Biden et Netanyahou sont-ils en train d’organiser une guerre aux États-Unis ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

30 mai 2024

Je commence en le disant carrément : l’Amérique est sur le bord d’une guerre ! Et je ne parle pas seulement d’une guerre à l’étranger ; je parle d’une guerre au sein même des États-Unis. Et ces guerres sont délibérément organisées par le Président Joe Biden des États-Unis et le Premier Ministre Benjamin Netanyahou en Israël.

Langage fort ? Oui. Mais les faits prouvent que le langage n’est pas de l’hyperbole.

Le 8 février, j’ai écrit un article intitulé Le gouvernement américain donne des millions de dollars au groupe juif qui escorte les illégaux aux États-Unis.

Dans cet article, je citais Peggy Hall disant :

Voici les sales détails sombres de la manière par laquelle les USA payent financièrement la note de l’invasion des immigrants.

Il y a une organisation juive appelée HIAS dont l’abréviation veut dire Société d’Aide Hébraïque pour les Immigrants.

L’HIAS obtient des centaines de millions de dollars en financement américain par l’intermédiaire du Bureau de Relocalisation des Immigrés (ORR). Celui-ci a été créé par Brandon Biden pour faire partie du Département des Services Humanitaires de la Santé dans le gouvernement fédéral. (Note : juste un rappel à savoir jusqu’à quel point le gouvernement est démesuré et excessif. Il n’y a RIEN dans la Constitution qui permette ces agences sans entrave qui sont créées selon le caprice du Président.).

Vérifiez ici le site internet de ORR et remarquez vers la fin de la liste les agences qui obtiennent des subsides assortis à partir de VOTRE argent.

Vous allez voir que l’HIAS est une des agences listées.

L’HIAS dépense VOS taxes en faisant venir 500 000 illégaux de l’Amérique du Sud et de l’Amérique Centrale jusqu’aux États-Unis.

Vous pensez que l’on devrait accueillir les pauvres immigrants en déroulant le tapis rouge devant eux ? Après tout, pensons aux conditions déplorables auxquelles ils échappent, sans mentionner les risques que prennent ces personnes en quête d’asile en essayant de fuir vers une vie meilleure.

Hum… ce n’est pas vraiment le cas, du moins pour ces réfugiés-là qui sont secourus à chaque étape de leur chemin par l’HIAS (financé à coups de millions de dollars par le gouvernement américain).

Poursuivez votre lecture et je vais vous montrer comment l’HIAS décrit de quelle façon il aide un DEMI-MILLION de réfugiés à traverser le dangereux Golfe de Darién dans la jungle panaméenne afin de s’emparer de l’argent, du logement, du transport, des subsides monétaires, des soins de santé et des emplois qui devraient revenir aux Américains authentiques.

Après que cet article ait été publié, je fus grondé par plusieurs personnes m’accusant de tordre les faits en ce qui regarde la portée du lien de l’HIAS avec la collusion entre la Maison Blanche de Joe Biden et l’organisation israélienne dans la contrebande planifiée et orchestrée, non pas de 500 000, mais de quelques millions de criminels étrangers illégaux aux États-Unis – aux dépens du payeur de taxe et à hauteur de plusieurs milliards de dollars.

Eh bien, il s’est avéré que, non seulement avais-je raison, mais on n’en avait pas dit la moitié.

Dans une entrevue en podcast avec l’Agent en Charge, depuis vingt-quatre ans, de la Patrouille Frontalière, J. J. Carrell, le 18 mai, Clayton Morris a révélé que la conspiration traîtresse entre Biden et l’agent d’Israël, la Société Hébraïque d’Aide aux Immigrés (HIAS), est encore plus profonde et encore plus sinistre que nous aurions pu l’imaginer.

Voici quelques bribes de cette entrevue choquante – entrevue que tout le monde devrait regarder.

[Clayton Morris] : Plus nous en apprenons à ce sujet, plus c’est troublant. Le gouvernement des États-Unis travaillant main dans la main avec des organismes non-gouvernementaux (ONG) pour amener des millions d’immigrés illégaux aux États-Unis. Si vous ne pensez pas que tout est planifié, alors, vous devez vous faire examiner le cerveau. Rien n’arrive par coïncidence. Tout cela fait partie d’une vaste opération.

  1. J. Carrell est un vétéran de vingt-quatre ans de la Protection des Douanes et ce qu’il vient juste de découvrir, et qui fait partie de son nouveau documentaire appelé Trahison, est tout simplement stupéfiant. J. J. a été assez aimable pour m’envoyer des dépêches de son documentaire pendant qu’ils filment là-bas. C’est à en rester bouche bée. Il parle de ses sources au sein des ONG qui ne veulent pas révéler leur visage à la caméra ; ils ne veulent non plus y faire entendre leur voix. Ce qu’ils disent à J. J. est tout simplement choquant. Écoutez.

[Source] : C’était les Services Familiaux Juifs [HIAS], et vous aviez les Services Familiaux Juifs qui avaient aussi sous eux des ONG sous-jacentes, que ce soit les Services Familiaux Luthériens, les Services Familiaux Catholiques, vous savez, et ensuite toutes sortes de services familiaux. Mais ils ont tous la même compagnie mère [HIAS]. [Emphase ajoutée]

[J. J.] : Donc, vous avez payé les Services Familiaux Juifs et ensuite vous avez payé…

[Source] : …tous les sous-contractants, mais ils ont tous le même bénéficiaire, pour la plus grande partie.

[CM] : Et J. J. nous rejoint maintenant, fraîchement arrivé de son dernier périple. J. J., bienvenue à votre retour au show.

[J. J.] : Merci de m’accueillir, Clayton. Je suis vraiment excité de pouvoir parler de ceci, car le plus gros crime à être découvert dans les quelques prochaines années, c’est le partenariat entre les ONG et le gouvernement fédéral et la coquette somme de dizaines de milliards de dollars, sinon des centaines de milliards de dollars, après que le terme de quatre ans de Biden aura pris fin.

J’avais une très bonne idée de ce qui se passait, de ce qui transpirait, mais quand vous parlez avec des gens qui sont dans ces rencontres… Donc, l’individu à qui j’ai parlé était un employé du DHS. C’est lui qui prépare les chèques donnés aux ONG. Et il me dit, et il m’étale à quoi cela ressemble. Il prépare les chèques pour les Services Familiaux Juifs, les organismes de charité catholiques et une couple d’autres.

Et je dis : « Parle-m-en, donne-moi juste un exemple. » Et il poursuit : « D’accord. Les Services Familiaux Juifs. Laisse-moi t’expliquer comment ça marche. Les Services Familiaux Juifs… » Je dis : « Coupe-là. Dis-moi le montant, d’accord, avant que tu commences. » Il dit : « Six cent millions de dollars. » Et je dis : « Ok, était-ce un contrat de deux ou trois ans ? » Il poursuivit : « Non, c’était de deux-trois à six mois, au max. » Au max !

Ensuite, il me parla de ce qui m’apparut comme vraiment stupéfiant, où le plan de blanchiment d’argent entrait en compte. Il poursuit donc : « Vous avez les Services Familiaux Juifs au sommet. » Il dit qu’ils ont 50, disons seulement de 50 à 100 sous-contractants en dessous d’eux. « Après que je leur ai donné, » me dit-il, « après que j’aie préparé le chèque de 600 millions $, alors les plus petits sous-contractants qui sont responsables de la nourriture, des vêtements, du logement et de tout ce que les 600 millions $ ne couvrent pas ou ne couvrent pas suffisamment, ces sous-contractants nous appellent et disent, “Nous avons besoin de 10 millions, ici. Nous avons besoin de 5 millions là.” » [Emphase ajoutée]

Et je dis : « Eh bien, est-ce que vous le vérifiez ? » Il continue : « Non. Nous sommes en mode d’urgence. Alors nous leur préparons les chèques immédiatement » Et il dit : « Mais c’est là que les choses deviennent dingues, J. J.. Quand je prépare les chèques pour les sous-contractants, je prépare le chèque pour le même destinataire. J’envoie les mêmes fonds aux Services Familiaux Juifs, au même compte. Ainsi, vous avez les Services Familiaux Juifs qui obtiennent 600 millions $, mais vous avez 50 à 100 sous-contractants que je paye, mais je les paye au même compte bancaire que les Services Familiaux Juifs. Tout est un mensonge, c’est tout simplement un gros mensonge. »

Et je dis : « D’accord, eh bien, vous préparez un chèque de 600 millions $. Suivez-vous maintenant la trace du chèque ? » Et il répond : « Écoutez, vous devez comprendre, J. J., que personne ne suit la trace de l’argent. Personne ne s’en soucie. » Il dit : « Il faut que vous compreniez que le gouvernement fédéral a créé une situation chaotique à la frontière. Vous avez des millions de gens qui traversent les frontières. La Patrouille des Douanes, le DHS, le CBP, la FEMA. Personne n’a les ressources/le personnel pour déplacer des millions de gens des frontières de l’Amérique. C’est là qu’entrent en jeu les ONG. Les ONG font le déplacement du peuple et de la nourriture en Amérique. C’est le partenariat démoniaque entre le gouvernement et les ONG.

