D’autres révélations à propos du 7 octobre et de « l’Exception Israël »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

11 janvier 2024

Depuis l’attaque du Hamas contre l’armée israélienne, le 7 octobre, Israël et ses propagandistes contrôlés des médias occidentaux ne font que se référer sans cesse à cette attaque comme d’un acte de « terrorisme » d’une sauvagerie complète contre des civils israéliens – y compris des enfants et des bébés.

Larry Johnson nous aide à dévoiler la vérité concernant l’attaque du 7 octobre, dans un reportage intitulé Revisiting The October 7 Hamas Attack – Did Israel Kill Most Of The Israeli Civilians ? (Réexamen de l’attaque du Hamas du 7 octobre – Israël aurait-il tué la plupart des civils israéliens ?)

Pour ceux qui ne seraient pas enclins à lire jusqu’à la fin, voici l’essentiel – des sources israéliennes admettent que l’armée israélienne a tué de ses propres civils à cause du terme contradictoire de « feu amical ».

À la suite de cette débâcle, le gouvernement israélien a œuvré avec acharnement pour proclamer que l’attaque du Hamas était du terrorisme insensé qui n’avait d’autre but que le massacre des Juifs. Le gouvernement de Netanyahu a menti au sujet d’une quarantaine de bébés assassinés et de femmes violées par le Hamas. Ce n’est pas vrai. Les seuls enfants tués ce jour-là furent victimes de l’armée israélienne.

Les médias israéliens ont rapporté plus tôt qu’une jeune fille de douze ans, Liel Hetzroni, fut tuée dans l’attaque du 7 octobre par le Hamas dans le kibboutz Be’eri au sud d’Israël.

Selon les rapports, à la suite de l’assassinat de Liel, son grand-père Avia, son frère jumeau Yanai et sa tante Ayala furent amenés dans un autre endroit où ils furent tués avec plus de dix autres otages, et ensuite le Hamas aurait mis le feu au bâtiment…

Cependant, après que Yasmin Porat, qui était dans la maison où les jumeaux étaient détenus otages, eut dit que les décès furent causés par le tir des tanks israéliens, Hadas Dagan, propriétaire de la maison où les otages étaient détenus, brisa également le silence.

Dans une entrevue à Channel 12 en Israël, Dagan confirma que l’armée israélienne attaqua la maison, où les civils israéliens étaient détenus par le Hamas, avec des tirs de tanks et de l’armement lourd.

Racontant l’horreur de cette tuerie de quatorze personnes dans la maison, dont son mari, Dagan parla du moment où les soldats israéliens sont arrivés en face de la maison. « À ce point-ci, il devint clair à mes yeux que notre rôle était de servir de bouclier humain entre nos forces (israéliennes) qui arrivaient et eux (le Hamas). »

Comme je l’ai fait remarquer dans un post précédent, le Hamas frappa des éléments de l’élite de la Brigade Golani et tua 72 de ses membres. Ce n’est pas du terrorisme, c’est la guerre.

Israël a fait circuler des déclarations non vérifiées disant que des militants du Hama avaient décapité une quarantaine de bébés, le 7 octobre, mais elles furent en grande partie réfutées comme de la propagande qui, disent les critiques, était destinée à gagner la sympathie pour Israël dans le but de mettre à exécution une punition collective contre les 2,2 millions d’habitants de Gaza. Toutefois, un examen plus minutieux des événements par The Grayzone raconte une histoire différente : histoire dans laquelle l’armée israélienne porte elle-même la responsabilité d’un grand nombre de décès de civils. Non seulement les détails émergeants contredisent-ils la version du gouvernement sur les événements, mais ils indiquent que, dans le chaos de la bataille, les tirs israéliens imprudents menèrent probablement à des pertes significatives au sein de la population israélienne.

La témoin Danielle Rachiel fournit encore davantage de preuves, disant qu’elle a presque été tuée en échappant à l’attaque du Hamas au festival musical de Nova. Pendant qu’elle conduisait pour se rendre à un endroit sécuritaire, les forces de sécurité israéliennes se sont mises à tirer directement sur son véhicule jusqu’à ce qu’elle crie en hébreu afin de s’identifier en tant qu’Israélienne.

Le bulletin de nouvelles israélien, Yedioth Aharanoth, a dit dans son reportage que « les pilotes réalisèrent qu’il leur était extrêmement difficile de distinguer, au sein des avant-postes et des colonies occupées, qui était un terroriste et qui était un soldat ou un civil … Le rythme des tirs contre les milliers de terroristes était tout d’abord foudroyant, et, seulement après un certain temps, les pilotes commencèrent à ralentir les attaques et à sélectionner soigneusement les cibles. »

Pendant ce temps-là, des séquences vidéo à l’intérieur des kibboutz montraient une dévastation complète ressemblant au bombardement répété d’Israël sur Gaza au fil des années. Des pilotes d’hélicoptères Apache ont admis avoir tiré de manière continue et sans renseignement sur des cibles, alors que l’on ordonnait aux équipes de tanks de raser les maisons, sans tenir compte qu’il puisse y avoir des otages israéliens à l’intérieur.

Les gens qui peuvent avoir douté du reportage de GrayZone ont maintenant des preuves additionnelles donnant par la suite du poids au fait que des soldats israéliens ont assassiné trois otages israéliens qui échappaient de leurs ravisseurs du Hamas. Israël a passé des années à se vanter de sa force militaire professionnelle et capable. Aujourd’hui, en l’espace de moins de trois mois, l’armée israélienne fait face à un désastre de relations publiques. Au lieu d’être des soldats disciplinés commandés par des officiers capables, le monde voit une armée et une force aérienne indisciplinées, irresponsables et rapides sur la gâchette. L’Armée des États-Unis fut passée au goudron par le massacre de My Laï. La campagne militaire israélienne à Gaza est My Laï sur les stéroïdes.

Parlant « d’animaux humains » (terme de Netanyahu pour désigner les Palestiniens), voici deux courts clips vidéo montrant des soldats de l’FDI (Forces de Défense Israélienne) se vantant d’avoir tué des enfants.

Celui-ci est un clip de 14 secondes où un soldat de l’FDI flagornant de ce qu’il avait tiré sur une jeune fille de 12 ans, mais seulement parce qu’il ne pouvait trouver de bébés à fusiller.

Puis ce clip de 17 secondes où un soldat de l’FDI se vante d’avoir tiré deux petits enfants à la tête.

Et c’est le « Peuple Élu de Dieu » à propos duquel les évangéliques de partout persistent à nous dire que Dieu ne nous « bénira » pas si nous ne les soutenons pas ?

Je vous le dis carrément : le sionisme « chrétien » a pris naissance en Enfer.

Jésus a dit aux sionistes originaux, les Pharisiens : « Le père dont vous êtes issus c’est le démon, et vous voulez faire les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il n’a point persévéré dans la vérité, car la vérité n’est point en lui. Toutes les fois qu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur, et le père du mensonge » (Jean 8:44).

Les évangéliques restent indifférents devant ce spectacle de boucherie gratuite parce qu’elle est commise par des soldats israéliens – comme ils ont détourné la tête pour regarder ailleurs quand Israël a attaqué le USS Liberty en 1967. Je pense que la plupart des chrétiens sionistes soutiendraient l’État d’Israël si les soldats israéliens tireraient sur leurs propres mères.

L’Exception Israël (du journaliste chevronné Glenn Greenwald) :

L’ère du Droit Américain de Trump a amené avec elle des conflits internes, en grande partie cachés mais d’une grande ampleur, qui ont finalement éclaté devant les yeux du public. Il était plus que temps que ces incohérences doctrinales insoutenables – dont on nie aveuglément l’existence – soient mises pleinement à l’antenne et confrontées.

C’est exactement ce qui arrive enfin dans le sillage de l’indéfectible armement et financement illimités de l’administration Biden pour la guerre d’Israël à Gaza, y compris la requête de Biden d’un montant additionnel de 14 milliards de dollars pour la guerre d’Israël, au sommet des milliards qu’Israël obtient automatiquement chaque année des États-Unis. Bien que les fonctionnaires de Biden laissent filtrer périodiquement des déclarations « d’inquiétude » devant le nombre de civils qu’Israël tue à Gaza, en grande partie pour soulager la base de leurs électeurs de plus en plus en colère, ils refusent de manière indéfectible de considérer l’utilisation du levier américain et de contribuer à mettre quelque limite que ce soit aux actions israéliennes.

Comme le reconnaissent les principaux fonctionnaires israéliens, Biden a passé toute sa carrière comme un des supporteurs d’Israël les plus dévoués et indéfectibles. Ses discours déférents à la défense d’Israël au fil des décennies font de Bill Kristol un sobre discoureur en comparaison. Au cours de nombreuses années, Biden est devenu le plus gros récipiendaire de dons de la part du lobby pro-Israël, et avec raison. Peu se sont montrés d’un soutien aussi indéfectible envers ce pays étranger. Et depuis l’attaque du 7 octobre sur Israël, Biden est allé extrêmement loin pour protéger et soutenir Israël, allant même jusqu’à contourner l’exigence d’approbation du Congrès pour envoyer secrètement à Israël toutes les armes qu’il demandait et qu’il utilise maintenant pour anéantir la vie civile à Gaza.

Même un article de lundi dans le New York Times destiné à dépeindre les fonctionnaires de Biden profondément peinés de la destruction d’Israël à Gaza, reconnaît que « personne à l’interne [à la Maison Blanche] ne fait vraiment pression pour un changement dramatique de politique, comme de suspendre la fourniture d’armement à Israël – si ce n’est pour seule raison qu’ils comprennent que le président ne veut pas le faire. »

La vaste majorité des républicains du Congrès soutiennent la politique de Biden de financer et d’armer Israël, de la même façon que la vaste majorité d’entre eux soutinrent la politique de Biden d’armer et de financer la guerre en Ukraine. Mais dès le début de la guerre en Ukraine, il y eut une section non négligeable de républicains – composé largement de l’aile plus populiste et anti-interventionniste – qui s’opposa à la politique de guerre de Biden et vota « non » au financement américain de la guerre en Ukraine.

Bien qu’une poignée seulement de républicains au Congrès aient appliqué le même raisonnement au financement Biden de la guerre d’Israël, de nombreuses voix conservatrices influentes dénoncent maintenant la politique de guerre – et les plus larges financement et fourniture d’armement à Israël en général – en évoquant les mêmes principes non-interventionnistes de « l’Amérique d’abord ». qui les ont amenés à s’opposer de façon similaire au financement américain de la guerre en Ukraine.

Et de nombreux conservateurs influents se montrent maintenant particulièrement cinglants devant les continuelles tentatives d’éroder les droits à la liberté de parole aux États-Unis, et d’imposer diverses restrictions de parole sur les campus américains et partout ailleurs dans la vue de protéger Israël des critiques et de l’activisme s’opposant à ses actions.

Pendant des années, « l’Exception Israël » a signifié que l’on exige des conservateurs pro-Israël qu’ils abandonnent une multitude de valeurs politiques ostensiblement déterminées dans le but de protéger et de financer Israël, et d’imposer une censure répressive et des règlements de résiliation à la maison destinées à punir les critiques contre ce pays étranger et les réduire au silence.

Les Israéliens sont parfaitement au courant qu’il est interdit aux présidents américains de placer quelques limites que ce soit sur leurs actions, même lorsque les États-Unis financent les diverses guerres d’Israël et son armée. En 2001, Netanyahu fut attrapé sur vidéo en train de se moquer de la notion que les leaders américains pourraient entraver les attaques d’Israël sur les Palestiniens, se vantant de la facilité avec laquelle il pouvait mobiliser le soutien public américain en faveur d’Israël devant toute tentative présidentielle de se dresser contre Israël.

