D.303 – Le travail honoré

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travail

Par Joseph Sakala

Dans 1 Thessaloniciens 4:9-12, voici ce que Paul déclare au sujet de l’amour fraternel : « Pour ce qui concerne l’amour fraternel, vous n’avez pas besoin qu’on vous en écrive ; car vous-mêmes vous avez appris de Dieu à vous aimer les uns les autres ; et c’est aussi ce que vous faites à l’égard de tous les frères qui sont dans toute la Macédoine ; mais nous vous exhortons, frères, à y exceller de plus en plus, et à vous étudier à vivre paisiblement, à vous occuper de vos propres affaires, et à travailler de vos propres mains, comme nous vous l’avons recommandé ; afin que vous vous conduisiez honnêtement envers ceux de dehors, et que vous n’ayez besoin de rien. »

Le jour de la fête du travail, nous avons la tradition d’honorer les travailleurs du pays. Les cols bleus, les employés de bureau, les employés de restaurants, les machinistes, les mécaniciens, les enseignants scolaires, les manœuvres et tous les autres métiers et professions qui sont responsables de la bonne marche de notre économie et qui méritent bien d’être honorés. La Bible encourage le travail avec des exemples comme celui de Paul aux Éphésiens, lorsqu’il leur dit : « Et ne donnez point accès au diable. Que celui qui dérobait ne dérobe plus ; mais qu’il travaille plutôt de ses mains à quelque chose de bon, afin qu’il ait de quoi donner à celui qui est dans le besoin » (Éphésiens 4:27-28).

Plusieurs verbes utilisés dans le passage biblique du début sont significatifs, comme « exceller » « étudier » « s’occuper » et « travailler », car toutes ces activités nous conduisent à agir honnêtement envers ceux du dehors. Ces mots impliquent une habitude et un style de vie. Nous sommes donc exhortés à développer un esprit de travail et non de paresse, nous attendant à recevoir des autres ce que nous devrions accomplir nous-mêmes. Le fait d’agir honnêtement envers ceux du dehors implique nécessairement une bonne façon de marcher dans notre cheminement vers le Royaume. Il est fort possible que Paul se citait en exemple pour encourager les disciples de Jésus.

Dans 1 Thessaloniciens 2:9-12, Paul leur affirme : « Car vous vous souvenez, frères, de notre travail et de notre peine. C’est en travaillant nuit et jour, pour n’être à charge à aucun de vous, que nous vous avons prêché l’Évangile de Dieu. Vous êtes témoins, et Dieu aussi, combien notre conduite, envers vous qui croyez, a été sainte et juste, et irréprochable. Et vous savez que nous avons été pour chacun de vous, comme un père pour ses enfants ; vous exhortant, vous encourageant et vous conjurant de vous conduire d’une manière digne de Dieu, qui vous appelle à son royaume et à sa gloire. » Paul les exhorte à travailler d’une manière digne de Dieu. Car celui qui refuse de travailler devient un fardeau pour la société, exhibant ainsi un manque d’amour fraternel dans la communauté de Christ.

Il n’est pas question ici de ceux qui sont malades ou atteints de toutes sortes de problèmes qui les empêchent de travailler. Paul parle des paresseux qui ne veulent pas travailler et qui, au lieu de contribuer au bien-être du groupe, sapent volontairement les ressources qui devaient venir en aide aux plus infortunés. Les travailleurs sont honorés par Dieu dans les Écritures et le travail aussi. Puisque les Écritures mettent beaucoup d’emphase sur le travail physique, ne serait-il pas encore plus important d’en mettre davantage sur le travail spirituel de ceux qui doivent préparer l’humanité au Royaume de Dieu que Jésus viendra établir bientôt ?

