D.374 – Les Pâques versus la Pâque

paques

Par Joseph Sakala

Chaque année au printemps, des centaines de millions de chrétiens sincères observent un service religieux bien spécial, le dimanche matin, pour célébrer la résurrection de Jésus, notre Sauveur. Néanmoins, au risque de décevoir plusieurs de ceux qui lisent ceci, une des plus grandes tromperies de Satan, c’est de séduire des chrétiens sincères, dans la célébration d’un faux Jésus lors « des Pâques ». Le dimanche des Pâques n’honore pas le véritable Jésus. Alors, est-ce possible d’honorer un faux Christ en croyant honorer le vrai ? Si vous fêtez la résurrection de Jésus au lever du soleil le dimanche de Pâques, vous risquez de fêter ce que la Bible appelle un paganisme abominable. Subséquemment, si vous aimez Jésus, éloignez-vous de cette fête. Il est certain que, pour ressusciter, il a fallu que Jésus meure, mais c’est de cette Fête qu’il faut nous rappeler.

Regardons ensemble cinq failles fatales de la célébration des Pâques :

1.Historiquement, Jésus n’est pas ressuscité le dimanche matin de l’année de Sa mort sur la croix. Vous pouvez le prouver vous-mêmes en vérifiant les écrits d’historiens sérieux qui ont documenté les évènements reliés à la mort de Jésus. Une étude sérieuse des Saintes Écritures nous révèlera que Jésus fut dans la tombe exactement trois jours et trois nuits, tel qu’Il l’a Lui-même prédit. Renier cela équivaut tout simplement à rejeter la seule et unique preuve que Jésus nous a donnée qu’Il était le Messie.

Dans Matthieu 12:38-40, nous lisons : « Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens lui dirent : Maître, nous voudrions te voir faire quelque miracle. [Ces érudits demandaient de voir un seul miracle pour prouver que Jésus était véritablement le Messie.] Mais Lui, répondant, leur dit : Une race méchante et adultère demande un miracle ; mais il ne lui en sera accordé aucun autre que celui du prophète Jonas. Car comme Jonas fut dans le ventre d’un grand poisson trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l’homme sera dans le sein de la terre, trois jours et trois nuits. » Donc, pour prouver qu’Il était le Messie, Jésus mettait toute Sa crédibilité en jeu sur le fait qu’Il serait mort pendant soixante-douze heures (trois jours et trois nuits).

Selon les preuves apportées par des historiens respectés et agréés, dans l’année de la crucifixion de Jésus, notre Seigneur est mort sur la croix le mercredi après-midi vers trois heures, quelques heures à peine avant le début d’un grand Sabbat annuel des Juifs, appelé la Fête de Pains Sans Levain. Selon les historiens, Jésus fut donc descendu de la croix avant le début de ce grand Sabbat et placé dans un sépulcre où Il est demeuré pendant exactement soixante-douze (72) heures. Au bout des trois jours et trois nuits, Jésus est donc ressuscité le samedi soir, juste après la fin du Sabbat hebomadaire.

Faisons le calcul :

Du mercredi au coucher du soleil, jusqu’au coucher du soleil jeudi = un jour et une nuit.

Du jeudi au coucher du soleil, jusqu’au coucher du soleil vendredi = un jour et une nuit. Nous sommes rendus à deux jours et deux nuits.

Du vendredi au coucher du soleil, jusqu’au coucher du soleil samedi = un jour et une nuit. Nous sommes à trois jours et trois nuits, exactement ce que Jésus avait prédit. Et lorsque les femmes sont venues l’embaumer le dimanche matin, l’ange leur a dit que Jésus était déjà ressuscité.

J’ai seulement une question pour les églises qui prétendent que Jésus est mort le vendredi à trois heures de l’après-midi et que Jésus est ressuscité le dimanche matin au lever du soleil. Comment pouvez-vous insérer 72 heures dans cette période ?

Du vendredi au coucher du soleil jusqu’au coucher du soleil samedi = un jour et une nuit.

Du samedi au coucher du soleil jusqu’au dimanche matin au lever du soleil = une nuit. Donc, cela nous donne au total seulement une journée complète et demie, soit 36 heures. Et ces églises prêchent ce mensonge depuis des siècles.

Ceux qui prêchent cela font de Jésus un menteur et, si Jésus est menteur, Il n’est pas le Messie. C’est un sacrilège envers Dieu ! Quelqu’un a dit un jour : Prêchez un mensonge assez longtemps et les gens finiront par l’accepter comme une vérité. Continuons…

2.Les adorations au lever du soleil sont en effet mentionnées dans votre Bible. Mais elles sont également condamnées par Dieu comme étant des abominations païennes. Ces adorations au lever du soleil faisaient partie intégrante de la Religion à Mystères babylonienne dans laquelle les gens adoraient Sémiramis et son fils Tammuz. Sémiramis, l’épouse de Nimrod, a décrété, lors de la naissance de Tammuz, qu’il était Nimrod ressuscité en tant que le messie. Plus tard, Sémiramis elle-même fut adorée comme la déesse Astarté (ou Ishtar), la « Reine du Ciel» originale.

