Histoire de la Maison Rothschild

rense.com

Par Andrew Hitchcock

31 octobre 2009

Les Rothschild ont le contrôle sur le monde depuis très longtemps, alors que leurs tentacules s’étendent sur de nombreux aspects de notre vie quotidienne, comme le documente la chronologie qui suit. Toutefois, avant que vous plongiez dans cette chronologie, veuillez lire cette introduction inestimable qui vous dira qui sont les Rothschild par opposition à ce qu’ils déclarent être. Les Rothschild disent être des Juifs, alors qu’en fait ce sont des Khazars. Ils proviennent d’une contr appelée la Khazarie qui occupait un territoire enfermé entre la Mer Noire et la Mer Caspienne maintenant occupé en prédominance par la Géorgie. La raison pour laquelle les Rothschild déclarent être juifs, c’est que, sous les instructions du roi, les Khazars se sont convertis à la foi juive en l’an 740 après J.-C., mais évidemment, cela ne veut pas dire qu’ils ont converti leurs gènes mongoloïdes asiatiques en gènes du peuple juif.

Vous alles voir qu’environ 90 % des gens dans le monde d’aujourd’hui qui se nomment Juifs sont en fait des Khazars, ou, comme ils aiment à se faire appeler, des Juifs ashkénazes. Ces gens-là mentent consciemment au monde avec leur mensonge que le territoire d’Israël est à eux par droit de naissance, alors qu’en réalité leur vraie patrie est à plus de 800 milles en Géorgie.

Donc, la prochaine fois que vous entendrez un Premier Ministre israélien se lamenter au sujet de la prétendue persécution des Juifs, prenez ceci en considération : tous et chacun des Premiers Ministres d’Israël ont été des Juifs ashkénazes. Par conséquent, quand tous ces Premiers Ministres ont cherché à gagner la faveur de l’Occident pour le rétablissement d’une patrie juive, ils vous ont consciemment et délibérément menti, parce qu’ils ne sont jamais provenus de cette région et le savent fort bien, car ce sont eux qui se nomment eux-mêmes des Juifs ashkénazes.

Le Livre de l’Apocalypse, au chapitre 2, verset 9, décalre ce qui suit et qui semble s’appliquer aux Juifs ashkénazes :

« Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, et qui ne le sont point, mais qui sont la Synagogue de Satan. »

La lignée la plus fortunée du monde, sans exception, et leader des Juifs ashkénazes mondiaux d’aujourd’hui est la famille Rothschild. Comme vous le verrez dans la chronologie, les Rothschild ont acquis cette position par le mensonge, la manipulation et le meurtre. Leur lignée s’étend également aux familles royales d’Europe et aux noms de famille suivants : Astor ; Bundy ; Collins ; DuPont ; Freeman ; Kennedy ; Morgan ; Oppenheimer ; Rockefeller ; Sassoon ; Schiff ; Taft et Van Duyn. Cependant, ce ne sont pas les seules lignées à craindre. Vous êtes probablement au courant de la vieille pratique centenaire entreprise par de nombreux Juifs ashkénazes par laquelle ils ont changé leur nom dans le but de sembler faire partie de la race dominante du pays dans lequel ils vivent afin de pouvoir obtenir les postes d’influence dans ce pays qu’ils exploitent ensuite pour servir leurs vrais maîtres d’ailleurs. Il y a une abondance de preuves montrant que les Rothschild poursuivent cette tradition trompeuse.

En outre, les Rothschild sont reconnus pour engendrer de nombreux enfants secrètement, lesquels ils peuvent installer dans des postes de pouvoir lorsque requis. Cela a débuté avec le tout premier ayant pris le nom de Rothschild et qui avait un sixième fils secret. Finalement, rappelez-vous que le monde est un endroit diversifié : je pourrais, si je le voulais, changer mon nom en Rothschild ou n’importe quel nom cité plus haut, et cela ne ferait pas plus de moi un membre de cette famille que de se convertir au judaïsme en l’an 740 après J.-C. rendit Juifs ces Ashkénazes.

En conséquence, s’il vous plaît, n’assumez pas automatiquement que quelqu’un que vous voyez porter le nom de Rothschild ou les noms listés ci-haut fait partie du réseau criminel Rothschild. En plus, chose encore plus importante, la majorité des Juifs ashkénazes sont innocents et ne font pas partie de ce réseau. Vérifiez d’abord les faits vous-mêmes. Cet article est destiné à informer les gens sur l’identité de l’ennemi, pas de distinguer une race en particulier ou des gens avec un nom en particulier, mais qui n’ont probablement rien à voir avec ce réseau criminel Rothschild.

1743 : Mayer Amschel Bauer, Juif ashkénaze, naît à Frankfurt, en Allemagne, fils de Moïse Amschel Bauer, prêteur d’argent et propriétaire d’une maison comptable.

Moïse Amschel Bauer installa une enseigne rouge au-dessus de la porte d’entrée de sa maison comptable. Cette enseigne était un hexagramme rouge (qui, dans sa géométrie et de manière numérique, se traduisait par le nombre 666) et, sous les instructions de Rothschild, se retrouva sur le drapeau israélien quelque deux cent ans plus tard.

1753 :GutleSchnaper, Juive ashkénaze (future épouse de Mayer Amschel Bauer) naît du marchand respecté Wolf Salomon Schnaper.

1760 : Pendant cette décennie, Mayer Amschel Bauer travaille pour une banque appartenant aux Oppenheimer d’Hanover, en Allemagne. Il remporte beaucoup de succès et devient partenaire junior. Au cours de son travail à la banque, il fait la connaissance du Général von Estorff.

Suite à la mort de son père, Bauer retourne à Frankfurt pour reprendre les affaires de son père. Bauer reconnaît la signification de l’hexagramme rouge et change son nom de Bauer à Rothschild d’après l’hexagramme rouge ou l’enseigne signifiant un 666 pendu au-dessus de la porte d’entrée (« Rot » est le mot allemand pour « rouge » et « Schild » est le mot allemand pour « enseigne »).

Devenu maintenant Mayer Amschel Rothschild, il découvre que le Général von Estorff est attaché à la cour du Prince William IX de Hesse-Hanau, une des maisons royales les plus riches d’Europe qui fit fortune en louant les services de soldats hessiens à des pays étrangers pour de gros profits (pratique qui se poursuit aujourd’hui sous forme d’exportation de soldats « de la paix » partout dans le monde).

Il reprend donc contact avec le Général sous le prétexte de lui vendre des pièces de monnaie et des breloques de grande valeur à des prix de rabais. Comme il l’a planifié, Rothschild est subséquemment présenté au Prince William lui-même qui est plus qu’heureux des prix à rabais qu’il charge pour ses pièces de monnaie et ses breloques rares, et Rothschild lui offre un bonus pour toute autre affaire vers laquelle le Prince peut le diriger.

Par la suite, Rothschild devient un proche associé du Prince William et finit par faire des affaires avec lui et avec des membres de sa cour. Il découvre bientôt que prêter de l’argent aux gouvernements et aux royautés est plus profitable que de prêter de l’argent à des individus, puisque les prêts sont plus gros et sont sécurisés par les taxes du pays.

1769 : Mayer Amschel Rothschild reçoit la permission du Prince William de pendre une enseigne sur la devanture de ses locaux d’affaires disant qu’il est « M. A. Rothschild, agent fournisseur de la cour de son altesse sérénissime, le Prince William de Hanau ».

1770 : Mayer Amschel Rothschild dresse des plans pour la création des Illuminati et fait confiance au Juif ashkénaze Adam Weishaupt, crypto-Juif s’affichant extérieurement catholique romain, pour son organisation et son développement. Les Illuminati doivent se fonder sur les enseignements du Talmud qui est en retour les enseignements des Juifs rabbiniques. On devait l’appeler Illuminati car c’est un terme luciférien qui signifie « gardiens de la lumière ».

Mayer Amschel Rothschild épouse Gutle Schnaper.

1773 :Amschel Mayer Rothschild naît, premier des fils de Mayer Amschel Rothschild. Comme tous ses frères qui le suivent, il entre dans les affaires familiales à l’âge de 12 ans.

1774 : Salomon Mayer Rothschild naît.

1776 : Adam Weishaupt complète officiellement son organisation des Illuminati le 1er mai de cette année. Le but des Illuminati est de diviser les goyim (tous les non-Juifs) par des moyens politiques, économiques, sociaux et religieux. Les côtés opposés devaient être armés et des incidents devaient être fournis afin qu’ils : combattent entre eux ; détruisent les gouvernements nationaux ; détruisent les institutions religieuses ; et se détruisent éventuellement les uns les autres.

Weishaupt infiltre bientôt l’Ordre Continental des Francs-maçons avec cette doctrine illuminati et établit des loges du Grand Orient pour en faire ses quartiers-généraux secrets. Tout cela se fit sous les ordres et le financement de Mayer Amschel Rothschild et le concept s’est répandu, et il est suivi mondialement au sein des Loges maçonniques et jusqu’à aujourd’hui.

Weishaupt recrute aussi 2 000 disciples rémunérés comprenant les hommes les plus intelligents dans les domaines des arts et des lettres, de l’éducation, de la science, des finances et de l’industrie. On les instruisit à suivre les méthodes subséquentes afin de contrôler les gens.

  1. Utiliser la subornation monétaire et la corruption sexuelle pour obtenir le contrôle sur des hommes déjà haut placés, à différents niveaux de tous les gouvernements et autres champs d’application. Une fois que des personnes influentes ont succombé au mensonge, à la tricherie et à la tentation des Illuminati, on doit les maintenir esclaves par l’application de politiques et d’autres formes de chantage, des menaces de ruine financière, de la dénonciation publique, des dommages fiscaux, même la mort pour eux-mêmes ou les membres bien-aimés de leur famille.
  2. Les facultés de collège et d’université doivent cultiver les étudiants possédant des capacités mentales exceptionnelles et appartenant à de bonnes familles aux prédispositions internationales, et les recommander pour une formation spéciale en internationalisme, ou plutôt, la notion que seul un gouvernement unique mondial peut mettre fin aux guerres et aux conflits récurents. Ce genre d’entraînement ne pouvait être fourni qu’en accordant la scolarité qu’à ceux qui étaient sélectionnés par les Illuminati.
  3. Toutes les personnes influentes prises sous le contrôle des Illuminati, plus les étudiants qui ont été spécialement éduqués et formés, doivent être employés comme agents et placés en arrière-scène de tous les gouvernements en tant qu’experts et spécialistes. C’est afin qu’ils puissent conseiller les exécutifs dirigeants d’adopter des politiques qui, à longue échéance, vont servir les plans secrets de la conspiration mondialiste des Illuminati et amener la destruction des gouvernements et des religions qu’on les élit ou qu’on les assigne à servir.
  4. Obtenir le contrôle absolu de la presse, à l’époque seul média de communication de masse à distribuer de l’information au public, de façon à ce que toutes les nouvelles et l’information puissent être orientées dans le dessein de faire croire aux masses qu’un gouvernement unique mondial est la seule solution à nos nombreux problèmes variés.

1777 : Nathan Mayer Rothschild naît.

1784 : Adam Weishaupt délivre, sous la forme d’un écrit, ses ordres à Maximilien Robespierre pour qu’il débute la Révolution française. Ce livre fut écrit par l’un des associés de Weishaupt, Xavier Zwack, et envoyé par courrier de Frankfurt à Paris. Cependant, en cours de route, le courrier fut frappé par un éclair, le livre détaillant ce plan fut découvert par la police et acheminé aux autorités bavaroises.

Comme conséquences, le gouvernement bavarois ordonna à la police de faire irruption dans les loges maçonniques du Grand-Orient de Weishaupt et dans les maisons de ses plus influents associés. Il est clair que les autorités bavaroises étaient convaincues que le livre que l’on avait découvert constituait une menace très réelle faite par un groupe privé de gens influents afin d’employer les guerres et les révolutions dans le but d’accomplir leurs desseins politiques.

1785 : Le gouvernement bavarois proscrivit les Illuminati et ferma toutes les loges bavaroises du Grand-Orient.

Mayer Amschel Rothschild déménage sa famille dans une maison à cinq étages à Frankfurt en la partageant avec la famille Schiff.

1786 : Le gouvernement bavarois publie les détails du complot des Illuminati dans un document intitulé « Les écrits originaux de l’Ordre et de la Secte des Illuminati ». Ils envoient ensuite ce document à tous les chefs d’état et dirigeants d’églises dans toute l’Europe, mais malheureusement, leur avertissement est ignoré.

1788 : Kalmann (Carl) Mayer Rothschild naît.

1789 : À cause de l’ignorance européenne de l’avertissement du gouvernement bavarois, le plan des Illuminati d’une Révolution française s’exécute avec succès entre cette année-là et 1793. Cette révolution s’avéra un rêve pour les banquiers, elle établit une nouvelle constitution et fit adopter des lois interdisant à l’Église catholique de prélever des dîmes (taxes) tout en lui enlevant ses exemptions de taxe.

1790 : Mayer Amschel Rothschild déclare : « Laissez-moi émettre et contrôler la monnaie d’un pays et je me balance de qui fait les lois. »

1791 : Les Rothschild obtiennent « le contrôle de la monnaie d’un pays » par Alexander Hamilton (leur agent dans le cabinet de George Washington) lorsqu’ils installent une banque centrale aux USA appelée Première Banque des États-Unis. Elle est instaurée avec une charte de vingt ans.

1792 : Jacob (James) Mayer Rothschild naît.

1796 : Amschel Mayer Rothschild épouse Eva Hanau.

1798 : John Robison publie un livre intitulé « Preuves d’une conspiration contre toutes les religions et les gouvernements d’Europe poursuivie dans les rencontres secrètes des Francs-maçons, des Illuminati et des sociétés de lecture ». Dans ce bouquin, le professeur Robison de l’Université d’Édinbourg, un des intellectuels éminents de son époque, qui, en 1783, avait été élu secrétaire général de la Société Royale d’Édinbourg, donne des détails sur tout le complot des Illuminati des Rothschild.

Il avisa qu’il avait été un maçon de haut niveau dans le Rite Écossais de la Franc-maçonnerie et avait été invité par Adam Weishaupt en Europe où on lui donna une copie révisée de la conspiration de Weishaupt. Toutefois, même s’il prétendit être d’accord avec cela, le professeur Robison était en fait en désaccord et publia donc son livre ci-mentionné. Le livre incluait des détails sur l’enquête du gouvernement bavarois sur les Illuminati et la Révolution française.

La même année, le 19 juillet, David Pappen, président de l’Université de Harvard, entretint la classe de graduation sur l’influence que l’illuminisme avait sur les politiques américaines et la religion.

À l’âge de 21 ans, Nathan Mayer Rothschild quitte Frankfurt pour l’Angleterre où, grâce à une grosse somme d’argent que lui donne son père, il installe une maison bancaire à Londres.

1800 : Salomon Mayer Rothschild épouse Caroline Stern.

1806 : Napoléon déclare qu’il a pour « objectif d’enlever la souveraineté à la maison Hess-Cassel et de la retirer de la liste des puissances. » Entendant cela, le Prince William IX de Hesse-Hanau s’enfuit en Allemagne, se rend au Danemark et confie sa fortune évaluée à 3 000 000 $ à l’époque à Mayer Amschel Rothschild pour la mettre en sécurité. Nathan Mayer Rothschild épouse Hannah Barent Cohen, fille d’un riche marchand de Londres.

1808 : Nathan Mayer Rothschild voit naître un premier fils nommé Lionel Nathan de Rothschild.

1810 : Sir Francis Baring et Abraham Goldsmid meurent. Nathan Mayer Rothschild demeure donc le seul banquier majeur d’Angleterre.

Salomon Mayer Rothschild se rend à Vienne, en Autriche, et y installe la banque M. Von Rothschild undSöhne.

1811 : La charte de la banque des Rothschild aux États-Unis se termine et le Congrès vote contre son renouvellement. Cela n’amuse pas Nathan Mayer Rothschild et il dit : « Ou bien l’application de la charte est renouvelée, ou alors les États-Unis vont se trouvés impliqués dans la plus désastreuse des guerres ». Cependant, les États-Unis restent fermes et la charte n’est pas renouvelée, ce qui pousse Nathan Mayer Rothschild à formuler une autre menace : « Enseignez une leçon à ces impudents. Ramenez-les au statut de colonie. »

1812 : Soutenus par l’argent des Rothschild et les ordres de Nathan Mayer Rothschild, les Britanniques déclarent la guerre aux États-Unis. Les Rothschild avaient pour plan de faire en sorte que les États-Unis accumulent une dette telle dans le combat qu’ils devraient céder aux Rothschild et accorder la charte à la banque détenue par les Rothschild aux États-Unis.

Mayer Amschel Rothschild meurt. Dans ses volontés, il a conçu plusieurs règles que la Maison Rothschild doit suivre : tous les postes clés dans les affaires de la famille doivent être tenus par des membres de la famille ; seuls les membres mâles de la famille ont le droit de partciper aux affaires familiales, ceci inclut un sixième fils bâtard rapporté (il est important de noter que Mayer Amschel Rothschild a aussi cinq filles, donc, aujourd’hui, l’étendue de la dynastie sioniste Rothschild sans le nom de Rothschild est large et dispersée loin, et les Juifs croient que la progéniture mélangée d’une mère juive est uniquement juive) ; la famille ne devait se marier qu’avec des cousins du premier et du second degré afin de préserver la fortune familiale (des 18 mariages contractés par les petits-enfants de Mayer Amschel Rothschild, 16 le furent avec des cousins du premier degré, une pratique reconnue aujourd’hui comme unions consanguines) ; aucun inventaire public de ses biens ne devait être publié ; aucune action légale ne devait être prise en regard de la valeur de l’héritage ; le fils aîné du fils aîné devait être le chef de la famille (cette condition ne pouvait être contournée que lorsque la majorité de la famille était autrement d’accord).

Ce fut incontinent le cas et Nathan Mayer Rothschild fut élu chef de la famille suite au décès de son père, Mayer Amschel Rothschild.

Jacob (James) Mayer Rothschild va à Paris, en France, pour ériger la banque de Rothschild Frères.

Nathaniel de Rothschild, beau-fils de Jacob (James) Mayer Rothschild, naît.

1814 : Concernant les 3 000 000 $ que le Prince William IX Hesse-Hanau a confiés à Mayer Amschel Rothschild pour sauvegarde, et un compte-rendu de ce qui arriva par la suite, nous nous tournons vers l’Encyclopédie Juive, édition de 1905, Volume 10, page 494, qui déclare : « Selon la légende, cet argent fut caché dans des tonneaux de vin et, échappant aux recherches des soldats de Napoléon quand ils entrèrent dans Frankfurt, fut retourné intact dans les mêmes tonneaux en 1814, lorsque l’électeur (le Prince William IX de Hesse-Hanau) retrouva son électorat (Allemagne). Les faits sont toutefois moins romantiques et plus reliés aux affaires. » Cette dernière ligne indique que l’argent ne fut jamais retourné par Rothschild au Prince William IX de Hesse-Hanau. L’Encyclopédie poursuit sa déclaration : « Nathan Mayer Rothschild investit ces 3 000 000 $ dans l’or de la Compagnie Indienne Orientale, sachant qu’on en aurait besoin pour la campagne péninsulaire de Wellington. » Sur l’argent volé, Nathan fit « pas moins de quatre profits : i) sur la vente du fric de Wellington qu’il acheta à 50 cents le dollar et recueillit au pair ; ii) sur son rachat ; iii) en l’expédiant au Portugal. »

1815 : Les cinq frères Rothschild œuvrèrent à alimenter en or à la fois l’armée de Wellington (par Nathan en Angleterre) et l’armée de Napoléon (par Jacob en France), et débutèrent leur politique de financer les deux côtés des guerres. Les Rothschild aiment les guerres parce qu’elles sont de grosses génératrices de dettes sans risque. Cela parce qu’elles sont garanties par le gouvernement d’un pays et donc, les efforts de la population de ce pays, et il importe peu que le pays perde la guerre, car les prêts sont donnés sur la garantie que le vainqueur honorera les dettes du vaincu.

Pendant que les Rothschild financent les deux côtés de cette guerre, ils utilisent les banques qu’ils ont parsemées à travers l’Europe afin de saisir l’opportunité d’installer un réseau de service postal incomparable de routes secrètes et de courriers rapides. La poste que ces courriers transportaient ne devait être ouverte que par les courriers et donnée aux Rothschild afin qu’ils conservent toujours un pas d’avance sur les événements courants.

En outre, ces courriers des Rothschild étaient les seuls marchands à qui l’on permettait de traverser les blocus anglais et français. Ces courriers gardaient aussi Nathan Mayer Rothschild au courant d’avance des développements de la guerre et il pouvait donc utiliser cette information pour acheter et vendre à partir de sa position sur le marché boursier selon cette information.

Un des courriers de Rothschild était un homme appelé Rothworth. Quand l’issue de la Bataille de Waterloo fut remportée par les Britanniques, Rothworth partit pour le Canal et put livrer ces nouvelles à Nathan Mayer Rothschild un bon vingt-quatre heures avant le propre courrier de Wellington.

À l’époque, les bons britanniques étaient appelés consuls et ils étaient échangés sur l’enceinte du marché boursier. Nathan Mayer Rothschild donna instruction à tous ses travailleurs dans l’enceinte de commencer à vendre les consuls. Cela fit en sorte que tous les autres commerçants crurent que la Grande-Bretagne avait perdu la guerre, alors ils commencèrent à vendre de façon frénétique. Par conséquent, la valeur des consuls dégringola et c’est là que Nathan Mayer Rothschild donna discrètement instruction à ses travailleurs d’acheter tous les consuls sur lesquels ils pouvaient mettre la main.

Lorsque les nouvelles arrivèrent disant que les Britanniques avaient, en fait, gagné la guerre, les consuls grimpèrent en valeur encore plus haut qu’avant la fin de la guerre, ce qui laissa à Nathan Mayer Rothschild un retour d’environ 20 pour 1 sur son investissement.

Cela donna à la famille Rothschild le parfait contrôle de l’économie britannique, maintenant centre financier du monde suivant la défaite de Napoléon, et força l’Angleterre à instaurer une nouvelle Banque d’Angleterre que contrôla Nathan Mayer Rothschild.

Chose intéressante, cent ans plus tard, le New York Times sortit une histoire disant que le petit-fils de Nathan Mayer Rothschild avait tenté de s’assurer d’un ordre de la cour pour supprimer la publication d’un livre qui contenait le récit de ce marchandage interne. La famille Rothschild proclama que l’histoire n’était pas vraie et diffamatoire, mais la cour refusa la requête des Rothschild et ordonna à la famille de payer tous les frais de la cour.

De retour à 1815 : C’est l’année où Nathan Mayer Rothschild fait sa fameuse déclaration : « Peu m’importe quel pantin est placé sur le trône d’Angleterre pour régner sur l’Empire au-dessus duquel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle l’approvisionnement en monnaie britannique contrôle l’Empire britannique, et je contrôle l’approvisionnement en monnaie britannique. » Il alla jusqu’à se vanter que, durant les dix-sept années qu’il se trouvait en Angleterre, il avait accru 2 500 fois la mise de 20 000 £ que lui avait donnée son père, soit 50 millions £. Les Rothschild utilisèrent aussi leur contrôle de la Banque d’Angleterre pour remplacer la méthode d’expédier l’or d’un pays à un autre, et employèrent plutôt leur cinq banques à travers l’Europe pour mettre en place un système de débit et de crédit papier, le système bancaire d’aujourd’hui.

À la fin de ce siècle-là, période de temps que l’on a appelée « l’Ère des Rothschild », on a estimé que la famille Rothschild contrôlait la moitié des richesses du monde.

Néanmoins, quelque chose n’alla pas bien pour les Rothschild cette année-là : le Congrès de Vienne, qui débuta en septembre 1814 pour se conclure en juin. La raison de ce Congrès de Vienne, c’est que les Rothschild voulaient créer une forme de gouvernement mondial pour leur donner le contrôle politique complet de la plus grande partie du monde civilisé.

De nombreux gouvernements européens étaient en dette envers les Rothschild et ceux-ci croyaient pouvoir utiliser cela comme instrument de marchandage. Toutefois, le tzar Alexandre 1er de Russie, qui n’avait pas succombé à une banque centrale des Rothschild, ne fut pas d’accord avec ce schéma et ainsi, le plan de gouvernement mondial des Rothschild échoua.

Enragé, Nathan Mayer Rothschild jura qu’un jour lui ou ses descendants allaient détruire toute la famille du tzar Alexandre 1er et ses descendants. Malheureusement, sa parole se réalisa et cent-deux ans plus tard, Rothschild finança les bolcheviks afin d’agir selon la promesse.

Fait intéressant, le fanatique de gouvernement mondial et Juif ashkénaze Henry Kissinger fit sa thèse de doctorat sur le Congrès de Vienne.

1816 : Le Congrès américain adopte un projet de loi permettant une autre banque centrale dominée par les Rothschild, ce qui redonne à ceux-ci le contrôle de l’approvisionnement en monnaie américaine. Elle s’appelle la Seconde Banque des États-Unis et reçoit une charte de vingt ans. La guerre britannique contre les Américains cesse alors avec la mort de milliers de soldats britanniques et américains, mais les Rothschild ont leur banque.

1818 : Suite aux prêts massifs à la France, en 1817, afin de reconstruire après la défaite désastreuse de Waterloo, les agents de Rothschild achètent de vastes quantités de bons gouvernementaux français, ce qui accroît leur valeur.

Le 5 novembre, ils écoulèrent le lot sur le marché public faisant en sort de faire plonger leur valeur et que la France entre en panique financière. Les Rothschild intervinrent alors pour prendre le contrôle de l’approvisionnement monétaire de la France. C’est l’année-même où les Rothschild purent prêter 5 000 000 £ au gouvernement prussien.

1821 : Kalmann (Carl) Mayer Rothschild fut envoyé à Naples, en Italie. Il finit par faire de nombreuses affaires avec le Vatican et le pape Grégoire XVI lui conféra subséquemment l’Ordre de Saint-Georges.

Aussi, toutes les fois que le pape recevait Kalmann, c’est sa main qu’il lui donnait à baiser plutôt que l’orteil habituelle, ce qui démontre l’étendue du pouvoir qu’avait Kalmann sur le Vatican.

1822 : L’empereur d’Autriche fit « barons » les cinq frères Rothschild. Nathan Mayer Rothschild choisit de ne pas porter le titre.

1823 : Les Rothschild prennent charge des opérations financières de l’Église catholique dans le monde entier.

1827 : Sir Walter Scott publie sa série de neuf volumes intitulée La vie de Napoléon et, dans le deuxième volume, il déclare que la Révolution française a été planifiée par les Illuminati (Adam Weishaupt) et a été financée par les changeurs d’argent de l’Europe (les Rothschild).

1832 : Le Président Andrew Jackson (7e Président des États-Unis de 1829-1837) se présente en campagne pour un second mandat sous le slogan : « Jackson et pas de banque ! » Cela réfère à son plan de prendre le contrôle du système monétaire amércain au bénéfice du peuple américain, pas pour le profit des Rothschild.

1833 : Le Président Andrew Jackson commence à enlever les dépôts du gouvernement de la Seconde Banque des États-Unis contrôlée par les Rothschild et les dépose plutôt dans des banques dirigées par des banquiers démocratiques.

Cela fait paniquer les Rothschild et ils font donc ce qu’ils font de mieux, restreindre l’approvisionnement monétaire afin de causer une dépression. Le Président Jackson sait ce qu’ils sont en train de faire et il déclare plus tard : « Vous êtes un repaire de voleurs et de vipères, et j’ai bien l’intention de vous déloger et, par l’Éternel Dieu, je vous délogerai. »

1834 :Le leader révolutionnaire italien Guiseppe Mazzini est élu par les Illuminati pour diriger leur programme révolutionnaire de par le monde et il servit en cette qualité jusqu’à sa mort en 1872.

1835 : Le 30 janvier, un assassin essaie d’abattre le Président Jackson, mais, miraculeusement, les deux pistolets de l’assassin s’enrayent. Le Président Jackson déclarera plus tard qu’il savait que les Rothschild étaient responsables de cette tentative d’assassinat. Il n’est pas le seul, car l’assassin, Richard Lawrence, qui fut trouvé non coupable pour raison de folie, se vanta plus tard que des gens puissants en Europe l’avaient engagé et lui avaient promis protection s’il était pris.

Les Rothschild acquièrent les droits sur les mines de vif-argent de l’Almaden, en Espagne. C’était à l’époque la plus grosse concession du monde et, puisque le vif-argent était un composant essentiel du raffinement de l’or et de l’argent, cela donnait aux Rothschild le monopole pratiquement mondial.

1836 : À la suite de ses années de combat contre les Rothschild et leur banque centrale en Amérique, le Président Andrew Jackson réussit finalement à chasser d’Amérique cette banque centrale des Rothschild, alors que la charte de la banque n’est pas renouvelée. Ce n’est pas avant 1913 que les Rothschild pourront réinstaller leur troisième banque centrale, la Réserve Fédérale, et pour s’assurer qu’aucune faute ne soit commise, ils mettront cette fois un homme de leur propre lignée, Jacob Schiff, en charge du projet.

Nathan Mayer Rothschild meurt et le contrôle de sa banque, la N. M. Rothschild & Sons, passe à son plus jeune frère, James Mayer Rothschild.

1837 : Les Rothschild envoient en Amérique un des leurs, Auguste Belmont, un Juif ashkénaze, pour sauver leurs intérêts bancaires défaits par le Président Andrew Jackson.

1840 : Les Rothschild deviennent les courtiers des lingots de la Banque d’Angleterre. Ils établissent des agences en Californie et en Australie.

1841 : Le Président John Tyler (10e Président des États-Unis de 1841 à 1845) appose son veto sur le renouvellement de la charte de la Banque des États-Unis. Il continue à recevoir des centaines de lettres de menace d’assassinat.

1844 : Salomon Mayer Rothschild achète la United Coal Mines de Vítkovice et la Compagnie Blast Furnaceaustro-hongroise qui sera une des dix plus grandes affaires industrielles du monde.

Benjamin Disraeli, un Juif ashkénaze (qui allait devenir deux fois Premier Ministre – le seul Juif ashkénaze reconnu à l’avoir fait) publie Coningsby, dans lequel il campe Nathan Mayer Rothschild comme : « le Seigneur et Maître des marchés monétaires du monde et, bien sûr, pratiquement Seigneur et Maître de n’importe quoi d’autre. Il détenait littéralement les revenus du Sud de l’Italie en gage, et les Monarques et les Ministres de tous les pays courtisaient son conseil et se guidaient sur ses suggestions. »

1845 : Le Grand Patriote Américain, Andrew Jackson (7e Président des États-Unis) meurt. Avant sa mort, on lui demande ce qu’il considérait comme son plus grand accomplissement. Il répliqua sans hésitation : « J’ai tué la Banque. » Cela réfère au fait qu’il eût banni la Seconde Banque des États-Unis des Rothschild en 1836. Jacob (James) Mayer Rothschild (qui avait alors épousé sa nièce, Betty, fille de Salomon Mayer Rothschild), reconnu maintenant sous le nom du Baron James de Rothschild, remporte le contrat pour la construction de la première ligne de chemin de fer à travers le pays.

On l’appela Le Chemin de Fer du Nord et il partait initialement de Paris vers Valenciennes pour rejoindre ensuite le réseau ferroviaire autrichien construit par son frère (et père de son épouse – tout cela a l’air sordide, n’est-ce pas ?)  Salomon Mayer Rothschild.

1847 : Lionel de Rothschild, maintenant marié à la fille de son oncle, Kalmann (Carl) Mayer Rothschild, est élu à un siège parlementaire à la Cité de Londres.

Pour entrer au Parlement, on exigeait de faire serment selon la vraie foi chrétienne. Lionel de Rothschild refusa de le faire parce qu’il était juif et son siège au parlement demeura vide pendant onze ans, jusqu’à ce que de nouveaux serments soient permis. Il aurait pu être un représentant inestimable pour sa circonscription, si l’on garde à l’esprit qu’il ne put jamais voter sur quelque projet de loi que ce soit parce qu’il n’entra jamais au parlement ! Je me demande comment il a pu s’arranger pour conserver son siège au parlement pendant onze ans ?

