L’aube d’une nouvelle année

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2021

Par Jerry Barret

À chaque année, au premier janvier, des millions d’Américains ont en vue de s’améliorer en prenant des résolutions personnelles et en s’établissant des buts. Vous pouvez voir cela par les fenêtres de tous les lieux d’exercices à travers le pays. Ceux qui s’emploient à la bonne santé en faisant régulièrement de l’exercice sont forcés d’ajuster leur horaire pour éviter les foules qui s’en suivent. Toutefois, cela n’est pour eux qu’un embêtement mineur. Ils savent qu’en février ces guerriers qui foncent dans les séances d’entraînement auront abandonné en retournant à leurs vieilles habitudes.

Toutefois, ce janvier-ci ne sera pas comme ceux de mémoire récente. De nombreux gyms ont été fermés à cause d’un confinement draconien ordonné par les gouvernements locaux ou étatiques. Bien que jugé inconstitutionnel par les propriétaires commerciaux touchés, le public en général s’est à peine prononcé. « Nous devons pratiquer ces lignes de conduite au nom de la sécurité, » a-t-il comme mantra.

À mesure que s’accroit notre « sécurité », nos libertés rétrécissent. Ceux qui croient encore être libres en Amérique, vous devez vous réveiller et humer le café. Lentement, mais sûrement, nos libertés se sont érodées pour n’être qu’à deux doigts du néant.

Je me rappelle qu’enfant je marchais avec Papa jusqu’aux portes de l’aéroport en vue de son vol vers une destination déterminée par ses supérieurs des Forces aériennes des États-Unis. Notre famille avait l’habitude de se promener nonchalamment dans tout l’aéroport en attendant que son vol soit annoncé, en le regardant marcher vers la passerelle, puis voir son avion décoller.

Grâce au travail interne appelé 9/11, une grosse colonne de liberté fut enlevée des piliers de l’Amérique. Aujourd’hui, seuls ceux qui ont des billets peuvent se rendre jusqu’aux portes. Et ce après avoir passé par un contrôle de sécurité où l’on vérifie votre identité et votre carte d’embarquement. Une fois accepté, vous devez pratiquement vous déshabiller et passer dans une machine à rayon-x. Tous les bagages que vous transportez doivent aussi passer au rayon-x, testés pour fin de résidus d’explosifs avant qu’on vous les redonne pendant que vous vous rhabillez. Les accolades et les embrassades d’au revoir sont maintenant restreintes à la zone de chargement, et tout cela au nom de la sécurité.

Nous, les moutons, n’avons rien à penser de ces nouvelles « précautions ». Nos leaders ont nos meilleurs intérêts à cœur, n’est-ce pas ? Peu importe le fait que certains employés mécréants des aéroports sont reconnus pour partager des images des machines à scanner les corps. Ni le fait qu’aucun acte terroriste n’ait été contrecarré par ces procédures envahissantes. Au début, les reporters et les enquêteurs indépendants se mirent à tester l’efficacité de ces procédures, et ils finirent par être fortement désappointés.

Cette phase du grand plan étant complétée, il était temps de faire le pas suivant. Cet événement annonciateur arriva le 18 octobre 2019 à New York City. Tenu conjointement entre le Centre de Sécurité Sanitaire Johns Hopkins, le Forum Économique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Événement 201 s’avéra un exercice pandémique de haut niveau. Cet exercice servait à illustrer les domaines où les partenariats publics et privés seraient nécessaire en cas de pandémie sévère.

Ainsi que j’en ai fait la documentation dans des bulletins précédents et dans des émissions radiophoniques antérieures, cette pLandémie a été lancée sur une population sans méfiance en surgissant sur la scène en mars de 2020. La peur, répandue par les grands courants médiatiques sous la direction de l’élite, a agrippé le pays dans sa poigne d’acier. Un nombre croissant de mort a occupé la une des reportages de nouvelles. On a présenté des images d’hôpitaux remplis de médecins et d’infirmier(e)s désespérés essayant apparemment de traiter des milliers de patients. Des sacs mortuaires remplissaient les chariots que l’on acheminait vers les camions réfrigérés.

Les gouverneurs et les fonctionnaires locaux ou étatiques élus ont tous promulgué des ordres de confinement dans l’effort « d’aplatir la courbe » des infections qui, semblait-il, se répandait comme une traînée de poudre sur toute la planète. Au début de ces ordonnances, l’on nous a dit que deux semaines seraient probablement suffisantes pour reprendre le contrôle de la situation. Hélas, nous aplatissons la courbe depuis maintenant neuf mois.

Chose ironique ou non, cette pLandémie est survenue au moment même où l’économie américaine rebondissait. Des usines revenaient en Amérique, et avec elles des emplois dont nous avons grand besoin. Le chômage dans les communautés minoritaires connaissait des baisses record. Les transactions et les traités qui ne bénéficiaient pas à l’Amérique furent réécris. On remettait de l’avant le concept de « l’Amérique d’abord ». Est-ce que les accusations infructueuses contre le Président Donald Trump et son soutien croissant par la classe moyenne des travailleurs ont mis la puce à l’oreille de l’élite ?

Comme on dit, avec du recul, c’est 20/20. Il est toujours plus facile de discerner les motifs une fois que les dés sont jetés, et le temps est un allié, pas un handicap à la prise de décision. Mais avec l’Agenda 21 des Nations Unis pointant à l’horizon, on peut se demander ce qui va suivre.

Avec la soi-disant victoire électorale de Joe Biden en tant que prochain Président, un changement crucial semble venir, et il ne sera pas beau. La législation imminente de la Chambre des Représentants contrôlée par les démocrates met en lumière l’avenir sombre de notre pays. La Loi sur l’Égalité, ainsi que la Loi sur la Sensibilisation envers l’Antisémitisme — lesquelles j’ai discuté avec le révérend Ted Pike dans mon émission radio [Anti-Christian Legislation is Pouring Out of Congress (Une législation antichrétienne déferle du Congrès) disponible en format cassette ou CD] — sont des assauts directs contre les chrétiens. Si les démocrates peuvent mettre la main sur le Sénat en se sauvant avec la Géorgie, comme le dit le vieux dicton : « Katy, barre la porte à double tour ».

