle qui a lieu à l’intérieur du Zodiaque doit s’accorder soit avec le modèle d’une Terre parfaitement fixe ou le modèle copernicien. Ça ne peut pas être avec les deux !

Et voici l’argument décisif, le truc caché sous un autre truc qui a si ingénieusement été mené à bien dans toute l’affaire : en établissant la « science » comme l’ennemi de l’astrologie, la porte a effectivement été fermée à toute investigation scientifique réelle à propos du fonctionnement du Zodiaque. Une telle recherche révélerait certainement une multitude de faits concernant les occultations d’étoiles et les boucles orbitales inversées, comme celle de Mars (voir Illustration XX), etc., qui ne pourraient pas cadrer dans le modèle copernicien.

Illustration XX – Parcours de Mars près de l’opposition favorable de 1956.

Le dieu/fausse « science » de Satan affirme que les signes d’horoscope sont de pures balivernes, et c’est le cas ! Mais du même souffle, il en ressort comme message qu’il n’y a pas de signes dans le Zodiaque et que quiconque y cherche des signes est tout aussi superstitieux que ceux qui croient aux horoscopes. Ce qui revient à dire que l’establishment scientifique brosse le même tableau des signes de Dieu dans le Zodiaque que pour le fourbi horoscopique… ! Et cette stratégie a très bien marché pendant longtemps — en appelant de l’orgueil intellectuel de l’homme, car, assurément, certains signes que Dieu a mis dans le mouvement complexe des corps célestes, tels que les éclipses que nous avons vues, y sont spécifiquement pour prouver que la Terre est immobile. Néanmoins, le Drame grandiose de Dieu, étalé dans la Bible de A à Z, en est au « Y » et l’on prépare le monde pour l’Acte final et ses dernières Scènes.

À la vitesse où la dénonciation et la destruction des contrefaçons héliocentriques de Satan se produit parmi ceux qui aiment et suivent la Vérité, quel qu’en soit le prix, le Diable joue ses dernières cartes, exactement de la manière que l’avait prédit Dieu. Une fois que le mal s’est trouvé en Lucifer, il s’est transformé en Satan, personnification de tous les maux qu’ont dû vivre les hommes dans toute l’histoire et, donc, le registre de tout ce que ces maux engendrent sera complet dans tous les détails pour ceux qui, sur la Nouvelle Terre éternelle, l’étudieront et l’abhorreront comme Dieu le fait. C’est ce que l’on voit clairement dans les trois derniers versets du dernier chapitre du livre du prophète Ésaïe, passage qui est destiné à jouer un rôle important dans la destruction des puissantes fausses doctrines au sujet des cieux et de l’étang de feu.

« Car comme les nouveaux cieux et la nouvelle terre que je m’en vais faire, seront établis devant moi, dit l’Eternel ; ainsi sera établie votre postérité, et votre nom. 23Et il arrivera que depuis une nouvelle lune jusqu’à l’autre, et d’un Sabbat à l’autre, toute chair viendra se prosterner devant ma face, a dit l’Eternel. 24Et ils sortiront dehors, et verront les corps morts des hommes qui auront péché contre moi ; car leur ver ne mourra point, et leur feu ne sera point éteint ; et ils seront méprisés de tout le monde » (Ésaïe 66:22-24).

Le Zodiaque constitue des signes de Dieu et tous les trucs de Satan n’auront rien changé à ce fait. Comme également ses séductions ne pourront changer le fait que tous les calculs basés sur la lune et les étoiles, et qui ont toujours fonctionné, et fonctionnent encore, sont toujours fondés sur une Terre immobile ! Ils sont fondés sur une Terre immobile parce qu’il doit en être ainsi pour qu’ils marchent. La navigation, les éclipses, les semailles, les récoltes, et le reste… toutes ces choses fonctionnent et sont réelles, et elles sont toutes basées sur une Terre qui ne bouge pas. Prenez, par exemple, la « pleine lune de l’équinoxe d’automne » : voilà un des nombreux phénomènes réels constituant un signe évident que Dieu a mis dans le ciel, non seulement pour aider lors de la moisson d’automne, mais aussi pour démontrer clairement qu’Il est la raison du soin et de l’amour infini qu’Il a disposé dans Sa création.

La pleine lune de l’équinoxe d’automne est un fait réel fort intéressant. Habituellement, la lune apparaît 50 minutes plus tard à chaque période de 24 heures. Toutefois, comme nous pouvons le lire ici :

« …Le retardement de temps varie beaucoup. À l’automne, le lever lunaire peut survenir seulement 22 minutes plus tard à chaque nuit, alors qu’il peut arriver 80 minutes plus tard lors du printemps. »[18]

Une heure de différence ! Très intéressant ! Un signe intégré pour aider les fermiers, de toute évidence ! Et il y en a aussi pour les chasseurs, comme nous le voyons :

« La pleine lune de l’équinoxe d’automne arrive en septembre, en début de saison, quand le soleil est en Balance et la lune en Bélier. La lune des chasseurs est la pleine lune qui suit celle de l’équinoxe d’automne… »[19]

« … quand le soleil est en Balance et la lune en Bélier… » Le soleil et la lune sont à des endroits bien spécifiques dans le Zodiaque lorsque ces choses arrivent. Ce sont purement et simplement des signes de Dieu. Oubliez les stupides noms d’horoscopes et rappelez-vous seulement que ce sont des signes qui fonctionnent pour l’homme tel que le stipule la Bible. Puis, rappelez-vous aussi que la même Bible, dans la même page, dit que la Terre a été créée trois jours avant que ne soit créé le soleil. La Terre ne tournait manifestement pas autour du soleil, parce qu’il n’y avait pas de soleil pour tourner autour les trois premiers jours ! Mais il y avait de la lumière le premier jour ! Il y avait de la lumière avant qu’il n’y ait un soleil et il y avait une Terre fixe, immobile, avant qu’il n’y ait un soleil (ou une lune, ou des étoiles) !

En d’autres termes, le Zodiaque (et les cieux en dehors de cette bande étroite) ne furent pas créés avant le quatrième jour de la semaine de la création, d’après la Bible, pas avant que la lumière ne soit créée, et le système atmosphérique, et que l’eau et la terre ne soient séparés, et que ne soient créés l’herbe et les arbres avec leurs semences reproductrices en eux…

…et ensuite, le soleil, la lune et les étoiles furent créés autour de la Terre, le Centre de la Création de Dieu où devait être aussi créé l’homme, le sixième jour, à l’image de Dieu, Père et Jésus pré-incarné ; cette Terre immobile où ce même Jésus/Dieu naîtrait d’une femme, vaincrait la mort et paverait le chemin à tous les hommes pour qu’ils vainquent aussi la mort et vivent éternellement sur une Nouvelle Terre ; une Nouvelle Terre libre de la présence de Satan et située exactement là où l’ancienne Terre se tient aujourd’hui : au Centre de l’Univers !

On dirait, d’après tout cela, que les étoiles sont plus proches que ce qu’on nous enseigne, n’est-ce pas ? Toutes ces distances calculées en zillions d’années-lumière ne sont pas basés sur des faits ; ce n’est qu’un exemple de plus pour montrer que tout ce qui peut être tordu pour supporter le copernicisme le sera sans coup férir. Comme les parallaxes !

Voici la définition du Larousse : « Parallaxe : Déplacement de la position apparente d’un corps, dû à un changement de position de l’observateur… »

« Déplacement » ? Que dit encore Larousse ? « Déplacer : Changer quelque chose, quelqu’un de place, le mettre ailleurs… » Donc, l’on traite ici d’un fait qui nous dit que, lorsque nous regardons un objet à distance, comme une étoile, à partir d’un lieu ou d’un point, il nous apparaîtra situé à un certain endroit. Mais lorsque nous observons le même objet distant à partir d’un autre lieu ou d’un autre point, il semblera avoir bougé, bien qu’il n’ait pas bougé du tout. Voilà pour ce qui est de la parallaxe.

Maintenant, appliquons cette définition à un exemple concret. Déterminons la distance séparant Alpha du Centaure de la Terre et du soleil et voyons comme la différence peut être grande, même avec cette étoile qui est la plus proche. Notez ceci :

« En regardant l’étoile Alpha du Centaure à partir d’une Terre faisant le tour du soleil, les mesures de parallaxe et la trigonométrie nous assureront que les deux sont distantes de 1,3 parsecs[20] , ou un peu plus de 4,2 années-lumière. Mais si on l’observe à partir d’une Terre dont le soleil fait le tour, la distance ne devient plus que d’un vingt-cinquième de cette somme. Or, les deux valeurs ne peuvent être vraies… »[21] (emphase ajoutée)

Voilà qui est très intéressant… Ce que ça implique, c’est que les étoiles pourraient être beaucoup plus près que ce qu’on nous a endoctrinés à croire ! BEAUCOUP PLUS PRÈS ! Notez encore ceci :

« …dans l’estimation copernicienne, nous observons les étoiles là où elles étaient, il y a quatre années-lumière et plus. Selon la conviction géocentrique, nous regardons le dôme étoilé à la position qu’il avait, il y a près de deux mois. Ou moins si le voyage de la lumière la ralentit ! »[22]

C’est une différence ÉNORME ! De milliers d’années-lumière à la vitesse de 186 282 milles à la seconde [298 051,2 km/s] à deux mois à la même vitesse ! L’étendue des étoiles s’étale sur combien si l’on calcule en se fondant sur une Terre fixe ? Van der Kamp nous le dit :

« …un simple calcul trigonométrique nous donne le rayon du Stellatum, i.e., l’étendue dans laquelle les étoiles ont été placées. Il s’avère que ce rayon est d’environ 58,1 jours-lumière, i.e., un vingtième de parsec. »[23]

Cela fait près de deux trillions de kilomètres, ce qui est un loooong bout de chemin, mais, au moins, c’est un chiffre que l’on peut encore saisir. En tout cas, c’est ce qui contiendrait tout le dôme étoilé, incluant la ceinture zodiacale. Comprendre cela nous aide, car un des plus gros problèmes que l’on puisse avoir à croire à une Terre fixe vient de ce que l’on est incapable de se figurer que les étoiles puissent faire le tour de la Terre à chaque jour si elles sont aussi éloignées que ce que l’on nous a dit. Mais avec le facteur parallaxe dans l’équation… plus de problème.

Cela nous aide, en plus, à comprendre le motif caché derrière cette dissimulation du facteur parallaxe. En outre, une autre chose entre en ligne de compte, ici, et que l’on utilise de façon fort trompeuse, c’est toute cette affaire de vitesse de la lumière et, selon Einstein, de ce qu’elle serait la vitesse la plus élevée possible dans l’univers.

Frère Albert n’était pas très flexible sur cette idée. Comme le déclare sans ménagement Nordenson :

« En regard du fait que l’absolu de la vélocité de la lumière constitue le fondement de l’idée de la Théorie de la Relativité d’Einstein, il serait plus juste de l’appeler Théorie de l’Absolu d’Einstein. »[24]

Donc, dans le fond, la Théorie de la Relativité d’Einstein ne peut exister sans la vitesse absolue de la lumière ! Chose étrange, n’est-ce pas, qu’un chrétien qui prend la Création de Dieu, telle qu’exposée dans la Bible, comme Vérité Absolue, se voit dire par un « scientiste » qu’il ne peut faire ça, car ce n’est pas scientifique. Pourtant, Einstein, et l’establishment scientifique après lui, put déclarer que la vitesse de la lumière était une vérité absolue et que c’est scientifique ! Bizarre… Mais, bien entendu, l’establishment scientifique s’est enfermé dans la Théorie de la Relativité d’Einstein, car elle y voyait un moyen d’échapper pour toujours au spectre de la Terre immobile de la Bible, et ainsi, la Vérité Absolue devient ce qu’on veut ! Lisez ce que dit encore Nordenson :

« …Non seulement la Théorie de la Relativité d’Einstein est-elle une des fantaisies les plus sensationnelles, mais elle est aussi une des incohérences logiques les plus sérieuses de l’histoire de la science. »[25]

Mais n’y avait-il pas quelque chose d’autre « d’incohérent » concernant l’idée d’Einstein de la vitesse absolue de la lumière et que nous avons touché à un autre endroit ? Est-ce qu’on n’y démontrait pas comment toute cette théorisation sauvage faisait partie d’une séduction bien coordonnée pour faire de l’univers un espace si vaste que la Terre ne pouvait en être le centre ?

Tout cela est incohérent, comme l’ont découvert Nordenson et un paquet d’autres dont nous avons déjà parlé. Le concept de la vitesse de la lumière comme constituant la limite de vélocité dans l’univers a affaire avec la détermination de…

« …toutes les mesures de temps, de l’appellation de la mesure du temps et même de la mesure de l’espace… »[26]

En d’autres mots, notre conception moderne des distances et des milliers d’années-lumière est entièrement reliée aux théories d’Einstein sur la lumière. Et il a établi ses propres règles, ses propres définitions des choses (comme nous l’avons vu), tel que la simultanéité des événements, et ses propres mathématiques pour soutenir ses théories. Prenez en considération cette distorsion classique de la raison et vous verrez comme tout l’enseignement moderne au sujet du temps et de la distance dans l’espace n’est, de toute évidence, bâti que sur le sable :

« Un signal lumineux est lancé du point A, à 12h00 [Illustration XXI] ; il est ensuite réfléchi et retourne au point A 10 minutes après 12h00. À quelle heure a-t-il atteint le point B ? Selon Einstein, ce ne peut être déterminé par l’expérience ; nous ne pouvons l’établir que par définition. Nous pouvons, par exemple, l’enregistrer comme étant arrivé à 12h05, mais nous pouvons croire aussi que cela puisse être arrivé à 12h02 ou 12h08 … on peut choisir tout chiffre à l’intérieur de la limite de temps comprise entre 12h00 et 12h10… »[27]

Illustration XXI

C’est de cette manière qu’Einstein contourna les résultats sur le trajet de la lumière que produisit l’expérience Michelson-Morley. Mais la lumière pourrait avoir quitté le point B une seconde après 12h00 et s’accorder encore avec la définition de la théorie. Ou un millième de seconde après le point B ! Et c’est la même « pensée » qui nous donne ces distances spatiales incompréhensibles. Bien que la « pensée » relativiste ait pénétré dans pratiquement tout ce qu’on a fait passer pour de l’enseignement et de l’éducation, dans le dernier siècle, les plus grands fans d’Einstein doivent agréer cette déclaration de Reichenbach :

« Ses suppositions [d’Einstein] ne peuvent se justifier d’une façon purement logique… »[28]

Si quelque chose n’est pas logique, c’est qu’elle doit être illogique, n’est-ce pas ? Ce qui n’est pas logique EST illogique ! Voici ce que veut dire illogique : « déraisonnable, sans raison, irrationnel, insensé, sans substance, invalide, fautif, NON-SCIENTIFIQUE, intenable, auto-contradictoire, qui s’annule lui-même, sans fondement… »

Quels mots merveilleux ! Ils décrivent de belle façon tout ce qui est relié à la vision copernicienne et einsteinienne ! « Déraisonnable, auto-contradictoire, sans fondement, non-scientifique… » J’aime bien !

Or, il y a encore un autre exemple classique d’illogisme que je voudrais amener ici pour nous aider à bien saisir que les distances dans l’espace ont été étirées au-delà de toute compréhension pour une unique raison : rendre impossible à croire que la Terre se tient immobile au centre de l’univers, parce que, si l’univers est aussi infiniment gros que ce qu’on nous dit, il ne peut tourner autour de la Terre chaque jour et seule l’idée copernicienne est possible. C’est le but de la séduction, car, voyez-vous, cela signifie que la Bible est irrémédiablement fausse et ce, pour toujours ; et c’est le dessein réel derrière le but visé.

Laissons encore un peu de côté ce que tout ceci a à voir avec la question du Zodiaque et faisons un retour en arrière sur les idées d’Einstein concernant la vitesse de la lumière. Admettons que la lumière a une vitesse et qu’elle est de 186 282 milles à la seconde [298 051,2 km/s] comme nous l’assurent tous les bouquins. Maintenant, imaginez-vous dans un train tirant dix chars et qui se met à aller toujours plus vite dans l’espace, alors que vous vous trouvez dans le dixième char. En fin de compte, le train vient à atteindre une vitesse de 186 281,999999 milles à la seconde. Ensuite, vous tentez de courir vers la tête du train aussi vite que vous pouvez. Vous en concluez que vous allez plus vite que la supposée vitesse de la lumière ? Faux, dit Einstein ! Rien ne peut aller plus vite que ça. Donc, à quelle vitesse allez-vous ? Juste aussi vite que vous courrez… Mais vous allez déjà à 186 281,999999 milles par seconde… Ça ne fait rien, quand vous allez à la vitesse qui vous mettrait à égalité avec la vitesse de la lumière, vous serez tout aussi éloigné de cette vitesse « luminique » que vous le seriez si le train allait à 20 km/h et que vous y étiez assis à lire la page des sports. La théorie de la relativité d’Einstein prétend ceci :

« …pour tout système de référence se déplaçant uniformément, la vélocité de la lumière est égale dans toutes les directions… »[29]

Autrement dit, peut importe à quelle vitesse l’on va ou dans quelle direction, on sera toujours aussi éloigné de la vitesse de la lumière que si l’on est dans son salon à regarder Star Trek. Très logique, n’est-ce pas ? Et voici une autre petite chose de la même espèce, de la part de notre mathématicien athée/philosophe sur les livres duquel l’on a bossé pendant des heures dans notre jeunesse. Remarquez sa déclaration en deux parties, dont la première est totalement logique et que « tout le monde sait » :

« Tout le monde sait que si vous êtes dans un ascenseur, vous atteindrez le sommet plus rapidement si vous grimpez dedans que si vous y demeurez immobile… »[30]

Puis, notez comment il attache cette déclaration logique avec ce que personne n’oserait arguer comme une absurdité exigée par le Mythe Einstein :

« …Mais si l’ascenseur se déplace à la vitesse de la lumière, vous atteindrez le sommet exactement au même moment, que vous grimpiez dedans ou que vous y demeuriez immobile. »[31]

Ce qui signifie que, si quelqu’un montait dans l’ascenseur et tirait un coup de fusil direct vers le haut, la balle ne quitterait même pas la chambre d’explosion ou le barillet ! En fait, en y regardant de plus près, cette personne ne pourrait même pas lever le canon ou son bras, car cela impliquerait un mouvement dépassant la vitesse de la lumière… C’est ce qu’exige la théorie !

Il crève les yeux que si les distances séparant les étoiles, en dedans ou en dehors de la ceinture zodiacale, sont déterminées par ce genre de tournure d’esprit (couplée avec le facteur de parallaxe !), alors ce qu’on nous dit à propos des distances n’a rien à voir avec la réalité. Les « sciences » astronomiques (comme les « sciences » biologiques) sont un pays imaginaire où les hypothèses absurdes, insensées et impossibles ont été mises en place, couche après couche, depuis si longtemps que la raison pour laquelle elles existent est enterrée et oubliée.

Mais, oubliée ou pas, la raison en a été d’effacer la Vérité d’une Terre immobile (ainsi que la création de l’homme et tout le reste en six jours), telle qu’établie par la Bible et, ainsi, miner sa véracité sur tout ce qu’elle enseigne à propos de Jésus et n’importe quoi d’autre. Comment expliquer autrement cette grande séduction ? Il ne saurait y avoir une autre raison !

Illustration XXII – Cette gravure du 17e siècle démontre que, à partir de la Terre, le soleil, la lune et les planètes semblent orbiter sur le même plan que le Zodiaque.

Cette gravure du 17e siècle démontre que, à partir de la Terre, le soleil, la lune et les planètes semblent orbiter sur le même plan que le Zodiaque.

Il s’agit de la manière que l’on représentait le Stellatum et le Zodiaque avant que la fraude copernicienne ne prenne le pouvoir. Sauf pour les nécessaires divergences d’échelle, cela nous donne encore une bonne compréhension de l’univers géocentrique. Et si nous mettons de côté le tas de balivernes que sont les horoscopes, nous pouvons apprécier comme le Zodiaque peut être d’une importance vitale et révélatrice pour ce qui est de déterminer ce que font les signes de Dieu dans cette fabuleuse ceinture de corps constamment en mouvement. Y a-t-Il mis l’histoire de l’Évangile ? Seiss et d’autres ont bien expliqué qu’Il l’a fait et que nous pouvons le voir si nous faisons abstraction du taureau, du poisson, du lion, du scorpion, etc. de contrefaçon du Diable. Nous serions alors en position de déceler les vrais signes que Dieu a installés dans Sa création stellaire… et qui seront sûrement reconstruits dans les Nouveaux Cieux (et la Nouvelle Terre) qu’Il a préparés pour ceux qui L’aiment.

Après avoir vu de long en large le Complot copernicien, qui peut douter qu’il y ait des preuves absolues, irréfutables et indiscutables d’une Terre stationnaire se trouvant au centre du mouvement complexe des corps célestes au sein du Zodiaque ? Après tout, la seule chose que l’on ait à prouver, c’est dans quelle direction se déplace la lune ! En se rappelant que les télescopes ont des miroirs qui inversent et renversent toutes les images, est-ce que tout le poids de la technologie moderne ne pourrait pas déterminer si la lune va vers l’est ou vers l’ouest ?

Elle allait vers l’ouest pour Brahe et, pendant des milliers d’années avant lui, elle allait vers l’ouest. Les lectures fantastiquement précises du Zodiaque à Stonehenge ont reposé, pendant des centaines d’années, sur une lune allant en direction ouest, ce qui voulait dire une Terre immobile. Personne n’a jamais pu donner la moindre preuve d’aucune sorte, sauf par les mythématiques, qu’elle allait en direction est. Vous pouvez mettre en banque qu’il n’y a pas de preuve que la lune va vers l’est.

Donc, en plus de tous les nombreux autres vices que nous avons vus — les ombres écliptiques, les cartes météos, les bombes qui tombent sur les cheminées, le repositionnement satellite, etc. — il y a au moins un autre super vice de la séduction qui attend qu’on le découvre dans le Zodiaque. Et, puisqu’il n’y a rien de plus facile à étudier dans le ciel que la lune, je recommanderais que l’on se concentre sur elle et, en particulier, dans quelle direction elle fait le tour de la Terre. Nous appelons tous les honnêtes astronomes, amateurs ou professionnels. Retroussez-vous les manches, crachez-vous dans les mains, pointez vos télescopes sur la lune dans le Zodiaque et trouvez le plus grand des défauts dans le système contrefait copernicien, le SIGNE QUE DIEU A MIS LÀ POUR CE BUT PRÉCIS, lequel nous avons raté pendant toutes ces années ; la preuve que la lune tourne vers l’ouest au-dessus de la Terre, comme le monde entier l’a vu depuis la Création !

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[1] Walter Lang, Board & Friends Newsletter, cité du Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Minn., MN, No 53, pp. 30-31.

[2] Ibidem, p. 31.

[3] John D. Jess, Les planètes dirigent-elles nos vies ?, Book Fellowship International, North Syracuse, N. Y.), p. 5.

[4] Laurie Brady, Étoiles, 08/08/89, p. 36.

[5] John D. Jess, Les planètes dirigent-elles nos vies ?, Book Fellowship International, North Syracuse, N. Y.), p. 1.

[6] Ibidem, p. 2.

[7] Robert A. Morley, L’horoscope et les chrétiens, (Éditions de la Maison Bethany, Minn., MN, 1981), p. 8.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 9.

[11] Walter Lang, Board & Friends Newsletter, cité du Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Minn., MN, No 53, p. 31.

[12] J. Allen Hynek, Le cercle des animaux, Science Digest, janvier 1983, p. 40.

[13] Ibidem.

[14] Morley, L’horoscope et les chrétiens, p. 36.

[15] Ibidem, pp. 36-37.

[16] Ibidem, p. 55.

[17] Morley, Horoscope, p. 19.

[18] Franklin M. Branley, La lune : satellite naturel de la Terre, (Thomas Y. Crowell Co., 1960), p. 23.

[19] Ibidem, p. 25.

[20] Unité de mesure de distance qui vaut 3,26 années-lumière.

[21] Walter van der Kamp, De laboris solis, (14813, Harris Rd, Pitt Meadows, B.C. Canada, V3Y 1Z1, c. 1989), p. 19.

[22] Ibidem, p. 102.

[23] Ibidem, p. 101.

[24] Harald Nordenson, Relativité, temps et réalité, (George Allen Ltée, Londres, 1969), p. 102.

[25] Ibidem, p. 198.

[26] Hans Reichenbach, De Copernic à Einstein, (N.Y. : Dover Publications, 1980), p. 67.

[27] Ibidem, pp. 61-62.

[28] Ibidem, p. 94.

[29] Ibidem, p. 57.

[30] Ronald W. Clark, Einstein : sa vie et son époque, (World Publishing Co., N.Y. & Cleveland, 1971), p. 87.

[31] Ibidem.




D.149 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-4

 

CINQUIÈME PARTIE

(4)

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES)[1]

Ces satellites sont différents des quelque 15 000 satellites lancés de la Terre. Tous les autres sont constamment en mouvement au-dessus de la surface terrestre et changent de place à tout moment, d’une minute à l’autre. En moyenne, les autres satellites font le tour de la Terre en 1½ heure.

D’autre part, le soi-disant Satellite Géosynchrone Géostationnaire demeure toujours au-dessus de notre tête en tout temps (un peu comme l’Étoile polaire reste toujours à la même place). Van Nostrand nous offre cette description :

« Un satellite géostationnaire possède une orbite circulaire reposant au niveau de l’équateur de la Terre. Le satellite se déplace autour de l’axe polaire de la Terre dans la même direction et dans la même période de temps que la rotation de la Terre (24 heures). Le satellite reste au-dessus d’un point fixe de l’équateur terrestre. L’altitude d’un satellite géostationnaire est d’à peu près 35 784 km (22 240 mi.] au-dessus de l’équateur. »[2]

On n’a pas à réfléchir longtemps pour s’apercevoir que le phénomène des satellites géosynchrones a directement rapport avec le mouvement ou non de la Terre. Si une couple de douzaines de satellites géosynchrones sont installés en diverses parties du globe et qu’ils demeurent au-dessus de leur site jour et nuit (comme c’est le cas), alors seulement deux explications sont possibles.

L’une de ces explications — la seule qu’on entend ou qu’on lit — est celle qui s’accorde avec l’idée universellement reçue que la Terre tourne sur un axe tous les 24 heures. Cette idée est très joliment résumée dans le nom que l’on donne généralement à ce type de satellite, i.e., « géosynchrones », signifiant qu’ils sont synchronisés à la supposée rotation de la Terre. Comme nous venons de le voir dans l’Encyclopédie Scientifique, ce nom dit que ces satellites orbitent autour de la Terre à une vitesse parfaitement synchronisée à la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre.

L’autre explication — celle dont on entend jamais parler — est celle qui s’accorde avec les déclarations de la Bible affirmant que la Terre ne bouge pas d’un centimètre. Appelons ce phénomène satellite géostationnaire (qui peut du moins laisser entendre que les satellites sont stationnaires au-dessus d’une Terre stationnaire, comme ils semblent l’être jour et nuit).

Or, l’une des deux est vraie. C’est encore Blanc et Noir. Vérité absolue et mensonge absolu. Aucune relativité, ici. La Terre ne peut pas tourner alors que les satellites demeurent immobiles. Ils ne seraient pas à la même place tout le temps. De la même manière, la Terre ne peut pas demeurer immobile alors que les satellites font orbite autour d’elle. Encore une fois, ils ne seraient pas à la même place tout le temps, n’est-ce pas ?

Par conséquent, comme nous l’avons noté (puisque le fait indiscutable, c’est que ces satellites-là sont à la même place tout le temps), soit que la Terre est en rotation et que les satellites orbitent en synchronisme, ou soit que la Terre est immobile et que ces satellites sont immobiles aussi (un peu comme l’étoile polaire mentionnée plus haut et le Globe en Lévitation que nous avons vu dans l’Illustration XII).

Une des explications exige une Terre qui tourne et accommode le concept héliocentrique. L’autre explication exige une Terre immobile et accommode le concept géocentrique. L’une est vraie, l’autre est fausse. Les deux ne peuvent être vraies et il n’y a pas de troisième explication.

Bien. Prenons maintenant conscience d’une caractéristique pertinente à ces rainures dans l’espace où se tiennent les satellites géostationnaires. Ces « rainures » ont pour caractéristique qu’elles sont très, très loin de la Terre, comparé à la position de tous les autres satellites. La majorité de ces équipements se situent dans un champ variant de 200 à 400 milles [320 à 640 km] d’altitude, certains plus près, d’autres plus loin. Mais ces satellites géostationnaires (desquels nous recevons les photos météo télévisées et desquels nos « soucoupes » satellites reçoivent leurs signaux) sont là-bas à exactement 22 236 milles [35 578 km]. C’est entre 50 à 100 fois plus loin que la moyenne des emplacements satellites. Et cette distance de 22 236 milles est l’unique altitude où fonctionnent ces machins ! Étrange, n’est-ce pas ?

On sent que le Designer y a mis la main. Cela porte quiconque à croire qu’il y a un Designer qui avait prévu que le cerveau de l’homme, qu’Il avait créé, inventerait un jour la télé, les satellites dans l’espace, etc..

Lorsque nous pensons aux vols spatiaux humains partant de Cap Canaveral ou d’ailleurs, nous pensons à une orbite qui atteint généralement de 150 à 250 milles [240 à 400 km] d’altitude. Si vous installez un globe terrestre d’un diamètre d’environ un pied [30 cm] devant vous, en figurant qu’il représente environ 8 000 milles [12 800 km] de diamètre, alors 1½” [4 cm] équivaudra à 1 000 milles. À 250 milles d’altitude, vous regardez la surface à environ ⅜” [3 mm]. Trois huitième de pouce, ou 3 millimètres.

Or, à 22 236 milles [35 578 km], on parle d’une distance de 2 pieds et 9 pouces [83,82 cm] de la surface de votre globe. C’est à peu près neuf fois plus loin. Bien. Maintenant, le premier (et le dernier !) argument presque logique en faveur de ce que les Satellites géostationnaires orbitent, c’est que tous les autres satellites orbitent autour de la Terre, donc, ce type de satellite doit aussi orbiter. Ça semble avoir du bon sens et, puisque que nous avons tous été endoctrinés à croire que la Terre tourne, cette « logique » nous apparaît assez correcte, merci, et nous n’avons plus besoin d’y réfléchir plus avant.

Les critiqueurs nous lanceront : « Eh bien voilà ! Tous les autres font le tour sur leur orbite, alors eux aussi doivent orbiter ! Le fait qu’ils demeurent au même endroit tout le temps signifie que leur propre orbite est synchronisée avec la rotation de la Terre ; donc, ils semblent ne pas bouger. C’est pourtant simple ! »

Nous allons voir ça. Prenons d’abord le point suivant en considération : commençons par calculer la distance de l’orbite supposée des satellites géostationnaires. Nous prenons le rayon de la Terre qui est établi partout comme étant 3 959 milles [6 334,4 km]. Nous ajoutons ensuite la distance séparant la surface terrestre et la « rainure » où opère le satellite géostationnaire. Cela nous fait 22 236 milles [35 578 km] plus 3 959 milles [6 334,4 km] pour un résultat de 26 185 milles [41 896 km]. Puis, nous doublons ce chiffre pour obtenir notre diamètre. Ça donne 52 390 milles [83 824 km]. Ensuite, nous multiplions par pi (3.141592) qui nous montre que la circonférence de l’orbite est de 164 560 milles [263 296 km]. Après cela, si nous divisons ce chiffre par 24 heures, nous constatons que la vitesse à laquelle doit aller le satellite géostationnaire pour demeurer à la même place est de 6 856 MPH [10 969,6 km/h] !

« Ça ne prouve encore rien ! »

C’est vrai. Mais attendez la suite. Nous voulions simplement nous assurer que nous allions tous bien comprendre ce que veut dire affirmer que ces satellites particuliers orbitent autour de l’équateur d’une Terre en rotation. Sa vitesse doit être synchronisée à 6 856 MPH [10 969,6 km/h]. Ici, comprenez bien qu’une simple divergence de ¼ MPH de la vitesse synchronisée écarterait un des satellites d’un mille [1,6 km] à tous les quatre heures. C’est un écart de 42 milles [67,2 km] en une semaine, 180 milles [288 km] en un mois et près de 2 200 milles [3 520 km] en un an. Évidemment, même avec des propulseurs de repositionnement dans le portrait, la moindre divergence ne pourrait être tolérée dans le synchronisme.

« Eh, bien, » répondent les contradicteurs, Nous voyons où vous voulez en venir… Mais cela ne prouve toujours rien, sauf que ces satellites vont très précisément à 6 856 MPH [10 969,6 km/h] en tout temps et demeurent ainsi parfaitement synchronisés avec la rotation de la Terre… »

D’accord, nous avons bien établi cela. Maintenant, superposez cela à l’information que nous avons ramassée jusqu’ici : tous les livres s’accordent à dire que la vitesse de rotation de la Terre n’est pas régulière, égale et stable, mais qu’elle est irrégulière et parfois saccadée et spasmodique. Voici un renseignement à ce sujet :

« Au 19e siècle, la théorie gravitationnelle ne pouvait se rapporter à tous les mouvements observés (de la lune). Or, on pensait parfois que c’était dû à certaines omissions dans la théorie, mais l’on démontra que c’était plutôt dû aux fluctuations de la rotation de la Terre. »[3]

Vous n’aviez peut-être jamais entendu parler de ces irrégularités. Mais vérifiez où vous voulez, vous trouverez la même chose. Vous pouvez donc voir venir ce qui va suivre, n’est-ce pas ? Cela signifie que tout ralentissement ou reprise de vitesse que ferait la Terre devrait être reproduits en parfait synchronisme par le satellite. Et, puisqu’il faut plus de foi pour croire que pareille chose arrive effectivement, jour et nuit, qu’il en faut pour croire que l’homme a été trompé dans toute l’affaire du copernicisme, on en n’est qu’au début du problème de crédibilité… Car il y a plus !

Toutes les « soucoupes » satellites que possèdent des millions de personnes sont atteintes à une variété de points le long d’un grand arc étendu sur plusieurs longitudes. Ces « soucoupes » sont touchées par un satellite à la fois. De nombreux propriétaires captent un seul satellite, laissent leur « soucoupe » dans cette position pendant des années et reçoivent un signal clair. De toute évidence, le satellite ne bouge pas. D’autres propriétaires déplacent leur « soucoupe » d’un satellite à l’autre aussi souvent qu’ils le désirent. Sachant cela, vous, les contradicteurs et autres tenants du copernicisme, ne vous apparaît-il pas illogique que des satellites déployés à des milliers de kilomètres puissent tous ajuster leur vitesse orbitale en coordination avec le constant ralentissement et la reprise de vitesse de la soi-disant rotation de la Terre ?? Cela vous donne-t-il à réfléchir ?

Et pendant que vous réfléchissez à ces problèmes soulevés par les satellites géostationnaires, prenez cet autre en considération… Eh oui, encore ! En fait, chers amis, vous ne pourrez entendre tout ce que nous avons à vous dire à propos des satellites géostationnaires sans finir par savoir que ni eux, ni la Terre ne bougent.

 

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES) # 2

Illustration XVII

Cette illustration dépeint une des découvertes de Kepler. Branley est une autorité en matière d’étude de la lune et des satellites artificiels. Il paraphrase Kepler :

« Les planètes … et la lune se déplacent en orbites elliptiques (…) et une ligne rejoignant la terre à la lune balaierait des superficies égales en des périodes de temps égales. Examinons ce que cela signifie. Dans le diagramme ci-contre, supposons que la lune se trouve en A. Il faut cinq jours à la lune pour se rendre en B. Plus tard, la lune est en C. Il faut cinq jours à la lune pour se rendre en D. Vous remarquerez facilement que AB est plus long que CD. Pourtant, le même laps de temps est requis pour que la lune se déplace de A à B et de C à D ; par conséquent, la lune doit se déplacer plus vite pour franchir la distance séparant A de B. Lorsque la lune se trouve dans la superficie A-B, elle est près de la terre (périgée), elle se déplace donc plus vite. Quand la lune se trouve dans la superficie C-D, elle est loin de la terre (apogée), elle se déplace donc plus lentement. La vitesse doit varier de cette façon parce que Kepler a prouvé qu’une ligne tirée de la terre à la lune doit s’étendre sur des superficies égales en des laps de temps égaux ; en d’autres termes, la superficie 1 doit égaler la superficie 2. »[4]

Or, avec ceci en tête, notez ce qu’en dit encore l’expert de la lune et des satellites, Branley :

« La vélocité de toutes les planètes ainsi que de tous les satellites naturels et artificiels varie de la même manière. »[5]

À partir de ces deux affirmations, nous pouvons d’hors et déjà déceler deux sérieux problèmes à l’encontre du Système copernicien. En fin de compte, les satellites géostationnaires sont certainement artificiellement fabriqués et ils n’obéissent pas à la « loi » de Kepler dans leur soi-disant orbite géosynchrone autour de la Terre. Ici, il y a quelque chose qui se déglingue drôlement ! Ces satellites géostationnaires n’ont pas de périgée et d’apogée ; ils demeurent toujours à la même distance de la Terre ! Cela veut dire que leur orbite supposée ne serait pas elliptique, s’ils se déplaçaient, mais devrait être circulaire. Juste ce simple fait annule le besoin de « balayer des superficies égales » à différentes vitesses.

Apparemment, en tentant de sauver les éléments de cette affirmation képlérienne, on fait face à une réalité qui détruit le copernicisme, c’est-à-dire que les satellites géostationnaires demeurent tout le temps au même endroit, ce qui s’avère une impossibilité si « la vélocité de … tous les satellites naturels et artificiels varie de la même manière, » comme on vient juste de nous l’assurer. En outre, cette réalisation qui détruit le copernicisme devient plus tranchante si l’on essaie d’accorder la soi-disant vitesse de rotation erratique de la Terre aux exigences de Kepler dont Branley nous assure qu’elles s’appliquent à tous les satellites. Tout d’abord, ces satellites ne peuvent en aucune façon aller plus vite, ou plus lentement, pour accommoder Kepler (ou Branley) et demeurer encore stationnaires, comme c’est le cas, à l’évidence. Et même si cette impossibilité était permise, ces vitesses plus ou moins rapides de Kepler devraient elles-mêmes être constamment ajustées pour s’adapter aux supposées vitesses erratiques de rotation de la Terre elle-même. Un tel composé d’impossibilités logiques ne peut être vrai.

Donc, pour une couple de raisons, la « loi » de Kepler n’est pas une loi en ce qui a trait aux satellites géostationnaires. Ce qui revient à dire que les « scientistes » n’ont pas d’explication à fournir quant aux satellites « géosynchrones » pouvant demeurer à la même place tout le temps, pendant que la Terre est supposée ralentir et accélérer en-dessous d’eux. Plus important encore, cela nous démontre que la soi-disant grande contribution que Kepler (le sorcier ?) fit à la véritable science, i.e., que tout exécute une orbite elliptique, n’a jamais été une loi ! Les vraies lois scientifiques (comme la 2e Loi de la thermodynamique et la Loi de la biogenèse, qui nient toute allégation évolutionniste) ne comportent aucune exception.

