La victoire des apparences sur la réalité

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2022

Par Jerry Barrett

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes. Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange. »

Romains 13:1-3

Les pasteurs d’aujourd’hui semblent parler avec révérence de notre gouvernement et de ses leaders. Un grand nombre citera Romains 13:1-7 comme preuve de ce que nous devons obéir aveuglément à ces dirigeants. Ils enseignent que si nous y manquons, cela nous mènera à la condamnation. Rien ne saurait être plus loin de la vérité. Si tel était le cas, alors, à toutes les fois que vous dépassez la limite de vitesse, vous pécheriez contre Dieu.

Les tyrans qui exigent injustement la soumission totale à leurs mesures ne peuvent être Ses serviteurs. Benjamin Franklin a proposé, comme Sceau des États-Unis, cette devise : « La résistance aux tyrans est l’obéissance à Dieu ». Bien qu’elle ne fut pas utilisée, Thomas Jefferson l’aimait assez qu’il se l’appropria pour son propre sceau. En d’autres mots, ne vous pliez pas à la tyrannie du gouvernement.

La tromperie à chaque tournant

Pendant maintenant près de deux ans, l’on nous a tous soumis aux ordres draconiens émis par les tyrans gouvernementaux. Les médias majeurs ont été complices de la tricherie contre des milliards de gens sur la planète. L’utillisation de la plandémie du SARS-Cov-2 a été un prétexte pour mener les gens vers le désespoir.

Avec la prolifération de la propagande disséminée autour du monde, des millions de gens se sont soumis aux tests PCR. L’inventeur de ce test, le Dr Kerry Mullis, déclara qu’il ne s’agissait pas d’une option pour un diagnostic viable. Toutefois, au travers des réseaux de nouvelles – de même que les politiciens locaux, étatiques et fédéraux – ce « test » fut jugé la seule option viable.

À date, ce « virus » n’a jamais été isolé. Il n’y a aucune justification pour toutes les mesures qui ont été prises par les prétendues autorités médicales. De plus, sans cette étape importante, il n’y a aucune justification pour que cela ait été déclaré une « pandémie ». Si l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) était simplement demeurée sur sa déclaration originale disant que le COVID était « similaire à l’influenza saisonnière », la campagne de peur n’aurait jamais quitté le sol.

Grâce à l’OMS – dont le plus gros soutien financier provient du fou des vaccins Bill Gates et de sa fondation – 193 états membres des Nations Unies ont appliqué les ordres de confinement. Ce mouvement sans précédent a marché merveilleusement pour déstabiliser l’économie mondiale.

Gideon Lishfield

Le Riche devient plus riche

Inversement, ceux qui sont membres de l’élite des 1 % les plus fortunés se sont massivement enrichis de milliards de dollars. On peut qualifier cela à juste titre de la plus grosse redistribution de richesse de l’histoire du monde. Cela fait-il partie de la « Grande Réinitialisation » de Klaus Schwab et de son Forum Économique Mondial ?

Dans un article intitulé Nous ne reviendrons pas à la normale, écrit par le globaliste Gideon Lichfield du MIT Technology Review, il décrit un monde futur sous la tyrannie médicale :

« Je prédis que nous allons restaurer la capacité de socialiser de manière sécuritaire en développant des façons plus sophistiquées d’identifier qui est un risque de maladie et qui ne l’est pas, et faire de la discrimination – légale – contre ceux qui le sont.

« Mais l’on peut imaginer un monde dans lequel, pour effectuer un vol, peut-être devrez-vous vous inscrire à un service qui retrace vos mouvements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne pourra pas voir où vous êtes allé, mais il y aurait une alerte si vous aviez été proche d’une personne reconnue infectée ou si vous aviez été dans un point chaud de maladie. Il y aurait des exigences similaires à l’entrée de vastes lieux, d’édifices du gouvernement, ou de centres publics de transport. Il y aurait partout des scanners de température et votre lieu de travail pourrait exiger de vous que vous portiez un moniteur pour suivre votre température à la trace, ou tous autres signes vitaux. Là où les salons-bars demandent des preuves de l’âge, dans le futur, ils pourraient demander des preuves d’immunité – une carte d’identité ou un genre de vérification digital au moyen de votre téléphone, montrant que vous êtes déjà guéri des dernières souches de virus ou que vous avez été vacciné.

« Nous nous adapterons à de pareilles mesures et nous les accepterons, comme nous nous sommes adaptés aux procédures de sécurité de plus en plus astreignantes des aéroports dans le sillage des attaques terroristes. La surveillance intrusive sera considérée comme un petit prix à payer pour avoir la liberté fondamentale d’être avec d’autres personnes. »

Tout ça pour un virus dont le taux de survivance est à 99,7 % ? Pourquoi l’establishment médical n’a-t-il pas transmis le fait que « l’immunité naturelle » est beaucoup plus efficace que cette thérapie génique à ARN-messager ? Parce que si l’on répandait cette information, la quantité de contrôle amassée par l’élite s’évanouirait immédiatement.

Les mesures obligatoires de vaccination prolifèrent

Au lieu de cela, les mesures obligatoires vaccinales sont implantées. Peu importe le fait que les pays aux taux de vaccination les plus élevés aient aussi les taux d’infection les plus hauts et un nombre effarant de décès des « vaccinés ». Les bureaucrates de Nouvelle-Zélande et d’Australie confinent leurs citoyens selon leurs caprices.

En effet, l’Australie a construit des camps de prisonniers COVID opérés par son armée. À l’image d’une prison, les mouvements sont restreints et les administrateurs de camp peuvent allonger votre incarcération si vous vous comportez mal. Où se trouve la protestation contre ces abus des droits ? L’Australie a mis en place une sévère législation sur le contrôle des armes. Une citoyenneté désarmée est plus facilement intimidée.

Le camp de quarantaine Howard Springs, en Australie, situé près de Darwin, où des résidents sont confinés dans des conditions ridicules de type punitif dans l’installation.

L’Autriche a décidé que les non-vaccinés constituent le problème et a ordonné le confinement pour tous ceux qui refusent de se faire vacciner. Ses supérieurs gouvernementaux sont à considérer un projet de loi qui permettrait des amendes et l’emprisonnement de ceux qui refusent de se soumettre.

Nos voisins du nord ont donné le mandat à leurs employés fédéraux de se faire vacciner. Tout passager d’un avion, d’un train ou d’un bateau de croisière au Canada doit fournir la preuve qu’il est pleinement vacciné pour monter à bord. Dans un récent sondage, la plupart des Canadiens soutiendraient une mesure vaccinale obligatoire pour tous les travailleurs du domaine public. Ce ne sera une surprise pour personne de savoir que le Canada possède certaines des lois les plus draconiennes sur le contrôle des armes.

Ici, en Amérique, presque tous les états conservateurs défient les mesures obligatoires de vaccination. Les tribunaux fédéraux continuent de bloquer les tentatives du Résident Joe Biden de contourner notre Constitution. Ceci dit, il est encore nécessaire de faire preuve de diligence pour éviter les mesures de contrôle que souhaite implanter l’élite.

Cela n’a pas empêché la prise de pouvoir des gouverneurs et des maires progressistes pour maintenir leur contrôle sur leur fief. Ces despotes entendent maintenir et étendre leur règne tyrannique.

Attaque terroriste avec des armes biologiques ?

Après le « déclenchement » initial de cette arme biologique, la peur s’est répandue. À mesure qu’était exposée la vérité dans les médias alternatifs, l’élite reconnut le besoin de passer à d’autres étapes. Les variants Delta et Omicron firent leur entrée. Face à une perte de contrôle, l’élite ne reculera devant rien pour instiller une peur encore plus grande chez les masses. Vous pouvez sûrement vous attendre à ce que de nouveaux « variants » soient lâchés dans un avenir rapproché.

Les apparences ne sont qu’un écran de fumée pour l’agenda caché qui est lancé contre nous. En réalité, les mesures implantées pour nous contrôler commencent à montrer des failles dans leur façade. Une fois qu’aura pénétré la vérité et que le roulement de tambour de la propagande sera ignoré, le peuple commencera à réaliser qu’il s’agit d’une campagne massive de terrorisme. Alors, nous pourrons heureusement retourner à la normalité et rejeter le contrôle tyrannique de ces pantins de Satan.


Par Sandra Myers

Vivre l’expérience humaine

« Universe 25 »

Qu’arriverait-il à la société si tous nos appétits étaient satisfaits et tous nos besoins comblés ? Un certain écologiste et psychologue, John B. Calhoun, a cherché à répondre à cette question.

Calhoun commença avec seulement quatre paires de souris d’élevage et les mit dans une « cité » utopienne qu’il avait créée. Il élimina tous les problèmes potentiels. Il leur donna de la nourriture et de l’eau sans limite, des ères de niches et du matériel pour les construire, et un parfait contrôle climatique. Les souris avaient été spécifiquement choisies parce qu’elles étaient en santé, et on empêcha la maladie d’entrer dans la cité utopienne, et il n’y avait pas de prédateurs. De 1954 à 1972, en travaillant avec l’Institut National de la Santé Mentale (INSM), Calhoun passa des années à essayer de perfectionner son expérience par de constantes modifications de sa cité rongeur, Universe 25, la répétant à 25 reprises (d’où le nom d’Universe 25).

À chaque expérience : Tôt, les souris, n’ayant pas besoin de fourrager ou de construire (pas de travail), se reproduisirent initialement en grande quantité ; bientôt, il y eu stabilisation ; ensuite, les souris développèrent des attitudes, soit aberrantes, soit hostiles ou antisociales ; finalement, la population décéda jusqu’à extinction. L’Utopia était conçue pour soutenir plus de 3 800 souris, mais à 2 200, leur société commençait à s’effriter. Qu’est-ce qui avait mal été ?

D’après Calhoun, la phase mortelle consistait en deux étapes : la « première mort », caractérisée par le manque de but à la vie au-delà de la simple existence (y compris la perte de désir de s’accoupler, d’élever des jeunes, ou de s’établir un rôle dans la société), et la « seconde mort » marquée par la fin littérale de la vie et l’extinction d’Universe 25.

Selon un chercheur et réviseur de l’équipe d’expérimentation de Calhoun, Edmund Ramsden, auteur de L’animal urbain : densité de population et pathologie sociale chez les rongeurs et les humains, déclare :

« Dans l’enceinte scellée [utopienne], la fuite était impossible. La violence monta en flèche sans contrôle. S’en suivit le cannibalisme et l’infanticide. Les mâles devinrent hypersexuels, pansexuels et, dans des proportions croissantes, homosexuels. Calhoun appela ce vortex un “évier comportemental”. Leur nombre chuta dans un déclin incurable et la population diminua jusqu’à extinction. A la fin des expériences, les animaux encore vivants au prix d’un immense coût psychologique (asexuels et complètement repliés) se groupèrent en une masse pelotonnée et sans expression. Même une fois réintroduites dans des communautés normales de rongeurs, ces animaux “socialement autistes” demeurèrent isolés jusqu’à leur mort. Selon l’expression d’un des collaborateurs de Calhoun, “l’utopie” rongeur était descendue aux enfers. »

Ramsden croit que la mort était davantage due à l’incapacité de se déplacer au-delà de la structure en créant, non pas un problème de surpopulation, mais plutôt un scénario où les souris les plus agressives pouvaient prendre le contrôle du territoire et isoler toutes les autres.

Était-ce la seule issue possible ? De nouvelles expériences faites par d’autres scientistes révélèrent que, lorsque l’on donnait des tâches à exécuter (du travail) aux souris, sous diverses conditions de densité de population, elles affichaient beaucoup moins de problèmes de comportement. Comme telle, la densité de la population de l’utopie de souris n’était pas le vrai problème, mais le manque de valeur de la vie quand tout est donné au sujet sans effort.

Parallèles avec la vision utopienne/socialiste d’aujourd’hui

Projetant ces mêmes conditions dans l’humanité, les premières conclusions de Calhoun affirme que c’est la simple surpopulation qui conduira à la mort de notre « Utopie ». (Entre le contrôle de la population.) Et même si Ramsden suggère que se déplacer (comme vers une nouvelle communauté) aide à soulager la dépression sociale, une fois qu’elles sont socialement et psychologiquement fracturées, les souris endommagées ne réussissent pas mieux quand elles sont déplacées dans une nouvelle colonie normale.

Mais dans une Utopie humaine conçue de manière semblable, nos leaders socialistes démocrates veulent nous « donner » de la nourriture gratuite, un logement gratuit, etc.

Des exemples bibliques pour nous

La chose qui manque à cette expérience est évidente : Dieu et Sa conception de la vie. Bien que Calhoun ait essayé de jouer à Dieu, en donnant aux rongeurs tout ce qu’il croyait avoir besoin, il oublia l’ordre naturel et la façon par laquelle Dieu a conçu la vie.

Dieu a été le premier à œuvrer sur la terre. Et Dieu nous a créés pour travailler et nous réjouir de satisfaction du fruit de notre labeur et du sens qu’il donne à notre vie, et cela est très bon.

« Aussi ce que Dieu donne de richesses et de biens à un homme, quel qu’il soit, et dont il le fait maître, pour en manger, et pour en prendre sa part, et pour se réjouir de son travail, c’est là un don de Dieu » (Ecclésiaste 5:19).

Pendant toute notre vie, nous, les animaux et les humains, vivons dans un monde de combat. Ce combat permet à l’espèce de s’adapter, de vaincre et de croître. Enlevez ce combat et le progrès s’arrête et même régresse, comme en résulte le comportement observé dans cette étude.

De moindre valeur dans cette expérience, mais néanmoins importante : la capacité de se déplacer à l’extérieur de la « cité ». Après un temps de construction, Abraham et Lot commencèrent éventuellement à éprouver des tensions et ils choisirent de chercher un endroit où ils pouvaient étendre leur domination propre sans se marcher l’un l’autre sur les pieds. Ceux qui se nourrissent à l’auge du gouvernement sont devenus « socialement autistes » et n’ont même pas la capacité mentale de se déplacer au-delà de leur « Utopie » socialiste.

L’expérience Universe 25 que les démocrates/socialistes impies sont à perpétrer sur les citoyens américains laisse sa marque dévastatrice sur la société. Sommes-nous descendus au point où les souris « socialement autistes » gouvernent maintenant, en formant nos enfants et ont le contrôle de construire un nouveau pays socialiste/libéral ? Pouvons-nous boucher « l’évier comportemental » ? Comme tel, on n’accorde que peu de respect à Dieu, à la vie, au travail et à la propriété. Est-ce ce dont parle la Bible disant que les hommes méchants iront en empirant ? Est-ce pour cela que seul un petit reste sera sauvé ?

Que cela serve d’avertissement extrême pour répandre la Bonne Nouvelle à ceux qui peuvent et veulent la recevoir. Il y a une grande récompense et beaucoup de satisfaction à faire l’œuvre de Dieu.




L’Amérique est aux portes de la mort

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2021

Par Jerry Barrett

Imaginez un homme d’affaires démocrate de New York ayant fait et perdu des millions de dollars. Cet homme a reçu une récompense humanitaire de la NAACP. Il a animé un show télévisé à succès aux heures de grande écoute. Il est extrêmement populaire auprès des politiciens – des deux côtés de l’allée – à cause de ses contributions électorales.

Maintenant, imaginez que cet homme décide de recycler ses affiliations à un parti politique et annonce sa campagne pour la nomination républicaine afin de devenir Président des États-Unis. Combien d’entre vous aurait pu le prédire et croire qu’il avait une chance de gagner ?

Donald J. Trump n’a pas été le plus grand Président à avoir occupé le 1600 Pennsylvania Avenue. Son élection improbable à la Présidence a été un choc pour un grand nombre de ceux qui sont dans le secret, y compris les experts politiques employés par le Piètre Grand Courant Médiatique. Quand Ann Coulter eut l’audace de déclarer que Trump allait gagner la nomination et probablement les élections, elle a été sévèrement critiquée et raillée.

Barack Obama, Hillary Clinton et Eric Holder : servira-t-on la justice ?

Toutefois, après huit ans de Barack Obama, c’est comme si le peuple américain en avait eu marre de la direction que prenait le pays. Celui-ci a souffert de l’exode des emplois manufacturiers, de l’écroulement économique, de la crise de la bulle immobilière, du chômage record, de la stagnation des salaires et d’une multitude d’autres maladies dépressives.

Cela n’inclut pas la chasse aux fusils du Département de la Justice d’Obama et que l’on a surnommé « Rapide et dangereux ». La débâcle de Benghazi lorsque la Secrétaire d’État Hillary Clinton a permis le meurtre de diplomates américains et de membres du personnel militaire. L’escroquerie de la fausse « Énergie Verte » dans lequel la compagnie d’énergie solaire nommée Solyndra s’est vue accorder 500 millions $ des payeurs de taxes pour les refiler ensuite aux riches démocrates et aux supporteurs d’Obama.

Ils seront nombreux à souligner les points positifs de la période de Trump en tant que Président. Oui, des emplois manufacturiers sont revenus en Amérique. Oui, les déséquilibres commerciaux ont été rectifiés jusqu’à une certaine mesure. Oui, le chômage – particulièrement dans les communautés minoritaires – a décru. Oui, l’économie semble rebondir de la dépression survenue lors de la Présidence d’Obama.

La chose qui ressort aux yeux de l’auteur est la quantité de mensonges sulfureux qui ont été crachés à la face de Trump. La guerre contre les races, commencée sous le régime d’Obama, fut accru au moins dix fois par les propagandistes des médias contrôlés. Si vous faites un pas en arrière et regardez l’ensemble du portrait, demandez-vous qui bono (à qui cela profite-t-il ?).

Avec l’addition des oligarques du Big Tech – Facebook, Twitter, YouTube, Google et d’autres – le contrôle du message atteint des sommets historiques. La censure à une échelle sans précédent a conduit à une division plus grande de notre pays. L’avènement du média social a donné naissance au nouvel activiste… le Guerrier de la Justice Sociale !

Ce qui a débuté dans les années 1960 au sein des universités à travers l’Amérique a pu finalement porter son fruit alors que la Culture marxiste a eu l’avant-dernière plateforme. Les manieurs de mots, en ligne de front de la bataille, ont écrit des slogans qui ont fait dresser l’oreille de la plupart des Américains. Des slogans ingénieusement conçus, des rappels et d’autres éléments de propagande entraînant la division ont balayé une jeunesse facilement influençable.

Ces diplômés se sont bientôt infiltrés dans les écoles primaires et secondaires, propageant la programmation politiquement correcte de contrôle mental nécessaire au succès final. D’autres gradués ont eu accès aux agences de publicité, répandant encore les mantras du Parti Communiste. Finalement, encore d’autres diplômés ont pu acquérir des positions au sein des salles de conseil des entreprises majeures.