Donc, quand les gens parlent des mâles adultes d’âge militaire qui affluent dans notre pays, sachez qu’il s’agit de 50 % à 70 % de la population illégale totale qui entre en Amérique. On nous a vendu le mensonge qu’il s’agissait d’unités familiales, de bébés, d’enfants. Oui, il y en a. Mais les hommes célibataires adultes d’âge militaire arrivent par millions, par dizaines de millions en Amérique. Vous le voyez… vous l’avez parfaitement mentionné. C’est ce qui arrive en Europe.

Rien n’arrive dans le monde par hasard. Il n’y a pas de hasard : « eh bien, c’est simplement arrivé comme ça. Il est simplement arrivé que des dizaines de millions d’hommes adultes illégaux d’âge militaire aient afflué en provenance de l’Hémisphère Sud en entrant dans le Nord, veuillez m’excuser, dans les nations occidentales du monde. » Ce n’est pas par hasard.

Et quand vous… c’est dur. Je sais que c’est dur d’entendre quelqu’un dire que le gouvernement fédéral fait ça. Et il est difficile de le dire ; il est dur de comprendre ce qu’il en ressortira. Mais ce sera la dévastation et la destruction. Et je pose toujours cette question, Clayton : « Si vous n’êtes pas d’accord avec ma conclusion, si vous n’êtes pas d’accord avec mon analyse, alors dites-moi pourquoi le gouvernement fédéral sous Joe Biden a amené 30 millions d’étrangers illégaux dans notre pays. » Et personne ne peut répondre à cela.

Encore une fois, écoutez l’entrevue entière.

Alors, mes détracteurs, qui disaient que j’exagérais le rôle de l’HIAS dans le raccompagnement de millions d’illégaux en Amérique, de même que d’autres ONG religieuses impliquées, avaient tort. Il est vrai que de nombreuses ONG sont impliquées, mais TOUTES les ONG sont subordonnées à l’HIAS. Et l’HIAS distribue TOUT l’argent des payeurs de taxe américains à ces autres ONG. Ce que nous avons donc ici, c’est une conspiration clandestine et traîtresse de la Maison Blanche de Biden et d’une ONG israélienne pour transporter des dizaines de millions d’étrangers illégaux criminels – dont la plupart sont des mâles célibataires d’âge militaire et sans attache – aux États-Unis, aux dépens du payeur de taxe.

Puis, il y a tout juste quelques jours, Morris fit une suite d’entrevue avec Carrell à propos de la situation réelle en ce qui a trait aux étrangers illégaux criminels dans les quartiers déshérités de Chicago, en Illinois. J. J. dit en termes on ne peut plus clairs que la GUERRE ouverte éclaterait bientôt à Chicago parce que les citoyens de ces quartiers défavorisés (en grande partie noirs) sont chassés délibérément et systématiquement de leurs maisons et de leurs gagne-pains par le gouvernement fédéral en collusion avec le maire de Chicago et les fonctionnaires de la ville afin de donner des milliards de dollars aux étrangers criminels provenant principalement du Venezuela, en les installant dans des appartements de première classe, en fournissant la meilleure nourriture, les meilleurs vêtements et le transport (et la chaleur en hiver) – et en permettant également aux illégaux d’acheter et de conduire de belles automobiles sans avoir de permis, d’enregistrement, de plaque d’immatriculation ou de tout document légal pour le véhicule ou le droit de le conduire.

Les citoyens des quartiers pauvres de Chicago en ont assez ! Tout ce qu’il faudra, c’est qu’un jeune noir soit tué ou qu’une jeune fille noire soit violée par un étranger illégal, et la guerre contre les envahisseurs étrangers va exploser à Chicago. Et les officiers de police le savent ; et ils ont dit que, lorsque cela arrivera, il n’y aura rien qu’ils puissent faire pour stopper cela. Et quand cela aura commencé à Chicago, cela va se répandre dans tous les quartiers défavorisés de toutes les plus grandes cités d’Amérique.

Regardez l’entrevue !

Et sauf les évangéliques sionistes chrétiens (qui aiment la guerre), la plus grande partie du peuple des États-Unis en ont soupé de voir l’Amérique se rendre complice du nettoyage ethnique génocidaire d’Israël à Gaza et en Cisjordanie. Mais quand les politiciens corrompus de Washington, D. C., se sont-ils jamais préoccupé de ce que voulaient les citoyens américains ?

Washington « s’enfonce » dans son soutien maniaque à Israël. Donald Trump a dit cette semaine que s’il est réélu, il va déporter tous et chacun des étudiants collégiaux pro-Palestine des États-Unis. Et l’administration Biden et le Congrès – particulièrement le Congrès républicain contrôlé par les sionistes – prennent la défense d’Israël de manière pathologique.

Philip Giraldi :

À en juger les développements au cours des quelques dernières semaines, il semblerait que rien de ce qui arrive à Washington ne compte autant que de défendre Israël, peu importe ce que fait l’état juif. La Maison Blanche et son Président à l’esprit embrouillé Joe Biden sont obsédés par tous les tournants et virages d’Israël et le narratif formulé par les médias, le tout basé sur deux mots clés : « terrorisme » et « antisémitisme ». Cela se joue comme suit : Israël est une victime du terrorisme de ses ennemis qui cherchent à le détruire, et ceux qui critiquent la réaction « d’autodéfense » israélienne ne sont motivés que par l’antisémitisme, rien de moins. On déclare aussi de manière ridicule à Washington qu’Israël est pleinement capable de faire enquête sur lui-même si des crimes de guerre sont vraiment commis, quelque chose qu’il n’a jamais fait ; notez particulièrement le manque de tout suivi dans les cas impliquant les récents assassinats de citoyens américains.

La nécessité de soutenir ce qui fait de toute évidence partie d’un narratif suspect de disculpation fait en sorte que les clowns de l’administration, comme Karine Jean-Pierre, Matthew Miller, John Kirby et Anthony Blinken, se battent entre eux en essayant d’expliquer les développements par des arguments qui sont fréquemment fondés sur des mensonges. Parfois, les mensonges sont énormes, comme les déclarations de Blinken que la politique étrangère américaine ne favorise pas Israël et qu’elle traite tout le monde de la même façon, ou encore qu’une enquête approfondie du Département d’État n’a pu soutenir les déclarations disant qu’Israël s’engage dans des crimes de guerre qui incluraient le génocide.

Les États-Unis s’attaqueraient aussi instinctivement contre toute institution ou tout gouvernement qui est arrivé à mettre en colère Israël et son venimeux leader psychopathe, le Premier Ministre Benjamin Netanyahou. La décision récente de la Norvège, de l’Irlande et de l’Espagne de reconnaître le statut d’état palestinien porte à 145 le nombre de pays qui ont franchi le pas. Ce geste a mis Netanyahou en furie et il a convoqué les ambassadeurs de ces pays en appelant cela une « récompense pour la terreur ». L’on se demande si les États-Unis vont suivre et rompre leurs relations diplomatiques avec ces trois pays par ailleurs amicaux et même pays alliés, ou les punir et les sanctionner d’une quelconque autre façon. Ce genre de terrorisme opère souvent en deux directions, et qu’Israël ait été une puissance d’occupation cruelle, raciste et capricieuse semble avoir échappé à l’attention des experts de Washington qui n’arrive pas à considérer Israël autrement que comme une victime perpétuelle innocente de toute accusation.

Et puis il y a la récente déclaration de la Cour Criminelle Internationale (CCI) à La Haye qui chercherait des mandats d’arrêt relativement à de possibles crimes de guerre commis par Netanyahou et son Ministre de la Défense, Yoav Gallant, ainsi que le leader du Hamas, Yahya Sinwar et ses adjoints Mohammed Deif et Ismail Haniyeh. Cela a provoqué un cri d’angoisse à la Maison Blanche qui argue que la CCI n’a pas juridiction puisqu’Israël, comme les États-Unis, n’est pas signataire du Traité de Rome qui a fondé la cour en 2002, même si la Palestine l’est. Joe Biden a également dit lundi que « Quoiqu’en dise ce procureur, il n’y a aucune équivalence – aucune – entre Israël et le Hamas. » Il appuya cette déclaration sans pertinence légale par l’affirmation habituelle que « Nous allons toujours nous dresser avec Israël contre les menaces à sa sécurité. » En fait, la cour a été créée pour aborder les crimes de guerre et les génocides qui échappent aux enquêtes et aux poursuites normales, et les 124 pays signataires ont le pouvoir d’arrêter les dits individus qui sont sous le coup de mandats exceptionnels, advenant le cas où ils pénétreraient dans leur juridiction.

