Dans l’antre du diable
Dixième partie
54. Les Nazis sionistes
L’assimilation des Juifs au sein de la religion romaine s’est accomplie au moyen d’un changement de nom et par leur conversion au catholicisme. Toutefois, ils conservèrent leurs traditions talmudiques et kabbalistiques, car ils étaient crypto-Juifs. Ces crypto-Juifs talmudiques gravirent l’échelle du pouvoir à Rome. Le barbarisme et la duplicité de ces Juifs se constatent dans leurs actions meurtrières de conspirations durant la Deuxième Guerre Mondiale. Heinrich Himmler, Joseph Goebbels et Adolf Hitler furent tous d’extraction juive. Ils furent néanmoins catholiques romains. Himmler modela les SS selon l’ordre crypto-juif des Jésuites. Walter Schellenberg, ancien chef du contre-espionnage allemand (Sicherheisdienst ou SD), expliqua, après la guerre :
« L’organisation SS (sic) a été constituée par Himmler selon les principes de l’Ordre des Jésuites. Leurs règlements et les Exercices Spirituels prescrits par Ignace de Loyola furent le modèle qu’Himmler tenta de copier exactement. »[1]
Adolf Hitler a dit : « Je vois en Himmler notre Ignace de Loyola. »[2] Gardez à l’esprit qu’Himmler fut le Reichsfuhrer SS (chef suprême des SS). On équivalait ce titre à celui de « Général » des Jésuites.[3] Himmler était également en charge de la police secrète allemande, du nom de Gestapo. Le Général Jésuite, le Comte Halke von Ledochowski, arrangea une unité spéciale au sein du Service Central de la Sécurité SS où la plupart des postes principaux étaient comblés par des prêtres catholique romains portant la chemise noire de l’uniforme des SS. Le chef de cette unité spéciale était l’oncle d’Heirich Himmler, prêtre jésuite.[4]
Franz Von Papen, ancien Chancelier d’Allemagne, chambellan secret du pape et ressort moteur du concordat entre l’Allemagne et le Vatican, a dit : « Le Troisième Reich est le premier pouvoir qui, non seulement reconnaît les grands principes de la papauté, mais les met aussi en pratique. »[5] Avec cela en tête, considérez maintenant que le fondé de pouvoir d’Hitler, Rudolph Hess, le Reichmarshal Hermann Goering, Gregor Strasser, Alfred Rosenberg, Hans Frank, le Reichminister von Ribbentrop, le haut dirigeant SS Reihard Heydrich, les banquiers d’Hitler Ritter von Strauss et von Stein, ainsi que la majorité des haut-officiers et des associés d’Hitler étaient Juifs ! Le Troisième Reich était copié sur la papauté et pourtant contrôlé par des crypto-Juifs.[6]
On demandera peut-être pourquoi des Juifs sionistes conspirèrent avec les Nazis pour persécuter des Juifs ? Les Nazis et les Sionistes travaillèrent ensemble à persécuter les Juifs d’Europe dans le but de forcer ces derniers à émigrer en Palestine. Les nazis concoctèrent des arrangements secrets avec les Sionistes juifs pour faciliter l’émigration des Juifs en Palestine. Henneke Kardel expliqua les arrangements pris entre les Nazis et les Sionistes juifs, dans son livre Adolf Hitler : fondateur d’Israël :
« La coopération qui existait entre la Gestapo d’Heydrich et la ligue d’autodéfense juive en Palestine, la Haganah militante, n’aurait su être plus étroite n’eut été qu’Eichman la rendit publique (…) Le commandant de la Haganah était Feivel Polkes, né en Pologne, que le dirigeant de troupe SD Adolph Eichman rencontra, en février 1937, dans un restaurant à vin Traube (Grappe) près du zoo. Ces deux Juifs y passèrent une accord fraternel. Polkes, le combattant clandestin, obtint d’Eichman la garantie écrite suivante : “Une corporation représentant les Juifs d’Allemagne exercera une pression pour que ceux qui quitteront l’Allemagne n’émigrent qu’en Palestine seulement. Une telle politique est dans l’intérêt de l’Allemagne et sera exécutée par la Gestapo. »[7]
Pourquoi les Juifs sionistes voulaient-ils forcer les Juifs vivant en Europe à émigrer en Palestine ? Parce qu’ils voulaient accroître la population juive de cette région afin d’établir une tête de pont pour le contrôle éventuel de tout le Proche Orient. Après la défaite de l’Empire ottoman lors de la Première Guerre Mondiale, la Grande-Bretagne maîtrisa la Palestine par mandat de la Ligue des Nations. Le 2 novembre 1917, Lord Arthur James Balfour, Premier Ministre d’Angleterre, envoya une lettre à l’éminent sioniste Lord Rothschild, lui promettant l’établissement d’une patrie juive en Palestine. La lettre devint la célèbre Déclaration Balfour. C’était la première reconnaissance d’une patrie juive par une puissance mondiale majeure. À l’époque, les Juifs étaient en minorité en Palestine et, par conséquent, n’avait pas grand espoir de contrôler la région, ce qui était pourtant leur but. Ils avaient besoin qu’un grand nombre de Juifs émigrent en Palestine pour commencer le processus de conquête juive du Moyen-Orient. Le problème résidait en ce qu’ils ne pouvaient pas persuader les Juifs de quitter une vie confortable et prospère en Europe pour émigrer dans une Palestine tiers-mondiste. Il fut donc décidé qu’ils seraient chassés d’Europe de manière à ce qu’ils n’aient pas d’autre choix que de fuir en Palestine. Entrèrent donc en scène Hitler et sa « solution finale » qui chassèrent les Juifs d’Europe pour les orienter vers la Palestine, tel que planifié.
Le 19 novembre 1947, les Nations Unis partagèrent la Palestine en trois sections : une pour les Palestiniens, une pour les Juifs et une zone internationale à Jérusalem. Le 14 mai 1948, l’État d’Israël se mit à exister officiellement. Aujourd’hui, les Juifs contrôlent toute la Palestine, incluant Jérusalem, devenue la capitale d’Israël. Les Sionistes rêvent que Jérusalem soit la capitale du monde. Les trois-quart de la population de Jérusalem sont maintenant juifs, alors que le reste est demeuré palestinien. Les Juifs occupent la Côte Ouest, la Bande de Gaza et le Plateau du Golan. Ces régions seront éventuellement absorbées à l’intérieur d’Israël.
Les Sionistes juifs n’œuvrèrent pas seulement avec les Nazis pour forcer les Juifs à émigrer en Israël. L’érudit juif, Israël Shahak, a découvert ce qui suit : « Le gouvernement israélien instigua l’immigration juive d’Irak en corrompant le gouvernement irakien pour qu’il dépouille les Juifs irakiens de leur citoyenneté et qu’il confisque leurs propriétés. »[8] De plus, les Sionistes du gouvernement américain persuadèrent Franklin Roosevelt de ne pas permettre l’immigration des Juifs aux États-Unis, tôt dans la Deuxième Guerre Mondiale, pour qu’ils soient forcés de s’enfuir en Israël. La relation étroite existant entre les Juifs ashkénazes et les Nazis apparaît quand on jette un coup d’œil sur les personnages qui assistèrent Israël. Plusieurs seront surpris d’apprendre que la personne qui s’occupa le plus de l’établissement et de la formation du notoire Mossad (Renseignements Militaires Israéliens) n’était nul autre que Reinhard Gelhen, ancien chef des Renseignements nazis d’Hitler sur le Front oriental.[9]
On doit se rappeler que le nazisme n’est qu’une saveur différente de la philosophie marxiste qui produisit le communisme. Le nazisme, c’est le socialisme national, alors que le communisme est le socialisme international. Les deux formes de socialisme sont nées de Juifs talmudiques sionistes.
Le parti nazi a grandi à partir des cercles théosophiques allemands. Les théosophes étaient disciples de Madame Helena Blavatsky. Sa théosophie se fondait sur la Kabbale juive. La Kabbale est un bouquin occultiste de sorcellerie juive qui met en mémoire certaines des coutumes religieuses sataniques de l’ancienne Babylone. Kabbale veut littéralement dire « tradition ». Quand Jésus réprimanda les pharisiens concernant leurs traditions, Il Se référait vraisemblablement à leur Kabbale. « Pourquoi transgressez-vous le commandement de Dieu par votre tradition ? » (Matthieu 15:3, VM). La Franc-maçonnerie tire ses racines de la Kabbale. Il y a 33 étapes vers la perfection spirituelle dans la Kabbale, comme il y a 33 degrés dans le Rite écossais de la Franc-maçonnerie. Les Juifs pensent aussi que, par la Kabbale, ils peuvent exécuter les miracles de Jésus-Christ. Ce faisant, ils croient pouvoir devenir des Christs individuels (leur propre Messie) par la « perfection » spirituelle. Cela ressemble beaucoup à la doctrine du catholicisme romain où l’on considère que le prêtre catholique est un alter-christos (un autre Christ).
Jack Bernstein, qui était Juif ashkénaze, note la particularité du mot « nazi » et suggère qu’il soit dérivé du mot « ashkenazi » (Ashke-Nazi). Les similitudes dans les méthodes et les stratégies des Ashkénazes et des Nazis indiquent que c’étaient les deux têtes d’une même bête. Les Jésuites babyloniens sont le corps de cette bête. Cependant, elle possède plus que deux têtes. Les autres sont le communisme, le socialisme, le talmudisme, le sionisme, l’illuminisme, la franc-maçonnerie et le catholicisme. Les têtes peuvent parfois se mordre et grogner l’une contre l’autre, elles n’en marchent pas moins en accord avec les désirs du cœur avide de la bête qui est le jésuitisme satanique.