1848 : Karl Marx, Juif ashkénaze, publie Le Manifeste communiste. Chose intéressante, au même moment où il écrit son livre, Karl Ritter de l’Université de Frankfurt écrivait l’antithèse qui allait former la base du « nietzschéisme » de Friedrich Wilhelm Nietzsche. Ce nietzschéisme fut plus tard développé en fascisme et ensuite en nazisme, et fut utilisé pour fomenter les première et deuxième guerres mondiales.

Marx, Ritter et Nietzsche étaient tous financés et sous les instructions des Rothschild. L’idée était que ceux qui dirigent la conspiration mondiale puissent employer les différences entre ces deux prétendues idéologies pour leur permettre de diviser des factions de plus en plus large de la race humaine en camps opposés et les armer ensuite et leur laver le cerveau afin qu’ils combattent et se détruisent les uns les autres et, en particulier, détruire toutes les institutions religieuses et politiques. Le même plan que celui mis de l’avant par Weishaupt en 1776.

Eva Hanau, épouse d’Amschel Mayer Rothschild, décède.

1849 : Gutle Schnaper, épouse de Mayer Amschel Rothschild, décède. Avant sa mort, elle déclara nonchalamment : « Si mes fils ne voulaient pas la guerre, il n’y en aurait pas. »

1850 : En cette décennie, débute la construction des Manoirs de Mentmore, en Angleterre, et de Ferrières, en France. Bien d’autres manoirs Rothschild vont suivre de par le monde, tous remplis d’œuvres d’art. On estime que Jacob (James) Rothschild de la France possède 600 millions de francs, ce qui s’avérait à l’époque 150 millions de francs supérieur à tous les autres banquiers de France mis ensemble.

1852 : N. M. Rothschild & Sons commence à affiner de l’or et de l’argent pour l’Hôtel de la Monnaie et la Banque d’Angleterre, ainsi que d’autres clients internationaux.

1853 : Nathaniel de Rothschild, beau-fils de Jacob (James) Mayer Rothschild, achète le Château Brane Mouton, les vignobles Bordeaux de Mouton, et les renomme Château Mouton Rothschild.

1854 : Caroline Stern, épouse de Salomon Mayer Rothschild, décède.

1855 : Amschel Mayer Rothschild décède. Salomon Mayer Rothschild décède. Kalmann (Carl) Mayer Rothschild décède.

1858 : Lionel de Rothschild prend finalement siège au parlement lorsque l’exigence de faire serment dans la vraie foi chrétienne est élargie pour inclure d’autres croyances. Il devient le premier Juif membre du Parlement britannique.

1861 : Le Président Abraham Lincoln (16e Président des États-Unis de 1860 à son assassinat en 1865) approche les grosses banques de New York afin d’essayer d’obtenir des prêts pour soutenir la guerre civile américain incessante. Puisque ces grosses banques subissaient lourdement l’influence des Rothschild, ils lui firent une offre telle qu’ils savaient qu’il ne pourrait l’accepter, 24 % à 36 % d’intérêt sur tous les prêts monétaires.

Lincoln est fort irrité de ces hauts taux d’intérêt et il imprime donc sa propre monnaie sans dette, et il informe le public qu’il s’agit maintenant du cours légal pour les dettes publiques et privées.

1862 : En avril, une valeur de 449 228 902 $ de la monnaie sans dette de Lincoln a été imprimée et distribuée. Il en parle ainsi : « Nous donnons au peuple de cette république la plus grande bénédiction qu’il ait eue, savoir, sa propre monnaie de papier pour payer ses propres dettes. » Cette même année, le Times de Londres publie une histoire où il se trouve la déclaration suivante : « Si cette politique financière malicieuse, qui tient son origine de la République nord-américaine, devait devenir fermement ancré, alors ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans coût. Il remboursera ses dettes et sera sans dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour faire son commerce. Il prospérera de façon sans précédent dans toute l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Les cerveaux et les richesses de tous les pays s’en iront en Amérique du Nord. L’on doit détruire ce gouvernement ou il détruira toutes les monarchies du monde. »

1863 : Le Président Abraham Lincoln découvre que le tzar de Russie, Alexandre II (1855-1881) avait aussi des problèmes avec les Rothschild, car il refusait leurs tentatives continuelles d’installer une banque centrale en Russie. Puis, le tzar accorda son aide de manière inattendue au Président Lincoln. Le tzar émit des ordres disant que, si l’Angleterre ou la France intervenaient activement dans la Guerre Civile américaine et aidaient le Sud, la Russie considérerait une telle action comme une déclaration de guerre et prendrait le côté du Président Lincoln. Pour montrer qu’il ne rigolait pas, il envoya une partie de sa flotte du Pacifique au port de San Francisco et une autre partie à New York.

La maison bancaire Rothschild de Naples, en Italie, C. M. de Rothschild e figli, ferme suite à l’unification de l’Italie. Les Rothschild utilisent un des leurs en Amérique, John D. Rockefeller, pour former une entreprise pétrolière appelée Standard Oil qui engloutira éventuellement tous ses compétiteurs.

1864 : Auguste Belmont des Rothschild, qui est maintenant le directeur du Parti national démocratique, soutient le général George McClellan comme candidat démocratique contre le Président Abraham Lincoln en cette année d’élection. À la colère de Belmont, Lincoln remporte les élections.

1865 : Dans une déclaration au Congrès, le Président Abraham Lincoln dit : « J’ai deux grands ennemis, l’armée sudiste en avant de moi, et les institutions financières derrière. Des deux, celui derrière est mon pire ennemi. » Plus tard cette année-là, le 14 avril, le Président Lincoln est assassiné, moins de deux mois avant la fin de la Guerre Civile américaine.

Après une brève période de formation à la Banque de Londres des Rothschild, Jacob Schiff, un Rothschild né dans leur maison de Frankfurt, arrive en Amérique à l’âge de 18 ans avec les instructions et les finances nécessaires pour y acheter une maison bancaire. Cela avait pour dessein d’exécuter les tâches suivantes :

  1. Prendre le contrôle du système monétaire de l’Amérique par l’établissement d’une banque centrale.
  2. Trouver des hommes séduisants qui, pour un prix donné, voudraient volontiers servir de pantins aux Illuminati, et les promouvoir à des postes élevés dans le gouvernement fédéral : le Congrès, la Cour Suprême, et dans toutes les agences fédérales.
  3. Créer des querelles de groupes minoritaires par tout le pays en ciblant particulièrement les blancs et les noirs.
  4. Créer un mouvement pour détruire la religion aux États-Unis, avec le christianisme comme cible principale.

Nathaniel de Rothschild devient membre du Parlement pour Aylesbury, dans le Buckinghamshire.

1868 : Jacob (James) Mayer Rothschild décède peu après avoir acheté le Château Lafitte, un des quatre premiers domaines de grand cru de France. Il est le dernier des fils de Mayer Amschel Rothschild à mourir.

1870 : Nathaniel de Rothschild décède.

1871 : Un général américain nommé Albert Pike, qui avait été attiré chez les Illuminati par Guiseppe Mazzini, complète ses plans militaires en vue de trois guerres mondiales et diverses révolutions à travers le monde se terminant par l’acheminement de cette grande conspiration vers son stade final.

La première guerre doit être engagée dans le dessein de détruire le tzar en Russie, tel que l’avait promis Nathan Mayer Rothschild en 1815. On doit remplacer le tzar par le communisme, ce dernier étant employé pour attaquer les religions, et en prédominance le christianisme. On doit se servir des différences existant entre les empires britannique et allemand pour fomenter cette guerre.

La seconde guerre mondiale doit être utilisée à fomenter la controverse entre le fascisme et le sionisme politique avec le massacre des Juifs en Allemagne, un lynchage destiné à créer la haine contre le peuple allemand. Cela est conçu de manière à détruire le fascisme (créé par les Rothschild) et accroître la puissance du sionisme politique. Cette guerre a aussi pour dessein d’accroître le communisme à un niveau qui égalera celui de la chrétienté unie.

La troisième guerre mondiale doit se jouer en excitant la haine du monde musulman dans le but de mettre le monde musulman et les sionistes politiques les uns contre les autres. Pendant ce temps, le reste des pays seraient forcés de se battre contre son état d’épuisement mental, physique, spirituel et économique.

Le 15 août de cette année-là, Albert Pike écrit une lettre (aujourd’hui cataloguée au Musée Britannique) à Guiseppe Mazzini et dans laquelle il dit : « Nous allons lancer les nihilistes et les athéistes, et nous allons provoquer un grand cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement à toutes les nations l’effet de l’athéisme absolu : l’origine de la sauvagerie et de l’agitation la plus sanglante. Alors partout, les gens seront forcés de se défendre contre la minorité mondiale des révolutionnaires du monde et ils extermineront ces destructeurs de civilisation, et la multitude, désillusionnée devant le christianisme, et dont les esprits seront à partir de ce moment-là sans direction et sans leadership, et anxieux de trouver un idéal, mais sans savoir vers où tourner leur adoration, recevront la vraie lumière par la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer finalement amenée à la vue du public. Une manifestation qui résultera d’un mouvement réactionnaire général qui suivra la destruction du christianisme et de l’athéisme ; les deux conquis et exterminés en même temps. »

Ayant été élu comme Souverain Grand Commandeur de la Juridiction du Sud du Rite Écossais de la Franc-maçonnerie, en 1859, Albert Pike fut le franc-maçon le plus puissant d’Amérique. Il maintint ce poste pendant 32 ans jusqu’à sa mort en 1891. Il publia aussi un livre sur le sujet en 1872 intitulé Morales et dogmes de l’Ancien Rite Écossais Accepté de la Franc-maçonnerie, dans lequel il déclara franchement ce qui suit : « LUCIFER, le Porteur de lumière ! Nom étrange et mystérieux à donner à l’Esprit des Ténèbres ! Lucifer, le Fils du Matin ! Est-ce lui qui porte la lumière et qui, par ses splendeurs intolérables, aveugle les âmes faibles, sensuelles et égoïstes ? N’en doutez pas ! »

1872 : Avant la mort de Guiseppe Mazzini cette années-là, il donne sa succession à un autre leader révolutionnaire nommé Adrian Lemmy. Celui-ci sera succédé ultérieurement par Lénine et Trotski, et ensuite par Staline. Les activités révolutionnaires de tous ces hommes sont financées par les Rothschild.

1873 : Les mines de cuivres de Rio Tinto d’Espagne qui fonctionnent à perte sont achetées par un groupe de financiers étrangers dont les Rothschild. Ces mines représentent la plus grande source de cuivre d’Europe.

1875 : Le 1er janvier de cette année-là, Jacob Schiff, maintenant beau-fils de Salomon Loeb après avoir épousé sa fille, Teresa, prend le contrôle de la maison bancaire Kuhn, Loeb & Co. Il continue à financer la compagnie Standard Oil de John D. Rockefeller, l’empire ferroviaire d’Edward R. Harriman et l’empire de l’acier d’Andrew Carnegie. Tout cela avec l’argent des Rothschild.

Puis, il identifie les autres grands banquiers d’Amérique de l’époque. Ce sont J. P. Morgan, qui contrôle Wall Street, les Drexel et les Biddle de Philadelphie. Tous les autres financiers, petits et gros, dansent sur les airs de ces trois maisons. Schiff obtient ensuite des Rothschild qu’ils établissent des branches européennes de ces trois grosses banques à la condition que Schiff, et donc les Rothschild, soit le patron des opérations bancaires à New York et, par conséquent, en Amérique.

N. M. Rothschild & Sons entreprend une émission d’actions afin de réunir du capital pour le premier projet de tunnel sous la Manche reliant la France à l’Angleterre ; la moitié de ce capital provient de la Compagnie de Chemin de Fer du Nord appartenant aux Rothschild.

La même année, Lionel de Rothschild prête au Premier Ministre Benjamin Disraeli les fonds pour que le gouvernement britannique achète des actions du Canal de Suez, de Khédive Saïd en Égypte. C’est ce que l’on fit parce que les Rothschild avaient besoin que cet accès routier soit détenu par un gouvernement qu’ils contrôlaient, et ainsi ils pouvaient utiliser l’armée de ce gouvernement pour protéger leurs énormes intérêts financiers dans le Proche-Orient.

1876 : Otto von Bismarck déclare : « La division des États-Unis en deux fédérations d’égales forces avait été décidée bien longtemps avant la guerre civile par les hauts pouvoirs financiers d’Europe. Ces banquiers avaient peur que, si les États-Unis demeuraient en un seul bloc et une seule nation, ils atteindraient l’indépendance économique et financière, ce qui bouleverserait leur domination financière sur le monde. La voix des Rothschild prédomina. Ils prévoyaient un butin immense s’ils pouvaient substituer deux faibles démocraties endettées envers les financiers, à cette République vigoureuse, confiante et autosuffisante. Par conséquent, ils dépêchèrent leurs émissaires afin d’exploiter la question de l’esclavage et creuser ainsi un abîme entre les deux parties de la République. »

1879 : Lionel de Rothschild décède.

1880 : Les agents des Rothschild commencent à fomenter une série de pogroms, principalement en Russie, mais aussi en Pologne, en Bulgarie et en Roumanie. Ces pogroms entraînent le massacre de milliers de Juifs innocents, ce qui fait en sort que quelque 2 millions de Juifs s’enfuient, en grande partie à New York, mais aussi à Chicago, à Philadelphie, à Boston et à Los Angeles.

La raison pour laquelle ces pogroms furent initiés était de créer une large base juive en Amérique qui, une fois arrivée, aurait instruction de s’enregistrer comme électeurs démocrates. Quelque vingt ans plus tard, il en résultat une puissante base démocrate aux États-Unis qui fut utilisée pour faire élire des hommes de main des Rothschild comme Woodrow Wilson à la Présidence pour exécuter les ordres des Rothschild.

1881 : Le Président James A. Garfield (29e Président des États-Unis qui ne fit que 100 jours) déclare, deux semaines avant son assassinat : « Quiconque contrôle le volume monétaire dans notre pays est absolument maître de toute l’industrie et du commerce, et quand vous réalisez que tout le système est contrôlé très facilement, d’une façon ou d’une autre, par une poignée d’homme très puissants au sommet, l’on n’aura pas à vous dire d’où les périodes d’inflation et de dépression tirent leur origine. » Edmond James de Rothschild a un fils, Maurice de Rothschild.

1883 : Après l’excavation de 6 000 pieds de tunnel dans le projet du canal sous la Manche, le gouvernement britannique met une halte au projet en citant le fait que cela pourrait s’avérer une menace pour la sécurité de l’Angleterre.

1885 : Nathan Rothschild, fils de Lionel de Rothschild, devient le premier pair juif et il porte le titre de Lord Rothschild.

1886 : La banque française Rothschild, De Rothschild Frères, obtient une quantité substantielle de champs de pétrole de la Russie et forme la Compagnie Pétrolière Caspienne et de la Mer Noire, et devient rapidement le deuxième plus gros producteur du monde.

1887 : Trafiquant d’opium en Chine, Edward Albert Sassoon épouse Aline Caroline de Rothschild, petite-fille de Jacob (James) Mayer Rothschild. Le père d’Aline Caroline, Gustave, ainsi que son frère Alphonse, reprennent la branche française des Rothschild suite à la mort de leur père Jacob.

Les Rothschild financent l’amalgame des mines de diamant Kimberley de l’Afrique du Sud. Ils deviennent les plus gros actionnaires de la compagnie De Beers, et ils extraient les pierres précieuses en Afrique et en Inde.

1888 : Noémie Halphen, future épouse de Maurice de Rothschild, naît.

1891 : Le leader du Parti Travailliste britannique fait la déclaration suivante au sujet des Rothschild : « Cette bande de vampires a été la cause d’un nombre indicible de malices et de misères en Europe durant le siècle présent et a principalement accumulé sa prodigieuse richesse en fomentant des guerres entre les États qui, autrement, ne se seraient jamais querellées. Chaque fois qu’il se produit du trouble en Europe, chaque fois que des rumeurs de guerre circulent et que l’esprit des hommes est affolé par la peur du changement et de la calamité, vous pouvez être sûr de trouver le nez crochu d’un Rothschild manigançant quelque part dans la région troublée. »

Des commentaires comme celui-ci inquiétaient les Rothschild et vers la fin du 19e siècle, ils achetèrent l’agence de nouvelles Reuters afin d’avoir un peu de contrôle sur les médias.

1895 : Edmond James de Rothschild, plus jeune fils de Jacob (James) Mayer Rothschild, visite la Palestine et fournit ensuite les fonds pour y créer les premières colonies juives, ceci afin de faire avancer leur objectif à long terme de fonder un pays appartenant aux Rothschild.

1897 : Les Rothschild fondèrent le Congrès sioniste pour promouvoir le sionisme (mouvement politique dont le seul but était de déménager tous les Juifs dans un état-nation singulièrement juif) et arrangèrent sa première rencontre à Munich. Cependant, à cause de l’opposition extrême de la part des Juifs locaux, qui sont tout à fait heureux où ils sont, cette rencontre doit être déplacée à Bâle, en Suisse, et a lieu le 29 août. La rencontre est dirigée par le Juif ashkénaze Théodore Herzl qui déclara dans son journal personnel : « Il est essentiel que les souffrances des Juifs augmentent. Cela nous assistera dans la réalisation de nos plans. J’ai une idée excellente. Je vais inciter les antisémites à liquider les fortunes juives. Les antisémites vont nous aider par conséquent en ce qu’ils vont renforcer la persécution et l’oppression des Juifs. Les antisémites seront nos meilleurs amis. »

Herzl est par la suite élu Président de l’Organisation sioniste qui adopte « l’Hexagramme ou Enseigne Rouge Rothschild » comme drapeau sioniste qui, 51 ans plus tard, finira par se trouver sur le drapeau d’Israël. Edward Henry Harriman devient le directeur du chemin de fer de l’Union Pacifique et poursuit en prenant le contrôle du Chemin de fer du Pacifique Sud. Tout cela financé par les Rothschild.

1898 : Ferdinand de Rothschild décède.

1901 : Les Juifs des colonies installées en Palestine par Edmond James de Rothschild lui envoient une délégation pour lui dire : « Si vous voulez sauver le Yishuv (la colonie juive), enlevez-y d’abord vos pattes et, pour une fois, permettez aux colonies d’avoir la possibilité de corriger elles-mêmes ce qui doit être corrigé. » Edmond James de Rothschild se met très en colère face à ce propos et il déclare : « J’ai créé le Yishuv, moi seul. Par conséquent, aucun homme, ni colon, ni organisation n’a le droit d’interférer dans mes plans. »

La maison bancaire Rothschild de Frankfurt, en Allemagne, M. A. von Rothschild undSöhne, ferme ses portes, car il n’y a pas d’héritier mâle Rothschild pour la prendre en charge.

1902 : Philippe de Rothschild naît.

1905 : Un groupe de Juifs sionistes soutenu par les Rothschild et dirigé par GéorgiApollonovichGapon tente de renverser le tzar de Russie dans un coup d’état communiste. Ils échouent et sont forcés de s’enfuir de Russie et de se réfugier en Allemagne.

L’Encyclopédie Juive (Vol. 2, p. 497) déclare : « Il s’agit d’une séquelle plutôt curieuse que de tenter d’établir un compétiteur catholique aux Rothschild, car, en ces temps présents, ces derniers sont les gardiens du trésor papal. »

1906 :Les Rothschild proclament qu’en raison de l’instabilité croissance en région et de la compétition grandissante de la Standard Oil des Rockefeller (la famille Rockefeller est de la descendance des Rothschild par une lignée femelle), c’est pourquoi ils vendent leur Compagnie Pétrolière des mers Caspienne et Noire à la Royal Deutch and Shell. C’est un autre exemple de la manière que les Rothschild tentent de cacher leur fortune.

1907 : Jacob Schiff des Rothschild, à la tête de Kuhn, Loeb & Co., dans un discours devant la Chambre de Commerce de New York, donne l’avertissement suivant : « À moins que nous n’ayons une Banque Centrale possédant un contrôle adéquat des ressources de crédit, notre pays va éprouver la panique monétaire la plus sévère et la plus étendue de son histoire. » Soudain, l’Amérique se trouve au milieu d’une autre crise financière typique conçue par les Rothschild, qui, comme d’habitude, ruine la vie de millions de personnes innocentes à travers l’Amérique et procure des milliards de dollars aux Rothschild.

1909 : Jacob Schiff fonde l’Association nationale pour l’avancement des peuples de couleur (NAACP) dans le but d’inciter les gens de race noire à faire des émeutes, du pillage et toute autre forme de désordre, afin de causer une division entre les communautés noires et blanches. L’historien juif Howard Sachar déclare ce qui suit, dans son livre Histoire des Juifs en Amérique : « En 1914, le professeur émérite Joel Spingarn de l’Université Columbia devint directeur du NAACP et recruta dans son comité des leaders juifs tels que Jacob Schiff, Jacob Billikopf et le rabbin Stephen Wise. » Parmi d’autres cofondateurs juifs ashkénazes, il y a Julius Rosenthal, Lillian Wald et le rabbin Emil G. Hirsch. Le NAACP n’assigna pas avant 1920 son premier président noir, James Weldon Johnson. Maurice de Rothschild épouse la Juive ashkénaze Noémie Halphen.

1911 : Dans son livre Les Juifs et le capitalisme moderne, Werner Sombart déclare qu’à partir de 1829, ce fut « l’Ère Rothschild », et conclut qu’il n’y avait « qu’un seul pouvoir en Europe et c’était les Rothschild ».

1912 : Dans le numéro de décembre du magazine Truth, George R. Conroy déclare au sujet du banquier Jacob Schiff : « M. Schiff est à la tête de la grande maison bancaire privée Kuhn, Loeb & Co qui représente les intérêts Rothschild de ce côté-ci de l’Atlantique. On l’a décrit comme un stratège financier et a été pendant des années le ministre financier de la grande puissance impersonnelle connue sous le nom de Standard Oil. Il marchait main dans la main avec les Harriman, les Gould et les Rockefeller dans toutes leurs entreprises ferroviaires et il est devenu le pouvoir dominant des puissances ferroviaires et financières d’Amérique. »

1913 : Le 4 mars, Woodrow Wilson est élu 28e Président des États-Unis. Peu après qu’il ait été inauguré, il reçoit la visite à la Maison Blanche du Juifs ashkénaze Samuel Untermeyer de la firme d’avocats Guggenheim, Untermeyer & Marshall, qui essaie de le faire chanter pour une somme de 40 000 $ en relation avec une affaire survenue pendant que Wilson était professeur à l’Université Princeton, avec la femme d’un collègue professeur. Le Président Wilson n’a pas l’argent, donc, Untermeyer se porte volontaire à payer de sa poche les 40 000 $ à la femme avec qui Wilson avait eu une aventure, à la condition que Wilson promette de nommer, dès le premier poste vacant de la Cour Suprême, un candidat qu’Untermeyer recommanderait au Président Wilson. Celui-ci accepte.

Jacob Schiff crée la Ligue Anti-diffamation (ADL) aux États-Unis. Cette organisation est formée pour diffamer quiconque remet en question ou défit la conspiration globale des Rothschild, en le traitant « d’antisémite ».

Chose plutôt étrange, la même année qu’ils font cela, ils inaugurent leur dernière banque centrale actuelle en Amérique, la Réserve Fédérale. Suite à l’adoption du projet de Loi sur la Réserve Fédérale, le 23 décembre, le membre du Congrès Charles Lindbergh déclare : « Le Projet de loi établit le cartel le plus gigantesque sur terre. Quand le Président va signer ce projet de loi, le gouvernement invisible du pouvoir monétaire sera légalisé … Le plus gros crime de tous les temps est perpétré par ce projet de loi bancaire et monétaire. » Il est important de noter que la Réserve Fédérale est une compagnie privée, elle n’est ni fédérale ni ne possède de réserve. L’on estime de façon conservatrice que les profits excèdent 150 milliards $ par année et, dans toute son histoire, la Réserve Fédérale n’a jamais publié de bilan.

1914 : Début de la Première Guerre Mondiale. Dans cette guerre, les Rothschild d’Allemagne prêtent de l’argent aux Allemands, les Rothschild britanniques prêtent de l’argent aux Anglais et les Rothschild de France prêtent de l’argent aux Français. En outre, les Rothschild ont le contrôle des trois agences de nouvelles d’Europe, Wolff (fondée en 1849) en Allemagne, Reuters (fondée en 1851) en Angleterre, et Havas (fondée en 1835) en France. Les Rothschild utilisent Wolff pour manipuler le peuple allemand en faveur de la guerre. À partir de ce moment-là, les Rothschild sont rarement rapportés dans les médias parce qu’ils possèdent les médias.

1916 : Le 4 juin, le Juif ashkénaze Louis DembitzBrandeis est nommé à la Cour Suprême des États-Unis par le Président Wilson en tant que son paiement agréé au chantage de Samuel Untermeyer quelque trois ans plus tôt. Le juge Brandeis est également le leader élu au Comité Exécutif des Affaires Sionistes, position qu’il détient depuis 1914.

Au milieu de la Première Guerre Mondiale, l’Allemagne gagnait la guerre puisqu’elle était financée par les Rothschild à un montant plus élevé que la France, l’Italie et l’Angleterre, parce que les Rothschild ne voulaient pas soutenir le tzar de Russie, car, bien sûr, la Russie était du côté de la France, de l’Italie et de l’Angleterre.

Arriva ensuite un événement significatif. L’Allemagne, bien qu’elle était en train de gagner la guerre et qu’aucun soldat étranger n’avait foulé son sol, offrit l’armistice à la Grande-Bretagne sans exigence de réparation. Les Rothschild étaient anxieux de s’assurer que cela n’arrive pas, car ils espéraient faire plus d’argent avec cette guerre, alors ils sortirent une carte de leur manche.

Pendant que les Britanniques examinaient l’offre de l’Allemagne, l’agent Louis Brandeis des Rothschild envoya une délégation sioniste d’Amérique à l’Angleterre afin de promettre de faire entrer l’Amérique dans la guerre du côté des Britanniques pourvu que ceux-ci soient d’accord pour donner le territoire de la Palestine aux Rothschild.

Les Rothschild voulaient la Palestine pour les raisons suivantes. Ils détenaient de gros intérêts d’affaires au Proche-Orient et ils désiraient avoir leur propre état dans cette région, ainsi que leur propre armée qu’ils pourraient utiliser comme agresseur contre n’importe quel état qui menacerait ces intérêts.

Les Britanniques furent subséquemment d’accord avec un traité pour la Palestine et les sionistes de Londres contactèrent leur contrepartie américaine pour les informer de ce fait. Soudainement, tous les journaux majeurs d’Amérique qui, jusqu’à ce moment-là, avaient été pour l’Allemagne, lui tournèrent le dos en propageant des articles tels que : « Les soldats allemands tuent des infirmières de la Croix Rouge » ; « Les soldats allemands coupent les mains des bébés », etc., afin de manipuler le public américain à se tourner contre les Allemands.

Cette même année, le Président Woodrow Wilson fit sa campagne de réélection sous le slogan de : « Réélisez l’homme qui gardera vos fils hors de la guerre ».

Le 12 décembre, l’Allemagne et ses alliés font des offres de paix pour mettre fin à la guerre.

1917 : En conséquence des offres de paix de l’Allemagne, la machine de guerre des Rothschild met les bouchées doubles en Amérique, répandant sa propagande qui pousse le Président Wilson, sous les instructions du leader sioniste américain et juge de la Cour Suprême Louis DembitzBrandeis, à renoncer à sa promesse faite à l’électorat et à faire entrer l’Amérique dans la première guerre, le 6 avril.

Quant à la promesse sioniste des Rothschild faite aux Britanniques de faire entrer l’Amérique en guerre, ils décident qu’ils veulent quelque chose d’écrit de la part des Britanniques afin de prouver que ces derniers accompliront leur part du marché. Le Secrétaire à l’étranger britannique Arthur James Balfour, rédige une lettre maintenant communément reconnue comme la « Déclaration Balfour » telle que reproduite ci-après.

Ministère des Affaires Étrangères, le 2 novembre 1917

Cher Lord Rothschild,

Il me fait grand plaisir de vous transmettre, au nom du Gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante de sympathie envers les aspirations juives sionistes qui ont été soumises, et approuvées, par le Cabinet.

Le Gouvernement de Sa Majesté envisage avec faveur l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif et il emploiera ses meilleurs efforts à faciliter l’accomplissement de cet objectif, étant bien compris que rien ne sera fait qui puisse porter préjudice aux droits civils et religieux des communautés non-juives existant en Palestine, ou les droits et les statuts dont jouissent les Juifs dans quelqu’autre pays.

Je vous serais reconnaissant d’amener cette déclaration à la connaissance de la Fédération Sioniste.

Sincèrement vôtre,

Arthur James Balfour

Les Rothschild ordonnent l’exécution, par les bolcheviks qu’ils contrôlent, du tzar Nicholas II et de toute sa famille en Russie, même si le tzar avait déjà abdiqué le 2 mars. C’est à la fois pour prendre le contrôle du pays et accomplir un acte de vengeance à propos du tzar Alexandre 1er qui avait bloqué leur plan de gouvernement mondial, en 1815, au Congrès de Vienne, et le tzar Alexandre II s’étant rangé du côté du Président Abraham Lincoln, en 1864. Il est extrêmement important pour eux de massacrer la famille entière, incluant femmes et enfants, dans le but de tenir la promesse faite par Nathan Mayer Rothschild en 1815. Cela a pour dessein de montrer au monde ce qui arrive si vous faites ne serait-ce que tenter de contrarier les Rothschild.

Le représentant américain Oscar Callaway informe le Congrès que J. P. Morgan est un homme de front des Rothschild et qu’il a pris le contrôle de l’industrie médiatique de l’Amérique. Il déclare : « En mars 1915, les intérêts J. P. Morgan, l’acier, la construction navale et la poudre, et leurs organisations subsidiaires, rassemblèrent douze hommes haut placés dans le monde journalistique et les employèrent à sélectionner les journaux les plus influents aux États-Unis et un nombre suffisant d’entre eux pour contrôler la politique en général de la presse quotidienne … Ils virent qu’il n’était nécessaire que d’acheter 25 des plus grands journaux … On parvint à un accord. La politique des journaux fut achetée sur une base mensuelle ; l’on fournit un rédacteur-en-chef pour superviser et rédiger convenablement l’information regardant les questions de disposition, de militarisme, de politique financière et autres choses de nature nationale et internationale considérées cruciales aux intérêts des acheteurs. »

1919 : En janvier, les Juifs ashkénazes Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg sont tués en tentant de diriger un autre coup d’état communiste financé par les Rothschild, cette fois à Berlin, en Allemagne. La Conférence de paix de Versailles est tenue pour décider des réparations que les Allemands doivent payer aux vainqueurs à la suite de la Première Guerre Mondiale. Une délégation de 117 sionistes dirigée par le Juif ashkénaze Bernard Baruch soulève le sujet de la promesse de la Palestine qui leur a été faite. À ce moment-là, les Allemands réalisent pourquoi l’Amérique leur a tourné le dos et de par quelle influence : les Rothschild.

Naturellement, les Allemands ressentent qu’ils ont été trahis par les sionistes. Cela parce que, au moment où les Rothschild firent leur traité avec l’Angleterre pour l’obtention de la Palestine en échange d’avoir amené les Américains dans la guerre, l’Allemagne était le pays le plus amical du monde envers les Juifs. En fait, l’Édit d’Émancipation Allemand de 1822 garantissait aux Juifs d’Allemagne tous les droits civils dont jouissaient les Allemands.

Aussi, l’Allemagne était le seul pays d’Europe qui n’imposait pas de restrictions aux Juifs, leur donnant même refuge quand ils avaient dû fuir la Russie après leur première tentative de coup d’état communiste échoué en 1905.

Néanmoins, les Rothschild ayant tenu leur part du marché en répandant le sang de millions de gens innocents, la Palestine est confirmée en tant que patrie juive et, bien que la cession aux Rothschild ait lieu, elle doit demeurer sous le contrôle des Britanniques, alors que les Rothschild contrôlent la Grande-Bretagne. À l’époque, moins de un pourcent de la population de la Palestine était juive. Fait intéressant, l’hôte de la conférence de paix de Versailles est son patron, le Baron Edmond de Rothschild.

La conférence de paix de Versailles est aussi employée par les Rothschild comme tentative d’instaurer un gouvernement mondial sous prétexte de mettre fin à toutes les guerres (qu’ils ont créées). On appela cela « La Ligue des Nations ». Heureusement, il n’y eu pas assez de pays qui l’acceptèrent et elle mourut bientôt.