Dans Ézéchiel 8:12-16, nous voyons Dieu instruire le prophète afin de lui montrer les abominations dans lesquelles Israël s’était déjà engagé. « Et il [Dieu] me dit : As-tu vu, fils de l’homme, ce que font les anciens de la maison d’Israël, dans les ténèbres, chacun dans son cabinet d’images ? Car ils disent : L’Éternel ne nous voit point ; l’Éternel a abandonné le pays. Et il me dit : Tu verras encore de plus grandes abominations, qu’ils commettent. Il me conduisit donc à l’entrée de la porte de la maison de l’Éternel, qui est du côté du Nord, [direction biblique du Trône de Dieu], et voici, des femmes assises pleuraient Thammuz [une contrefaçon du Messie]. Et il me dit : As-tu vu, fils de l’homme ? Mais tu verras encore de plus grandes abominations que celles-là. Et il me fit entrer dans le parvis intérieur de la maison de l’Éternel ; et voici, à l’entrée du temple de l’Éternel, entre le portique et l’autel, environ vingt-cinq hommes, qui tournaient le dos au temple de l’Éternel et la face vers l’Orient ; ils se prosternaient devant le soleil, vers l’Orient. » Cette adoration du faux messie s’est poursuivie jusqu’à nos jours sous l’adoration du soleil le dimanche matin des Pâques.

3.La Bible condamne fortement toute pratique païenne, peu importe si la personne prétend garder cette tradition pour « honorer Jésus». « Ainsi a dit l’Éternel : N’apprenez pas les façons de faire des nations [païennes]; et ne craignez pas les signes des cieux, [simplement] parce que les nations les craignent. » N’adorez pas les faux dieux par crainte qu’ils puissent vous faire du tort, nous dit Dieu. Paul exhortait pareillement les Thessaloniciens afin de ne pas suivre les traditions des hommes. « C’est pourquoi, frères, demeurez fermes et retenez les enseignements que nous vous avons donnés, soit de vive voix, soit par notre lettre » (2 Thessaloniciens 2 :15).

4.Prétendre honorer Jésus par des pratiques païennes défie le bon sens ainsi qu’un sain raisonnement. J’aimerais utiliser une analogie pour illustrer mon argument. Supposons que vous sachiez que le mets préféré de votre père, dans les occasions spéciales, est un filet mignon de bœuf avec des pommes de terre pilées mousseline. Mais vous savez aussi qu’il ne digère pas les huîtres. Pourriez-vous prétendre que vous honorez votre père si, lorsque vous l’invitez chez vous pour un repas spécial, vous lui servez toujours des huîtres ? Où serait l’amour envers votre père dans un tel comportement ?

Dans Exode 20:2-6, voici ce que notre Créateur nous commande : « Je suis l’Éternel ton Dieu, tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d’image taillée, ni aucune ressemblance des choses qui sont là-haut dans les cieux, ni ici-bas sur la terre, ni dans les eaux sous la terre ; tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car je suis l’Éternel ton Dieu, un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants, jusqu’à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu’à mille générations à ceux qui m’aiment et qui gardent Mes commandements. »

Certains « chrétiens », prétendant avoir de bonnes intentions, et leurs « ministres et prêtres chrétiens », prétendant également affirmer leur amour envers Jésus, leur Seigneur, rejettent pourtant l’obéissance aux instructions de Dieu tout en trouvant plaisir à « Le servir » par les moyens que Dieu qualifie de révoltants, de païens et d’abominables. À tous ces gens-là, Jésus dit : « Pourquoi donc m’appelez-vous Seigneur, Seigneur, tandis que vous ne faites pas ce que je dis ? » (Luc 6:46).

5.Finalement, dans 1 Corinthiens 6:9-10, Paul dit : « Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point le Royaume de Dieu? Ne vous abusez point ; ni les impurs, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les larrons, ni les avares, ni les ivrognes, ni les médisants, ni les ravisseurs n’hériteront le Royaume de Dieu. » Dieu veut nous voir dans Sa Famille Divine, mais pas en acquérant ces comportements injustes où l’idolâtrie s’y trouve comme une attitude condamnable, pour nous empêcher d’hériter du Royaume de Dieu. Avez-vous noté ce que les injustes n’hériteront pas ? Le Royaume de Dieu. Trouvez-moi un seul verset où Dieu promet que les justes hériteront le Ciel?

