La fin de la « Grande Expérience » est au premier plan

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Février 2021

Par Jerry Barrett

Une atmosphère lugubre est tombée sur l’Amérique

Les fondateurs de notre jadis grand pays nous ont fait connaître un plan pour que le gouvernement soit contrôlé par le peuple. Dans la Déclaration d’Indépendance envoyée en Grande-Bretagne, ces hommes éminents déclarèrent :

« Nous tenons ces vérités comme allant de soi, savoir, que tous les hommes ont été créés égaux, qu’ils sont dotés par le Créateur de certains Droits inaliénables, que parmi eux, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. – Que pour assurer ces droits, les Gouvernements sont institués parmi les Hommes, tenant leurs justes pouvoirs du consentement des gouvernés, – Que lorsqu’une quelconque Forme de Gouvernement devient destructive à ces fins, c’est le Droit du Peuple de l’altérer ou de l’abolir, et d’instituer un nouveau Gouvernement… »

Ces hommes avaient une grande ambition en désirant créer un pays unifié. L’ébauche de notre Constitution servit de cadre à ce que le gouvernement pouvait et ne pouvait pas faire. Les items qui n’étaient pas spécifiés furent laissés aux états individuels pour gouverner tel que communiqué dans le 19e Amendement. Un système de freins et contrepoids fut créé pour limiter l’étendue de pouvoir qu’une branche quelconque pourrait exercer sur le citoyen.

Lorsque cela a commencé, il fut envisagé que des gens ordinaires serviraient – donnant volontairement de leur temps – en tant que représentants de leur district, ou de leur état, avec une chose en tête… l’amélioration de notre pays. Malheureusement, même le plan le mieux configuré peut être usurpé par ceux qui possèdent des motifs secrets.

Le pouvoir corrompt… le pouvoir absolu corrompt absolument

Le pouvoir émanant de Washington, D.C. est trop séduisant pour que tous y résistent. L’explosion des lobbyistes et des avocats, ainsi que l’avènement des politiciens professionnels a conduit à une valse de corruption. Comme le dit le vieil adage : « Le pouvoir corrompt… le pouvoir absolu corrompt absolument ».

Le principal stratège en revenu de Investmentu.com, Marc Lichtenfeld, a écrit : « J’ai une méthode infaillible pour devenir riche… et ce n’est pas très risqué, parce que l’on connaît déjà le résultat. En fait, vous y contribuez. Tout ce que vous avez à faire pour multiplier votre revenu net par dix, c’est d’être élu au Congrès. »

Ce qui a débuté comme une « Grande Expérience » – cette République constitutionnelle – s’est fractionné en un cloaque d’ordures, de corruption et d’accaparement d’argent. La politique en général et les politiciens en particulier sont majoritairement considérés de détestables créatures. Rien ne reflète plus vivement cette déclaration que les événements survenus au 21e siècle – et nous n’en sommes même pas au quart !

Qui paie sa « juste part » ?

Dans l’Article 1, Section 8, Clause 1 de la Constitution des États-Unis, il est déclaré :

« Le Congrès aura le pouvoir d’imposer et de recueillir des Taxes, des Droits, des Impôts, des Taxes d’accise pour payer les Dettes et pourvoir à la Défense commune et au Bien-être général des États-Unis ; mais tous les Droits, les Impôts et les Taxes d’accise seront égaux dans tous les États-Unis. » [Emphase ajoutée]

Un grand nombre de gens qui soumettent leur retour d’impôt à chaque mois d’avril le font en croyant que tous paient leur juste part. En fin de compte, nous sommes d’abord Américains et l’amélioration de notre pays fait appel à notre diligence. Ceux qui creusent la vérité et qui la diffusent sont mieux au courant. Avec un minimum de recherche, l’on découvre rapidement qu’Amazon.com a payé ZÉRO dollars en 2019.

Une compagnie multimillionnaire ? Comment cela se peut-il ? En déplaçant des fonds dans des organisations et des fondations « exemptes de taxes » et en utilisant d’autres lacunes écrites dans le code de taxation ! Vous pouvez être sûrs que ce ne sont pas les seules compagnies à employer ces options.

Donner des armes au gouvernement

Pendant le régime d’Obama, Loïs Lerner – directrice de l’Unité des organisations exemptées du Service de Revenu Interne (IRS) – cibla des groupements conservateurs et leur refusa le statut d’exemption de taxes. Après l’élection de Joe Biden en 2020, ces mêmes craintes sont à nouveau soulevées. Jusqu’où se vengera l’IRS sous son administration ?