Il est vraiment consolant qu’il existe encore des organisations religieuses qui prêchent la bonne nouvelle du Royaume sans vous quêter ouvertement pour leur prédication. Il semble que la mission principale de plusieurs groupes de prédication télévisée soit de mettre plus d’emphase sur les dons d’argent que sur l’évangile qu’ils prêchent. Leur message s’étend souvent en longueur sur les offrandes et s’avère à court sur le contenu spirituel. Que ce soit un appel à nourrir les enfants pauvres du monde, ou à fournir de l’eau potable à un pays du tiers monde, ou encore à bâtir un édifice adéquat pour distribuer leur évangile, la pression pour les supporter financièrement est incessante.

Il n’y a aucun doute que les enfants pauvres du monde qui crèvent de faim ont besoin de nourriture. Là n’est pas la question ! Le problème se situe au niveau de la distribution du montant d’argent recueilli et envoyé dans le pays et qui devait servir à nourrir ces pauvres qui meurent chaque jour le ventre gonflé par la faim, alors qu’on apprend trop tard que 90 % des dons envoyés servent à nourrir le palais du dictateur et à entretenir son armée qui est très bien nourrie pour défendre leur seigneur. Et la grande propagande télévisée ne montre que le 10 % distribué sous forme de verres de lait et un peu de gruau à ceux qui crèvent de faim.

Il n’y a aucun doute qu’il existe des gens qui souffrent, jeunes et âgés, à plusieurs endroits sur la terre. Des documentaires télévisés bien montés sont savamment étalés et nous crèvent le cœur dans le but de soutirer des sommes énormes aux spectateurs. Une partie est sûrement dirigée vers ceux qui sont en difficulté, mais trop souvent nous découvrons plus tard que la grande partie du montant recueilli se ramasse dans les poches des personnes qui organisent ces levées de fonds. Et lorsque la fraude est découverte, trop tard, l’argent est disparu dans les propriétés opulentes de ces fraudeurs au style de vie extravagant. Dans chaque décennie, ce pattern est découvert ad nauseam par les enquêtes répétées.

Les besoins des pauvres sont importants et devraient être abordés par tous les moyens possibles. Pourtant, quand il s’agit de prêcher la Parole de Dieu, nous découvrons un modèle différent préconisé par Jésus qui, en référence à la proclamation de Son Évangile, a dit, dans Matthieu 10:7-11 : « Et quand vous serez partis, prêchez, et dites : Le royaume des cieux approche. Guérissez les malades, nettoyez les lépreux, ressuscitez les morts, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. Ne prenez ni or, ni argent, ni monnaie dans vos ceintures ; ni sac pour le voyage, ni deux habits, ni souliers, ni bâton ; car l’ouvrier est digne de sa nourriture. Et dans quelque ville ou bourgade que vous entriez, informez-vous qui y est digne ; et demeurez chez lui jusqu’à ce que vous partiez. »

Ce qui arrive, de nos jours, c’est que le message du Messie est ignoré et ceux qui prétendent être Ses ministres mettent leur interprétation et leur version personnelle de l’Évangile sur les ondes et sur Internet. Souvent, ces prédicateurs peuvent être sincères, mais ceci ne veut pas dire qu’ils sont bibliquement véridiques dans leurs messages. Jésus nous a clairement prévenus, dans Marc 13:6, disant : « Car plusieurs viendront en mon nom, et diront : Je suis le Christ ; et ils en séduiront plusieurs. » Ah oui ! Ils diront que Jésus est le Christ, mais, malgré cela, ils en séduiront plusieurs en tordant les paroles de Christ à leur avantage. Notez bien ce que le verset dit, car il y a un autre sens que les faux christs utilisent. Ils viennent en Son nom, mais disent : Je suis le Christ ! J’en ai vu qui l’ont fait et qui le font encore, et vivent dans une grande opulence financée par leurs brebis séduites grâce à leur charisme.

