L’attaque progressive contre les croyances chrétiennes

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2019

Par Jerry Barrett

« Or l’Eternel Dieu avait formé l’homme de la poudre de la terre … Il n’est pas bon que l’homme soit seul … et Dieu prit une de ses côtes … Et l’Eternel Dieu fit une femme de la côte qu’il avait prise d’Adam, et la fit venir vers Adam. Alors Adam dit : A cette fois celle-ci est os de mes os, et chair de ma chair ; on la nommera hommesse, parce qu’elle a été prise de l’homme. »

(Genèse 2:7, 18, 21-23)

Nous sommes tous nés chacun d’une femme, et notre genre est déterminé par nos parties génitales. D’après la Parole de Dieu, il n’y a que deux genres – l’homme et la femme. Dans la société d’aujourd’hui, ils sont un grand nombre à promouvoir la multiplicité des genres afin de justifier leur mentalité pervertie. Par exemple, la Ville de New York reconnaît trente et une identités de genre. Est-ce étonnant que cet endroit se nomme également Babylone ?

Célébration de la débauche

Qu’est-ce qui a conduit l’Amérique à prendre le chemin de la destruction ? N’avons-nous donc rien appris de Sodome et de Gomorrhe ? Apparemment pas. L’endoctrinement de notre jeunesse vers l’acceptation de l’homosexualité s’est intensifié au cours des récentes décennies. On célèbre la débauche dans toute sa vaine gloire.

De même des soi-disant chrétiens tièdes qui remplissent nos églises et nos chaires, et qui enseignent aux futurs pasteurs à ne pas croire à ce que la Bible dit. Les doctrines de l’homme ont supplanté les principes de la foi chrétienne biblique. Jésus nous a avertis contre ces hommes : « Or gardez-vous des faux Prophètes, qui viennent à vous en habit de brebis, mais qui au-dedans sont des loups ravissants » (Matthieu 7:15).

Beaucoup de gens sont devenus la proie de ces faux enseignants. Serviteurs de Satan, ils sont habiles dans l’art de la tromperie. Ils masquent leurs mensonges sous un air d’autorité religieuse, et leur malin évangile derrière un voile de vérité. Ils tordent et déforment Sa Parole par des traditions d’homme.

Cédez-leur un pouce…

Lorsque la Cour Suprême a jugé que les personnes de même sexe pouvaient se marier, les portes de la licence se sont tout grand ouvertes. Ce fut la préface des attaques contre l’identité de genre traditionnelle, de la masculinité et de l’équilibre de la nature.

Cette décision a également donné un coup de pouce à ceux qui appartiennent au mouvement LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres). Le vieil adage disant « cédez-leur un pouce et ils prendront un pied » est ici fort approprié.

Menace nette contre le christianisme

La porte-parole de la Maison Blanche, Nancy Pelosi, présente la Loi sur l’Égalité destinée à assurer la large protection des droits… pour tous les Américains LGBT.

Récemment montés au pouvoir à la Chambre des Représentants, ces démocrates progressifs, conduits par Nancy Pelosi, ont produit un nouveau projet de loi intitulé « la Loi sur l’Égalité ». Cette Loi donnera à la communauté LGBT une reconnaissance attendue depuis longtemps et la validation de leur progrès.

Ce projet de loi va amender la Loi des droits civils de 1964 pour y inclure l’orientation sexuelle et l’identité de genre en tant que classe protégée au niveau fédéral. Bien que cela semble inoffensif aux yeux de la moyenne des personnes, on devrait le considérer comme une menace nette contre le christianisme traditionnel. Nos libertés religieuses ont la tête sur le billot.

Cette Loi bannira la discrimination fondée sur la sexualité ou l’identification de genre aux endroits suivants : un stade ou tout autre établissement fournissant du divertissement, de la récréation ou de l’exercice ; tout établissement fournissant des biens et services, y compris un magasin, un centre d’achat, un détaillant en ligne, un centre de soin, un refuge, un salon funéraire ; ou tous les trains, autobus, taxis, avions ou autres services de transport. Ce n’est qu’un aperçu de la multitude de gens qui seront affectés par cette loi odieuse.

Plus important encore, cette loi niera toute défense mettant au défi ce mode de protection en se basant sur la Loi sur la restauration de la liberté de religion de 1993. Par sa nature, la Loi sur l’Égalité annulera les protections de la liberté religieuse fédérale et étatique. Essentiellement, cette loi pourrait, par interprétation de la cour, forcer les églises chrétiennes à officier des mariages de même sexe.

Les dictats gouvernementaux des normes sociétales

Il se pourrait bien que le précurseur de tout ce drame ait été exposé dans un projet de loi inoffensif présenté au début des années 1970. Faisant partie des Amendements de l’Éducation de 1972, le Titre IX était une loi de droits civiles permettant que : « Nulle personne aux États-Unis ne sera exclue de participation, en fonction de son sexe, privée de bénéfices, ou sujette à discrimination sous aucun programme d’éducation ou activité recevant une assistance financière fédérale. »

Pendant l’administration Obama, l’avancement de l’agenda LGBT occupa le devant de la scène. Le Département de l’Éducation et le Département de la Justice de son administration émirent une lettre comprenant un guide pour les écoles concernant la protection des droits civils des étudiants transgenres sous le Titre IX. Appelée familièrement la « loi des toilettes », la lettre expliquait les directives fédérales sur l’utilisation des toilettes et définissait l’identité de genre, le sexe assigné à la naissance, le transgenre et la transition de genre.

Le Président Obama enflamma la Maison Blanche par le mariage de même sexe.

De plus, cette lettre contenait des directives qui interdisaient de forcer un étudiant à employer des installations en inadéquation avec son identité de genre et que les écoliers transgenres ne devaient pas subir de ségrégation des autres dans les dortoirs et les vestiaires. « Inclusion » est le terme accrocheur devenu courant dans cette discussion.

Toutefois, cela ouvre les portes aux prédateurs qui abuseront de cette politique. Il y a eu de nombreux cas où une personne déviante, se faisant passer pour une femme transgenre, s’est fait arrêter pour avoir espionné des femmes et des jeunes filles. Les toilettes de la chaîne de magasins Target furent un des terrains de jeux de ces prédateurs.

La sécurité des femmes est-elle menacée ?

La Loi sur l’Égalité sera une menace contre la sécurité des femmes dans les refuges, de même que dans les vestiaires et les toilettes. Le projet de loi déclare catégoriquement : « aucun individu ne pourra être interdit d’accès à une installation partagée, ce qui comprend un dortoir, un vestiaire, une cabine d’essayage, qui s’accordent avec l’identité de genre de l’individu. »

Dans des amendements précédents à la Constitution, le terme « sexe » s’appliquait aux droits des femmes, même si le terme « égalité » voulait dire que les hommes et les femmes devaient être traités de manière égale. Aujourd’hui, l’on juge que le terme « sexe » inclut l’orientation sexuelle et l’identité de genre. Cela va effectivement annuler la protection des femmes dans les espaces séparés des hommes.

Avec cette pièce législative, qu’est-ce qui empêcherait un homme – déclarant s’identifier aux femmes – d’y pénétrer et d’abuser les résidentes actuelles ? La réponse toute simple, c’est… rien. Pourquoi n’y a-t-il aucun cri d’alarme concernant cette question de la part des organismes qui proclament être les défenseurs des femmes ?

Le genre n’est pas scientifique

Une porte-parole dans une vidéo de Teen Vogue nous assure que le genre n’a rien à voir avec les chromosomes ou l’appareil génital avec lequel une personne est née.

La propagande que l’on force nos enfants à avaler dans les écoles publiques s’est étendue aux publications libérales progressives comme le magazine Teen Vogue. Ce dernier vise les adolescentes et défend les politiques de gauche depuis des années.

Dans le but de sembler scientifique, Teen Vogue a déclaré que l’idée que le corps soit mâle ou femelle est erronée. Les éditeurs ont publié une vidéo mettant en vedette un groupe d’orateurs qui disent aux adolescents que les rôles traditionnels de genre ne sont pas scientifiques.

Dans un segment de cette vidéo, produite par Teen Vogue, l’on fait cette déclaration ridicule : « Nous possédons tous des caractéristiques qui sont typiquement mâles et typiquement femelles, et c’est vraiment par choix politique, par facteurs sociaux et par choix idéologiques si nous donnons une signification aux différentes parties de notre corps. »

Soutien parental dans la transition de genre

Mais l’assaut contre notre jeunesse ne se confine pas aux écoles et aux torchons de propagande. De soi-disant experts en santé mentale disent aux parents qu’il est dangereux de remettre en question les croyances d’un enfant à propos de son genre. En outre, on instruit les parents à soutenir la transition de l’enfant en y incluant une thérapie hormonale. De plus, dans plusieurs états, c’est maintenant devenu illégal de questionner l’identité de genre d’un enfant.

Un nouveau drapeau « genre fluide/pansexuel » a été conçu.

Malheureusement, ces traitements hormonaux influencent le développement cérébral et la santé cardio-vasculaire, et peuvent mener à un accroissement des risques de cancer. De nombreux adolescents ayant fait une transition de genre sont devenus suicidaires.

Qu’arrive-t-il au modèle masculin ?

Qu’est-il arrivé au mâle dominant, chef du foyer ? Proverbes 13:1 l’explique : « L’enfant sage écoute l’instruction de son père, mais le moqueur n’écoute point la répréhension. »

Le genre mâle qui exhibe la masculinité traditionnelle est maintenant qualifié de toxique. Il n’est plus acceptable dans la société éclairée qu’un homme soit dur, fort et affirmé.

Depuis l’explosion du mouvement féministe du début des années 1970, le chef de file mâle est devenu persona non grata. La poursuite de l’accomplissement et du statut, de la force et du déploiement de masculinité n’est plus tolérée dans la société moderne d’aujourd’hui.

En ce déclin continu de la société, on cible les hommes pour qu’ils changent, et plusieurs succombent aux normes sociétales mises en place par les féministes. Les hommes ne sont plus les chasseurs-rassembleurs qui protègent leurs familles de la mort ; on leur donne maintenant le nom de « métrosexuels ».

Le « nouvel homme » est celui qui se soucie de son habillement et de son apparence, et passer beaucoup de son temps à magasiner fait partie de son personnage. Ces hommes adoptent des coutumes et des attitudes qui appartenaient jadis aux femmes.

L’emploi des programmes télévisés a aussi joué un rôle significatif dans les changements culturels de la masculinité. La toxicité masculine a également été ciblée par les annonceurs de publicité. Les rasoirs Gillette ont commencé récemment une nouvelle campagne de publicité dirigée vers les jeunes hommes promouvant des expressions plus saines de masculinité.

Les valeurs chrétiennes visées

Les résultats de ces opérations de contrôle mental ont démontré des réactions positives. Récemment, une poignée d’hommes de la Pennsylvanie ont parti un groupe de câlins. Il a été constitué, selon un des co-fondateurs, pour permettre aux hommes d’être plus vulnérables. On s’y tient aussi par la main et on se caresse les cheveux et la barbe les uns les autres.

L’émasculation des hommes est presque complète. Les derniers mâles traditionnels intransigeants vieillissent et vont disparaître. Avec la Loi sur l’Égalité proposée par la Porte-parole Pelosi, les valeurs chrétiennes fondamentales sont carrément dans la mire. Une loi fédérale concernant l’orientation sexuelle et l’identité de genre forcera les œuvres de bienfaisance et les églises à ouvrir leurs portes à tous. Cela pourrait conduire d’innombrables organisations charitables à fermer leurs portes, laissant geler dehors ceux qui en ont besoin.

Le Ministère de la Vérité nous tombe dessus

La Loi sur l’Égalité va gaspiller d’énormes ressources tout en intimidant le monde des affaires. Il y a trop de preuves empiriques pour croire que de petits commerces ne seront pas ciblés en ne se basant que sur le fait qu’elles appartiennent à des chrétiens. Cette loi va élever le pouvoir de tyranniser au-dessus de la capacité du citoyen moyen à se battre.