Et, dans Apocalypse 22:14-15, Jésus Lui-même nous dit ceci, au sujet de Son Père : « Heureux ceux qui observent Ses commandements, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville ! [la Jérusalem céleste.] Mais dehors seront les impudiques, les fornicateurs, les empoisonneurs, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge. » Encore une fois, l’idolâtrie prime parmi les péchés qui empêcheront ceux qui les pratiquent volontairement de faire partie du Royaume de Dieu.

Donc, rappelez-vous toujours que la Pâque est une Fête divine par laquelle nous nous souvenons de la mort de Jésus qui, n’ayant jamais commis le péché, a été fait péché à notre place, afin de verser Son sang Pur et Sans Tache, pour payer la rançon des péchés de l’humanité entière. Tandis que les Pâques commémorent la résurrection d’un messie païen du nom de Tammuz, fils de Nimrod et de Sémiramis de l’ancienne Babylone. Les Pâques sont ainsi une fête païenne, même si les gens bien intentionnés prétendent l’observer pour honorer le Seigneur Jésus. Dieu ne nous commande nulle part dans les Écritures de transformer les cultes païens en cultes chrétiens, en Son honneur.

Je crois en Jésus-Christ ressuscité, Fils de Dieu, Sauveur de l’humanité. Je crois qu’après Sa crucifixion, après avoir pris la Pâque avec Ses apôtres, Il fut trois jours et trois nuits dans le sein de la terre, comme Il l’a Lui-même prophétisé. Je crois qu’Il fut ensuite ressuscité par son Père et restauré dans la gloire qu’Il avait avec Son Père, avant que le monde fût. Il était l’Agneau parfait pour la Pâque. Il est également devenu l’offrande parfaite de la gerbe, acceptée par Son Père comme le Premier des prémices. Dans Sa résurrection, je vois une confirmation de la promesse faite à tous ceux qui ont vraiment consenti à Le suivre, afin qu’eux aussi soient un jour ressuscités pour vivre éternellement, comme Jésus maintenant.

Par conséquent, nous ne fêtons pas les Pâques. Comment peut-on faire une telle déclaration ? Cette fête ne peut avoir de sens pour ceux qui prennent pour acquis que les Pâques sont une célébration de la mort de Jésus-Christ. Nous avons déjà établi que c’est la résurrection de Tammuz qui est célébrée. N’importe quelle étude historique sérieuse de la fête des Pâques et de la cabale qui l’entoure nous révèlerait clairement que l’observance des Pâques est d’origine païenne et fut introduite il y a longtemps dans le culte « chrétien ». Même certains nouveaux convertis ont cherché à s’accrocher à leurs pratiques anciennes, tandis que, à cause de cela, les chrétiens établis ont « combattu pour la foi transmise une seule fois » dès les débuts de l’Église.

La plupart de ceux qui se disent aujourd’hui « chrétiens » ne sont vraiment pas conscients de la façon que le « christianisme » actuel a « évolué » au cours des siècles, même dans les premiers temps de son existence. Dès le premier siècle, Jude mettait les chrétiens en garde. « Bien-aimés, [étant] plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j’ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints. Car il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps ; des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient Dieu, le seul Dominateur, et Jésus-Christ, notre Seigneur » (Jude 1:3-4).

Par exemple, nous pourrions parler des anciens, comme Polycarpe et Anicet, de Polycrate et Victor, et la façon dont les églises de l’Orient se sont efforcées de maintenir la pratique des premiers apôtres dans l’observance de la Pâque. Polycrate a écrit à propos des apôtres Philippe, Jean et d’autres qui ont toujours observé le jour où Jésus avait pris la Pâque avec Ses disciples avant d’être arrêté et injustement condamné à mourir, par opposition à la corruption de Rome et d’autres qui voulaient faire bifurquer la doctrine chrétienne vers la pratique païenne. Toute cette histoire est bien sûr une lecture fascinante pour les intéressés.

Mais l’histoire n’est pas l’Écriture. C’est la Bible, par la Parole de Jésus-Christ, qui nous oblige à ne pas garder les Pâques. Mon esprit humain peut se donner beaucoup de raisons pour ignorer la Bible et pour incliner les Écritures selon ma connaissance. Cependant, Dieu a beaucoup à dire à ce sujet : « Le cœur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin ; qui le connaîtra ? Moi, l’Éternel, je sonde le cœur, et j’éprouve les reins ; et cela pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses actions » (Jérémie 17:9-10). Vers la fin de l’Apocalypse, Jésus aussi nous dit : « Or, voici, je viens bientôt, et j’ai Mon salaire avec moi, pour rendre à chacun selon que ses œuvres auront été » (Apocalypse 22:12).