Il y a aussi, dans le pipeline de la destruction, le H.R. 5717, surnommé la Loi sur la Prévention de la Violence par les Armes et la Sécurité Communautaire. Si cet projet de loi législatif est adopté et signé en tant que loi, la structure de la réglementation gouvernementale va changer radicalement. Entre autres changements, le projet de loi propose ce qui suit :

  • Il exige des individus qu’ils obtiennent un permis d’achat, d’acquisition ou de possession d’armes à feu ou de munitions [l’emphase est ajoutée] ;
  • L’âge minimum des acheteurs d’armes à feu et de munitions passe de 18 à 21 ans ;
  • Il établit de nouvelles exigences d’examens d’antécédents pour les transferts d’armes à feu entre parties privées ;
  • Il exige que les agences de mise en application de la loi soient notifiées si un examen d’antécédents donne un résultat négatif ;
  • Il crée un processus légal pour qu’un membre de famille ou de ménage puisse pétitionner à la cour pour qu’on enlève les armes à feu à un individu qui court le risque de commettre de la violence [la Loi Drapeau Rouge]

99,7 % des propriétaires d’armes à feu de notre grand pays sont, et vont continuer à être, des Américains obéissant aux lois. Ajouter des lois pour rendre encore plus difficile de se défendre légalement ne découragera en rien les 0,3 % d’individus à l’esprit maléfique.

Ce projet de loi rendra également les armes à feu taxables à 30 % et les munitions (les cartouches et les balles) taxables à 50 %. Actuellement, les armes à feu et les munitions sont taxées à 10 %. De plus, l’on n’a pas besoin d’un permis pour acheter des munitions !

Quiconque a étudié l’histoire, même juste un peu, sait que la première étape d’une dictature totalitaire s’accomplit par le contrôle des armes. Après que cette mesure est prise, la liberté d’expression et de religion devient la cible suivante. Est-ce que le Plan – dont a si souvent parlé notre pasteur émérite Texe Marrs – fait des bonds de géant grâce à l’abêtissement des Américains ? Combien de temps reste-t-il avant que les camps de rééducation soient pleins de moutons dociles ? Est-ce que les vaccins planifiés pour le Covid-19 font partie de la « nouvelle normalité » de la dépopulation ?

Il y a un vieil adage que me disait mon père : « Si tu ne te tiens pas debout pour quelque chose, tu seras à genoux pour n’importe quoi ». Il est temps pour les chrétiens craignant Dieu et rachetés par Son sang de se tenir debout et de crier sur les toits ! Ce n’est pas une conspiration si c’est la vérité. Power of Prophecy crie la vérité depuis plus de trente ans. 2021 ne sera pas différent. Vous joindrez-vous à nous ?

***

Par Michelle Hallmark Powell

Nous avons été avertis

En 2004, la Commission sur la Réforme des Élections Fédérale fut constituée par l’ancien Président Jimmy Carter et James A. Baker III (Secrétaire général et Secrétaire d’État sous les Présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush) pour examiner le processus électoral aux États-Unis. Organisation privée et bipartisane, la Commission assembla des leaders des deux partis, de même que des groupements civiques académiques et non partisans afin de maximiser l’accès et l’intégrité des votes. Il y avait 87 recommandations étalées dans un rapport de 91 pages. Mettre en œuvre toutes les suggestions aurait exigé une action du Congrès au coût de 1,35 milliards $. Le rapport demandait également une supervision professionnelle et étatique non partisane des élections. Voici certaines des autres recommandations :

  • Développer un « système d’inscription au vote universel » dirigé par les états plutôt que par des juridictions locales ;
  • Accroître l’effort d’inscription des électeurs par les états, y compris l’effort de permettre à des anciens détenus de voter sous certaines conditions.
  • Créer une méthode d’identification photo uniforme pour assortir l’électeur à la liste électorale, tout en établissant plus de bureaux pour les électeurs sans permis de conduire afin qu’ils s’enregistrent plus facilement et acquièrent leur carte d’identification photo.
  • Suite aux caucus en Iowa et aux primaires du New Hampshire dans les années d’élection présidentielles, les états devraient tenir quatre primaires et des caucus régionaux à la place des horaires actuels dans le but de réduire l’influence des états de l’est dans le choix de leurs candidats.

Si ces recommandations avaient été mises en place, nous ne serions peut-être pas dans la situation de fraude électorale que nous voyons présentement.

Avertis, mais bêtement désarmés

Reculons maintenant seize ans avant l’élection de 2020. D’abord, nous avons utilisé les machines à vote conçues par les Systèmes de Vote Dominion. Cette compagnie fut fondée en 2003 et sa mission était de fournir un système électronique de vote qui s’avérait avenant pour les progressistes. La compagnie ne marcha pas très bien jusqu’à ce que l’administration Obama arrive au pouvoir. Le dur effondrement du SEV (Système électronique de vote) mis en marché par la compagnie aux États-Unis arriva en août 2009.

  • 40 % ES&S
  • 30 % Diebold/Premier
  • 20 % Sequoia/Smartmatic
  • 10 % Hart Intercivic
  • 0 % Dominion

Puis, moins d’un an plus tard, grâce à l’administration Obama :

  • 50 % Dominion
  • 40 % ES&S (qui fut restreint dans sa compagnie contre Dominion)
  • 10 % Hart Intercivic

L’Administration Obama confisqua tous les actifs des systèmes électroniques de vote (logiciel, propriété intellectuelle, outils de manufacture, clientèle de base, etc.) Elle donna alors cette information à Dominion qui obtint en même temps plusieurs employés de Smartmatic – un Système Électronique de Vote dont les propriétaires sont à l’étranger – qui était relié à Hugo Chavez du Venezuela. Comme nous le savons tous, Chavez utilisa les machines de vote truquées pour gagner ses élections. Donc, comme vous pouvez le voir, le système n’était pas seulement partisan, mais hyper partisan en faveur du Parti démocrate. Il y aurait plus à dire sur les liens du Parti démocrate avec ses supporteurs prééminents aux États-Unis et outremer, mais nous n’entrerons pas ici dans les détails.

L’historique de Dominion

La Dominion Voting System Corp., qui a été fondée au Canada, acquit éventuellement les Systèmes de Vote Sequoia – faisant anciennement partie de la Smartamatic Corp. maintenant une compagnie basée au Royaume Uni. Le logiciel Dominion a été utilisé par 40 % des électeurs dans cette élection de 2020, principalement par les états et les commissions de vote démocrates. Aucune protection n’a été mise en place contre les renversements, les effacements ou la création de votes. En fait, le logiciel utilisé était saisi d’un algorithme qui permettait aux machines de vote d’ajuster le compte des bulletins de vote à partir de 22h30 heure de l’est. Le compte des bulletins de vote stoppa dans bon nombre d’états contestés. Le propre site internet de Dominion dit que le logiciel a été utilisé dans des états « chaudement disputés » comme le Michigan, la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. On l’a aussi employé dans les grands états « démocrates » comme la Californie, le New Jersey et New York. C’est courir après la fraude électorale.