Le second argument apporté à la fois par Netanyahou et les sifflets de Biden, c’est que Netanyahou et Gallant sont manifestement des fonctionnaires du gouvernement, pas des terroristes, tandis que Sinwar et ses collègues le sont, ce qui signifie que des standards différents doivent être utilisés pour juger de leurs actions. Bien sûr, le meurtre de masse de l’état d’Israël de 40 000 civils par les Forces de Défense d’Israël (FDI) et son utilisation délibérée de la famine s’accorderait bien à la définition de la plupart des gens concernant la terreur, mais ce n’est apparemment pas persuasif en ce qui a trait à Israël, au Congrès américain, à la Maison Blanche et au grand courant médiatique contrôlé par le sionisme.

Chose intéressante, comme question secondaire, puisque les États-Unis sont complices des crimes de guerre commis par Israël dû au fait qu’ils financent et arment la guerre de Netanyahou, ils pourraient bien finir par être accusés par la CCI. Ce pourrait être un réel avertissement et rendre de nombreux Américains, dont moi-même, très heureux de voir Biden et Blinken se retrouver en prison ! Et par implication, les accusations de la CCI sont aussi une mise en examen des autres alliés occidentaux d’Israël. Si Netanyahou est coupable de meurtre, d’extermination et de provocation à la famine de civils, de même le sont ceux qui arment et financent Israël tout en lui donnant protection politique. Cela n’inclut pas seulement Joe Biden, mais aussi Rishi Sunak et Keir Starmer en Grande-Bretagne et d’autres leaders européens occidentaux assis entre deux chaises et regrettent le taux de morts tout en fournissant des armes à Netanyahou. Quant à Washington, toutefois, au contraire de ses alliés européens, étant donné la réelle menace potentielle contre le leadership politique américain, une très forte réaction a été déclenchée. Douze sénateurs GOP ont émis une lettre de menace à la cour déclarant que les États-Unis allaient sanctionner les juges et d’autres membres du personnel de la CCI, ainsi que leurs familles, entre autre en entravant leur capacité de voyager vers ou à travers les États-Unis et en s’en prenant à leurs biens. Elle se termine par : « Vous êtes avertis ! » Plusieurs autres projets de loi sont aussi présentement amenés au Congrès et qui vont défier directement l’autorité et la mission de la cour, tout cela pour protéger Israël.

Et il y a plus. Israël, que l’on décrit fréquemment comme un « grand allié des États-Unis », ce qu’il n’est pas, et une « démocratie », ce qu’il n’est pas non plus, est actuellement classé, dans les sondages d’opinion, comme le pays le plus méprisé au monde, suivi des États-Unis, lesquels sont considérés comme le pays le plus susceptible de commencer une guerre majeure. Par des transferts directs du Trésor et par des combines variées de « charité » et des subventions commerciales, les États-Unis donnent à Israël, un minuscule pays, environ 10 milliards $ par année. Cette année, pour financer la guerre, le flot est plus près de 30 milliards $ et Biden a juré que sa mission était de garder Israël en « sécurité » même si cela veut dire d’ignorer la Constitution des États-Unis en s’engageant dans une guerre qui n’a pas été déclarée et qui ne s’est pas développée à partir d’une menace démontrable contre les États-Unis ou contre leurs intérêts vitaux. Loin d’être un intérêt vital des États-Unis dans le monde réel, Israël serait parfaitement capable de détruire Gaza sans l’aide américaine, il n’aurait qu’à dépenser son propre argent pour ce faire.

Le pouvoir du Lobby israélien est tel que, non seulement refuse-t-on la vérité aux Américains en tordant le narratif de la guerre, mais en plus, des créatures du Congrès sortent des boiseries pour voir ce qu’ils pourraient faire afin d’aider « le plus grand allié des États-Unis » ! Un des projets de loi au Congrès en est un particulièrement bizarre qui légaliserait la déportation à Gaza des étudiants manifestants qui ont été arrêtés et détenus pendant qu’ils manifestaient « pour le Hamas », ce que l’on décrit inévitablement comme une félonie dont on se réfère comme étant du « soutien matériel au terrorisme ! ». Les Républicains du Congrès sont en train de prendre les devants en lançant une législation bénéficiant à Israël, incluant quelques procédés qui sont si étranges (ou illégaux) qu’ils valent la peine d’être notés. Le 17 mai, on présenta une législation que l’on référa à la Chambre du Comité des Affaires des Vétérans. Cocommandité par deux Républicains, le Chef-adjoint du Whip Guy Reschenthaler de la Pennsylvanie et le représentant de l’Ohio Max Miller, le H.R.8445 est passé bien en-dessous du radar pour fournir un soutien direct à ceux désirant servir dans l’armée israélienne. Miller est juif et Reschenthaller semble être un chrétien sioniste.

Amen, Philip !

À mon point de vue, le sionisme chrétien est une menace beaucoup plus importante pour les États-Unis que le communisme, le fascisme ou l’islam, ou toute autre doctrine tyrannique. Le sionisme chrétien contrôle complètement le Parti républicain (le sionisme juif contrôle 90 % ou plus du Parti démocrate) ; il contrôle 80 % des églises évangéliques d’Amérique et au moins le même pourcentage des collèges, universités et séminaires évangéliques ; il admet et justifie le meurtre de masse, le nettoyage ethnique et le génocide au nom d’Israël ; c’est la plus grande cheerleader des guerres étrangères à perpétuité ; sa loyauté va d’abord à Israël, pas aux États-Unis ; il refuse de s’opposer à l’invasion d’étrangers illégaux criminels en Amérique parce qu’il sait qu’Israël est le plus gros facilitateur de cette invasion ; son emploi extrêmement inique des enseignements eschatologiques erronés basés sur Israël ont fait de la plupart des pasteurs et des églises évangéliques des zombies sionistes. Bref, il n’y a pratiquement AUCUNE opposition spirituelle contre ce système bestial antichrist et démoniaque. Et sans opposition spirituelle contre l’antichrist, l’église devient « bonne à rien » (Jésus, Matthieu 5:13).

Tout observateur objectif et honnête (ce qui omet les sionistes chrétiens) peut clairement voir que le gouvernement des États-Unis est engagé dans une conspiration diabolique avec l’Israël sioniste pour organiser la guerre aux États-Unis via l’invasion de 40 à 50 millions d’étrangers illégaux criminels. Et nous n’avons même pas abordé la collaboration entre Israël et Washington pour orchestrer la guerre au Proche-Orient ou les efforts de Biden pour créer une Troisième Guerre Mondiale en Ukraine.

Le peuple américain doit se réveiller MAINTENANT ! Non seulement doit-il se réveiller, mais il a aussi besoin de se préparer parce que ce n’est qu’une question de temps – et peut-être pas beaucoup de temps – avant que la guerre n’éclate dans VOTRE ville. Et quand cela arrivera, l’ordre et la loi municipaux n’existeront plus, et ce sera au peuple de se défendre lui-même contre une armée étrangère criminelle qui demeure déjà parmi nous.

Et tout est organisé par Joe Biden, le Congrès américain, Benjamin Netanyahou et le Parti Likoud sioniste radical d’Israël.




Biden s’agenouille devant le Boss

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

21 juillet 2021

La vaste majorité des chrétiens évangéliques d’Amérique ont un GROS point mort : ils ne peuvent pas voir le rôle ruineux que l’État d’Israël jouent dans le monde des affaires – particulièrement les affaires américaines. Leur affection fourvoyée et leur soutien à l’état sioniste – causés par plus de cent ans d’interprétation massive erronée de l’eschatologie, qui échange la prophétie centrée sur le Christ pour la prophétie centrée sur Israël – les conserve dans un état perpétuel d’aveuglement spirituel et gouvernemental.

Quand même, le pouvoir et l’influence que l’État d’Israël exerce sur Washington, D.C. – et de nombreux gouvernements d’États – n’ont pas leur pareil. Donald Trump et le Parti républicain aiment prétendre qu’ils sont le seul parti pro-Israël à Washington. Mais ils savent que ce n’est pas le cas. C’est ce qu’ils disent pour se nourrir du vote évangélique. Exception faite d’une toute petite poignée de démocrates, le Parti du Baudet est dans la poche de Tel-Aviv à 100 %. Oui, les deux partis majeurs de D.C sont les marionnettes pathétiques du régime sioniste d’Israël.

Par exemple :

Beaucoup de payeurs de taxe des États-Unis furent loin d’être heureux après que le Comité bipartisan de la Chambre d’Appropriation des USA eut accordé un contrat d’assurance sécurité de 3,3 milliards $ à Israël à une époque où luttent tant d’Américains.

Le Comité des Affaires Publiques Amérique/Israël (AIPAC) fêta sur Twitter Friday, à la suite de l’approbation de la semaine dernière, remerciant les membres démocrates et républicains du Comité de la Chambre d’Appropriation.

