D.307 – Les exploits du Seigneur

 

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Joseph Sakala

Dans Psaumes 103:6-7, nous lisons : « L’Éternel fait justice et droit à tous ceux qui sont opprimés. Il a fait connaître ses voies à Moïse, et ses exploits aux enfants d’Israël. » Nous avons un privilège distinct, en tant que croyants, de connaître quelque chose des « actes » de Dieu. Les Écritures sont pleines de Ses exploits miraculeux pour Ses enfants. Il y a aussi un privilège encore plus grand, celui de méditer sur Ses « voies ». Dans ce contexte, Ses voies nous dévoilent les actes de Dieu qui reflètent Son véritable caractère et deviennent le résultat de Ses actes. Connaître toutes Ses voies n’est pas toujours possible : « Car autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies et mes pensées au-dessus de vos pensées », dit le Seigneur, dans Esaïe 55:9.

Néanmoins, nous sommes appelés à tenter de fonctionner selon Ses voies. Le peuple d’Israël, qui avait une connaissance spéciale de Ses « actes », se faisait dire : « Vous marcherez dans toute la voie que l’Éternel votre Dieu vous a prescrite, afin que vous viviez et que vous soyez heureux, et que vous prolongiez vos jours dans le pays que vous posséderez » (Deutéronome 5:33). Mais il est également écrit : « Oh ! si mon peuple voulait m’écouter, qu’Israël marchât dans mes voies ! J’eusse en un instant fait ployer leurs ennemis, j’aurais tourné ma main contre leurs adversaires, » nous dit le Seigneur, dans Psaume 81:14-15. Cependant, il y a telle voie qui semble droite à l’homme, mais dont l’issue est la voie de la mort.

Le Nouveau Testament est rempli de pareils enseignements : « Où vos pères me tentèrent et m’éprouvèrent, et où ils virent mes œuvres pendant quarante ans. C’est pourquoi je fus irrité contre cette génération, et je dis : Leur cœur s’égare toujours, et ils n’ont point connu mes voies. Aussi j’ai juré dans ma colère, qu’ils n’entreront point dans mon repos ! » (Hébreux 3:9-11). Moise fut le témoin de plusieurs œuvres magnifiques de Dieu à l’endroit d’Israël, mais il a vu au-delà, afin de discerner les voies du Seigneur et il a sûrement choisi la meilleure voie. En tant que convertis à Christ, nous avons certainement reçu la connaissance de rechercher la voie de Dieu dans notre cheminement vers Son Royaume. Alors, cherchez et vous trouverez.

Lorsque Moïse s’est informé de Son nom : « Alors Dieu dit à Moïse : JE SUIS CELUI QUI SUIS. Puis il dit : Tu diras ainsi aux enfants d’Israël : Celui qui s’appelle JE SUIS, m’a envoyé vers vous. Dieu dit encore à Moïse : Tu diras ainsi aux enfants d’Israël : L’ÉTERNEL, le Dieu de vos pères, le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob m’a envoyé vers vous. C’est là mon nom éternellement ; c’est là ma commémoration dans tous les âges » (Exode 3:14-15). Plus tard, dans son cantique de délivrance, Moïse a déclaré : « L’Éternel est un vaillant guerrier ; son nom est l’Éternel. Il a jeté dans la mer les chars de Pharaon et son armée ; et l’élite de ses combattants a été plongée dans la mer Rouge. Les flots les ont couverts ; ils sont descendus au fond des eaux, comme une pierre. Ta droite, ô Éternel, est magnifique en force. Ta droite, ô Éternel, écrase l’ennemi. Par la grandeur de ta majesté, tu renverses tes adversaires. Tu envoies ta colère, elle les consume comme le chaume » (Exode 15:3-7).

Pour ce qui est du nom de Son Fils, il est révélé de plusieurs manières dans les Écritures. Dans Esaïe 9:5, nous lisons : « Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et l’empire est mis sur son épaule : on l’appellera l’Admirable, le Conseiller, le Dieu fort, le Père d’éternité, le Prince de la paix. » Notez attentivement qu’un des Noms de l’enfant est le Père d’éternité. Quand Jésus a dit « Je suis sorti du Père », Il venait nous confirmer qu’Il était une autre manifestation du Père éternel et non une deuxième personne dans une trinité. C’est quand même remarquable qu’un « Enfant nous est donné » et qu’un de Ses Noms soit le Père d’éternité !

