L’aube d’une nouvelle année

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Janvier 2021

Par Jerry Barret

À chaque année, au premier janvier, des millions d’Américains ont en vue de s’améliorer en prenant des résolutions personnelles et en s’établissant des buts. Vous pouvez voir cela par les fenêtres de tous les lieux d’exercices à travers le pays. Ceux qui s’emploient à la bonne santé en faisant régulièrement de l’exercice sont forcés d’ajuster leur horaire pour éviter les foules qui s’en suivent. Toutefois, cela n’est pour eux qu’un embêtement mineur. Ils savent qu’en février ces guerriers qui foncent dans les séances d’entraînement auront abandonné en retournant à leurs vieilles habitudes.

Toutefois, ce janvier-ci ne sera pas comme ceux de mémoire récente. De nombreux gyms ont été fermés à cause d’un confinement draconien ordonné par les gouvernements locaux ou étatiques. Bien que jugé inconstitutionnel par les propriétaires commerciaux touchés, le public en général s’est à peine prononcé. « Nous devons pratiquer ces lignes de conduite au nom de la sécurité, » a-t-il comme mantra.

À mesure que s’accroit notre « sécurité », nos libertés rétrécissent. Ceux qui croient encore être libres en Amérique, vous devez vous réveiller et humer le café. Lentement, mais sûrement, nos libertés se sont érodées pour n’être qu’à deux doigts du néant.

Je me rappelle qu’enfant je marchais avec Papa jusqu’aux portes de l’aéroport en vue de son vol vers une destination déterminée par ses supérieurs des Forces aériennes des États-Unis. Notre famille avait l’habitude de se promener nonchalamment dans tout l’aéroport en attendant que son vol soit annoncé, en le regardant marcher vers la passerelle, puis voir son avion décoller.

Grâce au travail interne appelé 9/11, une grosse colonne de liberté fut enlevée des piliers de l’Amérique. Aujourd’hui, seuls ceux qui ont des billets peuvent se rendre jusqu’aux portes. Et ce après avoir passé par un contrôle de sécurité où l’on vérifie votre identité et votre carte d’embarquement. Une fois accepté, vous devez pratiquement vous déshabiller et passer dans une machine à rayon-x. Tous les bagages que vous transportez doivent aussi passer au rayon-x, testés pour fin de résidus d’explosifs avant qu’on vous les redonne pendant que vous vous rhabillez. Les accolades et les embrassades d’au revoir sont maintenant restreintes à la zone de chargement, et tout cela au nom de la sécurité.

Nous, les moutons, n’avons rien à penser de ces nouvelles « précautions ». Nos leaders ont nos meilleurs intérêts à cœur, n’est-ce pas ? Peu importe le fait que certains employés mécréants des aéroports sont reconnus pour partager des images des machines à scanner les corps. Ni le fait qu’aucun acte terroriste n’ait été contrecarré par ces procédures envahissantes. Au début, les reporters et les enquêteurs indépendants se mirent à tester l’efficacité de ces procédures, et ils finirent par être fortement désappointés.

Cette phase du grand plan étant complétée, il était temps de faire le pas suivant. Cet événement annonciateur arriva le 18 octobre 2019 à New York City. Tenu conjointement entre le Centre de Sécurité Sanitaire Johns Hopkins, le Forum Économique Mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Événement 201 s’avéra un exercice pandémique de haut niveau. Cet exercice servait à illustrer les domaines où les partenariats publics et privés seraient nécessaire en cas de pandémie sévère.

Ainsi que j’en ai fait la documentation dans des bulletins précédents et dans des émissions radiophoniques antérieures, cette pLandémie a été lancée sur une population sans méfiance en surgissant sur la scène en mars de 2020. La peur, répandue par les grands courants médiatiques sous la direction de l’élite, a agrippé le pays dans sa poigne d’acier. Un nombre croissant de mort a occupé la une des reportages de nouvelles. On a présenté des images d’hôpitaux remplis de médecins et d’infirmier(e)s désespérés essayant apparemment de traiter des milliers de patients. Des sacs mortuaires remplissaient les chariots que l’on acheminait vers les camions réfrigérés.

Les gouverneurs et les fonctionnaires locaux ou étatiques élus ont tous promulgué des ordres de confinement dans l’effort « d’aplatir la courbe » des infections qui, semblait-il, se répandait comme une traînée de poudre sur toute la planète. Au début de ces ordonnances, l’on nous a dit que deux semaines seraient probablement suffisantes pour reprendre le contrôle de la situation. Hélas, nous aplatissons la courbe depuis maintenant neuf mois.

Chose ironique ou non, cette pLandémie est survenue au moment même où l’économie américaine rebondissait. Des usines revenaient en Amérique, et avec elles des emplois dont nous avons grand besoin. Le chômage dans les communautés minoritaires connaissait des baisses record. Les transactions et les traités qui ne bénéficiaient pas à l’Amérique furent réécris. On remettait de l’avant le concept de « l’Amérique d’abord ». Est-ce que les accusations infructueuses contre le Président Donald Trump et son soutien croissant par la classe moyenne des travailleurs ont mis la puce à l’oreille de l’élite ?

Comme on dit, avec du recul, c’est 20/20. Il est toujours plus facile de discerner les motifs une fois que les dés sont jetés, et le temps est un allié, pas un handicap à la prise de décision. Mais avec l’Agenda 21 des Nations Unis pointant à l’horizon, on peut se demander ce qui va suivre.