La presciente nouvelle de George Orwell, 1984, décrit de manière inquiétante la situation prévalant aujourd’hui. Cette loi va permettre au gouvernement d’interférer dans les pensées des Américains, dans leur langage et dans leurs actions à la maison, dans les écoles, au travail et au jeu. Cet autoritarisme est des plus menaçants pour notre vie, notre liberté et notre poursuite du bonheur.

Ceux qui font la promotion continuelle de ce style de vie pécheur devraient tenir compte des Paroles de Jésus-Christ :

« Tous ceux qui me disent : Seigneur ! Seigneur ! n’entreront pas dans le Royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là: Seigneur ! Seigneur ! n’avons-nous pas prophétisé en ton Nom ? et n’avons-nous pas chassé les démons en ton Nom ? et n’avons-nous pas fait plusieurs miracles en ton Nom ? Mais je leur dirai alors tout ouvertement : je ne vous ai jamais reconnus ; retirez-vous de moi, vous qui vous adonnez à l’iniquité » (Matthieu 7:21-23).

Je prie pour que fassiez entendre votre voix. Soyez parmi les élus et tenez ferme aux Paroles de Christ Jésus.




Les grosses entreprises pharmaceutiques contrôlent-elles l’Amérique ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Février 2019

Par Jerry Barrett

Les gros profits l’emportent sur notre santé et notre bien-être

Grâce à leur flot de revenus abondant, les entreprises pharmaceutiques exercent un pouvoir immense – tant politique qu’économique – sur l’Amérique. Le surnom de « Big Pharma » s’avère une plaque de fabricant appropriée. Les onze plus grandes entreprises de Big Pharma ont généré des profits nets de près de trois-quarts de trillion de dollars en une seule décennie ! La majorité de ces entreprises se situent en Amérique et comprennent des noms que l’on connaît partout : Johnson & Johnson, Pfizer, Merck, Eli Lilly et Bristol Myers Squibb.

La prescription de médicaments pharmaceutiques dans le but de gérer la maladie chronique cause de sévères effets secondaires qui nuisent à la santé ou tuent. Pris entre la Big Pharma et son armée de médecins, un large pourcentage d’entre nous sommes devenus accros inconditionnels aux médicaments. Trois-quarts des citoyens américains de plus de cinquante ans prennent actuellement des médicaments sous prescription.

La prolifération de la pharmaceutique a poussé de nombreux docteurs à s’en remettre exclusivement aux compagnies de médicaments pour avoir l’information sur ce qu’ils prescrivent. Mal informés et mal équipés, les médecins d’aujourd’hui n’ont aucune idée des interactions dommageables que leurs médicaments ont sur leurs patients.

IgeaHub.com se donne le nom de « Club pharmaceutique » et a posté ce graphique des dix plus grandes compagnies pharmaceutiques et leurs ventes en milliards de dollars.

Toutefois, les adultes ne sont pas les seules victimes que vise Big Pharma. À la suite d’un programme créé par les Centres de Contrôle de la Maladie (CDC) et l’Administration de la Nourriture et des Médicaments (FDA), nos enfants ont reçu des vaccins dans lesquels on a ajouté du mercure ou de l’aluminium comme préservatifs. Depuis 1991, quand la CDC et la FDA recommandèrent que trois vaccins additionnels, avec préservatifs ajoutés, soient administrés à de très jeunes enfants, le nombre estimé de cas d’autisme est monté en flèche, de un cas sur 2 500 enfants à un cas sur quarante enfants aujourd’hui.

Au lieu de prévenir et de faire décroître la maladie, les vaccins ont trop souvent des effets opposés en accroissant la maladie de manière exponentielle et en causant des dommages irréversibles, et même la mort, chez des milliers de victimes inconscientes, et qui vivent surtout dans les pays du tiers-monde.

LearnTheRisk.org illustre l’explosion de vaccins que la CDC recommande pour les enfants. Rien d’étonnant à ce que le système immunitaire des enfants soit bouleversé, sans mentionner les poisons chimiques employés comme préservatifs.

La Cour Suprême de l’Inde étudie présentement la possibilité d’accuser Bill Gates de nuisance criminelle envers un grand nombre de ses citoyens, spécialement des enfants estropiés ou tués par son programme global de vaccination. Un nombre croissant de critiques déclare que le véritable but visé par Gates est la réduction de la population.

Bill Gates a rencontré le Président Donald Trump à deux occasions, l’avisant de ne pas faire de recherches sur les mauvais effets des vaccins. Ceci malgré que Trump ait eu questionné la fréquence du planning de vaccination pour les enfants. Ce qui fait froid dans le dos, c’est qu’à son 2010 TED Talk, Gates aborda la question de la croissance démographique et déclara que les vaccins sont une méthode efficace de réduire la population.

Étant donné la controverse qu’engendrent les vaccins, pourquoi Gates ne souhaiterait-il pas une enquête indépendante sur leur sécurité ? Cela ne dissiperait-il pas toutes les « théories conspirationnistes » ? Les Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie américains (CDC) n’ont-ils pas fait enquête là-dessus ?

La réponse est oui, mais les informations ne leur ont pas plu. À cause de Big Pharma qui contrôle l’industrie de la santé, des résultats comme ceux découverts par la CDC sont sûrs de ne jamais voir le jour. Grâce à un dénonciateur au sein des installations de recherche de la CDC, nous savons maintenant que cette information fut récurée et altérée alors que les données factuelles ont été détruites. Heureusement, ce dénonciateur a gardé ses copies originales et les a partagées.

En 1986, Ronald Reagan a signé l’Acte de Loi National sur les Vaccins pour Enfants qui éliminait pratiquement toute responsabilité financière des fabricants de vaccins en rapport avec les préjudices physiques reliés aux vaccins. Robert F. Kennedy Jr apparut à l’émission de Tucker Carlson, sur Fox News, et expliqua que le régime de vaccination avait changé en 1989. Le Congrès avait donné « l’immunité légale complète » à toutes les compagnies de vaccins. M. Kennedy continua : « Peu importe le degré de toxicité des ingrédients ou s’il y avait des blessures extrêmes infligées à votre enfant, vous ne pouviez pas poursuivre » ces compagnies. Voilà pourquoi vous n’entendez jamais parler de poursuites en recours collectif contre Big Pharma.

Kennedy parla ensuite d’une étude récente qui avait été financée par le gouvernement danois et qui faisait l’examen de la sécurité du vaccin Tdap qui fut administré à des enfants africains. D’après ce rapport, ce vaccin – appuyé par Bill Gates – tue plus de gens que les maladies contre lesquelles il est censé protéger ! M. Kennedy expliqua :

« Pratiquement tous les enfants d’Afrique l’ont reçu. Ce qu’ils ont trouvé … ils ont fait une étude sur les vaccinés versus les non-vaccinés, ce qui n’a jamais été fait … ils en ont conclu que … ils ont dit que le vaccin tue plus de gens que la la diphtérie, la coqueluche et le tétanos combinés ensemble (et pour lesquels vaccine le Tdap). »

Jusqu’à quel point Big Pharma contrôle-t-elle le message ? D’abord, elle sponsorise les émissions de nouvelles des grands médias. Prétendument, le revenu total de publicité recueilli par ces émissions de nouvelles est de 70 %. C’est un énorme signal d’alerte sur la validité de ces émissions.

Big Pharma est aussi impliquée dans l’éducation des docteurs, tout comme les pots-de-vin et les ristournes payés aux médecins qui appuient leurs produits. Ils financent aussi l’éducation médicale des étudiants et des post-étudiants. Beaucoup de ces docteurs agissent en tant qu’experts médicaux au nom de Big Pharma sans révéler ce fait.

Un autre sous-produit de la collusion entre la CDC et Big Pharma est survenu en 2009 quand l’ancienne directrice de la CDC, la Dre Julie Gerberding, fut embauchée par Merck pour diriger son programme de développement de vaccins. Bien que beaucoup de gens au sein du mouvement anti-vaccination exprimèrent leur outrage face à ce conflit d’intérêts, aucune voix ne se fit entendre provenant des bulletins de nouvelles des grands courants médiatiques.

Le montant d’argent dépensé en pots-de-vin… euh… en lobbying auprès des fonctionnaires du gouvernement est absurde. Big Pharma a dépensé 2,7 milliards $ en lobbying de 1998 à 2013. Il y a également des preuves qui confirment qu’un effort concerté est apparu pour ruiner les sources alternatives de la santé. Si plus de gens étaient au courant des remèdes homéopathiques et les utilisaient, l’industrie de la santé se flétrirait et sa base de pouvoir serait détruite.

Visitez www.texemarrs.com pour commander une copie en anglais

Le Dr Andrew Wakefield

Power of Prophecy a le plaisir de vous offrir un exposé explosif intitulé Vaxxed: From Cover-up to Catastrophe. [Nous pourrions le traduire en français par Vaxxiné : de la dissimulation à la catastrophe.] Le très estimé Dr Andrew Wakefield, le premier à signaler, en 1998, que le vaccin MMR (la rougeole, les oreillons et la rubéole) pouvait causer l’autisme, dirige ce documentaire.

A cause de son rapport de 1998 publié dans The Lancet interrogeant le lien possible entre le vaccin MMR et l’autisme, et présentant le défi que nous avions besoin de plus de recherches, Big Pharma passa à l’offensive. Essentiellement, elle détruisit sa carrière médicale et a fait tout en son pouvoir pour le discréditer.

Heureusement, cela n’a pas dissuadé le Dr Wakefield de dénoncer les dangers que représente Big Pharma et sa vaccination. Assurez-vous de commander une copie de mon entrevue avec le Dr Wakefield [en anglais seulement].

Armez-vous de la connaissance. Faites-vous entendre. Contactez votre député et exigez que des recherches indépendantes et solides soient entreprises. La santé de vos enfants, de vos petits-enfants, du pays, du monde est en jeu.




Une taxe casher, ça n’existe pas

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2019

Par Jerry Barrett

Les taxes sont perçues par le gouvernement

Avez-vous déjà remarqué un K ou un U imprimé sur l’étiquette de l’un de vos produits d’épicerie favoris ? Avez-vous été assez curieux pour chercher à trouver ce que cela représentait ? Ou étiez-vous totalement ignorant qu’il y a une signification cachée derrière ces codes ?

Depuis un certain nombre d’années, j’entends parler qu’il y a une certaine « taxe casher » ajoutée aux items que vous achetez au supermarché. Il semble que cette « taxe » soit collectée par les rabbins locaux. Toutefois, c’est impossible parce que les taxes sont collectées par les gouvernements. Je n’ai encore jamais rencontré de politicien qui accepterait de partager une opportunité de taxe avec quiconque, même un rabbin.

Je vais citer la version officielle : Une « taxe casher », ca n’existe pas. Maintenant, plusieurs d’entre vous qui ont déjà fait cette fausse déclaration doivent secouer la tête et vous êtes sans doute irrité en lisant ces lignes. Mais, s’il vous plaît, demeurez avec moi.

Dans mes recherches, je suis tombé sur un site web, www.jewishrecipes.org. Ce site a répondu à mon interrogation concernant une taxe casher prélevée sur des produits. Il déclare : « Y a-t-il vraiment une taxe juive sur la nourriture ? La réponse est NON ! »

Cependant, vous allez également découvrir dans ce site qu’il y a des compagnies de produits alimentaires qui paieront des droits pour annoncer leurs produits comme étant cashers. Le site web déclare : « Une étiquette casher est une forme de publicité directe disant au consommateur que ”cet aliment est casher et rencontre les standards bibliques dans sa façon d’avoir été préparé et quels différents produits on a utilisés dans sa confection”. C’est aussi une bonne chose parce que les compagnies alimentaires ne le feraient pas si ce n’était pas une affaire lucrative et si cela ne signifiait pas un accroissement des ventes, ce qui mène à un accroissement des profits. »

Or, cher Thomas dubitatif, vous approuvez probablement de la tête en vous accordant avec moi. Je n‘ai pas proclamé qu’il pouvait y avoir extorsion… euh… droits d’annoncer, j’ai seulement déclaré qu’il n’y a pas de « taxe casher ». Ces « droits » sont incorporés dans le prix des articles que vous et moi achetons à toutes les fois que nous magasinons.

