Les trois plus grandes trahisons de Trump jusqu’à maintenant

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin
3 avril 2025
Écrivant pour Natural News, Lance Johnson a rédigé un sommaire précis et concis des plus grandes trahisons du Président Donald Trump jusqu’à date. Elles sont au nombre de trois.
Trahison numéro un
De Gaza au Yémen : Trump étend le massacre au Proche-Orient
La trahison de Trump est des plus évidentes dans son escalade militaire. Après avoir critiqué de manière cynique les bombardements de Biden, Trump a mené des frappes dévastatrices contre le Yémen, tuant des civiles sous le prétexte de protéger la navigation en Mer Rouge – crise manufacturée par le blocus israélien contre Gaza.
Le Dr Ron Paul en a condamné l’hypocrisie : « Le Yémen était-il en train d’attaquer les États-Unis ? Non. Le Président a-t-il demandé une déclaration de guerre ? Non. » Au lieu de cela, les bombes de Trump se sont mises à pleuvoir sur les femmes et les enfants pendant que son administration menaçait l’Iran – une provocation délibérée pouvant mener à la Troisième Guerre Mondiale.
Max Blumenthal résume le rôle de Trump de façon succincte : « Trump s’est emparé du massacre de Gaza. » L’homme même qui promettait la paix alimente maintenant l’enfer régional, les intérêts d’Israël dictant chaque mouvement.
Oui, vraiment.
Le fiasco du chat Signal du cabinet de guerre de Trump, conduit par le Secrétaire à la Défense Pete Hegseth démontre non seulement jusqu’à quel point l’administration Trump est assoiffée de sang, mais également l’ineptie purement prétentieuse et ignorante qu’exhibent ces individus au sujet des affaires internationales.
Hegseth fut le guerroyeur-en-chef dirigeant ce paquet de prédateurs pathétiques et psychopathes qui a dit sur le chat : « Personne ne sait qui sont les Houthis. »
Mais pourquoi se laisserait-on arrêter par un peu d’ignorance au sujet des gens que vous planifiez assassiner ? La discussion s’est poursuivie dans une unanimité presque complète à savoir que, peu importe qui ils sont, on doit les tuer. Le centre de la discussion tournait autour de la question à savoir comment « vendre » au peuple américain l’attaque militaire illégale, injuste et immorale contre le Yémen.
On a découvert plus tard que la raison pour laquelle Hegseth et ses laquais mégalomaniaques faisaient des plans pour attaquer le Yémen était que le Mossad israélien en avait donné l’ordre.
Vous rappelez-vous lorsque les Républicains étaient en rébellion ouverte à propos de la révélation que la Secrétaire d’État Hillary Clinton avait coulé des informations gouvernementales sensibles via ses courriels ? Les Conservateurs exigèrent à hauts cris qu’elle soit congédiée. Qu’elle ne soit pas licenciée provoqua des proclamations qu’il y avait un « double standard » de lois pour la hiérarchie démocrate.
Eh bien, nous savons maintenant qu’il existe aussi un « double standard » de lois pour la hiérarchie républicaine. Donc, le vrai double standard de lois échoit sur les électeurs de notre pays qui ne veulent qu’appliquer la règle de loi au parti politique opposant. Ils sont parfaitement à l’aise si leur parti viole la loi – ou la Constitution elle-même, pour la même raison.
L’érudit légiste et juge Andrew Napolitano est d’opinion qu’Hegseth a violé la Loi fédérale sur l’Espionnage.
À mon point de vue, le crime d’Hegseth fait paraître celui d’Hillary comme un P.V. de stationnement en comparaison, et il devrait à tout le moins être congédié et peut-être même poursuivi au criminel. D’autres personnes du gouvernement sont présentement à subir des sentences de vingt ans de prison pour des crimes de nature bien moindre que celui d’Hegseth.
Hegseth a montré au monde – les amis comme les ennemis – que les choix de cabinet de Trump forment une bande de bouffons. En lisant le chat, on penserait voir le bavardage d’enfants d’école secondaire.
Quelle incroyable incompétence !
Ensuite, bien sûr, Trump réalimenta Israël en bombes et en missiles pour continuer son génocide et son nettoyage ethnique du peuple palestinien à Gaza et puis donner le feu vert au massacre de Netanyahou sur la population civile de Gaza qui se poursuit sans discontinuer jusqu’à maintenant.
Donc, le génocide de Gaza est maintenant le GÉNOCIDE DE TRUMP. Et la guerre au Yémen est maintenant LA GUERRE DE TRUMP.