Il y a peu de temps, Biden a fait cette déclaration :

« La sécurité d’Israël et celle des États-Unis sont inextricablement liées, et nous n’abandonnerons jamais, jamais, jamais Israël même contre notre propre intérêt. »

Avez-vous entendu cela ? Le démocrate Joe Biden a en effet dit que les intérêts d’Israël sont supérieurs aux intérêts des États-Unis. La Porte-parole démocrate à la Maison Blanche, Nancy Pelosi, a fait une déclaration semblable à celle de Biden. Elle a dit :

« Si ce Capitole tombe en ruine, la seule chose qui restera, c’est notre engagement eu égard à notre coopération avec Israël. »

Et même si les médias moqueurs n’osent pas vous montrer la photo, la voici ainsi que le reportage de Philip Giraldi où nous voyons Joe Biden s’étant récemment mis à genoux en se pliant devant le Prédisent d’Israël et son chef du personnel :

« Si l’on ne se limitait qu’à voir et à lire le grand courant médiatique des États-Unis, l’histoire du Président Joe Biden s’agenouillant pour honorer deux visiteurs israéliens ne ferait jamais surface. Heureusement, l’affaire a fait des vagues considérables, tant en Israël que dans les médias alternatifs, mais pas assez pour convaincre les éditeurs sans visage de CBS News et des autres de la raconter. Cet incident de l’agenouillement aurait eu lieu alors que Biden rencontrait à la Maison Blanche le Président israélien sur le bord de la retraite,Reuven Rivlin. Rivlin faisait quelque chose comme son dernier tour de piste victorieux, ayant sans doute complété son terme sans avoir été accusé de corruption, ce pourquoi les leaders de l’état juif sont traditionnellement reconnus.

« Biden, c’était tout à fait prévisible, assura le Président israélien que son engagement personnel envers l’état d’Israël était “en béton”. Il n’y a pas de doute que, pour sa part, Rivlin a fait savoir à Biden, pendant leur rencontre, le point de vue israélien en ce qui a trait à l’Iran, même s’il n’y a pas eu de document subséquent décrivant en détail cet aspect de leur discussion. Le communiqué de presse de la Maison Blanche a décrit leur interaction comme suit : “Le Président Biden a transmis son soutien inconditionnel pour la sécurité d’Israël et son engagement à approfondir la coopération entre les deux pays dans tous les domaines”.

« Donc, nous avons ici le Président des États-Unis sur un ou deux genoux devant les deux anciens fonctionnaires du gouvernement israélien. Pas très bon, n’est-ce pas ? Mais ce pourrait être une métaphore de ce que le gouvernement et l’Establishment des États-Unis ont choisi de faire quand il est question d’Israël. Dommage qu’il n’y ait pas d’enregistrement de ce que l’Honnête Joe a pu dire pendant qu’il s’agenouillait. Était-ce son marmonnement inarticulé habituel ou bien quelque chose qui reconnaissait le pouvoir et la majesté de ses visiteurs ? Comme ci-haut noté, Joe, le sioniste avoué, aurait dit, soit avant ou peut-être après sa prostration que son engagement est “en béton”, ce que l’on pourrait sous-entendre être la devise non-officielle du Congrès des États-Unis. »

Vraiment.

Israël possède plus d’agents œuvrant pour son compte en Amérique que dans tout le reste des pays du monde combinés – et l’on n’exige jamais d’eux qu’ils s’enregistrent comme agents d’un gouvernement étranger, comme on l’exige des autres agents étrangers.

Comme exemple :

« Thomas Barrack, milliardaire californien qui organisa l’investiture présidentielle de Donald Trump en 2017, fut accusé à New York d’avoir agi comme agent des Émirats Arabes Unis et d’avoir fait de fausses déclaration aux agents fédéraux. »

Cette arrestation est de l’hypocrisie par excellence de Washington.

Voici un échantillon des organisations qui œuvrent librement et sans entrave au nom de l’État d’Israël dans notre pays :

  • Fondation Pédagogique Israélo-américaine
  • Institut Washington pour la Politique du Proche-Orient
  • Ligue Anti-Diffamation (ADL)
  • Association Internationale des Chrétiens et des Juifs
  • Projet Israël
  • Comité des Affaires Publiques Israélo-américain (AIPAC)

Un membre du Congrès a dit : « Si vous contrariez l’AIPAC, l’AIPAC ne pardonne pas et vous détruira politiquement. Leurs moyens de communication, leurs liens avec certains journaux et certains magazines, et certains individus dans les médias sont substantiels et intimidants. Tous les membres [du Congrès] savent que c’est la force de lobby nationale la mieux organisée.

Le Congrès américain, avec la branche exécutive, soutient à une écrasante majorité pratiquement chaque action ou chaque souhait du gouvernement israélien. Peu importe si c’est en désaccord avec les intérêts ou la sécurité des États-Unis, principalement à cause de la puissance du lobby d’Israël.

Même quand deux employés de l’AIPAC furent inculpés sous des charges d’espionnage en 2005, et qu’il fut déterminé qu’ils avaient obtenu des informations secrètes du gouvernement américain de manière illégale et les avaient passées à des agents israéliens, on laissa tranquillement tomber les accusations pour des détails techniques. L’AIPAC congédia les deux employés et émit une déclaration disant qu’ils avaient été licenciés parce que leurs actions ne s’accordaient pas aux standards de l’AIPAC. Un des employés licenciés, Steven Rosen, entama des poursuites pour diffamation, déclarant qu’en fait, ses actions étaient une pratique courante à l’AIPAC.

  • Organisation Sioniste des Femmes d’Amérique
  • Voix de l’Amérique en Israël (AVI)
  • Centre Politique Juif
  • Conférence des Présidents (CoP) :

C’est un groupement de 51 organisations sionistes. La Conférence des Présidents concentre son lobbying sur la branche exécutive tandis que l’AIPAC se concentre sur le Congrès.

  • Projet Gédéon
  • Fonds Central d’Israël
  • Chrétiens Unis pour Israël (CUFI) :

La CUFI est une organisation chrétienne évangélique de l’aile droite dirigée par David Brog, un avocat américain juif qui pratiquait antérieurement la loi corporative à Tel-Aviv. John Hagee est le fondateur. Gary Bauer est le directeur du Fonds d’Action de la CUFI. Bauer est aussi l’un des signataires de l’abrégé des marchands de guerre néoconservateurs, la Déclaration de Principes du Projet pour un Nouveau Centenaire Américain. Bauer a également travaillé au sein du conseil du Comité d’Urgence pour Israël. En 2010, il a reçu le Prix du Défenseur d’Israël de la part de l’Organisation Sioniste d’Amérique.

  • Centre Haym Salomon
  • Amis Américains du Likud
  • Centre Simon Weisenthal
  • Amis des Forces de Défense Israéliennes (FIDF) :

Cette organisation supporte les Forces armées israéliennes. Elle anime de plantureux dîners pour collecter des fonds et elle a quatorze bureaux régionaux aux États-Unis et un en Amérique Latine. La FIDF amène aussi des centaines de soldats israéliens aux États-Unis chaque année pour donner des conférences dans les synagogues, les églises, les universités et les écoles afin d’accroître le soutien américain pour les politiques d’Israël.

  • Agence Juive pour Israël
  • Fondation des Alliés d’Israël
  • Jeune Judée :

Le plus vieux mouvement de la jeunesse sioniste aux États-Unis. Il amène les jeunes gens vers Israël et il a de nombreux camps estivaux aux États-Unis qui servent à inspirer « un engagement de toute une vie envers Israël ».

  • Entreprise Coopérative Américano-Israël [Bibliothèque virtuelle juive]
  • Fondation Jim Joseph
  • Debout avec les États-Unis
  • Comité d’Urgence pour Israël (ECI) :

Le Comité d’Urgence pour Israël présente une puissante combinaison des néoconservateurs du Parti républicain et des chrétiens évangéliques. Le conseil du groupement inclut le Rédacteur-en-chef William Kristol du Weekley Standard et Gary Bauer. Le Comité produit de la publicité contre Ron Paul, qui s’est présenté en Caroline du Nord, à cause de l’opposition de Paul contre l’aide américaine pour Israël.

  • Trust Caritatif Leona M. et Harry B. Helmsley
  • Fondation Aaron and Marie Blackman, Inc.
  • Conseil Juif des Affaires Publiques (JCPA)
  • Fonds National Juif (JNF) :

Le Fonds National Juif est une organisation internationale fondée à Bâle, en Suisse, par Théodore Herzl en 1901. Le fonds fut originalement créé pour financer l’achat de terres en Palestine pour un futur état sioniste. Aujourd’hui, le JNF se concentre principalement sur la « réclamation » de terres (alias la colonisation, ou mieux, le vol de terres). Toutefois, le groupe sert aussi à financer les installations militaires des Forces de Défense israéliennes. L’organisation est bien financée avec un total de biens de plus de 1,15 milliards $.

  • Organisation Sioniste d’Amérique (ZOA)
  • Comité Juif Américain (AJC)
  • Congrès Juif Mondial
  • Centre de la Politique sur la Sécurité :

Fondé et dirigé par le néoconservateur Frank Gaffney, partisan de longue date d’Israël. L’Iran est une cible primordiale du CPS.