Les entreprises paient des droits aux unions rabbiniques pour qu’elles inspectent la fabrication de leurs produits afin d’obtenir la certification casher. Ces droits vous sont ensuite refilés à vous, les consommateurs. On fait tout cela pour les quelques 1 à 3 % de la population que sont les Juifs des États-Unis [ainsi que du Canada].
 

Que veut dire « casher » ?

Selon leur « doctrines des hommes » – le Talmud babylonien – il est défendu aux Juifs orthodoxes de manger de la viande provenant d’un animal qui n’a pas le sabot fendu et qui ne rumine pas. Les poissons sont cashers s’ils ont des nageoires et des écailles. Il y a également une longue liste d’oiseaux que l’on ne doit pas manger. Les oiseaux cashers comprennent les poulets, les canards, les oies, les colombes et les cailles, entre-autres. Les oiseaux non cashers incluent les hiboux, les pélicans, les aigles, les autruches, les vautours et d’autres encore.

Les porcs ne sont pas cashers parce qu’ils n’ont pas le sabot fendu et ne ruminent pas. Les lapins, quoiqu’ils ruminent, n’ont pas de sabot fendu. Ces mêmes « règles alimentaires » interdisent aux Juifs de manger de la viande avec des produits laitiers dans le même repas. S’ils mangent de la viande, ils doivent attendre six heures avant de pouvoir manger un produit laitier.

Bien que « casher » donne le droit de manger un aliment, cela ne signifie pas que la qualité de l’aliment est meilleure. Les produits alimentaires américains sont déjà inspectés par des agences gouvernementales fédérales pour en assurer la qualité et la comestibilité. En général, les aliments étiquetés casher se conforment aux traditions humaines décrites dans le Talmud.

Dans sa première épître à Timothée, l’apôtre Paul avait clairement une opinion différente de ces règles alimentaires :

« Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques-uns se révolteront de la foi, s’adonnant aux Esprits séducteurs, et aux doctrines des Démons. Enseignant des mensonges par hypocrisie, et ayant une conscience cautérisée ; défendant de se marier, commandant de s’abstenir des viandes que Dieu a créées pour les fidèles, et pour ceux qui ont connu la vérité, afin d’en user avec des actions de grâces. Car toute créature de Dieu est bonne, et il n’y en a point qui soit à rejeter, étant prise avec action de grâces. Parce qu’elle est sanctifiée par la parole de Dieu, et par la prière » (1 Timothée 4:1-5). » 

L’étiquetage casher est un racket

Le terme « extorsion » n’est pas contradictoire à cet égard. Si les manufacturiers et les producteurs ne rentrent pas dans les rangs pour que leurs produits soient certifiés « cashers », ils devront faire face au boycott et on leur collera le redoutable label « d’antisémite ». Ce « racket du casher » fut dénoncé par William Zuckerman dans sa publication Jewish Newsletter (Vol. XV, No 11, 1er juin 1959) en réaction à un article publié dans le Wall Street Journal. M. Zuckerman écrivit :

« Ce que le ̋Wall Street Journal ne rapporte pas, c’est que cette affaire de “stricte supervision de produits cashers par les rabbins” est déjà devenue un des plus gros rackets des États-Unis et menace de prendre des proportions gigantesques. »

« Le “Racket du casher”, comme on l’appelle, opère de façon simple et efficace … Les étiquettes cashers sont émises par les rabbins qui sont très grassement payés pour leurs services de certification. »

Cependant, les Américains ne sont pas les seuls qui soient sujets à ces « droits de marketing ». De nombreux pays importent de la nourriture des États-Unis et, dans bien des cas, ces denrées alimentaires ont déjà été certifiées casher. Peu importe où vous vivez, chaque fois que vous mangez, vous payez ces droits.

Est-ce que des produits non alimentaires peuvent être cashers ?

D’après Wikipédia, il y a environ 1 100 agences de certification casher dans le monde. Aux États-Unis, plus de 80 % de la nourriture casher vendue est certifiée par cinq agences. Ces cinq agences sont : OU, OK, KOF-K, Star-K et CRC.

Cela pourrait vous surprendre le nombre de produits que vous utilisez quotidiennement et qui portent l’étampe de certification casher de l’une de ces nombreuses agences. Le papier d’aluminium Reynolds Wrap porte le U de l’Union orthodoxe, tout comme le nettoyant Clorox. Je vous suggère fortement de parcourir votre garde-manger et votre salle de lavage, et de détailler le nombre de produits que vous avez inconsciemment achetés avec le « sceau d’approbation » casher.

La plupart des agences de publicité dissimuleront les symboles cashers dans leurs annonces à l’intérieur de publications non juives. C’est en nette violation de la « Loi sur la vérité dans la publicité ». Toutefois, si l’annonce apparaît dans une publication juive, attendez-vous à ce que cette certification soit bien en face et au centre.

Pourquoi des assiettes en mousse de plastique, des filtres à café, du papier d’aluminium et des produits nettoyants sont-ils certifiés casher ? Quels valeurs bibliques rendent casher des produits non comestibles ? (Ci-insérés, quelques labels d’unions cashers que vous pourriez trouver dans votre épicerie locale.)

Ce procédé qui rapporte des millions rend certains rabbins très riches. Des organismes comme l’AIPAC, le Congrès Juif Mondial et autres tirent clairement bénéfice des retombées financières recueillies par ces racketteurs.

Le rabbin en chef Shlomo Amar supervise une inspection pour certification casher. Il y a plus de 1 100 agences de certifications dans le monde.

Personne d’autre que Power of Prophecy est assez hardi pour exposer ces escrocs tels qu’ils sont. Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ nous a commandé de dénoncer ces hommes d’iniquité :

« Or c’est ici le sujet de la condamnation, que la lumière est venue au monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Car quiconque s’adonne à des choses mauvaises, hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient censurées. Mais celui qui s’adonne à la vérité, vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées, parce qu’elles sont faites selon Dieu » (Jean 3:19-21). »




Qu’est-il arrivé à mon pays ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2018

Par Jerry Barrett

John Adams a proclamé que l’Amérique ne fut pas fondée en tant que nation chrétienne. Il avait en partie raison. L’Amérique n’a pas été créée comme une théocratie – un pays dirigé par la religion – mais elle a plutôt été fondée sur la base d’une république constitutionnelle. Ceci dit, l’Amérique fut établie sur de profondes vérités chrétiennes.

Nos pères fondateurs eurent le sentiment que la liberté de religion était un droit, mais que le gouvernement ne devait pas créer une église établie. Cela se reflète dans le Premier Amendement de notre Constitution. Ces fondateurs croyaient fortement que Dieu a ordonné des standards moraux et que la législation devait s’accorder avec ces standards. De nombreux historiens ont cité Romains 13 comme base de ces standards :

« Que toute personne soit soumise aux Puissances supérieures : car il n’y a point de Puissance qui ne vienne de Dieu, et les Puissances qui subsistent, sont ordonnées de Dieu. C’est pourquoi celui qui résiste à la Puissance, résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui y résistent, feront venir la condamnation sur eux-mêmes. Car les Princes ne sont point à craindre pour de bonnes actions, mais pour de mauvaises. Or veux-tu ne point craindre la Puissance ? fais bien, et tu en recevras de la louange » (Romains 13:1-3).

Seigneurs et serfs revisités ?

L’Amérique s’est assurément éloignée de ces principes. Un politicien britannique a un jour déclaré que : « Le pouvoir corrompt ; le pouvoir absolu corrompt absolument. » Cela pourrait expliquer pourquoi les Fondateurs ont érigé notre pays avec des contrôles et des balances entre les trois branches de gouvernement. Notre pays est une banqueroute morale dont les profondeurs de la débauche atteignent des proportions épiques. Mais la descente de notre nation est-elle un événement récent, ou est-ce que le travail préparatoire s’effectue depuis des décennies ?

Si vous lisez notre Constitution, vous remarquerez un fait qui ressort de la page : on s’attendait à ce que le gouvernement fédéral s’en remette aux droits des états et non qu’il traite les citoyens de haut. Cela en tête, on pourrait dire que les Fédéraux ont commencé leur mainmise au début du vingtième siècle, lors de la création de la Réserve Fédérale et du Service Intérieur du Revenu [le Fisc].

Cette combine s’est davantage développée après le crash boursier créé par les banquiers et la Grande Dépression qui s’en est suivi. La saisie de pouvoir du gouvernement fédéral se mit à marcher comme un rouleau compresseur après que le « New Deal » de Franklin D. Roosevelt fut mis en place.

D’un coup d’état à la débauche

L’assassinat de John F. Kennedy semble avoir achevé la mainmise des sionistes sur notre gouvernement, aidée et encouragée préalablement par Harry S. Truman et sa reconnaissance de l’état d’Israël. Le coup d’état de notre pays fut un succès et le démantèlement de notre culture pouvait commencer sérieusement.

La prolifération de la culture de la drogue et de l’amour libre des années 1960 mena au moment marquant du cas Roe vs Wade, rendant légal le meurtre des bébés partout sur le territoire. Le mariage traditionnel a aussi été victime, son taux de divorce grimpant à plus de cinquante pourcent.

La dégradation de notre système d’éducation semble avoir été la cible suivante. Il y a un certain nombre d’états qui n’exigent plus l’apprentissage de l’écriture cursive ! En implantant des examens standardisés au lieu d’encourager la résolution de problèmes et la pensée critique, ainsi que l’enseignement des trois R, l’abrutissement des élèves américains a réussi au-delà de toute espérance. Les changements de culture seront-ils maintenant introduits sans la moindre opposition ?

Après que la Cour Suprême des États-Unis eut aboli les lois contre la sodomie, en 2003, l’agenda homosexuel devint une question brûlante menant à une autre règlementation de la Cour Suprême légalisant le mariage entre même sexe. L’ancien Président Barack Obama célébra même ce moment sacrilège par un show de lumières d’arc-en-ciel à l’extérieur des murs de la Maison blanche.

Le Président Obama éclaira la Maison Blanche aux couleurs de l’arc-en-ciel en soutien au mariage de même sexe.

Pour accroître davantage la dimension du cloaque que désirait Obama, un mandat fut émis donnant instructions aux écoles publiques de permettre aux étudiants transgenres d’utiliser les toilettes qui s’apparentaient à leur « identité de genre ». Ce programme fut imité par la chaîne de vente au détail Target et d’autres magasins dès avril 2016. Target a déjà adopté une politique de signalisation de neutralité de genres pour ses sections de quincaillerie, de jouets et de divertissements.

Parti, le respect pour l’autre et envers soi, envers les petits bébés et particulièrement envers Dieu.

Le militantisme féministe revint aussi avec vengeance pendant cette époque. Des protestataires prirent part à la SlutWalks en portant de minuscules hauts et des jupes courtes, proclamant leur opposition envers « l’humiliation des putes ».

La campagne et l’organisation La vie des Noirs compte, fondée par le Juif hongrois George Soros, utilisa des moyens de protestation violents, où l’on encouragea les incendies volontaires et le pillage. Les officiers de police devinrent la cible de rétributions, après la tuerie de mécréants comme Trayvon Martin et Michael Brown. La division raciale en Amérique fut grandement élargie et Barack Obama attisa les flammes en déclarant : « Si j’avais un fils, il ressemblerait à Trayvon ! »

Pas de moral ni de scrupule

La moralité et les scrupules de nos leaders élus ont également décliné au fil des générations. Bien qu’il n’y ait pas de délimitation claire entre les deux partis politiques principaux des États-Unis, l’animosité contre ceux qui s’identifient comme conservateurs a atteint un degré fiévreux.

Maxine Walters a diffusé haut et fort son désir que ses partisans s’en prennent à ceux qui servent sous le Président Donald Trump. La Secrétaire à la Presse, Sarah Huckabee Sanders, ainsi que ses amis se sont fait demander par le propriétaire d’un restaurant de vider les lieux. Récemment, Ted Cruz et son épouse furent malmenés à un dîner et forcés de quitter un autre restaurant.

