Qu’est-ce que Justin Trudeau et Kristi Noem ont en commun ? Tous les deux veulent vous mettre en prison si vous avez des opinions impopulaires

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 mars 2024

Les côtés gauche et droit d’une ellipse décrivent bien la politique de la Gauche et de la Droite. Au sommet de l’ellipse, il y a la Liberté. En bas de l’ellipse, il y a la Tyrannie. Les Républicains et les Démocrates passent la plupart de leur temps à discuter de choses qui se trouvent au milieu de l’ellipse.

Je définie la Tyrannie comme tout ce qui promeut le pouvoir de l’état de contrôler la vie et la liberté du peuple au-delà des Lois naturelles de notre Créateur. Je définie la Liberté comme tout ce qui limite le pouvoir de l’état de contrôler la vie et la liberté des gens au-delà des Lois naturelles de notre Créateur.

Le problème avec tellement de gens de la Gauche politique et de la Droite politique, c’est que, peu importe leurs différences concernant les questions se trouvant au milieu de l’ellipse, ils se rejoignent à l’unisson en bas de l’ellipse. Trump et Biden, les Républicains et les Démocrates, tous veulent utiliser le pouvoir du gouvernement pour contraindre, intimider ou forcer les citoyens américains à faire ce qu’ils veulent que nous fassions. Que nous soyons d’accord ou pas avec un des deux côtés, cela ne compte pas. Le fait que nous leur permettions d’exercer le pouvoir gouvernemental pour nous imposer LEURS idées personnelles devrait être anathème pour tout vrai partisan de la liberté.

Et il n’y a pas de liberté ordonnée par Dieu qui soit plus précieuse aux hommes libres et aux femmes libres que la liberté d’expression et la liberté de religion (conscience).

Il y a présentement une parfaite illustration de ce que je viens de dire et qui se joue devant nos yeux en les personnes du Premier Ministre Gauchiste du Canada, Justin Trudeau, et la gouverneure conservatrice du Dakota du Sud, Kristi Noem.

Le libéral Justin Trudeau

Le gouvernement canadien met rapidement de l’avant ses plans pour introduire une tyrannie déclarée et va commencer bientôt à prononcer des condamnations de prison à vie contre les citoyens qui seront trouvés coupables d’avoir commis des « crimes » de prétendue « haine ».

Un grand nombre de gens comparent ces nouvelles lois au roman contre-utopique 1984 de George Orwell alors que le Canada va bientôt commencer à distribuer de sévères punitions pour de mauvaises façons de penser.

La campagne de sentences à vie fait partie de la législation « anti-haine » du Premier Ministre « libéral » Justin Trudeau.

La nouvelle loi choquante, cachée sous le projet de loi C-63, déclare :

« Quiconque commet une offense à cette loi, ou toute autre loi du Parlement, si la commission de l’offense est motivée par une haine fondée sur la race, l’origine ethnique ou nationale, la langue, la couleur, la religion, le sexe, l’âge, l’incapacité mentale ou physique, l’orientation sexuelle ou l’identité ou l’expression de genre, est coupable d’une offense grave et passible d’emprisonnement à vie. »

Cette nouvelle loi provient du Canada, alors que l’administration Trudeau, contrôlée par le Forum Économique Mondial, cherche à mettre rapidement de l’avant la descente du pays vers une tyrannie globaliste.

Le gouvernement a introduit plusieurs nouvelles lois qui semblent dépouiller le public de ses libertés.

Comme le rapporte Slay News, parmi les nouvelles lois draconiennes, il y a des pouvoirs qui permettent aux autorités de commencer à emprisonner les citoyens qui « pourraient » commettre un crime.

Le gouvernement Trudeau pousse sur la nouvelle autorité « pré-crime » qui, déclarent ses fonctionnaires, va contribuer à s’attaquer aux soi-disant « crimes de haine ».