Donc, toutes les évocations humaines entendues des autres personnes ou à partir de nos inventions sont toujours enracinées dans la raison humaine, fondamentalement défectueuse, qui contredit en fin de compte la Parole de Dieu. Et l’Écriture m’interpelle : « les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles, mais puissantes en Dieu, pour renverser les forteresses, en baissant les raisonnements et toute hauteur qui exalte lui-même, contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l’obéissance de Christ » (2 Corinthiens 10:4-5). Alors, nous ne pouvons pas honorer Christ en Lui désobéissant.

Si vous êtes intéressés à examiner quelques-uns des éléments païens qui sont associés à la tenue des Pâques, la Bible contient assez de références pour vous convaincre que les Pâques sont manifestement d’origine païenne. Du point de vue de la Bible, le choix est simple. Jésus-Christ nous dit de ne pas violer les lois de Dieu ni les commandements en faveur des traditions et des coutumes du monde, peu importe la « sincérité religieuse » évoquée dans l’observance de ces traditions. Aux pharisiens, Jésus a déclaré : « Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé à votre sujet, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres ; mais leur cœur est bien éloigné de moi. Mais c’est en vain qu’ils m’honorent, enseignant des doctrines qui sont des commandements d’hommes. Car, en abandonnant le commandement de Dieu, vous observez la tradition des hommes, lavant les pots et les coupes, et faisant beaucoup d’autres choses semblables. Il leur dit aussi : Vous annulez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7:6-9).

Dieu ne veut pas que nous adoptions les coutumes païennes en prétendant que nous le faisons pour L’adorer. Avant de faire entrer Israël dans la terre promise, Dieu lui a dit : « Quand l’Éternel ton Dieu aura exterminé de devant toi les nations, vers lesquelles tu vas pour les déposséder, et que tu les auras dépossédées, et que tu habiteras dans leur pays, prends garde à toi, de peur que tu ne tombes dans le piège en les suivant, quand elles auront été détruites de devant toi, et que tu ne recherches leurs dieux, en disant : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux, [afin] que je fasse de même, moi aussi ? Tu n’agiras point ainsi à l’égard de l’Éternel ton Dieu ; car elles ont fait à leurs dieux tout ce qui est en abomination à l’Éternel, et qu’il déteste ; et même elles ont brûlé au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. Vous aurez soin de faire tout ce que Je vous commande : Tu n’y ajouteras rien, et tu n’en retrancheras rien » (Deutéronome 12:29-31).

Dans Jérémie 10:1-2, nous lisons : « Écoutez la parole que l’Éternel a prononcée pour vous, maison d’Israël. Ainsi a dit l’Éternel : N’apprenez pas les façons de faire des nations ; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent. » Ainsi, il peut sembler contradictoire de ne pas observer les mêmes fêtes populaires « chrétiennes » que nos amis, dans leur culture et leurs pratiques, mais je ne vois pas d’alternative. Je crois fermement dans le Christ ressuscité, ainsi qu’en la puissance et la vérité de Sa résurrection, et non pas dans celle d’un messie païen. Et croire en Jésus-Christ comme étant le Seigneur, c’est croire en Ses enseignements, c’est vouloir Le suivre et chercher à Lui obéir. Par conséquent, je ne garde pas les Pâques. Croire en Dieu ne veut pas simplement dire croire que Dieu existe, mais davantage ce que Dieu dit !

Nous croyons à la résurrection de Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu et le Sauveur de l’humanité. Nous croyons qu’après Sa crucifixion, le jour de la Pâque, Il passa trois jours et trois nuits dans un sépulcre, comme Il l’a Lui-même prédit. Nous croyons que Son Père L’a ressuscité au bout de ces soixante-douze heures afin de Le restaurer dans la gloire qu’Il avait avec Son Père avant que le monde fut. Il était l’Agneau parfait de la Pâque, mort en rançon pour payer le prix de nos péchés, alors que Lui-même n’avait jamais péché. Il était l’offrande parfaite qui fut agréée par Son Père comme le premier-né parmi les morts.

En Sa résurrection, nous voyons la confirmation évidente de la promesse faite par Jésus à tous ceux qui sont devenus Ses véritables disciples, qu’eux aussi seront ressuscités à l’immortalité, c’est-à-dire, pour vivre éternellement, comme Lui vit présentement. Par conséquent, nous ne célébrons pas les Pâques. Or, comment pouvons-nous faire une telle déclaration ? Cela n’a aucun sens pour ceux qui célèbrent les Pâques, prenant pour acquis qu’ils fêtent la résurrection de Jésus le dimanche des Pâques. Cependant, une simple étude historique non biaisée de la fête des Pâques et des coutumes qui y sont attachées nous indique clairement que l’observation des Pâques est d’origine païenne. Cette tradition païenne fut introduite, il y a des siècles, dans l’adoration « chrétienne » quand les nouveaux « convertis » insistèrent pour garder leurs vieilles traditions.

