D.170 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 7

 

par Guy Richer

La Franc-maçonnerie

L’institution maçonnique doit son existence à une confrérie de maçons constructeurs qui voyageaient en Europe dès le 8e siècle. Ils se partageaient des secrets reliés à leur métier.

On ne retrouve la première trace du mot « franc-maçon » qu’en 1376, sous la forme anglaise freemason. Il faut voir dans le freemason un homme libre, (le préfixe free semble l’attester), un ouvrier hors du commun, bénéficiant de franchises accordées par l’église ou par les souverains, libre des obligations d’une corporation ou libre de naissance.

C’est en Grande-Bretagne, et surtout en Écosse, que l’on trouve, au début du 17e siècle, les premières traces de la franc-maçonnerie moderne, soit la transition entre une maçonnerie de métier à une maçonnerie de pensée. En 1702, la loge londonienne Saint.Paul édictait que « les privilèges de la maçonnerie ne sont plus désormais réservés seulement aux ouvriers constructeurs, mais, ainsi que cela se pratiquait déjà, ils seront étendus aux personnes de tous les états qui voudront y prendre part ». Commence alors l’histoire de la maçonnerie moderne, dite aussi symbolique.

Publiquement, cette société se présente comme une organisation philanthropique, c’est-à-dire, axée sur les bonnes œuvres et prônant des valeurs justes et morales. Mais, dans les faits, il en est tout autrement.

Dans le livre The Lost Keys of Freemasonery, Manly Palmer Hall, 33e degré (le plus élevé de la hiérarchie maçonnique du Rite écossais), révèle que : « L’ordre maçonnique n’est pas qu’une simple organisation sociale, mais elle est composée de tous ceux qui se sont liés ensemble pour apprendre et appliquer les principes du mysticisme et les rituels occultes ».

Les francs-maçons sont les druides contemporains, écrit Albert Churchward, un franc-maçon du 33e degré. William Hutchinson nous dit que la franc-maçonnerie a emprunté plus de doctrines et de cérémonies des druides qu’elle en a pris d’ailleurs. (Les druides anciens étaient des prêtres occultes qui adoraient plusieurs dieux, pratiquaient l’astrologie et, en définitive, offraient des sacrifices humains.)

Le vrai visage de la franc-maçonnerie n’est révélé qu’aux initiés de hauts niveaux. W. Wilmhurst, un haut dignitaire des Loges, nous écrit, dans The masonic initiation, page 42 : « Pour ceux qui ne désirent seulement qu’une organisation sociale agrémentée d’un peu de cérémonial pittoresque et fournissant une occasion de distraction ou de distinction personnelle, la maçonnerie ne sera jamais plus que la formalité qu’elle a toujours été et qu’elle est toujours pour beaucoup. Et eux-mêmes resteront toujours dans l’ignorance de sa signification, de son but et de ses grandes possibilités ».

Albert Pike, dans son livre Moral and Dogmas of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 819, écrit : « Une partie des symboles sont divulgués à l’initié, mais ce dernier est intentionnellement induit en erreur. On ne veut pas qu’il les comprenne. Leur véritable explication est réservée aux érudits, aux princes de la maçonnerie. » Il nous dit aussi dans ce livre, aux pages 744 et 745, qui fut préparé pour le conseil suprême du 33e degré de la juridiction sud des États-Unis :

« La Bible, avec toutes les allégories qu’elle contient, n’exprime que d’une manière incomplète et voilée, la science religieuse des Hébreux… La vraie philosophie secrète et traditionnelle ne fut écrite que plus tard sous des voiles encore moins transparents. Ainsi naquit une seconde Bible inconnue des chrétiens ou plutôt incomprise par eux… »

Toutes les vraies religions dogmatiques sont issues de la Kabbale et elles y retournent… Toutes les associations maçonniques lui doivent leurs secrets et leurs symboles.