Lors de Son incarnation, l’ange Gabriel commanda à Joseph : « tu lui donneras le nom de JÉSUS (Sauveur) ; car c’est Lui qui sauvera son peuple de leurs péchés … Et on le nommera EMMANUEL, ce qui signifie : DIEU AVEC NOUS » (Matthieu 1:21, 23). Il existe plusieurs autres titres pour L’identifier, mais peut-être le plus significatif est celui qu’Il portera lors de Son retour triomphal, dans Apocalypse 19:13, où nous lisons : « Il était vêtu d’un manteau teint de sang, et son nom s’appelle, LA PAROLE DE DIEU. » Et dans Jean 1:1-3 : « Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu. Toutes choses ont été faites par elle, et rien de ce qui a été fait, n’a été fait sans elle, » l’identifiant comme le Créateur et le Sauveur de l’humanité.

Jésus était la Parole de Dieu. Et la Parole est nommée en premier. Il est vraiment curieux de voir le Fils nommé avant le Père dans Jean 1:1. Hasardez-vous à expliquer cela. Dans Apocalypse 19:16, nous découvrons : « Et sur son manteau, et sur sa cuisse, il portait ce nom écrit : ROI DES ROIS, et SEIGNEUR DES SEIGNEURS. » Il y a 144 références à Christ dans le Nouveau Testament : « C’est pourquoi aussi, Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné un nom qui est au-dessus de tout nom ; afin qu’au nom de Jésus, tout ce qui est dans les cieux, et sur la terre, et sous la terre, fléchisse le genou, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père » (Philippiens 2:9-11). Dans les temps bibliques, le nom d’une personne exprimait le caractère et les attributs désirés pour un enfant par ses parents. La raison de Son nom était que le nom de JÉSUS (Sauveur) voulait aussi dire, « c’est lui qui sauvera son peuple de leurs péchés. »

Il n’y a qu’un seul Sauveur, car : « il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4:12). Et Son Nom nous sauve parce que, dans Jean 1:12-13, nous découvrons : « Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il leur a donné le droit d’être faits enfants de Dieu, savoir, à ceux qui croient en son nom, qui ne sont point nés du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. » Ceux qui l’ont reçu sont dorénavant associés à Son Nom et donc, par conséquent, à Sa personne et à Son œuvre. D’abord, ils se font baptiser pour ensuite vivre leur vie d’une manière qui honore Son nom.

« Toutefois, le solide fondement de Dieu demeure, ayant ce sceau : Le Seigneur connaît ceux qui sont à lui ; et : Quiconque invoque le nom de Christ, qu’il se détourne de l’iniquité », nous dit Paul, dans 2 Timothée 2:19. Jésus nous promet des bénédictions si nous Le prions, car ce que vous demanderez au Père en Son nom, Il vous le donnera. Mais le dernier usage de Son Nom nous identifie à Lui. « Ils verront sa face, et son nom sera sur leurs fronts. Il n’y aura plus de nuit, et ils n’auront point besoin de lampe, ni de la lumière du soleil, parce que le Seigneur Dieu les éclairera ; et ils régneront aux siècles des siècles » (Apocalypse 22:4-5).

Dans 1 Pierre 4:17, le chef des apôtres nous atteste : « Car le temps vient où le jugement doit commencer par la maison de Dieu ; et s’il commence par nous, quelle sera la fin de ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de Dieu ? » Il y a un jour de jugement terrible qui attend ceux qui rejetteront Christ sans se repentir. Par contre : « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ, qui marchent, non selon la chair, mais selon l’esprit » (Romains 8:1). Tout un contraste ! Pourtant, notre texte nous indique clairement que la maison de Dieu est déjà jugée, afin de nous assurer que Dieu fait cela pour préparer ceux qui ont reçu le salut dans le but de Le servir durant l’éternité. Lorsqu’un non converti pèche, sa vie se poursuit comme avant, car les non convertis seront jugés plus tard, mais il n’en  est pas ainsi du converti.