Encore cette semaine, plusieurs ministres des plus extrémistes d’Israël ont explicitement dit que le but d’Israël dans sa présente guerre était de faire le nettoyage ethnique des Palestiniens à Gaza. Après que la Maison Blanche de Biden eut annoncé qu’elle s’opposait à un tel objectif, le Ministre de la Sécurité d’Israël, Itamar Ben-Gvir, se moqua de la tentative américaine d’imposer des limites à son pays, disant : « Nous ne sommes pas une autre étoile du drapeau américain. »

Lorsque le représentant Mike Johnson (R-LA) fut nommé président de la Chambre, en octobre, il suivit une tradition de longue date en montant sur le podium de la Chambre afin de dévoiler aux Américains les priorités principales ce que sa présidence allait poursuivre. Après avoir décrété que « la plus grande menace contre notre sécurité nationale est la dette du pays, » il a ensuite annoncé que le premier projet de loi que le président entendait amener à la Chambre n’en était pas un pour aborder les nombreux problèmes des citoyens américains ou de s’attaquer à la dette nationale. Au lieu de cela, brillant de fierté, il dit que le premier projet de loi serait pour « soutenir notre cher ami Israël ».

Comme résultat de tout ceci, un grand nombre de conservateurs influents ont commencé à s’objecter de manière tout à fait vocale à cet Exception Israël défendue par beaucoup de législateurs républicains et d’experts conservateurs. Cela fit réagir les animateurs du Daily Wire, Candace Owens et Ben Shapiro, qui ont échangé publiquement des critiques acrimonieuses l’un contre l’autre. Le membre du Congrès Massie est apparu sur notre show le mois dernier pour révéler l’énorme dépense faite maintenant par l’AIPAC pour recruter contre lui au Kentucky un adversaire GOP de premier ordre afin de l’ôter du Congrès pour s’être opposer à l’insistance de Biden afin que l’Amérique finance la guerre d’Israël.

Les conservateurs se plaignent depuis longtemps que la gauche libérale américaine a recours à des accusations de bigoterie contre leurs opposants afin de détruire des réputations et d’étouffer les débats. Cela a toujours été un sujet de plainte ironique étant donné que beaucoup de conservateurs pro-Israël ont pour première tactique de hurler au racisme et d’accuser de bigoterie leurs opposants avec plus de désinvolture et de manière plus agressive que tout Guerrier de la Justice Sociale à cheveux pourpres d’Oberlin qu’ils prétendent détester.

Tout le monde sait que l’on sera étiqueté par les libéraux de raciste ou de nazi si l’on s’oppose, disons, aux politiques permissives d’immigration, ou à l’action d’affirmation, l’on sait tous que nous serons étiquetés, par les conservateurs pro-Israël et les néoconservateurs variés, de bigots, de nazis et d’antisémites pour avoir critiqué les actions du gouvernement d’Israël ou remis en question le financement américain de ses guerres. Ces deux factions ont beaucoup plus en commun, du moins au niveau tactique, qu’ils veulent bien l’admettre.

Accusations de bigoterie – particulièrement d’antisémitisme – est, et a toujours été, la tactique centrale des supporteurs d’Israël les plus dévoués en Amérique. Et il y a quelques domaines où cela a marché avec plus d’efficacité que cela a découragé, ou même empêché les citoyens américains de poser la question à savoir pourquoi ils doivent porter le fardeau de payer les guerres d’Israël et son armée, et pourquoi les États-Unis font tellement de sacrifices pour ce seul pays étranger.

Évidemment, la réponse à cette question de Greenwald, « Pourquoi », est fondée sur une SEULE raison : les omniprésents faux enseignements prophétiques basés sur Israël émanant de la vaste majorité des églises évangéliques d’Amérique, des réseaux de télévision et de radio, des écoles chrétiennes, des collèges et des universités, des livres et des annotations bibliques.

Le sionisme chrétien est une malédiction ; c’est une plaie ; c’est le destructeur ultime de tout ce qui est vrai, honnête et bon.

Et comme l’a noté Greenwald, Joe Biden est le plus gros récipiendaire de l’argent du lobby israélien, mais il n’est certainement pas le seul. La vaste majorité des membres du Congrès et des sénateurs sont « payés » par Israël.

Juste pour le plaisir, voici la liste des dix principaux récipiendaires du financement israélien (des pots-de-vin) :

  1. Joe Biden
  2. Robert Menendez
  3. Mitch McConnell
  4. Chuck Schumer
  5. Steny Hoyer
  6. Ted Cruz
  7. Ron Wyden
  8. Dick Durbin
  9. Josh Gottheimer
  10. Shontel Brown

P.S. : Nous venons tout juste de recevoir un nouvel arrivage du livre blockbuster d’Ilan Pappe, The Ethnic Cleansing of Palestine. L’éditeur a tout vendu par deux fois ce livre depuis le 7 octobre. Pour vous assurer de recevoir ce livre avant qu’il soit à nouveau épuisé, je vous suggère de le commander rapidement.




Qu’est-il réellement arrivé le 7 octobre ? Mike Johnson est-il un vrai Président de la Chambre des Représentants pro-liberté ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

2 novembre 2023

Laissez-moi rappeler aux lecteurs qu’à toutes les fois que le grand courant médiatique, les politiciens des deux partis et les leaders religieux de la droite comme de la gauche commencent à parler à partir du même script, commencent à chanter la même rengaine, commencent à réciter la même litanie, sans arrêt, encore et encore, ON VOUS LAVE LE CERVEAU AVEC DES MENSONGES.

Exemples ci-dessous :

11 septembre 2001

Covid

Guerre en Ukraine

Et maintenant la guerre israélienne contre les Palestiniens

Presque RIEN de ce qu’on nous dit n’est vrai. Le « prince de la puissance de l’air » (Éphésiens 2:2) rassemble ses forces démoniaques pour séduire le monde (Apocalypse 12:9). Comme le narratif du 11 septembre, le narratif du Covid et le narratif de la guerre en Ukraine, de même aussi que le narratif touchant les événements du 7 octobre en Israël est de la pure séduction.

Écrivant pour TheCradle.co, Robert Inlakesh et Sharmine Narwani rapportent ceci :

Deux semaines après l’assaut d’évasion du Hamas en Israël le 7 octobre, un portrait plus clair de ce qui est arrivé – qui fut tué et qui a tué – est en train d’émerger.

Au lieu du massacre à grande échelle sur des civils déclaré par Israël, les chiffres incomplets publiés par le journal hébreu Haaretz montrent que près de la moitié des Israéliens assassinés ce jour-là étaient en fait des combattants – des policiers ou des soldats.

Entre-temps, deux semaines de couverture des médias occidentaux rapportant que le Hamas aurait tué autour de 1 400 civils israéliens durant cette attaque militaire du 7 octobre a servi à enflammer les émotions et à créer le climat visant la destruction sans contrainte pour Israël de la Bande de Gaza et de sa population civile.

Le compte des morts israéliens a été filtré et façonné pour suggérer qu’un massacre systématique de civils a eu lieu cette journée-là contre des bébés, des enfants et des femmes servant de cibles principales à une attaque terroriste.

Or, des statistiques détaillées sur les pertes émises par le quotidien israélien Haaretz dépeignent un portrait nettement différent. Le 23 octobre, le diffuseur de nouvelles a publié de l’information sur 683 Israéliens tués durant l’offensive conduite par le Hamas, y compris leurs noms et l’endroit de leur décès le 7 octobre.

L’on a confirmé que, de ceux-là, 331 pertes – ou 48,4 % – étaient des soldats et des officiers de police, dont un grand nombre de femmes. On en décrivit 13 autres comme étant des membres du service de secours, et le reste était ostensiblement considéré comme des civils.

Bien que cette liste ne soit pas complète et ne tienne compte grossièrement que de la moitié du taux de décès déclaré par Israël, près de la moitié de ceux tués dans la mêlée sont clairement identifiés comme des combattants israéliens.

Il n’y a aussi jusqu’ici aucun décès enregistré d’enfants en dessous de l’âge de trois ans, ce qui remet en question le narratif israélien que des bébés ont été visés par les combattants de la résistance palestinienne. Du total de 683 pertes rapportées jusqu’à date, sept se trouvent entre l’âge de 4 à 7 ans et neuf entre l’âge de 10 à 17 ans. Le reste des pertes semble être des adultes.

Le nombre et la proportion des civils et des enfants palestiniens chez ceux assassinés par le bombardement israélien au cours des deux dernières semaines – plus de 5 791 morts, incluant 2 359 enfants et 1 292 femmes, et plus de 18 000 blessés – sont beaucoup plus élevés que tous les chiffres israéliens des événements du 7 octobre.

Aviva Klompas, ancienne rédactrice de discours pour la mission israélienne aux Nations Unies, fut la première Israélienne de marque à répandre la déclaration qu’il y avait des rapports sur « des jeunes filles israéliennes ayant été violées et dont le corps a été traîné dans les rues ».

Elle a posté cela sur X à 9h18 PM (heure de la Palestine), le 7 octobre, bien qu’une chronique de Klompas publiée dans le Newsweek à 12h28 PM (heure de la Palestine), le 8 octobre, ne fait aucune mention de quelque violence sexuelle que ce soit.

Klompas est également la cofondatrice d’Israël Sans Frontières, un « groupe actif de cellule » qui œuvre à « revitaliser l’éducation en Israël et prendre action de façon collective et vigoureuse pour combattre la haine des Juifs ». Un groupement charitable « ouvertement sioniste » qui travaille à promouvoir les narratifs israéliens sur les réseaux sociaux.

Le plan du Hamas

Il n’y a que peu, sinon pas du tout, de preuves que les combattants palestiniens aient eu un plan – ou cherchaient délibérément – à tuer ou à nuire à des civils israéliens non armés, le 7 octobre. Dans les séquences disponibles, nous les voyons d’abord s’engager contre les forces armées israéliennes, responsables de morts par centaines de soldats de l’occupation.

Plus de questions que de réponses

Il nous est essentiel de reconnaître que, dans un grand nombre de rapports des journalistes occidentaux sur le terrain, la majorité des informations en ce qui regarde les actions des combattants du Hamas proviennent de l’armée d’Israël – un participant actif du conflit.

Les preuves qui émanent maintenant indiquent qu’il y a une forte probabilité, spécialement à cause de l’importance des dommages des infrastructures, que les forces armées israéliennes puissent avoir tué délibérément des captifs, tiré sur de mauvaises cibles, ou pris erronément des Israéliens pour des Palestiniens dans le feu du combat. Si l’unique source d’information pour obtenir des déclarations sérieuses est l’armée israélienne, alors nous devons tenir compte du fait qu’elle a des raisons de cacher des cas de tir dans son propre camp.

Les tirs israéliens dans leur propre camp ont été répandus, même dans les jours qui ont suivi, à cause d’une armée qui n’a que très peu d’expérience de combat réel. Dans la cité d’Ashkélon (Askalan), le 8 octobre, des soldats israéliens ont tiré et tué un homme, puis ont lancé des insultes à son cadavre alors qu’ils croyaient qu’il s’agissait d’un combattant du Hamas ; pourtant, ils réalisèrent plus tard qu’ils avaient exécuté un camarade israélien. Ce n’est qu’un de trois exemples de tir contre son propre camp, cette journée-là, qui résultèrent en l’assassinat d’Israéliens par leurs propres troupes.