Le problème a débuté dès le premier siècle, alors que Satan tentait déjà de détruire l’Église que Jésus avait fondée en y faisant pénétrer ses disciples pour qu’ils séduisent les véritables chrétiens. Dans Jude 1:3-4, l’apôtre met les convertis en garde contre cette situation en déclarant : « Bien-aimés, plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j’ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints. Car il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps ; des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient Dieu, le seul Dominateur, et Jésus-Christ, notre Seigneur. »

Saviez-vous que la plupart des gens qui se disent « chrétiens » ne sont pas du tout au courant de « l’évolution » du christianisme tout au long des siècles, même dans ses débuts au premier siècle, comme nous venons de voir dans l’épître de Jude ? Comme exemple, nous pourrions parler du comportement de Polycarpe, de Polycrate et de Victor, parmi les premiers convertis, et comment les Congrégations de l’orient insistaient sur le maintien de la pratique des apôtres à observer la Pâque telle que Jésus l’avait établie avec Ses disciples avant Sa mort sur la croix pour nous.

Les pharisiens demandaient un miracle à Jésus pour leur prouver qu’Il était le Messie. La seule preuve que Jésus leur donna était qu’Il passerait trois jours et trois nuits dans le tombeau, tout comme Jonas avait passé trois jours et trois nuits dans le ventre d’un gros poisson. Consultez votre congrégation et demandez à votre curé ou à votre pasteur ou encore au ministre de votre église comment on peut calculer trois jours et trois nuits ou soixante-douze heures entre vendredi après-midi, vers trois heures et dimanche matin au lever du soleil. Or, Jésus avait bien spécifiquement prédit trois jours et trois nuits pleins. Soit que nous acceptions cela comme vérité, soit nous faisons de Jésus un menteur. Un jour, tous ces enseignants devront s’expliquer devant Jésus lors de Son Avènement pour établir Son Royaume ici-bas.

Le « christianisme institutionnalisé » des temps modernes contient un grand nombre de doctrines pleines de traditions païennes alors que les différents groupes ont injecté dans les doctrines des pratiques religieuses purement païennes. L’histoire de toutes ces corruptions peut produire une lecture assez intéressante. Mais, comme nous l’avons dit plus haut, l’histoire n’est pas l’Écriture. Alors, c’est la Bible et la Parole de Jésus qui nous incitent et nous encouragent à ne pas observer les Pâques. L’esprit humain peut inventer toutes sortes de raisons pour ignorer la Bible et rejeter simplement les Écritures. Mais Dieu nous dit ceci, dans Jérémie 17:9-10 : « Le cœur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin ; qui le connaîtra ? Moi, l’Éternel, je sonde le cœur, et j’éprouve les reins ; et cela pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses actions. »

Pourtant, chaque argument que nous écoutons de la part des « érudits » est fondamentalement enraciné dans un raisonnement humain fautif qui voudrait contredire la Parole de Dieu. Alors, doit-on rejeter la Parole de Dieu et accepter comme vérité la parole d’un homme ? « Nullement ! Mais que Dieu soit reconnu véritable, et tout homme menteur, selon qu’il est écrit : Afin que tu sois trouvé juste dans tes paroles, et que tu gagnes ta cause lorsqu’on te juge » (Romains 3:4). Non, il est impossible d’honorer Christ en Lui désobéissant. Le comportement du véritable converti doit toujours être axé sur l’évangélisation de la vérité dans un but unique. C’est : « Pour détruire les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et pour amener toute pensée captive à l’obéissance de Christ ; et nous sommes prêts à punir toute désobéissance, lorsque votre obéissance sera complète » (2 Corinthiens 10:5-6).

Ce passage biblique nous rappelle que les armes de notre guerre ne sont pas charnelles, mais ancrées en Dieu qui peut détruire toute forteresse et ses arguments contre la vérité divine. Les lapins de Pâques qui pondent des œufs n’ont absolument aucun sens et n’ont rien à voir avec la mort et la résurrection de notre Sauveur Jésus. Les poulets en chocolat non plus ! Cependant, ils ont tout à voir avec d’anciens cultes remontant à la Religion à Mystères de Babylone ; ce qui fait que les Pâques sont clairement d’origine païenne. Selon la perspective biblique, notre choix est simple. Jésus a dit de ne jamais profaner les lois et les commandements en préférant les traditions humaines, peu importe la sincérité avec laquelle les gens « religieux » tentent de nous les faire accepter. Tout chrétien comprend que le pratiquant hindouiste peut être sincère dans son culte au panthéon de l’hindouisme, mais le chrétien sait que ce culte est païen. Il en est de même avec le paganisme au sein même de la chrétienté, ce qui est toutefois plus difficile à avaler pour le « chrétien ».

