La Franc-maçonnerie est-elle la Synagogue de Satan ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2018

Par Texe Marrs

« Les secrets cachés de la Franc-maçonnerie sont contenus dans le sinistre 30e degré. Le candidat maçonnique fait quatre serments pendant que le mystérieux rabbin Siméon Bar Yochaï parle du fond de son cercueil. On exige du candidat qu’il abandonne sa foi et il sera désormais guidé par la Kabbale. Il se destine à l’enfer éternel. »

Dans son manuel classique, La théocratie occulte, Lady Queensborough déclara, à propos de la Loge maçonnique : « Chaque Loge est une Synagogue de Satan et son rituel est de la sorcellerie. »

Le père de la Franc-maçonnerie est le rabbin Siméon Bar Yochaï qui mis au monde la Kabbale corrompue et méchante, ainsi que son livre mystique, le Zohar. Delmar Darrah, 33°, souligna dans son livre, Évolution de la Franc-maçonnerie (1979), que « s’il n’y avait pas de Kabbale, il n’y aurait pas de Franc-maçonnerie. »

Dans le Zohar, on nous informe que la déité de la Kabbale se nomme Ein Sof (ou Ain Sof). Son agent, le compagnon de l’homme, est nul autre que le grand Serpent. Il s’agit du même Serpent que je révèle être adoré par les Juifs kabbalistes, dans mon exposé Le Serpent sacré des Juifs.

Rex Hutchens, 33°, auteur de Un pont vers la lumière, publié en 1988 par le Conseil Suprême Mère de la Franc-maçonnerie du Rite Écossais, aux pages 251-252, affirme que le Serpent est, en fait, le troisième membre de la Sainte Trinité. Hutchens dit : « Il est le corps du Saint-Esprit. »

Le Zohar du rabbin Yochaï explique plus loin que : « Le Serpent sacré est la principale source, la racine et l’essence de toute la lumière révélatrice sacrée de Dieu. »

Albert Pike déclare que la religion maçonnique : « est identique aux anciennes religions à mystères ». Et l’histoire révèle que toutes les religions à mystères adoraient le serpent.

On dit que le Serpent sacré est celui qui élève l’homme à la Divinité et les maçons croient qu’ils deviendront des dieux divins. Éventuellement, croient-ils, ils seront les « Maîtres du monde ».

Pike écrivit (voir Un pont vers la lumière d’Hutchens, p. 325) que le Secret Royal, c’est que les Loges maçonniques « réaliseront le Saint Empire » des Illuminati sur terre.

Nous avons donc compris pourquoi le livre de l’Apocalypse de notre Sainte Bible avertit que la religion de méchanceté et d’abominations des derniers jours sur terre ne sera pas une église ou une mosquée. Ce sera plutôt la Synagogue de Satan. Et en son sein se manifestera l’adoration du Serpent ouvertement méchant, la créature même qu’adorent de manière blasphématoire les Francs-maçons et qu’ils honorent faussement en tant qu’Esprit Saint de Dieu.

Mais qui est le Serpent ? Indubitablement, nous découvrons que le Serpent est, en fait, Satan.

Dans Les premières ères de la terre, le savant G. H. Pember affirme que, dans les Mystères, nous voyons que l’objet du culte est universellement Satan. Pember écrit : « Il n’y a que peu de doute quant au fait que la culmination des Mystères était le culte rendu à Satan lui-même. »

Nous répétons donc, encore une fois, la déclaration révélatrice d’Albert Pike, 33°, qui donna au monde les trente-trois rites des Loges maçonniques et indiqua à tous les maçons l’auteur de la Kabbale, le rabbin Siméon Bar Yochaï : « La maçonnerie est identique aux anciens Mystères. »

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La Kabbale : ultime secret de la Franc-maçonnerie

Albert Pike, 33°, ancien Souverain Grand Commandeur de la Franc-maçonnerie Universelle, appelait cela « le Mystère de la Kabbale ». C’est, en effet, l’ultime secret de la Loge maçonnique et d’elle sortent les doctrines étranges et antichristes de ce culte.

La Kabbale des Juifs est un système occulte de magie et de sorcellerie d’abord inventé par l’infâme rabbin Siméon Bar Yochaï. C’est l’un des rabbins les plus célèbres de l’histoire d’Israël. Au deuxième siècle, proclame-t-on, il passa plus d’une douzaine d’années dans les profondeurs d’une caverne. Pendant tout ce temps, il rédigea la Kabbale et son manuel initial, le Zohar. Ces livres lui furent soi-disant donnés par une équipe d’anges jadis célestes, des démons et des disciples de Lucifer.