Le 29 mars, le Times de Londres rapporte ceci à propos des bolcheviks de Russie : « Une des caractéristiques curieuses du mouvement bolcheviste est le haut pourcentage d’éléments non-russes chez ses leaders. Des vingt ou trente commissaires, ou leaders qui alimentent la machinerie centrale du mouvement bolcheviste, pas moins de 75 % étaient juifs. » On rapporte que les Rothschild étaient mécontents des Russes parce qu’ils n’étaient pas prêts à leur permettre de former une banque centrale dans leur pays. Ils rassemblèrent donc un groupe d’espions juifs et les envoyèrent en Russie pour susciter une révolution au bénéfice de l’homme ordinaire, ce qui était en réalité une prise en main de la Russie par une élite satanique contrôlée par les Rothschild. Dans la bonne vieille tradition de tricherie des Ashkénazes, on donna à ces espions juifs des noms russes. Par exemple, Trotski était membre du premier groupe et son nom original était Bronstein. Ces groupes furent envoyés dans toutes les régions de la Russie pour inciter les émeutes et la rébellion.

L’Édition Post Internationale Juive, de la semaine se terminant le 24 janvier 1991, confirme que Lénine était un Juif. Le propos suivant de Lénine a aussi été enregistré où il déclarait : « L’établissement d’une banque centrale sert à 90 % à imposer le communisme à un pays. »

Ces Juifs, des bolcheviks financés par les Rothschild, allaient, au cours de l’histoire, massacrer 60 millions de chrétiens et de non-Juifs sur le territoire contrôlé par les Soviétiques. En vérité, dans son ouvrage intitulé Archipel du goulag, Vol. 2, l’auteur Alexandre Soljenitsyne affirme que les Juifs sionistes ont créé et administré le système organisé de camps de concentration soviétiques où sont morts ces dizaines de millions de chrétiens et de non-Juifs. À la page 79 de ce livre, il donne même les noms des administrateurs de ces machines de mort les plus grosses de l’histoire du monde. Il y a Aron Solts, Yakov Rappoport, Lazar Kogan, Matveï Berman, Genrikh Yagoda, et Naftaly Frenkel. Tous les six sont des Juifs sionistes. En 1970, Soljenitsyne reçut le Prix Nobel de la Paix pour sa littérature.

N. M. Rothschild & Sons reçoit un rôle permanent pour fixer le prix quotidien de l’or du monde. Cela a lieu dans les bureaux de la Cité de Londres, tous les jours à 11h00, dans la même salle depuis 2004.

1920 : Winston Churchill (dont la mère, Jenny (Jacobson) Jerome, était juive, ce qui signifie qu’il était juif sous la loi ashkénaze puisqu’il est né d’une mère juive) écrit un article dans le Illustrated Sunday Herald, daté du 8 février : « De l’époque du leader illuminati Weishaupt jusqu’à celle de Karl Marx et celle de Trotski, cette conspiration mondiale n’a cessé de grossir avec régularité. Et enfin maintenant, cette bande de personnalités extraordinaires de la pègre des grandes cités d’Europe et d’Amérique a empoigné le peuple russe par les cheveux et ils sont devenus les maîtres incontestés de cet énorme empire. »

1921 : Sous les ordres de Jacob Schiff, le Conseil des Relations Étrangères [CFR] est créé par les Juifs ashkénazes Bernard Baruch et le Colonel Edward Mandell House. Schiff donne ses ordres avant sa mort en 1920, car il savait que l’on devait mettre en place une organisation en Amérique pour sélectionner des politiciens dans le but de faire marcher la conspiration des Rothschild, et la formation du CFR fut agréée effectivement dans une rencontre du 30 mai 1919 à l’Hôtel Majestic de Paris, en France. Au début, les membres du CFR s’élevaient à environ 1 000 personnes aux États-Unis. Ces membres comprenaient les chefs de pratiquement tous les empires industriels d’Amérique, tous les banquiers internationaux basés en Amérique et les dirigeants de toutes les fondations libres de taxe. Essentiellement, tous ces gens qui pouvaient fournir les capitaux nécessaires à quiconque désirant se présenter au Congrès, au Sénat ou à la Présidence.

Le premier travail du CFR fut de prendre le contrôle de la presse. Cette tâche fut confiée à John D. Rockefeller qui instaura un certain nombre de magazines de nouvelles nationales comme Life et le Time. Il finança Samuel Newhouse pour qu’il achète et établisse une chaîne de journaux à travers le pays, et aussi Eugene Mayer qui allait acheter un bon nombre de publications telles que le Washington Post, Newsweek et The Weekly Magazine.

Le CFR devait aussi clôturer le contrôle de la radio, de la télévision et de l’industrie cinématographique. Cette tâche fut divisée entre les banquiers internationaux de Khun Loeb, Goldman Sachs, les Warburg et les Lehmann.

1925 : L’Encyclopédie Juive de cette année-là déclare l’existence des Juifs ashkénazes (qui représentent environ 90 % de la prétendue juiverie internationale) par l’admission surprenante que les soi-disant ennemis des Juifs, Ésaü (appelé aussi Édom, voir Genèse 36:1) représente en réalité maintenant la race juive, alors qu’en page 42 du Volume V, on déclare : « Édom est dans la juiverie moderne. » Donc, ce qu’elle dit fondamentalement, c’est que les Juifs ashkénazes qui représentent 90 % de la prétendue population juive sont en fait eux-mêmes des gentils ou des goyim.

1926 : N. M. Rothschild & Sons refinance la Compagnie de Chemin de Fer Électrique Souterrain de Londres Ltée qui a des intérêts de contrôle sur tout le système de transport souterrain londonien. Maurice de Rothschild a un fils, Edmond de Rothschild.

1929 :  Les Rothschild crashent l’économie des États-Unis en diminuant l’approvisionnement d’argent.

1930 : La première banque mondiale Rothschild, la Bank for International Settlements (BIS), est établie à Bâle, en Suisse. Le même endroit où, trente-trois ans plus tôt, fut tenu le premier Congrès Sioniste Mondial.

1933 : Le 30 janvier, Adolf Hitler devient Chancelier de l’Allemagne. Il chasse les Juifs, dont un grand nombre des postes du gouvernement allemand. En conséquence de cela, en juillet, les Juifs tiennent une Conférence Mondiale à Amsterdam durant laquelle ils exigent qu’Hitler réinstalle chaque Juif à son ancien poste.

Hitler refuse et il en résulte que Samuel Untermeyer, ce Juif ashkénaze qui avait fait chanter le Président Wilson, et qui est maintenant à la tête de la délégation américaine et président de toute la conférence, retourne aux États-Unis et fait un discours à la radio, lequel discours fut transcrit dans From The New York Times, lundi le 7 août 1933. Dans son discours, il fait les déclarations suivantes :

« …Les Juifs sont les aristocrates du monde … Notre campagne est … un boycott économique contre tous les biens, les navires et les services allemands … Ce que nous proposons … c’est de poursuivre un boycott économique purement défensif qui minera le régime Hitler et ramènera le peuple allemand à ses sens en détruisant son commerce d’exportation dont dépend son existence même … Chacun d’entre vous, Juifs comme Gentils … devez refuser de traiter avec quelque marchand ou commerçant que ce soit qui vend des biens fabriqués en Allemagne ou qui se fournit par bateau allemand. »

Puisque deux-tiers de l’approvisionnement en nourriture de l’Allemagne devait être importé, et ne pouvait être importé que par les recettes de ce qu’ils exportaient, si l’Allemagne ne pouvait exporter, deux-tiers de la population allemande crèverait de faim, car il n’y aurait de nourriture que pour un tiers de la population. Par suite de ce boycott, les Juifs à travers l’Amérique protestèrent et endommagèrent tout magasin dans lequel on trouvait des produits sur lesquels il était imprimé « Fait en Allemagne », faisant en sorte que les magasins eurent à jeter les produits ou risquer la banqueroute.

Lorsque les effets de ce boycott commencèrent à se faire sentir en Allemagne, les Allemands, qui n’avaient jamais démontré de violence envers les Juifs jusqu’à date, commencèrent tout simplement à boycotter les magasins juifs de la même manière que ce que les Juifs avaient fait en regard des magasins américains vendant des produits allemands.

Les Rothschild financèrent l’approvisionnement en machines IBM aux Nazis qui produisirent des cartes perforées contribuant à organiser et à gérer l’identification initiale et l’expulsion sociale des Juifs, la confiscation de leurs biens et leur extermination.

Le 16 novembre, le Président Roosevelt reconnaît le régime sioniste de Staline en Russie sans consulter le Congrès, même si 8 000 Ukrainiens firent une marche de protestation à New York.

Également cette année-là, le Président Roosevelt, né d’une mère juive, satisfaisant donc à la règle ashkénaze pour être juif, ordonna que l’œil-qui-voit-tout soit apposé sur tous les nouveaux billets du dollar, avec la devise « Novus Ordo Seclorum ». C’est la version latine de « Un nouvel ordre des âges ».

1934 : Les lois du secret de la banque suisse sont modifiées et c’est maintenant une offense punissable d’emprisonnement pour tout employé de la banque de violer le secret bancaire. Tout cela en préparation de la Seconde Guerre Mondiale conçue par les Rothschild qui vont, comme d’habitude, financer les deux côtés.

Edmond de Rothschild meurt.

1936 : En regard de l’accroissement de l’antisémitisme en Allemagne, Samuel Landman (à l’époque, secrétaire de l’Organisation Sioniste Mondiale) dans son livre de 1936, Great Britain, The Jews and Palestine, déclare ce qui suit sur l’entrée des États-Unis dans la Première Guerre Mondiale : « Le fait que ce soit l’aide des Juifs qui ait amené les États-Unis dans la Première Guerre du côté des Alliés est resté depuis lors sur le cœur de l’Allemand, particulièrement les Nazis, et cela a contribué en grande mesure à la prééminence qu’occupe l’antisémitisme dans le programme nazi. »

1938 : Le sept novembre, un Juif du nom de Herschel Grynszpan assassine Ernst von Rath, fonctionnaire mineur de l’Ambassade allemande à Paris, en réaction à l’hostilité allemande envers les Juifs en Allemagne qui était tourné en violence. La maison bancaire autrichienne des Rothschild à Vienne, S. M. von Rothschild und Söhne, ferme ses portes à la suite de l’occupation nazie en Autriche.

1939 : I. G. Farben, producteur chimique de premier plan dans le monde et plus gros producteur d’acier en Allemagne, accroît sa production de façon spectaculaire. Cette croissance de production est employée presque exclusivement à armer l’Allemagne pour la Seconde Guerre Mondiale. Cette compagnie était contrôlée par les Rothschild et elle utilisa des Juifs et d’autres gens mécontents en tant qu’ouvriers esclaves dans les camps de concentration. I. G. Farben a aussi créé le gaz Zyklon B mortel qui fut employé à exterminer les Juifs.

Le 1er septembre, la Deuxième Guerre Mondiale débute quand l’Allemagne envahit la Pologne. C’était parce que le leadership allemand était chrétien et qu’il comprenait que la Russie soviétique était dirigée par des communistes financés par les Rothschild et il craignait que, la Russie croissant en force, ces communistes juifs l’envahiraient et balaieraient tous les chrétiens de la mappe.

1940 : Dans son livre Inside the Gestapo, Hansjurgen Koehler déclare ce qui suit concernant Maria Anna Schicklgruber, grand-mère d’Adolf Hitler : « Une petite servante vint à Vienne et devint domestique au Manoir Rothschild, et la grand-mère inconnue d’Hitler doit probablement avoir été attendue dans cette magnifique maison. » Cela est confirmé par Walter Langer dans son livre L’esprit d’Hitler, dans lequel il déclare : « Le père d’Adolf, Aloïs Hitler, était le fils illégitime de Maria Anna Schicklgruber. Celle-ci vivait à Vienne au moment de sa conception. À l’époque, elle était employée comme servante dans la maison du Baron Rothschild. Aussitôt que sa famille découvrit sa grossesse, elle fut retournée à la maison où Aloïs est né. » En surface, il aurait semblé qu’Hitler n’était pas un Rothschild, mais encore là, quand l’on regarde les bénéfices que les Rothschild ont retiré de cette guerre, financièrement comme politiquement, une connexion Rothschild n’apparaît pas aussi excentrique qu’elle puisse le sembler initialement.

1941 : Le Président Roosevelt amène l’Amérique dans la Deuxième Guerre Mondiale en refusant de vendre davantage de ferraille et de pétrole au Japon. Or, le Japon était en plein milieu d’une guerre contre la Chine et, sans cette ferraille et ce pétrole, il ne pourrait continuer cette guerre. Le Japon était entièrement dépendant des États-Unis à la fois pour sa ferraille et son pétrole. Roosevelt savait que cette action provoquerait les Japonais à attaquer l’Amérique, ce qu’ils firent par la suite à Pearl Harbour.

1942 : Prescott Bush, père du futur Président américain George Herbert Walker, et grand-père du futur Président George W., voit saisir sa compagnie sous la Loi de « Commerce avec l’Ennemi ». Il finançait Hitler à partir de l’Amérique pendant que les soldats américains se faisaient tuer par les soldats allemands. Les Juifs se faisaient aussi massacrer par ces mêmes soldats. Il est intéressant de constater que l’ADL n’a jamais critiqué aucun des Bush pour cela.

1943 : Le 18 février, le sioniste Izaak Greenbaum, chef de l’Agence Juive du Comité de Secours, déclara ce qui suit dans un discours donné au Conseil Exécutif Sioniste : « Si l’on me demandait si je puis donner de l’argent de l’UJA (United Jewish Appeal) pour secourir des Juifs, je dirais non, et je dis encore non ! » Il poursuivit en disant : « Une vache en Palestine vaut mieux que tous les Juifs en Pologne ! » Ce n’est pas une surprise, car l’idée derrière le fait que le sionisme soutienne le massacre de Juifs innocents était d’apeurer les survivants pour qu’ils croient que leur seul endroit de sécurité était Israël. De quelle autre manière pensez-vous que les sionistes auraient pu s’assurer que les Juifs quittent les belles villes européennes dans lesquelles ils vivaient pour s’installer dans un désert ?

1944 : Le 6 novembre, Lord Moyne, Ministre britannique résidant au Proche-Orient, fut assassiné au Caire par deux membres du groupe terroriste juif Stern Gang, dirigé par le futur Premier Ministre d’Israël Yitzhak Shamir. Il est aussi responsable, cette même année-là, d’une tentative d’assassinat contre Harold MacMichael, le Haut Commissionnaire du Mandat Britannique de la Palestine.

Chose intéressante, il organise également un autre assassinat réussi la même année contre le représentant des Nations Unies au Proche-Orient, le Comte Folke Bernadotte qui, même s’il avait assuré la relaxation de 21 000 prisonniers des camps allemands durant la Deuxième Guerre Mondiale. Il était vu par Yitzak Shamir et ses collaborateurs terroristes comme un antisioniste.

À Bretton Woods, au New Hampshire, deux autres banques mondiales Rothschild sont créées. Le Fonds Monétaire International (FMI) et la Banque Mondiale.

1945 : Fin de la Deuxième Guerre Mondiale. On rapporte que les usines de la I. G. Farben furent spécifiquement épargnées dans les raids de bombardement sur l’Allemagne. Fait intéressant, à la fin de la guerre, on constata qu’elles n’avaient subi que 15 % de dommages.

Les tribunaux, tenus à la fin de la guerre pour enquêter sur les Crimes de Guerre des Nazis, censurent tout le matériel enregistrant l’aide occidentale à Hitler.

Les Rothschild font un pas de géant vers leur but de domination mondiale lorsque la seconde « Ligue des Nations », appelée « Nations Unies », est approuvée cette année-là.

1946 : Le 22 juillet, le futur Premier Ministre d’Israël, le Juif ashkénaze David Ben-Gourion ordonne à un autre futur Premier Ministre d’Israël, Menachem Begin, de mener une attaque terroriste contre l’Hôtel Roi David en Palestine, pour essayer de chasser les Britanniques. Il en ressort que 91 personnes sont tuées dont la plupart sont des civils : 28 Britanniques, 41 Arabes, 17 Juifs et 5 autres. Environ 45 personnes sont blessées.

Menachem Begin se mit à se proclamer le « père du terrorisme moderne ». Juste pour mettre en perspective la gravité de l’attaque contre l’Hôtel Roi David, ce fut à l’époque le plus haut taux de mortalité résultant d’un seul acte de terrorisme et il ne fut surpassé que quarante ans plus tard par l’explosion du vol Pan Am 103 au-dessus de Lockerbie.

1947 : Les Britanniques qui, avant la Deuxième Guerre Mondiale, déclarèrent qu’il n’y aurait pas davantage d’immigration de Juifs en Palestine afin de protéger les Palestiniens des actes de terreur contre eux et contre les soldats britanniques, transférèrent le contrôle de la Palestine aux Nations Unies. Celles-ci décidèrent que la Palestine serait partagée en deux états, un sioniste et un arabe, avec Jérusalem qui demeurerait zone internationale dont jouiraient toutes les croyances religieuses.

Le transfert était prévu pour le 15 mai 1948. Les Nations Unies n’avaient aucun droit de donner des propriétés arabes à quiconque. Or, en fait, même si les Juifs ne possédaient que 6 % de la Palestine à ce moment-là, la Résolution 181 accorda aux Juifs 57 % de la terre, en laissant 43 % aux Arabes qui, à l’époque, possédaient 94 % du territoire.

L’information collectée par l’ADL par ses opérations d’espionnage sur les citoyens américains est utilisée par le Comité Sélect de la Chambre sur les Activités Antiaméricaines. La présidente d’un sous-comité, Clare Hoffman, écarte les rapports de l’ADL sur des gens suspectés communistes en disant qu’il s’agit de « rumeurs ».

1948 : Au printemps de cette année-là, les Rothschild corrompent le Président Harry S. Truman (33e Président des États-Unis de 1945 à 1953) en lui donnant 2 000 000 $ pour sa campagne présidentielle, afin qu’il reconnaisse Israël (territoire sioniste, et non juif, appartenant aux Rothschild) en tant qu’état souverain.

Ils déclarent ensuite qu’Israël est un état souverain en Palestine et, une demi-heure plus tard, le Président Truman déclare que les États-Unis sont le premier pays à le reconnaître.

Le drapeau d’Israël est dévoilé. Malgré une forte opposition, l’emblème est une version de couleur bleu de « l’Hexagramme ou Enseigne Rouge » des Rothschild.

Cela enrage un grand nombre de Juifs qui réalisent que l’hexagramme était utilisé dans les anciennes religions à mystères comme symbole de « Moloch » (dépeint comme un démon de sacrifice involontaire ; il est aussi intéressant de savoir que c’est le nom du hibou de pierre que l’élite adore au Bohemian Grove) et « d’Astaroth » (décrit comme le Seigneur du Trésor de l’Enfer).

L’hexagramme était aussi employé à représenter Saturne, que l’on a identifié comme le nom ésotérique de Satan. Cela indique que quiconque est tué au nom d’Israël est en réalité un sacrifice à Satan. Ces Juifs dissidents croient que le Menora, le plus ancien symbole juif, devrait être utilisé, et ils soulignent que l’hexagramme n’est même pas un symbole juif, mais, bien sûr, puisque les sionistes Rothschild l’utilisent, c’est-à-dire, qu’il a abouti chez les Rothschild, je veux dire, les sionsites, je veux dire, le drapeau israélien…

Aux petites heures du 19 avril, 132 terroristes juifs du gang Irgun, conduit par le futur Premier Ministre Menahem Begin, et le gang Stern, conduit par le futur Premier Ministre Yitzak Shamir, massacrent brutalement 200 hommes, femmes et enfants pendant qu’ils dorment paisiblement dans le village arabe de Deir Yassine.

Suite au transfert onusien de la Palestine vers un état indépendant juif et un état indépendant arabe, le 15 mai, les Israéliens lancent un assaut militaire contre les Arabes, avec de gros haut-parleurs beuglants sur des camions pour informer les Arabes que s’ils ne fuient pas immédiatement, ils seront massacrés.

Ayant en mémoire le massacre récent de Deir Yassine, 800 000 Arabes prennent la fuite en panique. Ils demandent l’aide des pays arabes voisins, mais ces états ne veulent pas s’impliquer parce qu’ils ne sont pas de taille face aux Israéliens dont l’équipement militaire dernier cri a été fourni par le régime staliniste juif de Russie. À la suite de cet assaut, les Juifs contrôlent maintenant 78 % de l’ancienne Palestine par contraste au 57 % qui leur a été donné illégalement par les Nations Unies.

Les Palestiniens, dont beaucoup sont chrétiens, n’ont jamais reçu de compensation pour leurs foyers, leurs propriétés et leurs entreprises qui leur furent volés durant cet assaut illégal des Juifs, et ces gens ont fini par se retrouver dans des bidonvilles de refugiés sous des tentes. De plus, dans leur hâte de s’enfuir, au moins la moitié des Palestiniens ont laissé derrière leur certificat de naissance. L’État d’Israël passa ensuite une loi disant que seuls ceux qui pouvaient prouver leur citoyenneté avaient la permission de revenir en Israël, ce qui veut donc dire que 400 000 Palestiniens ne pouvaient revenir et perdirent tous les biens qu’ils y avaient laissés.

Le Juif ashkénaze David Ben-Gourion, un des pères fondateurs d’Israël et son premier Premier Ministre, décrit avec franchise les buts du sionisme, dans son journal personnel (21 mai 1948) comme suit : « Le talon d’Achille de la coalition arabe est le Liban. La suprématie musulmane de ce pays est artificielle et on peut facilement la renverser. On doit y instaurer un État chrétien, avec comme frontière sud la rivière Litani. Nous signerions un traité d’alliance avec cet État. Par conséquent, lorsque nous aurions brisé la force de la Légion arabe et bombardé Amman, nous pourrions balayer la Transjordanie et après cela la Syrie tomberait. Et si l’Égypte ose encore faire la guerre contre nous, nous bombarderions Port Saïd, Alexandrie et le Caire. Nous pourrions alors mettre fin à la guerre et aurions remboursé l’Égypte, l’Assyrie et la Chaldée au nom de nos ancêtres. »

1949 : Le 1er octobre, Mao Tsé-toung déclare la fondation de la République du Populaire de Chine à la Place Tiananmen, à Pékin. Il est financé par le communisme de Russie créé par les Rothschild, ainsi que les agents Rothschild suivants : Solomon Adler, ancien fonctionnaire au Trésor des États-Unis et qui était un espion soviétique ; Israël Epstein, fils d’un des bolcheviks juifs emprisonnés par le tzar de Russie pour avoir tenté d’y fomenter une révolution ; et Frank Coe, fonctionnaire dirigeant du FMI appartenant aux Rothschild.

1950 : Israël adopte sa loi du retour, laquelle garantit à tous les Juifs du monde le droit de demeurer dans l’état d’Israël ; cependant, même si les Palestiniens y vivaient depuis 1 300 ans, ce droit leur était nié.

John Davitt, ancien chef de la section de la sécurité interne du Département de la Justice, remarque que le service de renseignement israélien est le second plus actif aux États-Unis, après les Soviétiques, et, évidemment, Israël comme l’Union soviétique sont dirigés par un leadership juif ashkénaze.

1951 : Le 1er avril, l’Agence Secrète de Renseignement Israélienne, le Mossad, est formée et va terroriser le monde. La devise du Mossad est probablement la plus répugnante de tous les services secrets du monde. Elle dit : « Par voie de tricherie, tu feras la guerre. »

1953 : N. M. Rothschild & Sons fonde la Compagnie britannique de Terre-Neuve Limitée pour développer 60 000 milles carrés sur le territoire de Terre-Neuve, au Canada qui comprend une centrale électrique pour harnacher le pouvoir de la Hamilton Falls (plus tard renommée Churchill Falls). À l’époque, il s’agissait du plus gros projet de construction jamais entrepris par une compagnie privée.

1954 : « L’Affaire Lavon ». Des agents israéliens recrutent des citoyens égyptiens de descendance juive pour bombarder des cibles occidentales en Égypte et sèment des preuves pour faire porter les accusations sur les Arabes, dans l’apparente tentative de bouleverser les relations américano-égyptiennes. Le ministre de la défense israélien, le Juif ashkénaze PinhasLavon, est par la suite démis de son poste quoi qu’un grand nombre de gens pensent que la véritable responsabilité revient à David Ben-Gourion.

Un microphone caché et planté par les Israéliens est découvert dans le Bureau de l’Ambassadeur américain à Tel-Aviv.

1955 : Edmond de Rothschild fonde la Compagnie Financière à Paris.

1956 : On trouve un téléphone d’écoute relié à deux téléphones dans la résidence de l’attaché militaire américain à Tel-Aviv.

1957 : James de Rothschild décède et l’on rapporte (par les médias appartenant aux Rothschild) qu’il légua une forte somme d’argent à l’état d’Israël pour payer la construction de leur édifice parlementaire, la Knesset. Il déclare que la Knesset devrait être : « un symbole aux yeux de tous les hommes de la permanence de l’État d’Israël. »

À la page 219 de son livre intitulé Légendes de l’aristocratie britannique, L. G. Pine, rédacteur-en-chef de Burke’s Peerage, déclare que les Juifs « se sont si bien reliés à la noblesse britannique que les deux classes ne peuvent probablement pas subir de perte qui ne soit pas mutuelle. Les Juifs et les lords sont liés si étroitement qu’un coup porté aux Juifs de ce pays ne serait pas possible sans aussi blesser l’aristocratie. » Maurice de Rothschild décède à Paris.

1962 : De Rothschild Frères établit Imétal comme compagnie de couverture pour tous leurs intérêts d’extraction minière.

Frederic Morton publie son livre, Les Rothschild, dans lequel il déclare : « Bien qu’ils contrôlent des dizaines d’entreprises industrielles, commerciales, minières et touristiques, aucune ne porte le nom de Rothschild. Étant des partenaires privés, les maisons familiales n’en ont jamais besoin, et ne publient jamais le moindre bilan public, ni aucun autre rapport sur leur condition financière. » Cette attitude révèle les réelles visées des Rothschild : éliminer toute compétition et créer leur propre monopole mondial.

1963 : Le 4 juin, le Président John F. Kennedy (35e Président des États-Unis de 1961 à 1963) signe l’Ordre Exécutif 11110 qui retourne au gouvernement américain le pouvoir d’émettre sa monnaie sans avoir à passer par la Réserve Fédérale appartenant aux Rothschild.

Moins de six mois plus tard, le 22 novembre, le Président Kennedy est assassiné par les Rothschild pour la même raison qu’ils assassinèrent le Président Abraham Lincoln en 1865 : il voulait imprimer la monnaie américaine pour le peuple américain en s’opposant à une élite étrangère guerroyeuse qui s’accapare l’argent.

Cet Ordre Exécutif 11110 est révoqué par le Président Lyndon Baines Johnson (36e Président des États-Unis de 1963 à 1969) sur l’Air Force One de Dallas à Washington le jour même où le Président Kennedy fut assassiné.

Une autre raison, et peut-être la principale, de l’assassinat de Kennedy est le fait qu’il dit très clairement au Premier Ministre d’Israël, David Ben-Gourion, qu’en aucune circonstance il ne serait d’accord pour qu’Israël devienne un état nucléaire. Dans une revue du livre d’Avner Cohen, Israël et la bombe, le journal israélien Ha’aretz du 5 février 1999 déclare ce qui suit : « Le meurtre du Président américain John F. Kennedy mit abruptement fin à la forte pression exercée par l’Administration américaine sur le gouvernement d’Israël pour qu’il discontinue son programme nucléaire … Le livre sous-entend que, si Kennedy était demeuré vivant, il est à douter qu’Israël ait aujourd’hui une option nucléaire. »

Edmond de Rothschild établit la Compagnie Financière Edmond Rothschild (LCF), en Suisse, en tant que maison de capital de risque. Elle se développe ensuite en banque d’investissement et en société de gestion de capital avec un grand nombre d’affiliés. Il marie également son épouse Nadine et ils ont un fils, Benjamin de Rothschild.

1965 : Israël obtient illégalement de l’uranium enrichi de NUMEC (Entreprise de matériaux et d’équipement nucléaire).

1967 : Le traitement des Palestiniens par les Juifs sionistes soulève finalement assez de colère dans le monde arabe pour que l’Égypte, la Jordanie et la Syrie se mobilisent sur les frontières d’Israël. Ces trois pays sont soudainement attaqués par Israël et il en résulte que le Sinaï, qui inclut Gaza, fut volé à l’Égypte, et la Cisjordanie et la rivière Jourdain furent volés à la Jordanie.

En conséquence, le 8 juin, les Israéliens lancent une attaque contre le USS Liberty [un navire américain] au moyen d’avions et de torpilleurs motorisés israéliens dans l’effort de jeter le blâme sur l’Égypte afin d’amener l’Amérique en guerre de leur côté et donc, suivre à la lettre la devise du Mossad : « Par voie de tricherie, tu feras la guerre. »

Suite à leur attaque, 34 militaires américains sont tués et 174 sont blessés. Israël ment comme d’habitude, déclarant qu’il avait confondu ce vaisseau de guerre, battant pavillon américain, avec un ancien transporteur de chevaux hors-service égyptien appelé El Quseir, qui était 180 pieds plus court. Ils proclamèrent aussi que le bateau se trouvait en zone de guerre, alors qu’en réalité il flottait en eaux internationales, loin de tout combat. L’attaque israélienne sur le vaisseau de guerre dura quelque 75 minutes pendant lesquelles ils tirèrent sur un des drapeaux américains, ce qui fit en sorte que les marins en élevèrent désespérément un autre.

À la suite de cette attaque, les marins américains qui ont survécu sont avertis par l’armée des États-Unis de ne pas discuter de l’affaire avec quiconque pour cause de « sécurité nationale ». Il n’est accordé aucune importance à cette histoire dans le grand courant médiatique contrôlé par les Rothschild et, comme à l’habitude, Israël n’est pas même réprimandé pour ses crimes par son pays soumis d’Amérique.

Le jour suivant, le 9 juin, Israël occupe illégalement le Plateau du Golan qu’il saisit de la Syrie. Cette région va fournir à Israël un tiers de son eau douce.

Le général israélien Matityahou Peled est cité dans Ha’aretz (du 19 mars 1972) par la déclaration suivante : « La thèse selon laquelle le danger d’un génocide pendait au-dessus de nous, en juin 1967 et qu’Israël combattait pour sa survie physique n’était que du bluff, lequel était né et avait été développé après la guerre. » Une autre déclaration révoltante et trompeuse, mais au moins est-il encore consistant avec la devise du Mossad : « Par voie de tricherie, tu feras la guerre ». De Rothschild Frères est renommé Banque Rothschild.

1968 : Noémie Halphen, épouse de Maurice de Rothschild, décède.

1970 : Alors qu’il travaillait pour le sénateur Henry « Scoop » Jackson, le Juif ashkénaze Richard Perle est surpris par le FBI à donner de l’information top-secrète à Israël. Rien n’est fait.

Le Premier Ministre britannique Edward Heath fait de Lord Victor Rothschild le chef de son unité politique. Pendant qu’il joue ce rôle, la Grande-Bretagne entre dans la Communauté Européenne.

1973 : Dans son livre Personne n’ose l’appeler conspiration, Gary Allen déclare : « Une des raisons majeures du trou de mémoire historique sur le rôle des banquiers internationaux dans l’histoire de la politique est que les Rothschild sont juifs. Les membres juifs de la conspiration ont utilisé une organisation appelée Ligue Anti-Diffamation (ADL) comme instrument pour essayer de convaincre quiconque que toute mention des Rothschild et de leurs alliés est une attaque contre tous les Juifs.

« De cette façon, ils ont étouffé presque toute connaissance honnête au sujet des banquiers internationaux et rendu le sujet tabou dans les universités. Tout individu ou tout livre explorant le sujet est immédiatement attaqué par les centaines de communautés de l’ADL à travers le pays. L’ADL n’a jamais laissé la vérité ou la logique interférer dans ses travaux de salissure hautement professionnels. En vérité, personne n’a plus le droit d’être en colère contre la clique Rothschild que leurs camarades juifs. L’empire Rothschild contribua à financer Adolf Hitler. »

George J. Laurer, employé d’IBM contrôlé par les Rothschild, invente les code-barres UPC (Universal Product Code ou code de produits universel) qui sera par la suite placé sur tous les items marchandés dans le monde et qui porte le nombre 666. Le Livre de l’Apocalypse, au chapitre 13 et aux versets 17 et 18, déclare ce qui suit en relation avec ce nombre : « Et qu’aucun ne pouvait acheter, ni vendre, s’il n’avait la marque ou le nom de la bête, ou le nombre de son nom. Ici est la sagesse : que celui qui a de l’intelligence, compte le nombre de la bête ; car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

Toutes les visées sataniques des Rothschild sont maintenant en pleine vue du monde, tout ce qui est acheté et vendu porte la marque de la bête, 666. L’Entreprise Britannique Terre-neuve de N. M. Rothschild & Sons, projet de Churchill Falls à Terre-neuve, au Canada, est complété.