Pendant ce temps-là, des civils palestiniens de Gaza endurent d’incessantes attaques aveugles par des armes lourdes les plus sophistiquées qui soient, en vivant sous la menace persistante de déplacements forcés et potentiellement irréversibles. Ce blitz aérien israélien n’a été rendu possible que par le déluge de récits sans fondement concernant des « atrocités du Hamas » et que les médias ont commencé à faire circuler à partir du 7 octobre.

Je vous encourage à lire le reportage dans son entier.

Évidemment, la propagande disant que le Hamas essaie de « balayer » Israël – de même que les histoires inventées par les Israéliens à propos d’atrocités du Hamas – ont immédiatement fait en sorte que tous les médias de nouvelles, les politiciens et l’églisaille évangélique sont tombés dans le même lit : tous faisant l’amour avec la chérie de la tricherie, des ténèbres et de la destruction : l’Israël sioniste.

Les prêcheurs évangéliques ont vitement dépoussiéré leurs notes de Darby, Scofield, Larkin et LaHaye et ont commencé à saturer les ondes avec leurs « signes » du retour de Jésus, et de quelle manière tout le monde doit venir en aide à l’état apartheid de Netanyahu.

On penserait que les gens auraient saisi la charade jusqu’à un certain point. Ces faux prêcheurs de prophétie utilisent les mêmes versets bibliques pour faire les mêmes prédictions usées jusqu’à la corde au sujet d’Israël et de la Seconde Venue, année après année, décennie après décennie.

Encore mieux, l’on penserait que quelqu’un soulèverait la question : Attendez un instant ! selon le futurisme de Scofield, avant que Jésus ne puisse revenir, « l’antichrist » va apparaître sur la scène mondiale et passer un traité de paix avec Israël, qu’il brisera ensuite. Sur quoi, il débutera un massacre systématique du peuple israélien (que les Darbystes appellent « Juifs »). Ensuite seulement, à la dernière minute, comme le 7e de cavalerie venant à la rescousse des colons contre les sauvages Indiens, Jésus va revenir.

Donc, la question est celle-ci : si c’est ainsi que tout doit arriver (parce que c’est ce qu’enseigne le Livre de l’Apocalypse), alors pourquoi tout ce tapage et cette agitation de la part des évangéliques pour venir en aide à Israël ? N’interfèrent-ils pas de façon impuissante avec le plan de Dieu ?

Oh ! C’est vrai ! Ils ne seront ici pour rien de tout cela, parce qu’ils seront « enlevés » au ciel avant.

Toujours est-il que les évangéliques ont fait d’Israël une idole. Leur système de foi même dépend d’Israël. Enlevez Israël et la plupart des évangéliques n’ont plus de système de foi. Pourtant, le système de croyance évangélique concernant Israël exige que « l’antichrist » se lève et le massacre avant que Christ ne revienne.

Donc, la pensée va à peu près comme suit : Nous ne pouvons laisser le Hamas, le Hezbollah, ou la Syrie, ou l’Iran détruire Israël ; nous devons nous assurer que seul « l’antichrist » le fera. « Alors, pourquoi le Hamas ne serait-il pas “l’antichrist” ? », demanderez-vous. Parce que les évangéliques n’ont pas encore été « enlevés », Idiot.

Mes amis, n’essayez pas de comprendre le sens du futurisme Scofield ; il s’agit d’un conte de fée dénué de sens.

Voilà l’astuce : Nous voici encore avec le grand courant médiatique, les partis politiques des deux côtés de l’allée et les évangéliques de partout qui s’unissent tous en rangs militaires Covid/Ukraine pour le narratif de la guerre d’Israël.

Même le nouveau Président « conservateur » de la Chambre des Représentants, Michael Johnson, chante à partir de la même partition de musique.

Voici ce que dit Ron Paul :

Le républicain de la Louisiane, Michael Johnson, a été choisi comme nouveau Président de la Chambre des Représentants, mettant fin à la pièce de théâtre de trois semaines. Le représentant Johnson a la réputation d’être conservateur sur les plans fiscal et social. Il s’est parfois opposé au financement de la guerre en Ukraine, en suggérant qu’il peut se montrer ouvert aux arguments non-interventionnistes ou, à tout le moins, peu enclin à donner un chèque en blanc au complexe militaro-industriel. Cependant, il est également pour que l’on donne à Israël « tout ce dont il a besoin » pour vaincre le Hamas. [Ce qui signifie que Johnson est un autre politicien américain acheté par les sionistes.]

Le Président de la Chambre Johnson suggère qu’une autre résolution ininterrompue à court terme afin d’éviter une fermeture de gouvernement, pourrait être nécessaire pour s’assurer que la Chambre ne soit pas pressée d’adopter un projet de loi omnibus de dépenses publiques à la fin de l’année. Il dit vouloir adopter des lois de dépenses publiques individuelles par l’intermédiaire de la Chambre. Cela pourrait contribuer à restreindre les dépenses.

Toutefois, le Président de la Chambre Johnson ne devrait pas troquer l’effet de levier qu’une fermeture potentielle donne aux conservateurs fiscaux. Un Président de la Chambre qui est réellement dévoué à la liberté individuelle et qui comprend le besoin urgent de couper dans les dépenses gouvernementales aura la volonté de mette fin au gouvernement si c’est ce qu’il faut pour obtenir du Congrès qu’il coupe vraiment dans les dépenses. Ce Président de la Chambre hypothétique et pro-liberté refuserait d’amener quelque projet de loi que ce soit qui accroîtrait les dépenses dans un domaine donné à la Chambre à moins qu’il efface les dits accroissements de dépenses par des coupures de dépenses égales ou supérieures.

Un Président de la Chambre pro-liberté travaillerait à révoquer les programmes, les agences et les départements fédéraux inconstitutionnels. Au lieu de remplacer l’Obamacare par l’Obamacare Léger, un Président de la Chambre pro-liberté verrait à annuler toutes les interventions fédérales dans les soins de santé et à restaurer le contrôle du patient par des crédits de taxe et l’expansion des Comptes d’Épargne Santé. Au lieu de Pas d’enfants laissés derrière 2.0, un Président de la Chambre pro-liberté œuvrerait à fermer le Département de l’Éducation inconstitutionnel.

Un Président de la Chambre pro-liberté formerait des coalitions avec les progressistes anti-guerre afin de faire cesser le financement de toutes les opérations militaires inconstitutionnelles, ramener les troupes à la maison, couper de façon spectaculaire les dépenses militaires et interdire tout financement pour des guerres non déclarées par le Congrès [AMEN !]. Il pourrait y avoir aussi une coalition populiste gauche-droite formée pour mettre fin au bien-être corporatif et tout autre législation fédérale de réglementation et de dépenses qui bénéficient aux grandes institutions financières, aux compagnies pharmaceutiques et autres grosses entreprises [AMEN !]. Les épargnes provenant de ces coupures pourraient être employées à soutenir ceux qui dépendent des programmes gouvernementaux pendant que le Congrès retire progressivement l’état-providence. Aussi, l’on devrait permettre aux jeunes gens de ne pas participer à la Sécurité Sociale ou à Medicare en échange d’exemptions de taxe sur le salaire.

Un Président de la Chambre pro-liberté n’amènerait une législation sur le plancher de la Chambre que si elle protège la liberté et qu’elle est constitutionnelle. Un Président de la Chambre pro-liberté œuvrerait à protéger toute la Charte des Droits. Cela veut dire, plus aucune Loi des PATRIOTES, de guerre à la drogue, de confiscation de biens civils, d’harassement à l’aéroport, de censure Internet commanditée par le gouvernement [AMEN !]. Au lieu de réagir aux tueries de masse par des pensées, des prières et de l’autoritarisme, un Président de la Chambre pro-liberté verrait à révoquer les lois de contrôle d’armes inconstitutionnelles qui laissent sans défense d’innocents Américains [AMEN !].

Enfin, et non pas des moindres, un Président de la Chambre pro-liberté chercherait à auditer et à mettre fin à la Réserve Fédérale. Il travaillerait aussi à protéger le droit des gens à utiliser des devises alternatives comme les métaux précieux et la cryptomonnaie.

L’élection d’un Président de la Chambre des Représentants ne surviendra pas avant que le mouvement de la liberté soit capable d’influencer davantage le climat politique. Voilà pourquoi chacun d’entre nous qui connaissons la vérité devons continuer à répandre les idées de la liberté.

Le Dr Paul a raison : Mike Johnson n’est pas ce vrai Président de la Chambre des Représentants pro-liberté. Il commence à son poste de Président de la Chambre en prouvant qu’il appartient au même lobby israélien que la vaste majorité des membres du Congrès et des sénateurs – des deux partis républicain et démocrate.

Qu’est-ce que disait Yogi Berra ? « C’est encore et toujours du déjà vu. »




L’Agenda 2030 et l’avidité des entreprises cherchent à anéantir les fermiers du monde entier

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2023

Par Jerry Barrett

Vous allez manger des insectes et vous aimerez cela

« Mais que chacun contribue selon qu’il se l’est proposé en son cœur, non point à regret, ou par contrainte ; car Dieu aime celui qui donne gaiement. Et Dieu est puissant pour faire abonder toute grâce en vous, afin qu’ayant toujours tout ce qui suffit en toute chose, vous soyez abondants en toute bonne œuvre : selon ce qui est écrit : il a répandu, il a donné aux pauvres ; sa justice demeure éternellement. Or celui qui fournit de la semence au semeur, veuille aussi vous donner du pain à manger, et multiplier votre semence, et augmenter les revenus de votre justice. Etant pleinement enrichis pour exercer une parfaite libéralité, laquelle fait que nous en rendons grâces à Dieu. »

2 Corinthiens 9:7-11

On nomme familièrement « Actions de grâce » la célébration d’une moisson fructueuse par les Pèlerins du début du 16e siècle. Y assistaient cinquante trois survivants du Mayflower et quatre-vingt-dix personnes de la peuplade des Wampanoag. La fête dura trois jours.

Notre pays célèbre cette tradition par intermittence depuis 1789. En 1863, le Président Abraham Lincoln proclama une journée nationale « d’Actions de grâce et de louanges à notre Père bienfaisant qui demeure dans les cieux ». Grâce à une loi du Congrès, de 1942 à aujourd’hui, l’Actions de grâce se situe au quatrième jeudi du mois de novembre.

L’Amérique a de quoi être reconnaissante, mais notre vigilance a diminué au cours des quelques dernières décennies. Il semble que la rectitude politique et les doctrines libérales de nos églises

Est-ce que la première Action de grâce consistait à manger des insectes et des vers ?

aient réduit la ferveur d’un grand nombre à Le remercier pour Ses bénédictions. En réalité, malheureusement, le mouvement progressiste révérant la « Mère Terre » pourrait nous conduire à la famine mondiale.

Mais ne vous en faites pas. Les Nations Unies, le Forum Économique Mondial et d’autres flagorneurs du même esprit possèdent toutes les réponses. Écoutez-les seulement exposer leur sagesse éclairée.

