D.147 – La Terre ne bouge pas – Partie 5-2

 

CINQUIÈME PARTIE

(2)

LES MARÉES

Personne ne se disputera à propos du fait qu’il y a une relation entre ce que fait la lune et ce que font les marées. Après tout, la Bible dit que la lune fut destinée à servir de « signe » à l’homme (ce qui inclut le phénomène des marées) par les « saisons » et en donnant aussi de la lumière.

Cependant, dire qu’il y a une relation ou une connexion entre la lune et les marées est une chose ; dire que la lune cause et contrôle les marées terrestres (comme on l’a enseigné à tout le monde) en est une autre.

Tout d’abord — puisque Dieu a dit que l’un de Ses buts, en faisant la lune et en lui commandant de fonctionner comme elle le fait, est précisément en vue d’aider l’homme à mesurer les marées, à planter, à moissonner, etc. — nous voyons que la relation est surnaturelle. Il y a des « signes » et ils ont toujours marché pour ceux qui savent les lire. Donc, il y a une relation ou une connexion entre le comportement de la lune et l’apport de connaissance utile et nécessaire à l’homme.

Ensuite — puisque la « science » dit pouvoir expliquer toutes choses de manière naturelle, sans Dieu, et qu’elle désigne toute explication surnaturelle comme étant des superstitions soutenues par des gens obscurcis — nous voyons que l’évidente connexion entre le comportement de la lune et certains phénomènes tels que les marées doivent être expliqués de façon naturelle par l’establishment scientifique.

Ainsi, Dieu donne Ses explications surnaturelles des marées et l’homme les rejette et nous arrive avec des interprétations purement naturalistes, c’est-à-dire, que l’attraction gravitationnelle de la lune (assistée de l’attraction solaire) cause les marées.

L’une de ces explications constitue la Vérité et l’autre un mensonge. Regardons si nous pouvons trouver laquelle est laquelle. Premièrement, relevons certains faits et voyons où cela nous mène logiquement. Par exemple, il y a ce fait d’une zone de gravité neutre entre la Terre et la lune. Je cite pour cela une lettre en provenance de la NASA et datée du 5 avril 1990 et qui aborde cette matière :

« …En directe ligne de la Terre à la lune, nous trouverions des effets gravitationnels égaux à approximativement 216 000 milles [345 600 km], étant donné une distance moyenne de 240 000 milles [384 000 km] entre les deux corps… »[1]

D’autres sources confirment ce fait logique. Les Illustrations XIV et XV sont tirées des bouquins de l’un des scientistes célèbres dans le domaine des fusées, Werner von Braun. Elles dépeignent cette zone neutre de gravité.

Illustration XIV

                                                             

Illustration XV   

Donc, tout ce qu’on nous décrit ici doit logiquement être vrai si les statistiques à propos de l’attraction gravitationnelle de la Terre et de la lune sont exactes. On dit que la gravité de la Terre est six fois plus élevée que celle de la lune, ou, dit autrement, la gravité de la lune est de 1/6 ou 17 pour cent par rapport à celle de la Terre.

En quelque part entre les deux corps, l’attraction de l’un prend le pas sur l’attraction de l’autre. À ce point précis (que la NASA dit être en moyenne à 216 000 milles [345 600 km] de la Terre et que von Braun confirme) il y a une zone neutre de gravité où l’attraction gravitationnelle de la Terre devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la lune et, à ce même point, l’attraction gravitationnelle de la lune devient plus faible que l’attraction gravitationnelle de la Terre.

Le concept de la gravité et tous les soi-disant faits et les supposées lois qui décrivent les champs gravitationnels de la Terre et de la lune exigent cette situation. Bon, gardez cela à l’esprit pendant que nous lisons ce que la « science » dit concernant les marées sur Terre.