Quand un converti pèche, il doit confesser son péché : « Car si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions point jugés », nous dit Paul, dans 1 Corinthiens 11:31. Car : « Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1:9). Quel bonheur que de marcher avec Dieu, sachant que nous sommes toujours purifiés en faisant Sa volonté. Alors, dans 1 Corinthiens 11:32, Paul nous déclare : « Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons point condamnés avec le monde. »

Le passage classique sur le châtiment du converti qui néglige de se repentir de ses péchés se trouve dans Hébreux 12:4-10 où Paul dit : « Vous n’avez pas encore résisté jusqu’au sang, en combattant contre le péché. Et vous avez oublié l’exhortation qui vous est adressée, comme à des fils : Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds point courage, lorsqu’il te reprend ; car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de ses verges tout fils qu’il reconnaît. Si vous souffrez le châtiment, Dieu se présente à vous comme à des fils ; car quel est le fils que son père ne châtie pas ? Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des bâtards, non des fils légitimes. D’ailleurs nos pères selon la chair nous ont châtiés, et nous les avons respectés : ne serons-nous pas beaucoup plus soumis au Père des esprits, pour avoir la vie ? Car nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon ; mais Dieu nous châtie pour notre avantage, afin que nous participions à sa sainteté. »

Toutefois, au verset 11, il ajoute : « Il est vrai que tout châtiment ne paraît pas sur le moment un sujet de joie, mais de tristesse ; mais ensuite il produit un fruit paisible de justice pour ceux qui ont été ainsi exercés. » Cependant, si ce châtiment de Dieu ne fait pas effet, le prochain jugement pourrait entraîner la mort spirituelle. Voilà pourquoi l’apôtre Jean nous dit : « Si quelqu’un voit son frère pécher d’un péché qui ne mène point à la mort, il priera, et Dieu lui accordera la vie de ceux qui ne commettent pas un péché qui mène à la mort. Il est un péché qui mène à la mort ; je ne dis pas de prier pour ce péché-là. Toute iniquité est péché ; mais il est un péché qui ne mène point à la mort » (1 Jean 5:16-17). « Qu’un tel homme soit livré à Satan, pour la destruction de la chair, afin que l’esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus » dit Paul, dans 1 Corinthiens 5:5.

Finalement, chaque chrétien doit veiller à son propre cheminement vers le Royaume, car en nous jugeant et confessant nos péchés nous-mêmes, nous ne serions point jugés par Dieu. « Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant en son corps, » nous dit Paul, dans 2 Corinthiens 5:10. Tout est orienté vers le bien que nous faisons envers notre prochain, et notre manière de vivre en paix avec notre entourage. « C’est pourquoi, chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-même. Ne nous jugeons donc plus les uns les autres ; mais jugez plutôt qu’il ne faut donner aucune occasion de chute, ni aucun scandale à son frère », affirme Paul, dans Romains 14:12-13.

Le fondement de notre salut est Christ et c’est sur ce fondement que chaque chrétien doit bâtir. Il est donc très important que nous utilisions les meilleurs matériaux disponibles sur ce fondement pour arriver aux meilleurs résultats. Dans 1 Corinthiens 3:12-15, Paul explique : « Que si quelqu’un bâtit sur ce fondement avec de l’or, de l’argent, des pierres précieuses, ou du bois, du foin, du chaume, l’œuvre de chacun sera manifestée ; car le jour la fera connaître, parce qu’elle sera révélée par le feu, et le feu éprouvera ce qu’est l’œuvre de chacun. Si l’œuvre que quelqu’un a bâtie subsiste, il en recevra la récompense. Si l’œuvre de quelqu’un brûle, il en fera la perte ; pour lui, il sera sauvé, mais comme au travers du feu. »

Mais il y a aussi le jugement de ceux qui ne seront pas les élus de la première résurrection. Dans Amos 4:13, le prophète nous présente Dieu ainsi : « Car voici Celui qui a formé les montagnes, et créé le vent, et qui révèle à l’homme quelle est sa pensée ; qui fait l’aube et l’obscurité, et qui marche sur les hauteurs de la terre ; son nom est l’Éternel, le Dieu des armées. » Cette extraordinaire évaluation du pouvoir de Dieu de juger fut donnée par Amos aux dix tribus du royaume nord d’Israël. Il leur avait rappelé des jugements précédents, comme  celui de Sodome et Gomorrhe, en concluant avec cet avertissement : « C’est pourquoi je te traiterai de la même manière, Israël ; et puisque je te traiterai ainsi, prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, ô Israël ! » (Amos 4:12).