La combine

Vous n’entendez pas la vérité sur les canaux des grands courants médiatiques, mais voici quelques informations fournies à propos des bulletins de vote frauduleux qui s’avèrent des bulletins photocopiés, des bulletins de personnes décédées ou d’électeurs non-résidents. Vous avez ci-dessous l’effondrement des états clés durement contestés et ce qui a eu lieu quand les bulletins ont été révisés.

Comme vous pouvez le voir, c’est plus de 1 200 000 votes qui auraient dû aller à notre Président Donald Trump.

Combattre la corruption

Il se tient des audiences législatives dans chacun de ces états grâce à des affidavits signés par des centaines de témoins déclarant des contradictions massives du vote et des fraudes ayant eu lieu. Chaque législature étatique a le droit, selon notre Constitution, de changer le soi-disant appel à la victoire de Biden en celui de la victoire de Trump si l’on juge qu’il y a suffisamment de preuves de fraude électorale. Bien sûr, il faudra certains hommes braves pour se rebiffer contre le système et redonner aux Américains leur vrai vote. Puissions-nous tous prier notre Dieu qu’Il bénisse l’Amérique.




De la mer à l’océan étincelant, les « temps fous » sont arrivés en Amérique

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Décembre 2020

Par Jerry Barret

L’expérience que nos pères envisageaient est au bord du précipice de la destruction complète. Notre Constitution est continuellement attaquée et ne constitue plus qu’un morceau de papier usé et en lambeaux. Les freins et les contrepoids – mis en place pour limiter chaque branche du gouvernement – ont été usurpés par les acteurs du pouvoir de l’élite et les juges de la Cour Suprême légifèrent maintenant depuis le tribunal.

Alors que la poussière retombe suite à la période électorale de 2020, de nombreux problèmes inquiétants s’érigent face à ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Fait troublant, nos concitoyens sont victimes du contrôle mental constant émanant des grands courants médiatiques. Il ne peut y avoir aucune autre explication aux conséquences méprisables de nombreux états de notre pays jadis si grand.

Drogues psychotropes légalisées

La gauche soutient la dépénalisation des drogues qui crée une base de gens facilement manipulables, émotionnellement et intellectuellement. Et qui dépendront des « leaders » des médias politiques, sociaux et grand public pour leur dire quoi penser, comment penser, quand penser, etc.

L’anarchie règne en maître dans le quadrant supérieur nord-ouest de l’Amérique. Faut-il être surpris que les électeurs de l’Oregon aient adopté deux lois extrêmes ? La mesure 109 fait de l’Oregon le premier État du pays à autoriser l’utilisation supervisée des champignons hallucinogènes. Ce projet de loi a été adopté avec plus de cinquante-six pourcents des voix. La mesure 110 décriminalise de petites quantités de drogues, notamment la cocaïne, l’héroïne, l’oxycodone et la méthamphétamine. La possession sera désormais classée comme une infraction menant à une amende de 100 $. Cette mesure est passée avec cinquante-huit pourcents des voix !

Le New Jersey, l’Arizona, le Dakota du Sud et le Montana ont tous adopté des lois légalisant l’usage récréatif de la marijuana. Le Mississippi a légalisé la marijuana à des fins médicinales. Il ne s’agit sûrement que d’une mesure bouche-trou pour ceux qui souhaitent légaliser l’usage récréatif dans un avenir rapproché. Les gouvernements d’états sont favorables à cela parce qu4 cela veut dire d’autres recettes discales, ainsi qu’un moyen de maintenir une population induite par la drogue dans la docilité et la malléabilité.

Ces nouvelles déconcertantes, associées au programme marxiste continu implanté dans nos systèmes scolaires publics – du primaire à l’enseignement supérieur – préfigure la fin décisive de notre souveraineté en tant que peuple et nation. L’écho des révolutions précédentes résonne étrangement à nos oreilles.

Les psychopathes tourmentent l’humanité depuis le début de son histoire. Ils se sont avérés la bande de sauvages la plus assoiffée de sang qui ait foulé la surface de la terre. De Robespierre à Lénine, une traînée de sang sillonne leur passage.

Liberté, Égalité, Fraternité – ce n’est pas ce que vous pensez

La Révolution française dirigée par les Illuminati avait pour mantra : « Liberté, Égalité, Fraternité ! » Cette devise anodine cachait le mal qui se dissimulait en-dessous. « Liberté » signifiait la liberté de l’homme par rapport à Dieu, la liberté de faire ce que l’on veut, libéré des chaînes de la religion chrétienne. « Égalité » impliquait que toute autorité doit être brisée et qu’aucun homme ne devrait posséder plus de biens que ses compatriotes. « Fraternité » voulait dire que tous les hommes doivent être frères, les restrictions artificielles des frontières nationales, des religions et des races étant effacées.

Plus de trois millions de personnes périrent à travers la France. Bon nombre étaient des marchands et des commerçants, de simples fermiers et des gens craignant Dieu. Dans certains cas, des villes entières ont été rasées et détruites. Les églises furent employées pour de nombreuses voies de débauche.

En Russie tsariste, Vladimir a mené la campagne de la Terreur Rouge bolchevique. On construisit des camps de concentration d’où les victimes ne partirent jamais, des barges furent employées à noyer des gens, des familles entières furent arrêtées, torturées et assassinées. Les églises furent incendiées ou converties en entrepôts. Comme dans la France révolutionnaire, les chrétiens étaient ciblés pour extermination. À la mort de Lénine, Joseph Staline prit les rênes du pouvoir et poursuivit l’extinction supplémentaire de dizaines de millions de citoyens.

Karl Marx a dit : « Si l’on peut couper les gens de leur histoire, on pourra facilement les persuader. »

Les bolcheviks étaient attachés aux idées de Karl Marx, croyant que les classes ouvrières se libéreraient du contrôle de la classe dirigeante. Une fois cet objectif atteint, une véritable société socialiste fondée sur l’égalité pourrait s’établir. Cependant, Lénine pensait que les décisions devaient être prises par une élite intellectuelle et non pas par la masse des gens. C’est peut-être ce qui a conduit l’ancien auteur socialiste George Orwell à écrire dans son roman, Animal Farm : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d’autres. »

Ceux qui n’étudient pas l’histoire sont condamnés à la répéter

L’étude de l’histoire est d’une importance vitale dans notre éducation continue. Comme Texe Marrs, j’ai lu avec voracité des écrits historiques pour m’efforcer d’élargir mon champ de vision des événements. Juri Lina, auteur d’Architectes de la tromperie, cite une parole de Karl Marx : « Si l’on peut couper les gens de leur histoire, on pourra facilement les persuader. » Les événements qui se sont produits depuis l’élection présidentielle de 2016 et les activités illicites de « l’État profond » ressemblent remarquablement aux révolutions précitées. Bien qu’il n’y ait pas eu une grande quantité de sang versé… pourtant… le précéde3nt fut établi par d’autres psychopathes qui avaient revêtu la mante du pouvoir.