Aux pharisiens et aux scribes qui tentaient continuellement de prendre Jésus en défaut : « Il leur répondit : Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé à votre sujet, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres ; mais leur cœur est bien éloigné de moi. Mais c’est en vain qu’ils m’honorent, enseignant des doctrines qui sont des commandements d’hommes. Car, en abandonnant le commandement de Dieu, vous observez la tradition des hommes, lavant les pots et les coupes, et faisant beaucoup d’autres choses semblables. Il leur dit aussi : Vous annulez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7:6-9). Voilà ce que ces Rabbins enseignaient au peuple : leur Talmud au lieu de la Torah ! Dieu ne veut pas voir Son peuple L’adorer en utilisant des coutumes païennes pour le faire.

À l’époque d’Ésaïe, le prophète s’adressait à un peuple qui possédait la religion de Dieu et qui croyait adorer Dieu. Pensez-vous que l’histoire ne peut se répéter ? Aujourd’hui, la chrétienté est remplie de gens qui possèdent la Parole de Dieu, disent adorer le Dieu de la Bible et qui, pourtant, ne le font que des lèvres en abandonnant le commandement de Dieu !

Avant que le peuple d’Israël n’entre dans la terre promise, Dieu lui dit : « Garde et écoute toutes ces choses que Je te commande, afin que tu sois heureux, toi et tes enfants après toi, à jamais, parce que tu feras ce qui est bon et droit aux yeux de l’Éternel ton Dieu. Quand l’Éternel ton Dieu aura exterminé de devant toi les nations, vers lesquelles tu vas pour les déposséder, et que tu les auras dépossédées, et que tu habiteras dans leur pays, prends garde à toi, de peur que tu ne tombes dans le piège en les suivant, quand elles auront été détruites de devant toi, et que tu ne recherches leurs dieux, en disant : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? que je fasse de même, moi aussi. Tu n’agiras point ainsi à l’égard de l’Éternel ton Dieu ; car elles ont fait à leurs dieux tout ce qui est en abomination à l’Éternel, et qu’il déteste ; et même elles ont brûlé au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. Vous aurez soin de faire tout ce que je vous commande : Tu n’y ajouteras rien, et tu n’en retrancheras rien » (Deutéronome 12:28-32).

Pourquoi le peuple d’Israël semblait-il si fasciné par les dieux païens ? Pourquoi n’arrivait-il pas à demeurer fidèle au seul véritable Dieu ? Se pourrait-il que c’était parce que les hommes peuvent façonner les dieux à leur guise, mais qu’ils ne peuvent façonner Dieu selon leur volonté ? Quand les « pères de l’église » (catholique) ont introduit des rites païens dans le christianisme, n’était-ce pas une tentative de refaçonner la religion de Dieu à leur guise ?

Dans Jérémie 10:1-2, le prophète leur déclare : « Écoutez la parole que l’Éternel a prononcée pour vous, maison d’Israël. Ainsi a dit l’Éternel : N’apprenez pas les façons de faire des nations ; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent. » Alors, il semblerait contradictoire de prêcher cela à une société « chrétienne » (en culture et en pratique), mais je n’ai aucune alternative. Je crois au Christ ressuscité et en la puissance de la vérité dans Sa résurrection. Et, afin de croire au Christ et à Ses enseignements, et désirer Le suivre en toute vérité, je ne garderai pas les Pâques (Easter IshtarAstartéSémiramis).

Le plan magistral de Dieu est de Se former une Famille Divine composée de milliards d’enfants immortels avec lesquels Dieu désire intensément partager Son univers entier comme un héritage éternel, sous la gouvernance du Roi des rois, notre Maître et Sauveur Jésus-Christ durant toute l’éternité. Pour y participer, Dieu nous demande simplement et volontairement d’observer fidèlement Ses Lois et Ses Commandements. Voilà ma prière pour tous ceux qui lisent ce message.




D.324 – Nous ne fêtons pas les Pâques

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Par Joseph Sakala

Nous croyons à la résurrection de Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu et le Sauveur de l’humanité. Nous croyons qu’après Sa crucifixion, le jour de la Pâque, il passa trois jours et trois nuits dans un sépulcre, comme Il l’a Lui-même prédit. Nous croyons que Son Père L’a ressuscité au bout de ces 72 heures afin de Le restaurer à la gloire qu’Il avait avec Son Père avant que le monde fut. Il était l’Agneau parfait de la Pâque, mort en rançon pour payer le prix de nos péchés, alors que Lui-même n’avait jamais péché. Il était l’offrande parfaite qui fut agréée par Son Père comme le premier-né parmi les morts.