Dieu leur rappelait une époque de terrible dévastation. Les grands vents de la terre, tout comme les pluies, soufflèrent sur la terre au temps du grand cataclysme. « Or, Dieu se souvint de Noé, et de tous les animaux et de tout le bétail qui étaient avec lui dans l’arche. Et Dieu fit passer un vent sur la terre, et les eaux s’arrêtèrent » (Genèse 8:1). Même les montagnes sortirent de la terre. « Tu l’avais couverte de l’abîme comme d’un vêtement ; les eaux se tenaient sur les montagnes. A ta menace, elles se retirèrent ; au bruit de ton tonnerre, elles s’enfuirent. Les montagnes s’élevèrent, les vallées s’abaissèrent au lieu que tu leur avais assigné. Tu as fixé pour les eaux une borne qu’elles ne passeront pas ; elles ne reviendront pas couvrir la terre » (Psaume 104:6-9).

Les menaces de tsunamis dévastateurs qui détruiraient de vastes étendues populeuses, selon les extrapolations de certains eschatologues se disant « chrétiens », ne vont-elles pas à l’encontre des promesses de Dieu ? C’était au temps du Déluge que les nuages ont obscurci la clarté du soleil sur l’eau de la terre, alors qu’avant : « Dieu fit l’étendue, et sépara les eaux qui sont au-dessous de l’étendue, d’avec les eaux qui sont au-dessus de l’étendue ; et cela fut ainsi » (Genèse 1:7). Mais, au temps du Déluge, les nuages se sont condensés et : « En l’an six cent de la vie de Noé, au second mois, au dix-septième jour du mois, en ce jour-là, toutes les sources du grand abîme éclatèrent, et les bondes des cieux s’ouvrirent. Et la pluie tomba sur la terre quarante jours et quarante nuits » (Genèse 7:11-12). Ce grand jugement arriva à cause du comportement des antédiluviens qui, tout comme les Israélites par la suite, abandonnèrent leur Créateur.

Suite à cette rébellion : « l’Éternel vit que la malice de l’homme était grande sur la terre, et que toute l’imagination des pensées de son cœur n’était que mauvaise en tout temps. Et l’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et il en fut affligé dans son cœur » (Genèse 6:5-6). Et pour confirmer à Israël qu’il faisait bel et bien référence au Déluge, Amos leur réaffirme que c’est : « Celui qui a fait les Pléiades et l’Orion, qui change en lumière du matin l’obscurité de la mort, et le jour en nuit ténébreuse ; celui qui appelle les eaux de la mer, et les répand sur la surface de la terre, – l’Éternel est son nom » (Amos 5:8). Le prophète les exhortait à revenir vers leur Dieu.

Il est très dangereux et insensé pour toute nation ou individu de remettre en question les décisions du véritable Dieu tout puissant de la création. Dieu a fait toutes choses, Il connaît toutes choses et Il juge toutes choses. À celui qui persiste à vouloir s’opposer à Lui, Dieu réserve le même traitement qu’à Israël au temps de leur rébellion. Puisque Dieu le traitera ainsi, alors prépare-toi à la rencontre de ton Dieu, nous dit Amos 4:12. Par contre, celui qui décide d’obéir volontairement et librement à Dieu reçoit Sa protection et toutes les bénédictions que Dieu veut bien lui accorder. C’est ce que Paul voulait faire comprendre à tous les nouveaux convertis à Christ.

Dans 2 Thessaloniciens 1:6-9, Paul déclare : « Car il est juste, devant Dieu, qu’Il rende l’affliction à ceux qui vous affligent, et le repos avec nous, à vous qui êtes affligés, lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec les anges de Sa puissance, dans un feu flamboyant, pour exercer la vengeance contre ceux qui ne connaissent point Dieu, et qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ. Ils subiront leur peine, une perdition éternelle, par la présence du Seigneur, et par sa puissance glorieuse. » Nombreux sont les critiques qui dénigrent la Bible et qui prétendent qu’il y a une faiblesse biblique. Ils insistent à dire que l’Ancien Testament constitue un dur châtiment du péché, avec un avertissement de la venue du jugement divin. Tandis que le Nouveau Testament met plutôt l’emphase sur la grâce et l’amour.

Cependant, l’Ancien Testament contient également d’abondants témoignages de l’amour et de la miséricorde de Dieu. Dans Psaume 103:2-3, le roi David dit : « Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de Ses bienfaits ! C’est Lui qui pardonne toutes tes iniquités ; qui guérit toutes tes infirmités », pour n’en citer qu’un seul ! Pareillement, les avertissements les plus frappants des prophéties sur le jugement à venir se trouvent dans le Nouveau Testament où Paul nous parle de ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ. S’ils persistent dans leur rébellion jusqu’à la fin, ils subiront également leur peine, une perdition éternelle. Jésus Lui-même a prononcé plus d’avertissements sur la destruction dans la Géhenne que tout autre de Ses ministres.