Or, les satellites géosynchrones géostationnaires, si jamais ils orbitaient, devraient assurément posséder une orbite circulaire, pas une orbite elliptique. L’idée complète du cercle représentant la perfection divine fut censément évacuée par les « lois » de Kepler. Toutefois, ces cercles nous reviennent avec ces satellites parce que la Cosmologie copernicienne exige qu’ils soient sur une orbite circulaire. Ce qui constitue le cercle parfait dessiné par Dieu n’est pas une orbite, mais la fine bande électromagnétique située exactement à 22 236 milles [35 578 km] d’ici, où sont fixés ces satellites dans une position stationnaire relativement à la Terre. La perfection de Dieu, tel que l’exemple de ce cercle, revient à notre époque comme une vengeance, car c’est au moyen de ces satellites captés par cette bande circulaire qu’Il fournit la preuve concluante que le copernicisme est une séduction universelle et que Sa Parole détenait la Vérité pendant tout ce temps !

Il y a encore beaucoup à soutirer de l’exemple des satellites géostationnaires. Vous allez trouver que les trois modes de pensées suivants sont fort ruineux pour le concept héliocentriste.

 

SATELLITES GÉOSTATIONNAIRES # 3

Réfléchissons ensemble aux rapports météos télévisés. Voici la situation :

  1. Nous avons les nuages qui se déplacent en direction est à une vitesse de 15 MPH [24 km/h] vers une Cité X. (Souvenez-vous : dans le système copernicien, la Terre tourne vers l’est.)
  2. « Accroissez » la « rotation de la Terre » sous les nuages de 15 MPH. Mais n’accroissez pas la vitesse des nuages.
  3. Ça fera en sorte que les nuages sembleront « stationnaires », i.e., synchronisés à la Terre en-dessous. Les nuages n’avanceront plus en direction de la Cité X, comme ils le faisaient avant que la rotation de la Terre ne soit accrue de 15 MPH.
  4. Nous savons que les vrais nuages, dans le vrai monde, vont continuer à s’avancer vers la Cité X. (Après tout, l’exemple ci-contre n’a qu’une but démonstratif.)
  5. Néanmoins, deux aspects de l’exemple sont vrais. Seule l’accélération de la Terre a été inventée. Par conséquent, si les nuages se déplacent vers la Cité X — et c’est ce qu’ils font, bien sûr — il ne peut y avoir qu’une seule des trois explications suivantes :

a) Une Terre mobile qui va 15 MPH plus lentement que les nuages et ceux-ci se déplacent vers la Cité X.

b) Les nuages se déplacent 15 MPH plus lentement que la rotation de la Terre à cette latitude (la réponse conventionnelle).

c) La Terre est stationnaire et les nuages se déplacent à 15 MPH vers la Cité X.

Maintenant, la réponse 5a est très intéressante pour deux raisons. La première est qu’on doit l’admettre comme possibilité sous le rapport de la Théorie de la Relativité. C’est vrai parce que, comme nous l’avons vu, la Théorie des Équivalences d’Einstein exige qu’une station ferroviaire puisse aller à 60 MPH [96 km/h] et que le train demeure immobile, que le sol puisse se soulever pour vous frapper la figure lorsque vous tombez, etc., etc.. Donc, vu sous le point de vu des exigences de la Théorie de la Relativité, les nuages de notre exemple pourraient être stationnaires et la Terre s’ajuster à 15 MPH plus lentement…

C’est ça ou alors on tire la Théorie d’Équivalences d’Einstein par la fenêtre avec tout le concept de la Relativité ! On ne peut avoir les deux !

La deuxième chose très intéressante : si l’on persiste à appliquer les Théories des Équivalences et de la Relativité à cette situation, disant que les nuages peuvent être stationnaires et que la Terre puisse tourner en dessous 15 MPH plus lentement afin qu’ils atteignent en temps la Cité X, on détruit alors encore les fumisteries des Équivalences et de la Relativité ! Voici pourquoi : Les nuages se déplacent dans toutes les directions de la boussole, pas juste vers l’est ! Ils se meuvent à des vitesses diverses ! La Terre ne pourrait tourner vers l’est, l’ouest, le sud et le nord en même temps ! Ce serait insensé et Einstein ne pourrait inventer assez de mathématiques pour expliquer cela. De plus, tout ralentissement ou accélération équivalents de la Terre pour s’accorder à la vitesse apparente des nuages feraient en sorte que la Terre révolutionnerait trop vite ou trop lentement pour faire un tour complet en 24 heures, occasionnant le chaos partout.

Si vous comprenez cela, vous voyez que la Relativité d’Einstein s’écrase et que le copernicisme subit une blessure mortelle. Si la Relativité est abattue alors tout le monde s’aperçoit qu’il peut y avoir de la matière inerte dans l’univers et que la Terre pourrait être le plus bel exemple de cette réalité.

Poursuivons avec l’explication 5b qui se trouve piégée avant de commencer… Si l’on croit que le Système copernicien est correct, la conclusion de cette explication ne semble-t-elle pas raisonnable ? Elle SEMBLE raisonnable, et voilà la raison pour laquelle cette réponse s’autodétruit avant de commencer. L’explication « b » est raisonnable si l’on permet le système copernicien. En effet, l’explication « a » est totalement déraisonnable et ne pourrait pas marcher, comme nous venons de le voir, tandis que la réponse « c » est exclue par les coperniciens, donc, « b » est la seule réponse possible pour les coperniciens. Vous me suivez ?

Mais si c’est la seule réponse possible, alors nous devons reprendre conscience que les théories des Équivalences et de la Relativité exigent que 1) tout soit en mouvement, 2) personne ne puisse dire ce qui bouge par rapport à l’autre.

Ainsi, les héliocentristes ne peuvent jamais déclarer catégoriquement que « b » est vérité en la matière sans esquiver le problème des Équivalences et de la Relativité. Et cela signifie que s’effiloche tout le tissu d’hypothèses « scientifiques » fabriqué depuis l’affaire Michelson-Morley. Et, en retour, cela se résume à admettre que l’immobilité est possible et que, finalement, il y a un éther immobile et une Terre immobile. En fait c’est l’exemple classique du dilemme à doubles cornes. La réponse « b » est évidemment la seule avenue raisonnable ouverte aux héliocentristes, mais ils ne peuvent lui donner leur aval inconditionnel, car ils doivent alors admettre que la réponse « a » constitue une option tout aussi valable, même s’ils savent au fond d’eux-mêmes que c’est totalement déraisonnable et, en outre, impossible.

De l’autre côté du tableau, les géocentristes bibliques ne font face à aucun dilemme de la sorte. Leur position s’accorde avec tous les faits connus. Ils n’ont pas à se battre contre toute une liste d’absurdités illogiques coiffées de l’exigence que la Terre et son imperturbable atmosphère se promènent dans l’espace dans quatre directions différentes et à des vitesses dépassant 250 fois celle d’une balle de fusil. En vérité, l’argument géocentrique de la Bible est un modèle de simplicité et de certitude logique comparé au modèle copernicien.

Pourtant, nous devons comprendre que les coperniciens n’ont d’autre choix que de conclure que l’atmosphère tourne avec la planète[6] comme s’il y était collé. Car si la Terre tournait, l’atmosphère devrait tourner avec elle ou alors l’héliocentrisme se transforme en ballon qu’un enfant de dix ans peut crever facilement. Une Terre tournant à l’intérieur d’un atmosphère immobile rappellerait immédiatement la question des avions allant d’est en ouest.

Ceux qui vont vers l’est seraient difficilement capables de se maintenir au niveau de la rotation de la Terre, alors que ceux prenant la direction ouest se rendraient à destination à la vitesse de l’éclair. En fait, l’on n’aurait qu’à monter dans un hélicoptère dans une localité à l’est, flotter un peu dans l’air et atterrir ensuite dans une localité à l’ouest. Même lancer une flèche bien droit dans l’air révélerait très rapidement l’absurdité de ce modèle.

Donc, les héliocentristes n’ont pas le moindre choix, dans ce concept. Il est d’une inévitable nécessité absolue pour les héliocentristes d’avoir une « enveloppe atmosphérique » qui tourne avec la Terre (et qui file et qui glisse à toute allure aux vitesses que l’on suppose) sans en être le moindrement affectée.

Encore là, les géocentristes n’ont pas à résoudre d’aussi absurdes énigmes. La Terre est figée, l’atmosphère se déplace un peu dans toutes les directions, comme n’importe qui peut le voir, le sentir, l’entendre. C’est ainsi. Comment cela cadre-t-il avec la température ? En tête de liste des illogiques absurdités observables concernant le mouvement des nuages que les héliocentristes doivent adopter, il y a le comble des rapports provenant des satellites géostationnaires. Dans ces rapports, nous sommes témoins des mouvements accélérés des nuages dans le contexte d’une Terre qui ne bouge pas. Les héliocentristes disent qu’ils peuvent résoudre le problème, ainsi que celui des avions allant d’est en ouest, etc., avec la réponse « b ». Ils sont en sécurité… pensent-ils.

Mais nous allons récuser le droit aux héliocentristes de se réfugier dans la réponse « b ». Les héliocentristes modernes sont relativistes et nous devons insister pour qu’ils ne puissent esquiver la trappe que leur posent les rapports météos télévisés, mais qu’ils aient plutôt à faire face à la dénonciation de leur théorie absurde en appliquant celle-ci aux exemples très nets que nous observons journellement sur nos téléviseurs.

Nous les forçons ainsi à admettre que la réponse « a » est d’une possibilité égale à la réponse « b ». Dans la réponse « a », les nuages atteignent la Cité X en temps parce que la Terre ralentit de 15 MPH [24 km/h] pour le permettre… mais tous les autres nuages allant dans toutes les autres directions à différentes vitesses ne finiront pas par atteindre géographiquement les mêmes endroits où les envoie le météorologue en un laps de temps de quelques secondes ! C’est impossible ! Pourtant, les images satellites géostationnaires ne mentent pas. Les nuages vont effectivement de A à B, partout sur le globe, lors des séquences de 10, 20 ou 30 heures. C’est une preuve certaine et positive, observable et vérifiable, que la réponse « a », avec toutes les absurdités einsteiniennes à propos des Équivalences construites dessus, n’est qu’une ineptie longuement distillée.

Et sans cette folle idée d’Équivalences, tout le concept de Relativité tombe en morceaux. Or, n’oublions surtout pas que c’est la Relativité qui a permis aux « scientistes » de se sauver de « l’inacceptable » conclusion de l’expérience Michelson-Morley…

Alors les images météos des satellites géostationnaires obligeraient-elles donc l’establishment scientifique à se rendre compte qu’il est retourné à la case départ en ce qui a trait aux résultats de l’expérience Michelson-Morley ? Précisément. Ces images météos télévisées balaient plus d’un siècle de sauvages efforts pour contourner les résultats de cette expérience. Nous avons vu quelle transpiration et quelles pressions ils leur occasionnèrent et comment Einstein et sa Relativité sauvèrent les meubles. Or, si la Relativité est tout ce qui compte, nous avons parfaitement le droit de pousser les relativistes à jouer selon leurs propres règles en matière de météo télévisée. Et une fois qu’ils jouent selon ces règles, le mensonge du siècle est exposé devant tous.

En ce qui a trait à la fameuse réponse « b », en reste-t-il quelque chose ? La seule chose qui ait marché en sa faveur, c’était l’apparente impossibilité pour quiconque d’être capable de réfuter sa déclaration que « l’enveloppe atmosphérique » était collée à la Terre et que, non seulement tournait-elle avec la Terre, mais qu’elle n’était pas du tout dérangée par les diverses vitesses allant d’un millier à un demi-million de milles à l’heure. C’était à la limite du non-sens, bien entendu, mais il ne semblait y avoir aucun moyen de la désapprouver.

Or, il y a aujourd’hui un moyen. Grâce à la dénonciation du non-sens de la Relativité par les images satellites météorologiques télévisuelles, nous revenons à l’éther dont les scientistes avaient accepté l’existence avant qu’Einstein la déclare inexistante sur son tableau noir. Vous vous rappelez ?

Alors voici : tout le monde acceptait un éther depuis Copernic en passant par Maxwell jusqu’à Michelson-Morley, parce que les scientistes n’avaient qu’à dire que l’atmosphère tournait avec la Terre sans craindre que qui que ce soit prouve qu’ils avaient tort. Mais les résultats de l’expérience Michelson-Morley révéla l’immobilité de la Terre de DEUX manières. Et les deux étaient reliées à l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil en une distance de 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Dans le premier cas, les ondes lumineuses auraient dû être dans l’autre sens lors de l’expérience conduite six mois plus tard ; mais elles ne le furent pas. Pour ce qui est de l’autre chose, la soi-disant vitesse orbitale de plus de 66 000 MPH [105 600 km/h] aurait dû donner une impulsion de départ à la lumière dans l’un des bras métalliques de l’interféromètre, mais ce ne fut pas le cas non plus. Ces deux résultats donnaient la preuve nette que la Terre ne bouge pas.

D’une manière ou d’une autre, l’éther devait disparaître, mais aucun des « scientistes » n’avait réussi, jusqu’à Einstein, à s’en débarrasser. Alors, Albert arriva avec sa baguette magique de Relativité…

L’éther devait disparaître pour deux raisons : 1) elle était apparemment immobile et l’idée que quelque chose puisse être immobile dans l’univers amenait la conclusion que la Terre pouvait l’être aussi. Mais vous vous rappellerez que Engles et d’autres matérialistes avaient déjà déclaré que rien dans l’univers ne pouvait être immobile. 2) L’éther pouvait créer de la friction avec la Terre filant au-travers d’elle à plusieurs vitesses atteignant jusqu’à un demi-million de milles à l’heure. Ce qui pouvait faire exploser l’atmosphère.

Or, tout cela était fort bien compris et accepté avant l’expérience Michelson-Morley. Mais cela se transforma soudainement en facteur critique lorsque la lumière traversant l’interféromètre ne démontra aucun mouvement de la Terre. Cela fit apparaître plus largement les questions concernant l’éther et menaça davantage le copernicisme. L’expérience avec la vitesse de la lumière disait que la Terre ne bouge pas, donc, que l’atmosphère autour d’elle ne se déplace pas au-travers de l’éther, exactement comme le stipule la Bible, Brahe et tous les autres géocentristes.

C’est alors que FitzGerald, Lorentz et, en fin de compte, Einstein se débarrassèrent de l’éther et établirent que la vitesse de la lumière était toujours indépendante de la source de laquelle elle émanait.

De là, on en arrive à trois choses : 1) les rapports météos télévisés exposent et détruisent la Relativité einsteinienne et toutes les absurdités qui reposent sur elle. 2) Cette dénonciation ramène les sciences de l’astrophysique, de l’astronomie et de la cosmologie à leur point de départ, lorsque les expériences Michelson-Morley des années 1880 démontrèrent, de façon répétitive, que la Terre ne tourne pas. 3) Cette fois, grâce aux images des satellites géostationnaires, toute échappatoire par le moyen du Relativisme démentiel est coupée et l’establishment « scientifique » doit réfléchir à « l’impensable ».

Trois hourras pour les Satellites géostationnaires ! Et il y a encore d’autres manières que ces lascars peuvent démontrer que la Terre ne bouge pas ! L’establishment « scientifique » s’est vraiment tiré dans le pied en inventant ces bébés ! En fait, pas dans le pied… dans la tête !

SATELLITES GÉOSYNCHRONES GÉOSTATIONNAIRES # 4

Marshall Hall en haut de l’exhibition du Pendule à Philadelphie. Notez le poids se balançant à 85 pieds plus bas.

Étrange que ces satellites géostationnaires se tiennent exactement à 22 236 milles [35 578 km] et nulle part ailleurs… mais pas aussi étrange dans le système géocentrique que dans le système héliocentrique. Prenons ceci en considération : la « science » a volontiers fait reposer son cas d’une Terre qui tourne sur le « Pendule » de Foucault, n’est-ce pas ? Bien. Souvenez-vous maintenant que ce « Pendule » se maintient « dans un endroit fixe dans l’espace », selon toute la littérature le concernant. Immobile, comme tout le monde peut voir, le bidule est incontestablement maintenu au plafond attaché aux murs attachés au plancher d’un building qui est attaché à la Terre. Si la Terre tournait, partout où elle irait, elle emmènerait l’arrimage où est accroché le « Pendule » de manière aussi assurée qu’elle emmènerait le plafond, les murs, le plancher, peu importe le genre d’instrument pivotant qui le maintient.

Endroit fixe, mon œil ! Mais c’est pourtant ce que l’on considère dans le monde entier. Remarquez de quelle manière Umberto Eco fait ressortir ce concept dans sa récente nouvelle Le Pendule de Foucault :

« Et quand, l’an dernier, je vis le Pendule de Foucault, je compris tout. »

Tout ?

« Presque tout. Tu vois, Casaubon, même le Pendule est un faux prophète. Tu le regardes, tu crois que c’est le seul point fixe dans le cosmos, mais si tu le détaches du plafond du Conservatoire et que tu le pends dans un bordel, il fonctionne pareillement. Et il y a d’autres pendules ; il y en a un à New York, dans le building de l’ONU ; il y en a un dans le musée des sciences de San Francisco, et Dieu seul sait dans combien d’autres endroits. Où que tu l’installes, le Pendule de Foucault se balance à partir d’un point fixe pendant que la Terre tourne sous lui. Tous les points de l’Univers sont des points fixes : tout ce que tu as à faire, c’est d’y amener un Pendule. »[7]

Alors, voyez-vous, le concept d’un « point fixe », i.e., un endroit ou un poste immobile dans l’univers est, dit-on, n’importe quel lieu où se balance un Pendule de Foucault du haut d’un plafond et maintenu par un joint pivotant. La « sagesse » de l’homme a accepté et établi ce point fixe bidon et a trompé la multitude avec. N’est-il pas vraiment intéressant de voir que certains « points fixes dans l’univers » sont, non seulement jugés possibles, mais également un concept absolument nécessaire de la fameuse démonstration de Foucault qui était destinée à persuader l’humanité que la Terre tourne ?

Qu’y aurait-il d’étrange, alors, qu’il y ait un vrai « point fixe » à la disposition de l’homme démontrant hors de tout doute que la Terre ne bouge pas ?! Nous avons vu l’illustration d’une démonstration du champ électromagnétique qui maintenait immobile en l’air un « Globe terrestre en lévitation », n’est-ce pas ? Le fait même que les satellites géostationnaires ne fonctionnent qu’à une altitude bien précise au-dessus de l’équateur et que cette altitude ne varie jamais — comme le font tous les autres satellites — est virtuellement une preuve en elle-même que ces satellites sont pris dans une bande étroite circulaire, un champ magnétique qui produit le même effet que l’on peut observer avec le « Globe terrestre en lévitation »

Quel fait étrange qu’il y ait une plage précise dans le ciel, à 22 236 milles [35 577,6 km] en dehors de la Terre où ces satellites géostationnaires peuvent être installés dans un champ magnétique qui les maintient en place, sans crochet, sans plafond, sans murs, sans plancher ! Et comme c’est étrange, comparé aux bidules du Pendule de Foucault, que l’œil d’une légère caméra agisse sans frottement alors que son câble sort du satellite et capte en-dessous la variation des nuages de la Terre et son système de température ! Un peu comme si les nuages agissaient comme des poids pendus au bout de la tige d’un pendule se déplaçant ici et là.

Donc, à partir de leur « point fixe dans l’espace », les caméras des satellites nous montrent que les nuages se déplacent un peu partout, mais elles ne montrent jamais la Terre se déplaçant sous elles, même un petit peu (alors encore bien moins à des vitesses de centaines et de milliers de milles), pendant les quelques heures d’exposition.

Tout le monde peut arriver à comprendre comment le satellite ne peut bouger, coincé qu’il est dans le champs magnétique. Or, les illustrations météos nous indiquent que la Terre ne peut pas bouger , car ce « point fixe » magnétique dans l’espace révèle de façon claire des nuages qui se déplacent et des systèmes de tempêtes, mais ne démontre aucun mouvement de la part de la Terre elle-même.

Ce que nous pouvons donc voir de plus en plus, c’est qu’il y a une PREUVE visuelle solide et indiscutable, tout autour de nous, de ce que la Terre ne tourne pas. Le Gros Bluff du copernicisme fut condamné à la dénonciation dès lors que les satellites géostationnaires ont commencé à fonctionner. Ce n’était qu’une question de temps. Ces preuves ordinaires nous offrent un témoignage de la profondeur et de l’étendue de l’endoctrinement du monde dans la contrefaçon héliocentrique jusqu’à aujourd’hui ! Pourtant, chaque parcelle de preuve est contre le mouvement de la Terre ; toutes les preuves ! Ils n’ont rien de leur côté et il est plus que temps que les gens le sachent !

Mais combien de gens dans le monde, pensez-vous, seront heureux de voir l’héliocentrisme exposé en tant que pur mensonge… ?

SATELLITES GÉOSYNCHRONES (GÉOSTATIONNAIRES) # 5

Il y a encore un point concernant ces satellites que nous devons enfoncer avec un piquet de rail de chemin de fer. Il nous faut réaliser et comprendre parfaitement que ces merveilleux satellites sont occasionnellement déplacés par contrôle à distance à partir de la Terre. Quand on les déplace, la vitesse du mouvement est connue et contrôlée d’une manière très précise (dans la lettre ci-après, on cite les chiffres de 16.06 milles [28,6 km] par jour et 0.66 MPH [1,056 km/h]). L’argument décisif — comme le montre clairement la lettre du Bureau des opérations satellites — est celui-ci : tous ces mouvements sont planifiés et exécutés sur la base d’une TERRE FIXE ! Voyez la lettre envoyée par notre spécialiste, Marshall Hall (particulièrement le paragraphe final), dans l’Illustration XVIII. Ensuite, jetez un coup d’œil sur la réponse officielle (aux parties A et B, spécialement), en Illustration XIX. Cette réponse nous donne une information tout à fait pertinente au sujet de la question d’une Terre qui tourne.

Comme vous le voyez, ils disent maladroitement que cette manœuvre de repositionnement d’un satellite géostationnaire est exécutée sur la prémisse que la Terre ne tourne pas ! C’est fort ! Et cette flagrante admission que la manœuvre délicate est calculée et exécutée sur la base d’une Terre immobile, i.e., une « Terre fixe », est de la plus haute importance pour la dénonciation du mensonge copernicien. Ce que cela signifie, en mots clairs et simples, c’est ceci : En ce qui concerne la manœuvre de repositionnement, il n’y a pas de Système copernicien. Point à la ligne. Par conséquent, cette manœuvre est planifiée et exécutée d’après le Système biblique établissant une Terre immobile. C’est un fait !

Si la Terre est « fixe », cela veut dire que le satellite doit aussi se tenir immobile. C’est assurément le cas. Réfléchissez-y. Tout le système copernicien dépend de satellites se déplaçant à près de 7 000 MPH [11 200 km/h] au-dessus d’une Terre tournant à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] au niveau de l’Équateur ! Si le mouvement de la Terre devient FIXE (comme c’est indéniablement le cas par les calculs faits pour repositionner ce type de satellites), alors le satellite doit aussi être arrêté ! S’il n’était pas stoppé, et s’il continuait à voyager à près de 7 000 MPH, il dépasserait le 97,45º de longitude ouest en une fraction de seconde ! Il faut donc qu’il soit arrêté et tenu pour fixe, comme la Terre est tenue pour fixe afin de faire les calculs qui assureront le succès de la manœuvre.

Alors, je vous pose la question : comment stoppe-t-on un satellite qui doit absolument aller à près de 7 000 MPH pour que le Système copernicien se tienne ? Le stoppe-t-on mathématiquement ?? Si on le fait et que l’on est copernicien, ne sait-on pas que nos mathématiques sont fausses parce que l’on « sait » que la chose va effectivement à près de 7 000 MPH ?


Illustration XVIII

 

Traduction de la lettre XVIII

17 novembre 1989

Département du Commerce des Etats-Unis

NOAA

a/s Charles E. Liddick

Chef de la Division des Horaires

Bureau des opérations satellites

Washington DC 20233

 

Cher M. Liddick,

 

Tous mes remerciements pour votre prompte réponse approfondie à mes questions précédentes (une copie de votre lettre ci-attachée).

Les trois déclarations suivantes — déduites de votre réponse — sont-elles plus ou moins exactes ?

  1. Le repositionnement prend 43 jours.
  2. La distance du déplacement sera d’environ 10.75 degrés ou environ 741.75 milles (en comptant 69 milles par degré).
  3. La position longitudinale du GEOS [satellite géostationnaire] est d’environ 97.25º O. avant le début de son déplacement.

Concernant le #2, la distance de c. 742 milles de la Terre serait-elle aussi vraie pour le parcourt orbital à 22 300 milles ? En d’autres mots, si le satellite était déplacé sur la surface terrestre du 97,25º O. au 108º O., il serait déplacé de 10,75º ou de 741.75 milles. (Et si on le déplaçait à vitesse constante, cette vitesse serait de c. 17.25 MPH.) De la même manière, sur la lancée du parcourt orbital du satellite de c. 165,217 milles et son déplacement de 97,25º à 108º, la distance parcourue serait la même, n’est-ce pas ? (et la vitesse, si elle est constante, serait la même ?)

Sur la base de ces affirmations, mes questions sont :

  1. A) Les GEOS vont-ils à vitesse constante et, si c’est le cas, la vitesse est-elle de c. 17,25 MPH ?
  2. B) Comme nous le savons, le mouvement, la direction et la vitesse de l’ombre écliptique durant une éclipse solaire sont tous calculés (par convenance) sur la base d’une Terre fixe, i.e., sans rotation. Le mouvement actuel des GEOS (et tous ceux dans le futur) sont-ils planifiés et exécutés selon la base d’une Terre fixe ou en rotation ?

 

Merci pour votre aide,

Sincèrement,

(signature)

Marshall Hall

 

Illustration XIX

 

Traduction de la lettre XIX

22 novembre 1989

  1. Marshall Hall

12, Morningside Drive

Cornelia, Georgia 30531

 

Cher M. Hall,

 

  1. Charles E. Liddick m’a demandé de répondre à votre lettre du 17 novembre 1989.

 

  1. Le repositionnement prend 42 jours.
  2. La distance parcourue sera d’environ 9,75º ou environ 674,4 de milles établis (en comptant 69,17 milles par degré).
  3. La position longitudinale des GEOS-7 avant le début du déplacement était à environ 97,45º ouest.

 

Concernant le #2 : 674,4 milles établis de la terre est la vraie distance aussi pour le parcourt orbital à 22 237 milles établis. En d’autres termes, si l’engin spatial était déplacé sur la surface terrestre de 97,45º à 108º ouest, on le bougerait de 9,75º ou 674,41 milles établis (16,06 milles par jours ou 0,669 MPH).

 

Sur la lancée du parcourt orbital de l’engin spatial de 164,264 milles établis, et le déplacement du 97,45º au 107,2º ouest, la distance sera la même, à peu près constante.

 

  1. Le GOES-7 est déplacé à une vitesse approximative de 16,06 milles établis par jour ou 0,669 milles à l’heure.
  2. Une Terre fixe.

Sincèrement,

(signature)

Lee Ranne

Navigation GOES/POLAR

Bureau des opérations satellites

(301) 763-7573

  1. : C. Liddick

 

En d’autres termes, le satellite doit tourner dans l’esprit des scientistes coperniciens sinon toute la structure copernicienne tombe, et cela constitue une alternative « impensable ». Donc, il doit tourner dans l’esprit des scientistes pendant qu’ils effectuent leurs calculs pour repositionner l’instrument.

Mais voilà que ces scientistes réalisent maintenant que ces satellites allant à près de 7 000 MPH dans le système copernicien doivent être stoppés mathématiquement afin qu’ils puissent faire les calculs qui provoqueront un repositionnement couronné de succès. Or, ces calculs marcheront et aucun autre. Toute la manœuvre délicate fonctionnera parce que les calculs auront été basés sur une Terre et un satellite qui sont immobiles.

Bon, maintenant, cette série de circonstances nous met en face de la proposition que les mathématiques décrivant un satellite immobile au-dessus d’une Terre fixe fonctionnent avec précision et permettent à toute l’opération d’être exécutée dans le monde réel, alors qu’en même temps, ces calculs sont « reconnus » pour être faux par tous les scientistes coperniciens qui les utilisent. Vous saisissez ?

Ils emploient des maths basées sur une Terre immobile parce qu’ils le doivent. Mais ces maths fonctionnent ! Elles ne fonctionneraient pas et ne pourraient fonctionner si le machin voyageait à près de 7 000 MPH, alors ce qu’ils appelleraient de vraies maths représentant une situation véritable ne fonctionnerait pas et ce qu’ils appellent de fausses maths fondées sur une fausse situation fonctionnent. Vraiment étrange…

Donc, l’impasse logique dans laquelle se met le copernicisme, c’est la réalisation que ce qu’un scientiste copernicien doit reconnaître comme de « fausses » maths en faveur d’une Terre fixe et d’un satellite fixe rendent néanmoins possible une manœuvre délicate et précise dans le monde réel (pas en théorie !), et que les « vraies » maths en faveur d’une Terre qui tourne et d’un satellite qui orbite ne permettront pas que la manœuvre fonctionne dans le monde réel.

Nous en avons passablement dit sur les mathématiques bidon et de ce qu’elles sont les seules « preuves » qui soutiennent le mythe copernicien. Toutefois, non seulement les VRAIES mathématiques existent-elles dans le monde réel de la Science appliquée, mais elles sont les seules à faire construire les ponts, les jets et les ordinateurs ; les seules à faire marcher les trains et à mettre les satellites là où ils doivent être. Vu l’utilisation de toute la fausse science des mathématiques bidon dans l’émergence et le succès du copernicisme, ce n’est que justice et parfaite ironie qu’une FAILLE capable de faire basculer la contrefaçon copernicienne se trouve dans cette opération de déplacement satellite très peu connue. Nous voyons ici très clairement que seules les vraies mathématiques peuvent fournir les calculs nécessaires pour accomplir cette action réelle dans le monde réel.

Mais, à l’instant même où cette opération de repositionnement identifie les Vraies Mathématiques, elle révèle également le dur fait que les fausses mathématiques ne fonctionnent que pour de fausses hypothèses qui ne peuvent être testées !

Donc, les vraies mathématiques, fondées sur une TERRE FIXE ET UN SATELLITE FIXE sont les SEULES mathématiques qui assureront le déplacement de ce satellite dans le monde réel. C’est la seule et véritable raison pour laquelle cette opération est basée sur une Terre fixe et biblique ! Ce Système biblique constitue la Vérité et seules des maths fondées sur cette Vérité déplaceront ces satellites de A à B ! Les gens des Opérations Satellites n’utilisent pas une Terre fixe dans leurs calculs parce que c’est plus facile et plus commode que d’employer des calculs basés sur le système copernicien ; ils utilisent les calculs d’une terre fixe parce que ce sont les SEULS qui feront le travail !! Ils n’ont pas le choix, ils doivent employer la Terre fixe !

Pour résumer tout ça, lorsqu’on commanda au Satellite GEOS-7 de se déplacer ¼º vers l’ouest par jour pendant 42 jours, il se déplaça à partir d’une position stationnaire. Et la même chose arriva lorsqu’on le retourna à sa position en est. Et le tout fonctionna ! Les deux repositionnements fonctionnèrent parce que le satellite est maintenu en place dans la bande électromagnétique circulaire et qu’il demeure aussi immobile qu’une statue dans un désert, n’allant nulle part, à vitesse zéro, tant qu’on ne lui donne pas instruction de se déplacer.

Et s’il ne bouge pas, la Terre ne bouge pas non plus…

Et cela veut dire qu’il est temps de revenir à la Bible !

Nota bene :   Une lecture attentive des deux paragraphes suivant le #3 dans la réponse de la NASA du 22 novembre 1989 révèlera une erreur manifeste dans la résolution de la vitesse et de la distance. Cette erreur n’est pas pertinente à ce qui a été dit jusqu’ici, en ce qui me concerne, mais elle mérite néanmoins d’être notée. Selon toute évidence, la distance d’une longitude à une autre ne peut être la même dans un cercle de 165 100 milles [264 160 km] qu’elle l’est dans un cercle de 25 000 milles [40 000 km]. Non plus qu’un trajet de 42 jours aux vitesses données amèneront le satellite de 97,45º de longitude ouest à 107,2 de longitude ouest ! En fait, le satellite doit être déplacé d’environ 4 449 milles [7 118,4 km] à 4,41 MPH [7 km/h] pendant 42 jours pour atteindre sa destination.

___________________________________________________________________________

[1] La distinction conventionnelle entre satellites géosynchrones et géostationnaires s’établit ainsi : « Un satellite géostationnaire possède une orbite circulaire reposant au niveau de l’équateur de la Terre (…) Le satellite géosynchrone est celui qui orbite autour du centre de la Terre en un cercle exactement synchronisé avec la rotation de la Terre, bien qu’il ne lui soit pas nécessaire d’être sur le plan équatorial (…) Une orbite stationnaire doit être synchronisée, mais une orbite synchronisée n’a pas besoin d’être stationnaire… » [Encyclopédie scientifique Van Nostrand, 7e édition, 1989, p. 2501].

[2] Encyclopédie scientifique Van Nostrand, 7e édition, (Van Nostrand Reinhold, N.Y., 1989), p. 2501

[3] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Interprétations des petites irrégularités du mouvement, Vol. 12, p. 417.

[4] Branley, La lune, p. 22.

[5] Ibidem, p. 23.

[6] Le mot « planète » signifie « vagabond ». Si la Terre ne bouge pas, elle ne vagabonde donc pas et elle n’est pas une « planète » ; ce mot n’est qu’un autre maillon de la longue chaîne d’endoctrinement séducteur destiné à implanter le concept de l’héliocentrisme dans l’esprit des gens.

[7] Umberto Eco, Le pendule de Foucault, (Harcourt Brace Jovanovich, éd., San Diego, N.Y., Londres, 1989), p. 237.




D.148 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-3

 

CINQUIÈME PARTIE

(3)

LES PARADOXES

 

 

1 + 1 = 3

 

Lorsque les « scientistes » tombent sur une contradiction, ils appellent cela un paradoxe. C’est la même chose qu’une contradiction, mais cela dégage une odeur bien trop parfumée pour n’être qu’un paradoxe ordinaire. Il y a contradiction (paradoxe) lorsque quiconque se met à dire que quelque chose est vrai quand ce n’est pas vrai. Un écrivain conclut ainsi à ce sujet :

« …une simple contradiction [paradoxe] peut oblitérer une structure théorique entière. »[1]

C’est le même gars qui nous a donné la chouette démonstration arithmétique montrant comment fonctionne une contradiction. Tout le monde peut constater, par cet exemple, ce qui arrive lorsqu’on se met à dire une contradiction, que ce soit une Terre en mouvement ou autre. Mais nous vous proposons, ici, de lire tout le paragraphe, pour en voir le mécanisme :

« …on débute avec l’assertion que 1 + 1 = 3 (une contradiction). En soustrayant 1 de chaque côté, on obtient 1 + 1 – 1 = 2. Soustrayons encore 1 de chaque côté et nous avons 0 = 1, ou 1 = 0. Maintenant, multiplions chaque côté de l’“équation” par n’importe quel nombre, comme par exemple 12. Ainsi, 12 = 0. Mais faites ceci avec n’importe quel nombre qui vous plaît et tous et chacun = 0 ; 100 = 0 ; 5 000 = 0 ; 50 = 0 ; ad infinitum. Nous voyons donc que la contradiction 1 = 0 prolifère en d’autres contradictions. Mais ce n’est pas tout. Prenez n’importe quelle “équation” arrivée au dernier stade — par exemple 76 = 0. Maintenant ajoutez des deux côtés le même nombre, comme 2. Alors, 78 = 2. Ou ajoutez n’importe quel autre nombre à la place, comme 10 ; alors 86 égale 10. Ou encore, reculez d’un stade et cherchez un autre multiplicateur pour 1 = 0, comme 100 ; alors 100 = 0. À partir de ce point, quelques expérimentations mentales du lecteur lui démontreront que n’importe quel nombre égale n’importe quel autre nombre. Cela résulte du fait que l’on accepte 1 + 1 = 3 comme étant vrai ! »[2]

C’est un exemple explosif quand on pense que ce qui soutient le copernicisme en entier s’exprime en termes mathématiques ! À ce que nous pouvons voir, ce ne sont que des mathématiques qui apportent la « preuve » d’une Terre qui tourne. Il n’y a pas de vraie « preuve » ; donc, toute l’idée est résolue par le genre de mathématiques inventées dans le but d’y arriver. Les lettres et les symboles égalent ce que les mathématiciens veulent qu’ils égalent.

Ainsi, n’importe quoi, quoi que ce soit, aussi contradictoire (paradoxal) que cela puisse être en regard de ce que l’on sait être vrai (1 + 1 = 2), peut être refilé comme « scientifique » et, partant, factuel et véritable dans l’esprit de la plupart des gens. Mais cela ne fait pas que ces mutations mathématiques, ces paradoxes abominables, soient réellement vrais. Pas du tout ! Souvenez-vous qu’un « paradoxe » est le mot chic d’une contradiction qui contient un mensonge. Les sciences de la physique et de l’astronomie sont criblées de paradoxes ; crrrriblées ! Examinons-en quelques-unes.

LA SIMULTANÉITÉ

C’est le nom de l’adjectif « simultané ». Le Larousse nous dit : « Existence de plusieurs actions dans le même instant ; coïncidence. » À peu près tout le monde sait cela. Voilà un mot qui possède une signification acceptée et invariable. Tout le monde sait que lorsque deux choses arrivent en même temps, le mot employé pour désigner ces événements est « simultané ».

C’est un fait, comme 1 + 1 = 2…

Mais il y a une place, entre autres, où Einstein a changé la signification comprise et acceptée internationalement d’un mot en un paradoxe (contradiction) et tout l’establishment de la science a permis au fantaisiste de continuer son petit bonhomme de chemin, empilant les contradictions les unes par-dessus les autres et d’étayer une théorie mathématique maboule sur une autre, encore plus maboule, jusqu’à ce qu’aujourd’hui, tout le champ de la science soit complètement toqué.

Comment Einstein s’y est-il pris pour ériger tout cela ? Laissons le camarade que voici répondre pour nous. Il note que :

« Einstein trouva la physique remplie de propositions au sujet de la simultanéité ou de la non-simultanéité des événements ; il trouva que ces concepts jouaient un rôle décisif dans les interprétations de l’expérience Michelson-Morley et les autres expériences ; et son originalité spéciale en tant que physicien fut, lors d’un moment crucial de l’histoire de la science, de commencer à se comporter comme un philosophe (…) il se tourna vers les analyses des concepts fondamentaux et souleva la question préalable : que signifions-nous, ou que pouvons-nous réellement signifier, quand nous attribuons le qualificatif de “simultanéité” à deux ou plusieurs événements ? (…) En d’autres termes, quelle est la signification de “signification” ? (…)

» Einstein a dit lui-même que sa Théorie Spéciale était fondée sur “une libre définition de la simultanéité” et il admit que sa définition était “…purement arbitraire … inobservable et invérifiable…” »[3] (emphase ajoutée)

C’est le cas de le dire ! Mais qu’est-ce que cela avait à voir avec l’expérience Michelson-Morley ? Eh bien, la conclusion ultime de cette expérience fut que les rayons de la lumière reviennent simultanément, qu’ils soient pointés en direction de la supposée rotation de la Terre à 66 000 MPH [105 600 km/h] ou qu’ils pointent en une autre direction, i.e., à 90º. L’interprétation évidente de ce résultat fut que la Terre ne tourne pas, mais, comme nous l’avons vu, cette interprétation était « impensable » aux yeux de la communauté scientifique… et les scientistes suèrent sang et eau pour trouver une autre interprétation !