Avec la soi-disant victoire électorale de Joe Biden en tant que prochain Président, un changement crucial semble venir, et il ne sera pas beau. La législation imminente de la Chambre des Représentants contrôlée par les démocrates met en lumière l’avenir sombre de notre pays. La Loi sur l’Égalité, ainsi que la Loi sur la Sensibilisation envers l’Antisémitisme — lesquelles j’ai discuté avec le révérend Ted Pike dans mon émission radio [Anti-Christian Legislation is Pouring Out of Congress (Une législation antichrétienne déferle du Congrès) disponible en format cassette ou CD] — sont des assauts directs contre les chrétiens. Si les démocrates peuvent mettre la main sur le Sénat en se sauvant avec la Géorgie, comme le dit le vieux dicton : « Katy, barre la porte à double tour ».

Il y a aussi, dans le pipeline de la destruction, le H.R. 5717, surnommé la Loi sur la Prévention de la Violence par les Armes et la Sécurité Communautaire. Si cet projet de loi législatif est adopté et signé en tant que loi, la structure de la réglementation gouvernementale va changer radicalement. Entre autres changements, le projet de loi propose ce qui suit :

  • Il exige des individus qu’ils obtiennent un permis d’achat, d’acquisition ou de possession d’armes à feu ou de munitions [l’emphase est ajoutée] ;
  • L’âge minimum des acheteurs d’armes à feu et de munitions passe de 18 à 21 ans ;
  • Il établit de nouvelles exigences d’examens d’antécédents pour les transferts d’armes à feu entre parties privées ;
  • Il exige que les agences de mise en application de la loi soient notifiées si un examen d’antécédents donne un résultat négatif ;
  • Il crée un processus légal pour qu’un membre de famille ou de ménage puisse pétitionner à la cour pour qu’on enlève les armes à feu à un individu qui court le risque de commettre de la violence [la Loi Drapeau Rouge]

99,7 % des propriétaires d’armes à feu de notre grand pays sont, et vont continuer à être, des Américains obéissant aux lois. Ajouter des lois pour rendre encore plus difficile de se défendre légalement ne découragera en rien les 0,3 % d’individus à l’esprit maléfique.

Ce projet de loi rendra également les armes à feu taxables à 30 % et les munitions (les cartouches et les balles) taxables à 50 %. Actuellement, les armes à feu et les munitions sont taxées à 10 %. De plus, l’on n’a pas besoin d’un permis pour acheter des munitions !

Quiconque a étudié l’histoire, même juste un peu, sait que la première étape d’une dictature totalitaire s’accomplit par le contrôle des armes. Après que cette mesure est prise, la liberté d’expression et de religion devient la cible suivante. Est-ce que le Plan – dont a si souvent parlé notre pasteur émérite Texe Marrs – fait des bonds de géant grâce à l’abêtissement des Américains ? Combien de temps reste-t-il avant que les camps de rééducation soient pleins de moutons dociles ? Est-ce que les vaccins planifiés pour le Covid-19 font partie de la « nouvelle normalité » de la dépopulation ?

Il y a un vieil adage que me disait mon père : « Si tu ne te tiens pas debout pour quelque chose, tu seras à genoux pour n’importe quoi ». Il est temps pour les chrétiens craignant Dieu et rachetés par Son sang de se tenir debout et de crier sur les toits ! Ce n’est pas une conspiration si c’est la vérité. Power of Prophecy crie la vérité depuis plus de trente ans. 2021 ne sera pas différent. Vous joindrez-vous à nous ?

***

Par Michelle Hallmark Powell

Nous avons été avertis

En 2004, la Commission sur la Réforme des Élections Fédérale fut constituée par l’ancien Président Jimmy Carter et James A. Baker III (Secrétaire général et Secrétaire d’État sous les Présidents Ronald Reagan et George H.W. Bush) pour examiner le processus électoral aux États-Unis. Organisation privée et bipartisane, la Commission assembla des leaders des deux partis, de même que des groupements civiques académiques et non partisans afin de maximiser l’accès et l’intégrité des votes. Il y avait 87 recommandations étalées dans un rapport de 91 pages. Mettre en œuvre toutes les suggestions aurait exigé une action du Congrès au coût de 1,35 milliards $. Le rapport demandait également une supervision professionnelle et étatique non partisane des élections. Voici certaines des autres recommandations :

  • Développer un « système d’inscription au vote universel » dirigé par les états plutôt que par des juridictions locales ;
  • Accroître l’effort d’inscription des électeurs par les états, y compris l’effort de permettre à des anciens détenus de voter sous certaines conditions.
  • Créer une méthode d’identification photo uniforme pour assortir l’électeur à la liste électorale, tout en établissant plus de bureaux pour les électeurs sans permis de conduire afin qu’ils s’enregistrent plus facilement et acquièrent leur carte d’identification photo.
  • Suite aux caucus en Iowa et aux primaires du New Hampshire dans les années d’élection présidentielles, les états devraient tenir quatre primaires et des caucus régionaux à la place des horaires actuels dans le but de réduire l’influence des états de l’est dans le choix de leurs candidats.

Si ces recommandations avaient été mises en place, nous ne serions peut-être pas dans la situation de fraude électorale que nous voyons présentement.

Avertis, mais bêtement désarmés

Reculons maintenant seize ans avant l’élection de 2020. D’abord, nous avons utilisé les machines à vote conçues par les Systèmes de Vote Dominion. Cette compagnie fut fondée en 2003 et sa mission était de fournir un système électronique de vote qui s’avérait avenant pour les progressistes. La compagnie ne marcha pas très bien jusqu’à ce que l’administration Obama arrive au pouvoir. Le dur effondrement du SEV (Système électronique de vote) mis en marché par la compagnie aux États-Unis arriva en août 2009.