La guerre contre la clause de libre expression du Premier Amendement débuta immédiatement. « Oui, vous aurez encore le droit de vous exprimer, pourvu que cela ne vienne pas heurter les sentiments de quelqu’un. » Voilà la nouvelle adaptation à notre Constitution. Dans cette nouvelle définition, le christianisme fondamental est un système de croyances que l’on doit éradiquer parce « qu’il dit que l’homosexualité est une abomination ».

Ce qui suit à l’agenda

L’État Profond s’est assurément réjoui du succès de sa manipulation des masses. Malheureusement pour lui, Donald Trump joui encore d’une grande foule de partisans. De toute évidence, il n’y a pas que les mâles blancs de la classe moyenne qui se soient campés dans ses nombreux ralliements à travers le pays. Ce fut un choc de constater qu’un certain nombre de minorités peuplaient l’auditoire.

Pour étouffer l’enthousiasme et la réélection presque certaine de Trump, une immense tergiversation devait être mise en œuvre. Bill Gates, Klaus Schwab et une foule d’autres sont apparus sur scène dans un exercice de gérance de crise d’une pandémie du nom d’Event 201. Miraculeusement, quatre mois plus tard, une crise atteignait les rives de l’Amérique – le COVID-19.

Le pantin parfait pour exécuter des suggestions politiques draconiennes n’était nul autre que le récipiendaire des largesses de Bill Gates… Anthony Fauci. Le Centers for Disease Control and Prevention (CDC – Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie) est descendu dans l’arène – peut-être sur l’ordre de George Soros, de Gates ou de Scwab ? – et a commencé à émettre des mandats pour tenter « d’aplatir la courbe ».

Le Lamentable Grand Courant Médiatique a répandu l’évangile de Fauci dans tous les segments – c’est du moins ce qu’il semble – de ses bulletins de nouvelles. Les docteurs qui ont essayé de présenter les faits concernant la pLandémie ont été censurés et beaucoup ont perdu leur emploi. L’on a interdit de soigner les malades en utilisant des médicaments bien-connus, même si le Dr Fauci était au courant de leur efficacité au début des années 2000.

Les gouverneurs et les politiciens locaux ont commencé à brandir leur gourdin devant les entreprises qui s’objectaient à leurs ordres de confinement. L’économie ronflante de l’Administration Trump fut écrabouillée, le chômage monta en flèche et… qui sont venus ensuite sur scène pour « Sauver l’Amérique » ? Les démocrates qui offrent de l’argent gratuit à ceux qui en ont le besoin.

Assurer la victoire

Même au travers de la calamité qui est arrivée en Amérique en 2020, la popularité de Donald Trump n’a pas diminué au point d’assurer la victoire à un démocrate à la Maison Blanche. L’on a mis sommairement en place des plans pour truquer les élections, en partie grâce au cadeau de Gates et Schwab… la pLandémie. Les votes par la poste firent fureur chez ceux qui souhaitaient altérer la défaite potentielle, de même que les algorithmes des machines de vote électronique.

Joe Biden et Kamala Harris vécurent une anomalie vraiment unique… ils défirent un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes, c’est-à-dire, plus de votes que le populaire Barack Obama quand il défit John McCain. Un autre facteur intéressant que l’on ne rapporte jamais, le pourcentage allégué de participation électorale pour les élections de 2020 fut le plus élevé en 120 ans !

Joe Biden et Kamala Harris ont vécu une anomalie vraiment unique… ils ont défait un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes.

Temps de jouer de la flûte

Avec Biden en poste, l’État Profond semble exercer une vendetta majeure contre ceux qui questionnent son autorité. Le pantin de la Maison Blanche et sa caquetante V.-P. sont d’enthousiastes participants de la comédie. Qui croyez-vous a dressé la quantité énorme d’Ordres Exécutifs que Biden a signés au jour 1 de sa fonction ?

Notre frontière est à nouveau une passoire pour les émigrants illégaux. La Chambre de Commerce américaine doit être extrêmement reconnaissante pour cet afflux de main d’œuvre bon marché alors que ces bienfaiteurs auront plus d’argent à mettre dans leurs coffres. La Chambre des Représentants, qui contrôle la bourse de notre pays, a ouvert les voûtes dans l’effort d’apaiser ceux qu’elle déclare être les moins fortunés. Après tout, acheter des votes n’est-il pas un élément de plateforme de l’extrême gauche ?

Récemment, les tueries de masse se sont encore accrues. Ces opérations « sous faux drapeau » ne visent qu’une seule chose… VOS armes à feu. Joe Biden a ouvertement déclaré la guerre contre la NRA (National Rifle Association – Association nationale des armes à feu) durant sa campagne, et maintenant il va chercher à confisquer le plus d’armes à feu possible. Se pourrait-il que son Ordre Exécutif place en fait les propriétaires d’armes légales dans la mire d’une imposition de loi ?

Nos pères fondateurs reconnaissaient la tyrannie et mirent en fonction le Deuxième Amendement afin de donner du pouvoir au peuple. Un nombre record de nouveaux propriétaires d’arme à feu a pris pleinement conscience du besoin potentiel de se défendre, eux et leur famille. La violation de votre droit de garder et de porter des armes, bien qu’inconstitutionnelle, est le plus gros obstacle que doit franchir l’État Profond. S’il y réussi, notre Constitution deviendra nulle et non avenue.

Prenez en considération certains leaders qui ont pu implanter le contrôle des armes durant leur régime et la mainmise qu’ils purent avoir sur les paysans : Pol Pot, Vladimir Lénine, Joseph Staline, Mao Tsé-toung.

Beaucoup d’autres grands empires, comme le grec et le romain, sont tous tombés victimes du contentement de soi, de l’apathie et de la léthargie. L’échec à se tenir debout pour quelque chose conduit à la chute totale. Chers amis, gardez les yeux et les oreilles ouverts. Préparez-vous de votre mieux, car si l’État Profond continue sans être réprimé, la grande expérience connue sous le nom d’Amérique connaîtra la même fin que les autres grands empires.


Par Sandra Myers

Qu’ont en commun les cigarettes, le DDT et la radiation ?

Seriez-vous surpris de savoir qu’ils sont sans danger pour vous – du moins, à une époque, la communauté scientifique, votre gouvernement et les grands courants médiatiques disaient qu’ils étaient sans danger. Souvent mis sur le marché comme étant NOUVEAU, approuvé par le médecin, la science et/ou le gouvernement, rien ne pouvait être plus sécuritaire et meilleur… d’accord ?

Les cigarettes (et autres produits du tabac)

Dans les années 1930 et 1940, à l’époque prestigieuse de la cigarette, les compagnies de tabac réussirent avec succès à influencer les médecins, non seulement pour qu’ils promeuvent la notion que la fumée était saine, mais qu’en fait ils la recommandent comme traitement pour les irritations de la gorge, l’asthme, la bronchite, le rhume des foins et l’influenza. Une variété de compagnies de tabac conçurent, achetèrent et payèrent des études scientifiques qui formulèrent ces tests pour qu’ils apparaissent comme des faits prouvés et non biaisés.

Fumer fut aussi publicisé et promu comme une manière de conserver plus petit le bébé d’une femme enceinte (pour faciliter le passage) ; pour la digestion ; et pour la perte de poids (bon pour la silhouette de la femme et pour de meilleures capacités athlétiques chez l’homme).

Même si des rapports sur les taux significatifs de croissance du cancer des poumons, auparavant rare, furent émis dans les années 1930, la crédibilité de ces rapports fut remise en cause jusqu’à la fin des années 1950. Ce ne fut pas avant 1964 que le Rapport du Ministre de la Santé américain démontra la relation entre la fumée et le cancer. En 1986, il concluait également que la fumée passive est dangereuse.

DDT (dichloro-diphenyl-trichloroethane)

Le DDT fut d’abord synthétisé en 1874, mais sa qualité insecticide n’a été découverte qu’en 1939. Jadis salué comme une grande bénédiction pour l’humanité, on l’utilisa dans la Deuxième Guerre Mondiale pour contrôler une variété d’insectes porteurs de la malaria, de la dengue et du typhus. (À cause des tensions avec le Japon, le plus grand producteur de pyréthrine, notre approvisionnement d’ingrédient naturel de contrôle des insectes était coupé.) En 1945, le DDT fut disponible à la vente publique aux États-Unis. Des publicités encourageaient même que l’on vaporise du DDT directement au-dessus de nos enfants pour les protéger des mouches, des pous et des moustiques.

La logique de répandre des produits chimiques potentiellement dangereux sur vos enfants et dans vos foyers, vos fermes et l’environnement ne coïncidait pas exactement avec les entreprises manufacturières (l’argent) ou le public (se faisant dire que c’était sans danger) de l’époque. Avec très peu d’enquête antérieure sur les effets environnementaux et sanitaires, le DDT était la nouvelle panacée pour stopper les sales insectes.

En 1972, l’EPA émit un ordre de résiliation pour le DDT en se basant sur ses effets défavorables sur l’environnement, tels que sur la faune et la flore, de même que les risques potentiels sur la santé humaine. (Mais apparemment, il est encore correct d’utiliser le DDT dans les pays en développement. Je suis sûre qu’il n’y aura aucun impact à long terme sur le bien-être des peuples africains et leur environnement, par exemple. Comme l’a dit l’ONU : « les bénéfices surpassent les risques ».

La radiation et l’infusion radioactive

Au début des années 1900, les gens croyaient que la radioactivité était bonne pour eux. À la suite de la théorie Curie/Becquerel sur la radioactivité et du travail de pionnier subséquent, la folie de la radioactivité décolla ! Il y eut parmi les items publicisés et vendus des pendentifs au radium pour les rhumatismes, des couvertures à l’uranium pour l’arthrite, des cosmétiques antivieillissement radioactifs, de l’eau radioactive, de la pâte à dent radioactive, des humidificateurs radioactifs avec masque respiratoire et bien d’autres choses.

Dans un des exemples, on mit des boissons radioactives sur le marché. Un industriel bien connu, Eben Byers, tomba et se fit mal à un bras. Sous les conseils de son médecin, Byers but trois bouteilles par jour de Radiothor. Le gros titre du Wall Street Journal de 1932 parlait ainsi de la mort de Byers : « L’eau au radium fonctionnait bien jusqu’à ce que sa mâchoire se détache ». Un autre exemple s’appelle les Filles de la radiation. Les femmes qui ont sauté sur l’opportunité d’aller travailler dans les usines en peignant les cadrans de montre avec de la peinture lumineuse au radium. Même Marie Curie et ses collaborateurs moururent de complications dues à l’exposition au radium.

Le mercure

Vous rappelez-vous vous être écorché un genou, enfant, et que votre Maman mettait du mercurochrome sur votre bobo pour le désinfecter ? La FDA a banni le mercurochrome à la fin des années 1990 à cause de nombreux rapports d’empoisonnements au mercure. Mais Mercurochrome est le nom patenté d’Eli Lily pour le thimérosal. Même après avoir banni ce composé de mercure organique pour traiter vos éraflures, on l’utilise encore largement comme agent antiseptique et antifongique pour garder frais vos vaccins. Beaucoup de pays suppriment maintenant graduellement l’emploi du thimérosal dans les vaccins pour enfants. On trouve aussi aujourd’hui du thimérosal dans un grand nombre de mascaras. Divers composés de mercure sont toujours employés dans des antidotes, des vaporisateurs nasaux, des laxatifs stimulants, des onguents contre les rougeurs dues aux couches, des solutions de verres de contact, des amalgames dentaires et de l’encre à tatouage.

Additifs alimentaires et médicamenteux

Il y a également les additifs alimentaires et médicamenteux, trop nombreux pour être énumérés dans cet article, qui ont été approuvés et ensuite rappelés aux États-Unis. De puissants groupes de lobby et des compagnies pharmaceutiques font (d’une manière ou de l’autre) pression sur la FDA pour obtenir l’approbation. Certains de ces médicaments et de ces additifs ont été refusés au Canada et dans des pays européens.

Le médicament thalidomide est une de ces horribles expériences humaines. Mise en marché pour l’anxiété, la tension, l’insomnie et les nausées matinales, la thalidomide cause les caillots de sang, l’anémie et la neuropathie. Les mères enceintes ont trouvé très élevé le prix de « la pilule contre les nausées matinales » quand leurs enfants innocents sont nés avec de sévères déformations.

Qu’est-ce que toutes ces choses ont en commun ?

Les éléments communs entre les items listés ici (et tant d’autres), c’est qu’on nous a dit que ces items ont été scientifiquement testés et approuvés par le gouvernement et on les considérait donc comme de la « science établie ». Puis le grand courant médiatique sauta dans le wagon afin de devenir votre « source fiable de vérité », en battant la mesure pour pousser la course des ventes en s’exclamant : « Ceci (remplir l’espace vide) est un nouveau produit magnifique, parfaitement sécuritaire et vous pouvez vous y fier. »

En faisant la revue de ce que nous savons à propos des médicaments approuvés et surpublicisés, des vaccins et des produits, pour voir ensuite trop tard les dommages infligés, nous pouvons en conclure que la « science établie » n’existe pas. La science établie n’est maintenant devenu qu’un terme de publicité ; demandez aux défenseurs du Changement Climatique et de l’évolution. L’horrible trio du gouvernement, de la science et des médias planifie de faire appel à votre peur ou à votre fantaisie (pour capter votre attention et pour programmer vos réactions et vos désirs, souvent par des moyens fondés sur le traumatisme.)

Or, je ne suis pas en train de vous dire que la science ne nous a pas donné des développements et des médicaments étonnants et salvateurs au fil des ans, car c’est le cas. Cependant, en chrétien sagace, nous sommes appelés à nous questionner sur ce que le monde nous dit et nous vend – de façon à être sage. Comme l’a dit Jerry dans l’article principal de ce document, vous devez vous demander Qui bono ? (à qui cela profite-t-il ?)

P.S. : Vous ne devriez pas seulement remettre en question les vaccins et les nouveaux médicaments, mais également toute nouvelle folie ou tout produit surpublicisé (les boissons énergétiques et les e-cigarettes nous viennent aussi à l’esprit).




Un clairon marxiste appelle à l’autodestruction

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mars 2021

Par Jerry Barrett

Équité, diversité et inclusion

« Nous tenons ces Vérités pour évidentes en elles-mêmes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains Droits inaliénables, que parmi elles, il y a la Vie, la Liberté et la poursuite du Bonheur… »

Déclaration d’Indépendance

« Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur le bétail, et sur toute la terre, et sur tout reptile qui rampe sur la terre. Dieu donc créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il les créa mâle et femelle. »

Genèse 1:26-27

Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. Dieu ne créa qu’une seule race – la race humaine. Bien qu’il puisse y avoir différentes sortes de pigmentation sur leur peau, ce ne sont pas des races multiples. Nous sommes tous faits à l’image de Dieu. Il n’y en a pas qui soit inférieur aux autres. La croyance qu’il y ait d’autres races de gens est une construction mentale humaine, pas un fait biologique.

Le racisme est un préjudice que l’on retrouve dans le cœur de l’homme envers ceux qui sont différents de soi. L’on encourageait ce concept de haine dans les sociétés anciennes. Regardez comment les Juifs voient depuis longtemps les Gentils. Dans le Talmud babylonien, le rabbin Schneur Zalman, fondateur du Chabad-Loubavitch, a déclaré que : « Les âmes des Gentils sont d’un ordre complètement différent et inférieur. Ils sont totalement méchants, sans la moindre qualité de rédemption. »

Un chrétien ne peut être raciste

Pour les chrétiens, les écrits de l’apôtre Paul dans Galates 3:28 aurait dû faire cesser le racisme dans l’Église une fois pour toutes.

« Où il n’y a ni Juif ni Grec ; où il n’y a ni esclave ni libre ; où il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. »

Malheureusement, trop nombreux sont ceux qui ont ignoré cet enseignement et ont succombé aux idées et à la philosophie de ceux du monde. Paul nous a aussi mis en garde contre ce dilemme :

« Prenez garde que personne ne vous gagne par la philosophie, et par de vains raisonnements conformes à la tradition des hommes et aux éléments du monde et non point à la doctrine de Christ » (Colossiens 2:8).

Il y a de multiples versets à travers la Parole de Dieu nous enseignant à répétition que Dieu ne fait acception de personne. En voici quelques-uns :

« Alors Pierre prenant la parole, dit : en vérité je reconnais que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Actes 10:34).

« Parce que Dieu n’a point d’égard à l’apparence des personnes » (Romains 2:11).

« Sachant que chacun, soit esclave, soit libre, recevra du Seigneur le bien qu’il aura fait. Et vous maîtres, faites envers eux la même chose, et modérez les menaces, sachant que le Seigneur et d’eux et de vous est au Ciel, et qu’il n’y a point en lui acception de personnes » (Éphésiens 6:8-9).

« Et si vous invoquez comme votre Père celui qui sans avoir égard à l’apparence des personnes, juge selon l’œuvre d’un chacun… » (1 Pierre 1:17).

Pas si vite, mes amis

Dans la société d’aujourd’hui, à cause de la culture « éveillée » formée par le Marxisme culturel, des termes comme Équité, Diversité et Inclusion se répandent à travers la conscience publique. Beaucoup de ces idéaux qu’épousent de soi-disant leaders semblent raisonnables et sincères. Assurément, nous souhaitons tous une meilleure façon de vivre pour nos voisins, n’est-ce pas ?

Équité

Ces manieurs de mots ont manipulé la conscience d’un grand nombre de gens par leurs onctueuses tournures de phrase. Par exemple, prenez le mot Équité. Au premier aspect, cela sonne comme égalité, n’est-ce pas ? Toutefois, équité signifie « possession » dans son usage le plus commun.

Dans la société américaine, chaque citoyen a une opportunité égale de réussir, sans tenir compte de l’âge, du genre, de la race, de la religion ou de l’affiliation politique. Les seules limites au succès sont les habiletés et les qualifications individuelles. Le Titre VI de la Loi sur les Droits Civiques de 1964 dit :

« Personne dans les États-Unis ne sera, pour raison de race, de couleur, ou d’origine nationale, exclu de participation à tout programme ou activité recevant de l’assistance financière fédérale, ni n’en sera refusé les bénéfices ou sujet à discrimination. »

Lorsque l’équité est vomie de la bouche de la foule des « éveillés », elle revêt une signification entièrement différente. Pour eux, elle veut dire démolir toutes les barrières structurelles qui entravent le chemin des résultats égaux. En outre, cette foule veut ajuster les partages pour donner à certains groupes d’identité des privilèges afin de s’atteler à ce qu’elle perçoit comme des déséquilibres.