Pourquoi Dieu bénirait-Il l’Amérique ?

Les récentes allégations contre le candidat désigné à la Cour Suprême, Brett Kavanaugh, produites par Christine Blasey Ford, semblent, en surface, présenter un profil horrible. Cependant, son témoignage subséquent révèle quelqu’un dont la mémoire change à sa convenance. Les témoins qu’elle a cités ne peuvent non plus corroborer ses histoires.

Considérez également le fait qu’en juillet elle a envoyé une lettre à la sénatrice Dianne Feinstein concernant le soi-disant abus sexuel qu’elle aurait subi aux mains de Kavanaugh. Pourquoi la sénatrice Feinstein a-t-elle tu cette information jusqu’à l’audience de confirmation ? Était-ce un complot politique sournois visant à faire dérailler le candidat du Président Trump ? Serait-ce parce que Mme Ford, qui a aussi participé à un rallye anti-Trump, travaille pour une compagnie pharmaceutique qui produit une pilule d’avortement ? Comme le rapporte Jim Holt, dans le Gateway Pundit, « Le professeur Christine Blasey Ford, pendant qu’elle travaillait à l’Université Stanford, était aussi affiliée à la Corcept Therapeutics (2006-2011). Sa nouvelle page Wikipédia la décrit comme « directrice de biostatistiques chez Corcept ».

Le docteur Christine Blasey Ford, contributrice à huit journaux soutenant la pilule d’avortement RU-486.

M. Holt poursuit : « Christine Blasey Ford a participé à huit études publiées qui faisaient des recherches sur l’utilisation de la “pilule d’avortement” ou “mifepristone”. » On remarque aussi dans son article que Corcept ne possède qu’un seul produit, une pilule abortive connue sous le nom de RU-486 et étiquetée Mifeprex.

Se pourrait-il que Mme Ford et ses camarades féministes pro-avortement aient peur que, si la Cour Suprême le confirme, le juge Kavanaugh se joigne à des collègues de même esprit et renverse Roe vs Wade ?

Nous savons qu’à la fin des temps, les choses ne vont pas aller en s’améliorant. Dans 2 Timothée 3:13, Paul a dit : « Mais les hommes méchants et séducteurs iront en empirant, séduisant, et étant séduits. » Or, Jésus, notre précieux Seigneur et Sauveur nous donne Son mot de la fin dans Apocalypse 22:20 : « Celui qui rend témoignage de ces choses, dit : Certainement je viens bientôt, Amen ! Oui, Seigneur Jésus, viens ! »




Le gorille de 300 kilos

Pourquoi ne permet-on pas à la vérité de sortir ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2018

Par Jerry Barrett

 

On définit le gorille de 300 kilos comme étant une personne, un groupe ou une organisation tellement puissante (par sa dimension ou son influence) qu’elle n’a pas à tenir compte des règles ou des contraintes. Cela a rapport avec la devinette suivante : « Où s’assoit un gorille de 300 kilos ? » (Réponse : « Partout où il veut. »)

Aucun expert qui cherche la célébrité, la fortune et un siège à l’échelon le plus élevé de la société ne parlera jamais négativement, s’il est sain d’esprit, d’Israël ou des Juifs. C’est une de ces « questions bouton-rouge » qui fait immédiatement une cible du sombre crétin qui épouse ce genre de rhétorique haineuse.

Les chrétiens sionistes commenceront à vomir leur mantra conditionné : « Si vous bénissez Israël, vous serez béni, mais si vous maudissez Israël, vous serez maudit. Les Juifs sont le Peuple élu de Dieu. » Ce gorille de trois cents kilos continue à grossir en dimension et en stature sans qu’on en voit la fin. Cette bête a infiltré notre système d’éducation, nos systèmes judiciaires, notre branche législative et a même corrompu nos églises.

Bien qu’ils ne forment que de 2 % à 3 % de la population d’Amérique, il y a profusion de documentation démontrant que le contrôle des Juifs sur les médias, sur l’argent et sur nos fonctionnaires élus a conduit à des guerres sans nombre au Proche-Orient. Comme l’a déclaré de façon si arrogante l’ancien Premier Ministre israélien Ariel Sharon, le 3 octobre 2001 : « À chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites “L’Amérique va faire ceci ou cela”. Laissez-moi vous dire clairement ceci : ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël. Nous, le peuple juif, nous contrôlons l’Amérique et les Américains le savent très bien. »

Menahem Begin, autre ancien Premier Ministre d’Israël et bien connu en tant que membre terroriste de la bande d’Irgun, déclara un jour : « Notre royaume terrestre sera dirigé par notre leader avec une verge de fer. Les masses [goyim] nous lècheront les pieds et nous serviront comme esclaves. »

Malheureusement, les chrétiens jouent les pions depuis des siècles dans le programme de domination mondiale des Juifs. Le rabbin Reichorn, dans Le Contemporain du 1e juillet 1880, disait : « Nous conduisons les chrétiens dans une guerre où nous prenons avantage de leur stupidité, de leur ignorance et de leur fierté nationale. Ils se massacreront les uns les autres et ensuite nous aurons assez de place pour notre propre peuple. »

Tronc commun de l’éducation

En 2010, le Secrétaire de l’Éducation du Président Obama, Arne Duncan, un Juif, commença l’implantation des Standards du Tronc commun dans le système d’éducation des États-Unis. Cette initiative fut commanditée par la fondation Gates qui lui accorda un don de 200 millions de dollars. L’emphase sur les résultats de tests comme évaluation des enseignants provoqua une rébellion massive des enseignants, des unions et des parents.

Les nouvelles mathématiques du Tronc commun : est-ce que ce genre de raisonnement alambiqué est la cause que la jeunesse américaine ne peut pas compter son change dans la ligne de contrôle ?

Un grand nombre des concepteurs du Tronc commun ne sont évidemment pas des enseignants. Une des plaintes contre les formateurs du Tronc commun concernait le nombre d’individus avec une désignation de l’ACT et de la « Commission académique » dépassant en quantité ceux qui possédaient une expérience documentée d’enseignement en classe.

Ce programme a contribué à faciliter l’abêtissement des Américains. Une vidéo qui passe en boucle sur Internet montre un professeur essayant d’enseigner à un étudiant comment font 9 + 6. Il lui faut près d’une minute !

Un système qui enseignait jadis la base – lire, écrire et calculer – est maintenant devenu un système où l’enseignant est restreint dans son enseignement d’un test. Notre jeunesse n’apprend plus comment réfléchir et résoudre un problème. Cela mène-t-il vers une population plus facilement manipulable ?

Les églises chrétiennes sujettes aux enseignements pro-sionistes

Avec Samuel Untermeyer comme bienfaiteur, Cyrus Scofield créa le fondement menant à l’église pro-sioniste d’aujourd’hui en Amérique. La croyance actuelle selon laquelle l’Israël moderne est l’accomplissement de la prophétie biblique a élevé la nation d’Israël à un statut presque divin.

La jadis fière histoire du protestantisme a pourri sur la branche. Il n’y a plus de protestations. L’apathie règne alors qu’un grand nombre de mangeurs de balustre sont devenus des éponges à sermons sur une vie nouvelle et meilleure dès maintenant et qui infiltrent les églises sur tout le territoire. Le contrôle sioniste des séminaires a créé au milieu de nous une Église de Laodicée.

Nos cours sont-elles suprêmement juives ?

Comme je l’ai déjà mentionné, les Juifs ne composent que de 2 à 3 pourcent de la population d’Amérique. Si l’on jette un coup d’œil sur la Cour Suprême des États-Unis, on réalise que 33 % des sièges au tribunal sont occupés par des Juifs – Elena Kagan, Steven Breyer et Ruth Bader Ginsburg.

Dans le New York Times, on a cité la juge Ginsburg qui disait utiliser le Talmud babylonien comme son « guide sacré de vie quotidienne ». Si c’est le cas, combien de fois le Talmud babylonien a-t-il annulé notre Constitution ?

Le Juge-en-chef Earl Warren dirigea également la Commission Warren pour enquêter sur la mort de JFK.

Après le meurtre de John F. Kennedy, Lyndon B. Johnson désigna une commission pour faire enquête. Cette commission était dirigée par le Juge-en-chef Earl Warren. Chose inquiétante, le Juge-en-chef Warren fut cité dans le Washington Jewish Week du 9 octobre 1997 à propos de John F. Kennedy : « Israël n’a pas à s’excuser pour les assassinats et l’anéantissement de ceux qui cherchent à le détruire. La question de premier ordre pour tout pays est la protection de son peuple. »

Les faucons de guerre néoconservateurs au premier rang

Durant la campagne présidentielle de 1980, Ronald Reagan courtisa les néoconservateurs – fondés et largement peuplés de Juifs – et en recruta beaucoup parmi eux dans son administration. Jeanne Kirkpatrick fut nommée ambassadrice aux Nations Unis, Carl Gershman dirigea la Fondation Nationale pour la Démocratie nouvellement créée, Richard Perle devint Assistant-secrétaire à la Défense, et Elliott Abrams fut nommé Assistant-secrétaire d’État.

L’ascension au pouvoir des néoconservateurs fut complétée quand ils pourvurent en personnel les postes séniors du Pentagone et de la Maison Blanche sous George W. Bush. Paul Wolfowitz, Doug Feith et Scooter Libby servirent d’intermédiaires à de fausses informations conduisant à la guerre en Irak, comme bien d’autres guerres qui ont détruit une grande partie du Proche-Orient – sauf Israël. Philip Zelikow admet que la guerre en Irak, selon son opinion, fut combattue pour Israël.

Le 3 avril 2003, juste au moment où la guerre d’Irak débutait, un article dans Haaretz déclarait : « La guerre en Irak a été conçue par vingt-cinq intellectuels néoconservateurs (une liste partielle : Richard Perle, Paul Wolfowitz, Douglas Feith, William Kristol, Elliot Abrams, Charles Krauthammer), la plupart juifs, qui ont poussé le Président Bush à changer le cours de l’histoire. »  L’article poursuit en disant comment « une nouvelle croyance a émergé à Washington – la croyance en la guerre contre l’Irak. »

Des lois contre les crimes de haine s’en viennent

Des groupements juifs à intérêts spéciaux prennent pour cible notre branche législative et font continuellement pression pour qu’elle établisse des lois fédérales contre le langage qu’ils jugent antisémite et/ou haineux. La plus récente pièce de législation fut soumise le 10 avril 2018. Elle a été surnommée la « Loi de l’Éducation “Plus jamais” ».

Ce projet de loi a été soumis par la représentante Carolyn Maloney (D-NY) dont le district a une forte population juive, et elle comptait sur quatre Juifs comme associés au projet de loi. Le but de ce projet de loi est de guider le Secrétaire à l’Éducation pour qu’il alloue des subventions à des programmes d’éducation sur l’Holocauste.

Le paragraphe 6, sous Conclusions, déclare :

« Aujourd’hui, ceux qui nient que l’Holocauste s’est produit ou qui tordent la nature véritable de l’Holocauste continuent de trouver des forums, spécialement sur Internet ; ce dénie et cette distorsion déshonorent ceux qui furent persécutés … plus qu’un impératif national pour éduquer les étudiants des États-Unis afin qu’ils puissent explorer les leçons que fournit l’Holocauste à tous les gens … et aider la jeunesse à être moins disposée face aux faussetés du dénie de l’Holocauste… »

De toute évidence, on doit cibler la jeunesse par cette propagande, un peu comme le programme du « Changement climatique » hautement publicisé, parce que les générations plus âgées sont encore capables de penser par elles-mêmes. Le Protocole IX des Protocoles des Sages de Sion déclare : « Nous avons abêti et corrompu la génération actuelle des Gentils en lui enseignant des principes et des théories que nous savions entièrement faux, mais que nous lui avons-nous-mêmes inculqués. »

Le Dr Harrell Rhome demande, dans son essai Déconstruction de six millions d’holo-mythes : « Y a-t-il eu 6 000 000 de Juifs tués pendant la Deuxième Guerre Mondiale ? Selon les registres de la population, cela semble assez improbable. En outre, le chiffre de 6 000 000, d’une importance mystique évidente, et le mot magique qui l’accompagne, Holocauste (toujours religieusement écrit avec un H majuscule), étaient déjà évoqués de nombreuses années avant la Deuxième Guerre Mondiale. »

Le Dr Rhome poursuit : « Holocauste se traduit par offrande brûlée ou sacrifice enflammé, comme celui offert à la déité hébraïque de la mort, Moloch, mais il fait aujourd’hui référence aux prétendues crémations de masse de la Deuxième Guerre Mondiale. 6 000 000 est un chiffre soigneusement combiné qui dérive du mysticisme juif, de la mythologie, des archétypes ethniques, de la gématrie kabbalistique-talmudique, de la magie cérémonielle et de la sorcellerie sémitique, sans mentionner les légendes et le folklore d’épouvante. »

Nier l’holocauste est-il haineux ?