Or, Einstein n’eut qu’à changer la signification du mot simultanéité, lui donner une nouvelle « libre » définition et aller de l’avant ! Ensuite, il décréta que rien ne pouvait être immobile dans l’univers. L’éther était immobile, donc il agita sa baguette magique relativiste et la fit disparaître. Et, bien sûr, étant grand scientiste et bienfaiteur de l’humanité, il était « impensable » que la Terre fut immobile ; ainsi, jamais, jamais ne fit-il la moindre allusion à cette possibilité. D’un autre côté, Dieu dit, non seulement qu’elle ne tourne pas, mais qu’elle ne peut pas bouger ! Einstein — sans l’avoir dit franchement — affirme néanmoins haut et fort que, puisqu’il ne peut rien y avoir d’immobile dans l’univers, non seulement la Terre tourne-t-elle, mais il n’y a aucune chance qu’elle puisse demeurer immobile.

Il y a des étagères complètes de livres sur Einstein, et tous ces bouquins passent par-dessus l’accomplissement essentiel qu’apporta cet homme au monde de la « science », c’est-à-dire que sa « relativité » insensée « prouva » que la Terre tournait parce que rien ne pouvait demeurer immobile dans « son » univers. Le choix est très clair : la parole d’Einstein contre la Parole de Dieu ! Et nous pouvons constater laquelle des deux le sacerdoce scientifique a choisi en tant que vérité pour sa congrégation qui s’adonne justement à s’étendre au monde entier !

Ainsi donc, Einstein devait se débarrasser de la signification réelle de la simultanéité des événements dans l’espace parce que (pour couper court) il ne pouvait avoir la simultanéité véritable et la relativité en même temps. Pourquoi ? Simple : le Big Bang ; un événement, une explosion ; les parcelles s’envolent ; jamais deux parcelles ne peuvent être exactement au même endroit exactement en même temps (simultanément). Jamais, jamais, jamais ! Il ne peut tout simplement pas y avoir deux événements simultanés dans l’univers, c’est-à-dire, des choses qui arrivent au même temps précis. Donc, on doit avoir une nouvelle définition de « simultané » parce que « simultané » signifie le même instant dans le temps et Einstein devait avoir une nouvelle définition du temps. Voilà ce qu’il recherchait vraiment : changer la définition du temps. C’est ce qu’il fit, et l’establishment scientifique l’a favorisé jusqu’à nos jours en dépit du fait que sa définition du temps est aussi une contradiction (paradoxe) absolue, ce qui revient à dire que c’est une impossibilité illogique ou, si vous préférez, un gros mensonge épais. Voyons pourquoi.

LE TEMPS

« Une théorie qui exige une impossibilité ne peut qu’être fausse. »[4]

Ainsi parlait le célèbre philosophe scientifique, Herbert Dingle, qui connaissait bien Einstein et qui fut trompé par sa théorie de la relativité pendant près de quarante ans avant de constater qu’elle était logiquement impossible. Puis, les treize années suivantes, il essaya d’amener l’establishment scientifique à admettre que les arguments d’Einstein étaient scientifiquement et logiquement impossibles. Il n’arriva nulle part dans ses efforts et enregistra finalement ses trouvailles dans un livre avant sa mort. Les trois illustrations principales qu’utilisa Einstein pour contourner les problèmes que la véritable simultanéité lui causait en regard de sa Théorie de la Relativité impliquaient le TEMPS. Une des illustrations concernait les horloges. Dingle la résume ainsi :

« Selon la Théorie Spéciale de la Relativité, deux horloges similaires, une A, l’autre B, marchant d’un mouvement relativement uniforme (…) fonctionnent à différents rythmes. La situation est, par conséquent, entièrement symétrique, de laquelle il s’en suit que si A fonctionne plus rapidement que B, B doit fonctionner plus vite que A. Puisque cela est impossible, la théorie doit être fausse. »[5] (emphase ajoutée)

Parions que Dingle expliqua clairement tous les détails l’ayant amené à cette conclusion de telle manière que personne ne pouvait manquer d’en arriver à la même conclusion. Il démontra en détails pourquoi l’illustration des horloges d’Einstein était logiquement impossible. Son livre peut jouer un rôle majeur en vue de faire tomber le mythe Einstein et tout ce que l’establishment scientifique veut faire croire « impensable » en regard des résultats de l’expérience Michelson-Morley, dont le résultat « impensable » était que la Terre ne tourne pas.

Dingle, pour une raison ou une autre que Dieu seul connaît, ne se colleta jamais avec ce principe essentiel, mais il se contenta de démolir les principaux piliers explicatifs qu’Einstein employa pour soutenir ses théories délirantes.

Le philosophe Lovejoy en était un autre qui réalisa que la racine des idées d’Einstein étaient plus philosophiques que scientifiques et que sa philosophie — quand on perce le camouflage de ses fumistes mathématiques et de sa redéfinition des mots — était remplie de conditions illogiques et arbitraires. Ce fut Lovejoy, parmi d’autres, qui exposa l’impossibilité logique d’une autre des fameuses illustrations d’Einstein impliquant la Relativité, le soi-disant « paradoxe des jumeaux ». Il s’agit de l’exemple où un frère jumeau s’envole dans l’espace presque à la vitesse de la lumière et l’autre jumeau demeure sur la Terre. Ils ont tous deux vingt ans quand l’un d’eux part dans l’espace, voyage pendant un an, selon ce qu’indique l’horloge à bord, puis il s’en revient. Le jumeau astronaute a vingt deux ans lorsqu’il atterrit, mais 200 ans se sont écoulés sur Terre et le frère jumeau demeuré sur Terre est mort et enterré depuis longtemps.

C’est ce que déclara Einstein. Mais cela contredisait sa propre théorie de la relativité qui exigeait qu’il…

« …était tout aussi vrai de dire que la Terre où se trouvait Pierre [l’un des jumeaux] avait été éloignée de Paul [l’autre jumeau] que de dire que Paul avait été éloigné de Pierre. »[6]

En d’autres mots, puisque tout mouvement est relatif dans la Théorie de la Relativité, qui pouvait dire ce qui bougeait du vaisseau spatial ou de la Terre ? Voilà la question. Donc, après qu’un paquet de conclusions logiquement inévitables concernant les horloges, le retardement du temps, les exigences de la Théorie de la Relativité, etc., sont explorées, la conclusion finale de Lovejoy est que :

« …lorsque le vaisseau revient sur Terre, Paul sera vivant alors que Pierre sera mort, et aussi Pierre sera vivant alors que Paul sera mort — c’est-à-dire, Paul sera simultanément mort et vivant, et Pierre sera aussi simultanément mort et vivant. »[7]

Cela annula-t-il la théorie ? Non ! Vous devez comprendre comment cette affaire de paradoxes (contradictions) fonctionne en physique ! Ils tombent dans une trappe de logique, mais, au lieu de se dire « oups ! » et faire marche arrière en relevant les épaisseurs d’illogisme, couche après couche, jusqu’à la source de la théorie, i.e., leur refus de considérer que la Terre est stationnaire, ils ajoutent plutôt une autre épaisseur de théorie mathématique qui est condamnée d’avance à ce qu’on la révèle comme absurdité illogique après quelques années.

Alors comment Einstein manipula-t-il ces Paradoxes des jumeaux et de l’horloge ? Comme ceci :

« En 1918, Einstein entreprit la résolution du paradoxe des jumeaux et de l’horloge. Il invoqua son principe de co-variation, le cœur du concept de sa Théorie Générale (…) L’intéressante application de ce principe est l’équivalence supposée de la gravitation et de l’accélération — le principe d’équivalence d’Einstein. »[8]

« Supposée » ! Déjà il déclare principe scientifique une supposition improuvable qui devient le « cœur du concept » de sa théorie principale, la Théorie Générale de la Relativité ! Voilà un exemple de premier ordre de ce que l’on met une théorie illogique de plus au sommet d’une autre qui vient d’être avérée illogique, au lieu de retourner en arrière pour trouver la source d’où est sortie la première idée illogique. Il y a plus :

« Voilà ce à quoi revient le principe d’équivalence d’Einstein, dans le cas présent [le paradoxe des jumeaux] : le choc dont vous faites l’expérience en tombant face contre terre s’explique, non seulement de manière conventionnelle, mais aussi de façon alternative en supposant que la Terre, avec l’univers, vous ont soudainement volé au visage et vous ont frappé la tête… »[9]

C’est ce genre d’équivalence sur lequel repose tout le cas de relativité d’Einstein ! Et ajoutez ceci :

« Voici ce que je puis me permettre de dire de plus poli en regard de telles applications du principe d’équivalence : le mouvement de tout l’univers pour s’éloigner et revenir vers le vaisseau spatial (ou s’éloigner et revenir du marteau de quelqu’un ou d’une auto) n’est pas une vérité observable… ce n’est plutôt qu’une hypothèse arbitraire et désespérée… »[10] (emphase ajoutée)

Plutôt poli… ! N’importe qui laissant travailler un peu sa jugeote dira simplement que c’est folie pure ! Mais pas la « science faussement ainsi nommée » ! On dirait que ce gang n’en a jamais assez de coucher l’une sur l’autre les théories illogiques pour les isoler des attaques et sont toujours à chercher d’autres couches dans lesquelles s’envelopper. Les théories d’Einstein leur ont fourni plusieurs de ces épaisseurs. Sakharov et nombre d’autres ont contribué passablement à cet ajout de couches. En tous les cas, voici un autre classique paradoxal, ou logique absurde, si vous voulez, ayant rapport au temps :

L’OBSERVATEUR

Quiconque lit les Contes de Fées d’Einstein trouvera qu’il utilise toutes sortes « d’expériences de réflexions » où il place un « observateur » pour faire un rapport de ce qui arrive dans l’espace. Le professeur Dingle demande :

« Pourquoi … l’observateur figure-t-il de manière aussi prééminente dans les commentaires de la théorie [de la relativité] ? »[11]

Il répond :

« C’est simplement parce qu’il [l’observateur] a faussement été identifié à un système coordonné … un état de mouvement… »[12]

Donc, où cela mène-t-il ? À ceci :

« C’est un trait essentiel de la théorie [de la relativité] que les deux observateurs [l’un dans un train allant à 60 MPH (96 km/h) et l’autre dans la station] ont le même droit l’un que l’autre de dire qu’il est en arrêt et que l’autre se déplace… »[13]

Lorsque ces notions furent passées en revue dans la presse populaire dans le monde, un journal sortit un cartoon qui résumait assez bien la chose et de façon fort humoristique. Dans le cartoon, un passager du train qui filait en passant par une station demanda :

« Bonjour gardien, est-ce que Manchester arrête à ce train ? »[14]

Cela me semble fort bien résumer l’absurdité du concept. Examinons un autre exemple.

LES TIGES CONTRACTÉES

Ou, si vous préférez : les tiges qui disparaissent. Je parle d’une autre des « expériences mentales » d’Einstein qui implique la « théorie » voulant qu’une tige qui traversera l’espace deviendra plus courte à mesure qu’elle approche de la vitesse de la lumière et qui disparaîtrait complètement si elle l’atteignait. On constate pourquoi cette notion est fondée sur l’expérience « mentale »…

Comme nous l’avons déjà mentionné antérieurement, FitzGerald se pointa avec cette idée alors qu’il tentait de contourner les résultats de l’expérience Michelson-Morley (qui, elle, n’était pas une expérience « mentale » !). Essayant de résoudre les résultats de cette véritable expérience dont les conclusions confirmaient une Terre immobile, FitzGerald (ainsi que Lorentz, Poincaré, les autres et, plus tard, Einstein) esquiva tout simplement « l’impensable » conclusion. Alors, FitzGerald, dans sa recherche désespérée d’une autre manière d’expliquer comment la lumière se comportait dans cette expérience :

« …décida que tout objet matériel, lorsque se déplaçant dans l’espace absolu, doit de ce fait raccourcir dans le sens du mouvement. Cela inclut les bras de l’interféromètre de Michelson-Morley… »[15] [Alors comment des matériaux très fragiles et délicats, comme les ailes d’un papillon, par exemple, ne se désagrègent-ils pas ? Si le papillon va d’est en ouest, ses ailes devraient tomber en poussière, si le métal se rétracte. Vous voyez l’implication ?]

Einstein reprit l’idée, simplifia « tout objet matériel » pour en faire des « tiges » et utilisa un symbole mathématique inventé pour décrire le mythe en l’incluant dans ses équations comme si c’était aussi réel que 1 + 1 = 2. Et ainsi un autre bond de géant dans la logique fit son chemin dans le Grand Livre de Fables du physicien du 20e siècle.

On ne trouvera aucune science nulle part dans ces formules désespérées défiant toute logique (les horloges, les jumeaux, les tiges, les trains, les élévateurs, etc.). Elles ont été fabriquées, de façon presque sauvage l’une après l’autre, pour éviter de penser à « l’impensable » : une Terre stationnaire. Nordenson l’a bien dit :

« Ni Einstein, ni personne d’autre ne peuvent savoir quoi que ce soit concernant la signification physique de ces formules. Ce ne sont toutes que des constructions mathématiques sans signification physique connue. »[16]

Et voici une autre importante observation qui aide grandement à expliquer pourquoi cette bouffonnerie pseudo-scientifique continue à être transmise et entretenue par des gens que l’on dit apparemment intelligents et censément honnêtes :

« De nombreux étudiants, par ailleurs alertes, qui s’initient à la relativité, se font dérouter dans leur logique et perdent confiance en leur propre capacité de penser clairement alors qu’ils glissent dans le mysticisme et deviennent la prochaine génération des prêtres scientifiques. »[17]

Ce n’est pas une exagération. Ces praticiens de la pseudo-science contrefaite de Satan sont les prêtres d’un système de croyances qui interdit l’acceptation du système de croyance fondé sur la Bible. Qu’ils soient ou non conscients de leur rôle, leur « profession » est un Ordre Religieux. Il exige de ses prêtres qu’ils acceptent sans poser de question le principe fondamental que la Terre est un insignifiant accident qui orbite autour du soleil. Tout initié à ce sacerdoce doit dénoncer comme notion « impensable » une Terre qui ne tourne pas.

Voilà donc le premier commandement de l’Ordre : « Tu n’auras pas d’autre Dieu que nous, les “scientifiques”. Si le Dieu de la Bible te dit qu’Il a créé une Terre qui ne peut être remuée, tu ne dois pas le croire, mais croire à ce que nous disons ! Tu n’auras pas cet autre Dieu devant nous ! Si le Dieu de la Bible te dit qu’Il a créé Adam et Ève et toute autre vie pour qu’ils se reproduisent selon leur espèce, tu ne dois pas le croire, mais croire à ce que nous te disons, savoir, que les mutations et la sélection naturelle au cours de centaines de millions d’années produisit toutes les plantes, tous les animaux et la vie humaine qui existe et a existé. Puis, bien entendu, si ton Dieu te dit qu’Il a envoyé Son Fils unique, né d’une vierge, crucifié, ressuscité et préparant un Royaume éternel pour ceux qui aiment la Vérité, tu ne dois pas le croire ! Tu dois plutôt croire à ce que nous te disons, c’est-à-dire que la vie est une expérience accidentelle et sans signification qui se termine dans la tombe, et qu’il n’y a pas de Dieu avec un plan incluant Jésus et tout le reste. »

Nous avons donc ici deux Ordres Religieux. Et nous n’avons pas à nous poser la question à savoir lequel contrôle les centres d’éducation (i.e., d’endoctrinement) du monde, de la maternelle au doctorat ! Mais voici un fait plus significatif encore. L’autre Ordre Religieux, c’est-à-dire, les Églises chrétiennes, ceux dont la Bible est la seule raison de leur existence, est cet Ordre qui a renié la source de Vérité et s’aligne entièrement avec le « sacerdoce scientifique » et sa doctrine clé, l’héliocentrisme destructeur de la Bible. Il a également renié ses racines dans une proportion d’au moins 90 pour cent de ses églises en ce qui a trait à l’autre doctrine destructrice de la Bible, i.e., l’évolutionnisme du « sacerdoce scientifique ».

Voilà ce qui est arrivé. Et que reste-t-il, si ce n’est un Jésus sans la Bible, une sorte de bon gars parlant d’une utopie terrestre, une bonne personne religieuse sur un pied d’égalité avec Bouddha, Mahomet, Zoroastre et autres ? Oublié, le Jésus de la Bible, à Qui Dieu a donné toute autorité et tout pouvoir sur la Terre comme au Ciel, Qui détruira les œuvres de Satan, Qui est le Fils unique de Dieu (Matthieu 28:18). Ce Jésus-là est oublié. C’est ce qu’exige le « sacerdoce scientifique ». « Nous avons détruit le fondement de la croyance en ce Jésus-là, la Bible elle-même, » s’écrie le sacerdoce en toute confiance. Peu importe, voici, en relation avec tout ceci, quelques questions à votre intention, questions qui sollicitent des réponses logiques.

D’après vous, qu’est-ce qui est le plus logique :

A) Des tiges mathématiquement conçues qui raccourcissent et disparaissent à une vitesse croissante ?

OU

B) De vraies tiges qui ne sont pas affectées par la vitesse ?

____________________________________________________________________________

A) Des stations ferroviaires qui bougent ?

OU

B) Des trains qui bougent ?

____________________________________________________________________________

A) Des jumeaux qui sont tous les deux plus vieux et plus jeunes que l’autre après que l’un eut fait un voyage spatial mathématique ?

 OU

B) Deux jumeaux qui demeurent du même âge peu importe ce qui arrive ?

____________________________________________________________________________

A) Des horloges qui fonctionnent plus lentement et, en même temps, plus vite que l’autre ?

 OU

B) Des horloges qui donnent simultanément la même heure, si elles sont préalablement synchronisées avant que quelqu’un fasse un voyage spatial mathématique ?

____________________________________________________________________________

A) Que la matière explosa et produisit le soleil, la lune, les étoiles, ainsi que vous et moi et les arbres ?

 OU

B) Que tout cet ordre infini, cette précision et cet inéluctable design exigent, non seulement un simple Designer, mais un Designer omnipotent, omniscient et omniprésent ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’un tel Designer n’avait aucun Plan, aucun Dessein, aucun Motif menant à ce Design extraordinaire ?

 OU

B) Que l’attention méticuleuse portée à un éventail incroyable de détails dans tout le design mène à un Designer ayant un Plan et un Dessein ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’un tel Designer résolu eut gardé l’humanité — Sa création suprême — dans le noir quant à Ses Plans concernant la Terre ainsi que les nouveaux cieux et la nouvelle Terre éternels qu’Il a également conçus ?

 OU

B) Que le Designer résolu eut consigné Ses Plans dans une forme écrite expliquant tous les détails pour tous ceux qui Le rechercheraient diligemment, ainsi que Ses voies ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’ayant compilé ce contrat écrit passé avec ceux qu’Il a dit avoir créés à Son image, Il aurait permis à des copistes, à des traducteurs et à des espions de le tordre si gravement que nous ne pouvons plus en connaître le message ?

 OU

B) Qu’Il l’a gardé si pur que toutes Ses Vérités sont intactes et peuvent être séparées des enseignements de contrefaçon et des traditions par un effort diligent et conduit par le Saint-Esprit ?

____________________________________________________________________________

A) Que l’homme peut volontairement choisir certaines Vérités et en rejeter d’autres du Livre de Dieu et avoir néanmoins droit à la récompense de la vie éternelle dans le Royaume ?

 OU

B) Que personne préférant les mensonges à la Vérité ne peut entrer dans le Royaume ?

____________________________________________________________________________

A) Que la « science » a prouvé que le Livre de Dieu avait tort sur la question du géocentrisme, la création et le déluge de Noé et que, par conséquent, Il n’est pas fiable en ce qui a trait à Jésus et le reste du Plan ?

 OU

B) Que la « science » ne possède pas la moindre preuve irréfutable démontrant que la Terre tourne, ni que l’évolution soit arrivée, et toute déclaration du contraire n’est que mensonge sorti de ses livres religieux destinés, par le père du mensonge, à miner le Livre de Dieu ?

____________________________________________________________________________

A) Que Dieu n’exécutera pas exactement Son Plan tel que décrit dans Son Livre ?

 OU

B) Que, comme Il l’a dit, « un seul Iota, ou un seul trait de lettre ne passera point » ?

____________________________________________________________________________

A) Qu’Il ne détruira pas l’œuvre du Diable, comme Il l’a écrit, et certainement pas ces deux œuvres puissantes que sont l’héliocentrisme et l’évolutionnisme ?

 OU

B) Qu’elles seront les premières à tomber parce que c’est sur elles que reposent toute la confiance moderne rebelle de l’homme en lui-même et tout son raisonnement cherchant à rejeter le Plan de Dieu pour y substituer le sien ?

Le test est un peu truqué… toutes les bonnes réponses étant B. Si vous avez un seul A, vous avez sans doute un petit problème de logique.

 

EN BAS DE LA CHEMINÉE

Réfléchissez à la navigation des avions bombardiers partant d’Angleterre, pendant la Deuxième Guerre Mondiale, pour se rendre vers leurs cibles de l’Europe nazie, même jusqu’en Allemagne. Disons que la latitude au niveau de la base des avions bombardiers, en Angleterre, est de 52º Nord et que la latitude de la cible est de 49º Nord. Environ 69 milles [110,4 km] séparent deux degrés. Ainsi, l’avion bombardier se rend à 210 milles [336 km] au sud. Maintenant, rappelez-vous que la Terre est supposée tourner à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] à l’Équateur qui est à 0º de latitude et fait 25 000 milles [40 000 km] de circonférence à partir de n’importe quel point de départ.

Les deux pôles sont à 90º de latitude de l’Équateur. À mi-chemin entre le Pôle nord et l’Équateur, c’est le 45º de latitude. Mais, si nous décollons à partir de cette latitude-ci et faisons le tour de la Terre en suivant le 45º de latitude, nous découvrons qu’il nous faut parcourir environ 17 700 milles [28 320 km] pour revenir à notre point de départ. Cela est bien clair, j’espère. La distance devient plus courte à mesure que l’on approche du pôle. Et, si la distance est plus courte, qu’en est-il de la vitesse qu’il faut pour faire le tour en une journée de vingt-quatre heures ? Vous devrez ralentir, sinon vous arriverez trop tôt.

Donc, au 45º de latitude, notre vitesse descend à 735 MPH [1 176 km/h]. Ainsi, si la vitesse supposée au niveau de l’Équateur est de 1 040 MPH [1 164 km/h] pour couvrir 25 000 milles [40 000 km] en 24 heures, par conséquent, à 45º de latitude, il faudra aller à 735 MPH [1 176 km/h] pour parcourir 17 700 milles [28 320 km] en 24 heures. Plus le degré de latitude au nord ou au sud de l’Équateur est éloigné de celui-ci, plus la distance est courte et la vitesse est moindre (d’environ 12 MPH [19,2 km/h] en moyenne) pour quelqu’un qui veut parcourir cette latitude en vingt-quatre heures.

Nous sommes sur le point de connaître une autre raison pourquoi la Terre ne peut pas bouger ! Donc, la base de l’avion bombardier se situe au 52º de latitude et, à partir de l’endroit où elle se situe, à midi, un jour donné, la Terre devra révolutionner exactement une fois jusqu’au midi du jour suivant pour que, selon le système copernicien, la base se retrouve exactement au même endroit. Et, puisque le 52º est plus près du Pôle de 7º que le 45º placé à mi-chemin, la Terre en-dessous de la base et les installations de la base n’auront qu’à voyager à 735 MPH [1 176 km/h] moins environ 85 MPH [136 km/h] ou 650 MPH [1 040 km/h] pour faire un tour complet en 24 heures. Et la cible étant à une latitude de 3º plus près de l’Équateur aura à voyager à une vitesse 35 MPH [56 km/h] supérieure à la base de l’avion bombardier.

Or, le navigateur du bombardier dresse son itinéraire à partir d’une carte aussi immobile au sommet qu’au bas ou que dans les côtés, et il calcule la distance et la vitesse en disant au technicien bombardier qu’ils seront au-dessus de la cible, disons, à 13h30 sans s’arrêter pour réfléchir à savoir si, après deux heures de vol, sa cible aura voyagé vers l’est à peu près trente-deux kilomètres plus rapidement que la base de l’avion bombardier. Maintenant, supposons que le technicien bombardier est jeune et plutôt effronté. Il dit au pilote de se maintenir à 30 000 pieds [9 146 m] d’altitude et qu’avec son fidèle viseur, il va lâcher une pièce de 2 000 livres [906 kg] directement dans la plus grosse cheminée de la région ciblée.

À 13h30, ils sont exactement au-dessus de la cible, comme le prédirent les calculs fondés sur une carte qui ne bouge pas et, effectivement, le technicien bombardier regarde au-travers de son fidèle viseur situé dans l’avion qui file à 240 MPH [384 km/h] et repère sa cheminée ! Celle-ci ne semble pas se déplacer à l’est sur une Terre en rotation à deux fois la vitesse de l’avion, mais semble plutôt immobile. Il positionne le réticule du viseur sur la cheminée et lâche quelques bombes. Il regarde et, en effet, une d’entre elles s’enfonce dans la cheminée et les autres frappent les bâtiments alentours. Mission accomplie. Le pilote fait demi-tour et retourne au bercail, inconscient de la soi-disant vitesse de la Terre changeant continuellement sous son avion. L’avion file plein nord en survolant les latitudes toujours plus lentes et atterrit à la base en plein centre de la piste. Trente-six heures plus tard, ils refont le même manège sur une cible située trois heures plus loin, dans les ténèbres totales, et il est démontré qu’ils frappent encore leur cible sans la manquer de 20 ou 30 milles [32 à 48 km] et ce, pour une seule et unique raison : parce qu’ils utilisaient pour leur navigation une carte fondée sur une Terre immobile.

Comme ces exemples le démontrent de manière évidente et inéluctable, de même que littéralement des centaines de milliers et peut-être des millions d’autres exemples de vols d’avions dans toutes les directions, avant et après notre illustration, la seule façon au monde qu’un navigateur puisse faire son travail est de procéder comme si la Terre est totalement immobile.

Mais alors, quelle est l’explication que le système copernicien fournit à cela ? Il dit que la Terre possède une « enveloppe atmosphérique » qui tourne avec elle… C’est là que la cheminée entre en jeu ! Nous allons nous débarrasser dès maintenant et une fois pour toute de ce non-sens d’une « enveloppe d’air baladeuse » et nous allons prouver que la Terre ne tourne pas !

Revenons à notre technicien bombardier ayant repéré la cheminée du haut de ses 30 000 pieds [9 146 m] d’altitude. Qu’il en fut conscient ou pas, ce jeune homme comptait sur l’attraction gravitationnelle pour attirer les bombes de l’avion vers les cibles. La vitesse de l’avion donna aux bombes une légère poussée vers l’avant laquelle est calibrée sur l’angle du viseur, mais elles se redressent très rapidement et tombent à la verticale comme si elles avaient été lâchées à partir d’un hélicoptère en suspension ou d’un ballon.

Donc, pendant 20 000 pieds [6 097m] environ, la seule force qui agisse sur les pièces de 2 000 livres [906 kg] est la gravité. Et ces bombes tombent bien droit à bonne vitesse et nous savons ce qui en est la cause : la gravité. Or, remarquez bien, SI la Terre tourne sur un axe, ces bombes se dirigent également en direction est à près de sept cents milles à l’heure [1 120 km/h] pendant qu’elles tombent !

Si elles avaient été lâchées sur une cible située sur l’Équateur — disons Quito — elles se dirigeraient alors vers l’est à mille quarante milles à l’heure [1 664 km/h] pendant qu’elles tomberaient verticalement attirées par la force de gravité. Cela semble vraiment étrange ! Si la Terre tourne sur un axe, ce devrait être exact. Aussi insensé que ça puisse être, ce devrait être comme ça. Or, les questions auxquelles personne ne peut répondre sont les suivantes : Quelle est le nom de la « force » qui peut tirer ou pousser une bombe de 2 000 livres [906 kg] toujours vers l’est au travers de l’enveloppe de l’air à 1 000 MPH [1 600 km/h] ou encore 700 MPH [1 120 km/h], selon la latitude, pendant que ces mêmes bombes tombent verticalement à plus de 200 MPH [320 km/h] sous l’action d’une force réelle et indéniable que l’on appelle la gravité ? Quelle est cette mystérieuse « force » que personne n’a jamais nommée ou vue en opération (excepté par les mathématiques ou sur un tableau noir !) ? Comment l’appelle-t-on ? Pourquoi cette « force » n’agit-elle que vers l’est et non vers un autre sens du compas ?! Quel est le mécanisme infiniment précis qui régit cette curieuse « force » sans nom pour qu’elle puisse pousser vers l’est une bombe de 2 000 livres [906 kg] dirigée vers une cheminée et ce, à n’importe quel degré de latitude, de l’Équateur aux Pôles et ajuster cette poussée transversale aux vitesses variant de 1 040 MPH à 0 MPH [1 664 km/h à 0 km/h] ??

Quelle est cette merveilleuse « force » obéissante si incroyablement puissante, tellement juste et précise, si bien ancrée dans sa direction orientale, qu’elle peut mouvoir ces bombes transversalement dans les airs plus vite que ne peut les attirer l’attraction vers le bas, entre 0º N et 80º N de latitude, puis de là à la latitude 90º les pousser de côté dans les airs plus lentement que la gravité ne les tire vers le bas ? Quelle est l’énigme innomée de cette « force » qui transporte 2 000 livres [906 kg] de bombes par le côté à une vitesse allant jusqu’à 1 040 MPH [1 664 km/h] à travers et entourées d’un air qui n’a pratiquement pas de poids, de volume, de densité ou de masse, par comparaison, et qui vont pourtant à la même vitesse, conduites et activées par cette « force » vraiment mystérieuse qui doit aussi régulariser et équilibrer la vélocité transversale des bombes très rapidement à chaque pouce d’altitude qu’elles tombent puisque sa vitesse en direction est se détermine aussi par l’altitude ? Quel est le nom de cette foutue « force » impossible et inexistante absolument nécessaire à la folie d’une Terre-qui-tourne ?

C’est Napoléon, croit-on, qui a dit que l’homme serait prêt à croire n’importe quoi afin de se garder de croire ce que dit la Bible. Regardons maintenant quelques « faits » héliocentriques à propos de la vitesse de la Terre…

VITESSES — QUATRE AU PLANCHER

Dans le système copernicien, la Terre se déplace dans quatre directions à quatre vitesses différentes, tout le temps. En réalité, la théorie héliocentrique exige qu’au moins deux de ces vitesses impliquent un constant ralentissement ou une accélération. Plus étrange que la fiction, il n’y a aucune preuve pour soutenir cela et c’est logiquement impossible. Nous avons déjà vu quelques références à ces vitesses sous des entêtes antérieures. Nous voulons maintenant examiner ce qu’il en est réellement et jusqu’à quel point ces vitesses sont ridicules.

PREMIÈRE VITESSE

(L’hypothétique vitesse de rotation )

Tous les livres traitant de ce sujet feront, comme l’exemple suivant, référence à ceci :

« …la vitesse de la rotation de la Terre est d’environ 1 000 milles à l’heure [1 600km/h] à l’Équateur… »[18]

Il est facile de savoir comment l’on détermine cette vitesse, car il ne peut y avoir d’autre réponse puisque la circonférence de la Terre autour de l’équateur est de 25 000 milles [40 000 km] et que la longueur d’une journée complète est de 24 heures. Pour que la Terre fasse une révolution complète en 24 heures, dans le système héliocentrique, la vitesse doit être d’un peu plus que 1 000 MPH pour couvrir les 25 000 milles. En fait, le calcul donne 1 040 MPH [1 664 km/h] ou 17 milles à la minute [27,2 km/m] ou, si vous préférez, .28 milles à la seconde [.45 km/s]. Ou, si vous avez un meilleur sentiment de la vitesse en parlant de pieds [ou mètres], pensez à 1 478 pieds à la seconde [45 m/s].

Rappelez-vous que c’est à cette vitesse que la Terre doit tournicoter à chaque seconde de chaque minute de chaque heure de chaque jour, selon l’opinion héliocentrique. (La Bible, elle, dit que la Terre tourne à zéro MPH [0 km/h]). Examinons un peu plus cette question de vitesse, cette fois en rapport avec le supposé mouvement de la Terre autour du soleil, une fois par jour.

DEUXIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse orbitale)

Encore une fois, nous pouvons dire que tous les livres traitant de ce sujet donneront la même réponse parce qu’il n’y a qu’une seule manière d’arriver au calcul. La distance entre la Terre et le soleil (bien qu’elle varie, nous dit-on, de 2 000 000 milles [3 200 000 km] durant l’année) s’établit à 93 000 000 milles [148 800 000 km]. C’est le rayon que l’on double pour obtenir le diamètre de l’orbite que l’on multiplie par 3,14 pour avoir la circonférence. Comme le confirmera votre calculatrice de poche, cette circonférence approche 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Quel que soit le corps en mouvement (la Terre dans le système héliocentrique, le soleil dans le système géocentrique), il parcourt une orbite de 585 000 000 milles [936 000 000 km]. Pas besoin d’argumenter là-dessus. Par conséquent, employant le langage héliocentrique que l’on a enseigné au monde entier comme étant correct et scientifiquement éprouvé, Branley dit que :

« …la Terre se déplace très rapidement dans son mouvement autour du soleil : environ 18,5 milles à la seconde [29,6 km/s]… »[19]

Bon, eh bien , 18,5 milles sur un claquement de doigt, c’est plutôt rapido, n’est-ce pas ? Voyons voir… Ça nous fait 18,5 milles x 60 secondes, ce qui nous donne 1 110 milles à la minute [1 776 km/m]. Ça équivaut à New York/Miami en une minute (ou Paris/Casablanca). Ensuite, nous prenons ce 1 110 milles à la minute et le multiplions par 60 pour obtenir le nombre de milles à l’heure. Qu’avez-vous ? 66 600 MPH [106 560 km/h] ? Moi aussi.

Fumant, n’est-ce pas ? J’ai lu en quelque part qu’une balle de fusil voyage à 2 000 MPH [3 200 km/h]. Pensez-y un instant. Nous sommes ici sur une belle grosse sphère appelée Terre, censée tourner autour du soleil, en ce moment même, et tout le temps à plus de 66 000 MPH [105 600 km/h], ou à plus de 30 fois la vitesse d’une balle de fusil !

¡Es muy rapido ! Si. Donc, d’après l’idée héliocentrique, tout le monde sur Terre — qu’on ait ou pas sa ceinture de sécurité — va à plus de 1 040 MPH [1 664 km/h] dans un mouvement de rotation et, en même temps, poursuit une orbite gigantesque à plus de 66 600 MPH [106 560 km/h]. Superman, que l’on décrit comme celui « qui va plus vite qu’une balle de fusil », en pleine vitesse, ressemble à un Super Escargot à côté du moindre des Terriens, alors que nous le perdons dans la poussière à trente fois sa vitesse, jour et nuit.

Tenez vos jupes, mesdames, accrochez bien vos chapeaux, messieurs, car il y a plus…

TROISIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse galactique)

L’écrivain Collins la détermine exactement pour nous :

« La Voie Lactée est une galaxie de type-S … Cette roue gigantesque tourne sur elle-même une fois tous les 225 millions d’années, à une vitesse équivalente à 776 000 km/h (486 000 MPH). »[20]

Sept cent soixante-seize mille kilomètres à l’heure ! Merci du peu ! Ensuite, notre gros Scientifique ajoute :

« Donc, non seulement notre Terre tourne-t-elle autour du soleil, mais, avec le soleil et toutes les autres étoiles, elle tourne aussi en rond autour du centre de notre galaxie. La dernière fois que nous nous sommes trouvés dans la même position, ce fut durant l’Ère carbonifère, avant que les dinosaures ne règnent sur le monde. Depuis que la Terre s’est refroidie pour prendre forme solide, il y a quelque 4 500 millions d’années, nous avons fait vingt fois le tour de la Voie Lactée… »[21]

L’astronome Hoyle conclura notre exposé de la troisième vitesse par cette citation où il écrit concernant :

« …la vitesse journalière de près d’un demi-million de milles à l’heure autour de la Galaxie. »[22]

1 000 MPH [1 600 km/h]. 66 600 MPH [106 560 km/h]. 500 000 MPH [800 000 km/h]. Étrange, n’est-ce pas ? Relevez le toit de votre convertible et vous serez tout dépeigné à partir de 30 km/h. Lorsque vous arrivez au bas d’une pente de montagne russe à près de 100 km/h, ça ne vous dit pas d’aller plus vite. Ou peut-être avez-vous déjà vu ce que des vents de 160 km/h peuvent faire dans un ouragan. Et ici, nous allons chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit (selon ce que nous dit la « science ») plus vite que la vitesse du son, dans un sens, trente fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un autre sens, et deux cent cinquante fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un troisième sens, et ça ne fait même pas claquer votre faux-col ! Fascinant, n’est-ce pas, que nous devions faire partir le ventilateur pour nous éventer un peu lors d’une journée chaude et totalement calme quand pas une feuille ne bouge. Étonnant que les oiseaux vont ici et là, ainsi que les cerfs-volants, les avions ou les nuages. Tout à fait étonnant.

Vous savez, si les « scientistes » ne nous avaient pas dit autre chose, nous pourrions vraiment croire que la Terre est parfaitement immobile ! Cela vous démontre comment quelqu’un peut ne pas arriver à croire ce qu’il peut voir de ses propres yeux, entendre de ses propres oreilles et sentir avec tout son corps ! En outre, on nous dit qu’il y a encore une vitesse de plus qui n’a pas encore été mentionnée, et l’on ne peut pas non plus la détecter.

Il s’agit de la…

QUATRIÈME VITESSE

(L’hypothétique vitesse du Big Bang)

Qu’est-ce que c’est que ça ? Vous savez, c’est le gros « œuf cosmique », dit-on ; celui dans lequel étaient empaqueté toutes choses dans l’univers, il y a longtemps de ça : le soleil, la lune, les étoiles, vous et moi, les arbres, ce bon vieux Fido, le fer et l’or, les cochons et les grenouilles, les poissons et les pétunias, les images télé, le Coca-Cola, tout, quoi. Vous pigez ? Sans commentaire.