  • 40 % ES&S
  • 30 % Diebold/Premier
  • 20 % Sequoia/Smartmatic
  • 10 % Hart Intercivic
  • 0 % Dominion

Puis, moins d’un an plus tard, grâce à l’administration Obama :

  • 50 % Dominion
  • 40 % ES&S (qui fut restreint dans sa compagnie contre Dominion)
  • 10 % Hart Intercivic

L’Administration Obama confisqua tous les actifs des systèmes électroniques de vote (logiciel, propriété intellectuelle, outils de manufacture, clientèle de base, etc.) Elle donna alors cette information à Dominion qui obtint en même temps plusieurs employés de Smartmatic – un Système Électronique de Vote dont les propriétaires sont à l’étranger – qui était relié à Hugo Chavez du Venezuela. Comme nous le savons tous, Chavez utilisa les machines de vote truquées pour gagner ses élections. Donc, comme vous pouvez le voir, le système n’était pas seulement partisan, mais hyper partisan en faveur du Parti démocrate. Il y aurait plus à dire sur les liens du Parti démocrate avec ses supporteurs prééminents aux États-Unis et outremer, mais nous n’entrerons pas ici dans les détails.

L’historique de Dominion

La Dominion Voting System Corp., qui a été fondée au Canada, acquit éventuellement les Systèmes de Vote Sequoia – faisant anciennement partie de la Smartamatic Corp. maintenant une compagnie basée au Royaume Uni. Le logiciel Dominion a été utilisé par 40 % des électeurs dans cette élection de 2020, principalement par les états et les commissions de vote démocrates. Aucune protection n’a été mise en place contre les renversements, les effacements ou la création de votes. En fait, le logiciel utilisé était saisi d’un algorithme qui permettait aux machines de vote d’ajuster le compte des bulletins de vote à partir de 22h30 heure de l’est. Le compte des bulletins de vote stoppa dans bon nombre d’états contestés. Le propre site internet de Dominion dit que le logiciel a été utilisé dans des états « chaudement disputés » comme le Michigan, la Pennsylvanie, le Wisconsin, la Géorgie, le Nevada et l’Arizona. On l’a aussi employé dans les grands états « démocrates » comme la Californie, le New Jersey et New York. C’est courir après la fraude électorale.

La combine

Vous n’entendez pas la vérité sur les canaux des grands courants médiatiques, mais voici quelques informations fournies à propos des bulletins de vote frauduleux qui s’avèrent des bulletins photocopiés, des bulletins de personnes décédées ou d’électeurs non-résidents. Vous avez ci-dessous l’effondrement des états clés durement contestés et ce qui a eu lieu quand les bulletins ont été révisés.

Comme vous pouvez le voir, c’est plus de 1 200 000 votes qui auraient dû aller à notre Président Donald Trump.

Combattre la corruption

Il se tient des audiences législatives dans chacun de ces états grâce à des affidavits signés par des centaines de témoins déclarant des contradictions massives du vote et des fraudes ayant eu lieu. Chaque législature étatique a le droit, selon notre Constitution, de changer le soi-disant appel à la victoire de Biden en celui de la victoire de Trump si l’on juge qu’il y a suffisamment de preuves de fraude électorale. Bien sûr, il faudra certains hommes braves pour se rebiffer contre le système et redonner aux Américains leur vrai vote. Puissions-nous tous prier notre Dieu qu’Il bénisse l’Amérique.




La Californie nous a donné un aperçu du… Nouveau supplice vert

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Octobre 2020

Par Jerry Barrett

« Et vous ne souillerez point le pays où vous serez … Vous ne souillerez donc point le pays où vous allez demeurer »

Nombres 35:33-34

 

Depuis trois décennies, les médias contrôlés utilisent des tactiques alarmistes pour faire croire au changement climatique. L’on a été canalisé du soutien politique et des centaines de millions de dollars pour renforcer ce programme. Il s’agit d’un groupe de pseudo-scientifiques ressemblant à une secte.

Activiste environnemental bien connu et respecté, Michael Shellenberger a récemment fait des excuses écrites pour avoir perpétué ce canular. Forbes.com a publié son article, mais l’a rapidement supprimé et a censuré cet aveu révélateur. La raison pour laquelle Shellenberger est devenu honnête ? Le lavage de cerveau qui se produit chez nos enfants. Vingt pourcents des enfants britanniques interrogés ont admis avoir fait des cauchemars sur le changement climatique et la fin du monde.

De nombreux enfants traumatisés par cette propagande sont incapables de profiter du grand air. Ils n’apprécient plus la nature et ne comprennent plus son fonctionnement. Lorsque l’on considère l’ampleur du dilemme, on en arrive à la conclusion que, sans une compréhension de base, il ne peut y avoir de bonne gestion.

La prise de pouvoir du changement climatique

Comme ceux qui doutent de la véracité de l’Holocauste sont ridiculisés et catégorisés, de même ceux qui nient les soi-disant « experts » du changement climatique seront dénigrés en toute impunité. La secte verte réplique avec des attaques calomnieuses par le biais des marionnettes des médias contrôlés. L’endoctrinement de notre jeunesse monte en flèche, sans égard aux dégâts causés.

Les politiciens se sont accrochés à ce canular en vue d’une prise de pouvoir totale. La représentante Alexandra Ocasio-Cortez (D-NY) a proclamé haut et fort : « Le monde va prendre fin dans

Le Gouverneur de la Californie, Gavin Newson (à gauche) vit avec l’impact véritable d’une « protection » extrême de l’environnement. Si Joe Biden est élu Président, il prévoit mettre en œuvre la plupart des mesures du Nouvel Accord Vert draconien d’Alexandra Ocasio-Cortez dans tout le pays.

douze ans si nous n’abordons pas le changement climatique ». Elle a fièrement lancé le « Nouvel Accord Vert » appuyé par George Soros.