Dans son livre puissant, Les psychopathes : d’hier, d’aujourd’hui et de demain, Texe Marrs a expliqué :

« Suite aux élections, les Progressistes de partout se mirent à protester dans la folie. Leurs instincts les plus sauvages ont surgi et, pendant quelques années, l’Amérique a festoyé dans la Folle Époque des Progressistes. Ceux-ci sont, en général, d’une haine furieuse, mal embouchés, ignorants, politiquement correct, anti-américains, émeutiers, fauteurs de troubles. Conduits par un nombre incroyable de véritables psychopathes, les Progressistes dirigent le pays vers la période de Folle Époque. Peut-être sans le vouloir, leur rébellion et leur haine coléreuse de l’Amérique et des Déplorables [ceux qui votent Trump] ont ouvert la porte au psychopathe qui se réjouit de l’opportunité d’abandonner toute raison et de décimer toute apparence de loi et d’ordre. »

Preston James, psychologue social, a fait remarquer, dans son article perspicace La loi secrète des opposés : « Ce petit nombre sélect qui qui siège au sommet de la Hiérarchie Mondiale du Mal contrôle toutes les institutions clés, les grandes entreprises et l’establishment en cours… Si une personne publique quelconque les contrarie et sort des paramètres alloués, elle sera sanctionnée et mise sur la liste noire à divers degrés pour ne pas participer au système de manière significative. »

 




La transition du pouvoir est en jeu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2020

Par Jerry Barrett

Est-ce que l’un ou l’autre des candidats concédera la victoire après les élections ?

« Je considère de peu d’importance de savoir qui votera dans le parti, ou comment ; mais ce qui m’importe à l’extrême, c’est de savoir qui comptera les votes et comment. »

Boris Bazhanov –Les mémoires de l’ancien secrétaire de Staline (publié en 2002, traduit du russe)

 

À tous les quatre ans, nous sommes confrontés à un choix : pour qui voterons-nous comme Président des États-Unis ? Pour de nombreux chrétiens, le choix est facile à faire. Cependant, il faut se demander si c’est le bon et ne pas se hâter dans une décision si importante.

Il y a ceux qui fustigeront les gens qui jugent les autres. Ils éructeront leur version de Matthieu 7:1 : « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. » Mais ne jugeons-nous pas qui devrait être le chef de notre pays ? Pesons-nous leurs actions, leurs paroles et leurs agissements avant de voter ?

Le but d’un gouvernement

Romains 13:1 nous dit que nous sommes obligés de nous soumettre au gouvernement. Aux versets 3 et 4, l’on nous enseigne que le but d’un gouvernement est de maintenir le bien et de punir le mal. Le bien et le mal seront déterminés par l’État. Mais nous ne devons pas obéir aveuglément au gouvernement si ce corps gouvernemental exige que nous violions la Parole de Dieu.

Dans la lettre de Paul à Timothée, l’apôtre nous enseigne à prier pour les dirigeants qui sont en position d’autorité :

« J’exhorte donc qu’avant toutes choses on fasse des requêtes, des prières, des supplications, et des actions de grâces pour tous les hommes ; pour les Rois, et pour tous ceux qui sont constitués en dignité, afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté » (1 Timothée 2:1-2)

Nous pouvons le mieux démontrer notre respect à l’autorité gouvernementale lorsque nos dirigeants sont compétents et s’acquittent correctement de leurs fonctions. Mais ce n’est pas toujours le cas. Malheureusement, la Bible ne nous dit pas que tous ceux qui sont en autorité viennent de Dieu. Proverbes 29:2 nous dit ceci :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Nous qui nous positionnons sur la Parole de Dieu savons que toute autorité vient de Dieu. Personne – que ce soit un président, un dictateur ou un monarque – n’atteint sa position sans Sa providence. Cela ne signifie toutefois pas qu’Il l’approuve.

Vous n’avez encore rien vu

Pour ceux qui pensaient que la période électorale de 2016 était controversée, comme le dit le vieil adage : « Vous n’avez encore rien vu ! » Le Président Trump a été fidèle à sa personnalité habituelle et explosive, lançant ses insultes via les médias sociaux envers le candidat démocrate Joe Biden et sa colistière Kamala Harris.

De même, Biden et Harris y sont allés de leurs propres accusations caustiques contre Trump et son administration. De plus, aucune des deux parties de cette campagne n’a déclaré qu’elle concéderait rapidement la victoire le soir des élections. Le processus se complique encore du fait que l’on maintient des décisions étatiques et judiciaires permettant le comptage des bulletins de vote par correspondance sans « date limite de dépôt ».

Stratégie de guerre ou scénario planifié ?

Au cours de l’été 2020, à l’insu de la plupart d’entre nous, une « stratégie de guerre » a été organisée pour analyser les résultats potentiels et la réaction ultérieure des deux côtés de l’allée politique. Un certain nombre de scénarios ont été envisagés au fil de plusieurs sessions. Comme je vais le dévoiler plus loin, les participants – du moins ceux qui sont prêts à se voir révélés – forment un Who’s Who de poids lourds politiques et d’initiés de Washington.

La raison pour laquelle cela a piqué mon intérêt, c’est que la précédente « stratégie de guerre » – surnommée Event 201 et organisée par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins – était tenue à New York et concernait le déclenchement d’une pandémie à travers les États-Unis. Nous avons tous vécu les confinements qui s’en sont suivis, la mise en quarantaine sans précédent d’individus en bonne santé et la propagande, d’abord du nombre de décès, puis du nombre de cas. L’Event 201 a assurément aidé les personnes impliquées à planifier et à se préparer à l’asservissement presque total des citoyens.

Gestion de crise

Le recours à la gestion de crise est pratique courante dans le monde de la sécurité nationale. Des scénarios improbables sont présentés aux participants à qui l’on donne les concepts de base d’une catastrophe. L’idée de ces sessions est de reconnaître les zones de force et de faiblesse, et de mieux préparer les décideurs face à un désastre. Cette méthode est également utilisée pour jauger les réactions du public en employant le cinéma, la programmation télévisuelle et l’exposé des grands Médias traditionnels.