(Source)

Naturellement, les conservateurs du côté droit de l’ellipse sont atterrés et en colère face à une proposition si tyrannique – ce qui est justifié. Il n’y a aucun doute que le fils canadien de Fidel Castro veut transformer notre voisin du nord en état communiste de climat froid à l’image de la prison douce qu’est l’île de Cuba.

Maintenant, visitons l’autre côté de l’ellipse, le côté droit, le côté conservateur.

La conservatrice Kristi Noem

En signant sa propre loi draconienne et tyrannique sur la « haine » au Dakota du Sud, aux États-Unis, la gouverneure Kristi Noem (sur la liste des candidats présélectionnés par Trump) a dit ce qui suit (rapporté par Chris Menehan d’InfoWars) :

« Quand j’étais petite, mon père rassemblait toujours notre famille et nous priions pour Israël. Il me fut inculqué dès mon plus jeune âge que les Juifs étaient le peuple choisi de Dieu, qu’Israël était la Terre Sainte et que nous devions toujours prier pour eux.

« J’apportai ces idées fondamentales avec moi quand je me retrouvai à la Législature d’État, quand je fus au Congrès et maintenant que je suis gouverneure du Dakota du Sud. Soutenir l’État d’Israël et notre communauté juive a toujours été important pour moi. Il est important de supporter Israël pour des raisons spirituelles, historiques et de sécurité nationale. Je maintiens ma position pour le peuple juif en signant une législation historique pour les protéger de l’antisémitisme.

« Je fus vraiment fière de signer l’HB 1076, un projet de loi très important pour combattre l’antisémitisme. Ce projet de loi définit l’antisémitisme et rend plus aisé de prouver qu’une conduite discriminatoire est motivée par l’antisémitisme. Il s’agit d’un élément législatif rempli d’impact qui assurera la sauvegarde du peuple juif et renforcera les lois antidiscriminatoires du Dakota du Sud.

« Nous avons tenu une belle et émouvante cérémonie de signature pour ce projet de loi à la Rotonde de notre Capitole d’État à Pierre. De nombreux leaders juifs y ont assisté, y compris Elan Carr, PDG du conseil d’Actions Israélo-américain ; Dan Rosen, leader juif reconnu au pays et fondateur de la Société Jacobson ; le rabbin et directeur du Centre National de Plaidoyer Juif, le Dr Mark Goldfeder ; le rabbin Mendel Alperowitz du Centre Chabad Juif du Dakota du Sud ; Renie Schreiber de la part de Yinam Cohen, consul Général d’Israël dans le Midwest ; et Jordan Cope de Stand With Us. Quelques-uns de nos invités spéciaux dirent quelques mots au sujet de l’impact que cette législation aura pour le peuple juif.

« Ce projet législatif passe en loi d’état l’étalon-or de la définition de l’antisémitisme de l’Alliance Internationale du Souvenir de l’Holocauste.

« J’espère que bien d’autres états de par notre grand pays suivront l’exemple que nous fixons ici au Dakota du Sud. Il est plus important que jamais que les leaders de notre pays se dressent pour combattre l’antisémitisme. Nous devons sans cesse œuvrer à assurer la sécurité du peuple choisi de Dieu. »

Menahan écrit :

La définition de l’Alliance Internationale du Souvenir de l’Holocauste (AISH) est complètement antithétique au Premier Amendement.

L’AISH définit ainsi l’antisémitisme :

« Faire des allégations mensongères, déshumanisantes, diabolisantes ou stéréotypées contre les Juifs comme tels ou contre le pouvoir collectif des Juifs – tels que, spécialement mais pas exclusivement, le mythe à propos d’une conspiration mondiale juive, ou d’un contrôle juif des médias, de l’économie, du gouvernement ou autres institutions sociétales.

« Accuser comme peuple les Juifs d’être responsables de méfaits, réels ou imaginés, commis par une seule personne juive ou un seul groupe juif, ou même par des actions commises par des non-Juifs.