Les études climatiques ont démontré des périodes de réchauffement et de refroidissement. C’est un cycle en constante évolution que l’homme ne contrôle pas. Ce qu’enseigne Genèse 8:22 devrait nous réconforter : « Mais tant que la terre sera, les semailles et les moissons, le froid et le chaud, l’été et l’hiver, le jour et la nuit ne cesseront point. »

Malheureusement, certaines personnes affichent un complexe divin par lequel elles croient être plus intelligentes que notre Père céleste. Ces individus assoiffés de pouvoir obtiennent une tribune d’intimidation et exercent leur influence sur les autres pour qu’ils rejoignent leur secte. Cette pensée maladive se propage rapidement et, grâce au soutien financier adéquat, elle enveloppe la planète.

L’énergie renouvelable est une des expressions à la mode qu’emploient ces mystificateurs du climat. Ils considèrent que l’utilisation de la lumière du soleil, du vent, de la pluie, des marées, des vagues et de la chaleur géothermique va nous sauver des « combustibles fossiles ». Cependant, les effets potentiellement dangereux sont négligés par ces cinglés de l’environnement dans leur zèle à propager ce programme.

Voitures électriques

En réalité, il n’y a pas de système énergétique qui soit renouvelable. Les machines reposent sur l’extraction et le traitement continus des matières premières. Par exemple, jetez un coup d’œil sur une voiture électrique. À première vue, cela semble une excellente idée. Mais lorsqu’on examine le procédé requis pour créer cette voiture verte, le résultat final nous revient comme une gifle au visage. Les véhicules électriques produisent encore des gaz à effet de serre provenant de leurs freins, de leurs pneus et des usines qui les construisent. La batterie d’une voiture électrique a un poids ahurissant de mille livres [± 500 kilos].

Aux mines de terre rare de Jiangxi, en Chine, les mineurs creusent des trous de huit pieds [2m50] et versent du sulfite d’ammonium pour dissoudre l’argile. Cette boue est évacuée, soumise à plusieurs bains d’acide et ensuite cuite au four. Les minéraux rares restants sont utilisés dans les voitures électriques, tandis que les parties non utilisées, contaminées par des produits chimiques toxiques, sont remises dans l’environnement. À cause de la croissance de la demande en véhicules électriques, les minéraux de la planète menacent d’être épuisés en peu de temps.

On doit recharger les batteries de ces voitures. Est-ce aussi propre qu’une voiture à essence ? Les chiffres ne corroborent pas cette affirmation. Si l’électricité provient d’une centrale au charbon, chaque véhicule électrique émet environ quinze onces de CO2 pour chaque kilomètre parcouru, tandis qu’une voiture à essence n’en produit que trois.

De même, les batteries finissent par s’user. Nous avons tous fait l’expérience de ce bip strident à 2h00 du matin parce que la pile 9 volts du détecteur de fumée est tombée en panne. De nombreux éléments qui composent une batterie ne sont pas recyclables et se retrouvent donc dans nos décharges. Est-ce écologique ?

Éoliennes

Les éoliennes sont une autre source d’énergie renouvelable qui a gagné en popularité. Vous pouvez en voir des agglomérats sur des plateaux et des montagnes. Lorsque le vent souffle, les pales tournent en générant de l’électricité. En surface, cela semble une très bonne idée. Toutefois, certaines parties mécaniques s’usent avec le temps, et la force et la quantité de vent changent constamment.

Un défaut flagrant des éoliennes est son effet sur les oiseaux migrateurs. Approximativement 234 000 oiseaux se font tuer chaque année par les hélices. Les aigles et les faucons sont les espèces les plus touchées. Les chauves-souris arboricoles ont également vu leur population diminuer, et cela inquiète les scientifiques. Il y a eu des rapports ayant déclaré que ces turbines sont éteintes durant la période de migration, ne produisant ainsi aucune électricité.

Les pales de ces turbines s’allongent jusqu’à 230 pieds [70m] et pèsent en moyenne 36 tonnes. L’enlèvement des vieilles pales, ou celles qui sont cassées, pose un difficile problème de résolution. Il existe actuellement deux méthodes courantes d’élimination des aubes de turbines : les brûler ou les jeter dans une décharge. Plus de 720 000 tonnes de matériaux d’hélices devront être éliminées au cours des vingt prochaines années. Les aubes de turbines sont généralement fabriquées de verre composite ou de carbone. Contrairement à l’acier et au cuivre, ces matériaux ne sont pas aussi précieux une fois recyclés.

Panneaux solaires

L’énergie solaire est la forme d’énergie renouvelable qui connaît la croissance la plus rapide. Son impact environnemental n’est pas aussi néfaste que les éoliennes et les barrages hydroélectriques. Néanmoins, le matériel finit par s’user et on doit en disposer. De nombreux types de panneaux solaires ne sont pas recyclables. La quantité de panneaux solaires usés pourrait constituer le double du total actuel des déchets plastiques mondiaux d’ici l’an 2050.

Le supplice vert de la Californie

La Californie s’est empressée de remplacer les sources d’énergie à combustibles fossiles par de l’énergie renouvelable en vue du Nouvel Accord Vert. En 2016, le Gouverneur d’alors, Jerry Brown, a signé un projet de loi présenté par une législature d’État dominée par les démocrates exigeant que l’État s’approvisionne à 100 % à l’énergie renouvelable avant 2045.

La Californie a donc abandonné ses formes de production d’énergie plus traditionnelles. Les centrales électriques utilisant le gaz naturel, abondant et fiable, ont été remplacées par des alternatives progressives. D’autres centrales au gaz devraient fermer dans les années à venir, et la Centrale nucléaire de San Onofre a également été fermée.