La prémisse de ce groupe reposait sur sa préoccupation concernant les perturbations potentielles après les élections présidentielles de 2020 et la transition des administrations. Le groupe s’est donné comme nom le Projet d’intégrité de la transition. Quoique présenté comme un effort bipartisan, le groupe était principalement financé par d’anciens membres de l’administration Obama.

Rosa Brooks, professeure de droit à l’Université de Georgetown, cofondatrice du Projet d’intégrité de la transition.

Les cofondateurs sont Rosa Brooks, ancienne fonctionnaire au Pentagone et professeure de droit à l’Université Georgetown, et Nils Gilman, ancien vice-chancelier de l’Université de Californie à Berkeley. Y participèrent aussi plus d’une centaine de hauts fonctionnaires, anciens et actuels, du gouvernement, des leaders de la campagne, des journalistes, des universitaires et d’anciens fonctionnaires fédéraux et étatiques.

Parmi les participants confirmés, il y a Michael Steele, ancien président du Comité national républicain ; John Podesta, président de la campagne 2016 d’Hillary Clinton ; l’ancienne Gouverneure du Michigan, Jennifer Granholm ; l’ancien Secrétaire d’état du Kentucky, Trey Grayson ; Donna Brazile, ancienne présidente par intérim du Comité national démocrate ; ainsi que les journalistes William Kristol, Edward Luce, Max Boot et David Frum.

Lors de sa première répétition, le groupe a simulé un résultat électoral ambigu. L’issue de l’élection n’était pas clair après les résultats de trois États en litige, et un État a détruit les bulletins de vote. Aucune des deux parties n’est prête à concéder.

À la deuxième itération, l’on figurait une victoire nette de Biden, à la fois du vote populaire et du Collège électoral. En la situation, Trump allègue qu’il y a fraude et il prend des mesures pour lui-même et pour sa famille. Mais il cède finalement la Maison Blanche à Biden.

Le troisième scénario commença avec Trump remportant une victoire au Collège électoral, tandis que Biden obtient le vote populaire. Ici, Biden refuse de concéder, persuadant les gouverneurs démocrates de deux états que Trump a remportés d’envoyer des électeurs séparés vers le Collège électoral, encourageant trois états – la Californie, l’Oregon et Washington – à brandir la menace d’une sécession, et convaincant la Chambre des Représentants de refuser de certifier l’élection.

La quatrième et dernière campagne couverte fut une victoire étroite de Biden à la fois aux votes populaires et au Collège électoral. Dans ce scénario, Trump refuse d’avouer la défaite, créant un indicible chaos avant que le Sénat républicain et les Chefs de l’état-major confirment et acceptent la victoire de Biden. Trump refuse de quitter la Maison Blanche et il est expulsé de force par les services secrets.

L’élection de 2020 sera-t-elle entachée

Tout comme il l’a fait durant les élections de 2016, Trump a allégué la possibilité de corruption – qu’il s’agisse de la collecte des bulletins de vote, des bulletins de vote envoyés par la poste, détruits par le service postal, ou de la façon dont les bulletins de votes sont comptés. Hillary Clinton avait été déclarée gagnante malgré que les votes dans certaines régions du pays aient dépassé les listes électorales.

De manière traditionnelle, la passation d’une administration à une autre se fait en douceur. Même les différends les plus remplis de rancune ont été mis de côté – pour la plupart – et ainsi s’est poursuivie la marque de notre république démocratique.

Sera-ce le cas pour 2020 ? Alors que le grand courant médiatique ne cache plus ses préjugés et fomente une haine enragée contre le Président en exercice, cela reste à voir. Ceux qui soutiennent Trump se sentent de même menacés et sont prêts à se défendre. De mon vivant, je n’aurais jamais pensé qu’une si forte discorde soit possible.

Souvenez-vous toutefois de ceci. Dieu règne sur nos affaires et, dans Sa providence, les dirigeants s’élèvent et s’affaissent, mais nous ne devons absolument pas présumer que toutes les affaires humaines reçoivent l’approbation de Dieu. Consolez-vous en pensant que Dieu demeure en contrôle au milieu de tout ce chaos. Nous sommes amenés à déployer activement Son caractère par les choix que nous faisons.

« Et que la paix de Dieu, à laquelle vous êtes appelés pour être un seul corps, tienne le principal lieu dans vos cœurs ; et soyez reconnaissants. Que la parole de Christ habite en vous abondamment en toute sagesse, vous enseignant et vous exhortant l’un l’autre par des Psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, avec grâce, chantant de votre cœur au Seigneur. Et quelque chose que vous fassiez, soit par parole ou par œuvre, faites tout au Nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à notre Dieu et Père » (Colossiens 3:15-17).

 


Par Sandra Myers

Fuir Babylone

Belize, Panama, Nicaragua, Canada, Nouvelle-Zélande, République dominicaine, Australie, Irlande… Voilà quelques-uns des nombreux pays vers où de mes amis et de mes connaissances ont parlé de s’envoler ou qui l’ont déjà fait.

Une personne s’est récemment exclamée : « Je déteste les États-Unis, alias le Marteau du monde entier, l’Exterminateur du monde entier et le Destructeur de montagnes ! » Mais cette personne admet qu’elle ne saurait où fuir. Elle veut juste SORTIR – sortir des terribles États-Unis d’Amérique.

Je suis peut-être légèrement partiale, mais malgré toutes ses imperfections, je continue de dire que les États-Unis d’Amérique sont le meilleur endroit pour vivre sur la terre verte de Dieu. Les États-Unis ne sont pas l’endroit parfait pour vivre ; mais aucun autre pays non plus. En fin de compte, nous ne sommes que des pèlerins de passage. `Notre foyer est au–dessus. Est-ce que l’Amérique, jadis lumière brillante sur la colline, et déjà à mi-chemin sur la pente glissante, se dirige vers l’hédonisme le plus complet, le marxisme/socialisme et la loi de la rue ?

La fureur de fuir Babylone

Ces ressortissants et ceux qui voudraient l’être ont une motivation commune : échapper à ce qu’ils considèrent Babylone et à leur propre disparition physique pour avoir été dans la Babylone. Ils croient que les États-Unis sont la maléfique et horrible prostituée dont parle la Bible. En tant que tel, ils ne veulent pas participer aux ravages provoqués par les États-Unis, ou encourir les châtiments et la destruction qui ne manqueront pas d’arriver aux États-Unis d’Amérique, s’il s’agit bien de Babylone.

