12. Le Talmud démasqué
Le Talmud démasqué, les secrets rabbiniques concernant les chrétiens est un ouvrage magistral écrit par le Père Justin Bonaventure Pranaitis, Maître de Théologie et professeur d’hébreu à l’Académie Impériale Ecclésiastique de l’Église Catholique Romaine de Saint-Pétersbourg, dans la vieille Russie tsariste. Le Père Pranaitis était le plus grand connaisseur du Talmud chez les non-juifs. Sa complète maîtrise de l’hébreu lui permit de donner une analyse très compétente du Talmud et, dans toute l’histoire humaine, peu d’hommes auraient eu l’érudition nécessaire pour une telle entreprise.
Le Père Pranaitis a scruté le Talmud pour en extraire les passages parlant de Jésus-Christ, des chrétiens ou de la foi chrétienne. Il traduisit ces passages en latin, car l’hébreu s’y prête très bien. Cette traduction des passages du Talmud parlant de Jésus-Christ, des chrétiens ou de la foi chrétienne, furent donc imprimés en latin par l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg, en 1893, avec l’imprimatur de son archevêque. La traduction du latin à l’anglais fut réalisée en 1939, par de grands latinistes américains, à l’aide de fonds fournis par de riches citoyens de notre pays.
Pour vous donner une idée très précise des références à Jésus-Christ, aux chrétiens ou à la foi chrétienne que contient le Talmud, je vais vous résumer les passages les plus révélateurs de la traduction en anglais de l’ouvrage du Père Pranaitis. Mais cela nécessiterait beaucoup trop de place de vous citer ces passages mot pour mot, en y adjoignant les notes que j’ai trouvées dans l’Édition Soncino en langue anglaise. J’ai donc décidé de ne vous citer que les passages traduits par Pranaitis, et je commence par les allusions à Jésus-Christ :
– Sanhédrin, 67a : Jésus est désigné comme le fils de Pandira (Panthera).
– Kallah, 1b. (18b) : Jésus, fils illégitime, conçu pendant les règles de sa mère.
– Sanhedrin, 67a : Jésus, pendu la veille de la Pâque.[1]
– Toldath Jeschu : Naissance de Jésus relatée dans les circonstances les plus honteuses.
– Abhodah Zarah II : Désigné comme le fils de Pandira, un soldat romain.
– Schabbath XIV : À nouveau désigné comme le fils de Pandira, le Romain.
– Sanhedrin, 43a : À la veille de Pâque, ils pendirent Jésus.
– Schabbath, 104b : « C’était un imbécile, et personne ne doit prêter attention aux imbéciles. »
– Toldoth Jeschu : Judas et Jésus se disputent dans une querelle où volent les obscénités : « (…) Juda a pissé sur Jésus. ».
– Sanhedrin, 103a : On suggère qu’il corrompt sa moralité et se déshonore.
– Sanhedrin, 107b : Séducteur, corrupteur et destructeur d’Israël.
– Zohar III, (282) : Jésus, mort comme une bête et enterré dans un tas de fiente.
– Hilkoth Melakhim : Maïmonide tente de prouver combien les chrétiens s’égarent dans le culte de Jésus.
– Abhodah Zarah, 21a : Référence au culte de Jésus ne devant pas être accepté dans les maisons, car les idoles ne doivent pas être acceptées[2].
– Orach Chaiim, 113 : Il ne faut pas donner l’impression qu’on pourrait avoir du respect pour Jésus.
– Iore dea, 150, 2 : Ne pas donner par accident l’impression d’avoir du respect pour Jésus.
– Abhodah Zarah (6a) : C’est un faux enseignement de rendre un culte à Dieu le premier jour suivant le sabbat.
Ce qui précède n’est qu’un échantillon tiré d’un enchevêtrement très compliqué d’anecdotes et d’enseignements, où de très nombreuses références sont obscurcies par des raisonnements sans fins.
