Intoxication de l’Amérique

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2022

Par Jerry Barrett

Les médicaments comme solution de fortune et prescrites par les psychiatres tuent notre nation

« Soyez sobres, et veillez : car le diable, votre adversaire, tourne autour de vous comme un lion rugissant, cherchant qui il pourra dévorer. »

Romains 16:17-19

« Jésus donc leur dit encore : en vérité, en vérité je vous dis, que je suis la Porte par où entrent les brebis. Tout autant qu’il en est venu avant moi, sont des larrons et des voleurs ; mais les brebis ne les ont point écoutés. Je suis la Porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé, et il entrera et sortira, et il trouvera de la pâture. Le larron ne vient que pour dérober, et pour tuer et détruire ; je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient même en abondance. »

Jean 10:7-10

L’Amérique souffre d’une dramatique épidémie de sur-médication. Au lieu de rechercher Dieu, de plus en plus de gens se tournent vers Big Pharma pour avoir des réponses. Cette mentalité de « solution de fortune » est en train de détruire notre pays jadis si grand.

Y a-t-il à se demander pourquoi il y a de nos jours plus de tueries de masse ? L’assistance aux églises est en déclin alors que le culte à Satan s’accroît. Au lieu de vivre de manière biblique, plusieurs ont tourné le dos et croient qu’ils en savent maintenant plus que Lui.

La « dépression » se caractérise par des sentiments de tristesse, de désespoir et d’anxiété. Selon un article paru dans National Library of Medicine, le désordre dépressif majeur (DDM) est le plus commun des désordres d’humeur en Amérique. Le taux moyen de ceux qui vivent un DDM est de 2 à 7 % en Amérique et en Europe.

La dépression était-elle courante dans la société ?

Avant la découverte des antidépresseurs narcotiques, les patients étaient envoyés dans des lieux de repos ou des asiles. Beaucoup de traitements étaient inhumains d’après les standards d’aujourd’hui – ils comprenaient la thérapie par électrochocs, la thérapie convulsive, l’isolation, les saignées et plus encore. Puisque la psychiatrie est davantage une science sociale qu’une science pure, les comportements humains peuvent s’avérer difficiles à comprendre.

La première drogue pharmaceutique utilisée dans le traitement des patients ayant un diagnostic de dépression fut la Trofanil. À l’origine, elle fut créée pour traiter les patients atteints de tuberculose, mais les médecins notèrent une amélioration de l’humeur chez ceux qui l’utilisaient. Cela mena au développement d’autres médications d’antidépresseurs. Comme c’est toujours le cas avec les médicaments que font les hommes, les effets secondaires étaient déplaisants.

À la fin des années 1980, Big Pharma introduisit le Prozac. Cela conduisit à un matraquage d’autres narcotiques (Zoloft, Paxil, Wellbutrin, Trinitellix, etc.) que l’on reconnaît être des inhibiteurs sélectifs de réactivation de la sérotonine (ISRS). Ces drogues visent les niveaux de sérotonine dans le cerveau.

Aujourd’hui, on prescrit ces médicaments à un taux alarmant. Ils sont la troisième médication la plus prise aux États-Unis. De nombreux cliniciens croient que, puisque nous en savons fort peu sur les maladies mentales, nous pouvons bien essayer ces pilules. Mais prescrit-on trop de ces narcotiques ?

Tout le monde passe par des périodes de dépression et d’anxiété. Il y a un flux et un reflux de choses qui nous affectent dans la vie, qu’elles soient positives ou négatives. Le déchaînement d’hormones chez les adolescents qui vivent la transition entre la jeunesse et l’état adulte en est un exemple. Au lieu de parler de ces problèmes avec un pasteur de confiance ou des parents, notre pays se contente maintenant de faire usage de drogues comme solution de fortune.

Dans un article écrit par Caleb Owens et intitulé Une vérité inconfortable : Est-ce que la hausse des antidépresseurs et des ISRS alimente les tueries de masse ? (http://www.psychreg.org/antidepressants-ssri-mass-shootings/, nous apprenons :

« Une étude publiée dans Psychotherapy and Psychosomatics a examiné 5 639 patients aux États-Unis qui étaient diagnostiqués par leur clinicien comme ayant une dépression et on a comparé leurs symptômes aux critères DSM de dépression clinique. De ces patients, seulement 38.4 % rencontrèrent les critères, même si l’on avait prescrit à la majorité des 5 639 patients de la médication antidépressive. »

Une autre question que l’on doit se poser, c’est combien de psychiatres sont parrainés par Big Pharma ? La réponse peut être aussi alarmante que le mauvais diagnostique mentionné ci-haut :

« Plus de la moitié des psychiatres actifs (55,7 %) reçoivent une forme quelconque de paiement de la part des manufacturiers pharmaceutiques. De ceux-là, les 2,8 % des psychiatres situés au sommet reçoivent 82,6 % des paiements. Les manufacturiers pharmaceutiques pourvoient 812 877 paiements d’une valeur de 110 512 607.18 $ à 26 422 psychiatres aux États-Unis. » (National Library of Medecine)

Y a-t-il un lien entre les antidépresseurs et les tueries de masse ?