Le Troisième Reich allemand nazi nous donne une certaine idée de ce qu’aurait l’air un monde dirigé par les Sionistes. L’auteur et érudit israélien de renom, Israël Shahak, et Norton Mezvinsky, professeur d’histoire à l’Université de l’État du Connecticut, après de nombreuses années de profondes recherches, en vinrent à la conclusion suivante :
« Les similitudes entre la marche politique messianique juive et le nazisme allemand sont aveuglantes. Les Gentils sont aux messianistes ce que les Juifs étaient pour les nazis. La haine de la culture occidentale avec ses éléments rationnels et démocratiques est commune aux deux mouvements. Finalement, l’extrême chauvinisme des messianistes est dirigé contre tous les non Juifs. La guerre du Yom Kippour de 1973, par exemple, était, du point de vue d’Amital, non pas dirigée contre les Égyptiens, les Syriens et/ou tous les Arabes, mais contre tous les non-Juifs. La guerre fut donc dirigée contre la grande majorité des citoyens des États-Unis, même si les États-Unis aidèrent Israël dans cette guerre. Cette haine contre les non-Juifs n’est pas nouvelle, mais, comme nous l’avons déjà abordé, elle découle d’une longue tradition kabbalistique juive ininterrompue. Les érudits juifs qui ont tenté de dissimuler ce fait aux non-Juifs, et même à beaucoup de Juifs, ont, non seulement desservi le savoir, mais ils ont aidé son analogue allemand, le nazisme (…) Cette idéologie suppose la venue imminente du Messie et affirme que les Juifs, aidés par Dieu, vont par conséquent triompher des non-Juifs et régner sur eux pour toujours. »[10]
55. Le talmudisme, c’est le communisme
Nombreux est-on à croire que le Sionisme ne constitue que la lutte des Juifs pour se faire une patrie. Le Sionisme est bien davantage que l’établissement des Juifs dans une patrie palestinienne. Ce n’est là qu’une couverture pour un plan plus vaste visant à la direction du monde entier. Le Sionisme est l’enfant du Talmud, et le talmudisme, c’est le communisme. La révolution communiste de Russie fut planifiée et exécutée par les Juifs selon les doctrines de leur Talmud. Des 556 leaders conspirateurs de l’état bolchevique, en 1918-19, il y avait 17 Russes, 2 Ukrainiens, 11 Arméniens, 35 Latviens, 15 Allemands, un Hongrois, 10 Géorgiens, 3 Polonais, 3 Finlandais, un Tchèque, un Karaïte et 457 Juifs.[11] Comme le souligne Robert Wilton dans son livre, Les derniers jours des Romanov, la révolution communiste ne fut pas une insurrection par des Russes, mais plutôt une invasion secrète par les Juifs. Comme, en 1983, le Premier Ministre de l’Union soviétique était un Juif (Andropov) et 23 des 25 membres du Politburo (la clique dirigeante soviétique) étaient Juifs. En outre, tous les membres dirigeants de l’armée et de la police soviétique étaient Juifs.[12]
« Les Allemands savaient ce qu’ils faisaient lorsqu’ils expédièrent le paquet de Juifs de Lénine en Russie. Ils les choisirent comme agents de destruction. Pourquoi ? Parce que les Juifs n’étaient pas Russes et que, pour eux, la destruction de la Russie faisait partie de la besogne, révolutionnaire ou financière. Tout le compte-rendu du bolchevisme en Russie est marqué de manière indélébile de l’estampille de l’invasion étrangère. Le meurtre du tsar, délibérément planifié par le juif Sverdlov (venu en Russie comme agent payé par l’Allemagne) et exécuté par les juifs Goloschekin, Syromolotov, Safarov, Voikov et Yukovsky, n’est pas une action du peuple russe, mais de cet envahisseur hostile. »[13]
Comme le releva le Colonel Jack Mohr : « Une des plus grandes difficultés rencontrées par les pharisiens talmudiques avait été d’amener le communisme au pouvoir sans éveiller les soupçons sur son origine talmudique. »[14] Toutefois, la preuve directe et circonstancielle que la révolution communiste en Russie fut une conspiration perpétrée par les Juifs talmudiques est accablante. Comme preuve circonstancielle qui souligne le contrôle juif de la révolution communiste, disons qu’une fois que les communistes eurent saisi le pouvoir en Russie, la première loi qu’ils passèrent fit de l’anti-sémitisme un crime punissable de mort.[15] Alors que les bâtiments d’églises chrétiennes étaient transformés en étables d’animaux, en abattoirs ou en salles de danse, on ne toucha pas aux synagogues juives.[16] Les pasteurs chrétiens furent relevés de leur devoirs pastoraux et forcés de travailler sur les routes et dans des camps de travaux d’esclaves ; pourtant, on permit aux rabbins juifs de continuer leurs devoirs cléricaux.[17]
Moïse Mordecaï Marx Levi, alias Karl Marx, était Juif, sataniste et membre de la « Ligue du Juste », branche des Illuminati.[18] En 1847, Marx fut chargé par les Illuminati d’écrire le Manifeste communiste qui est un profil de leurs plans de domination mondiale.[19] Comment les talmudistes illuminati savaient-ils que leur canevas de subjugation d’un pays, tel qu’avancé dans le manifeste communiste, marcherait ? Il savaient que cela pouvait marcher parce que les Jésuites eurent 150 ans pour raffiner la méthode. Entre 1600 et 1750, les Jésuites contrôlèrent un quart de million d’indigènes ignorants du Paraguay dans plus de 30 communes qu’ils appelaient des « réductions ».[20] Les Jésuites s’étaient faits maîtres de ces pauvres esclaves dont le labeur rendit l’Ordre immensément riche. Les leçons apprises dans les « réductions » furent mémorisées dans le manifeste communiste.
Les Juifs talmudiques ont réussi à empêcher toute révélation au sujet de leur implication dans le projet d’un nouvel ordre mondial communiste en attribuant à quiconque exposerait leurs efforts l’étiquette d’anti-sémite. Ce que peu comprennent, c’est que ceux qui proclament être l’objet d’anti-sémitisme ne sont pas Sémites du tout. Les Sémites sont ceux qui descendent de Sem, le fils aîné de Noé. La plupart des Juifs vivant en Israël et partout dans le monde aujourd’hui sont des Européens de l’est convertis à une religion qu’ils déclarent être du judaïsme, mais qui, en fait, est du talmudisme babylonien. Les Européens qui se convertirent ultérieurement à cette forme babylonienne de judaïsme sont connus sous le nom de Juifs ashkénazes ou Khazars. Le Dr Benjamin H. Freedman, ancien Juif qui, par la grâce de Dieu, s’est converti au christianisme, déclare que les Khazars étaient une nation païenne dont le culte religieux était un mélange de culte phallique et d’autres formes d’idolâtrie. Au 7e siècle, leur roi Bulkan choisit le talmudisme, que la plupart appellent maintenant judaïsme, comme religion d’état.[21] Les Juifs Khazars sont aujourd’hui appelés « Yiddish ». Dans l’Apocalypse, Dieu Se réfère à ces Juifs talmudiques ashkénazes comme des Juifs qui se disent Juifs, et qui n’en sont pas, mais qui sont plutôt la « synagogue de Satan ».
« Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan » (Apocalypse 2:9, VM).
« Voici, je ferai venir ceux de la Synagogue de Satan qui se disent Juifs, et ne le sont point, mais mentent ; voici, dis-je, je les ferai venir et se prosterner à tes pieds, et ils connaîtront que je t’aime » (Apocalypse 3:9, VM).
[N. du T. : Nous aimerions souligner ici un trait de la généalogie que Dieu a enregistrée dans Sa Parole. Veuillez remarquer ce que l’on trouve dans la Genèse et dans les Chroniques :
« Les enfants de Japhet sont Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Méshec, et Tiras. 3Et les enfants de Gomer : Askénaz, Riphath, et Togarma » (Genèse 10:2-3, VM).
« Les enfants de Japheth furent Gomer, Magog, Madaï, Javan, Tubal, Mésec et Tiras. 6Les enfants de Gomer furent Askénaz, Riphath et Togarma » (1 Chroniques 1:5-6, VM).
Maintenant, suivez la généalogie d’Abraham :
« Fils de Sem [les Sémites] : Élam, Assur, Arpacshad, Lud, Aram, Uts, Hul, Guéther et Méshec. 18Arpacshad engendra Shélach ; et Shélach engendra Héber. 19Deux fils naquirent à Héber [les Hébreux] : l’un s’appelait Péleg (partage), parce que de son temps la terre fut partagée ; et le nom de son frère était Jockthan. 20Jockthan engendra Almodad, Shéleph, Hatsarmaveth, Jérach, 21Hadoram, Uzal, Dikla, 22Ébal, Abimaël, Shéba, 23Ophir, Havila et Jobab ; tous ceux-là furent fils de Jockthan. 24Sem, Arpacshad, Shélach, 25Héber, Péleg, Réhu, 26Sérug, Nachor, Tharé, 27Abram, qui est Abraham » (1 Chroniques 1:17-27, VO).
Ces « fils d’Askénaz » modernes ne peuvent en aucune façon prétendre à la lignée sémite. Jamais n’ont-ils été de la descendance d’Abraham. Ce sont donc des Gentils, des païens et leur propre Talmud les condamne ! N’est-ce pas étrange ?]
Les Juifs ashkénazes forment un peuple sans allégeance à aucune nation. Leur objectif premier est de s’emparer du monde entier. Pour avoir une idée de l’infâme objectif de ces talmudistes, lisons la lettre qu’écrivit Baruch Levy à Karl Marx, en 1879 :
« Le peuple juif dans son entier sera son propre messie. Il achèvera sa domination mondiale par la dissolution des autres races, par l’abolition des frontières, l’annihilation de la monarchie et l’établissement d’une république mondiale dans laquelle les Juifs exerceront partout leur privilège de citoyenneté. Dans ce nouvel ordre mondial, les enfants d’Israël fourniront tous les dirigeants sans rencontrer d’opposition. Les gouvernements des différents peuples formant la république du monde tomberont sans difficulté dans les mains des Juifs. Il deviendra alors possible aux dirigeants juifs d’abolir la propriété privée et de faire partout usage des ressources de l’état. Ainsi, les promesses du Talmud seront accomplies, dans lesquelles il est dit que, lorsque le temps messianique sera venu, les Juifs auront tous les biens du monde entre leurs mains. »[22]
56. Menace juive sur les États-Unis
Charles Cotesworth Pinckney, délégué de la Caroline du Sud à la Convention Constitutionnelle de Philadelphie de 1787, enregistra, dans son journal intime, la déclaration prophétique suivante faite par Benjamin Franklin durant une intermission de la Convention Constitutionnelle :
« Je suis pleinement d’accord avec le Général Washington lorsqu’il dit que nous devons protéger notre jeune nation des influences insidieuses et des pénétrations captieuses. La menace, messieurs, vient des Juifs.
« Dans les pays où les Juifs se sont installés en grand nombre, ils en ont abaissé la voix morale ; déprécié l’intégrité commerciale ; se sont isolés sans se laisser assimiler ; se sont moqué de la religion chrétienne sur les bases de laquelle cette nation était fondée et ont essayé de la miner, en s’objectant à ses restrictions ; ils ont érigé un état à l’intérieur de l’état ; et, lorsqu’ils rencontraient une opposition, tentaient d’étrangler financièrement à mort le pays, comme c’est le cas en Espagne et au Portugal.
« Depuis plus de 1 700 ans, les Juifs pleurent sur leur sort malheureux en se lamentant qu’ils ont été exilés de leur patrie, comme ils appellent la Palestine. Mais, messieurs, le monde le leur donnerait-il sans conditions qu’ils se trouveraient immédiatement une raison de ne pas y retourner ! Pourquoi ? Parce que ce sont des vampires, et les vampires ne vivent pas des vampires. Ils ne peuvent vivre entre eux seulement. Ils doivent subsister sur le dos des chrétiens et des autres peuples qui ne sont pas de leur race.
« Si vous ne les excluez pas des États-Unis, dans notre Constitution, dans moins de 200 ans, ils auront essaimé ici en si grand nombre qu’ils domineront le pays, le dévoreront et changeront la forme de gouvernement pour laquelle nous, Américains, avons répandu notre sang, donné nos vies, notre substance et mis en jeu notre liberté.
« Si vous ne les excluez pas, en moins de 200 ans, nos descendants travailleront dans les champs pour leur bâtir une fortune, pendant qu’ils seront à se frotter les mains dans les maisons de comptes. Je vous avertis, messieurs, que si vous n’excluez pas les Juifs pour toujours, vos enfants vous maudirons sur vos tombes.
« Les Juifs, messieurs, sont asiatiques, laissons-les naître là-bas, sinon, peu importe le nombre de générations qu’ils seront hors d’Asie, ils ne seront jamais autre chose qu’asiatiques. Leurs idées ne se conforment pas à celles des Américains, et ne le feront pas même s’ils demeurent parmi nous pendant dix générations. Un léopard ne peut changer ses taches. Les Juifs sont asiatiques, une menace pour notre pays, si nous leur permettons d’entrer, et c’est pour cela qu’ils devraient être exclus par cette Convention Constitutionnelle. »[23]
Benjamin Franklin fait référence à l’opinion de George Washington en ce qui regarde les Juifs. Quelle était l’opinion de George Washington ? « Ils [les Juifs] oeuvrent plus efficacement contre nous que les armées ennemies. Ils sont cent fois plus dangereux pour nos libertés et la grande cause dans laquelle nous nous sommes engagés (…) Il y a de quoi se lamenter de constater que chaque état ne les a pas chassés il y a longtemps, comme la peste de la société qu’ils sont et les ennemis les plus grands que nous ayons eus contre le bonheur de l’Amérique. »[24]
Benjamin Franklin et George Washington étaient-ils anti-sémites ? Non, ils comprenaient simplement les dangers réels posés par les Juifs talmudiques, qui n’étaient pas du tout Sémites.
Cette conspiration visant à diriger le monde se trame entre de soi-disant Juifs, qui ne sont pas de vrais Juifs, et de soi-disant chrétiens, qui ne sont pas de vrais chrétiens. Un vrai Juif est celui qui accepte Jésus en tant que Messie. Romains 9:6 : « …mais tous ceux qui sont d’Israël, ne sont pas pourtant Israël. » « Car celui-là n’est point Juif, qui ne l’est qu’au-dehors, et celle-là n’est point la véritable Circoncision, qui est faite par dehors en la chair. 29Mais celui-là est Juif, qui l’est au-dedans ; et la véritable Circoncision est celle qui est du cœur en esprit, et non pas dans la lettre ; et la louange de ce Juif n’est point des hommes, mais de Dieu » (Romains 2:28-29, VM).