Ce que dit la « science », c’est que l’attraction de la gravité lunaire s’étend au-delà de la zone de gravité neutre (qui ne pourrait attirer un ballon rempli de plumes, un cheval mort ou l’Astrodôme) et continue au-delà de 50 000, 100 000, 216 000 milles [80 000 km, 160 000 km, 345 600 km] et suce la bonne vieille Terre vers elle comme si c’était un ballon de caoutchouc ! Je sais que c’est incroyable ; je sais que c’est insensé, mais c’est ce que l’explication naturaliste (i.e., « scientifique ») exige de la lune. Lisez-le par vous-mêmes dans ces exemples (que l’on répète dans tous les volumes sur le sujet) :

« Aussi étrange que cela puisse paraître, la Terre que nous croyons normalement être un corps solide est aussi affecté par la lune, ce qui provoque une marée. La masse terrestre est élastique et se soulève et s’affaisse réellement d’environ 4½ pouces [11,4 cm]. Nous ne sentons pas ces marées terrestres (…), mais elles ont lieu. »[2]
Dans son livre L’effet lunaire, Lieber dit :

« …l’attraction lunaire déforme la Terre comme si c’était un ballon de caoutchouc. Le continent Nord-américain peut se soulever jusqu’à six pouces [15 cm] lorsque la lune est au-dessus. »[3]

Le célèbre écrivain « scientifique », Asimov, a écrit :

« …la Terre, pour ainsi dire, s’étire en direction de la lune. La Terre solide ne s’étire pas de beaucoup, toutefois (seulement de neuf pouces [22,7 cm] de chaque côté), et seules des mesures délicates peuvent démontrer cet étirement. »[4]

Il mentait à propos des « mesures délicates », évidemment. Aucune mesure ne démontre cela (ni ce que disent les autres) ou ne pourrait le montrer. Les décorations mathématiques dérivant ou supportant de ces folles hypothèses peuvent montrer un étirement de 9” [22,7 cm] (deux fois plus que ce que vient de dire l’autre gars), mais aucune mesure n’a ou ne peut le montrer. Dans un bouquin « scientifique » pour enfants, nous lisons :

« Or, le sol terrestre ne bouge pas facilement, mais les eaux oui. Les eaux du côté terrestre le plus près de la lune s’amoncellent dans un « renflement », provoquant la marée haute. Mais en même temps, il y a une marée haute de l’autre côté de la Terre. D’après vous, quelle en est la raison ? Voici la réponse. Pendant que la gravité lunaire attire l’eau plus près d’elle un peu au-delà de la Terre, elle attire aussi toute la Terre un peu en dessous des eaux océaniques du côté le plus éloigné, y incitant une seconde haute marée. »[5]

Dans La lune : satellite naturel de la Terre, l’auteur Bradley dit la même chose en expliquant son diagramme sur le phénomène de la marée :

« …l’océan E [le plus éloigné de la lune], parce qu’il est beaucoup plus loin, n’est pas attiré vers la lune autant que le sol ferme ; la Terre est soutirée de l’eau ; et l’eau est, par conséquent, plus profonde durant cette partie du cycle des marées. »[6]

Bradley s’enfonce ensuite dans des chiffres qui sortent du mythe auquel il croit, chiffres si contradictoires que c’en serait comique si le monde n’était pas hypnotisé par cette séduction :

« La force lunaire qui soulève les marées est vraiment très faible comparée à la force de la gravité. La force lunaire de soulèvement des marées est environ le 1/9 000 000 de celle de la gravité terrestre… »[7]

Wow ! Un neuf millionième ! Voyons voir ; cela veut dire que l’attraction de la Terre vers son propre centre à l’endroit de sa propre croûte, ses océans et ses mers est neuf millions de fois plus puissante que l’attraction de la lune sur les même items, n’est-ce pas ? Neuf millions contre un ! Héï ! N’est-il pas suprêmement étonnant que neuf millions de mulets-vapeurs puissent tirer quelque chose dans un sens et qu’un seul mulet-vapeur puisse surmonter tout ça à chaque heure de chaque jour, étirer la Terre et faire en sorte que des zillions de mètres cubes d’eau changent de place partout ! Oui, assez étonnant, surtout lorsque cet unique mulet-vapeur s’arrête à 216 000 milles [345 600 km] dans la zone de gravité neutre ! Mamma mia !

Eh bien, il faudrait un bouquin entier pour entrer dans les théories insensées qui reposent sur l’idée centrale que la gravité lunaire étend ses doigts fantômes en dehors de sa cour, traverse les 216 000 milles [345 600 km] de la gravité terrestre et déforme comme de la pâte à pain un corps qui possède 81 fois sa propre masse et 50 fois son volume.[8] Et si l’on imaginait, maintenant, par le même principe, ce que devrait faire l’attraction terrestre sur le globe caoutchouteux de la lune ! Hein ? Ce devrait être un effet 6 fois supérieur à ce que l’on croit que la lune exerce sur la Terre, non ? Vous imaginez la déformation ? Comment ne pourrions-nous pas nous en apercevoir ?