Un bon exemple : Deux hommes décident de faire affaires ensemble. Chacun investit 1 000 $ pour débuter la compagnie. On les considère comme partenaires égaux, et subséquemment chacun tirera cinquante pourcent des parts de profit. L’équité entre dans l’équation quand un des partenaires réclame plus que cinquante pourcent des parts à cause de sa pigmentation de peau ou parce qu’il est démocrate.

Les libéraux appuient la redistribution des richesses afin de garantir à chaque Américain un revenu égal plutôt qu’une opportunité égale de succès. L’égalité n’est plus le but des progressistes.

Le terme « juste et équilibré » est maintenant associé aux gens bigots et biaisés dont les actions sont manifestement discriminatoires. Il n’est plus acceptable de montrer de la tolérance. L’on doit embrasser tous les aspects de ces groupes d’identité.

Diversité

Dans ma jeunesse, les professeurs de l’histoire civique et américaine parlaient de l’Amérique comme du grand « melting-pot ». On nous enseignait que les immigrants adopteraient les idéaux de liberté et d’opportunité, reconnaissants des occasions qui leur étaient offertes. À mesure qu’ils s’assimilaient à la culture américaine, certaines de leurs coutumes, de leurs traditions et de leurs nourritures furent introduites, habituellement pour l’enrichissement de la nation.

Aujourd’hui, la diversité est légiférée de manière à diviser la nation. Au lieu d’homogénéiser le pays, des groupes d’intérêts spéciaux sont classés sous le couvert de la diversité. Leur statut « spécial » est dressé contre les autres groupes, faisant croître la friction chez tous. Saul Alinsky savait que, pour ébranler notre pays jadis si grand par la destruction de nos institutions – la famille, l’église, l’école et le gouvernement – la diversité était l’arme de choix.

La diversité n’est pas ce qui a fait de l’Amérique un grand pays, ce sont les choses que nous avions en commun. L’importance de l’unité familiale était le noyau fondamental de notre société. Les valeurs du gros bon sens et la croyance en l’exceptionnalisme américain qui ont un impact sur tout le monde, peu importe la race, les croyances ou la couleur.

Comme une cale, la formation à la diversité – la Théorie Critique de la Race n’est qu’une des armes – s’est infiltrée dans nos systèmes éducatifs et s’insinue maintenant dans les salles de conseil et les entreprises à travers tout le pays. Par exemple, une des principales écoles indépendantes du pays a mené une « vérification de la diversité » pour déterminer jusqu’à quel point ses professeurs étaient « éveillés ».

Il y avait six catégories de diversité : identité raciale, identité religieuse, statut socioéconomique, structure familiale, identité sexuelle et statut d’invalidité. On demandait aux professeurs avec quelle efficacité ils transmettaient chaque sujet à leurs élèves. Le but est de « favoriser la compréhension de systèmes de pouvoir et d’encourager les étudiants à développer des outils d’équité et de justice ».

L’on définit la race comme une construction sociale utilisée pour rassembler les gens ensemble en relation avec le pouvoir et les privilèges. La famille est définie comme l’organisation qui compose une unité familiale. Ce n’est rien de plus qu’une idéologie d’extrême gauche pour diffamer le peuple blanc et élever le « peuple de couleur ».

Ces groupes de diversité font des millions de dollars en colportant de la propagande anti-blanche tout en déclarant combattre le racisme. Ils découragent également sans cesse tout sain débat sur les sujets sensibles, préférant fomenter encore plus de division au sein de notre société.

Les Pneus Goodyear et la Compagnie Rubber ont été dénoncés l’an dernier après avoir tenu une session de formation sur la diversité dans leurs usines de Topeka, au Kansas. Lors de la présentation, un employé a pris une photo d’une diapositive qui déclarait ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.

Goodyear a réagi après que l’image soit devenue virale sur les médias sociaux :

« Goodyear s’engage à mettre de l’avant un lieu de travail respectueux et inclusif … Dans cet engagement, nous permettons à nos associés d’exprimer leur soutien au sujet de l’injustice raciale et de toutes autres questions d’équité, mais nous demandons à ce qu’ils se restreignent dans leurs expressions sur le lieu de travail … comme tout autre forme similaire de plaidoyer qui sorte de la perspective des questions d’équité. »

Le double standard de ce communiqué de presse devrait enrager les masses. Mais Goodyear n’est pas seul à soutenir cette formation sur la diversité. Presque quatre-vingt-dix pourcent des compagnies du Fortune 500 ont des bureaux de la diversité épousant la manie de « l’équité, de la diversité et de l’inclusion ».

La nature de ces programmes entraînant la division est en provenance directe du manuel Règles pour les radicaux d’Alinsky. Ce qui était jadis vu comme une bénédiction pour notre pays a été transformée en « guerre civile » non déclarée dressant les voisins les uns contre les autres.

Inclusion

On décrit l’inclusion comme « un état bénéfique mutuel à la fois pour les communautés et les individus. » La société « éveillée » d’aujourd’hui exige que tout le monde soit inclus. En surface, cela semble une idée noble. Malheureusement, la liberté d’expression – protégée par le Premier Amendement de notre Constitution – ne signifie plus ce qu’elle voulait dire auparavant. Les expressions qui offensent et blessent les sentiments de quelqu’un ne devraient plus être permis, selon les « éveillés ». La censure abonde dans les médias sociaux à cause de ce système de croyance.

La turpitude morale n’est pas une excuse acceptable pour exclure une personne ou un groupe. Le christianisme, également protégé par le Premier Amendement, est devenu une cible principale, aujourd’hui. Les Progressistes du Congrès ont introduit une législation pour enlever les exemptions religieuses pour certaines des actions les plus blasphématoires que l’on puisse imaginer. Les portes se sont ouvertes après que la Cour Suprême eut « légiféré » chez les juges que l’on autorise le mariage de même sexe.

Les pasteurs tièdes ont été intimidés et refusent de condamner cette abomination. Vous ne les entendrez jamais prêcher ce que l’apôtre Paul a dit à propos de l’homosexualité :

« C’est pourquoi aussi Dieu les a livrés aux convoitises de leurs propres cœurs, de sorte qu’ils se sont abandonnés à l’impureté déshonorant entre eux-mêmes leurs propres corps : eux qui ont changé la vérité de Dieu en fausseté, et qui ont adoré et servi la créature, en abandonnant le Créateur, qui est béni éternellement : Amen. C’est pourquoi Dieu les a livrés à leurs affections infâmes ; car même les femmes parmi eux ont changé l’usage naturel en celui qui est contre la nature. Et les hommes tout de même laissant l’usage naturel de la femme, se sont embrasés en leur convoitise l’un envers l’autre, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes la récompense de leur erreur, telle qu’il fallait. Car comme ils ne se sont pas souciés de connaître Dieu, aussi Dieu les a livrés à un esprit dépourvu de tout jugement, pour commettre des choses qui ne sont nullement convenables. Etant remplis de toute injustice, d’impureté, de méchanceté, d’avarice, de malignité, pleins d’envie, de meurtre, de querelle, de fraude, de mauvaises mœurs. Rapporteurs, médisants, haïssant Dieu, outrageux, orgueilleux, vains, inventeurs de maux, rebelles à pères et à mères. Sans entendement, ne tenant point ce qu’ils ont promis, sans affection naturelle, gens qui jamais ne s’apaisent, sans miséricorde. Et qui, bien qu’ils aient connu le droit de Dieu, savoir, que ceux qui commettent de telles choses sont dignes de mort, ne les commettent pas seulement, mais encore ils favorisent ceux qui les commettent. » (Romains 1:24-32).

Votre délivrance approche

De toute ma vie, je n’ai jamais vu autant de haine et d’animosité qu’aujourd’hui. L’implantation de la rectitude politique dans nos institutions d’enseignement collégial est complétée. L’effet « dégoulinant » dans nos écoles élémentaires est presque terminé. Les automates à l’esprit contrôlé, produits à la chaîne par tout le système d’enseignement, prolifèrent dans toute l’industrie et remplissent les salles de conseil.

Les grands courants médiatiques – en conjonction avec les médias sociaux – sont les champions de la justice sociale. Leur portée a eu pour résultat une manne de convertis. En surface, l’équité, la diversité et l’inclusion semblent grandioses. Toutefois, lorsque l’on contemple la vraies signification de ces mots et la direction vers laquelle notre pays est poussé, est-ce surprenant que Dieu ait oublié notre nation ?

Aux yeux de Dieu, nous sommes tous égaux. Les chrétiens ont faim du plein conseil de Jésus, mais ils sont en manque grave parce que les enseignants refusent de le prêcher. Des versions abâtardies de la Parole de Dieu remplissent de nombreuses églises. L’apathie gagne les églises à mesure que la faim de Sa Parole décroît. Jésus nous rappelle que nous méritons tous un sort violent. On ne peut éviter cela qu’en se tournant avec repentir vers notre Dieu plein de miséricorde.

« …si vous ne vous repentez, vous périrez tous de la même manière »  (Luc 13:3).




L’aube d’une nouvelle année

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2021

Par Jerry Barret

À chaque année, au premier janvier, des millions d’Américains ont en vue de s’améliorer en prenant des résolutions personnelles et en s’établissant des buts. Vous pouvez voir cela par les fenêtres de tous les lieux d’exercices à travers le pays. Ceux qui s’emploient à la bonne santé en faisant régulièrement de l’exercice sont forcés d’ajuster leur horaire pour éviter les foules qui s’en suivent. Toutefois, cela n’est pour eux qu’un embêtement mineur. Ils savent qu’en février ces guerriers qui foncent dans les séances d’entraînement auront abandonné en retournant à leurs vieilles habitudes.

Toutefois, ce janvier-ci ne sera pas comme ceux de mémoire récente. De nombreux gyms ont été fermés à cause d’un confinement draconien ordonné par les gouvernements locaux ou étatiques. Bien que jugé inconstitutionnel par les propriétaires commerciaux touchés, le public en général s’est à peine prononcé. « Nous devons pratiquer ces lignes de conduite au nom de la sécurité, » a-t-il comme mantra.

À mesure que s’accroit notre « sécurité », nos libertés rétrécissent. Ceux qui croient encore être libres en Amérique, vous devez vous réveiller et humer le café. Lentement, mais sûrement, nos libertés se sont érodées pour n’être qu’à deux doigts du néant.

Je me rappelle qu’enfant je marchais avec Papa jusqu’aux portes de l’aéroport en vue de son vol vers une destination déterminée par ses supérieurs des Forces aériennes des États-Unis. Notre famille avait l’habitude de se promener nonchalamment dans tout l’aéroport en attendant que son vol soit annoncé, en le regardant marcher vers la passerelle, puis voir son avion décoller.

Grâce au travail interne appelé 9/11, une grosse colonne de liberté fut enlevée des piliers de l’Amérique. Aujourd’hui, seuls ceux qui ont des billets peuvent se rendre jusqu’aux portes. Et ce après avoir passé par un contrôle de sécurité où l’on vérifie votre identité et votre carte d’embarquement. Une fois accepté, vous devez pratiquement vous déshabiller et passer dans une machine à rayon-x. Tous les bagages que vous transportez doivent aussi passer au rayon-x, testés pour fin de résidus d’explosifs avant qu’on vous les redonne pendant que vous vous rhabillez. Les accolades et les embrassades d’au revoir sont maintenant restreintes à la zone de chargement, et tout cela au nom de la sécurité.

Nous, les moutons, n’avons rien à penser de ces nouvelles « précautions ». Nos leaders ont nos meilleurs intérêts à cœur, n’est-ce pas ? Peu importe le fait que certains employés mécréants des aéroports sont reconnus pour partager des images des machines à scanner les corps. Ni le fait qu’aucun acte terroriste n’ait été contrecarré par ces procédures envahissantes. Au début, les reporters et les enquêteurs indépendants se mirent à tester l’efficacité de ces procédures, et ils finirent par être fortement désappointés.

Cette phase du grand plan étant complétée, il était temps de faire le pas suivant. Cet événement annonciateur arriva le 18 octobre 2019 à New York City. Tenu conjointement entre le Centre de Sécurité Sanitaire Johns Hopkins, le Forum Économique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Événement 201 s’avéra un exercice pandémique de haut niveau. Cet exercice servait à illustrer les domaines où les partenariats publics et privés seraient nécessaire en cas de pandémie sévère.

Ainsi que j’en ai fait la documentation dans des bulletins précédents et dans des émissions radiophoniques antérieures, cette pLandémie a été lancée sur une population sans méfiance en surgissant sur la scène en mars de 2020. La peur, répandue par les grands courants médiatiques sous la direction de l’élite, a agrippé le pays dans sa poigne d’acier. Un nombre croissant de mort a occupé la une des reportages de nouvelles. On a présenté des images d’hôpitaux remplis de médecins et d’infirmier(e)s désespérés essayant apparemment de traiter des milliers de patients. Des sacs mortuaires remplissaient les chariots que l’on acheminait vers les camions réfrigérés.

Les gouverneurs et les fonctionnaires locaux ou étatiques élus ont tous promulgué des ordres de confinement dans l’effort « d’aplatir la courbe » des infections qui, semblait-il, se répandait comme une traînée de poudre sur toute la planète. Au début de ces ordonnances, l’on nous a dit que deux semaines seraient probablement suffisantes pour reprendre le contrôle de la situation. Hélas, nous aplatissons la courbe depuis maintenant neuf mois.

Chose ironique ou non, cette pLandémie est survenue au moment même où l’économie américaine rebondissait. Des usines revenaient en Amérique, et avec elles des emplois dont nous avons grand besoin. Le chômage dans les communautés minoritaires connaissait des baisses record. Les transactions et les traités qui ne bénéficiaient pas à l’Amérique furent réécris. On remettait de l’avant le concept de « l’Amérique d’abord ». Est-ce que les accusations infructueuses contre le Président Donald Trump et son soutien croissant par la classe moyenne des travailleurs ont mis la puce à l’oreille de l’élite ?

Comme on dit, avec du recul, c’est 20/20. Il est toujours plus facile de discerner les motifs une fois que les dés sont jetés, et le temps est un allié, pas un handicap à la prise de décision. Mais avec l’Agenda 21 des Nations Unis pointant à l’horizon, on peut se demander ce qui va suivre.

Avec la soi-disant victoire électorale de Joe Biden en tant que prochain Président, un changement crucial semble venir, et il ne sera pas beau. La législation imminente de la Chambre des Représentants contrôlée par les démocrates met en lumière l’avenir sombre de notre pays. La Loi sur l’Égalité, ainsi que la Loi sur la Sensibilisation envers l’Antisémitisme — lesquelles j’ai discuté avec le révérend Ted Pike dans mon émission radio [Anti-Christian Legislation is Pouring Out of Congress (Une législation antichrétienne déferle du Congrès) disponible en format cassette ou CD] — sont des assauts directs contre les chrétiens. Si les démocrates peuvent mettre la main sur le Sénat en se sauvant avec la Géorgie, comme le dit le vieux dicton : « Katy, barre la porte à double tour ».

Il y a aussi, dans le pipeline de la destruction, le H.R. 5717, surnommé la Loi sur la Prévention de la Violence par les Armes et la Sécurité Communautaire. Si cet projet de loi législatif est adopté et signé en tant que loi, la structure de la réglementation gouvernementale va changer radicalement. Entre autres changements, le projet de loi propose ce qui suit :

  • Il exige des individus qu’ils obtiennent un permis d’achat, d’acquisition ou de possession d’armes à feu ou de munitions [l’emphase est ajoutée] ;
  • L’âge minimum des acheteurs d’armes à feu et de munitions passe de 18 à 21 ans ;
  • Il établit de nouvelles exigences d’examens d’antécédents pour les transferts d’armes à feu entre parties privées ;
  • Il exige que les agences de mise en application de la loi soient notifiées si un examen d’antécédents donne un résultat négatif ;
  • Il crée un processus légal pour qu’un membre de famille ou de ménage puisse pétitionner à la cour pour qu’on enlève les armes à feu à un individu qui court le risque de commettre de la violence [la Loi Drapeau Rouge]

99,7 % des propriétaires d’armes à feu de notre grand pays sont, et vont continuer à être, des Américains obéissant aux lois. Ajouter des lois pour rendre encore plus difficile de se défendre légalement ne découragera en rien les 0,3 % d’individus à l’esprit maléfique.

Ce projet de loi rendra également les armes à feu taxables à 30 % et les munitions (les cartouches et les balles) taxables à 50 %. Actuellement, les armes à feu et les munitions sont taxées à 10 %. De plus, l’on n’a pas besoin d’un permis pour acheter des munitions !

Quiconque a étudié l’histoire, même juste un peu, sait que la première étape d’une dictature totalitaire s’accomplit par le contrôle des armes. Après que cette mesure est prise, la liberté d’expression et de religion devient la cible suivante. Est-ce que le Plan – dont a si souvent parlé notre pasteur émérite Texe Marrs – fait des bonds de géant grâce à l’abêtissement des Américains ? Combien de temps reste-t-il avant que les camps de rééducation soient pleins de moutons dociles ? Est-ce que les vaccins planifiés pour le Covid-19 font partie de la « nouvelle normalité » de la dépopulation ?

Il y a un vieil adage que me disait mon père : « Si tu ne te tiens pas debout pour quelque chose, tu seras à genoux pour n’importe quoi ». Il est temps pour les chrétiens craignant Dieu et rachetés par Son sang de se tenir debout et de crier sur les toits ! Ce n’est pas une conspiration si c’est la vérité. Power of Prophecy crie la vérité depuis plus de trente ans. 2021 ne sera pas différent. Vous joindrez-vous à nous ?

***

Par Michelle Hallmark Powell

Nous avons été avertis

En 2004, la Commission sur la Réforme des Élections Fédérale fut constituée par l’ancien Président Jimmy Carter et James A. Baker III (Secrétaire général et Secrétaire d’État sous les Présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush) pour examiner le processus électoral aux États-Unis. Organisation privée et bipartisane, la Commission assembla des leaders des deux partis, de même que des groupements civiques académiques et non partisans afin de maximiser l’accès et l’intégrité des votes. Il y avait 87 recommandations étalées dans un rapport de 91 pages. Mettre en œuvre toutes les suggestions aurait exigé une action du Congrès au coût de 1,35 milliards $. Le rapport demandait également une supervision professionnelle et étatique non partisane des élections. Voici certaines des autres recommandations :

  • Développer un « système d’inscription au vote universel » dirigé par les états plutôt que par des juridictions locales ;
  • Accroître l’effort d’inscription des électeurs par les états, y compris l’effort de permettre à des anciens détenus de voter sous certaines conditions.
  • Créer une méthode d’identification photo uniforme pour assortir l’électeur à la liste électorale, tout en établissant plus de bureaux pour les électeurs sans permis de conduire afin qu’ils s’enregistrent plus facilement et acquièrent leur carte d’identification photo.
  • Suite aux caucus en Iowa et aux primaires du New Hampshire dans les années d’élection présidentielles, les états devraient tenir quatre primaires et des caucus régionaux à la place des horaires actuels dans le but de réduire l’influence des états de l’est dans le choix de leurs candidats.