Ensuite, cet « œuf » se mit à subir une pression interne si forte que, n’y pouvant plus tenir, il creva… C’est-à-dire que ce machin explosa littéralement comme une gigantesque grenade… Et tous ces morceaux volèrent en éclats dans toutes les directions. Et les « scientistes » disent que tous ces éclats s’arrondirent et se mirent en orbite, mais que tout, y compris la Terre, s’éloigne encore de l’explosion de l’œuf à une vitesse hallucinante.

À quelle vitesse ? Qui sait ? Comment savoir la vitesse de ces éclats ? En tout cas, très rapidement. Mais ça n’a que peu d’importance parce que nous n’en ressentons aucun effet, comme nous ne sentons pas la première vitesse à 1 040 MPH [1 664 km/h], ou la deuxième vitesse à 66 600 MPH [106 560 km/h] ou la troisième vitesse à 500 000 MPH [800 000 km/h]. donc, admettons que la quatrième vitesse est de, disons, 2 000 MPH [3 200 km/h]. Pourquoi ? Nous savons qu’une balle de fusil file à 2 000 MPH et c’est un genre d’explosion qui fit partir la balle… Ainsi, nous avons une quatrième vitesse d’environ 2 000 MPH. Tiens, pourquoi ne pas l’insérer entre la première de 1 040 MPH et la deuxième de 66 600 MPH ? On fait reculer les deux autres et hop ! voilà l’travail !

Maintenant, si nous passions aux satellites artificiels… ?

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[1] Hazelett et Turner, Le mythe d’Einstein, p. 290.

[2] Ibidem, pp. 21-22.

[3] Ibidem, p. 3.

[4] Dingle, Croisée des chemins, p. 17.

[5] Ibidem, p. 45.

[6] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe Einstein et les papiers d’Ives, Q. Arthur Lovejoy, Ronds carrés, (Old Greenwich, Conn., The Devin-Adair Co., Pub., 1979), p. 35.

[7] Ibidem, p. 36.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 38.

[11] Dingle, Croisée des chemins, pp. 138-139.

[12] Ibidem, p. 139.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 140.

[15] Hazelette & Turner, Le mythe Einstein, p. 55

[16] Harald Nordenson, La relativité, le temps et la réalité, (George Allen ltée, Londres, 1969), p. 82.

[17] Hazelette, Mythe, p. 88.

[18] Branley, La lune, p. 17.

[19] Ibidem, p. 16.

[20] Williams Collins, L’espace, (William Collins & Sons, Ltée, Glasgow & Londres, 1979), p. 10.

[21] Ibidem.

[22] Hoyle, Frontières, p. 226.




D.147 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-2

 

CINQUIÈME PARTIE

(2)

LES MARÉES

Personne ne se disputera à propos du fait qu’il y a une relation entre ce que fait la lune et ce que font les marées. Après tout, la Bible dit que la lune fut destinée à servir de « signe » à l’homme (ce qui inclut le phénomène des marées) par les « saisons » et en donnant aussi de la lumière.

Cependant, dire qu’il y a une relation ou une connexion entre la lune et les marées est une chose ; dire que la lune cause et contrôle les marées terrestres (comme on l’a enseigné à tout le monde) en est une autre.

Tout d’abord — puisque Dieu a dit que l’un de Ses buts, en faisant la lune et en lui commandant de fonctionner comme elle le fait, est précisément en vue d’aider l’homme à mesurer les marées, à planter, à moissonner, etc. — nous voyons que la relation est surnaturelle. Il y a des « signes » et ils ont toujours marché pour ceux qui savent les lire. Donc, il y a une relation ou une connexion entre le comportement de la lune et l’apport de connaissance utile et nécessaire à l’homme.

Ensuite — puisque la « science » dit pouvoir expliquer toutes choses de manière naturelle, sans Dieu, et qu’elle désigne toute explication surnaturelle comme étant des superstitions soutenues par des gens obscurcis — nous voyons que l’évidente connexion entre le comportement de la lune et certains phénomènes tels que les marées doivent être expliqués de façon naturelle par l’establishment scientifique.

Ainsi, Dieu donne Ses explications surnaturelles des marées et l’homme les rejette et nous arrive avec des interprétations purement naturalistes, c’est-à-dire, que l’attraction gravitationnelle de la lune (assistée de l’attraction solaire) cause les marées.

L’une de ces explications constitue la Vérité et l’autre un mensonge. Regardons si nous pouvons trouver laquelle est laquelle. Premièrement, relevons certains faits et voyons où cela nous mène logiquement. Par exemple, il y a ce fait d’une zone de gravité neutre entre la Terre et la lune. Je cite pour cela une lettre en provenance de la NASA et datée du 5 avril 1990 et qui aborde cette matière :

« …En directe ligne de la Terre à la lune, nous trouverions des effets gravitationnels égaux à approximativement 216 000 milles [345 600 km], étant donné une distance moyenne de 240 000 milles [384 000 km] entre les deux corps… »[1]

D’autres sources confirment ce fait logique. Les Illustrations XIV et XV sont tirées des bouquins de l’un des scientistes célèbres dans le domaine des fusées, Werner von Braun. Elles dépeignent cette zone neutre de gravité.

Illustration XIV

                                                             

Illustration XV   

Donc, tout ce qu’on nous décrit ici doit logiquement être vrai si les statistiques à propos de l’attraction gravitationnelle de la Terre et de la lune sont exactes. On dit que la gravité de la Terre est six fois plus élevée que celle de la lune, ou, dit autrement, la gravité de la lune est de 1/6 ou 17 pour cent par rapport à celle de la Terre.

En quelque part entre les deux corps, l’attraction de l’un prend le pas sur l’attraction de l’autre. À ce point précis (que la NASA dit être en moyenne à 216 000 milles [345 600 km] de la Terre et que von Braun confirme) il y a une zone neutre de gravité où l’attraction gravitationnelle de la Terre devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la lune et, à ce même point, l’attraction gravitationnelle de la lune devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la Terre.

Le concept de la gravité et tous les soi-disant faits et les supposées lois qui décrivent les champs gravitationnels de la Terre et de la lune exigent cette situation. Bon, gardez cela à l’esprit pendant que nous lisons ce que la « science » dit concernant les marées sur Terre.

Ce que dit la « science », c’est que l’attraction de la gravité lunaire s’étend au-delà de la zone de gravité neutre (qui ne pourrait attirer un ballon rempli de plumes, un cheval mort ou l’Astrodôme) et continue au-delà de 50 000, 100 000, 216 000 milles [80 000 km, 160 000 km, 345 600 km] et suce la bonne vieille Terre vers elle comme si c’était un ballon de caoutchouc ! Je sais que c’est incroyable ; je sais que c’est insensé, mais c’est ce que l’explication naturaliste (i.e., « scientifique ») exige de la lune. Lisez-le par vous-mêmes dans ces exemples (que l’on répète dans tous les volumes sur le sujet) :

« Aussi étrange que cela puisse paraître, la Terre que nous croyons normalement être un corps solide est aussi affecté par la lune, ce qui provoque une marée. La masse terrestre est élastique et se soulève et s’affaisse réellement d’environ 4½ pouces [11,4 cm]. Nous ne sentons pas ces marées terrestres (…), mais elles ont lieu. »[2]
Dans son livre L’effet lunaire, Lieber dit :

« …l’attraction lunaire déforme la Terre comme si c’était un ballon de caoutchouc. Le continent Nord-américain peut se soulever jusqu’à six pouces [15 cm] lorsque la lune est au-dessus. »[3]

Le célèbre écrivain « scientifique », Asimov, a écrit :

« …la Terre, pour ainsi dire, s’étire en direction de la lune. La Terre solide ne s’étire pas de beaucoup, toutefois (seulement de neuf pouces [22,7 cm] de chaque côté), et seules des mesures délicates peuvent démontrer cet étirement. »[4]

Il mentait à propos des « mesures délicates », évidemment. Aucune mesure ne démontre cela (ni ce que disent les autres) ou ne pourrait le montrer. Les décorations mathématiques dérivant ou supportant de ces folles hypothèses peuvent montrer un étirement de 9” [22,7 cm] (deux fois plus que ce que vient de dire l’autre gars), mais aucune mesure n’a ou ne peut le montrer. Dans un bouquin « scientifique » pour enfants, nous lisons :

« Or, le sol terrestre ne bouge pas facilement, mais les eaux oui. Les eaux du côté terrestre le plus près de la lune s’amoncellent dans un « renflement », provoquant la marée haute. Mais en même temps, il y a une marée haute de l’autre côté de la Terre. D’après vous, quelle en est la raison ? Voici la réponse. Pendant que la gravité lunaire attire l’eau plus près d’elle un peu au-delà de la Terre, elle attire aussi toute la Terre un peu en dessous des eaux océaniques du côté le plus éloigné, y incitant une seconde haute marée. »[5]

Dans La lune : satellite naturel de la Terre, l’auteur Bradley dit la même chose en expliquant son diagramme sur le phénomène de la marée :

« …l’océan E [le plus éloigné de la lune], parce qu’il est beaucoup plus loin, n’est pas attiré vers la lune autant que le sol ferme ; la Terre est soutirée de l’eau ; et l’eau est, par conséquent, plus profonde durant cette partie du cycle des marées. »[6]

Bradley s’enfonce ensuite dans des chiffres qui sortent du mythe auquel il croit, chiffres si contradictoires que c’en serait comique si le monde n’était pas hypnotisé par cette séduction :

« La force lunaire qui soulève les marées est vraiment très faible comparée à la force de la gravité. La force lunaire de soulèvement des marées est environ le 1/9 000 000 de celle de la gravité terrestre… »[7]

Wow ! Un neuf millionième ! Voyons voir ; cela veut dire que l’attraction de la Terre vers son propre centre à l’endroit de sa propre croûte, ses océans et ses mers est neuf millions de fois plus puissante que l’attraction de la lune sur les même items, n’est-ce pas ? Neuf millions contre un ! Héï ! N’est-il pas suprêmement étonnant que neuf millions de mulets-vapeurs puissent tirer quelque chose dans un sens et qu’un seul mulet-vapeur puisse surmonter tout ça à chaque heure de chaque jour, étirer la Terre et faire en sorte que des zillions de mètres cubes d’eau changent de place partout ! Oui, assez étonnant, surtout lorsque cet unique mulet-vapeur s’arrête à 216 000 milles [345 600 km] dans la zone de gravité neutre ! Mamma mia !

Eh bien, il faudrait un bouquin entier pour entrer dans les théories insensées qui reposent sur l’idée centrale que la gravité lunaire étend ses doigts fantômes en dehors de sa cour, traverse les 216 000 milles [345 600 km] de la gravité terrestre et déforme comme de la pâte à pain un corps qui possède 81 fois sa propre masse et 50 fois son volume.[8] Et si l’on imaginait, maintenant, par le même principe, ce que devrait faire l’attraction terrestre sur le globe caoutchouteux de la lune ! Hein ? Ce devrait être un effet 6 fois supérieur à ce que l’on croit que la lune exerce sur la Terre, non ? Vous imaginez la déformation ? Comment ne pourrions-nous pas nous en apercevoir ?

Ce non-sens est, en tout ou en partie, la niaiserie de « l’entraînement des marées » pondue par le fils de Charles Darwin, Sir George Darwin. Ce concept dit que le mouvement des marées a causé un frottement à l’encontre de la rotation de la Terre, ce qui l’a fait ralentir d’environ 1/1000 de seconde par siècle (!) depuis 5 milliards d’années.[9] Un autre auteur traitant du même sujet en arrive à 14 secondes de ralentissement par siècle. En tous les cas, Sir George débuta son calcul à partir de l’époque hypothétique où la Terre faisait un tour sur elle-même à toutes les cinq heures et que la lune était si proche qu’on aurait pu lui botter le train. Toutefois, le frottement répété des marées l’aurait ralenti au cours des milliards d’années pour l’amener à tourner toutes les 24 heures à une vitesse de 1 034 MPH [1 654,4 km/h] et que, d’une manière ou d’une autre, la lune recule à sa distance actuelle. George ne s’arrêta pas là, mais s’attendit à ce que, dans le futur…

« …après des milliards d’années, la Terre aura besoin de 47 jours pour effectuer une rotation et la lune fera le tour de la Terre en 47 jours. »[10]

Pour avoir conçu ce « concept » (ni plus ni moins tordu et non-scientifique que le « concept » évolutionniste de son pôpa Charles), George est intronisé au Temple de la Renommée des Ligues Mineures dans n’importe quel livre que vous ouvrez sur le sujet et il a été adoubé « Sir » par dessus le marché. On se demande qui est en charge du système mondial de reconnaissance et du reste, n’est-ce pas ? (Bien sûr, la Bible dit qu’il est permis à Satan le Séducteur d’être le dieu de ce monde avant d’en être chassé pour toujours. Si c’est vrai — et il n’y a aucune raison d’en douter — il est parfaitement compréhensible que les individus qui mettent les séductions de Satan de l’avant dans le monde soient devenus des figures importantes dans tous les aspects du système mondial.)

Puis, il y a la partie de cette imbécillité de « gravitation-qui-cause-les-marées » qui introduit l’effet gravitationnel du soleil. Ça nous raconte comment la gravité du soleil assiste et contrebalance en même temps l’attraction lunaire pour produire les marées d’équinoxe et les marées des mortes-eaux distantes d’une semaine. Le même principe s’applique. Et il y a ensuite l’effet supposé de la gravité lunaire sur l’atmosphère terrestre… Et ainsi de suite. Quand je vous dis qu’il faudrait tout un bouquin !

Néanmoins, il n’a pas échappé à l’attention du lecteur, qui a eu la patience de lire jusqu’ici, que les vastes éons de temps, exigés pour que se répande toute cette bouffonnerie cosmique remplissent, comme une main dans son gant, les besoins de l’autre grand mythe de l’histoire moderne qu’est l’évolutionnisme. Le temps est le grand héros de ces deux complots ! Les deux ont un même auteur. Un même futur est réservé aux deux, c’est-à-dire, la dénonciation et la destruction par la Vérité de Dieu dans la Chute prochaine de Babylone. Nous en parlerons davantage plus loin.

Mais pour être sûr que l’on comprenne bien que tout ce concept d’étirement de la Terre causant les marées fait nécessairement partie intégrante de la « sagesse » et la « connaissance » naturaliste, humaniste et héliocentrique regardant les marées, examinons un autre exemple. Croyez-le ou non, ce joyau se trouve dans le magazine des ornithologues Audubon, de septembre 1989. Il s’agit d’un essai intitulé Attraction de la lune. L’auteur, Steinhart, y insère la « sagesse » conventionnelle concernant les marées d’une manière qui en dit long sur la profonde pénétration du mythe :

« Il y avait beaucoup de raisons pour que les anciens adorent la lune. La lune exerce une profonde influence sur la Terre. Lorsqu’elle passe au-dessus, sa force gravitationnelle attire un renflement d’eau océanique et provoque les marées. Quand elle s’enligne avec le soleil ou qu’elle est à son opposé — lors des nouvelles ou des pleines lunes — les marées sont plus hautes. Elle provoque même un renflement du sol quand elle passe. Moscou s’élève de 20 pouces [48 cm] deux fois par jour. Et, par moments, l’Empire State Building est soixante-trois pieds [19,3 m] plus près de la Tour Eiffel. Parce qu’elle tire plus fort sur tout ce qui est plus près, elle attire le sol plus qu’elle n’attire l’eau du côté éloigné de la Terre. Il y a donc aussi un renflement d’eau de l’autre côté du globe — une deuxième marée haute quotidienne. »[11]

Bon. Assez d’exemples. En termes peu compliqués, à l’intérieur de l’endoctrinement mondial dans l’héliocentrisme, il faut qu’il y ait un mécanisme expliquant le mouvement des corps célestes, ce qui les garde en place, etc.. Cette explication, ou ce mécanisme, on l’appelle « La Loi de la Gravitation Universelle ». On en a crédité Newton, mais c’est Kepler qui en trouva la première formule, comme nous l’avons vu. Cette « Loi de la Gravité Universelle » est enseignée et crue par tous sans exception, mais cela demeure néanmoins un concept absolument insensé qui viole et contredit son principe magnétique essentiel chaque seconde de chaque jour, année après année.

Même si, momentanément, l’on pouvait engager un cerveau qui puisse concevoir le sensible équilibre entre les forces gravitationnelles, disons, de la Terre et de la lune, un équilibre qui serait atteint par la distance la plus précise, exacte et invariable possible entre deux corps, alors ce même cerveau deviendrait tout ahuri lorsqu’il serait confronté au fait que pareille distance stable n’existe nulle part entre ces deux corps (ni les autres, d’ailleurs !). En effet, la réalité indéniable, c’est que la distance entre la lune et la Terre varie régulièrement de plus de 31 000 milles [49 600 km] ! Lorsque la lune s’approche de plus en plus près de la Terre, elle subit l’attraction terrestre de plus en plus fort. Comment peut-elle donc alors résister à cette attraction et la combattre ? Par contre, lorsqu’elle s’éloigne à son apogée et qu’elle s’échappe de plus en plus de l’attraction de la Terre à une vitesse incroyable, comment peut-elle arrêter son éloignement et revenir ensuite ?

La gravité n’explique pas cela. Elle ne peut expliquer cela. La gravité n’explique pas les marées. Elle ne peut pas l’expliquer. C’est la même chose pour l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil. Le simple fait est, qu’à certaines époques de l’année, nous sommes plus près de deux millions de milles [3 200 000 km] du soleil qu’à d’autres époques de l’année.

L’explication de la gravitation pour démontrer pourquoi les corps célestes réagissent comme ils le font ne contient aucune preuve scientifique. C’est un non-sens de A à Z, une contradiction, une notion illogique et impossible perpétrée envers le monde par vous-savez-qui afin de discréditer la Bible.

En fait, la gravitation universelle est une hypothèse dépourvue de sens et stupide, exactement comme le mécanisme de « sélection naturelle » de Darwin est aujourd’hui reconnu comme une hypothèse insensée et idiote, incapable d’expliquer l’évolutionnisme. Ces deux folles hypothèses ont le même être pour auteur, Satan le Séducteur. Elles ont toutes deux le même but : miner la crédibilité des Écritures. Elles partageront le même destin : la dénonciation en tant que mensonges auxquels ne peuvent adhérer que ceux qui n’ont pas reçu l’amour de la vérité (2 Thessaloniciens 2:10), ceux qui adoptent de manière « volontaire » ces mensonges, même s’ils connaissent mieux (2 Pierre 3:5) ; bref, par ceux dont le dieu réel est le père du mensonge (Jean 8:44).

LES ÉCLIPSES

Tout le monde a entendu parler des éclipses. À peu près tout le monde en a vu une sinon plusieurs. Il y en a deux sortes : l’éclipse solaire (soleil) et l’éclipse lunaire (lune). On les explique comme ceci :

« Le nombre maximum d’éclipses est de sept par année — cinq solaires et deux lunaires, ou quatre solaires et trois lunaires. Le minimum est de deux éclipses, toutes les deux solaires. »[12]

Lorsque la lune bouche le soleil, il s’agit d’une éclipse solaire : la lumière du soleil est éclipsée. Quand c’est la Terre qui bloque la lune, il s’agit d’une éclipse lunaire : la Terre éclipse la lumière solaire apparaissant sur la lune. Éclipse veut simplement dire : obstruction de la lumière d’un corps céleste par un autre.

Bon. Maintenant, regardez une copie d’article de journal (Illustration XVI) provenant du Asheville N.C. Citizen du 30 mai 1984. (Des douzaines d’autres journaux rapportèrent la même chose, évidemment.)

Vous prendrez note que le reportage parle d’un événement futur. Il parle d’une éclipse devant survenir le jour suivant la parution de l’édition du journal. Il dit précisément où passera l’ombre et quand elle atteindra chaque localité de la carte. Est-ce que, le jour suivant, tout arriva comme l’avait dit le reportage ? Absolument. En plein dans le mille. Perfectemente. Mais comment tout cela fut-il calculé ?

Disons, pour commencer, que l’homme sait comment faire depuis les temps anciens. Ce n’est donc pas du nouveau. Évidemment, la technologie va bien plus loin, grâce aux faits tirés des films pris du phénomène, mais le calendrier des éclipses est calculé avec grande précision depuis de nombreux siècles.

Illustration XVI

Oui… mais comment calcule-t-on une éclipse ? Allons voir quelques éclaircissements dans l’Encyclopédie Britannica. Arrivés à la partie que nous recherchons, nous trouvons l’explication suivante, sous l’entête Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires :

« Le problème se subdivise en deux parties. Le premier est de trouver quand arrive une éclipse ; l’autre est de déterminer quand et où elle sera visible. »[13]

Or, remarquez ce qui suit avec attention :

« À cette fin, IL EST COMMODE DE CONSIDÉRER D’ABORD LA TERRE COMME ÉTANT FIXE et supposer que l’observateur regarde à partir de son centre… »[14] (emphase ajoutée)

Cela signifie-t-il que tous les calculs précis et les statistiques exactes pour savoir où se déplace l’ombre pendant une éclipse sont effectués sur la base d’une Terre immobile, totalement stationnaire, i.e., « fixe » ?? C’est exactement ce que ça dit !

Une minute… Si toutes ces statistiques sont basées en fonction d’une Terre immobile et qu’elles s’avèrent toutes justes, cela ne prouve-t-il pas que la Terre ne bouge pas ? Car, enfin, l’ombre ne peut pas aller dans le même sens si la Terre tourne à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] que si elle est immobile !

Cependant, des scientistes aveugles vous dirons que cela n’a aucune importance, que tout est relatif à l’endroit d’où vous observez et toutes ces âneries. Ils vous ferons remarquer que la citation de l’Encyclopédie dit « …il est commode… » d’employer une Terre fixe pour obtenir les bons résultats, mais que les mêmes résultats seraient atteints en se basant sur une Terre en rotation, etc.. Mais nous pouvons constater la vérité au cœur de l’affaire : c’est-à-dire que nous pouvons vraiment PROUVER que la Terre ne tourne pas à partir de cette simple illustration, à condition d’oublier notre endoctrinement, refuser de bouger sur les faits et défendre que toute hypothèse non-soutenue contredise les faits. D’accord ?

Fait numéro un : L’ombre d’une éclipse solaire va dans une certaine direction. Fait numéro deux : Cette direction est prévisible avec précision avant que n’arrive l’éclipse. Fait numéro trois : Ces prévisions précises sont obtenues en commençant d’abord avec une Terre « fixe » (immobile). Fait numéro quatre : Les calculs obtenus et fondés sur une Terre fixe ne pourraient pas être obtenus correctement s’ils étaient appliqués à une Terre qui tourne à plus de 1 300 pieds/seconde [400 m/s] à l’Équateur. Ce n’est tout simplement pas possible ! Pourtant, on nous dit encore que ce qui est impossible arrive vraiment ! On nous dit que les calculs écliptiques qui sont basés et ne peuvent s’appliquer qu’à une Terre qui ne tourne pas fonctionnent exactement et précisément de la même façon avec une Terre qui tourne plus vite que la vitesse du son, dans un sens, 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans une autre direction, et 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans une troisième direction !!

À tous ceux qui désirent la Vérité, Dieu, par Sa Parole, assure qu’Il n’est pas l’auteur de la confusion (1 Corinthiens 14:14), qu’Il nous a fait don d’un esprit de force, de charité et de prudence (2 Timothée 1:7). Il a dit qu’Il a suspendu la Terre sur le néant et qu’elle ne sera point ébranlée (Job 26:7 ; Psaume 93:1). Il a dit que le soleil fait le tour de la Terre chaque jour (Psaume 19:6) et qu’Il a stoppé le mouvement du soleil (pas celui de la Terre) en réponse à la prière de Josué (Josué 10:13).

Beaucoup de chrétiens disent, comme l’étiquette sur leur pare-choc : « Dieu l’a dit ; je le crois ; et ça règle le cas. » Le fait est que cela ne change rien si nous croyons ou non à quelque chose que Dieu a dite dans Sa Parole : c’est vrai quand même ! Mais si quelqu’un fait partie des 3 pour cent environ de la population mondiale qui croient que la Parole ne contient pas d’erreur, ils croiront donc que la Terre ne bouge pas parce que c’est écrit et non pas parce que d’autres y croient ou non. Et Dieu a établi la direction de l’ombre écliptique pour prouver l’immobilité de la Terre telle que stipulée dans Sa Parole !

Et, en passant, la direction que prend l’ombre des éclipses solaires est toujours l’est. Dans son livre, La lune, l’auteur Brenna confirme le fait :

« Les éclipses solaires surviennent lorsque la lune se positionne entre le soleil et la Terre (…) Ce cercle sombre [l’ombre] se déplace en direction est sur la surface de la Terre… »[15]

Combinez ce fait réel avec l’hypothèse de la supposée rotation de la Terre en direction est et n’importe qui pourra s’apercevoir bien vite que cette rotation ferait en sorte que l’ombre se dirigerait vers l’ouest et non vers l’est parce que la Terre se dégagerait toujours plus vite que ce que l’ombre peut se déplacer. En fait, CE PHÉNOMÈNE NOUS FOURNIT UNE DÉMONSTRATION VISUELLE DE L’ABSENCE D’EFFET CORIOLIS !!

A ce moment-ci, tout un chacun réalisera la nécessité de fonder les prédictions concernant la course de l’ombre sur une Terre « fixe » !! Par conséquent, en reprenant l’exemple d’une éclipse solaire (celui d’une éclipse annuelle prise dans le journal de 1984) ou tout autre exemple du genre, nous pouvons clairement constater ce qui arriverait vraiment si la Terre tournait pendant une éclipse : toutes les prédictions seraient toujours fausses !

En vérité, les prédictions basées sur une Terre immobile fonctionnent pour une seule raison, c’est-à-dire que la Terre EST fixe ! Point à la ligne et changeons de paragraphe !

De fait, les calculs qui disaient, dans notre exemple, que l’ombre se déplacerait de la Nouvelle-Orléans vers Washington, en passant par Atlanta, s’avérèrent le jour suivant. Les mêmes calculs auraient été faux si la Terre se déplacerait vraiment à 1 000 MPH [1 600km/h]. Tout au moins, c’est ce que nous voyons. Et s’il n’y avait rien eu d’autre d’établi ici ou ailleurs, ce serait toute la preuve dont nous aurions besoin pour prouver que la Terre ne bouge pas.

Mais mettons-y encore tout de même un peu d’emphase avant de passer à autre chose. Remarquez qu’une Terre en rotation aurait forcé l’ombre de l’éclipse solaire du 30 mai 1984 à se déplacer vers le nord-ouest, pas vers le nord-est ; de la Nouvelle-Orléans vers Denver, pas vers Washington ! Nous pouvons le constater en prenant fait que le temps pris par l’ombre pour couvrir la distance entre la Nouvelle-Orléans et Washington fut d’à peu près trois-quart d’heure. Rappelez-vous maintenant que le frauduleux copernicisme exige que la Terre tourne vers l’est. Ajoutez à cela la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre à la latitude de Washington, soit environ 800 MPH [1 280 km/h]. Notez ensuite que trois quarts d’heure à 800 MPH donnent 600 milles [960 km]. (À la latitude de la Nouvelle-Orléans, la rotation aurait été de plus ou moins 900 MPH [1 440 km/h]). Ainsi donc, notons que, pendant ce temps, Washington se déplace vers l’est à 600 milles selon le concept mythique qu’on nous a enseigné à tous (et la Nouvelle-Orléans à 675 milles !). Par conséquent, après trois quarts d’heure, lorsque l’ombre touche Washington (comme elle l’a effectivement fait si l’on se fonde sur les calculs de prédictions d’une Terre fixe), Washington n’est plus là… c’est plutôt St-Louis !

Personne ne sortira de ça ! Les coperniciens ont essayé de se sortir de la plupart de leurs problèmes en répondant que l’atmosphère entier entourant la Terre est une « enveloppe » attachée qui tourne avec la Terre. Le mouvement des oiseaux, des avions, etc., s’expliquerait par cette « enveloppe » mouvante (tout insensé cela puisse-t-il être, lorsque considéré en regard des diverses vitesses et autres facteurs). Mais CES OMBRES D’ÉCLIPSES PROVIENNENT D’AU-DELÀ de cette « enveloppe » atmosphérique ! Ces ombres sont projetées comme des faisceaux de laser au travers de « l’enveloppe » pendant plus de trois heures. Le soleil et la lune font ce qu’ils font pendant trois heures et l’ombre « faisceau laser » indique la Terre pendant tout le temps que la lune passe devant le soleil. Aussitôt que le soleil et la lune commencent à se superposer dans le ciel, l’ombre, ou le « faisceau » frappe et atteint un endroit spécifique et prévisible sur la Terre. Le « faisceau » est lancé directement au travers de « l’enveloppe » atmosphérique et frappe, disons, la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis. Cette ombre (ce « faisceau laser ») va se déplacer et aller en une direction donnée au-dessus de la sphère terrestre pendant le temps de l’éclipse parce que sa SOURCE change continuellement et se déplace !

C’est comme un pistolet laser sur un satellite se mouvant lentement, situé à un quart de million de milles [400 000km] et pointant son rayon sur la Nouvelle-Orléans. Vous voyez le portrait ? Maintenant, répondez à quelques questions : y a-t-il moyen que l’ombre, le faisceau laser, se fixe sur la Nouvelle-Orléans pendant toute la durée de l’éclipse ? Évidemment non. Pourquoi ? La source, le pistolet laser, est toujours en mouvement et le faisceau (l’ombre) qu’elle envoie ne peut demeurer au même endroit. OK, ça, au moins, c’est certain. Nous savons que la source bouge.

Or, on nous a enseigné depuis 400 ans que la cible, l’objet, la Terre bouge aussi, mais nous ne savons pas cela. Ce que nous sommes sûrs de savoir, c’est que la source, la lune, bouge. Bien. Maintenant, une autre question : Si la Nouvelle-Orléans voyage vers l’est pendant 2 700 milles [4 320 km] lors des trois heures que dure l’éclipse, tel que le rapporte le journal, est-ce que le « faisceau laser » va se déplacer sur les mêmes parties de la Terre que s’il parcourait un territoire où ni la Nouvelle-Orléans, ni aucun endroit ne bouge d’un pouce ?

Personne n’est assez idiot pour rater la réponse à cette question. La réponse est NON ! Bon. En voici une autre. Nous savons que des prédictions exactes nous ont dit, tout au long de l’histoire du monde jusqu’à aujourd’hui, quand et où ces ombres en « faisceau laser » commençaient et se terminaient durant une éclipse. Nous savons que les calculs qui ont servi à produire ces prédictions précises ont toujours été fondées sur une Terre immobile. Voici la question : est-ce que ces calculs seraient arrivés aux prédictions précises qu’ils ont produits si la Terre avait tourné ?

« Vous plaisantez ? Pas du tout ! » vous exclamerez-vous. En effet, il n’y a rien à changer, le cas est réglé. Des mathématiques loufoques et un tableau noir peuvent avoir été capables de « faire croire » que la Terre tourne, mais aucune somme de maths inventées, grognasses et tordues peuvent la faire tourner pendant une éclipse solaire !

Lors de la Deuxième Résurrection, nous alignerons Copernic, Kepler, Galilée, Einstein, Sagan et tous les autres devant leurs tableaux noirs et nous y ferons passer ce « faisceau laser » au-travers. Personne ne fait de prédictions d’éclipse en se fondant sur une Terre qui tourne et ce, pour une excellente raison : ça ne peut pas se faire !! Tous les calculs établis sur une Terre en mouvement seraient forcés de démontrer et faire reconnaître que la Nouvelle-Orléans s’est déplacée de 675 milles [1 080 km] vers l’est en 45 minutes et quelque 2 700 milles [4 320 km] vers l’est en trois heures. Il n’y a pas moyen de sortir de là. C’est une trappe sans issue ! Et il n’y a pas moyen de sortir du fait que la source du « faisceau laser » se déplace d’une manière précise et connue. Les coperniciens sont aussi attrapés par ce fait-là. Par conséquent, quand les calculs établis à partir des faits connus et inéluctables concernant la source du « faisceau laser », ou de l’ombre, sont agrafés aux « faits » qu’exige la théorie de la Terre-qui-tourne, en aucune façon l’ombre « faisceau laser » peut se déplacer comme elle se déplace selon les faits réels !

C’est le fin mot de l’histoire. Tout le monde doit être d’accord ! En effet, c’est un trappe de laquelle les coperniciens ne peuvent s’échapper. Dieu a fait de cette trappe une preuve ! C’est un des signes que Dieu a construits dans Sa création des corps célestes ! Il a attendu jusqu’à aujourd’hui pour révéler ce signe, un signe qui prouve que Sa Parole est la Vérité lorsqu’Il dit que la Terre est immuable ! La preuve irréfutable, observable et vérifiable des ombres écliptiques a scellé la porte de la trappe ; et ce que Dieu ferme, aucun homme ne peut l’ouvrir (Apocalypse 3:7) ! Voici ces Vérités :

  1. Les ombres d’éclipse ont toujours rempli les prédictions parce que celles-ci étaient fondées sur des calculs eux-mêmes basés sur une Terre immobile ;
  2. Les ombres d’éclipse ne pourraient jamais remplir les prédictions qui seraient fondées sur des calculs qui seraient eux-mêmes basés sur le concept d’une Terre qui tourne, parce que de telles prédictions seraient forcées de démontrer une course bien loin à l’ouest de ce qui arrive réellement.

Donc, essentiellement : l’ombre (le faisceau laser) va toujours en direction de ce qui est prédit parce que les calculs sous-tendant ces prédictions sont fondées sur une Terre immuable, fixe, statique, immobile, stationnaire, inchangée, inerte, sans mouvement… !

Ça doit être assez clair… ?

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[1] Brian Dunbar, Bureau des Affaires Publiques, Bureau du Service et des Applications Spatiales, NASA Washington, D.C., 04/05/90.

[2] Carroll V. Glines, Co, USAF, Le premier livre de la lune, (Franklin Watts, inc., N.Y., N.Y., 1967), p. 21.

[3] Arnold L. Lieber, L’effet lunaire, (Anchor Press, Doubleday, Garden City, N. Y., 1978), pochette de couverture.

[4] Isaac Asimov, La planète double, (Abelard-Schuman, London, N.Y., Toronto, 1960), p. 100.

[5] Jean et Cle Kinney, Que fait la marée ?, (Young Scott, éd., 1966), p. 32.

[6] Franklin M. Bradley, La lune : satellite naturel de la Terre, (Thomas Y. Crowell, Cie, 1960), p. 84.

[7] Ibidem, p. 85.

[8] Ibidem, p. 82.

[9] Ibidem, p. 85.

[10] Ibidem.

[11] Paul Steinhart, Attraction de la lune, Audubon, septembre 1989, p. 32.

[12] Ben Shupack et Fred Schering, Maîtrise de la science terrestre, (Oxford Book Cie, N.Y., Los Angeles, 1963), p. 260.

[13] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires, (Chicago, etc., 1976), Vol. 6, p. 191.

[14] Ibidem.

[15] Virgilio Brenna, La lune, (Golden Press, N.Y., 1964), p. 39.




D.146 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-1

 

CINQUIÈME PARTIE

(1)

La logique

« Venez maintenant, dit l’Eternel, et débattons nos droits »

(Ésaïe 1:18)

En voici une pour vous, mes amis : supposons, pour le plaisir de la chose, que les deux déclarations suivantes sont vraies :

—    La Terre tourne.

—    La Terre ne tourne pas.

Or, où pouvez-vous aller avec cette paire de déclarations ? « À l’asile ?! » me direz-vous. C’est à peu près cela. Le cerveau disjoncte avec ce genre de contradiction flagrante. L’une d’elle doit être VRAIE et l’autre doit être FAUSSE. Les deux ne peuvent être vraies en même temps, ni être fausses en même temps. Maintenant, qu’arrive-t-il lorsque celle qui est vraie est qualifiée de fausse et, en même temps, celle qui est fausse est qualifiée de vraie ?

Réfléchissez-y un instant : durant une portion majeure de l’histoire, on a cru que la Terre était plate. Cette croyance constitua la vérité même pour à peu près tout le monde sur Terre pendant un grand bout de temps. Puis, Colomb et Magellan prouvèrent que l’idée d’une Terre plate n’était pas vraie, mais que c’était plutôt un mensonge, une séduction. (Incidemment, la Bible enseignait que la Terre était une sphère, mais la majorité des gens croyait autre chose jusqu’à ce qu’une preuve indéniable mette fin à la controverse.)

Et, en un sens, l’idée d’une Terre qui tourne est similaire à l’idée d’une Terre plate. En fin de compte, pendant un long moment, l’on croyait que la Terre ne tourne pas. Une Terre immobile constitua la vérité pour une majorité de gens qui y crurent pendant des siècles. C’est alors que survinrent Copernic, Kepler, Galilée, Newton et le reste, déclarant, par le biais d’un certain genre de mathématiques, qu’elle tournait, et que la « science » avait abattu encore une autre croyance superstitieuse comme l’idée que la Terre est plate…

Mais le problème, c’est que PERSONNE n’a jamais produit de preuve, une preuve solide et réelle, que la Terre tourne, comme on produisit pour se débarrasser de l’idée d’une Terre plate. Pourtant, l’establishment scientifique atteignit, au 16e et 17e siècles, le même but sans preuve concrète, sans aucune évidence réelle et solide d’aucune sorte. Ça leur a pris du temps et, comme nous l’avons vu, il y eut, et il y a encore, un tas d’obstacles. Mais, fondamentalement, ils se sont débarrassé de la croyance d’une Terre immobile aussi efficacement que s’ils avaient vraiment prouvé quelque chose, comme le voyage de Magellan prouva réellement que la Terre n’était pas plate.

Mais dire que quelque chose est vrai et croire que cette chose est vraie ne rendent pas la chose vraie pour autant, si elle est fausse. Ce ne serait pas LOGIQUE. C’est un peu comme la tendance actuelle dans beaucoup de productions cinématographique et de bouquins publiés qui véhiculent les idées nouvel-âgistes de l’humanisme. On y proclame souvent que si une personne croit très fort que quelque chose est possible, ça va arriver ; qu’il suffit de croire pour que tout puisse se produire, dans le fond. Mes amis, la création à partir de rien appartient à Dieu et à personne d’autre !

Les gens crurent que la Terre était plate et ils considéraient logique que si quelqu’un allait assez loin, il finirait par arriver au bord et tomber. Évidemment, si la Terre eut été plate, alors cela aurait été logique, et ils crurent donc qu’elle était plate. Mais, du même souffle, les gens disaient que la Terre est immobile parce qu’il était logique que tout sur Terre volerait en éclats si elle tournait à la vitesse qu’elle devait atteindre dans le Système copernicien. C’est le même genre de logique.

En surface, oui. Or, ce n’est pas la logique qui faisait défaut dans le cas d’une Terre plate ! Si la Terre était plate, elle aurait une bordure et l’on tomberait si l’on dépassait cette bordure. La logique était bonne ; c’était la Vérité qui était mal perçue ! Quand la vérité d’une Terre ronde fut prouvée, la logique soutenant une Terre plate se flétrit et mourut très rapidement.