N. M. Rothschild & Sons crée aussi une nouvelle partie de gestion de capital de la compagnie qui commerce dans le monde entier. Ce qui est éventuellement devenu Gestion Privée Rothschild Limitée.

Edmond de Rothschild, arrière-petit-fils de Jacob (James) Mayer Rothschild, achète le domaine du cru bourgeois de Château Clarke à Bordeaux.

1976 : Le Juif ashkénaze Harold Rosenthal, assistant du Juif ashkénaze, le sénateur Jacob Javits, déclare : « La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais notre dieu est Lucifer. »

1978 : Le Juif ashkénaze Stephen Bryen, alors membre du personnel du Comité des Affaires Étrangères au Sénat, est surpris dans un hôtel de Washington D.C. à offrir des documents confidentiels à de hauts fonctionnaires militaires israéliens. Bryen obtient un avocat, Nathan Lewin, et le cas est porté au grand jury, mais il est mystérieusement abandonné. Plus tard, Bryen va travailler pour Richard Perle.

1979 : Le traité de paix égypto-israélien de 1979 fut garanti par l’aide des Nations Unies qui s’engage à donner 3 milliards de dollars annuellement à Israël à partir des payeurs de taxe des États-Unis (même pas une goutte dans l’océan lorsque l’on considère le montant qu’ils font avec la Réserve Fédérale).

Le Shin Bet (agence de sécurité interne israélienne) essaie de pénétrer le Consulat général américain à Jérusalem au moyen d’une « trappe à miel », en utilisant un employé de bureau qui entretenait une relation avec une fille de Jérusalem.

Dans une joint-venture avec Robert Mondavi, le Baron et la Baronne Phillipi de Rothschild commencent la construction d’une pyramide à Napa Valley, en Californie, où le leader/fondateur de l’Église de Satan, le Juif ashkénaze Anton LaVey était établi. On la connaît sous le nom d’Opus 1 (ce qui signifie « première œuvre »), et ce temple a pour façade un établissement vinicole.

1980 : Le phénomène global de privatisation débute. Les Rothschild sont derrière tout cela dès le départ afin de prendre le contrôle de tous les biens publics dans le monde.

1981 : La Banque Rothschild est nationalisée par le gouvernement français. La nouvelle banque s’appelle la Compagnie Européenne de Banque. Les Rothschild créent par la suite un successeur à cette Banque française, la Banque Rothschild & Cie (RCB), qui deviendra une importante maison d’investissement française.

1982 : Du 16 au 18 septembre, le futur Premier Ministre d’Israël, alors Ministre de la Défense, le Juif ashkénaze Ariel Sharon, orchestre l’invasion d’Israël au Liban, ce qui fournit à Ariel l’étincelle nécessaire pour faciliter la tuerie d’entre 1 000 à 2 000 hommes, femmes et enfants dans les massacres de Sabra et de Shatila.

1985 : Eustace Mullins publie Qui possèdent les réseaux de télévision, dans lequel il révèle que les Rothschild ont le contrôle des trois réseaux américains majeurs : NBC, CBS et ABC.

Le New York Times rapporte que le FBI est au courant d’au moins une douzaine d’incidents où des fonctionnaires américains ont transmis de l’information top-secrète aux Israéliens, en citant l’ancien Assistant-directeur du FBI Raymond Wannal. Le Département de la Justice n’entame aucune poursuite.

Richard Smyth, propriétaire de MILCO, est inculpé pour des accusations d’avoir fait passer en fraude des mouvements d’horlogerie nucléaire en Israël.

N. M. Rothschild & Sons recommande au gouvernement britannique la privatisation du Gaz britannique. Par la suite, ils conseillent au gouvernement britannique de privatiser pratiquement tous leurs autres biens étatiques, y compris : la British Steel ; la British Coal ; toutes les commissions régionales britanniques d’électricité et toutes les commissions régionales britanniques d’eau.

Un membre du Parlement britannique lourdement impliqué dans ces privatisations s’appelle Norman Lamont, futur Chancelier de l’Échiquier et ancien banquier Rothschild.

1986 : Mordechaï Vanunu, technicien à la Dimona, installation nucléaire en Israël, de 1976 à 1985, découvre que l’usine produisait secrètement des armes nucléaires. Sa conscience le porte à parler et, en 1986, il fournit au Sunday Times de Londres les faits et les photos que l’on employa pour faire connaître au monde le programme d’armes nucléaires d’Israël.

Ses preuves montrèrent qu’Israël avait stocké plus de 200 têtes nucléaires, sans débat ni autorisation de ses propre citoyens. Le 30 septembre 1986, Vanunu fut attiré par la ruse de Londres à Rome. Il y fut kidnappé, drogué et renvoyé en Israël. Après un procès secret, il fut condamné à 18 ans pour « trahison » et « espionnage » (choses avec lesquelles Israël est très familier) bien qu’il n’ait reçu aucun paiement et qu’il n’avait communiqué avec aucune puissance étrangère. Il continua à être détenu en isolement complet pendant 11 ans, n’ayant qu’occasionnellement le droit de recevoir la visite de sa famille, de son avocat et d’un prêtre, et seulement à travers un rideau métallique. Même s’il a complété sa sentence, le gouvernement israélien continue de le détenir contre sa volonté.

1987 : Edmond de Rothschild crée la Banque de Conservation Mondiale qui est destinée au transfert des dettes des pays du tiers-monde vers cette banque et, en retour, ces pays donnent de leur territoire à la banque. Tout cela est conçu pour que les Rothschild puissent contrôler le tiers-monde qui représente 30 % de la surface territoriale de la Terre.

Le 24 avril, le Wall Street Journal révèle que « le rôle d’Israël dans le scandale Iran-Contra ne sera pas examiné en détails par les jurys ».

1988 : La Ligue Anti-Diffamation initie une compétition nationale pour les étudiants en droit pour esquisser une législation anti-haine en faveur des groupes minoritaires. La compétition est remportée par un homme du nom de Joseph Ribakoff dont la thèse propose que, non seulement soit bannie la violence motivée par la haine, mais aussi toutes paroles qui stimulent : la suspicion ; la friction ; la haine ; et une possible violence, lesquelles paroles doivent aussi être criminalisées.

Cet exposé du gagnant du prix de l’ADL suggère que, non seulement les agences étatiques surveillent et restreignent la libre expression en général, mais elles doivent également censurer tous les films qui critiquent un groupe identifiable. En outre, même si la personne qui fait la déclaration peut la justifier, par exemple, les chrétiens qui critiquent l’homosexualité parce que la Bible l’interdit expressément, Ribakoff affirme que la vérité ne peut servir de défense en cour.

La seule preuve qu’une cour aura besoin afin d’assurer une condamnation pour langage haineux, c’est que quelque chose ait été dit et qu’un groupe ou un membre de la minorité ait ressenti un dommage émotionnel comme résultat de la critique. Par conséquent, sous ces propositions, que l’ADL aura imposé comme loi dans le monde entier moins de quinze ans après, Jésus-Christ aurait été arrêté comme criminel de haine.

Cette loi est conçue pour protéger la conspiration des Rothschild contre des révélations, car si vous critiquez la cabale criminelle des Rothschild, vous serez taxés d’antisémitisme et risquerez donc l’emprisonnement.

Philippe de Rothschild décède.

1989 : Un grand nombre d’états satellites d’Europe de l’Est, par influence de la glasnost, s’ouvrent davantage aux exigences de liberté face à la gouvernance communiste de leurs Républiques.

Beaucoup de révolutions surviennent en 1989, la plupart d’entre elles impliquant le renversement de leurs gouvernements communistes respectifs et leur remplacement par des Républiques.

Donc, la main mise que les communistes avaient sur l’Europe de l’Est (le Rideau de Fer) s’affaiblit grandement. Éventuellement, suite à la Perestroïka et à la Glasnost, le communisme s’écroule, non seulement en Union Soviétique, mais également en Europe de l’Est.

En Russie, Boris Eltsine (dont la femme est la fille du mariage de Joseph Staline avec Rosa Kaganovich) et le gouvernement républicain font les démarches pour mettre fin au pouvoir du parti communiste en suspendant et en bannissant le parti et en saisissant toutes ses propriétés.

Cela symbolisa la chute du communisme en Russie et cela entraûna le début d’un exode massif de 700 000 Juifs de l’ancienne Union soviétique vers Israël.

Dans le journal israélien Hotam (du 24 novembre 1989), il y a un reportage du discours que le Ministre adjoint israélien aux Affaires Étrangères d’alors, le Juif ashkénaze Benjamin Netanyahou, donna aux étudiants de l’Université Bar Ilan, et dans lequel il déclara : « Israël aurait dû exploiter la répression des démonstrations en Chine, lorsque l’attention du monde était concentrée sur ce pays, pour exécuter des expulsions de masse chez les Arabes du territoire. »

Les Rothschild de Londres et de Paris annoncent le lancement d’une nouvelle filiale. la Rothschild GmbH, à Frankfurt, en Allemagne.

1991 : À la suite de l’invasion irakienne au Kuweit, le 3 août 1990, le 16 janvier de cette année-là, les États-Unis et la Grande-Bretagne commencent une campagne de bombardements sur des cibles se trouvant en Irak. Le 24 février, la campagne au sol débute et elle durera cent heures jusqu’au 28 février lorsque survient un horrible crime de guerre.

Ce crime est le massacre de 150 000 soldats irakiens par des bombes aériennes à combustible. Ces Irakiens étaient en train de s’enfuir sur une grand-route achalandée du Kuweit vers Basra. Le Président George Herbert Walker Bush ordonna à l’aviation militaire et aux unités au sol des États-Unis de tuer ces soldats qui se rendaient, et ils furent ensuite bulldozés dans des tombes de masse sans inscription dans le désert, certains d’entre eux étant encore vivants.

Puis, le Président Bush ordonna un arrêt des hostilités. Quelle était la signification de ce massacre et pourquoi le Président Bush déclara-t-il la fin de la guerre cette journée-là ? Eh bien, c’était le jour où tombait la « fête du Pourim » cette année-là. C’est le jour où les Juifs célèbrent leur victoire sur l’ancienne Babylone, dont les anciennes fondations se trouvent au sein des frontières de l’Irak et c’est un jour où l’on encourage les Juifs à prendre leur sale revanche contre ceux qu’ils perçoivent leurs ennemis.

À la Conférence Bilderberg se tenant du 6 au 9 juin de cette année, à Baden-Baden, en Allemagne, David Rockefeller (un Rothschild) fit la déclaration suivante : « Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos rencontres et respecté leur promesse de discrétion pendant près de quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan pour le monde si nous avions été l’objet des lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés. »

1992 : En mars, l’ancien directeur du Comité de la Réserve Fédérale, Paul A. Volker, devient directeur de la firme bancaire européenne J. Rothschild Wolfenshon& Cie. Stephen Bryen, pris à offrir des documents confidentiels à Israël en 1978, travaille sur le comité de l’Institut Juive pro-israélienne des Affaires de Sécurité Nationale tout en étant encore payé comme consultant avec contrôle de sécurité sur l’exportation de technologie névralgique américaine.

L’option Samson de Seymour M. Hersh rapporte : « Des renseignements obtenus illicitement s’envolaient de manière si volumineuse du LAKAM (unité israélienne secrète de renseignement, acronyme hébreu pour Bureau de Liaison Scientifique) vers les renseignements israéliens qu’un nom de code spécial, JUMBO, fut ajouté aux marques de sécurité déjà affichées sur les documents. Il y avait des ordres stricts, rappelle Ari Ben-Menashe, “Tout ce qui était marqué JUMBO n’était pas supposé être discuté avec vos homologues américains”. Le Wall Street Journal rapporte qu’apparemment les agents israéliens essayèrent de voler le système top-secret de caméra-espion aéroporté de Recon Optical Inc.

Le 16 septembre, la livre britannique s’effondre quand des spéculateurs monétaires dirigés par un agent Rothschild, le Juif ashkénaze George Soros, empruntent des livres et les vendent pour des marks allemands, dans l’espoir de pouvoir rembourser le prêt en monnaie dévaluée et d’empocher la différence.

Il en résulte que le Chancelier de l’Échiquier britannique, Norman Lamont, annonça une montée des taux d’intérêt de 5 % en une journée, ce qui fit plonger la Grande-Bretagne dans une récession qui a duré plusieurs longues années alors qu’un grand nombre d’entreprises firent faillite et le marché immobilier crasha.

C’est le signal attendu pour les Rothschild qui, après avoir privatisé les biens étatiques britanniques durant les années 1980, faisant monter le prix des actions, font s’écrouler les marchés afin de pouvoir les racheter quelques pennys la livre, une copie carbone de ce que Nathan Mayer Rothschild avait fait à l’économie britannique cent quatre-vingt ans auparavant, en 1812.

Il n’y a rien d’exagéré à dire que le Chancelier de l’Échiquier de l’époque, Norman Lamont, était, avant de devenir membre du Parlement, un banquier marchand chez N. M. Rothschild and Sons, qu’il joignit après avoir étudié en Économie à Cambridge.

1993 : Norman Lamont quitte le gouvernement britannique pour revenir chez N. M. Rothschild and Sons en tant que directeur, après avoir accompli sa mission de faire écrouler l’économie britannique au profit des Rothschild.

L’ancien membre du Congrès, Paul Findley, publie son livre qui va faire école, Tromperies délibérées : Voir les faits concernant les relations américano-israéliennes. Dans ce livre, il fait la liste des 65 Résolutions des membres des Nations Unies contre Israël dans la période couvrant 1955 à 1992, et les 30 vetos des États-Unis pour le compte d’Israël qui, s’ils n’avaient pas été déposés, aurait eu 95 résolutions contre lui jusqu’alors.

Peu importe, même si les États-Unis, marionnette d’Israël, l’ont aidé à terroriser les autres, les 65 Résolutions passées contre Israël surpassent toutes les Résolutions passées contre tous les autres pays mis ensemble.

Non pas qu’Israël se soucie beaucoup du point de vue des Nations Unies quand l’on considère que, moins de deux semaines après l’attaque d’Israël sur le USS Liberty (attaque destinée à faire couler le Liberty et à jeter le blâme sur l’Égypte dans le but d’inciter les États-Unis à entrer en guerre contre l’Égypte au nom des mensonges israéliens, rappelez-vous de la devise du Mossad : « Par voie de tromperie, tu feras la guerre »), le Ministre israélien des Affaires Étrangères, Aba Eban, déclara au sujet des Nations Unies : « Si l’Assemblée générale votait à 121 votes contre 1 en faveur “qu’Israël” retourne aux limites de l’armistice (les frontières d’avant juin 1967), “Israël” refuserait de se plier à cette décision » [New York Times du 19 juin 1967].

L’ADL est prise à exécuter une opération massive d’espionnage au sujet des critiques faites contre Israël, les Arabo-américains, le Conseil du Travail de San Francisco, le Local 10 de l’ILWU, l’Association Éducative d’Oakland, le NAACP, l’Aide à l’Irlande du Nord, le Conseil de Traité Indien International, le Caucus de Loi Asiatique et la Police de San Francisco. Les données collectées furent envoyées en Israël et, dans certains cas, en Afrique du Sud. Des pressions provenant des organisations juives forcent les villes à laisser tomber l’affaire au criminel, mais l’ADL règle la poursuite civile pour une somme d’argent non-dévoilée.

1995 : L’ancienne scientiste de l’énergie atomique, la Dre Kitty Little, déclare que les Rothschild contrôlent maintenant 80 % de l’approvisionnement d’uranium du monde, ce qui leur donne le monopole sur la puissance nucléaire.

Le Service d’Enquête de la Défense fait circuler un mémo avertissant les fournisseurs de l’armée américaine que : « Israël recueille de manière agressive de la technologie militaire et industrielle (des USA). » Le rapport déclare qu’Israël obtient de l’information en utilisant « le ciblage ethnique, l’accroissement financier, ainsi que l’identification et l’exploitation des faiblesses individuelles » des citoyens américains.

1996 : Un rapport du Bureau de Comptabilité Générale, Sécurité Industriel de la Défense : des faiblesses dans les arrangements de la Sécurité américaine avec des fournisseurs de la Défense basés à l’étranger, a trouvé que, selon des sources de renseignements, « Le pays A (identifié par les sources de renseignement comme étant Israël, Washington Times du 22 février 1996) conduit les opérations d’espionnage les plus agressives contre les États-Unis, comparé à tous les autres alliés d’Amérique ». L’on trouve ici un dossier pdf du rapport : www.gao.gov/archive/1996/ns96064.pdf. Une version non-formatée se trouve ici : http://fas.org/man/gao/gao9664.ht,

Le Jerusalem Post (du 30 août 1996) cita le rapport : « De l’information militaire top-secret et de la technologie militaire sensible sont les cibles de haute priorité des agences de renseignement de notre pays. » Le reportage décrivit : « Une opération d’espionnage, dirigée par l’organisation de renseignement responsable de la collecte d’information scientifique et technologique pour (Israël), a payé un employé du gouvernement américain pour obtenir des documents de renseignement militaire américain top-secret. »Le Rapport Washington sur les Affaires au Proche-Orient (Shawn L. Teing, avril 1996) note qu’il s’agissait : « d’une référence à l’arrestation en 1985 de Jonathan Pollard, analyste des renseignements navals américains qui a fourni à l’agence d’espionnage LAKAM d’Israël ce que l’on estime à 800 000 pages d’information de renseignements top-secrets américains. » www.washington-report.org/backissues/0496/9604014.htm

Le rapport GAO note également que : « Plusieurs citoyens (d’Israël) ont été surpris aux États-Unis à voler de la technologie sensible utilisée à la fabrication de tubes de fusils d’artillerie ».

Un document du Bureau de Renseignement Naval, Défis mondiaux des Force de frappe navales, rapporte que : « De la technologie américaine a été acquise (par la Chine) aux mains d’Israël concernant la technologie du chasseur Lavi et probablement du missile SAM (surface-air). » Le Defense Weekly de Jane (du 28 février 1996) remarque que : « jusqu’à maintenant, la communauté de renseignements n’a pas confirmé ouvertement le transfert de la technologie (via Israël) vers la Chine. » Le rapport note que cela « représente un pas de l’avant dramatique de l’aviation militaire chinoise » (Flight International, 13 mars 1996).

Amschel Rothschild, 41 ans, est étranglé avec le cordon épais de sa propre robe de toilette dans sa chambre d’hôtel à Paris. Le Premier Ministre français ordonne à la Police française de clore l’enquête et Rupert Murdock, né d’une mère juive et donc un Juif selon les standards ashkénazes, donne instruction à ses éditorialistes et gérants de nouvelles autour du monde de rapporter cela comme une attaque cardiaque, s’ils ont vraiment à le rapporter de prime abord.

Le 12 mai, l’Ambassadrice aux Nations Unies et Juive ashkénaze Madeleine Albright, apparaissant à 60 minutes, se fait demander ce qui suit par le correspondant Lesley Stahl, en référence aux années où les États-Unis dirigeaient des sanctions économiques contre l’Irak : « Nous avons entendu dire qu’un demi-million d’enfants sont morts. Je veux dire que c’est plus d’enfants que ceux qui sont morts à Hiroshima. Et, vous savez, est-ce que ça en valait le prix ? » Ce à quoi l’Ambassadrice Albright répliqua : « Je crois que c’est un choix fort difficile, mais le prix, pensons-nous, le prix en valait la peine. » Ses commentaires ne soulevèrent aucun tollé général. En fait, l’holocauste d’un demi-million d’enfants irakiens est positivement admiré par le gouvernement américain compte tenu que, moins de huit mois plus tard, le Président Clinton assigna Albright au poste de secrétaire d’état. Lorsqu’elle apparut devant le Comité sénatorial qui considérait son assignation, Albright mâchonne littéralement le sang d’encore plus d’enfants irakiens et déclare : « Nous allons insister sur le fait de maintenir les dures sanctions des Nations Unies contre l’Irak à moins, ou jusqu’à ce que ce régime se plie aux résolutions appropriées du Conseil de Sécurité. »

1997 : Un ingénieur mécanicien de l’armée, le Juif ashkénaze David A. Tenenbaum, donna « par inadvertance » de l’information militaire top-secret sur les systèmes de missiles et les véhicules blindés à des fonctionnaires israéliens (New York Times, 20 février 1997). Le Washington Post rapporte que les renseignements américains ont intercepté une conversation dans laquelle deux fonctionnaires israéliens avaient discuté de la possibilité de s’emparer d’une lettre confidentielle que le Secrétaire d’État d’alors, Warren Christopher, avait écrite au leader palestinien Yasser Arafat.

Un des Israéliens, seulement identifié par le nom de « Dov », avait commenté qu’ils pouvaient obtenir la lettre par « Mega », nom de code d’un agent principal d’Israël à l’intérieur des États-Unis. L’ambassadeur américain en Israël, Martin Indyk, se plaint privément au gouvernement israélien au sujet de la surveillance maladroite des agents de renseignements israéliens.

Des agents israéliens mettent sur écoute le téléohone de la Juive ashkénaze et fille de rabbin, Monica Lewinsky, au Watergate et enregistrent les séances sexuelles téléphoniques entre elle et le Président Bill Clinton. Le rapport Ken Starr confirme que Clinton a averti Lewinsky que leurs conversations étaient mises sur écoute et il mit fin à la relation. Chose intéressante, en même temps, la chasse du FBI pour trouver « Mega » est annulée.

Le 29 octobre, Edmond de Rothschild décède à Genève. Fait notable, au même moment exact, le même jour, Anton Szandor LaVey, fondateur de l’Église de Satan, meurt aussi. Dans son livre, Satan parle, il déclare, en relation avec les Protocoles des Sages de Sion : « La première fois que j’ai lu les Protocoles des Sages de Sion, ma réaction instinctive fut “Mais qu’est-ce qu’il peut y avoir de mauvais dans ÇA ? N’est-ce pas la manière par laquelle tout schéma directeur doit fonctionner ? Le public ne mérite-t-il pas – non, n’exige-t-il pas – un tel despotisme ?” «

Kofi Annan devient le Secrétaire-général des Nations Unies. Il est marié à Nane Lagergren, une Rothschild, qu’il a épousé en 1984.

1998 : La Banque Centrale Européenne est installée à Frankfurt, la ville d’où sont originaires les Rothschild.

2000 : George W. Bush est élu (enfin, c’est ce qu’on m’a dit) Président des États-Unis. Bush et sa famille déclarent être les descendants de la Maison des Plantagenet qui descend de la Maison Royale de Juda.

2001 : Le 11 septembre, l’attaque contre le World Trade Center est organisée par Israël avec la complicité des Britanniques et des Américains sous les ordres des Rothschild pour servir de prétexte afin d’enlever la liberté des gens de par le monde en échange de leur sécurité, tout comme cela arriva avec l’incendie du Reichstag, en Allemagne, où l’on mentit aux citoyens dans le but qu’ils abandonnent leur liberté pour avoir la sécurité.

Ils vont également utiliser les attaques afin de prendre le contrôle des quelques pays dans le monde qui interdisent les banques centrales des Rothschild et donc, moins d’un mois après ces attaques, les Forces américaines assaillent l’Afghanistan, un des seuls sept pays dans le monde qui ne possède pas de banque centrale contrôlée par les Rothschild.

Moins d’une semaine avant l’attaque du 11 septembre (9-11), le 5 septembre, le prétendu chef des pirates de l’air, Mohammed Atta, et quelques autres pirates firent une visite encore inexpliquée à bord d’un des bateaux casinos du lobbyiste pro-israélien et Juif ashkénaze Jack Abramoff. Aucune enquête n’est entamée à savoir ce qu’ils faisaient là.

On découvre que les communications des agents de la drogue américains ont été interceptées. Les soupçons tombent sur deux compagnies : AMDOCS et Comverse Infosys, toutes deux appartenant à des Israéliens. AMDOCS génère des données de facturation pour la plupart des compagnies téléphoniques américaines et peut fournir des registres détaillés sur qui parle à qui.

Comverse Infosys construit l’équipement d’écoute téléphonique utilisé par le renforcement de la loi pour écouter les conversations privées sur tous les appels téléphoniques des Américains, mais des soupçons prennent forme à savoir que Comverse Infosys, qui acquiert la moitié de son budget de recherche et de développement du gouvernement israélien, a conçu une porte arrière dans son système et que les renseignements israéliens l’exploitent, et que l’information glanée des efforts américains pour interdire la drogue fait son chemin jusqu’aux trafiquants de drogue.

L’enquête du FBI mène à la révélation du plus gros réseau étranger d’espionnage jamais découvert aux États-Unis et opéré par Israël. La moitié des espions suspectés ont été arrêtés lors de l’événement du 9-11.

Le 11 septembre, cinq Israéliens sont arrêtés pour avoir dansé et fêté pendant que les tours du World Trade Center s’écroulaient. Soi-disant employés par Urban Moving Systems, les Israéliens sont arrêtés avec de multiples passeports et une grande quantité de cash.

Il s’avère par la suite que deux d’entre eux sont du Mossad. Alors que des rapports de témoins retracent les activités des Israéliens, il en ressort qu’ils ont été vus au Liberty Park au moment du premier impact, suggérant leur connaissance anticipée de ce qui allait arriver. Les Israéliens sont interrogés pour être ensuite renvoyés en Israël.

Le propriétaire de la compagnie de déménagement utilisée comme couverture par les agents du Mossad abandonne son affaire et s’enfuit en Israël. Puis, le gouvernement des États-Unis classifie secret toutes les preuves reliées aux agents israéliens et leur connexion avec le 9-11.

Tout cela est rapporté au public via un récit en quatre parties de Fox News par Carl Cameron. Des pressions de groupes juifs, premièrement de l’AIPAC, forcent Fox News à enlever le récit de leur site Internet. Deux heures avant l’attaque du 9-11, Odigo, une compagnie israélienne dont les bureaux sont seulement à quelques pâtés du World Trade Center, reçoit d’avance un avertissement par Internet.

Le gérant du bureau de New York fournit au FBI l’adresse IP de l’expéditeur du message. Mais le FBI n’y donne pas suite. Le FBI enquête sur cinq compagnies de déménagement israéliennes comme façades potentielles des renseignements israéliens.

On révèle qu’avant les attaques, des millions de dollars en options de vente sur American Airlines et United Airlines ont été commercés. Le FBI a promis de suivre les acheteurs, mais n’a jamais révélé ses découvertes, parce que cela mènerait directement à Israël, l’état derrière les attaques du 9-11.

À la suite de l’attaque du World Trade Center, des lettres anonymes contenant de l’anthrax sont envoyées à des politiciens variés et des exécutifs des médias. Comme l’attaque du 9-11, on met immédiatement le blâme sur Al-Qaeda, jusqu’à ce que l’on découvre que l’anthrax contenu à l’intérieur de ces lettres est d’un type spécifique d’anthrax militarisé fabriqué par un laboratoire militaire des États-Unis.

Le FBI découvre alors que le principal suspect pour ces lettres à l’anthrax est un Juif ashkénaze, le Dr Philip Zack, qui a été réprimandé plusieurs fois par ses employeurs pour des remarques offensantes qu’il avait tenues contre les Arabes. Le Dr Philip Zack a été pris sur caméra à entrer dans la zone d’entreposage où il travaillait, à Fort Detrick, et où l’anthrax est gardé. Rendus à ce point, et le FBI et les médias traditionnels arrêtèrent de faire tout commentaire public sur le sujet.

Directeur de la Ligue de Défense Juive depuis 1985, le Juif ashkénaze Irv Rubin est mis en prison parce qu’il aurait comploté de faire sauter une mosquée et les bureaux d’un membre arabo-américain du Congrès. Il meurt peu de temps après s’être tranché la gorge dans une tentative de suicide, avant qu’on l’amène au tribunal.

Une semaine avant l’attaque du World Trade Center, la Compagnie Zim Shipping déménage de ses bureaux du WTC en brisant son bail, ce qui lui coûte 50 000 $. Aucune raison n’a jamais été donnée, mais la Compagnie Zim Shipping appartient de moitié à l’État d’Israël (les Rothschild).

Le 3 octobre, le Premier Ministre israélien Ariel Sharon fait la déclaration suivante au Juif ashkénaze Shimon Peres, telle que rapporté par la radio Kol Yisrael : « À toutes les fois que nous faisons quelque chose, tu me dis que l’Amérique va faire ceci ou cela… Laisse-moi te dire quelque chose de façon très claire, ne t’inquiète pas de la pression américaine sur Israël. Nous, le peuple juif, nous contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent. »

2002 : Le Nouveau Dictionnaire International de troisième édition de Webster (version intégrale) réimprimé en 2002, produit une nouvelle définition de « antisémitisme » laquelle n’avait pas été mise à date depuis 1956. On y lit : « Antisémitisme : (1) hostilité envers les Juifs en tant que groupe d’une minorité religieuse ou raciale, souvent accompagnée de discrimination sociale, politique ou économique ; (2) opposition au sionisme ; (3) sympathie pour les opposants d’Israël. » Ce sont les définitions (2) et (3) qui furent ajoutée à l’édition 2002, juste avant que les États-Unis décident d’envahir l’Irak sous les ordres de l’État des Rothschild, je veux dire, d’Israël. Toujours cette année-là, le Premier Ministre d’Israël, et criminel de guerre, Ariel Sharon, ordonne le massacre du camp de réfugiés de Jenin, en Cisjordanie. Valait mieux mettre à jour la définition afin de protéger les criminels.

La DEA émet un rapport disant que des espions israéliens, se présentant comme étudiants en art, ont essayé de pénétrer dans des bureaux du gouvernement américain. Près de la station aéronavale de Whidbey Island, au sud de l’état de Washington, la police arrête un camion suspect et détient deux Israéliens, dont l’un se trouve illégalement aux États-Unis. Les deux hommes conduisaient à haute vitesse dans un camion de location Ryder qu’ils déclarèrent utiliser pour « livrer de la marchandise ».

Le jour suivant, la police découvre des traces de TNT et d’explosifs plastiques de niveau militaire RDX à l’intérieur de la cabine des passagers et sur le volant du véhicule. Le FBI annonce ensuite que les tests qui montrent les traces d’explosif étaient des « faux positifs » causés par de la fumée de cigarette, ce que des experts en tests disent être ridicule.

En se basant sur un alibi fourni par une femme, le cas est clos et les Israéliens sont repris en charge par l’INS pour qu’on les renvoie en Israël. Une semaine plus tard, la femme qui a fourni l’alibi s’évapore.

2003 : Les États-Unis envahissent l’Irak le 19 mars, date sur laquelle tombe, cette année-là, le saint jour de « Pourim » dans le calendrier juif. Le « Jour de Pourim » est le jour où les Juifs célèbrent leur victoire sur l’Ancienne Babylone, maintenant située au sein des frontières de l’Irak… comme c’est intéressant.

Ce qui est également significatif, c’est que l’invasion précédente conduite par les États-Unis en Irak se termina le Jour de Pourim, dix ans auparavant, avec le massacre de 150 000 fuyards irakiens sous le père du Président courant, George Herbert Walker Bush. Pourim est aussi le moment où l’on encourage les Juifs à prendre une sale revanche contre leurs ennemis supposés.

L’ancienne Babylon, je veux dire l’Irak, est maintenant un des six derniers pays dans le monde qui n’ont pas de banque centrale contrôlée par les Rothschild. Cette guerre a pour principal objet de voler l’alimentation en eau de l’Irak au profit d’Israël et elle est combattu avec le sang de l’armée américains que contrôle l’État Rothschild, je veux dire, d’Israël.

Israël s’est toujours battu pour l’eau ; il a dû voler, 36 ans plus tôt, le plateau du Golan à la Syrie, ce qui fournit à Israël un tiers de son eau douce, et pourtant, en Israël, l’extraction a surpassé le remplacement par 2,5 milliards de mètres cubes dans les derniers vingt-cinq ans. Cela veut dire que l’eau leur est de loin plus précieuse que les réserves de pétrole qui sont les deuxièmes plus grandes sur terre.