57. Les Protocoles des Sages de Sion
Non seulement ces Juifs talmudiques ont-ils manifesté leur malveillance, mais ils ont mis leur plan de domination par écrit. Les Protocoles des Sages de Sion est un schéma du plan ourdi par les Juifs talmudiques pour diriger le monde. Les Protocoles furent consignés par le Concile juif international tenu à Bâle, en Suisse, en 1879. Les Protocoles nous apparaissent comme la somme des plans d’une conspiration existant depuis bien avant qu’ils aient été mis en mémoire à la réunion de 1879. Les Protocoles contiennent la formule utilisée par les Sionistes mégalomaniaques pour lancer l’offensive en vue de la direction sur le monde. Bien que certains Juifs aient proclamé que les Protocoles soient un faux, reconnaissons qu’un faux n’est que la copie non autorisée d’un original. Les Juifs talmudiques n’ont jamais remis en question l’authenticité des Protocoles originaux, qui furent écrits en hébreux, ils n’ont toujours attaqué que la version anglaise. D’autres, sans aucune preuve pour étayer leur déclaration, ont supposé que, bien que les Protocoles soient véritables, ils ont été altérés jusqu’à un certain point afin de se référer aux Juifs. Les événements historiques ont confirmé que les Juifs talmudiques suivent le plan élaboré dans les Protocoles.
En 1884, la fille d’un général russe, Mademoiselle Justine Glinka, s’efforçait de servir sa patrie, à Paris, en obtenant des renseignements politiques. Elle fit part de ses plans au Général Orgevskii, à Saint-Pétersbourg. Elle employa un Juif dans ce but, Joseph Schorst, membre de la Loge Mizraïm (Rite Oriental de la Franc-maçonnerie), à Paris. Schorst offrit de lui obtenir un document de grande importance pour la Russie, au prix de 2 500 francs. Mlle Glinka reçut l’argent de Saint-Pétersbourg et obtint le document qui s’avérait être les Protocoles des Sages de Sion.
Elle expédia l’original français des Protocoles, accompagné d’une traduction russe, au Général Orgevskii qui, à son tour, les remit à son supérieur, le Général Cherevin, pour livraison au Tsar. Cheverin, toutefois, était sous le contrôle de Juifs fortunés et, conséquemment, refusa de transmettre les Protocoles. Cheverin classa simplement les Protocoles dans les archives russes.
Plusieurs années plus tard, Mlle Glinka donna une copie des Protocoles au maréchal de noblesse de son district, Alexis Sukhotin. Celui-ci montra le document à deux amis, Stepanov et le professeur Sergius A. Nilus. Le professeur Nilus publia les Protocoles à Tsarskoe-Tselc, en Russie, en 1901, dans un livre intitulé Le grand à l’intérieur du petit. Le 10 août 1906, ou au environ, une copie des Protocoles fut déposée au British Museum. Pendant ce temps, le procès-verbal des débats du congrès de Bâle de 1897 avait été obtenu par les membres juifs de la police russe et ils confirmèrent les plans élaborés par les Protocoles.
En janvier 1917, le professeur Nilus avait préparé une seconde édition des Protocoles, avec des renseignements additionnels, pour être publiée. Mais avant qu’il puisse la mettre sur le marché, la Révolution bolchevique eu lieu en mars 1917. Kerensky prit le pouvoir et ordonna que le livre de Nilus soit détruit. En 1924, le professeur Nilus fut arrêté par la Cheka (police secrète russe) à Kiev. Il fut emprisonné et torturé. Le président juif de la cour dit à Nilus que le traitement qu’il avait reçu était une rétribution pour « nous avoir causé un mal incalculable en publiant les Protocoles », ce qui constitue la meilleure preuve de l’authenticité des Protocoles. Le professeur Nilus fut relâché pendant quelques mois, mais la Cheka l’arrêta bientôt à nouveau, cette fois à Moscou. Il fut détenu en prison jusqu’en 1926. Il mourut en exil dans le district de Vladimir, le 13 janvier 1929.
Toutes les copies existantes connues des Protocoles en Russie furent détruites durant le régime de Kerensky. La loi que suivirent les successeurs communistes de Kerensky disait que la possession d’une copie des Protocoles par quiconque en Union Soviétique était un crime punissable du tir à vue. Les énormes efforts que mirent les communistes à éradiquer les Protocoles est une autre preuve indéniable de la véracité desdits Protocoles.
L’authenticité des Protocoles peut, en outre, être confirmée par la lecture du Talmud. La nature diabolique et blasphématoire du Talmud se met facilement en parallèle avec ce que l’on trouve dans les Protocoles. De plus, l’authenticité des Protocoles s’établit par le fait que les détails du plan se sont complètement implantés aux yeux du monde en Russie, en Europe de l’Est, en Chine, en Corée du Nord et au Vietnam. Le plan est en voie de s’implanter également en Europe de l’Ouest, en Amérique du Sud, en Afrique du Sud, aux États-Unis et dans de nombreux pays partout dans le monde.[25] Quand l’on regarde les personnages oeuvrant pour le monde communiste, on voit des Juifs talmudiques et leurs compagnons d’itinéraire, tels que les Maçons, exactement comme le stipulent les Protocoles. Benjamin Disraeli fit la déclaration suivante, en 1852, devant la Chambre des Communes anglaise, en regard du contrôle des nations par les Juifs talmudiques Khazars : « Le monde est gouverné par des personnages bien différents de ce qu’imaginent ceux qui ne sont pas derrière la scène (…) L’influence des Juifs peut se retracer dans la dernière éruption du principe destructeur de l’Europe. Une insurrection prend place contre la tradition et l’aristocratie, contre la religion et la propriété (…) Les sociétés secrètes, qui forment les gouvernements provisoires, proclament l’égalité naturelle des hommes et l’abrogation de la propriété, et des hommes de race juive se trouvent à la tête de chacune d’elles. »
Lorsque l’influence juive dans l’ordre des Jésuites fut publiquement révélée, les Jésuites prétendirent avoir passé, en 1593, une ordonnance qui interdisait à un Juif d’être Jésuite. Ce que les gens doivent comprendre, c’est que les Juifs talmudiques sont briseurs de lois par nature. Les Juifs ashkénazes sont maîtres de la séduction et de la prévarication. Les Jésuites sont avant tout diaboliquement rusés. En fait, « Jésuite » est défini par le Dictionnaire américain de langue anglaise de Noah Webster comme « une société remarquable par sa ruse à propager ses principes ».[26] « Jésuitisme » est défini comme « l’art, les principes et la pratique des Jésuites 2. Ruse, séduction, hypocrisie, prévarication. »[27] L’ordonnance de 1593 ne servit qu’à apaiser ceux qui étaient sous l’illusion que l’Église catholique constituait « la » seule Église chrétienne du monde et qui s’inquiétaient que les Juifs aient une pareille influence et un tel pouvoir dans l’église. L’ordonnance couvrait les Juifs ashkénazes qui s’étaient infiltrés chez les Jésuites et contrôlait leur Ordre, et mit fin à la controverse. Néanmoins, la réalité demeurait : les Jésuites sont des crypto-Juifs qui pratiquent la Kabbale et suivent le Talmud. Par exemple, un des plus influents Jésuites de l’histoire, Emanuel de Lacunza (1731-1801), était Juif. Il se joignit aux Jésuites longtemps après qu’ait été adopté le supposé décret prohibant aux Juifs de devenir Jésuites.
Les Jésuites sont l’éminence grise derrière plusieurs, sinon la plupart, des publications notoires de l’histoire, y compris les Protocoles et Mein Kamf. Le catholique romain, Otto Strasser, un des fondateurs du Parti Nazi, révéla, dans son livre Hitler et moi, que l’infâme livre de propagande nazie, Mein Kamf, censément écrit par Adolf Hitler, ne fut pas, en fait, écrit par Hitler. Selon Strasser, Mein Kamf fut secrètement rédigé pour Hitler par un prêtre jésuite du nom de Bernhardt Stempfle.[28] Par surcroît, l’ancien prêtre jésuite, Alberto Rivera, révéla que les auteurs juifs des Protocoles le rédigèrent d’après les directives des Jésuites.[29] De la même manière que les Jésuites gouvernèrent le Concile de Trente de l’Église catholique romaine, ainsi conduisirent-ils également le Concile juif international qui rédigea les Protocoles. Ceux-ci exposent l’héritage talmudique babylonien des Jésuites. Ci-dessous, nous avons sélectionné quelques extraits tirés des Protocoles des Sages de Sion.
« Ne croyez pas que nos assertions sont des mots en l’air. Considérez le succès de Darwin, Marx et Nietzsche, préparé par nous. L’effet démoralisant des tendances de ces doctrines sur l’esprit des Gentils ne devrait certes pas nous échapper.[30]
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« Nous tenons à passer pour les libérateurs du travailleur, venus pour le délivrer de cette oppression en lui suggérant d’entrer dans les rangs de nos armées de socialistes, d’anarchistes et de communistes. Nous protégerons toujours ces derniers, feignant de les aider par principe de fraternité et d’intérêt général pour l’humanité, évoqué par notre Maçonnerie socialiste. La noblesse qui, de droit, partageait le travail des classes laborieuses, avait tout intérêt à ce qu’elles fussent bien nourries, saines et fortes. Notre intérêt veut, au contraire, la dégénérescence des Gentils. Notre force consiste à maintenir le travailleur dans un état constant de besoin et d’impuissance, parce qu’ainsi nous l’assujettissons à notre volonté ; et dans son entourage, il ne trouvera jamais ni pouvoir ni énergie pour se dresser contre nous. La faim conférera au Capital des droits plus puissants sur le travailleur que jamais le pouvoir légal du souverain n’en conféra à l’aristocratie.[31]
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« Cette haine sera encore accrue par l’effet que produiront les crises économiques qui arrêteront les marchés et la production. Nous créerons une crise économique universelle par tous les moyens détournés possibles et à l’aide de l’or qui est entièrement entre nos mains. Simultanément, nous jetterons à la rue, dans toute l’Europe, des foules énormes d’ouvriers. Ces masses seront alors heureuses de se précipiter sur ceux que, dans leur ignorance, elles ont jalousés dès l’enfance : elles répandront leur sang et pourront ensuite s’emparer de leurs biens.
« On ne nous fera pas de mal, parce que le moment de l’attaque nous sera connu et que nous prendrons des mesures pour protéger nos intérêts.[32]
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« C’est pourquoi nous devons arracher de l’esprit des chrétiens [Gentils, goïm] jusqu’à la conception même de Dieu et la remplacer par des calculs arithmétiques et des besoins matériels.[33]
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« Pour s’assurer l’opinion publique, il faut, tout d’abord, l’embrouiller complètement en lui faisant entendre de tous côtés et de toutes manières des opinions contradictoires, jusqu’à ce que les Gentils soient perdus dans leur labyrinthe. Ils comprendront alors que le meilleur parti à prendre est de n’avoir aucune opinion en matière politique ; matière qui n’a pas été comprise du public, mais qui doit être exclusivement réservée à ceux qui dirigent les affaires. Ceci est le premier secret.