Que ce soit directement ou sous couvert de lois contre le langage haineux, la plupart des pays d’Europe, le Canada et l’Australie possèdent des lois qui interdisent de questionner l’Holocauste. Est-ce parce que certaines gens ont peur de la vérité ?

Pendant qu’il résidait au Canada, Ernst Zundel, historien révisionniste, édita Est-ce que six millions sont vraiment morts – enfin la vérité de Richard Verral. Zundel subit des procès, en 1985 et en 1988, sous les accusations propices « d’avoir publié une déclaration qui allait probablement provoquer de la méchanceté contre l’intérêt public concernant la tolérance raciale ». La condamnation de 1985 fut renversée à cause d’un détail technique. Le procès de Zundel de 1988 mena également à la condamnation, mais ce fut renversé plus tard par la Cour Suprême du Canada parce que sa condamnation était « une violation de la garantie de liberté d’expression ».

Qu’allons-nous faire ?

Jésus nous a donné une grande mission. Tout comme Il l’a dit à Ses disciples, dans Marc 16:15 : « Allez par tout le monde, et prêchez l’Évangile à toute créature, » de même, c’est notre tâche. La vérité est notre épée et nous devons la tirer avec vigueur, pour frapper loin et largement.

Ne craignez pas le gorille de 300 kilos, admonestez-le par la vérité. Ceux qui cherchent infatigablement des réponses n’ont pas peur de la vérité, mais ils la chérissent plutôt. Jésus a dit à ceux qui croient en Lui : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira » (Jean 8:32).




L’aspiration tombale – nécromancie « chrétienne » au 21e siècle

Benny Hinn : « Devenez génial de manière surnaturelle, comme moi »

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2018

Par Jerry Barrett

Ce qu’on appelle la « Nouvelle Réforme Apostolique » a condamné à l’échec de nombreuses bonnes gens, toutefois crédules. Ce mouvement, croyance théologique qui préconise la restauration des postes d’apôtres et de prophètes au sein des églises charismatiques et pentecôtistes, a produit beaucoup de faux enseignants qui se proclament les apôtres des temps modernes. En fait, ils sont de faux témoins, conduisant leurs disciples vers l’étang de feu.

Bill Johnson de l’Église de Béthel, à Redding, en Californie, est l’un de ces guides aveugles. Dans son livre, Quand les cieux envahissent la terre, Johnson écrit que Jésus a opéré Ses miracles « en tant qu’homme en bonne relation avec Dieu… pas en tant que Dieu. S’Il avait fait des miracles en tant que Dieu, alors ils seraient hors de notre portée. »

Comme chrétiens, pouvons-nous surfaire Jésus ? Jésus n’était-Il qu’un homme ? Sommes-nous donc des Dieux sur terre ? Est-ce que le désir de pouvoirs et de grandeur surnaturels s’avère l’essentiel pour la Nouvelle Réforme Apostolique ?

Dans 1 Timothée 4:1, la Sainte Bible nous dit ceci : « Or l’Esprit dit expressément qu’aux derniers temps quelques-uns se révolteront de la foi, s’adonnant aux Esprits séducteurs, et aux doctrines des Démons. »

L’Église de Béthel est reconnue pour ses manifestations de faux signes et de fausses merveilles. On y trouvera le parler en langues – sans interprète et, donc, sans édification pour les autres – et de fausses prophéties, et on déclarera que tout cela est l’œuvre du Saint-Esprit. Mais l’Église de Béthel pratique également une activité bizarre appelée « l’aspiration tombale ». Ils croient pouvoir aspirer « l’onction » à partir du cadavre d’une personne décédée en se couchant sur sa tombe.

Qu’est-ce que l’aspiration tombale ?

La Pasteure sénior Beni Johnson (épouse de Bill Johnson) a posté cette image de son « aspiration tombale » sur la tombe de C.S. Lewis.

Imaginez un groupe de gens fouillant un cimetière, cherchant la tombe de, disons, feu le guérisseur Oral Roberts, ou le guérisseur John G. Lake, ou même C.S. Lewis. Après avoir trouvé le lot de sépulture, les membres du groupe commencent par se coucher sur le sol ou à étreindre – ou ce qu’on appelle aussi « se tremper de » – la pierre tombale, invitant l’esprit du défunt à entrer dans leur corps, leur accordant ainsi une bénédiction spirituelle.

L’aspiration tombale se fonde sur l’idée que l’appel spirituel d’un individu qui est décédé peut être réclamé et utilisé par une autre personne. On avance la théorie que Dieu utilise le Saint-Esprit pour « oindre » certains croyants dans un but spécifique – comme la guérison ou la prophétie – mais lorsque la personne meurt, l’œuvre de Dieu est contrecarrée. Par conséquent, le Saint-Esprit est « gaspillé », restant caché dans les os, incapable de continuer l’appel. Cette onction non recouvrée est apparemment disponible à quiconque viendra la réclamer en personne.

Cette activité occulte est vaguement basée sur l’enseignement de 2 Rois 13:21 : « Et il arriva que comme on ensevelissait un homme, voici on vit venir une troupe de soldats, et on jeta cet homme-là dans le sépulcre d’Elisée ; et cet homme étant roulé là dedans, et ayant touché les os d’Elisée, revint en vie, et se leva sur ses pieds. »

Ce passage des Écritures n’a rien à voir avec « l’aspiration tombale ». Néanmoins, Bill Johnson, dans son livre Physique des cieux, proclame :

« Il y a des onctions, des capes, des révélations et des mystères qui n’ont pas été réclamés, demeurant littéralement là où ils ont été laissés, parce que la génération qui marchait dedans ne les a jamais transmis. Je crois qu’il nous est possible de recouvrer les domaines de l’onction, les domaines des idées, les domaines de Dieu qui ont été laissés sans surveillance depuis des décennies et ce, simplement en choisissant de les réclamer pour de futures générations. »

Comment aspire-t-on une tombe ?

Pour « recouvrer » l’onction d’un mort, on doit se coucher sur la tombe du défunt – comme celle d’un guérisseur charismatique, d’un revivaliste, d’un apôtre ou d’un prophète – pour avoir accès au pouvoir spirituel de ses os morts. Cela ressemble pas mal à la nécromancie, ne trouvez-vous pas ?

L’évocation de l’esprit des défunts est quelque chose que la Sainte Bible condamne carrément. La Bible confirme que les morts ne sont pas vivants dans leur tombe. On n’y trouve que des os secs et de la poussière. Nous ne devons pas consulter les « esprits familiers » ou pratiquer la « nécromancie » (Deutéronome 18:1 ; 1 Samuel 28). Seuls les satanistes, les sorciers, les prêtres vodous et les catholiques extrémistes font des choses aussi folles et impies.

S’étendre sur des tombes dans des cimetières et demander à ce que « l’esprit » habitant ce site entre dans votre corps est une chose hideuse. Pour bien des gens, il s’en suivra une possession démoniaque. Attendons-nous à une explosion satanique horrifiante si cette pratique va plus loin.

Pouvez-vous réellement « recouvrer » l’onction du Saint-Esprit d’un apôtre ou d’un prophète mort depuis longtemps ?

Galates 5:19-21 explique : « Car les œuvres de la chair sont évidentes, lesquelles sont … les sectes … les envies … les gourmandises, et les choses semblables à celles-là; au sujet desquelles je vous prédis, comme je vous l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront point le Royaume de Dieu. » Dieu rejette cette pratique parce qu’elle met l’emphase sur le domaine physique et non sur la Parole de Dieu.

La Bible interdit ailleurs la recherche des morts. Nous lisons dans Ésaïe 8:19 : « Que s’ils vous disent : enquérez-vous des esprits de Python, et des diseurs de bonne aventure, qui gazouillent et grommellent ; répondez ; le peuple ne s’enquerra-t-il point de son Dieu ? aller pour les vivants aux morts ! »

Être génial de manière surnaturelle, comme moi

Benny Hinn est un autre croyant en l’aspiration tombale. Hinn déclare qu’il a une clé de la tombe de Kathryn Kuhlman et proclame qu’il obtient de l’onction en la visitant.

Lors d’un événement télévisé à TBN depuis la tombe d’Aimée Semple-McPherson, Hinn déclara avoir reçu « une fantastique onction de la puissance de Dieu ».

Durant l’émission, Hinn poursuivit :

« De nombreux croyants qui cherchent à faire un bond de l’avant dans leur cheminement pour devenir géniaux de manière surnaturelle, comme moi, tentent de catapulter leur croissance spirituelle à vitesse grand-v en filtrant la puissance du Saint-Esprit à partir du oint décédé. Ils font cela en étreignant la pierre tombale ou en se couchant directement sur les tombes afin d’être tout près des corps sans vie des saints survoltés étendus sous eux. »

Des fausses doctrines, comme celles qu’on voit chez les charismatiques, s’insinuent dans l’église aujourd’hui. Paul nous a avertis dans Romains 16:17 : « Or je vous exhorte, mes frères, de prendre garde à ceux qui causent des divisions et des scandales contre la doctrine que vous avez apprise, et de vous éloigner d’eux. »

La couverture spirituelle qu’offrent ces faux enseignants n’est rien d’autre qu’un moyen de faire entrer encore plus d’argent, de manipuler et de contrôler. Ils ne sont là que pour satisfaire leurs propres appétits. Les vrais bergers prêchent par l’exemple et avec des motifs purs : « Paissez le Troupeau de Christ qui vous est commis, en prenant garde sur lui, non point par contrainte, mais volontairement ; non point pour un gain déshonnête, mais par un principe d’affection. Et non point comme ayant domination sur les héritages du Seigneur, mais en telle manière que vous soyez pour modèle au Troupeau » (1 Pierre 5:2-3).

Les véritables leaders dans l’Église, appelés par Dieu, ne doivent pas dominer les gens, mais les instruire par le moyen d’une parole de vérité partagée avec droiture. En outre, on nous commande de vérifier toutes choses. Les Béréens furent loués parce qu’ils comparaient les enseignements de Paul aux Écritures.

Dans Matthieu 8:22, Jésus ordonna : « suis-moi, et laisse les morts ensevelir leurs morts. » Comme chrétiens, nous recherchons la vie, et la vie en abondance. Nous vivons pour toujours par Jésus-Christ, notre Seigneur.




L’holocauste des bébés américains

Plus de 60 millions de bébés ont été avortés depuis l’affaire Roe vs Wade

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juin 2018

Par Jerry Barrett

« Il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît au cou une meule de moulin, et qu’on le jetât dans la mer, que de scandaliser un de ces petits. »

(Luc 17:2)

Dans l’étude de la physique, on apprend que, pour chaque action, il y a une réaction égale et opposée. Cela semble aussi se produire avec presque toutes les décisions que nous faisons sur une base quotidienne. Parfois, ces décisions mènent à des circonstances désastreuses.

Les années 1960 annoncèrent un changement dans la culture américaine. Le modèle de la famille fut sorti de son axe quand la révolution sexuelle et la culture de la drogue devinrent populaires. Ward et June Cleaver, ainsi que la moralité chrétienne, furent jetés dans l’oubli. C’était dès lors l’époque du sexe, de la drogue et du rock’n’roll.

Cependant, avec le mouvement de « l’amour libre » sont venues des conséquences inattendues. Les grossesses non préméditées furent un des inconvénients majeurs.