Le Premier Ministre malaisien Mahathir Mohamed déclare dans un discours : « Les Juifs règnent sur le monde par intermédiaires. Ils poussent les autres à combattre et à mourir pour eux. »

Le Chef de police de Cloudcroft stoppe un camion filant dans une zone scolaire. Les conducteurs se trouvent être des Israéliens avec des passeports expirés. Il se clament déménageurs, mais le camion contient des meubles de pacotille et plusieurs boîtes. Les Israéliens sont acheminés à l’immigration. Le contenu des boîtes n’est pas révélé au public.

Israël déploie des escouades d’assassinat dans d’autres pays, incluant les États-Unis. Le gouvernement américain ne proteste pas.

2004 : Deux ans d’enquête sur le rôle possible de l’AIPAC (Comité des Affaires Publiques Amérique/Israël, le plus gros groupe de lobby politique aux États-Unis, avec plus de 65 000 membres dont le seul objectif est d’utiliser les États-Unis pour les desseins d’Israël) en tant que façade d’espionnage pour Israël, et le Juif ashkénaze Larry Franklin, analyste de niveau moyen au Pentagone, est observé par le FBI en train de donner de l’information top-secrète à deux fonctionnaires de l’AIPAC soupçonnés d’être des espions israéliens.

L’AIPAC engage l’avocat Nathan Lewin pour prendre en main sa défense légale, le même avocat qui a défendu le suspect espion israélien Stephen Bryen en 1978. Larry Franklin travailla au Bureau des Plans Spéciaux du Pentagone dirigé par Richard Perle à l’époque où Perle (qui fut pris à donner de l’information top-secret à Israël en 1970) insistait à dire que l’Irak grouillait d’armes de destruction massive, ce qui exigeait que les États-Unis envahissent et vainquent l’Irak.

Il n’y avait, bien sûr, aucune arme de destruction massive et Perle a fait tomber le blâme de la « mauvaise information » sur George Tenet. Mais ce que l’on sait, c’est que le Bureau des Plans Spéciaux du Pentagone se coordonnait avec un groupe similaire en Israël, dans le bureau d’Ariel Sharon.

Avec deux espions israéliens suspectés (au minimum) au sein du bureau où les mensonges qui déclenchèrent la guerre prenaient leur origine, il apparaît que le peuple des États-Unis est victime d’un canular dangereux, canular qui a commencé une guerre en utilisant le sang et l’argent des citoyens américains pour les objectifs d’oppression israélienne.

La fuite de l’enquête de l’AIPAC dans les médias du 28 août 2004 prévint d’avance les autres espions qui travaillaient avec Franklin. Le dommage à l’enquête du FBI fut complété lorsque le Procureur Général des États-Unis, John Ashcroft, ordonna de stopper toutes arrestations dans l’affaire.

Comme l’affaire Stephen Bryen et la chasse pour trouver « Mega », ce dernier scandale d’espionnage semble destiné, par les fonctionnaires qui ont leurs propres allégeances secrètes à protéger, à enrayer le tollé général du grand public.

La police près de l’usine de Services de Combustible Nucléaire, au Tennessee, stoppe un camion après une chasse à l’homme de trois milles durant laquelle le conducteur a lancé de sa cabine une bouteille contenant un liquide étrange. Il se trouve que les conducteurs sont des Israéliens utilisant de fausses identifications. Le FBI refuse d’enquêter et les Israéliens sont relâchés.

Deux Israéliens essaient d’entrer dans la Base Navale de Sous-marins de Kings Bay où sont entreposés huit sous-marins Trident. Le camion est testé positif  pour des explosifs.

Le Directeur National de l’ADL, Abraham H. Foxman, publie un livre intitulé Plus jamais ? La menace du nouvel antisémitisme, dans lequel il déclare que le « mensonge » du Nouveau Testament disant que les anciens Pharisiens furent responsables de la mort du Christ a causé l’antisémitisme à travers les millénaires et que le Nouveau Testament de la Bible est donc un « langage de haine » et qu’il devrait être censuré ou banni.

2005 : Le 20 janvier, le Président Bush fait la déclaration suivante lors de sa seconde allocution inaugurale : « Lorsque nos Fondateurs déclarèrent un nouvel ordre des âges… » Ce n’est pas vrai. Les fondateurs n’ont pas déclaré « un nouvel ordre des âges ». Le Président Roosevelt le fit quand, en 1933, il mit sa traduction latine, « Novus Ordo Seclorum », sur le billet de un dollar.

Le 7 juin, le Réseau Sous-terrain de Londres est bombardé. Le Ministre des Finances d’Israël, Benjamin Netanyahou, est à Londres au moment des attaques afin d’assister à une conférence économique dans un hôtel au-dessus de la station sous-terraine où survient une des explosions, mais il est plutôt demeuré dans sa chambre d’hôtel après avoir été informé par des fonctionnaires des renseignements israélien que l’on s’attendait à des attaques.

Il n’y a maintenant que cinq pays dans le monde qui n’ont pas de banque centrale contrôlée par les Rothschild : l’Iran, la Corée du Nord, le Soudan, Cuba et la Lybie.

Le professeur de physique, Stephen E. Jones, de l’Université Brigham Young, publie un article dans lequel il prouve que les bâtiments du World Trade Center ne peuvent avoir été abattus de cette manière que par des explosifs. Il ne reçoit aucune couverture des médias traditionnels pour ses déclarations scientifiques et prouvables.

2006 : La Banque Edmond Rothschild, filiale du groupe bancaire familial Edmond de Rothschild d’Europe, en France, devient la première banque familiale étrangère à obtenir l’approbation de la Commission de Règlementation Bancaire de Chine et entre dans le marché financier chinois.

L’ADL fait impitoyablement pression sur les gouvernements de par le monde afin de faire passer des législations contre les crimes de haine, alors qu’elle a peur que la cabale criminelle que sont Israël et les Rothschild soit de plus en plus exposée sur une base quotidienne, principalement sur Internet. Son travail est de protéger ce réseau criminel et quelle meilleure façon de le faire qu’en passant des lois par lesquelles toute personne qui dénonce un criminel juif devient un criminel.

David Irving est condamné à trois ans de prison en Autriche pour avoir nié l’holocauste. Il est important de noter que le seul événement historique sur lequel vous pouvez être arrêté si vous le remettez en question, c’est l’holocauste. Cela parce qu’il s’avère la plus grosse arme des Rothschild pour vous laver le cerveau, VOUS, LE STUPIDE GOY ! à croire que les Juifs sont tellement pauvres et persécutés, alors qu’en réalité, ils contrôlent la vaste majorité des institutions financières internationales et des entreprises internationales partout dans le monde.

Ressources

Voici un lien vers six pages de signatures lors du Congrès sioniste de 1927 dont plusieurs noms fort intéressants. Page principale : www.historyforsale.com

Sources

Holy Bible – King James Version

Proofs of a Conspiracy Against All the Religions and Governments of Europe Carried on in the Secret Meetings of Freemasons, Illuminati and Reading Societies – John Robison – 1798

The Life of Napoleon – Sir Walter Scott – 1827

Coningsby – Benjamin Disraeli – 1844

The Communist Manifesto – Karl Marx, Friedrich Engels, Martin Malia – 1848

Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry – Albert Pike – 1872

The Rothschilds, Financial Rulers Of Nations – John Reeves – 1887

The Jews and Modern Capitalism – Werner Sombart – 1911

Great Britain, The Jews, and Palestine – Samuel Landman – 1936

Pawns In The Game – William Guy Carr – 1937

Inside The Gestapo – Hansjurgen Koehler – 1940

Barriers Down – Kent Cooper – 1942

The Mind Of Adolf Hitler – Walter Langer – 1943

The Empire Of The City – E. C. Knuth – 1946

The Jewish State – Theodor Herzl – 1946

The Curious History of the Six-Pointed Star – G. Scholem – 1949

Secrets Of The Federal Reserve – Eustace Mullins – 1952

Tales Of The British Aristocracy – L. G. Pine – 1957

Red Fog Over America – William Guy Carr – 1958

A Jewish Defector Warns America (Spoken Word Recording) – Benjamin H. Freedman – 1961

The Rothschilds – Frederic Morton – 1962

The Illuminati and the Council on Foreign Relations (Spoken Word Recording) – Myron Fagan – 1967

Ben-Gurion: The Armed Prophet – Michael Bar-Zohar – 1967

The Hidden Tyranny – Benjamin Freedman – 1971

None Dare Call It Conspiracy – Gary Allen – 1972

The Gulag Archipelago, Vol. 2, Parts 3 and 4 – Aleksandr Solzhenitsyn – First English translation published 1975.

Wall Street And The Rise Of Hitler – Anthony C. Sutton – 1976

The Rosenthal Document – Walter White, Jr. – 1978

Two Rothschilds And The Land Of Israel – Simon Schama – 1978

The Six Pointed Star – Dr O. J. Graham – 1984

The Last Days In America – Bob Fraley – 1984

Who Owns The TV Networks – Eustace Mullins – 1985

The Samson Option: Israel’s Nuclear Arsenal and American Foreign Policy – Seymour M. Hersh – 1991

A History of the Jews in America – Howard M. Sachar – 1992

Deliberate Deceptions: Facing the Facts About the U.S. Israeli Relationship – Paul Findley – 1993

Descent Into Slavery – Des Griffin – 1994

Bloodlines Of The Illuminati – Fritz Springmeier – 1995

Jewish History, Jewish Religion – Israel Shahak – 1994

Satan Speaks – Anton Szandor LaVey – 1998

The Elite Serial Killers of Lincoln, JFK, RFK & MLK – Robert Gaylon Ross – 2001

Never Again? The Threat Of The New Anti-Semitism – Abraham H. Foxman – 2004

The Elite Don’t Dare Let Us Tell The People – Robert Gaylon Ross – 2004

Codex Magica – TexeMarrs – 2005

 




D.172 – Séminaire financier et d’Évangélisation – Partie 9

 

par Guy Richer

Les Illuminati

Adam Weishaupt, franc-maçon et professeur spécialisé dans l’enseignement canonique, avait officiellement renié le catholicisme pour embrasser l’idéologie luciférienne, pendant qu’il enseignait à l’université de Ingolstadt, en Bavière, dans les années 1770.

Weishaupt était juif et pratiquait, selon toute probabilité, la kabbale. II fut enseigné par un Jésuite haut placé, puis installé à la tête des llluminati de Bavière pour ressusciter les Jésuites qui venaient d’être abolis comme Ordre catholique, en 1773. Ses chefs jésuites passèrent des ententes avec la Maison Rothschild d’Angleterre en vue de la mainmise secrète des Jésuites sur les llluminati et, ainsi, de la franc-maçonnerie.

En 1776, la branche de Bavière fut inaugurée et on commença à tramer la Révolution française, début de la terrible vengeance des Jésuites sur l’Europe et spécialement la France et le Vatican. Résultat : 41 ans plus tard, les Jésuites, plus puissants que jamais, étaient réintégrés dans le catholicisme en tant qu’Ordre officiel et leur pouvoir ne fut plus menacé. II faut bien comprendre pourquoi les Jésuites sont importants aux yeux des Khazars talmudistes. C’est la porte par laquelle la kabbale est entrée dans le monde chrétien pour l’infiltrer. Dès le début, les Jésuites ont eu un rôle prédominent dans les affaires de « l’Église » (le Concile de Trente). En s’emparant ensuite des sociétés secrètes, les Juifs ont infiltré le côté protestant du christianisme. Aujourd’hui, ils se retrouvent partout dans le monde, dans toutes les sphères de la connaissance humaine.

Cet objectif exigeant patience et constance, visait la division des masses (les populations nommées goyim signifiant « bétail humain »), en camps opposés afin d’augmenter les tensions politiques, raciales, sociales, économiques et autres. Par la suite, ces camps devaient être armés, et un incident devait être provoqué pour les pousser à s’affronter et à s’affaiblir les uns les autres, tout en détruisant leurs gouvernements nationaux et leurs institutions religieuses.

Les llluminati existaient déjà depuis longtemps, avant l’époque de Weishaupt. Ce dernier fut seulement placé à la tête du chapitre de Bavière. Le créateur de la Compagnie de Jésus (les Jésuites), Ignace de Loyola, était juif espagnol et possiblement descendant direct de la famille royale des Khazars laquelle s’était exilée en Espagne après la déroute subie face aux Russes blancs. Avant de fonder les Jésuites (vers 1534), il était le chef de tous les llluminati en Espagne. Éventuellement, il se fit marrano ou « marrane » (juif converti au catholicisme), mais continua secrètement à pratiquer la kabbale et à suivre le Talmud. Lorsqu’il fonda les Jésuites, il rédigea les Instructions secrètes de la Compagnie de Jésus, livre dont les instructions étaient directement influencées de la Kabbale et du Talmud. Donc, rien de moins chrétien que les Jésuites !

Lorsque Adam Weishaupt reçut le mandat de réactiver les Illuminati en Bavière, il s’agissait, en réalité, de l’élite des Jésuites qui put ainsi agir sous une nouvelle couverture commode. Le système d’enseignement de la société était déjà sous la coupe des Jésuites qui possédaient de nombreux collèges et institutions, ce qui leur permettait de façonner le peuple et de sélectionner leurs descendants « moraux ». Rien d’étonnant à ce que l’on retrouve ce principe dans les Protocoles. Cette méthode était déjà bien éprouvée.

Le terme illuminatus (illuminati au pluriel) est dérivé du mot Lucifer, et signifie entre autres, « détenteur de lumière ». Utilisant le mensonge, Weishaupt recruta environ 2 000 adeptes auxquels il exposa son objectif qui était de mettre sur pied un GOUVERNEMENT MONDIAL. Ces hommes possédaient des facultés mentales supérieures, propres à leur permettre de gouverner le monde. Ce groupe d’élite de 2 000 personnes formées par Weishaupt à l’époque et devenues, sans s’en rendre compte pour la plupart, des agents jésuites, c’est-à-dire, de « robe courte » ou « coadjuteurs temporels », se composait des personnes les plus intelligentes dans les domaines des arts et lettres, de l’éducation, des sciences, de la finance et de l’industrie.

Le plan de Weishaupt exigeait que ses Illuminati suivent certaines prescriptions qui devaient les aider à réaliser leurs objectifs.

1. Utiliser la corruption monétaire afin d’obtenir le contrôle de personnes occupant des postes élevés à différents niveaux de tous les gouvernements et des autres champs de l’activité humaine. Une fois qu’une personne influente tombait sous l’emprise des Illuminati par le biais de mensonges et de supercheries, elle devait être gardée en esclavage par l’application d’un chantage politique ou autre, de menaces, de ruine financière, de scandale public, d’attaque physique, et même de mort, dirigés contre elle ou contre ses proches.

C’est là une méthode qui est encore utilisée régulièrement aujourd’hui puisque les dignes descendants et pratiquants de cette méthode sont les créatures mêmes des Juifs-Jésuites : CIA, FBI, NSA, Mossad, KGB, MI6, Interpol, etc.. Le système d’espionnage est répandu dans le monde entier comme une vaste toile d’araignée dans laquelle nous sommes tous autant de mouches.

2. Les Illuminati, installés dans les facultés des collèges et des universités, devaient recommander aux étudiants possédant des facultés mentales exceptionnelles et appartenant à des familles nobles ayant des tendances globalisatrices, de se diriger vers un entraînement spécial dans l’internationalisme. Cet entraînement devait se faire grâce aux bourses d’études octroyées à ceux qui avaient été choisis. Ils devaient être éduqués, endoctrinés, si l’on préfère, dans l’idée que seul un GOUVERNEMENT MONDIAL peut mettre fin aux guerres courantes et aux tribulations.

3. Les personnes influentes, prises sous le contrôle des Illuminati, et les étudiants spécialement éduqués et entraînés, devaient être utilisés comme agentures (agents espions infiltrés), et placés en arrière-scène, comme en avant-scène, de tous les gouvernements en tant qu’experts et spécialistes. De cette manière, il leur serait alors possible d’influencer les têtes dirigeantes et les amener à adopter des politiques qui pourraient, à long terme, servir les plans secrets des partisans d’un seul ordre mondial.

4. Les Illuminati devaient obtenir le contrôle de la presse et de toutes les agences qui distribuent de l’information au public. Les services de nouvelles et d’information devaient être biaisés de sorte que les goyim (le peuple) en arrivent à croire qu’un gouvernement mondial serait la seule et unique solution à tous leurs problèmes.

La stratégie employée par les Illuminati de Weishaupt est exactement la même que celle utilisée par les Juifs sionistes et les Jésuites. Dans les Protocoles des Sages de Sion, les Juifs sionistes disent s’être servis de la Maçonnerie comme couverture pour occulter leur implication dans les plans d’un « Nouvel Ordre Mondial ». La stratégie employée par les Juifs sionistes, les Illuminati et les Jésuites est la même parce qu’ils partagent le même noyau de croyances occultes babyloniennes et poursuivent un but commun : l’établissement d’un Gouvernement mondial unique, avec Jérusalem et son Temple comme centre du pouvoir et trône de leur futur messie.

Voilà pourquoi les Jésuites, venant tout juste d’être supprimés par le pape Clément XIV, en 1773, trouvèrent nécessaire de reconstituer les Illuminati, ce qui s’avérait une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild.

Meyer Amschel, chef de la Maison des Rothschild, était un Juif allemand éduqué chez les rabbins, et prit plus tard le nom de Rothschild qui signifie « bouclier (ou écu) rouge ».

Amschel utilisa son immense fortune pour consolider les efforts révolutionnaires des Illuminati, dont, entre autres, la Révolution française. Un autre homme ayant contribué à l’établissement des Illuminati se nommait Jakob Frank, Juif polonais. Son nom de famille était originalement Leibowicz. Il vivait dans la cité allemande d’Offenbach et c’était un leader de la kabbale juive secrète de l’époque. Il est à noter que la famille Rothschild actuelle est également à la tête du plan de reconstruction du Troisième Temple de Jérusalem, instrument indispensable pour l’intronisation du messie attendu par les sionistes, les sociétés secrètes, le Nouvel Âge, la majorité des religions païennes et autres adorateurs d’une forme ou l’autre que Satan emprunte pour se faire adorer. La famille Rothschild et le système bancaire international sont prêts à fournir tous les fonds nécessaires à l’accomplissement de cette dernière étape.

Mais revenons à notre étude des Illuminati. Les Jésuites assassinèrent le pape Clément XIV et, par les Illuminati, pillèrent ensuite le Vatican, s’emparant de toutes ses propriétés ecclésiales terriennes de par le monde.

Le Vatican apprit sa leçon et, le 7 août 1814, les Jésuites furent restaurés en tant qu’Ordre catholique par le pape Pie VII. Les Jésuites furent dès lors plus forts et plus puissants que jamais. L’on doit comprendre que les Jésuites ne se fusionnent pas aux autres organisations, ils les absorbent ! Comme le Vatican qui l’apprit à la dure école, tous ceux qui s’allient aux Jésuites se retrouvent dans les griffes de la mort, desquelles il n’y a aucune délivrance, sauf par le pouvoir de Dieu Tout-Puissant. Ils ont absorbé tous ceux qui ont fait alliance avec eux.

L’influence des Juifs, par l’intermédiaire des Jésuites au sein de l’Église catholique romaine, s’est manifestée dès le début dans la doctrine catholique. Le Concile de Trente fut orchestré par les Jésuites qui, d’anathème en anathème, attaquèrent la doctrine chrétienne.

Le contrôle des Juifs sur le Vatican est si complet que le cardinal Joseph Ratzinger, préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, émit une doctrine officielle de la foi catholique acceptant le point de vue juif disant que le messie est encore à venir. Il y a apparemment double langage dans le document, car il accepte la vision juive de la venue du messie sans ouvertement rejeter Jésus. Certains ont interprété le document comme reniant le rôle rédempteur de Jésus. Or, par le biais de ses doctrines, l’Église catholique a depuis longtemps renié le rôle rédempteur de Jésus. Le document est renfermé dans un petit livre intitulé Le peuple juif et les Saintes Écritures dans la Bible chrétienne. Rien de surprenant à ce que cette doctrine « judéo-catholique » eut été rédigée par un Jésuite du nom de Albert Vanhoye.

Dans l’ancienne Palestine, les Juifs travaillèrent main dans la main avec les Romains pour crucifier le Christ. Aujourd’hui, les Juifs oeuvrent main dans la main avec l’Église catholique romaine dans leur effort commun pour diriger le monde en détruisant le vrai christianisme.

Dans Apocalypse 17:5, la grande prostituée est l’Église catholique romaine qui porte un nom sur le front, MYSTÈRE, BABYLONE LA GRANDE, LA MÈRE DES IMPUDIQUES ET DES ABOMINATIONS DE LA TERRE. Notez que si elle est un mystère, elle est aussi étiquetée Babylone. Si elle est appelée Babylone, c’est qu’elle est babylonienne. Elle est un mystère parce que c’est une religion démoniaque antichrist qui est sortie de la Babylone païenne déguisée comme étant « la » religion chrétienne. L’étampe du christianisme a été apposée sur le paganisme babylonien pour qu’il se présente comme la religion à mystères que nous connaissons sous le nom d’Église catholique romaine.

Il est important de bien saisir qu’il existe un noyau babylonien commun au talmudisme, au jésuitisme, au catholicisme, à la franc-maçonnerie, au communisme, au nazisme et au sionisme. Ils sont tous issus de Babylone et sont tous antichrists. Voilà pourquoi, à la toute fin, ils auront fini par fusionner ensemble pour former le Nouvel Ordre Mondial ou, bibliquement parlant, Babylone la Grande, appelée la Mère des Impudiques et des Abominations de la Terre.

Le plan pour la domination du monde par Satan

« Au moment présent, le monde tremble dans l’attente de la plus grande catastrophe que la race humaine ait jamais connue, et cependant, les catholiques demeurent enfoncés dans une satisfaction insouciante » Pie XII (en 1951)

Philosophie du fonctionnement de la société vu au travers du prisme des Protocoles des Sages de Sion :

« Les catégories de personnes qui ne pourront pas entrer dans les moules, soit par choix de non-conformisme, soit parce qu’elles sont exclues des systèmes de consommation par manque de moyens financiers, doivent être maîtrisées ou isolées ; le but étant de minimiser et même d’étouffer leur impact dans les modèles de comportement de la société.

« Dans le but d’atteindre à une économie totalement prévisible, les éléments des classes les moins élevées de la société doivent être sous contrôle total. On doit les mettre sous le joug d’un travail social sur le long terme dès le tout jeune âge, avant qu’ils aient l’opportunité de se poser des questions sur la justesse de la situation. De façon à obtenir un tel résultat, les unités familiales des classes inférieures doivent être désintégrées par un processus de préoccupation de plus en plus accaparant des parents.

« La qualité de l’éducation à donner à la classe inférieure doit être du genre le plus pauvre de telle sorte que le fossé d’ignorance séparant la classe inférieure de la classe supérieure soit et reste insurmontable pour la classe inférieure. Avec un tel handicap initial, même les individus brillants des classes inférieures ont peu d’espoir de se sortir eux-même de la situation de vie qu’on leur a imposée. Cette forme d’esclavage est essentielle pour maintenir une certaine mesure d’ordre sociale de paix et de tranquillité pour la classe supérieure dirigeante.

« Un programme d’assistance sociale n’est rien d’autre qu’un système de compensation et de crédit illimité qui crée une industrie du capital fictive pour donner aux personnes improductives un toit sur leurs têtes et de la nourriture dans leurs estomacs. Cela peut être utile, cependant, car les bénéficiaires de cette aide deviennent une propriété d’état en retour des dons qui leur sont faits, une armée potentielle pour l’élite : « celui qui paie est celui qui donne le ton ».

Comment endormir le public face à l’attaque ?

« Le public en général ne peut pas comprendre le fonctionnement de cette arme et ne peut donc pas croire qu’il est en train d’être attaqué et soumis par une arme. Le public peut ressentir instinctivement que quelque chose ne va pas, mais à cause de la technicité inhérente de l’arme silencieuse, il ne peut pas exprimer son sentiment de manière rationnelle. Par conséquent, il ne sait pas comment appeler à l’aide et ne sait pas comment s’associer avec les autres pour se défendre contre cette arme. Lorsqu’une arme silencieuse est appliquée graduellement, le public s’adapte et s’ajuste à sa présence et apprend à tolérer l’empiètement de cette arme sur son mode de vie, jusqu’à ce que la pression (psychologique à travers l’économie) devienne trop forte, et alors il craque. »

Le Plan aux milles visages : l’enfer sur Terre

Les Protocoles des Sages de Sion, le Projet, le Plan à Long Terme, la Conspiration ; quel que soit le nom qu’on veuille lui donner, il s’agit d’une seule et même trame mise sur pied par un petit groupe d’hommes, immensément riches, extrêmement rusés, astucieux, possédant une extrême influence, et utilisant : l’or, les mensonges et les supercheries pour renverser et pervertir la race humaine. Ces organisations occultes utilisent la promesse de la richesse, de la luxure, des plaisirs charnels pour séduire, et attirer les hommes loin de Dieu dans le but de les subjuguer au pouvoir de Satan.

Il faut aujourd’hui vouloir demeurer parfaitement aveugle pour ne pas croire à la mise en place de ce plan, lorsqu’on en voit les paramètres démontrés de manière de plus en plus manifeste. Les détracteurs qui accusent les dénonciateurs de ce plan de crier « au loup » ont de plus en plus de difficulté à camoufler les ordures sous le grand tapis mondial. Elles débordent de partout. La vérité est destinée à se frayer un chemin à l’air libre ; le mensonge est destiné à s’évaporer.

  Jésuites/Juifs Khazars sionistes

Quant au Plan comme tel, quelques-uns des Articles de Morales et Dogmes d’Albert Pike, en 1871, suffisent pour nous donner une idée assez juste de la philosophie de base des sionistes. Ces Articles stipulent, entre autre :

  • Article XV, Paragraphe I: « Quand nous hériterons enfin de notre royaume à l’aide d’un coup d’état mondial amenant la chute morale et physique de toutes formes existantes de gouvernement, nous nous donnerons alors un contrôle global total contre lequel la rébellion ne pourra pas exister. »
  • Article II, Paragraphe 5: « À travers la Presse, nous avons acquis le Pouvoir d’influencer tout en demeurant dans l’ombre. »
  • Article X, Paragraphe 13: « Pour que notre Plan puisse produire des résultats, nous devrons organiser en notre faveur, les élections de Présidents que nous manipulerons par le chantage… Ainsi ils représenteront des agents de valeur pour l’accomplissement de nos plans… Nous devrons investir le Président du droit de déclarer “l’État des Mesures de Guerre”. Nous justifierons cette action en laissant savoir que le Président, en tant que Chef des Armées du pays, doit avoir ce plein pouvoir en cas de besoin pour la Défense de la nouvelle Constitution Républicaine, etc. »

Bill Clinton est plus jésuite que maçon. II a fait ses hautes études à l’Université de Georgetown, le plus puissant collège jésuite des États-Unis et possiblement du monde. Toutes les politiques américaines partent de là et y sont décidées. Ce collège est beaucoup plus puissant que le Sénat ou le Congrès.

Georgetown ne réfère qu’au Vatican, i.e., au Pape Noir, aujourd’hui le Jésuite général Peter-Hans Kolvenbach, et commande à Washington. Clinton consultait souvent ses « dirigeants » jésuites de qui il avait reçu son enseignement.

PDD *25 Presidential Directives Decisions

« Le Président Clinton a signé, en 1994, la reddition des 5 branches de l’Armée américaine sous le commandement des Nations Unies. (Violation directe de la Constitution américaine.)

« EXECUTIVE ORDERS »

« Le directeur du bureau de la Planification d’urgence (FEMA – Federal Emergency Management Agency) est autorisé à appliquer les Executive Orders (E.O.) en période de tensions internationales ou de crises financières. »

« …saisie de tous les médias de communication, de tous pouvoirs électriques, hydrocarbures (essence, propane, diesel, gaz naturel, charbon…), ressources minéralogiques (publiques et privées), de toutes les réserves et ressources alimentaires publiques et privées, toutes fermes et équipements de ferme, de tous types de transports, incluant autos, camions, ou tout véhicule que ce soit et le contrôle total de tous grands axes routiers, ports et voies de navigation, de tous civils pour travailler sous la supervision fédérale ; ceci inclut la séparation des familles et des enfants de leurs parents, de tous établissements de santé, éducation et bien-être (publics et privés). Toutes les personnes, aux États-Unis d’Amérique, devront obligatoirement s’enregistrer à un bureau de poste américain. Saisie de tous les aéronefs et aéroports (publics et privés).

« Autorisation de relocaliser par la force. Saisie de tous les chemins de fer, voies navigables et tous les complexes d’entreposage (publics et privés). Il est prévu qu’aucun service gouvernemental ne sera disponible pour au moins 5 mois. »

Continuons dans les articles de Morales et Dogmes.

Article I, Paragraphe 15 : « Notre pouvoir sera invincible parce qu’il demeurera invisible. Qui ou quoi est en position de renverser une force invisible ? Là réside notre force… »
Article V, Paragraphe 11 : « IL N’Y A RIEN DE PLUS DANGEREUX POUR NOTRE CAUSE QUE L’INITIATIVE PERSONNELLE ; ELLE PEUT NOUS FAIRE PLUS DE TORT QUE POURRAIENT NOUS EN FAIRE DES MILLIONS DE PERSONNES PARMI LESQUELLES NOUS AURIONS DÉJÀ SEMÉ LA DISCORDE. »

Le Nouvel Ordre Mondial amènera :

  • un gouvernement global totalitaire
  • une armée unique
  • une banque unique
  • une monnaie mondiale
  • et une religion unique, luciférienne

Manipulation de l’opinion publique en 6 étapes

Ces planificateurs du Nouvel Ordre Mondial ont mis au point un plan en six étapes qui leur permet de manipuler en douceur l’opinion publique, afin qu’elle change complètement son système de valeurs. Il faut que ce changement se réalise pour qu’ils puissent préparer le contexte favorable à la manifestation de ce gouvernement. Vous avez peut-être du mal à comprendre à quel point on vous manipule chaque jour. Après avoir pris connaissance de ce plan en six étapes, vous saurez reconnaître la manipulation et éviter qu’elle vous influence.

Etape 1 : Une pratique est jugée tellement scandaleuse qu’elle ne peut même pas être discutée en public. Toutefois, elle commence par être défendue par un expert respecté, qui en parle au cours d’un forum respectable.

Etape 2 : Le public est tout d’abord choqué, puis scandalisé.

Etape 3 : Le simple fait que cette pratique puisse faire l’objet d’une discussion publique devient le sujet d’un débat.

Etape 4 : Cette pratique scandaleuse continue de faire l’objet de nombreux débats publics, ce qui finit par émousser son caractère scandaleux.

Etape 5 : Les gens ne sont plus scandalisés par cette pratique.

Etape 6 : Comme le grand public n’est plus scandalisé, certains multiplient les prises de position modérées, en évitant les extrêmes. Une fois que cette pratique est admise, on parle à présent des moyens de la mettre en œuvre.

C’est une méthode très efficace pour obtenir des changements de valeurs et de comportements. Elle a été employée avec succès auprès de toute la population nord-américaine. Aujourd’hui, des millions de personnes sont en train de changer de valeurs et de comportements, dans un grand nombre de domaines. Ces changements sont essentiels pour instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

Gardons soigneusement à l’esprit les étapes de cette méthode insidieuse, et passons en revue les nombreux domaines où elle est employée aujourd’hui pour éliminer les valeurs chrétiennes de notre société, et les remplacer par des valeurs païennes.

Exemples actuels de l’emploi de ce plan

—  Contrôle de la démographie en ayant recours à la mort.

—  Suicide et euthanasie.

—  Infanticides.

—  Destruction programmée de l’Afrique.

—  Transplantation et marché d’organes.

—  Avortement et collecte de tissus fœtaux. (Dans un récent article, en France, certains spécialistes médicaux ont commencé à approcher des femmes pour pouvoir s’approprier de leur fœtus vivant, en vue d’expériences médicales.)

—  Cannibalisme.

—  Contrôle de la démographie par la guerre et les conflits.

—  Le mouvement féministe.

—  Encouragement de l’homosexualité.

—  Les étapes sont en marche pour la pédophilie.

—  Le désarmement de la population.

—  Désensibilisation des individus, hommes et femmes, par la télévision, les dessins animés, la violence visuelle, des émissions au contenu ouvertement sexuel.