Ce non-sens est, en tout ou en partie, la niaiserie de « l’entraînement des marées » pondue par le fils de Charles Darwin, Sir George Darwin. Ce concept dit que le mouvement des marées a causé un frottement à l’encontre de la rotation de la Terre, ce qui l’a fait ralentir d’environ 1/1000 de seconde par siècle (!) depuis 5 milliards d’années.[9] Un autre auteur traitant du même sujet en arrive à 14 secondes de ralentissement par siècle. En tous les cas, Sir George débuta son calcul à partir de l’époque hypothétique où la Terre faisait un tour sur elle-même à toutes les cinq heures et que la lune était si proche qu’on aurait pu lui botter le train. Toutefois, le frottement répété des marées l’aurait ralenti au cours des milliards d’années pour l’amener à tourner toutes les 24 heures à une vitesse de 1 034 MPH [1 654,4 km/h] et que, d’une manière ou d’une autre, la lune recule à sa distance actuelle. George ne s’arrêta pas là, mais s’attendit à ce que, dans le futur…

« …après des milliards d’années, la Terre aura besoin de 47 jours pour effectuer une rotation et la lune fera le tour de la Terre en 47 jours. »[10]

Pour avoir conçu ce « concept » (ni plus ni moins tordu et non-scientifique que le « concept » évolutionniste de son pôpa Charles), George est intronisé au Temple de la Renommée des Ligues Mineures dans n’importe quel livre que vous ouvrez sur le sujet et il a été adoubé « Sir » par dessus le marché. On se demande qui est en charge du système mondial de reconnaissance et du reste, n’est-ce pas ? (Bien sûr, la Bible dit qu’il est permis à Satan le Séducteur d’être le dieu de ce monde avant d’en être chassé pour toujours. Si c’est vrai — et il n’y a aucune raison d’en douter — il est parfaitement compréhensible que les individus qui mettent les séductions de Satan de l’avant dans le monde soient devenus des figures importantes dans tous les aspects du système mondial.)

Puis, il y a la partie de cette imbécillité de « gravitation-qui-cause-les-marées » qui introduit l’effet gravitationnel du soleil. Ça nous raconte comment la gravité du soleil assiste et contrebalance en même temps l’attraction lunaire pour produire les marées d’équinoxe et les marées des mortes-eaux distantes d’une semaine. Le même principe s’applique. Et il y a ensuite l’effet supposé de la gravité lunaire sur l’atmosphère terrestre… Et ainsi de suite. Quand je vous dis qu’il faudrait tout un bouquin !

Néanmoins, il n’a pas échappé à l’attention du lecteur, qui a eu la patience de lire jusqu’ici, que les vastes éons de temps, exigés pour que se répande toute cette bouffonnerie cosmique remplissent, comme une main dans son gant, les besoins de l’autre grand mythe de l’histoire moderne qu’est l’évolutionnisme. Le temps est le grand héros de ces deux complots ! Les deux ont un même auteur. Un même futur est réservé aux deux, c’est-à-dire, la dénonciation et la destruction par la Vérité de Dieu dans la Chute prochaine de Babylone. Nous en parlerons davantage plus loin.

Mais pour être sûr que l’on comprenne bien que tout ce concept d’étirement de la Terre causant les marées fait nécessairement partie intégrante de la « sagesse » et la « connaissance » naturaliste, humaniste et héliocentrique regardant les marées, examinons un autre exemple. Croyez-le ou non, ce joyau se trouve dans le magazine des ornithologues Audubon, de septembre 1989. Il s’agit d’un essai intitulé Attraction de la lune. L’auteur, Steinhart, y insère la « sagesse » conventionnelle concernant les marées d’une manière qui en dit long sur la profonde pénétration du mythe :