La Californie est sans doute l’État vert le plus ambitieux de l’Union. Par malheur pour ses résidents, le secteur des énergies renouvelables de Californie a surestimé la quantité qu’il pouvait fournir. On en a eu la flagrante démonstration pendant une longue vague de chaleur. Des pannes de courant déferlantes se sont produites, car la consommation d’énergie dépassait les ressources énergétiques disponibles.

Les autorités affirmèrent que le couvert nuageux entravait la capacité des fermes solaires à produire de l’électricité et que les vents étaient trop calmes pour produire de l’électricité au moyen de leurs turbines. Fait ironique, les médias de gauche attribuent la vague de chaleur et la crise énergétique au « changement climatique ».

Misère partagée du supplice vert

Cette misère partagée se présentera à tous les Américains si les démocrates prennent le contrôle de la Chambre, du Sénat et de la Maison Blanche. Les idéaux progressistes du Nouvel Accord Vert seront un supplice dans lequel nous devrons naviguer au quotidien. Notre pays reculera comme au temps où nous n’avions pas encore l’électricité.

Le Gouverneur Gavin Newson (D) a tragiquement réalisé que l’énergie renouvelable est une chimère. Il a été forcé d’admettre que l’État avait besoin de secours et d’assurance, car les sources d’énergie verte ne sont pas suffisamment fiables. La Californie est une expérience ratée ayant fait la preuve que cette idée progressiste est un Nouveau Supplice Vert.

L’on nous a assignés comme intendants de notre planète. Il nous appartient donc d’user d’un solide jugement et de raison, en ayant toujours conscience de ceux qui sont sous notre domination. Recherchez Son conseil.


Black Lives Matter et son lien occulte

Par Michelle Hallmark Powell

En 2013, trois organisatrices radicales ont créé une volonté politique et un mouvement orientés vers les Noirs, appelé « Black Lives Matter ». Ce sont Alicia Garza, Patrisse Cullors et Opal Tometi.

Pour un peu d’histoire à leur sujet, disons que Patrisse Cullors est allé à sa première manifestation à l’âge de dix-sept ans. Alicia Garza, lesbienne, est membre d’Astraea, organisation LBGTQ. La signification du mot Astraea est « vierge de l’étoile », ce qui, dans la mythologie grecque, était la Déesse grecque.

Les treize principes directeurs de Black Lives Matter

  1. Justice réparatrice – Nous nous engageons à travailler collectivement, avec amour, courage et de manière vigoureuse pour la liberté et la justice envers les Noirs…
  2. Empathie – Nous nous engageons à pratiquer l’empathie : nous nous enjoignons des camarades dans l’intention d’apprendre d’eux et de nous connecter à leur contexte.
  3. Engagement dans l’amour – Nous nous engageons à incarner et à pratiquer la justice, la libération et la paix dans nos engagements les uns envers les autres.
  4. Diversité – Nous nous engageons à reconnaître, à respecter et à célébrer les différences et les points communs.
  5. Globalisme – Nous nous considérons comme faisant partie de la famille noire mondiale et nous sommes conscients des façons diverses qui nous enclavent ou nous privilégient comme Noirs qui existons dans différentes parties du monde.
  6. Affirmation queer – Nous nous engageons à encourager un réseau d’affirmation des queers. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise serrée de la pensée hétéronormative…
  7. Affirmation des transgenres – Nous nous engageons à adopter et à faire de la place aux frères et sœurs transgenres afin qu’ils participent et dirigent…
  8. Valeur collective – Nous sommes guidés par le fait que toutes les vies des Noirs comptent, indépendamment de l’identité sexuelle réelle ou perçue, de l’identité de genre, de l’expression de genre, du statut économique, des capacités, du handicap, des croyances ou de l’incrédulité religieuses et du statut d’immigrant ou du lieu.
  9. Intergénérationnel – Nous nous engageons à encourager un réseau intergénérationnel et communautaire exempt d’âgisme…
  10. Familles noires – Nous nous engageons à démanteler la pratique patriarcale qui exige des mères qu’elles effectuent des « double quarts de travail » qui les obligent à materner en privé alors même qu’elles participent aux travaux de justice.
  11. Villages noirs – Nous nous engageons à rompre les exigences de la structure nucléique familiale prescrite en Occident en nous soutenant les uns les autres en tant que familles élargies et « villages » qui prennent collectivement soin les uns des autres et particulièrement de « nos » enfants dans la mesure où les mères, les parents et les enfants s’y trouvent confortables.
  12. Noirs sans aucune excuse – Nous nous positionnons Noirs sans aucune excuse. En affirmant que « La Vie des Noirs Compte », nous n’avons pas besoin de nuancer notre position…
  13. Femmes noires – Nous nous engageons à bâtir un espace affirmant les femmes noires et qui soit exempt de sexisme, de misogynie et de centralité sur les hommes.

Je trouve assez révélateur qu’il existe treize principes directeurs pour cette organisation. Quand l’on considère le chiffre 13 et sa signification occulte, il est clair que cette secte est plongée dans les arts ténébreux.

L’occulte

Black Lives Matter est un mouvement spirituel, affirme la co-fondatrice Patrisse Cullors. Celle-ci a déclaré, dans une discussion sur le rôle de la spiritualité et de la prière au sein du mouvement Black Lives Matter, lors d’un programme du Musée Fowler de l’UCLA, que la pratique consistant à proclamer les noms des victimes dont ils prennent la défense dans les manifestations et les démonstrations est un moyen d’invoquer leurs esprits. « Il s’agit presque littéralement de ressusciter un esprit pour qu’il puisse œuvrer au travers de nous pour exécuter le travail que nous devons faire, » dit Cullors. Celle-ci touche aux traditions ouest-africaines qui se concentrent sur la mémoire des ancêtres.