Durant le Millénium, Jésus commencera à porter des jugements sur les survivants de la Grande Tribulation. Ceux dont le comportement les mène à la conversion seront placés à Sa droite. « Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits, et allez au feu éternel, préparé au diable et à ses anges ; car j’ai eu faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’ai eu soif, et vous ne m’avez pas donné à boire ; j’étais étranger, et vous ne m’avez pas recueilli ; j’étais nu, et vous ne m’avez pas vêtu ; j’étais malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité. Ils répondront aussi : Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim, ou soif, ou être étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et que nous ne t’avons point assisté ? Et il leur répondra : Je vous dis en vérité, qu’en tant que vous n’avez pas fait ces choses à l’un de ces plus petits, vous ne me les avez pas faites à moi-même » (Matthieu 25:41-45). Il se peut que ces gens-là exécutaient ces oeuvres sur le plan physique, comme beaucoup de ministres actuels au moyen de leurs activités caritatives, mais sur le plan spirituel, ils ont laissé leurs brebis crever spirituellement de faim, ne dispensant pas la Parole de Dieu, c’est-à-dire, le Pain de Vie.

L’apôtre Jude fut pareillement inspiré de parler des impies qui n’ont aucune retenue. Car ceux-ci parlent mal de tout ce qu’ils ne connaissent pas ; et ils se corrompent en tout ce qu’ils savent naturellement. Ils sont destitués de toute raison. Malheur à eux ! Car ils ont suivi la voie de Caïn dans l’amour du gain. Ce sont des taches dans vos repas de charité, lorsqu’ils mangent avec vous, sans aucune retenue, se repaissant eux-mêmes. Ce sont des vagues furieuses de la mer, rejetant l’écume de leurs impuretés, auxquels l’obscurité des ténèbres est réservée pour l’éternité. C’est sur eux qu’Énoch, le septième homme depuis Adam, a prophétisé d’avance, en disant : « Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades pour exercer un jugement contre tous, et convaincre tous les impies, de toutes les œuvres d’impiété qu’ils ont commises, et de toutes les choses injurieuses que les pécheurs impies ont proférées contre lui » (Jude 1:15).

N’oublions surtout pas le dernier livre du Nouveau Testament, où Jean témoigne de l’énorme amour de Dieu pour toute Sa création, en mettant également l’emphase sur le jugement des impies en rébellion contre Lui. Le summum de Ses avertissements est dévoilé dans Apocalypse 20:15, où Jésus déclare en toute simplicité : « Et quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie, fut jeté dans l’étang de feu. » La grâce de Dieu et Son pardon sont disponibles gratuitement à ceux qui reçoivent le Christ avec un cœur sincère, mais le jugement sera aussi certain pour ceux qui refuseront jusqu’à la toute fin. Revenons à Jude 1:15 où nous lisons : « Voici, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades pour exercer un jugement contre tous, et convaincre tous les impies, de toutes les œuvres d’impiété qu’ils ont commises, et de toutes les choses injurieuses que les pécheurs impies ont proférées contre lui. »

Jude fait référence à la prédication d’Hénoc, bien avant le Grand Déluge, annonçant déjà le second avènement de Jésus pour juger tous les impies de toutes les œuvres d’impiété qu’ils ont commises et de toutes les choses injurieuses que les pécheurs impies ont proférées contre Lui tout au long des siècles. « Et la cause de cette condamnation, c’est que la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient reprises » (Jean 3:19-20).

Du temps de Jésus, les œuvres d’impiété que les chefs religieux ont souvent commises contre Lui n’étaient pas de simples peccadilles, mais ils l’ont fait en sachant pleinement qui était Jésus, car ils lisaient les Saintes Écritures dans lesquelles Sa venue était prophétisée depuis des siècles. Et, malgré cela, ces enseignants religieux ont fui la lumière, préférant les ténèbres. Ensuite, il y avait ces propos durs contre la personne de Jésus, parce qu’ils ne voulaient pas accepter Son autorité à pouvoir un jour juger le monde entier.