Kabbale ou cabale : C’est l’ensemble des traditions juives relatives à l’interprétation mystique de l’Ancien Testament. Il est un des plus anciens systèmes philosophiques occidentaux [Dictionnaire encyclopédique Hachette, 1980, p.176].

Selon un article intitulé Jung and Qabalah : Elle est la fondation sur laquelle l’astrologie, le tarot, l’alchimie, la numérologie, la mythologie et la magie se basent. C’est une science occulte qui prétend mettre ses adeptes en communication avec le monde des esprits.

Les Juifs qui pratiquent la kabbale veulent nous faire croire qu’il s’agit des enseignements oraux que Moïse aurait laissés derrière lui, parallèlement aux enseignements divins écrits sur le Mont Sinaï. Ces Enseignements oraux auraient été par la suite consignés par écrits dans des livres mystiques sous le nom de « Traditions ». En réalité, il est plutôt question des rites égyptiens récoltés lors du séjour d’Israël en Égypte. Ces enseignements furent incorporés à l’étude de la Torah (la Loi de Moïse) pour lui donner une interprétation remplie de mysticisme et d’ésotérisme, bien dans l’esprit de la Babylone païenne.

La Franc-maçonnerie : une religion

Dans Le Livre du Maître d’Oswald Wirth, nous lisons, à la page 22 : « Reste à savoir si la franc-maçonnerie est oui ou non une religion. Cesserait-elle d’en être une parce que les autels de ses temples sont consacrés au culte de la liberté, de la fraternité et de l’égalité ? Ayons le courage de nous dire religieux et de nous affirmer apôtres d’une religion plus sainte que toutes les autres. C’est ainsi que le premier effet de l’initiation est de purifier l’apprenti de toute mentalité chrétienne, s’il en a une… »

Albert Pike, pontife de la franc-maçonnerie universelle, franc-maçon au 33e degré, grand prêtre de l’église satanique, déclara le 14 juillet 1889 : « Ce que nous devons dire à la foule est que nous adorons un dieu, mais c’est un dieu que nous adorons sans superstition. A vous, grands inspecteurs généraux souverains, nous disons ceci pour que vous puissiez le répéter aux frères des 32e, 31e et 30e degré : la religion maçonnique devrait être par nous tous, initiés des hauts degrés, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne… Si Lucifer n’était pas dieu, est-ce qu’Adonaï (Jésus… le Dieu des chrétiens), calomnierait, c’est-à-dire, prendrait la peine de répandre des choses fausses et dangereuses sur son compte ? Oui, Lucifer est dieu… » Cette déclaration fut faite, à l’époque, aux vingt-trois conseils suprêmes du monde. Elle fait encore sursauter aujourd’hui, même des athées… !

Dans le Adelphi Quarterly (magazine Nouvel-Âge) No 3, 1992, page 7, il est écrit que la franc-maçonnerie a été formée comme une école de la fraternité luciférienne. Helena Petrovna Blavatsky, comme nous l’avons déjà mentionné, était une sataniste reconnue et fondatrice de la société théosophique. Elle, aussi bien que ses successeures Annie Besant et Alice Bailey, étaient toutes impliquées dans la franc-maçonnerie.

La secte des Témoins de Jéhovah a été fondée par un dénommé C. T. Russel, franc-maçon du 33e degré et Grand Maître dans la région de Chicago, en Illinois !

Il y a un siècle, une grande statue bâtie par un français du nom de Auguste Bartholdi fut placée dans le port de New York. On lui a donné le nom officiel de LA LIBERTÉ : LUMIÈRE DU MONDE.

Ce secret fut découvert le 4 juillet 1987, puisqu’il s’agit en fait d’un cadeau de la franc-maçonnerie française à la franc-maçonnerie américaine. La femme portant le flambeau est un symbole franc-maçonnique.

Le Général Albert Pike

Dans une circulaire franc-maçonnique, il est écrit, à propos de Pike : « Il n’y a pas d’homme plus pur et plus noble qui se soit tenu à l’autel de la franc-maçonnerie. Il fut le plus éminent maçon du monde ».