« Il y avait beaucoup de raisons pour que les anciens adorent la lune. La lune exerce une profonde influence sur la Terre. Lorsqu’elle passe au-dessus, sa force gravitationnelle attire un renflement d’eau océanique et provoque les marées. Quand elle s’enligne avec le soleil ou qu’elle est à son opposé — lors des nouvelles ou des pleines lunes — les marées sont plus hautes. Elle provoque même un renflement du sol quand elle passe. Moscou s’élève de 20 pouces [48 cm] deux fois par jour. Et, par moments, l’Empire State Building est soixante-trois pieds [19,3 m] plus près de la Tour Eiffel. Parce qu’elle tire plus fort sur tout ce qui est plus près, elle attire le sol plus qu’elle n’attire l’eau du côté éloigné de la Terre. Il y a donc aussi un renflement d’eau de l’autre côté du globe — une deuxième marée haute quotidienne. »[11]

Bon. Assez d’exemples. En termes peu compliqués, à l’intérieur de l’endoctrinement mondial dans l’héliocentrisme, il faut qu’il y ait un mécanisme expliquant le mouvement des corps célestes, ce qui les garde en place, etc.. Cette explication, ou ce mécanisme, on l’appelle « La Loi de la Gravitation Universelle ». On en a crédité Newton, mais c’est Kepler qui en trouva la première formule, comme nous l’avons vu. Cette « Loi de la Gravité Universelle » est enseignée et crue par tous sans exception, mais cela demeure néanmoins un concept absolument insensé qui viole et contredit son principe magnétique essentiel chaque seconde de chaque jour, année après année.

Même si, momentanément, l’on pouvait engager un cerveau qui puisse concevoir le sensible équilibre entre les forces gravitationnelles, disons, de la Terre et de la lune, un équilibre qui serait atteint par la distance la plus précise, exacte et invariable possible entre deux corps, alors ce même cerveau deviendrait tout ahuri lorsqu’il serait confronté au fait que pareille distance stable n’existe nulle part entre ces deux corps (ni les autres, d’ailleurs !). En effet, la réalité indéniable, c’est que la distance entre la lune et la Terre varie régulièrement de plus de 31 000 milles [49 600 km] ! Lorsque la lune s’approche de plus en plus près de la Terre, elle subit l’attraction terrestre de plus en plus fort. Comment peut-elle donc alors résister à cette attraction et la combattre ? Par contre, lorsqu’elle s’éloigne à son apogée et qu’elle s’échappe de plus en plus de l’attraction de la Terre à une vitesse incroyable, comment peut-elle arrêter son éloignement et revenir ensuite ?

La gravité n’explique pas cela. Elle ne peut expliquer cela. La gravité n’explique pas les marées. Elle ne peut pas l’expliquer. C’est la même chose pour l’orbite annuelle supposée de la Terre autour du soleil. Le simple fait est, qu’à certaines époques de l’année, nous sommes plus près de deux millions de milles [3 200 000 km] du soleil qu’à d’autres époques de l’année.

L’explication de la gravitation pour démontrer pourquoi les corps célestes réagissent comme ils le font ne contient aucune preuve scientifique. C’est un non-sens de A à Z, une contradiction, une notion illogique et impossible perpétrée envers le monde par vous-savez-qui afin de discréditer la Bible.

En fait, la gravitation universelle est une hypothèse dépourvue de sens et stupide, exactement comme le mécanisme de « sélection naturelle » de Darwin est aujourd’hui reconnu comme une hypothèse insensée et idiote, incapable d’expliquer l’évolutionnisme. Ces deux folles hypothèses ont le même être pour auteur, Satan le Séducteur. Elles ont toutes deux le même but : miner la crédibilité des Écritures. Elles partageront le même destin : la dénonciation en tant que mensonges auxquels ne peuvent adhérer que ceux qui n’ont pas reçu l’amour de la vérité (2 Thessaloniciens 2:10), ceux qui adoptent de manière « volontaire » ces mensonges, même s’ils connaissent mieux (2 Pierre 3:5) ; bref, par ceux dont le dieu réel est le père du mensonge (Jean 8:44).

LES ÉCLIPSES

Tout le monde a entendu parler des éclipses. À peu près tout le monde en a vu une sinon plusieurs. Il y en a deux sortes : l’éclipse solaire (soleil) et l’éclipse lunaire (lune). On les explique comme ceci :

« Le nombre maximum d’éclipses est de sept par année — cinq solaires et deux lunaires, ou quatre solaires et trois lunaires. Le minimum est de deux éclipses, toutes les deux solaires. »[12]

Lorsque la lune bouche le soleil, il s’agit d’une éclipse solaire : la lumière du soleil est éclipsée. Quand c’est la Terre qui bloque la lune, il s’agit d’une éclipse lunaire : la Terre éclipse la lumière solaire apparaissant sur la lune. Éclipse veut simplement dire : obstruction de la lumière d’un corps céleste par un autre.