L’apôtre Pierre fait également allusion à tous ces futurs moqueurs. Car, en s’adressant aux nouveaux convertis, Pierre les met en garde disant : « Afin que vous vous souveniez des choses qui ont été prédites par les saints prophètes, et de notre commandement à nous, les apôtres du Seigneur et Sauveur. Sachant tout d’abord ceci, qu’aux derniers jours il viendra des moqueurs, qui se conduiront selon leurs convoitises, et qui diront : Où est la promesse de son avènement ? Car depuis que nos pères sont morts, toutes choses demeurent comme depuis le commencement de la création. Car ils ignorent volontairement ceci, c’est que les cieux furent autrefois créés par la parole de Dieu aussi bien que la terre, tirée de l’eau, et qui subsistait au moyen de l’eau ; et que ce fut par ces choses que le monde d’alors périt, submergé par l’eau » (2 Pierre 3:2-5).

N’oublions surtout pas tous ces discours formulés pour dénigrer la personne de Jésus et émis par ces impies tout au long des siècles. Peut-être que ces mots furent prononcés comme des diatribes dirigées contre l’autorité de Jésus à pouvoir juger. Pierre fait aussi  allusion à ces moqueurs dans les derniers jours qui se conduiront selon leurs convoitises et qui diront : « Où est la promesse de son avènement ? Car depuis que nos pères sont morts, toutes les choses demeurent pareilles depuis le commencement de la création. » Mais ces mêmes individus prêchent que l’évolution a apporté toutes sortes de nouvelles choses, comme les humains descendus directement des singes. Paul nous dit que ce sont : « Eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et ont adoré et servi la créature, au lieu du Créateur » (Romains 1:25).

Cela coïncide drôlement avec la nature du mot impie de Jude 1:15. Les trois formes utilisées par Jude sont négatives pour indiquer leur façon mauvaise d’adorer. Christ reviendra pour exercer un jugement contre tous et convaincre tous les impies de toutes les œuvres d’impiété qu’ils ont commises et de toutes les choses injurieuses que les pécheurs impies ont proférées contre Lui. Jésus viendra les juger sur leur défaillance à rendre honneur à Son égard. Ils seront tous condamnés par leurs propres œuvres et par leurs paroles injurieuses contre le Créateur de l’univers.

Notre Seigneur Jésus est mort : « Mais Dieu l’a ressuscité le troisième jour, et lui a donné de se faire voir, non à tout le peuple, mais à des témoins que Dieu avait choisis d’avance ; à nous qui avons mangé et bu avec lui, après qu’il a été ressuscité des morts. Et il nous a commandé de prêcher au peuple, et d’attester que c’est Lui que Dieu a établi juge des vivants et des morts » (Actes 10:40-42). C’était le zénith du premier sermon donné aux Gentils par Pierre dans la maison du centurion romain Corneille. Pierre a mis l’emphase sur la vérité de ce que Jésus n’était pas seulement le Messie promis en Israël, mais également le Seigneur de tous les humains. « Telle est la parole qu’il a donnée aux enfants d’Israël, en leur annonçant la bonne nouvelle de la paix par Jésus-Christ, qui est le Seigneur de tous » (Actes 10:36). Par le fait même, Jésus est donc établi par Dieu comme juge des vivants et des morts.

Cette expression impressionnante « juge des vivants et des morts », apparaît seulement trois fois dans la Bible. Et chaque fois pour démontrer que Christ est le juge de tous les humains. À son jeune évangéliste, Paul dit ceci, dans  2 Timothée 4:1-4 : « Je t’en conjure donc devant Dieu et devant le Seigneur Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, lors de son apparition et de son règne, prêche la parole, insiste en temps et hors de temps, reprends, censure, exhorte en toute patience, et en instruisant. Car il viendra un temps où les hommes ne souffriront point la saine doctrine, mais où, désireux d’entendre des choses agréables, ils s’amasseront des docteurs selon leurs convoitises, et fermeront l’oreille à la vérité, et se tourneront vers des fables. » Notez comment, de plus en plus, les télévangélistes s’affichent tous en tant que « docteurs » pour enseigner leurs versions polluées de la vérité.