Si ces recommandations avaient été mises en place, nous ne serions peut-être pas dans la situation de fraude électorale que nous voyons présentement.

Avertis, mais bêtement désarmés

Reculons maintenant seize ans avant l’élection de 2020. D’abord, nous avons utilisé les machines à vote conçues par les Systèmes de Vote Dominion. Cette compagnie fut fondée en 2003 et sa mission était de fournir un système électronique de vote qui s’avérait avenant pour les progressistes. La compagnie ne marcha pas très bien jusqu’à ce que l’administration Obama arrive au pouvoir. Le dur effondrement du SEV (Système électronique de vote) mis en marché par la compagnie aux États-Unis arriva en août 2009.

  • 40 % ES&S
  • 30 % Diebold/Premier
  • 20 % Sequoia/Smartmatic
  • 10 % Hart Intercivic
  • 0 % Dominion

Puis, moins d’un an plus tard, grâce à l’administration Obama :

  • 50 % Dominion
  • 40 % ES&S (qui fut restreint dans sa compagnie contre Dominion)
  • 10 % Hart Intercivic

L’Administration Obama confisqua tous les actifs des systèmes électroniques de vote (logiciel, propriété intellectuelle, outils de manufacture, clientèle de base, etc.) Elle donna alors cette information à Dominion qui obtint en même temps plusieurs employés de Smartmatic – un Système Électronique de Vote dont les propriétaires sont à l’étranger – qui était relié à Hugo Chavez du Venezuela. Comme nous le savons tous, Chavez utilisa les machines de vote truquées pour gagner ses élections. Donc, comme vous pouvez le voir, le système n’était pas seulement partisan, mais hyper partisan en faveur du Parti démocrate. Il y aurait plus à dire sur les liens du Parti démocrate avec ses supporteurs prééminents aux États-Unis et outremer, mais nous n’entrerons pas ici dans les détails.

L’historique de Dominion

La Dominion Voting System Corp., qui a été fondée au Canada, acquit éventuellement les Systèmes de Vote Sequoia – faisant anciennement partie de la Smartamatic Corp. maintenant une compagnie basée au Royaume Uni. Le logiciel Dominion a été utilisé par 40 % des électeurs dans cette élection de 2020, principalement par les états et les commissions de vote démocrates. Aucune protection n’a été mise en place contre les renversements, les effacements ou la création de votes. En fait, le logiciel utilisé était saisi d’un algorithme qui permettait aux machines de vote d’ajuster le compte des bulletins de vote à partir de 22h30 heure de l’est. Le compte des bulletins de vote stoppa dans bon nombre d’états contestés. Le propre site internet de Dominion dit que le logiciel a été utilisé dans des états « chaudement disputés » comme le Michigan, la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. On l’a aussi employé dans les grands états « démocrates » comme la Californie, le New Jersey et New York. C’est courir après la fraude électorale.

La combine

Vous n’entendez pas la vérité sur les canaux des grands courants médiatiques, mais voici quelques informations fournies à propos des bulletins de vote frauduleux qui s’avèrent des bulletins photocopiés, des bulletins de personnes décédées ou d’électeurs non-résidents. Vous avez ci-dessous l’effondrement des états clés durement contestés et ce qui a eu lieu quand les bulletins ont été révisés.

Comme vous pouvez le voir, c’est plus de 1 200 000 votes qui auraient dû aller à notre Président Donald Trump.

Combattre la corruption

Il se tient des audiences législatives dans chacun de ces états grâce à des affidavits signés par des centaines de témoins déclarant des contradictions massives du vote et des fraudes ayant eu lieu. Chaque législature étatique a le droit, selon notre Constitution, de changer le soi-disant appel à la victoire de Biden en celui de la victoire de Trump si l’on juge qu’il y a suffisamment de preuves de fraude électorale. Bien sûr, il faudra certains hommes braves pour se rebiffer contre le système et redonner aux Américains leur vrai vote. Puissions-nous tous prier notre Dieu qu’Il bénisse l’Amérique.




De la mer à l’océan étincelant, les « temps fous » sont arrivés en Amérique

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Décembre 2020

Par Jerry Barret

L’expérience que nos pères envisageaient est au bord du précipice de la destruction complète. Notre Constitution est continuellement attaquée et ne constitue plus qu’un morceau de papier usé et en lambeaux. Les freins et les contrepoids – mis en place pour limiter chaque branche du gouvernement – ont été usurpés par les acteurs du pouvoir de l’élite et les juges de la Cour Suprême légifèrent maintenant depuis le tribunal.

Alors que la poussière retombe suite à la période électorale de 2020, de nombreux problèmes inquiétants s’érigent face à ceux qui ont des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Fait troublant, nos concitoyens sont victimes du contrôle mental constant émanant des grands courants médiatiques. Il ne peut y avoir aucune autre explication aux conséquences méprisables de nombreux états de notre pays jadis si grand.

Drogues psychotropes légalisées

La gauche soutient la dépénalisation des drogues qui crée une base de gens facilement manipulables, émotionnellement et intellectuellement. Et qui dépendront des « leaders » des médias politiques, sociaux et grand public pour leur dire quoi penser, comment penser, quand penser, etc.

L’anarchie règne en maître dans le quadrant supérieur nord-ouest de l’Amérique. Faut-il être surpris que les électeurs de l’Oregon aient adopté deux lois extrêmes ? La mesure 109 fait de l’Oregon le premier État du pays à autoriser l’utilisation supervisée des champignons hallucinogènes. Ce projet de loi a été adopté avec plus de cinquante-six pourcents des voix. La mesure 110 décriminalise de petites quantités de drogues, notamment la cocaïne, l’héroïne, l’oxycodone et la méthamphétamine. La possession sera désormais classée comme une infraction menant à une amende de 100 $. Cette mesure est passée avec cinquante-huit pourcents des voix !

Le New Jersey, l’Arizona, le Dakota du Sud et le Montana ont tous adopté des lois légalisant l’usage récréatif de la marijuana. Le Mississippi a légalisé la marijuana à des fins médicinales. Il ne s’agit sûrement que d’une mesure bouche-trou pour ceux qui souhaitent légaliser l’usage récréatif dans un avenir rapproché. Les gouvernements d’états sont favorables à cela parce qu4 cela veut dire d’autres recettes discales, ainsi qu’un moyen de maintenir une population induite par la drogue dans la docilité et la malléabilité.

Ces nouvelles déconcertantes, associées au programme marxiste continu implanté dans nos systèmes scolaires publics – du primaire à l’enseignement supérieur – préfigure la fin décisive de notre souveraineté en tant que peuple et nation. L’écho des révolutions précédentes résonne étrangement à nos oreilles.

Les psychopathes tourmentent l’humanité depuis le début de son histoire. Ils se sont avérés la bande de sauvages la plus assoiffée de sang qui ait foulé la surface de la terre. De Robespierre à Lénine, une traînée de sang sillonne leur passage.

Liberté, Égalité, Fraternité – ce n’est pas ce que vous pensez

La Révolution française dirigée par les Illuminati avait pour mantra : « Liberté, Égalité, Fraternité ! » Cette devise anodine cachait le mal qui se dissimulait en-dessous. « Liberté » signifiait la liberté de l’homme par rapport à Dieu, la liberté de faire ce que l’on veut, libéré des chaînes de la religion chrétienne. « Égalité » impliquait que toute autorité doit être brisée et qu’aucun homme ne devrait posséder plus de biens que ses compatriotes. « Fraternité » voulait dire que tous les hommes doivent être frères, les restrictions artificielles des frontières nationales, des religions et des races étant effacées.

Plus de trois millions de personnes périrent à travers la France. Bon nombre étaient des marchands et des commerçants, de simples fermiers et des gens craignant Dieu. Dans certains cas, des villes entières ont été rasées et détruites. Les églises furent employées pour de nombreuses voies de débauche.

En Russie tsariste, Vladimir a mené la campagne de la Terreur Rouge bolchevique. On construisit des camps de concentration d’où les victimes ne partirent jamais, des barges furent employées à noyer des gens, des familles entières furent arrêtées, torturées et assassinées. Les églises furent incendiées ou converties en entrepôts. Comme dans la France révolutionnaire, les chrétiens étaient ciblés pour extermination. À la mort de Lénine, Joseph Staline prit les rênes du pouvoir et poursuivit l’extinction supplémentaire de dizaines de millions de citoyens.

Karl Marx a dit : « Si l’on peut couper les gens de leur histoire, on pourra facilement les persuader. »

Les bolcheviks étaient attachés aux idées de Karl Marx, croyant que les classes ouvrières se libéreraient du contrôle de la classe dirigeante. Une fois cet objectif atteint, une véritable société socialiste fondée sur l’égalité pourrait s’établir. Cependant, Lénine pensait que les décisions devaient être prises par une élite intellectuelle et non pas par la masse des gens. C’est peut-être ce qui a conduit l’ancien auteur socialiste George Orwell à écrire dans son roman, Animal Farm : « Tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d’autres. »

Ceux qui n’étudient pas l’histoire sont condamnés à la répéter

L’étude de l’histoire est d’une importance vitale dans notre éducation continue. Comme Texe Marrs, j’ai lu avec voracité des écrits historiques pour m’efforcer d’élargir mon champ de vision des événements. Juri Lina, auteur d’Architectes de la tromperie, cite une parole de Karl Marx : « Si l’on peut couper les gens de leur histoire, on pourra facilement les persuader. » Les événements qui se sont produits depuis l’élection présidentielle de 2016 et les activités illicites de « l’État profond » ressemblent remarquablement aux révolutions précitées. Bien qu’il n’y ait pas eu une grande quantité de sang versé… pourtant… le précéde3nt fut établi par d’autres psychopathes qui avaient revêtu la mante du pouvoir.

Dans son livre puissant, Les psychopathes : d’hier, d’aujourd’hui et de demain, Texe Marrs a expliqué :

« Suite aux élections, les Progressistes de partout se mirent à protester dans la folie. Leurs instincts les plus sauvages ont surgi et, pendant quelques années, l’Amérique a festoyé dans la Folle Époque des Progressistes. Ceux-ci sont, en général, d’une haine furieuse, mal embouchés, ignorants, politiquement correct, anti-américains, émeutiers, fauteurs de troubles. Conduits par un nombre incroyable de véritables psychopathes, les Progressistes dirigent le pays vers la période de Folle Époque. Peut-être sans le vouloir, leur rébellion et leur haine coléreuse de l’Amérique et des Déplorables [ceux qui votent Trump] ont ouvert la porte au psychopathe qui se réjouit de l’opportunité d’abandonner toute raison et de décimer toute apparence de loi et d’ordre. »

Preston James, psychologue social, a fait remarquer, dans son article perspicace La loi secrète des opposés : « Ce petit nombre sélect qui qui siège au sommet de la Hiérarchie Mondiale du Mal contrôle toutes les institutions clés, les grandes entreprises et l’establishment en cours… Si une personne publique quelconque les contrarie et sort des paramètres alloués, elle sera sanctionnée et mise sur la liste noire à divers degrés pour ne pas participer au système de manière significative. »

 




La transition du pouvoir est en jeu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2020

Par Jerry Barrett

Est-ce que l’un ou l’autre des candidats concédera la victoire après les élections ?

« Je considère de peu d’importance de savoir qui votera dans le parti, ou comment ; mais ce qui m’importe à l’extrême, c’est de savoir qui comptera les votes et comment. »

Boris Bazhanov –Les mémoires de l’ancien secrétaire de Staline (publié en 2002, traduit du russe)

 

À tous les quatre ans, nous sommes confrontés à un choix : pour qui voterons-nous comme Président des États-Unis ? Pour de nombreux chrétiens, le choix est facile à faire. Cependant, il faut se demander si c’est le bon et ne pas se hâter dans une décision si importante.

Il y a ceux qui fustigeront les gens qui jugent les autres. Ils éructeront leur version de Matthieu 7:1 : « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. » Mais ne jugeons-nous pas qui devrait être le chef de notre pays ? Pesons-nous leurs actions, leurs paroles et leurs agissements avant de voter ?

Le but d’un gouvernement

Romains 13:1 nous dit que nous sommes obligés de nous soumettre au gouvernement. Aux versets 3 et 4, l’on nous enseigne que le but d’un gouvernement est de maintenir le bien et de punir le mal. Le bien et le mal seront déterminés par l’État. Mais nous ne devons pas obéir aveuglément au gouvernement si ce corps gouvernemental exige que nous violions la Parole de Dieu.

Dans la lettre de Paul à Timothée, l’apôtre nous enseigne à prier pour les dirigeants qui sont en position d’autorité :

« J’exhorte donc qu’avant toutes choses on fasse des requêtes, des prières, des supplications, et des actions de grâces pour tous les hommes ; pour les Rois, et pour tous ceux qui sont constitués en dignité, afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté » (1 Timothée 2:1-2)

Nous pouvons le mieux démontrer notre respect à l’autorité gouvernementale lorsque nos dirigeants sont compétents et s’acquittent correctement de leurs fonctions. Mais ce n’est pas toujours le cas. Malheureusement, la Bible ne nous dit pas que tous ceux qui sont en autorité viennent de Dieu. Proverbes 29:2 nous dit ceci :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Nous qui nous positionnons sur la Parole de Dieu savons que toute autorité vient de Dieu. Personne – que ce soit un président, un dictateur ou un monarque – n’atteint sa position sans Sa providence. Cela ne signifie toutefois pas qu’Il l’approuve.

Vous n’avez encore rien vu

Pour ceux qui pensaient que la période électorale de 2016 était controversée, comme le dit le vieil adage : « Vous n’avez encore rien vu ! » Le Président Trump a été fidèle à sa personnalité habituelle et explosive, lançant ses insultes via les médias sociaux envers le candidat démocrate Joe Biden et sa colistière Kamala Harris.

De même, Biden et Harris y sont allés de leurs propres accusations caustiques contre Trump et son administration. De plus, aucune des deux parties de cette campagne n’a déclaré qu’elle concéderait rapidement la victoire le soir des élections. Le processus se complique encore du fait que l’on maintient des décisions étatiques et judiciaires permettant le comptage des bulletins de vote par correspondance sans « date limite de dépôt ».

Stratégie de guerre ou scénario planifié ?

Au cours de l’été 2020, à l’insu de la plupart d’entre nous, une « stratégie de guerre » a été organisée pour analyser les résultats potentiels et la réaction ultérieure des deux côtés de l’allée politique. Un certain nombre de scénarios ont été envisagés au fil de plusieurs sessions. Comme je vais le dévoiler plus loin, les participants – du moins ceux qui sont prêts à se voir révélés – forment un Who’s Who de poids lourds politiques et d’initiés de Washington.

La raison pour laquelle cela a piqué mon intérêt, c’est que la précédente « stratégie de guerre » – surnommée Event 201 et organisée par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins – était tenue à New York et concernait le déclenchement d’une pandémie à travers les États-Unis. Nous avons tous vécu les confinements qui s’en sont suivis, la mise en quarantaine sans précédent d’individus en bonne santé et la propagande, d’abord du nombre de décès, puis du nombre de cas. L’Event 201 a assurément aidé les personnes impliquées à planifier et à se préparer à l’asservissement presque total des citoyens.

Gestion de crise

Le recours à la gestion de crise est pratique courante dans le monde de la sécurité nationale. Des scénarios improbables sont présentés aux participants à qui l’on donne les concepts de base d’une catastrophe. L’idée de ces sessions est de reconnaître les zones de force et de faiblesse, et de mieux préparer les décideurs face à un désastre. Cette méthode est également utilisée pour jauger les réactions du public en employant le cinéma, la programmation télévisuelle et l’exposé des grands Médias traditionnels.

La prémisse de ce groupe reposait sur sa préoccupation concernant les perturbations potentielles après les élections présidentielles de 2020 et la transition des administrations. Le groupe s’est donné comme nom le Projet d’intégrité de la transition. Quoique présenté comme un effort bipartisan, le groupe était principalement financé par d’anciens membres de l’administration Obama.

Rosa Brooks, professeure de droit à l’Université de Georgetown, cofondatrice du Projet d’intégrité de la transition.

Les cofondateurs sont Rosa Brooks, ancienne fonctionnaire au Pentagone et professeure de droit à l’Université Georgetown, et Nils Gilman, ancien vice-chancelier de l’Université de Californie à Berkeley. Y participèrent aussi plus d’une centaine de hauts fonctionnaires, anciens et actuels, du gouvernement, des leaders de la campagne, des journalistes, des universitaires et d’anciens fonctionnaires fédéraux et étatiques.

Parmi les participants confirmés, il y a Michael Steele, ancien président du Comité national républicain ; John Podesta, président de la campagne 2016 d’Hillary Clinton ; l’ancienne Gouverneure du Michigan, Jennifer Granholm ; l’ancien Secrétaire d’état du Kentucky, Trey Grayson ; Donna Brazile, ancienne présidente par intérim du Comité national démocrate ; ainsi que les journalistes William Kristol, Edward Luce, Max Boot et David Frum.

Lors de sa première répétition, le groupe a simulé un résultat électoral ambigu. L’issue de l’élection n’était pas clair après les résultats de trois États en litige, et un État a détruit les bulletins de vote. Aucune des deux parties n’est prête à concéder.

À la deuxième itération, l’on figurait une victoire nette de Biden, à la fois du vote populaire et du Collège électoral. En la situation, Trump allègue qu’il y a fraude et il prend des mesures pour lui-même et pour sa famille. Mais il cède finalement la Maison Blanche à Biden.

Le troisième scénario commença avec Trump remportant une victoire au Collège électoral, tandis que Biden obtient le vote populaire. Ici, Biden refuse de concéder, persuadant les gouverneurs démocrates de deux états que Trump a remportés d’envoyer des électeurs séparés vers le Collège électoral, encourageant trois états – la Californie, l’Oregon et Washington – à brandir la menace d’une sécession, et convaincant la Chambre des Représentants de refuser de certifier l’élection.