« Fuyez hors de Babylone, et sauvez chacun sa vie, ne soyez point exterminés dans son iniquité ; car c’est le temps de la vengeance de l’Eternel ; il lui rend ce qu’elle a mérité » (Jérémie 51:6).

Le désir de fuir le danger est compréhensible. Satan veut vous cribler et vous dévorer. Mais votre désespoir vous fait oublier que ce que vous tentez de fuir n’est que la manifestation physique d’un problème spirituel.

Encore une fois, Babylone est une maladie mondiale du cœur, non pas une maladie physique. Babylone représente le rejet du seul vrai Dieu. C’était vrai dans les plaines de Sinhar, ainsi qu’à travers l’histoire, et c’est encore vrai aujourd’hui.

Comment fuir Babylone ?

Vous, mes amis fuyant Babylone, on doit vous féliciter. Votre esprit perturbé résiste aux pressions physiques et aux attraits de Babylone. Mais sachez qu’il n’y a pas d’échappatoire. Vos troubles vous suivront jusqu’aux extrémités de la terre. Au lieu de cela, j’exhorte ceux qui voudraient fuir de laisser la Direction de Dieu être votre cure.

Bien que vous ressentiez personnellement les flammes et que vous ayez l’impression que ces flammes peuvent vous submerger à tout moment, sachez que ces mêmes flammes dévorent le monde entier autour de vous. Mais, comme Sadrac, Mésac, et Habed-négo (Daniel 3), Jésus est avec VOUS, Son enfant, toujours. Surtout dans les flammes ardentes de la Tribulation – et nous vivons certainement un temps de tribulations – Jésus est votre seul refuge contre Babylone.

TOUTES les nations ont bu de son vin et ont commis la fornication avec elle. Mais le Seigneur commande à SON PEUPLE de sortir d’elle. Ne participez pas à ses péchés. C’est en ce moment que la bataille est à son plus féroce.

« Il cria avec force à haute voix, et il dit : Elle est tombée, elle est tombée la grande Babylone, et elle est devenue la demeure des Démons, et la retraite de tout esprit immonde, et le repaire de tout oiseau immonde et exécrable. Car toutes les nations ont bu du vin de sa prostitution effrénée ; et les Rois de la terre ont commis fornication avec elle ; et les marchands de la terre sont devenus riches de l’excès de son luxe. Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:2-4).

Jésus vivait parfois l’agonie sur terre, pourtant, Il avait pour désir de faire la volonté de Son Père céleste (Luc 22:41-44). Jésus savait que Son Royaume n’était pas de ce monde (Jean 18:36). Paul a dit qu’il valait mieux mourir et être avec Christ que vivre sur terre ; mais rester signifiait continuer à servir et à travailler pour Christ (Philippiens 1:21-24).

Après avoir été tenté par le Diable pendant quarante jours et S’être fait offrir tous les royaumes physiques du monde, Jésus refusa. Jésus savait que la bataille et le Royaume sont spirituels. Et quand Jésus eût réfuté le Diable, Il est reparti avec une grande puissance de l’Esprit.

En Jésus, vous possédez une grande puissance spirituelle. Vous serez sans aucun doute vilipendés et envahis par le monde qui mettra de grandes pressions dans votre esprit et y provoquera de grandes souffrances. Mais en tant qu’enfants du Très-Haut, vous êtes consacrés pour dire la vérité, prêcher l’Évangile et tendre la main aux cœurs brisés. Si Dieu dirige votre chemin vers différents endroits, obéissez et partez par tous les moyens. Mais s’Il vous envoie ailleurs, ce ne sera pas uniquement pour votre sécurité temporelle. Penserez-vous à la bataille qui fait rage autour de vous, où que vous alliez ?




La Californie nous a donné un aperçu du… Nouveau supplice vert

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2020

Par Jerry Barrett

« Et vous ne souillerez point le pays où vous serez … Vous ne souillerez donc point le pays où vous allez demeurer »

Nombres 35:33-34

 

Depuis trois décennies, les médias contrôlés utilisent des tactiques alarmistes pour faire croire au changement climatique. L’on a été canalisé du soutien politique et des centaines de millions de dollars pour renforcer ce programme. Il s’agit d’un groupe de pseudo-scientifiques ressemblant à une secte.

Activiste environnemental bien connu et respecté, Michael Shellenberger a récemment fait des excuses écrites pour avoir perpétué ce canular. Forbes.com a publié son article, mais l’a rapidement supprimé et a censuré cet aveu révélateur. La raison pour laquelle Shellenberger est devenu honnête ? Le lavage de cerveau qui se produit chez nos enfants. Vingt pourcents des enfants britanniques interrogés ont admis avoir fait des cauchemars sur le changement climatique et la fin du monde.

De nombreux enfants traumatisés par cette propagande sont incapables de profiter du grand air. Ils n’apprécient plus la nature et ne comprennent plus son fonctionnement. Lorsque l’on considère l’ampleur du dilemme, on en arrive à la conclusion que, sans une compréhension de base, il ne peut y avoir de bonne gestion.

La prise de pouvoir du changement climatique

Comme ceux qui doutent de la véracité de l’Holocauste sont ridiculisés et catégorisés, de même ceux qui nient les soi-disant « experts » du changement climatique seront dénigrés en toute impunité. La secte verte réplique avec des attaques calomnieuses par le biais des marionnettes des médias contrôlés. L’endoctrinement de notre jeunesse monte en flèche, sans égard aux dégâts causés.

Les politiciens se sont accrochés à ce canular en vue d’une prise de pouvoir totale. La représentante Alexandra Ocasio-Cortez (D-NY) a proclamé haut et fort : « Le monde va prendre fin dans

Le Gouverneur de la Californie, Gavin Newson (à gauche) vit avec l’impact véritable d’une « protection » extrême de l’environnement. Si Joe Biden est élu Président, il prévoit mettre en œuvre la plupart des mesures du Nouvel Accord Vert draconien d’Alexandra Ocasio-Cortez dans tout le pays.

douze ans si nous n’abordons pas le changement climatique ». Elle a fièrement lancé le « Nouvel Accord Vert » appuyé par George Soros.