Le second secret, nécessaire au succès de notre gouvernement, consiste à multiplier à un tel degré les fautes, les habitudes, les passions et les lois conventionnelles du pays que personne ne soit plus capable de penser clairement dans ce chaos ; les hommes cesseront ainsi de se comprendre les uns les autres. Cette politique nous aidera également à semer des dissensions parmi tous les partis, à dissoudre toutes les puissantes collectivités et à décourager toute initiative individuelle pouvant gêner nos projets. Il n’est rien de plus dangereux que l’initiative personnelle : s’il y avait un cerveau par derrière, elle pourrait nous faire plus de mal que les millions d’individus que nous avons mis aux prises. Il nous faut diriger l’éducation des sociétés chrétiennes, de telle façon que, chaque fois que l’initiative est requise pour une entreprise, elles s’avouent désespérément vaincues. La tension produite par la liberté d’action perd de sa force dès qu’elle se heurte à la liberté d’autrui ; de là, les chocs moraux, les déceptions et les échecs. Par tous ces moyens nous opprimerons tant les Chrétiens [goïm] qu’ils seront contraints de nous demander de les gouverner internationalement. Dès que nous aurons atteint une telle position, nous pourrons aussitôt absorber toutes les puissances gouvernementales du monde entier et former un super gouvernement universel.[34]
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« Afin de ruiner l’industrie des Gentils et d’activer la spéculation, nous encouragerons l’amour du luxe effréné que nous avons déjà développé. Nous augmenterons les salaires, ce qui ne soulagera pas les ouvriers, car, en même temps, nous élèverons le prix des objets de première nécessité, sous prétexte de mauvaises récoltes. Nous voulons aussi miner la production dans sa base en semant des germes d’anarchie parmi les ouvriers et en flattant leur goût pour l’alcool. Nous emploierons, en même temps, tous les moyens possibles pour chasser de la terre toute l’intelligence des Gentils.[35]
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« Nous sommes la source d’une terreur s’étendant au loin. Nous avons à notre service des gens de toute opinion et de tous les partis : des hommes désireux de rétablir les monarchies, des socialistes, des communistes et des partisans de toutes sortes d’utopies. Nous les avons tous mis sous le harnais ; chacun, à sa manière, mine le reste du pouvoir et essaye de détruire les lois existantes. Par ce procédé, tous les gouvernements sont torturés ; ils hurlent pour réclamer le repos ; et, pour l’amour de la paix, ils sont prêts à tous les sacrifices. Mais nous ne leur laisserons aucune paix jusqu’à ce qu’ils aient reconnu notre super gouvernement international.[36]
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« Pour arriver à de tels résultats, nous prendrons nos mesures, afin qu’on nomme des présidents ayant à leur passif un scandale comme le “Panama”, ou quelque autre affaire louche du même genre. Un président de cet acabit sera le fidèle exécuteur de nos plans, parce qu’il craindra d’être découvert, et sera dominé par cette peur qui s’empare toujours d’un homme parvenu au pouvoir et qui désire vivement conserver les privilèges et les honneurs que lui confère sa haute charge. La Maison des Représentants élira, protégera et masquera le président ; mais nous retirerons à cette chambre son pouvoir d’introduire et de modifier les lois. Nous donnerons ce pouvoir au président responsable, qui sera comme une marionnette entre nos mains. Le pouvoir du président deviendra, en pareil cas, une cible exposée à toutes sortes d’attaques, mais nous lui donnerons un moyen de défense dans son droit d’appel au peuple par-dessus la tête des députés de la nation, c’est-à-dire qu’il en appellera directement au peuple composé de nos esclaves aveugles – la majorité de la populace. De plus, nous conférerons au président le pouvoir de proclamer la loi martiale. Nous expliquerons cette prérogative par le fait que le président, étant le chef de l’armée, doit la tenir sous son autorité pour protéger la nouvelle Constitution républicaine ; il doit sa protection à cette Constitution dont il est le représentant responsable.[37]
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« Les Gentils sont comme un troupeau de moutons – nous sommes les loups. Et savez-vous ce que font les moutons lorsque les loups pénètrent dans la bergerie ?[38]
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« Tant que nous n’aurons pas atteint le pouvoir, nous tâcherons de créer et de multiplier les Loges de francs-maçons dans toutes les parties du monde. Nous attirerons dans ces Loges tous ceux qui peuvent revêtir la mentalité publique ou qui en sont déjà revêtus, car ces Loges seront les principaux lieux où nous recueillerons nos renseignements en même temps qu’elles seront des centres de propagande. Nous centraliserons toutes ces Loges sous une direction unique, connue de nous seuls et constituée par nos Sages. Ces Loges auront également leurs propres représentants, afin de masquer les véritables dirigeants. Et ces dirigeants auront seuls le droit de désigner les orateurs et de tracer l’ordre du jour. Dans ces Loges, nous resserrerons les liens de toutes les classes socialistes et révolutionnaires de la société. Les plans politiques les plus secrets nous seront connus, et, dès qu’ils seront formés, nous en dirigerons l’exécution. Presque tous les agents de la police internationale et secrète seront des membres de nos Loges. Les services de la police sont d’une extrême importance pour nous, car ils peuvent masquer nos entreprises, inventer des explications plausibles du mécontentement des masses, aussi bien que punir ceux qui refusent de se soumettre.[39]
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« La plus grande force des temps présents est concentrée entre nos mains : c’est l’or. En deux jours, nous pouvons en faire sortir de nos trésors secrets n’importe quelle somme.[40]
Ceux qui suivent sont d’intéressants passages semblant prédire la destruction du Vatican par les nations du monde.
« Quand le moment sera venu pour nous de détruire complètement la Cour pontificale, une main inconnue indiquant le Vatican donnera le signal de l’assaut. Lorsque, dans sa fureur, le peuple se jettera sur le Vatican, nous apparaîtrons comme des protecteurs pour arrêter l’effusion du sang. Par cet acte, nous pénétrerons jusqu’au cœur même de cette Cour pontificale, d’où rien au monde ne pourra nous chasser, jusqu’à ce que nous ayons détruit la puissance du Pape.[41]
Cela ressemble beaucoup à la prophétie que l’on trouve dans le livre de l’Apocalypse.
« Mais les dix cornes que tu as vues à la bête, sont ceux qui haïront la prostituée, qui la désoleront, la dépouilleront, et mangeront sa chair, et la brûleront au feu. 17Car Dieu a mis dans leurs cœurs de faire ce qu’il lui plaît, et de former un même dessein, et de donner leur Royaume à la bête, jusqu’à ce que les paroles de Dieu soient accomplies. 18Et la femme que tu as vue, c’est la grande Cité, qui a son règne sur les Rois de la terre » (Apocalypse 17:16-18, VM).
Les cornes de la bête sont dix rois sur la bête chevauchée par la grande prostituée qui est assise sur sept montagnes — le Vatican (Apocalypse 17). Les Protocoles ont entamé la planification de la destruction du Vatican. Ils semblent également avoir pourvu à l’entrée en scène de l’antichrist. « LE ROI D’ISRAËL DEVIENDRA LE VRAI PAPE DE L’UNIVERS, LE PATRIARCHE DE L’ÉGLISE INTERNATIONALE. »[42]
58. Les États-Unis sous le joug juif
Cette conspiration s’est déjà fait sentir partout dans le monde, y compris aux États-Unis. L’auteur britannique de renom et journaliste au Times de Londres, lors de la Deuxième Guerre Mondiale, Douglas Reed, révéla :
« Le pouvoir monétaire et le pouvoir révolutionnaire ont été érigés et départagés en deux silhouettes symboliques (“capitalisme” et “communisme”), et nettement définies dans deux citadelles (“l’Amérique” et “la Russie”). Pour alarmer bien à propos l’imaginaire collectif, l’illustration offerte est celle d’une triste hostilité et d’une confrontation sans espoir (…) Mais qu’en serait-il si des hommes semblables avec des visées communes dirigeaient secrètement dans les deux camps ? (…) Je crois que tout étudiant de notre époque le moindrement diligent découvrira que tel est bien le cas. »[43]
Avons-nous des exemples de fonctionnaires dans le gouvernement américain ayant œuvré dans le sens d’un gouvernement mondial communiste sioniste ? Pour un, le Président américain, Franklin Roosevelt, fut secrètement guidé par un agenda communiste. Josephine Adams témoigna sous serment devant un sous-comité du Sénat des États-Unis qu’elle agissait comme courrier entre Earl Browder, alors chef du Parti communiste américain, et Franklin Roosevelt. Elle attesta avoir rencontré Roosevelt approximativement 40 fois durant une période de trois ans avant la mort du Président.[44] Elle affirma que les réunions avaient lieu soit à la demeure de Roosevelt, à Hyde Park, soit à la Maison Blanche.[45] Ce témoignage d’Adams fut plus tard confirmé par Browder lui-même, qui était fier du fait que F. D. Roosevelt appréciait la gouverne que lui prodiguait Browder.[46]
Une enquête du Congrès a révélé qu’en 1996, le Vice-président Al Gore trafiqua de son influence vis-à-vis du Gouvernement communiste chinois par le biais d’un intermédiaire israélien.[47]
Le représentant Louis T. McFadden, le 2 mai 1934, déclara dans une allocution radiophonique :
« Ce serait une erreur monstrueuse pour tout citoyen intelligent de quelque nation que ce soit que de fermer les yeux sur l’évidence factuelle démontrant que, depuis près de soixante ans, les Juifs ont grimpé, sûrement et rapidement, quoique de manière presque invisible, tous les échelons pour atteindre les sommets du gouvernement, là où les masses sont dirigées. Politiquement, financièrement et économiquement, ils ont saisi les rênes du gouvernement de toutes les nations, et leur invasion dans les domaines sociaux, éducationnels et religieux n’est pas moins importante. »[48]
Le congressiste McFadden, qui fut Directeur de la Chambre d’Établissement bancaire et du Comité du Cour monétaire, connaissait le pouvoir qu’exerçaient les Juifs et les calamités qu’ils causaient. Comme le prévoyaient les Protocoles, les Juifs talmudiques contrôlaient l’approvisionnement d’argent par une banque centrale (la Banque de Réserve Fédérale). Le congressiste McFadden déclara : « Elle [la dépression] ne fut pas accidentelle. Ce fut un événement soigneusement conçu (…) Les banquiers internationaux virent à ce que nous soyons entraînés ici dans une condition désespérante afin qu’ils puissent en émerger en tant que nos dirigeants à tous (…) Le résultat final, si les Pouvoirs internes y parviennent, sera le rêve de Montagu Norman, de la Banque d’Angleterre, qu’une “Hégémonie de la Finance mondiale devrait régner de façon suprême sur tout le monde, partout, comme un unique mécanisme de contrôle entier et supra-national.” »
Le représentant McFadden s’adressa à la Chambre des Représentants des États-Unis, le 10 juin 1932. « Certaines personnes croient que les banques de la Réserve Fédérale sont des institutions gouvernementales américaines. Ce ne sont pas des institutions gouvernementales. Ce sont des monopoles de crédit privé qui font leur proie du peuple des États-Unis pour leur bénéfice personnel et celui de leurs escrocs domestiques et étrangers, et les riches prêteurs d’argent prédateurs. »[49] Essentiellement, les Jésuites utilisèrent des politiciens corrompus pour faire passer l’Acte de la Réserve Fédérale qui leur donnait le monopole de l’impression de la monnaie de la nation.[50] L’Acte de la Réserve Fédérale légalise le vol de la part d’une poignée de banques commerciales sélectionnées composant la Réserve Fédérale. Des extraits de l’allocution de McFadden exposent la méthode qu’employèrent les Jésuites et leurs compagnons d’itinéraire ashkénazes pour obtenir leur pouvoir immense sur le gouvernement des États-Unis :
« Monsieur le Président, à la présente session du Congrès, nous avons dû traiter de situations d’urgence. Nous avons traité de leurs effets plutôt que de leurs causes. Dans cette allocution particulière, j’aborderai certaines causes qui ont mené à ces propositions. Il y a des principes sous-jacents responsables des conditions dans lesquelles nous vivons actuellement et je vais traiter de l’un d’eux en particulier et qui m’apparaît extrêmement important en regard de la considération que vous donnez à ce projet de loi.
« Monsieur le Président, nous avons, dans ce pays, une des institutions les plus corrompues que le monde ait connues. J’en réfère à l’Administration de la Réserve Fédérale et aux Banques de la Réserve Fédérale. L’Administration de la Réserve Fédérale, une administration gouvernementale, a fraudé le Gouvernement des États-Unis et le peuple des États-Unis d’un montant qui pourrait effacer la dette nationale. Les déprédations et les iniquités de l’Administration de la Réserve Fédérale ont coûté à ce pays assez d’argent pour payer la dette nationale plusieurs fois. Cette diabolique institution a appauvri et ruiné le peuple des États-Unis, l’a mis elle-même en banqueroute et a pratiquement fait faire faillite au Gouvernement. Elle l’a fait par le moyen des imperfections de la loi sous laquelle elle opère, au moyen de la mauvaise gestion de cette loi par l’Administration de la Réserve Fédérale, et au moyen des pratiques corrompues des vautours cupides qui la contrôlent.
« Certaines personnes pensent que les banques de la Réserve Fédérale sont des institutions du Gouvernement des États-Unis. Ce ne sont pas des institutions gouvernementales. Ce sont des monopoles de crédit privé qui font leur proie du peuple des États-Unis pour leur bénéfice personnel et celui de leurs escrocs domestiques et étrangers, et les riches prêteurs d’argent prédateurs. Dans ce sombre équipage de pirates financiers, il y en a qui couperaient un homme à la gorge pour lui soutirer un dollar de sa poche ; il y a ceux qui distribuent de l’argent dans les États pour acheter des votes afin de contrôler notre législation ; et il y a ceux qui soutiennent une propagande internationale dans le dessein de nous séduire et nous enjôler pour que nous leur accordions de nouvelles concessions qui leur permettront de couvrir leurs méfaits passés et remettre en mouvement leur train gigantesque de crimes.
