D.164 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 1

 

Séminaire financier et d’évangélisation

par Guy Richer

Comment fonctionne le système bancaire et pourquoi a-t-il été construit ainsi ? Pourquoi y a-t-il tant d’instabilité dans le système monétaire mondial ? Pourquoi les pays sont-ils endettés au point d’être sur le bord de déclarer faillite ? Y a-t-il des intentions cachées derrière la fragilité du système ? Autrement dit, cette fragilité est-elle intentionnelle ? Que cherche-t-on à provoquer de cette manière ?

Il y a des sociétés secrètes qui régissent le système bancaire et s’en servent pour amener le monde entier vers un Nouvel Ordre Mondial précédé d’un chaos indescriptible. Quelles sont-elles et comment s’y prennent-elles ? Quelle est LA SOLUTION pouvant nous garder des catastrophes que cette engeance nous prépare minutieusement ? Dans ce Séminaire, vous découvrirez des réponses aux questions que tout le monde doit se poser avant qu’il ne soit trop tard. Document-choc à lire absolument !

par Guy Richer

(1959-2004)

avec la collaboration de Roch Richer

Juste avant son décès, le 25 juin 2004, mon frère Guy avait terminé ce volumineux document qu’il avait entrepris de donner sous forme de séminaire aux personnes qu’il invitait à l’entendre dévoiler des renseignements très révélateurs sur la façon de fonctionner de notre monde financier et politique. Il avait cumulé de nombreuses informations et les avaient agencées avec intelligence afin de démontrer de manière claire et précise ce qui se fomente dans notre société depuis des générations.

En son honneur, et dans l’espérance que son travail continuera à ouvrir les yeux de tous ceux qui ont à cœur de connaître la vérité, je vous offre ce séminaire en documents imprimables que vous pourrez consulter à loisir. C’est ce qu’il désirait. Son cœur était entièrement voué au service envers les autres et il oeuvrait pour Dieu avant que Celui-ci, dans Sa sagesse infinie, décide de le rappeler à Lui.

Que ces renseignements vous aident donc à mieux saisir le fonctionnement global de notre société et à entrevoir ce qui s’en vient à grands pas. C’est ce que je vous souhaite, par la grâce de Dieu,

Roch Richer

par Guy Richer

Première Partie

Statut et finances personnelles

Introduction

Le but de ce séminaire financier est de vous apporter une certaine conscientisation et un désir d’en savoir plus sur le système économique dans lequel nous vivons et de créer en vous un éveil à la réalité qui, trop souvent, nous est cachée.

Je n’ai pas la prétention de vous « enseigner » mais plutôt de partager avec vous des connaissances que j’ai acquises par des études en finance, en assistant moi-même à plusieurs séminaires, ainsi qu’en effectuant de nombreuses recherches personnelles ou en collaboration, vers cette quête de la réalité et de la vérité.

Dans ce document, nous verrons la présentation de faits et également la dénonciation de structures et de personnages qui ont amené beaucoup de séductions et de supercheries dans l’administration de notre pays.

Tout ce que nous verrons ne doit pas ébranler votre intégrité, mais plutôt stimuler votre attitude à vouloir changer des choses fondamentales ou pratiques dans votre vie personnelle ou sociale.

On dit que « la vérité qui libère l’homme est en général celle que l’homme préfère ne pas entendre ».

D’accord, vous avez toujours la liberté d’accepter ou de refuser ce réveil à la réalité.

Vous êtes tout à fait libres, si vous le préférez, de tomber dans ce qu’on appelle « le syndrome de l’autruche » ! Mais rappelez-vous une chose, c’est que lorsque vous avez la tête bien enfouie dans le sable, vos fesses, elles, sont parfaitement bien placées pour ceux que vous ne verrez pas venir !!