De même, le Bureau Fédéral d’Investigation (FBI) a été « armé » lorsqu’Obama était en fonction à la Maison Blanche – bien que, pour dire toute la vérité, cela avait commencé sous George W. Bush. Avec le Patriot Act mis en force, l’espionnage, l’écoute téléphonique et la surveillance furent légalisés au travers des actions des tribunaux de la FISA sans procès équitables.

Non seulement le Patriot Act usurpait-il le pouvoir du 4e Amendement, mais de même les mandats, et les ordres de quarantaine et de confinement émis par les fonctionnaires locaux et étatiques. La pLandémie actuelle a permit que l’on piétine nos droits sans aucun recours. Est-ce précurseur de l’avenir ?

Faisons-nous face à un contrôle totalitaire ?

La seule chose qui ait empêché une complète prise de pouvoir totalitaire de notre pays, c’est le 2e Amendement. Toutefois, ça aussi est attaqué par des progressistes qui exigent avec véhémence une législation pour le contrôle des armes. Joe Biden s’est engagé à utiliser la législation et des Ordres exécutifs pour promulguer des mesures de contrôle des armes. Voici ce que l’on cite dans joebiden.com/gunsafety :

  • La Protection du Commerce Légal dans la Loi sur les Armes protège les manufacturiers d’armes d’être tenus civilement responsables de leurs produits. Biden mettra une priorité à abroger cette protection.
  • Bannir la manufacture et la vente d’armes d’assaut et de chargeurs à haute capacité. Pendant qu’il travaille à faire passer cette législation, Biden emploiera aussi son autorité exécutive pour bannir les importations d’armes d’assaut.
  • En tant que Président, Biden va poursuivre la législation pour régulariser la possession d’armes d’assaut existantes sous la Loi Nationale sur les Armes à feu.
  • Dans le but de réduire le stockage d’armes à feu, Biden soutient la législation astreignant à une par mois le nombre d’armes à feu qu’un individu peu acheter.
  • Biden va promulguer une législation interdisant à un individu « qui a été trouvé coupable d’un méfait de crime de haine, ou reçu une sentence prolongée d’un méfait pour cause de haine ou un penchant pour sa perpétration » d’acheter ou de posséder une arme à feu. [Emphase ajoutée]
  • Biden va promulguer une législation pour interdire toute vente en ligne d’armes à feu, de munitions, de kits et de pièces de fusil.

Une fois atteint le contrôle des armes, le droit suivant qui tombera sera le 1er Amendement. Le « politiquement correct » sera au centre de tout, et quiconque choisira de ne pas s’y plier en subira de sévères répercussions. J’ai mis à dessein l’emphase sur « méfait de crime de haine » dans la liste ci-dessus. Les progressistes ont déclaré la guerre contre les pronoms qui spécifient les genres.

Emanuel Cleaver, ministre méthodiste uni qui commence son neuvième terme, a terminé la prière d’ouverture du premier jour du nouveau Congrès en disant « amen and awomen » [men étant « hommes » et women étant « femmes »]. Newt Gingrich a tweeté ses pensées : « Parfaite prière de la Chambre des Démocrates se terminant telle que se concentre la Chambre des Démocrates sur la sécurité du genre en abolissant pratiquement tous les termes normaux de genre comme “père, mère” ».

Égalité pour tous ?

Biden s’est aussi fait le champion de l’adoption d’une législation qui est encore dans la Chambre des Représentants et nommée Loi sur l’Égalité. Cette loi donnera à la communauté LGBT la reconnaissance et la validation prévues pour le progrès. Elle bannira la discrimination fondée sur la sexualité ou l’identification de genre.

Mais plus important, ce projet de loi niera toute défense pour ceux qui défient ces protections en se basant sur la Loi de Restauration de la Liberté de Religion de 1993. Cette loi sera fort certainement utilisée pour intimider les entreprises, particulièrement les petites entreprises appartenant à des chrétiens.

Le cycle de la liberté

Notre pays sera mis en pièces si les progressistes qui tirent les ficelles de Biden arrivent à leurs fins. La dernière ligne de défense, le droit de garder et de porter des armes est – pour jouer avec les mots – carrément dans la mire des Démocrates.