« Ces douze monopoles de crédit privé furent trompeusement et déloyalement imposés à ce pays par les banquiers venus d’Europe qui récompensèrent notre hospitalité en minant nos institutions américaines. Ces banquiers prirent l’argent de notre pays pour financer le Japon dans sa guerre contre la Russie. Ils créèrent un règne de terreur en Russie avec notre argent afin que la guerre dure. Ils instiguèrent une paix séparée entre l’Allemagne et la Russie et ils enfoncèrent un coin entre les Alliés dans la Guerre Mondiale. Ils financèrent le passage de Trotski de New York à la Russie pour qu’il assiste à la destruction de l’Empire russe. Ils fomentèrent et incitèrent la Révolution russe et mirent de vastes fonds en dollars américains à la disposition de Trotski dans une de leurs succursales bancaires en Suède pour que, par lui, les foyers russes puissent être brisés en profondeur et que les enfants russes soient brusquement retirés des mains de leurs protecteurs naturels. Ils ont depuis entamé la cassure des foyers américains ainsi que la dispersion des enfants américains.
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« En 1912, l’Association Monétaire Nationale, sous la direction du regretté Sénateur Nelson W. Aldrich, fit un rapport et présenta un bill vicieux appelé Bill de l’Association de la Réserve Nationale. Ce projet de loi est habituellement connu sous le nom de Bill Aldrich. Le Sénateur Aldrich ne rédigea pas le bill Aldrich. Il fut l’instrument, mais non le complice, des banquiers européens qui, depuis plus de douze ans, tramaient l’établissement d’une banque centrale dans notre pays et qui, en 1912, avaient dépensé, et continuaient encore de dépenser, de vastes sommes d’argent pour atteindre leur but.
« Le projet de loi Aldrich fut condamné dans le programme par lequel fut nommé Théodore Roosevelt, en l’an 1912, et, la même année, quand fut nommé Woodrow Wilson, le programme démocrate, tel qu’adopté à la convention de Baltimore, déclara expressément : « Nous sommes opposés au plan Aldrich d’une banque centrale. » C’était en langage clair. Les hommes qui dirigeaient le Pari démocrate promirent ensuite au peuple que s’il les reportait au pouvoir, il n’y aurait pas de banque centrale établie ici pendant qu’ils auraient les rênes du gouvernement. Treize mois plus tard, cette promesse fut brisée, et l’administration Wilson, sous la tutelle des tristes sires de Wall Street qui se tenaient derrière le Colonel House, établit ici, dans notre pays libre, l’institution monarchique et véreuse de la “banque du roi” pour nous contrôler de haut en bas, et pour nous entraver de chaînes du berceau au tombeau. L’Acte de la Réserve Fédérale détruisit notre ancienne façon caractéristique de faire des affaires ; il fit distinction contre notre bon d’escompte à nom unique, le meilleur au monde ; il installa le bon désuet à deux noms qui constitue à présent une malédiction pour notre pays, et qui a démoli tous les pays qui lui ont donné libre cour ; il a mis en place dans nos murs la tyrannie même de laquelle les charpentiers de notre Constitution voulaient nous sauver.
« Une des plus grandes batailles pour la préservation de notre République fut combattue ici à l’époque de Jackson, lorsque fut dissoute la Seconde Banque des États-Unis, fondée sur les mêmes faux principes que ceux dont nous donnons exemple dans l’Acte de la Réserve Fédérale. Après la dissolution de la Seconde Banque des États-Unis, en 1837, le pays fut mis en garde contre les dangers qui s’en suivraient si les capitalistes rapaces, après avoir été chassés, revenaient déguisés et s’unissaient à l’Exécutif et, par lui, acquéraient le contrôle du Gouvernement. C’est ce que firent les capitalistes rapaces lorsqu’ils revinrent dans la livrée de l’hypocrisie et que, sous de fausses prétentions, obtinrent l’adoption de l’Acte de la Réserve Fédérale.
« Le danger duquel le pays avait été averti nous tomba dessus et c’est ce que nous constatons dans le long train d’horreurs qui accompagne les affaires dont la perfide et malhonnête Administration de la Réserve Fédérale et les banques de la Réserve Fédérale sont pleinement responsables. Nous vivons une ère de crimes financiers et, dans le financement du crime, l’Administration de la Réserve Fédérale ne joue pas un rôle de spectateur désintéressé.
« L’on a dit que le rédacteur employé pour écrire le texte du projet de loi de la Réserve Fédérale utilisa un texte du bill Aldrich pour ce faire. On a dit que le langage du bill Aldrich avait été utilisé parce qu’il avait été conçu par des hommes de loi experts et qu’il semblait approprié. En vérité, il fut rédigé par des avocats. Le bill Aldrich fut créé par des banquiers d’escompte d’effets étrangers d’origine européenne à New York City. C’était une copie et, en général, une traduction des statuts de la Reichsbank et d’autres banques centrales européennes.
« Un demi million de dollars fut dépensé pour la propagande organisée par ces mêmes banquiers européens dans le dessein de méconduire l’opinion publique à son égard, et dans le but de donner au Congrès l’impression qu’il y avait une demande populaire irrésistible pour ce genre de législation bancaire et le genre d’unité monétaire allant avec, c’est-à-dire, une circulation d’avoirs basée sur les dettes et les obligations humaines au lieu de l’honnête devise basée sur la valeur de l’or et de l’argent. Le Dr H. Parker Willis fut employé par les banquiers et les propagandistes de Wall Street et, quand la mesure Aldrich n’aboutit à rien et qu’il obtint un emploi chez Carter Glass afin d’aider à rédiger un projet de loi bancaire pour l’administration Wilson, il s’appropria le texte du bill Aldrich dans ce but. Il n’y a pas de secret dans cela. Le texte de l’Acte de la Réserve Fédérale était corrompu dès le départ.
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« Le Gouvernement fait dans les affaires bancaires comme jamais auparavant. Contre sa volonté, il s’est fait bailleur de fonds des voleurs de chevaux et des tricheurs aux cartes, des trafiquants d’alcool, des contrebandiers, des spéculateurs et des escrocs de toutes les parties du monde. Par le biais de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, la racaille de tous les pays opère grâce au crédit public de notre Gouvernement des États-Unis. Pendant ce temps, et en raison de cela, nous nous retrouvons au beau milieu de la plus grande dépression que nous ayons connue. Donc, la menace envers notre prospérité, que craignait tant le Sénateur Lodge, a frappé juste. De l’Atlantique au Pacifique, notre pays s’est vu ravagé et dévasté à cause des pratiques de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, ainsi que des capitalistes étrangers qui les contrôlent. À aucun moment de notre histoire le bien-être général du peuple américain n’a-t-il été si bas ou l’esprit du peuple si rempli de désespoir. Récemment, dans l’un de nos États, 60 000 foyers privés et de fermes ont été mis aux enchères en une seule journée. Selon le révérend père Charles E. Coughlin, qui témoigna plus tard devant un comité de cette Chambre, 71 000 maisons et fermes du Comté d’Oakland, au Michigan, ont été vendues et leurs anciens propriétaires dépossédés. Pareilles occurrences ont probablement eu lieu dans tous les comtés des États-Unis. Les gens qui ont été chassés ainsi sont les résidus de l’Acte de la Réserve Fédérale. Ils sont victimes de l’Administration déshonnête et sans scrupules de la Réserve Fédérale et de ses banques. Leurs enfants sont les nouveaux esclaves des ventes aux enchères dans un renouvellement de l’institution d’esclavage humain.
« En 1913, devant le Comité sénatorial des Banques et Devises, M. Alexander Lassen fit la déclaration suivante :
“Mais tout le plan de la banque de la Réserve Fédérale, grâce à son papier-monnaie basé sur une mécanique peu pratique et encombrante, n’est qu’une couverture pour trouver un moyen de s’assurer le privilège d’émettre la monnaie et d’échapper le plus possible à la taxe en circulation, et ensuite contrôler l’émission et maintenir, plutôt que réduire, les taux d’intérêt. Si ce système est inauguré, il sera à l’avantage d’une poignée au détriment du peuple américain. Cela signifiera l’insuffisance continuelle de véritable argent et l’extension incessante du crédit ; car lorsque le vrai argent manque, les gens doivent emprunter à crédit à leur coût.”
« Quelques jours avant que ne soit adopté l’Acte de la Réserve Fédérale, le Sénateur Elihu Root dénonça le projet de loi de la Réserve Fédérale comme étant un outrage à nos libertés et fit la prédiction suivante : “Bien avant que nous nous réveillions de nos rêves de prospérité à cause de l’inflation de la monnaie, notre or, qui seul aurait pu nous garder de la catastrophe, se sera envolé et aucun taux d’intérêt ne pourra le faire revenir.” Si jamais prophétie fut vraie, c’est bien celle-là. Il fut impossible, cependant, à ces penseurs lumineux et instruits de contrôler le cour des événements. Le 23 décembre 1913, le projet de loi de la Réserve Fédérale devint une loi et, ce soir-là, le Colonel House écrivit ce qui suit à son éminence grise de Wall Street :
“Je voudrais vous dire un mot d’appréciation pour le travail silencieux, mais sans aucun doute efficace, que vous avez effectué dans l’intérêt de la législation sur la monnaie et vous féliciter de ce que la mesure ait finalement été adoptée en loi. Nous savons tous qu’un bill entièrement parfait, à la satisfaction de tout le monde, eut été une impossibilité, et je suis assez sûr que, si le Président ne s’était pas tenu fermement debout comme il l’a fait, nous n’aurions probablement pas eu de législation du tout. Le bill est bon à bien des égards ; en tout cas, assez bon pour débuter avec et laisser l’expérience nous enseigner où il doit être perfectionné, ce que nous obtiendrons en temps et lieu. À tout événement, vous avez bien des raisons de vous gratifier de ce qui a été accompli.”
« Les mots “si le Président ne s’était pas tenu fermement debout comme il l’a fait, nous n’aurions probablement pas eu de législation du tout,” était un léger rappel que c’était le Colonel House lui-même, le “saint moine”, qui avait affermi le Président.
« La lettre qui précède offre une preuve frappante de la manière par laquelle les capitalistes rapaces virent alors à contrôler le Gouvernement des États-Unis en mettant dans l’entourage de l’Exécutif la personnalité et l’influence d’un Judas financier. Laissé à lui-même et à la conduite de ses propres fonctions législatives sans subir de pression de la part de l’Exécutif, le Congrès n’aurait pas adopté l’Acte de la Réserve Fédérale. D’après le Colonel House, et puisque c’était là le rapport donné à son maître, nous pouvons croire que c’est la vérité, l’Acte de la Réserve Fédérale fut adopté parce que Wilson tint bon ; en d’autres mots, parce que Wilson était sous le contrôle et la conduite des usuriers les plus féroces de New York par le biais de leur laquais, House. L’Acte de la Réserve Fédérale devint une loi deux jours avant Noël, en l’an 1913, et, peu après, les banquiers allemands internationaux, Khun, Loeb & Cie., envoyèrent un de leurs partenaires pour la diriger.
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« D’immenses sommes appartenant à nos dépôts bancaires nationaux furent données à l’Allemagne sans aucune garantie. L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ont émis des devises américaines sur simples lettres de change financières rédigées par les Allemands. Notre argent a été pompé par coups de milliards de dollars vers l’Allemagne et l’est encore par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Ses papiers sans valeurs sont encore négociés ici et renouvelés sur le crédit public du Gouvernement des États-Unis, et cela aux frais du peuple américain. Le 27 avril 1932, l’établissement de la Réserve Fédérale envoya 750 000 $, en or appartenant aux dépôts bancaires nationaux, à l’Allemagne. Une semaine plus tard, un autre 300 000 $ en or fut expédié en Allemagne de la même façon. Autour de la mi-mai, un montant de 12 000 000 $ en or fut envoyé en Allemagne par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Presque à chaque semaine, il y a un embarquement d’or expédié en Allemagne. Ces envois ne sont pas faits sur profit d’échange, puisque le mark allemand est sous la parité avec le dollar.