La quatrième et dernière campagne couverte fut une victoire étroite de Biden à la fois aux votes populaires et au Collège électoral. Dans ce scénario, Trump refuse d’avouer la défaite, créant un indicible chaos avant que le Sénat républicain et les Chefs de l’état-major confirment et acceptent la victoire de Biden. Trump refuse de quitter la Maison Blanche et il est expulsé de force par les services secrets.

L’élection de 2020 sera-t-elle entachée

Tout comme il l’a fait durant les élections de 2016, Trump a allégué la possibilité de corruption – qu’il s’agisse de la collecte des bulletins de vote, des bulletins de vote envoyés par la poste, détruits par le service postal, ou de la façon dont les bulletins de votes sont comptés. Hillary Clinton avait été déclarée gagnante malgré que les votes dans certaines régions du pays aient dépassé les listes électorales.

De manière traditionnelle, la passation d’une administration à une autre se fait en douceur. Même les différends les plus remplis de rancune ont été mis de côté – pour la plupart – et ainsi s’est poursuivie la marque de notre république démocratique.

Sera-ce le cas pour 2020 ? Alors que le grand courant médiatique ne cache plus ses préjugés et fomente une haine enragée contre le Président en exercice, cela reste à voir. Ceux qui soutiennent Trump se sentent de même menacés et sont prêts à se défendre. De mon vivant, je n’aurais jamais pensé qu’une si forte discorde soit possible.

Souvenez-vous toutefois de ceci. Dieu règne sur nos affaires et, dans Sa providence, les dirigeants s’élèvent et s’affaissent, mais nous ne devons absolument pas présumer que toutes les affaires humaines reçoivent l’approbation de Dieu. Consolez-vous en pensant que Dieu demeure en contrôle au milieu de tout ce chaos. Nous sommes amenés à déployer activement Son caractère par les choix que nous faisons.

« Et que la paix de Dieu, à laquelle vous êtes appelés pour être un seul corps, tienne le principal lieu dans vos cœurs ; et soyez reconnaissants. Que la parole de Christ habite en vous abondamment en toute sagesse, vous enseignant et vous exhortant l’un l’autre par des Psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, avec grâce, chantant de votre cœur au Seigneur. Et quelque chose que vous fassiez, soit par parole ou par œuvre, faites tout au Nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à notre Dieu et Père » (Colossiens 3:15-17).

 


Par Sandra Myers

Fuir Babylone

Belize, Panama, Nicaragua, Canada, Nouvelle-Zélande, République dominicaine, Australie, Irlande… Voilà quelques-uns des nombreux pays vers où de mes amis et de mes connaissances ont parlé de s’envoler ou qui l’ont déjà fait.

Une personne s’est récemment exclamée : « Je déteste les États-Unis, alias le Marteau du monde entier, l’Exterminateur du monde entier et le Destructeur de montagnes ! » Mais cette personne admet qu’elle ne saurait où fuir. Elle veut juste SORTIR – sortir des terribles États-Unis d’Amérique.

Je suis peut-être légèrement partiale, mais malgré toutes ses imperfections, je continue de dire que les États-Unis d’Amérique sont le meilleur endroit pour vivre sur la terre verte de Dieu. Les États-Unis ne sont pas l’endroit parfait pour vivre ; mais aucun autre pays non plus. En fin de compte, nous ne sommes que des pèlerins de passage. `Notre foyer est au–dessus. Est-ce que l’Amérique, jadis lumière brillante sur la colline, et déjà à mi-chemin sur la pente glissante, se dirige vers l’hédonisme le plus complet, le marxisme/socialisme et la loi de la rue ?

La fureur de fuir Babylone

Ces ressortissants et ceux qui voudraient l’être ont une motivation commune : échapper à ce qu’ils considèrent Babylone et à leur propre disparition physique pour avoir été dans la Babylone. Ils croient que les États-Unis sont la maléfique et horrible prostituée dont parle la Bible. En tant que tel, ils ne veulent pas participer aux ravages provoqués par les États-Unis, ou encourir les châtiments et la destruction qui ne manqueront pas d’arriver aux États-Unis d’Amérique, s’il s’agit bien de Babylone.

« Fuyez hors de Babylone, et sauvez chacun sa vie, ne soyez point exterminés dans son iniquité ; car c’est le temps de la vengeance de l’Eternel ; il lui rend ce qu’elle a mérité » (Jérémie 51:6).

Le désir de fuir le danger est compréhensible. Satan veut vous cribler et vous dévorer. Mais votre désespoir vous fait oublier que ce que vous tentez de fuir n’est que la manifestation physique d’un problème spirituel.

Encore une fois, Babylone est une maladie mondiale du cœur, non pas une maladie physique. Babylone représente le rejet du seul vrai Dieu. C’était vrai dans les plaines de Sinhar, ainsi qu’à travers l’histoire, et c’est encore vrai aujourd’hui.

Comment fuir Babylone ?

Vous, mes amis fuyant Babylone, on doit vous féliciter. Votre esprit perturbé résiste aux pressions physiques et aux attraits de Babylone. Mais sachez qu’il n’y a pas d’échappatoire. Vos troubles vous suivront jusqu’aux extrémités de la terre. Au lieu de cela, j’exhorte ceux qui voudraient fuir de laisser la Direction de Dieu être votre cure.

Bien que vous ressentiez personnellement les flammes et que vous ayez l’impression que ces flammes peuvent vous submerger à tout moment, sachez que ces mêmes flammes dévorent le monde entier autour de vous. Mais, comme Sadrac, Mésac, et Habed-négo (Daniel 3), Jésus est avec VOUS, Son enfant, toujours. Surtout dans les flammes ardentes de la Tribulation – et nous vivons certainement un temps de tribulations – Jésus est votre seul refuge contre Babylone.

TOUTES les nations ont bu de son vin et ont commis la fornication avec elle. Mais le Seigneur commande à SON PEUPLE de sortir d’elle. Ne participez pas à ses péchés. C’est en ce moment que la bataille est à son plus féroce.

« Il cria avec force à haute voix, et il dit : Elle est tombée, elle est tombée la grande Babylone, et elle est devenue la demeure des Démons, et la retraite de tout esprit immonde, et le repaire de tout oiseau immonde et exécrable. Car toutes les nations ont bu du vin de sa prostitution effrénée ; et les Rois de la terre ont commis fornication avec elle ; et les marchands de la terre sont devenus riches de l’excès de son luxe. Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:2-4).

Jésus vivait parfois l’agonie sur terre, pourtant, Il avait pour désir de faire la volonté de Son Père céleste (Luc 22:41-44). Jésus savait que Son Royaume n’était pas de ce monde (Jean 18:36). Paul a dit qu’il valait mieux mourir et être avec Christ que vivre sur terre ; mais rester signifiait continuer à servir et à travailler pour Christ (Philippiens 1:21-24).

Après avoir été tenté par le Diable pendant quarante jours et S’être fait offrir tous les royaumes physiques du monde, Jésus refusa. Jésus savait que la bataille et le Royaume sont spirituels. Et quand Jésus eût réfuté le Diable, Il est reparti avec une grande puissance de l’Esprit.

En Jésus, vous possédez une grande puissance spirituelle. Vous serez sans aucun doute vilipendés et envahis par le monde qui mettra de grandes pressions dans votre esprit et y provoquera de grandes souffrances. Mais en tant qu’enfants du Très-Haut, vous êtes consacrés pour dire la vérité, prêcher l’Évangile et tendre la main aux cœurs brisés. Si Dieu dirige votre chemin vers différents endroits, obéissez et partez par tous les moyens. Mais s’Il vous envoie ailleurs, ce ne sera pas uniquement pour votre sécurité temporelle. Penserez-vous à la bataille qui fait rage autour de vous, où que vous alliez ?




La Californie nous a donné un aperçu du… Nouveau supplice vert

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2020

Par Jerry Barrett

« Et vous ne souillerez point le pays où vous serez … Vous ne souillerez donc point le pays où vous allez demeurer »

Nombres 35:33-34

 

Depuis trois décennies, les médias contrôlés utilisent des tactiques alarmistes pour faire croire au changement climatique. L’on a été canalisé du soutien politique et des centaines de millions de dollars pour renforcer ce programme. Il s’agit d’un groupe de pseudo-scientifiques ressemblant à une secte.

Activiste environnemental bien connu et respecté, Michael Shellenberger a récemment fait des excuses écrites pour avoir perpétué ce canular. Forbes.com a publié son article, mais l’a rapidement supprimé et a censuré cet aveu révélateur. La raison pour laquelle Shellenberger est devenu honnête ? Le lavage de cerveau qui se produit chez nos enfants. Vingt pourcents des enfants britanniques interrogés ont admis avoir fait des cauchemars sur le changement climatique et la fin du monde.

De nombreux enfants traumatisés par cette propagande sont incapables de profiter du grand air. Ils n’apprécient plus la nature et ne comprennent plus son fonctionnement. Lorsque l’on considère l’ampleur du dilemme, on en arrive à la conclusion que, sans une compréhension de base, il ne peut y avoir de bonne gestion.

La prise de pouvoir du changement climatique

Comme ceux qui doutent de la véracité de l’Holocauste sont ridiculisés et catégorisés, de même ceux qui nient les soi-disant « experts » du changement climatique seront dénigrés en toute impunité. La secte verte réplique avec des attaques calomnieuses par le biais des marionnettes des médias contrôlés. L’endoctrinement de notre jeunesse monte en flèche, sans égard aux dégâts causés.

Les politiciens se sont accrochés à ce canular en vue d’une prise de pouvoir totale. La représentante Alexandra Ocasio-Cortez (D-NY) a proclamé haut et fort : « Le monde va prendre fin dans

Le Gouverneur de la Californie, Gavin Newson (à gauche) vit avec l’impact véritable d’une « protection » extrême de l’environnement. Si Joe Biden est élu Président, il prévoit mettre en œuvre la plupart des mesures du Nouvel Accord Vert draconien d’Alexandra Ocasio-Cortez dans tout le pays.

douze ans si nous n’abordons pas le changement climatique ». Elle a fièrement lancé le « Nouvel Accord Vert » appuyé par George Soros.

Les études climatiques ont démontré des périodes de réchauffement et de refroidissement. C’est un cycle en constante évolution que l’homme ne contrôle pas. Ce qu’enseigne Genèse 8:22 devrait nous réconforter : « Mais tant que la terre sera, les semailles et les moissons, le froid et le chaud, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point. »

Malheureusement, certaines personnes affichent un complexe divin par lequel elles croient être plus intelligentes que notre Père céleste. Ces individus assoiffés de pouvoir obtiennent une tribune d’intimidation et exercent leur influence sur les autres pour qu’ils rejoignent leur secte. Cette pensée maladive se propage rapidement et, grâce au soutien financier adéquat, elle enveloppe la planète.

L’énergie renouvelable est une des expressions à la mode qu’emploient ces mystificateurs du climat. Ils considèrent que l’utilisation de la lumière du soleil, du vent, de la pluie, des marées, des vagues et de la chaleur géothermique va nous sauver des « combustibles fossiles ». Cependant, les effets potentiellement dangereux sont négligés par ces cinglés de l’environnement dans leur zèle à propager ce programme.

Voitures électriques

En réalité, il n’y a pas de système énergétique qui soit renouvelable. Les machines reposent sur l’extraction et le traitement continus des matières premières. Par exemple, jetez un coup d’œil sur une voiture électrique. À première vue, cela semble une excellente idée. Mais lorsqu’on examine le procédé requis pour créer cette voiture verte, le résultat final nous revient comme une gifle au visage. Les véhicules électriques produisent encore des gaz à effet de serre provenant de leurs freins, de leurs pneus et des usines qui les construisent. La batterie d’une voiture électrique a un poids ahurissant de mille livres [± 500 kilos].

Aux mines de terre rare de Jiangxi, en Chine, les mineurs creusent des trous de huit pieds [2m50] et versent du sulfite d’ammonium pour dissoudre l’argile. Cette boue est évacuée, soumise à plusieurs bains d’acide et ensuite cuite au four. Les minéraux rares restants sont utilisés dans les voitures électriques, tandis que les parties non utilisées, contaminées par des produits chimiques toxiques, sont remises dans l’environnement. À cause de la croissance de la demande en véhicules électriques, les minéraux de la planète menacent d’être épuisés en peu de temps.

On doit recharger les batteries de ces voitures. Est-ce aussi propre qu’une voiture à essence ? Les chiffres ne corroborent pas cette affirmation. Si l’électricité provient d’une centrale au charbon, chaque véhicule électrique émet environ quinze onces de CO2 pour chaque kilomètre parcouru, tandis qu’une voiture à essence n’en produit que trois.

De même, les batteries finissent par s’user. Nous avons tous fait l’expérience de ce bip strident à 2h00 du matin parce que la pile 9 volts du détecteur de fumée est tombée en panne. De nombreux éléments qui composent une batterie ne sont pas recyclables et se retrouvent donc dans nos décharges. Est-ce écologique ?

Éoliennes

Les éoliennes sont une autre source d’énergie renouvelable qui a gagné en popularité. Vous pouvez en voir des agglomérats sur des plateaux et des montagnes. Lorsque le vent souffle, les pales tournent en générant de l’électricité. En surface, cela semble une très bonne idée. Toutefois, certaines parties mécaniques s’usent avec le temps, et la force et la quantité de vent changent constamment.

Un défaut flagrant des éoliennes est son effet sur les oiseaux migrateurs. Approximativement 234 000 oiseaux se font tuer chaque année par les hélices. Les aigles et les faucons sont les espèces les plus touchées. Les chauves-souris arboricoles ont également vu leur population diminuer, et cela inquiète les scientifiques. Il y a eu des rapports ayant déclaré que ces turbines sont éteintes durant la période de migration, ne produisant ainsi aucune électricité.

Les pales de ces turbines s’allongent jusqu’à 230 pieds [70m] et pèsent en moyenne 36 tonnes. L’enlèvement des vieilles pales, ou celles qui sont cassées, pose un difficile problème de résolution. Il existe actuellement deux méthodes courantes d’élimination des aubes de turbines : les brûler ou les jeter dans une décharge. Plus de 720 000 tonnes de matériaux d’hélices devront être éliminées au cours des vingt prochaines années. Les aubes de turbines sont généralement fabriquées de verre composite ou de carbone. Contrairement à l’acier et au cuivre, ces matériaux ne sont pas aussi précieux une fois recyclés.

Panneaux solaires

L’énergie solaire est la forme d’énergie renouvelable qui connaît la croissance la plus rapide. Son impact environnemental n’est pas aussi néfaste que les éoliennes et les barrages hydroélectriques. Néanmoins, le matériel finit par s’user et on doit en disposer. De nombreux types de panneaux solaires ne sont pas recyclables. La quantité de panneaux solaires usés pourrait constituer le double du total actuel des déchets plastiques mondiaux d’ici l’an 2050.

Le supplice vert de la Californie

La Californie s’est empressée de remplacer les sources d’énergie à combustibles fossiles par de l’énergie renouvelable en vue du Nouvel Accord Vert. En 2016, le Gouverneur d’alors, Jerry Brown, a signé un projet de loi présenté par une législature d’État dominée par les démocrates exigeant que l’État s’approvisionne à 100 % à l’énergie renouvelable avant 2045.

La Californie a donc abandonné ses formes de production d’énergie plus traditionnelles. Les centrales électriques utilisant le gaz naturel, abondant et fiable, ont été remplacées par des alternatives progressives. D’autres centrales au gaz devraient fermer dans les années à venir, et la Centrale nucléaire de San Onofre a également été fermée.

La Californie est sans doute l’État vert le plus ambitieux de l’Union. Par malheur pour ses résidents, le secteur des énergies renouvelables de Californie a surestimé la quantité qu’il pouvait fournir. On en a eu la flagrante démonstration pendant une longue vague de chaleur. Des pannes de courant déferlantes se sont produites, car la consommation d’énergie dépassait les ressources énergétiques disponibles.

Les autorités affirmèrent que le couvert nuageux entravait la capacité des fermes solaires à produire de l’électricité et que les vents étaient trop calmes pour produire de l’électricité au moyen de leurs turbines. Fait ironique, les médias de gauche attribuent la vague de chaleur et la crise énergétique au « changement climatique ».

Misère partagée du supplice vert

Cette misère partagée se présentera à tous les Américains si les démocrates prennent le contrôle de la Chambre, du Sénat et de la Maison Blanche. Les idéaux progressistes du Nouvel Accord Vert seront un supplice dans lequel nous devrons naviguer au quotidien. Notre pays reculera comme au temps où nous n’avions pas encore l’électricité.

Le Gouverneur Gavin Newson (D) a tragiquement réalisé que l’énergie renouvelable est une chimère. Il a été forcé d’admettre que l’État avait besoin de secours et d’assurance, car les sources d’énergie verte ne sont pas suffisamment fiables. La Californie est une expérience ratée ayant fait la preuve que cette idée progressiste est un Nouveau Supplice Vert.

L’on nous a assignés comme intendants de notre planète. Il nous appartient donc d’user d’un solide jugement et de raison, en ayant toujours conscience de ceux qui sont sous notre domination. Recherchez Son conseil.


Black Lives Matter et son lien occulte

Par Michelle Hallmark Powell

En 2013, trois organisatrices radicales ont créé une volonté politique et un mouvement orientés vers les Noirs, appelé « Black Lives Matter ». Ce sont Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi.

Pour un peu d’histoire à leur sujet, disons que Patrisse Cullors est allé à sa première manifestation à l’âge de dix-sept ans. Alicia Garza, lesbienne, est membre d’Astraea, organisation LBGTQ. La signification du mot Astraea est « vierge de l’étoile », ce qui, dans la mythologie grecque, était la Déesse grecque.