Bon. Maintenant, regardez une copie d’article de journal (Illustration XVI) provenant du Asheville N.C. Citizen du 30 mai 1984. (Des douzaines d’autres journaux rapportèrent la même chose, évidemment.)

Vous prendrez note que le reportage parle d’un événement futur. Il parle d’une éclipse devant survenir le jour suivant la parution de l’édition du journal. Il dit précisément où passera l’ombre et quand elle atteindra chaque localité de la carte. Est-ce que, le jour suivant, tout arriva comme l’avait dit le reportage ? Absolument. En plein dans le mille. Perfectemente. Mais comment tout cela fut-il calculé ?

Disons, pour commencer, que l’homme sait comment faire depuis les temps anciens. Ce n’est donc pas du nouveau. Évidemment, la technologie va bien plus loin, grâce aux faits tirés des films pris du phénomène, mais le calendrier des éclipses est calculé avec grande précision depuis de nombreux siècles.

Illustration XVI

Oui… mais comment calcule-t-on une éclipse ? Allons voir quelques éclaircissements dans l’Encyclopédie Britannica. Arrivés à la partie que nous recherchons, nous trouvons l’explication suivante, sous l’entête Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires :

« Le problème se subdivise en deux parties. Le premier est de trouver quand arrive une éclipse ; l’autre est de déterminer quand et où elle sera visible. »[13]

Or, remarquez ce qui suit avec attention :

« À cette fin, IL EST COMMODE DE CONSIDÉRER D’ABORD LA TERRE COMME ÉTANT FIXE et supposer que l’observateur regarde à partir de son centre… »[14] (emphase ajoutée)

Cela signifie-t-il que tous les calculs précis et les statistiques exactes pour savoir où se déplace l’ombre pendant une éclipse sont effectués sur la base d’une Terre immobile, totalement stationnaire, i.e., « fixe » ?? C’est exactement ce que ça dit !

Une minute… Si toutes ces statistiques sont basées en fonction d’une Terre immobile et qu’elles s’avèrent toutes justes, cela ne prouve-t-il pas que la Terre ne bouge pas ? Car, enfin, l’ombre ne peut pas aller dans le même sens si la Terre tourne à plus de 1 000 MPH [1 600 km/h] que si elle est immobile !

Cependant, des scientistes aveugles vous dirons que cela n’a aucune importance, que tout est relatif à l’endroit d’où vous observez et toutes ces âneries. Ils vous ferons remarquer que la citation de l’Encyclopédie dit « …il est commode… » d’employer une Terre fixe pour obtenir les bons résultats, mais que les mêmes résultats seraient atteints en se basant sur une Terre en rotation, etc.. Mais nous pouvons constater la vérité au cœur de l’affaire : c’est-à-dire que nous pouvons vraiment PROUVER que la Terre ne tourne pas à partir de cette simple illustration, à condition d’oublier notre endoctrinement, refuser de bouger sur les faits et défendre que toute hypothèse non-soutenue contredise les faits. D’accord ?

Fait numéro un : L’ombre d’une éclipse solaire va dans une certaine direction. Fait numéro deux : Cette direction est prévisible avec précision avant que n’arrive l’éclipse. Fait numéro trois : Ces prévisions précises sont obtenues en commençant d’abord avec une Terre « fixe » (immobile). Fait numéro quatre : Les calculs obtenus et fondés sur une Terre fixe ne pourraient pas être obtenus correctement s’ils étaient appliqués à une Terre qui tourne à plus de 1 300 pieds/seconde [400 m/s] à l’Équateur. Ce n’est tout simplement pas possible ! Pourtant, on nous dit encore que ce qui est impossible arrive vraiment ! On nous dit que les calculs écliptiques qui sont basés et ne peuvent s’appliquer qu’à une Terre qui ne tourne pas fonctionnent exactement et précisément de la même façon avec une Terre qui tourne plus vite que la vitesse du son, dans un sens, 30 fois la vitesse d’une balle de fusil, dans une autre direction, et 250 fois la vitesse d’une balle de fusil dans une troisième direction !!