—  La radio plongeant dans le nihilisme, c’est-à-dire, une attitude négative envers la vie. Le suicide, qui est explicitement encouragé par le rock.

—  L’idée que l’homme n’est qu’une machine animale, rien de plus.

—  La violence et la rébellion.

—  Le sexe dépravé au cœur de la musique.

—  L’occultisme sous toutes ses formes et un culte ouvertement rendu à Satan.

—  Discrédit de tout ce qui touche au christianisme.

—  Destruction de toute morale.

—  Le meurtre.

—  Etc., etc.

Les manipulateurs, ayant prévu que se lèveraient des dénonciateurs qui chercheraient à éveiller la conscience des gens, ont pris soin d’accompagner précautionneusement leur propagande destructrice de l’idée que ces changements de valeurs sont normaux et même souhaitables dans une société qui « évolue ». Faites-en l’expérience et parlez à votre entourage d’un problème sociétal comme, par exemple, l’homosexualité. Remarquez comme on vous toisera de haut en vous disant :

« Mon vieux, nous sommes en 2004… Tes propos sont discriminatoires, il faudrait que tu évolues ! »

Voilà un signe certain que la manipulation a parfaitement fonctionné et que la personne est bien conditionnée, bien programmée.

*           *           *




D.111 – Conspiration de l’Antichrist – Partie 7

 

Dans l’antre du diable

 Septième partie

45. La Compagnie de Jésus (les Jésuites)

Nul doute que nous allons voir le retour de la persécution inquisitoriale des chrétiens par l’Église catholique. Un des principaux ordres sacerdotaux de l’Église romaine à oeuvrer fiévreusement pour l’institution d’une autre grande inquisition, ce sont les Jésuites. Les « Compagnons de Jésus » furent établis par Ignatius de Loyola. Celui-ci était leader d’une organisation secrète occulte connue sous le nom d’Alumbrados (Illuminati en espagnol).[1] Le 15 août 1534, Loyola démarra une organisation sœur des Alumbrados, qu’il appela la Compagnie (ou Société) de Jésus, mieux connue aujourd’hui sous l’appellation des « Jésuites ». Loyola fut arrêté par l’ordre dominicain des Inquisiteurs catholiques qui s’inquiétaient de son influence et de son pouvoir grandissant par toute l’Europe. Du fait de ses alliés influents parmi les principautés européennes, on lui accorda une audience avec le pape. Loyola rendit allégeance au pape et accepta d’exécuter les ordres de la papauté partout dans le monde. Le pape Paul III approuva formellement les Jésuites en tant qu’ordre religieux catholique, dans sa bulle papale de 1540, Regimini Militantis Ecclesiae.[2]

Les Jésuites sont l’armée secrète de l’Église de Rome et l’on se réfère souvent à eux comme de la « milice du pape ». En effet, le leader des Jésuites est appelé le « Général Jésuite ». Il est différent des autres leaders d’ordres catholiques parce que le Général Jésuite est indépendant des évêques et des cardinaux catholiques, car ne répondant qu’au pape directement. À cause du pouvoir et de l’influence du Général Jésuite, on lui prête le nom de « Pape Noir ». On lui suppose l’autorité d’absoudre les gens des péchés de bigamie, de meurtre, ou de tout autre nuisance faite au prochain, en autant que la chose n’est pas divulguée publiquement et cause ainsi scandale.[3] Le pape Grégoire XII autorisa les Jésuites à faire du commerce et des opérations bancaires, ce qui a rendu l’ordre riche.[4] Les papes ont menacé d’excommunication les princes, les rois et quiconque interférerait avec les Jésuites  (Latae Sententiae).[5] Dans un des travaux faisant le plus autorité en matière de Jésuites, J. Huber, professeur de théologie catholique, a écrit ceci : « Voici un fait prouvé : les Constitutions [des Jésuites] répètent cinq cent fois que l’on doit voir le Christ en la personne du Général [Jésuite]. »[6]

Les Jésuites ont une longue et sordide histoire d’obligations morales tordues sur l’éthique pratique et circonstancielle. Par exemple, Dieu commande, sans faire d’exception : « Tu ne diras point de faux témoignage contre ton prochain » (Exode 20:16, VO). Les Jésuites, de leur côté, permettent l’utilisation de termes ambigus pour éconduire un juge, ou carrément du mensonge sous serment si le témoin fait une restriction mentale.[7] Les Jésuites enseignent que, si une jeune fille est enceinte, elle peut obtenir un avortement si la grossesse apporte le déshonneur sur elle ou sur un membre du clergé.[8] Ils ne s’arrêtent pas là, une autre maxime jésuitique déclare : « Si un Père, cédant à la tentation, abuse d’une femme et qu’elle publie ce qui est arrivé, et, à cause de cela, le déshonore, ce même Père peut la tuer pour éviter la disgrâce. »[9] Ce n’est pas la seule cause de justification pour le meurtre. Les Jésuites enseignent de plus que « [un] moine ou un prêtre peut tuer ceux qui sont prêts à le diffamer, lui ou sa communauté. »[10]

L’immoralité n’est pas unique à l’ordre des Jésuites. Les doctrines catholiques permettent toutes sortes d’éléments d’éthique circonstancielle. Thomas d’Aquin, plus importante source de doctrines économiques et théologiques de l’Église catholique, affirme qu’il est légal et, donc, pas un péché, pour un homme de voler la propriété d’un autre afin de combler ses besoins de base. Le point de vue d’Aquin était que toutes choses sont des biens communautaires et, par conséquent, il n’est pas péché de prendre la propriété d’un autre quand on en a besoin.[11] C’est, en effet, la position officielle de l’Église de Rome aujourd’hui, tel qu’exprimé par le Concile Vatican II. « Si quelqu’un est dans une extrême nécessité, il a le droit de se procurer ce dont il a besoin à partir des richesses des autres. »[12] Comparez cela au huitième commandement de Dieu : « Tu ne déroberas point » (Exode 20:15, VO).

Les Jésuites sont des persécuteurs zélés des chrétiens ou de tous ceux qu’ils considèrent ennemis du Vatican. Les Jésuites font le vœu solennel de détruire les chrétiens protestants et d’anéantir tout gouvernement qui offre protection à ces chrétiens.[13] Ils sont ennemis naturels de la liberté et tout leur système est fondé sur une obéissance irréfléchie, aveugle et impitoyable. Ignace lui-même écrivit à ses Jésuites du Portugal : « Nous devons voir le noir comme du blanc si l’église le dit. »[14] Les Jésuites sont les ambassadeurs subversifs de l’Église catholique, amenant le chaos et la ruine dans toutes les nations où ils s’infiltrent. Ils croient que « l’Église catholique a le droit et le devoir de tuer les hérétiques parce que ce n’est que par le feu et l’épée que l’hérésie peut être extirpée (…) Le repentir ne peut leur être accordé pour les sauver, comme le repentir n’est pas permis pour sauver les criminels civils ; car le plus grand bien de l’église est l’unité de la foi, et cela ne peut être préservé que si les hérétiques sont mis à mort. »[15]

Alberto Rivera, ancien prêtre jésuite, fut sauvé par la grâce de Dieu et sortit de la prêtrise jésuitique. Les Jésuites firent de nombreuses tentatives pour le tuer avant qu’il ne puisse révéler leurs secrets. Il survécut aux attentats à sa vie et exposa en long et en large les sinistres méthodes et les motifs inavouables des Jésuites. Lisez l’extrait suivant du Serment secret des Jésuites, que fait un prêtre jésuite lorsqu’il est élevé à une position de commande. Alberto Rivera dut faire ce serment quand il était Jésuite. Le serment est précédé d’un préambule apparemment récité par un confrère jésuite d’une autorité plus haute :

« Vous avez appris, dans votre devoir d’espion, à réunir tous les renseignements, les faits et les informations possibles sur les activités de tous ; à vous insinuer au sein même du cercle familial des protestants et des hérétiques de toutes classes et de toutes sortes, à vous infiltrer chez les marchands, les financiers, les hommes de loi, à l’intérieur des écoles et des universités, dans les parlements et les législatures, dans les magistratures et les conseils d’état ; en somme, vous avez appris à être “tout à tous”, pour l’amour du pape dont nous sommes les serviteurs jusqu’à la mort (…) Vous devez servir un temps déterminé à titre d’instrument et à titre d’exécutant, selon les ordres de vos supérieurs, car celui qui dirige doit d’abord avoir consacré ses labeurs dans le sang des hérétiques ; car “sans effusion de sang aucun homme ne peut être sauvé.”

» Moi, ……………………………., je fais maintenant le serment devant Dieu Tout-Puissant, la très sainte Vierge Marie, le saint archange Michel, saint Jean-Baptiste, les saints apôtres, l’apôtre saint Pierre, l’apôtre saint Paul, les saints du ciel et devant vous, mon Père spirituel, Supérieur Général de la Compagnie de Jésus, fondée par Saint-Ignace de Loyola, dans le pontificat du pape Paul III et perpétué jusqu’à présent de par le ventre de la vierge, la matrice de Dieu et la verge de Jésus-Christ, déclare et fais le serment que Sa Sainteté, le Pape, est le Vice-régent du Christ, et qu’il est le vrai et unique chef de l’Église Catholique ou Universelle, et ce par toute la terre ; et que, en vertu des clés qui ouvrent et qui ferment, remises à sa Sainteté par mon Sauveur, Jésus-Christ, il possède le pouvoir de déposer les rois hérétiques, les princes, les états, les communautés d’états et les gouvernements, tous illégaux sans sa confirmation sacrée, et qu’ils peuvent sans danger être détruits.

» Par conséquent, je défendrai de toutes mes forces cette doctrine et les droits et coutumes de Sa Sainteté contre tout usurpateur d’autorité hérétique et protestant, ou tout spécialement l’Église luthérienne d’Allemagne, de Hollande, du Danemark, de Suède, de Norvège et la nouvelle prétendue autorité de l’Église d’Angleterre et d’Écosse, branches du même arbre, s’il en est (…) Je renonce maintenant et désavoue toute allégeance due à un quelconque roi hérétique, ou prince ou état nommément protestant ou libéral, ou obéissance à n’importe quelles de leurs lois, de leurs magistrats ou de leurs officiers.

» En outre, je promets et déclare solennellement, nonobstant le fait que je sois dispensé de toute religion hérétique pour la propagation des intérêts de ma Mère l’Église, de garder secrètement et privément tous les conseils de ses agents, comme ils m’en instruiront en temps voulu, et de ne pas les divulguer directement ou indirectement, en paroles, par écrit, ou en quelque circonstance ; mais à exécuter tout ce que vous, mon père spirituel, me proposerez, me donnerez comme charge ou découvrirez en moi (…)

» Je fais également serment que je ne formulerai pas d’opinion propre, ni n’aurai de restriction mentale, à l’image d’un cadavre [perinde ac cadaver], et que j’obéirai à chacun des commandements que je recevrai de mes supérieurs de la Milice du pape et de Jésus-Christ.

» Je fais serment que je me rendrai dans toutes les parties du monde, quelles qu’elles soient, sans un murmure, et me soumettrai à toutes les choses qui me seront communiquées (…) Je fais serment de livrer une guerre impitoyable à tous les hérétiques et à tous les protestants, ouvertement ou secrètement, et en toute occasion favorable, selon ce qu’on exigera de moi. Je fais le serment d’utiliser tous les moyens qui se présenteront à moi pour les exterminer, et ce sans tenir compte de l’âge des victimes, de leur sexe et de leur condition. Je fais le serment de les brutaliser, de briser leurs membres, de les faire pendre, de les faire passer par le feu, de les faire mourir par strangulation, de les enterrer vivants, d’ouvrir le ventre de leurs femmes enceintes et d’écraser le crâne de leurs enfants, afin que leur race exécrable soit détruite à tout jamais.

» Je fais le serment d’utiliser contre eux des moyens moins évidents si cela devient nécessaire, tels que l’empoisonnement, le poignard, l’arme à feu, ou toute autre arme jugée pertinente… et ce sans tenir compte du rang social des victimes ou de l’autorité qu’ils détiennent dans la société, et en toute obéissance à tout agent du pape ou à toute autre personne faisant partie de la direction de la Société de Jésus. »[16]

Franz Wernz, Général Jésuite de 1906 à 1915, déclara que « l’Église peut condamner les hérétique à la mort, car tous les droits qu’ils possèdent ne leurs sont accordés que par l’effet de notre tolérance, et ces droits ne sont donc qu’apparents et non réels. »[17]

Les prêtres jésuites sont sujets à certains « exercices spirituels » qui ont été imaginés dès le début par Ignace de Loyola. Durant les exercices spirituels, le sujet est possédé et contrôlé par un démon.

« Nous imprégnons en lui des forces spirituelles qu’il trouvera extrêmement difficile d’éliminer plus tard, forces plus durables que n’importe quel principe ou doctrine ; ces forces peuvent surgir en surface, parfois des années après qu’elles aient même été mentionnées, et deviendront si impératives que la volonté se trouvera incapable d’y opposer le moindre obstacle et devra suivre leurs irrésistibles impulsions. »[18]

Entre 1569 et 1605, les Jésuites orchestrèrent pas moins de onze complots contre l’Angleterre protestante, dont, entre autres, des invasions, des rébellions et des assassinats. Chacun est connu par le nom du leader de la traîtrise : Ridolfi, Sanders, Grégoire XIII, Campion, Parsons, Duc de Guise, Allen, Throgmorten, Parry, Babington, Sixte V, Philippe II d’Espagne, Yorke, Walpole, Southwell et Guy Fawkes.[19]

Dans le « Complot Babington » de 1586, les Jésuites, ainsi que d’autres catholiques planifièrent de tuer la Reine protestante Élizabeth I, de placer Marie Stuart la catholique, Reine d’Écosse, sur le trône d’Angleterre et d’amener celle-ci sous la coupe du pape de Rome. Ce complot fut découvert et Marie fut exécutée pour les malheurs suscités.[20]

Après l’échec du complot de Babington, le pape, ligué avec Philippe II d’Espagne, fomenta l’invasion de l’Angleterre dans le but de l’amener sous contrôle papal. En 1588, l’Espagne envoya les 136 vaisseaux de son Armada espagnole contre l’Angleterre. Le Dieu Souverain de l’Univers souleva une tempête monstre qui dévasta l’Armada et permit à l’Angleterre de défaire l’Espagne avec seulement 30 vaisseaux après une bataille maritime de huit heures.[21]

Le 5 novembre 1605, les Jésuites conduisirent des conspirateurs catholiques romains à planifier l’assassinat du Roi Jacques I et de tout le Parlement anglais en faisant exploser la Chambre des Lords. Ils installèrent 20 barils de poudre à fusil sous la bâtisse de la Chambre. Le plan visait à faire exploser le bâtiment lorsque les Lords, les Communes et le roi seraient tous assemblés, le 5 novembre 1605, lors de l’ouverture du Parlement.[22] Le complot fut cependant découvert et les conspirateurs capturés. Aujourd’hui, on appelle simplement cet événement le « Complot Gunpowder ».[23] Le 5 novembre est une fête nationale en Angleterre, car elle commémore l’échec de la conspiration catholique dans le Complot Gunpowder . La fête s’appelle le Guy Fawkes Day ; Guy Fawkes était l’un des conspirateurs du Complot Gunpowder .[24]

Les subversions des Jésuites à l’intérieur des nations a fait en sorte que 56 pays les ont bannis, quoique plusieurs de ces pays aient levé le ban depuis. En 1759, les Jésuites furent bannis de tout l’Empire portugais.[25] Le 6 avril 1762, le Parlement français émettait l’acte d’accusation suivant :

« Ledit Institut [Jésuites] est inadmissible par sa nature en tout État policé, comme contraire au droit naturel, attentatoire à toute autorité spirituelle et temporelle et tendant à introduire dans l’Église et dans les États, sous le voile spécieux d’un Institut religieux, non un Ordre qui aspire véritablement et uniquement à la perfection évangélique, mais plutôt à un corps politique dont l’essence consiste en une activité continuelle pour parvenir par toutes sortes de voies indirectes, sourdes ou obliques d’abord à une indépendance absolue et successivement à l’usurpation de toute autorité… [La doctrine des Jésuites est qualifiée, en conclusion, de] perverse, destructive de tout principe de religion, et même de probité, injurieuse à la morale chrétienne, pernicieuse à la société civile, attentatoire aux droits de la nation, à la nature de la puissance royale, à la sûreté même de la personne sacrée des souverains et à l’obéissance des sujets, propre à exciter les plus grands troubles dans les États, à former et à entretenir la plus grande corruption dans le cœur des hommes. »[26]

En 1764, les Jésuites furent mis hors-la-loi en France et, en 1767, ils furent bannis de l’Espagne.[27] La pression militaire et politique fut telle de la part des nations européennes sujettes aux subversions des Jésuites que le pape Clément XIII décida, le 3 février 1769, de dissoudre l’Ordre. La nuit précédant l’exécution de la dissolution, toutefois, il se sentit soudainement mal et mourut. Juste avant sa mort, il put s’écrier : « Je me meurs… C’est qu’il est fort dangereux de s’attaquer aux Jésuites ! »[28] Son successeur, le pape Clément XIV, subit également d’énormes pressions politiques pour dissoudre les Jésuites, mais il résista trois ans jusqu’à ce que la tension politique lui força finalement la main. Clément XIV émit le bref papal de dissolution Dominus ac Redemptor, le 16 août 1773.[29] Le pape Clément XIV, sachant très bien la signification d’un tel acte pour la papauté, s’exclama : « Je me suis coupé la main droite. »[30] D’autant plus que Clément savait fort bien qu’en signant leur arrêt de mort, il signait en même temps le sien. Peu après que fut signé le bref, les lettres I.S.S.S.V. apparurent sur les murs du palais du Vatican.[31] Clément comprit immédiatement la signification et l’expliqua résolument : « In Settembre, Sara Sede Vacante », qui, traduit en français, donne ceci : « En Septembre, Sera (le) Siège Vacant », autrement dit, le pape sera mort en septembre.[32] Le pape Clément XIV fut empoisonné et mourut le 22 septembre 1774.[33]

Il est intéressant de constater que c’est tout juste trois ans après que Clément XIV ait dissout les Jésuites que l’organisation subversive des Illuminati fut censément fondée par un Jésuite de formation nommé Adam Weishaupt, en 1776.[34] Weishaupt était juif et professeur de droit canon à l’Université Ingolstadt, qui était une université jésuitique et le centre de la contre-réforme jésuite.[35] L’ancien prêtre jésuite, Alberto Rivera, déclare que l’organisation occulte des Illuminati ne fut pas fondée par Weishaupt, comme bon nombre le croient, mais, en fait, fut établie bien avant lui. En vérité, les Illuminati sont la réincarnation des anciens Alumbrados, dont Ignace de Loyola, celui-là même qui avait fondé les Jésuites, fut le leader de son époque.[36] Les Illuminati furent affermis par Lorenzo Ricco, le Général Jésuite, en 1776, en utilisant son disciple, Adam Weishaupt, comme prête-nom pour la nouvelle organisation (qui n’avait vraiment rien de neuf).[37] Les Jésuites, à peine supprimés par le pape en 1773, trouvèrent nécessaire d’instituer les Illuminati, lesquels constituaient une alliance entre les Jésuites et la très puissante Maison bancaire juive ashkénaze des Rothschild. Le but initial de Weishaupt fut de venger les Jésuites de la suppression papale en déracinant toute religion et en renversant les gouvernements du monde, les amenant sous un gouvernement mondial unique contrôlé, bien sûr, par les Illuminati, sous l’autorité de leur dieu. Le gouvernement mondial est communément appelé chez les Illuminati le « Nouvel Ordre Mondial ». Le dieu des Illuminati est Satan.[38]

Eric Jon Phelps explique, dans son livre Les assassins du Vatican :

« Ces 41 ans [entre leur suppression, en 1773, par le pape Clément XIV et leur rétablissement par le pape Pie VII, en 1814] furent des années d’or pour la Société de Jésus. Car les Fils de Loyola punirent tous leurs ennemis, y compris les prêtres dominicains, perfectionnèrent les oeuvres internes entre eux et la Franc-maçonnerie, en créant des alliances avec la Maison Rothschild par l’établissement des Illuminati ; punirent et absorbèrent les Chevaliers de Malte (…) Ils employèrent l’orthodoxe Catherine de Russie et le luthérien Frédéric de Prusse pour conquérir et diviser la Pologne, rendant la Bulle de Suppression du pape sans effet dans cette contrée catholique romaine. Ils causèrent la Révolution française, décapitèrent un roi bourbonien et une reine des Habsbourg comme punition pour avoir été expulsés de France et d’Autriche. Grâce au franc-maçon Napoléon, ils évincèrent les Bourbons du trône d’Espagne et les Bragances de leur trône au Portugal. Ils essayèrent même d’arracher la Palestine des mains des musulmans, comme les anciens Croisés. »[39]

« Les victoires les plus importantes de la Compagnie furent à la fois politiques et religieuses. Elle pénétra profondément dans l’Église orthodoxe russe et l’Église luthérienne allemande. Spécialement son Université Tubigen. Politiquement, elle prit le contrôle de la Couronne et de la Banque d’Angleterre. C’est la raison pour laquelle l’Angleterre, grâce au Vicomte Palmerston, n’irait plus faire la guerre contre la France, mais conduirait les guerres d’opium du pape contre le peuple de Chine (exactement comme la Compagnie, grâce à ses commissionnaires de la CIA et de la Maffia dirige présentement une vaste opération de drogue contre le peuple de l’empire américain “hérétique et libéral”) (…) Les Jésuites s’emparèrent également de la papauté et du Vatican, ainsi que des propriétés de l’église de par le monde et, pour cette raison, le pape/césar, occupant l’office sacré de la papauté de Satan, ne supprimera plus jamais la Compagnie de Jésus ! »[40]

L’organisation secrète des Illuminati fut la main cachée derrière la brutale Révolution française durant laquelle 300 000 personnes furent massacrées dans une orgie de violence impie.[41] Moses Mordecai Marx Levi, alias Karl Marx, était sataniste et membre de la « Ligue des Justes », une branche des Illuminati.[42] En 1847, Marx fut chargé par les Illuminati d’écrire le Manifeste du communisme, qui est un tracé de leurs plans de domination mondiale.[43] Il n’y avait rien de nouveau dans le Manifeste du communisme, ce n’était qu’un plagiat des plans déjà entamés par Weishaupt et son disciple, Clinton Roosevelt (parent éloigné de Franklin Delano Roosevelt).[44] Entre 1600 et 1750, les Jésuites contrôlaient plus d’un quart de million d’aborigènes ignorants du Paraguay, au sein d’environ 30 communes qu’ils appelaient « réductions ».[45] Les Jésuites étaient maîtres de ces pauvres esclaves dont le labeur rendit les prêtres extrêmement riches. Les leçons apprises dans les « réductions » furent mémorisées dans le manifeste communiste.

Le 20 décembre 1781, il y eut réunion entre Weishaupt et la hiérarchie de la Franc-maçonnerie au Congrès de Wilhelmsbad.[46] En juillet 1782, on arriva à un accord permettant de combiner les Illuminati et les Maçons.[47] La Franc-maçonnerie servait de parfait terrain de recrutement pour les Illuminati. Comme ces derniers, la Maçonnerie était munie de stades d’initiation qui désensibilisaient graduellement la personne initiée et permettaient à la hiérarchie d’estimer l’adaptation de la personne avançant à un degré plus élevé. L’initiation au degré de Chevalier du Royal-Arche (7e degré du Rite de York et 13e degré du Rite écossais) exigeait que l’initié boive du vin dans la moitié supérieure d’un crâne humain et fasse un serment par le sang de ne révéler aucun secret de la Maçonnerie, de mentir et de faire tout en son possible pour venir en aide à un compagnon maçon en le dégageant des conséquences de tout crime commis, incluant le meurtre et la trahison. Le Manuel de la Franc-maçonnerie déclare qu’un maçon « doit dissimuler tous les crimes de ton frère maçon (…) et serais-tu appelé à témoigner contre un frère maçon, soit certain de lui servir de bouclier (…) Ce peut être un parjure, il est vrai, mais tu remplis tes obligations. »[48]

John Robison, professeur de philosophie naturelle, qui fut Secrétaire général de la Société Royale d’Édimbourg et franc-maçon d’influence, a été un des leaders intellectuels de son époque. Il fut témoin de l’influence des Illuminati et des Jésuites au sein de la Franc-maçonnerie. En 1798, il publia un livre intitulé Proofs of a Conspiracy (Preuves d’une conspiration). Dans son livre faisant autorité, le professeur Robison déclara ce qui suit en regard de l’amalgame des Franc-maçons et des Illuminati : « Une association a été formée dans le dessein express de déraciner toutes les religions établies et renverser tous les gouvernements existant en Europe. J’ai vu cette association se déployer avec zèle et systématiquement jusqu’à ce qu’elle devienne quasi irrésistible : et j’ai vu que les leaders les plus actifs de la Révolution française étaient membres de cette association et menaient leurs premiers mouvements selon ses principes et au moyen de ses instructions et de son assistance préalablement requises et obtenues. »[49]

Le professeur Robison révéla, dans son livre, avoir été témoin que les Jésuites commencèrent leur interférence chez les franc-maçons après avoir été supprimés par le pape, en 1773. Il affirma que les Jésuites utilisaient la Franc-maçonnerie comme moyen de maintenir leur pouvoir.[50] Le professeur Robison déclara que l’influence des Jésuites sur la Franc-maçonnerie fut considérable. Le contrôle jésuitique de la franc-maçonnerie fut si complet que les Jésuites modifièrent même de nombreuses cérémonies promotionnelles et des degrés de la maçonnerie.[51]

Pour s’assurer que les crimes commis par les Maçons ne soient pas poursuivis, les Loges maçonniques recrutèrent activement des membres des communautés législatives et légales. À cause de cela, les communautés ne devraient pas permettre à aucun maçon d’avoir un poste de shérif, de juge, de procureur ou d’enquêteur de police. Lorsqu’on entend parler d’une attitude apparemment inexplicable de la police, d’un juge, d’un procureur ou de n’importe quel politicien qui permet à un criminel d’être libéré, on ne devrait pas négliger la main cachée de la Maçonnerie. Par exemple, Albert Pike, le « Souverain Grand Commandeur de l’Ancien Rite Écossais Accepté de la Franc-maçonnerie de la Juridiction Sud, U.S.A. », fut jugé coupable de trahison. Mais, le 22 avril 1866, le Président Andrew Johnson accorda à Pike un pardon complet. Le jour suivant, Pike visita le président à la Maison Blanche. Le Général Gordon Granger était présent à la réunion de 1867 et fut convoqué à témoigner devant le Congrès des États-Unis pour attester de la réunion. Le général Granger déclara que Johnson et Pike discutaient de Maçonnerie et qu’il comprit, d’après la conversation, que Pike était le supérieur de Johnson dans la Franc-maçonnerie. Peu après cela, le 20 juin 1867, une délégation de maçons accorda à Johnson du quatrième au 32e degrés du Rite écossais de la maçonnerie, dans sa chambre à coucher de la Maison Blanche.[52]

Millard Fillmore, treizième président des États-Unis et ancien maçon, a dit que « la fraternité maçonnique piétine nos droits, déjoue l’administration de la justice et lance un défi à tout gouvernement qu’elle ne contrôle pas ».[53] Un comité conjoint de la législature du Massachusetts enquêta sur la Franc-maçonnerie, en 1834, et conclut qu’elle était « un gouvernement indépendant distinct au sein du gouvernement, et au-dessus du contrôle des lois et du pays par le biais de son secret. »[54]

Albert Pike, pontife théologien de la maçonnerie, a écrit : « Il est certain que sa vraie prononciation n’est pas représentée par le mot Jéhovah ; et, donc, que ce n’est pas le véritable nom de la Déité, ni de la Parole Ineffable. »[55] Or, la Parole de Dieu déclare clairement que Jéhovah est le nom de Dieu. « Et qu’ils connaissent que toi seul, qui t’appelles l’Éternel [Jéhovah, dans l’hébreu original], tu es le souverain de toute la terre » (Psaume 83:19, VO).

Si les maçons ne reconnaissent pas Jéhovah comme Dieu, qui donc est leur dieu ? Le dieu des maçons est Lucifer, comme c’était le nom de Satan avant sa rébellion contre Dieu et avant qu’il soit chassé du ciel. Albert Pike a dit que « la doctrine du Satanisme est hérésie ; et la pure et véritable religion philosophique est la croyance en Lucifer, l’égal d’Adonaï, le Dieu des Ténèbres et du Mal. »[56] Adonaï est le mot hébreu de l’Ancien Testament pour nommer Dieu. Non seulement Pike admet-il que Lucifer est le dieu de la franc-maçonnerie, mais, en plus, il blasphème Dieu en L’appelant « le Dieu des Ténèbres et du Mal ».

Pike a écrit le manuel théologique officiel de la maçonnerie, intitulé Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite (Moralité et dogme de l’Ancien Rite Écossais Accepté). La Sainte Bible est claire quant au fait que Dieu a créé Adam (Genèse 2:7). Dans Moralité et dogme, Pike blasphème Dieu en qualifiant le Créateur d’Adam de « Prince des Ténèbres ».[57]

La Sainte Bible déclare, dans Genèse 2:17, que Dieu défendit à Adam de manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Pike blasphème encore Dieu en se rapportant à Dieu comme aux « Démons » qui interdirent à Adam de manger du fruit de la connaissance du bien et du mal.[58] La Sainte Bible dit que Dieu créa Ève. Pike continue son blasphème en appelant Dieu « les Démons » qui ont créé Ève.[59]

Pike fait le portrait du serpent (Satan) comme d’un « Ange de Lumière » qui amena Adam à transgresser ce que lui dirent « les Démons » et donna donc à Adam « les moyens de vaincre ».[60] Pike appelle le péché d’Adam et Ève les moyens de vaincre Dieu. Alors que Dieu vit dans la désobéissance d’Adam contre Lui le moyen par lequel l’homme a chuté, ce qui exigea de Dieu qu’Il vienne sur terre et rachète l’homme (Romains 5:12-21). Christ a remporté la victoire sur Satan pour tous ceux qui croient en Jésus (1 Corinthiens 15:54-58 ; 1 Jean 5:4 ; Apocalypse 15:2). Même s’il est vrai que Satan peut se transformer en ange de lumière (voir 2 Corinthiens 11:14), le but de Pike en appelant Satan « Ange de Lumière » était de le distinguer de Dieu qu’il appelait « le Prince des Ténèbres ».

Les doctrines de la Franc-maçonnerie sont influencées dans une large mesure par la doctrine et l’histoire catholiques romaines. En 1754, les 25 premiers degrés du Rite écossais de la Franc-maçonnerie furent écrits par les Jésuites au Collège des Jésuites de Clermont, à Paris, dans le dessein de remettre au pouvoir, sur le trône d’Angleterre, la Maison des Stuart que contrôlaient les Jésuites.[61] Il y a une série de degrés dans la hiérarchie du Rite de York maçonnique que l’on appelle l’Ordre des Chevaliers du Temple. Les Chevaliers du Temple furent fondés en 1118 après J.C.. Les Templiers reçurent le décret papal en tant qu’ordre catholique (l’Ordre des Pauvres Chevaliers du Christ), en 1128, et sont reconnus comme les premiers croisés catholiques romains. On appelait les Templiers la « Milice du Christ ». Pike déclara que les Templiers, comme toutes les sociétés secrètes, possédaient deux doctrines, une pour le public, l’autre cachée du public et seulement révélée aux initiés dans la société secrète.[62] Pike affirme qu’ils « trompaient ainsi les adversaires qu’ils voulaient supplanter ».[63] On suit la même stratégie aujourd’hui dans les activités caritatives publiques de l’Église catholique romaine et l’Ordre maçonnique ; or, elles oeuvrent secrètement en vue de la domination démoniaque du monde. Bien qu’en surface les Templiers semblaient engagés dans un service altruiste, ils étaient initiés grâce à une cérémonie exigeant d’eux qu’ils rejettent le Christ en crachant sur un crucifix. Puis, on leur ordonnait d’adorer Satan qu’on leur présentait sous forme d’une idole barbue [le Baphomet].[64] Bien que le pape Clément V ait été personnellement informé de la conduite blasphématoire des Templiers, il n’entreprit aucune action jusqu’à ce que leurs activités soient publiquement connues. C’est alors que la pression politique lui força la main et les Templiers furent supprimés.[65] D’après Albert Pike, Jacques de Molay, Grand Maître des Templiers, fut arrêté et, pendant qu’il était en prison, fonda les premières loges de la Franc-maçonnerie à Naples, à Édimbourg, à Stockholm et à Paris.[66] De Molay périt au bûcher, en 1314, sous les ordres de Philippe IV, roi de France, et du pape Clément V.[67] Albert Pike certifie que le roi de France, Philippe IV, et le pape Clément V furent assassinés peu après en vengeance pour la suppression des Chevaliers du Temple.[68] La branche des jeunes hommes de la franc-maçonnerie moderne est nommée en l’honneur de Jacques de Molay.