Les treize principes directeurs de Black Lives Matter

  1. Justice réparatrice – Nous nous engageons à travailler collectivement, avec amour, courage et de manière vigoureuse pour la liberté et la justice envers les Noirs…
  2. Empathie – Nous nous engageons à pratiquer l’empathie : nous nous enjoignons des camarades dans l’intention d’apprendre d’eux et de nous connecter à leur contexte.
  3. Engagement dans l’amour – Nous nous engageons à incarner et à pratiquer la justice, la libération et la paix dans nos engagements les uns envers les autres.
  4. Diversité – Nous nous engageons à reconnaître, à respecter et à célébrer les différences et les points communs.
  5. Globalisme – Nous nous considérons comme faisant partie de la famille noire mondiale et nous sommes conscients des façons diverses qui nous enclavent ou nous privilégient comme Noirs qui existons dans différentes parties du monde.
  6. Affirmation queer – Nous nous engageons à encourager un réseau d’affirmation des queers. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise serrée de la pensée hétéronormative…
  7. Affirmation des transgenres – Nous nous engageons à adopter et à faire de la place aux frères et sœurs transgenres afin qu’ils participent et dirigent…
  8. Valeur collective – Nous sommes guidés par le fait que toutes les vies des Noirs comptent, indépendamment de l’identité sexuelle réelle ou perçue, de l’identité de genre, de l’expression de genre, du statut économique, des capacités, du handicap, des croyances ou de l’incrédulité religieuses et du statut d’immigrant ou du lieu.
  9. Intergénérationnel – Nous nous engageons à encourager un réseau intergénérationnel et communautaire exempt d’âgisme…
  10. Familles noires – Nous nous engageons à démanteler la pratique patriarcale qui exige des mères qu’elles effectuent des « double quarts de travail » qui les obligent à materner en privé alors même qu’elles participent aux travaux de justice.
  11. Villages noirs – Nous nous engageons à rompre les exigences de la structure nucléique familiale prescrite en Occident en nous soutenant les uns les autres en tant que familles élargies et « villages » qui prennent collectivement soin les uns des autres et particulièrement de « nos » enfants dans la mesure où les mères, les parents et les enfants s’y trouvent confortables.
  12. Noirs sans aucune excuse – Nous nous positionnons Noirs sans aucune excuse. En affirmant que « La Vie des Noirs Compte », nous n’avons pas besoin de nuancer notre position…
  13. Femmes noires – Nous nous engageons à bâtir un espace affirmant les femmes noires et qui soit exempt de sexisme, de misogynie et de centralité sur les hommes.

Je trouve assez révélateur qu’il existe treize principes directeurs pour cette organisation. Quand l’on considère le chiffre 13 et sa signification occulte, il est clair que cette secte est plongée dans les arts ténébreux.

L’occulte

Black Lives Matter est un mouvement spirituel, affirme la co-fondatrice Patrisse Cullors. Celle-ci a déclaré, dans une discussion sur le rôle de la spiritualité et de la prière au sein du mouvement Black Lives Matter, lors d’un programme du Musée Fowler de l’UCLA, que la pratique consistant à proclamer les noms des victimes dont ils prennent la défense dans les manifestations et les démonstrations est un moyen d’invoquer leurs esprits. « Il s’agit presque littéralement de ressusciter un esprit pour qu’il puisse œuvrer au travers de nous pour exécuter le travail que nous devons faire, » dit Cullors. Celle-ci touche aux traditions ouest-africaines qui se concentrent sur la mémoire des ancêtres.

Une grande partie du traitement du mouvement Black Lives Matter se concentre uniquement sur ses objectifs politiques et sociaux ; mais ce que les gens ne savent pas, et qui est pourtant à la vue de tous, c’est que Black Lives Matter est un mouvement profondément spirituel et imprégné d’occultisme. Les trois fondatrices et un grand nombre des leaders de chacun des seize chapitres de Black Lives Matter sont de fervents adorateurs de l’ancien paganisme africain qui est enracinée dans la sorcellerie et la divination. Pareil au vaudou où l’on évoque l’esprit des morts. De manière réaliste, nous pouvons les appeler des sorciers invoquant l’anarchie et la révolution par leurs chants scandés.

Scander des chants, c’est dire ou chanter de façon répétitive des mots ou des sons, souvent principalement sur un ou deux tons, ce qu’on appelle des tonalités de récitation. Le chant en cadence est utilisé depuis des siècles comme pratique spirituelle dans les cultures africaine, hawaïenne, amérindienne, assyrienne et d’autres cultures aborigènes. Cela ne vient pas de Dieu.

Les chants consistent en une grande quantité de répétitions de sous-expressions musicales, comme le chant qu’ils utilisent : « Les porcs dans une nappe, faites-les frire comme du bacon ! » Cela sert à inciter la violence contre nos cols bleus. Ils chantent aussi : « Nous sommes prêts ! » « Nous arrivons ! » encore et encore pour rallier leurs disciples à la violence.

La Bible dit, dans Matthieu 6:7 :

« Or quand vous priez, n’usez point de vaines redites, comme font les Païens ; car ils s’imaginent d’être exaucés en parlant beaucoup. »

Dans Éphésiens 5:6 :

« Que personne ne vous séduise par de vains discours, car à cause de ces choses la colère de Dieu vient sur les rebelles. »

Pensons-nous que cette organisation vient de Dieu ? Non, catégoriquement ! Comme chrétiens, il est temps que nous revêtions l’armure complète de Dieu.

En passant, George Soros a fait don à l’organisation de Black Live Matter de 33 millions $ cette année. Cela devrait nous en dire long…

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Une révolution Flocon de Neige

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Septembre 2020

Jerry Barrett

La révolution culturelle a pollué l’esprit de notre jeunesse et créé…

« Le pouvoir, c’est de mettre en pièces l’esprit humain et le reconstituer en de nouvelles formes de votre propre choix. »

George Orwell, 1984

« C’est une chose merveilleuse que la destruction des mots. »

George Orwell, 1984

« Le choix de l’humanité se situe entre la liberté et le bonheur, et pour la grande majorité de l’humanité, le bonheur est le meilleur. »

George Orwell, 1984

La folie qui s’est infiltrée dans la société d’aujourd’hui est née, il y a des décennies, à l’école de Francfort. L’idéologie connue sous le nom de « marxisme culturel » a reçu une nouvelle identité et un surnom branché, dans les années 1970-80 – « le Politiquement Correct ». Bien que cette mentalité était partagée à l’origine entre les conservateurs et les libéraux, le Politiquement Correct [PC] est devenu le territoire des extrémistes de gauche progressistes. Ceux qui exercent le contrôle de l’épée du PC frappent maintenant le fondement même sur laquelle notre nation a été basée.

Au lieu de mettre en pratique la compassion, l’empathie, la tolérance et la compréhension, les radicaux se sont considérés les pourvoyeurs d’une nouvelle culture connue sous le nom de « Woke ». Ceux qui sont « réveillés » sont étroitement mis à l’écoute de systèmes de croyance appropriés et acceptables, ainsi qu’à l’usage du langage. C’est Orwell qui l’a le mieux déclaré, dans son roman contre-utopique, 1984 : « C’est une chose merveilleuse que la destruction des mots. »

Winston Smith – le « monsieur-tout-le-monde » d’Orwell – travaillait comme employé de bureau dans le département des archives du Ministère de la Vérité. Son travail consistait à réécrire les documents historiques afin qu’ils correspondent à la politique en constant changement de Big Brother. Cependant, contrairement au protagoniste d’Orwell, la foule des réveillés d’aujourd’hui ne doute pas de la véracité de ce qu’elle choisit de changer.

Parmi les outils populaires employés par la foule des réveillés, il y a la révocation de ceux qui s’opposent à un membre de la société réveillée ou lui fait offense. La Culture de Révocation a été déchaînée comme une arme de destruction massive contre les valeurs chrétiennes ainsi que les traditions et les monuments américains datant depuis longtemps. Au cours des récentes manifestations et des émeutes suivant la mort tragique de George Floyd, le vandalisme aveugle, la dégradation et la destruction finale des statues ont atteint leur comble. Malheureusement, de nombreux jeunes qui ont entreprit la destruction de l’histoire américaine sont de parfaits illettrés quant au contexte dans lequel ces statues furent consacrées.

Détruire ces symboles historiques qui comprennent des abolitionnistes, des généraux de l’armée de l’Union, des soldats noirs de l’Union – ainsi que des chefs confédérés – ne concorde pas avec les prétendus mandats de la doctrine de la Culture de Révocation. Toutefois, vous et moi devons être révoqués si nous doutons de la sincérité de leurs actions.

Il est difficile de définir la « Culture de Révocation », car il n’y a aucune cause ou aucune idéologie définissant ce qui est nécessaire de révoquer. Il ne s’agit certainement pas de la liberté d’expression. Il y a un certain nombre de célébrités et de propriétaires d’entreprise qui ont été révoqués à cause de déclarations ou d’actions jugées offensantes par les extrémistes de gauche. J’ai récemment rapporté que Dave Andelman, fondateur et propriétaire de The Phantom Gourmet, a été contraint de démissionner après s’être moqué de manifestations anti-policières pendant la pLandémie actuelle. M. Adelman a sarcastiquement sous-entendu que les détaillants de Boston proposent un « pillage sans contact aux coins des rues ».

De même, ceux qui penchent vers la gauche sont moins susceptibles d’être révoqués. Le gouverneur de la Virginie, Ralph Northam, a posé déguisé en noir pour une photo raciste alors qu’il était en faculté. L’animateur de fin de soirée, Jimmy Kimmel, a également revêtu le visage d’un noir. Ni l’un ni l’autre n’ont été révoqués.

Si vous êtes libéral et que vous vous excusez, vous êtes pardonné. Si vous êtes conservateur et que vous vous excusez, vous êtes quand même révoqué.

De plus, beaucoup de gens d’Hollywood ont été dénoncés pour avoir publié des commentaires haineux et racistes sur les réseaux sociaux. Après d’émotives excuses et la confirmation qu’ils sont maintenant « réveillés », tout a été pardonné.

On ne peut pas en dire autant des commentateurs politiques conservateurs, comme Tucker Carlson. Ses partenaires publicitaires ont été inondés de demandes exigeant l’interruption des annonces publicitaires sur son émission populaire dans le but de faire annuler celle-ci. A&E-TV a cancellé son programme le plus populaire, Live PD, afin d’apaiser la foule sociale qui soutient Black Lives Matter. L’audience a depuis chuté de cinquante pourcent.

L’ancienne candidate à la présidence, Elizabeth Warren, a affirmé qu’elle était d’origine amérindienne. Mme Warren avait employé cette « fausse » histoire familiale pour obtenir un poste de professeure à l’École de Droit d’Harvard. Démocrate du Massachusetts, Mme Warren est une sénatrice multimillionnaire. Sa progressivité lui a permis de poursuivre dans son poste.

On ne peut en dire de même de la charmante jeune fille amérindienne qui honore l’emballage du beurre Land O’Lakes depuis plus de quatre-vingt-dix ans. Connue sous le nom de Mia, elle a été dessinée par l’artiste amérindien Patrick DesJarlait, membre de la nation Ojibwe de Red Lake, dans le nord du Minnesota. Un communiqué publié par la société n’a mentionné aucune raison expliquant pourquoi la jeune fille a été retirée de l’emballage. Peut-on en déduire qu’elle a été révoquée à cause de flocons de neige trop sensibles ?

Mia n’est pas la seule image de longue date à être supprimée. Aunt Jemima a été décapitée par la Quaker Foods après 130 ans de service. L’entreprise envisage de renommer ses sirops et ses aliments pour le petit-déjeuner. Dans la société réveillée d’aujourd’hui, une image qui rappelle les plantations d’avant la Guerre de Sécession doit être effacée de l’espace public.

De la même manière, Uncle Ben ne sera plus le visage du riz de marque Mars. À la manière typique des réveillés, Mars a publié cette déclaration : « Nous avons la responsabilité de prendre position pour aider à mettre fin aux préjugés raciaux et aux injustices … en particulier dans la communauté noire … nous reconnaissons que le moment est venu de faire évoluer la marque d’Uncle Ben, ce qui comprend son identité visuelle de marque. »

La chaîne d’épicerie nationale Trader Joe’s a récemment été critiquée pour la dénomination « irréfléchie » de ses produits. Des étudiants de Californie ont lancé une pétition pour supprimer les noms « racistes » et les représentations ethniques de certains de leurs produits. Refusant de se prosterner devant la génération des flocons de neige, les dirigeants ont déclaré que les noms « représentent de légers efforts d’inclusion ». Pour le moment, Trader Ming’s (cuisine chinoise), Arabian Joe (cuisine du Moyen-Orient), Trader Giotto (cuisine italienne) et Trader José (cuisine mexicaine) demeureront sur les étagères.

Avec l’encouragement de ses clients, Trader Joe’s lutte contre la Culture de Révocation et dit qu’elle ne changera pas le nom de ses aliments.

Tout n’est pas perdu non plus chez Red Bull. Le PDG Dietrich Mateschitz a licencié les deux principaux dirigeants de l’Amérique du Nord, ainsi que des équipes entières de marketing qui se vouaient totalement à pousser le mensonge du racisme systémique. Reconnaissant que l’apaisement n’est jamais possible, ces guerriers de la justice sociale ont rapidement été révoqués.

L’immobilier se profile à l’horizon comme cible de la justice sociale. De nombreux agents ne listeront plus des maisons contenant une chambre « des maîtres », mais plutôt une chambre « principale » ou « première » chambre. La stigmatisation du « maître » ne sera plus imposée à une maison sans méfiance. Certains constructeurs acquiescent et ont commencé à appeler la chambre « retraite du propriétaire ». Cependant, les esclaves n’étaient-ils pas le bien de leurs « propriétaires » ? Cette tendance mourra certainement d’une mort rapide et sans douleur.

L’explosion des médias sociaux et la portée sans cesse croissante de l’Internet ont renforcé cette Culture de Révocation. Les boycotts et les manifestations peuvent être organisés en peu de temps et leur portée est énorme. Bien qu’il s’agisse d’un outil principalement utilisé par la gauche, le côté droit du spectre n’est pas sans culpabilité. On en a eu comme exemple le boycott actuel de la Ligue Nationale de Football par beaucoup de gens qui sont en colère contre les joueurs qui mettent un genou par terre lors de l’exécution de l’hymne national.

Notre pays a été fondé sur l’échange d’informations et d’idées. Il est courant d’entendre aujourd’hui des réclamations de rétribution contre une transgression perçue comme telle. Les limites se rétrécissent régulièrement. Les chrétiens qui s’appuient sur la Sainte Parole de Jésus sont également visés.

Si vous croyez comme moi que la vie commence à la conception, on vous accusera de faire la guerre aux femmes en leur refusant l’option d’avorter. Quant au mariage, les chrétiens savent qu’il s’agit d’une union entre un homme et une femme. Mais ils seront taxés à cor et à cri d’homophobie et d’intolérance.

Comment un chrétien devrait-il réagir devant cela ? La persécution est un appel à la persévérance courageuse. Dans sa lettre à Timothée, l’apôtre Paul déclare :

« Or tous ceux aussi qui veulent vivre selon la piété en Jésus-Christ, souffriront persécution. Mais les hommes méchants et séducteurs iront en empirant, séduisant, et étant séduits. Mais toi, demeure ferme dans les choses que tu as apprises, et qui t’ont été confiées, sachant de qui tu les as apprises » (2 Timothée 3:12-14).

Nous savons que notre croyance en Jésus-Christ ne sera pas populaire auprès de ceux du monde. Réconfortez-vous comme nous le dit Jésus :

« Si le monde vous hait, sachez que j’en ai été haï avant vous. Si vous eussiez été du monde, le monde aimerait ce qui serait sien ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai élus du monde, à cause de cela le monde vous hait » (Jean 15:18-19).

Cherchez la récompense de Dieu avant l’acclamation de la culture. Quant à moi et notre famille de Power of Prophecy, nous avons choisi de nous engager dans la vérité et la grâce.


Par Sandra Myers

Qu’arrivera-t-il après le trois novembre ?

« Les hommes doivent être gouvernés par Dieu, sinon ils seront gouvernés par des tyrans. »

William Penn

Fondateur de la Pennsylvanie

Je ne suis pas une apologiste de Trump, mais on ne peut ignorer l’amélioration de l’ensemble de la vie américaine au cours de sa présidence. La tentative de coup d’état de la part des « Never-Trumpers » a été contrecarrée (pour le moment), l’économie était en plein essor, le taux de chômage a connu un niveau historiquement bas, les revenus étaient en hausse, L’accession à la propriété était disponible à plus de gens que jamais. Les choses s’amélioraient pour les personnes de tous les horizons.

Cette année de 2020 est probablement l’année la plus étrange – une année charnière – de l’histoire de l’Amérique moderne. Est d’abord apparue la pandémie du coronavirus et le confinement initial pour « aplatir la courbe ». Bien entendu, cela a eu un coût économique très élevé. Nous avons eu ensuite l’étincelle George Floyd qui a déclenché de violents bouleversements sociaux et les incessantes « protestations » qui ont suivi, financées par des fondations libérales dans l’intention de détruire la culture de la liberté américaine.

Nous sommes confrontés aujourd’hui à l’élection la plus controversée que j’aie connue. En vérité, c’est une année que nous ne sommes pas près d’oublier.

Premièrement, je ne crois pas que nous aurons des résultats instantanés d’élection, cette fois. Avec les bulletins de vote par la poste et les haut-cris de fraude électorale, les résultats pourraient prendre des jours… voire des semaines et même plus longtemps.

Peu importe qui gagne…

  1. « Le vote a été truqué, » criera-t-on de l’autre côté
  2. Émeutes et pillages
  3. Si le Président Trump remporte, les émeutes et les pillages seront pires que jamais parce que les libéraux voudront faire payer tout le monde pour avoir renvoyé Trump au pouvoir.
  4. Si Joe Biden et Kamala Harris gagnent, les émeutes et les pillages prendront une tournure quelque peu festive, mais ils seront aussi une démonstration de pouvoir pour remettre les conservateurs à leur place.

Si le Président Trump et le Vice-président Pence gagnent…

  1. L’Amérique restera la priorité absolue en matière de commerce
  2. Ils encourageront les entreprises à ramener d’importantes manufactures aux États-Unis (en commençant par les médicaments et les équipements médicaux)
  3. Plans pour sortir les États-Unis de l’OTAN et de l’ONU
  4. Poursuite du mur frontalier et de la restriction de l’immigration
  5. L’Armée demeurera forte
  6. Continuité de la Force Spatiale (ce qui est important compte tenu de la capacité de la Chine à détruire des satellites dans l’espace depuis le sol)
  7. Ajout de juges plus conservateurs à la Cour Suprême, etc. Trump peut-il faire annuler la Roe vs Wade ?
  8. Le Président Trump prendra-t-il la Réserve Fédérale pour cible ? Plusieurs s’interrogent à ce sujet.