Alexander Tytler, historien écossais qui vécut à l’époque de la fondation de notre pays, identifia les séquences du « Cycle de la liberté ». Elles sont comme suit :

« Une société démarre dans l’esclavage ; de l’esclavage, elle en vient à la foi spirituelle ; de la foi spirituelle au courage ; du courage à la liberté ; de la liberté à l’affluence ; de l’affluence à l’égoïsme ; de l’égoïsme à la suffisance ; de la suffisance à l’apathie ; de l’apathie à la dépendance ; et de la dépendance de retour à l’esclavage. »

Notre pays est sur le bord de compléter ce cycle. Il n’y a qu’un petit pas pour descendre de la dépendance vers l’esclavage. Le dernier bastion se dressant sur le chemin, ce sont ceux qui chérissent la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur. Priez pour que bien d’autres se joignent à nous. Alors, peut-être pourrons-nous sauver notre pays de l’abîme et continuer la Grande Expérience.


Par Sandra Myers

Dieu a-t-Il été enlevé de l’éducation de nos enfants ?

Comme vous vous le rappelez, d’abord, dans les années 1960, de nouveaux manuels parurent, mettant l’emphase sur l’évolution plutôt que sur la création. Ensuite, aussi dans les années 1960, la Cour Suprême enleva des écoles la prière et la lecture de la Bible. Pourquoi donc devrions-nous nous attendre à ce que nos enfants se conduisent bien alors qu’on leur enseigne qu’ils ne sont pas plus élevés que des animaux et que les absolus des Écritures ne comptent pas ?

Puis vint l’ère des parents qui voulaient être les « meilleurs amis » de leurs enfants, n’offrant que peu dans le domaine de la discipline et de la guidance. Et avec ça, grâce à la magie de l’Internet, des jeux vidéo et de la télévision, notre jeunesse se voit constamment bombardée de sexe, de violence et de morts épouvantables, de drogues et de questions et de valeurs sociales confuses.

Qu’est-ce qui a causé ces changements drastiques de nos valeurs ? Comment est-ce arrivé si rapidement ? Les vérités absolues de Dieu ont été reniées. Or, cette façon de penser a été adoptée par les écoles, les entreprises, les organisations communautaires, les grands courants d’églises, les groupes sociaux et politiques de partout en Amérique. Tels que sont nos enfants, telle sera notre nation future.

Qu’apprennent-ils ?

De la maternelle à la douzième année, l’enseignement du Tronc Commun déclare s’assurer que tous les enfants sont préparés de manière égale à mesure qu’ils avancent d’un niveau à l’autre en leur dictant exactement ce que chaque étudiant de la maternelle à la douzième année doit savoir en art, en langue et en mathématique au moment de compléter chaque année. Le modèle d’apprentissage « uniforme pour tous » cherche à transformer les enfants en automates anonymes. C’est un véritable abêtissement de nos enfants.

L’école n’enseigne pas à nos enfants comment penser, mais quoi penser.

Or, en commençant par la maternelle, les enfants sont endoctrinés dans l’idéologie des genres. C’est une nécessité pour le bien des enfants, déclare Pamela M. Malins, de l’Université de l’Ouest de l’Ontario :

« L’hétérosexisme et la misogynie demeurent envahissants dans la société nord-américaine, et l’éducation a le potentiel de fournir aux enfants des occasions de rendre différemment le sens des choses et de cultiver une société plus respectueuse et ouverte, en commençant par un curriculum attendu… Les enfants sont actifs dans la construction de leur genre et de leur identité sexuelle, et ils font partie, ou sont entourés, de familles diverses, ou ils remettent en question leur identité personnelle. Dans une société multiculturelle et à modèles multiples, on ne peut ignorer ou éviter la diversité d’identité. Les enfants méritent et ont le droit à une éducation qui inclut et embrasse toutes les options d’identité et toutes les familles. »

Également d’un rapport de Michael McCaffrey, écrivain à RT.com à la suite des émeutes « Lloyd Floyd », sa garderie est maintenant sujette à l’apprentissage de la Théorie sur la Critique de Race et ses éducateurs « éveillés » lui enseignent comment être un activiste. « Ce n’est pas de l’éducation – c’est de l’endoctrinement éhonté, » déclare McCaffrey.