Ainsi, la logique voulant que toutes choses voleraient en éclats si la Terre voyageait à diverses vitesses, jusqu’à un demi-million de MPH [800 000 km/h], n’est donc pas la fausse logique que les coperniciens ont convaincu le monde de croire ? Bien sûr que ce n’est pas une fausse logique ! Toutes choses voleraient bel et bien en éclats si la Terre se déplaçait comme les coperniciens l’exigent ! Examinons une couple de leurs tours de passe-passe pseudo-scientifiques en ce qui a trait à ce problème de vitesse. Voyons d’abord la question de l’éther.

Rappelez-vous qu’Einstein et tous les relativistes qui contrôlent la physique et l’astronomie depuis des siècles ont dit que l’éther n’existe plus… Mais que disaient les scientistes avant Einstein ? Ne disaient-ils pas que l’éther existe ? C’est exactement ce qu’ils disaient et que les dictionnaires disent encore, c’est-à-dire : « éther : les régions supérieures de l’espace, ou les éléments raréfiés supposées remplir ces régions. »

On définit donc l’éther comme un « élément raréfié » que l’on suppose exister dans tout l’espace entre les étoiles, les planètes, les comètes et ainsi de suite. C’était cela jusqu’à ce que le Sieur Einstein déclare, sur son tableau noir, qu’il était disparu. Voilà où les contradictions logiques commencent à s’empiler. Notez ceci :

« Ici, Einstein fit sa seconde hypothèse… qu’il n’y a pas d’éther… »[1]
Mais :

« …c’était en contradiction directe avec l’axiome de base de Maxwell qu’il existe un éther… »[2]

Ce défi à Maxwell est…

« …d’une importance fondamentale, car la Théorie Spéciale de la Relativité d’Einstein, destinée à sauver les équations de Maxwell, ne pouvait le faire qu’en sacrifiant l’éther qui constituait le fondement de la théorie de Maxwell… »[3] (emphase ajoutée)

Alors, nous voyons qu’Einstein trouva une manière de sauver les équations et :

« …seules les équations avaient besoin d’être sauvées (…) on devait se passer de la partie physique de la Théorie [sa base, l’éther]. »[4]

Parlez-moi de pareilles mathématiques élastiques ! Et nous avons déjà vu pourquoi Einstein avait désespérément besoin de se débarrasser de l’éther. C’était parce que…

« …l’éther pouvait servir de standard absolu de repos [immobilité. Et Einstein ne voulait rien voir en repos dans l’univers]. »[5] (emphase ajoutée)

Tout, dans « son » univers, devait bouger et c’est la base fondamentale de la « relativité » et la véritable raison pour laquelle Einstein refila ce tour de passe-passe logique au monde. Il lui fallait se débarrasser de l’idée que quoi que ce soit demeure en repos dans l’univers, que quoi que ce soit reste stationnaire, sans mouvement, même l’éther… ! Cela afin que l’homme ne considère plus, ne croit plus et ne vienne même plus à concevoir une Terre qui est « …affermie, tellement qu’elle ne sera point ébranlée » comme le dit la Bible.

L’expérience de Michelson-Morley a démontré que, si l’éther existe, la Terre ne peut donc pas bouger. Einstein déclara l’éther nulle et non avenue, et, ce qui est plus important, déclarant sans le dire que la Terre tournait puisqu’il n’y avait rien dans l’univers qui ne bougeât pas.

Et, pour que la Terre tourne à 1 000 MPH [1 600 km/h] sur elle-même, qu’elle file à plus de 66 000 MPH [105 600 km/h] d’un sens et à 500 000 MPH [800 000 km/h] dans un autre sens, et cela sans que tout ce qu’elle renferme ne s’éparpille en morceaux, ou froisse un seul cheveu, cela signifie qu’il ne faut pas qu’il y ait quoi que ce soit dans l’espace, aucun éther ; car s’il y en avait, il se créerait de la friction à ces vitesses ; cette friction ferait exploser l’atmosphère terrestre et, donc, votre maison et toute la surface du sol… !

Or, de crainte d’avoir l’air trop durs envers le Dr Einstein, dans ce cas-ci et ailleurs, rappelons-nous immédiatement que nous ne sommes pas les seuls à avoir amené ces choses sur le tapis concernant notre cher bonhomme. Certaines des personnes que nous avons déjà citées ont été assez dures à son endroit, mais personne n’en a entendu parler, évidemment. C’est comme ça que ça fonctionne ! Cela ne fait que témoigner de la puissance du réseau de contrôle qu’exerce dans le monde cette séduction dans les publications, les médias, etc., voulant que tout ceux qui avancent un enseignement anti-biblique sont encouragés et quiconque avance un enseignement vraiment biblique est réprimé, même, dans bien des cas, dans les églises et les maisons d’édition faisant censément honneur à la Bible. Il est clair que l’Éternel Dieu a permis qu’il en soit ainsi pour que cette séduction atteigne son plus haut niveau avant qu’Il ne sonne la fin de la récréation. Mais les gens peuvent lire des appréciations comme celle qui suit, lorsqu’elles creusent un peu autour d’elles :

« Peu d’hommes se sont autant moqués de la sémantique [signification des mots] qu’Albert Einstein. Il a fait fi de la signification séculaire du mot “espace” (…) mais continua d’employer le même mot avec une signification radicalement unique à lui (…) confondant ainsi la plupart des gens à leur plus grand désespoir. L’ironie de l’affaire, c’est que ce fut Einstein lui-même qui fut le plus confus, mais (…) il fut capable de cacher sa confusion (…) au moyen de l’écran de fumée de ce qui est considéré comme des mathématiques ésotériques… »[6] (emphase ajoutée)

Assez tranchant, n’est-ce pas ? Essayez celle-là :

« Il n’est possible de parler utilement d’une courbe qu’en référence avec quelque chose qui est droit (…) Mais par sa manière absurde de parler d’espace courbe ou d’espace-temps courbé, Einstein devint le grand-prêtre de la Crétinerie Absconse (…) Parler d’espace courbe est, en soi, un non-sens inimitable et de la pseudo-science, s’il en est. »[7]

Grand-prêtre des crétins… Ho ! Voilà de dures paroles sur Einstein, le Cerveau, dont le nom est pratiquement synonyme « d’extrêmement brillant », dans le monde ! Mais cela cadre parfaitement avec les Écritures qui nous disent que :

« …la sagesse de ce monde est une folie devant Dieu » (1 Corinthiens 3:19).

Mais qu’en est-il de tous les autres physiciens et scientistes qui accompagnèrent Einstein ? Ils n’étaient quand même pas tous des hommes de pailles prêts à lui lécher la main, non ? À cette question, lisez cette réponse tirée d’un livre préparé par plusieurs scientistes et philosophes de la science :

« Le public a fait confiance aux physiciens, probablement plus qu’à tout autre groupe d’hommes. Mais, éventuellement, le public apprendra que ces physiciens ne sont pas plus immunisés contre les tendances aux motifs pervers de l’époque que toutes autres personnes professionnelles. Les scientistes ont les plus énormes intérêts à protéger leurs théories (…) Et l’adhésion servile et paresseuse de nombreux physiciens aux dogmes pompeux et conventionnels en font les leaders de la tendance à la baisse de la civilisation (…) Pendant soixante-deux ans, l’humanité a été intimidée par une portion incomparablement effrontée de la pseudo-science [Einsteinisme] parce que ses auteurs l’ont défendue en utilisant des mathématiques qui, quoique valides en elles-mêmes, ne sont pas appliquées en rapport avec les faits objectifs qui sont analysés de façon logique dans le monde réel. Une sorte de mathématiques supérieures absconses [abstruses] a été employée de manière fausse pour créer un langage ésotérique impressionnant par lequel l’élite initiée s’est séparée du monde et qualifie tout dissident de charlatan. »[8]

Et les « charlatans » ne se font jamais entendre parce que l’establishment y voit. Le même genre de censure est en contrôle presque total de tous les domaines de la connaissance ; toutes les Sciences Naturelles ; toutes les Sciences Sociales ; tous les Arts et les Humanités ; tout ce sur quoi l’homme possède quelque connaissance a été placé dans sa tête de manière à contredire ce que nous venons de lire, c’est-à-dire :

« … les faits objectifs qui sont analysés de façon logique dans le monde réel. »[9]

Les faits réels, la vraie logique, le monde réel, tout ce qui confirme un Créateur dirigeant lentement une Création éternelle ; pas les faits de contrefaçon, la logique contrefaite destinée à promouvoir une accidentelle explosion de matière, sans signification, sans but !

Comment pourrait-il en être autrement ? Si nous faisons marcher un instant notre cerveau, nous savons qu’un million de sortes d’yeux, de cerveaux, d’appareils reproductifs, et toute la nourriture, les racines et les fleurs, et cetera, et cetera, ad infinitum ne pourraient jamais fabriquer une explosion de matière ! NOUS LE SAVONS ! Et quand nous nous servons un peu de notre tête, nous savons que la Terre ne peut pas voyager dans l’espace à plus de 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans un sens (autour du soleil) et à plus de 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans un autre sens (autour du cosmos) ! NOUS LE SAVONS !

(En passant, si la Terre allait à de pareilles vitesses, que l’éther existe ou pas, imaginez le moteur qu’il faudrait à une fusée, ou à une navette spatiale quelconque, pour la rattraper une fois qu’elle est sortie de son attraction ! Quel appareil possède un moteur assez puissant et assez de carburant pour aller plus vite que ce que l’on suppose être la vitesse de la Terre autour du Cosmos ?! C’est absurde !)

Lorsque nous utilisons un peu notre jugeote, nous savons, à partir de ce que nous avons vu dans ces pages, que l’humanité a été trompée par une fausse science employant des mathématiques de fous pour nier la Création de Dieu qui s’étale sous nos yeux, exactement comme il est stipulé dans la Bible. En vérité, à peu près tous les habitants du monde se sont dit…

« …être sages [mais] ils sont devenus fous » (Romains 1:22).

Finalement, si nous nous faisons encore un peu aller la cervelle, nous ne pouvons que savoir que Dieu, qui a expliqué clairement toute la Vérité, de la Création jusqu’aux Cieux, dénoncera et détruira l’idole de la fausse science du monde érigée sur le copernicisme et l’évolutionnisme parce qu’ils ont fait de la matière un dieu et Il ne permettra pas à ce mensonge de continuer ! Il ne permettra pas à de faux dieux de voler SA gloire ! Jamais ! Qui pourra ignorer que le Dieu Tout-Puissant, qui a tout créé de A à Z, a déjà déterminé que A — la Création — sera reconnu comme la Vérité par tout le système du monde (Apocalypse 14:6-7) avant qu’Il ne continue avec Z — le Ciel ?

Donc, il y a une « logique » fondée sur le dieu/matière et son accident (ou un quelconque dieu faible et anti-biblique, parti déjeuner) et il y a la logique fondée sur le Dieu Créateur de la Bible qui a également créé un paradis céleste et éternel qui viendra s’installer sur une nouvelle Terre et sous de nouveaux cieux. Deux logiques. Une biblique et l’autre anti-biblique. L’une confirmée par la moindre parcelle du gros bon sens, tous les faits testés (ou science véritable), toute observation faite par quiconque ; l’autre ne reposant que sur le « langage ésotérique impressionnant » des mathématiques sans le moindre iota de fait ou de bon sens pour la soutenir nulle part.

Regardons rapidement une illustration qui vaut mille mots contre le copernicisme.

GLOBE EN LÉVITATION

Voici un coup d’œil rapide sur le truc d’Einstein. Il a déclaré que rien ne peut être immobile dans l’univers (exceptés les « observateurs » arbitraires qu’il fait ressortir partout dans l’univers pour illustrer ses théories). L’idée que tout dans l’univers devait être en mouvement fut le fondement de sa Théorie de la Relativité, comme nous l’avons souligné plusieurs fois.

Or, lorsque l’épouse et la fille de Marshal Hall lui montrèrent l’annonce illustrée plus bas, il trouva que c’était bien de valeur qu’Einstein n’ait pu avoir l’un de ces Globes Terrestres en Lévitation (Ill. XII).

Sans doute, si ce gadget fabriqué par quelque personne ordinaire et détaillé à 150,00 $ peut faire flotter dans les airs par un champ magnétique une Terre immobile simulée, donc Dieu le Créateur, qui a dit qu’« il suspend la terre sur le néant … tellement qu’elle ne sera point ébranlée » (Job 26:7 ; Psaume 93:1), peut certainement faire de même avec la vraie Terre, n’est-ce pas ?

Cent cinquante dollars pour renvoyer Einstein et tous ses disciples à leur planche de travail ? J’en prend une douzaine !!

Illustration B : Maintenu en place par une technologie magnétique avancée, le Globe Terrestre en Lévitation de 23 cm de diamètre flotte dans l’air sans effort. Touchez-y, faites le tourner et voyez comme il demeure dans le champ magnétique créé par son support haute technologie. Cartographie récente et précise, avec montagnes en relief tridimensionnel et océans antiques aux couleurs de parchemin. Fera beaucoup jaser !

#86529-3 46 cm de haut             150,00 $

 LES CONTREFAÇONS

La Terre ne peut pas être immobile et en mouvement. C’est l’un ou l’autre. Il y a deux explications pour l’existence des saisons sur Terre et toute autre chose que nous constatons sur sa surface. L’une de ces explications est basée sur une Terre qui tourne ; l’autre explication est fondée sur une Terre immobile.

Une de ces explications est donc vraie. L’autre est fausse.

La fausse explication ne peut pas être parfaite. Si elle était parfaite, elle serait vraie. Elle n’est pas vraie. Elle est imparfaite.

Ce qui est imparfait comporte des défauts. Un faux billet de 20 $ peut être si bien fabriqué que seuls des experts entraînés peuvent en découvrir les défauts. Mais les défauts sont toujours là. Lorsqu’ils sont découverts et révélés, la tricherie est élucidée. La contrefaçon peut avoir été très, très trompeuse. Elle peut avoir été prise pour la chose réelle et s’être promenée dans les banques et autres commerces à plusieurs reprises. Néanmoins, elle possédait des défauts qui prouvaient que c’était un faux, une fraude des plus trompeuses et rien de plus.

Alors, logiquement, toutes les contrefaçons possèdent des défauts que l’on peut découvrir. Toujours selon la logique, quand on n’a que deux choses à comparer et que l’une doit être vraie (comme avec l’héliocentrisme et le géocentrisme), alors, la découverte de défauts dans l’une prouve, non seulement que c’est une contrefaçon, mais prouve également et en même temps que l’autre est à la fois sans défaut et la chose réelle, l’article véritable, la Vérité. N’importe qui peut saisir ce principe.

Mais c’est le prétendu « génie » qui a un problème de logique ! Et cela n’est guère étonnant ; à peu près tout ce qu’on a appelé « éducation » lors des quelques dernières générations a été fondé ou dérive des contrefaçons de l’homme face aux Vérités bibliques impliquant la Création. Si les « vérités » que tout le monde apprend, concernant l’origine et la nature de l’Univers, de la Terre et tout ce qu’elle renferme, s’avèrent un tissu de mensonges, est-il alors étonnant que la logique du gros bon sens soit enterrée et méprisée, considérée comme quelque chose d’inférieur à la théorisation abstraite ?

Donc, s’il y a toujours des défauts observables dans tout ce qui est une contrefaçon, cela ne signifie-t-il pas qu’il y a de ces défauts observables dans le Système copernicien que l’on enseigne aujourd’hui dans le monde entier comme étant un fait scientifique ? C’est exactement ce que ça veut dire ! Voilà l’essentiel du copernicisme : ce n’est que défauts sur défauts ! Comme l’Évolutionnisme, il n’y a rien de vrai dans ça ! Toutes les déclarations qu’on y fait ne sont que des hypothèses qui violent les faits observables. Personne n’a jamais vu la Terre tourner. Personne. Aucun test, ou photo prise de l’espace, ou quoi que ce soit d’autre ne l’a jamais montré en rotation.

Nous croyons que la Terre tourne parce qu’il y a eu 400 ans d’endoctrinement incroyablement sophistiqué, motivé par Satan, provenant de l’establishment de la science qui nous dit qu’elle tourne. Personne (sauf au jour de Josué !) n’a jamais observé le soleil se maintenir immobile. Nous croyons que le soleil est immobile parce qu’il doit être immobile dans le système copernicien, et nous devons croire au système copernicien parce que s’il n’est pas vrai, alors, cela prouve de manière véritable que la Bible a raison et que 400 ans de la « sagesse » de l’homme tourne en eau de boudin !

Et la contrefaçon sera dénoncée et les gens partout dans le monde seront estomaqués de constater qu’ils ont été si terriblement trompés. Et ils seront en colère ! Un paquet de gens, peut-être tout le monde, seront, au mieux ennuyés, au pire furibonds, lorsqu’ils découvriront qu’ils se sont fait avoir en regard de quelque chose d’aussi énorme !

Quand vous accouplez le choc et la colère que causeront cette dénonciation avec le choc et la colère que provoqueront la dénonciation de l’Évolutionnisme, vous verrez clairement qu’il est raisonnable de pouvoir nous attendre à ce que ces émotions se traduisent précisément par le genre de destruction des systèmes du monde que nous voyons dans l’Apocalypse, au chapitre 18, où est décrite la Chute de Babylone.

Donc, personne n’a jamais, jamais, JAMAIS vu ou senti la Terre bouger à quelque vitesse que ce soit, encore moins les fantastiques vitesses dont nous allons discuter dans cette section, vitesses exigées par le Système copernicien. Personne n’a vu le soleil faire autre chose que se lever, traverser le ciel d’est en ouest et se coucher. Personne n’a jamais vu la lune aller vers l’est, comme il se doit dans le Système copernicien. Elle se lève toujours en est, comme le soleil, va en direction ouest et se couche en ouest. Si nous croyons autre chose, c’est qu’on nous a enseigné autre chose, comme les gens de toutes les époques de l’histoire ont cru à toutes sortes de séductions en les qualifiant de vérités.

Oui, mais, les gens ne pensent-ils pas qu’il soit impossible que le monde moderne de l’ère spatial et des ordinateurs puisse être floué si magistralement à propos de ces deux pierres de touche de leurs connaissances, c’est-à-dire, l’origine et la nature de la Terre et tout ce qu’il y a au-delà et sur elle ?! Les gens ne croiront jamais avoir été trompés à ce point ! Et s’ils ont été trompés à ce sujet, sur quoi d’autre l’ont-ils été aussi ? Pratiquement tout ce à quoi les gens croient doit alors être suspecté de séduction !

Déduction parfaitement logique, non ? Et les plus suspectes de toutes les croyances doivent être celles concernant Dieu. Logiquement, les gens vont dire : « Y a-t-il une façon de savoir quelle religion est véritable et laquelle est contrefaite ? » Et, toujours selon la logique, la seule réponse est « Oui ! ». Il n’y a qu’un seul assortiment de vérités concernant Dieu et Son Plan. Seulement un. L’islam, le christianisme, le bouddhisme, l’hindouisme, le judaïsme, etc., clament tous posséder la vérité au sujet de Dieu. Logiquement, une seule est véritable et les autres sont fausses, ou bien toutes sont fausses et la vérité est ailleurs. En quelque part, il y a la vérité concernant Dieu, et toutes les autres réclamations sont des séductions, des contrefaçons, ayant fraudé les multitudes depuis des années et des années.

Ce que nous disons et démontrons donc, c’est que toute Vérité sur tous les sujets se trouve dans la Bible ; elle peut être (et sera) identifiée et séparée des tromperies concernant tous les sujets. C’est ce qu’enseigne la Bible et c’est là que cette question du copernicisme nous conduit !

C’est parfaitement logique. Lorsque le copernicisme commencera à tomber et que la condamnation de l’Évolutionnisme se verra à l’horizon, la Bible sera considérée comme la seule véritable source de la Vérité que Dieu utilisera pour libérer et séparer tout Son peuple et l’amener dans « l’unité de la foi » (Éphésiens 4:13). Jésus, Pièce maîtresse de la Bible et du Plan de Dieu pour l’humanité, sera pris pour ce qu’Il est et sera, soit rejeté, soit adoré. Les séductions doctrinales vont disparaître très rapidement. Ceux qui aiment la vérité seront libérés par elle. Ils ne formeront « qu’un seul esprit ». Ils sortiront des systèmes du monde — i.e., Babylone (Apocalypse 18:4). Le reste des prophéties sur la fin des temps, dépouillé des séductions, sera compris de tous ceux qui seront scellés par Dieu en tant que les Siens. Le pouvoir surnaturel et la protection de Dieu sur Son peuple (les deux Témoins et les 144 000) seront évidents à tout moment aux yeux de tous (Apocalypse 9:4). Nous pourrions continuer ainsi longtemps, en donnant les raisons scripturaires des détails de la fin des temps qui suivront la destruction du mensonge copernicien face à la Parole de Dieu. Oui, tout cela est parfaitement logique.

Si l’on concède que le copernicisme peut et sera détruit, c’est parfaitement logique. Donc, la grande question est de savoir s’il est logique qu’il tombe ou non. Le temps nous le dira, bien sûr. Pour nous, il nous apparaît scripturairement exact et, de ce fait, d’une inévitable logique que Dieu exposera et détruira l’idole de la fausse science qui a fait en sorte que soient rejetées Ses Vérités fondamentales sur la Création biblique et ce, virtuellement par tout le monde un tant soit peu lettré. Et aucun homme ne peut arguer que la destruction du Copernicisme et de l’Évolutionnisme ne puisse discréditer totalement le faux establishment scientifique. Personne ne pourra arguer que cette destruction n’amènera pas des millions de gens à se tourner vers une Bible prouvée comme étant le seul espoir des gens de trouver la mine logique de toute Vérité.

Chose certaine, il faudra un geste de Dieu Lui-même pour soulever la question, exposer et détruire le copernicisme et l’évolutionnisme. Que les gens y croient ou non, ils peuvent lire et savoir que la Bible dit que Dieu anéantira toutes les œuvres du Diable (1 Jean 3:8). Qui peut arguer qu’il n’est pas logique que cette destruction débute avec les deux plus grandes et plus fondamentales séductions sur lesquelles repose l’empire de Satan aujourd’hui, c’est-à-dire, le copernicisme et l’évolutionnisme ??

Notre but est de fournir un survol du genre de preuves qui peuvent — grâce à l’aide des autres pouvant les polir et les étendre — mettre la séduction copernicienne à découvert et ainsi amener toute supercherie à plier l’échine devant la Parole de Dieu qu’elle a violée.

D’accord pour la Logique. Regardons quelques défauts de la contrefaçon.

LA PANSE

Laissons l’astronome Fred Hoyle définir « la panse » pour nous. Il a dit :

« Il est bien connu qu’en conséquence de sa rotation, le diamètre équatorial de la Terre excède le diamètre polaire d’environ 27 milles [43,2 km] — en d’autres mots, la Terre est légèrement aplatie à ses pôles. »[10]

Donc, la supposée rotation de la Terre a balayé la poussière au milieu et lui a donné une bedaine de bière de 27 milles [43,2 km]… ! C’est ce que disent tous les livres, ainsi que toute une série de théorisations fantastiques avançant comment la « panse » s’ajuste elle-même pour empêcher que la Terre ne se renverse, ainsi de suite. Ce ne sont que des extrêmes hallucinants de théorisations insensées qui sont requises pour conserver le mensonge de la Terre qui tourne ! Incroyable…

Tentons de bien comprendre. Imaginons une photographie de la Terre prise de la lune, ou même d’un satellite géosynchrone. Nous avons déjà vu de ces belles images. Maintenant, si la Terre est 27 milles [43,2 km] plus épaisse à la « taille » (à l’équateur), cela veut dire environ 142 000 pieds [432 000 cm] en dehors du rond. Ou environ 3/8 de un pour cent. Ou, vu d’une autre façon, environ cinq fois la hauteur du Mont Everest, la plus haute montagne de la Terre ! Voyez-vous où je veux en arriver ?

Trois huitième de un pour cent, c’est quand même pas mal ! Ce devrait certainement être une distance décelable ! Bien sûr ! Nous pourrions ressortir deux douzaines de citations de « scientistes » proclamant qu’ils ont détecté des distances sur la lune établies de quelques pouces à un pied ou deux au plus… Donc, s’ils peuvent détecter un pied de déviation en utilisant des photographies de la lune prises de la Terre, pourquoi ne pourraient-ils pas détecter plus de 142 000 pieds [432 000 cm] en utilisant des photographies prises de la lune ou de satellites géosynchrones ? Ce serait une preuve factuelle et rigoureuse de l’existence d’une panse s’ils pouvaient seulement la mesurer et la confirmer. Et une panse ou renflement soutiendrait assurément et tendrait à confirmer la théorie d’une Terre qui tourne… Si elle tourne, elle doit aussi orbiter autour du soleil et le copernicisme serait approuvé et la Bible désapprouvée.

C’est ainsi que cela pourrait être. Mais ça marche dans l’autre sens aussi, voyez-vous ? Faisons prendre les mesures et confirmons-les (nous-mêmes, car nous n’avons pas vraiment confiance en ces bozos, n’est-ce pas ?). Ces mesures démontreront que la Terre est d’une rondeur plus parfaite qu’une bille de roulement finement machinée, étant donné son diamètre de 8 000 milles [12 800 km] ! Il n’y aura pas de panse, ce qui signifie pas de rotation, ce qui veut dire pas d’orbite, ce qui sous-entend que le copernicisme est déclaré faux et la Bible déclarée vraie !

Oui, vous, les fendants, mesurez-la ! Et ne mentez pas sur les résultats, car il y a des milliers d’astronomes amateurs dans le monde qui peuvent aussi prendre les mesures ! Ça commence à nous enrager, et il est plus que temps de prouver, prouver, i.e., P-R-O-U-V-E-R que le copernicisme n’est rien d’autre qu’une supercherie monstrueuse. Ce qui inclut Einstein et sa « relativité » ! Autre trompeur, autre tromperie ! La Vérité de Dieu n’est relative à rien ! Elle est absolue et ne peut être altérée. On ne peut faire de compromis avec elle. Et, en ce qui concerne cette histoire de Terre-qui-tourne, la Vérité dit qu’il y a différentes sortes de preuves incontestables que la Terre est immobile et ne peut être remuée, tel que l’enseigne la Parole de Dieu.

Ça n’a tout simplement pas de bon sens que la technologie moderne ne puisse déterminer si la Terre fait un embonpoint de 27 milles [43,2 km] au niveau de l’équateur ou si ce n’est pas le cas ! Pas de sens du tout ! Utiliser certaines des photos de la Terre prises de l’espace et en mesurer la panse (qu’elle n’a pas !) nous fera un excellent début ! Référez-vous à l’Illustration XIII.)

Illustration XIII

Une des premières photographies prises par satellite — enregistrée par le VISSR, le 8 septembre 1977. Remarquez l’Australie au bas de la photo et un typhon sur la côte de la Chine, en haut à gauche. Vous noterez que les circonférences de l’Équateur et des Pôles ne révèlent aucune « panse », aucun renflement, mais sont identiques sur cette photo à petite échelle. De parfaites photos tirées au format 8’ et 10” [269 cm] de diamètre devraient montrer un renflement de 3/8 de pouce [1 cm] au niveau de l’Équateur, s’il y a une panse. Vous voulez gagez ?!

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[1] Herbert Dingle, La science à la croisée des chemins, (Londres : Martin Brian & O’Keefe, 1972), p. 155.

[2] Ibidem.

[3] Ibidem, p. 133.

[4] Ibidem, p. 155.

[5] Ibidem, p. 133.

[6] R. Hazelett et D. Turner, éd., Le mythe d’Einstein et les papiers d’Ives, (Old Greenwich, Conn., Devin-Adair Cie, 1979), p. 31.

[7] Ibidem, p. 30.

[8] Hazelett et Turner, Le mythe d’Einstein, pp. 90-91.

[9] Ibidem, p. 91.

[10] Fred Hoyle, Les frontières de l’astronomie, (Harper & Brothers, éd., New York, 1955), p. 13.




D.145 – La Terre ne bouge pas – Partie 4

 

QUATRIÈME PARTIE

SUPPOSÉE PREUVE DE L’HÉLIOCENTRISME :

LA BLAGUE CORIOLIS

 

Gaspard Coriolis (1792-1843)

Il y avait un Français, mathématicien et ingénieur, nommé Gaspard Coriolis, qui vécut de 1782 à 1843. Ce fut lui qui…

« …découvrit le premier la force Coriolis, effet du mouvement d’un corps en rotation… »[1]

Alors, qu’était-ce, une force ou un effet ? Un article du Smithsonian déclare catégoriquement :

« …Le phénomène Coriolis … est un effet, pas une force. »[2]

Ayant affirmé cela, l’article continue de l’appeler force. Voici un exemple pris du même article :

« La force Coriolis est environ 30 millions de fois inférieure à la force de la gravité aux latitudes médianes… »[3]

Plutôt faible, n’est-ce pas ? La gravité exerce une force d’à peu près quarante livres point quelque au pouce [env. 8 kg/cm], au plus fort. Trente millions de fois plus faible que cela serait une force trop petite pour être détectée ou mesurée. Cette force ne peut donc exister que mathématiquement

Mais qu’en est-il de l’effet ? Est-ce réel ou encore un mythe mathématique ? L’effet est réel, mais son application à une Terre qui tourne est aussi factice qu’un billet de trois dollars. Mais comment est-il réel ? Regardez l’Illustration VII.

Illustration VII

En 1835, Coriolis écrivit un traité intitulé Théorie mathématique du jeu de billard. L’Illustration VII est une image du concept central de l’écrit. Nous avons ici un plancher rotatif, une table de billard tournant sur le plancher et une bille du joueur lancée à travers la table en mouvement sur le plancher tournant, laquelle bille ne roule pas tout droit, mais courbe. La table se dérobe sous la bille de sorte que celle-ci manque sa cible. Cette dérobade au-dessus de la surface de quelque chose se trouvant en mouvement est l’essence du soi-disant Effet Coriolis. Et l’utilisation de ce concept pour déclarer que c’est une preuve de la rotation de la Terre est une blague de haut niveau, mais néanmoins une blague. Pourquoi ?

Il y a tellement de raisons qu’il est difficile de savoir par où commencer, mais examinons soigneusement la table de billard de l’Illustration du Smithsonian et reprenons au départ. Maintenant, gardez bien en tête, pendant que nous allons procéder, que tout ce dont nous allons parler constitue la seule et unique soi-disant « preuve » de la supposée rotation de la Terre. Le principe de Coriolis est au cœur du Pendule de Foucault qui déclare que c’est la preuve d’une Terre qui tourne. Nous examinerons d’ailleurs cette déclaration et la dénoncerons comme étant une fraude évidente dans le chapitre suivant. Mais, pour l’instant, veuillez noter une petite chose à propos de l’exemple de la table de billard qui fait en sorte de l’éliminer absolument comme source de « preuve » d’une Terre qui tourne : Nous savons que le plancher tourne !

…or, cela ne prouve nullement que la Terre tourne ! En fait, il serait ardu de trouver une plus frauduleuse démonstration de « preuve » en faveur d’une Terre qui tourne que ce plancher rotatif mu par une machine ! Cette « expérience » prouve qu’une telle surface se déroberait effectivement sous un tir de « missile » voyageant au-dessus. Bien. Appelons-le l’Effet Coriolis. Bien. Mais où est donc la preuve, dans cette démonstration, que la Terre tourne ?

Voyez-vous où je veux en venir ? Elle n’est tout simplement pas là. Mais quelqu’un s’écriera, comme le fait l’article, qu’un missile tiré du Pôle Nord vers Eureka, en Californie…

« …(sans son propre système de guidage) il tomberait dans l’océan environ 100 milles à l’ouest [160 km]. »[4]

Ensuite, l’article se fait plus clair :

« …mais si vous regardiez le projectile à partir d’une station spatiale, il vous semblerait voyager sur une trajectoire parfaitement rectiligne… »[5]

Et cette déclaration contredit l’exemple de la bille du joueur que l’on voit courber ! Et, en outre, des tirs de missile à longue portée comme celui-ci sont basés sur une Terre immobile, comme nous pouvons le lire dans cet aveu donné sous le titre de Balistique extérieure :

« … Pour les missiles à très longue portée, on utilise l’approche de la mécanique céleste avec coordonnées centrées sur une Terre immobile. »[6]

De toute façon, on propose de pareilles déclarations comme preuves que la Terre tourne alors qu’elles ne prouvent rien de tel. S’il était vrai qu’un missile comme celui-ci tombait dans l’océan, tel que déclaré, alors il y aurait une preuve que la Terre tourne. Mais nulle part dans cet article, ni dans aucun autre dans le monde, donne-t-on une seule preuve que cette déclaration est vraie, parce qu’elles ne sont que des déclarations soutenues par aucune preuve. Ce ne sont tout simplement que des suppositions basées sur une croyance préconçue et présumée que la Terre tourne. Voilà tout ce que c’est. Comme nous l’avons déjà vu :

« …la physique et les équations employées par la NASA pour lancer ses satellites sont identiques aux équations dérivant de l’univers géocentrique… »[7]

Cela est aussi vrai des équations et de la physique employées pour guider les missiles ou les jets, ou encore les obus d’artillerie. Si les missiles, les jets ou les obus d’artillerie étaient corrigés en vol à cause d’une Terre qui tourne, ils ne toucheraient jamais leur cible ou ne rejoindraient jamais l’aéroport ! Qui peut calculer les millions de milles que l’aviation a parcourus avant que n’existent les système de guidage par ordinateur, alors que les pilotes naviguaient grâce à des cartes et à des tableaux, sans penser aux vitesses mythiques de rotation variant constamment sous eux ? Lindbergh n’aurait jamais réussi, ni personne d’autre, d’ailleurs, s’il avait eu à naviguer en tenant compte de l’Effet Coriolis !

Rappelons-nous que l’article nous dit que si nous regardions à partir d’une station spatiale, nous verrions que le missile tiré du Pôle Nord « voyagerait sur une trajectoire parfaitement rectiligne ». Ouf ! Quel genre de station spatiale est-ce ? Une sorte de station immobile imaginaire ? Si c’est le cas, comme ce serait mignon dans notre supposé univers relativiste où il a été déclaré que rien ne peut être immobile ! Ou bien, est-ce une station spatiale qui fait une orbite complète autour de la Terre en une heure et demi ? Si c’est le cas, comment peut-on observer la trajectoire rectiligne d’un tir en provenance du Pôle Nord vers Eureka si notre poste d’observation est à une couple de centaines de milles [320 km] et se déplace à plus de 18 000 MPH [28 800 km/h] ? Ou alors, est-ce une station « géosynchronisée », le seul genre qui puisse permettre de percevoir une trajectoire rectiligne ? Si c’est le cas, alors, attention ! Ce type-là montrera bien le missile voyageant en ligne droite, mais il montrera également ce que nous voyons jour et nuit dans nos reportages météos télévisés, i.e., une Terre stationnaire en-dessous des nuages mouvants, des pluies se déplaçant, des ouragans tourbillonnants et des missiles lancés !

Les preuves d’une Terre immobile sont tout autour de nous, tout le temps ! Nous ne les voyons pas parce que nous avons accepté depuis longtemps une contrefaçon habile au lieu de la réalité, et nous ne recherchons tout simplement pas la réalité parce que nous croyons déjà l’avoir ! Mais si l’on recherche la sorte de preuve que peut démontrer l’Effet Coriolis, lançons un missile de façon longitudinale là où une station géostationnaire peut le retracer et regardons-le s’en aller droit à sa destination pendant que nous voyons la Terre demeurer parfaitement immobile sous lui alors qu’il est dans les airs. Voyons l’Illustration VIII. Elle est tirée du Smithsonian. Étendons-nous un peu sur cette image et sur ce qu’elle nous dit.

« Lorsque La Grosse Bertha bombarda Paris, durant la Première Guerre Mondiale, l’Effet Coriolis aurait dû dévier le tir d’un kilomètre et demi. » Illustration VIII

En plus de ce qui était imprimé sous le dessin (et qui était un mensonge), l’article ajouta ceci à propos de la Grosse Bertha :

« En 1918, les tirs de La Grosse bertha étaient en transit dans les airs pendant trois minutes, temps suffisant pour que Paris se soit déplacé d’environ un kilomètre et demi. »[8]

À un autre endroit, nous en lisons un peu plus au sujet du même compte-rendu :

« Lors de la Première Guerre Mondiale, les canonniers allemands manipulant La Grosse Bertha bombardèrent Paris à environ 120 km de là. À la portée et à la vélocité que voyageaient les tirs, l’Effet Coriolis aurait dû les faire dévier à environ 1,6 km à la droite. Toutefois, l’énorme canon était si peu précis qu’il fut simplement braqué en direction générale de Paris et les canonniers ne s’occupèrent pas de corriger sa dérive Coriolis… »[9]

Trois minutes dans les airs… Hummm ! Si la Terre tournait, jusqu’où Paris se déplacerait-il en trois minutes ? Eh bien, à cette latitude, il se déplacerait à 680 MPH [1 088 km/h], soit juste un peu plus de onze milles à la minute [17,6 km/m]. Disons donc 34 milles en trois minutes [52,8 km]. Ainsi, vu que le canon était à 76 milles [121,6 km] plein nord de Paris, sa rampe de lancement sur rail aurait été située à 1º de latitude plus près du Pôle Nord et se serait déplacé (selon le mythe héliocentrique) 14 MPH [22,4 km/h] plus lentement que Paris. Par conséquent, Paris se serait écarté de 34 milles [52,8 km] vers l’est, et la situation de la rampe de lancement sur rail, ainsi que le tir lancé à partir de là auraient manqué leur cible d’un mille [1,6 km]. C’est ce qu’exige le concept. Et le même principe s’applique si le canon avait été situé plein sud.

Mais si le canon avait été placé plein ouest ou plein est de Paris, l’Effet Coriolis ne serait-il pas annulé ? Oui. Examinons ce point. Dans une encyclopédie, nous lisons ceci :

« Sur Terre (…) un objet qui se déplace du nord au sud, ou sur une ligne longitudinale, subira une déviation apparente vers la droite dans l’hémisphère nord, et vers la gauche dans l’hémisphère sud (…) Ainsi donc, si un canon tirait vers le nord à partir d’un point situé sur l’Équateur, le projectile tomberait à l’est de sa trajectoire plein nord. Cette variation surviendrait parce que le projectile se serait déplacé vers l’est plus rapidement à l’Équateur que sa cible plus au nord. De même, si le projectile était tiré en direction de l’Équateur à partir du Pôle Nord, il tomberait à la droite de sa trajectoire véritable. Dans ce cas-ci, la région ciblée se serait déplacée vers l’est avant que le tir ne l’atteigne à cause de sa plus grande vélocité en direction est (…) La dérive Coriolis est donc reliée au mouvement de l’objet, le mouvement de la Terre et la latitude. »[10]

Donc, si la Terre tournait, la dérive ne surviendrait que sur une base longitudinale nord-sud, et il n’y aurait pas de dérive sur une base latitudinale est-ouest. Enfin… c’est ce que dit le livre. Et les Allemands « ne s’occupèrent pas de corriger sa dérive Coriolis » ?? Tout ce qu’ils avaient à faire pour contourner le « problème Coriolis » était de ramener la trajectoire de la Grosse Bertha vers l’est de Paris et déguerpir ! Mais le fait est qu’ils n’accordèrent aucune attention à ce non-sens parce qu’ils s’y connaissaient en canon et savaient qu’en réalité, la latitude où ils se situaient n’importait pas ! Il y eut tout un paquet de facteurs réels qui rendirent le tir d’un si gros calibre si inefficace et ils furent compris et acceptés. Mais corriger l’Effet Coriolis parce que Paris allait se déplacer de quelque 25 milles [40 km] dans les trois minutes séparant le tir de l’impact ne fut pas un des facteurs dont ils se préoccupèrent. Et pour la meilleure des raisons : ils savaient que ce n’était pas un facteur !