« Nier le fait, la possibilité, les mécanismes (ex., les chambres à gaz) ou l’intention d’un génocide du peuple juif aux mains de l’Allemagne Nationale Socialiste, de ses supporteurs et de ses complices durant la Deuxième Guerre Mondiale (l’Holocauste).

« Accuser les Juifs en tant que peuple, ou Israël en tant qu’état, d’avoir inventé ou d’avoir exagéré l’Holocauste.

« Accuser les citoyens juifs d’être plus loyaux envers Israël, ou les priorités alléguées des Juifs autour du monde, qu’aux intérêts de leurs propres pays.

« Nier au peuple juif son droit à l’autodétermination, ex. : en déclarant que l’état d’Israël est une activité raciste.

« Appliquer un double standard en requérant de lui un comportement que l’on n’attend ni n’exige d’aucune autre nation démocratique.

« Utiliser les symboles et les images associées à l’antisémitisme (ex. : les déclarations que les Juifs ont tué Jésus, ou les sales diffamations) pour caractériser Israël ou les Israéliens.

Aucun autre groupe ethnique ou religieux d’Amérique ne reçoit de pareils privilèges.

Notez que pratiquement tout ce qui se trouve sur cette liste définissant « l’antisémitisme » se concentre sur le discours, les attitudes ou les pensées. « Allégations », « Accuser », « Nier », « Accuser », « Accuser », « Nier », « Appliquer », « Utiliser ». Tout cela se réfère au discours, aux attitudes, aux pensées.

Kristi Noem abuse du pouvoir du gouvernement en tentant de nier au peuple la liberté d’expression et la liberté de religion de leur Premier Amendement.

Si Noem veut croire que les Juifs ashkénazes du Proche-Orient sont le « Peuple élu de Dieu », c’est son droit religieux. Et si elle veut dire publiquement qu’elle croit à cela, la liberté d’expression lui en donne le droit.

MAIS…

  1. Cela ne signifie pas qu’elle a raison ; en fait, elle a TORT. Les Juifs ashkénazes de la Palestine d’aujourd’hui ne sont pas plus le Peuple élu de Dieu et la lignée descendante d’Abraham que vous et moi, ou que l’homme sur la lune.
  2. Cela ne lui donne pas le droit ou l’autorité de forcer les gens à croire comme elle, à partager sa croyance religieuse ou à utiliser le pouvoir du gouvernement pour punir ceux qui maintiennent une position contraire.

Pour votre information, Kristi,

Je CROIS que la possibilité populaire d’un Holocauste allemand EST « exagérée ».

Je CROIS que le sionisme juif EST une idéologie raciste radicale – comme le croient aussi de nombreux Israéliens, soit dit en passant.

Je CROIS    que les Juifs sionistes ONT une influence extraordinaire sur nos médias, la Réserve Fédérale, le gouvernement et les institutions sociétales – et il m’apparait qu’en signant ce projet de loi, Kristi, vous prouvez mon affirmation.

Et, oui, je crois également que les Juifs qui contraignirent Ponce Pilate et le manipulèrent pour qu’il crucifie Jésus SONT à diffamer pour Sa mort. À vrai dire, Kristi, les Pharisiens et les Juifs qui assassinèrent Jésus admirent leur responsabilité pour la mort de Christ quand ils s’écrièrent « Que son sang soit sur nous, et sur nos enfants ! » (Matthieu 27:25).

Si je vivais dans le Dakota du Sud, je suppose que je serais coupable de crime de « haine » et sujet aux représailles du gouvernement.

Donc, Noem et Trudeau sont-ils si différents ? Tous les deux veulent employer le pouvoir et la force du gouvernement pour punir les gens exerçant leur liberté de religion et d’expression accordée par Dieu d’une manière qui ne leur convient pas.

Le projet de loi tyrannique sur la « haine » de Noem n’est-il pas motivé par la cupidité et l’ambition, en utilisant ce projet de loi comme moyen d’obtenir l’aumône des lobbyistes israéliens et plus de cash pour sa campagne ?