Si Joe Biden et Kamala Harris gagnent…

  1. Réduction quasi instantanée et annulation de tout ce que Trump a fait. (Rappelez-vous, ce sont des « Never Trumpers ». Peu importe si c’était une bonne chose ou à qui cela bénéficiait, tous les programmes et les idées de Trump vont partir !)
  2. Vos impôts personnels vont monter en flèche afin de soutenir tous les nouveaux programmes sociaux
  3. Voici le Green New Deal (Nouvel accord vert). Le changement climatique sera de retour au premier plan. Certains des objectifs sont de « répondre à 100 % à la demande en électricité aux États-Unis grâce à des sources d’énergie propres, renouvelables et sans émission ». Également répertoriés dans la plate-forme du GND, « des emplois garantis à des salaires plus élevés (sécurité économique) ; « le collège gratuit » ; « la sécurité sociale pour tous » (même les étrangers illégaux) ; l’assurance-maladie pour tous
  4. Davantage de criminels libérés de prison
  5. Diminution additionnelle du financement de la police
  6. Le contrôle des frontières et de l’immigration disparaîtra – ouvrez les vannes, ainsi que les gangs criminels violents. Diminution du financement de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) – (mise en application sur l’immigration et les coutumes)
  7. Une relation plus étroite avec la Chine : fermer les yeux sur les violations des droits de l’homme ainsi que sur la liberté d’expression et les limitations religieuses. Vendre n’importe quelle partie de l’Amérique ou la recherche et la technologie que veut la Chine
  8. Vos droits aux armes à feu seront sévèrement réprimés
  9. Votre liberté d’expression ne sera tolérée que si vous êtes d’accord avec la plate-forme libérale. (Rappelez-vous que le Président Obama s’est servi de l’IRS [fisc américain] pour cibler les participants au Tea Party et d’autres groupements conservateurs. Biden/Harris l’élèveront à un tout nouveau degré
  10. Vos valeurs et vos droits chrétiens conservateurs seront visés
  11. L’accès à l’avortement plus facile que jamais et financé par le gouvernement
  12. Avec Trump hors de fonction, sera-t-il oublié ou continueront-ils à le persécuter et/ou à le poursuivre ?

Se préparer à la tempête

Pas de doute, il y a une tempête à l’horizon. S’agit-il d’un gros orage ou d’un ouragan de catégorie 4 ou 5 de plus longue durée et plus dévastateur ? Compte tenu de tout ce que j’ai décrit jusqu’à présent (et j’aurais pu en ajouter tellement plus), je vais prendre des risques pour sonner l’alerte. À ce titre, je vous encourage à vous préparer à assurer votre sécurité, celle de votre famille et celle de votre maison. Je vous conseille d’avoir, au minimum, un mois (ou plus, si vous le pouvez) de réserve de médicaments, de nourriture, d’articles de toilette et d’autres produits essentiels. Il n’est pas trop tard pour acheter de la nourriture supplémentaire chaque fois que vous allez faire le magasinage (boîtes de thon, poulet, ragoûts, haricots, contenants de beurre de cacahuète, café ou thé, etc. – achetez ce que vous voulez manger). Économisez ou achetez de l’eau maintenant ; ayez une lampe de poche et des piles. Cela vous semble-t-il extrême ? Peut-être. Mais je n’aurais jamais pensé que nous verrions des élus, non seulement rester les bras croisés sans agir pour faire respecter la loi et l’ordre, mais, en fait, encourager l’anarchie. Cela me porte à croire que les choses pourraient dégénérer bien au-delà de ce que nous avons vu jusqu’à présent.

Mais avant tout, Jésus est sur Son trône

Bien sûr, le problème que confronte l’Amérique n’est finalement pas premièrement politique, ni même culturel, mais spirituel. En vérité, les derniers mois nous ont démontré qu’il y a un besoin criant de la foi en Jésus-Christ en ces temps de la fin. Les turbulences et les défis de ces derniers mois nous font réaliser qu’il n’y a que la Promesse de Dieu à laquelle nous pouvons tenir. Il ne nous quittera ni ne nous oubliera jamais. Il est toujours avec nous.

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La Vérité n’est pas notre ennemi

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2020

Par Jerry Barrett

D’Ésaïe à aujourd’hui, la vérité de Dieu ne peut pas être changée

« Que c’est ici un peuple rebelle, des enfants menteurs, des enfants qui ne veulent point écouter la Loi de l’Eternel ; qui ont dit aux Voyants ; ne voyez point ; et à ceux qui voient des visions ; ne voyez point de visions de justice, mais dites-nous des choses agréables, voyez des visions trompeuses. »

Ésaïe 30:9-10

Ceux qui souhaitent être des « dieux sur terre » ne connaissent aucune limites, comme à l’époque d’Ésaïe où les anarchistes ne voulaient pas qu’on leur dise la vérité. Étonnant de voir que les êtres humains n’aient toujours pas changé en des milliers d’années. Ils choisissent de rationaliser une situation en fonction du désir de leur cœur.

Bon nombre se forgent une nouvelle norme en se levant chaque matin, oubliant du coup le chemin qu’ils ont parcouru jusque-là. C’est ce qui leur profitera aujourd’hui qui a la plus grande importance. N’est-il pas incroyable que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament survienne encore aujourd’hui ? Dans Psaume 50:16-17, nous lisons ceci :

« Mais Dieu a dit au méchant : qu’as-tu que faire de réciter mes statuts, et de prendre mon alliance en ta bouche ; Vu que tu hais la correction, et que tu as jeté mes paroles derrière toi ? »

À cause de l’abondance de pasteurs et de paroissiens tièdes, la Parole de Dieu a été remplacée par une doctrine diluée. Joël Osteen illustre le mieux cette attitude laodicéenne. En 2012, dans une

Joël Osteen et Oprah Winfrey vantent leurs richesses et leur succès (voir Apocalypse 3:14-17).

entrevue accordée à la nouvel-âgiste Oprah Winfrey, Osteen expliqua que, puisque personne n’est totalement exempt de péché, il pense que les homosexuels seront acceptés au paradis. En 2014, dans une entrevue avec Larry King, Osteen a dit : « Nous ne sommes contre personne. Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas, donc, je ne veux tout simplement pas prêcher là-dessus, prêcher à ce sujet. »

Malheureusement, de nombreux dirigeants « chrétiens » d’aujourd’hui n’enseignent jamais l’Apocalypse. Or, dans Apocalypse 3:14-17, nous voyons :

« Ecris aussi à l’Ange de l’Eglise de Laodicée : l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la créature de Dieu, dit ces choses. Je connais tes œuvres, c’est que tu n’es ni froid, ni bouillant; ô si tu étais ou froid, ou bouillant ! Parce donc que tu es tiède, et que tu n’es ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Car tu dis : je suis riche, et je suis dans l’abondance, et je n’ai besoin de rien ; mais tu ne connais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. »

A cause du rapide déclin de l’assistance des églises chrétiennes, ne nous surprenons pas que la société se nourrisse de haine les uns contre les autres. La tolérance et la compréhension sont révolues depuis longtemps. On les a remplacées par des accusations viles et dégoûtantes.

Avec l’avènement du World Wide Web, l’Internet, on a rapidement mis la main sur des outils facilement disponibles en vue de l’amélioration présumée de l’humanité. Comme avec n’importe quel outil, il peut être utilisé pour le bien ou pour le mal. Dans la mythologie grecque, Épiméthée avait en sa possession un pot pour la bonne garde. Lorsque Pandore eut ouvert ce pot, des fléaux non spécifiés s’échappèrent dans le monde. Pandore replaça immédiatement le couvercle sur le pot, mais ce faisant, il ne lui restait plus que l’espoir.

Les êtres malfaisants emploieront tous les outils à leur disposition, et l’Internet ne fait pas exception. La population ne cessant de croître, les outils de notre destruction sont maintenant fabriqués. Facebook, Twitter, Instagram et le reste ont été créés sous apparence inoffensive pour solliciter la participation des masses. Vantés comme moyen de renouer avec des amis perdus depuis longtemps, des membres de la famille dispersés dans le pays, ou simplement pour se glorifier de ses propres réalisations, les médias sociaux se sont avérés un succès soutenu.

À mesure que de plus en plus de gens migraient vers les médias sociaux, il est rapidement apparu aux personnes qui cherchent à perturber la société et à la modeler selon leur utopie personnelle, que ce format était le parfait véhicule. Le marxisme culturel, également connu sous le vocable de rectitude politique (ce qui est politiquement correct) a été le berceau de cet état d’esprit fourvoyé. Qui plus est, la prise de contrôle socialiste de l’enseignement public et des universités étant achevée, un nouveau mouvement est né : la « justice sociale ».

Des « guerriers de la justice sociale » autoproclamés ont commencé à utiliser cette plateforme pour exécuter du changement et infliger des préjudices aux individus qui ne sont pas d’accord. Les normes sociétales ont été déplacées vers la gauche et ceux qui ne s’adaptaient pas correctement furent ciblés.

De nouveaux termes ont été créés pour dénoncer et ridiculiser « l’ancienne » faible mentalité. « Woke » (réveillé) est devenu le cri de ralliement de ceux qui s’étaient éveillés aux injustices infligées à la société, principalement perpétrées par de « vieux blancs morts » – Washington, Jefferson, Adams, Lincoln, etc.

« Révoquer la culture » est le dernier terme imposé à la société. Ceux que l’on juge avoir offensé la sensibilité des « réveillés » doivent être oblitérés comme s’ils se trouvaient dans une rivière pleine de piranhas qui se régalent de la carcasse du contrevenant. Pour la Gestapo du PC, aucun remords ne sera acceptable.

La mort récente de George Floyd a déclenché des troubles civils dans tout le pays. Des protestations de Black Lives Matter se sont transformées en émeutes où des biens ont été détruits, des entreprises ont été volées et la police est devenue la cible. Quiconque a osé dénoncer ce comportement odieux fut mis sur la liste des « oblitérés ».

Voici quelques-uns de ceux qui ont été expulsés :

  • James Bennet était le rédacteur en chef de la page éditoriale du New York Times. M. Bennet publia une lettre ouverte du sénateur Tom Cotton (R-AR) qui en appelait de l’armée américaine pour qu’elle réprime « l’orgie de violence » dans les villes américaines. Des membres du personnel, irrités, ont exigé des mesures menant à la démission forcée de M. Bennet.
  • Le principal rédacteur du Philadelphia Inquirer, Stan Wischnowski, fut contraint de démissionner après avoir publié un titre disant : « Buildings Matter, Too » (Les bâtiments comptent aussi).
  • La personnalité de la télévision canadienne Jessica Mulroney a été accusée par un blogueur d’avoir démontré son « privilège blanc », et son émission a donc été annulée.
  • Le fondateur et propriétaire de The Phantom Gourmet, Dave Adelman, a été forcé de démissionner après s’être moqué des manifestations anti-policières. M. Adelman avait suggéré aux détaillants de Boston d’offrir le « pillage de trottoir, sans contact ».
  • Benji Backer s’est vu annuler un engagement à prendre la parole parce qu’il avait tweeté qu’il y avait un lien entre le Covid-19 et la Chine.
  • Tiffany Riley, directrice d’école publique au Vermont, a été évincée après avoir publié sur les réseaux sociaux : « Je ne pense pas que les gens devraient se sentir obligés de choisir la race noire plutôt que la race humaine. »

James Bennet, Dave Adelman et Tiffany Riley ont tous été visés par la culture d’annulation. La liberté d’expression ne s’applique pas à eux. Vont-ils céder, s’incliner devant leurs nouveaux maîtres et s’excuser ?

Ce ne sont là que quelques victimes de la « Révocation de la culture ». Si on est enclin à le faire, l’on peut passer des heures et des heures à documenter chaque exemple ridicule. Ces « révocations » ne provoquent-elles pas une réflexion sur ce qui s’est passé en Russie bolchevique ?

La Vérité est une arme puissante

La tolérance les uns envers les autres a disparu. Nous ne pouvons plus coexister avec ceux avec qui nous sommes en désaccord. Malheureusement, les paroles de l’apôtre Paul n’arrivent pas à apaiser les foules « réveillées » :

« Christ devient inutile à l’égard de vous tous qui voulez être justifiés par la Loi ; et vous êtes déchus de la grâce. Mais pour nous, nous espérons par l’esprit d’être justifiés par la foi … Je m’assure de vous en notre Seigneur, que vous n’aurez point d’autre sentiment ; mais celui qui vous trouble en portera la condamnation, quel qu’il soit … Car, mes frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne prenez pas une telle liberté pour une occasion de vivre selon la chair ; mais servez-vous l’un l’autre avec charité. Car toute la Loi est accomplie dans cette seule parole : tu aimeras ton Prochain comme toi-même » (Galates 5:4-14).

Aujourd’hui, les pasteurs de Laodicée font la promotion d’une grâce au rabais qui ne peut pas libérer les pécheurs du péché parce qu’il n’y a pas de repentance. Par la grâce de Dieu, les vrais croyants sont transformés. L’apôtre Jean nous dit : « Et la Parole a été faite chair, elle a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, qui a été une gloire, comme la gloire du Fils unique du Père, pleine de grâce et de vérité … Car la Loi a été donnée par Moïse ; la grâce et la vérité est venue par Jésus-Christ » (Jean 1:14-17).

Jésus a dit aux Juifs qui croyaient en Lui que, s’ils persévéraient dans Sa Parole, ils seraient Ses disciples. Jésus a dit : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 6:32). En tant que Ses disciples, nous devons continuer à faire briller la lumière de la vérité dans nos communautés. Car en accomplissant ce devoir, nous l’aurons fait !


Par Michelle Hallmark Powell

La Guerre contre la loi et l’ordre

On pense que la police est un concept relativement nouveau. Mais si nous nous tournons vers la Bible, elle parle de gens soumis à une autorité supérieure, comme les magistrats (Tite 3:1-2), les rois (1 Pierre 2:13-17) et les chefs d’état (Romains 13:1-14). Or, en tant que chrétiens, nous savons tous que Jésus-Christ est la plus haute autorité, mais Il a respecté la loi tout au long de Sa vie.

Comme l’humanité ne semble pas en mesure de se policer elle-même, la version moderne de la « police » s’avère une nécessité.

La définition de Police est :

« La force civile d’un gouvernement national ou local, chargée de la prévention et de la détection de la criminalité et du maintien de l’ordre public. »

La première force de police financée par l’état avec des agents en service à plein temps aux États-Unis a été créée à Boston en 1838. Parce que Boston était un grand centre d’expédition, les entreprises avaient embauché des gens pour protéger leurs biens et assurer le transport de leurs marchandises vers d’autres endroits. Avant la police, il appartenait à l’individu de se protéger lui-même ou d’engager des personnes pour ce faire. Quiconque ayant quelque moyen et devant parcourir les routes risquait de tomber sur des bandits de grand chemin. Ils avaient du personnel ménager pour assurer leur protection ou, pour les très fortunés, ils engageaient des mercenaires – la plupart du temps d’anciens soldats. Au fur et à mesure que le capitalisme se développait en Amérique, la nécessité de protéger votre entreprise, votre famille et votre personne devint l’une des principales raisons pour lesquelles la police fut mise en place.

À l’heure actuelle, tous les pays ont une sorte de système d’application de la loi parrainé par le gouvernement, que ce soit la police ou l’armée. Aujourd’hui comme alors, le rôle de la police est de protéger la société contre les scélérats prédateurs. Les gens ont besoin de protection et c’est pourquoi nous habilitons la police à former une barrière entre « eux » et « nous ».

La police : notre seule défense contre eux et le règne de la foule

Alors, que signifie réellement le « règne de la foule » ? Selon Wikipédia, c’est :

« Le contrôle d’une situation politique en dehors du domaine conventionnel ou légal, impliquant généralement la violence et l’intimidation. »

Or, regardons ce qui se passe dans nos chers États-Unis. Il y a un petit contingent qui veut abolir la police. Les contestataires (je les appelle des anarchistes) ont pris le contrôle du quartier Capitol Hill de Seattle. La mairesse, Jenny Durkan, a dit à la police d’abandonner l’arrondissement est et de laisser les manifestants posséder leur territoire. Le gouvernement local et les supporteurs des contestataires ont dit qu’il s’agissait en quelque sorte d’un camp d’été socialiste. Des soirées cinéma sous les étoiles, de la nourriture gratuite, de l’amour et de la paix, une grande fête de quartier – et pas de police.

La police partie, les manifestants ont pris le relais. Ils ont érigé des barrières, des bâtiments peints à la bombe aérosol dans tout le secteur et un nombre incalculable de vols, de viols et de meurtres ont eu lieu. Ils ont nommé la zone CHAZ (Capital Hill Autonomous Zone – « Zone autonome de Capital Hill »). Plus tard, ils l’ont renommée CHOP (Capital Hill Occupation Protest – « Manifestation d’occupation de Capital Hill »).

Enfin, après que la violence ait tourné au tragique avec la mort de deux adolescents, la mairesse Durkan a autorisé la police à démolir les barricades et à éloigner les manifestants. La mairesse a dû comprendre que le règne de la foule est pire que la protection de la police après que cette foule ait fait irruption dans son quartier et ait protesté devant son manoir.

Tout pays de taille un tant soit peu importante et dépourvu de police l’inventerait assez rapidement, merci, ou quelque chose de très similaire. La majorité des gens aux États-Unis préfèrent l’ordre au désordre et veulent des lois qui les protègent, eux et leurs biens. Cela nécessite quelqu’un qui soit prêt à appliquer des lois et cela signifie, bien sûr, une quelconque police.

Il aura fallu la mort de deux adolescents et la foule se présentant dans le quartier de la mairesse Durkan pour démanteler la Zone CHOP.

Donc, un pays sans police serait contrôlé par des lyncheurs. Nous devons conserver notre police parce que même les pires policiers de l’Amérique moderne font preuve de plus de respect envers les procédures d’application de la loi et les droits de l’accusé qu’une bande de lyncheurs peut en démontrer. Comme en font preuve les événements récents, une foule de lyncheurs ne serait pas contrainte par la Constitution. Évidemment, vous risqueriez beaucoup plus d’être lynché si une rumeur – vraie ou fausse – circulerait à l’effet que vous avez commis un méfait. Ils vous pendraient d’abord et poseraient des questions ensuite.

Nous devons soutenir notre police locale et nationale afin de nous assurer que notre pays et nos droits soient protégés et que la loi et l’ordre prévalent.




Faire de l’argent sur le dos des victimes est chose détestable

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2020

        Jerry Barrett

« Dieu hait ces six choses, et même sept lui sont en abomination ; savoir, les yeux hautains, la fausse langue, les mains qui répandent le sang innocent ; le cœur qui machine de mauvais desseins ; les pieds qui se hâtent pour courir au mal ; le faux témoin qui profère des mensonges ; et celui qui sème des querelles entre les frères. »

Proverbes 6:16-19

Cash Over Victims Is Detestable

De nombreuses vérités ont été mises en lumière à la suite de la plandémie connue sous le nom de Covid-19. Par exemple, cette vérité choquante que les hôpitaux ont reçu treize mille dollars pour chaque patient identifié comme un malade du Covid. De plus, si on mettait le patient sous un ventilateur, la prime était augmentée à trente-neuf mille dollars. Révélation étonnante, n’est-ce pas ?