Durant les années 1950 et 1960, on estime que les médecins de ruelles ont exécuté un million d’avortements par année. Plus d’un millier de femmes sont mortes chaque année à cause de cette procédure illégale. Bon nombre de ces médecins chargeaient plus de 1 000 $ pour leur service et on n’utilisait pas d’anesthésie parce que l’on voulait que les patientes sortent rapidement de la place.

Meurtre sur demande

Dans les années 1960, ère de protestation et de mouvements divers, les femmes commencèrent à cibler activement le sujet de l’avortement. Beaucoup parlèrent de leur propre avortement illégal et insistèrent pour que l’avortement-sur-demande soit rendu légal. Le clergé libéral se joignit à l’effort ainsi que d’autres groupes de liberté civile.

Certains états commencèrent à adoucir leur loi sur l’avortement, le permettant sous certaines circonstances, mais ils laissèrent la décision finale aux médecins et aux hôpitaux. L’état de New York, en 1970, permit l’avortement-sur-demande jusqu’à la 24e semaine si cela se faisait dans un service médical avec un médecin. Les femmes qui pouvaient s’offrir cette « procédure » se rendirent en foule dans ces cliniques « légales ».

Le 22 janvier 1973, le meurtre sur demande fut autorisé par notre Cour Suprême par la décision rendue lors du tristement célèbre cas Roe vs Wade. Medicaid finança les exécutions fœtales jusqu’à ce que le Congrès adopte l’Amendement Hyde, en 1976. Celui-ci, toutefois, n’allait pas stopper le meurtre de masse des bébés américains.

Nuire aux tortues de mer, aux aigles et à leurs œufs est illégal, sujet à des amendes et à l’emprisonnement. Mais un bébé humain avant naissance, que Dieu connaissait avant de le former dans le sein de sa mère, fait à l’image de Dieu, ce n’est juste qu’un « choix ».

Planned Parenthood commença à recevoir des fonds fédéraux en 1970, grâce à Richard Nixon et un accord bipartite du Congrès. À l’époque, on formulait ce sujet comme étant de la « planification familiale », ce qui rendait la chose acceptable aux yeux du grand public. Planned Parenthood reçoit actuellement plus de 500 millions $ annuellement, dont la majorité va au financement des avortements.

Bien que ce soit financé au fédéral sous le déguisement de la « planification familiale », on pourrait penser que l’adoption serait l’option la plus populaire. Néanmoins, l’orientation d’une patiente vers l’adoption par Planned Parenthood paraît dérisoire en comparaison du meurtre-sur-demande. En 2014, il y a eu 149 avortements pour chaque référence à l’adoption.

Planned Parenthood exige-t-il des quotas ?

D’anciens employés de Planned Parenthood ont avancé des déclarations choquantes à propos de quotas et de mesures correctives contre des cliniques contre-performantes. Même les cliniques qui ne font pas d’avortement doivent référer un certain nombre de patientes vers des cliniques qui en font.

Dans une interview accordée au Washington Post, Sue Thayer, ancienne gérante de clinique, déclara que les employés étaient entraînés à manipuler les femmes pour qu’elles choisissent l’avortement. Le meilleur argument était d’amener ce qu’il en coûtait d’élever une famille.

Mme Thayer affirma aussi que Planned Parenthood offrait des avantages aux cliniques qui excédaient leur quota d’avortement. Des party-pizzas et des vacances payées faisaient partie des récompenses données.

Vente de parties du corps pour le profit

Le Procureur général des États-Unis, Jeff Sessions, a récemment ouvert une enquête sur la vente par Planned Parenthood de parties du corps de fœtus. En 2016, un Jury Sélectif Maison sur la Vie des Nouveau-nés produisit des documents dénonçant des techniciens d’une clinique d’avortement à qui l’on donnait des extras en argent pour le nombre de parties de corps de fœtus qu’ils procuraient.

Ces techniciens obtenaient le consentement de la mère pour le don de tissus fœtaux sans divulguer les bonus qu’ils en retiraient. Donc, armés de la liste de souhaits d’un commerce de procuration de tissus, ces techniciens se mirent à s’enrichir, comme la clinique, d’ailleurs. Planned Parenthood a défendu vigoureusement la légalité de sa moisson de parties fœtales.

Quand le fœtus est-il un être humain ?

Notre société n’admet pas le meurtre d’un être humain sauf en cas de légitime défense, à la guerre… ou par l’avortement. Toutefois, si un conducteur ivre défonce un véhicule contenant une femme enceinte – qu’elle soit ou non en route vers une clinique d’avortement – et qu’il tue le fœtus, il peut être accusé d’homicide commis en conduisant pour avoir tué le bébé.

Ce qui amène à la question : quand un fœtus devient-il un être humain ? Il n’y a pas de définition concise, seulement des opinions politiques et scientifiques. Des études ont toutefois montré que les fœtus ressentent la douleur à 20 semaines ou avant. On les a observés qui se retiraient brusquement devant un stimuli nuisible comme des aiguilles et libéraient des hormones de stress en réaction aux procédures douloureuses.

Lorsqu’il était au Congrès, Ron Paul présentait sans cesse le « Projet de Loi sur le Caractère Sacré de la Vie » qui définit que la vie commence à la conception. Les Républicains « pro-vie » ne permirent jamais que ce projet de loi voit le jour. L’an dernier, le sénateur Rand Paul présenta le « Projet de Loi sur la Vie dès la Conception », mais ni les leaders républicains, ni Donald Trump n’ont fait quoi que ce soit pour promouvoir ce projet de loi. Comment Donald Trump planifie-t-il de rendre toute sa gloire à l’Amérique en continuant à permettre le meurtre légalisé de plus de 1 800 bébés par jour ?

L’holocauste américain

A date, plus de 60 millions de bébés ont été assassinés ! Laissez-vous pénétrer de ce chiffre. 60 millions de bébés. Et si l’un d’eux avait été capable de guérir le cancer, ou devait être un futur Président ? Il s’agit d’un holocauste aux proportions épiques. Il n’y a pas d’autre mot pour le décrire.

Aucune race n’est immunisée contre ce génocide. Plus de 50 % des grossesses de femmes hispaniques et de femmes noires se terminent par l’avortement, même si elles ne forment que 30 % de la population. Les caucasiennes, composant 60 % de la population, voient 37 % de leurs grossesses se terminer par un avortement.

Est-ce que le contrôle de la population par l’avortement pousse à l’extrême ?

Au Sommet de la Terre tenu au Brésil en 1992, les Nations Unies créèrent un plan en regard du développement soutenable. Un des buts mis à l’agenda était le contrôle de la population.

Les globalistes et les cinglés de l’environnement déclarent depuis longtemps que la population de la terre doit être réduite à 500 millions de gens. Cela permettrait à la « Mère Terre » de soutenir pleinement l’homme et l’animal. Ces gens-là semblent croire que l’avortement est le moyen idéal le moins visible d’arriver à ce but.

Que dit la Bible à propos de l’avortement ?

La Bible ne parle pas de manière spécifique du sujet de l’avortement. Cependant, il y a de nombreux enseignements dans la Bible qui éclairent le point de vue de Dieu sur l’avortement.

Dans Jérémie 1:5, nous apprenons que Dieu nous connaît avant de nous former dans le sein de notre mère. Dans Psaumes 139:13-14, nous apprenons que Dieu joue une part active dans notre création et notre formation dans le sein maternel.

Si vous avez eu la bénédiction d’assister à la naissance de votre enfant, vous pouvez vous rapporter aux Paroles de Jésus, dans Jean 16:21 : « Quand une femme accouche, elle a des douleurs, parce que son terme est venu ; mais dès qu’elle est accouchée d’un enfant, elle ne se souvient plus de son travail, à cause de sa joie de ce qu’un homme est né dans le monde. »

Les bolcheviques assassinèrent 66 millions de gens, selon Alexandre Soljenitsyne. Mao Tsé-toung et Pol Pot ont respectivement tué des millions de leurs concitoyens. Les avorteurs d’Amérique vont bientôt surpasser ces chiffres incroyables. Mais il y aura un prix élevé à payer pour cet holocauste d’Américains.

Jésus a averti ceux qui veulent faire du mal aux enfants :

« Il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mît au cou une meule de moulin, et qu’on le jetât dans la mer, que de scandaliser un de ces petits » (Luc 17:2).


Notre dernière invention ?

Par Steve Reilly

Tard l’année dernière, des dossiers classés du Service du Revenu Intérieur [impôt américain] rendus dans un procès révélèrent qu’un élitiste de Silicon Valley, Anthony Levandowski, a établi Way of the Future (WOTF) – « Chemin du futur » – une entreprise religieuse sans but lucratif. Cette nouvelle religion va se concentrer sur « la réalisation, l’acceptation et le culte à une Divinité basée sur l’Intelligence Artificielle (IA) développée au moyen de hardwares et de softwares d’ordinateur ».

On s’attendait à une certaine attention de la part des grands médias, mais elle ne frappa pas durement, ni ne creusa bien profondément. Comme la plupart des choses du même genre, elle eut droit à une couverture rapide à la fin des bulletins de nouvelle. « Il n’y a pas de doute que nous comptons sur les ordinateurs, mais de là à les adorer ? Eh bien, un lanceur de technologie millionnaire vient de fonder une religion qui fait exactement ça ! »

À mesure que la société continue de s’éloigner de la Parole de Dieu et s’enfonce de plus en plus dans la spirale de « la phase finale de l’empire » (la décadence), divers veaux d’or parsèment le paysage culturel, (ex. : Un homme dans la cinquantaine avec des larmes de joie qui lui coulent sur les joues, un dimanche après-midi. Submergé par l’amour de Jésus-Christ ? Non. Son équipe sportive vient de remporter le championnat.)

Dans une interview parue dans le magazine Wired, Levandowski émit l’avis que « Les gens voient Dieu de bien des façons et il y a des milliers de saveurs de christianisme, de judaïsme et d’islam… » Le problème, se plaint Levandowski, c’est l’incertitude – le besoin de croire en quelque chose d’incommensurable. Toutefois, avec l’ultra-intelligence, dit fièrement Levandowski, « Cette fois, c’est différent. Cette fois, vous serez capable de parler à Dieu, littéralement, et de savoir qu’il écoute. » Un veau d’or qui « écoute ».

 

La déclaration prophétique du scientiste I. J. Good concernant l’Intelligence Artificielle est plutôt populaire dernièrement, mais les grands courants médiatiques omettent la dernière partie de la citation : « La première machine ultra-intelligente est la dernière invention que l’homme aura besoin de faire, pourvu que la machine soit assez docile pour nous dire comment la garder sous contrôle. »

 

 

Pour garder leur tranchant aiguisé dans notre monde interconnecté, les géants de la technologie rivalisent pour dénicher des employés qui démontrent des talents peu communs en technologie. Levandowski était un de ces talents peu communs. Après avoir obtenu son diplôme à l’Université de Californie, à Berkeley, Levandowski choisit Google où il travailla éventuellement sur la technologie des voitures sans chauffeur.

Il y a une couple d’années, Levandowski laissa Google et, avec trois partenaires, fonda Otto (« voiture » en hébreu), une compagnie qui fabrique des équipements de modification pour conduite sans chauffeur à l’intention des grosses semi-remorques. À noter, un des partenaires d’Otto, Lior Ron, a travaillé pour la division de Renseignement des Forces de Défense israéliennes, atteignant le rang de Chef-officier à l’Entraînement avant de quitter Israël pour s’inscrire à Stanford. Ron collabore maintenant avec Levandowski en étant le chef du bureau des finances de WOTF.

En dedans d’un an, Uber a acheté Otto pour 680 millions $. Peu après, Google poursuivit Levandowski pour avoir volé les recherches sur la voiture sans conducteur et les avoir amenées à Uber via Otto. (La comparaison avec Albert Einstein nous vient à l’esprit. Un génie juif qui vole le travail des autres – apparemment. Einstein est certainement considéré comme un grand-prêtre séculier par la jeunesse d’aujourd’hui – en plein le genre de gens que Levandowski désire dans son Chemin du futur.)