Un article écrit par Sean Fleming et publié le 6 mai 2021 par le Forum Économique Mondial, intitulé Des vers pour dîner ? L’Europe soutient la nourriture à base d’insectes dans une annonce pour promouvoir la protéine alternative, déclare :

« L’Union Européenne (UE) a décidé que l’état larvaire du coléoptère Tenebrio molitor, le ver de farine, est sécuritaire pour la consommation des gens et il sera bientôt sur le marché en tant que “nouvel aliment”. Les chercheurs de l’UE disent que les vers, mangés en entier ou sous forme de poudre, sont riches en protéine, alors que l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture dit que les insectes comestibles “contiennent des protéines de haute qualité, des vitamines et des aminoacides propres à la consommation humaine.” »

Bill Gates et d’autres individus ont été fort occupés à créer de la viande « synthétique » pour remplacer le bœuf, le porc et la volaille. Gates a déclaré que des innovations telles que Beyond Meat et Impossible Foods – qui sont des options de nourriture végétale qui offrent des alternatives aux burgers et aux pépites de poulet – et la compagnie d’alimentation technologique, Upside Food, qui prend des cellules animales pour les faire ensuite croître dans un environnement de laboratoire, sont des étapes cruciales pour réduire la consommation animale. Il proclame que cette fausse viande deviendra « éventuellement » très bonne.

Certains pays ont pris des mesures draconiennes pour fermer définitivement des fermes et des ranchs. En Amérique, l’élite achète des terres arables pour contrôler la quantité de nourriture disponible aux masses. Les gens affamés feront de bons esclaves et se soumettront aux désirs de l’élite.

L’Agenda 2030 des globalistes a fait connaître dix-sept Buts de Développement Viables. Ces buts sont : Pas de pauvreté ; Pas de faim ; Bonne santé et bien-être ; Qualité de l’éducation ; Égalité de genre ; Eau propre et hygiène publique ; Énergie propre et abordable ; Travail décent et croissance économique ; Industrie, innovation et infrastructure ; Inégalités réduites ; Villes et communautés viables ; Consommation et production responsables ; Action climatique ; Vie sous l’eau ; Vie sur la terre ; Paix, justice et fortes institutions ; et Buts en partenariat.

Redistribution de la richesse

Tout cela semble de nobles causes, ne trouvez-vous pas ? Cependant, prenez en considération Pas de pauvreté et Inégalités réduites. Ce n’est rien de plus que de la redistribution de richesse.

Ne vous imaginez pas que les milliardaires vont partager la plus grande partie de leur sale fric avec plusieurs personnes appauvries. Je vous rappelle humblement la fameuse citation du Forum Économique Mondial : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». À la place, la richesse va être dirigée vers le haut pendant que la classe des pauvres va s’élargir.

Bonne santé et bien-être

Bien sûr, ces leaders bienveillants et qui savent tout ont démontré jusqu’à quel point ils se souciaient de la santé du monde. Comment pourriez-vous expliquer autrement le déploiement rapide de « vaccins » non testés pour combattre l’attaque de la récente pLandémie ? La multitude de boosters visant à lutter contre chaque variant, peu importe les réactions sévères qu’ils causent, étaient dans votre meilleur intérêt. Ou, comme l’on déclaré un grand nombre de gens, ces piqûres aspiraient-elles à la réduction de la population ?

Vous êtes-vous demandé, comme l’a fait l’auteur-ci, si ces leaders globalistes, qui publicisaient leur « vaccination », n’avaient pas plutôt reçu un placebo ? Combien de membres du Congrès et de la Maison Blanche ont-ils subi des effets secondaires reliés aux piqûres ?

Eau propre et hygiène publique

Avec une population globale plus basse vient le bénéfice d’avoir assez d’eau propre à boire, n’est-ce pas ? Malheureusement, pour la majorité des pays du tiers-monde, la plupart des souches de virus mortels émanent d’une pauvre hygiène publique. Tant que la population n’atteindra pas le niveau que l’élite juge appropriée, on va continuer à mettre ce problème en attente.

Villes quinze-minutes

Comme on en a discuté dans le programme radio de Power of Prophecy, l’on conçoit présentement des villes quinze-minutes. Certains sont allés jusqu’à spéculer que les endroits où il y a eu des feux de forêt des dernières quelques années en Californie – et récemment à Maui – seront les lieux de naissance de ces espaces de vie contraints… euh… viables. Le Forum Économique Mondial fit la promotion de cette idée lors de son plus récent rassemblement à Davos, en Suisse.

Ère glaciale… non, attendez… réchauffement global… bon, appelons cela Changement climatique

En cela repose le cœur du plan de l’Agenda 2030 des Nations Unies. Les médias contrôlés n’ont cessé de crier au loup en ce qui concerne le sort prochain de la « Terre Mère ». Dans les années 1970, nous faisions face à une Ère glaciale imminente qui devait décimer des peuples et de grandes portions de villes. En 2006, l’Homme Vert lui-même, Al Gore, frappa les grands écrans avec son documentaire An Inconveniant Truth (Une vérité gênante).

Al Gore fit un discours majeur sur le réchauffement global à New York, en 2004. Chose ironique, ce fut lors d’un des jours les plus froids de l’histoire de la ville. De plus, ce prétendu champion de l’environnement avait une empreinte carbone équivalente à plusieurs petites villes. Gore a voyagé autour du monde en avion privé, un peu comme le dernier tsar climatique de l’Amérique, John Kerry.

Gates, Gore, Kerry et le résident Joe Biden ont tous exprimé leur sérieux souci à propos de l’environnement. La plupart de leurs fanfaronnades sont en opposition directe avec leur façon de vivre. Toutefois, cela n’empêche pas les médias contrôlés de hisser ces hommes sur des piédestaux pour le travail qu’ils ont fait dans le but de combattre le réchauffement climatique… euh… le changement climatique.

La NASA a publié des photos établissant le fait qu’il y a davantage de « verdure » sur Terre aujourd’hui que jamais auparavant. Pour ceux qui comprennent les bases de la biologie, le dioxyde de carbone est vital pour la santé et le bien-être de l’homme, de la flore et de la faune. Les plantes absorbent le dioxyde de carbone, ainsi que les rayons du soleil, et cela fait partie du système que l’on appelle la photosynthèse. Inversement, les plantes expulsent de l’oxygène, ce qui permet à l’homme et à l’animal de respirer et de survivre.

On ne discute jamais de ce processus dans les forums publics, mais certaines personnes tentent de faire entendre leurs voix. Plus d’un millier de véritables scientistes climatiques ont signé récemment une déclaration proclamant que le changement climatique est un canular.

Une famine spirituelle

N’y allons pas avec le dos de la cuillère. L’Agenda 2030 qui se profile à l’horizon ne veut pas ce qu’il y a de mieux pour la planète. Il veut indubitablement ce qui profite le plus à l’élite. Les mécanismes de contrôle lâchés sur la population mondiale devraient être assez frais à notre esprit pour que nous réalisions que ce plan concerne le contrôle absolu.

Une autre saison des moissons est venue et passée. La nourriture a été engrangée. Il devrait y en avoir assez pour nourrir les masses. Malheureusement, ce n’est pas le cas. Un grand nombre de pauvres et de destitués vivent avec l’estomac vide sur une base régulière.

On pourrait dire la même chose au niveau spirituel. Les soi-disant chrétiens ont fait de l’ignorance de ce que la Bible enseigne une forme d’art. Cet inconvénient a conduit à la dépravation morale qui englobe notre pays. Un grand nombre de gens semble avoir oublié Matthieu 4:3-4 :

« Et le Tentateur s’approchant, lui dit : Si tu es le Fils de Dieu, dis que ces pierres deviennent des pains. Mais Jésus répondit, et dit : Il est écrit : L’homme ne vivra point de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »

Piger et choisir quelle version de la Bible nous plaît le plus, ou quel pasteur titille le mieux nos oreilles avec ce que nous voulons entendre sont à l’ordre du jour. En vérité, le paresseux récoltera ce qu’il a semé. La fin approche. Il nous appartient de tenir ferme à Sa Parole et de prêcher le véritable Évangile.


Par Sandra Myers

Neuf pensées sur le déroulement de la guerre Israël/Palestine

Alors que je regarde les derniers rapports de nouvelles en provenance d’Israël (au moment d’écrire cet article), nous recevons des appels nous demandant notre point de vue à propos de la guerre actuelle entre Israël et les Palestiniens à Gaza.

Déclarons l’évidence : la mort, la destruction et la terreur sont terribles des deux côtés et les civils essuient le plus fort des pertes physiques et logistiques.

Dans ma contrariété, bien que je sois horrifiée par les morts et les blessés, j’ai appris à réserver mon jugement en ce qui a trait aux détails et j’attends de recevoir les petits morceaux donnant le vrai portrait de ce qui arrive. Je ne sauterai pas dans le train auquel le grand courant médiatique est attaché. Voici quelques pensées qui m’ont traversé l’esprit.

1. Portez votre attention sur les tout premiers rapports. C’est souvent là que la vérité se montre le bout du nez – avant que les esprits se rassemblent pour voir comment le mieux diriger le bateau à travers cette nouvelle tragédie. Certains rapports vont disparaitre dans le trou noir de la mémoire.

2. Une fois que le grand courant médiatique et les gouvernements sont pleinement engagés, ils ne vont rapporter que ce qu’ils veulent que le public sache dans le but de susciter des réactions émotives spécifiques et leur contrôle mental. Il y a peu de temps, le public était hypnotisé et agitait le drapeau ukrainien, et les couleurs LGBTQ, et les masques Covid, et le changement climatique, et Black Lives Matter. Les masses acceptent aisément la cause du jour et l’esprit de ruche est facilement rassemblé.

3. Il a été rapporté que l’Égypte a averti Israël de l’événement trois jours à l’avance. En plus, avec le Dôme de Fer que l’on a vu utilisé après l’attaque initiale, avec tous les renseignements, la surveillance et le contrôle militaire disant que même un oiseau ne pouvait voler sans qu’Israël ne le sache, comment se fait-il que l’on n’ait pas stoppé tout cela dès l’étape du complot ?

Se pourrait-il que si l’attaque avait été prévenue, cet événement n’aurait été qu’un petit spot sur le radar des événements mondiaux ? L’outrage et les rapports de nouvelles auraient disparu trop rapidement pour être d’une utilité significative. Avec une attaque explosive sur des civils sans défense, particulièrement des bébés et des vieillards, alors toute la machine se met en branle. Le « mot en H » (Holocauste) est lancé partout. En plus, les médias fomentent la peur d’attaques contre les Juifs un peu partout dans le monde.

4. L’attaque fut-elle faite « sans provocation » ? Je ne ferme les yeux sur aucune des attaques de terreur et je suis tout aussi horrifiée que vous. Gaza et toutes les autres parties où vivent et travaillent les Palestiniens sont des prisons à ciel ouvert. Leur électricité, leur eau, leur nourriture et leurs autres nécessités, ainsi que l’aide qui leur est accordée, sont contrôlés par leurs geôliers. Les Juifs haïssent et méprisent les Palestiniens, et on leur enseigne souvent à persifler et à cibler les non Juifs (incluant les chrétiens).

5. L’histoire a prouvé à maintes reprises que les guerres par intermédiaire et les guerres hybrides sont souvent orchestrées, instiguées ou soutenues par les gouvernements et/ou leurs départements, ou les ONG (organisations non gouvernementales) et/ou d’autres marionnettistes de l’élite.

Il arrive souvent que les agents infiltrés deviennent les instigateurs. Ce qui aurait pu être des sessions de récrimination informelle peut pousser à l’événement généralisé de dévastation pour créer un double résultat planifié (l’un pour le public et l’autre pour « le programme ». Les émotions règnent et sont alimentées de telle manière que les auteurs ignorent le vrai résultat et ses ramifications. L’histoire en est remplie d’exemples.

6. L’histoire montre aussi que les Juifs ne croient pas en « l’œil pour œil », mais en la vengeance qui se multiplie.

7. Suivez l’argent. Qui finance le Hamas ? Vous savez comment cela marche, ce n’est pas seulement un pays voisin ou même les États-Unis. Cela pourrait-il être aussi les Rothschild, Soros, ou Koch (de retour aux ONG) ?