Maintenant je vais vous citer quelques références aux chrétiens et à la foi chrétienne, bien que j’aie dû en reformuler parfois l’expression pour les résumer. Le Talmud utilise onze noms différents pour désigner « ceux qui ne suivent pas le Talmud », ce par quoi il faut entendre : « les chrétiens ». Outre le terme de Notsrim se référant aux nazaréniens, les chrétiens sont également désignés extensivement par tous les noms que le Talmud réserve aux « non-Juifs » : Abhodah Zarah (culte étrange, idolâtrie), Akum (adorateurs des planètes et des étoiles), Obhde Elilim (serviteurs des idoles), Minim (hérétiques), Edom (Édomites), Nokhrim (étrangers), Amme Haarets (peuple de la terre, idiots), Baser Vedam (êtres de chair et de sang, dénués d’âme), Apikorosim (Épicuriens), Kuthim (Samaritains) et Goïm (race, peuple). Les passages suivants indiquent de quelle manière les chrétiens sont dépeints dans le Talmud, et ce qu’il y est dit à propos de leur culte religieux :
– Hilkhoth Maakhaloth : Les chrétiens sont des idolâtres, ne pas les fréquenter.
– Abhodah Zarah (22a) : Ne pas fréquenter les gentils, ils versent le sang.
– Iore Dea (153, 2) : Ne pas fréquenter les chrétiens, ils répandent le sang.
– Abhodah Zarah (25b) : Se méfier des chrétiens quand on voyage avec eux à l’étranger.
– Orach Chaiim (20, 2). : Les chrétiens se déguisent pour tuer les Juifs.
– Abhodah Zarah (15b) : « Il ne faut jamais laisser un animal s’approcher des Goïm, on les soupçonne d’avoir des rapports sexuels avec eux. »[3]
– Abhodah Zarah (22a) : Passage suggérant encore que les chrétiens ont des relations sexuelles avec les animaux.
– Schabbath (145b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure.
– Abhodah Zarah (22b) : Les chrétiens sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï.
– Iore Dea (198, 48) : Les femmes juives sont contaminées par la simple rencontre de chrétiens.
– Kerithuth (6b p. 78) : Les Juifs sont des humains, non les chrétiens, ce sont des bêtes.
– Makkoth (7b) : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un chrétien ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal.
– Orach Chaiim (225, 10) : Les chrétiens et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison.
– Midrasch Talpioth (225) : Les chrétiens sont créés pour servir les Juifs de toute éternité.
– Orach Chaiim (57, 6a) : Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les chrétiens que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.
– Zohar II (64b) : Les chrétiens sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes.
– Kethuboth (110b) : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit : « le psalmiste compare les chrétiens[4] à des bêtes impures ».
– Sanhedrin (74b) Tos. : Les rapports sexuels des chrétiens sont comme ceux des bêtes.
– « La semence des Goïm vaut bien celle des bêtes. »
– Eben Haezar (44, 8) : Sont nuls, les mariages entre les chrétiens et les Juifs.
– Zohar (II, 64b) : Le taux de naissance des chrétiens doit être diminué matériellement.
– Zohar (I, 28b) : Les chrétiens sont les enfants du serpent de la Genèse[5].
– Zohar (I, 131a) : Les idolâtres (sous entendre : les chrétiens) souillent le monde[6].
– Emek Haschanach (17a) : L’âme des non-juifs vient de la mort et de l’ombre de la mort.
– Zohar (I, 46b, 47a) : L’âme des gentils est d’une origine théologique impure.
– Rosch Haschanach (17a) : L’âme des non-Juifs descend en enfer.
– Iore Dea (377, 1) : Il faut remplacer les serviteurs (chrétiens) morts, comme les vaches, ou les ânes perdus.
– Iebhammoth (61a) : Les Juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les chrétiens.
– Abhodah Zarah (14b) Toseph : Il est interdit de vendre les Livres des Prophètes aux chrétiens.
– Abhodah Zarah (78) : Les Églises chrétiennes sont le lieu de l’idolâtrie.
– Iore Dea (142, 10) : Il faut toujours rester à une certaine distance des Églises, sauf quand on est dans le dos de cette même Église, alors on peut se rapprocher…
– Iore Dea (142, 15) : Il ne faut pas écouter la musique des Églises, ni regarder ses idoles.
– Iore Dea (143, 1) : On ne doit pas reconstruire des bâtiments qui se trouvent près d’une Église.
– Hilkoth Abh. Zar (10b) : Les Juifs ne doivent pas revendre des calices que des chrétiens leur auraient vendus, même s’ils sont brisés.