L’apôtre Paul a vraiment frappé dans le mille quand il a déclaré ceci aux Corinthiens : « Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme beaucoup le font ; mais nous parlons avec sincérité, comme de la part de Dieu, devant Dieu, en Christ » (2 Corinthiens 2:17). Dans l’Évangile de Jean, alors que Jésus avait nettoyé le Temple en chassant les vendeurs de pigeons, nous découvrons ces paroles, dans Jean 2:16 : « Ôtez cela d’ici, et ne faites pas de la maison de mon Père une maison de marché. » Dans le livre des Proverbes, nous découvrons cette exhortation : « Achète la vérité, et ne la vends point ; achète la sagesse, l’instruction et la prudence » (Proverbes 23:23). Dieu ne pouvait pas être plus clair dans cette instruction.

Et pourtant, que voyons-nous ? La religion est devenue présentement un immense commerce avec beaucoup à vendre et beaucoup de profit au bout de chaque année. Pendant ce temps, le véritable message de Jésus-Christ, du livre de la Genèse jusqu’à l’Apocalypse, est négligé et mal compris. Toutefois, Dieu a pourvu un oasis où la vérité sur le Royaume est prêchée. C’est le même message que Jésus a prêché et qu’Il a instruit Ses disciples à prêcher dans le monde entier. Et Ses vrais serviteurs le distribuent gratuitement, tel que commandé par Christ Lui-même. Pourtant, cette information n’a pas de prix au sens figuratif, car le message concerne le salut qui est lui-même offert gratuitement. Ce message n’est pas mondialement accepté, ni cru, mais il est là pour ceux qui ont des yeux pour le voir et des oreilles pour l’entendre, mais surtout pour ceux qui ont le cœur disposé à mettre cette instruction de Christ en pratique dans leur vie.

Son instruction peut être testée et prouvée par les Écritures comme des Paroles de vie. Dans 1 Corinthiens 3:9-11, Paul a déclaré : « Car nous sommes ouvriers avec Dieu ; vous êtes le champ de Dieu, l’édifice de Dieu. Selon la grâce de Dieu qui m’a été donnée, j’ai posé le fondement, comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus ; mais que chacun prenne garde comment il bâtit dessus. Car personne ne peut poser d’autre fondement que celui qui a été posé, lequel est Jésus-Christ. » Il est évident que ceux qui proclament la Parole de Dieu doivent manger et se vêtir, et Jésus Lui-même a déclaré que l’ouvrier est digne de son salaire. Combien plus celui que Jésus choisit pour faire ce travail. Mais Jésus n’a jamais laissé mourir de faim un de Ses serviteurs. Paul avait déclaré qu’il était ouvrier avec Dieu, selon la grâce de Dieu qui lui avait été donnée, et Paul n’a jamais quêté sa nourriture. Ceux qui l’écoutaient étaient heureux de le nourrir et de le loger là où il évangélisait.

Donner aux pauvres et aux démunis en secret est un principe biblique très apprécié par Dieu, car Dieu est le plus grand donneur de l’univers. Mais celui qui donne doit le faire volontairement et de bon cœur, sans remords ni reproche. Nous voyons ce principe en action dans l’Ancien Testament, dans Ruth 2:15-18 : « Puis elle [Ruth] se leva pour glaner. Et Booz donna cet ordre à ses serviteurs : Qu’elle glane même entre les gerbes, et ne lui faites point de honte ; et même, vous tirerez pour elle des gerbes quelques épis que vous lui laisserez glaner, et vous ne la gronderez point. Elle glana donc dans le champ jusqu’au soir ; et elle battit ce qu’elle avait recueilli, et il y en eut environ un épha d’orge. Et elle l’emporta, et rentra à la ville ; et sa belle-mère vit ce qu’elle avait glané. Elle sortit aussi ce qu’elle avait gardé de reste, après avoir été rassasiée, et elle le lui donna. »