Sous la conduite directe des Jésuites, Pike a rédigé quelques-uns des rituels et il a réécrit les autres, du 4e au 33e degré. Pike a occupé la position de Pontif of Universal freemasonery (pontife de la franc-maçonnerie mondiale) et il a été à la tête des Illuminati durant les années 1870. Il fut grand prêtre de l’église satanique et l’un des fondateurs du Ku Klux Klan.

Il a été un héros confédéré de la Guerre civile américaine. Pike est considéré comme le plus important franc-maçon de tous les temps pour les raisons suivantes :

–> Il a été un génie reconnu.
–> Il parlait couramment 16 langues.
–> Il était diplômé de l’Université Harvard.
–> Il fut Général de Brigade au cours de la Guerre Civile.
–> Il connaissait parfaitement la cabale, ce système occulte du judaïsme, qui est au centre du Nouvel Ordre Mondial.

Lorsque Pike eut pris la tête de la Franc-Maçonnerie nord-américaine, il s’installa au « Temple de la Connaissance », à Washington, à treize (13) blocs au nord de la Maison Blanche, en ligne directe avec le grand obélisque maçonnique et Monument de Washington. Quand Andrew Johnson succéda à Abraham Lincoln, Pike eut ses entrées libres à la Maison Blanche, car Johnson était lui-même franc-maçon.

Ils eurent donc la voie libre pour mettre en application les ordres des Jésuites qu’avait reçus Albert Pike, concernant l’avenir de la Franc-Maçonnerie. Le fait qu’il était écouté par le Président des Etats-Unis a propulsé la Franc-Maçonnerie américaine en première ligne du pouvoir, pour la mise en place du Nouvel Ordre Mondial. Considérez les Présidents francs-maçons qui se sont succédés à cette époque :

–> Andrew Johnson (1865-1869).
–> James A. Garfield (1881).
–> William McKinley (1897-1901).
–> Theodore Roosevelt (1901-1909).
–> William Howard Taft (1909-1913).
–> Warren G. Harding (1921-1923).
–> Franklin D. Roosevelt (1933-1945).
–> Harry S. Truman (1945-1953).

Ainsi, tout au long de ces années cruciales entre la Guerre Civile et le début de la Guerre Froide, l’Amérique a été dirigée par des Présidents francs-maçons. Plus exactement, entre 1865 et 1953, période cruciale de 88 ans, les Présidents francs-maçons ont été au pouvoir pendant 44 ans ! Il faut que vous sachiez que les occultistes attachent une grande importance aux chiffres et aux nombres. Le nombre 11 est l’un des plus sacrés pour eux, ainsi que tous les multiples de 11. C’est l’une des raisons pour lesquelles les francs-maçons vénèrent le nombre 33, car il est égal à 11 fois 3, le chiffre de leur trinité.

En ce qui concerne la capacité des occultistes à atteindre leurs objectifs, vous devez vous rappeler simplement ceci :

Leur puissance est surnaturelle, certes, mais elle vient de Satan, qu’ils persistent à appeler de son ancien nom, Lucifer !

Comme la plupart des occultistes et selon la philosophie jésuitique, Albert Pike bénéficiait de l’aide des « esprits guides surnaturels », qui lui dispensaient la « Sagesse divine » et qui lui ont révélé comment mettre en place le Nouvel Ordre Mondial en s’harmonisant avec la Kabbale et le Talmud. Un « esprit guide » est un être surnaturel qui se révèle à ceux qui ont consacré leur vie à la pratique de l’occultisme. Vous devez réaliser que beaucoup de praticiens de la religion du Nouvel Âge ne considèrent pas du tout comme une mauvaise chose le fait d’avoir un esprit guide. En fait, ils vous diraient tous avec des cris d’enthousiasme qu’ils sont remplis de bonheur et de joie quand ils sont en relation avec leur esprit guide. Ils ne comprennent pas qu’ils ont été momentanément envoûtés par Satan, qui peut, comme ses démons, apparaître en Ange de Lumière, afin de les séduire.