– Chullin (91b) : Les Juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas.
– Sanhedrin (58b) : Frapper un Juif, c’est comme gifler la face de Dieu lui-même.
– Chagigah (15b) : Un Juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre.
– Gittin (62a) : Un Juif ne doit pas entrer dans la maison d’un chrétien un jour de fête.
– Choschen Ham. (26, 1) : Un Juif ne doit pas être poursuivi devant un tribunal chrétien, par un juge chrétien, ou par des lois chrétiennes.
– Choschen Ham (34, 19) : Les chrétiens et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès.
– Iore Dea (112, 1) : Ne pas manger avec les chrétiens, cela engendre la familiarité.
– Abhodah Zarah (35b) : Ne pas boire du lait tiré par un chrétien.
– Iore dea (178, 1) : Ne jamais imiter les coutumes des chrétiens, même simplement par la coiffure.
– Abhodah Zarah (72b) : Il faut jeter le vin s’il a été touché par un chrétien.
– Iore Dea (120, 1) : La vaisselle acheté à des chrétiens doit être jetée.
– Abhodah Zarah (2a) : Il faut stopper tout contact avec les chrétiens trois jours avant le début de l’une de leurs fêtes.
– Abhodah Zarah (78c) : Les fêtes de ceux qui suivent Jésus sont de l’idolâtrie.
– Iore Dea (139, 1) : Il est interdit d’avoir le moindre contact avec les idoles qu’utilisent les chrétiens pour leur culte.
– Abhodah Zarah (14b) : Il est interdit de vendre aux chrétiens des articles qu’ils pourraient utiliser pour leur culte.
– Iore Dea (151, 1) H. : Ne pas vendre de l’eau à un chrétien, s’il va l’utiliser pour un baptême[7].
– Abhodah Zarah (2a, 1) : Ne faire aucun commerce avec les chrétiens pendant leurs jours de fête.
– Iore Dea (148, 5) : S’il est connu que le chrétien n’est pas pratiquant, on peut lui envoyé des cadeaux.
– Hilkoth Akum (IX, 2) : Il ne faut envoyer de présent à un chrétien que s’il est irréligieux.
– Iore Dea (81, 7 Ha) : Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice chrétienne, car son lait lui donnera une nature maléfique.
– Iore Dea (153, 1 H) : Les nourrices chrétiennes conduisent les enfants à l’hérésie.
– Iore Dea (155, 1) : Éviter les médecins chrétiens qui ne sont pas très bien connus du voisinage.
– Peaschim (25a) : Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous-entendu des chrétiens).
– Iore Dea (156, 1) : Ne pas aller chez un barbier chrétien, à moins d’être accompagné par un Juif.
– Abhodah Zarah (26a) : Ne pas recourir à une sage femme chrétienne qui, une fois seule, pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.
– Zohar (1, 25b) : « Ceux qui font du bien à un Akum, ne se relèveront pas des morts ».
– Hilkoth Akum (X, 6) : On peut aider les chrétiens dans le besoin, si cela nous évite des ennuis par la suite.
– Iore Dea (148, 12 H) : On peut prétendre se réjouir avec les chrétiens pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.
– Abhodah Zarah (20a) : Ne jamais faire la louange d’un chrétien, de peur qu’il ne la croie.
– Iore Dea (151, 14) : Il est interdit de concourir à la gloire d’un chrétien.
– Hilkoth Akum (V, 12) : Citation de l’écriture, pour appuyer l’interdit concernant toute mention du nom d’un chrétien, ou du nom du Dieu chrétien.
– Iore Dea (146, 15) : « Leurs idoles [c’est-à-dire, les objets du culte] doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants. »
– Iore Dea (147, 5) : Il faut railler les objets du culte chrétien, il est interdit de souhaiter du bien à un chrétien.
– Hilkoth Akum (X, 5) : Pas de présents aux chrétiens, seulement à ceux qui se font juifs.
– Iore Dea (151, 11) : Il est interdit de faire un présent à un chrétien, cela encourage l’amitié.
– Iore Dea (335, 43) : L’exil pour le Juif qui vent sa ferme à un chrétien.
– Iore Dea (154, 2) : Il est interdit d’enseigner un métier à un chrétien.