À tous ceux qui désirent la Vérité, Dieu, par Sa Parole, assure qu’Il n’est pas l’auteur de la confusion (1 Corinthiens 14:14), qu’Il nous a fait don d’un esprit de force, de charité et de prudence (2 Timothée 1:7). Il a dit qu’Il a suspendu la Terre sur le néant et qu’elle ne sera point ébranlée (Job 26:7 ; Psaume 93:1). Il a dit que le soleil fait le tour de la Terre chaque jour (Psaume 19:6) et qu’Il a stoppé le mouvement du soleil (pas celui de la Terre) en réponse à la prière de Josué (Josué 10:13).

Beaucoup de chrétiens disent, comme l’étiquette sur leur pare-choc : « Dieu l’a dit ; je le crois ; et ça règle le cas. » Le fait est que cela ne change rien si nous croyons ou non à quelque chose que Dieu a dite dans Sa Parole : c’est vrai quand même ! Mais si quelqu’un fait partie des 3 pour cent environ de la population mondiale qui croient que la Parole ne contient pas d’erreur, ils croiront donc que la Terre ne bouge pas parce que c’est écrit et non pas parce que d’autres y croient ou non. Et Dieu a établi la direction de l’ombre écliptique pour prouver l’immobilité de la Terre telle que stipulée dans Sa Parole !

Et, en passant, la direction que prend l’ombre des éclipses solaires est toujours l’est. Dans son livre, La lune, l’auteur Brenna confirme le fait :

« Les éclipses solaires surviennent lorsque la lune se positionne entre le soleil et la Terre (…) Ce cercle sombre [l’ombre] se déplace en direction est sur la surface de la Terre… »[15]

Combinez ce fait réel avec l’hypothèse de la supposée rotation de la Terre en direction est et n’importe qui pourra s’apercevoir bien vite que cette rotation ferait en sorte que l’ombre se dirigerait vers l’ouest et non vers l’est parce que la Terre se dégagerait toujours plus vite que ce que l’ombre peut se déplacer. En fait, CE PHÉNOMÈNE NOUS FOURNIT UNE DÉMONSTRATION VISUELLE DE L’ABSENCE D’EFFET CORIOLIS !!

A ce moment-ci, tout un chacun réalisera la nécessité de fonder les prédictions concernant la course de l’ombre sur une Terre « fixe » !! Par conséquent, en reprenant l’exemple d’une éclipse solaire (celui d’une éclipse annuelle prise dans le journal de 1984) ou tout autre exemple du genre, nous pouvons clairement constater ce qui arriverait vraiment si la Terre tournait pendant une éclipse : toutes les prédictions seraient toujours fausses !

En vérité, les prédictions basées sur une Terre immobile fonctionnent pour une seule raison, c’est-à-dire que la Terre EST fixe ! Point à la ligne et changeons de paragraphe !

De fait, les calculs qui disaient, dans notre exemple, que l’ombre se déplacerait de la Nouvelle-Orléans vers Washington, en passant par Atlanta, s’avérèrent le jour suivant. Les mêmes calculs auraient été faux si la Terre se déplacerait vraiment à 1 000 MPH [1 600km/h]. Tout au moins, c’est ce que nous voyons. Et s’il n’y avait rien eu d’autre d’établi ici ou ailleurs, ce serait toute la preuve dont nous aurions besoin pour prouver que la Terre ne bouge pas.

Mais mettons-y encore tout de même un peu d’emphase avant de passer à autre chose. Remarquez qu’une Terre en rotation aurait forcé l’ombre de l’éclipse solaire du 30 mai 1984 à se déplacer vers le nord-ouest, pas vers le nord-est ; de la Nouvelle-Orléans vers Denver, pas vers Washington ! Nous pouvons le constater en prenant fait que le temps pris par l’ombre pour couvrir la distance entre la Nouvelle-Orléans et Washington fut d’à peu près trois-quart d’heure. Rappelez-vous maintenant que le frauduleux copernicisme exige que la Terre tourne vers l’est. Ajoutez à cela la vitesse que l’on suppose à la rotation de la Terre à la latitude de Washington, soit environ 800 MPH [1 280 km/h]. Notez ensuite que trois quarts d’heure à 800 MPH donnent 600 milles [960 km]. (À la latitude de la Nouvelle-Orléans, la rotation aurait été de plus ou moins 900 MPH [1 440 km/h]). Ainsi donc, notons que, pendant ce temps, Washington se déplace vers l’est à 600 milles selon le concept mythique qu’on nous a enseigné à tous (et la Nouvelle-Orléans à 675 milles !). Par conséquent, après trois quarts d’heure, lorsque l’ombre touche Washington (comme elle l’a effectivement fait si l’on se fonde sur les calculs de prédictions d’une Terre fixe), Washington n’est plus là… c’est plutôt St-Louis !