Une grande partie du traitement du mouvement Black Lives Matter se concentre uniquement sur ses objectifs politiques et sociaux ; mais ce que les gens ne savent pas, et qui est pourtant à la vue de tous, c’est que Black Lives Matter est un mouvement profondément spirituel et imprégné d’occultisme. Les trois fondatrices et un grand nombre des leaders de chacun des seize chapitres de Black Lives Matter sont de fervents adorateurs de l’ancien paganisme africain qui est enracinée dans la sorcellerie et la divination. Pareil au vaudou où l’on évoque l’esprit des morts. De manière réaliste, nous pouvons les appeler des sorciers invoquant l’anarchie et la révolution par leurs chants scandés.

Scander des chants, c’est dire ou chanter de façon répétitive des mots ou des sons, souvent principalement sur un ou deux tons, ce qu’on appelle des tonalités de récitation. Le chant en cadence est utilisé depuis des siècles comme pratique spirituelle dans les cultures africaine, hawaïenne, amérindienne, assyrienne et d’autres cultures aborigènes. Cela ne vient pas de Dieu.

Les chants consistent en une grande quantité de répétitions de sous-expressions musicales, comme le chant qu’ils utilisent : « Les porcs dans une nappe, faites-les frire comme du bacon ! » Cela sert à inciter la violence contre nos cols bleus. Ils chantent aussi : « Nous sommes prêts ! » « Nous arrivons ! » encore et encore pour rallier leurs disciples à la violence.

La Bible dit, dans Matthieu 6:7 :

« Or quand vous priez, n’usez point de vaines redites, comme font les Païens ; car ils s’imaginent d’être exaucés en parlant beaucoup. »

Dans Éphésiens 5:6 :

« Que personne ne vous séduise par de vains discours, car à cause de ces choses la colère de Dieu vient sur les rebelles. »

Pensons-nous que cette organisation vient de Dieu ? Non, catégoriquement ! Comme chrétiens, il est temps que nous revêtions l’armure complète de Dieu.

En passant, George Soros a fait don à l’organisation de Black Live Matter de 33 millions $ cette année. Cela devrait nous en dire long…

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La Vérité n’est pas notre ennemi

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Août 2020

Par Jerry Barrett

D’Ésaïe à aujourd’hui, la vérité de Dieu ne peut pas être changée

« Que c’est ici un peuple rebelle, des enfants menteurs, des enfants qui ne veulent point écouter la Loi de l’Eternel ; qui ont dit aux Voyants ; ne voyez point ; et à ceux qui voient des visions ; ne voyez point de visions de justice, mais dites-nous des choses agréables, voyez des visions trompeuses. »

Ésaïe 30:9-10

Ceux qui souhaitent être des « dieux sur terre » ne connaissent aucune limites, comme à l’époque d’Ésaïe où les anarchistes ne voulaient pas qu’on leur dise la vérité. Étonnant de voir que les êtres humains n’aient toujours pas changé en des milliers d’années. Ils choisissent de rationaliser une situation en fonction du désir de leur cœur.

Bon nombre se forgent une nouvelle norme en se levant chaque matin, oubliant du coup le chemin qu’ils ont parcouru jusque-là. C’est ce qui leur profitera aujourd’hui qui a la plus grande importance. N’est-il pas incroyable que ce qui est écrit dans l’Ancien Testament survienne encore aujourd’hui ? Dans Psaume 50:16-17, nous lisons ceci :

« Mais Dieu a dit au méchant : qu’as-tu que faire de réciter mes statuts, et de prendre mon alliance en ta bouche ; Vu que tu hais la correction, et que tu as jeté mes paroles derrière toi ? »

À cause de l’abondance de pasteurs et de paroissiens tièdes, la Parole de Dieu a été remplacée par une doctrine diluée. Joël Osteen illustre le mieux cette attitude laodicéenne. En 2012, dans une

Joël Osteen et Oprah Winfrey vantent leurs richesses et leur succès (voir Apocalypse 3:14-17).

entrevue accordée à la nouvel-âgiste Oprah Winfrey, Osteen expliqua que, puisque personne n’est totalement exempt de péché, il pense que les homosexuels seront acceptés au paradis. En 2014, dans une entrevue avec Larry King, Osteen a dit : « Nous ne sommes contre personne. Il y a beaucoup de choses que je ne comprends pas, donc, je ne veux tout simplement pas prêcher là-dessus, prêcher à ce sujet. »

Malheureusement, de nombreux dirigeants « chrétiens » d’aujourd’hui n’enseignent jamais l’Apocalypse. Or, dans Apocalypse 3:14-17, nous voyons :

« Ecris aussi à l’Ange de l’Eglise de Laodicée : l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement de la créature de Dieu, dit ces choses. Je connais tes œuvres, c’est que tu n’es ni froid, ni bouillant; ô si tu étais ou froid, ou bouillant ! Parce donc que tu es tiède, et que tu n’es ni froid, ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Car tu dis : je suis riche, et je suis dans l’abondance, et je n’ai besoin de rien ; mais tu ne connais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu. »

A cause du rapide déclin de l’assistance des églises chrétiennes, ne nous surprenons pas que la société se nourrisse de haine les uns contre les autres. La tolérance et la compréhension sont révolues depuis longtemps. On les a remplacées par des accusations viles et dégoûtantes.

Avec l’avènement du World Wide Web, l’Internet, on a rapidement mis la main sur des outils facilement disponibles en vue de l’amélioration présumée de l’humanité. Comme avec n’importe quel outil, il peut être utilisé pour le bien ou pour le mal. Dans la mythologie grecque, Épiméthée avait en sa possession un pot pour la bonne garde. Lorsque Pandore eut ouvert ce pot, des fléaux non spécifiés s’échappèrent dans le monde. Pandore replaça immédiatement le couvercle sur le pot, mais ce faisant, il ne lui restait plus que l’espoir.