– Babha Bathra (54b) : La propriété d’un chrétien appartient au premier Juif qui la réclame.
– Choschen Ham (183, 7) : Si par erreur un chrétien rend trop d’argent, il faut le garder.
– Choschen Ham (226, 1) : Les Juifs peuvent garder sans s’en inquiéter les affaires perdues par un chrétien.
– Babha Kama (113b) : Il est permis de tromper les chrétiens.
– Choschen Ham (183, 7) : Des Juifs qui trompent un chrétien doivent se partager le bénéfice équitablement.
– Choschen Ham (156, 5) : Les clients chrétiens possédés par un Juifs ne doivent pas être démarchés par un autre Juif.
– Iore Dea (157, 2) H : On peut tromper les chrétiens qui croient aux principes de la foi chrétienne.
– Abhodah Zarah (54a) : L’usure peut être pratiquée sur les chrétiens, ou sur les apostats.
– Iore Dea (159, 1) : « Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Akum avec intérêt. Toutefois, certains des Anciens n’ont pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit est accordé dans n’importe quelle circonstance. »
– Babha Kama (113a) : Les Juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour condamner un chrétien.
– Babha Kama (113b) : Le nom de Dieu n’est pas profané quand le mensonge a été fait à un chrétien.
– Kallah (1b, p.18) : Le Juif peut se parjurer la conscience claire.
– Schabbouth Hag. (6d). : Les Juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.
– Zohar (1, 160a) : Les Juifs doivent en permanence tenter de tromper les chrétiens.
– Iore Dea (158, 1) : Il ne faut jamais guérir un chrétien, à moins que cela ne le transforme en un ennemi d’Israël.
– Orach Cahiim (330, 2) : Il est interdit de procéder à l’accouchement d’une chrétienne le samedi.
– Choschen Ham. (425, 5) : Il est permis de tuer indirectement un chrétien, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.
– Iore Dea (158, 1) : En ce qui concerne les chrétiens qui ne sont pas des ennemis, un Juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir d’une menace mortelle.[8]
– Hilkkoth Akum (X, 1) : Ne pas sauver les chrétiens en danger de mort.
– Choschen Ham (386, 10) : Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux chrétiens, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit.
– Abhodah Zorah (26b) : Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.
– Choschen Ham (388, 15) : Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des chrétiens.
– Sanhedrin (59a) : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël[9], commettent un crime qui réclame la peine de mort.
– Hilkhoth Akum (X, 2) : Les Juifs baptisés doivent être mis à mort.
– Iore Dea (158, 2) Hag. : Il faut abattre les renégats qui se sont tournés vers les rituels chrétiens.
– Choschen Ham (425, 5) : Ceux qui ne croient pas en la Torah doivent être tués.
– Hilkhoth tesch. (III, 8) : Les chrétiens et les autres, nient la Loi de la Torah.
– Zohar (I, 25a) : Les chrétiens doivent être exterminés, car ce sont des idolâtres.
– Zohar (II, 19a) : La captivité des Juifs prendra fin lorsque les princes chrétiens seront morts.
– Zohar (I, 219b) : Les princes chrétiens sont des idolâtres, ils doivent mourir.
– Obadiam : Quand Rome sera détruite, Israël sera racheté.
– Abhodah Zarah (26b) T. : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu. »
– Sepher Or Israel (177b) : Si un Juif tue un chrétien, ce n’est pas un péché.
– Ialkut Simoni (245c) : Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à Dieu.
– Zohar (II, 43a) : L’extermination des chrétiens est un sacrifice agréable à Dieu.
– Zohar (L, 28b, 39a) : Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres.
– Hilkhoth Akum (X, 1) : Ne passez aucun accord avec un chrétien, et ne jamais manifester de pitié envers un chrétien.
– Hilkhoth Akum (X, 1) : Soit les détourner de leurs idoles, soit les abattre.
– Hilkhoth Akum (X, 7) : Où les Juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres.
– Choschen Ham (338, 16) : Tous les habitants d’une ville doivent contribuer aux frais nécessaires à l’élimination d’un traître parmi eux.
– Pesachim (49b) : Il est permis de décapiter les Goïm le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat[10].