La plupart des sociétés secrètes sont construites de telle sorte que ceux qui se trouvent dans les échelons inférieurs de l’organisation sont tenus dans l’ignorance des plans stratégiques généraux de la société. Dans les années 1860, Giuseppe Mazzini, directeur mondial de la franc-maçonnerie Illuminati, et Albert Pike, Souverain Grand Commandeur du Conseil suprême Sud, décidèrent de ne former qu’un seul conseil suprême de l’Ordre maçonnique.[69] Pike devait recevoir l’autorité dogmatique avec le titre de Souverain Pontife de la Franc-maçonnerie Universelle, et Mazzini héritait de l’autorité exécutive avec le titre de Souverain Chef de l’Action Politique. Ils appelèrent ce nouveau degré de la franc-maçonnerie le Nouveau Rite Réformé Palladien. Leur plan consistait à garder ce nouveau rite suprême inconnu au sein de la maçonnerie et des membres en général. Les initiés au Rite Palladien devaient être choisis parmi ceux du 33e degré. Ces membres choisis devaient jurer le secret complet sur l’existence même de ce nouveau rite suprême. Le but du Rite Palladien était de gouverner toute la maçonnerie mondiale par une organisation internationale. Les membres de la maçonnerie en général ne furent toutefois pas informés de la stratégie plus large. Les centres d’opération du Rite Palladien furent situés à Charleston, Rome et Berlin.

Peut-être était-ce à cause des activités révolutionnaires italiennes de Mazzini en opposition à l’Église catholique romaine, mais celle-ci considéra, à un moment donné, l’adhésion à la Franc-maçonnerie comme une offense passible d’excommunication.[70] Les sociétés secrètes et l’Église catholique vivent périodiquement des schismes et des réconciliations. Souvent, le point en litige est de savoir si le Vatican aura le contrôle sur la société en question. Si le Vatican perçoit qu’une société secrète possède un pouvoir politique, économique ou religieux, Rome la considérera comme une rivale et lui fera la guerre. Si, à l’exemple des Jésuites, la société se soumet à l’autorité de Rome, alors le Vatican n’est que trop heureux d’accueillir une nouvelle prostituée dans son bordel. Il semble que ç’ait été le cas en ce qui a trait à la Franc-maçonnerie. La loi canon de l’Église catholique a été révisée et la section prohibant l’adhésion à la maçonnerie a été annulée. La révision de la loi canon de l’église a été accomplie par le pape Jean XXIII. [71] L’ancien Jésuite Alberto Rivera révèle qu’avant qu’il ne quitte l’ordre des Jésuites, il a découvert que le Général Jésuite (connu comme le « Pape Noir ») était, non seulement membre du parti communiste d’Espagne, mais aussi un Maçon.[72] Beaucoup, dans l’Église catholique, se sont alarmés, au fil des ans, des liens maçonniques d’Angelo Giuseppe Roncalli (pape Jean XXIII) et de Karol Wojtyla (pape Jean-Paul II).[73] Ces liens portent maintenant leur fruit dans l’alliance entre la Franc-maçonnerie et le Vatican. Ce genre de confédération entre de puissantes sociétés est comme une danse de serpents, il n’est pas toujours très clair aux yeux de l’observateur extérieur à savoir qui dirige qui. L’information glanée du sanctuaire interne du Vatican par l’ancien Jésuite Alberto Rivera indique que c’est Rome qui contrôle.

William Schnoebelen, ancien prêtre satanique et membre des Illuminati, fait ressortir que, afin de continuer à avancer au sein de la hiérarchie satanique, il lui était nécessaire de devenir Maître Maçon et de recevoir les saints ordres pour devenir prêtre catholique.[74] Schnoebelen croyait qu’il était strictement interdit aux catholiques d’être Maçons. Il demanda au leadership satanique comment il pouvait être à la fois prêtre catholique et Maçon. « L’opposition entre les catholiques et les Maçons est superficielle, en réalité, » expliquèrent-ils. « Aux plus hauts degrés, ces deux sectes convergent. Bien sûr, les simples gradés ne peuvent comprendre cela, parce qu’ils sont gardés dans l’ignorance. Tous les cultes opèrent selon le “besoin de savoir”. »[75] Du fait qu’il était marié, il devint prêtre dans l’Ancienne Église Catholique Romaine (A.É.C.R.). L’A.É.C.R. est un groupe séparé du Vatican, qui possède des saints ordres valides, qui célèbre la messe depuis des siècles et permet au sacerdoce de se marier. Il déclara que la liturgie catholique de la messe est fondamentalement un rituel magique occulte. Il est dès lors facile pour les satanistes de la modifier légèrement afin d’en faire un rituel de magie noire accompli.[76]

George Lanz von Liebenfels était un occultiste autrichien qui fonda une version allemande des Chevaliers du Temple, à Vienne, en 1907, l’appelant « l’Ordre des Nouveaux Templiers ».[77] Liebenfels choisit la svastika (croix gammée) comme emblème de sa nouvelle organisation.[78] Un des élèves de Liebenfels était un loyal catholique romain du nom de Adolf Hitler.[79] En 1932, Liebenfels écrivit à l’un de ses initiés que Hitler développerait un jour une organisation qui ferait trembler le monde.

Le royaume de Satan est infesté de conflits et de rébellions et c’est pourquoi ses organisations sont parfois en conflit. Par exemple, les Illuminati visent comme objectif la destruction de tout gouvernement et toute religion ordonnés, y compris le catholicisme. Cependant, nous voyons les Illuminati et ses organismes subordonnés œuvrer main dans la main avec le Vatican dans plusieurs domaines. Ignace de Loyola fut arrêté à quelques reprises par les officiers de l’Inquisition avant de jurer allégeance au pape et que les Jésuites deviennent un ordre catholique. Les Chevaliers du Temple, reconnus comme la « Milice du Christ » et, donc, l’armée du pape, furent en fin de compte supprimés par le roi Philippe IV de France et le pape Clément V qui exécutèrent au bûcher le Grand Maître (Jacques de Molay) et les autres leaders des Templiers. La Deuxième Grande Guerre Mondiale est un bon exemple de la nature chaotique et fluide du royaume de Satan. Staline et Hitler commencèrent la Guerre comme alliés, mais, plus tard, les communistes russes et les nazis d’Allemagne furent emprisonnés dans une horrible guerre. Or, aujourd’hui encore, après la guerre, les nazis et les communistes coopèrent en visant à renverser le gouvernement des États-Unis. De nombreux membres des organisations nazies sont également communistes. Le Royaume de Dieu est fondé sur l’amour, manifesté par le service altruiste désintéressé. Le royaume de Satan est basé sur la haine et l’ambition aveugle, se manifestant par des conflits au sein des organisations et entre elles. Les gouvernements et les organismes qui travaillent en vue du gouvernement et de la religion uniques mondiaux de Satan ont une haine permanente de Christ et des chrétiens. Satan veut briser les liens de la loi de Dieu.

« Pourquoi ce tumulte parmi les nations ? Et pourquoi les peuples projettent-ils des choses vaines ? 2Les rois de la terre se sont levés, et les princes se sont concertés ensemble contre l’Éternel et contre son Oint. 3Rompons leurs liens, disent-ils, et jetons loin de nous leurs cordes ! 4Celui qui est assis dans les cieux s’en rira ; le Seigneur se moquera d’eux » (Psaumes 2:1-4, VO).

Le 7 août 1814, les Jésuites furent rétablis comme ordre catholique par le pape Pie VII.[80] John Adams écrivit à Thomas Jefferson [deux Présidents américains], en 1816 : « Je ne suis pas très heureux de la renaissance des Jésuites… Une nuée d’entre eux va se présenter sous davantage de déguisements, tels des bohémiens, des imprimeurs, des écrivains, des éditeurs, des maîtres d’école, etc. Si jamais une organisation de gens s’est méritée une condamnation éternelle, sur cette terre et en enfer, c’est bien la Société de Loyola. Pourtant, avec notre système de liberté de religion, nous ne pouvons que leur offrir refuge. »[81] Thomas Jefferson répondit à Adams : « Comme vous, je m’objecte au rétablissement des Jésuites, qui font en sorte que la lumière cède la place aux ténèbres. »[82]

En 1835, Samuel Morse, le grand inventeur du télégraphe, fit écho aux inquiétudes de Jefferson et d’Adams ; il décrivit comme suit les Jésuites et la menace qu’ils faisaient peser sur les États-Unis :

« Et les Américains ont-ils besoin qu’on leur dise ce que sont les Jésuites ? S’il y a encore des ignorants, qu’on les informe sans délai de leur histoire : il n’y a pas de temps à perdre : leur œuvre est devant vous dans les événements quotidiens : c’est une société secrète, une sorte d’ordre maçonnique, avec des caractéristiques surajoutées de l’odieux le plus révoltant et un millier de fois plus dangereux. Ils ne se confinent pas à une classe de la société ; ils ne sont pas que des prêtres, ou prêtres d’une seule foi religieuse, ils sont aussi marchands, hommes de loi et éditeurs, hommes de toutes professions et sans profession, ne portant pas d’étiquette extérieure (dans ce pays-ci) par laquelle on puisse les reconnaître ; ils sont dans tous les coins de votre société. Ils peuvent assumer tous les personnages, de l’ange de lumière au ministre des ténèbres, pour parvenir à leur fin unique, le service pour lequel ils ont juré de commencer à tout moment, n’importe où, et pour n’importe quel service, commandé par le général de leur ordre, détachés de tout lien de famille, de communauté, de pays, de tout lien ordinaire qui lie les hommes ; vendus corps et âme pour la vie à la cause du Pontife de Rome. »[83]

Les inquiétudes de Morse, Jefferson et Adams étaient justifiées ; une fois rétablis comme ordre catholique, les Jésuites ne perdirent pas de temps, durant le 19e siècle, et ils fomentèrent des révolutions partout dans le monde, en tentant de mettre au pouvoir les despotes oppressifs qu’ils pourraient contrôler. Ils furent, à un moment ou l’autre, expulsés de Russie (1820), de Belgique, du Portugal (1834), des états italiens (1859), d’Espagne (trois fois – 1820, 1835 et 1868), d’Allemagne (1872), du Guatemala (1872), du Mexique (1873), du Brésil (1874), de l’Équateur (1875), de Colombie (1875), du Costa Rica (1884) et de France (deux fois – 1880 et 1901).[84] Ils causèrent la Guerre civile de Suisse, en 1847, ce qui provoqua leur bannissement, en 1848.[85] À ce jour, la Constitution suisse (article 51) prohibe la présence des Jésuites partout sur le territoire Suisse.[86] Ce ne sont qu’un échantillon des soixante-dix pays et plus desquels les Jésuites ont été expulsés pour avoir dirigé des activités subversives. Cette subversion jésuitique se poursuit toujours aujourd’hui, ayant occasionné le bannissement des Jésuites d’Haïti, en 1964, et de Birmanie, en 1966.[87] Jusqu’à nos jours, ils sont instigateurs des révolutions communistes en Amérique du Sud. Le tout nouveau communisme jésuitique en Amérique du Sud est appelé « Théologie de Libération ».

Toutes les nations devraient apprendre les leçons tirées de l’expérience de l’Angleterre protestante et comprendre la menace que Rome et les Jésuites posent pour tout pays libre. L’Église catholique romaine utilise les superstitions religieuses pour usurper l’autorité et miner l’indépendance des états. Le roi Henry VIII rejeta le joug de Rome et déclara qu’il serait désormais le chef de l’église d’Angleterre. L’erreur du roi Henry VIII est par trop évidente. Car il n’y a de Chef de l’Église de Dieu que Jésus-Christ. Le pape se courrouça de l’insolence du Roi Henry. Toutefois, le pape n’était pas en colère parce que le roi s’était proclamé, de manière blasphématoire, de l’autorité du Christ en tant que chef de l’Église, mais parce que le roi l’avait remplacé lui, le souverain pontife de Rome, comme chef de l’église. Le roi d’Angleterre était cependant trop puissant politiquement pour que le pape puisse entreprendre quelque changement de situation en Angleterre et, conséquemment, le monarque d’Angleterre est, jusqu’à ce jour, le chef de l’Église d’Angleterre (connue sous le nom d’Église Anglicane ou Épiscopale). L’Église Épiscopale est l’une des filles de la mère romaine des prostituées (Apocalypse 17:5). En mai 1538, le pape savoura sa revanche pour la séparation de l’Église d’Angleterre d’avec Rome ; il excommunia tous ceux qui, en Irlande, reconnaissait la suprématie de l’Église d’Angleterre ou d’un quelconque pouvoir ecclésiastique ou civil comme étant plus grand que celui de l’Église catholique de Rome. Les événements sont racontés dans le classique Livre de Foxe des Martyrs :

 « Quelque temps après cela, le pape envoya en Irlande (directement à l’archevêque d’Armagh et à son clergé) une bulle d’excommunication contre tous ceux qui avaient reconnu, ou auraient dû reconnaître, la suprématie du roi au sein de la nation irlandaise ; soulevant une malédiction contre tous ceux-là, et les leurs qui, dans les quarante jours, ne reconnaîtraient pas à leur confesseur qu’ils avaient agi mal à propos ce faisant.

« L’archevêque Browne en prit note dans une lettre datée de Dublin, mai 1538. Une partie de la forme de confession, ou de serment, envoyée à ces papistes irlandais, va comme suit : “Je déclare d’ailleurs que celui ou celle, père ou mère, frère ou sœur, fils ou fille, mari ou femme, oncle ou tante, neveu ou nièce, serviteur ou servante, maître ou maîtresse, et tout autre, les relations les plus proches ou les plus chères, amis ou connaissances ou qui que ce soit, maudit s’il considère ou considérera dans les temps à venir, quelque pouvoir ecclésiastique ou civil comme étant au-dessus de l’autorité de notre Sainte Mère l’Église ; ou s’il obéit, ou obéira dans les temps à venir, à un quelconque opposant ou ennemi de notre Mère l’Église ou contraire à elle à qui j’ai fait le serment suivant : ainsi Dieu, la Sainte Vierge, Saint-Pierre, Saint-Paul et les Saints Évangélistes, aidez-moi…” etc. Cela est parfaitement en accord avec les doctrines promulguées par les Conciles de Latran et de Constance, qui expriment expressément qu’aucune faveur ne doit être démontrée aux hérétiques, ni la foi leur être conservée; qu’ils doivent être excommuniés et condamnés, et leurs domaines confisqués, et que les princes sont obligés, par serment solennel, de les déraciner de leurs dominions respectifs. »[88]

Les attaques politiques et religieuses de Rome contre l’Angleterre protestante continuèrent jusqu’en 1641 et au-delà ; en cette année-là, la bête de Rome planifia une insurrection meurtrière en Irlande. L’objectif de la conspiration barbare visait à assassiner tous les protestants de l’Irlande, sans exception. Dans ce cas-ci, comme dans bien d’autres cas, nous retrouvons les Jésuites en première ligne de la charge meurtrière et maniaque. Les Jésuites apposèrent leur infernal imprimatur sur le massacre en le débutant le jour anniversaire de leur fondateur, Ignace de Loyola. Lorsque la poussière fut enfin retombée après le génocide, Rome avait exterminé 150 000 innocents, hommes, femmes et enfants confondus. Ce massacre illustre le danger que constitue une majorité catholique dans un pays. Peu importe qui semble tenir les rênes politiques, quand le gouvernement légal est acoquiné avec Rome, on va y vivre en enfer. Rome est passée maître dans l’insurrection de masse par l’incitation de barbares qui ont vendu leur âme aux superstitions du Culte catholique. Je ne saurais mieux en parler que le livre qui fait autorité en la matière, le Livre Foxe des Martyrs, je vais donc en tirer un large extrait faisant le récit du massacre :

« Dans la planification de cette horrible conspiration, on visa à ce que l’insurrection générale eut lieu en même temps dans tout le royaume et que tous les protestants, sans aucune exception, soient assassinés. Le jour de ce massacre horrifiant fut fixé au 23 octobre 1641, anniversaire d’Ignace de Loyola, fondateur des Jésuites ; et les chefs conspirateurs firent les préparatifs nécessaires au conflit projeté dans les principales parties du royaume.

« Pour que ce plan détestable puisse réussir presque infailliblement, les papistes opérèrent les artifices les plus distingués ; et leur attitude, lors de leurs visites chez les protestants, semblaient à l’époque d’une plus grande gentillesse que ce qu’ils avaient démontrée jusque là, dans le but de réaliser d’une manière complète les traîtres desseins inhumains qu’ils méditaient contre eux.

« L’exécution de cette conspiration sauvage fut repoussée jusqu’à l’approche de l’hiver afin que l’envoi possible de troupes provenant d’Angleterre s’avère plus problématique. Le cardinal Richelieu, ministre français, avait promis aux conspirateurs un support considérable en hommes et en argent ; et de nombreux officiers irlandais avaient fortement assuré leurs frères catholiques qu’ils se rangeraient de leur côté aussitôt que commencerait l’insurrection.

« La veille du jour convenu pour amener à exécution l’horrible plan était maintenant arrivé quand, heureusement pour la métropole du royaume, la conspiration fut découverte par l’irlandais Owen O’Connelly, pour qui le Parlement anglais vota 500 £ en récompense de son service signalé, ainsi qu’une pension de 200 £ pour le reste de sa vie.

« Le complot fut découvert au moment opportun, car, quelques courtes heures plus tard, la cité et le château de Dublin eurent été pris par surprise. Or, les juges de la cour de cassation n’eurent que le temps de s’installer, ainsi que la cité, en position de défense. Lord M’Guire, principal leader de la conspiration à cet endroit, ainsi que ses complices furent saisis le même soir dans la cité ; dans leurs places d’hébergement, on trouva des épées, des hachettes, des merlins, des marteaux et d’autres instruments de mort qui avaient été préparés pour la destruction et l’extirpation des protestants dans cette partie du royaume.

« Ainsi la capitale fut heureusement préservée ; mais la portion sanguinaire de la tragédie projeté ne pouvait plus être prévenue. Les conspirateurs avaient pris les armes dans tout le royaume tôt le matin du jour fixé et tous les protestants qui se trouvaient sur leur chemin furent immédiatement assassinés. On ne prit garde ni à l’âge, ni au sexe, ni à la condition de la personne. La femme pleurant son mari dépecé et prenant ses enfants sans défense dans ses bras, fut transpercée avec eux et périt du même coup. Le vieillard, le jeune homme, le vigoureux comme l’infirme, tous subirent le même sort et furent mêlés à la ruine commune. En vain fuyaient-ils le premier assaut, la destruction avait libre cours partout et rattrapait à chaque tournant les victimes prises en chasse. En vain recourait-on aux relations, aux compagnons, aux amis ; tous les liens étaient dissous ; et la mort était administrée de la main même de celui de qui on venait implorer la protection. Sans provocation, sans opposition, les Anglais estomaqués, vivant en grande paix et, le croyaient-ils, en pleine sécurité, furent massacrés par leurs plus proches voisins, avec qui ils avaient entretenu une relation continue de gentillesse et de bons offices. Qui plus est, même la mort était la punition la plus légère infligée par ces monstres à forme humaine ; toutes les tortures que la cruauté gratuite puisse inventer, toutes les douleurs prolongées du corps, l’angoisse de l’esprit, l’agonie du désespoir, ne pouvaient satisfaire leur revanche excitée sans préjudice et ne provenant pas d’une juste cause, de toute manière. Une nature dépravée, une religion perverse, même encouragée par la licence extrême, ne peut atteindre un degré de férocité tel que celui de ces barbares sans merci. Le sexe faible lui-même, naturellement tendre envers ses propres souffrances et plein de compassion envers celles des autres, a imité ses robustes compagnons en pratiquant tout genre de cruauté. L’enfant même, enseigné par l’exemple et encouragé par l’exhortation de ses parents, distribua ses faibles coups sur les carcasses décédées des enfants anglais sans défenses.

« L’avarice des Irlandais ne fut pas suffisante pour produire le moindre frein à leur cruauté. Leur frénésie fut telle que le bétail qu’ils avaient saisi et, par la rapine, avaient fait leur, fut, en raison de ce qu’il portait le nom d’Anglais, massacré gratuitement, ou, lorsque couvert de blessures, retourné dans la forêt pour y périr lentement dans de longs tourments.

« Les spacieuses habitations des propriétaires de plantations furent brûlées et rasées. Et là où les infortunés propriétaires s’étaient barricadés dans leur maison et s’étaient préparés à la défendre, ils périrent dans les flammes avec leur femme et leurs enfants.

« Voilà une description générale de ce massacre sans parallèle ; mais il nous reste, vu la nature de cet ouvrage, à en faire le détail.

« Les papistes bigots et impitoyables n’avaient pas sitôt commencé à imbiber leurs mains de sang qu’ils renouvelèrent l’horrible tragédie jour après jour, et les protestants de toutes les parties du royaume tombèrent victimes de leur furie en une mort d’une cruauté sans précédent.

« L’Irlandais ignorant fut le plus fortement incité à exécuter ce travail infernal par les Jésuites, prêtres comme frères, qui, quand le jour de l’exécution de ce complot fut agréé, recommandèrent, dans leurs prières, de faire diligence en regard du grand dessein, lequel, disaient-ils, tendrait grandement à faire prospérer le royaume et l’avancement de la cause catholique. Partout, ils déclaraient aux gens du peuple que les protestants étaient des hérétiques et que l’on ne devait souffrir qu’ils vivent plus longtemps parmi eux ; en ajoutant qu’il n’était pas plus péché de tuer un Anglais que de tuer un chien ; et que les protéger ou les secourir était un crime de la plus impardonnable nature.

« Les papistes ont assiégé la ville et le château de Longford, et les habitants de cette dernière, se rendant à condition qu’on leur fasse quartier, les assiégeants les attaquèrent aussitôt que les citoyens apparurent, et de la façon la plus impitoyable, alors que leur prêtre, comme signal de départ du massacre, étripa d’abord le ministre protestant anglais ; après quoi ses disciples tuèrent tout le reste, en pendant certains, en poignardant et tirant sur d’autres, et l’on fendit la tête d’un grand nombre avec des haches fournit à cet effet.

« La garnison de Sligo fut traitée de la même manière par O’Connor Slygah qui, pour que les protestants quittent leur position, promit de les épargner et de les mener en sécurité dans les montagnes de Curlew, vers Roscommon. Mais il les emprisonna d’abord dans une geôle repoussante, ne leur allouant que du grain pour toute nourriture. Après quoi, alors que les papistes se réjouissaient en s’enivrant, d’autres arrivant pour féliciter leurs méchants frères pour leur victoire sur ces créatures malheureuses, les protestants qui restaient furent amenés par les carmélites et furent, soit tués, ou précipités par-dessus le pont dans le courant rapide où ils se noyèrent bientôt. On ajoute que cette méchante compagnie de Frères-blancs se rendit en procession solennelle, quelque temps après, au bord de la rivière pour l’asperger d’eau bénite, prétendant ainsi laver et purifier la rivière des souillures et de la pollution du sang des corps morts des hérétiques, comme ils appelaient les infortunés protestants qui furent massacrés de manière inhumaine à cette époque-là.

*   *   *

« Dans la baronnie de Terawley, les papistes, à l’instigation des frères, contraignirent une quarantaine de protestants anglais, dont certains étaient des femmes et des enfants, à choisir entre mourir par l’épée ou être jetés dans la mer. Ceux qui choisirent le dernier sort, furent donc forcés, par la menace des armes de leurs persécuteurs, de s’enfoncer dans l’eau où, leurs enfants dans les bras, ils pataugèrent d’abord jusqu’au menton avant de sombrer et périr ensemble.

« Dans le château de Lisgool, au-dessus de cent cinquante hommes, femmes et enfants furent brûlés vifs ensemble ; et dans le château de Moneah, pas moins d’une centaine furent passés au fil de l’épée. Un grand nombre fut également assassiné au château de Tullah qui avait été livré à M’Guire à condition de faire quartier ; mais aussitôt que ce vilain de bas étage eut pris possession des lieux, ils ordonna à ses compagnons de tuer le peuple, ce qui fut exécuté avec la plus grande cruauté.

« Beaucoup d’autres trouvèrent la mort de la manière la plus horrible, laquelle ne pouvait avoir été inventée que par des démons plutôt que par des hommes. Certains d’entre eux furent couchés, le milieu du dos posé sur l’essieu d’un chariot, les jambes pendant au sol d’un côté et, de l’autre côté, la tête et les bras. Dans cette position, un des sauvages fouettait la misérable chose sur les cuisses, les jambes, etc., pendant qu’un autre lançait des chiens furieux qui mettait en pièces les bras et le haut du corps ; et ils étaient dépossédés de leur existence de cette manière terrible. Un grand nombre furent attachés à la queue des chevaux et les bêtes étaient lancées au grand galop par leur conducteur, la pauvre victime étant traînée jusqu’à expiration. D’autres furent suspendus à de hauts gibets et, le feu mis sous eux, ils terminèrent leur vie étouffés en partie par la pendaison et en partie par la fumée dense.

« Le tendre sexe ne pouvait échapper à la moindre cruauté projetée par ses persécuteurs impitoyables et furieux. Beaucoup de femmes de tout âge furent mise à mort de la plus cruelle façon. Certaines, tout particulièrement, furent attachées dos à de gros poteaux et, déshabillées jusqu’à la taille, puis les monstres inhumains leur coupaient le sein droit avec des cisailles, ce qui, évidemment, plongeait ces femmes dans les plus atroces supplices ; et elles furent laissées dans cette position jusqu’à ce que la perte de leur sang les fasse expirer.

« Telle était la sauvage férocité de ces barbares que même les enfants à naître étaient tirés du sein de leur mère pour subir leur rage. De nombreuses malheureuses mères furent pendues nues aux branches des arbres et, leur corps ouvert, leur progéniture innocente leur était arrachée et jetée aux chiens et aux porcs. Et, pour ajouter à l’horreur de la scène, ils obligeaient les maris à être spectateurs avant de souffrir eux-mêmes.

« À la ville d’Issenskeath, ils pendirent au-dessus de cent protestants écossais, ne leur démontrant pas plus de miséricorde qu’envers les Anglais. M’Guire, se rendant au château de cette ville, désira parler avec le gouverneur. Lorsqu’il fut admis, il brûla immédiatement les registres du comté qui y étaient gardés là. Puis, il exigea 1000 £ du gouverneur et, après l’avoir reçu, il l’obligea à entendre la messe et à jurer qu’il continuerait à y assister par la suite. Et, pour compléter son barbarisme horrifiant, il ordonna que sa femme et ses enfants soient pendus devant lui ; hors cela, il massacra au moins une centaine d’habitants. Plus d’un milliers d’hommes, de femmes et d’enfants furent conduits par différentes compagnies au pont de Portadown qui était brisé en son milieu, et on les força à se jeter dans l’eau, et ceux qui essayaient de se rendre sur la rive étaient frappés sur la tête.

« Dans une même partie du pays, au moins quatre mille personnes furent noyées à différents endroits. Les papistes inhumains, après les avoir déshabillées, les conduisaient comme des bêtes vers le point fixé de leur destruction ; et si quelques-uns, à cause de la fatigue ou d’une infirmité naturelle, ralentissaient le pas, ils les piquaient du bout de leurs épées ou de leurs piques ; et pour frapper de terreur la multitude, ils en tuaient certains en route. Bon nombre de ces pauvres misérables s’efforcèrent, quand on les lança dans l’eau, de se sauver en nageant jusqu’à la rive, mais leurs inflexibles persécuteurs empêchèrent leurs tentatives en les rejetant à l’eau.

« En un endroit, cent quarante Anglais, après avoir été conduits pendants des kilomètres tout nus à une température des plus sévères, furent tous assassinés à la même place, certains pendus, d’autres brûlés, quelques-uns tirés à bout portant et beaucoup d’entre eux ensevelis vivants ; et leurs tourmenteurs se montrèrent si cruels qu’ils ne souffrirent pas de les laisser prier avant de leur avoir volé leur misérable existence.

« D’autres compagnies prétextèrent de leur faire bénéficier d’un sauf conduit, et procédèrent amicalement dans leur voyage ; mais lorsque les traîtres papistes eurent amené leurs victimes au point convenable, ils les massacrèrent tous de la manière la plus cruelle.

« Cent quinze hommes, femmes et enfants furent acheminés, par ordre de Sir Phelim O’Neal, au pont de Portadown où ils furent tous forcés de se jeter à l’eau et se noyèrent. Une femme, nommée Campbell, ne trouvant aucune possibilité de s’échapper, agrafa rapidement un des chefs papistes dans ses bras et le maintint si fort qu’ils coulèrent tous deux et se noyèrent.

« À Killyman, ils massacrèrent quarante-huit familles, parmi lesquelles vingt-deux furent brûlées ensemble dans une maison. Le reste fut soit pendu, tiré à bout portant ou noyé.

« À Kilmore, les habitants qui consistaient en quelques deux cent familles, furent tous victimes de leur rage. Plusieurs d’entre eux furent incarcérés jusqu’à ce qu’ils confessent où ils avaient mis leur argent ; après quoi ils furent mis à mort. Tout le pays n’était qu’une vaste scène de boucherie et plusieurs milliers de gens périrent en peu de temps par l’épée, par la famine, par le feu, par l’eau, et par tout autre moyen cruel que la rage et la malice pouvaient inventer.

« Ces vilains sanguinaires offraient une grande faveur à certains en les achevant immédiatement ; mais ils ne souffraient d’aucune manière qu’ils prient. Ils en emprisonnèrent d’autres dans d’immondes donjons, installant de pesantes chevilles à leurs jambes et les gardaient jusqu’à ce qu’ils meurent de faim.

« À Casel, on mit tous les protestants dans un donjon dégoûtant où on les garda ensemble pendant plusieurs semaines dans la misère noire. À la fin, ils furent relâchés pour que plusieurs fussent cruellement mutilés et laissés sur les grands chemins pour y périr à loisir ; d’autres furent pendus et quelques-uns furent enterrés dans le sol à la verticale, en ne laissant que la tête sortie, et les papistes, pour accroître leur misère, les traitaient avec dérision pendant leurs souffrances. Dans le comté d’Antrim, ils assassinèrent neuf cent cinquante-quatre protestants en une seule matinée ; et après cela, environ douze cents autres dans le comté.

« Dans une ville appelée Lisnegary, ils enfermèrent vingt-quatre protestants dans une maison et mirent ensuite le feu, les brûlant tous ensemble en contrefaisant leurs cris en signe de dérision pour les autres.

« Entre autres actes de cruauté, ils s’emparèrent de deux enfants appartenant à une femme anglaise et, devant elle, leur sortirent la cervelle ; après quoi ils jetèrent leur mère à la rivière où elle se noya. Ils servirent le même traitement à de nombreux autres enfants, pour la plus grande affliction de leurs parents et à la disgrâce de la nature humaine.

« À Kilkenny, tous les protestants furent mis à mort sans exception ; et certains d’entre eux d’une manière si cruelle qu’on n’y aurait probablement jamais pensé auparavant.

« Ils battirent une femme anglaise avec un barbarisme tellement sauvage qu’il ne lui restait presque plus d’os intacts ; après cela, ils la jetèrent dans une fosse ; mais, non content de cela, ils prirent son enfant, une fillette d’environ six ans, et, après lui avoir ouvert le ventre, la lancèrent à sa mère pour qu’elle languisse jusqu’à ce qu’elle périsse. Ils forcèrent un homme à aller à la messe, après quoi ils l’éventrèrent et le laissèrent ainsi. Ils en scièrent un autre en deux, coupèrent la gorge de son épouse et, après avoir extirpé la cervelle de leur enfant, un nouveau-né, le jetèrent à une truie qui le dévora goulûment.