« Lorsque les arbres seront tous abattus et les animaux tous exterminés, l’homme découvrira qu’il ne se nourrit pas d’argent ! »

LE CONTRAT TACITE des gens qui dorment…

« Qui ne dit mot, consent ! »

Texte anonyme pris sur le net qui résume bien la façon de penser et de vivre de notre société…

« Mes chers amis,

Le 11 septembre marque le triste anniversaire d’une catastrophe hautement symbolique pour l’humanité. Peu importe nos croyances ou nos idées politiques, le système mis en place dans notre monde libre repose sur l’accord tacite d’une sorte de contrat passé avec chacun d’entre nous, dont voici dans les grandes lignes le contenu :

  • — J’accepte la compétition comme base de notre système, même si j’ai conscience que ce fonctionnement engendre frustration et colère pour l’immense majorité des perdants.
  • — J’accepte d’être humilié ou exploité à condition qu’on me permette à mon tour d’humilier ou d’exploiter quelqu’un occupant une place inférieure dans la pyramide sociale.
  • — J’accepte l’exclusion sociale des marginaux, des inadaptés et des faibles, car je considère que la prise en charge par l’État a ses limites.
  • — J’accepte de rémunérer les banques pour qu’elles investissent mes salaires à leur convenance, et qu’elles ne me reversent aucun dividende de leurs gigantesques profits qui, eux, serviront à dévaliser les pays pauvres, ce que j’accepte implicitement. J’accepte aussi qu’elles prélèvent une forte commission pour me prêter de l’argent et qu’elles m’obligent à leurs conditions.
  • — J’accepte que l’on congèle et que l’on jette des tonnes de nourriture pour que les cours monétaires ne s’écroulent pas, plutôt que de les offrir aux nécessiteux et de permettre à quelques centaines de milliers de personnes de ne pas mourir de faim chaque année.
  • — J’accepte qu’il soit interdit de mettre fin à ses jours rapidement ; en revanche, je tolère qu’on le fasse lentement en inhalant ou ingérant des substances toxiques autorisées par les états.
  • — J’accepte que l’on fasse la guerre pour faire régner la paix. J’accepte qu’au nom de la paix, la première dépense des états soit le budget de la défense. J’accepte donc que des conflits soient créés artificiellement pour écouler les stocks d’armes et faire tourner l’économie mondiale.
  • — J’accepte l’hégémonie du pétrole dans notre économie, bien qu’il s’agisse d’une énergie coûteuse et polluante, et je suis d’accord pour empêcher toute tentative de substitution, s’il s’avérait que l’on découvre un moyen gratuit et illimité de produire de l’énergie, ce qui serait probablement notre perte.
  • — J’accepte que l’on condamne le meurtre de son prochain, sauf si les états décrètent qu’il s’agit d’un ennemi et nous encouragent à le tuer.
  • — J’accepte que l’on divise l’opinion publique en créant des partis de droite et de gauche qui passeront leur temps à se combattre en me donnant l’impression de faire avancer le système. J’accepte d’ailleurs toutes sortes de divisions possibles, pourvu qu’elles me permettent de focaliser ma colère vers les ennemis désignés dont on agitera le portrait devant mes yeux.
  • — J’accepte que le pouvoir de façonner l’opinion publique, jadis détenu par les religions, soit aujourd’hui aux mains d’affairistes non-élus démocratiquement et totalement libres de contrôler les états, car je suis convaincu du bon usage qu’ils en feront !
  • — J’accepte l’idée que le bonheur se résume au confort, l’amour au sexe, et la liberté à l’assouvissement de tous les désirs, car c’est de quoi la publicité me rabâche les oreilles toute la journée. Plus je serai malheureux et plus je consommerai : je remplirai ainsi mon rôle en contribuant au bon fonctionnement de notre économie.
  • — J’accepte que la valeur d’une personne se mesure à la taille de son compte bancaire, qu’on apprécie son utilité en fonction de sa productivité plutôt que de sa qualité, et qu’on l’exclue du système si elle n’est plus jugée assez productive.
  • — J’accepte que l’on paie grassement les sportifs ou les acteurs, et beaucoup moins les professeurs et les médecins chargés de l’éducation et de la santé des générations présentes et futures.
  • — J’accepte que l’on mette au ban de la société les personnes âgées dont l’expérience pourrait nous être utile, car étant la civilisation la plus évoluée de la terre, nous savons que l’expérience ne se partage ni ne se transmet.