Et cela crée encore plus de blanchiment d’argent. Pour soutenir notre « meilleur ami », Biden va probablement offrir encore plus de support militaire et d’argent à Israël (argent que nous n’avons pas). Le complexe industriel militaire a toujours été un moyen de rendre les riches encore plus riches et d’exercer le contrôle sur l’humanité. Comme vous le savez, cela va nous retomber carrément sur le dos et sur celui des générations suivantes.

8. Que va-t-il arriver au territoire de Gaza ? Même si on le leur permet, les Palestiniens ne seront probablement pas en mesure de reconstruire.

9. Comme les drapeaux d’Israël qui sont collés partout, on crie de même « Je me tiens avec Israël ». J’ai demandé à un couple de gens « Avec quel Israël vous tenez-vous ? »

« Mais celui-là est Juif, qui l’est au-dedans ; et la véritable Circoncision est celle qui est du cœur en esprit, et non pas dans la lettre ; et la louange de ce Juif n’est point des hommes, mais de Dieu » (Romains 2:29).

« Toutefois il ne se peut pas faire que la parole de Dieu soit anéantie ; mais tous ceux qui sont d’Israël, ne sont pas pourtant Israël. Car pour être de la semence d’Abraham ils ne sont pas tous ses enfants ; mais, c’est en Isaac qu’on doit considérer sa postérité » (Romains 9:6-7).

L’Israël d’aujourd’hui est tout d’abord séculier et c’est un des foyers des personnes les plus débauchées et impies vivantes. Également, un grand nombre des « Juifs religieux » modernes s’en remettent au Talmud (traditions des hommes) comme leur fondation. À l’époque de Jésus et de Jean-Baptiste, ces mêmes Juifs furent révélés des usurpateurs de la Parole de Dieu et on les qualifia de ce qu’ils étaient, de votre père le diable et vous faites la volonté de votre père. La Vérité ne se trouve pas en eux, nous dit la Bible.

Le grand courant chrétien va-t-il se réveiller et demander de qui parle la Bible dans Apocalypse 2:9 et 3:9 et si ces gens-là vivent parmi nous en ce moment, ceux qui se nomment Juifs mais qui n’en sont pas, mais qui sont la Synagogue de Satan ?

En conclusion

La tricherie est la règle, pas l’exception. Comme telle, nous ne connaissons peut-être pas les détails précis de ces conflits mondiaux, et nous n’avons même pas besoin de les connaître. Bien que nous faisions face à l’incertitude, il n’y a jamais une once d’incertitude pour Dieu. Nous pouvons réagir à l’incertitude de la vie avec la certitude du plan de Dieu et de Son dessein pour nous. La souveraineté de Dieu est sur nous tous.




« Effacer la Palestine »

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

26 octobre 2023

Le monde regarde le génocide de tout un peuple s’effectuant devant ses yeux et le son de son indifférence globale est assourdissant. Si tout autre pays du monde se livrait à ce genre de carnage délibéré d’innocents, l’outrage du monde ferait sauter l’Échelle de Richter. Mais les auteurs maléfiques de cette tragédie humaine volontaire ne résident pas à Berlin ; ils résident à Tel-Aviv et le monde – particulièrement le monde occidental, ce qui veut dire spécialement les États-Unis – demeure complètement apathique face à la situation critique de ces gens souffrants et mourants dont la plupart sont des femmes, des enfants et des vieillards innocents.

Depuis le Jour Un, c’est-à-dire, en décembre 1947, l’Israël sioniste n’a pas été tenu responsable d’un seul acte de criminalité, d’assassinat, de torture, de nettoyage ethnique, de violation des droits humains ou même de l’agression délibérée et volontaire contre le peuple des États-Unis quand il attaqua le navire américain USS Liberty.

Aucune responsabilité ! Zéro ! Zilch !

L’histoire invariable d’Israël, ses principes établis et ses mœurs sont complètement à l’opposé de tout ce que les pasteurs et les chrétiens évangéliques prêchent et enseignent chaque dimanche.

Et pourtant, dans une proportion très large, les pasteurs et les chrétiens évangéliques continuent à promouvoir le babillage non biblique disant que la Palestine est la Terre Promise au « Peuple Élu de Dieu, les Juifs » et que l’Amérique ne peut être bénie par Dieu qu’en bénissant l’État sioniste.

En passant, comment cela se passe-t-il pour vous, les évangéliques ? Dieu « bénit-Il » l’Amérique ? Ou juge-t-Il plutôt l’Amérique ? S’Il juge l’Amérique (et tout évangélique lisant cet article SAIT que c’est le cas), alors serait-il le moindrement possible que vous, les évangéliques, ayez extrêmement mal interprété Genèse 12:3 ? [« Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi, » en parlant d’Abraham et non pas des Juifs.] Bien sûr, c’est ce que vous avez fait, mais vous ne voulez pas l’admettre, parce que cela vous forcerait à réévaluer toute votre compréhension de l’eschatologie – et la véritable signification biblique d’Israël – et vous n’avez pas la volonté de faire cela.

Mais je m’écarte.

En conséquence, Israël obtient le même passe-droit de tout le monde. Les chrétiens évangéliques votent en grand nombre, donc, les législateurs du Congrès n’osent pas faire quoi que ce soit pour traverser la ligne rouge de l’apaisement envers Israël ou toucher au « troisième rail » de la critique contre Israël.

À leur tour, les États-Unis sont l’État providence, non seulement des parasites américains, mais également des parasites internationaux. Les dollars américains affluent dans les coffres des gouvernements étrangers par milliards, sans mentionner l’équipement militaire, les munitions, les tanks, les missiles, les jets, les armes de poing, les mercenaires, les opérations spéciales américaines et les espions de la CIA par centaines.

Ainsi, tout ce que veulent les évangéliques sionistes, le Congrès le livre ; et tout ce que le Congrès américain et la Maison Blanche veulent, l’Europe occidentale le livre, ce qui veut dire que tout ce que Benjamin Netanyahu veut, tout le monde occidental le livre.

Netanyahu sait qu’il peut massacrer tous les « animaux humains » (terme sioniste pour les Palestiniens) qu’il veut en parfaite impunité. La pure terreur et l’inhumanité contre d’innocentes femmes et des enfants ne veulent absolument rien dire pour ce démon sioniste. Il est immunisé contre toute forme de critique et de responsabilité de la part de quiconque – et il le sait.

Pensez à cela : Toute cette guerre, ce bain de sang, ce nettoyage ethnique, cette terreur, ces tortures, ces crimes contre l’humanité et les plus inimaginables récits de souffrance humaine proviennent des notes ce Cyrus Scofield inspirées par le sionisme et insérées dans sa Bible de Références Scofield, et de l’omniprésent enseignement de doctrines prophétiques basées sur Israël de la plupart des collèges et séminaires bibliques évangéliques, et d’au moins 80 % des églises évangéliques du pays.

Il y a une maxime vraie qui dit : « Toute guerre est une guerre des banquiers ». Et depuis 1948, il est aussi vrai que « Toute guerre est une guerre des sionistes évangéliques ».

Dans un article intitulé Effacement de la Palestine, Omar Suleiman écrit :

Alors que le siège et le bombardement de Gaza se poursuivent avec force, tuant chaque jour des centaines de personnes, en mutilant encore plus et balayant des familles entières des registres civils, la communauté internationale demeure encore sans rien faire. La conversation mondiale sur l’assaut de Gaza tourne autour de l’annexion d’une autre partie de la Palestine historique par Israël, et non seulement les pays autour du monde ne se ruent-ils pas pour prévenir l’injustice, mais s’assurent que les Palestiniens transformés en réfugiés ne finiront pas par entrer chez eux.

Aujourd’hui, la peur de ce qui s’en vient menace davantage beaucoup plus les Palestiniens que la cruauté de l’apparente indifférence du monde pour leurs souffrances.

Cette fois-ci, la Nakba est télévisée et on y trouve une odeur puante de finalité. Ce qui arrive en Palestine ne peut plus se décrire comme un génocide ou un nettoyage ethnique. C’est au-delà de l’extermination de masse – c’est l’effacement total.

À côté de la campagne militaire moralement pourrie et dérangée visant à mettre fin à la vie de civils palestiniens innocents – dont la plupart sont des femmes et des enfants – il y a la campagne tout aussi sinistre, sinon plus, pour effacer complètement leur identité.

Ce n’est pas seulement le peuple palestinien ou le nom du pays qui disparaissent, mais le mot Palestine lui-même. Palestine est délibérément effacée de nos consciences et de nos discours, durant la guerre et même pendant la paix.

Les Accords Abraham, le prétendu traité massue négocié par les États-Unis pour normaliser les relations entre les pays arabes et Israël, manœuvre en quelque sorte pour exclure la principale partie mécontente : la population de la Palestine. On pourrait supposer que la situation critique de la Palestine, qui est censément le plus gros empêchement à la paix entre les états arabes et Israël, aurait fait du peuple palestinien un dépositaire critique – sinon central – des enjeux dans un traité si monumental. Pourtant, en ce qui a trait aux Accords Abraham, les Palestiniens n’existent pas.

Et maintenant, la campagne génocidaire actuelle faisant rage dans l’état occupant d’Israël contre les Palestiniens est devenue universelle et appelée erronément « une guerre entre Israël et le Hamas ». En quelque part, le peuple palestinien, sujet à l’occupation et l’oppression israéliennes depuis 75 ans avant le 7 octobre, ne compte plus. Ce sinistre mouvement de relations publiques est profondément problématique pour deux raisons.

D’abord, il permet le récit simpliste du bien et du mal, où Israël prend le rôle de démocratie civilisée aimant la paix et ne s’occupant que de ses affaires, tandis que le Hamas est le mal inexplicable et un groupe de milice barbare – orné de tous les extras et les métaphores antimusulmans imaginables – qui l’attaque de manière tout à fait inattendue. Cela en dépit du fait que, selon Human Rights Watch, Amnesty et un certain nombre d’organisations des droits humains israéliens, Israël est de fait un état apartheid et un occupant illégal qui a implanté le système d’incarcération à ciel ouvert le plus inhumain sur terre. Israël peut bien avoir des douzaines de partis politiques, mais la déclaration si souvent répétée qu’il s’agit de la seule « démocratie » au Proche-Orient ne peut être prise au sérieux quand son premier ministre vétéran, qui est aux prises avec des accusations de corruption, peut saper le système judiciaire et assigner dans son gouvernement des fonctionnaires séniors qui se qualifient ouvertement de fascistes.

Israël esquive systématiquement toute question délicate concernant les attaques du 7 octobre reliées à son occupation de plus de 75 ans du peuple palestinien.

La vérité toute simple est que le mot « Palestine » endommage profondément l’image d’Israël sur la scène internationale. Le mot « Palestine » porte en lui trop de victimisation reconnue universellement et tellement de récits d’oppression, de subjugation et de génocide que, lorsqu’inclut dans la conversation, Israël ne peut pas contester ses crimes, même s’il essaie désespérément. Le poids moral de la Palestine est si pesant qu’à chaque fois que le mot est prononcé, on peut entendre le sifflement du dégonflement de la bulle des gens des Relations Publiques d’Israël.

Voilà pourquoi le seul moyen de se débarrasser du pesant fardeau moral de la Palestine, semble penser Israël, est de se débarrasser littéralement de toute la Palestine, ce qui implique de l’effacer totalement de la mappe. Et pourtant, c’est Israël qui se dresse en avant aux Nations Unies, année après année, en implorant qu’on le protège des nations « barbares » qui espèrent censément les effacer de la mappe. L’ironie peut sembler hystérique, mais l’hypocrisie est bien réelle.