Trahison numéro deux
La marionnette et le marionnettiste – la servilité de Trump pour Netanyahou
L’allégeance de Trump envers le Premier Ministre Benjamin Netanyahou n’est pas seulement politique – elle est pathologique. Comme l’a observé sans ménagements le colonel Douglas Macgregor : « Netanyahou pratique la politique américaine au moyen de la ventriloquie. Il ne fait que faire bouger les lèvres de Trump. »
George Galloway a mis en lumière la servilité humiliante de Trump en rappelant les séquences du président américain où il tire la chaise de Netanyahou comme un serviteur. « Voici le Président des États-Unis attendant pratiquement debout à la table la visite d’un politicien, » remarque Galloway, mettant l’accent sur le grotesque déséquilibre de pouvoir.
Netanyahou ne fait pas que diriger Israël – il commande au « pouvoir et au capital de la juiverie internationale », note Macgregor. Trump en dette envers cette influence lors de ses élections, rembourse maintenant les faveurs par des bombes.
Aujourd’hui, seuls ceux qui sont « volontairement ignorants » ne savent pas que nos politiciens des deux partis à Washington, D.C., – y compris le Président Trump – sont achetés et payés par le lobby israélien. J’ai lu des estimations qui suggèrent que l’ensemble des contributions à la campagne politique de Trump, l’an dernier, de la part des donateurs sionistes dépassait le milliard de dollars. La collaboratrice du Mossad Miriam Adelson a à elle seule donné plus de cent millions de dollars à Trump.
En vérité, l’armée américaine n’est rien de plus qu’une armée de mercenaires au service d’Israël. Cela débuta sérieusement lors de la première administration présidentielle de G. W. Bush. Depuis un quart de siècle maintenant, les politiques étrangères des administrations présidentielles américaines (sans égard au parti) n’ont été rien de plus que des effets de marionnettes aux mains d’Israël.
Comme je l’ai noté dans cette rubrique la semaine dernière, voyez ce que ce rabbin juif très influent a dit récemment :
Ça n’a vraiment pas d’importance que ce soit Donald Trump ou Donald Duck qui gagne les élections américaines. Ça n’a pas plus d’importance que ce soit Kamala Harris ou Kermit la Grenouille qui gagne.
En ce qui a trait aux affaires internationales, en tout ce qui touche à l’avenir de ce monde, Donald Trump ou Kamala Harris n’ont aucune liberté de choix. Ils deviennent des pantins. Et qui tirent les ficelles de ces marionnettes ? Nous. Le peuple juif.
La politique étrangère de l’Amérique n’est pas conçue par notre président ou notre secrétaire d’état ; elle est conçue par Benjamin Netanyahou et les sionistes d’Israël.
Trahison numéro trois
La guerre de Trump contre la liberté d’expression : faire taire les critiques contre Israël
L’administration Trump a armé le pouvoir fédéral afin d’écraser la dissidence face à l’occupation brutale d’Israël en Palestine. Le juge Andrew Napolitano et le professeur John Mearsheimer ont récemment dénoncé la réalité effrayante : « La principale plus grande menace contre la liberté d’expression aux États-Unis, à ce moment-ci, c’est Israël et ses souteneurs, ici, aux États-Unis », a déclaré Mearsheimer.
En dépit de la déclaration creuse de Trump – « J’ai mis fin à toute censure gouvernementale et j’ai ramené la liberté d’expression en Amérique » – son régime a intensifié les mesures de répression contre les voix propalestiniennes. Les manifestants font face à la déportation, les universités censurent la critique contre Israël, et tout défi aux narratifs sionistes est traité avec des représailles de sanctions d’état.
Le professeur Mearsheimer a raison à cent pourcent. « La principale plus grande menace contre la liberté d’expression aux États-Unis, à ce moment-ci, c’est Israël et ses souteneurs, ici, aux États-Unis ».
Publié sur VaccineImpact.com, voici un reportage de Brian Shilhavy intitulé « Le Corps Expéditionnaire sur l’Antisémitisme » de RFK Jr opérant comme une nouvelle police secrète traquant et terrorisant les résidents légaux des États-Unis.
Le Secrétaire aux Services de Santé Humanitaires (HHS), Robert F. Kennedy Jr, a continué à attaquer ceux qui protestent contre le génocide qui se produit à Gaza en faisant en sorte que son Corps Expéditionnaire sur l’Antisémitisme traque et terrorise les résidents américains LÉGAUX, y compris des résidents permanents qui sont ici avec des Cartes Vertes.
Voici une vidéo de surveillance qui a capté la manière par laquelle cette nouvelle force de police secrète qui opère aux États-Unis agit de façon très similaire à la Gestapo allemande et au KGB russe qui opéraient durant la Seconde Guerre Mondiale où les dissidents étaient enlevés et envoyés dans des Camps de Concentration.
Le journaliste Glenn Greenwald, lui-même d’ethnie juive, est le dernier à avoir critiqué Kennedy pour son organisation du Corps Expéditionnaire sur l’Antisémitisme.