Coupable ou non, Levandowski connaît les recherches sur l’IA aussi bien que n’importe qui et il juge prudent de fonder une religion « amicale » pour l’IA ? Oui. Il a officiellement dit : « Voulez-vous être un animal de compagnie ou du bétail ? » Pourtant, du même souffle, il réfute les initiés inquiets, comme Elon Musk, disant qu’ils réagissent de manière excessive en ce qui a trait aux possibles conséquences négatives.

Pour Levandowski, c’est une question de pouvoir. Il a dit au magazine Wired : « J’aimerais que la machine nous voit comme ses sages bien-aimés qu’elle respecte et dont elle prend soin. Nous voudrions que cette intelligence dise : “Les humains devraient encore avoir des droits, même si je suis en charge.” »

Pourtant, un ingénieur et ancien ami de Levandowski a dit, dans le magazine techno sur Internet, Backchannel : « Il a cette très étrange motivation à propos des robots qui prennent le pouvoir du monde, comme une véritable prise de pouvoir, dans le sens militaire, c’est comme s’il voulait pouvoir contrôler le monde et que les robots en étaient le moyen. »

Des recherches sur l’Intelligence Artificielle nous révèlent que cela ressemble beaucoup à Hollywood (les barbouzes israélien et tout !). Les personnes qui y sont attirées cherchent à devenir très riches très rapidement et ce, avec un minimum d’effort. Une fois la richesse atteinte, ça devient une question de pouvoir. Une religion sur l’IA peut-elle être différente ?

Pendant des décennies, Texe Marrs s’est tenu à la pointe pour examiner les croyances sans nombre en relation avec la prophétie biblique. Le fusionnement de la technologie avec la religion amène spirituellement le Nouvel Âge à un niveau entièrement nouveau.

Terasem est une autre tentative de mélanger la technologie d’ordinateur à la religion. Fondé en 2002 par Martine Rothblatt (comme Levandowski, une lanceuse de technologie millionnaire juive), Terasem affirme que dieu est technologique ; la mort est facultative ; l’amour est essentiel. Vous voyez le portrait ? Une chance pour nous, les gens ne meurent pas, ils n’entrent que dans un état de « biostasie cybernétique » jusqu’à ce qu’un futur « mindware » leur soit disponible pour être « ranimés à la vie indépendante et en santé ».

Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, qui a essayé désespérément de se repositionner de ringard chanceux à gourou au style de vie techno, prend comme affront personnel tout négativisme concernant l’avenir de l’IA. Les adeptes comme lui prétendent que nous devrions être réconfortés, car « la nature de l’Intelligence Artificielle sera tout à fait humaine. »

La Bible nous parle de la nature humaine :

« Le cœur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin ; qui le connaîtra ?. (Jérémie 17:9).




Les politiciens professionnels sont-ils le problème ?

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Avril 2018

Par Jerry Barrett

On dirait que ce n’est qu’hier que Donald Trump a remporté l’élection pour être le 45e Président. Autant les médias contrôlés ont-ils réprimandé tout ce que le Président Trump a essayé d’accomplir, autant le passage du temps ces derniers quatorze mois a semblé avancer au pas d’escargot.

Or, nous sommes maintenant au temps des primaires de mi-mandat. Les Démocrates poussent de tout leur poids pour s’emparer de la Chambre des Représentants et ainsi prendre le contrôle sur les Républicains. Ceux-ci ont les yeux tournés vers la participation des premiers électeurs aux primaires du Texas afin de les aider à tâter le pouls des électeurs.

Peu importe ce qui arrivera pendant ce cycle électoral, George Wallace fut prophétique lorsqu’il déclara : « Il n’y a pas la moindre différence entre les Partis démocrates et républicains. » Cette tournure de phrase fut dite lors de la Campagne présidentielle de 1968, mais elle s’est répercutée dans ma tête pendant des années.

Cependant, cela nous amène à la question : Les politiciens professionnels sont-ils le problème ?

Au fil des ans, j’ai lu de nombreux livres et des articles concernant les fondateurs de notre République constitutionnelle et ceux qui se sont portés « volontaires » au service public. Ces hommes étaient des docteurs, des fermiers, des propriétaires de commerce et ils ressentirent l’obligation d’offrir leurs services pour ensuite retourner à la maison et reprendre leur carrière.

Mais tel n’est pas le cas dans l’arène politique d’aujourd’hui. Nous en avons un parfait exemple en John Dingell (D-MI) qui servit 59 ans et 21 jours avant de se retirer de la Chambre des Représentants en 2015. M. Dingell avait succédé à son père à ce siège quand Dingell sénior s’était retiré après 22 ans comme représentant. Imaginez, une famille ayant servi un total combiné de 81 ans !

John Dingell Jr (au centre) surpassa son père, John Dingell Sr, pour une domination combinée de 81 ans comme représentants du 16e district du Michigan. Or, l’épouse de John Dingell Jr, Debbie, a été élue pour continuer la lignée.

Pour empirer les choses, la plupart des Américains ne savent pas que les politiciens peuvent commettre des délits d’initiés sans être poursuivis. C’est vrai, ces gens-là sont au-dessus des lois ! Laissez Jean Public commettre un acte de délit d’initiés et il sera puni à la pleine mesure de la loi.

Le Président Obama tenta d’arrêter le délit d’initié au Congrès quand, en 2012, il signa la loi STOCK qui interdisait les affaires commerciales basées sur une connaissance des éléments du Congrès. Cela fonctionna jusqu’en 2013, alors que le Congrès amenda la loi en douce par un vote de procédure rapide et sournois. Le Directeur des stratégies de revenu à Investmentu.com, Marc Lichtenfeld dit : « J’ai une façon infaillible de devenir riche … et cela n’exige pas beaucoup de risques parce que vous en connaissez déjà le résultat. En fait vous contribuerez à la décision. Tout ce que vous avez à faire pour accroître votre valeur nette par dix, c’est de vous faire élire au Congrès. »

Est-ce ce que l’Amérique est devenue ? Élisons-nous des criminels pour nous représenter ? Combien de ces moustiques de la malaria s’affairent dans le marécage de Washington, D.C. ?

Nombre d’Américains ont réclamé que des limites de mandat soient appliquées à nos employés élus. Mais les gens en pouvoir ne désirent pas abandonner si facilement, donc, cette idée fut toujours repoussée.

Mais si l’apathie des électeurs n’était pas si élevée, on n’aurait pas à exiger de limites de mandat parce que ces chacals ne seraient pas réélus à leur poste après un ou deux mandats. Les politiciens professionnels le savent et incluent donc des projets de loi de finance pour amener de l’argent dans leur région.

Les Américains ont depuis longtemps des soupçons à propos de ces mécréants. Dans un numéro de 1836 du Democratic Review, on déclare que « En Amérique, nous n’avons pas une grande confiance dans les politiciens professionnels. »

Les qualifications et les caractéristiques des politiciens professionnels sont diamétralement opposées aux buts supposés d’une démocratie représentative. Beaucoup n’ont jamais possédé d’affaires, rencontré des effectifs ou avoir à déclarer un profit pour garder les portes ouvertes et, pourtant, ils rédigent le budget d’un conglomérat multi-trillionnaire.

En fait, beaucoup de ces politiciens professionnels ont vécu toute leur vie sur le dos des payeurs de taxe. Un grand nombre sont des avocats et clament connaître la loi, mais n’ont jamais pratiqué.

Si nous sommes pour avoir des lois qui reflètent la réalité de la société américaine, il nous faut des gens réalistes en poste qui y sont allés et l’ont fait. Cela signifie que nous ne pouvons tolérer des politiciens et des présidents en poste quarante ans et qui n’ont même jamais tiré un chèque de paie du secteur privé.

Il est impossible aux politiciens professionnels de savoir ce qu’est la vie quotidienne de l’Américain moyen. Le simple fait que nous utilisions parfois l’expression « la classe dirigeante » pour décrire nos politiciens me dit qu’il y a une véritable rupture entre ceux qui établissent les règles dans notre pays et ceux qui doivent les suivre.

Mais la professionnalisation de la politique ne s’arrête pas sur les marches du Congrès. Les bureaucrates, le personnel, les lobbyistes et les consultants font aussi bien leur carrière en politique. Les consultants professionnels ont pratiquement pris le contrôle de la politique publique.

Le Président Andrew Jackson déclara un jour : « Il y a peut-être très peu d’hommes qui puissent, pour une grande période de temps, jouir d’un poste et du pouvoir sans être plus ou moins sous l’influence de sentiments défavorables au fidèle exercice de leurs devoirs publics. » Jackson dit aussi : « Plus un membre en poste se sentira en sécurité, plus ses intérêts divergeront de ceux de ses constituants. »

Le précédent d’un Président ne servant que pendant deux mandats fut établi par George Washington. D’aucuns diront qu’il s’agissait d’une sauvegarde contre le type de pouvoir tyrannique exercé par la Couronne britannique durant l’époque coloniale. Même si quelques-uns se présentèrent pour un troisième mandat, ils ne furent pas réélus.

Cela changea avec Franklin D. Roosevelt qui fut élu quatre fois. Des discussions sur les limites de mandat présidentiel débutèrent en 1944 et le 22e Amendement fut adopté en mars de 1947. Cela semble être une loi inopportune pour un ancien Président.

Roosevelt fut le seul Président à avoir été élu pour quatre mandats.

La plupart des anciens Présidents ont quitté Washington et s’en sont retournés à la maison. Cela étant pour permettre de manière respectueuse à la nouvelle administration d’implanter son programme. Malheureusement, cela ne s’est pas produit avec Barack Obama. Il a acheté une maison de 8 200 pieds carrés pour servir de centre nerveux à son « gouvernement fantôme ».

Je me rappelle de nombreux courriers durant le règne du Président Barack Obama comme Commandeur-en-Chef. On y a cité à plusieurs reprises le Psaume 109:8 qui dit : « Que ses jours soient peu nombreux ; qu’un autre prenne sa charge ! » Mais en regardant le taux d’approbation quand Obama quitta son poste – plus de 50 % – celui-ci a sûrement eu le sentiment que ses actions étaient encore en grande demande.

Au lieu de s’engager dans des projets humanitaires, Obama s’occupe à mener des protestations et des actions violemment opposées aux initiatives du Président Trump. Même si Obama n’a pu être capable de persuader les Américains d’élire Hillary Clinton, il y a de plus en plus d’informations émises au sujet de la collusion d’Obama avec le FBI et le Département de la Justice pour empêcher Trump de gagner. Il semble que Barack préparait sa vie après la Maison Blanche, même pendant qu’il occupait le Bureau Ovale.

La corruption et le mal allant toujours en s’accroissant dans la bureaucratie de Washington, D. C., cela semble refléter ce qui est écrit dans Ésaïe 5:13-15 : « C’est pourquoi mon peuple sera emmené captif, faute de connaissance ; sa noblesse mourra de faim, son peuple languira de soif. C’est pourquoi le Sépulcre s’est élargi ; il ouvre sa gueule sans mesure ; la magnificence de Jérusalem y descend, sa foule bruyante et joyeuse. Les hommes seront abattus, les grands seront humiliés, et les yeux des superbes seront abaissés. »

La « professionnalisation » de la politique a créé un « gouvernement permanent », plus connu sous le nom de « l’establishment ». Durant la dernière moitié du vingtième siècle, les responsables élus ont passé beaucoup plus de temps dans leur poste public que durant toute autre période de l’histoire américaine.

Décidément, nos ancêtres étaient contre un gouvernement tyrannique. Malheureusement, nous sommes restés sans rien faire et avons permis à une poignée d’engranger le pouvoir au point où nous ne sommes plus que des serfs dans ce royaume. Il est temps de vous tenir debout et de faire entendre votre voix.

« Que celui qu’on instruit dans la Parole, fasse part de tous ses biens à celui qui l’instruit. Ne vous abusez point ; on ne se joue point de Dieu ; car ce que l’homme aura semé, il le moissonnera aussi. Celui qui sème pour sa chair, moissonnera de la chair la corruption ; mais celui qui sème pour l’Esprit, moissonnera de l’Esprit la vie éternelle. Ne nous lassons point de faire le bien, car nous moissonnerons dans la saison convenable, si nous ne nous relâchons pas. C’est pourquoi, pendant que nous en avons l’occasion, faisons du bien à tous, mais surtout à ceux qui sont de la famille de la foi » (Galates 6:6-10).