L’analyse de Suleiman ne saurait être plus exacte.

La guerre israélienne contre les Palestiniens n’a ABSOLUMENT RIEN à voir avec la prophétie biblique ou avec son autodéfense contre le Hamas. Elle ne fait que fournir une autre opportunité à Israël pour faire ce qu’il fait depuis plus de 75 ans : étendre ses limites territoriales par le sang répandu, la violence et la mort du peuple palestinien.

En d’autres mots, « Effacer la Palestine ».

 




Le peuple palestinien : victime du génocide israélien, de la propagande des médias, de la dureté du cœur humain et de l’hypocrisie évangélique

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

19 octobre 2023

Il est impossible de décrire avec exactitude les soixante-quinze ans d’horreurs que le peuple palestinien a été forcé d’endurer. La plus grande partie des crimes contre l’humanité infligés au peuple palestinien a été tue sans être rapportée. Très peu de gens – et j’entends bien TRÈS PEU – aux États-Unis et en Europe occidentale ressentent la moindre compassion au fond du cœur ou l’honnêteté intellectuelle pour l’état critique inimaginable de ces âmes souffrantes.

Le meilleur livre décrivant les horreurs des massacres violents d’Israël, de ses actes de génocide et de la pure terreur infligée au peuple palestinien au cours des soixante-quinze dernières années a été écrit par un historien israélien nommé Ilan Pappe. Son livre s’appelle The Ethnic Cleansing of Palestine (Le nettoyage ethnique de la Palestine).

Je le dis tout net : si vous n’avez pas lu ce livre, vous n’avez aucune idée de la vérité concernant ce qui est arrivé – et se poursuit – en Palestine.

Depuis que la guerre a fait éruption entre le Hamas et l’armée israélienne, Pappe a écrit un appel à ses concitoyens israéliens, intitulé My Israeli Friends : This Is Why I Support Palestinians (Mes amis israéliens : voici pourquoi je soutiens les Palestiniens).

C’est tout un défi que de conserver sa boussole morale lorsque la société à laquelle vous appartenez – les leaders comme les médias – prend l’ascendant moral et souhaite que vous partagiez avec eux la même juste fureur par laquelle elle a réagi face aux événements de samedi dernier, le 7 octobre.

Il n’y a qu’une façon de résister à la tentation de se joindre à cela : si vous compreniez, à un moment de votre vie – même en tant que citoyen juif d’Israël – la nature colonisatrice du sionisme, et que vous étiez horrifié par sa politique contre le peuple indigène de Palestine.

Si vous l’avez réalisé, alors vous ne chancellerez pas, même si des messages empoisonnés décrivent les Palestiniens comme des animaux, ou « des animaux humains ». Ces mêmes personnes cherchent à décrire ce qui est arrivé samedi dernier comme étant un « Holocauste », abusant ainsi du souvenir d’une grande tragédie. Ces sentiments sont transmis jours et nuits à la fois par les politiciens et les médias israéliens.

C’est cette boussole morale qui m’a conduit, et d’autres gens de la société, à nous soulever avec les Palestiniens par tous les moyens possibles ; et cela nous permet en même temps d’admirer le courage des combattants palestiniens de prendre le pouvoir d’une douzaine de bases militaires en vainquant la plus forte armée du Proche-Orient.

Aussi, les gens comme moi ne pouvons éviter de nous poser des questions sur les valeurs morales ou stratégiques de certaines des actions qui accompagnent cette opération.

Parce que nous avons toujours supporté la décolonisation de la Palestine, nous savions que, plus l’occupation israélienne s’étire dans le temps, moins il est probable que le combat de libération s’avère « stérile » – comme cela a été le cas de tout juste combat pour la libération dans le passé, partout dans le monde.

Cela ne signifie pas que nous ne devons pas garder un œil sur le portrait global, non, pas une minute. Le tableau est celui d’un peuple colonisé se battant pour sa survie, au moment où ses oppresseurs ont élu un gouvernement qui veut à tout prix accélérer la destruction, en fait l’élimination, du peuple palestinien – ou même de se déclarer un peuple.

Le Hamas devait agir, et vite.

Il est dur de formuler ces contre-arguments parce que les médias et les politiciens occidentaux s’alignent avec le discours israélien et son narratif, aussi problématique soit-il.

Je me demande combien d’entre ceux qui ont revêtu la Chambre du Parlement à Londres et la Tour Eiffel à Paris aux couleurs du drapeau israélien comprennent vraiment comment ce geste apparemment symbolique est perçu en Israël.

Même les libéraux sionistes ayant un minimum de décence voient dans cette action une absolution totale de tous les crimes que les Israéliens ont commis contre le peuple palestinien depuis 1948 ; et, par conséquent, carte blanche à Israël pour continuer le génocide maintenant en cours contre le peuple palestinien.

Heureusement, il y a eu aussi différentes réactions face aux événements qui se sont déroulés au cours des derniers jours.

Comme dans le passé, de larges segments de la société civile en Occident ne sont pas dupes de cette hypocrisie déjà en plein déploiement dans le cas de l’Ukraine.

Beaucoup de gens savent que, depuis juin 1967, un million de Palestiniens ont été emprisonnés au moins une fois dans leur vie. Et, avec l’emprisonnement, viennent les abus, la torture et la détention permanente sans procès.

Ces mêmes personnes connaissent également l’horrible réalité qu’Israël a créée dans la Bande de Gaza lorsqu’il a celé la région en imposant un siège hermétique à partir de 2007, en plus de l’assassinat sans relâche d’enfants dans la Cisjordanie occupée. Cette violence n’est pas un phénomène nouveau, car il s’agit du visage permanent du sionisme depuis l’établissement d’Israël en 1948.

À cause même de cette société civile, mes chers amis israéliens, votre gouvernement et vos médias s’avéreront avoir eu tort, parce qu’ils ne pourront pas déclarer jouer le rôle de victimes, recevoir du soutien inconditionnel et échapper aux conséquences de leurs crimes.

Éventuellement, le portrait global va émerger, en dépit des médias occidentaux biaisés par nature.

La grande question, toutefois, est celle-ci : serez-vous, mes chers amis israéliens, capables de voir aussi clairement ce portrait global ? Malgré des années d’endoctrinement et d’ingénierie sociale ?

Et, ce qui est tout aussi important, pourrez-vous apprendre l’autre leçon capitale – celle que l’on peut retirer des événements récents – la seule force brute ne peut trouver d’équilibre entre un juste régime d’un côté et un projet politique immoral de l’autre ?

Mais il y a une alternative. En fait, il y en a toujours eu une :

Une Palestine « dé-sionisée », libérée et démocratique, du fleuve à la mer ; une Palestine qui recueillera les réfugiés et qui bâtira une société qui ne fait pas de discrimination sur la base de la culture, de la religion ou de l’ethnicité.

Ce nouvel état travaillera à rectifier, autant que possible, les maux du passé, en termes d’inégalité économique, vols de propriété et dénis de droits. Cela pourrait annoncer une nouvelle aube pour tout le Proche-Orient.

Sur le fondement de la lettre ouverte de Pappe, l’armée israélienne a assassiné plus de 5 millions de Palestiniens depuis 1948. Cinq millions ! C’EST un holocauste – un holocauste où Israël est l’oppresseur, pas la victime. C’est l’holocauste dont presque personne n’ose parler.

Tout l’opposé.

Tous les médias occidentaux crachent contre les Palestiniens la propagande la plus venimeuse que le monde n’ait jamais vue. Et les conservateurs – particulièrement les chrétiens évangéliques – avalent cette propagande sans poser de question.

Je vous encourage à lire le rapport écrit par Alam MacLeod intitulé Propaganda Blitz : How Mainstream Media is Pushing Fake Palestine Stories (Blitz de propagande : comment les médias mettent de l’avant des faux récits sur la Palestine).

Déclarations extraordinaires : zéro preuve

Comme cas en question, il y a celui déclarant que, durant leur incursion dans le sud d’Israël, les combattants du Hamas s’arrêtèrent pour rassembler, tuer et mutiler quarante bébés israéliens, leur coupant la tête et laissant le reste du corps derrière.

L’affirmation extraordinaire fut d’abord rapportée sur la chaîne israélienne i24 News qui se fondait sur des sources militaires israéliennes anonymes. En dépit du fait qu’elle n’offrait aucune preuve, cette déclaration très inflammatoire concernant un ennemi et faite par un participant actif dans le conflit fut choisie et répétée partout dans le monde par une flopée de médias (i.e. aux États-Unis par Fox News, CNN, MSN, Business Insider et le New York Post.)

Pendant ce temps-là, les unes des plus gros journaux du Royaume Uni étaient tapissées de récits, la presse étant outragée de l’atrocité et invitant leurs lecteurs à ressentir la même chose.

Des déclarations extraordinaires requièrent des preuves extraordinaires et une histoire comme celle-ci aurait dû susciter un sérieux scepticisme, vu la personne qui la déclarait. La question que tout reporter aurait dû poser, c’est « Où sont les preuves ? » Étant donné toutes les occasions de s’y tenir, les Forces de Défense Israéliennes prennent sans cesse leurs distances de ces déclarations. Néanmoins, le récit était tout simplement trop utile pour ne pas le publier.

Le narratif de bébés décapités était si populaire que même le Président Biden s’y est référé, proclamant avoir vu des images « confirmées » du Hamas tuant les enfants. Cette déclaration fut toutefois hâtivement rétractée par ses manipulateurs de la Maison Blanche qui firent remarquer que Biden ne se référait qu’au rapport d’i24 News.

Le rapport eu encore plus l’air d’un élément de mauvaise propagande après qu’il fut révélé que la source clé de la déclaration était un soldat israélien, David Ben Zion, colon extrémiste qui avait incité des émeutes raciales contre les Palestiniens plus tôt cette année en les qualifiant « d’animaux » sans cœur qui doivent être « balayés ».

La manipulation du public américain pour qu’il soutienne la guerre, en le nourrissant d’une propagande d’atrocités au sujet de bébés mutilés a une longue histoire. Par exemple, en 1990, une fille se présentant comme étant une infirmière locale fut amenée devant le Congrès où elle attesta que les hommes du dictateur irakien Saddam Hussein avaient arraché des centaines de bébés koweitiens de leurs incubateurs pour les laisser mourir. L’histoire contribua à stimuler la ferveur pro-guerre du public américain. On révéla plus tard qu’il s’agissait d’un parfait canular imaginé par une firme de relations publiques.

Le rapport continue. Lisez-le, s’il vous plaît.

Ce qui m’exaspère le plus, c’est de voir que les chrétiens évangéliques font partie des plus ardents anti-Palestiniens dans le monde. Ils sont affligés du venin et de la haine de Benjamin Netanyahu et de ses camarades sionistes.

Dans la dernière semaine, j’ai entendu des « chrétiens » en appeler de l’annihilation de Damas, en Syrie. J’ai entendu des « chrétiens » demander que des bombes nucléaires soient lancées contre l’Iran. J’ai entendu des « chrétiens » exiger la « complète éradication » du peuple palestinien.

Peu importe s’il y a des milliers et des milliers de chrétiens vivant en Palestine, en Syrie, en Iran ou dans tous les autres pays arabes. Ce sont nos sœurs et nos frères en Christ que les « chrétiens » d’Amérique veulent massacrer. Je suppose qu’on les considère comme des « dommages collatéraux ». Sans mentionner le sang d’innocents arabes de n’importe quelle religion qui serait répandu par les chaires et les bancs d’églises évangéliques d’Amérique si la soif de sang de ces « chrétiens » devait s’étancher.