La saine doctrine est devenue trop dure à écouter, alors ils ont maintenant des docteurs pour leur prêcher des choses agréables. Et pour entendre ces fables, leurs brebis sont prêtes à les enrichir grassement. Néanmoins, au sujet des péchés commis par ces faux ministres de Christ, Pierre a déclaré : « Ils rendront compte à Celui qui est prêt à juger les vivants et les morts » (1 Pierre 4:5). Jésus Lui-même leur affirme ceci, dans Matthieu 7:21-23 : « Ce n’est pas tout homme qui me dit : Seigneur ! Seigneur ! qui entrera dans le royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur ! Seigneur ! n’avons-nous pas prophétisé en ton nom ? et n’avons-nous pas chassé les démons en ton nom ? et n’avons-nous pas fait plusieurs miracles en ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui faites métier d’iniquité. » Vous remarquerez que de faux ministres sont capables d’effectuer des miracles. Ce n’est donc pas cela qui détermine que quelqu’un se disant de Christ le soit véritablement.

Gardons toujours en mémoire, que lors de Son retour : « Le Seigneur lui-même descendra du ciel, à un signal donné, avec une voix d’archange et au son d’une trompette de Dieu ; et les morts qui sont en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants qui serons restés, nous serons enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur, dans les airs [pas au ciel], et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur » (1 Thessaloniciens 4:16-17). Donc, les morts comme les vivants, parmi les Élus, comparaîtront devant le Christ dans une résurrection à la vie éternelle, car l’Église est déjà jugée. Et chacun recevra sa récompense promise pour le bien qu’il aura fait, étant encore dans son corps physique.

Mais Jésus devra également juger les autres morts qui ne seront pas de la première résurrection. « Ne soyez pas surpris de cela ; car l’heure vient que tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et sortiront : savoir, ceux qui auront bien fait, en résurrection de vie ; et ceux qui auront mal fait [en demeurant rebelles jusqu’à la fin], en résurrection de condamnation [seconde mort] » (Jean 5:28-29). Avant de monter au ciel, Jésus S’approchant de Ses disciples, leur parla et leur dit : « Toute puissance m’a été donnée dans le ciel et sur la terre. » Depuis ce temps : « Le Père ne juge personne, mais il a donné au Fils tout le jugement. Afin que tous honorent le Fils, comme ils honorent le Père. Celui qui n’honore pas le Fils n’honore pas le Père qui l’a envoyé » (Jean 5:22-23).

Lorsque tous les humains auront été jugés, ne resteront vivants que ceux qui se sont convertis. D’abord ceux de la première résurrection qui formeront les Élus de Dieu. À eux s’ajouteront par la suite tous ceux qui se convertiront et formeront les nations sur qui les Élus régneront durant le millénium. À ces nations s’ajouteront enfin tous ceux qui se convertiront durant la deuxième résurrection et qui seront également inscrits dans le Livre de Vie. Pour ce qui est des rebelles qui resteront incorrigibles jusqu’à la toute fin : « La mer rendit les morts qu’elle contenait ; la mort et l’enfer rendirent aussi les morts qui y étaient, et chacun fut jugé selon ses œuvres. Et la mort et l’enfer furent jetés dans l’étang de feu ; c’est la seconde mort. Et quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie, fut jeté dans l’étang de feu » (Apocalypse 20:13-15). C’est la troisième résurrection et notez que le Livre de Vie est fermé à ce moment-là, car ils sont déjà jugés selon leurs œuvres impies.

En parlant de la Jérusalem céleste, l’apôtre Jean a témoigné ceci : « Et la ville n’a pas besoin du soleil, ni de la lune, pour l’éclairer ; car la gloire de Dieu l’éclaire, et l’Agneau est son flambeau. Et les nations qui auront été sauvées, marcheront à sa lumière, et les rois [les Élus] de la terre y apporteront leur gloire et leur honneur. Ses portes ne se fermeront point chaque jour, car il n’y aura point de nuit. On y apportera la gloire et l’honneur des nations. Il n’y entrera rien de souillé, ni personne qui s’adonne à l’abomination et au mensonge, mais ceux-là seuls qui sont écrits dans le livre de vie de l’Agneau » (Apocalypse 21:23-27). Il y a vraiment un Livre de Vie dans lequel Dieu inscrit les noms de ceux qui feront partie de Son Royaume éternel et qui auront leur résidence dans la Jérusalem céleste qui viendra un jour se poser sur la terre.