Depuis lors, la Kabbale s’est répandue dans le monde entier. Elle est aujourd’hui grandement prisée au sein de la religion du judaïsme. La tombe du rabbin Bar Yochaï est une des principales attractions touristiques d’Israël.

La Kabbale est au cœur même du judaïsme. Elle est également la source première des sorciers, des enseignants occultes et des magiciens du monde. C’est le manuel d’instructions de la numérologie, de la nécromancie, de l’astrologie, du culte à la déesse, de la déviance sexuelle, des pouvoirs mentaux psychiques, de la vénération du serpent et du culte aux idoles. C’est aussi le fondement même de la Franc-maçonnerie en constituant la religion à Mystères de l’Ordre maçonnique.

Toutes les associations maçonniques doivent à la Kabbale leurs secrets et leurs symboles, dit Albert Pike, dans Morals and Dogma.

La Franc-maçonnerie s’enthousiasme depuis longtemps des enseignements occultes de la Kabbale. Au 19e siècle, Albert Pike révisa les rites maçonniques et ses trente-trois degrés afin de les accorder strictement à la Kabbale. Pike écrivit, dans ses Morals and Dogma :

« La vieille foi primitive qu’est la religion de la Franc-maçonnerie dérive de l’Ancienne et pure Kabbale. »

On déclare que la Kabbale est pure, mais que le christianisme est imparfait et contient des erreurs, comme le dit Pike. D’innombrables maçons de degrés élevés sont d’accord. « L’on est rempli d’admiration en pénétrant dans le Sanctuaire de la Kabbale », écrit Pike. Il poursuit : « C’est une doctrine si simple et, pourtant, si Absolue. »

La Kabbale du rabbin Bar Yochaï est immensément différente de la Sainte Bible. Elle propose qu’il existe de nombreux dieux et déesses, la plupart sexuellement immoraux. Toutefois, le vrai Messie est nul autre que le Serpent sacré ! Nous voyons par conséquent jusqu’à quel point la Loge maçonnique est dépravée et mauvaise. Ayant rejeté la Bible comme étant fausse et imprécise, la Kabbale est seule digne d’adoration et de culte. Elle seule est « pure », se vante la synagogue maçonnique de Satan.

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Les voix des morts dans la tête de l’Éventreur

Par Steve Reilly

Alors qu’il recherchait une idée pour une pièce de théâtre, Bruce Robinson, acteur, dramaturge et auteur anglais, tomba sur le sujet des meurtres non résolus de « Jack l’Éventreur », en 1888. Lorsqu’informé que l’identité de « Jack » demeurerait un mystère pour toujours, ça l’attira et il passa les douze années suivantes à faire des recherches et à écrire. Dans Ils aimaient tous Jack, Robinson identifie « Jack » et révèle que la Franc-maçonnerie s’avérait le fil conducteur dans tout ce qui était pourri au sein de l’Angleterre victorienne – y compris la protection de l’identité d’un tueur en série.

Bien que Robinson atteste qu’il ne portait aucun intérêt envers la Franc-maçonnerie au-delà de la participation de celle-ci aux meurtres, il découvrit bientôt le rôle central qu’elle tenait dans le récit. Comme il l’a dit à un intervieweur, « à l’époque de Jack l’Éventreur, il y avait quelque chose comme 360 membres tories au Parlement, dont 330 que je peux identifier comme maçons. La totalité de la classe dirigeante était maçonnique, de l’héritier du trône en descendant. Il le fallait pour être dans le club. »

Au moment des meurtres, la classe dirigeante utilisa son pouvoir pour cacher aux journalistes certains détails « inamicaux » (pour la Franc-maçonnerie). Dans les 130 ans qui suivirent, le contrôle maçonnique de la narration s’est continué.

Connu du public en tant que le chanteur et compositeur Stephen Adams, Michael Maybrick avait atteint le sommet de sa profession. Il composa la chanson numéro un (en feuille de musique) du 19e siècle, The Holy City. Cet homme, prétend Robinson, fut « Jack l’Éventreur ». Coïncidence, Maybrick a été largement supprimé de l’histoire.