Le psychiatre Peter Breggin, auteur de Toxic Psychiatry and Talking Back to Prozac, a abondamment écrit au sujet de la violence associée aux antidépresseurs ISRS. On a entendu M. Breggin dire un jour : « Le phénomène des réactions maniaques induites par les médicaments et causées par les antidépresseurs est si largement reconnu qu’on en a discuté à plusieurs reprises dans le Diagnostic and Statistical Manuel of Mental Desorders of the American Psychiatric Association (Manuel de diagnostiques et de statistiques des désordres mentaux de l’Association Psychiatrique Américaine). »

Les Big Pharmas argumenteront que les suicides et/ou les homicides sont déclenchés par la « maladie » et non pas par le « médicament ». Mais à mesure que surviennent les tueries de masse, les données semblent contredire cette déclaration. De soi-disant experts, qui sont ou ne sont pas sur la liste de paie de Big Pharma, continuent d’arguer que la corrélation n’équivaut pas à une causalité. Bien que la dépression par elle-même ne conduise pas nécessairement à la violence, la croissance massive de prescription d’antidépresseurs ISRS a une corrélation avec le chiffre croissant des tueries de masse.

Quelle est la définition d’une tuerie de masse ?

Il n’y a pas de consensus sur la définition. Certains déclarent que, dans l’incident, il doit y avoir quatre personnes ou plus qui sont tuées ou touchées – sans inclure le tueur – en une courte période de temps. D’autres disent que, dans l’incident, il doit y avoir trois personnes ou plus de touchées par les tirs. Gardez toutefois en tête que la violence par les drogues et les gangs ne sont jamais classés dans les événements de tuerie de masse.

Peu importe la définition choisie, il y a des preuves irréfutables qu’un grand nombre d’auteurs de tueries sont sous l’effet de médicaments psychotropes. Nous ne saurons peut-être jamais la vérité à propos des antidépresseurs utilisés, soit par le tireur de l’École élémentaire Robb d’Uvalde, au Texas, (je refuse de publier leur nom) ou à la Parade du 4 juillet en Illinois. Cependant, lorsque l’on considère ceux qui sont venus avant, il s’agit d’une question à laquelle on devrait répondre.

Voici une courte liste de tueurs de masse que l’on savait être sous l’effet de médicaments psychotropes :

 

James Eagan Holmes, 24 ans, 12 morts, 70 blessés, [antidépresseur : Zoloft (générique)]

James Eagan Holmes, le « Tueur du Film Batman », a tiré dans une salle de cinéma d’Aurora, au Colorado, en juillet 2012. Dans son livre de notes personnelles, qu’il envoya à son psychiatre le jour de son accès de folie meurtrière, Holmes dit qu’à part d’avoir perdu son anxiété, il avait perdu sa peur des représailles.

 

 

Eric Harris, 17 ans, 14 morts, 23 blessés, [antidépresseurs : Zoloft, Luvox]

La moitié des « Tueurs de Colombine » assassina 12 étudiants et un enseignant à Littleton, au Colorado, en 1999.  Harris avait transféré d’antidépresseurs du Zoloft au Luvox qui est reconnu pour causer la folie et la violence qui l’accompagne.  On trouva de l’ISRS dans son sang lors de l’autopsie.

 

 

 

Patrick Purdy, 25 ans, 5 morts, 30 blessés [antidépresseurs : Amitryptyline]

Purdy tua cinq enfants et en blessa 30 autres dans une cour d’école lors de son accès de folie meurtrière, à Stockton, en Californie, en janvier 1989. Il prenait de l’antidépresseur Amitryptyline de même que de l’antipsychotique  Thorazine.

 

 

 

Seung-Hui Cho, 23 ans, 32 morts, 23 blessés [antidépresseurs : Prozac, Paxil]

Seung-Hui Cho déambula dans le campus de l’Université Tech de la Virginie, le 16 avril 2007, et il assassina 32 étudiants. On lui avait diagnostiqué un désordre dépressif majeur et on lui avait prescrit du Prozac après qu’il eut été sur le Paxil.

 

 

Jeff Weise, 16 ans, 10 morts, 12 blessés [antidépresseur : Prozac]

L’on aurait prescrit des antidépresseurs à Jeff Weise après une tentative de suicide. Un jour, en 2005, il fit feu et tua son grand-père et l’amie de son grand-père, puis 7 personnes dans une école secondaire de Red Lake, au Minnesota, avant de se suicider.

 

 

 

La clameur actuelle venant des médias contrôlés, comme de la gauche folle, demande qu’il y ait plus de contrôle des armes. Aussi longtemps que Big Pharma continuera à financer les grands réseaux de nouvelles et les politiciens, il n’y aura pas de rapport complet exposant les effets toxiques de ces médicaments qui altèrent l’esprit. Malheureusement, il n’y aura pas non plus de leur part d’appel à venir au Christ Jésus. C’est là le plus gros problème de l’Amérique.