Personne ne sortira de ça ! Les coperniciens ont essayé de se sortir de la plupart de leurs problèmes en répondant que l’atmosphère entier entourant la Terre est une « enveloppe » attachée qui tourne avec la Terre. Le mouvement des oiseaux, des avions, etc., s’expliquerait par cette « enveloppe » mouvante (tout insensé cela puisse-t-il être, lorsque considéré en regard des diverses vitesses et autres facteurs). Mais CES OMBRES D’ÉCLIPSES PROVIENNENT D’AU-DELÀ de cette « enveloppe » atmosphérique ! Ces ombres sont projetées comme des faisceaux de laser au travers de « l’enveloppe » pendant plus de trois heures. Le soleil et la lune font ce qu’ils font pendant trois heures et l’ombre « faisceau laser » indique la Terre pendant tout le temps que la lune passe devant le soleil. Aussitôt que le soleil et la lune commencent à se superposer dans le ciel, l’ombre, ou le « faisceau » frappe et atteint un endroit spécifique et prévisible sur la Terre. Le « faisceau » est lancé directement au travers de « l’enveloppe » atmosphérique et frappe, disons, la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis. Cette ombre (ce « faisceau laser ») va se déplacer et aller en une direction donnée au-dessus de la sphère terrestre pendant le temps de l’éclipse parce que sa SOURCE change continuellement et se déplace !

C’est comme un pistolet laser sur un satellite se mouvant lentement, situé à un quart de million de milles [400 000km] et pointant son rayon sur la Nouvelle-Orléans. Vous voyez le portrait ? Maintenant, répondez à quelques questions : y a-t-il moyen que l’ombre, le faisceau laser, se fixe sur la Nouvelle-Orléans pendant toute la durée de l’éclipse ? Évidemment non. Pourquoi ? La source, le pistolet laser, est toujours en mouvement et le faisceau (l’ombre) qu’elle envoie ne peut demeurer au même endroit. OK, ça, au moins, c’est certain. Nous savons que la source bouge.

Or, on nous a enseigné depuis 400 ans que la cible, l’objet, la Terre bouge aussi, mais nous ne savons pas cela. Ce que nous sommes sûrs de savoir, c’est que la source, la lune, bouge. Bien. Maintenant, une autre question : Si la Nouvelle-Orléans voyage vers l’est pendant 2 700 milles [4 320 km] lors des trois heures que dure l’éclipse, tel que le rapporte le journal, est-ce que le « faisceau laser » va se déplacer sur les mêmes parties de la Terre que s’il parcourait un territoire où ni la Nouvelle-Orléans, ni aucun endroit ne bouge d’un pouce ?

Personne n’est assez idiot pour rater la réponse à cette question. La réponse est NON ! Bon. En voici une autre. Nous savons que des prédictions exactes nous ont dit, tout au long de l’histoire du monde jusqu’à aujourd’hui, quand et où ces ombres en « faisceau laser » commençaient et se terminaient durant une éclipse. Nous savons que les calculs qui ont servi à produire ces prédictions précises ont toujours été fondées sur une Terre immobile. Voici la question : est-ce que ces calculs seraient arrivés aux prédictions précises qu’ils ont produits si la Terre avait tourné ?

« Vous plaisantez ? Pas du tout ! » vous exclamerez-vous. En effet, il n’y a rien à changer, le cas est réglé. Des mathématiques loufoques et un tableau noir peuvent avoir été capables de « faire croire » que la Terre tourne, mais aucune somme de maths inventées, grognasses et tordues peuvent la faire tourner pendant une éclipse solaire !