Les études climatiques ont démontré des périodes de réchauffement et de refroidissement. C’est un cycle en constante évolution que l’homme ne contrôle pas. Ce qu’enseigne Genèse 8:22 devrait nous réconforter : « Mais tant que la terre sera, les semailles et les moissons, le froid et le chaud, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point. »

Malheureusement, certaines personnes affichent un complexe divin par lequel elles croient être plus intelligentes que notre Père céleste. Ces individus assoiffés de pouvoir obtiennent une tribune d’intimidation et exercent leur influence sur les autres pour qu’ils rejoignent leur secte. Cette pensée maladive se propage rapidement et, grâce au soutien financier adéquat, elle enveloppe la planète.

L’énergie renouvelable est une des expressions à la mode qu’emploient ces mystificateurs du climat. Ils considèrent que l’utilisation de la lumière du soleil, du vent, de la pluie, des marées, des vagues et de la chaleur géothermique va nous sauver des « combustibles fossiles ». Cependant, les effets potentiellement dangereux sont négligés par ces cinglés de l’environnement dans leur zèle à propager ce programme.

Voitures électriques

En réalité, il n’y a pas de système énergétique qui soit renouvelable. Les machines reposent sur l’extraction et le traitement continus des matières premières. Par exemple, jetez un coup d’œil sur une voiture électrique. À première vue, cela semble une excellente idée. Mais lorsqu’on examine le procédé requis pour créer cette voiture verte, le résultat final nous revient comme une gifle au visage. Les véhicules électriques produisent encore des gaz à effet de serre provenant de leurs freins, de leurs pneus et des usines qui les construisent. La batterie d’une voiture électrique a un poids ahurissant de mille livres [± 500 kilos].

Aux mines de terre rare de Jiangxi, en Chine, les mineurs creusent des trous de huit pieds [2m50] et versent du sulfite d’ammonium pour dissoudre l’argile. Cette boue est évacuée, soumise à plusieurs bains d’acide et ensuite cuite au four. Les minéraux rares restants sont utilisés dans les voitures électriques, tandis que les parties non utilisées, contaminées par des produits chimiques toxiques, sont remises dans l’environnement. À cause de la croissance de la demande en véhicules électriques, les minéraux de la planète menacent d’être épuisés en peu de temps.

On doit recharger les batteries de ces voitures. Est-ce aussi propre qu’une voiture à essence ? Les chiffres ne corroborent pas cette affirmation. Si l’électricité provient d’une centrale au charbon, chaque véhicule électrique émet environ quinze onces de CO2 pour chaque kilomètre parcouru, tandis qu’une voiture à essence n’en produit que trois.

De même, les batteries finissent par s’user. Nous avons tous fait l’expérience de ce bip strident à 2h00 du matin parce que la pile 9 volts du détecteur de fumée est tombée en panne. De nombreux éléments qui composent une batterie ne sont pas recyclables et se retrouvent donc dans nos décharges. Est-ce écologique ?

Éoliennes

Les éoliennes sont une autre source d’énergie renouvelable qui a gagné en popularité. Vous pouvez en voir des agglomérats sur des plateaux et des montagnes. Lorsque le vent souffle, les pales tournent en générant de l’électricité. En surface, cela semble une très bonne idée. Toutefois, certaines parties mécaniques s’usent avec le temps, et la force et la quantité de vent changent constamment.

Un défaut flagrant des éoliennes est son effet sur les oiseaux migrateurs. Approximativement 234 000 oiseaux se font tuer chaque année par les hélices. Les aigles et les faucons sont les espèces les plus touchées. Les chauves-souris arboricoles ont également vu leur population diminuer, et cela inquiète les scientifiques. Il y a eu des rapports ayant déclaré que ces turbines sont éteintes durant la période de migration, ne produisant ainsi aucune électricité.

Les pales de ces turbines s’allongent jusqu’à 230 pieds [70m] et pèsent en moyenne 36 tonnes. L’enlèvement des vieilles pales, ou celles qui sont cassées, pose un difficile problème de résolution. Il existe actuellement deux méthodes courantes d’élimination des aubes de turbines : les brûler ou les jeter dans une décharge. Plus de 720 000 tonnes de matériaux d’hélices devront être éliminées au cours des vingt prochaines années. Les aubes de turbines sont généralement fabriquées de verre composite ou de carbone. Contrairement à l’acier et au cuivre, ces matériaux ne sont pas aussi précieux une fois recyclés.

Panneaux solaires

L’énergie solaire est la forme d’énergie renouvelable qui connaît la croissance la plus rapide. Son impact environnemental n’est pas aussi néfaste que les éoliennes et les barrages hydroélectriques. Néanmoins, le matériel finit par s’user et on doit en disposer. De nombreux types de panneaux solaires ne sont pas recyclables. La quantité de panneaux solaires usés pourrait constituer le double du total actuel des déchets plastiques mondiaux d’ici l’an 2050.

Le supplice vert de la Californie

La Californie s’est empressée de remplacer les sources d’énergie à combustibles fossiles par de l’énergie renouvelable en vue du Nouvel Accord Vert. En 2016, le Gouverneur d’alors, Jerry Brown, a signé un projet de loi présenté par une législature d’État dominée par les démocrates exigeant que l’État s’approvisionne à 100 % à l’énergie renouvelable avant 2045.

La Californie a donc abandonné ses formes de production d’énergie plus traditionnelles. Les centrales électriques utilisant le gaz naturel, abondant et fiable, ont été remplacées par des alternatives progressives. D’autres centrales au gaz devraient fermer dans les années à venir, et la Centrale nucléaire de San Onofre a également été fermée.

La Californie est sans doute l’État vert le plus ambitieux de l’Union. Par malheur pour ses résidents, le secteur des énergies renouvelables de Californie a surestimé la quantité qu’il pouvait fournir. On en a eu la flagrante démonstration pendant une longue vague de chaleur. Des pannes de courant déferlantes se sont produites, car la consommation d’énergie dépassait les ressources énergétiques disponibles.

Les autorités affirmèrent que le couvert nuageux entravait la capacité des fermes solaires à produire de l’électricité et que les vents étaient trop calmes pour produire de l’électricité au moyen de leurs turbines. Fait ironique, les médias de gauche attribuent la vague de chaleur et la crise énergétique au « changement climatique ».

Misère partagée du supplice vert

Cette misère partagée se présentera à tous les Américains si les démocrates prennent le contrôle de la Chambre, du Sénat et de la Maison Blanche. Les idéaux progressistes du Nouvel Accord Vert seront un supplice dans lequel nous devrons naviguer au quotidien. Notre pays reculera comme au temps où nous n’avions pas encore l’électricité.

Le Gouverneur Gavin Newson (D) a tragiquement réalisé que l’énergie renouvelable est une chimère. Il a été forcé d’admettre que l’État avait besoin de secours et d’assurance, car les sources d’énergie verte ne sont pas suffisamment fiables. La Californie est une expérience ratée ayant fait la preuve que cette idée progressiste est un Nouveau Supplice Vert.