Pourquoi ne pas tout simplement diriger une expérience contrôlée avec un projectile précis, aujourd’hui, sans appareil de guidage par ordinateur ? Installons un canon à longue portée en quelque part et tirons plein nord ou plein sud en une trajectoire qui gardera les airs le plus longtemps possible et regardons si la cible a changé de place de quelques kilomètres une fois atteinte. Vous savez que la cible ne bougera pas ; je sais que la cible ne bougera pas ; l’armée sait que la cible ne bougera pas. Pourquoi ne pas le faire savoir au monde ? Pas de tricherie ! Sans suite d’ordres frénétiques provenant de Washington ou de n’importe où ailleurs pour manipuler l’expérience ! Faisons-le comme il faut et c’en sera fait du copernicisme !

Pourquoi pas ? Après tout, nous avons ici affaire avec une supercherie au potentiel apocalyptique si bien exposée ! L’Effet Coriolis est une réalité démontrable qui a des résultats lorsque quelque chose est en mouvement sur une base rotative. Bien sûr que oui ! Mais appliquer cette réalité démontrable à la Terre que l’on n’a jamais démontrée en mouvement (sauf par des mathématiques et la philosophie !) revient à une falsification non-scientifique ! Ce qu’il y a de beau, dans cet Effet Coriolis, c’est que — grâce à un canon ou un missile contrôlé — on peut l’utiliser pour prouver que la Terre ne tourne pas. Le reste n’est que pure séduction fondée sur une pure supposition traduite d’un pur bluff.

Alors, sautons à pieds joints dans le fonctionnement du Pendule de Foucault, supposé démontrer l’Effet Coriolis en opération sur une Terre qui tourne.

Le Pendule de Foucault

Jean-Bernard-Léon Foucault (1819-1868)

Ce « pendule » — comme tous les autres Pendules de Foucault partout ailleurs — est suspendu à un support pivotant…

« …de manière à pouvoir balancer sur n’importe quel d’une infinité de plans verticaux… »[11]

Ce support pivotant peut tourner librement pendant que le pendule se balance. Aucun autre pendule n’est monté de cette façon. Ce pendule ne fut conçu et produit que pour un unique dessein : « prouver » la rotation de la Terre. Il est assurément clair dès le départ qu’un support qui permet au plomb de frétiller de quelques degrés en quelques heures est déjà suspect.

L’anneau par lequel descend le câble détermine les limites de l’arc que le plomb peut balayer en bas. Le câble passant au-travers de l’anneau était visiblement décentré de trois centimètres ou plus à l’Institut Franklin de Philadelphie, de même que celui du Smithsonian à Washington. (Une série de contretemps empêchèrent de voir l’anneau et le reste de l’appareil à Paris, en France, où le dispositif avait été réinstallé.)

Plus souvent qu’autrement, lorsque le pendule a presque atteint son minimum, son balancement maximum est renouvelé en tirant le câble sur le bord de l’anneau le plus loin possible de son point décentré. Après avoir été redémarré, le câble traverse jusqu’au côté rapproché de l’anneau et frappe cette partie de l’anneau de manière visible. Il revient ensuite vers l’autre côté de l’anneau, mais ne le touche plus. Il retourne encore pour frapper à la même place. Et ainsi de suite.

Donc il frappe un côté mais pas l’autre. Et lorsqu’il perd de sa force, il cesse aussi de frapper le côté rapproché. Toutefois, quand il frappe ce côté rapproché, cela cause une secousse et un balancement visible du câble qui soutient le plomb. Pendant ce temps, lorsqu’on le regarde attentivement, on peut voir le plomb se balancer d’un côté et de l’autre, à l’image d’une balançoire de terrain de jeu que l’on pousserait et que l’on laisserait aller, qui reviendrait dans l’autre sens et qui retournerait, etc., jusqu’à ce qu’elle s’arrête.

Après une observation minutieuse, nous suggérons que la position décentrée, en apparence inoffensive et à peine décelable, du câble au travers de l’anneau contrôlant l’arc est tout probablement une caractéristique nécessaire dans la conception du Pendule de Foucault causant ainsi une déviation au départ qui se perpétue vers la droite du premier balancement au dernier.

Chaque fois que le Pendule décolle et atteint son balancement maximum, il va plus vite qu’à n’importe quel autre moment (contrairement à tout autre pendule). En effet, chaque retour vers le point le plus bas de l’arc est juste un petit peu plus lent que le retour précédent. Ce mouvement ralenti, couplé à (ou même indépendamment de !) la résultante de la frappe contre un des côtés de l’anneau ne peuvent sûrement pas être ignorés en tant que facteurs possibles contribuant au comportement général de la démonstration.

Non seulement tout le bidule donne-t-il l’impression distincte aux observateurs qu’ils sont en train de regarder un procédé qui prouve que la Terre est en rotation, mais les signes leurs disent catégoriquement que tel est le cas. Les observateurs assument (tout comme ils assument dans les musées que les fossiles et le matériel qu’ils y voient prouvent l’évolution) que ce Pendule fournit une preuve observable que la Terre tourne. On leur dit, sur les panneaux, qu’ils regardent une démonstration scientifique qui prouve que la Terre tourne. Tout le monde « sait » (parce qu’on leur a enseigné tout le temps de leurs études que c’est un fait scientifique prouvé) que la Terre effectue une rotation sur un axe et orbite autour du soleil. Or, ils en voient la confirmation devant leurs yeux. Qui peut donc maintenant douter du « dieu science de vérité » ?! Qui peut oser prétendre que la Bible est sans erreur ?! Les gens regardent pendant une minute ou deux, lisent le petit message, et se déplacent ensuite vers un autre étalage de démonstration « éducatif » payé de nos taxes et qui leur dit que la vie sur Terre évolue depuis trois milliards d’années et qu’ils sont le résultat final de ce processus évolutionniste. Et qu’est-ce que c’est que cette espèce de mythe biblique à propos d’Adam et Ève… ? Et ainsi de suite.

Ce que cette horde de gens voient, en réalité, c’est une fraude pseudo-scientifique, une supercherie astucieusement imaginée destinée à persuader le monde que la « science » a prouvé que la Terre révolutionne autour d’un axe (et, à partir de là, orbite autour du soleil, etc.).

Mais soyez assurés que le « Pendule » de Foucault ne prouve rien de tel ! Non seulement le Pendule se déplace-t-il plus lentement à chaque coup, mais la distance parcourue est toujours plus courte. (Le pendule de votre horloge grand-père parcourt la même distance à la même vitesse, à chaque coup. Mais rappelez-vous que ces pendules ne sont pas des Pendules de Foucault. Ils sont fermement attachés — ils ne ballottent pas dans tous les sens au travers d’une cavité lâche — et ils couvrent la même distance, à la même vitesse, à chaque balancier.)

Or, ce que cela nous amène à comprendre, ici, c’est que le Pendule de Foucault est la contrefaçon d’un vrai pendule ! CE N’EST PAS UN VRAI PENDULE ! Ce n’est rien de plus qu’une invention diaboliquement ingénieuse s’appuyant sur l’excellente réputation des véritables pendules pour asseoir sa crédibilité et prétendre démontrer une Terre qui tourne (et la Bible prise en défaut !).

Examinons le fait précédemment mentionné à propos du plomb parcourant une distance toujours plus courte, d’un balancement à l’autre…

Plus courte de combien ? La distance exacte doit sûrement être mesurable (même si c’est un peu ennuyant). Mais elle est là, et observable plutôt facilement aux différents niveaux de l’échelle, à l’Institut Franklin ainsi qu’au Smithsonian. De plus, ce n’est que gros bon sens que le « Pendule » ralentisse parce qu’il ne monte pas aussi haut (et ne va pas aussi loin) que la fois précédente et il a moins de temps pour prendre de la vitesse gravitationnelle dans son mouvement vers le bas. Si on le laissait aller assez longtemps, il s’arrêterait tout simplement et demeurerait là, immobile comme un sac de patate…

Et, en fait, c’est ce qui arrive jusqu’à ce qu’on le remonte à l’intention des spectateurs, à 10h00 chaque jour. (Il pend là, sans le moindre mouvement ! Cela nous fait penser à la description biblique de la Terre, n’est-ce pas ?) Mais revenons-en au fait qu’il perd un peu de distance à chaque balancement. Imaginons un chiffre quelconque pour mesurer la distance perdue au second balancement. Disons 1/30 de centimètre plus court, cette fois-ci, que le premier balancement (du côté où le pendule ne frappe pas l’anneau !). À chaque balancement subséquent, le trajet sera plus court de presque 1/30 de centimètre. Maintenant, regardez la distance entre les broches que cogne le « doigt » ressortant du bout inférieur du plomb (Ill. IX).

Illustration IX

Cette distance est-elle en corrélation avec celle perdue par le nombre de balancements que cela prend avant de frapper la dernière broche ? Gageons que oui. Cela nous dit-il que le résultat des faits mécaniques impliqués dans le ralentissement et le raccourcissement, à chaque fois, de la distance est la mesure précise de balancement requis pour frapper l’autre broche ? Ou alors, est-il plus facile de lire la petite pancarte qui dit que c’est le résultat du mouvement de la Terre ? (Ai-je entendu quelqu’un dire : « On s’en fiche ! » ? Demandez à Dieu… C’est Lui et Sa Parole que le « Pendule » de Foucault qualifie de menteur !)

En outre, mes amis (retenez bien ceci !), la vitesse de rotation supposée à Philadelphie serait de 1 100 pieds [338 m] à la seconde, pas de trois à quatre pouces [10 à 12 cm] au quart d’heure ou à peu près ! À la vitesse où l’on suppose que tourne la Terre, le plomb manquerait toutes les broches et ferait un trou dans le mur dès le premier balancement !!

Nous le répétons : le « Pendule » de Foucault n’est qu’une parodie du véritable pendule. Ce n’est pas un vrai pendule. Il a été fabriqué pour faire ce qu’il fait. C’est un pendule de contrefaçon soutenant une théorie de contrefaçon et les deux sont plein de trous ! Même en remontant à 1898 :

« …un physicien allemand, nommé Garber, démontre qu’un univers en rotation entraînerait le plomb du pendule comme si l’univers ne bougeait pas lors même que la terre tournerait. Et, ainsi, à partir d’une perspective relativiste comme d’une perspective non-relativiste, la conclusion demeure la même : le Pendule de Foucault ne peut ni prouver la rotation de la Terre ni la désapprouver… »[12]

J’aimerais bien inscrire cela sur un écriteau et le déposer au Smithsonian et tout autre endroit dans le monde où des milliers de gens, tous les jours, se laissent tromper à croire que ce bidule prouve que la Terre tourne…

SATELLITES GÉOSYNCHRONES

Tous les faits pertinents en rapport avec ces satellites spéciaux se retrouveront sous cinq différents traitements de ce sujet à la conclusion de la Partie V.

La raisons pour laquelle nous énumérons ce sujet ici, c’est pour bien laisser entendre que nous sommes parfaitement au courant que ces satellites sont utilisés comme preuves d’une Terre en mouvement.

La pensée secrète se cachant derrière cette « preuve » sera clarifiée, et annulée, dans la Partie V.

LA PLANÈTE BLEUE

(Cinéma Spacedome : PLANÈTE BLEUE — Explorez l’environnement au travers des yeux des astronautes de la navette spatiale. Le cinéma loge un système spectaculaire de film Omnimax® 70 mm qui vous amènera tout autour de la Terre et dans les étoiles.)

Les deux lettres de Marshal Hall reproduites ci-après donnent des éléments de base sur un intéressant bluff proféré à la télévision nationale, il y a quelque temps.

Illustration X

  (Traduction de la lettre de l’Illustration X)

Archives de la NBC                                          3/5/91

30, Place Rockefeller

NY, NY 10112

Cher archiviste,

Le 26 ou le 27 novembre 1990, il y a eu un reportage au sujet d’un nouveau film dans un segment de l’émission Today.

Le titre du film abordé est La Planète Bleue.

(Je crois que l’une de ces dates est la bonne !)

Ci-joint 10,00 $ tel que demandé. Si vous pouvez trouver le segment, je vous serais reconnaissant de bien vouloir me l’envoyer à l’adresse que voici :

The Fair Education Foundation, inc.

B.P. 866

Cornelis, CA 30531

Sincèrement,

(signature)

Marshal Hall, président

FEF, inc.

 

Illustration XI

(Traduction de la lettre de l’Illustration XI)

Archives de la NBC                                          4/20/91

a/s Natalie

30, Place Rockefeller

NY, NY 10112

 

Chère Natalie,

 

Vous trouverez ci-joint la requête que je vous ai formulée par téléphone en date d’hier, le 19 du mois courant, au moment où vous m’avez mis en « attente »…

Également ci-joint, vous trouverez une référence au film IMAX La Planète Bleue (celui visionné dans le programme Today) montré au Space Center d’Huntsville, en Alabama.

Peut-être avez-vous déjà trouvé et envoyé la transcription que je recherche. Si tel est le cas, merci beaucoup. Si non, et je suis certain que vous pouvez le trouver, j’en ai besoin pour compléter un projet, et j’apprécierais que vous puissiez me l’expédier dans les meilleurs délais.

Si vous n’arrivez pas à le retrouver, j’aimerais que vous me le fassiez savoir.

 

Merci,

Sincèrement,

(signature)

Marshal Hall

a/s de FEF, inc.

Hwy, 441 Nord

B.P. 866

Cornelis, CA 30531

 

Lors d’une de ces dates de novembre 1990, un interviewé déclara que — parmi tous les merveilleux attributs de ce nouveau film — il y avait quelques séquences prises à partir de l’espace qui montraient la Terre dans sa rotation.

Sachant que cette déclaration était une ineptie de plus provenant de l’implacable machine d’endoctrinement par les médias qui fait la promotion de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme, Marshal Hall voulait toutefois savoir quelle sorte de séduction avait été employée dans ce cas particulier, mais il essaya sans succès d’obtenir une transcription de l’interview. (En fin de compte, la NBC retourna le chèque en disant que l’on ne possédait aucun enregistrement du segment programmé.)

Étant un film IMAX, les critiques sont difficiles à se procurer. Cependant, il y eut une critique dans un organisme de propagande évolutionniste du plus haut niveau, le Smithsonian. Dedans, à part les oh ! et les ah ! qui y fusent, nous apprenons que nous pouvons tous remercier pour cela…

« …le plus ambitieux, le plus spécialisé, le plus imaginatif, le plus réfléchi (…) des films grand format selon le Smithsonian [ce qu’on peut être modeste !], la Corporation Lockheed et la Corporation de la NASA… »[13]

Mais l’article ne disait rien à propos de ce que l’on pouvait voir la Terre tourner. Le Smithsonian n’aurait jamais (soulignez jamais) laissé passer une telle opportunité en or de mettre l’accent sur le copernicisme SI le film comportait des séquences qui montraient visiblement une Terre en mouvement. Alors, était-ce bien dans le film, oui ou non ?

Ayant finalement localisé un endroit où l’on pouvait visionner ce film spécial, Marshal Hall et son épouse se tapèrent 5½ heures de route vers Huntsville, en Alabama, au Centre U.S. Space & Rocket. Indubitablement, cette production montrait de nombreuses reproductions photographiques et auditives habiles de plusieurs merveilleux aspects de notre Terre vraiment magnifique. L’art de Dieu nous coupe le souffle réellement et aurait pu être apprécié pour ce qu’il est par la technologie cinématographique dernier cri qui y fut employée.

Je dis bien « aurait pu être apprécié » parce qu’il n’y avait pas le moindre indice que Dieu fut pour quelque chose dans l’existence de cette belle Terre bleue ou ce qu’elle renferme. Bien au contraire, le film contient deux messages caractéristiques destinés aux millions de spectateurs qui le voient dans tous les emplacements d’Amérique du Nord. Ces deux messages sont : 1) l’Évolutionnisme explique l’homme et tout ce qui vit sur Terre ; et 2) Un Nouvel Âge, un Nouvel Ordre Mondial est nécessaire pour empêcher les abus environnementaux qui détruiront la Terre.

L’Évolutionnisme et le prochain Nouvel Ordre Mondial revêtus des habits de l’Agence de Protection de l’Environnement… Voilà le film !

Mais il n’y avait rien sur la rotation de la Terre. Rien ! Ils s’attendaient à quelque « simulation améliorée par ordinateur » et de haute qualité à propos d’une Terre en rotation laquelle simulation on aurait fait passer pour réelle ; mais non, il n’y avait rien. Peut-être y était-ce et qu’on l’a coupé parce que trop risqué. Qui sait ? Puisque l’appareil spatial d’où furent prises les photos n’était qu’à une altitude de 200 milles [320 km] (¼ de pouce [6 mm] d’un globe d’un pied [30 cm] de diamètre) et voyageait à une vitesse de 18 000 MPH [28 800 km/h], ils savaient peut-être que toute tentative de montrer la rotation passerait pour une fabrication aux yeux de trop de gens, et ceux-ci commenceraient à se poser la question : « Pourquoi font-ils cela ? Pourquoi couler le bateau ? »

En tout cas, le film évite entièrement le sujet du copernicisme et concentre ses efforts d’endoctrinement à cimenter l’Évolutionnisme dans l’esprit des gens et à promouvoir le Nouvel Ordre Mondial.

Néanmoins, Dieu réserve une surprise merveilleuse pour tout le monde, une surprise fondée sur la technologie spatiale et en rapport avec le copernicisme. Avec toute la parfaite ironie dont on peu s’attendre, Il est prêt à ouvrir les yeux du monde sur la preuve inévitable, dure et indéniable d’une Terre immobile dont sont journellement témoins des centaines de millions de gens devant leurs téléviseurs par le truchement d’images photographiques envoyées par de soi-disant satellites géosynchrones. (Voyez Satellites Géosynchrones dans la Partie V.)

L’espace n’est pas la dernière frontière de l’homme ; c’est le Ciel ! La Vérité touchant l’origine et la nature inamovible de cette belle Terre bleue, au centre de l’univers, est entièrement décrite dans les Écritures. Cette Vérité, ainsi que celle concernant la création de l’homme et le reste, est sur le point de déclencher la dénonciation et la destruction de toutes les séductions de Satan. Le mensonge du copernicisme sera le premier à s’en aller. Ensuite, l’évolutionnisme. C’est d’une logique implacable. Vous êtes invités à continuer votre lecture et à savoir pourquoi il en est ainsi…

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[1] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Gustave-Gaspard Coriolis, (Chicago, etc., 1976), Vol. III, p. 151.

[2] Allan Linn, Oh, dans quel tourbillon sommes-nous, merci à l’effet Coriolis, Smithsonian, Février 1983, Vol. 13, No 1, p. 68.

[3] Ibidem, p. 71.

[4] Ibidem, p. 67.

[5] Ibidem, p. 68.

[6] Encyclopédie de Science et de Technologie concise, (McGraw-Hill, 1984), p. 700.

[7] G. W. Bouw, Bulletin de la Société tychonienne, printemps 1990, Cleveland, Ohio, No. 53, p. 28.

[8] Linn, Spinn, Smithsonian, février 1983, p. 68.

[9] Ibidem, p. 67.

[10] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Vol. iii, p. 152.

[11] Encyclopédie Britannica Micropaedia, Vol. III, p. 152.

[12] Gerardous D. Bouw, Dr en physique, Le Pendule Foucault en question, publié par la Société tychonienne, Cleveland, Ohio, p.2.

[13] Edward Park, Autour et au-delà du mail, Smithsonian, novembre 1990, p. 25.




D.144 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-6

 

TROISIÈME PARTIE

(6)

Voyons maintenant ce qu’ont a dire de pertinent les prêtres-scientistes d’aujourd’hui.

Carl Sagan (1934-1996) et les autres

« Nos ancêtres adoraient le soleil et ils étaient loin d’être bêtes. Il est sensé de révérer le soleil et les étoiles, parce que nous sommes leurs enfants. » — Carl Sagan

SAGAN (Carl), astrophysicien américain (New York 1934). Spécialiste de planétologie et d’exobiologie, il a joué un rôle majeur dans la mise au point des programmes américains de sondes planétaires. Il est aussi l’auteur d’ouvrages de vulgarisation.

Dictionnaire encyclopédique Larousse, Éditions Larousse 1994, Vol II, p. 1650.

Vous n’êtes pas sans savoir que l’idée de Relativité d’Einstein a continué de fournir les lignes de démarcation de l’astronomie jusqu’à ce jour. Or, de nouveaux concepts avec de drôles de noms sont sortis depuis la mort d’Albert, en 1955, mais sans la moindre mutinerie dans les rangs contre son principe cardinal de Relativité.

Le fait que la Relativité soit un concept insensé, seulement supporté par des mathématiques fumeuses, est connu d’un paquet de gens, comme nous l’avons constaté. Ces gens-là ne sont pas en charge des établissements de l’astronomie et de la physique, toutefois, donc le mythe de la Relativité continue à y être maître. Tout concept extravagant mis de l’avant complimentant la Relativité (et l’Évolutionnisme !) grâce à ses trappes matérialistes est appelé science et immédiatement mis en exergue dans les journaux, sur la liste des best-sellers et mis en ondes à la télévision. Pendant ce temps, la censure sur le point de vue contraire est totale. Son accès au public par l’intermédiaire des médias normaux est pratiquement inexistant. Le bâillon est tenu serré.

Qu’en est-il du camarade Sagan ? Il a souvent fait la manchette à la télévision au fil des ans. Dans un article à son propos intitulé La superstar scientifique, on rapportait que…

« …Sagan était si souvent au Tonight Show que ses étudiants commencèrent à dire : “Voiciiiiii Carl !” quand il entrait dans sa classe, à l’Université Cornell. »[1]

Carl Sagan a vendu des millions de livres et s’est amassée une fortune. Quel était son trip ? L’évolution. « Mais n’était-il pas astronome ou physicien ? » me demanderez-vous. Oui, mais il faisait dans l’extra-terrestre ! La vie dans l’outre espace… à la E.T. ou comme les apparitions à grandes oreilles pointues et gros sourcils que l’on voit dans Star Trek !

Oh, Sagan parlait de quasars, de pulsars, de trous noirs, de naines blanches, de géantes rouges et autres concepts mythologiques du vocabulaire de l’astronome moderne, mais son principal jeu fut de si bien établir une certaine idée que personne ne pourrait la défaire. Et cette idée, c’était l’évolution.

Le lien est simple. Si les gens sont convaincus qu’il y a de la vie partout dans l’univers et qu’on leur dise sans cesse que c’est de la vie qui a évolué, cela renforce grandement l’enseignement que toute vie sur Terre a aussi évolué. Et cela va dans les deux sens. Car si nous croyons que nous avons évolué sur Terre, nous pouvons donc croire aussi que d’autres formes de vie ont évolué dans l’outre espace !

Sagan a fait une grande et brillante carrière en accomplissant ses buts d’expansion et d’instillation du concept évolutionniste dans l’esprit des gens. Selon sa propre estimation, sa grande série télévisée, Cosmos, atteint 150 millions de gens. Ce n’était que pure propagande évolutionniste, comme tout ce qu’il a écrit et promu. De son livre sur l’évolution du cerveau humain à tout son matériel télévisuel, en passant par tout son travail à la NASA, tout le bataclan n’est purement et simplement qu’un blitz d’endoctrinement évolutionniste bien coordonné et à peine déguisé. Bien coordonné ?

Bien sûr ! Avez-vous entendu parler de J. Gould, le biologiste d’Harvard qui est depuis quelques années, maintenant, le principal porte-parole de l’évolutionnisme aux Etats-Unis et dans le monde ? Ni lui ni personne d’autre n’a jamais trouvé de chaînon manquant évolutionniste là où il aurait dû y en avoir un train complet tout au long de la « chaîne de l’évolution » ; donc, Gould vola à Goldschmidt la vieille idée monstrueuse d’une évolution accélérée. Cette idée sauvage et non-scientifique est un refuge de dernier espoir pour une théorie sans mécanisme qui dit qu’un oiseau sortit d’un œuf de reptile, un beau matin, et qu’un amphibien donna naissance à un mammifère et ce genre de chose.

On appelle cela « l’équilibre ponctuel ». Mon œil ! À côté de ce non-sens, Mary Poppins et Blanche-neige représentent de la science pure ! Mais ne vous y trompez pas, « l’équilibre ponctuel » est la raison d’être de l’évolutionnisme d’aujourd’hui. Or, Gould et Sagan étaient de bons amis.

Donc, l’un fait fonctionner la machine de propagande d’un évolutionnisme centré sur la Terre et l’autre fait fonctionner la machine de propagande d’un évolutionnisme centré sur tout ce qui est extérieur à la Terre, dans l’outre espace… ! L’évolution dans l’espace galactique s’est vu octroyer un drôle de nom, comme s’il s’agissait d’une science véritable et qu’elle décrivait quelque chose qui existe. Notez ceci tiré du Science Digest :

« Les spécialités académiques du Dr Sagan sont la chimie et la physique planétaires, mais il s’est également beaucoup impliqué dans la recherche de vie étrangère. Ce domaine, connu sous le nom d’exobiologie, est parfois qualifié de science sans information. Aucune preuve évidente n’a encore été trouvée montrant que la vie existe sur d’autres planètes. Néanmoins, la grande majorité des astronomes sont presque certains que toutes sortes de bestiaux galactiques peuplent l’univers. »[2]

Bon filon ! Une « science » sans information, ni preuve ! Et ils y croient, et ils l’enseignent, et ils le prêchent quand même ! Il n’y a pas un seul enfant âgé de six ans et ayant accès à un téléviseur qui n’ait été soigneusement endoctriné au moyen de dessins animés et autres chevaux de Troie pour gosses afin qu’ils considèrent normal tout un tas d’extra-terrestres exécutant les choses les plus insensées et surnaturelles.

Et ainsi le message évolutionniste est implanté dans l’esprit des enfants de manière subtile par ce blitz de propagande à la Sagan impliquant des « étrangers » (aliens) alors qu’il n’y a pas la moindre preuve d’une quelconque forme de vie ayant évolué dans l’espace. Et nous sommes tous des enfants de six ans, face à ce blitz. Le E.T. de Spielberg en est un bon exemple. Jouant avec un art consommé avec les émotions des gens, ce chef-d’œuvre satanique brisa les records d’entrées au guichet et est devenu un classique parmi un camion plein de films, de livres, d’animations « documentaires », etc., avec le même message… la vie — même la plus intelligente — a évolué dans l’espace en des milliers de formes et d’endroits ! Notez ce qui suit :

« Comme ses collègues dans le domaine, Carl Sagan croit que la vie étrangère est probablement basée sur le carbone, construite de composants similaires à ceux de notre propre corps. »[3]

« …similaires à ceux de notre propre corps… » Il soulignait et renforçait le lien avec la supposée évolution sur Terre grâce à toutes sortes d’exemples imaginaires de l’outre espace. Et c’est un deux-pièces. Notez ce qu’ajoute encore Sagan :

« Les organismes sur Terre font partie de l’aspect stochastique [aléatoire] du processus évolutionniste. Recommencez la Terre à nouveau et laissez les facteurs de hasard opérer, et il est tout probable que vous n’en verrez pas sortir quelque chose qui ressemble à un être humain… Ce sera phénoménalement différent… »[4]

Comme E.T. ! Vous savez, beaucoup de gens feront entorse à toute critique envers l’idée d’un syndrome d’alien. Les gens croient en une vie dans l’espace ! Ils pensent que c’est un fait scientifique ! C’est logique à leurs yeux ; ils se font le raisonnement que, si la vie a évolué sur Terre, elle doit également avoir évolué ailleurs, sous une forme ou une autre ! Il fut un temps où je serais tombé d’accord de tout cœur avec Sagan et ses disciples lorsqu’il disait :

« Le cosmos est tout ce qu’il y a, tout ce qu’il y a jamais eu et tout ce qu’il y aura jamais. C’est l’univers qui nous a faits et nous sommes des créatures du cosmos. »[5]

C’est de la religion sans Dieu, ça, purement et simplement ! Sagan, en tant que l’un des Grands Prêtres de l’establishment scientifique, donna certains avis sur le culte :

« Nos ancêtres adoraient le soleil, et ils étaient loin d’être bêtes. Il est sensé de révérer le soleil et les étoiles, parce que nous sommes leurs enfants. »[6]

Et ces soleils dans l’espace créèrent, non seulement les être humains et les autres formes de vie sur Terre, mais ils ont créé une innombrable multitude d’autres formes de vie sur une infinité d’autres planètes dans d’incalculables galaxies… ! Voilà ! C’est la matière et non pas Dieu qui aurait créé la vie, selon Sagan et les autres. C’est le message se cachant derrière tout le matériel à la E.T. et ce n’est destiné qu’à un but unique : recouvrir et celer pour toujours, bafouer, railler pour l’éternité, discréditer et détruire de façon permanente le récit biblique de la Création et, à partir de là, diffamer le reste des Écritures en général et plus spécialement la Nouvelle Alliance, ou Testament de Jésus-Christ.

Cela nous amène à soulever un point. Il y a bon nombre de scientistes et de laïcs qualifiés, énergiques et qui soutiennent le récit biblique de la Création, ici et ailleurs, qui ont mis sur pied la louable bataille contre l’évolution depuis maintenant quelques années. Ils amenèrent la question du monopole de l’évolution dans les écoles devant la Cour Suprême, en Arkansas et en Louisiane et devant la Cour Suprême des Etats-Unis, dans les années 80. Ils ont forcé les évolutionnistes à revenir sur certains textes de livres, dans un état ou deux.

Le mouvement anti-évolution peut ne pas avoir remporté de victoires majeures, mais vers la fin des années 70 et au début des années 80, et même au-delà jusqu’à la défaite devant la Cour Suprême des Etats-Unis, à la fin des années 80, il y avait un véritable esprit de vainqueur au sein du mouvement qui commençait à attirer l’attention de bien des gens.

Mais le mouvement chancela et, aujourd’hui, on en entend plus parler, du moins de manière à croire qu’il puisse jamais remporter la victoire contre le mythe contre-scientifique de l’évolutionnisme. Pourquoi ? Qu’est-il arrivé ? 80 % de la population américaine favorisait un genre de défi au monopole de l’évolution dans les écoles. De nombreux signes semblaient démontrer que le grand mythe était sur le point de subir une attaque sérieuse. Or, les créationnistes — au lieu de frapper aux portes des Cours suprêmes et avancer vers une enquête fédérale sur l’évolutionnisme et faire reculer les administrations scolaires et les comités de rédaction de bouquins scolaires — en sont réduits à faire circuler leur matériel parmi eux, en essayant d’empêcher l’État de la Californie de faire fermer les portes du seul collège créationniste reconnu des Etats-Unis, et tenter d’obtenir un don pour être sous les feux de la rampe en quelque part. Mais qu’est-il donc arrivé ?

Voilà bien une illustration précise de la situation. S’il y a un exemple de puissant mouvement en faveur de la Vérité prenant forme pour ensuite être battu et soumis, c’est bien le fiasco créationniste que nous venons de décrire. Oh, le mouvement n’est pas mort et ne le sera jamais, c’est sûr, et il possède encore un impact très positif, quoiqu’à un bas niveau, dans de petites poches de résistance dans le monde. En un sens, il est devenu clandestin. Il s’est enfoui pour fourbir ses armes, préparer une attaque ultérieure, changer de stratégie…

Voilà la clé : changer de stratégie ! C’est là où a échoué le mouvement et c’est ce que l’on doit ajuster à la Parole de Dieu avant que Celui-ci ne fasse honneur au mouvement. À cause du compromis ! Le mouvement fut contrôlé par une mentalité de compromission. « Un temps égal » pour une approche à « deux modèles » entre la création et l’évolution dans les écoles. C’était la stratégie principale.

Mais le compromis n’est-il pas une voie démocratique ? Ça chatouille les oreilles, et cela a une résonance « démocratique », mais c’est néanmoins une séduction. Soit que l’évolution s’est réalisée, soit qu’elle ne s’est pas réalisée. Sans piger dans la Bible, ou même la mentionner, des preuves scientifiques, pures et dures, démontrent sans l’ombre d’un doute que l’évolution constitue un mensonge sans aucune preuve pour la soutenir et qu’elle n’est tout simplement pas arrivée. Cependant, il ne s’agit pas de n’attaquer que l’évolutionnisme sans essayer de promouvoir le créationnisme.

La NOUVELLE stratégie n’oublie pas le créationnisme ; bien au contraire, elle garantit son succès ! Si l’évolutionnisme peut être totalement anéanti strictement avec des preuves scientifiques, et cela se peut, alors que reste-t-il pour expliquer l’origine de l’homme et tout le reste, si ce n’est un Créateur Dieu ? Une fois les millions et les milliards d’années évolutionnistes réduites en poussière dans le processus, on ne peut faire autrement que d’assimiler le Créateur Dieu au Créateur de la Bible, n’est-ce pas ?

Donc, ce qui est arrivé, c’est que la mentalité de compromis a mené à une mauvaise stratégie. Les évolutionnistes ont martelé l’idée que les créationnistes ne faisaient qu’essayer d’enseigner la Bible dans les écoles et que cela entrait en violation de la séparation de l’église et de l’état, bla-bla-bla, et ce faisant, les évolutionnistes n’avaient jamais à faire face aux preuves scientifiques qui aurait pu les tuer. Et cette tactique a parfaitement bien marché pour les évolutionnistes.

Les créationnistes sont aussi tombés dans la trappe de la Relativité. En se faisant champions d’un plan de « temps égal/deux modèles » pour l’éducation, ils présentaient comme équitable, bon et juste un plan qui disait, en substance : « Voici deux idées au sujet de l’origine de la vie. Certains disent que la première est vraie, d’autres disent que c’est la deuxième qui est vraie. Aucune ne peut être reprise, vérifiée et prouvée, donc, on ne pourra jamais vraiment savoir la Vérité. Nous croyons que les preuves s’accordent bien avec le modèle de la Création et ils croient qu’elles s’harmonisent avec le modèle de l’Évolution, ainsi nous vous donnerons un temps égal pour choisir entre ces deux “vérités”. Votre choix est relatif à ce que vous préférez, alors choisissez ! » Ou quelque chose du genre…

Et même si cette sorte de compromis semblerait, à première vue, promettre un certain gain en faveur du créationnisme, en réalité, il n’aurait pour seul résultat que d’ensevelir l’idée que la Vérité est l’objectif, la visée, le but de l’apprentissage, spécialement dans les sujets qui concernent la relation de l’homme avec Dieu. À la place, l’approche du « temps égal » insinuera la croyance qu’une « vérité » en regard des origines est aussi valable que « l’autre vérité » ; que, par conséquent, il n’y a pas de Vérité absolue en la matière ; que, en fait, la Vérité n’est relative qu’au fait que l’on prenne la tangente « scientifique » (i.e., évolutionnisme) ou que l’on prenne la tangente « religieuse » (i.e., créationnisme) concernant ce sujet.

Bien sûr, ce que voient les étudiants sur la balance de l’approche du « temps égal », c’est, d’un côté, le poids énorme de l’Établissement de l’éducation (des enseignants jusqu’en haut de l’échelle), le monde séculier (des scientistes jusqu’aux musées et les médias) et, de l’autre côté de la balance, une poignée de bigots bibliques stéréotypés criant au feu de l’enfer sur à peu près n’importe quoi. Ces enfants et ces jeunes gens n’ont pas à réfléchir longtemps pour constater de quel côté la majorité se ralliera. Et il ne faut pas grande jugeote pour voir que même les enfants qui entretiennent certains doutes seront intimidés afin qu’ils se tiennent coi ou deviennent des évolutionnistes théistes par compromission qui seront amenés à dire : « D’accord. Je vais croire que Dieu a tout créé par le moyen d’un quelconque processus d’évolution au cours de milliards d’années, comme disent les scientistes et tout le monde (sauf quelques fêlés de la Bible) et oublions ça ! »

C’est comme ça que ça marche, mes amis. Aucun doute là-dessus. Donc, le mieux qui puisse résulter de l’adoption d’un compromis en regard de cette approche de « temps égal » face à la question des origines est qu’un bon pourcentage — sauf quelques étudiants qui verront la lumière et rejetteront l’évolutionnisme en totalité —ne tomberont pas complètement en amour avec l’évolutionnisme pour devenir athées, mais accepteront un compromis et deviendront des évolutionnistes théistes.

Ça a pour résultat final que le récit biblique de la Création devient un mythe non-scientifique que les gens « éduqués » ne doivent pas croire. Ainsi, Adam et Ève, le Jardin d’Éden, Satan, sa séduction envers Ève, Adam acceptant ce mensonge, la séparation de l’humanité de son Dieu de Vérité et le début de sa servitude sous la main du dieu des mensonges jusqu’à ce que le Dieu de Vérité vienne sur Terre et forge un moyen pour l’homme de revenir à Lui… tout cela doit être chassé de l’esprit des étudiants pour toujours. Et cela peut s’accomplir tout aussi efficacement en faisant qu’une personne croit en Dieu et en l’évolution que cela peut s’accomplir en faisant un athée d’une autre personne.

Parce qu’il est impossible de croire en l’évolution d’une molécule à un homme et croire, en même temps, à la Création de six jours de la Bible et à Adam et Ève en tant que premiers et uniques parents de l’humanité. Les deux croyances s’excluent mutuellement.

Ainsi donc, en résumé, l’approche d’un compromis de temps égal pour présenter Dieu et Sa Création n’est pas adéquate pour amener les gens à réaliser que seule Sa Parole contient la Vérité sur le sujet. Aussi, cette stratégie de compromis ne pourrait obtenir l’aval enthousiaste de Dieu.

La Vérité de Dieu est absolue. Il ne permettra pas que l’on transige avec elle, aussi bien intentionnés et convaincants ses défenseurs soient-ils. Il n’y a jamais eu la moindre parcelle de preuve en faveur de l’évolutionnisme et il n’y en a pas plus aujourd’hui. Zéro ! Rien ! Le néant ! En conséquence, la stratégie contre l’évolutionnisme aurait dû être de concentrer tous les efforts et les ressources à élever le débat à un niveau mondial avec un seul but en tête : exposer scientifiquement toutes les déclarations majeures des évolutionnistes, prouver que l’évolution est une fraude contre-scientifique et la réduire au statut de mythe religieux, ce qu’elle est, d’ailleurs.