  • — J’accepte que l’on me présente des nouvelles négatives et terrifiantes du monde tous les jours, pour que je puisse apprécier à quel point notre situation est normale et combien j’ai de la chance de vivre en occident. J’accepte donc qu’entretenir la peur dans nos esprits ne peut être que bénéfique pour nous.
  • — J’accepte que les industriels, militaires et politiciens se réunissent régulièrement pour prendre, sans nous concerter, des décisions qui engagent l’avenir de la vie et de la terre entière.
  • — J’accepte de consommer de la viande bovine traitée aux hormones sans qu’on me le signale explicitement. J’accepte que la culture des OGM se répande dans le monde entier, permettant ainsi aux trusts de l’agroalimentaire de breveter le vivant, d’engranger des dividendes conséquents et de tenir sous leur joug l’agriculture mondiale.
  • — J’accepte que les banques internationales prêtent de l’argent aux pays souhaitant s’armer et se battre, et de choisir ainsi ceux qui feront la guerre et ceux qui ne la feront pas. Je suis conscient qu’il vaut mieux financer les deux bords afin d’être sûr de gagner de l’argent, et faire durer les conflits le plus longtemps possible afin de pouvoir totalement piller leurs ressources s’ils ne peuvent pas rembourser les emprunts.
  • — J’accepte que les multinationales s’abstiennent d’appliquer les progrès sociaux de l’occident dans les pays défavorisés. Considérant que c’est déjà une faveur que de les faire travailler, je préfère qu’on utilise les lois en vigueur dans ces pays permettant de faire travailler des enfants dans des conditions inhumaines et précaires. Au nom des Droits de l’homme et du citoyen, nous n’avons pas le droit de faire de l’ingérence.
  • — J’accepte que les hommes politiques puissent être d’une honnêteté douteuse et qu’ils soient parfois même corrompus. Je pense d’ailleurs que c’est normal au vu des fortes pressions qu’ils subissent. Mais pour la majorité comme nous, par contre, la tolérance zéro doit être de mise.
  • — J’accepte que les laboratoires pharmaceutiques et les industriels de l’agroalimentaire vendent dans les pays défavorisés des produits périmés ou utilisent des substances cancérigènes interdites en occident.
  • — J’accepte que le reste des humains, c’est-à-dire, quatre milliards d’individus, puisse penser différemment à condition qu’il ne vienne pas exprimer ses croyances chez nous, et encore moins de tenter d’expliquer notre Histoire avec ses notions philosophiques primitives.

  • — J’accepte l’idée qu’il n’existe que deux possibilités dans la nature, à savoir chasser ou être chassé, la loi du plus fort, l’eugénisme ! Et que si nous sommes doués d’une conscience et d’un langage, ce n’est certainement pas pour échapper à cette dualité, mais pour justifier pourquoi nous agissons de la sorte.
  • — J’accepte sans me poser de questions et je considère comme vérités toutes les théories proposées pour l’explication du mystère de nos origines. Et j’accepte que la nature ait pu mettre des millions d’années pour créer un être humain dont le seul passe-temps soit la destruction de sa propre espèce en quelques instants.
  • — J’accepte la recherche du profit comme but suprême de l’Humanité, et l’accumulation des richesses comme l’accomplissement de la vie humaine.
  • — J’accepte la destruction des forêts, la quasi-disparition des poissons de nos rivières et de nos océans. J’accepte l’augmentation de la pollution industrielle et la dispersion de poisons chimiques et d’éléments radioactifs dans la nature. J’accepte l’utilisation de toutes sortes d’additifs chimiques dans mon alimentation, car je suis convaincu que si on les y met, c’est qu’ils sont utiles et sans danger.
  • — J’accepte cette situation, et j’admets que je ne peux rien faire pour la changer ou l’améliorer.
  • — J’accepte ainsi d’être traité comme du bétail, car tout compte fait, je pense que je ne vaux pas mieux.
  • — J’accepte de ne poser aucune question, de fermer les yeux sur tout ceci, et de ne formuler aucune véritable opposition, car je suis bien trop occupé par ma vie et mes soucis. J’accepte même de défendre jusqu’à la mort ce contrat si vous me le demandez.
  • — J’accepte donc, en mon âme et conscience et définitivement, cette triste matrice que vous placez devant mes yeux pour m’empêcher de voir la réalité des choses. Je sais que vous agissez pour mon bien et pour celui de tous, et je vous en remercie.