À moins qu’on ne l’ait récemment retiré de la consultation publique, vous pourrez trouver un exemplaire de ce livre (Le Talmud démasqué, les secrets rabbiniques concernant les Chrétiens, par le Père Justin Bonaventure Pranaitis[11]), à la bibliothèque du Congrès, ainsi qu’à la bibliothèque publique de New York. Une copie de l’édition latine originale imprimée en 1892 à Saint-Pétersbourg, peut être mise à votre disposition par l’intermédiaire de notre ami commun, si vous désirez lire les passages qui précèdent dans l’hébreux original, ainsi que dans leur traduction latine[12]. J’espère que mes petits résumés rendent bien compte du texte original, en tout cas je le crois. Si j’ai fait une erreur quelconque, auriez-vous la bonté de me le faire savoir ? Il a été très difficile de résumer ces passages du Talmud en si peu de mots.
Vous reconnaîtrez avec moi que la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs, n’a désormais plus besoin d’examiner en détail les 63 livres du Talmud pour découvrir des passages contre le Christ, contre les chrétiens et contre la foi chrétienne, qui sont contenus dans ce livre, qui, je vous le rappelle, est :
« Le code législatif qui forme les bases de la loi religieuse juive » et qui est « le livre utilisé pour la formation des rabbins ».
La Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs pourra désormais, et grâce à vous, ajouter une ou deux de ces citations à la légende de cette gentille photo qui nous disait :
« Les adultes aussi étudient les anciennes écritures. Le rabbi, qu’on voit ici sur le fauteuil, dirige un groupe de discussion sur le Talmud, avant la prière du soir. »
Si la Conférence Nationale des Chrétiens et des Juifs était sincèrement intéressée par « la foi commune » et par la « fraternité », ne pensez-vous pas mon cher Docteur Goldstein, qu’elle devrait exiger immédiatement la suppression du Talmud de tous ces passages contre le Christ[13], contre les chrétiens, et contre le christianisme ; de même que les « Juifs » (prétendus ou autoproclamés) nous ont fraternellement supprimés certains passages du Nouveau Testament ? Mon cher Docteur Goldstein, allez-vous le demander ?
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[1] Le Talmud démasqué, nous apprend que « celui qui a été pendu », est l’expression qui servait de nom de code pour désigner Jésus-Christ.
[2] Pour eux, le crucifix est une idole, une icône est une idole…
[3] Les passages repris entre guillemets, sont traduits directement par nous depuis le Talmud démasqué (n.d.t.).
[4] Ici les Goïm, car lors de la rédaction des Psaumes, les chrétiens n’existaient pas encore.
[5] « Les peuples idolâtres de la Terre sont les enfants du serpent qui a séduit Ève ». Traduction directe depuis le Talmud démasqué.
[6] « Les idolâtres souillent le monde dès qu’ils entrent en existence, car leur âme vient de la face impure. » Traduction directe depuis le Talmud démasqué.
[7] « Il n’est pas permis de vendre de l’eau à un Akum s’il est connu qu’il va en faire une eau baptismale. » Traduction directe depuis le Talmud démasqué.
[8] « Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ». Traduction directe depuis le Talmud démasqué.
[9] Comprendre : « le Talmud ».
[10] « Rabbin Eliezer : “Il est permis de trancher la tête d’un idiot [un membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire, un animal charnel, un chrétien (n.d.t.)] le jour de l’expiation des péchés [on ne peut imaginer jour plus sacré pour les Juifs (Pranaitis)], et même si ce jour tombe un jour de sabbat”. Ses disciples répondirent : “Rabbi ! vous devriez plutôt dire ‘de sacrifier’ un Goï.” Mais il répliqua : “En aucune façon ! car lors d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de l’agréer, alors qu’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites quelqu’un.” » Pesachim 49b. (Traduction directe depuis le Talmud démasqué).
Il est à noter que l’idée du sacrifice rituel d’un Goï n’a pas l’air très éloignée de leur esprit, bien au contraire… Peut-être aurons-nous l’occasion d’en reparler, car ce sujet bien précis est particulièrement instructif.
[11] Le père Pranaitis fut l’une des nombreuses victimes de la Tcheka, juste après le coup de force communiste de 1917.
[12] Le père Pranaitis avait présenté sa traduction dans une version bilingue.
[13] « Anti-Christ » dans le texte original.