Collège : « Voulez vous des frites avec votre commande ? »

Le temps que les étudiants aillent au collège, il ne pourrait que leur rester que peu de résistance face aux influences du monde. En plus du programme qu’ils ont déjà reçu, ils sont soudainement libérés des leçons et des contraintes de leurs parents. Ils sont aussi entourés de camarades de dortoir de différentes croyances ou sans foi du tout. Dans bien des cas, la culture de la vie collégiale encourage une mêlée générale hédoniste. On oublie Dieu. Ils font partie de la tendance croissante visant à dire au revoir à la foi. Avec cela, la gauche libérale cimente chez les jeunes adultes la programmation qui survient dans la plupart des collèges. Que l’on en fasse de bons petits citoyens du monde.

Dès leur plus jeune âge, et au moment où ils sont le plus impressionnables, l’on n’enseigne pas à nos enfants à penser de façon critique et à comprendre pourquoi ils croient à ce qu’ils croient. Ils n’ont besoin que d’avoir le bon point de vue et forcer les autres à se conformer comme ils ont été forcés de se conformer. Ils s‘engagent dans des arguments où l’emporte la voix la plus forte, car le point de vue de quelqu’un n’est pas meilleur que celui des autres. Ils font pression plutôt que de persuader.

Avance rapide jusqu’à maintenant

Or, entre les émeutes et les bouleversements sociaux, tout comme la distanciation sociale et la quarantaine à cause de la pandémie, les gens, particulièrement nos jeunes, sont programmés pour s’adapter au « changement continuel » et à la « pensée de groupe ». On leur apprend les mandats et le contrôle du gouvernement et à suivre sans poser de question. Ne vous y trompez pas, c’est du contrôle mental maximum basé sur le traumatisme. C’est le genre de programmation que l’on n’oubliera jamais et qui aura un impact à vie.

Conclusion

La lente insinuation de la corruption dans nos enfants a évolué en un lavage de cerveau plein gaz. Les parents, les grands-parents, la famille et les amis doivent reprendre charge de la moralité et de l’éducation éthique de nos enfants, et pas un quelconque enseignant « éveillé » à l’esprit élevé. La Bible donne grande valeur à la connaissance, celle de Dieu et celle de Ses Œuvres. Elle décrit les fruits moraux et spirituels de cette connaissance et définie son but final. Nous devons chercher à créer une fondation chez nos enfants afin que, lorsqu’ils seront vieux, ils ne s’en détournent pas. Enseignez-leur l’amour et les promesses de Dieu. Introduisez-les à leur Seigneur et Sauveur en Le présentant comme leur meilleur ami et leur confident.

L’avenir de ce pays et plus – l’avenir même des âmes de notre précieuse jeunesse – repose sur vous, chers croyants.




La transition du pouvoir est en jeu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2020

Par Jerry Barrett

Est-ce que l’un ou l’autre des candidats concédera la victoire après les élections ?

« Je considère de peu d’importance de savoir qui votera dans le parti, ou comment ; mais ce qui m’importe à l’extrême, c’est de savoir qui comptera les votes et comment. »

Boris Bazhanov –Les mémoires de l’ancien secrétaire de Staline (publié en 2002, traduit du russe)

 

À tous les quatre ans, nous sommes confrontés à un choix : pour qui voterons-nous comme Président des États-Unis ? Pour de nombreux chrétiens, le choix est facile à faire. Cependant, il faut se demander si c’est le bon et ne pas se hâter dans une décision si importante.

Il y a ceux qui fustigeront les gens qui jugent les autres. Ils éructeront leur version de Matthieu 7:1 : « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. » Mais ne jugeons-nous pas qui devrait être le chef de notre pays ? Pesons-nous leurs actions, leurs paroles et leurs agissements avant de voter ?

Le but d’un gouvernement

Romains 13:1 nous dit que nous sommes obligés de nous soumettre au gouvernement. Aux versets 3 et 4, l’on nous enseigne que le but d’un gouvernement est de maintenir le bien et de punir le mal. Le bien et le mal seront déterminés par l’État. Mais nous ne devons pas obéir aveuglément au gouvernement si ce corps gouvernemental exige que nous violions la Parole de Dieu.