Pourtant, la célébrité de Maybrick est indéniable. Et, comme grandissaient sa popularité et sa richesse, il entra dans les rangs de l’élite d’Angleterre – et il s’éleva dans la Franc-maçonnerie. Devenu 30e degré franc-maçon, Maybrick « entendit » parler du fond de son cercueil le rabbin Siméon Bar Yochaï mort depuis longtemps. Ce rite bizarre est expliqué en détail par Texe Marrs dans son dernier best-seller, Des voix venant des morts. Si l’on considère le pouvoir, à la fois de l’Angleterre victorienne et de la Franc-maçonnerie à l’époque de Maybrick, le rite devait être stupéfiant de sensation grandiose et pseudo-religieuse.

Raillant l’élite maçonnique – ce que « Jack » appelait « son drôle de petit jeu » – il joua à l’élite maçonnique un tour sans précédent. Maybrick, sachant que les élites maçonniques se mettraient en mode de crise, planifia leurs coups à l’avance. Encore et encore, Maybrick fit paraître la classe dirigeante pour des fous. Personne ne parut plus imbécile que le Commissaire de la Police Métropolitaine de Londres, Sir Charles Warren, franc-maçon célèbre dans tout le pays.

Les meurtres, exécutés avec le rituel maçonnique, fit des membres du système judiciaire et du gouvernement des conspirateurs. Mis au courant des « gorges tranchées d’une oreille à l’autre », de tout métal enlevé et autres détails révélateurs, les Francs-maçons cherchèrent à « protéger leur art ». Warren, en particulier, fit passer le bien de la « Fraternité » avant celui du public.

Aucun événement ne l’illustre mieux que cette réaction face à l’écriture trouvée sur un mur de Ghoulston Street. Après avoir commis son second meurtre, « Jack » déposa un tablier sali, qu’il avait coupé sur sa dernière victime, au pied d’un mur sur lequel il avait écrit : « Les Juifs sont les hommes qui ne seront blâmés de rien. » Citant les prééminents historiens de la Franc-maçonnerie, Albert Pike et Albert Mackay, Robinson élucide le message crypté : il se réfère aux « trois ruffians » (Jubelo, Jubela et Jubelum) qui tuèrent Hiram Abiff qui refusait de divulguer les secrets du Temple de Salomon.

Warren, qui avait – comme de fait – dirigé une expédition, nationalement célèbre, en Palestine pour localiser le Temple de Salomon, ignora le protocole de la police et ordonna que le message soit immédiatement effacé. La lettre presque railleuse de « Jack » à Warren parvint « DE YACK L’ÉVENTREUR ». En citant Mackay, Robinson explique : « La bonne prononciation du nom des “ruffians” exige que le “J” soit énoncé comme un “Y”. »

La dégénérescence sadique de Jack atteint son point le plus bas avec le meurtre du « Petit » Johnny Gill. À Bradford, le 27 décembre 1888, à la fête de St-Jean l’Évangéliste – le jour le plus important du calendrier maçonnique des loges écossaises et 75 ans depuis le jour où les « anciens » et les « modernes » se joignirent pour former la Grande Loge Unie d’Angleterre – Maybrick tua le garçon selon les rites appelés la cinquième libation. Robinson prétend : « Chacun des aspects de l’assassinat est symbolique. Il coupa les jambes et les mis sur le torse pour reproduire le crâne et les os des Chevaliers du Temple. » Le policier responsable de Bradford reconnut immédiatement le symbolisme de la scène et, comme à Londres, cacha les faits.

Bruce Robinson résolut le mystère vieux de 130 ans. Un « maçon devenu pourri » assassina des hommes, des femmes et des enfants selon les rites maçonniques et se moqua d’une élite maçonnique qui, à chaque meurtre, était forcée de prendre des positions délicates. Dans une entrevue, Robinson fit cette réflexion : « Ce n’est pas qu’ils protégeaient Maybrick, Ils se protégeaient, eux. »

Malheureusement, un livre d’une telle valeur est souillé par les visions critiques et cinglantes de l’auteur sur le christianisme de l’ère victorienne. En outre, son choix de langage s’avère bien plus que « coloré ». Power of Prophecy offre des livres qui contiennent des passages que nous trouvons désagréables. Pourtant, pour prendre les paroles de Texe, la valeur du livre surpasse de telles différences. Toutefois, Robinson incorpore son dédain du christianisme si profondément dans son écrit qu’étant donné notre mission, nous ne pouvons pas, en toute bonne conscience, offrir le livre.