Nous voyons dans ce passage biblique une instruction spéciale de Booz à ses serviteurs concernant Ruth, après qu’elle eut demandé de glaner dans son champs d’orge. Non seulement Booz lui permit de glaner, mais il commanda à ses serviteurs de laisser tomber quelques gerbes par exprès afin de rendre sa tache plus facile. Cela fut conçu délibérément comme un cadeau de la part de Booz, mais Ruth ne devait pas le savoir, ce qui lui donna l’impression qu’elle glana tout d’elle-même. Booz devenait alors, par Ruth son épouse, comme Jésus-Christ donnant gracieusement le pain de vie à Sa future épouse. En ceci, Booz devenait un type de Christ et Ruth un type de convertie destinée à faire union avec Lui.

Mais les gerbes aussi représentaient la Parole de Dieu, laquelle nous pouvons quotidiennement glaner comme de la nourriture pour nos âmes. Notre Dieu S’est fait un plaisir de nous laisser plusieurs Écritures que nous pouvons ramasser dans nos recherches de la Vérité. Donc, tout comme David, dans Psaume 119:162, nous pouvons également dire : « Je me réjouis de ta parole, comme celui qui trouve un grand butin. »

En parlant des impies, l’apôtre Jude déclare : « C’est sur eux qu’Énoch, le septième homme depuis Adam, a prophétisé, en disant : Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades pour exercer un jugement contre tous, et convaincre tous les impies, de toutes les œuvres d’impiété qu’ils ont commises, et de toutes les choses injurieuses que les pécheurs impies ont proférées contre lui » (Jude 1:14-15). Saviez-vous qu’il y a deux Énoch (ou Hénoc) mentionnés dans la Bible ? Le premier, fils de Caïn, se trouve dans Genèse 4:17, où nous lisons : « Puis Caïn connut sa femme, qui conçut et enfanta Hénoc ; or il construisit une ville, qu’il appela Hénoc, du nom de son fils. »

L’autre est celui de la septième génération, descendant d’Adam par son fils Seth. Nous le découvrons dans Genèse 5:22-23, où il est écrit : « Et Hénoc marcha avec Dieu, après qu’il eut engendré Méthushélah, trois cents ans ; et il engendra des fils et des filles. Tout le temps qu’Hénoc vécut, fut donc de trois cent soixante-cinq ans. » Jude est très clair en ce que c’est bien le septième homme depuis Adam. Luc fait également référence à cet homme dans sa généalogie de Jésus qui était descendant de : « Hénoch, de Jared, de Malaléel, de Caïnan, d’Énos, de Seth, d’Adam, fils de Dieu, » dans Luc 3:37-38. Donc, Hénoch doit demeurer très important dans notre souvenir. Hénoch était le père de Méthushélah (Mathusalem), qui fut le grand-père de Noé.

Malgré que la Bible n’en fait aucune mention, plusieurs dénominations religieuses font appel au livre d’Hénoch pour citer, entre autre, les jours du grand déluge qui détruisit toute vie sur la terre sauf ceux qui étaient en sécurité dans l’arche. Cependant, ce livre est un document apocryphe et ne fait pas partie du Texte Reçu de la Bible. Le Déluge, en passant, est très bien décrit dans la Genèse de la Bible. Le fait le plus étonnant au sujet d’Hénoch, dans la Genèse, c’est que : « Hénoc marcha donc avec Dieu, puis il disparut, car Dieu le prit » (Genèse 5:24). Dans Hébreux 11:5, nous lisons que : « Par la foi, Hénoc fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et on ne le trouva plus, parce que Dieu l’avait enlevé ; car avant qu’il fût enlevé, il avait obtenu le témoignage d’avoir été agréable à Dieu. »

Bon nombre d’églises ont conclu par ce verset qu’Hénoc fut enlevé au ciel parce qu’il avait obtenu le témoignage d’avoir été agréable à Dieu. Pourtant, ce n’est pas du tout ce que ce verset dit. La référence de Jude expliquait qu’Hénoc marchait avec Dieu et se comportait d’une manière qui plaisait à Dieu, alors que l’humanité entière était devenue méchante. Ainsi : « l’Éternel vit que la malice de l’homme était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que mauvaise en tout temps » (Genèse 6:5). Pendant ce temps, Hénoc prêchait l’avènement futur de Jésus, en disant : « Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades pour exercer un jugement contre tous, et convaincre tous les impies, de toutes les œuvres d’impiété qu’ils ont commises, et de toutes les choses injurieuses que les pécheurs impies ont proférées contre lui » (Jude 1:15).