  • Institut de Recherche Médiatique au Moyen-Orient
  • Chambre de Commerce Américano-israélienne
  • JINSA (Institut Juif pour la Sécurité Nationale de l’Amérique)
  • Coalition Juive Républicaine
  • Conseil Démocratique Juif National

Encore une fois, ce n’est qu’un petit échantillon des organisations pro-Israël opérant aux États-Unis. Le nombre total se chiffrerait sans aucun doute à des centaines. Les membres de ces organisations jonchent les administrations des Présidents démocrates et républicains.

Il y a plus de cent membres du gouvernement fédéral que l’on sait avoir les nationalités américaine et israélienne. (Des milliers de gens employés par le gouvernement central de D.C., je n’en ai trouvé AUCUN qui possède une double citoyenneté avec un pays autre qu’Israël.) Comment se fait-il que ces membres du Congrès et ces fonctionnaires du gouvernement ne soient pas astreints de s’enregistrer en tant qu’agents étrangers ? Parce qu’ils représentent Israël, voilà pourquoi.

En plus, 35états des États-Unis ont adopté des lois bannissant les gens et les organisations qui feraient des affaires avec quiconque soutient un boycott ou un dépouillement contre Israël. Je vous prie de me dire depuis quand est-il « patriotique » pour un État au sein des États-Unis de passer des lois au bénéfice d’un gouvernement étranger au dépend des libertés de ses propres citoyens ? Depuis que cela bénéficie à Israël, voilà quand.

Pouvez-vous imaginer le tumulte des médias si un Président des États-Unis (de quelque parti que ce soit) s’agenouillait devant n’importe quel autre chef d’état étranger dans le Bureau Ovale ? Mais quand ce chef d’état étranger est Israélien, les médias contrôlés par les sionistes demeurent silencieux. Ils ne veulent pas que le peuple américain découvre quel pouvoir et quelle influence l’État d’Israël a sur leur gouvernement.

Joe Biden a-t-il un patron ? Tu parles qu’il en a un. Il y a quelques jours à peine, pour démontrer ses hommages et sa soumission, il s’est mis à quatre pattes et s’est plié en face de lui.

Mais ne vous attendez pas à ce que la majorité des chrétiens évangéliques comprennent la tricherie. Et même s’ils y arrivaient, cela ne les dérangerait pas le moindrement, parce que – à cause de leur massive mauvaise interprétation de l’eschatologie – du fond du cœur, ils sont plus loyaux envers Israël qu’envers l’Amérique.

Voici trois livres pertinents que vous devriez lire :

The EthnicCleansing Of Palestine, par Ilan Pappe

Remember the LIBERTY ! par Philip Nelson et des survivants de l’attaque contre le LIBERTY

The Destruction of Jerusalem écrit en 1805 par George Peter Holford




Le Dictateur-en-chef

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2021

Jerry Barrett

« Notre Pays est en grand péril. Nous nous battons pour notre survie en tant que République Constitutionnelle comme jamais auparavant depuis notre fondation en 1776. Le conflit a lieu entre les supporteurs du socialisme et du marxisme vs les supporteurs de la liberté constitutionnelle. »

Lettre ouverte de Généraux et d’Amiraux à la retraite

Récemment, 124 anciens leaders militaires ont averti les Américains qu’ils subissaient un assaut. Cela a eu un grand retentissement dans les médias contrôlés. Beaucoup de ces experts ont souligné le fait que ces anciens militaires n’avaient pas vu d’action depuis des décennies. Ces commentaires d’opposants systématiques laissaient entendre qu’étant donné que ces hommes n’étaient plus en service actif, ils n’avaient donc rien de pertinent à partager. Comme gars des Forces de l’Air, je puis dire sans équivoque qu’il s’agit catégoriquement d’un mensonge.

Une fois que quelqu’un a fait vœu de servir notre pays, cela reste dans la mentalité de la plupart de ces individus. Le Serment d’Engagement (de réengagement) est assez simple pour la majorité du personnel militaire. Il est administré par un officier supérieur et exécuté comme la plupart des serments traditionnels, avec l’officier qui lit le serment et la personne assermentée qui le répète. Le serment va comme suit :

« Moi, (NOM), jure (ou affirme) solennellement que je vais soutenir et défendre la Constitution des États-Unis contre tous ennemis étrangers et domestiques ; que je porterai allégeance et foi véritable à celle-ci ; et que j’obéirai aux ordres du Président des États-Unis et aux ordres des officiers qui me sont assignés. »

Notez que ce serment parle des ennemis « étrangers et domestiques ». Après avoir lu la lettre rédigée par ces officiers retirés du drapeau, l’on doit déduire que la menace domestique actuelle est le socialisme progressif. Vu le contrôle sur la Chambre des Représentants, le contrôle virtuel sur le Sénat – grâce à la Vice-présidente Harris qui peut briser l’égalité des votes – le programme socialiste de la Maison Blanche marche à pleine vapeur.

Le Serment d’Office que fait le Président est similaire :

« Je jure (ou affirme) solennellement que j’exécuterai fidèlement l’Office de Président des États-Unis et, du meilleur de ma capacité, je préserverai, protégerai et défendrai la Constitution des États-Unis. »

Cependant, il y a de ceux qui se demandent qui exécute réellement le travail de Président. Près de trois douzaines de démocrates ont vivement conseillé Joe Biden de renoncer à sa seule autorité pour ordonner le lancement d’armes nucléaires. Est-ce une indication que « Sleepy Joe » souffre de capacités mentales diminuées ?

Caractéristiques communes aux dictateurs

Cette question est ignorée et minimisée par le grand courant des mass-médias. Le message contrôlé émanant des médias nous rappelle les dictateurs passés et présents. La pirouette gouvernementale contribue à contrôler l’opinion publique pendant que des millions d’Américains inquiets sont conservés dans le noir.

Est-ce que les États-Unis d’Amérique sont en train de s’évanouir doucement dans la nuit ?

Contrôler les institutions d’éducation s’avère d’une importance primordiale pour ceux qui recherchent les pouvoirs tyranniques. Depuis les années 1960, quand la « culture marxiste » envahit les campus collégiaux, la tendance à la rectitude politique de pensée s’est enracinée dans les esprits des cinglés de la gauche progressiste. L’utilisation de la programmation contrôlée des esprits par les médias, la musique et les films cinématographiques a cultivé un antre d’espions du voisinage prêts à rapporter quiconque qui ne se plie pas à la ligne de pensée de la compagnie.

Les dictateurs légifèrent via des ordres exécutifs

Joe Biden a dit : « Vous ne pouvez faire cela par ordre exécutif, à moins d’être un dictateur. » Avance rapide : Biden signe quinze ordres exécutifs en une seule journée.

Alors candidat démocrate pour la présidence, durant une assemblée à l’hôtel-de-ville, le 15 octobre – en référence à sa proposition de taxe pour qu’elle soit adoptée par le Congrès – Joe Biden a dit : « Vous ne pouvez faire cela par ordre exécutif, à moins d’être un dictateur. » Cette déclaration contient plus de vérité que les médias voudraient bien vous le faire croire. Dans la première semaine de son administration, Biden a signé trente-trois actes exécutifs.

En comparaison, Trump en signa quatre, Obama en signa cinq, George W. Bush n’en signa pas et Bill Clinton en signa une ! Dans toute l’histoire du pays, aucun autre Président n’a jamais signé autant d’actes exécutifs durant sa première semaine en poste. En procédant par déduction, présumeriez-vous que Biden (ou le marionnettiste tirant ses ficelles) est un dictateur ?

À date, Biden a signé plus de cinquante actes exécutifs depuis qu’il est en poste. Il a établi une commission pour explorer l’expansion – ou « l’empaquetage » – de la Cour Suprême, tout comme la création d’un « Bureau de soutien au changement climatique ».

L’Amérique fait-elle face à une menace domestique ?

Les officiers supérieurs à la retraite qui écrivirent cette lettre notèrent un certain nombre de menaces individuelles contre les libertés des Américains. Pour un grand nombre d’Américains, les inquiétudes soulevées ont du mérite. L’idée que nos élections puissent avoir été altérées en ont incité beaucoup à remettre en question le procédé électoral.

Si, en tant que citoyen de ce pays, vous désirez encaisser un chèque, acheter une maison ou un véhicule, ou vous enregistrer pour voter – et bien d’autres tâches que nous prenons pour acquises – vous devez montrer une forme d’identification. Plusieurs de ces tâches exigent également votre numéro de Sécurité Sociale. Toutefois, la gauche extrémiste ne cherche pas à exiger de preuve d’identité aux bureaux de vote. En proclamant que les lois sur l’identité de l’électeur sont racistes, ils utilisent en fait une tactique d’intimidation tyrannique.

L’administration actuelle a entrepris une attaque directe contre nos droits du Second Amendement au moyen des actes exécutifs de Biden. Les socialistes progressistes au Congrès luttent pour faire passer une législation qui rendrait criminels des millions de propriétaires d’armes à feu qui obéissent aux lois. Les mandats de Biden ayant trait à la pLandémie, comme le confinement forcé de gens en santé, la fermeture d’écoles et de commerces et l’obligation du port du masque ont aussi un penchant dictatorial.