Puis, ces mêmes « chrétiens » iront dimanche à l’église et prêcheront « l’amour de Jésus », lèveront les mains en l’air et se mettront à sautiller en célébrant « l’amour de Dieu ». Ensuite, ils verseront des larmes si quelqu’un fait un appel pour envoyer des missionnaires vers un monde perdu. Voit-on un petit peu de duplicité, ici ?

En passant, c’est dans les pays du monde arabe où l’on assiste présentement à une des plus grandes croissances du christianisme de par le monde – et, en grande partie, cela se passe sans l’aide des églises évangéliques d’Amérique.

Les « chrétiens » pro-Israël se sont laissés ensorceler ! (Voyez Galates 3:1.) Ils sont ensorcelés par le sionisme ; ils sont ensorcelés par les notes sionistes des Bibles Scofield ; ils sont ensorcelés par les fausses doctrines prophétiques du futurisme dispensationaliste ; ils sont ensorcelés par John Hagee, Robert Jeffress, Franklin Graham, Jesse Duplantis, Hal Lindsey, John MacArthur, David Jeremiah, Greg Laurie et la plupart des églises baptistes « bibliques » et charismatiques/pentecôtistes d’Amérique.

À tout prendre, environ 80 % des évangéliques d’Amérique sont ensorcelés par l’agenda pro-Israël. Peu importe que l’État sioniste d’Israël soit un état athée, antichrist et l’ennemi acharné du véritable christianisme, de la liberté, des fondements de la moralité humaine et de tout ce qui est « goyim ».

Pour apprendre la vérité au sujet du judaïsme talmudique qui confirme tout ce que j’ai dit à propos de l’Israël sioniste dans le paragraphe précédent (et plus), le livre de Michael Hoffmanm Judaism’e Stange Gods est une lecture obligée.

Qu’importe tout cela ! Israël est l’accomplissement de la prophétie biblique – du moins le croient-ils. En fait, la plupart des évangéliques sont profondément enracinés dans la prophétie basée sur Israël, pas la prophétie basée sur Jésus. Ils ne conçoivent pas la Seconde Venue de Jésus sans Israël. Pour eux, le Christ tout-puissant et ressuscité dépend totalement de l’état sioniste de Netanyahu pour revenir. Pensez-y ! J’irais même plus loin : Ils ne conçoivent pas la foi sans Israël. Sortez Israël [l’ancienne alliance] de leur foi et ils n’ont plus de foi.

Ils sont ignorant du Nouveau Testament qui a été enseigné pleinement et avec passion dans les Livres aux Romains, aux Galates, aux Hébreux et, oui, de l’Apocalypse. Le Livre de l’Apocalypse n’est pas d’abord un livre sur la prophétie ; c’est le Livre final et divinement inspiré expliquant la Nouvelle Alliance de Christ.

Les évangéliques vivent encore dans l’Ancienne Alliance. Ils pensent qu’Aelia Capitolina, excusez-moi, Jérusalem, est toujours la Cité de David. Ils pensent que le « peuple élu » de Dieu est déterminé par sa race. Ils pensent que la Terre Promise de l’Ancienne Alliance est réservée aux sionistes ashkénazes (européens).

Alors, qui va demander pardon au peuple palestinien au nom de tous les sionistes chrétiens ensorcelés qui ont les mains et le cœur ruisselants du sang palestinien ? Comment 75 ans de nettoyage ethnique, de génocide, d’apartheid et d’holocauste de la part d’Israël, facilités par les sionistes chrétiens lèche-bottes d’Amérique peuvent-ils être réconciliés ?

Le peuple palestinien n’est pas seulement victime des atrocités génocidaires d’Israël ; il est aussi victime de la propagande médiatique mondiale, du cœur sec humain partout dans le monde et de l’hypocrisie évangélique – spécialement en Amérique.

 




Qu’est-ce que la guerre Hamas/Israël présage de la prophétie biblique ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

12 octobre 2023

Quatre-vingt pourcent des pasteurs et des églises évangéliques croient à la propagande pondue par Scofield qui avance que l’État sioniste moderne d’Israël est l’accomplissement de la prophétie biblique. Ce ne l’est pas ! Je pourrais aussi continuer et embêter les évangéliques dès le début, parce que ce ne sera pas plus facile au fil de cet article.

Dieu n’a PAS de plans futurs pour l’Israël national. ZÉRO ! ZILCH ! NADA ! NONE ! L’Israël national a été enterré dans les cendres de destruction de Jérusalem en l’an 70 apr. J.-C. Il est fini pour TOUJOURS ! La Bible ne prédit nulle part un avenir pour l’Israël national.

Et au lieu de vous mettre en colère contre moi pour ce que je viens de dire, investissez quelques shekels et regardez mes Israel Packages et mes Prophecy Packages.

Mais à toutes les fois que la guerre éclate en Palestine, les évangéliques saturent les ondes avec sans cesse plus de bêtises à propos des « signes prophétiques annonçant le retour de Jésus pour bientôt ».

Non ! Il n’y a pas non plus « d’Enlèvement ».

Je le dis carrément. Encore mieux, je laisse Jésus le dire carrément : « La nation méchante et adultère recherche un miracle ; mais il ne lui sera point donné d’autre miracle que celui de Jonas le Prophète » (Matthieu 16:4 ; Matthieu 12;39).

L’État sioniste d’Israël actuel est un pays athée, antichrist et païen déguisé (avec l’aide des évangéliques mal informés) en « état juif ». L’empereur et le général romains, Vespasien et Titus, détruisirent la nation judahite en l’an 70 apr. J.-C. (En fait, Dieu la détruisit ; les Romains ne Lui servirent que d’instruments.) Netanyahu et ses camarades sionistes sont parmi les gens les plus vils et les imposteurs les plus méchants que le monde ait jamais connus. Et l’État sioniste d’Israël moderne est lui-même l’état terroriste le plus notoire du monde.

Comprenez bien ceci : Israël n’est PAS une victime. Les victimes sont quiconque se dresse sur le chemin du « Grand Israël » – particulièrement le pauvre peuple palestinien de Gaza et de la Cisjordanie.

Peu importe vers quel média occidental vous vous tournez, vous n’entendez parler que de l’attaque « sans provocation » du Hamas contre Israël.

Sans provocation ? Voulez-vous rire de moi ?

Caitlin Johnstone :

Il est maintenant clair que, partout où vous voyez l’expression « sans provocation », répétée avec fermeté et uniformément par toute la classe médiatique politique, peu importe de quoi ils parlent, cela a été massivement provoqué.

Nous avons vu exactement la même chose quand la Russie a envahi l’Ukraine ; dès le départ, les politiques et les médias occidentaux furent saturés de l’expression « sans provocation », assommant encore, encore et encore le public occidental avec ce message en dépit du fait évident et indéniable que la guerre en Ukraine fut définitivement provoquée.

Comme l’a dit avec esprit Noam Chomsky l’an dernier : « Bien sûr que ce fut provoqué. Sinon, ils ne s’y référeraient pas sans cesse comme d’une invasion sans provocation. »

Et c’est tout aussi vrai de la dernière offensive du Hamas. Il y a toutes sortes d’arguments que vous pouvez amener à ce propos, mais il y en a un que vous ne pouvez définitivement pas défendre, celui de la non provocation. Comme l’a mis sur Twitter l’écrivain et comédien palestino-américain Amer Zahr : « 75 ans de nettoyage ethnique. 15 ans de blocus. Confiscation de terres palestiniennes. Pogroms sur les villes palestiniennes. Profanation des sites sacrés palestiniens. Raids quotidiens dans les foyers palestiniens. Humiliation constante de tout un peuple. Rien de ce qui se passe aujourd’hui n’est « sans provocation ».

Dire que la violence palestinienne contre Israël arrive « sans provocation » est certainement aussi ridicule que de dire que l’invasion russe s’est faite sans provocation, parce que les abus de l’apartheid israélien sont trop bien connus, en ce moment-ci, du public en général. Un grand nombre d’organisations du grand courant des droits humanitaires ont accusé Israël d’administrer un régime abusif d’apartheid qui traite les Palestiniens en peuple inférieur. Les Palestiniens qui vivent dans la prison à aire ouverte nommée Gaza sont délibérément assujettis à l’eau non potable, au manque de nourriture, aux coupures d’énergie et aux campagnes de bombardement. Ceux qui se trouvent en dehors de Gaza sont sujets au racisme, à la violence politique et à la saisie de territoire, et ils vivent sous une série de lois différente que celle des Israéliens juifs. Le peuple entier a été forcé de quitter ses maisons dans le but de faire de la place à un nouvel état pour des raisons qui n’ont rien à voir avec eux, et toute tentative pour résister à cela fait en sorte qu’on les assassine en tant que « terroristes ».

C’est évident que l’attaque fut provoquée.

La vraie guerre en Palestine est celle que le gouvernement israélien poursuit contre le peuple palestinien depuis décembre 1947. Si vous voulez vraiment comprendre la réalité de la situation en Palestine, vous devez lire le best-seller The Ethnic Cleansing of Palestine écrit par le célèbre historien israélien Ilan Pappe.

Même des fonctionnaires du gouvernement israélien disent que le Hamas a délibérément été provoqué à la guerre par Netanyahu :

Un législateur israélien a dit à Al Jezeera samedi que son parti a été averti que la politique israélienne envers les Palestiniens « éclaterait » en une violence dont Israël fait l’expérience à la suite de l’assaut du Hamas.

Ces commentaires proviennent d’Omer Cassif, membre de la Knesset et du parti gauchiste Hadash, qui détient quatre sièges des 120 de la Knesset.

« Nous condamnons et nous opposons à tout assaut sur des civils innocents. Mais au contraire du gouvernement israélien, cela signifie que nous nous opposons également à tout assaut contre des civils palestiniens. Nous devons analyser ces terribles incidents [les attaques] dans son véritable contexte – et il s’agit de l’occupation continue, » a dit Cassif qui est juif.

« Nous n’avons cessé d’en faire l’avertissement… tout va éclater et tout le monde va en payer le prix – principalement des civils innocents des deux côtés. Et malheureusement, c’est exactement ce qui s’est produit, » ajoute-t-il.

Depuis que le gouvernement israélien du Premier Ministre Benjamin Netanyahu est entré au pouvoir, à la fin de décembre 2022, la violence contre les Palestiniens a considérablement augmenté à cause de l’escalade des raids israéliens en Cisjordanie. Les attaques des colons [israéliens] ont également augmenté et la coalition gouvernementale de Netanyahu a fait sa principale priorité de l’expansion coloniale avec comme but final l’annexion de la Cisjordanie.

Gaza est également sous le coup d’un blocus imposé par Israël sur le territoire, la mer et les airs depuis 2007, et Israël bombarde fréquemment l’enclave assiégé. La dernière campagne de bombardement majeur a eu lieu en 2021, ou plus de 250 Palestiniens ont été tués.

« Le gouvernement israélien, lequel est un gouvernement fasciste, soutient, encourage et mène des pogroms contre les Palestiniens. Il se passe un nettoyage ethnique. De toute évidence, l’écriture était sur le mur, écrite dans le sang des Palestiniens – et malheureusement maintenant des Israéliens aussi, » dit Cassif.