Même chose pour le projet de loi tyrannique de Trudeau ?

Nooon !

Gauche, Droite, Libéraux. Conservateurs. Séculiers. Religieux. Tout cela s’appelle tyrannie si on se rencontre au bas de l’ellipse, comme le font maintenant Justin Trudeau et Kristi Noem.




Alliance sanguinaire avec le destin

« Nous avons passé une alliance avec la mort et un accord avec l’enfer. »

Traduction de l’infolettre de février 2018 de Power of Prophecy

Par Texe Marrs

« Quand l’Agneau eut ouvert le septième sceau, il se fit un silence dans le ciel d’environ une demi-heure » (Apocalypse 8:1).

 

« Sentinelle, qu’en est-il de la nuit ? » (v. 11). C’est la question capitale que Dieu m’a mise dans le cœur depuis maintenant plus de cinquante ans. Dès ma jeunesse, commencée juste après la Deuxième Guerre Mondiale, en passant par la menace communiste des années 1950 et 1960, jusqu’à aujourd’hui, j’ai été témoin du mal ultime. J’ai vu le pire du communisme impitoyable lorsque des millions de gens ont péri dans les goulags bâtis par les Soviétiques, puis j’ai regardé faire la tragédie de la mort déchargée par les sionistes dans le Proche-Orient quand Israël fut fondé.

En 1919, William Butler Yeats, célèbre poète britannique, parla de la mortelle venue mystérieuse, mais certaine, de la Bête de la Prophétie. Dans son conte épique, La seconde venue, il réfléchit à : « Quelle bête brutale, son heure enfin venue, se traîne vers Bethléem pour naître ? »

L’auteur britannique, William Butler Yeats, a composé le poème effrayant La seconde venue.

Le monde est programmé pour la guerre

Aujourd’hui, en 2018, en ces premières étapes du 21e siècle, les sentinelles nommées par Dieu continuent de poser la question. Ils voient ce monde scintillant, rempli d’énergie, avec ses marchés financiers en plein essor, ses méga-manoirs, ses milliards de bitcoins [argent informatique], d’incalculables tonnes d’or et de biens matériels onéreux… et ils savent que cela ne peut durer. Notre grande richesse ne peut se poursuivre. Le monde n’est pas programmé pour la paix, mais pour la guerre. Le cœur des hommes peut bien espérer la paix, mais ses passions sont affamées de contrôle, afin d’obtenir encore plus de richesses, pour la guerre sanguinaire. Comme depuis des milliers d’années, il en sera encore de même. L’humanité est sur le bord d’une terrible guerre totale et de la dévastation complète.

« Sentinelle, qu’en est-il de la nuit ? » demande encore Dieu à Ses serviteurs désignés. Jésus nous a également avertis Lui-même qu’il nous faut travailler maintenant pendant qu’il est encore temps, car, dit-Il : « La nuit vient où aucun homme ne peut travailler. »

Lorsque Jésus-Christ est mort de manière si cruelle sur la croix du Calvaire, la Bible nous dit que de grandes ténèbres sont descendues sur le monde entier. Toutefois, ces ténèbres se sont levées quand Christ sortit victorieusement de Sa tombe et que la Vie devint possible pour nous tous. Mais une touche de ténèbres demeura et a maintenant enveloppé le monde entier.

Jésus a amené une alliance nouvelle

Les Juifs qui exigeaient Sa mort n’étaient pas très heureux du résultat. Jésus avait amené avec Lui une Nouvelle Alliance. L’Ancienne Alliance disparut et s’éteignit (Hébreux 8:6-13), mais les Juifs récalcitrants résistèrent. Ils furent irrités du fait que leur Ancienne Alliance tombât en lambeaux, remplacée par le précieux sang de Jésus.

Comme il est écrit dans la Bible, cette Nouvelle Alliance est prophétique. Mais les rabbins se cramponnèrent à leurs traditions. Ils décidèrent qu’un scénario complètement différent devait être écrit, non par Dieu, mais par les hommes. Donc, les Juifs produisirent le Talmud babylonien, une ordonnance pernicieuse prescrivant l’ultime suprématie et la seigneurie juive globale.