Les êtres malfaisants emploieront tous les outils à leur disposition, et l’Internet ne fait pas exception. La population ne cessant de croître, les outils de notre destruction sont maintenant fabriqués. Facebook, Twitter, Instagram et le reste ont été créés sous apparence inoffensive pour solliciter la participation des masses. Vantés comme moyen de renouer avec des amis perdus depuis longtemps, des membres de la famille dispersés dans le pays, ou simplement pour se glorifier de ses propres réalisations, les médias sociaux se sont avérés un succès soutenu.

À mesure que de plus en plus de gens migraient vers les médias sociaux, il est rapidement apparu aux personnes qui cherchent à perturber la société et à la modeler selon leur utopie personnelle, que ce format était le parfait véhicule. Le marxisme culturel, également connu sous le vocable de rectitude politique (ce qui est politiquement correct) a été le berceau de cet état d’esprit fourvoyé. Qui plus est, la prise de contrôle socialiste de l’enseignement public et des universités étant achevée, un nouveau mouvement est né : la « justice sociale ».

Des « guerriers de la justice sociale » autoproclamés ont commencé à utiliser cette plateforme pour exécuter du changement et infliger des préjudices aux individus qui ne sont pas d’accord. Les normes sociétales ont été déplacées vers la gauche et ceux qui ne s’adaptaient pas correctement furent ciblés.

De nouveaux termes ont été créés pour dénoncer et ridiculiser « l’ancienne » faible mentalité. « Woke » (réveillé) est devenu le cri de ralliement de ceux qui s’étaient éveillés aux injustices infligées à la société, principalement perpétrées par de « vieux blancs morts » – Washington, Jefferson, Adams, Lincoln, etc.

« Révoquer la culture » est le dernier terme imposé à la société. Ceux que l’on juge avoir offensé la sensibilité des « réveillés » doivent être oblitérés comme s’ils se trouvaient dans une rivière pleine de piranhas qui se régalent de la carcasse du contrevenant. Pour la Gestapo du PC, aucun remords ne sera acceptable.

La mort récente de George Floyd a déclenché des troubles civils dans tout le pays. Des protestations de Black Lives Matter se sont transformées en émeutes où des biens ont été détruits, des entreprises ont été volées et la police est devenue la cible. Quiconque a osé dénoncer ce comportement odieux fut mis sur la liste des « oblitérés ».

Voici quelques-uns de ceux qui ont été expulsés :

  • James Bennet était le rédacteur en chef de la page éditoriale du New York Times. M. Bennet publia une lettre ouverte du sénateur Tom Cotton (R-AR) qui en appelait de l’armée américaine pour qu’elle réprime « l’orgie de violence » dans les villes américaines. Des membres du personnel, irrités, ont exigé des mesures menant à la démission forcée de M. Bennet.
  • Le principal rédacteur du Philadelphia Inquirer, Stan Wischnowski, fut contraint de démissionner après avoir publié un titre disant : « Buildings Matter, Too » (Les bâtiments comptent aussi).
  • La personnalité de la télévision canadienne Jessica Mulroney a été accusée par un blogueur d’avoir démontré son « privilège blanc », et son émission a donc été annulée.
  • Le fondateur et propriétaire de The Phantom Gourmet, Dave Adelman, a été forcé de démissionner après s’être moqué des manifestations anti-policières. M. Adelman avait suggéré aux détaillants de Boston d’offrir le « pillage de trottoir, sans contact ».
  • Benji Backer s’est vu annuler un engagement à prendre la parole parce qu’il avait tweeté qu’il y avait un lien entre le Covid-19 et la Chine.
  • Tiffany Riley, directrice d’école publique au Vermont, a été évincée après avoir publié sur les réseaux sociaux : « Je ne pense pas que les gens devraient se sentir obligés de choisir la race noire plutôt que la race humaine. »

James Bennet, Dave Adelman et Tiffany Riley ont tous été visés par la culture d’annulation. La liberté d’expression ne s’applique pas à eux. Vont-ils céder, s’incliner devant leurs nouveaux maîtres et s’excuser ?

Ce ne sont là que quelques victimes de la « Révocation de la culture ». Si on est enclin à le faire, l’on peut passer des heures et des heures à documenter chaque exemple ridicule. Ces « révocations » ne provoquent-elles pas une réflexion sur ce qui s’est passé en Russie bolchevique ?

La Vérité est une arme puissante

La tolérance les uns envers les autres a disparu. Nous ne pouvons plus coexister avec ceux avec qui nous sommes en désaccord. Malheureusement, les paroles de l’apôtre Paul n’arrivent pas à apaiser les foules « réveillées » :

« Christ devient inutile à l’égard de vous tous qui voulez être justifiés par la Loi ; et vous êtes déchus de la grâce. Mais pour nous, nous espérons par l’esprit d’être justifiés par la foi … Je m’assure de vous en notre Seigneur, que vous n’aurez point d’autre sentiment ; mais celui qui vous trouble en portera la condamnation, quel qu’il soit … Car, mes frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne prenez pas une telle liberté pour une occasion de vivre selon la chair ; mais servez-vous l’un l’autre avec charité. Car toute la Loi est accomplie dans cette seule parole : tu aimeras ton Prochain comme toi-même » (Galates 5:4-14).