Quelle chance d’être un mouton…

Je ne me sens jamais seul,

toujours entouré d’une multitude de moutons…

Ma conscience est tranquille parce que

je ne me pose pas de questions…

Toute ma confiance est en mon bon berger

qui assure ma sécurité et mon confort…

L’exploitation de ma laine est ma contribution

juste et équitable à ma communauté…

Bèèèè !

Je suis un animal inconscient.

On me nourrit, on exploite ma laine et finalement,

on me conduit à l’abattoir…

Statut et finances personnelles

—     Au Québec un travailleur sur quatre ne travaille pas.

—     Une personne sur trois vit sous le seuil de la pauvreté.

—     Notre dette nette par tête est la plus élevée de tous les pays industrialisés : 20 fois celle du Brésil !

—     50 % des jeunes ne terminent pas leur secondaire.

—     La moitié des Québécois n’a pas accès à la propriété.

—     Le revenu moyen des Québécois stagne depuis 20 ans.

—     La violence explose partout et reste impunie. Il faut des années pour obtenir justice, et à prix fort.

—     La gratuité des programmes sociaux est remise en question.

—     Les revenus moyens et la qualité de vie diminuent, les personnes âgées ont moins de sécurité et les jeunes moins d’espoir qu’il y a une génération.

—     Le capitalisme triomphe en apparence dans les pays ou la liberté rime avec démocratie. Lorsque l’analyse est poussée un peu plus loin, nous constatons que les 20 % de riches accaparent 80 % des ressources de toute la terre. En terme d’efficacité, ce système n’en a que l’apparence. C’est comme utiliser plus de semences dans une culture que ce qui est récolté.

Même dans les pays riches, le système fait en sorte que les gens ne puissent pas se rendre compte de ce qui se passe. Non pas qu’ils n’ont pas accès à l’information, mais plutôt que l’excès d’abondance les rend dépendants et incapables de s’en passer.

Dans notre culture, nous avons appris à acquérir des biens, non seulement pour répondre essentiellement à nos besoins, mais aussi pour promouvoir notre statut social. Le fait de posséder et d’exposer son statut financier a pour conséquences des histoires de gens qui ont tout perdu à cause d’accidents malheureux : faillites, divorces, poursuites judiciaires, saisies, etc.

Au Canada, il est difficile de protéger ses avoirs par des structures solides contre ce genre d’évènements. Être propriétaire n’a plus le sens honorable qu’on lui prêtait auparavant. Posséder des biens ou des propriétés signifie, souvent, être vulnérable financièrement.

« Toute la perplexité, la confusion et la détresse aux États-Unis, viennent, non pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération, non par manque d’honneur, mais bien par l’ignorance de la nature de l’argent et du crédit en circulation. »

John Adams

(Deuxième président des États-Unis)

« Si les gens de cette nation comprenaient notre système bancaire et monétaire, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin ! »

Henry Ford Sr.

(Industriel américain, fondateur de la Ford Motor Inc.)