L’on nous a assignés comme intendants de notre planète. Il nous appartient donc d’user d’un solide jugement et de raison, en ayant toujours conscience de ceux qui sont sous notre domination. Recherchez Son conseil.


Black Lives Matter et son lien occulte

Par Michelle Hallmark Powell

En 2013, trois organisatrices radicales ont créé une volonté politique et un mouvement orientés vers les Noirs, appelé « Black Lives Matter ». Ce sont Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi.

Pour un peu d’histoire à leur sujet, disons que Patrisse Cullors est allé à sa première manifestation à l’âge de dix-sept ans. Alicia Garza, lesbienne, est membre d’Astraea, organisation LBGTQ. La signification du mot Astraea est « vierge de l’étoile », ce qui, dans la mythologie grecque, était la Déesse grecque.

Les treize principes directeurs de Black Lives Matter

  1. Justice réparatrice – Nous nous engageons à travailler collectivement, avec amour, courage et de manière vigoureuse pour la liberté et la justice envers les Noirs…
  2. Empathie – Nous nous engageons à pratiquer l’empathie : nous nous enjoignons des camarades dans l’intention d’apprendre d’eux et de nous connecter à leur contexte.
  3. Engagement dans l’amour – Nous nous engageons à incarner et à pratiquer la justice, la libération et la paix dans nos engagements les uns envers les autres.
  4. Diversité – Nous nous engageons à reconnaître, à respecter et à célébrer les différences et les points communs.
  5. Globalisme – Nous nous considérons comme faisant partie de la famille noire mondiale et nous sommes conscients des façons diverses qui nous enclavent ou nous privilégient comme Noirs qui existons dans différentes parties du monde.
  6. Affirmation queer – Nous nous engageons à encourager un réseau d’affirmation des queers. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise serrée de la pensée hétéronormative…
  7. Affirmation des transgenres – Nous nous engageons à adopter et à faire de la place aux frères et sœurs transgenres afin qu’ils participent et dirigent…
  8. Valeur collective – Nous sommes guidés par le fait que toutes les vies des Noirs comptent, indépendamment de l’identité sexuelle réelle ou perçue, de l’identité de genre, de l’expression de genre, du statut économique, des capacités, du handicap, des croyances ou de l’incrédulité religieuses et du statut d’immigrant ou du lieu.
  9. Intergénérationnel – Nous nous engageons à encourager un réseau intergénérationnel et communautaire exempt d’âgisme…
  10. Familles noires – Nous nous engageons à démanteler la pratique patriarcale qui exige des mères qu’elles effectuent des « double quarts de travail » qui les obligent à materner en privé alors même qu’elles participent aux travaux de justice.
  11. Villages noirs – Nous nous engageons à rompre les exigences de la structure nucléique familiale prescrite en Occident en nous soutenant les uns les autres en tant que familles élargies et « villages » qui prennent collectivement soin les uns des autres et particulièrement de « nos » enfants dans la mesure où les mères, les parents et les enfants s’y trouvent confortables.
  12. Noirs sans aucune excuse – Nous nous positionnons Noirs sans aucune excuse. En affirmant que « La Vie des Noirs Compte », nous n’avons pas besoin de nuancer notre position…
  13. Femmes noires – Nous nous engageons à bâtir un espace affirmant les femmes noires et qui soit exempt de sexisme, de misogynie et de centralité sur les hommes.

Je trouve assez révélateur qu’il existe treize principes directeurs pour cette organisation. Quand l’on considère le chiffre 13 et sa signification occulte, il est clair que cette secte est plongée dans les arts ténébreux.

L’occulte

Black Lives Matter est un mouvement spirituel, affirme la co-fondatrice Patrisse Cullors. Celle-ci a déclaré, dans une discussion sur le rôle de la spiritualité et de la prière au sein du mouvement Black Lives Matter, lors d’un programme du Musée Fowler de l’UCLA, que la pratique consistant à proclamer les noms des victimes dont ils prennent la défense dans les manifestations et les démonstrations est un moyen d’invoquer leurs esprits. « Il s’agit presque littéralement de ressusciter un esprit pour qu’il puisse œuvrer au travers de nous pour exécuter le travail que nous devons faire, » dit Cullors. Celle-ci touche aux traditions ouest-africaines qui se concentrent sur la mémoire des ancêtres.

Une grande partie du traitement du mouvement Black Lives Matter se concentre uniquement sur ses objectifs politiques et sociaux ; mais ce que les gens ne savent pas, et qui est pourtant à la vue de tous, c’est que Black Lives Matter est un mouvement profondément spirituel et imprégné d’occultisme. Les trois fondatrices et un grand nombre des leaders de chacun des seize chapitres de Black Lives Matter sont de fervents adorateurs de l’ancien paganisme africain qui est enracinée dans la sorcellerie et la divination. Pareil au vaudou où l’on évoque l’esprit des morts. De manière réaliste, nous pouvons les appeler des sorciers invoquant l’anarchie et la révolution par leurs chants scandés.

Scander des chants, c’est dire ou chanter de façon répétitive des mots ou des sons, souvent principalement sur un ou deux tons, ce qu’on appelle des tonalités de récitation. Le chant en cadence est utilisé depuis des siècles comme pratique spirituelle dans les cultures africaine, hawaïenne, amérindienne, assyrienne et d’autres cultures aborigènes. Cela ne vient pas de Dieu.

Les chants consistent en une grande quantité de répétitions de sous-expressions musicales, comme le chant qu’ils utilisent : « Les porcs dans une nappe, faites-les frire comme du bacon ! » Cela sert à inciter la violence contre nos cols bleus. Ils chantent aussi : « Nous sommes prêts ! » « Nous arrivons ! » encore et encore pour rallier leurs disciples à la violence.

La Bible dit, dans Matthieu 6:7 :

« Or quand vous priez, n’usez point de vaines redites, comme font les Païens ; car ils s’imaginent d’être exaucés en parlant beaucoup. »

Dans Éphésiens 5:6 :

« Que personne ne vous séduise par de vains discours, car à cause de ces choses la colère de Dieu vient sur les rebelles. »

Pensons-nous que cette organisation vient de Dieu ? Non, catégoriquement ! Comme chrétiens, il est temps que nous revêtions l’armure complète de Dieu.

En passant, George Soros a fait don à l’organisation de Black Live Matter de 33 millions $ cette année. Cela devrait nous en dire long…

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