Entre 1859 et 1871, Pike coucha sur papier les détails d’un plan militaire. Ce plan devait servir de base pour l’organisation de trois guerres mondiales et de trois révolutions majeures, qu’il considérait comme étant nécessaires pour faire aboutir la conspiration à son stade final dans le cours du 20e et 21e siècles.

Toutes ces sociétés secrètes s’entrecroisent et se ramifient, ayant les mêmes origines et buts occultes, puisqu’ayant le même esprit satanique. Les francs-maçons et les Illuminati en particulier, ont toujours travaillé en étroite collaboration vu que leurs dirigeants et créateurs sont les mêmes, soient : les juifs jésuites/sionistes/kabbalistes, etc.

Le plan de Pike pour provoquer les trois guerres et les trois révolutions mondiales était simple. Il requérait que le communisme, le nazisme et le sionisme politique, ainsi que d’autres mouvements internationaux soient organisés et utilisés pour fomenter les trois guerres globales et les trois révolutions majeures.

Ces « prophéties » de Pike ne se sont pas réalisées parce qu’il les avait eues dans une « vision » ; il les a prophétisées parce qu’il était au courant de leur planification et qu’il faisait partie des initiés à la kabbale. C’est là une nuance importante à apporter.

La Première Guerre Mondiale

Le rôle du Vatican dans l’instigation de la Première Guerre Mondiale

La Première Guerre Mondiale a servi à atteindre plusieurs buts où les Jésuites, les Juifs sionistes, les francs-maçons et autres sociétés secrètes y ont tous trouvé leur compte.

Le pape, qui s’affiche comme un homme de paix, est, en réalité, un homme de guerre qui instigua la Première Guerre Mondiale. L’Église catholique romaine a toujours ressenti une haine viscérale envers l’Église orthodoxe de l’Est. La Serbie est un pays à prédominance orthodoxe.

Le pape Pie X, par le biais de ses diplomates, tenta de persuader l’Autriche/Hongrie de « punir » la Serbie. Lorsque l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche/Hongrie, héritier présumé du trône d’Autriche et de Hongrie, fut assassiné à Sarajevo par un étudiant macédonien, Gravillo Princip, le 28 juin 1914, le pape sauta sur l’opportunité pour pousser l’Empereur catholique, Francis Joseph d’Autriche/Hongrie, à déclarer la guerre à la Serbie. Le chargé d’affaires bavarois du Vatican, le baron Ritter, écrivit ce qui suit à son gouvernement :

« Le pape est d’accord pour que l’Autriche traite sévèrement la Serbie. Il n’a pas une grande opinion des armées russes et françaises et il est d’avis qu’elles ne seraient pas d’une grande efficacité dans une guerre contre l’Allemagne. Le cardinal-secrétaire d’État ne voit pas quand l’Autriche pourrait faire la guerre si elle ne se décide pas maintenant. »

Le 28 juillet 1914, 1’Autriche/Hongrie déclarait la guerre à la Serbie, ce qui plongea toute l’Europe dans la Première Guerre Mondiale. À cause du rôle joué par le Vatican dans l’instigation de la Première Guerre Mondiale, les Alliés ne permirent pas sa présence à la table de conférence quand le traité de Versailles fut signé, en 1919. Il est intéressant de constater que ce fut l’Italie, le plus catholique des pays européens, qui insista pour que l’on exclut le Vatican. Par l’article XV du pacte de Londres du 26 avril 1915, qui définit la participation de l’Italie dans la guerre, le baron Sonino exigea que les alliés s’opposent à toute intervention du Vatican dans les accords de paix.