La présentation d’une série télévisée de qualité, cinq à dix heures de grande écoute, aurait fait le travail et le ferait encore. Une Enquête du Congrès sur la théorie de l’évolution pourvoirait à ce niveau mondial. Après tout, un gros montant de l’argent de nos taxes soutient directement ou indirectement l’évolutionnisme sur notre continent et il est tout à fait légitime de rechercher une enquête du Congrès sur tout ce que cet argent supporte dans les musées, les bibliothèques, les « merveilles naturelles », et surtout les écoles.

Mais la Cour Suprême n’était-elle pas de niveau mondial ? Cette course était condamnée d’avance. On ne traita jamais du sujet de manière à permettre une exposition systématique du fait que l’évolutionnisme est une fraude anti-scientifique. Tout ce que dit la Cour, c’est que le créationnisme est une religion et ne peut être enseigné dans les écoles parce que cela violerait le Premier Amendement de la Constitution. S’il y avait eu insistance à déterminer si les déclarations de l’évolutionnisme sont scientifiques ou pas, ils auraient vite trouvé que ces déclarations ne sont pas du tout scientifiques et les évolutionnistes aurait pu être dépeints comme étant ceux qui tentaient de faire avaler aux étudiants un système de croyance déguisé en science.

Ils auraient pu alors démontrer aux Etats-Unis et au monde que l’évolutionnisme est la clé de voûte de la religion humaniste que l’on enseigne de la maternelle à l’université en violation du Premier Amendement ! L’Humanisme a été reconnu par la Cour Suprême (Tarasco vs Watkins) comme étant une religion. Le credo mis de l’avant dans le Manifeste humaniste I et le Manifeste humaniste II déclare avec emphase que l’évolutionnisme est la croyance fondamentale de la religion humaniste.

L’Amérique et le monde entier ont été entraînés à croire le dogme principal d’une religion anti-biblique appelée « humanisme » et à la financer avec les gros sous des payeurs de taxe ! Vous parlez d’une séduction !

Mais c’est à peine la moitié de la trame. Pendant que les créationnistes s’affaissent dans le coin du ring, sauvés par la cloche, sérieusement amochés à la tête et au corps, le camp évolutionniste s’en tire admirablement, prêts à étendre ses adversaires pour le compte. En effet, le but est de mettre K.O. l’opposition à l’évolution au même degré que le camp Copernic/Newton/Einstein mit K.O. toute opposition de la part des tenants de l’évidence géocentrique d’une Terre immobile.

Et c’est là qu’entrent en scène Sagan et tous les autres astronomes coperniciens évolutionnistes avec leurs deux chef-d’œuvres de séduction destinés à détruire la crédibilité de la Bible. Si la « science » détruit la crédibilité du compte rendu de la Bible d’une Terre immobile, d’une création de six jours, du déluge de Noé (comme explication divine de tous les fossiles, etc.), alors quelle crédibilité la Bible peut-elle avoir quand elle parle de Jésus né d’une vierge et Fils ressuscité de Dieu ?

Examinons deux ou trois réalités d’importance mondiale que l’on peut remarquer derrière toute cette couverture. La première réalité cachée devrait nous apparaître visiblement, maintenant : l’interdépendance de l’héliocentrisme et de l’évolutionnisme.

Ce n’est pas vraiment compliqué : de Copernic à Einstein et Sagan, l’héliocentrisme a systématiquement, et de manière régulière et spectaculaire, étendu la dimension de l’univers à des distances que l’on mesure aujourd’hui en milliards d’années lumière. Cela a amené à relier la vitesse de la lumière (qui fut acceptée avant Darwin) à ces vastes distances et à conclure qu’il fallut des millions d’années à la lumière pour nous atteindre à partir de ces si lointaines étoiles. L’estimation standard hasardée est de 15 à 20 milliards d’années (quoique certains Russes la recule à 50 milliards).

Et voilà donc le truc ! Les évolutionnistes ont besoin de tous ces milliards d’années pour crédibiliser l’évolution de la façon qu’ils l’expliquent et les astronomes y pourvoient ! Et cela marche également dans l’autre sens ! Parce que les évolutionnistes fournissent aussi aux astronomes des milliards d’années. L’image courante donnée à l’évolution de la Terre, dans les livres modernes, est un chiffre qui sonne très bien et qui se donne un air d’exactitude : 4,6 milliards d’années. C’est par cette voie que l’on présente le Big Bang dans le mythe, voyez-vous ? Celui-ci — « l’œuf cosmique » — était au commencement au centre de l’univers, selon le mythe. Il explosa en morceaux, il y a environ 15 à 20 milliards d’années, et les morceaux et les gaz qui formèrent la Terre, la lune, le soleil, Vénus, etc., furent pris au piège par les forces gravitationnelles quelque 4,6 milliards d’années auparavant, toujours selon cette fable chimérique.

Et les morceaux qui sont censément vieux de 15 à 20 milliards d’années prirent un autre 10 à 15 milliards d’années pour atteindre leur emplacement présent après qu’ils eurent passé comme un éclair près d’où s’est arrêté la Terre. Enfin… c’est ce qu’ils disent. Et cette mitraille s’est si bien éloignée qu’il faut que la lumière voyage à 186 000 milles à la seconde [297 600 km/s] pendant des millions d’années pour nous atteindre. D’accord ? Donc, à partir de la perspective qu’un temps phénoménal est essentiel à la fois à l’évolutionnisme et à l’héliocentrisme, on voit que les deux théories se supportent et vivent l’une de l’autre…

C’est comme ça que ça marche. Ce qui nous amène à la seconde réalité qui est un point sensible, mais évident et que l’on doit traiter avec tout l’amour chrétien possible. Les scientistes créationnistes ne voudront pas toucher à la question de l’héliocentrisme/géocentrisme, même du bout d’une pôle à rideau. D’ailleurs, beaucoup d’entre eux deviennent carrément grincheux devant toute allusion les enjoignant à combattre le copernicisme. En fait, leur attitude démontre très clairement que, sauf une poignée d’exceptions, non seulement croient-ils que le système copernicien d’une Terre qui tourne est scientifiquement prouvé et véritable, mais ils estiment vigoureusement que, si les créationnistes commencent à attaquer le copernicisme, ils vont être la risée de la communauté scientifique, ce qui ferait terriblement mal au mouvement créationniste.

Quelle sorte de mouvement créationniste ça fait-il ?! C’est une blague ! Ils n’ont sans doute pas saisi le lien vital entre les deux théories (hypothèses) concernant leurs millions et leurs milliards d’années… Mais, les pauvres, il est temps pour eux d’oublier leurs objections, de voir la lumière et d’entrer dans l’arène. Leur stratégie a échoué. Celle que Dieu va utiliser pour démasquer et détruire l’évolutionnisme ne comportera aucun compromis ! Aucun faible cri insignifiant et inefficace, au profil bas, en attente, clandestin et plaidant un temps égal pour SA VÉRITÉ n’y fera ! Dieu va ravager tout Babylone (les mensonges de Satan) et Il va prouver que Sa Parole est la Vérité absolue. La reddition sans condition. Pas de compromis. Il va commencer par anéantir le copernicisme et l’einsteinisme ; ensuite, l’évolutionnisme ; puis, toutes les doctrines de démons qui aveuglent les églises chrétiennes d’aujourd’hui. C’est assurément un travail réservé aux 144 000 d’Apocalypse 7 qui aideront la multitude de laodicéens à sortir de Babylone, dans toutes les sphères qu’elle a envahi. Et cela ne prendra pas beaucoup de temps ! En effet, Apocalypse 18 dit clairement que Babylone (la confusion) va s’écrouler si rapidement que les gens en seront étourdis dans le monde entier.

Qu’ont donc à faire les scientistes créationnistes pour voir la lumière ? Eh bien, tout d’abord, ils doivent très bien se rappeler d’être absolument convaincus que la Terre n’est âgée que de six mille ans. (Très peu d’autres personnes croient à cela dans le monde, et ils sont donc déjà la risée du monde réel des scientistes séculiers, etc.). Ils doivent se rappeler qu’ils possèdent les preuves scientifiques inéluctables qui établissent que la Terre n’a que six mille ans et que tous les fossiles et les roches que les évolutionnistes utilisent pour étaler leurs millions et leurs milliards d’années furent déposés et formés par le Déluge mondial du temps de Noé, il y a moins de 4 500 ans.

Et ils peuvent le prouver, c’est certain ! Nous en avons vu les preuves tout au fil des ans. Ce sont des scientistes qualifiés dans tous les domaines, qui sont des créationnistes ayant produit des livres et des vidéos qui détruisent parfaitement la position évolutionniste de millions et de milliards d’années de mutations et de sélections naturelles transformant le néant en toute chose. Les cérationnistes possèdent toutes les bombes de vérité scientifique dont ils ont besoin pour faire exploser l’évolutionnisme en mille morceaux. Point.

Et ce n’est qu’une question de temps avant que Dieu ne coupe les amarres avec toute cette puissance de feu et n’abatte l’Humanisme mondial, l’establishment nouvel-âgiste qui repose carrément sur le mensonge de l’évolution (qui s’assoit, lui, sur le copernicisme !). Mais, en tout premier lieu, ce que doivent voir les créationnistes et où ils doivent s’ajuster rapidement, c’est a) que toute cette attaque maximum contre l’évolutionnisme doit suivre et se mêler à l’attaque maximum contre le copernicisme ; et b) que les créationnistes — à moins qu’ils ne soient charlatans (2 Corinthiens 11:13-15) — doivent tirer l’Épée contre le copernicisme aussitôt que le Saint-Esprit les aura convaincus qu’il s’agit d’une énorme duperie, comme l’évolutionnisme (conviction qui, en toute modestie, devrait leur être donnée au cours de la lecture de ce livre).

Or, qu’est-ce qui pourra persuader les créationnistes honnêtes de se joindre à la bataille contre le copernicisme et diriger leur feu sur cette cible comme moyen détourné qui les mettra offensivement en première ligne d’attaque contre l’évolutionnisme ? Deux choses persuaderont ces honnêtes gens (et nous parlons « d’honnêtes » créationnistes parce que Satan possède des agents-doubles haut placés protégeant sa séduction vitale de l’évolution !).

Premièrement : les créationnistes se sont déjà engagés à soutenir une Terre âgée d’environ 6 000 ans. C’est ce que leurs preuves démontrent et ils peuvent en illustrer la véracité par des preuves scientifiques à elles seules. Mais, que ce soit bien compris, toutes ces attestations prouvent aussi le récit de la Bible au sujet de la Création que l’on retrouve dans la première page de la Genèse. Il n’y a pas moyen d’y échapper et, sauf pour quelques agents doubles évidents infiltrés dans leurs rangs, les créationnistes soutiennent fièrement, correctement, avec ténacité et font la promotion du compte-rendu littéral de la Création de la Genèse. Voilà où conduit la preuve scientifique et où elle démontre de manière logique que le récit biblique de la Création de la Genèse est la Vérité avec un grand V. Magnifique ! Merveilleux ! Plus aucun problème ! La plupart des créationnistes seront d’accord avec cela.

Mais voici le problème que j’aimerais souligner vis-à-vis des créationnistes. La page même qui affirme avec exactitude que Dieu a créé les plantes, les animaux, et l’humanité, dit également que Dieu a créé les cieux, y compris les étoiles, dans la même période de temps (Genèse 1:14-18). Donc, si ce délai dura une semaine au début des 6 000 ans, comme le croient tous les créationnistes littéraux, alors comment se fait-il qu’ils croient en même temps au copernicisme et à l’einsteinisme qui exigent que ces étoiles (et la Terre et tout le reste) soient âgées de milliards d’années ???

Personne ne peut réconcilier ces deux opposés, et personne ne devrait se tracasser à essayer. La lumière d’étoile de Genèse 1 fut créée pour briller au-dessus d’Adam et Ève dès la première semaine où furent créés la Terre et tout ce qui existe dans l’univers. La lumière était là où sont les étoiles et elle se trouvait en même temps dans le Jardin d’Éden où étaient Adam et Ève. Il ne lui fallut pas des centaines, des milliers, des millions d’années pour voyager jusqu’ici. Tout créationniste qui croit à ses propres preuves doit ipso facto s’opposer à l’héliocentrisme copernicien parce que cette théorie n’existe pas et ne peut pas exister sans ces millions et ces milliards d’années. Point à la ligne.

Donc, personne — et certainement pas un scientiste créationniste — ne devrait tenter de réconcilier les preuves scientifiques, ni le créationnisme littéral de la Bible avec le copernicisme, parce que cela ne se fait pas. À la place, les créationnistes devraient réfléchir à la façon de sortir de ce terrain logiquement et scripturairement intenable où ils se sont enfouis en s’opposant activement ou passivement à une attaque contre le copernicisme.

Comment faire ? La première chose qu’ils doivent faire, c’est de lever bien haut la tête, en tant que les guerriers ensanglantés qu’ils sont, dans la grande bataille spirituelle. Ils ont été mis sur la ligne de front de la guerre spirituelle à un endroit où Satan doit prévenir toute percée à tout prix. Toute menace contre sa contrefaçon évolutionniste de la Création de Dieu, telle qu’enregistrée dans Genèse 1, doit être détournée et mise en échec ; Satan ne le sait que trop bien. Car ce front, cette question, cette stratégie pour détruire la crédibilité de la Bible en est venu à s’appuyer sur des siècles d’astucieuse planification surnaturelle. Tous les créationnistes, si grande ou si petite soit leur implication dans la bataille, écouteront sûrement ces paroles bénies : « Cela est bien, bon et fidèle serviteur. » Donc, en premier lieu, que les créationnistes prennent leur arc et lèvent la tête bien haut.

Deuxièmement : La préparation de tous les créationnistes n’a pas été en vain. Pas du tout ! Bien au contraire, la capacité qu’ils se sont maintenant acquise de pouvoir briser les défenses de Satan et dénoncer l’évolutionnisme au monde entier comme étant un mensonge contre-scientifique n’a souffert que d’un contretemps tactique. En se débarrassant des compromis, de la stratégie d’un « temps égal », et en revêtant une mentalité d’abandon sans compromis et inconditionnel (convenant aux champions de la Vérité Absolue de Dieu !), ils peuvent dès lors se préparer à mener l’offensive contre la Babylone de Satan et servir d’instruments dans la mise en œuvre de la victoire totale de la Vérité de Dieu sur la Création et tout ce que cela sous-entend dans la validation de toutes les Écritures.

Troisièmement : Tous les créationnistes, partout dans le Corps de Christ, laïcs ou scientifiques, doivent reconnaître qu’une Terre géocentrique et immuable est une doctrine biblique tout aussi vitale que le créationnisme. En fait, elles sont fondamentalement inséparables ! Et, vu qu’une personne prend fait et cause pour un de ces domaines vitaux de la Vérité biblique, lequel domaine est, à la base, intimement et inséparablement lié à la Création, elle doit aussi prendre fait et cause bibliquement pour cet autre chaînon vital. Pour être conséquents et, donc, crédibles, les créationnistes qui s’élèvent contre l’évolutionnisme doivent également s’élever contre le copernicisme héliocentrique.

En dernier : Que Dieu les conduise ou non à se spécialiser et à s’entraîner dans une ou plusieurs sphères de dénonciation du copernicisme, les créationnistes doivent joindre les mains aux créationnistes anti-coperniciens dont le nombre va bientôt s’accroître de façon spectaculaire, ou — à tout le moins — leur donner leur support passif de peur de révéler leur véritable fonction dans le combat anti-évolution. Car, assurément, ce doit être très clair, à la lumière de ce qui a déjà été démontré (et de ce qui s’en vient) et même de ce qui est évident à tous que a) le copernicisme est une duperie qui dure depuis plus longtemps que l’évolutionnisme et a remporté un plus grand succès ; b) de ce fait — ainsi que de l’autre fait également important que la partie héliocentrique de la bataille n’a donné aucune crainte à Satan depuis des générations et est sans défense — la stratégie des créationnistes (et de tout amoureux de la Bible) devrait être concentrée à percer une brèche contre le mensonge de l’héliocentrisme d’abord et tout de suite après amener l’artillerie lourde anti-évolutionniste ; c) le créationnisme anti-évolution a battu en retraite et ne menacera pas l’empire de Satan sans une nouvelle stratégie.

Le renforcement viendra par ceux qui auront de la joie à voir exposer le mensonge copernicien et qui seront également très en colère et galvanisés à renverser cette idole de fausse science ainsi que la structure humaniste érigée dessus. (L’esprit de crainte qui conseilla le peuple de Dieu de ne pas chercher à dénoncer le copernicisme, de peur qu’ils ne discréditent le créationnisme, est un esprit que Dieu dit ne pas venir de Lui : « Car Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité, mais de force, de charité et de prudence » (2 Timothée 1:7). L’Esprit de Dieu est plutôt l’Esprit d’amour, de puissance et d’intelligence. Voilà l’Esprit que tous les chrétiens — pas juste les créationnistes d’aujourd’hui — auront pendant cette bataille stratégique, car c’est une stratégie sans compromis, sans quartier, destinée à démarrer une réaction en chaîne qui conduira à la dénonciation de toutes les séductions de Satan dans le monde, et qui préparera celui-ci aux temps de la fin, au retour de Jésus-Christ et à l’installation de Son Royaume sur Terre.

Nous nous sommes un peu éloignés du sujet de ce chapitre, mais revenons-y. Il est facile de bifurquer et partir sur une envolée… Le dernier chapitre n’en sera sans doute que plus court.

Si quelqu’un a suscité l’adulation et l’exaltation à un titre presque aussi élevé que Sagan, après Einstein, dans le monde de la science, c’est bien Andreï Dmitrievitch Sakharov, né en 1921 et décédé en décembre 1989, à l’âge de 68 ans, au moment même où le régime communiste qui l’avait harassé toute sa vie, vint à s’écrouler.

Sakharov est mis au rang de…

« …scientiste de classe mondiale … dont l’œuvre fut une prescription de la future direction de la physique. »[7]

Il publia un article, en 1967, qui le rendit célèbre du jour au lendemain. Le Time Magazine, dans une rubrique de 17 pages à son sujet, dit que son fameux article…

« …traitait de la question à savoir pourquoi il y a de la matière dans l’univers. »[8]

Comment Sakharov répondit-il à sa propre question ? Dit-il que Dieu en était le Créateur ? Bien sûr que non, il n’aurait pas eu droit à une seule ligne du Time Magazine. Non, rien d’aussi simple. En fait ses réponses furent calculées de manière à renforcer la cause du Big Bang contre la Bible, comme on peut se l’imaginer, compte rendu de la grande estime qu’on lui accorda de la part de l’establishment scientifique.

Toute cette question de la matière dans l’univers s’avère cruciale en regard du copernicisme et de la relativité. C’est encore sur le tapis. C’est la base de toute idée anti-biblique tout simplement parce que l’on ne peut ignorer sa présence et qu’on doit l’expliquer « scientifiquement » d’une manière qui nie l’interprétation des Écritures. Donc, Sakharov, peu importe son mérite, fait partie d’une longue liste de « scientistes » qui, pour une raison ou une autre, ont contribué à perpétuer l’idée anti-biblique que tout ce qui existe a été créé à partir d’un Big Bang, quelque 20 milliards d’années auparavant. Spécifiquement, Sakharov a, en quelque sorte, rescapé les gars du Big Bang d’un problème qu’ils avaient parce que…

« …le Big Bang aurait dû produire des masses égales de matières et d’anti-matière. »[9]

Cela ne se pouvait pas, semblerait-il, car les conditions sur lesquelles tout le monde tombe d’accord à savoir qu’elles auraient dû être présentes lors d’une situation de Big Bang n’auraient pas fonctionné, parce que :

« …alors que l’univers s’étendait et se refroidissait, il arrêterait de produire des particules, et la matière restante, ainsi que l’anti-matière, se détruiraient l’un l’autre. [Par conséquent] l’univers d’aujourd’hui devrait être vide. »[10]

Nous voyons comment cela pouvait faire exploser la théorie du Big Bang… sans jeu de mots ![11] Apparemment, cela constitua un réel problème au sein de la communauté scientifique pendant un certain temps. (Évidemment, le commun des mortels ne connait rien de ces « problèmes ». S’ils comprenaient ce qui se passe dans ce cercle intime, ils y passeraient tout le monde au goudron et à la plume…)

Mais Sakharov vint à la rescousse. Sa solution —purement mathématique, bien sûr — fut sensationnelle. Voici sa théorie : a) certaines forces opérèrent juste après le Big Bang

« …qui créèrent la matière ou l’anti-matière indépendamment l’une de l’autre, en violation de ce qui avait été … une loi stricte reconnue comme la conservation du nombre baryon… »[12]

  1. b) Sakharov déclara que les particules de matière et les particules d’anti-matière se désintègrent à un taux différent. Ces deux idées, dit-il…

« …ainsi que l’expansion et le refroidissement de l’univers se combinèrent en une chaîne de réactions complexe favorisant légèrement la production de matière … mais ce fut suffisant. Des vestiges de ce qui avait existé alors surgit toutes les formes cristallines et des étoiles étincelantes des galaxies. »[13]

Et nous avons vu que :

« …l’œuvre de Sakharov fut une prescription de la future direction de la physique … [et] à la fin des années 70, les physiciens ne firent essentiellement que retracer les calculs de Sakharov… »[14]

…et ont conclu que dans à peine 10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 d’années, toute la matière dans l’univers aura disparu et il sera aussi vide qu’un seau avec un trou au milieu.

« Jusqu’ici, [du moins, comme on l’a admis en 1990] il n’y a pas de preuve expérimentale de la désintégration des protons. »[15]

Je le redis : la « science » est merveilleuse ! La matière est dieu et quiconque soutient ce dieu est un grand ponte dans le camp de la « science » ! Personne ne semble se soucier ou se contester le moindrement que des lois de la science testées, véritables et inflexibles soient violées et écartées. Personne ne semble s’inquiéter ou s’objecter un tant soit peu que les fruits d’une imagination tordue et de chiffres inintelligibles soient combinés en « calculs » qui donnent les résultats pour lesquels ils ont été inventés. Personne ne semble s’alarmer ou s’opposer une seconde lorsqu’une idée folle crée simplement le besoin d’une autre idée folle qui dure pendant quelques années et doit être suivie d’une autre idée folle provenant encore de quelque autre génie du jour. Il y a de quoi nous faire dégobiller… !

C’est une réaction que l’on trouverait compréhensible devant les mensonges sans fin diffusés par les soi-disant établissements « éducatifs » et « scientifiques » ! Tout ce qu’ils cherchent à faire, c’est d’enterrer la Vérité pour toujours ! Après tout, qui a besoin de la Vérité ?! Un mensonge n’est-il pas aussi bon que la Vérité si les gens croient que c’est la vérité ? Qui se soucie de savoir si Dieu a créé l’homme et tout le reste, y compris une Terre qui ne tourne pas ? Quelle différence cela fait-il si toutes les écoles dans le monde, de la maternelle aux programmes de doctorat, endoctrinent et initient les enfants à la religion humaniste grâce aux montants d’argent provenant de nos taxes ? Et alors, si tout cet endoctrinement fait qu’ils se moquent de la Bible et de Jésus-Christ encore plus que le faisaient leurs parents, qui s’en soucie, de toute manière ?

Vous, chers amis lecteurs. Vous vous en souciez du fait même que vous avez entrepris la lecture de ce recueil. Je m’en soucie aussi. Et je parierais que — comme le prophète Élie — si nous pouvions voir avec des yeux spirituels, nous apercevrions sept mille anges en ordre de bataille, prêts à entrer en action !

Et, surtout, Dieu S’en soucie, et Il est prêt depuis toujours. Après tout, c’est SON PLAN ! Il désire certainement mettre fin à cette partie de l’histoire pour que nous entrions enfin dans la Réalité éternelle ! Nous sommes donc en majorité, une majorité écrasante ! Mais, sans blague, une personne qui peut voir au-travers de toute cette séduction s’aperçoit que le Dieu Créateur en a plus qu’assez de ceux…

« … qui ont changé la vérité de Dieu en fausseté, et qui ont adoré et servi la créature [ou toute chose créée], en abandonnant le Créateur… » (Romains 1:25).

Adorer la matière, c’est ce que fait l’establishment humaniste mené par la « science ». Cinq minutes de réflexion suffiront à quiconque n’a pas perdu l’esprit qu’il s’avère insensé au-delà de toute parole de dire que la matière s’est créée elle-même, a explosé et s’est transformée en… vous et moi, et les arbres, et un millions d’autres choses !

« Se disant être sages ils sont devenus fous » (Romains 1:22).

Parfaitement approprié ! Et il est fort probable que nous tous, lecteurs comme auteurs, nous nous sommes rendus coupables d’avoir cru et même d’avoir promu tout ce mensonge non-scientifique. Folie humaniste. Nous avons tous été trompés, séduits et coincés par le Diable dans cette histoire de Terre qui tourne ! Nous tous ! Le monde entier ! Pensez-y ! Et la plupart d’entre nous avons été trompés tout aussi à fond par les foutaises évolutionnistes ! Je sais que je l’ai été. Mais Dieu m’a fourni un moyen de me dépêtrer de la toile d’araignée de Satan, comme des milliers d’autres, et Il a le moyen de faire sortir tout ceux qui, dans le monde, peuvent recevoir « l’amour de la vérité » (2 Thessaloniciens 2:10).

Pour certains d’entre vous, le processus est en cours. Mais d’abord, les membres des églises qui proclament que Jésus est leur Fondement vont devoir admettre avoir été séduits et se repentir de leurs péchés en ayant accepté le copernicisme au détriment de la Parole de Dieu. Ensuite, s’ils ont fait des compromis au sujet de la création en six jours et le Déluge du temps de Noé dans la Parole de Dieu en acceptant une forme quelconque de l’évolution mensongère, ils doivent à nouveau reconnaître qu’on les a dupés, puis se repentir et purger leurs rangs de tous ceux qui n’accueilleront pas la Vérité démontrée dans la Parole de Dieu, peu importe le sujet traité. Les chrétiens qui professent que Jésus-Christ est leur Seigneur doivent alors pleinement réaliser que c’est Lui, Jésus, qui a créé cette Terre et tout ce qui y habite, y compris l’homme et la femme, ainsi que tous les corps célestes dans l’univers. Comme nous l’avons vu, les Écritures sont parfaitement claires là-dessus (Colossiens 1:16 ; Éphésiens 3:9 ; Hébreux 1:2, 10 ; Jean 1:3, 10).

En fait, l’heure approche où les chrétiens de toutes les églises qui se disent chrétiennes doivent se repentir de leurs hérésies coperniciennes et darwinistes et adorer Jésus en tant que Créateur autant que Sauveur et Rédempteur. Il y a peu d’espoir, sinon aucun, que les hiérarchies de ces églises où se trouvent encore bon nombre de chrétiens véritables changent leur vision tordue dans ces domaines. Et ce ne sont pas les membres qui feront changer d’avis les pasteurs et les prêtres. Ceux-ci ont beaucoup à perdre et ont été si bien endoctrinés par les hautes sphères du pouvoir qu’il ne restera qu’une solution aux membres du Corps de Christ qui ont reçu l’amour de la Vérité : sortir du milieu d’elles ! Notre Seigneur Dieu travaille directement avec Ses enfants, pas avec les hiérarchies ecclésiastiques, et même Il travaille malgré ces hiérarchies. Les églises, à l’heure actuelle, sont truffées de fausses doctrines et y faire le ménage est inutile. Il faut tout simplement s’en séparer et les laisser composer ce qui sera la Grande Prostituée des temps de la fin. Lorsqu’il n’y aura plus un seul membre du Corps de Christ dans les églises du monde, que seront-elles ? Lisez attentivement le 34e chapitre du livre d’Ézéchiel où Dieu parle des pasteurs des églises modernes ! Il n’y a pas à s’y tromper. Dieu Lui-même va sortir Ses enfants du milieu de la Grande Babylone !

Toute la Parole affronte les églises et débute avec la partie qui détruit le copernicisme suivie de la partie qui détruit l’évolutionnisme. Alors, toutes les fausses doctrines tomberont l’une après l’autre comme dans un jeu de dominos. La Parole de Dieu triomphera de toutes les séductions ! Toutes ! Cela devient sérieux. Et il n’y a aucune façon d’arrêter ce processus. Tout est en place pour que Dieu ouvre le rideau sur la Première Scène du Premier Acte du Drame de la Fin des Temps qu’Il a Lui-même décrit dans l’Apocalypse et ailleurs dans la Bible. La Première Scène sera La Chute de Babylone. Toute fausse doctrine et tout mensonge séduisant qui maintient le monde en esclavage dans la main du père du mensonge sera dénoncé et détruit bibliquement par la Vérité de Dieu annoncée par Ses fidèles témoins et serviteurs.

Il y a des préliminaires à cette chute prochaine. Il y aura des calamités mondiales — presque certainement une catastrophe économique globale entraînant la panique — suivies de l’émergence du « Messie » talmudiste et nouvel âgiste que les descendants du pharisaïsme et toutes les sociétés secrètes espèrent amener le plus rapidement possible au pouvoir du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.). (Voir à cet effet, Les Protocoles des Sages de Sion.)

Il n’y a pas à douter que le N.O.M. constituera probablement la « Bête » (Apocalypse 13:2) que chevauchera la Grande Prostituée (Apocalypse 17:3) : le pouvoir ecclésiastique chevauchant le pouvoir séculier. L’Antichrist (2 Thessaloniciens 2:3-10) sera à la tête de ces pouvoirs et sera conseillé par le Faux Prophète (Apocalypse 13:11) qui poussera tout d’abord les gens à adorer la première Bête et fera que l’Antichrist détruise la Grande Prostituée.

La Bête n’est pas qu’un individu, mais tout un système impérial. L’Antichrist n’est pas la Bête, mais il est à sa tête. Le Faux Prophète n’est pas le pape, mais fera en sorte que l’on adore l’Antichrist en le faisant passer pour le Messie attendu par les kabbalistes et les nouvel-âgistes. Ensuite, le Faux Prophète fera détruire le christianisme, catholicisme en tête, pour instaurer la religion à Mystères descendant directement de l’Ancienne Babylone. La Bible est dans son chemin et il doit l’écarter.

Peut-on connaître ces personnages actuellement ? Ils sont peut-être déjà connus de quelques-uns qui travaillent à l’instauration du N.O.M. et du Plan nouvel-âgiste visant à « secourir » le village global et à sceller la condamnation de la Bible en tant que LA source de la Vérité. Les leaders séduits de ce monde suivront cet « homme de perdition » qui promet un nouveau système mondial unique et utopique. Ces promesses ne sont qu’une couverture pour cacher la stratégie ambitionnant de mettre la Bible sur un même pied d’égalité que les autres écrits « religieux » et ériger une religion « humaniste » mondiale où Jésus ne serait plus qualifié que de bon homme et non de Fils de Dieu incarné, Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Nous voyons, dans Apocalypse 17:10-17, que le règne du Nouvel Ordre Mondial ne durera que « un peu de temps » avant que l’Agneau de Dieu ne vienne y mettre un terme abrupt. Ce règne de trois ans et demi prend fin à l’arrivée en gloire de Jésus-Christ et de Ses armées, les Élus ressuscités, ce qui débutera la Colère de Dieu.

Les membres du Corps de Christ qui connaissent leur Bible peuvent, par ces références, reconstituer la preuve de la supercherie universelle exposée dans ce livre et commencer à voir où cela va nous mener. Et ils peuvent également commencer à constater que l’heure de cette guerre contre l’Agneau et Sa Parole, qui atteindra son apogée lors de la Chute de Babylone, ainsi que tout ce qui va suivre sera à notre porte lorsqu’ils commenceront à être jugés selon leur acceptation ou leur rejet du copernicisme et de l’évolutionnisme.

Ce sera le dernier chapitre de l’histoire des gouvernements de Satan. Donc, pour y être bien préparés, creusons davantage la question du MONSTRUEUX mensonge du copernicisme pour savoir réellement ce qu’il en est. Examinons une couple de supposées preuves en faveur de l’héliocentrisme et passons-les à la logique stricte.

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[1] Robert F. Moss, La superstar scientifique, Saturday Review, août 1980, p. 25.

[2] Dennis Meredith, La correction “cosmique” et le souhait d’une vie extra-terrestre de Carl Sagan, Science Digest, juin 1979, p. 35.

[3] Ibidem, p. 36.

[4] Ibidem.

[5] Richard A. Baer, jr., Ils enseignent la religion dans les écoles, Christianity Today, 17 février 1984, p. 12.

[6] Bidem, p. 13.

[7] Dennis Overbye, Pourquoi est-il au rang des scientistes de classe mondiale, Time, 14 mai 1990, p. 64.

[8] Ibidem.

[9] Ibidem.

[10] Ibidem, p. 65.

[11] Des rapports se multiplient chaque jours déclarant que la théorie du Big Bang est morte. Il y a même un livre lancé par Eric Lerner intitulé Il n’y a jamais eu de Big Bang. Le Service des Nouvelles Garnett annonce « Le Big Bang est tombé en poussière ». Les mensonges que la fausse science a perpétués sur le monde ont fait leur temps. La Vérité de la Parole de Dieu avance de tous les côtés !

[12] Ibidem.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 64.

[15] Ibidem, p. 65.




D.143 – La Terre ne bouge pas – Partie 3-5

 

TROISIÈME PARTIE

(5)

Albert Einstein

(1879-1955)

Plus que tout autre, cet homme a sauvé le copernicisme… Pour cet exploit, le monde en a fait une superstar. Lorsque le non-sens de sa « relativité » sera étalé, la Vérité biblique d’une Terre immobile (ce qui est prouvé par toutes les preuves scientifiques !) ébranlera les fondements de la connaissance.

Dans la période précédant le moment où Einstein surgit avec sa Théorie Spéciale de la Relativité, le physicien Poincaré utilisait, comme nous l’avons vu, l’expression « principe de relativité » sans réaliser tout le potentiel qu’y avait vu Einstein.

Mais en son sein, il y avait un moyen de sortir du piège cruel de Michelson-Morley. Il y avait un mot (« relativité ») rempli de possibilités ; un mot tellement élastique et caoutchouteux, si malléable et bourbeux, tellement glissant et lisse, intangible et creux, qu’il était parfait pour le travail à faire.

Poincaré flairait quelque chose qui pouvait sauver la vie de l’héliocentrisme, mais il n’allait nulle part. Cependant, quelqu’un d’autre avait ruminé ce concept merveilleusement riche de « relativité » dans ses méninges et était sur le point de, non seulement s’en servir pour sauver l’héliocentrisme, mais, en même temps, projeter la vérité dans les ténèbres de l’outre espace ! Je vous présente le seul et unique Albert Einstein !

Né en 1879, cet homme était destiné à être louangé comme une des plus grandes intelligences de tous les temps. Il présenta des documents qui le mirent sur la route de la célébrité, en 1905. Ils s’intitulaient De l’électromécanique des corps mobiles que l’on reconnut par la suite en tant qu’Une théorie spéciale de la relativité. Un peu plus d’une décennie plus tard, il publia sa Théorie générale de la relativité.

Réduit à son plus bas dénominateur commun, l’unique conclusion exigée par la Théorie de la Relativité, c’est qu’il n’y a pas de vérité absolue. Tout est relatif à ceci, cela ou autre chose. Appliquée à la question de savoir si la Terre est oui ou non en mouvement, la Théorie dit simplement que tout mouvement est relatif à l’endroit où nous sommes lorsque nous observons quelque chose en mouvement et qu’il n’y a rien qui soit immobile dans l’univers entier. Nous n’avons pu trouver où Einstein aurait ouvertement traité de la question à savoir si la Terre est en mouvement ou non. Il débute en assumant d’avance qu’elle tourne (comme tout le reste dans l’univers) et, du moins selon toute apparence, n’y accorda aucune attention.

En d’autres termes, il était « impensable » que l’establishment scientifique revienne au géocentrisme de Brahe ; donc Einstein, ainsi que le reste de l’ordre scientifique établi, refusa d’aborder ce sujet directement et ouvertement. Ils partirent tous ensemble sur la prémisse que la Terre tourne. Cette prémisse était une vérité tacite absolue pour Einstein et ses disciples.

Or, lors même qu’il esquivait toute confrontation sur ce sujet, tout ce qu’il effectua fut fait sous le couvert d’un écran de fumée mathématique destiné, en fait, à dissimuler qu’il traitait réellement de ce point central, et entendu de manière à mettre un frein à quiconque proclamerait que la Terre est immobile.

Et les encyclopédistes, faisant partie du « côté obscur » de la guerre de dissimulation, ne se gênèrent pas pour tenter de manipuler l’opinion des gens. Voici, pris dans l’Encyclopédie Grolier, l’encens que l’on fait brûler à l’autel de la Relativité :

« La théorie de la relativité est intéressante en outre à deux autres points de vue : elle tend à unifier des concepts autrefois étrangers : électromagnétisme et gravitation ; elle a redonné à la science spéculative une nouvelle vigueur, alors qu’on croyait ne plus devoir se fier qu’aux résultats expérimentaux… »[1]

Cela revient à dire que, par les mathématiques virtuelles (2+2=5), on peut enfin sortir de l’ornière des faits expérimentaux qui ne mentent point (2+2=4) et se débarrasser de l’embarras qu’ils nous causaient, pouvant ainsi avancer les pires élucubrations et nier les Écritures en toute tranquillité. Et, sans le dire ouvertement, on avoue par la suite :

« …Il est impossible de se représenter graphiquement et visuellement la plupart des concepts de la théorie de la relativité ; seul le langage mathématique peut les exprimer. Avec Einstein, la science a atteint à un degré d’abstraction qui la rapproche de plus en plus du domaine de la philosophie… »[2]

La relativité est donc beaucoup plus une philosophie qu’un fait scientifique ! Et pour cause ! Comme on le voit, Einstein a réussi son artifice. Mais il est fort important de reconnaître immédiatement que le concept de relativité du Sieur Einstein ne prouve en aucune façon que la Terre tourne. En fait, il admet implicitement que les deux systèmes — l’héliocentrisme et le géocentrisme — pourraient expliquer les jours et les nuits, les saisons, etc.. Mais, dit du même souffle le relativiste, rien n’est en repos dans l’univers, et donc, parler d’une Terre immobile ne rime à rien.

C’est du double-propos sournois, car il vient à peine de dire que lorsque des corps célestes sont en mouvement, personne ne peut dire si l’un d’entre eux est immobile ou non par rapport à un autre ; donc, puisque l’on ne peut dire si quelque chose est immobile, on ne peut le considérer immobile, mais en mouvement. Par conséquent, la Terre doit tourner, disent-ils ! C’est plus que sournois… c’est de la très mauvaise foi !

Néanmoins, c’est le thème non-écrit, mais toujours présent dans la Théorie de la Relativité d’Einstein. En bout de ligne, il dit qu’il n’existe pas de Vérité dans toute cette affaire de détermination du mouvement des corps célestes. (On n’a pas à réfléchir beaucoup pour voir comment cette idée de « non-vrai/faux » s’est aggravée en « non-noir/blanc », « non-bien/mal » dans d’autres domaines, comportementaux comme scientifiques, artistiques ou autres, à mesure que s’est écoulé notre siècle. Tous les jugements de valeurs sont relatifs aux yeux de celui qui les perçoit, nous dit-on. En fait, on pourrait bien l’appeler le Siècle relativiste où la Vérité absolue a été chassée de la pensée de l’homme et remplacée par l’idée que toute vérité est variable et relative.)