Les groupements d’intérêts spéciaux ont aussi été employés à diviser les Américains en factions guerrières. La montée de violence répandue dans les émeutes d’Antifa et de Black Lives Matter renforce la cause de ces anciens officiers. La « Règle de Loi » est fondamentale pour notre République et pour notre sécurité.

À cause des Procureurs de District et des Procureurs Généraux financés par George Soros et qui émettent des réformes radicales de procuration, notre système de justice criminelle n’est rien de plus qu’une porte tournante pour les mécréants. La leader autoproclamée de « l’escouade », la représentante Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY), a récemment émis une déclaration clamant que si l’on fermait plus de prisons, il y aurait moins de crimes.

Les innombrables actions que Biden a implantées pour mettre fin aux contrats de pétrole et de gaz ont mené à la dissipation de l’indépendance énergétique de l’Amérique. Son annulation du Pipeline Keystone coûte des milliers d’emplois aux citoyens travailleurs. Son programme de changement climatique va favoriser la destruction des usines et des entreprises américaines.

Lors de son inauguration, Biden déclara souhaiter l’unification du pays. Malheureusement, les politiques et les actions de son administration ne font que servir la division. En permettant aux transgenres de servir dans l’armée et l’implantation de la Théorie de la race critique, la dégradation de nos forces armées ne sera sûrement pas entravée.

Même si ce n’est pas une dictature selon le jargon commun, il est évident que cette administration tente rapidement d’amener notre pays vers la doctrine marxiste. Employant tous les trucs du marché, la gauche extrémiste a bon espoir d’implanter des lois pour cimenter en permanence le socialisme dans notre culture.

Même si beaucoup de ces officiers sont maintenant bien loin du service actif, leurs paroles sont encore fort sages et savantes. Une fois que la liberté sera perdue, on ne pourra la retrouver que par un bain de sang jamais vu depuis la guerre civile. Avant que notre pays n’arrive à cette situation désastreuse, nous devons être une épine vocale dans le flanc de la gauche extrémiste. Ne sombrez pas doucement dans la nuit, mes amis.

***

Par Michelle Hallmark Powell

La Terreur Rouge de Lénine se produit maintenant en Amérique par la culture de révocation des « wokes »

Vladimir Lénine ne possédait qu’une minuscule cabale de disciples purs et durs, et il a pourtant pris le contrôle du plus grand pays du monde : la Russie. Vint ensuite un règne de terreur horrifique qui dura soixante-dix ans.

L’Amérique se trouve en ce moment même aux prises avec un mouvement « woke » [« réveillé »] terrifiant. Nous avons dans la classe du leadership une majorité de traîtres qui change les bases de notre République. Les choses ne vont pas aller en s’améliorant et elles ne se calmeront pas sans l’intervention de Dieu. « Que mon peuple, sur lequel mon Nom est réclamé, s’humilie, et fasse des prières, et recherche ma face, et se détourne de sa mauvaise voie, alors je l’exaucerai des cieux, et je pardonnerai leurs péchés, et je guérirai leur pays » (2 Chroniques 7:14).

L’histoire nous dit que les Bolcheviks étaient plus meurtriers que la gauche d’aujourd’hui, car ils vivaient dans une ère de violence. Ils n’ont pas immédiatement commencé par les purges massives, mais ils ont lentement légitimé l’anarchie criminelle et corrompu le système judiciaire. Ici, en Amérique, nous avons vu des débuts de violence lors des émeutes de 2020 et qui se poursuivent d’ailleurs aujourd’hui dans de nombreuses villes contrôlées par les Démocrates. La plupart des délinquants ne sont pas arrêtés, et ceux qui le sont, on les relâche rapidement avec une petite tape sur la main.

Les Bolcheviks formulèrent leurs abus politiques dans le cadre d’une « guerre contre les privilèges ». Cela vous semble-t-il familier en entendant les chants de guerre de Black Lives Matter et d’Antifa ? Le pillage de la propriété de la bourgeoisie fut encouragé comme étant de la justice sociale en Russie. C’est exactement ce qui se passe ici, dans notre pays. Des bandes armées ont volé les propriétaires devenus riches pendant que la loi et l’ordre se sont évanouis. Est-ce juste une coïncidence si une des cofondatrices de Black Lives Matter, Patrisse Khan-Cullors, fait maintenant les nouvelles à cause des quatre manoirs qu’elle a acquis ? Voler et piller la classe ouvrière au bénéfice des gauchistes semble devenu la norme.

Le bien-être économique fondé sur la classe et une révolution dans le système judiciaire ont complètement changé la Russie. Là comme ici, le crime devint une affaire de classe, où les criminels étaient libres et les classes ennemies étaient ciblées et recevaient des sentences sévères pour les plus légers motifs.

À mesure que s’approfondissait la crise socio-économique, les tribunaux se concentraient moins sur les vrais voleurs et davantage à poursuivre les marchands, les propriétaires d’usine, les officiers de l’armée et les anciens fonctionnaires du gouvernement.

Savoir comment les Bolcheviks se sont emparés de la Russie nous aide à comprendre plus facilement ce qui se passe dans notre Amérique bien-aimée. Si vous ne faites pas partie des gens « woke », vous allez être persécutés, diffamés et, si possible, détruits pour avoir fait ce qui est correct. L’imposition de la Théorie de la race critique que l’on nous enfonce dans la gorge, qui est enseignée dans nos écoles et qui fait maintenant partie de notre armée, n’est que pur marxisme. Donc, une autre similitude avec la Terreur Rouge de Lénine.

En Caroline du Sud, le sergent de l’Armée Jonathan Pentland fut accusé d’assaut pour avoir poussé un homme noir qui harcelait les femmes de son voisinage. Étant un blanc, Pentland fut automatiquement présumé raciste, a été mis sous enquête par l’Armée et le Département de la Justice, a été condamné par ses supérieurs et la police a laissé la foule entourer et vandaliser sa maison. Un officier des « Forces spatiales » a perdu son leadership après avoir dénoncé la Théorie de la race critique comme étant du pur marxisme. Derek Chauvin, policier qui va probablement aller en prison pour le décèx accidentel de George Floyd, fait partie des centaines de policiers qui sont accusés d’être coupables d’attentats dans l’exercice de leur travail. Maintenant, le criminel est le bon gars alors que le policier et la victime sont ceux pris en faute. Le slogan des wokes est de définancer la police et de dire que quiconque (les conservateurs) est en désaccord avec eux est un raciste.

Nous voyons donc le saccage et la dégradation de nos statues et monuments historiques. Ils essaient de réécrire l’histoire simplement en enlevant tout aspect avec lesquels les « wokes » ne sont pas d’accord. Les statues de Christophe Colomb, de Thomas Jefferson, de Francis Scott Key, d’Ulysse S. Grant et la majorité des statues dépeignant la Confédération sont enlevées.

La statue du tzar russe Alexandre III fut descendue peu après la révolution de 1917 qui mena au règne communiste en Russie. De même, une statue de Christophe Colomb à Boston a été décapitée (comme bien d’autres) alors que l’appel à ôter les sculptures commémorant l’histoire américaine a balayé l’Amérique.

Le monument au Vietnam, à Washington, D.C., a été dégradé en 2020 et cette semaine-ci dans le Queens, à New York, un monument au Vietnam a été peint de swastikas et on y a écrit des atrocités.

De nombreux jeux et des livres ont été bannis comme étant considérés racistes. Dr Seuss, M. Patate, Blanche Neige et des centaines d’autres disparaissent de nos bibliothèques et de nos librairies partout au pays.

En Russie, des statues, des livres et des édifices ont été détruits au nom du marxisme, pour une Russie meilleure et plus juste. Nous savons comment tout cela a terminé.

À quoi ressemblera l’avenir de l’Amérique ? Nous ne pouvons que prier que les choses ne soient pas aussi horribles qu’à l’époque de la Terreur Rouge de Lénine. Les gens de la gauche ne veulent pas se contenter de leurs petites victoires. Pour eux, il s’agit d’une croisade, d’une religion, et tant que nous ne les arrêterons pas, ils seront de plus en plus extrêmes, vengeurs et dangereux. Cela pourrait être le prélude au viol, à la torture, à l’emprisonnement et au meurtre des chrétiens et des patriotes, qui forment la majorité du peuple américain, par les gauchistes fortement incitées par la classe élite des globalistes.

Si nous poursuivons cette voie d’éradication woke de la culture, nous allons voir de plus en plus de similitudes entre les Bolcheviks de l’époque de Lénine et la gauche marxiste radicale d’éradication « woke » de la culture, ici, en Amérique.




L’Amérique est aux portes de la mort

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2021

Par Jerry Barrett

Imaginez un homme d’affaires démocrate de New York ayant fait et perdu des millions de dollars. Cet homme a reçu une récompense humanitaire de la NAACP. Il a animé un show télévisé à succès aux heures de grande écoute. Il est extrêmement populaire auprès des politiciens – des deux côtés de l’allée – à cause de ses contributions électorales.