* * *
« En 1930, alors que les banques spéculatives sortaient en bourse aux frais du grand public, l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques leur avançait 13 022 782 000 $. Cela démontre que, lorsque les banques risquaient le crédit public des États-Unis sur représentation de la devise de la Réserve Fédérale, elles étaient subventionnées pour tout montant qu’elles demandaient à l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Quand l’escroquerie commençait à chuter, les banquiers le savaient d’avance et se retiraient du marché. Elles en sortaient en sauvant leur peau et laissaient le peuple des États-Unis payer la note.
* * *
« C’est l’escroquerie de la Loi John qui se répète. Le vol du Teapot Dome était insignifiant comparé à cela. Y a-t-il un roi qui ait volé ses sujets comme nous volent l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ? Est-il étonnant qu’il y ait eu dernièrement quatre-vingt-dix cas de manque de nourriture dans un des hôpitaux de New York ? Est-il étonnant que les enfants de notre pays soient dispersés et abandonnés ?
« Le Gouvernement et le peuple des États-Unis ont été escroqués par des filous de haut vol pour qui l’acquisition de l’or américain ou une parcelle des billets de la Réserve Fédérale ne présente pas plus de difficulté que de rédiger la moindre des créances dans un pays qui n’est pas sujet aux mêmes lois que les États-Unis, par des tricheurs non sujets à la juridiction des cours américaines, et tricheurs grâce à un puissant “receleur” bancaire installé de ce côté-ci de l’océan — un “receleur” agissant comme réceptionnaire des papiers sans valeur provenant de l’étranger, les endossant et retirant la devise des banques de la Réserve Fédérale le plus rapidement possible, puis échangeant cette devise pour de l’or et, à son tour, transmettant l’or à ses complices étrangers.
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« Quelques jours auparavant, le Président des États-Unis, le visage blême et les mains tremblantes, se présenta devant le Sénat au nom des capitalistes et demanda au Sénat que l’on prélève une taxe sur le peuple pour que ces étrangers puissent savoir que les États-Unis paieraient leur dette envers eux. La plupart des Américains croyaient que c’était le contraire. Que doivent les États-Unis aux étrangers ? Quand et par qui la dette fut-elle encourue ? Elle fut encourue par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques lorsqu’elles colportèrent la signature de ce Gouvernement-ci aux étrangers en y mettant le prix. C’est ce prix que le Gouvernement des États-Unis doit payer pour racheter les obligations de l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Allez-vous laisser ces voleurs s’en tirer indemnes ? Y a-t-il une loi pour le pillard qui roule en limousine jusqu’aux portes du Trésor américain et une autre loi pour le vétéran des États-Unis qui dort sur le plancher d’une maison délabrée dans les faubourgs de Washington ?
« Le Chemin de fer Baltimore & Ohio demande ici un gros emprunt à soutirer du peuple, des salariés et des payeurs de taxes américains. Il demande l’aumône au Gouvernement. Il se présente, chapeau bas, à la porte de la Corporation de Restauration Financière, là où tous les autres chacals sont assemblés pour le festin. Il demande de l’argent qui a été perçu du peuple par taxation, et il veut cet argent du pauvre pour qu’en profite Kuhn, Loeb & Cie., les banquiers allemands internationaux. Y a-t-il une loi pour le Chemin de fer Baltimore & Ohio et une autre pour les vétérans nécessiteux qu’il a jeté en dehors de ses wagons l’autre jour ? Y a-t-il une loi pour les onctueux escrocs prospères qui se donnent le nom de banquiers et une autre loi pour les soldats qui ont défendu le drapeau des États-Unis ?
* * *
« Il va nous falloir vingt ans pour racheter notre Gouvernement. Vingt ans de travaux forcés pour payer les dettes de jeu des traîtres de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, et regagner le vaste flot des salaires et des épargnes des Américains, de leurs dépôts bancaires, et du crédit du Gouvernement des États-Unis que l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ont exportés en dehors de notre pays vers leurs patrons étrangers.
« L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques ont dirigé dernièrement ici une campagne anti-réserve. Puis, elles ont pris cet argent d’extra, qu’elles ont persuadé les gens de mettre en banque, et elles l’ont envoyé en Europe avec le reste. Dans les quelques derniers mois, elles ont envoyés 1 300 000 000 $ en or à leurs employeurs étrangers, leurs maîtres outre-mer, et chaque dollar de cet or appartient au peuple des États-Unis et il leur a été pris illégalement.
« C’est un Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Conséquemment, rien ne devrait être caché au peuple. L’homme qui trompe le peuple est un traître aux États-Unis. L’homme, qui sait ou qui suspecte qu’un crime a été commis et qui dissimule ou couvre ce crime, s’en rend complice. Monsieur le Président, il est monstrueux pour cette grande Nation de voir son destin aux mains d’une administration gouvernementale traîtresse agissant secrètement de concert avec des usuriers internationaux. Tous les efforts ont été faits par l’Administration de la Réserve Fédérale pour occulter son pouvoir, mais la vérité veut que cette Administration ait usurpé le Gouvernement des États-Unis. Elle contrôle tout, ici, ainsi que toutes nos relations étrangères. Elle fait et défait les gouvernements à volonté. Aucun homme, ni aucune corporation d’hommes, ne se retranche plus derrière le pouvoir que le monopole de crédit arrogant qui opère l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques. Ces malfaiteurs ont volé notre pays plus qu’assez pour payer la dette nationale. Ce que le Gouvernement National a permis à l’Administration de la Réserve Fédérale de voler au peuple devrait être remis au peuple. La créance du peuple contre l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques est des plus valides et légitimes. Si cette créance était avalisée, les Américains n’auraient pas besoin de se mettre en ligne pour obtenir du pain ou souffrir et mourir de faim dans les rues. Les foyers seraient sauvés, les familles resteraient unies et les enfants américains ne seraient pas dispersés et abandonnés. L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques doivent une fortune en argent au Gouvernement des États-Unis. Nous devons trouver le montant exact de la créance du peuple. Nous devrions connaître le montant de l’endettement de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques envers le peuple et nous devrions enquêter sur cette supercherie et la conduite déloyale de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques.
* * *
« Monsieur le Président, lorsque l’Acte de la Réserve Fédérale fut adopté, le peuple américain ne s’aperçut point qu’un système mondial était installé qui ferait en sorte que les épargnes d’une institutrice américaine soient disponibles à un vendeur de narcotiques de Macao. Le peuple ne s’aperçut pas que les États-Unis seraient abaissés au rang de pays de coolies qui ne possède rien d’autre que du matériel brut et de la marchandise lourde à exporter ; que la Russie était destinée à subvenir à la main d’œuvre et notre pays devait fournir la puissance financière pour l’établissement d’un super gouvernement international — un super état contrôlé par les banquiers internationaux et les industriels internationaux agissant ensemble pour rendre le monde esclave selon leur bon plaisir.
« Le peuple des États-Unis est extrêmement lésé. S’il ne l’est pas, alors je ne sais pas ce que veut dire “léser le peuple”. Les gens ont été délogés de leurs emplois. Ils ont été dépossédés de leurs foyers. Ils ont été évincés de leurs logements. Ils ont perdu leur enfants. Ils ont été laissés à la souffrance, pour mourir par manque d’abri, de nourriture, de vêtements ou de médicaments.
« La richesse des États-Unis et leur capital ouvrier leur ont été enlevés et ont même été enfermés dans les voûtes de certaines banques et de grandes corporations ou exportés en pays étrangers pour le bénéfice des consommateurs étrangers de ces mêmes banques et corporations. En ce qui concerne le peuple des États-Unis, l’armoire est vide. Il est vrai que les entrepôts, les dépôts de charbon et les élévateurs à grain sont pleins, mais ces entrepôts, ces dépôts de charbon et ces élévateurs à grain sont cadenassés et les grandes banques et corporations détiennent les clés. Le pillage des États-Unis par l’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques est le plus grand crime de l’histoire.
« Monsieur le Président, c’est une situation sérieuse que confronte la Chambre des Représentants, aujourd’hui. Nous sommes mandataires du peuple et les droits de ce peuple lui sont enlevés. Par le biais de l’Administration de la Réserve Fédérale et de ses banques, le peuple perd les droits que leur garantissait la Constitution. Leurs propriétés leur ont été enlevées sans recours légal exigé. Monsieur le Président, les convenances exigent que nous examinions les comptes publics du Gouvernement et que nous regardions quels crimes contre le bien-être public ont été, et sont encore, commis.
« Ce dont nous avons besoin, c’est d’un retour à la Constitution des États-Unis. Nous avons besoin que la Banque et l’État divorcent complètement. La vieille lutte combattue à l’époque de Jackson doit encore être combattue aujourd’hui. L’indépendance du Trésor des États-Unis doit être rétablie et le Gouvernement doit garder son propre argent sous clé dans les bâtiments que le peuple a fourni à cet effet. La circulation d’actifs, la devise des escrocs, devrait être abolie. Le Gouvernement devrait acheter de l’or et y baser l’émission de sa devise américaine. Le commerce des banquiers indépendants devrait leur être restauré. Les systèmes bancaires de l’État devraient être libérés des contraintes. Les secteurs de la Réserve Fédérale devraient être abolis et les frontières de l’État devraient être respectées. Les réserves bancaires doivent être conservées à l’intérieur des limites des États appartenant au peuple qui y habite, et cette réserve d’argent du peuple doit être protégée de manière à ce que les banquiers internationaux, les banques d’escompte et les vendeurs de remises ne puissent le détourner de lui. Les échanges devraient être clos pendant que nous mettons de l’ordre dans nos affaires financières. L’Acte de la Réserve Fédérale devrait être annulé et les banques de la Réserve Fédérale, ayant violé leurs chartes, devrait être immédiatement liquidées. Les fonctionnaires infidèles du Gouvernement qui ont violé leur serment d’office devraient être attaqués et traînés en cour. Si nous ne faisons pas cela, je vous prédis que le peuple américain, outragé, volé, pillé, insulté et trahi comme il l’est dans son propre pays, se lèvera dans sa colère et enverra ici un Président qui chassera les changeurs monétaires hors du temple. »[51]
Remarquez certaines révélations stupéfiantes du discours du représentant McFadden. Premièrement, la révolution communiste en Russie fut financée par la Réserve Fédérale. Deuxièmement, des milliards de dollars et des millions d’onces des dépôts d’or des États-Unis ont été volés par les banques de la Réserve Fédérale et envoyés en Allemagne. Au moment où il parlait, en 1932, d’énormes montants d’or étaient expédiés en Allemagne sur une base hebdomadaire. Pourquoi cet argent était-il envoyé en Allemagne ? Pour subventionner les Nazis. À peine quelques huit mois plus tard, le 30 janvier 1933, Adolf Hitler était assermenté Chancelier d’Allemagne. En dedans d’un an, Hitler avait consolidé assez son pouvoir qu’avec l’aide de la Réserve Fédérale, il se déclara Fuhrer (leader) d’Allemagne. L’or qu’il reçut de la Réserve Fédérale américaine fut employé à construire des avions, des bateaux, des tanks et des fusils qui seraient ultérieurement utilisés pour tuer de braves Américains durant la Deuxième Guerre mondiale. L’Administration de la Réserve Fédérale et ses banques finançaient à la fois les communistes en Russie et les nazis en Allemagne, tout cela par le dur labeur des Américains de la classe moyenne.
Même pendant la Deuxième Guerre Mondiale, les États-Unis financèrent les Russes communistes par le biais du programme insensé et fallacieux du « bail de prêt ». En plus de leurs propres fardeaux financiers de guerre, les payeurs de taxes américains subventionnèrent les Allemands et les Russes. Les banquiers juifs ashkénazes, ayant financé la guerre des deux côtés, firent des affaires à la manière des bandits.
En conséquence de la découverte du congressiste McFadden d’une conduite criminelle aussi traîtresse, il entama, le 23 mai 1933, des poursuites criminelles formelles contre l’Administration des Gouverneurs de la Banque de la Réserve Fédérale, le Contrôleur des Devises et le Secrétaire du Trésor des États-Unis. La requête d’Articles de Mise en accusation fut, par après, appelée Comité Judiciaire.
Le représentant McFadden était Président de la Maison bancaire et du Comité des Devises, et fut donc en mesure de faire quelque chose concernant le monopole bancaire. Les Sionistes ne pouvaient permettre à un personnage aussi puissant de s’opposer à leurs plans. Les Jésuites tentèrent à plusieurs reprises d’assassiner le représentant McFadden. En fin de compte, ils y réussirent : ils l’empoisonnèrent en 1935. Après la mort du représentant McFadden, le projet de loi qu’il avait présenté fut classé au Comité Judiciaire et n’a jamais revu la lumière du jour depuis.