Le Talmud fut bientôt suivi d’un autre document tragique infernal – la Kabbale. Grâce à ces deux instruments de séduction empoisonnés, le Talmud et la Kabbale, les Juifs entendaient défaire les prophéties mêmes de Dieu. Leur but n’était rien de moins que de se couronner Rois et de promouvoir Satan lui-même au trône mondial.

Voilà le vieux combat séculaire — la Parole prophétique de Dieu contre le Talmud babylonien satanique et sa doublure inspirée des démons, la Kabbale. 

« Depuis l’époque de Spartacus… »

Sir Winston Churchill

L’histoire moderne du monde révèle le jeu de ces trois forces. Sir Winston Churchill dépeignit parfaitement la situation lorsqu’il écrivit que : « Depuis l’époque de Spartacus [nom de code d’Adam Weishaupt, fondateur des Illuminati de 1776], jusqu’à celle de Karl Marx en passant par Trotski, la conspiration mondiale pour le renversement de la civilisation s’est accru sans interruption. »

Churchill mettait étonnamment dans le mille. Karl Marx et ses camarades juifs, Trotski et Lénine, poursuivirent la conspiration des Illuminati. La Russie trempa dans le sang. Les Juifs de partout saluèrent fièrement cette pure brutalité en la qualifiant de succès remarquable. Le rabbin Harry Waton, dans son livre faisant autorité, Programme pour tous les Juifs et réponse pour tous les antisémites, écrit :

« Ce n’est pas par accident que le judaïsme donna naissance au marxisme … C’était en parfait accord avec le progrès du judaïsme et des Juifs … L’âme du communisme, c’est l’âme du judaïsme … le triomphe du communisme fut le triomphe du judaïsme. »

Imaginez : le communisme nous a valu au-delà de 200 millions de gens torturés et assassinés. Soljenitsyne rapporta que 66 millions de personnes avaient péri dans les goulags du communisme soviétique. Plus d’un milliard sont aujourd’hui emprisonnés dans la Chine communiste. Et rappelez-vous que le rabbin Walton exultait fièrement, « L’âme du communisme, c’est l’âme du judaïsme. »

En effet, le célèbre rabbin américain, Stephen Wise, se vantait de manière infâmante : « Le communisme est juif. » Lisez le Talmud et la Kabbale et vous y verrez l’horrible histoire du communisme. Oui, le communisme est l’âme du judaïsme ! 

Le sionisme et le communisme sont toujours bien vivants

Aujourd’hui, le sionisme et le communisme sont toujours vivants et présentent de graves dangers contre la vie et la liberté. Juif international et milliardaire, George Soros se montre ouvertement comme un leader du communisme et il fait marcher les démocrates au doigt et à l’œil. Bernie Sanders, Juif socialiste, et le Juif Chuck Schumer, leader au Sénat, ne sont que deux agents de Soros.

George Soros, père du communisme des temps modernes, promoteur du socialisme américain et agitateur derrière le radicalisme du Parti démocrate

Pendant ce temps, le Président Donald Trump ne demeure en poste qu’à cause des manœuvres secrètes de sionistes comme le présentateur Premier Ministre israélien, Benjamin Netanyahu. La fille de Trump, Ivanka, s’est convertie au judaïsme et le Vice-président Pence est un chrétien sioniste et fait la promotion de la politique israélienne en Amérique. Notez aussi que Trump et Netanyahu ont un « plan secret » pour vaincre l’Iran islamique, et Trump est le premier Président à reconnaître Jérusalem en tant que capitale d’Israël.

Ainsi, les deux factions juives, le sionisme et le communisme, bien qu’elles diffèrent dans leurs méthodes et leur personnel, ont le contrôle de Washington, D.C., le marécage malgré toute chose.