Maintenant, imaginez que cet homme décide de recycler ses affiliations à un parti politique et annonce sa campagne pour la nomination républicaine afin de devenir Président des États-Unis. Combien d’entre vous aurait pu le prédire et croire qu’il avait une chance de gagner ?

Donald J. Trump n’a pas été le plus grand Président à avoir occupé le 1600 Pennsylvania Avenue. Son élection improbable à la Présidence a été un choc pour un grand nombre de ceux qui sont dans le secret, y compris les experts politiques employés par le Piètre Grand Courant Médiatique. Quand Ann Coulter eut l’audace de déclarer que Trump allait gagner la nomination et probablement les élections, elle a été sévèrement critiquée et raillée.

Barack Obama, Hillary Clinton et Eric Holder : servira-t-on la justice ?

Toutefois, après huit ans de Barack Obama, c’est comme si le peuple américain en avait eu marre de la direction que prenait le pays. Celui-ci a souffert de l’exode des emplois manufacturiers, de l’écroulement économique, de la crise de la bulle immobilière, du chômage record, de la stagnation des salaires et d’une multitude d’autres maladies dépressives.

Cela n’inclut pas la chasse aux fusils du Département de la Justice d’Obama et que l’on a surnommé « Rapide et dangereux ». La débâcle de Benghazi lorsque la Secrétaire d’État Hillary Clinton a permis le meurtre de diplomates américains et de membres du personnel militaire. L’escroquerie de la fausse « Énergie Verte » dans lequel la compagnie d’énergie solaire nommée Solyndra s’est vue accorder 500 millions $ des payeurs de taxes pour les refiler ensuite aux riches démocrates et aux supporteurs d’Obama.

Ils seront nombreux à souligner les points positifs de la période de Trump en tant que Président. Oui, des emplois manufacturiers sont revenus en Amérique. Oui, les déséquilibres commerciaux ont été rectifiés jusqu’à une certaine mesure. Oui, le chômage – particulièrement dans les communautés minoritaires – a décru. Oui, l’économie semble rebondir de la dépression survenue lors de la Présidence d’Obama.

La chose qui ressort aux yeux de l’auteur est la quantité de mensonges sulfureux qui ont été crachés à la face de Trump. La guerre contre les races, commencée sous le régime d’Obama, fut accru au moins dix fois par les propagandistes des médias contrôlés. Si vous faites un pas en arrière et regardez l’ensemble du portrait, demandez-vous qui bono (à qui cela profite-t-il ?).

Avec l’addition des oligarques du Big Tech – Facebook, Twitter, YouTube, Google et d’autres – le contrôle du message atteint des sommets historiques. La censure à une échelle sans précédent a conduit à une division plus grande de notre pays. L’avènement du média social a donné naissance au nouvel activiste… le Guerrier de la Justice Sociale !

Ce qui a débuté dans les années 1960 au sein des universités à travers l’Amérique a pu finalement porter son fruit alors que la Culture marxiste a eu l’avant-dernière plateforme. Les manieurs de mots, en ligne de front de la bataille, ont écrit des slogans qui ont fait dresser l’oreille de la plupart des Américains. Des slogans ingénieusement conçus, des rappels et d’autres éléments de propagande entraînant la division ont balayé une jeunesse facilement influençable.

Ces diplômés se sont bientôt infiltrés dans les écoles primaires et secondaires, propageant la programmation politiquement correcte de contrôle mental nécessaire au succès final. D’autres gradués ont eu accès aux agences de publicité, répandant encore les mantras du Parti Communiste. Finalement, encore d’autres diplômés ont pu acquérir des positions au sein des salles de conseil des entreprises majeures.

La guerre contre la clause de libre expression du Premier Amendement débuta immédiatement. « Oui, vous aurez encore le droit de vous exprimer, pourvu que cela ne vienne pas heurter les sentiments de quelqu’un. » Voilà la nouvelle adaptation à notre Constitution. Dans cette nouvelle définition, le christianisme fondamental est un système de croyances que l’on doit éradiquer parce « qu’il dit que l’homosexualité est une abomination ».

Ce qui suit à l’agenda

L’État Profond s’est assurément réjoui du succès de sa manipulation des masses. Malheureusement pour lui, Donald Trump joui encore d’une grande foule de partisans. De toute évidence, il n’y a pas que les mâles blancs de la classe moyenne qui se soient campés dans ses nombreux ralliements à travers le pays. Ce fut un choc de constater qu’un certain nombre de minorités peuplaient l’auditoire.

Pour étouffer l’enthousiasme et la réélection presque certaine de Trump, une immense tergiversation devait être mise en œuvre. Bill Gates, Klaus Schwab et une foule d’autres sont apparus sur scène dans un exercice de gérance de crise d’une pandémie du nom d’Event 201. Miraculeusement, quatre mois plus tard, une crise atteignait les rives de l’Amérique – le COVID-19.

Le pantin parfait pour exécuter des suggestions politiques draconiennes n’était nul autre que le récipiendaire des largesses de Bill Gates… Anthony Fauci. Le Centers for Disease Control and Prevention (CDC – Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie) est descendu dans l’arène – peut-être sur l’ordre de George Soros, de Gates ou de Scwab ? – et a commencé à émettre des mandats pour tenter « d’aplatir la courbe ».

Le Lamentable Grand Courant Médiatique a répandu l’évangile de Fauci dans tous les segments – c’est du moins ce qu’il semble – de ses bulletins de nouvelles. Les docteurs qui ont essayé de présenter les faits concernant la pLandémie ont été censurés et beaucoup ont perdu leur emploi. L’on a interdit de soigner les malades en utilisant des médicaments bien-connus, même si le Dr Fauci était au courant de leur efficacité au début des années 2000.

Les gouverneurs et les politiciens locaux ont commencé à brandir leur gourdin devant les entreprises qui s’objectaient à leurs ordres de confinement. L’économie ronflante de l’Administration Trump fut écrabouillée, le chômage monta en flèche et… qui sont venus ensuite sur scène pour « Sauver l’Amérique » ? Les démocrates qui offrent de l’argent gratuit à ceux qui en ont le besoin.

Assurer la victoire

Même au travers de la calamité qui est arrivée en Amérique en 2020, la popularité de Donald Trump n’a pas diminué au point d’assurer la victoire à un démocrate à la Maison Blanche. L’on a mis sommairement en place des plans pour truquer les élections, en partie grâce au cadeau de Gates et Schwab… la pLandémie. Les votes par la poste firent fureur chez ceux qui souhaitaient altérer la défaite potentielle, de même que les algorithmes des machines de vote électronique.

Joe Biden et Kamala Harris vécurent une anomalie vraiment unique… ils défirent un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes, c’est-à-dire, plus de votes que le populaire Barack Obama quand il défit John McCain. Un autre facteur intéressant que l’on ne rapporte jamais, le pourcentage allégué de participation électorale pour les élections de 2020 fut le plus élevé en 120 ans !

Joe Biden et Kamala Harris ont vécu une anomalie vraiment unique… ils ont défait un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes.

Temps de jouer de la flûte

Avec Biden en poste, l’État Profond semble exercer une vendetta majeure contre ceux qui questionnent son autorité. Le pantin de la Maison Blanche et sa caquetante V.-P. sont d’enthousiastes participants de la comédie. Qui croyez-vous a dressé la quantité énorme d’Ordres Exécutifs que Biden a signés au jour 1 de sa fonction ?

Notre frontière est à nouveau une passoire pour les émigrants illégaux. La Chambre de Commerce américaine doit être extrêmement reconnaissante pour cet afflux de main d’œuvre bon marché alors que ces bienfaiteurs auront plus d’argent à mettre dans leurs coffres. La Chambre des Représentants, qui contrôle la bourse de notre pays, a ouvert les voûtes dans l’effort d’apaiser ceux qu’elle déclare être les moins fortunés. Après tout, acheter des votes n’est-il pas un élément de plateforme de l’extrême gauche ?

Récemment, les tueries de masse se sont encore accrues. Ces opérations « sous faux drapeau » ne visent qu’une seule chose… VOS armes à feu. Joe Biden a ouvertement déclaré la guerre contre la NRA (National Rifle Association – Association nationale des armes à feu) durant sa campagne, et maintenant il va chercher à confisquer le plus d’armes à feu possible. Se pourrait-il que son Ordre Exécutif place en fait les propriétaires d’armes légales dans la mire d’une imposition de loi ?

Nos pères fondateurs reconnaissaient la tyrannie et mirent en fonction le Deuxième Amendement afin de donner du pouvoir au peuple. Un nombre record de nouveaux propriétaires d’arme à feu a pris pleinement conscience du besoin potentiel de se défendre, eux et leur famille. La violation de votre droit de garder et de porter des armes, bien qu’inconstitutionnelle, est le plus gros obstacle que doit franchir l’État Profond. S’il y réussi, notre Constitution deviendra nulle et non avenue.