Pour ceux qui ne verraient pas la connexion entre le Vatican et la franc-maçonnerie, sachez qu’il existe au sein de cette dernière une série de degrés secrets dits « paladins » allant du 34e au 39e, et que Paul VI fut, à son époque, 39e degré paladin, donc chef de toute la maçonnerie mondiale. Étant donné qu’il devait obéissance au Pape Noir (le Jésuite Général), on en déduit inévitablement l’assujettissement complet de la maçonnerie au jésuitisme.

Le communisme catholique

Non seulement Rome initia-t-elle la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi l’instrument de la Révolution bolchevique. Bien que l’Église catholique s’opposât publiquement au communisme, elle l’aida financièrement de façon secrète et encouragea de toutes les manières possibles la révolution communiste en Russie. En avril 1917, Lénine et plusieurs de ses révolutionnaires-clés furent transportés à travers l’Allemagne dans un des tristement célèbres trains fermés, grâce aux fonds fournis par la famille jésuitique des Rockefeller. Diego Bergen, Allemand catholique romain formé à l’école de la Compagnie de Jésus, fut principalement responsable des arrangements du voyage de Lénine à travers l’Allemagne vers la Russie. Bergen devint plus tard ambassadeur de l’Allemagne au Vatican sous la République de Weimar et l’Allemagne d’Hitler.

Bien sûr, le Vatican s’attendait à être payé de retour pour son aide financière et logistique aux communistes. Entre 1917 et 1924, le Vatican entreprit des accords secrets avec Lénine, lesquels assuraient le soutien du Vatican aux communistes si ceux-ci supprimaient l’Église orthodoxe russe et faisaient de l’Église catholique la religion officielle de Russie. Les immenses richesses et possessions terriennes de l’Église orthodoxe devaient être transmises à l’Église catholique romaine dans leur totalité. En fin de compte, cependant, Lénine et ses successeurs dupèrent le Vatican en prenant son argent, mais en se rangeant du côté de l’Église orthodoxe. Cela fit évidemment des communistes russes les ennemis du Vatican.

Les bonzes du Vatican échouèrent à la Première Guerre Mondiale. Ce qu’ils ne purent accomplir dans la guerre, ils le réalisèrent par l’intrigue et la diplomatie. Le Vatican et les communistes travaillent à nouveau étroitement ensemble vers leur but ultime de domination mondiale. L’ancien jésuite Alberto Rivera découvrit que le Général Jésuite de son époque était maçon et communiste.

Le pape Jean-Paul II, communiste marxiste, a continué la progression entreprise par les papes Jean XXIII et Paul VI en direction d’un catholicisme marxiste. Quoique Paul VI ait cultivé des liens étroits avec Moscou, Jean-Paul II a choisi un communisme catholique plus indépendant de Moscou. C’est sa cassure avec Moscou qui a causé la tentative d’assassinat à son égard, le 13 mai 1981. Cela n’empêcha pas le Chœur de l’Armée rouge de se rendre au Vatican, le 16 octobre 2004, pour célébrer le 25e anniversaire du pontificat de Jean-Paul II…!

Wlodimir Ledochowski – Trente-sixième Jésuite Général de la Compagnie de Jésus 1915-1942

Au lendemain de la Première Guerre (1914-1918), le Général des Jésuites, Wlodimir Ledochowski (dit « le Rat »), le Pape Noir à cette époque, avait conçu un vaste plan pour la création, avec ou sans empereur Habsbourg, d’une fédération des nations catholiques de l’Europe centrale et orientale : Autriche, Slovaquie, Bohême, Pologne, Hongrie, Croatie, et aussi (et c’est capital) la Bavière.

Ce nouvel Empire central devait lutter sur deux fronts : à l’Est contre l’Union soviétique, à l’Ouest contre la Prusse, la Grande-Bretagne protestante et contre la France républicaine et laïque. À cette époque, Mgr Pacelli, futur Pie XII, était nonce à Munich, puis à Berlin, et intime du cardinal Faulhaber, principal collaborateur de Ledochowski. Le plan Ledochowski a été « le rêve de jeunesse de Pie XII ».