Lors de la Deuxième Résurrection, nous alignerons Copernic, Kepler, Galilée, Einstein, Sagan et tous les autres devant leurs tableaux noirs et nous y ferons passer ce « faisceau laser » au-travers. Personne ne fait de prédictions d’éclipse en se fondant sur une Terre qui tourne et ce, pour une excellente raison : ça ne peut pas se faire !! Tous les calculs établis sur une Terre en mouvement seraient forcés de démontrer et faire reconnaître que la Nouvelle-Orléans s’est déplacée de 675 milles [1 080 km] vers l’est en 45 minutes et quelque 2 700 milles [4 320 km] vers l’est en trois heures. Il n’y a pas moyen de sortir de là. C’est une trappe sans issue ! Et il n’y a pas moyen de sortir du fait que la source du « faisceau laser » se déplace d’une manière précise et connue. Les coperniciens sont aussi attrapés par ce fait-là. Par conséquent, quand les calculs établis à partir des faits connus et inéluctables concernant la source du « faisceau laser », ou de l’ombre, sont agrafés aux « faits » qu’exige la théorie de la Terre-qui-tourne, en aucune façon l’ombre « faisceau laser » peut se déplacer comme elle se déplace selon les faits réels !

C’est le fin mot de l’histoire. Tout le monde doit être d’accord ! En effet, c’est un trappe de laquelle les coperniciens ne peuvent s’échapper. Dieu a fait de cette trappe une preuve ! C’est un des signes que Dieu a construits dans Sa création des corps célestes ! Il a attendu jusqu’à aujourd’hui pour révéler ce signe, un signe qui prouve que Sa Parole est la Vérité lorsqu’Il dit que la Terre est immuable ! La preuve irréfutable, observable et vérifiable des ombres écliptiques a scellé la porte de la trappe ; et ce que Dieu ferme, aucun homme ne peut l’ouvrir (Apocalypse 3:7) ! Voici ces Vérités :

  1. Les ombres d’éclipse ont toujours rempli les prédictions parce que celles-ci étaient fondées sur des calculs eux-mêmes basés sur une Terre immobile ;
  2. Les ombres d’éclipse ne pourraient jamais remplir les prédictions qui seraient fondées sur des calculs qui seraient eux-mêmes basés sur le concept d’une Terre qui tourne, parce que de telles prédictions seraient forcées de démontrer une course bien loin à l’ouest de ce qui arrive réellement.

Donc, essentiellement : l’ombre (le faisceau laser) va toujours en direction de ce qui est prédit parce que les calculs sous-tendant ces prédictions sont fondées sur une Terre immuable, fixe, statique, immobile, stationnaire, inchangée, inerte, sans mouvement… !

Ça doit être assez clair… ?

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[1] Brian Dunbar, Bureau des Affaires Publiques, Bureau du Service et des Applications Spatiales, NASA Washington, D.C., 04/05/90.

[2] Carroll V. Glines, Co, USAF, Le premier livre de la lune, (Franklin Watts, inc., N.Y., N.Y., 1967), p. 21.

[3] Arnold L. Lieber, L’effet lunaire, (Anchor Press, Doubleday, Garden City, N. Y., 1978), pochette de couverture.

[4] Isaac Asimov, La planète double, (Abelard-Schuman, London, N.Y., Toronto, 1960), p. 100.

[5] Jean et Cle Kinney, Que fait la marée ?, (Young Scott, éd., 1966), p. 32.

[6] Franklin M. Bradley, La lune : satellite naturel de la Terre, (Thomas Y. Crowell, Cie, 1960), p. 84.

[7] Ibidem, p. 85.

[8] Ibidem, p. 82.

[9] Ibidem, p. 85.

[10] Ibidem.

[11] Paul Steinhart, Attraction de la lune, Audubon, septembre 1989, p. 32.

[12] Ben Shupack et Fred Schering, Maîtrise de la science terrestre, (Oxford Book Cie, N.Y., Los Angeles, 1963), p. 260.

[13] Encyclopédie Britannica, Macropaedia, Prédiction et calcul des éclipses solaires et lunaires, (Chicago, etc., 1976), Vol. 6, p. 191.

[14] Ibidem.

[15] Virgilio Brenna, La lune, (Golden Press, N.Y., 1964), p. 39.