Il est alors tout à fait normal que les gens méchants à qui Hénoc prophétisait ces choses aient voulu le tuer. Donc, parce qu’Hénoc marcha avec Dieu, il disparut, car Dieu le prit. Et parce que cet homme de Dieu avait beaucoup de foi : « Par la foi, Hénoc fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et on ne le trouva plus, parce que Dieu l’avait enlevé ; car avant qu’il fût enlevé, il avait obtenu le témoignage d’avoir été agréable à Dieu » (Hébreux 11:5). Dieu l’avait enlevé des griffes de tous ces méchants qui voulaient le tuer, il fut enlevé pour qu’il ne vît point la mort, et on ne le trouva plus, parce que Dieu l’avait enlevé. Mais est-ce qu’il est monté au ciel, où il vit encore présentement dans l’immortalité ? Désolé, mais Jésus, qui était descendu du ciel pour nous apporter le salut, a déclaré ceci, dans Jean 3:13 : « Or personne n’est monté au ciel, que celui qui est descendu du ciel, savoir, le Fils de l’homme qui est dans le ciel. »

Si Hénoc était au ciel, Jésus l’aurait sûrement vu et n’aurait pas pu faire Sa déclaration. Même si Hénoc avait beaucoup de foi et que Dieu l’eût enlevé pour qu’il ne vît point la mort, a-t-il reçu l’immortalité avant les autres Élus qui doivent attendre au retour de Jésus ? Regardons ce que Paul déclare à Timothée au sujet de Jésus, le bienheureux et seul Souverain, le Roi des rois, et le Seigneur des seigneurs. Dans 1 Timothée 6:16, Paul dit que c’est Lui : « Qui seul possède l’immortalité, qui habite une lumière inaccessible, et que nul homme n’a vu, ni ne peut voir ; à qui soient l’honneur et la puissance éternelle ! Amen. » Alors, si Hénoc n’est pas au ciel et ne possède pas l’immortalité, où est-il depuis son enlèvement ?

Le chapitre 11 du livre aux Hébreux nous parle de futurs Élus qui, par la foi, ont reçu de beaux témoignages de Dieu. Parmi eux nous voyons Abel (v. 4), Hénoc (v. 5), Noé (v. 7), Abraham (v. 8), et Sara (v. 9). Où sont-ils tous ?

Hébreux 11:13 nous dévoile que : « Tous ceux-là sont morts dans la foi, sans avoir reçu les choses promises, mais les ayant vues de loin, crues, et embrassées, et ayant fait profession d’être étrangers et voyageurs sur la terre. » Donc, tous attendent la résurrection, incluant Hénoc. Par contre, la prédication d’Hénoc fut soulignée par Jude.

Imaginez un seul instant Hénoc qui vivait dans un monde tellement méchant que cet homme, sous l’inspiration directe du Saint-Esprit, a prédit le second avènement de Jésus ! C’est vraiment remarquable, car Hénoc l’a fait avant que la Bible ait existé, avant la destruction de l’humanité méchante par le Déluge, avant la promesse faite à Abraham qu’il aurait une descendance. Sans oublier les siècles de préparation par Dieu pour le Messie par la lignée et la descendance d’Abraham, Hénoc proclamait déjà que Jésus, le Messie, reviendrait une deuxième fois. Hénoc n’est pas au ciel, mais son travail fut honoré durant tous ces siècles.