Dans la lettre de Paul à Timothée, l’apôtre nous enseigne à prier pour les dirigeants qui sont en position d’autorité :

« J’exhorte donc qu’avant toutes choses on fasse des requêtes, des prières, des supplications, et des actions de grâces pour tous les hommes ; pour les Rois, et pour tous ceux qui sont constitués en dignité, afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté » (1 Timothée 2:1-2)

Nous pouvons le mieux démontrer notre respect à l’autorité gouvernementale lorsque nos dirigeants sont compétents et s’acquittent correctement de leurs fonctions. Mais ce n’est pas toujours le cas. Malheureusement, la Bible ne nous dit pas que tous ceux qui sont en autorité viennent de Dieu. Proverbes 29:2 nous dit ceci :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Nous qui nous positionnons sur la Parole de Dieu savons que toute autorité vient de Dieu. Personne – que ce soit un président, un dictateur ou un monarque – n’atteint sa position sans Sa providence. Cela ne signifie toutefois pas qu’Il l’approuve.

Vous n’avez encore rien vu

Pour ceux qui pensaient que la période électorale de 2016 était controversée, comme le dit le vieil adage : « Vous n’avez encore rien vu ! » Le Président Trump a été fidèle à sa personnalité habituelle et explosive, lançant ses insultes via les médias sociaux envers le candidat démocrate Joe Biden et sa colistière Kamala Harris.

De même, Biden et Harris y sont allés de leurs propres accusations caustiques contre Trump et son administration. De plus, aucune des deux parties de cette campagne n’a déclaré qu’elle concéderait rapidement la victoire le soir des élections. Le processus se complique encore du fait que l’on maintient des décisions étatiques et judiciaires permettant le comptage des bulletins de vote par correspondance sans « date limite de dépôt ».

Stratégie de guerre ou scénario planifié ?

Au cours de l’été 2020, à l’insu de la plupart d’entre nous, une « stratégie de guerre » a été organisée pour analyser les résultats potentiels et la réaction ultérieure des deux côtés de l’allée politique. Un certain nombre de scénarios ont été envisagés au fil de plusieurs sessions. Comme je vais le dévoiler plus loin, les participants – du moins ceux qui sont prêts à se voir révélés – forment un Who’s Who de poids lourds politiques et d’initiés de Washington.

La raison pour laquelle cela a piqué mon intérêt, c’est que la précédente « stratégie de guerre » – surnommée Event 201 et organisée par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins – était tenue à New York et concernait le déclenchement d’une pandémie à travers les États-Unis. Nous avons tous vécu les confinements qui s’en sont suivis, la mise en quarantaine sans précédent d’individus en bonne santé et la propagande, d’abord du nombre de décès, puis du nombre de cas. L’Event 201 a assurément aidé les personnes impliquées à planifier et à se préparer à l’asservissement presque total des citoyens.

Gestion de crise

Le recours à la gestion de crise est pratique courante dans le monde de la sécurité nationale. Des scénarios improbables sont présentés aux participants à qui l’on donne les concepts de base d’une catastrophe. L’idée de ces sessions est de reconnaître les zones de force et de faiblesse, et de mieux préparer les décideurs face à un désastre. Cette méthode est également utilisée pour jauger les réactions du public en employant le cinéma, la programmation télévisuelle et l’exposé des grands Médias traditionnels.

La prémisse de ce groupe reposait sur sa préoccupation concernant les perturbations potentielles après les élections présidentielles de 2020 et la transition des administrations. Le groupe s’est donné comme nom le Projet d’intégrité de la transition. Quoique présenté comme un effort bipartisan, le groupe était principalement financé par d’anciens membres de l’administration Obama.

Rosa Brooks, professeure de droit à l’Université de Georgetown, cofondatrice du Projet d’intégrité de la transition.

Les cofondateurs sont Rosa Brooks, ancienne fonctionnaire au Pentagone et professeure de droit à l’Université Georgetown, et Nils Gilman, ancien vice-chancelier de l’Université de Californie à Berkeley. Y participèrent aussi plus d’une centaine de hauts fonctionnaires, anciens et actuels, du gouvernement, des leaders de la campagne, des journalistes, des universitaires et d’anciens fonctionnaires fédéraux et étatiques.

Parmi les participants confirmés, il y a Michael Steele, ancien président du Comité national républicain ; John Podesta, président de la campagne 2016 d’Hillary Clinton ; l’ancienne Gouverneure du Michigan, Jennifer Granholm ; l’ancien Secrétaire d’état du Kentucky, Trey Grayson ; Donna Brazile, ancienne présidente par intérim du Comité national démocrate ; ainsi que les journalistes William Kristol, Edward Luce, Max Boot et David Frum.