***

Voici une petite histoire qui pourrait vous démontrer que tout le monde peut être exposé à une poursuite quelconque :

Christian a décidé de retourner sa carte de crédit parce qu’il ne l’utilise plus. Il coupe la carte en deux et la jette sans en informer sa compagnie de crédit. Deux semaines plus tard, la carte se renouvelle automatiquement. Ce que Christian ne savait pas, c’est que le nouveau locataire de son ancien appartement a reçu sa nouvelle carte. Le nouveau locataire s’empare de la carte et profite du 10 000 $ disponible. Six mois plus tard, un huissier, ayant trouvé la nouvelle adresse de Christian, vient cogner à sa porte. Christian n’a reçu aucun envoi à cet effet puisqu’il n’avait jamais fait le changement d’adresse. Bientôt, le huissier saisi sa voiture et son nouvel ordinateur. Les circonstances ont fait qu’il a été jugé coupable sans pouvoir se défendre. Maintenant, il a le fardeau d’actionner le nouveau locataire, mais ce nouveau locataire est assisté social et ne possède aucun bien saisissable.

Cette histoire vous démontre que l’imprévisible peut cogner à votre porte et vous démunir de vos biens. C’est une histoire unique en son genre, mais combien d’histoires d’horreur nous sont racontées à propos de gens qui ont perdu tout ce qu’ils avaient acquis pendant toute une vie. Les divorces et les saisies des Ministères du Revenu sont d’actualité plus que jamais. Les gens se font dépouiller, souvent injustement, parce qu’on ne leur a jamais enseigné à se protéger. Des familles sont jetées à la rue parce que nos professionnels, très involontairement, n’ont pas la connaissance et la compétence pour sécuriser vraiment les gens contre toutes poursuites.

« Si vous ne luttez pas maintenant pour ce qui est droit et se gagne facilement sans que le sang soit versé ; si vous ne luttez pas, alors que votre victoire est certaine et non coûteuse ; le temps peut alors venir où tous les éléments du combat seront contre vous, avec peu de chance de survie. Il se peut que vous ayez à lutter sans espoir, sachant qu’il vaut mieux périr que de vivre dans l’esclavage. »

Winston Churchill
(Premier Ministre d’Angleterre de 1940 à 1945 et 1951 à 1955)

Pour commencer, la vie privée et la sécurité sont devenues choses du passé. Comme la plupart d’entre vous en ont sûrement conscience, votre vie est un grand livre ouvert. Depuis votre naissance, vous êtes obstinément poursuivis par les banques, les bureaux de crédit, les gouvernements et par quiconque désire obtenir de l’information sur votre personne. N’importe quel individu qui manifeste le désir de vous poursuivre ou qui détient un jugement de la Cour peut accéder à vos dossiers. Dans des sociétés litigieuses comme la nôtre, le besoin de protéger ses biens et de sauvegarder sa vie privée n’a jamais été plus urgent.

Avec la venue d’une gamme de cartes d’identité gouvernementales, de cartes intelligentes et autres systèmes de retraçage sophistiqués, vous avez besoin de systèmes encore plus sophistiqués pour éviter ces invasions de votre vie privée.

Ce n’est certes pas être inutilement alarmiste que de constater maintenant que de plus en plus de commerces nous demandent des renseignements personnels de façon injustifiable pour le simple achat d’un bien ou service.

Certains diront : « Voyons, as-tu quelque chose à cacher ? »

Évidemment que j’ai quelque chose à cacher : ma vie privée !

Ma prochaine question est maintenant la suivante : pourquoi en est-il ainsi ? Les gouvernements ont-ils un droit légal (et nous étant bénéfique) d’agir de la sorte ?

Ce système a-t-il été instauré pour mieux servir la population ou plutôt pour mieux l’asservir ?

Un ancien président américain, John Adams, a dit un jour :

« On ne peut préserver la liberté sans que les gens qui ont le droit et le désir de savoir, puissent bénéficier d’une connaissance générale. Du reste, ils ont un droit, un droit incontestable, un droit inaliénable, un droit indivisiblement divin d’accéder à ce type de connaissance des plus redoutés et enviables ; je veux parler de la connaissance du caractère et de la conduite de leurs dirigeants. »