Aujourd’hui, les pasteurs de Laodicée font la promotion d’une grâce au rabais qui ne peut pas libérer les pécheurs du péché parce qu’il n’y a pas de repentance. Par la grâce de Dieu, les vrais croyants sont transformés. L’apôtre Jean nous dit : « Et la Parole a été faite chair, elle a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, qui a été une gloire, comme la gloire du Fils unique du Père, pleine de grâce et de vérité … Car la Loi a été donnée par Moïse ; la grâce et la vérité est venue par Jésus-Christ » (Jean 1:14-17).

Jésus a dit aux Juifs qui croyaient en Lui que, s’ils persévéraient dans Sa Parole, ils seraient Ses disciples. Jésus a dit : « Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 6:32). En tant que Ses disciples, nous devons continuer à faire briller la lumière de la vérité dans nos communautés. Car en accomplissant ce devoir, nous l’aurons fait !


Par Michelle Hallmark Powell

La Guerre contre la loi et l’ordre

On pense que la police est un concept relativement nouveau. Mais si nous nous tournons vers la Bible, elle parle de gens soumis à une autorité supérieure, comme les magistrats (Tite 3:1-2), les rois (1 Pierre 2:13-17) et les chefs d’état (Romains 13:1-14). Or, en tant que chrétiens, nous savons tous que Jésus-Christ est la plus haute autorité, mais Il a respecté la loi tout au long de Sa vie.

Comme l’humanité ne semble pas en mesure de se policer elle-même, la version moderne de la « police » s’avère une nécessité.

La définition de Police est :

« La force civile d’un gouvernement national ou local, chargée de la prévention et de la détection de la criminalité et du maintien de l’ordre public. »

La première force de police financée par l’état avec des agents en service à plein temps aux États-Unis a été créée à Boston en 1838. Parce que Boston était un grand centre d’expédition, les entreprises avaient embauché des gens pour protéger leurs biens et assurer le transport de leurs marchandises vers d’autres endroits. Avant la police, il appartenait à l’individu de se protéger lui-même ou d’engager des personnes pour ce faire. Quiconque ayant quelque moyen et devant parcourir les routes risquait de tomber sur des bandits de grand chemin. Ils avaient du personnel ménager pour assurer leur protection ou, pour les très fortunés, ils engageaient des mercenaires – la plupart du temps d’anciens soldats. Au fur et à mesure que le capitalisme se développait en Amérique, la nécessité de protéger votre entreprise, votre famille et votre personne devint l’une des principales raisons pour lesquelles la police fut mise en place.

À l’heure actuelle, tous les pays ont une sorte de système d’application de la loi parrainé par le gouvernement, que ce soit la police ou l’armée. Aujourd’hui comme alors, le rôle de la police est de protéger la société contre les scélérats prédateurs. Les gens ont besoin de protection et c’est pourquoi nous habilitons la police à former une barrière entre « eux » et « nous ».

La police : notre seule défense contre eux et le règne de la foule

Alors, que signifie réellement le « règne de la foule » ? Selon Wikipédia, c’est :

« Le contrôle d’une situation politique en dehors du domaine conventionnel ou légal, impliquant généralement la violence et l’intimidation. »

Or, regardons ce qui se passe dans nos chers États-Unis. Il y a un petit contingent qui veut abolir la police. Les contestataires (je les appelle des anarchistes) ont pris le contrôle du quartier Capitol Hill de Seattle. La mairesse, Jenny Durkan, a dit à la police d’abandonner l’arrondissement est et de laisser les manifestants posséder leur territoire. Le gouvernement local et les supporteurs des contestataires ont dit qu’il s’agissait en quelque sorte d’un camp d’été socialiste. Des soirées cinéma sous les étoiles, de la nourriture gratuite, de l’amour et de la paix, une grande fête de quartier – et pas de police.

La police partie, les manifestants ont pris le relais. Ils ont érigé des barrières, des bâtiments peints à la bombe aérosol dans tout le secteur et un nombre incalculable de vols, de viols et de meurtres ont eu lieu. Ils ont nommé la zone CHAZ (Capital Hill Autonomous Zone – « Zone autonome de Capital Hill »). Plus tard, ils l’ont renommée CHOP (Capital Hill Occupation Protest – « Manifestation d’occupation de Capital Hill »).

Enfin, après que la violence ait tourné au tragique avec la mort de deux adolescents, la mairesse Durkan a autorisé la police à démolir les barricades et à éloigner les manifestants. La mairesse a dû comprendre que le règne de la foule est pire que la protection de la police après que cette foule ait fait irruption dans son quartier et ait protesté devant son manoir.

Tout pays de taille un tant soit peu importante et dépourvu de police l’inventerait assez rapidement, merci, ou quelque chose de très similaire. La majorité des gens aux États-Unis préfèrent l’ordre au désordre et veulent des lois qui les protègent, eux et leurs biens. Cela nécessite quelqu’un qui soit prêt à appliquer des lois et cela signifie, bien sûr, une quelconque police.

Il aura fallu la mort de deux adolescents et la foule se présentant dans le quartier de la mairesse Durkan pour démanteler la Zone CHOP.

Donc, un pays sans police serait contrôlé par des lyncheurs. Nous devons conserver notre police parce que même les pires policiers de l’Amérique moderne font preuve de plus de respect envers les procédures d’application de la loi et les droits de l’accusé qu’une bande de lyncheurs peut en démontrer. Comme en font preuve les événements récents, une foule de lyncheurs ne serait pas contrainte par la Constitution. Évidemment, vous risqueriez beaucoup plus d’être lynché si une rumeur – vraie ou fausse – circulerait à l’effet que vous avez commis un méfait. Ils vous pendraient d’abord et poseraient des questions ensuite.

Nous devons soutenir notre police locale et nationale afin de nous assurer que notre pays et nos droits soient protégés et que la loi et l’ordre prévalent.