En Sa résurrection, nous voyons la confirmation évidente de la promesse, faite par Jésus à tous ceux qui sont devenus Ses véritables disciples, qu’eux aussi seront ressuscités à l’immortalité pour vivre éternellement, comme Lui présentement. Par conséquent, nous ne célébrons pas les Pâques. Or, comment pouvons-nous faire une telle déclaration ? Cela n’a aucun sens pour ceux qui célèbrent les Pâques, prenant pour acquis qu’ils fêtent la résurrection de Jésus le dimanche des Pâques. Cependant une simple étude historique non biaisée de la fête des Pâques et des coutumes qui y sont attachées nous indique clairement que l’observation des Pâques est d’origine païenne. Cette tradition païenne fut introduite, il y a des siècles, dans l’adoration « chrétienne » quand les nouveaux « convertis » insistèrent pour garder leurs vieilles traditions.

Le problème a débuté dès le premier siècle, alors que Satan tentait déjà de détruire l’Église que Jésus avait fondée en y faisant pénétrer ses disciples pour qu’ils séduisent les véritables chrétiens. Dans Jude 1:3-4, l’apôtre met les convertis en garde contre cette situation en déclarant : « Bien-aimés, plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j’ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints. Car il s’est glissé parmi vous certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps ; des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution, et qui renient Dieu, le seul Dominateur, et Jésus-Christ, notre Seigneur. »

Saviez-vous que la plupart des gens qui se disent « chrétiens » ne sont pas du tout au courant de « l’évolution » du christianisme tout au long des siècles, même dans ses débuts au premier siècle, comme nous venons de voir dans l’épître de Jude ? Comme exemple, nous pourrions parler du comportement de Polycarpe, de Polycrate et de Victor, parmi les premiers convertis, et comment les Congrégations de l’orient insistaient sur le maintien de la pratique des apôtres à observer la Pâque telle que Jésus l’avait établie avec Ses disciples avant Sa mort sur la croix pour nous.

Les pharisiens demandaient un miracle à Jésus pour leur prouver qu’Il était le Messie. La seule preuve que Jésus leur donna était qu’Il passerait trois jours et trois nuits dans le tombeau, tout comme Jonas avait passé trois jours et trois nuits dans le ventre d’un gros poisson. Consultez votre congrégation et demandez à votre curé ou à votre pasteur ou encore au ministre de votre église comment on peut calculer trois jours et trois nuits ou soixante-douze heures entre vendredi après-midi, vers trois heures et dimanche matin au lever du soleil. Or, Jésus avait bien spécifiquement prédit trois jours et trois nuits pleins. Soit que nous acceptions cela comme vérité, soit nous faisons de Jésus un menteur. Un jour, tous ces enseignants devront s’expliquer devant Jésus lors de Son Avènement pour établir Son Royaume ici-bas.

Le « christianisme institutionnalisé » de nos jours contient un grand nombre de doctrines pleines de traditions païennes alors que les différents groupes ont injecté dans les doctrines chrétiennes des pratiques purement païennes. L’histoire de toutes ces corruptions peut produire une lecture assez intéressante. Mais l’histoire n’est pas l’Écriture. Alors, c’est la Bible et la Parole de Jésus qui nous incitent et nous encouragent à ne pas observer les Pâques. L’esprit humain peut inventer toutes sortes de raisons pour ignorer la Bible et rejeter simplement les Écritures. Mais Dieu nous dit ceci, dans Jérémie 17:9-10 : « Le cœur est trompeur par-dessus tout, et désespérément malin ; qui le connaîtra ? Moi, l’Éternel, je sonde le cœur, et j’éprouve les reins ; et cela pour rendre à chacun selon ses voies, selon le fruit de ses actions. »

Pourtant, chaque argument que nous écoutons de la part des « érudits » est fondamentalement enraciné dans un raisonnement humain fautif qui voudrait contredire la Parole de Dieu. Alors, doit-on rejeter la Parole de Dieu et accepter comme vérité la parole d’un homme ? « Nullement ! Mais que Dieu soit reconnu véritable, et tout homme menteur, selon qu’il est écrit : Afin que tu sois trouvé juste dans tes paroles, et que tu gagnes ta cause lorsqu’on te juge » (Romains 3:4). Il est impossible d’honorer Christ en Lui désobéissant. Le comportement du véritable converti doit toujours être axé sur l’évangélisation de la vérité dans un but unique. C’est : « Pour détruire les raisonnements et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et pour amener toute pensée captive à l’obéissance de Christ ; et nous sommes prêts à punir toute désobéissance, lorsque votre obéissance sera complète » (2 Corinthiens 10:5-6).