Sans blague : Les hôpitaux étiquettent-ils les décès non liés comme des décès dus au Covid-19, et l’utilisation d’un ventilateur juste pour réclamer plus d’argent du gouvernement ?

Depuis des lunes, les administrateurs d’hôpitaux crient au loup au sujet des dépenses toujours croissantes rencontrées lors du traitement de ceux qui n’ont pas d’assurance ou sont privés des fonds nécessaires pour payer. Ces administrateurs ont été régulièrement fustigés par le grand public pour avoir facturé 4 $ par comprimé d’ibuprofène donné à un patient. Mais aucune protestation publique n’a été notée en regard de la manne financière ci-mentionnée et que chaque patient amenait à l’hôpital.

Bien que la mort de milliers d’amis, de membres de la famille et de voisins ne soit pas sujet à rire, la propension des reportages à parler de cette plandémie, le tout amplifié par les ordres tyranniques des gouvernements à « se confiner sur place », a atteint le point de saturation. Il semble que ce soit devenu la grosse blague au sein de la population. De nombreuses blagues rebondissent sur Internet via les courriels, comme celles-ci au titre ridicule : « Un surfeur attaqué par un requin… meurt du Covid » ; « Daredevil saute d’un avion sans parachute… et meurt du Covid ». Le choix est abondant.

Malfaiteurs en position de pouvoir

En tant que pays, nous sommes un peuple résilient. Quand la vie nous offre des citrons, nous en faisons de la limonade. Comme chrétiens, nous savons que Jésus a le contrôle. Lors même que nous poursuivons notre mission, Son joug s’avère léger. Cela ne signifie cependant pas que nous ne soyons pas affectés par les actions des malfaiteurs. Il y a de nombreuses victimes innocentes dont la vie est changée à jamais.

Prenons comme exemple le nombre astronomique de décès survenus à New York. En février et en mars, le maire de New York, Bill de Blasio, et son haut responsable à la santé, Oxiris Barbot, ont dit aux habitants de continuer à prendre le métro, à assister aux défilés et à profiter de la vie nocturne de la ville.

Dans un tweet du 2 février, Barbot a déclaré : « Alors que nous nous préparons à célébrer le #LunarNewYear à New York, je tiens à assurer aux New Yorkais qu’il n’y a aucune raison pour quiconque de modifier ses plans de vacances, d’éviter le métro ou certaines parties de la ville à cause du #coronavirus. » Elle a réitéré : « Je veux être claire. Il s’agit d’un virus, pas d’un groupe de gens. Il n’y a AUCUNE excuse pour personne qui veut discriminer ou stigmatiser des gens d’origine asiatique. Nous sommes ici aujourd’hui pour exhorter tous les New Yorkais à continuer de vivre leur vie comme d’habitude. » Elle faisait référence au défilé dans le quartier chinois pour célébrer le nouvel an chinois.

Des pertes de mémoire à court terme affectent les politiciens

Lors d’une interview sur MSNBC, le 10 février, le maire de Blasio a déclaré : « Si vous avez moins de 50 ans et que vous êtes en bonne santé, ce qui est le cas de la plupart des New Yorkais, la menace est minime, ici. Même si vous l’attrapez, cette maladie agit essentiellement comme un rhume ou une grippe. Et la transmission n’est pas simple. » Le 2 mars, lors d’une conférence de presse avec le gouverneur Andrew Cuomo, de Blasio a déclaré : « Nous avons maintenant beaucoup d’informations, des informations qui nous montrent, en fait., des éléments qui devraient nous donner raison de rester calmes et de vaquer à nos occupations. »

Deux semaines plus tard, de Blasio fustigeait le Président Donald Trump et la réaction de son administration face au virus. Dans une entrevue du 14 mars sur MSNBC, de Blasio déclara : « Il s’agit d’une situation de guerre. Nous vivons un scénario de guerre et le gouvernement fédéral prend une attitude d’obstruction. »

Les politiciens doivent souffrir de pertes de mémoire à court terme, car il y a au moins cinq cas distincts où de Blasio et sa responsable de la santé ont minimisé publiquement la gravité du virus. On a également oublié les mesures prises le 31 janvier par l’administration Trump pour restreindre les voyages de la Chine aux États-Unis. Certains voyageurs américains qui avaient visité la Chine récemment ont été placés en quarantaine pendant quatorze jours et l’on a déclaré l’urgence en santé publique.

Des personnes âgées reçoivent des sentences de mort

Le gouverneur Andrew Cuomo est un autre des principaux acteurs des ravages qui se sont répandus dans l’État de New York. À ce jour, on a recensé près de 380 000 cas de Covid-19 dans l’État de New York, dont 30 000 décès. Ces chiffres dépassent de loin tout autre État de l’Union.

Bien que nous ne puissions pas déterminer positivement le nombre réel de décès dus à cette plandémie, nous pouvons affirmer sans équivoque que les mesures mises en œuvre sous l’administration Cuomo ont considérablement exacerbé le nombre de décès dans les maisons de soins infirmiers. Le 25 mars 2020, une directive du commissaire à la santé de New York, Howard Zucker, la sous-commissaire exécutive Sally Dreslin et le gouverneur Cuomo a été publiée sous le titre de « Sorties d’hôpitaux et admissions dans les maisons de soins infirmiers ». Dans cette directive, on déclare : « Aucun résident ne se verra refuser la réadmission ou l’admission aux Soins Infirmiers uniquement sur la base d’un diagnostic confirmé ou suspecté de Covid-19. Il est interdit aux Soins Infirmiers de demander à un résident hospitalisé et déterminé médicalement stable de subir un test de dépistage du Covid-19 avant son admission ou sa réadmission. »

Cette directive a entraîné la mort de 5 300 patients dans les maisons de soins infirmiers de l’État de New York. Mais attendez, il y a plus !

Dans un article convaincant écrit par Yaacov Apelbaum et publié sur son blog (https://abelbaum.wordpress.com/2020/05/25/jaccuse/), on fournit des preuves encore plus incriminantes. Il y a une traînée d’argent derrière les directives émises par le gouverneur Andrew Cuomo :

Apelbaum écrit :

« En 2018, alors que le gouverneur Andrew Cuomo était confronté à une contestation de sa candidature à la réélection dans la primaire démocrate de l’État de New York, il a obtenu une infusion en espèces de dernière minute d’un million de dollars de la General New York Hospital Association (GNYHA) – un puissant groupe de l’industrie de la santé à New York. Le 2 avril 2020, il a remboursé la faveur en signant discrètement une loi protégeant les dirigeants des hôpitaux et des maisons de soins infirmiers de toute poursuite découlant de l’épidémie de Covid-19. Les clauses insérées dans le projet de loi de finances annuelles accordaient une protection immunitaire globales aux dirigeants et administrateurs du secteur des soins de santé, les mêmes personnes et les mêmes institutions qui ont fait fortune en déplaçant les patients malades de Covid-19 des hôpitaux vers les maisons de soins infirmiers. »

Apelbaum poursuit :

« La législation de Cuomo sur l’immunité juridique ne s’est pas produite dans le vide. Il s’avère que la GNYHA a donné au comité démocrate de l’État de New York de Cuomo des sommes importantes qui ont été déposées dans le compte de gestion de son parti et utilisées pour financer sa réélection. L’argent a notamment été utilisé pour acheter des publicités télévisées pour soutenir son budget et son lancement proposés, son programme anti-armes à feu et sa campagne de 2018. »

Des résidents de maisons de soins infirmiers de New York ont été condamnés à mort.

Le résultat final de ces manigances, c’est que les centres pour personnes âgées de New York ont fait des millions de dollars, Cuomo et les démocrates de New York ont enrichi leurs coffres et la parenté de milliers de New Yorkais décédés est laissée pour compte.

Big Pharma a le contrôle

Ce type de chicane existe au sein de notre gouvernement depuis des décennies. En 1986, Ronald Reagan a signé la Loi Nationale sur les Blessures par Vaccins sur les Enfants. Cette loi créa un programme spécial visant à gérer les différends dans le but d’assurer un approvisionnement stable des vaccins tout en protégeant les entreprises de la plupart des poursuites. Cette Loi annule complètement la responsabilité de l’industrie en ce qui concerne les préjudices physiques causés par les vaccins et l’on peut considérer que le gouvernement accorde à Big Pharma une immunité économique sans précédent et carte blanche en ce qui regarde les préjudices physiques causés par les vaccins.

Dans mon Bulletin de février 2019 de Power of Prophecy, Big Pharma contrôle-t-il l’Amérique ?, j’ai remarqué que les enfants d’Amérique reçoivent soixante-douze vaccins avant l’âge de dix-huit ans. En 1962, le total était de cinq ! J’ai également signalé que l’autisme a grimpé d’un cas sur deux mille cinq cent à un cas sur quarante aujourd’hui.

Élitiste aux grandes idées de réduction de la population grâce aux vaccinations obligatoires dans le monde entier, Bill Gates a rencontré le Président Trump à plusieurs reprises pour décourager son désir de faire des recherches sur les effets néfastes des vaccins. Le contrôle de Gates sur la vaccination en Inde a mené à la paralysie de plus de 490 000 enfants.

Dans sa lettre à Timothée, l’apôtre Paul nous a parlé de ceux qui chérissent la richesse au détriment de la bonté. Lisez ses paroles profondes, chers amis. Paul a écrit : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. Mais toi, homme de Dieu ! fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur » (1 Timothée 6:9-11).


Neuf manières par lesquelles la Chine contrôle l’Amérique

Par Sandra Myers

« Le riche dominera sur les pauvres ; et celui qui emprunte, sera serviteur de l’homme qui prête. »

Proverbes 22:7

« L’art suprême de la guerre, c’est de maîtriser l’ennemi sans combattre. »

Sun Tzu, L’Art de la guerre

La Chine œuvre avec acharnement à la conquête des États-Unis par l’intérieur. Comprenez que, lorsque l’on entretient des affaires avec un pays communiste, la personne ou l’entreprise court toujours le risque que le gouvernement communiste retire son autorisation, puis accède et même usurpe l’existence de la compagnie en Chine. Celle-ci exerce son pouvoir avec un gant de fer.

S’il vous plaît, sachez que je ne rechigne pas à ce que le travailleur chinois gagne sa vie. Et j’aimerais assurément voir davantage de liberté et de respect des droits humains en Chine. Cet article cible l’État chinois. La machine chinoise n’a que peu de considération pour la vie de ses propres citoyens.

  1. Produits médicaux : Michelle a couvert ce sujet dans son excellent article du Bulletin de mai de Power of Prophecy. La Chine a fait en grande partie avec la médecine (et la fabrication en général) ce qu’elle a fait avec l’acier : en répandre des quantités excessives sur le marché, faire baisser les prix et forcer la concurrence américaine à fermer ou à vendre, et à devenir ainsi le principal fournisseur exclusif. La dernière usine américaine à fabriquer de la pénicilline a fermé ses portes en 2004. Grâce à ce pouvoir, la Chine a récemment sous-entendu qu’elle pourrait retenir ses antibiotiques si elle le désirait.
  2. Fabrication : De nombreuses marques populaires ont abandonné la fabrication de leur stock, en partie ou entièrement, à la Chine : Apple/iPhone, Samsonite, Johnson & Johnson Bandaids, Fossil, Lululemon, Victoria’s Secret, LL Bean, Levi Strauss, New Balance, Radio Flyer, American Girl Dolls, Ray Ben, Nike, Adidas, et mêmes de nombreux designers européens ont transféré leur production en Chine. La Chine a maintenant réglé ses sites plus haut : Made in China 2025. En mai 2015, la Chine a mis en œuvre un plan en vue de cesser d’être « l’usine mondiale » de production de biens bon marché et passer à la production de biens et services de plus grande valeur, comme l’aérospatiale, les semi-conducteurs, la biomédecine et autres technologies de pointe afin d’obtenir l’indépendance face aux fournisseurs étrangers concernant ces produits.
  3. Trésor américain : Les gouvernements étrangers détiennent environ un tiers des dettes des États-Unis. En janvier 2020, la Chine était l’investisseur étranger no 2 de la dette étrangère américaine, détenant 1,1 trillions $ de bons du Trésor américain (le Japon est no 1 avec 1,27 trillions $). La Chine achète des bons du Trésor américain afin de contribuer à la dépréciation de sa propre monnaie, ce qui fait en sorte que ses exportations s’avèrent moins chères et sont donc plus attrayantes pour les consommateurs américains.
  4. Immobilier : La Chine achète des terres agricoles, des hôtels, des immeubles à bureaux, d’autres bâtiments commerciaux et même des propriétés résidentielles. Mais ce qui est encore plus gros, c’est que, sous Obama, Hong Kong (Chine) eut le contrôle du terminal maritime de Long Beach, en Californie, l’un des plus gros terminaux maritimes des États-Unis (Trump a forcé la Chine a vendre). En février 2018, la Chine a également tenté, via une société écran, d’acheter la Bourse de Chicago, vieille de 136 ans, Après avoir donné son accord initial, la Bourse de Chicago a été contrainte de bloquer la vente sous le Président Trump.
  5. Les politiciens : (ou leurs amis et leurs familles) ont vendu leur âme à la Chine pour avoir l’opportunité de réaliser leurs rêves financiers les plus fous : Hunter Biden, fils de Joe Biden ; John Boehner, ancien président de la Chambre ; Charles Boustany, ancien représentant américain de la Louisiane ; David Firestein, diplomate américain, principalement pour les relations avec la Chine ; Mike Holtzman, conseiller spécial auprès de Bill Clinton ; Andy Purdy, ancien stratège de la cybersécurité sous George W. Bush ; James Wolfenstein, anciennement de la Banque Mondiale et tant d’autres. Certains sont enregistrés comme « agents étrangers ».
  6. Les grosses affaires : Vendues pour obtenir une part du marché chinois. Cependant, en vendant tout à la Chine, de nombreuses entreprises internationales se plaignent que la Chine leur a

    Votre nourriture est-elle importée de Chine ?
    Tilapia : 80 % de l’approvisionnement américain ; Morue : 50 % de l’approvisionnement américain ; dans les deux cas, les réservoirs des fermes monstrueusement pleins à craquer de poissons sont pollués de mercure, de plomb et d’antibiotiques. Bœuf : du porc séché vendu comme du bœuf ; Jus de pomme : 50 % de l’approvisionnement américain ; Ail : 31 % vient de Chine (produits chimiques toxiques et pesticides) ; Poulet : approuvé pour la vente aux États-Unis en 2013, la Chine est un pays où la grippe aviaire et la maladie transmise par la nourriture sont chose commune. Thé : (29 produits chimiques toxiques) ; Lait : (Contient parfois de la mélamine – un produit chimique qui cause de sérieux problèmes aux reins) ; FAUSSE NOURRITURE : Riz : (Riz de plastique – fait de résine et de fécule de patate) ; Poivre noir : (parfois de la boue mise en boule) ; Sel de table : (Du vrai sel industriel, impropre à la consommation humaine et peut causer de sérieux problèmes de thyroïde) ; Pois verts : (faux) ; Œufs : (faux, pour vrai !) ; Agneau : (peut-être de la viande de rat) ; Huile d’olive : Une grosse compagnie alimentaire de Chine a décidé de recycler la vieille huile d’olive de milliers de restaurants, de la filtrer et de la revendre ensuite.

    forcé la main pour qu’elles lui remettent des secrets commerciaux en échange d’un accès au marché. Dans certains secteurs, Pékin ne permettra aux firmes étrangères d’opérer que par le biais de coentreprises où les partenaires chinois détiennent la majorité du capital, tenant ces entreprises en otage face aux exigences de la Chine communiste.

  7. Votre nourriture vient-elle de Chine ? : La liste de droite est un petit échantillon des importations alimentaires américaines en provenance de la Chine. Les pratiques industrielles, agricoles et de production alimentaire en Chine sont, au mieux, mal réglementées. Vous faites vos achats dans les magasins d’aliments sains ? Whole Foods (Jeff Bezos / Amazon) défend l’importation de certains aliments de Chine, tandis que Trader Joe’s s’engage à ne pas stocker d’aliments importés chinois.
  8. Enseignement supérieur : La Chine fait don de milliards de dollars à 87 écoles, dont l’Institut de Technologie de la Californie, l’Université de Columbia, l’Institut de Technologie de la Géorgie, l’Institut de Technologie du Massachusetts, les Instituts de Technologie de New York et du New Jersey, et Harvard, Princeton et Yale. Pourquoi donner autant à l’enseignement supérieur américain ? La Chine est en train de créer des Instituts Confucius – dont le but est de servir de base à la guerre idéologique en pervertissant la vision des étudiants américains.
  9. Position tyrannique de la Chine : Guerre de l’espace, missiles de destruction de satellites, menace nucléaire, lasers et cyberattaques. Renseignements, espionnage, vols high-techs des secrets de la technologie et de la sécurité nationale américaines. Les États-Unis n’avaient pas engagé de poursuites en matière de sécurité depuis plus de trente ans. En septembre 2019, sous le Président Trump, on a entamé des poursuites dans trois cas d’opérations de vol de technologie – de sous-traitants américains de la Défense au cyber-piratage et à l’espionnage économique (pour avoir ciblé des secrets d’avions commerciaux à moteurs à réaction). La Chine peut également employer sa dominance mondiale dans les minerais précieux de la terre.

QUE POUVEZ-VOUS FAIRE ?

Premièrement, pour notre propre bien, faisons pression sur nos politiciens et nos sociétés pour ramener la fabrication de première nécessité aux États-Unis. Les antibiotiques, les analgésiques et autres médicaments vitaux et les équipements médicaux devraient figurer en tête de liste. Deuxièmement, tenons responsables nos politiciens, nos entreprises, nos investisseurs en capital et nos comités d’action politique pour leurs courbettes devant la Chine. Ils devraient bloquer les Chinois et la possession chinoise de sociétés écrans d’organisation ou de produit liés à la sécurité nationale, ou à la santé et au bien-être. Troisièmement, lisez les étiquettes et achetez américain (quand vous le pouvez). Sinon, achetez des produits de fabrication autre que chinoise (lorsque vous le pouvez). Il existe de nombreux sites Internet qui répertorient les articles ou les marques qui sont encore fabriqués aux États-Unis. Quatrièmement, faites affaires avec les magasins Mom-and-Pop locaux. Que retentisse la liberté !