Cassif conseille aussi vivement sur X la diminution de l’escalade en écrivant que ceux qui font appel à la destruction de Gaza « ne font qu’encourager un autre bain de sang ». Il dénonce également fortement l’assaut du Hamas en qualifiant les actions de « crimes horribles que l’esprit ne peut tolérer. »

De l’intérieur de Gaza, le journaliste Efrat Fenigson rapporte :

Apparemment, les forces de défense israéliennes qui étaient censées se trouver autour de Gaza furent déployées autour de la Cisjordanie dans un souci de sécurité, de manière telle que l’enveloppe de Gaza fut laissée inoccupée par l’armée.

Il y a un an, il y eut une opération à Gaza afin de préparer de tels événements, et il y a continuellement des entraînements pour ce genre de scénarios. Cela soulève des questions sérieuses au sujet des renseignements israéliens. Qu’est-il arrivé ?

Il y a deux ans, il y a eu un déploiement réussi de barrières d’avant-garde avec senseurs – pour alerter des brèches terroristes. Israël possède une des armées les plus avancées en technologie, alors comment se fait-il qu’il n’y a eu aucune réaction face au bris de clôture et de frontière ?

J’ai servi dans les Forces de Défense Israéliennes, il y a 25 ans, dans les forces de renseignement. En aucune façon Israël pouvait ignorer ce qui allait arriver. Un chat se déplaçant le long de la clôture déclenche toutes les forces. Alors ceci ??

Qu’est-il arrivé à « l’armée la plus puissante du monde » ?

Comment se fait-il que les traverses frontalières étaient grandes ouvertes ?

Il y a quelque chose qui sent TRÈS MAUVAIS ICI, quelque chose de fort étrange, cette chaîne d’événements est très inhabituelle et loin d’être typique du système de défense israélien.

Question à propos de la situation en Israël dans les dernières années – ceux qui me suivent savent, il y a un sentiment général d’insécurité en Israël, il y a de l’instabilité sociale et politique, les fonds publiques sont mal employés à des agendas comme le Covid, le climat, la réforme judiciaire, l’abolition de la monnaie et d’autres choses encore. Le gouvernement actuel est hautement corrompu et celui qui l’a précédé n’était pas mieux.

Je ne me soucie pas d’avoir une opinion populaire, je tiens à dénoncer les forces du mal – peu importe où elles sont.

À mon avis, cette attaque surprise me semble une opération préparée. Sur tous les fronts.

C’est un échec de la protection du peuple d’Israël, à coup sûr, peut-être le plus gros échec depuis la guerre du Yom Kippour d’il y a exactement 50 ans, s’il n’est pas plus gros. En passant, est-ce une coïncidence que ce soit exactement 50 ans après, presque jour pour jour ? La guerre du Yom Kippour date du 6 octobre 1973.

Si j’étais théoricien de la conspiration, je dirais que cela sens l’œuvre de l’État Profond.

On dirait que le peuple d’Israël et le peuple de la Palestine ont été vendus encore une fois aux pouvoirs les plus élevés.

Michael Hoffman est un érudit chrétien prééminent en Amérique en matière de talmudisme et de judaïsme. Il met les choses en perspective quand il écrit :

Le gouvernement israélien et son armée, en accord avec le gouvernement américain et les médias, ne démontrent aucun souci envers les droits humanitaires des civils arabes et aucun intérêt pour « le droit à l’autodéfense » des Palestiniens. Une protection égale pour tous les peuples est inconcevable aux yeux de ceux qui sont sous l’influence, ne serait-ce qu’indirectement, d’une idéologie de mépris, tel que disséminée dans les paroles haineuses du Talmud Bavli suprématiste.

« Si un gentil frappe un Juif, il est sujet à la peine de mort. » [BT Sanhédrin 58b]

« Si un Juif tue un gentil, le Juif doit être libéré. » [BT Sanhédrin 57a]

« Les non-Juifs n’ont pas de compatissance de par leur nature et des attaques contre eux réfrènent leur inclinaison au mal. » [Torat Hamelech, texte d’un rabbin colonialiste du 21e siècle basé sur le Talmud et distribué au sein de l’armée israélienne.]

« Si un Juif a besoin d’un foie (par transplantation), pouvez-vous prendre le foie d’un passant non-Juif innocent pour le sauver ? La Torah le permettrait probablement. La vie d’un Juif a une valeur infinie. Il y a quelque chose d’infiniment plus saint et unique concernant la vie d’un Juif que la vie d’un non-Juif. » [Rabbin Chabad Yitzchak Ginsburg Jewish Week (New York), 26 août 1996] (emphase ajoutée)

Qu’est-ce qui motive les crimes de guerre israéliens et la déshumanisation du peuple palestinien ?

Les paroles haineuses enseignées dans le Talmud, dans la malédiction du  Birkat Haminim, dans la Mishneh Torah et le Guide du perplexe de Maimonides, dans le Tanya du rabbin Shneur Zalman du Chabad Loubavitch, et dans les livres et les enseignements des gedolim talmudiques modernes comme Ovadia Yosef, Yitzhak Shapira (Torat Hamelech) et le rabbin Saadya Grama (« Romemut Yisraël Ufarashat Hagalut » – « La supériorité d’Israël et la question de l’exil ») – sont largement exclus de l’étude sur les motivations des crimes de guerre israéliens et la déshumanisation du peuple de la Palestine.

Ces enseignements du mépris font réellement beaucoup de mal au niveau mondial à la population civile captive de la Palestine que l’on considère à peine mieux que des démons chez les Kahanistes et les Chabadniks du cabinet de Netanyahu, dans l’armée et chez les colons (un des derniers fut le disciple de Meir Kahane, Baruch Goldstein, qui tua à la mitraillette 40 Palestiniens en prière à Hébron, en 1994).

Le Premier Ministre Benyamin Netanyahu, le 10 mars 2019, envoya ce post sur la plateforme de média social Instagram, exprimant clairement son indéniable mentalité de suprématiste raciste lorsqu’il écrivit : « Israël n’est pas un état de tous ses citoyens, » mais plutôt « l’état-nation du peuple juif  et de celui-ci seulement. » Une loi à cet effet a été adoptée par le parlement israélien de la Knesset.

Cette doctrine d’apartheid israélien a été vérifiée dans des rapports documentaires longs et détaillés par Amnistie Internationale et le Collège Hastings de la Loi : « L’invasion de Gaza par Israël dans la Loi Internationale » (2009) – comme d’ailleurs par la Surveillance des Droits Humanitaires, « Les autorités israéliennes et les crimes d’apartheid et de persécution ».

Ces études s’avèrent une lecture obligatoire pour toute personne à l’esprit juste qui veut apprendre la vérité se trouvant derrière le battage médiatique israélien.

Où étaient les tollés de protestation du Professeur Hanson quand des « tueurs voyous » de l’armée et des colons israéliens soutirèrent cette année des vieillards, des femmes et des enfants palestiniens de leurs maisons et les battirent, et les tuèrent, et les volèrent de leurs terres ? Le Talmud enseigne qu’ils ne sont que des demi-humains (déficients de nephesh) et Hanson reflète honteusement cet enseignement dans ses écrits.

Cette année, un membre du cabinet génocidaire de Netanyahu, Bezalel Smotrich, en appela de l’annihilation du village palestinien de Hawara. Le Ministre génocidaire de la Sécurité Nationale de Netanyahu, Itamar Ben Gvir, est un disciple de Meir Kahane, qui préconisait l’expulsion massive des Palestiniens et l’assassinat de ceux qui refusaient. Le gouvernement israélien a permis un règne de terreur de la part des soi-disant colons – pour voler encore plus de terres et d’eau palestiniennes, et tuer les civils avec impunité.

Gaza fut envahie par l’armée israélienne en 2008-2009, faisant d’énormes pertes de vie civile palestinienne. L’Occident oublie tout ce que les Israéliens ont perpétré contre les Palestiniens et met ensuite l’accent sur le terrorisme du Hamas dans un vide historique, en manquant tout le contexte. C’est un jeu truqué de propagande et qui n’a cachet qu’en Europe et en Amérique. Le Tiers-monde n’achète pas cela, et le Tiers-monde est l’avenir démographique.

« L’État d’Israël » a été fondé par des terroristes comme les futurs Premiers Ministres Menahem Begin et Yitzhak Shamir, employant le terrorisme pour accomplir la création « d’Israël ».

Le dernier paragraphe d’Hoffman est prouvé sans l’ombre d’un doute dans le livre de Pappe, Nettoyage ethnique de la Palestine.

Or, même le sénateur républicain Marco Rubio (FL) demande « l’éradication complète » du peuple palestinien.

Cher Dieu au ciel, s’il te plaît, délivre-nous de ces guerroyeurs racistes et remplis de haine !

Pour plus de preuves de la nature blasphématoire, suprématiste et guerroyeuse des leaders d’Israël, voici ce qu’a dit le rabbin Chaïm Richman lundi dernier :

« Je ne veux dire que ceci à nos amis chrétiens … juste appeler cela pour ce que c’est et le dire de manière catégorique, vous, les amis, vous adorez un Juif, ce qui est une erreur, vous devriez adorer chacun d’entre nous parce que nous mourons tous pour vos péchés quotidiennement, » a dit Richman, blasphémant le Christ. « Et c’est exactement ce qui se passe ici. Nous sommes tous les premiers-nés de Dieu et nous mourons tous pour vos péchés en ce moment-même, parce que le peuple juif de la terre d’Israël sert de rempart contre les Orques, ok ? Les Orques s’en viennent, non pas dans un théâtre près de chez vous, mais dans vos maisons ! »

« Ce monstrueux suprématisme est exprimé par le rabbin Chaïm Richman, ancien directeur de l’Institut du Temple, un des groupements juifs extrêmes dont la mission est de construire le troisième temple, » a noté Keith Wood dans Twitter/X. « Des groupes comme celui-ci sont responsables de faire monter les tensions en terre sainte où ils ont forcé les adorateurs musulmans et chrétiens de sortir de leurs sites sacrés. Les suprématistes comme ceux-ci ont le soutien du gouvernement israélien. »

Dans les jours précédant le déclenchement de la guerre, les vidéos se succédaient et devenaient viraux, montrant des Juifs en Israël qui crachaient sur des chrétiens et les attaquaient dans les rues pour avoir prêché l’Évangile de Jésus-Christ, et le principal fonctionnaire de la police de Netanyahu, le Ministre de la Sécurité Nationale Ben Gvir, a pris la défense de leurs actions violentes comme n’étant “pas criminelles”.

Mais les chrétiens évangéliques ont ignoré la vérité à propos de l’Israël sioniste – et à propos de ce que la Sainte Parole de Dieu enseigne réellement au sujet d’Israël – depuis 1948.

Ce que les évangéliques ont de plus choisi d’oublier, c’est que de nombreuses victimes palestiniennes en Israël sont chrétiennes.

Je suis allé en Israël et en Palestine. J’y ai prêché dans deux églises : une située à Bethléem et l’autre à Jérusalem. Plus de 95 % des chrétiens dans l’assistance à ces assemblées étaient Palestiniens ; ils n’étaient pas israéliens.

Et je dois vous dire que les Palestiniens que j’ai rencontrés étaient parmi les plus gentils, les plus doux, les plus humbles, les plus aimables et les plus à l’image de Christ que j’ai jamais rencontrés nulle part ailleurs !

Pourtant, les chrétiens d’Amérique se réjouissent et applaudissent quand l’État athée d’Israël viole, pille, saccage, torture, matraque et assassine leurs frères et sœurs chrétiens palestiniens.

Alors, qu’est-ce que la guerre Hamas/Israël présage de la prophétie biblique ? Absolument RIEN !

Elle ne fait que fournir une autre occasion à Israël de faire ce qu’il fait depuis plus de 70 ans : étendre ses limites territoriales par la saignée, la violence et la mort du peuple palestinien.