Greenwald a soutenu Kennedy et son mouvement MAHA (Make America Healthy Again), mais a peine à croire maintenant que Kennedy se joint aux sionistes et restreint la liberté d’expression.
Un grand nombre des étudiants qui sont traqués, saisis sans aucun mandat et que l’on fait disparaître dans des centres de détention ICE en Louisiane, dirigés par des contractants privés dans des conditions déplorables, sans aucun dossier d’accusation contre eux, ne sont pas ici avec des visas étudiants, mais sont des résidents permanents ayant des Cartes Vertes, ce qui signifie que l’immigration les a déjà interviewés et leur a accordé la résidence permanente aux États-Unis.
Si cette nouvelle force de police secrète s’en tire avec cela, pensez-vous honnêtement qu’elle va s’en tenir seulement à enlever des étudiants ? Pourquoi devrait-elle s’arrêter seulement aux étudiants ?
Si son but est de faire taire toute dissidence contre le mouvement sioniste, vous pouvez être sûr qu’elle va éventuellement courir après tous ceux qui ne supportent pas le sionisme.
Comme je l’ai dit dans mon homélie de dimanche dernier, intitulée Aucun Roi sauf Jésus ! :
Notez bien ceci : Les évangélistes judaïques qui se réjouissent de la persécution inconstitutionnelle des collégiaux qui vocifèrent leur déplaisir face au génocide d’Israël à Gaza sont les mêmes qui se réjouiront de la persécution inconstitutionnelle contre vous et moi qui disons que l’Israël de Dieu n’est PAS l’état sioniste né en 1948.
Et ici même, j’encourage fortement les lecteurs à visionner cette brève vidéo dans laquelle Benjamin Netanyahou se vante virtuellement que Trump soit sa marionnette et suit ses ordres en faisant la guerre contre quiconque s’oppose à l’État sioniste d’Israël – et pousse vivement Trump (et tout autre leader gouvernemental) à incarcérer tous ceux qui parlent contre Israël.
S’il vous plaît, regardez également cette courte vidéo d’une minute du professeur Jeffrey Sachs abordant ce sujet spécifique avec une honnêteté brutale et directe.
Aussi, dans mon message de dimanche dernier, j’ai cité un article de Jesse Smith de Technocracy.News intitulé L’équipe Trump est bourrée de technocrates « contre-élitistes » de Peter Thief :
Trump est à peine depuis deux mois dans son second mandat et une cellule de réflexion républicaine, appelée Projet Troisième Mandat, cherche une façon de le faire revenir en poste au-delà de sa besogne actuelle qui expire en 2028. Ils travaillent à amender la Constitution pour rendre la chose possible. Leurs items promotionnels décrivent Trump comme un César romain.
Je recommande vivement aux lecteurs de jeter un œil sur cette affiche promouvant le Projet Troisième Mandat qui est apparue à la récente convention CPAC et qui fait exactement ce qu’a dit Jesse : dépeindre Trump comme un César romain.
Smith continue en écrivant ceci :
Coïncidence, Musk a posté en novembre dernier que « L’Amérique est la Nouvelle Rome ».
Musk imagine-t-il l’administration Trump comme équivalant à la « Paix Romaine » de César Auguste qui fut exécutée par le travail des esclaves et mettait en scène des expansions territoriales agressives ?
Ou est-il en faveur de la société où les Césars dirigeaient d’une main de fer et où toute dissension pouvait résulter en enlèvement et/ou en exécution ? Ou est-ce un mélange des deux ?
L’incursion de Trump dans la limitation de la liberté d’expression pour avoir critiqué Israël et l’étiquetage des vandales de Tesla de terroristes domestiques fournit des indices à savoir vers où nous nous en allons.
Oui, en effet.
Dans le film de Star Wars « La revanche des Siths », le chancelier suprême Palpatine, qui est secrètement Darth Sidious, déclare la formation de l’Empire Galactique.
Padmé Amidala, une sénatrice qui représente l’idéal de la République, regarde avec désarroi ses compagnons sénateurs applaudir avec enthousiasme l’établissement de l’Empire.
Amidala dit à un autre sénateur : « Ainsi, voilà comment meurt la liberté, par un tonnerre d’applaudissements. »
Nous sommes témoins de cette même scène dans la vraie vie alors que la Synagogue-église et les Républicains conservateurs – aveugles quant à l’identité du réel Darth Sidious – applaudissent au démantèlement de notre Constitution et au commencement du pouvoir absolument autoritaire du Gouvernement-Corporation Technocratique.
On aurait pensé que les trahisons de Trump auraient réveillé les chrétiens évangéliques et les Républicains conservateurs devant l’autoritarisme qui émerge rapidement dans notre pays. Mais, hélas ! ils sont aveugles comme toujours.
Ave César !