Nombreux sont ceux qui croient que le communisme ne peut être l’œuvre des Juifs talmudistes parce que la Russie est alliée avec les pays arabes. Les choses ne sont cependant pas ce qu’elles semblent être. Jack Bernstein, Juif ashkénaze américain déménagé en Israël peu après sa fondation, en 1948, revint dégoûté aux États-Unis après avoir été témoin de la duplicité d’Israël. Il révéla que les Juifs aborigènes de la Palestine, que l’on appelle les Juifs séfarades, subissent la discrimination dans l’Israël moderne. Ils sont considérés comme citoyens de seconde zone, une strate inférieure de la société d’Israël, avec les chrétiens et les musulmans. Dans son livre, La vie d’un Juif américain dans le raciste Israël marxiste, il explique la stratégie machiavélique d’Israël.[52] Bernstein a découvert qu’il était faux de croire que les Russes soviétiques soutiennent les pays arabes. Ce subterfuge de soutien des Soviétiques à l’endroit des Arabes ne fut tout simplement qu’un stratagème institué par Israël autour de 1949. À cette époque, Golda Meir était la première ambassadrice d’Israël en Union soviétique. En tant qu’ambassadrice en Union Soviétique, elle rencontra Joseph Staline. Un accord secret fut conclu entre Israël et la Russie dans lequel 1) Israël ne permettrait pas aux U.S.A., ou n’importe quel pays occidental, de construire des bases militaires en territoire israélien ; 2) Israël permettrait à un Parti communiste officiel d’opérer en Israël ; 3) Israël ne passerait jamais d’accord pour solutionner les problèmes palestiniens ; 4) Israël travaillerait avec la juiverie mondiale pour influencer les gouvernements occidentaux afin de favoriser Israël plus que les Arabes ; 5) Israël poursuivrait sa politique économique marxiste.[53]
Pour ces concessions, l’Union soviétique devait, en retour 1) fournir de l’aide militaire aux Arabes et à l’Égypte, mais jamais de façon suffisante pour détruire Israël ; 2) encourager l’immigration juive vers Israël, à partir des pays soviétiques satellites et, si cela n’était pas suffisant, ils permettraient l’immigration à partir de la Russie soviétique ; et garantiraient la sécurité d’Israël et, pour ce faire, ils autoriseraient le libre échange de rapports d’information entre Israël et l’Union soviétique.[54] Bernstein obtint ce renseignement de « la bouche même d’un protagoniste » : le Secrétaire-Trésorier du Parti communiste à Tel-Aviv nord.[55]
Bernstein souligne qu’Israël se représente comme une démocratie, mais, en fait, Israël est un pays communiste jusqu’à la moelle. Il déclare que le Sionisme et le Communisme sont la même chose. La forme la plus pure du communisme se retrouve dans les kibboutzim en Israël [N. du T. : Kibboutz (pl. kibboutzim) Exploitation communautaire, le plus souvent agricole, en Israël]. On prétend que Bernstein fut assassiné par le Mossad israélien pour avoir révélé la vérité à propos d’Israël.
Bernstein déclare plus loin que l’attaque suicide à la bombe du 23 octobre 1983, sur les baraquements de la Marine américaine, au Liban, où 241 Marines furent tués, avait été planifié par le Service de Renseignements militaires israéliens (le Mossad). Bernstein affirme que l’attaque de la base des Marines visait à tourner le peuple américain contre les Arabes afin d’amener les États-Unis dans la guerre et aider Israël.[56]
Lors du bombardement des baraquements des Marines de 1983, ce n’était pas la première fois qu’Israël faisait appel à des agents provocateurs. En 1954, les U.S.A. commençaient à favoriser l’Égypte au dépend d’Israël regardant certaines questions régionales. Le gouvernement israélien décida d’utiliser onze agents israéliens en Égypte pour faire sauter quelques buildings américains et blâmer ensuite les nationalistes égyptiens. Les Israéliens espéraient ainsi rompre les relations entre l’Égypte et les États-Unis. Le complot fut cependant découvert et étalé. On l’appela l’Affaire Lavon, d’après le Premier Ministre d’Israël, Pinhas Lavon, apparemment le cerveau derrière le complot. Lavon nia avoir été impliqué dans le complot et blâma le Service de Renseignements militaire d’Israël, le Mossad. L’affaire ne fut jamais complètement résolue à savoir qui était responsable. Il est clair, toutefois, qu’il s’agissait d’une opération israélienne.
Les Jésuites israéliens ont appris une leçon dans l’Affaire Lavon. Ils emploient des musulmans arabes, qui ne sont pas au courant, pour faire leur sale boulot. On a allégué que l’explosion d’un camion, en 1993, dans le World Trade Center fut arrangé par un opérateur du Mossad israélien. Combien d’autres bombardements et détournements d’avion ont été perpétrés par des musulmans servant d’outils au Mossad jésuitique ? Est-ce que la destruction du World Trade Center (WTC), le 11 septembre 2001, a été l’œuvre des Jésuites du Mossad et de la CIA, utilisant des terroristes arabes afin d’amener les U.S.A. à balayer la résistance arabes contre leurs visées sionistes ? Dans le monde nébuleux du terrorisme, on doit se demander : cui bono (qui profite) ? Les Sionistes sortent nettement gagnants de la destruction du WTC et cela s’accorde avec leur modus operandi.
Gardez à l’esprit que les Jésuites sont derrière les Sionistes d’Israël. Pourquoi les Jésuites veulent-ils contrôler la Palestine ? Parce qu’ils planifient qu’elle sera la nouvelle capitale de leur empire à partir de laquelle leur antichrist papal régnera sur le monde. Le trône des antichrists se trouvera dans un temple juif reconstruit. Les Jésuites ont déjà organisé des négociations entre les Israéliens et le Vatican, où ce dernier gagnera le contrôle de Jérusalem. En mars 1995, un message par câble secret de l’ambassade d’Israël à Rome au Ministère des Affaires Étrangères d’Israël s’ébruita par une station radio israélienne (Arutz Sheva).[57] Ce message dévoilait les plans du gouvernement israélien de remettre Jérusalem au Vatican.[58] Aucun doute que le plan comprenait l’enlèvement du Dome du Rocher islamique de la montagne du temple pour que le Temple juif puisse être reconstruit. Le plan des Jésuites échouerait complètement si les Juifs détruisaient eux-mêmes le Dome du Rocher, donc, ils utiliseront probablement les États-Unis pour le faire. Ce genre d’action de la part des U.S.A. contre le soi-disant troisième site « le plus saint » de l’Islam provoquerait une Jihad (guerre sainte) islamique contre les États-Unis. La stratégie devient claire pour les Jésuites : amener les États-Unis à guerroyer contre les musulmans. C’est le but visé par la destruction du World Trade Center. Voir les États-Unis balayer la résistance arabe musulmane sert parfaitement les intérêts des Sionistes jésuitiques qui recherchent le contrôle sur tout le Moyen-Orient. Ayez à l’esprit que le contrôle juif en sera un talmudique, ce qui signifie un contrôle communiste.
Les Jésuites/Illuminati ont utilisé certaines organisations de façade qu’ils emploient pour infiltrer et contrôler les gouvernements, celui des États-Unis ne faisant pas exception. Un de ces groupes s’appelle le Council of Foreign Relations (CFR) ou Conseil des Relations Étrangères. L’amiral Chester Ward a été membre du CFR pendant 16 ans. Il abandonna le CFR lorsqu’il réalisa que son but était de désarmer les États-Unis et de les livrer entre les mains d’un puissant gouvernement mondial.[59] Une des étapes de ce processus a été l’établissement de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Quels sont les principes guides de l’ONU ? Dans le numéro du 7 avril 1970 du Los Angeles Times, on cite ainsi l’ancien Secrétaire Général de l’ONU, U Thant, qui a déclaré : « [Le dictateur communiste Vladimir] Lénine fut un homme à l’esprit d’une grande clarté et d’une grande pénétration, et ses idées ont eu une profonde influence sur le cours de l’histoire contemporaine (…) Ses idéaux d’une coexistence pacifique des états (…) s’alignent avec les visées de la Charte de l’ONU. »[60]
Cela n’est pas une surprise quand on considère qu’Alger Hiss fut l’architecte de l’ONU. Alger Hiss était un fonctionnaire du Département d’État des États-Unis et fut le Secrétaire Général du congrès de la fondation de l’ONU, ainsi que coauteur de la Charte de l’ONU.[61] Or, Alger Hiss était également un traître espion soviétique. Comment savons-nous que Hiss était espion soviétique ? Parce que l’ancien communiste Whitaker Chambers s’avança et accusa Hiss. Hiss fut en fin de compte condamné comme parjure pour avoir menti à propos de ses activités d’espionnage pour le compte de l’Union soviétique. Hiss aurait probablement été condamné pour espionnage en soi s’il avait été directement accusé de cette offense, mais le statut d’immunité empêcha une telle accusation.
L’ancien Sénateur Warren Rudman fit la déclaration révélatrice suivante, lors du Programme de Washington du Conseil des Relations Étrangères, le 14 septembre 2001 : « Il y a une chance pour que le Président des États-Unis utilise ce désastre [l’attaque terroriste sur le WTC, le 11 septembre 2001] pour mettre à exécution ce qu’avait annoncé son père — une phrase que son père à employée une seule fois, je crois, et qui n’a plus été utilisée depuis — et il s’agit du nouvel ordre mondial. »[62] La vision du père de George W. Bush à laquelle se référait le Sénateur Rudman était la vision d’un gouvernement mondial unique sous les auspices de l’ONU. L’ONU n’est rien d’autre qu’une organisation de façade du communisme. Ce nouvel ordre que le CFR affectionne tant est un gouvernement communiste mondial unique. Comme nous l’avons vu, le communisme, c’est le Sionisme !
L’ombudsman du Washington Post, Richard Harwood, a déclaré que le CFR est ce qui se rapproche le plus d’un établissement dirigeant aux États-Unis. Il écrivit ce qui suit dans l’édition du 30 octobre 1993 du Washington Post :
« Le président en est membre. Ainsi que son secrétaire d’état, le secrétaire d’état délégué, tous les cinq sous-secrétaires, plusieurs des assistants-secrétaires et le conseiller légal du département. Le conseiller de la sécurité nationale du président et son délégué en sont membres. Le directeur de la CIA (comme les autres directeurs avant lui) et le président du Bureau du Conseil d’Information Étrangères sont membres. Le secrétaire de la défense, trois sous-secrétaires et au moins quatre assistants secrétaires sont membres. Les secrétaires des départements du logement et du développement urbain, de l’intérieur, de la santé et des services humanitaires, et le chef des relations publiques de la Maison Blanche (…) ainsi que le président de la Chambre [sont membres]…
« Ce n’est pas une suite de gens qui “ressemble à l’Amérique”, comme le Président a déjà dit une fois, mais ils ressemblent définitivement au gens qui, depuis plus d’un demi-siècle, gèrent nos affaires extérieures et notre complexe industrio-militaire. »[63]
Le professeur d’histoire de l’Université de Georgetown, Carroll Quigley, se vit accorder le privilège sans précédent d’avoir accès aux rapports secrets du CFR et écrivit, dans son livre rédigé en 1966, Tragedy and Hope (Tragédie et espoir), que les Partis républicain et démocratique aux États-Unis étaient intégralement contrôlés en arrière-plan par le CFR. Quigley était d’accord avec les plans du CFR qui tranchaient en disant que « les deux partis doivent être presque identiques, pour que le peuple américain puisse “jeter les chacals dehors” à n’importe quelle élection sans que cela conduise à de profondes et amples refontes de la politique. »[64] C’est exactement ce à quoi nous assistons à chaque changement d’une administration républicaine à une démocrate ou vice versa où il n’y a aucune modification réelle de la politique domestique ou étrangère. Il s’agit d’une marche traîtresse et sans résistance vers un gouvernement mondial, marche conduite au son de la flûte enchantée des Jésuites.
