La médecine américaine subit une purge idéologique

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2021

Par Jerry Barrett

Q : Comment appelle-t-on une personne qui est arrivée dernière dans sa classe de l’école de médecine ?

R : Un docteur.

« Alors Pierre prenant la parole, dit : en vérité je reconnais que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes. »

Actes 10:34

Pour ceux qui suivent les assauts de questions raciales qui empoisonnent notre pays, cela ne devrait pas vous surprendre. « Wokeisme », « Théorie de la Critique raciale » ou « Antiracisme » – peu importe la nomenclature au goût du jour – elle possède sa myriade de tendances à travers la société américaine d’aujourd’hui.

Évidemment, le racisme court le monde depuis de nombreux siècles. Même après que Pierre eut instruit les gens que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes, il y a encore ceux qui se déclarent chrétiens et qui s’accrochent à des croyances bigotes. L’apôtre Paul a enseigné que ceux qui ont été baptisés en Christ ont revêtu Christ. Si les vrais croyants en Jésus-Christ ont revêtu le Christ, qu’ils soient Juifs ou Gentils, ils sont un en Jésus-Christ.

Malheureusement, notre histoire n’est pas exempte de racisme et de ségrégation. À une époque, même le don de sang était séparé par race. On mit finalement un terme à cette pratique dans les années 1970 après que des recherches eurent prouvé qu’il n’y avait pas de fondement scientifique à cette séparation.

All in the Family était un programme d’humour télévisé américain qui débuta en 1971. Archie Bunker était le personnage principal et le patriarche à l’esprit étroit et avec un point de vue bigot face au monde. Dans un épisode, Archie doit se faire enlever la vésicule biliaire et il est forcé d’accepter une transfusion sanguine d’une docteure femelle amérindienne lors de l’opération.

À sa manière typique, Archie demande : « Vous mélangez mon hémoglobine blanc avec son hémoglobine de couleur et tout peut arriver. » Elle répond : « Ne vous en faites pas, mon cher. Une chose, toutefois. Vous pourriez éprouver un désir insatiable de melon d’eau. »

Dans les années 1970, ce programme brisa de nombreux tabous et il était le reflet des croyances de beaucoup de gens. Pourriez-vous imaginer l’hystérie qu’il provoquerait s’il avait débuté aujourd’hui ? Les Guerriers de la Justice Sociale prendraient les armes en hurlant et en proclamant que ce programme est la preuve que l’on a besoin d’un profond endoctrinement dans la théorie de la critique raciale.

Le Philly Voice a cité un praticien : « En tant que médecins, il est de notre devoir de nous assurer de la santé de nos patients. Nous devons nous dresser contre tout ce qui menace leur bien-être. L’inégalité de santé qui émerge à cause du racisme systémique et de la discrimination ne fait pas exception.

Malheureusement, avez-vous envisagé le fait que le profilage racial a envahi nos hôpitaux et nos écoles de médecine ? Une douzaine de médecins d’un peu partout au pays ont créé un groupe de support qui se réunit une fois par mois par appel vidéo. Leur souci ? L’idéologie profondément antilibérale qui empoisonne nos institutions médicales les plus importantes au pays.

Ces médecins regrettent que cette idéologie étouffe la pensée critique au nom du progrès. Elle a monté les étudiants contre leurs enseignants et les patients, et elle constitue une menace pour les fondements du soin au patient, de la recherche et de la médecine en elle-même.

En certains cas, les médecins qui ont critiqué les internes pour avoir été en retard sont rapportés à leurs départements comme étant racistes. Beaucoup de médecins ont peur de donner des retours d’information par crainte de représailles. Plusieurs internes ont même refusé de traiter des patients à cause de leur race ou parce qu’ils ont cru percevoir que le patient est conservateur.

Cette même peur de représailles a fait en sorte que beaucoup d’articles de mauvaise qualité ont été publiés dans des journaux médicaux de renom. Une étude publiée l’année dernière dans Proceedings of the National Academy of Sciences fut disséminé largement dans les Grands Courants Médiatiques boiteux. Les gros titres se montraient fortement obtus : de CNN : Les nouveau-nés noirs plus susceptibles de mourir lorsque surveillés par des médecins blancs, Forbes : Le manque de médecins noirs tue les bébés noirs, The Gardian (Angleterre) : Les bébés noirs plus susceptibles de survivre lorsque soignés par des médecins noirs.

De nombreux médecins, parlant de façon anonyme, déclarent qu’il est impossible d’en venir à une conclusion en ce qui concerne la race du médecin traitant ayant un impact sur les résultats à cause de la méthodologie qui est défectueuse. Cependant, très peu sont prêts à critiquer ouvertement les découvertes mis sur posts.