Lors de sa première répétition, le groupe a simulé un résultat électoral ambigu. L’issue de l’élection n’était pas clair après les résultats de trois États en litige, et un État a détruit les bulletins de vote. Aucune des deux parties n’est prête à concéder.

À la deuxième itération, l’on figurait une victoire nette de Biden, à la fois du vote populaire et du Collège électoral. En la situation, Trump allègue qu’il y a fraude et il prend des mesures pour lui-même et pour sa famille. Mais il cède finalement la Maison Blanche à Biden.

Le troisième scénario commença avec Trump remportant une victoire au Collège électoral, tandis que Biden obtient le vote populaire. Ici, Biden refuse de concéder, persuadant les gouverneurs démocrates de deux états que Trump a remportés d’envoyer des électeurs séparés vers le Collège électoral, encourageant trois états – la Californie, l’Oregon et Washington – à brandir la menace d’une sécession, et convaincant la Chambre des Représentants de refuser de certifier l’élection.

La quatrième et dernière campagne couverte fut une victoire étroite de Biden à la fois aux votes populaires et au Collège électoral. Dans ce scénario, Trump refuse d’avouer la défaite, créant un indicible chaos avant que le Sénat républicain et les Chefs de l’état-major confirment et acceptent la victoire de Biden. Trump refuse de quitter la Maison Blanche et il est expulsé de force par les services secrets.

L’élection de 2020 sera-t-elle entachée

Tout comme il l’a fait durant les élections de 2016, Trump a allégué la possibilité de corruption – qu’il s’agisse de la collecte des bulletins de vote, des bulletins de vote envoyés par la poste, détruits par le service postal, ou de la façon dont les bulletins de votes sont comptés. Hillary Clinton avait été déclarée gagnante malgré que les votes dans certaines régions du pays aient dépassé les listes électorales.

De manière traditionnelle, la passation d’une administration à une autre se fait en douceur. Même les différends les plus remplis de rancune ont été mis de côté – pour la plupart – et ainsi s’est poursuivie la marque de notre république démocratique.

Sera-ce le cas pour 2020 ? Alors que le grand courant médiatique ne cache plus ses préjugés et fomente une haine enragée contre le Président en exercice, cela reste à voir. Ceux qui soutiennent Trump se sentent de même menacés et sont prêts à se défendre. De mon vivant, je n’aurais jamais pensé qu’une si forte discorde soit possible.

Souvenez-vous toutefois de ceci. Dieu règne sur nos affaires et, dans Sa providence, les dirigeants s’élèvent et s’affaissent, mais nous ne devons absolument pas présumer que toutes les affaires humaines reçoivent l’approbation de Dieu. Consolez-vous en pensant que Dieu demeure en contrôle au milieu de tout ce chaos. Nous sommes amenés à déployer activement Son caractère par les choix que nous faisons.

« Et que la paix de Dieu, à laquelle vous êtes appelés pour être un seul corps, tienne le principal lieu dans vos cœurs ; et soyez reconnaissants. Que la parole de Christ habite en vous abondamment en toute sagesse, vous enseignant et vous exhortant l’un l’autre par des Psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, avec grâce, chantant de votre cœur au Seigneur. Et quelque chose que vous fassiez, soit par parole ou par œuvre, faites tout au Nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à notre Dieu et Père » (Colossiens 3:15-17).

 


Par Sandra Myers

Fuir Babylone

Belize, Panama, Nicaragua, Canada, Nouvelle-Zélande, République dominicaine, Australie, Irlande… Voilà quelques-uns des nombreux pays vers où de mes amis et de mes connaissances ont parlé de s’envoler ou qui l’ont déjà fait.

Une personne s’est récemment exclamée : « Je déteste les États-Unis, alias le Marteau du monde entier, l’Exterminateur du monde entier et le Destructeur de montagnes ! » Mais cette personne admet qu’elle ne saurait où fuir. Elle veut juste SORTIR – sortir des terribles États-Unis d’Amérique.

Je suis peut-être légèrement partiale, mais malgré toutes ses imperfections, je continue de dire que les États-Unis d’Amérique sont le meilleur endroit pour vivre sur la terre verte de Dieu. Les États-Unis ne sont pas l’endroit parfait pour vivre ; mais aucun autre pays non plus. En fin de compte, nous ne sommes que des pèlerins de passage. `Notre foyer est au–dessus. Est-ce que l’Amérique, jadis lumière brillante sur la colline, et déjà à mi-chemin sur la pente glissante, se dirige vers l’hédonisme le plus complet, le marxisme/socialisme et la loi de la rue ?