Prenez en considération certains leaders qui ont pu implanter le contrôle des armes durant leur régime et la mainmise qu’ils purent avoir sur les paysans : Pol Pot, Vladimir Lénine, Joseph Staline, Mao Tsé-toung.

Beaucoup d’autres grands empires, comme le grec et le romain, sont tous tombés victimes du contentement de soi, de l’apathie et de la léthargie. L’échec à se tenir debout pour quelque chose conduit à la chute totale. Chers amis, gardez les yeux et les oreilles ouverts. Préparez-vous de votre mieux, car si l’État Profond continue sans être réprimé, la grande expérience connue sous le nom d’Amérique connaîtra la même fin que les autres grands empires.


Par Sandra Myers

Qu’ont en commun les cigarettes, le DDT et la radiation ?

Seriez-vous surpris de savoir qu’ils sont sans danger pour vous – du moins, à une époque, la communauté scientifique, votre gouvernement et les grands courants médiatiques disaient qu’ils étaient sans danger. Souvent mis sur le marché comme étant NOUVEAU, approuvé par le médecin, la science et/ou le gouvernement, rien ne pouvait être plus sécuritaire et meilleur… d’accord ?

Les cigarettes (et autres produits du tabac)

Dans les années 1930 et 1940, à l’époque prestigieuse de la cigarette, les compagnies de tabac réussirent avec succès à influencer les médecins, non seulement pour qu’ils promeuvent la notion que la fumée était saine, mais qu’en fait ils la recommandent comme traitement pour les irritations de la gorge, l’asthme, la bronchite, le rhume des foins et l’influenza. Une variété de compagnies de tabac conçurent, achetèrent et payèrent des études scientifiques qui formulèrent ces tests pour qu’ils apparaissent comme des faits prouvés et non biaisés.

Fumer fut aussi publicisé et promu comme une manière de conserver plus petit le bébé d’une femme enceinte (pour faciliter le passage) ; pour la digestion ; et pour la perte de poids (bon pour la silhouette de la femme et pour de meilleures capacités athlétiques chez l’homme).

Même si des rapports sur les taux significatifs de croissance du cancer des poumons, auparavant rare, furent émis dans les années 1930, la crédibilité de ces rapports fut remise en cause jusqu’à la fin des années 1950. Ce ne fut pas avant 1964 que le Rapport du Ministre de la Santé américain démontra la relation entre la fumée et le cancer. En 1986, il concluait également que la fumée passive est dangereuse.

DDT (dichloro-diphenyl-trichloroethane)

Le DDT fut d’abord synthétisé en 1874, mais sa qualité insecticide n’a été découverte qu’en 1939. Jadis salué comme une grande bénédiction pour l’humanité, on l’utilisa dans la Deuxième Guerre Mondiale pour contrôler une variété d’insectes porteurs de la malaria, de la dengue et du typhus. (À cause des tensions avec le Japon, le plus grand producteur de pyréthrine, notre approvisionnement d’ingrédient naturel de contrôle des insectes était coupé.) En 1945, le DDT fut disponible à la vente publique aux États-Unis. Des publicités encourageaient même que l’on vaporise du DDT directement au-dessus de nos enfants pour les protéger des mouches, des pous et des moustiques.

La logique de répandre des produits chimiques potentiellement dangereux sur vos enfants et dans vos foyers, vos fermes et l’environnement ne coïncidait pas exactement avec les entreprises manufacturières (l’argent) ou le public (se faisant dire que c’était sans danger) de l’époque. Avec très peu d’enquête antérieure sur les effets environnementaux et sanitaires, le DDT était la nouvelle panacée pour stopper les sales insectes.

En 1972, l’EPA émit un ordre de résiliation pour le DDT en se basant sur ses effets défavorables sur l’environnement, tels que sur la faune et la flore, de même que les risques potentiels sur la santé humaine. (Mais apparemment, il est encore correct d’utiliser le DDT dans les pays en développement. Je suis sûre qu’il n’y aura aucun impact à long terme sur le bien-être des peuples africains et leur environnement, par exemple. Comme l’a dit l’ONU : « les bénéfices surpassent les risques ».

La radiation et l’infusion radioactive

Au début des années 1900, les gens croyaient que la radioactivité était bonne pour eux. À la suite de la théorie Curie/Becquerel sur la radioactivité et du travail de pionnier subséquent, la folie de la radioactivité décolla ! Il y eut parmi les items publicisés et vendus des pendentifs au radium pour les rhumatismes, des couvertures à l’uranium pour l’arthrite, des cosmétiques antivieillissement radioactifs, de l’eau radioactive, de la pâte à dent radioactive, des humidificateurs radioactifs avec masque respiratoire et bien d’autres choses.

Dans un des exemples, on mit des boissons radioactives sur le marché. Un industriel bien connu, Eben Byers, tomba et se fit mal à un bras. Sous les conseils de son médecin, Byers but trois bouteilles par jour de Radiothor. Le gros titre du Wall Street Journal de 1932 parlait ainsi de la mort de Byers : « L’eau au radium fonctionnait bien jusqu’à ce que sa mâchoire se détache ». Un autre exemple s’appelle les Filles de la radiation. Les femmes qui ont sauté sur l’opportunité d’aller travailler dans les usines en peignant les cadrans de montre avec de la peinture lumineuse au radium. Même Marie Curie et ses collaborateurs moururent de complications dues à l’exposition au radium.

Le mercure

Vous rappelez-vous vous être écorché un genou, enfant, et que votre Maman mettait du mercurochrome sur votre bobo pour le désinfecter ? La FDA a banni le mercurochrome à la fin des années 1990 à cause de nombreux rapports d’empoisonnements au mercure. Mais Mercurochrome est le nom patenté d’Eli Lily pour le thimérosal. Même après avoir banni ce composé de mercure organique pour traiter vos éraflures, on l’utilise encore largement comme agent antiseptique et antifongique pour garder frais vos vaccins. Beaucoup de pays suppriment maintenant graduellement l’emploi du thimérosal dans les vaccins pour enfants. On trouve aussi aujourd’hui du thimérosal dans un grand nombre de mascaras. Divers composés de mercure sont toujours employés dans des antidotes, des vaporisateurs nasaux, des laxatifs stimulants, des onguents contre les rougeurs dues aux couches, des solutions de verres de contact, des amalgames dentaires et de l’encre à tatouage.

Additifs alimentaires et médicamenteux

Il y a également les additifs alimentaires et médicamenteux, trop nombreux pour être énumérés dans cet article, qui ont été approuvés et ensuite rappelés aux États-Unis. De puissants groupes de lobby et des compagnies pharmaceutiques font (d’une manière ou de l’autre) pression sur la FDA pour obtenir l’approbation. Certains de ces médicaments et de ces additifs ont été refusés au Canada et dans des pays européens.

Le médicament thalidomide est une de ces horribles expériences humaines. Mise en marché pour l’anxiété, la tension, l’insomnie et les nausées matinales, la thalidomide cause les caillots de sang, l’anémie et la neuropathie. Les mères enceintes ont trouvé très élevé le prix de « la pilule contre les nausées matinales » quand leurs enfants innocents sont nés avec de sévères déformations.

Qu’est-ce que toutes ces choses ont en commun ?

Les éléments communs entre les items listés ici (et tant d’autres), c’est qu’on nous a dit que ces items ont été scientifiquement testés et approuvés par le gouvernement et on les considérait donc comme de la « science établie ». Puis le grand courant médiatique sauta dans le wagon afin de devenir votre « source fiable de vérité », en battant la mesure pour pousser la course des ventes en s’exclamant : « Ceci (remplir l’espace vide) est un nouveau produit magnifique, parfaitement sécuritaire et vous pouvez vous y fier. »

En faisant la revue de ce que nous savons à propos des médicaments approuvés et surpublicisés, des vaccins et des produits, pour voir ensuite trop tard les dommages infligés, nous pouvons en conclure que la « science établie » n’existe pas. La science établie n’est maintenant devenu qu’un terme de publicité ; demandez aux défenseurs du Changement Climatique et de l’évolution. L’horrible trio du gouvernement, de la science et des médias planifie de faire appel à votre peur ou à votre fantaisie (pour capter votre attention et pour programmer vos réactions et vos désirs, souvent par des moyens fondés sur le traumatisme.)

Or, je ne suis pas en train de vous dire que la science ne nous a pas donné des développements et des médicaments étonnants et salvateurs au fil des ans, car c’est le cas. Cependant, en chrétien sagace, nous sommes appelés à nous questionner sur ce que le monde nous dit et nous vend – de façon à être sage. Comme l’a dit Jerry dans l’article principal de ce document, vous devez vous demander Qui bono ? (à qui cela profite-t-il ?)

P.S. : Vous ne devriez pas seulement remettre en question les vaccins et les nouveaux médicaments, mais également toute nouvelle folie ou tout produit surpublicisé (les boissons énergétiques et les e-cigarettes nous viennent aussi à l’esprit).