Pour les quelques médecins qui ont osé dire la vérité, dans les meilleurs des cas, ils ont subi la dégradation. Le Dr Norman Wang, cardiologue à l’Université de Pittsburgh, a publié un article critiquant les initiatives de diversité en cardiologie. Dans cet article, il déclare que le mérite, et non pas la pigmentation de la peau, devrait être la règle du jour. Son article a été retiré du Journal of American Heart Association et il a été dégradé par son département.

Le Dr Norman Wang, cardiologue de l’Université de Pittsburgh, a déclaré que le mérite, et non pas la pigmentation de la peau, devrait être la règle. Il a sommairement été dégradé par son département.

Le Dr Norman Wang, cardiologue de l’Université de Pittsburgh, a déclaré que le mérite, et non pas la pigmentation de la peau, devrait être la règle. Il a sommairement été dégradé par son département.

Le Journal of American Medical Association a fait paraître un podcast animé par le Dr Edward Livingston, un chirurgien et, à l’époque, rédacteur-adjoint du journal. Le Dr Livingston eut le culot non mitigé de remettre en question la valeur qu’il y avait à se concentrer sur la race en médecine et sur l’idée que la médecine soit systématiquement raciste. Après de brutales et sévères réactions, on demanda au Dr Livingston de démissionner du JAMA et le rédacteur-en-chef, Howard Bauchner, fut suspendu et éventuellement descendu de sa position.

Au fur et à mesure que de plus en plus d’institutions médicales se mettent à acquiescer à la clique de justice sociale, l’idée que les professionnels de la santé doivent mettre de côté leurs sentiments est maintenant vue comme dépassée. La prochaine génération de stagiaires croit qu’il est de leur devoir de confronter les patients concernant leurs préjudices.

Un docteur ER de la Côte Ouest a déclaré avoir vu des pourvoyeurs de soins de santé, particulièrement chez les jeunes, choisir à qui ils vont accorder de leur temps en se basant sur les principes antiracistes. Selon ce docteur, un grand nombre a déclaré : « Peu importe ce qui arrive au gars blanc, il l’a probablement mérité. »

L’époque du Serment d’Hypocrate est révolue depuis longtemps. Entre les bioéthicistes – qui décident si un patient doit vivre ou recevoir un traitement approprié – et le nouveau clan des docteurs « wokes », le soin de santé a connu des jours plus heureux. Si l’on s’aperçoit qu’un patient est conservateur, blanc et/ou chrétien, va-t-il recevoir les soins appropriés ? Ou est-ce que ces snowflakes dans leurs sarreaux blancs vont utiliser leur chaire de brute pour prêcher leurs doctrines sociales ?

Ne vous en faites pas, mes amis, car Dieu appelle certainement Ses enfants à des vocations différentes. Plusieurs sont appelés à la médecine où Sa gloire est partagée par l’intermédiaire des mains guérisseuses de ces physiciens. Jésus a dit, dans Luc 5:31 : « Ceux qui sont en santé n’ont pas besoin de médecin, mais ceux qui se portent mal. » Je suis convaincu qu’il y a des physiciens vraiment chrétiens qui ne succomberont pas à la théorie de la critique raciale. Cherchez-les et ayez confiance en notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.

***

Par Michelle Hallmark Powell

Avertissement de nos généraux patriotiques à la retraite

Une lettre ouverte a été envoyée au peuple américain de la part de 120 généraux à la retraite pour nous avertir que « Notre pays est en grand péril ». Il y a une lutte au Congrès pour la survie de notre pays afin qu’il demeure une république constitutionnelle. Parmi les signataires, il y a le Brigadier-général de l’Armée à la retraite, Donald Bolduc, qui se présente comme futur sénateur au New Hampshire ; le Lieutenant-général de l’Armée à la retraite, William Boykin ; et le Vice-amiral de l’Armée à la retraite, John Pointdexter qui a été le conseiller-adjoint à la sécurité nationale du Président Ronald Reagan.

Plusieurs signataires comprenaient le Brigadier-général de l’Armée à la retraite Donald Bolduc, le Lieutenant-général de l’Armée à la retraite William Boykin et le Vice-amiral à la retraite John Pointdexter. « Nous sommes dans une lutte pour notre survie en tant que république constitutionnelle comme jamais auparavant depuis notre fondation en 1776. Le conflit a lieu entre les supporteurs du socialisme et du marxisme versus les supporteurs de la liberté constitutionnelle et de l’indépendance, » dit la lettre.