La fureur de fuir Babylone

Ces ressortissants et ceux qui voudraient l’être ont une motivation commune : échapper à ce qu’ils considèrent Babylone et à leur propre disparition physique pour avoir été dans la Babylone. Ils croient que les États-Unis sont la maléfique et horrible prostituée dont parle la Bible. En tant que tel, ils ne veulent pas participer aux ravages provoqués par les États-Unis, ou encourir les châtiments et la destruction qui ne manqueront pas d’arriver aux États-Unis d’Amérique, s’il s’agit bien de Babylone.

« Fuyez hors de Babylone, et sauvez chacun sa vie, ne soyez point exterminés dans son iniquité ; car c’est le temps de la vengeance de l’Eternel ; il lui rend ce qu’elle a mérité » (Jérémie 51:6).

Le désir de fuir le danger est compréhensible. Satan veut vous cribler et vous dévorer. Mais votre désespoir vous fait oublier que ce que vous tentez de fuir n’est que la manifestation physique d’un problème spirituel.

Encore une fois, Babylone est une maladie mondiale du cœur, non pas une maladie physique. Babylone représente le rejet du seul vrai Dieu. C’était vrai dans les plaines de Sinhar, ainsi qu’à travers l’histoire, et c’est encore vrai aujourd’hui.

Comment fuir Babylone ?

Vous, mes amis fuyant Babylone, on doit vous féliciter. Votre esprit perturbé résiste aux pressions physiques et aux attraits de Babylone. Mais sachez qu’il n’y a pas d’échappatoire. Vos troubles vous suivront jusqu’aux extrémités de la terre. Au lieu de cela, j’exhorte ceux qui voudraient fuir de laisser la Direction de Dieu être votre cure.

Bien que vous ressentiez personnellement les flammes et que vous ayez l’impression que ces flammes peuvent vous submerger à tout moment, sachez que ces mêmes flammes dévorent le monde entier autour de vous. Mais, comme Sadrac, Mésac, et Habed-négo (Daniel 3), Jésus est avec VOUS, Son enfant, toujours. Surtout dans les flammes ardentes de la Tribulation – et nous vivons certainement un temps de tribulations – Jésus est votre seul refuge contre Babylone.

TOUTES les nations ont bu de son vin et ont commis la fornication avec elle. Mais le Seigneur commande à SON PEUPLE de sortir d’elle. Ne participez pas à ses péchés. C’est en ce moment que la bataille est à son plus féroce.

« Il cria avec force à haute voix, et il dit : Elle est tombée, elle est tombée la grande Babylone, et elle est devenue la demeure des Démons, et la retraite de tout esprit immonde, et le repaire de tout oiseau immonde et exécrable. Car toutes les nations ont bu du vin de sa prostitution effrénée ; et les Rois de la terre ont commis fornication avec elle ; et les marchands de la terre sont devenus riches de l’excès de son luxe. Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:2-4).

Jésus vivait parfois l’agonie sur terre, pourtant, Il avait pour désir de faire la volonté de Son Père céleste (Luc 22:41-44). Jésus savait que Son Royaume n’était pas de ce monde (Jean 18:36). Paul a dit qu’il valait mieux mourir et être avec Christ que vivre sur terre ; mais rester signifiait continuer à servir et à travailler pour Christ (Philippiens 1:21-24).

Après avoir été tenté par le Diable pendant quarante jours et S’être fait offrir tous les royaumes physiques du monde, Jésus refusa. Jésus savait que la bataille et le Royaume sont spirituels. Et quand Jésus eût réfuté le Diable, Il est reparti avec une grande puissance de l’Esprit.

En Jésus, vous possédez une grande puissance spirituelle. Vous serez sans aucun doute vilipendés et envahis par le monde qui mettra de grandes pressions dans votre esprit et y provoquera de grandes souffrances. Mais en tant qu’enfants du Très-Haut, vous êtes consacrés pour dire la vérité, prêcher l’Évangile et tendre la main aux cœurs brisés. Si Dieu dirige votre chemin vers différents endroits, obéissez et partez par tous les moyens. Mais s’Il vous envoie ailleurs, ce ne sera pas uniquement pour votre sécurité temporelle. Penserez-vous à la bataille qui fait rage autour de vous, où que vous alliez ?