Mais il existe un troisième élément encore plus important dans l’histoire – la prophétie biblique. Elle révèle qu’aucune des deux factions juives ne va réussir.

Le Président Trump a fait équipe avec le Premier Ministre Netanyahu d’Israël pour faire avancer le sionisme

La prophétie biblique révèle qui seront les vainqueurs

Israël a passé depuis longtemps une alliance inique avec le Diable et la mort. C’est une alliance sanguinaire et les Écritures dictent que les Juifs ne peuvent éviter ce destin. Ils vont exécuter à la lettre leur alliance sanguinaire avec le destin. Il n’y aura pas de règne mondial des Juifs et leur Talmud ainsi que leur Kabbale vont connaître l’échec.

« Mais les saints du Souverain recevront le royaume éternellement, et jusqu’au siècle des siècles. »

(Daniel 7:18)

***

Nos personnes âgées : un trésor national, pas une moisson d’argent

Par Steve Reilly

« Honore ton père et ta mère, afin que tes jours soient prolongés sur la terre que l’Éternel ton Dieu te donne » (Exode 20:12).

Presqu’à chaque jour, nous entendons des rapports au sujet d’abus d’enfants et d’épouses. Il y a toutefois un autre type d’abus qui, de manière alarmante, se répand de façon horrifiante aux États-Unis, mais il n’est que peu rapporté. L’abus des Personnes Âgées. L’abus de ceux qui peuvent être vulnérables, sans doute laissés physiquement dans la solitude, et qui méritent pourtant des soins et du support dans leur vieil âge. La Bible affirme clairement que cela leur est dû.

Malheureusement, la société voit rarement les personnes âgées comme des « anciens » (c’est-à-dire, de sages et influents membres de la communauté d’un rang plus élevé). Plus souvent qu’autrement, Hollywood présente les personnages âgés comme un objet de moquerie générale. Combiné à une moralité en déclin – encore là, Hollywood n’y joue pas un petit rôle – et à la stagnation économique à long terme de la classe moyenne, l’abus des personnes âgées a atteint des proportions épidémiques.

Une espérance de vie plus longue et un taux plus faible de natalité font en sorte qu’il y a presqu’autant d’Américains en haut de 85 ans que ceux en bas de cinq ans. Par conséquent, l’ampleur de l’abus des personnes âgées va continuer à croître.

Pour vous donner une idée de la fréquence de l’abus des personnes âgées, comparons ses statistiques avec celles de l’abus d’enfants. Elles nous disent que 3,3 millions d’enfants (sur un total de 74,3 millions) ont été sujet à au moins un abus rapporté en 2015. Pendant ce temps, des experts présument qu’un Américain sur dix âgé de plus de 60 ans a vécu une forme quelconque d’abus. Parce que l’abus des personnes âgées est gravement sous-rapporté, seulement environ un cas sur 24 se rend aux autorités.

La réaction des législateurs, des « journalistes » et des académiciens, face à cette épidémie d’abus des personnes âgées, a de quoi nous démonter et nous rendre furieux. Dans les deux dernières décennies, les rapports financés par le gouvernement ne portent presqu’aucun attention aux abus des personnes âgées et ce, de manière répétitive. Un comité du Conseil de Recherche Nationale, fondé en 2003 pour examiner l’abus des personnes âgées, conclut : « On ne sait que peu de choses » des « caractéristiques, des causes ou des conséquences, ou encore des moyens efficaces de prévention » de l’abus des personnes âgées. Cependant, cette conclusion choquante ne sonne pas l’alarme. Plus d’une décennie plus tard, le rapport de The Elder Justice Roadmap admet que la « base de connaissance » sur l’abus des personnes âgées « traîne depuis des décennies derrière » l’abus des enfants et des épouses.