***

Par Michelle Hallmark Powell

Notre Seigneur et Sauveur donnera-t-Il un répit aux États-Unis ?

Un miracle de Dieu est survenu la semaine dernière. L’horrible précédent Roe vs Wade fut retiré par la Cour Suprême. Dieu soit loué. Nous devrions tous remercier quotidiennement le Seigneur pour cette décision et prier pour que cela donne un peu de répit à notre pays.

Un peu partout dans la Bible, Dieu parle des Arabes, des Égyptiens, des Grecs, des Romains et des Israélites.

L’avortement, en réalité, existe depuis environ l’an 1550 av. J.-C.. On en a enregistré dans le Papyrus Ebers égyptien. Donc, Dieu a été fort patient envers nos meurtres d’innocents.

Bien qu’il y ait eu pas mal de luttes et d’émeutes à cause de la décision, cela n’a pas vraiment arrêté l’avortement. Il est laissé aux gouvernements d’états individuels de décider, tout dépendant qui a été élu et quels sont ses points de vue pour rendre la question des avortements légale ou pas. Les états peuvent limiter l’âge du bébé que l’on peut avorter (bien que ce soit un meurtre à n’importe quel âge et épouvantable pour Dieu). Ils peuvent mettre les cliniques d’avortement en banqueroute en les rendant illégales dans un état particulier. Le Gouvernement d’État peut donner une amende ou pénaliser toute institution ou toute personne qui exécute un avortement. Le tout dépend de l’état. De nombreux états n’ont aucune restriction en ce qui concerne l’avortement. Ils promeuvent et annoncent aux femmes qu’elles peuvent venir dans leur état pour obtenir leur soin de santé (avortement) si nécessaire. C’est devenu si commun que l’avortement est en réalité une autre forme de contrôle des naissances.

C’est un argument tel, pour les gauchistes, qu’il s’agit réellement pour eux d’un « culte de la mort ». Ils sont remplis de joie devant le sang répandu d’un innocent. Cette célébration particulière était vue comme une merveilleuse chose pour la femme qui assassine son enfant. Il y a même un choix sélectif d’avortement. Si vous êtes pour avoir des jumeaux ou des triplets, et que vous ne voulez pas autant d’enfants, vous et votre médecin devrez choisir quel enfant vivra et quels autres mourront. Quelle chose horrible à faire vivre à l’enfant survivant, si on le lui dit jamais.

L’Union soviétique de Lénine fut le premier pays de l’ère moderne à légaliser l’avortement. Cette décision a été formellement changée par Poutine.

La Chine incita à l’avortement au 20e siècle pour réduire sa population. Malheureusement, la Chine entretient encore des choix sélectifs d’avortement, tout dépendant de son besoin de bébés femelles ou mâles.

Il y a tout un tas de gens dingues et fourvoyés qui veulent faire la promotion de l’avortement. Un homme armé s’est rendu à la maison du Juge Kavanaugh où vivent lui et sa famille, et l’homme en colère qui était vexé du renversement de la décision Roe vs Wade décida de prendre les choses en main. Par chance, la police atrappa l’homme avant qu’il n’assassine le juge Kavanaugh. Nous ne devrions pas être surpris de ce genre d’événement, car l’ancienne porte-parole à la Maison Blanche, Jen Psaki, a encouragé les protestataires à manifester devant les maisons des « juges conservateurs de la Cour Suprême ». Puis, nous avons l’AOC qui fulmine de protestations. Mais pire encore, nous avons Maxine Waters qui dit vouloir ignorer les règlements de la Cour Suprême et protester.

Amanda Herring, à l’extérieur de la Cour Suprême, le 24 juin 2022, avec un message écrit disant que le bébé à naître bientôt n’était pas encore réellement un être humain. Son bébé est né le 25 juin. [Twitter]

Nous avons ensuite la « Vengeance de Jane », un groupe terroriste qui menace continuellement de destruction, de vandalisme et d’incendie les multiples sièges du mouvement Pro-vie. Il a déjà frappé plusieurs installations Pro-vie chrétiennes en essayant de nous épuiser. Nous devons continuer à remercier Dieu pour ce miracle et prier pour demeurer forts, ne cessant de nous repentir pour les atrocités accomplies et persister à protéger les bébés innocents pas encore nés.

Nous devons faire comme le peuple de Ninive qui se repentit et Dieu ne les détruisit pas, leur donnant même encore quelques années (Jonas 3:9).

Avec le repentir et beaucoup de prières, Dieu ajouta quinze ans à la vie d’Ézéchias et le délivra, lui et sa ville, du roi d’Assyrie (2 Rois 20:6).

Notre Seigneur est le Seigneur des deuxièmes chances, si l’on se repent, si l’on change et si l’on prie constamment. Prions donc pour qu’Il donne aux États-Unis une autre chance, quoi qu’il y ait bien d’autres péchés graves dont nous devrions nous repentir.