Lors d’une de ses prières à Dieu, David a dit ceci, dans Psaume 139:13-16 : « Car c’est toi qui as formé mes reins, qui m’as façonné dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que j’ai été fait d’une étrange et merveilleuse manière ; tes œuvres sont merveilleuses, et mon âme le sait très bien. Mes os ne t’étaient point cachés, lorsque j’étais formé dans le secret, oeuvré comme un tissu dans les lieux bas de la terre. Tes yeux m’ont vu, lorsque j’étais comme une masse informe, et sur Ton livre étaient inscrits tous les jours qui m’étaient réservés, quand aucun d’eux n’existait. » Donc, Dieu garde des livres. Il semblerait qu’il existe un livre pour chaque personne qui a été conçue et que l’ensemble de ces livres constitue le Livre de Vie. Dans ce gros volume sont inscrits les noms et les œuvres de chaque individu ayant reçu une vie biologique par son Créateur.

Néanmoins, plusieurs personnes rejettent ou simplement ignorent, tout au long de leur vie, la provision divine du Saint-Esprit qui leur accorderait la vie éternelle. Dans une de ses invocations à Dieu au sujet des méchants, David Lui demande : « Ajoute iniquité à leurs iniquités, et qu’ils n’aient point de part à ta justice. Qu’ils soient effacés du livre de vie, et ne soient pas inscrits avec les justes ! » (Psaume 69:28-29). Ceci nous indiquerait qu’il est possible pour quelqu’un qui déciderait volontairement de demeurer rebelle à Dieu jusqu’à la fin de sa vie de voir son nom effacé du Livre de Vie. Notez ce que Dieu déclare dans Apocalypse 3:5 : « Celui qui vaincra, sera vêtu de vêtements blancs, et je n’effacerai point son nom du livre de vie ; et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges. » Et encore, dans Apocalypse 22:19 : « Et si quelqu’un retranche des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part du Livre de Vie, et de la Sainte Cité, et des choses qui sont écrites dans ce livre. »

Lorsque Dieu appelle une personne et qu’elle répond à Son appel, Dieu écrit son nom dans le Livre de Vie. Donc, pour que Dieu efface son nom, il faut que cette personne ait été préalablement convertie. Tandis qu’une autre personne qui a été rebelle toute sa vie n’a jamais eu son nom écrit dans le Livre de Vie. Par conséquent, Dieu n’a pas besoin de l’effacer, puisqu’il n’a jamais été inscrit, mais la miséricorde de Dieu le ramènera dans une Deuxième Résurrection, où les faux enseignants n’existeront plus, et où le Livre de Vie sera ouvert pour l’accueillir s’il se convertit à Christ. Il y aurait donc deux types de rebelles : 1) ceux qui reçoivent le Saint-Esprit, ayant été préalablement convertis mais finissent par le rejeter ; 2) ceux qui refuseront l’appel et le Saint-Esprit jusqu’à la fin des cent ans de la Deuxième Résurrection. La bonté de Dieu est sans limite.

Ce sera un moment épouvantable pour ceux qui demeureront rebelles jusqu’à la fin. Car : « quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le Livre de Vie, fut jeté dans l’étang de feu » (Apocalypse 20:15). Voilà le moment de la destruction des impies et des rebelles. Il n’y a personne dans la géhenne, présentement, car le mot « enfer » signifie simplement « séjour des morts ». Tous seront détruits ensemble. « Car voici, le jour vient, ardent comme un four : tous les orgueilleux et tous ceux qui commettent la méchanceté, seront comme du chaume, et ce jour qui vient les embrasera, a dit l’Éternel des armées, et ne leur laissera ni racine ni rameau » (Malachie 4:1). Avez-vous remarqué qu’ils seront comme du chaume, entièrement brûlé ? Mais le monde préfère croire, qu’ils brûleront continuellement, durant l’éternité en souffrant affreusement. Quel cruel mensonge inventé par Satan !

Ceux qui demeureront inscrits dans le Livre seront ceux qui ont été sauvés par Christ. « Sachant que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, non par des choses périssables, comme l’argent et l’or, mais par un précieux sang, comme d’un Agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1:18-19). Parce que : « il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4:12). Personne ne mérite d’être retenu dans le Livre de Vie, car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.

C’est grâce à Jésus, qui a payé la rançon du péché : « qu’ils sont justifiés gratuitement par Sa grâce, par la rédemption qui est en Jésus-Christ » (Romains 3:24). Ne vous laissez pas séduire par un autre sauveur que JÉSUS. Tous les autres sont de faux christs. Finalement, seuls ceux qui auront leur nom inscrit dans le Livre de Vie auront éternellement accès à la Nouvelle Jérusalem qui sera le Quartier Général de l’univers entier et la résidence permanente de la Famille éternelle de Dieu.