Bien évidemment, le contraste est frappant entre la pensée relativiste et les absolus de la Bible. De même, l’apparente victoire de la pensée relativiste sur les absolus de la Bible semble réglée. Mais pas tout à fait. Loin de là, même. Le relativisme n’est rien de plus qu’une supercherie très adroite. Lisez par vous-mêmes cette déclaration qu’un relativiste doit faire : « Il n’existe pas de vérité absolue. » Cette déclaration est-elle vraie ? Si oui, alors elle doit être fausse ! Est-ce que la déclaration est fausse ? Alors, il doit y avoir une Vérité absolue ! D’un sens ou de l’autre, il y a une Vérité absolue dont on ne peut pas se débarrasser.

Peu importe si l’idée que tout est relatif a été ancrée dans la tête des gens depuis près d’un siècle. Cela ne la rend pas véridique. Elle est stupide. Elle ne peut pas être vraie. Et elle n’est donc pas vraie. Vous pouvez voir qu’elle est fausse. Tout le monde peut voir qu’elle est fausse. Réfléchissez à la question que voici : dans quel sens va la lune, vers l’est ou vers l’ouest ?

« C’est relatif, » me direz-vous, « à savoir si la Terre tourne ou non ? »

Oh non ! Ce n’est pas relatif à cela ou à rien d’autre ! La lune ne va pas dans un sens ou dans l’autre selon le choix. Elle ne va pas dans les deux sens et n’est pas immobile. Chaque seconde de chaque jour et de chaque nuit, la lune va dans le sens d’une de ces directions et pas dans l’autre. C’est une Vérité absolue. La lune se déplace dans un certain sens et aucune théorisation relativiste ne changera rien au fait.

Ce n’est pas parce que l’homme persiste à dire que la lune se déplace vers l’est à cause du système de l’héliocentrisme qu’elle se déplace effectivement dans ce sens, comme vous pouvez le voir. De la même manière, il est tout aussi sûr qu’insister à dire qu’elle se déplace vers l’ouest parce qu’il doit en être ainsi dans le système géocentrique n’est pas garant qu’elle se déplace vraiment vers l’ouest. La « science » héliocentrique exige qu’elle se déplace vers l’est. La science de la Bible exige qu’elle se déplace vers l’ouest.

Les deux ne peuvent pas être vrais. L’un a tort, l’autre a raison. L’un est vrai, l’autre est faux. L’un est Vérité absolue, l’autre est mensonge absolu. N’importe qui peut s’en rendre compte.

Le génie d’Einstein (mauvais génie serait plus juste) repose sur le fait qu’il puisse prendre une vérité indéniable comme « la lune va dans une direction et cette seule direction » et persuader le monde entier qu’on ne peut tout simplement pas savoir quelle direction est la bonne parce qu’elle peut aller d’un sens ou l’autre, le tout dépendant d’où l’observateur en constate le cheminement.

FAUX ! Elle ne peut pas aller vers l’ouest si la Terre tourne sur un axe à tous les 24 heures, comme on nous l’enseigne. Du reste, elle ne peut pas aller vers l’est si la Terre est immobile. Dans l’un des deux cas, la lune ne pourrait pas être aux endroits où elle est réellement de façon précise à chaque heure de chaque jour.

Donc, il doit y avoir une prémisse fondamentale sur laquelle se fondent, non seulement la direction de la lune, mais aussi la direction de tout ce qui est dans l’univers. Et cette prémisse, c’est une Terre qui tourne et qui orbite.

Einstein démarre ici. Il a construit son mythe de Relativisme sur la seule chose sur laquelle il pouvait la mettre, c’est-à-dire, une Terre qui tourne. Pas de Terre qui tourne, pas de Relativisme. Point. Si la Terre demeure fixe, immobile, sans mouvement, tel que l’exigent l’expérience de Michelson-Morley et toutes les preuves d’observation (sans mentionner la Bible), alors il ne peut y avoir de relativisme concernant le mouvement des corps célestes, parce que la Terre elle-même est la plate-forme en repos par laquelle peut être mesuré simplement et facilement tout le reste !

Ainsi donc, nous devons être parfaitement conscient que la Théorie de la Relativité d’Einstein n’a plus aucune signification si la Terre est stationnaire. Plus aucune !

Ceci étant vu, il devient bien clair que le dessein et l’attaque cachés, mais bien réels, de l’œuvre de la vie d’Einstein était d’avancer une théorie qui forcerait à croire qu’il n’y a pas et ne peut y avoir quoi que ce soit en repos dans l’univers. Si ce concept pouvait triompher dans l’establishment scientifique, alors il pourrait s’infiltrer dans le système d’éducation en tant que connaissance « scientifique ». Ainsi, le concept d’une Terre qui tourne ne serait plus jamais menacé, mais deviendrait plutôt un fait « scientifique » sans que plus personne ne se pose la question à savoir si elle tourne ou pas. Si rien ne peut être immobile dans l’univers, alors la Terre doit se mouvoir. Implanter ce concept comme moyen d’empêcher pour toujours un retour au géocentrisme de la Bible, voilà l’unique et véritable but de la Théorie de la Relativité.

Tous les ronds de jambe fantaisistes comprenant les mathématiques inventées, de nouvelles définitions du temps et de l’espace, des absolus arbitraires, des calculs mentaux au lieu d’expériences réelles, etc., ne furent qu’un écran de fumée « intellectuel » destiné à dérouter quiconque pourrait remarquer le seul et véritable dessein qui, répétons-le, était d’ensevelir pour toujours la Terre immobile enseignée dans la Bible. En tant que chef ingénieur sur le chantier de ce chef-d’œuvre de séduction (qui est devenu la pierre angulaire de la « sagesse » du 20e siècle) Einstein mérite pleinement le titre de « génie » si souvent accolé à son nom.

Or, évidemment, la seule façon pour Einstein, ou quiconque, de réussir à refiler au monde cet argument littéralement sans fondement de la Relativité, était que le monde — du moins le monde intellectuel et académique qui détermine pour les masses ce que doit être la connaissance — veuille adopter tout argument pouvant leur éviter de revenir à la position géocentrique (et donc, biblique) où menaçaient de les conduire le résultat des expériences de Michelson-Morley et autres. Il n’y eut aucun problème pour cette faction. En effet, le monde académique cherchait désespérément une façon quelconque de sauver la face dans ce dilemme. La réaction des scientistes aux résultats de l’expérience de Michelson-Morley, dans les dix-huit ans précédant la sortie de la théorie d’Einstein en 1905, était de s’opposer uniformément à permettre un retour à l’explication géocentrique, comme nous l’avons vu antérieurement. Admettre son erreur de la sorte était « impensable »…

Ainsi donc, la majorité de la communauté scientifique de cette époque était pressée de ressortir avec une idée, n’importe laquelle qui puisse sauver les apparences de l’héliocentrisme et leur épargner le massacre de leur vache sacrée. Et, juste au bon moment, Super-Einstein fut là pour délivrer les académiciens de l’impasse mortelle dans laquelle ils s’étaient engagés. Le fait qu’Albert « emprunta » les idées des autres, qu’elles n’avaient pas de sens et que personne ne déclara les comprendre, ne faisait pas de différence. Elles étaient suffisamment confuses, abstruses et étouffées dans les champignons et les oignons mathématiques et scientifiques pour atteindre le but souhaité, comme les décorations mathématiques inintelligibles de Newton l’avaient fait 200 ans plus tôt.

Einstein allait faire parfaitement l’affaire. C’était l’homme de l’heure ; le héros et le sauveur de la fausse science anti-biblique. L’adulation, presque l’adoration, qu’il reçut de la part de l’establishment anti-biblique mondial durant toute sa vie colle bien à quelqu’un qui a secouru cet ordre établi de l’ignominie d’un total embarras et de la défaite complète qu’il aurait soufferts s’il avait eu à admettre que l’héliocentrisme, et tout ce qui avait été si laborieusement érigé par-dessus, étaient faux et que la Bible était vraie.

Concernant l’originalité d’Einstein, N. M. Gwynne présente la révélation plutôt renversante des diverses sources de ses théories. Après avoir clairement pénétré en profondeur dans le phénomène Einstein, Gwynne dit :

« …On peut fouiller les travaux d’Einstein du début à la fin sans qu’il n’y soit révélé la moindre pensée originale d’une réelle importance.

» La courbe de l’espace, par exemple, fut imaginée par Riemann (…) le nouveau concept de l’espace-temps par Minkowski ; la doctrine qui dit que les objets se contractent en proportion de la vitesse dans laquelle ils se déplacent, par FitzGerald ; et l’idée que la vitesse de la lumière dans le vide est constante… par Lorentz.

» A-t-il été le premier à prétendre l’impossibilité de détecter la vélocité de la Terre au travers de l’éther ? Non, cela a été fait par J. H. Poincaré et H. A. Lorentz (…) Est-ce Einstein qui trouva le nom au Principe de la Relativité ? Non, c’est Poincaré (…) Einstein ne fut pas le premier à soutenir qu’une horloge en mouvement ralentit. Ce fut fait par Sir Joseph Larmor (…) Einstein ne fut pas le premier à postuler que la matière est froissée dans la courbe de l’espace. Le Professeur W. K. Clifford avança cette notion bizarre en 1870, neuf ans avant la naissance d’Einstein… »[3]

Et à propos de E=Mc2 ?

« Est-ce qu’Einstein a inventé la célèbre équation E=Mc2 qui est pratiquement devenue synonyme de son nom ? Non, même pas ! En 1881, J. J. Thompson avait produit la formule E=3/4Mc2… »[4]

En somme, les recherches et la documentation de Gwynne l’ont convaincu que…

« …l’œuvre de sa vie était un mélange hétéroclite de plagiats qui était, au total, non seulement d’une logique défectueuse, mais aussi tellement remplies d’erreurs internes que, comme le démontrent Lynch, Dingle et Essen, tout mathématicien assez brave pour la fouiller avec un sens critique ne peut manquer de la démanteler. Et laissez-moi répéter qu’il plagia. Non seulement ses contributions à la pensée furent-elles enfantines, mais, en plus, elles ne furent même pas les siennes. »[5]

Lors d’une conférence à Zurich où des étudiants lui avaient demandé de leur parler de la théorie des quanta, un autre recherchiste rapporte qu’Einstein répondit :

« Ce n’est pas à moi de vous entretenir de la théorie des quanta ; bien que j’aie essayé très fort, je n’ai jamais réussi à la très bien comprendre. »[6]

En réplique à son ami Janos Plesch qui suggérait qu’il semblait y avoir une relation entre les mathématiques et la fiction, Einstein dit :

« Il peut y avoir un peu de vrai dans ce que tu dis. Lorsque je m’examine, ainsi que mes méthodes de pensée, j’en viens à la conclusion que le don de la fantaisie a davantage signifié pour moi que mon talent pour l’absorption de la connaissance positive. »[7]

Enfin… Comme nous l’avons vu plus tôt, que les « théories » d’Einstein aient été à la base de ses fantaisies idiotes plagiées ou non des autres, il n’en demeure pas moins que notre homme s’attira tout le crédit pour avoir secouru l’establishment scientifique de l’horrifiante perspective d’être forcé de désavouer l’héliocentrisme et de retourner au géocentrisme.

Sa célébrité s’accrut étonnement peu après sa seconde publication, Une théorie de la relativité générale, qui sortit en 1915-16. (Une théorie spéciale de la relativité de 1905 fut tranquillement abandonnée quand la Théorie générale fut publiée, mais personne ne sembla le remarquer ou s’en formaliser.)

La célébrité d’Einstein pris son envol spécialement après 1919, sous l’étreinte dorée de la Société Royale. Il fut fêté et couvert d’honneurs partout dans le monde ! (Réfléchissez ! Pourquoi un mathématicien présentant une hypothèse loufoque appelée Relativité fut-il traité en héros international ?) La Maison Blanche l’accueillit. L’empereur japonais le reçut suite à une tumultueuse réception publique. Et il continua à être une superstar de classe mondiale jusqu’à sa mort en 1955. Son décès provoqua un deuil sur tout le globe. Une grande statue (Illustration V), trois fois la grandeur nature, fut fabriquée au coût de 1,6 million de dollars et placée tout près du Lincoln Memorial. Dans la mesure où peut aller la reconnaissance, Einstein fut élevé sur un piédestal (qu’il occupe toujours) qui l’exalte comme une des plus grandes intelligences du monde.

Illustration V

Avant son décès, on offrit le leadership d’Israël à Einstein — sioniste passionné — (mais il déclina l’offre). Et c’est ici que repose le succès d’Einstein — merveilleusement dissimulé et fardé aux yeux d’un monde qui a été soigneusement soumis à un lavage de cerveau pour ne voir que la Relativité où la pure Vérité pousse des cris étouffés et proteste pour être reconnue au-travers d’un bâillon étroit. Juif sioniste (ashkénaze, bien sûr, i.e., personne non-sémite) Einstein était un ennemi implacable de Jésus-Christ et de son Nouveau Testament. Ce Nouveau Testament dit clairement…

« Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? celui-là est l’Antechrist qui nie le Père et le Fils » (1 Jean 2:22).

« Connaissez à cette marque l’Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse que Jésus-Christ est venu en chair, est de Dieu. 3Et tout esprit qui ne confesse point que Jésus-Christ est venu en chair, n’est point de Dieu ; or tel est l’esprit de l’Antechrist… » (1 Jean 4:2-3).

Les sionistes comme Einstein nient avec emphase et de manière véhémente que Jésus fut le Fils incarné de Dieu. Ipso facto, si le Nouveau Testament de Jésus-Christ est la Parole de Dieu et ainsi la Vérité absolue elle-même, alors Einstein a été un menteur et un antichrist (et, évidemment, un candidat émérite à l’élévation au statut de superstar par celui qui a le permis temporaire d’être le dieu de ce monde, et dont la tâche et le but sont d’ériger son royaume de mensonges au-dessus du Royaume de Dieu qui est Vérité en toutes choses, même sur Satan lui-même — jusqu’à ce que son permis expire ! —, l’ennemi suprême et le « père du mensonge » [Jean 8:44]).

Il n’y a rien de « relatif » à cette affirmation. Jésus est ce qu’Il proclama être (et la Bible est vraie) ou Il était menteur et fou, et la Bible est fausse. C’est l’un ou l’autre. Et l’un ou l’autre ne peut être changé et est la Vérité. En d’autres mots, si la Bible est la Parole de Dieu et que Jésus est le Fils de Dieu, alors c’est la vérité et il n’y a rien à y changer. Espérer que ce soit la vérité, ou croire que c’est la vérité, ne la rendront pas vraie si ce n’est pas la vérité. Au contraire, si la Bible est la Parole de Dieu et que Jésus est ce que dit de Lui la Bible, il n’y a pas le moindre mensonge qui puisse altérer ce fait.

Non seulement le fait concernant Jésus ne peut-il pas être altéré, si c’est vraiment un fait, mais l’accomplissement de Son Nouveau Testament ne peut pas être celé non plus, ni Son sang. Ce Nouveau Testament dit formellement que Satan et son empire seront entièrement détruits et Satan lui-même sera chassé pour l’éternité (Apocalypse 20:10). Il dit clairement que Jésus va revenir sur les nuées pour rassembler Ses Élus (1 Thessaloniciens 4:17) ; que cette Terre sera totalement nettoyée et remplacée par une nouvelle (2 Pierre 3:10-13 ; Apocalypse 20:11, 21:1) ; et que la nouvelle Jérusalem descendra des cieux pour que les hommes demeurent avec Dieu le Père et Son Fils, pour toujours, et le trône de Dieu sera disposé exactement là où l’ancienne Terre immobile se tient sur le néant, au centre de l’univers (Apocalypse 21:2). Où Dieu le Père et le Seigneur Jésus auraient-Ils leur trône si ce n’est au Centre de l’Univers ?

Donc, quel choix est le bon ? La Bible ou tous ceux qui disent que la Bible est erronée ? Voilà l’alternative, et il n’y a pas d’autre choix à ce sujet ou tout autre sujet en la matière. Einstein façonna son choix avec un concept loufoque que l’establishment scientifique adopta avec des hosannas et imposa au reste du monde. Il est temps de « désimposer » tout ça…

L’UNIVERS DU MAÎTRE : ainsi le déclarait le magazine Times en lettres rouges à côté d’un gros dessin coloré d’un Einstein à grosse crinière (Illustration VI) qui pointait du doigt « son » univers avec son Continuum Espace-Temps, son Univers en Expansion, E=Mc2 , etc. Notons sous l’en-tête le résumé suivant :

« Dans le monde éblouissant de la relativité, le temps et l’espace ordinaires sont remplacés par des effets déconcertants en désaccord avec le bon sens. »[8]

Illustration VI

(Rappelez-vous de cette déclaration par trop vraie : « …en désaccord avec le bon sens » !).

Ce tribut particulier avait été rendu à Einstein à l’occasion du centenaire de sa date de naissance. Il s’étendait sur neuf pages. Une multitude d’autres articles de magazines, de journaux, de reportages radiophoniques ou télévisés chantèrent des hosannas à Saint Albert lors de cet anniversaire. Et, évidemment, cette attitude d’adoration ne s’est pas limitée au centenaire de la naissance d’Einstein ; elle a prévalu tout au long du 20e siècle et en ce début de 21e. En fait, il est maintenu sur un piédestal depuis 1905 et, après 1919, rappelons qu’il fut réellement érigé au rang des superstars, qu’on le louangea régulièrement dans la presse et qu’il fut recherché des présidents et des royautés autour du monde jusqu’à son décès en 1955. La statue montrée par l’Illustration V est en bronze et mesure vingt pieds de haut [6,15 m] ; elle se trouve à Washington. Selon les standards de l’honneur offert aux gens pour leurs accomplissements, Albert Einstein a dû être l’une des personnes les plus reconnues de toute l’histoire.

Juste parce qu’il a sauvé l’héliocentrisme du défi d’être étalé comme une monstrueuse fraude.

Son concept de relativisme peut se résumer par cette déclaration : « La vérité est ce que vous en faites, en tant qu’individu. » Ce concept, qui contrôle toutes les « disciplines d’apprentissage », les concepts de vie, etc., aujourd’hui, est virtuellement opposé à la Parole de Dieu qui n’est qu’absolus du début à la fin. La Vérité et le mensonge se définissent par cette Parole. Ils ne sont pas relatifs à quoi que ce soit. Mais la tâche que Satan confia à Einstein fut qu’il appert impossible, voire même stupide pour l’humanité de s’en tenir à la Bible en matière de vérités absolues sur toutes choses.

Revenons un peu en arrière et réexaminons la tournure des événements afin de mieux percevoir ce plan diabolique et son modus operandi. Car c’est un mode opératoire que l’on retrouve dans un nombre faramineux de fausses doctrines et de fausses connaissances dans tous les domaines, spécialement religieux, social et scientifique. Le procédé est subtil et rusé, mais si on lui porte attention, jamais il n’arrive à cacher entièrement la vérité.

Amplifions notre examen de l’idée que l’expérience de Michelson-Morley fit en sorte que l’establishment scientifique de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle ne savait plus où donner de la tête. Ce faisant, nous allons mieux apprécier comment la Théorie spéciale de la Relativité d’Einstein (et, plus tard, la Théorie générale de la Relativité) vinrent à la rescousse. Dans un livre intitulé Einstein, nous lisons :

« Les fâcheux résultats de l’expérience Michelson-Morley de 1887 filtrèrent dans l’ambiance scientifique des années 1880… »[9]

Une couple de pages plus loin, nous lisons ce fait primordial sur le même propos :

« Le problème auquel la science faisait face après l’expérience de Michelson-Morley était considérable. Car il ne semblait y avoir que trois choix : LE PREMIER ÉTAIT QUE LA TERRE EST IMMOBILE, CE QUI SIGNIFIAIT SABORDER TOUTE LA THÉORIE COPERNICIENNE, CE QUI S’AVÉRAIT IMPENSABLE… »[10]

La science n’est-elle pas merveilleuse ? Une expérience très sophistiquée, sans erreur commise, démontre d’abord et avant tout que la Terre est immobile. Mais cette conclusion, qui est soutenue par chacun des éléments de l’information disponible en existence, est tout simplement « impensable ». Après tout, la communauté scientifique était déjà vendue au copernicisme depuis 200 ans, en remontant jusqu’à Newton (et même cent ans auparavant, dans bien des cas). Que les expériences objectives soient couvertes ! On doit échapper à la conclusion inéluctable ! On doit l’ignorer ! En effet, il était IMPENSABLE de faire marche arrière !

Notez bien : si c’était impensable, il y a plus de cent ans — avant qu’il n’y ait d’auto ou d’avion, de télévision, d’ordinateurs, de satellites et un monde endoctriné dans l’évolutionnisme, cet autre mythe pseudo-scientifique qu’il serait aussi « impensable » de défier — que pensez-vous qu’il faudrait pour forcer l’establishment scientifique à admettre aujourd’hui, au début du 21e siècle, qu’il n’y a aucune preuve du copernicisme (ou de l’évolutionnisme) ?!

Nous croyons qu’il faudrait un « Acte de Dieu ». Heureusement, Dieu couvre précisément cette situation dans l’Apocalypse ! (Apocalypse 18:7-8). De toute manière, puisque l’évidente conclusion était impensable et devait être rejetée, le second choix fut faiblement déterré :

« Le deuxième choix était que la Terre charriait l’éther avec elle dans son passage au-travers de l’espace, une possibilité qui avait déjà été aménagée à la satisfaction de la communauté scientifique par un certain nombre d’expériences, notamment celles de l’astronome anglais James Bradley. »[11]

Il est sûr et certain que les coperniciens devaient retenir les deux idées que la Terre se déplace dans l’espace à une grande vitesse et que « l’enveloppe » atmosphérique qui l’enrobe se déplaçait avec elle à la même vitesse sans être perturbée, n’est-ce pas ? Nous étudierons cela plus en profondeur plus loin. Quel était le troisième choix ? Le voici :

« La troisième solution était tout simplement que l’éther n’existait pas, ce qui, pour beaucoup de scientistes du 19e siècle, équivalait à envoyer à la casse les visions courantes concernant la lumière, l’électricité et le magnétisme, et tout recommencer. »[12]

Cette troisième solution semblait irréalisable (sauf pour Einstein qui sauta dessus comme un poulet sur un insecte). Pour le reste des scientistes, cette troisième solution était aussi impensable. Ils continuèrent à se gratter la tête, se tousser dans les mains et dire des choses du genre :

« La seule autre explication doit se trouver dans quelque particularité pervertie du monde physique que n’ont pas encore suspecté les scientistes… »[13]

Ces gars-là désespéraient… Et comment ! En 1904, le fameux scientiste français J. H. Poincaré donna un discours qui traitait de…

« …la CRISE contemporaine en physique… »[14]

Son discours…

« …fut un indicatif du malaise scientifique et de la méfiance philosophique créées, non seulement par l’expérience de Michelson-Morley, mais aussi par d’autres menées durant les deux décennies précédentes, à Cambridge et à Berlin, à Leiden et à Paris. »[15]

L’huile était jetée sur le feu pendant que le pompier volontaire se mettait au travail :

« Pendant que FitzGerald, Lorentz et Poincaré essayaient de rescaper la physique du cul-de-sac dans lequel elle semblait avoir été conduite par l’expérience de Michelson-Morley, Einstein s’émerveillait (…) des implications révolutionnaires de la théorie électromagnétique de Maxwell fondée sur les champs continus. »[16]

On pourrait donner d’autres exemples, mais le fait que l’expérience de Michelson-Morley (et toutes les autres !) donnait l’épouvante aux départements de physique de l’establishment scientifique tout autour du monde, au tournant du 20e siècle, est assez clair, je crois.

Tout aussi douloureusement clair le fait que les conclusions incontestables d’une Terre immobile n’allaient même pas être prises en considération par le leadership scientifique de l’époque. Au lieu de cela, toute porte de sortie, si perverse, illogique et tout bonnement folle soit-elle, faisait l’objet de leurs recherches les plus frénétiques durant les années précédant 1905.

Mais vous parlez d’un bon synchronisme ! Voilà qu’Albert Einstein, un inconnu juif-allemand transplanté, sioniste, travaillant dans un obscur bureau de brevets à Berne, en Suisse, vit son article, De l’électromagnétique du mouvement des corps, publié dans un journal scientifique allemand. Les idées de son papier furent bientôt reconnues comme La théorie spéciale de la relativité d’Einstein.

Des multiples douzaines de commentaires factuels qui ont été rédigés à propos de cette publication vraiment capitale, le plus remarquable en relation au sujet traité ici est tout simplement celui-ci : « La théorie spéciale de la relativité d’Einstein ne prouva d’aucune manière, et en aucune forme, que la Terre se déplace. » Tel que déjà mentionné, ce qu’elle a fait, c’est d’enlever l’hameçon (l’expérience de Michelson-Morley) pris dans la bouche de l’establishment scientifique et, en prime, fournir apparemment une manière d’échapper à tout jamais au spectre de la peur d’être attrapé par tout futur hameçon géocentrique que ce soit. Enfin libres ! Merci à Albert, nous sommes enfin libres ! Ainsi chantait le chœur de l’establishment d’une seule voix remplie de trémolos.

Peu importe si…

« …sous un examen logique et minutieux, la Théorie Spéciale de la Relativité ne s’avère rien de plus qu’une bancale hypothèse pauvrement soutenue. Car, si l’on ne peut trouver de champs de glace au Sahara, cette observation ne peut prouver qu’il n’y a de champs de glace nulle part. Si, ici sur Terre, la vélocité de la lumière est la même pour tous les observateurs, ce fait ne confirme pourtant pas que c’est (…) tout aussi valide pour des observateurs sur la lune dont le mouvement est relatif à nous… »[17]

Peu importe si…

« …personne n’a jamais prouvé que la Terre tourne et, delà, demeure la possibilité que le phénomène de notre déplacement dans l’espace, qu’Einstein considère comme étant “déjà prouvé”, ne puisse pas exister, après tout… »[18]

Peu importe si Einstein a tout simplement aboli, avec des « expérimentations mentales » et des « mathématiques » (jamais avec de réelles preuves), les absolus qui lui barraient le chemin et leur substitua ses propres absolus qui (comme vu ci-haut et ailleurs) ne sont supportés par aucune preuve ni logique. Par conséquent :

« Dans le nouveau monde relativiste d’Einstein, le temps et l’espace sont tous deux également inconstants et dépendent du mouvement relatif des observateurs. Le seul absolu qui reste, c’est la vitesse de la lumière. »[19]

N’est-ce pas mignon ? L’unique vérité absolue qui reste dans tout l’univers, c’est la seule dont Saint Albert a besoin pour détruire toutes les autres !

Peu importe si…

« …le Dieu d’Einstein n’était pas le même Dieu que la plupart des autres hommes… »[20]

Ou que ses croyances…

« …ressemblaient à une variété d’agnosticisme simple… »[21]

Ou qu’il était…

« …un homme qui ne croyait pas à une vie après la mort… »[22]

Peu importe que de telles croyances nient, non seulement sa propre religion juive, mais toutes les autres religions, incluant tout spécialement le christianisme. Et, ce faisant, peu importe si cela en fit un ennemi implacable de la Bible et ce qu’elle dit au sujet du mouvement des corps célestes, ainsi que de l’origine et de la nature de l’univers.

Peu importe tout cela, en ce qui a trait à la Théorie Spéciale de la Relativité, pourvu qu’elle sauve la face. Et dire que c’est ce genre d’homme qui s’est présenté pour nous expliquer l’univers — sans Créateur ! Et que le monde entier s’est aplati d’adoration pour ses équations frauduleuses ! Continuons maintenant avec la merveilleuse bombe de totale abstraction, sans fondement scientifique, indescriptible de bouffonnerie einsteinienne, de 1915-1916, c’est-à-dire, la Théorie Générale de la Relativité.

Laissez-moi vous dire une bonne chose. Cette farce monumentale fut loin de donner le coup de grâce à la capacité que Dieu a donnée à l’humanité de pouvoir réfléchir et raisonner de façon logique et de persister à croire que les faits connus ont préséance sur les hypothèses non-vérifiées qui les contredisent. Cette manière de penser relativiste lancée par Einstein préparait le chemin pour le remplacement de la raison et la glorification de la déraison, la préférence de mensonges évidents au lieu de vérités évidentes, et l’exaltation du mal à la place du bien. (Ooooh, il bique zelui-lâ, n’ez-pâs ? Le Pien, le Mal… ! Mon kars, ne zavez-fous pâs geuh dou est reladive, gu’il n’y a blus t’apzolus ???)

Peu importe également que la Théorie Spéciale de la Relativité fut doucement écartée quelques onze ans plus tard pour faire place à la Théorie Générale. Et peu importe si la nouvelle théorie…

« …s’avérait difficile, ses mathématiques n’étant déchiffrables que par une petite poignée de prêtres scientifiques. »[23]

Interrogé à savoir s’il était vrai que trois personnes seulement comprenaient le sujet, (le scientiste) Eddington riposta en farce :

« Je réfléchis à savoir qui pourrait bien être la troisième personne. »[24]

(« Prêtres-scientistes » ou « sacerdoce scientifique » sont, en passant, d’excellents choix de mots pour désigner ceux qui ont fait de la science abstraite le dieu des 20e et 21e siècles !)

Peu importe que la nouvelle Théorie Générale poussa le scientiste Max Born à dire :

« Elle [la Théorie Générale] me charme comme une grande œuvre d’art qui demande à ce qu’on en jouisse et qu’on l’admire à distance. »[25]

La science sous forme d’art ! Lorsque vous réfléchissez aux millions de vies que ce genre de perversion de science a séduites, c’est à vous faire vomir ! Et, dans la même veine, il est doublement à noter qu’Einstein lui-même a dit :

« Lorsque je m’examine, ainsi que mes méthodes de penser, j’en viens à la conclusion que le don de la fantaisie a davantage signifié pour moi que mon talent pour l’absorption de la connaissance positive. »[26]

Arrêtons-nous un instant sur le mot « fantaisie », puisqu’il signifia davantage pour Einstein que la connaissance positive. Entendant censément être un des plus grands cerveaux, dont le QI, rapporte-t-on, dépassait les 180, on ne peut que conclure qu’Herr Doktor Albert savait que « fantaisie » équivalait à « illusion, fantasmagorie, idée fausse, truc, paradis des fous, auto-séduction, hallucination, fausse lumière, imagination, objet sans substance, air ténu, moquerie », etc.. Je soumets à votre jugement que ces mots et expressions — de l’admission même d’Einstein — sont précisément ce sur quoi est érigée la relativité einsteinienne, ce que l’on a poussé le monde à croire concernant la Terre, le système « solaire » et le reste de l’univers.

« Illusion, lumière fausse, moquerie sans substance » de la Vérité… Voilà de parfaites descriptions du concept de la Relativité, qu’elle soit appliquée au mouvement des corps célestes ou aux styles de vie. En utilisant son propre choix de mots pour ce qu’ils signifiaient le mieux pour lui, Albert Einstein a été le plus fameux apôtre et conducteur de cette très adroite fausse lumière générée par le Maître des Fausses Lumières, vous savez qui…

Vérités et mensonges. Dans cette simple dichotomie repose le principe fondamental par lequel Dieu soupèse et mesure tout le comportement humain. Comme notre Adversaire, le Diable, fut habile à persuader l’humanité du 20e siècle que l’exact opposé était la vérité, que la seule vérité absolue est qu’il n’y a pas de Vérité absolue (exceptées la nécessaire Terre qui tourne d’Einstein et la vitesse de la lumière, évidemment) !

Mais, comme on peut s’y attendre, si Einstein n’avait pas servi de véhicule à ce crime presque parfait destiné à mettre fin à toute croyance et à toute recherche de la Vérité absolue de Dieu livrée une fois pour toute dans Sa Parole, le Diable aurait trouvé quelqu’un d’autre. Après tout, il y avait d’autres scientistes, comme nous l’avons vu, qui nageaient de toutes leurs forces contre le courant créé par l’expérience de Michelson-Morley, un courant qui menaçait de jeter tout leur établissement dans la chute et de les écraser contre les rochers du géocentrisme.

Comme nous l’avons démontré, qu’Einstein ait essentiellement plagié ses idées principales de Riemann, Minkowski, FitzGerald, Lorentz, Poincaré, Larmor, Clifford, Planck et d’autres, ou que, comme l’a dit le professeur en physique Holton de l’Université d’Harvard…

« L’on a montré que l’œuvre d’Einstein (…) fut plus indépendante des autres travaux contemporain (…) que ce qui a été proposé récemment… »[27]

…le point demeure le même. Le point, c’est que la semence d’une séduction de la « relativité » conçue surnaturellement fut semée dans l’esprit de divers hommes au bon moment et à la bonne place. Albert Einstein fut simplement la meilleure plante que cette semence produisit pour le grand travail satanique mis de l’avant : essayer d’évincer pour toujours la croyance en une Vérité absolue.

Donc, si Einstein n’eût pas été disponible — s’il n’était pas né, s’il était mort-né, s’il était tombé d’un escalier au bureau des brevets et avait claqué — quelqu’un d’autre aurait sauvé l’establishment de « l’impensable » réalité du géocentrisme renforcé par l’expérience de Michelson-Morley.

Mais Einstein fut disponible ! De plus, il prouva avoir été parfaitement choisi pour le premier rôle qu’il eut à jouer. Avec sa grosse tignasse de cheveux ébouriffés, sa pipe vissée entre les dents, ses vêtements amples, en bicyclette ici, en bateau là, il se présenta comme une sorte de plaisant vieil oncle juif inoffensif qui aurait pu tenir un bureau de prêt sur gage au coin de la rue. Les rapports disant qu’il ne parla pas avant l’âge de trois ans, qu’il rata l’examen d’entrée à l’Institut de Technologie de Zurich, qu’il oubliait d’encaisser ses chèques lorsqu’il était professeur à l’Université de Princeton, etc., ne firent qu’humaniser Albert-le-cerveau quand le monde vint à le connaître, et en firent une personne vaguement aimable, sinon réellement adorable. Qui aurait pu soupçonner cet homme de jouer un rôle principal dans le scénario satanique des derniers jours ?! Ridicule…

Même la juiverie d’Einstein travailla pour lui au lieu de lui être défavorable dans la plupart des cas. Carrément pacifiste dans l’Allemagne de la Première Grande Guerre, on s’y rappela « amèrement de lui » et…

« …sa “physique juive” devint l’objet d’injurieuses et croissantes dénonciations. Ses compagnons scientistes allemands lui tournèrent le dos et, après qu’Hitler eut pris possession du pouvoir, en 1933, Einstein, qui était à l’étranger à l’époque, ne retourna jamais en Allemagne… »[28]

En dedans et en dehors de l’Allemagne, Einstein demeura, comme nous l’avons déjà mentionné, un ardent sioniste tout au long de son existence et, à la fin de sa vie, David Ben Gurion lui offrit la présidence d’Israël.

À quel degré la juiverie d’Einstein et ses philosophies, politique et économique, influencèrent-elles sa fantaisie à propos de l’univers, je laisse à d’autres le soin de spéculer là-dessus. Qu’il suffise de dire, pour le bien de notre propos, que son agnosticisme et ses philosophies, non seulement l’empêchèrent de donner tout crédit à la Bible en tant que source de révélation de la Vérité au sujet du mouvement, de la nature et de l’âge de l’univers, mais ils en firent l’un (sinon le pire !) des adversaires les plus destructeurs de la Parole de Dieu qui ait vécu. Si la Bible est la Vérité de Dieu sur tous les sujets livrés surnaturellement à l’humanité, alors l’obscurcissement de cette Vérité est le legs d’Einstein et sa plus fameuse « contribution » au monde.

Einstein fit souvent ce commentaire :

« Pour le restant de ma vie, je veux réfléchir sur ce qu’est la lumière. »[29]

Il débuta avec ses « vérités absolues », i.e., 1) la Terre et tout dans l’univers est en mouvement, et 2) la vitesse de la lumière est constante dans tout l’univers. Ces « vérités » en place, nous pouvions tous être endoctrinés à croire au Big Bang du début de l’univers, quelques 20 milliards d’années auparavant parce qu’il fallait tout ce temps à la lumière pour nous atteindre à partir des étoiles du fin fond des galaxies. Et cetera, et cetera.

Mais ce n’est pas nécessairement ainsi que ça se passe. Le géocentriste Walter van der Kamp note un exemple parmi tant d’autres qui ressortent d’autorités grandement qualifiées disant qu’Einstein ne faisait que du vent :

« Alan Guth, professeur en astrophysique à l’Institut de Technologie du Massachusetts, dit que l’univers ne se répandit pas à sa dimension et à sa structure d’étoiles et de galaxie actuelles en dix ou vingt milliards d’années, tel qu’affirmé précédemment de manière quasi dogmatique. Guth dit “Le processus entier dura moins d’une seconde”. »[30]

Cela ressemble plutôt à la création instantanée de la Genèse, non ? Cette étonnante conclusion provenant d’une éminente autorité hautement qualifiée semble donc s’accorder avec un autre Astrophysicien jouissant d’un crédit absolument impeccable et Qui avait ceci à dire au sujet de la lumière (dont le sujet tracassait tant Einstein) :

« Et Dieu dit : Que la lumière soit ; et la lumière fut » (Genèse 1:3).

En conclusion, il faut croire qu’Einstein prouva, grâce à sa théorie de la Relativité, que les gens peuvent croire à n’importe quoi — aussi idiot et bizarre cela puisse-t-il être — s’ils sont assez « intelligents » pour ignorer ce que dit la Bible.

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[1] Encyclopédie Grolier, Relativité, (La Société Grolier Québec Ltée, 1952), Tome 9, p. 136.

[2] Ibidem.

[3] N. M. Gwynne, Einstein et la physique moderne, (Bibliothèque catholique britannique, Londres, pas de date), p. 36.

[4] Ibidem, p. 37.

[5] Ibidem, p. 40.

[6] Ronald W. Clark, Einstein : sa vie et son époque, World Publishing Cie, N. Y & Cleveland, 1971), p. 220.

[7] Ibidem, p. 87.

[8] Article principal, L’année du Dr Einstein, Time du 19 février 1979, p. 68

[9] Clark, Einstein, p. 78.

[10] Ibidem, p. 80.

[11] Clark, Einstein, p. 80

[12] Ibidem.

[13] Ibidem.

[14] Ibidem, p. 83.

[15] Ibidem.

[16] Ibidem.

[17] Van der Kamp, De labore solis, pp. 5, 6.

[18] Ibidem, p. 6.

[19] Time, Einstein, p. 73.

[20] Clark, Einstein, p. 19.

[21] Ibidem.

[22] Ibidem.

[23] Time, 19 février 1979, p. 76.

[24] Ibidem.

[25] Clark, Einstein, p. 200.

[26] Ibidem, p. 87.

[27] Gerald Holton, prof., Des origines de la Théorie Spéciale de la Relativité, Journal de physique américain, Vol. 28, 1969, p. 627.

[28] Time, 19 février 1979, p. 76.

[29] Clark, Einstein, p. 200.

[30] Van der Kamp, De labore solis, p. 113.