[Les pays de langue française à qui Mission : Moisson des Élus s’adresse sont coulés dans le même moule, car la conspiration mondiale de l’élite non élue opère partout. Vérifiez qui est élu dans votre pays et de quelle manière cette personne est mise en poste et vous ferez les mêmes constatations.]

Histoire de deux Royaumes et de la victoire de Jésus

Par Sandra Myers

« Car si Abraham a été justifié par les œuvres, il a sujet de se glorifier, mais non pas devant Dieu. Car que dit l’Écriture ? Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice »

(Romains 4:2-3)

L’Alliance n’est pas la loi. Ça n’a jamais été la loi. L’Alliance, c’est purement de croire. C’est Dieu plus… rien. L’Alliance n’est fondée uniquement que sur ce que Dieu va faire, non pas sur la loi ou les exigences et l’exécution de la loi. L’ALLIANCE EST ENTIÈREMENT FONDÉE SUR LA GRÂCE !

En Éden, Dieu ne donna pas de lois. Il S’entretenait directement avec Adam et Ève. Mais ce n’était pas assez bon pour eux. Ils voulaient participer et agir à leur manière à eux ; donc, ils permirent qu’on les persuade que la connaissance leur donnerait le contrôle de leur propre destinée. Dieu Se sépara d’Adam et Ève en les expulsant de l’Éden.

Dans Exode 18, sous Moïse, les Hébreux n’étaient pas satisfaits d’être près de Dieu, d’avoir Dieu si proche en leur présence et de servir Dieu sous l’Alliance. Les Hébreux exigèrent une « participation » et réclamèrent donc que l’on établisse des lois qu’ils puissent exécuter et qu’ils soient par conséquent en mesure de contrôler leur propre destinée. Même si Dieu céda à leurs demandes, il en résultat que Dieu érigea une barrière distincte entre Lui et le peuple sous peine de mort.

Dans 1 Samuel 8, nous voyons encore que les Hébreux ne sont pas contents avec Dieu ; les lois qu’ils avaient exigées de Lui n’étaient plus bonnes. Ils dirent à Samuel : « Dis à Dieu que nous devons avoir un roi pour régner sur nous, comme toutes les autres nations du monde. » Samuel est consterné et il a le sentiment qu’après toutes ses années de service en tant que juge assigné par Dieu, on le rejette. Dieu dit à Samuel que « non, ce n’est pas toi qu’ils rejettent – c’est Moi. »

Quand vous lisez entre les lignes, les Hébreux ne demandaient pas un roi sage pour se trouver plus près de Dieu. Ils voulaient plutôt un roi régnant sur eux avec la pompe et le pouvoir extérieur qu’ils voyaient dans le monde.

Samuel les avertit que ce n’était pas dans leur meilleur intérêt. Un tel roi s’emparerait de leurs serviteurs, de leur bétail, de leur moisson et de leur terre, ainsi que de leurs fils et de leurs filles dans le but de régner. « Oui, » exigèrent-ils, « c’est ce que nous voulons ! » Puisque le peuple devenait de plus en plus comme le monde et créait son propre royaume sur terre, cela épaissit davantage la division entre ce peuple et Dieu.

Lorsque l’insurgé et meurtrier Barabbas, et l’Agneau de Dieu Jésus furent amenés devant la foule des Juifs et que ceux-ci se firent offrir le choix, suivant l’exemple des Pharisiens et des Sadducéens, ils choisirent quelqu’un qui, croyaient-ils, serait un puissant guerrier. Ils rejetèrent jusqu’à la présence même du Fils de Dieu, leur Messie, leur Sauveur. Encore-là, les Juifs cherchaient à contrôler leur propre destinée – établir leur royaume ici sur terre.

En ces temps de célébration de la victoire de Jésus sur la punition de la mort éternelle, il est plus impératif que jamais de témoigner devant les Juifs et les Gentils. Le sol est à égalité au pied de la Croix. Dieu ne fait acception de personne. La proclamation d’être bon ou d’avoir Abraham comme père ne couvrira les péchés de personne et le royaume construit sur cette terre disparaîtra. Ne partagerez-vous pas le Royaume éternel de Dieu dès maintenant avec vos amis, votre famille et votre voisinage ? Juif ou Gentil, nous avons tous besoin de Jésus comme Sauveur pour hériter du Royaume des cieux de Dieu. Croyez seulement.




L’infiltration sioniste de l’Église chrétienne

Tapie au sein de la vérité se trouve la séduction du mal

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2018

Par Jerry Barrett

À de nombreuses reprises, nous avons, ici au ministère, dû répondre à la question « Qu’est-ce que le sionisme ? » Le sionisme se définit comme « un mouvement pour le développement et la protection d’une nation juive dans ce qu’on appelle aujourd’hui Israël ». Toutefois, ce mouvement dépasse de loin cette brève définition.

Reconnu comme le père du sionisme, Théodore Herzl constitua ce mouvement en tant qu’organisation politique, à la fin des années 1800, au Premier Congrès Sioniste. Beaucoup ont invoqué que les Protocoles des Sages de Sion émanèrent de cette rencontre. On a dit que ces protocoles étaient le « projet » d’Herzl d’une Utopie sioniste.

Qui était le bienfaiteur de Cyrus Scofield – ancien politicien, avocat et présumé escroc – qui appuya cette invasion sioniste de l’Église chrétienne ? D’après Joseph M. Canfield, auteur de l’explosif exposé The Incredible Scofield and His Bible, il s’agissait de l’avocat de Wall Street Samuel Untermeyer.

Untermeyer employa Scofield pour injecter des idées sionistes dans le protestantisme américain. D’autres sionistes puissants et influents furent présentés à Scofield et, éventuellement, la Presse Oxford d’Angleterre édita le livre de Scofield en 1909.

Les commentaires annotés de Scofield ont persuadé des générations d’évangélistes de croire que Dieu exige leur complet soutien de l’Israël des temps modernes. Des dizaines de millions d’Américains sont devenus des sionistes sans compromis.

Guerre au christianisme

Aujourd’hui, presque toutes les organisations ecclésiastiques reconnaissent à Israël le droit d’exister en se fondant sur les mensonges affirmant que les Juifs modernes sont les Hébreux de la Bible et que le judaïsme est le précurseur du christianisme. John Hagee est l’instigateur de la Guerre au christianisme en plaçant Mammon devant Dieu. Hagee est un féroce supporteur de tout le mal que fait et maintient Israël. Hagee a même eu la totale effronterie d’écrire un livre déclarant que Jésus n’est pas venu pour être le Messie des Juifs.

John Hagee n’est pas seul à supporter Israël et à défendre ses actions, aussi méprisables soient-elles. Si les chrétiens aimaient vraiment les Juifs, ne devraient-ils pas leur parler de leur Messie, Jésus, afin qu’eux aussi entrent dans le Royaume ?

Malheureusement, Hagee n’est pas le seul à avoir vendu son âme aux Juifs sionistes et leur Synagogue de Satan. Lui et les gens de son espèce continuent à propager la fausseté que l’Israël moderne est l’accomplissement de la Parole de Dieu. Ils proclament que les Juifs sont le « Peuple élu de Dieu ».

Des loups en habits de brebis

En vérité, je vous le dis, ces apostats qui font de l’opportunisme derrière les chaires d’aujourd’hui sont des cracheurs de faussetés. Promouvoir qu’il y a une race au-dessus des autres n’est pas ce que nous a enseigné Jésus. Lisez soigneusement Matthieu 7:15-23 :

« Gardez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous en habits de brebis, mais qui au-dedans sont des loups ravissants. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons ? Ainsi tout bon arbre porte de bons fruits ; mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits. Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits. Tout arbre qui ne porte point de bon fruit est coupé et jeté au feu. Vous les connaîtrez donc à leurs fruits. Ce n’est pas tout homme qui me dit : Seigneur ! Seigneur ! qui entrera dans le royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur ! Seigneur ! n’avons-nous pas prophétisé en ton nom ? et n’avons-nous pas chassé les démons en ton nom ? et n’avons-nous pas fait plusieurs miracles en ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus ; retirez-vous de moi, vous qui faites métier d’iniquité. »

Si seulement la bergerie qui s’est fait duper par l’invasion sioniste dans l’Église chrétienne pouvait étudier la Parabole des vignerons, elle se réveillerait sûrement devant le mal se tapissant dans sa maison.

Nous lisons ce puissant enseignement de Jésus dans Matthieu 21:33-42 :

« Écoutez une autre similitude : Il y avait un père de famille qui planta une vigne; il l’environna d’une haie, il y creusa un pressoir et il y bâtit une tour; puis il la loua à des vignerons, et s’en alla faire un voyage. La saison des fruits étant proche, il envoya ses serviteurs vers les vignerons pour recevoir les fruits de sa vigne. Mais les vignerons, s’étant saisis des serviteurs, battirent l’un, tuèrent l’autre, et en lapidèrent un autre. Il envoya encore d’autres serviteurs, en plus grand nombre que les premiers, et ils les traitèrent de même. Enfin il envoya vers eux son fils, en disant : Ils auront du respect pour mon fils ! Mais quand les vignerons virent le fils, ils dirent entre eux : C’est ici l’héritier ; venez, tuons-le, et nous saisissons de son héritage. Et l’ayant pris, ils le jetèrent hors de la vigne, et le tuèrent. Quand donc le maître de la vigne sera venu, que fera-t-il à ces vignerons ? Ils lui répondirent : Il fera périr misérablement ces méchants, et il louera sa vigne à d’autres vignerons, qui lui en rendront les fruits en leur saison. »

La corruption démarre au Séminaire

L’infiltration de l’Église d’aujourd’hui par les chrétiens sionistes n’a pas été vérifiée depuis trop longtemps. Les séminaires ont été corrompus par des milliers d’instructeurs qui poursuivent la propagande du faux évangile chez les jeunes esprits à leur insu. Ceux-ci, à leur tour, le répandent dans les congrégations inconscientes partout au pays.

Dans le livre des Actes, nous voyons Paul et Silas prêchant au peuple de Bérée. Mais, contrairement aux gens de l’ère moderne qui croient sans retenue toute parole qui sort de la bouche de leurs pasteurs, les Béréens « eurent des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique, et ils reçurent la Parole avec beaucoup de promptitude, examinant tous les jours les Écritures, pour voir si ce qu’on leur disait était exact » (Actes 17:11).

Voilà d’où provient l’expression « être un bon Béréens ». Ils écoutaient Paul et Silas, mais ils vérifiaient tout ce qu’ils prêchaient dans la Sainte Parole de Dieu afin de s’assurer de leur véracité. Combien de réchauffeurs de banc amènent vraiment aujourd’hui une Bible à l’église ? Ils ne seraient assurément jamais en désaccord avec les enseignements de leurs pasteurs, encore moins tenteraient-ils de mettre en lumière leurs erreurs.

Ça a mené à la dilution de la Parole de Dieu. Cela conduira sûrement à la mort du christianisme à moins que l’on n’arrête cette tendance et qu’on la renverse. Cela semble la phase finale de l’invasion sionisme dans le christianisme.

Les Églises de maison sont-elles la réponse ?

Heureusement, un bon nombre se sont réveillés face aux loups en habits de brebis et ont débuté leurs propres églises de maison. Jésus nous a dit : « Car où il y a deux ou trois personnes assemblées en mon nom, je suis là au milieu d’elles » (Matthieu 18:20).

Jésus nous a dit que le Saint-Esprit serait notre enseignant : « Mais le Consolateur, le Saint-Esprit, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous remettra en mémoire toutes celles que je vous ai dites » (Jean 14:26). Dans la Parole de Dieu, nous allons trouver la vérité, pas le sionisme chrétien qui se réserve à ceux qui assistent aux églises tièdes d’aujourd’hui.