Ce passage biblique nous rappelle que les armes de notre guerre ne sont pas charnelles, mais ancrées en Dieu qui peut détruire toute forteresse et ses arguments contre la vérité divine. Les lapins de Pâques qui pondent des œufs n’ont absolument aucun sens et n’ont rien à voir avec la mort et la résurrection de notre Sauveur Jésus. Les poulets en chocolat non plus ! Cependant, ils ont tout à voir avec d’anciens cultes remontant à la Religion à Mystères de Babylone ; ce qui fait que les pâques sont clairement d’origine païenne. Selon la perspective biblique, notre choix est simple. Jésus a dit de ne jamais profaner les lois et les commandements en préférant les traditions humaines, peu importe la sincérité avec laquelle les gens « religieux » tentent de nous les faire accepter. Tout chrétien comprend que le pratiquant hindouiste peut être sincère dans son culte au panthéon de l’hindouisme, mais le chrétien sait que ce culte est païen. Il en est de même avec le paganisme au sein même de la chrétienté, ce qui est toutefois plus difficile à avaler pour le « chrétien ».

Aux pharisiens et aux scribes qui tentaient continuellement de prendre Jésus en défaut : « Il leur répondit : Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé à votre sujet, quand il a dit : Ce peuple m’honore des lèvres ; mais leur cœur est bien éloigné de moi. Mais c’est en vain qu’ils m’honorent, enseignant des doctrines qui sont des commandements d’hommes. Car, en abandonnant le commandement de Dieu, vous observez la tradition des hommes, lavant les pots et les coupes, et faisant beaucoup d’autres choses semblables. Il leur dit aussi : Vous annulez fort bien le commandement de Dieu, pour garder votre tradition » (Marc 7:6-9). Voilà ce que ces Rabbins enseignaient au peuple : leur Talmud au lieu de la Torah ! Dieu ne veut pas voir Son peuple L’adorer en utilisant des coutumes païennes pour le faire.

À l’époque d’Ésaïe, le prophète s’adressait à un peuple qui possédait la religion de Dieu et qui croyait adorer Dieu. Pensez-vous que l’histoire ne peut se répéter ? Aujourd’hui, la chrétienté est remplie de gens qui possèdent la Parole de Dieu, disent adorer le Dieu de la Bible et qui, pourtant, ne le font que des lèvres en abandonnant le commandement de Dieu !

Avant que le peuple d’Israël n’entre dans la terre promise, Dieu lui dit : « Garde et écoute toutes ces choses que Je te commande, afin que tu sois heureux, toi et tes enfants après toi, à jamais, parce que tu feras ce qui est bon et droit aux yeux de l’Éternel ton Dieu. Quand l’Éternel ton Dieu aura exterminé de devant toi les nations, vers lesquelles tu vas pour les déposséder, et que tu les auras dépossédées, et que tu habiteras dans leur pays, prends garde à toi, de peur que tu ne tombes dans le piège en les suivant, quand elles auront été détruites de devant toi, et que tu ne recherches leurs dieux, en disant : Comment ces nations servaient-elles leurs dieux ? que je fasse de même, moi aussi. Tu n’agiras point ainsi à l’égard de l’Éternel ton Dieu ; car elles ont fait à leurs dieux tout ce qui est en abomination à l’Éternel, et qu’il déteste ; et même elles ont brûlé au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. Vous aurez soin de faire tout ce que je vous commande : Tu n’y ajouteras rien, et tu n’en retrancheras rien » (Deutéronome 12:28-32).

Pourquoi le peuple d’Israël semblait-il si fasciné par les dieux païens ? Pourquoi n’arrivait-il pas à demeurer fidèle au seul véritable Dieu ? Se pourrait-il que c’était parce que les hommes peuvent façonner les dieux à leur guise, mais qu’ils ne peuvent façonner Dieu selon leur volonté ? Quand les « pères de l’église » (catholique) ont introduit des rites païens dans le christianisme, n’était-ce pas une tentative de refaçonner la religion de Dieu à leur guise ?

Dans Jérémie 10:1-2, le prophète leur déclare : « Écoutez la parole que l’Éternel a prononcée pour vous, maison d’Israël. Ainsi a dit l’Éternel : N’apprenez pas les façons de faire des nations ; et ne craignez pas les signes des cieux, parce que les nations les craignent. » Alors, il semblerait contradictoire de prêcher cela à une société « chrétienne » (en culture et en pratique), mais je n’ai aucune alternative. Je crois au Christ ressuscité et en la puissance de la vérité dans Sa résurrection. Et, afin de croire au Christ et à Ses enseignements, et désirer de le suivre en toute vérité, je ne garderai jamais les Pâques (Easter).