Les professionnels œuvrant avec les personnes âgées demeurent ignorants ou pauvrement éduqués sur la question. Le terrain de la justice en regard des personnes âgées se doit encore de définir ce que constitue une intervention réussie au nom d’une personne sénior, ce que, en tant qu’avocat, je trouve particulièrement exaspérant. Le grand courant médiatique pourrait avertir et éduquer, mais ne fait ni l’un ni l’autre. Nous en sommes à devoir accepter qu’avec les baby-boomers atteignant maintenant les 70 ans, notre engagement en vue d’éradiquer l’abus des personnes âgées traîne terriblement des décennies derrière ceux qui sont entrés dans leurs 80 ans – en 1980.

Je me rappelle encore très nettement de cas, à l’époque de ma pratique légale, qui impliquaient l’abus de personnes âgées. J’avais alors la même pensée qu’aujourd’hui : « Quel individu malade peut faire cela ? »

En traitant de questions concernant mes propres grands-parents, je fis l’expérience de plusieurs situations que je n’aurais jamais considérées auparavant. Si j’avais été mieux préparé, aurais-je pu prendre soin d’eux de façon plus efficace ? Je sais que de prendre ne serait-ce que quelques moments peut contribuer à protéger un être cher de l’abus des personnes âgées — quelque soit la forme.

Donc, qu’est-ce que l’abus de personnes âgées ? Bien qu’il existe de nombreuses définitions, je trouve que la définition du rapport de The Elder Justice Roadmap est la plus complète :

« L’abus physique, sexuel ou psychologique, ainsi que la négligence, l’abandon et l’exploitation financière d’une personne plus âgée, par une autre personne ou entité, survenant dans n’importe quel cadre (i.e., maison, communauté ou installation), soit dans une relation où il y a une attente de confiance et/ou quand une personne plus âgée est ciblée sur la base de son âge ou de son invalidité. »

Qui peut être méchant au point de perpétrer cet abus ? Parmi ces auteurs de crimes inhumains, on peut compter des enfants adultes, des époux(ses), des membres de la famille, des amis, des gardiens de résidence, du personnel de maison de retraite ou de maison d’aide, ou autres facilités. Bien que les abuseurs peuvent être des deux genres, la plupart sont souvent des mâles. Dans presque 60 % des incidents, les auteurs sont des membres familiaux — dont les deux-tiers sont un enfant adulte ou l’époux(se) de la victime.

Quels sont les signes avertisseurs ? Ce peut être des items comme des ecchymoses, des escarres ou plaies de lit, le retrait social, un changement émotif marqué et un manque de fonds inexpliqué. Pour repérer les signes avertisseurs, toutefois, il est essentiel de maintenir un contact régulier.

En outre, soyez conscient de ce qui suit : les femmes qui vivent seules courent un plus grand risque. Un citoyen sénior qui reçoit au moins un appel de télémarketing par jour risque trois fois plus d’être victime de fraude que celui qui n’en reçoit qu’occasionnellement.

Les premiers rapports d’abus financier des personnes âgées rendaient compte de 2,6 milliards $ annuellement en fonds détournés. Cependant, par la suite, True Link Financial publia un rapport plus complet. Les chiffres en dollar ? 36,48 milliards $ ! De ce total, 6,7 milliards $ sont attribués à la famille, aux amis ou à des personnes en soin payé ayant pris avantage de la confiance d’un citoyen sénior. L’apôtre Paul a dit que « l’amour de l’argent est la racine de tous les maux. »

Ce qu’il y a de plus dérangeant, c’est que 16,9 milliards sont le résultat d’exploitation par des commerces, des individus ou des œuvres de charité usant de tactiques de pression ou de confus « caractères fins » pour attraper des séniors dans des pièges financiers. Nos législateurs doivent aborder la question de manière urgente alors que presque la moitié de tous les abus financiers de personnes âgées sont TECHNIQUEMENT LÉGAUX !

Dans d’autres cultures, les personnes âgées sont vénérées pour leur connaissance et leur sagesse. L’abus des personnes âgées doit devenir un sujet de discussion régulier. Honorer notre père et notre mère, c’est aussi être leurs défenseurs.