Plusieurs signataires comprenaient le Brigadier-général de l’Armée à la retraite Donald Bolduc, le Lieutenant-général de l’Armée à la retraite William Boykin et le Vice-amiral à la retraite John Pointdexter. « Nous sommes dans une lutte pour notre survie en tant que république constitutionnelle comme jamais auparavant depuis notre fondation en 1776. Le conflit a lieu entre les supporteurs du socialisme et du marxisme versus les supporteurs de la liberté constitutionnelle et de l’indépendance, » dit la lettre.

Ces généraux – qui s’engagent tous à soutenir et à défendre la constitution des États-Unis contre tous les ennemis, étrangers comme domestiques – sonnent l’alarme pour protéger notre nation des menaces contre ses libertés.

Un avertissement de la part des sonneurs d’alerte militaires dont nous devons tenir compte

Ils nous ont avertis que, sans des élections justes et honnêtes, qui sont supposées refléter la volonté du peuple, notre république est perdue. Cela veut dire l’intégrité des élections, soit un seul vote légal compté par citoyen. Les législatures d’état approuvent de tels contrôles en utilisant les cartes d’identité du gouvernement et la vérification des signatures. Évidemment, ceci est considéré par la gauche libérale comme étant « raciste ». Même si, bien que cela semble ridicule, il n’est pas considéré « raciste » que l’on demande une carte d’identité pour monter en avion ou pour acheter un billet dans le but d’assister à une partie de football ou à tout autre événement.

La Théorie de la critique raciale, qui s’avère un enseignement purement marxiste, dénonce les États-Unis et la culture occidentale comme étant oppressifs. Elle enseigne que la culture et les institutions américaines font la promotion du « racisme systémique » ou de la « suprématie blanche ». C’est ce que l’on enseigne et que l’on force dans nos écoles, dans les bastions militaires comme West Point et même dans tous les rangs permanents des forces armées

Depuis des décennies, le militaire est une des institutions de la société où vous pouvez avancer grâce à vos performances et à votre mérite, peu importe la couleur de votre peau, qui sont vos parents, ou d’où vous venez. Ils veulent maintenant changer cela pour que ce soit absolument inclusif et que l’on promeuve l’équité. Ces deux termes sont constamment employés dans la rhétorique de justice sociale. Donc, votre performance et vos capacités ne sont plus valides, tout le monde est tout simplement accepté et progresse dans les rangs, qu’il en soit capable ou non.

Fin de notre sécurité, au niveau national comme à l’étranger

Les services armés sont censés posséder un lien, un sentiment de fraternité et de loyauté les uns envers les autres, peu importe l’ethnicité. Cette camaraderie chez les soldats les sauve durant la bataille, car ils savent que leurs arrières sont protégés et cela forme un lien durable. Si ce lien est détruit, toute guerre dans laquelle nous nous aventurons sera indubitablement perdue.

Ces théories font également en sorte que les soldats sont moins susceptibles de suivre les ordres des officiers supérieurs, occasionnant la perte de l’objectif et avant tout, la perte de vies.

Que pouvons-nous faire ?

Nous devons nous débarrasser des officiers qui prônent la Théorie de la critique raciale qui est vraiment socialiste, marxiste et progressiste. Si nous ne le faisons pas, la plus grande armée du monde s’affaiblira et, pire encore, se retournera contre ses propres citoyens.

Nous savons que, si nous avons une armée marxiste, la possibilité qu’ils aillent de porte à porte et arrêtent les citoyens patriotiques pourrait fort bien devenir une réalité.

En premier, nous devons supporter et tenir responsables les politiciens qui vont agir pour contrer le socialisme, le marxisme et le progressisme. Nous devons chasser les politiciens de l’aile gauche aux élections de 2022 et soutenir les représentants aux niveaux fédéral, étatique et local qui vont agir en fonction de sauver l’Amérique, pas la détruire.

Nous devons nous impliquer sur les comités d’école à tous les niveaux, que nous ayons des enfants ou non, car, en tant que payeurs de taxes, nous finançons les systèmes d’éducation publics et, en retour, nous exigeons que la Théorie de la critique raciale ne soit pas enseignée dans nos écoles.

Et avant tout, nous devons prier le Dieu Tout-puissant de nous protéger. Dans 1 Chroniques 12, Dieu rassembla une puissante armée. Les hommes étaient forts, guerriers, des hommes de grande valeur et pas des cœurs dédoublés. Ils craignaient Dieu et ils avaient confiance que Dieu fasse d’eux un seul cœur pour gagner la bataille.

C’est le genre d’armée et de citoyenneté dont nous avons besoin pour protéger le peuple américain et nos chères libertés. Notre liberté et nos valeurs historiques sont en jeu.