La CIA, le Département d’État et le FBI ont été infiltrés par ces agents Jésuites et leurs comparses sionistes ashkénazes. Par voie de conséquence, les politiques du gouvernement américain ont été renversées au profit des Sionistes et ce, au détriment des citoyens des États-Unis. Le 9 mars 1978, Michael Saba fut un témoin de première main du pouvoir et de l’influence des Juifs dans le gouvernement des États-Unis. Il s’adonna à s’asseoir hors de vue à une table adjacente à celle où Stephen Bryen, fonctionnaire du Comité sénatorial des Relations Étrangères des U.S.A., rencontra des représentants officiels d’Israël, à l’Hôtel Madison de Washington, D.C..[65] Ce qui frappa M. Saba, c’est que la conversation entre Bryen et les fonctionnaires israéliens n’était pas une discussion générale, mais plutôt une réunion stratégique à savoir comment la délégation israélienne pouvait affecter la politique étrangère américaine en faveur d’Israël. M. Saba fut surprit ensuite d’entendre Bryen utiliser le pronom « nous » quand il s’exprimait sur la position du gouvernement israélien, et le pronom « ils » lorsqu’il décrivait la position du gouvernement des États-Unis. M. Saba eut l’impression bien nette que la loyauté de Bryen était bien plus dirigée vers Israël que vers les États-Unis. En d’autres termes, M. Bryen était un espion. Pendant la discussion, M. Bryen offrit des documents top secrets du Pentagone concernant les bases militaires arabes au Moyen-Orient.
Aussitôt que M. Saba eu révélé ces événements au Département de la Justice des États-Unis, il constata la puissance qu’exerçaient les Juifs au sein du gouvernement américain. À chaque instant, l’enquête concernant ses allégations fut contrariée. En outre, malgré l’incessante investigation du Département de la Justice américaine au sujet de M. Bryen, on permit à celui-ci de devenir Assistant secrétaire délégué de la Défense dans l’administration Reagan. Le traitement réservé à l’espionnage de Bryen révèle que les plus hauts échelons du gouvernement américain étaient infiltrés par un réseau de Juifs obligés envers Israël. Non seulement des éléments du gouvernement des U.S.A. oeuvraient-ils à protéger Bryen, mais les médias principaux firent tout en leur possible pour étouffer l’affaire. Alors qu’initialement, les reporters étaient fort intéressés à l’histoire, subitement ils s’en désintéressèrent aussitôt qu’ils regagnèrent leurs bureaux. M. Saba qualifia cette toile juive entrelacée de Réseau Armageddon.
L’attaque infâme du U.S.S. Liberty démontre la puissance des Juifs dans le gouvernement américain. Durant la Guerre de Six-Jours israélienne, le Liberty, bateau de reconnaissance américain, naviguait en eaux internationales. Apparemment, le Liberty avait décelé quelque chose que le gouvernement israélien ne voulait pas voir divulgué. On a spéculé à savoir si les Israéliens s’inquiétaient que le Liberty puisse découvrir le meurtre de sang froid de 150 prisonniers de guerre égyptiens par les Israéliens. L’aviation et les torpilleurs israéliens attaquèrent le Liberty. L’attaque dura 75 minutes pendant lesquelles le Secrétaire de la Défense américaine, Robert McNamara, et le Président Lyndon Johnson ordonnèrent à l’amiral d’un porte-avion tout proche de rappeler ses jets et NE PAS venir en aide au Liberty.
Le Lieutenant Commandant David E. Lewis, officier en charge du Département de Recherche du Liberty, eut une réunion avec le Contre-amiral Lawrence R. Geis, peu après l’attaque du Liberty. L’amiral Geis était l’officier en charge des avions embarqués sur le USS America et le USS Saratoga. Le Commandant Lewis déclara que l’Amiral Geis lui avait dit ce qui suit : l’Amiral Geis « dit qu’il voulait que quelqu’un sache que l’on ne nous oubliait pas (…) des essais AVAIENT été tentés de nous venir en aide. Il dit qu’il avait lancé une escadrille d’avions pour nous porter assistance, et qu’il avait ensuite appelé Washington. Le Secrétaire McNamara prit la ligne et ordonna de rappeler les avions, ce qu’il fit. Concurremment, il dit que, étant donné qu’il soupçonnait qu’ils aient craint [à Washington] qu’il puisse y avoir des armes nucléaires à leur bord [des avions], il reconfigura un autre vol d’avions (…) strictement des armes conventionnelles (…) et les relança. Après le second lancement, il appela à nouveau Washington pour leur laisser savoir ce qui se passait. Encore une fois, le Secrétaire McNamara ordonna que l’on rappelle les avions. Ne comprenant pas pourquoi, il demanda une confirmation de l’ordre, et le second plus haut en commandement vint confirmer que (…) le Président Johnson (…) avec l’instruction que les avions devaient revenir, qu’il ne voulait pas que ses alliés soient embarrassés, il se fichait de ceux qui seraient tués ou de ce qui arriverait au bateau (…) des paroles du genre. Sur ce, l’Amiral Geis me fit jurer le secret pour toute sa vie. J’ai gardé le silence jusqu’à ce que j’apprenne de l’Amiral Moorer que l’Amiral Geis était décédé. »[66]
Trente-six Américains ont été tués et 171 blessés dans l’attaque. Israël proclama qu’il s’agissait d’une erreur d’identité. Toutefois, les renseignements américains révélèrent qu’il s’agissait plutôt d’une attaque délibérée ordonnée par le Général israélien Moshé Dayan. L’ancien Secrétaire d’État, Dean Rusk, et l’ancien Chef adjoint du président d’équipage, l’amiral Thomas Moorer, ont affirmé tous les deux que l’attaque israélienne était délibérée.[67] L’incident donne une idée du pouvoir et du contrôle que possèdent les Juifs sur le gouvernement américain. Ils peuvent contrôler le sommet même de la branche exécutive du gouvernement pour ordonner à l’armée américaine de se tenir tranquille pendant que des marins se font massacrer par l’armée israélienne.
Autre exemple démontrant le contrôle exercé par les Juifs sur les têtes de gouvernement et la nature internationale (lire : anti-nationale) des Juifs, c’est le cas Mark Rich. Au début des années 1980, le milliardaire Mark Rich et son partenaire furent mis sous enquête pour violation de la loi fédérale américaine résultant d’un schéma criminel qu’ils menèrent par le biais de la firme commerciale de commodités Mark Rich& Cie, A.G.. Quand, en 1983, Rich et sa cohorte réalisèrent qu’ils allaient être poursuivis en justice, ils s’enfuirent des États-Unis.[68] En septembre 1983, un grand jury fédéral émis un acte d’accusation en 51 points contre Mark Rich, son partenaire, Pincus Green, et d’autres pour intrigues, fraudes postales, escroquerie, conspiration, évasion fiscale et commerce avec l’ennemi. Rich commerça avec les Iraniens pendant que des otages américains étaient détenus lors de la crise d’otages en Iran. Plus tard, en Mars 1984, le gouvernement enregistra une mise en accusation de 65 chefs remplaçant la précédente.
Rich et Green démontrèrent leur mépris des États-Unis en perdant leur citoyenneté américaine et en acquérant la citoyenneté israélienne. Rich devint aussi citoyen espagnol. Les gouvernements espagnol et israélien refusèrent d’extrader Rich et Green vers les États-Unis pour faire face aux poursuites. Étant donné que les avocats de Rich ne purent convaincre le procureur américain de New York d’abandonner la poursuite, ils décidèrent d’obtenir un pardon du Président des États-Unis, Bill Clinton. La femme de Rich, Denise Rich, donna 450 000 $ aux fonds bibliothécaires Bill Clinton et 1,1 M $ à des causes démocratiques, y compris la campagne sénatoriale d’Hillary Rodham Clinton.[69] Ensuite, Rich embaucha l’ancien Conseiller à la Maison Blanche de Clinton, Jack Quinn, pour l’aider dans les négociations.[70] Ce qui en dit peut-être le plus sur l’élément juif dans les procédures de pardon fut l’engagement du Premier Ministre d’alors, Ehud Barak, et l’ancien Premier Ministre Shimon Peres, qui contactèrent chacun le Président Clinton pour faire pression en faveur du pardon de Rich et de Green.[71]
Le 20 janvier 2001, lors du dernier jour de Bill Clinton en tant que Président des États-Unis, il accorda un pardon complet et inconditionnel à 140 personnes, y compris Mark Rich et Pincus Green. Ceux-ci furent pardonnés en violation des Règlements gouvernant les Requêtes à la Clémence de l’Exécutif, qui exige que la requête de pardon soit soumise au procureur des Pardons du Département de la Justice.[72] De plus, les règlements fédéraux exigent une enquête sur la requête.[73] Rien de tout cela ne fut fait. Ce qui est peut-être le plus choquant, c’est que Rich et Green furent pardonnés pendant qu’ils étaient toujours en fuite face à la justice. Avant le pardon de Rich et Green par Clinton, aucun Président, dans toute l’histoire des États-Unis, n’avait jamais pardonné quelqu’un ayant fui la justice.
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[1] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 741 (1871). Voir aussi Edmond Paris, Convertissez-vous ou vous mourrez !, Chick Publications.
[2] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, Chick Publications, p. 167, 1975.
[6] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 149, 2000 (citant Dietrich Bronder, Before Hitler Came ; Henneke Kardel, Adolph Hitler, Founder of Israël.).
[7] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 149, 2000 (citant Henneke Kardel, Adolph Hitler, Founder of Israël.).
[8] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 154, 2000 (citant Israel Shahak et Norton Mezvinsky, Jewish Fundamentalism in Israel, p. 125, 1999.).
[9] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 535-36 (2001).
[10] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 152, 2000 (citant Israel Shahak et Norton Mezvinsky, Jewish Fundamentalism in Israel, p. 65, 1999.).
[11] Robert Wilton, The Last Days of the Romanovs, 1920.
[13] Robert Wilton, The Last Days of the Romanovs, p. 148 (1920).
[15] Izvestia, 27 juillet 1918.
[16] Henry Ford, The International Jew, vol. 1, p. 225 (1920).
[18] Des Griffin, Fourth Reich of the Rich, p. 62 (1976).
[20] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 167-77 (2001).
[21] Don De Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 209, 2000 (citant Benjamin Freedman, Facts Are Facts (1954).
[26] Noah Webster, American Dictionary of the English Language (1ière édition 1828) rééditée par la Fondation pour une Éducation américaine chrétienne, San Francisco, Californie.
[28] Sidney Hunter, Is Alberto For Real ?, p. 36, 1988 (citant Andrew Sinclair, The Great Conspiracy, p. 9 et Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 138.
[29] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends, p. 377, 2001, (citant Roberto Rivera, The Godfathers : Alberto Part Three, p. 10. 1982).
[43] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 120, 2000 (citant The New York Times, 14 mars 1935.).
[44] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 105, 2000.
[48] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 250, 2000 (citant le représentant Louis McFadden, allocution radiophonique du 2 mai 1934.).
[49] 75 Congressional Record 12595-12603.
[50] Voir Edward Griffin, The Creature From Jekyll Island : A Second Look at the Federal Reserve, (3e édition 1998).
[52] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 313-314, 2000 (citant Jack Bernstein, The Life of an American Jew in Racist Marxist Israel, 1984.).
[55] Jack Bernstein, My Farewell to Israel the Thorn in the Mideast.
[56] Donn de Grand Pre, Barbarians Inside the Gates, the Black Book of Bolchevism, p. 314-315, 2000 (citant Jack Bernstein, The Life of an American Jew in Racist Marxist Israel, 1984.).
[59] William F. Jasper, The Power Behind the Presidency, New American, 13 août 2001.
[60] When Globalists Tell the Truth, New American, p. 10, 22 octobre 2001.
[61] New American, p. 14, 22 octobre 2001.
[62] When Globalists Tell the Truth, New American, p. 10, 22 octobre 2001.
[63] William Norman Grigg, An Internationalist Primer, New American, 13 septembre 1996. Voir aussi William F. Jasper, The Power Behind the Presidency, New America, 13 août 2001.
[64] William F. Jasper, The Power Behind the Presidency, New America, 13 août 2001.
[65] Michael Saba, The Armageddon Network, (1984).
[68] In Re Grand Jury Subpoenas Dated March 9, 2001, ___F. Supp. ___, 2001 WL 1590541 (S.D.N.Y. 2001).
[69] Greg B. Smith, Denise Says Dem Gifts Solely Hers, New York Daily News, 25 mai 2001.
[70] In Re Grand Jury Subpoenas Dated March 9, 2001, ___F. Supp. ___, 2001 WL 1590541 (S.D.N.Y. 2001).