« Après avoir commis ces horribles cruautés et bien d’autres, ils prirent la tête de sept protestants, dont une parmi elles était d’un ministre pieux, et ils les alignèrent à la croisée du marché. Ils mirent un bâillon dans la bouche du ministre, puis incisèrent les joues jusqu’aux oreilles et, tenant une page de la Bible devant lui, ils lui ordonnèrent de prêcher, car sa bouche était assez grande. Ils firent encore bien des choses par voies de dérision et exprimèrent la plus grande satisfaction d’avoir ainsi assassiné et exposé les malheureux protestants.

« Il est impossible de concevoir le plaisir que ces monstres ressentirent à exercer leur cruauté et à accroître la misère de ceux qui tombaient entre leurs mains quand ils les massacrèrent en leur disant : “Que ton âme aille au diable !” Un de ces mécréants entrait dans une maison avec les mains pleine de sang et se vantait que c’était du sang anglais, et que son épée avait piqué la peau blanche des protestants, même jusqu’à la garde. Lorsque n’importe quel d’entre eux avait tué un protestant, les autres venaient recevoir gratification en coupant et en mutilant le corps ; après quoi ils le laissaient exposé pour qu’il soit dévoré par les chiens ; et quand ils en avaient massacré bon nombre, ils pavoisaient que le diable leur était redevable de lui envoyer tant d’âmes en enfer. Mais il n’est pas étonnant qu’ils aient traité ainsi les chrétiens innocents, alors qu’ils n’hésitaient nullement à commettre un blasphème contre Dieu et Sa très Sainte Parole.

« À un endroit donné, ils brûlèrent deux Bibles protestantes et dirent ensuite qu’ils avaient brûlé les flammes de l’enfer. Dans l’église de Powerscourt, ils brûlèrent la chaire, les bancs, les coffres et les Bibles lui appartenant. Ils s’emparèrent d’autres Bibles et, après les avoir trempées dans l’eau sale, ils en frappèrent la figure des protestants en disant : “Nous savons que vous aimez les bonnes leçons ; en voici une excellente pour vous ; revenez demain et vous aurez un aussi bon sermon que celui-ci.”

« Ils traînèrent certains protestants par les cheveux dans l’église où ils les déshabillèrent et les fouettèrent d’une façon abominable, leur disant en même temps que, s’ils revenaient le lendemain, ils entendraient le même type de sermon.

« À Munster, ils mirent à mort plusieurs ministres de la façon la plus choquante. Un, tout particulièrement, fut déshabillé complètement nu et, en le dirigeant devant eux, le piquèrent avec des épées et des dards jusqu’à ce qu’il tombe et expire.

« À certains endroits, ils arrachaient les yeux et coupaient les mains des protestants et les laissaient ainsi dans les champs pour qu’ils errent le reste de leur existence. Ils obligèrent de nombreux jeunes hommes à amener de force leurs parents âgés à la rivière où on les noya ; ils forcèrent les épouses à assister à la pendaison de leur mari ; et les mères à trancher la gorge de leurs enfants.

« À un lieu donné, ils obligèrent un jeune homme à tuer son père, puis ils le pendirent immédiatement. À un autre endroit, ils forcèrent une femme à tuer son mari, ensuite, ils contraignirent son fils à la tuer, après quoi ils lui tirèrent une balle dans la tête.

« À un endroit appelé Glasgow, un prêtre du pape, accompagné de certains autres, amena quarante protestants à se réconcilier avec l’Église de Rome. Ils ne l’eurent pas sitôt fait qu’il leur dit qu’ils étaient maintenant dans la bonne profession de foi et qu’il allait les empêcher de tomber à nouveau et redevenir des hérétiques en les envoyant hors de ce monde, ce qu’il fit avec ses semblables en leur coupant la gorge.

« Dans le comté de Tipperary, plus de trente protestants, hommes, femmes et enfants, tombèrent entre les mains des papistes qui, après les avoir complètement dénudés, les assassinèrent avec des pierres, des piques, des épées et autres armes.

« Dans le comté de Mayo, environ soixante protestants, dont quinze étaient des ministres, furent amenés en sécurité à Galway, selon un accord passé par un certain Edmund Burke et ses soldats ; mais ce monstre inhumain tira en chemin son épée, comme un avis envers le reste de sa troupe qui suivit immédiatement son exemple et ils tuèrent tout le monde, certains étant poignardés, d’autres transpercés de piques de part en part, et quelques-uns noyés.

« Dans le comté de Queen, un grand nombre de protestants furent mis à mort de la plus choquante façon. Cinquante ou soixante furent placés ensemble dans une maison à laquelle on mit le feu et ils périrent dans les flammes. Beaucoup furent déshabillés nus et attachés à des chevaux par des cordes nouées à la taille, et ils furent traînées dans les marécages jusqu’à expiration. Quelques-uns furent pendus par les pieds sur des crochets plantés dans des poteaux ; et, dans cette posture misérable, on les laissait périr. D’autres furent attachés à des troncs d’arbres avec une branche en haut. Par-dessus cette branche pendait un des bras qui supportait en grande partie le poids du corps ; et une des jambes était retournée et attachée au tronc alors que l’autre pendait droite. Dans cette posture épouvantable et difficile, ils demeuraient tant que la vie le permettait, spectacle plaisant à leurs persécuteurs assoiffés de sang.

« À Clownes, dix-sept hommes furent enterrés vivants ;  et un Anglais, sa femme, ses cinq enfants et sa servante furent tous pendus ensemble, après quoi ils furent jetés dans un fossé. Ils en pendirent beaucoup par les bras aux branches d’arbres, avec un poids attaché à leurs pieds ; d’autres étaient pendus par le milieu du corps, et on les laissait ainsi jusqu’à ce qu’ils meurent. Quelques-uns étaient pendus à des moulins à vent et, quand ils étaient à moitié mort, les barbares les coupaient en pièces avec leurs épées. D’autres, hommes, femmes et enfants, étaient lacérés à coups de hache en diverses parties du corps et on les laissait baigner dans leur sang afin qu’ils périssent là où ils gisaient. Ils avaient pendu une pauvre femme à un gibet avec son enfant, un nouveau-né de moins de douze mois, qu’ils avaient attaché par le cou aux cheveux de sa mère, et ils finirent ainsi leur courte mais misérable existence.

« Dans le comté de Tyrone, pas moins de trois cents protestants furent noyés en une seule journée ; et de nombreux autres furent pendus, brûlés et mis à mort de toutes sortes de façons. Le Dr Maxwell, recteur de Tyrone, vivait à l’époque près d’Armagh, et souffrit beaucoup à cause de ces sauvages impitoyables. Cette personne, dans son examen fait sous serment devant les commissaires du roi, déclara que les papistes irlandais lui appartenant avaient détruit, en quelques fois et en un seul endroit, 12 000 protestants qu’ils assassinèrent de manière inhumaine à Glynwood, dans leur itinéraire en provenance d’Armagh.

« Alors que la rivière Bann n’était pas guéable et que le pont était brisé, les Irlandais y forcèrent à différentes reprises un grand nombre de protestants non armés et sans défense, et, au bout des piques et des épées, en poussèrent violemment un millier à se jeter dans la rivière où ils périrent misérablement.

« La cathédrale d’Armagh n’échappa pas non plus à la furie barbare, car elle fut malicieusement mise en feu par leurs leaders et rasée jusqu’au sol. Et pour extirper, si possible, la race même de ces malheureux protestants qui vivait dans Armagh ou aux alentours, les Irlandais commencèrent par brûler leurs maisons, puis rassemblèrent plusieurs centaines de ces gens innocents, jeunes et vieux, sous prétexte de les conduire de façon sécuritaire à Colerain, alors ils leur tombèrent dessus traîtreusement en chemin et les assassinèrent de manière inhumaine.

« D’autres barbaries du même genre que celles que nous venons de détailler furent pratiquées sur les infortunés protestants dans presque toutes les parties du royaume ; et quand on estima après coup le nombre de ceux qui avaient été sacrifiés pour contenter les âmes diaboliques des papistes, cela monta à plus de cent cinquante mille. »[89]

Ce génocide fut planifié et orchestré à partir du Vatican. Il fut exécuté par le leadership des Jésuites et d’autres prêtrailles subordonnées à la bête de Rome. Que celui qui a des yeux voit au-travers de la pieuse façade de Rome. Que celui qui a de la sagesse comprenne le danger posé par Rome et les Jésuites. L’Église catholique romaine ne change jamais.

46. La conspiration du Vatican contre les libertés des États-Unis

Peu après leur rétablissement, les Jésuites concentrèrent leurs efforts de conspirateurs en direction des États-Unis. Pour bien saisir les motifs jésuitiques, on doit comprendre la position unique des États-Unis et la menace potentielle qu’ils posent à tous les despotes, incluant le pape. La fondation des États-Unis commença une époque nouvelle de l’histoire. Nous nous sommes débarrassés de notre roi terrestre et avons déclaré que le Seigneur serait notre Roi. Nous avons renversé ce que firent les anciens Juifs. Les Juifs, au début, n’étaient pas dirigés par un roi, le règne terrestre étant une pratique païenne. Les Juifs étaient initialement dirigés par Dieu et administrés par un juge. Ils essayèrent de faire de Gédéon leur roi, mais il refusa en leur disant que l’Éternel régnerait sur eux.

« Et les hommes d’Israël dirent à Gédéon : Règne sur nous, toi et ton fils, et le fils de ton fils ; car tu nous as délivrés de la main des Madianites. 23Mais Gédéon leur répondit : Je ne dominerai point sur vous, et mon fils ne dominera point sur vous ; c’est l’Éternel qui dominera sur vous » (Juges 8:22-23, VO).

Quelques années plus tard, les Juifs en appelèrent à Samuel qui, à cette époque, était juge en Israël. Le peuple dit à Samuel qu’il voulait être dirigé par un roi au lieu d’un juge. Une des méthodes de Satan qu’il utilisa ici avec les Juifs, et qu’il utilise encore aujourd’hui aux États-Unis, est de corrompre le leadership du pays pour que le peuple en soit dégoûté et sollicite un changement de gouvernement. Les Juifs demandaient un roi parce que les fils de Samuel, que ce dernier avait fait juges en Israël, étaient pourris et se laissaient corrompre. Samuel croyait qu’il avait été rejeté, mais Dieu dit à Samuel « ce n’est pas toi qu’ils ont rejeté, mais c’est moi qu’ils ont rejeté ». Dieu avertit les Juifs qu’un roi terrestre ne ferait que leur apporter de grandes calamités, mais le peuple persista. Dieu acquiesça à leur souhait et les calamités s’abattirent effectivement sur les Juifs, juste comme Dieu l’avait prédit.

« Quand Samuel fut devenu vieux, il établit ses fils pour juges sur Israël. 2Son premier-né s’appelait Joël, et le second Abija ; et ils jugeaient à Béer-Shéba. 3Et ses fils ne marchèrent point dans ses voies, mais ils s’en détournèrent pour rechercher le gain ; et ils prenaient des présents, et pervertissaient le droit. 4Alors tous les anciens d’Israël s’assemblèrent, et vinrent vers Samuel à Rama ; 5Et ils lui dirent : Voici, tu es devenu vieux, et tes fils ne marchent point dans tes voies ; maintenant, établis sur nous un roi pour nous juger, comme en ont toutes les nations. 6Et cette parole déplut à Samuel, parce qu’ils avaient dit : Donne-nous un roi pour nous juger ; et Samuel pria l’Éternel. 7Et l’Éternel dit à Samuel : Obéis à la voix du peuple, en tout ce qu’ils te diront ; car ce n’est pas toi qu’ils ont rejeté, mais c’est moi qu’ils ont rejeté, afin que je ne règne point sur eux. 8Conformément à toutes les actions qu’ils ont faites, depuis le jour où je les ai fait monter hors d’Égypte jusqu’à ce jour, et de même qu’ils m’ont abandonné et ont servi d’autres dieux, ils agissent aussi de même à ton égard. 9Maintenant donc, obéis à leur voix ; seulement ne manque point de protester contre eux, et de leur déclarer comment le roi, qui régnera sur eux, les traitera. 10Alors Samuel dit toutes les paroles de l’Éternel au peuple, qui lui avait demandé un roi. 11Et il dit : Voici comment vous traitera le roi qui régnera sur vous. Il prendra vos fils, et les mettra sur ses chars et parmi ses cavaliers, et ils courront devant son char ; 12Il les prendra aussi pour en faire ses chefs de milliers, et ses chefs de cinquantaines ; pour labourer ses champs, pour récolter sa moisson, et pour faire ses instruments de guerre, et l’attirail de ses chars. 13Il prendra aussi vos filles, pour en faire des parfumeuses, des cuisinières, et des boulangères ; 14Il prendra aussi vos champs, vos vignes et vos oliviers les meilleurs, et les donnera à ses serviteurs. 15Il lèvera la dîme de vos grains et de vos vignes, et la donnera à ses eunuques et à ses serviteurs ; 16Il prendra vos serviteurs et vos servantes, et l’élite de vos jeunes gens, et vos ânes, et les emploiera à ses ouvrages ; 17Il dîmera vos troupeaux, et vous serez ses esclaves. 18Vous crierez, en ce jour-là, à cause de votre roi, que vous vous serez choisi, mais l’Éternel ne vous exaucera point. 19Mais le peuple refusa d’écouter la voix de Samuel, et ils dirent : Non ! mais il y aura un roi sur nous, 20Et nous serons, nous aussi, comme toutes les nations ; et notre roi nous jugera, et sortira devant nous, et conduira nos guerres. 21Et Samuel entendit toutes les paroles du peuple, et les rapporta aux oreilles de l’Éternel. 22Et l’Éternel dit à Samuel: Obéis à leur voix, et établis-leur un roi. Et Samuel dit aux hommes d’Israël : Allez-vous-en chacun en sa ville » (1 Samuel 8:1-22, VO).

Lorsque les États-Unis déclarèrent leur indépendance vis-à-vis du roi terrestre George d’Angleterre, nous fûmes replacés sous le règne de Dieu. Après la victoire de la Guerre d’Indépendance, certaines personnes voulaient faire de George Washington notre roi, mais, comme Gédéon, il refusa de même prendre la chose en considération. Le pape ne peut pas tolérer un pays sans un roi sous son autorité, il veut régner sur le monde et cela inclut les États-Unis.

Samuel Morse a révélé qu’il y avait une conspiration politique catholique contre les États-Unis sous le couvert d’une mission religieuse, dans son ouvrage de 1835, Foreign Conspiracy Against the Liberties of the United States (Conspiration étrangère contre les libertés des États-Unis).[90] La liberté dont jouissent les États-Unis de par leur forme de gouvernement républicain est considéré comme une menace directe envers les gouvernements despotiques du monde, y compris le Vatican.

Quelle menace posent les États-Unis aux tyrannies du monde ? Samuel Morse répond à la question :

« On se demande : “ Pourquoi la Sainte Alliance s’intéresserait-elle à la destruction de la liberté transatlantique ? ” Je réponds : l’influence silencieuse, mais puissante et croissante, de nos institutions en Europe, c’est là une raison suffisante. Juste l’exemple de prospérité que nous exhibons en contraste frappant avec le despotisme esclavagiste de l’ancien monde, infesté de prêtres et croulant sous le poids des taxes, est suffisant pour maintenir ces pays dans une perpétuelle agitation. Comment en serait-il autrement ? Est-ce qu’un malade, attendant depuis longtemps une cure, apprendra qu’il y a un remède pour lui et ne désirera pas se le procurer ? Est-ce que quelqu’un habitué à croire qu’un donjon est un habitat naturel, apprendra, au-travers de ses barreaux élimés qu’un homme peut être libre, et ne luttera pas pour obtenir sa liberté ? Et qu’est-ce que les peuples d’Europe retiennent de ce pays-ci ? Ils sont témoins de l’expérience fructueuse d’un gouvernement libre ; un gouvernement pour le peuple ; sans règles de jure divino (de droit divin) ; n’ayant aucune classe privilégiée héréditaire ; un gouvernement faisant preuve d’un bon ordre et d’obéissance aux lois, sans police armée ni tribunal discrétionnaire ; un gouvernement sans dette ; un peuple industrieux, entreprenant, florissant dans tous ses avantages ; sans monopole ; un peuple religieux mais sans établissement ; moral et honnête sans les terreurs d’un confessionnal ou d’une inquisition ; un peuple non lésé par la liberté effrénée de la presse et la liberté d’opinion ; un peuple qui lit ce qui lui plaît, et pense, juge et agit par lui-même ; un peuple qui jouit de la plus grande sécurité illimitée de la personne et de la propriété ; chez qui les conspirations domestiques sont inconnues puisque le pauvre et le riche sont égaux face à la justice ; un peuple sociable et hospitalier ; déployant toutes ses énergies dans des projets au bénéfice du public et du privé sans autre contrôle que la patience mutuelle. Un gouvernement contrastant en tout point avec les gouvernements absolus doit s’engager avec grande sollicitude envers les dirigeants et les peuples de l’ancien monde. Chaque révolution survenue en Europe dans ce dernier demi-siècle est, à un degré ou un autre, la conséquence de notre propre révolution glorieuse. Les grandes vérités politiques promulguées dans le monde sont le fruit des désordres, des conspirations et des révolutions de l’Europe, de la Révolution française jusqu’à présent. Ce sont les affres de la vie intérieure brisant les liens des ténèbres avec lesquels la superstition et le despotisme avaient jusqu’ici lié les nations luttant pour entrer dans la lumière d’un âge nouveau. Le despotisme peut-il savoir tout cela et ne pas faire le nécessaire pour combattre ce mal ? »[91]

Aucun pouvoir européen n’a la puissance de conquérir les États-Unis. Comment espèrent-ils donc détruire ce grand pays ? Samuel Morse révéla une des stratégies du Vatican, en ligue avec les monarchies de l’Europe, qui se servirent de la subversion plutôt que de la conquête. Ils planifièrent d’envahir les États-Unis avec un flot d’immigrants catholiques romains.[92] C’est une stratégie que l’on peut encore constater de nos jours. En 1855, le Duc de Richmond admit la conspiration, qu’il expliqua de cette manière :

« [Les États-Unis] seront détruits, on ne doit pas permettre qu’ils existent (…) et tant qu’ils existeront, aucun prince ne sera en sécurité sur son trône ; et les souverains d’Europe en sont conscients, et ils ont déterminé leur destruction en venant à un consensus à ce sujet, et ils ont décidé de quelle manière y parvenir ; et ils y réussiront éventuellement par la subversion au lieu de la conquête. Tant que la plèbe et le surplus de population des différentes nations d’Europe seront envoyés dans ce pays, il servira de réceptacle aux mauvaises gens et aux populations mécontentes de l’Europe, quand ils ne seront pas requis comme soldats, ou fournis aux navires, et les gouvernements européens favoriseront ce cours des choses. Cela créera un surplus et une majorité de populace de basse extraction qui est si facilement excitée, et elle apportera avec elle ses principes et, neuf fois sur dix, elle adhèrera encore à ses anciennes formes de gouvernement, de lois, de coutumes et de religion, et elle les transmettra à sa postérité et, dans bien des cas, les propagera chez les indigènes. Ces hommes deviendront des citoyens et, par la Constitution et les lois, seront investis du droit de vote. Les différents degrés de la société seront alors créés par voie d’élévation de quelques-uns et de dégradation de beaucoup d’autres, et ainsi une population hétérogène sera formée, parlant différents langages, et possédant diverses religions et différents sentiments, et les faire agir, penser et ressentir de la même façon dans les affaires politiques sera comme de vouloir mêler l’huile et le feu, d’où la discorde, la dissension, l’anarchie et la guerre civile qui s’ensuivront ; et quelque individu populaire assumera le gouvernement et restaurera l’ordre et les souverains d’Europe, les immigrants et beaucoup d’indigènes le soutiendront. »[93]

Gardez à l’esprit que la citation ci-haut a été écrite en 1855. Depuis lors, les Jésuites et leurs compagnons conspirateurs papaux ont utilisé cette même stratégie pour corrompre graduellement le gouvernement des États-Unis afin qu’il agisse comme les tyrannies du monde. Comme l’explique le Dr John Robbins :

« La pensée économique catholique romaine, telle que développée par les papes dans leurs encycliques et dans leurs Conciles de l’Église/État catholique, a contribué, quand elle n’en était pas la source unique, à plusieurs formes d’organisations politiques et économiques anticapitalistes durant la longue hégémonie de l’Église/État romaine. On retrouve parmi ces formes :

1.       le féodalisme et le socialisme corporatif en Europe pendant le Moyen-Âge ;

2.       le fascisme en Italie, en Espagne, au Portugal, en Croatie et en Amérique latine au vingtième siècle ;

3.       le nazisme en Allemagne au vingtième siècle ;

4.       l’interventionnisme et la redistribution étatique en Occident, y compris aux États-Unis pendant le vingtième siècle ;

5.       et la théologie de libération en Amérique latine et en Afrique au vingtième siècle.[94]

Le pape proclame sa domination sur tous les rois et les royaumes. Il veut diriger le monde. Toutefois, il ne peut diriger un pays comme les États-Unis où il n’y a pas de roi. Pour atteindre son but de domination du monde, il doit donc détruire les États-Unis, comme nous le savons. Le pape et ses camarades despotes ne peuvent pas encore nous conquérir par la force des armes ; ils ont donc mis en place notre destruction graduelle par la ruse d’une mission religieuse. Comme le fameux cheval de Troie, l’immigration jésuitique aux États-Unis est, en réalité, une invasion par l’armée secrète du pape. Au milieu des années 1800, la puissance qui se montrait la plus intéressée à la destruction des U.S.A. était l’Autriche qui subventionna l’invasion en Amérique du Nord des Jésuites dont la mission était de miner secrètement notre république. Morse mentionna ceci à propos de la conspiration :

« Oui, ces tyrans étrangers s’activent soudainement à combiner et à promouvoir la grande activité du pape dans ce pays ; et cela après avoir été convaincus, ou, plus exactement, après leur avoir rafraîchi la mémoire sur la véracité du fait que le pape est entièrement opposé à la liberté républicaine. »[95]

Les déclarations officielles de l’Église catholique aux Etats-Unis, qui remontent à plus de 100 ans, confirment le fait que l’Église de Rome est antagoniste de la liberté : « Si les catholiques viennent à atteindre une majorité suffisante au pays, la liberté religieuse prendra fin. C’est ce que disent nos ennemis et c’est ce que nous croyons » [The Shepherd of the Valley, journal officiel de l’évêque de St-Louis, 23 novembre 1851.][96] « Aucun homme n’a le droit de choisir sa religion » [New York Freeman, journal officiel de l’évêque Hugues, 26 janvier 1852.][97] « L’Église … n’accepte ni ne favorise à aucun degré, la liberté dans le sens protestant du terme » [Monde catholique, avril 1870.][98]

Le 8 décembre 1864, le pape Pie IX fit diffuser une lettre encyclique, Quanta Cura, contenant le Syllabus Errorum dans laquelle il condamna la liberté de conscience comme étant « une folie insensée » et la liberté de la presse comme « une erreur pernicieuse, qu’on ne saurait assez détester ».[99] Pie IX y déclare encore : « Aucun homme n’est libre d’adopter et de professer que la religion à laquelle il croit est vraie, en se laissant guider à la lumière de la raison. »[100] Le pape Grégoire XVI (1831-1846) considérait la liberté de conscience et de la presse comme des concepts absurdes et mauvais, non seulement au sein de l’église, mais aussi dans la société en général.[101]

Comment pareil complot peut-il exercer un effet subversif sur les libertés des États-Unis ? L’institution catholique romaine n’est-elle pas seulement une religion ? Samuel Morse explique :

« La papauté est un système politique, despotique dans son organisation, anti-démocratique et anti-républicain, et ne peut dès lors coexister avec le républicanisme américain.

« Le ratio de croissance de la papauté est en proportion directe avec la décroissance de la liberté civile.

« La prédominance de la papauté aux États-Unis équivaut à la destruction certaine de nos institutions.

« La papauté, de par son organisation, est entièrement sous le contrôle d’un SOUVERAIN DESPOTE ÉTRANGER. »[102]

Le fondement de l’Église de Rome repose sur l’obéissance aveugle ; le fondement des États-Unis repose sur la LIBERTÉ ! Comme Richard Thompson, ancien Secrétaire de la Marine, l’a déclaré dans son livre intitulé The Papacy and the Civil Power (La papauté et le pouvoir civil) : « Rien n’est plus évident, si les principes de l’Église de Rome viennent à prévaloir. Notre Constitution tomberait nécessairement. Les deux ne peuvent exister de pair. Ils sont en antagonisme ouvert et direct sur la théorie fondamentale de notre gouvernement et de tous les gouvernements populaires partout. »[103] La papauté doit détruire la Constitution des États-Unis afin d’imposer sa volonté et proclamer son droit de propriété sur l’Amérique. Le Premier Amendement de notre Constitution américaine déclare que « le congrès ne passera aucune loi relative à l’établissement obligatoire d’une religion, ou l’interdiction du libre exercice de ladite religion. » Ce principe seul fait des États-Unis un ennemi mortel du Vatican. Le pape Pie IX déclare aussi, dans son Syllabus Errorum de 1864 : « L’Église [romaine] doit être en union avec l’État, et l’État doit être en union avec l’Église [romaine] (…) Il est nécessaire, même au temps présent, que la religion catholique soit tenue pour seule religion de l’État, à l’exclusion de toutes les autres formes de culte. »[104] L’Église catholique romaine ne tolèrera pas de liberté de religion ; son histoire démontre son intolérance envers les autres religions et l’avenir, malheureusement, ne fera que confirmer cette intolérance.

Le pape Martin V (1417-1431) ordonna au roi de Pologne d’exterminer les Hussites. Les Hussites étaient disciples de Jan Hus, chrétien réformateur tchèque qui a été condamné au bûcher par les autorités catholiques, en 1418. Lire les paroles du pape Martin V nous martèle dans la tête que le Vatican est un ennemi de la liberté et de tous les principes du protestantisme.

« Sachez que les intérêts du Saint-Siège et ceux de votre couronne font qu’il est de votre devoir d’exterminer les Hussites. Rappelez-vous que ces personnes impies osent proclamer les principes d’égalité ; ils soutiennent que tous les chrétiens sont frères et que Dieu n’a pas donné à des hommes privilégiés le droit de diriger les nations ; ils maintiennent que le Christ est venu sur Terre pour abolir l’esclavage ; ils appellent les gens à la liberté, c’est-à-dire, à l’annihilation des rois et des prêtres. Pendant qu’il en est encore temps, tournez vos forces contre la Bohême ; brûlez, massacrez, faites partout des déserts, car rien ne saurait plaire davantage à Dieu, rien ne saurait être plus utile à la cause des rois, que l’extermination des Hussites. »[105]

Aux États-Unis, les gens sont libres et souverains, sujets à Dieu seulement, et les fonctionnaires du gouvernement sont les serviteurs du peuple. D’un autre côté, dans l’Église catholique, le pape se proclame du droit divin de diriger en toute suprématie sur tous les mortels et les rois, et les gens sont des esclaves obéissant à ses commandements en tant que « Vicaire infaillible du Christ ». Les deux systèmes ne peuvent évidemment coexister, ils sont à des pôles complètement opposés. Si Rome veut régner, elle doit détruire les États-Unis.

Le marquis de Lafayette était convaincu de la conspiration romaine. Il a dit que « si les libertés du peuple américain sont un jour détruites, elles seront tombées par les mains du clergé catholique. »[106]

La manifestation la plus frappante de la conspiration catholique survint en 1861, quand la Guerre Civile éclata aux États-Unis. Abraham Lincoln, grâce à un réseau d’information en temps de guerre à nul autre pareil, sut la cause de la guerre civile : le pape de Rome et ses serviteurs venimeux, les Jésuites.

« Cette guerre n’aurait jamais vu le jour sans la sinistre influence des Jésuites. Nous devons à la papauté de voir aujourd’hui notre sol rougi du sang de nos fils les plus nobles. Quoiqu’il y ait eu une grande différence d’opinions entre le Sud et le Nord sur la question de l’esclavage, ni Jeff Davis, ni aucun des dirigeants des Confédérés auraient osé attaquer le Nord, n’eut été qu’ils se soient fiés aux promesses des Jésuites que, sous le masque de la démocratie, l’argent et les armes des catholiques romains, même de France, étaient à leur disposition s’ils nous attaquaient. » Abraham Lincoln, 10 juin 1864.[107]

« Dès le commencement de notre guerre civile, il y a eut, non pas une alliance secrète, mais publique entre le pape de Rome et Jeff Davis. Le pape et ses Jésuites ont conseillé, supporté et dirigé Jeff Davis dans le pays, à partir du premier coup de fusil, à Fort Sumter, tiré par le farouche catholique romain Beauregard. Ils l’aident en mer en guidant et soutenant le féroce pirate catholique romain, Semmes. » Abraham Lincoln, 10 juin 1864.[108]

« Il en est des leaders sudistes de cette guerre civile comme de la grande et des petites roues de nos chars de chemin de fer. Ceux qui ignorent les lois de la mécanique seront portés à penser que les grandes roues fortes et bruyantes qu’ils voient constituent la puissance motrice, mais ils sont dans l’erreur. La véritable puissance motrice ne se voit pas ; elle ne fait pas de bruit et se cache dans le noir, derrière ses parois d’acier. La puissance motrice, ce sont les quelques chaudières d’eau bien dissimulées et chauffées en vapeur, et qui sont elles-mêmes opérées par le doigt silencieux, petit, mais sûr du conducteur. Les gens du peuple voient et entendent les grosses roues bruyantes des chars des Confédérés : ce sont les Jeff Davis, Lee, Toombs, Beauregard, Demmes, etc., et ils croient honnêtement qu’ils sont la puissance motrice, la cause première de nos troubles. Mais c’est une erreur. La vraie puissance motrice est occultée derrière les murs épais du Vatican, les collèges et les écoles de Jésuites, les couvents de nonnes et les confessionnaux de Rome. » Abraham Lincoln.[109]

Lincoln déroba sa connaissance d’une conspiration catholique au public dans sa crainte qu’une révélation puisse débuter une guerre religieuse sanglante.

« Je plains les prêtres, les évêques et les moines de Rome aux États-Unis lorsque le peuple réalisera qu’ils sont en grande partie responsables des pleurs et du sang répandu dans cette guerre. Je cache ce que je sais parce que, si les gens savaient la vérité toute nue, cette guerre se transformerait en guerre religieuse et, aussitôt, revêtirait un caractère dix fois plus sanguinaire et sauvage. Elle deviendrait impitoyable, comme c’est le cas de toute guerre religieuse. Ce serait une guerre d’extermination des deux côtés. Les protestants, et du Nord et du Sud, s’uniraient assurément pour exterminer les prêtres et les Jésuites s’ils pouvaient entendre ce que le professeur Morse m’a dit des complots ourdis dans la cité même de Rome pour détruire cette république, et s’ils apprenaient comment les prêtres, les sœurs et les moines qui foulent quotidiennement notre sol sous prétexte de prêcher leur religion, en instruisant le peuple dans leurs écoles, en prenant soin des malades dans les hôpitaux, ne sont rien d’autres que des émissaires du pape, de Napoléon et des despotes d’Europe, pour miner nos institutions, aliéner le cœur de nos gens de notre Constitution et de nos lois, détruire nos écoles et préparer un règne d’anarchie comme ils l’ont fait en Irlande, au Mexique, en Espagne et partout où il y a des gens qui veulent être libres. » Abraham Lincoln, 10 juin 1864.[110]

Abraham Lincoln savait que l’Église catholique romaine est un ennemi des États-Unis qui ne fait pas de compromis.

« Les Mormons et les prêtres Jésuites sont tout uniment les ennemis sans compromis de notre Constitution et de nos lois ; mais le plus dangereux des deux est le Jésuite — le prêtre romain, car il sait mieux comment dissimuler sa haine derrière un masque d’amitié et de bonté publique ; il est mieux entraîné à commettre les actions diaboliques les plus cruelles pour la gloire de Dieu. » Abraham Lincoln, 10 juin 1864.[111]

« Car il m’apparaît maintenant évident que, sauf quelques exceptions, chaque prêtre et tout bon catholique romain est un ennemi déterminé de la liberté. » Abraham Lincoln, 1961.[112]

Non seulement l’Église catholique romaine fut-elle responsable de la Guerre Civile, mais les Jésuites inspirèrent et planifièrent l’assassinat de Lincoln. Celui-ci savait que sa mort était déterminée par Rome et les Jésuites, et que ce n’était qu’une question de temps avant qu’ils réussissent à le tuer.

« Tant de complots ont déjà eu lieu contre ma vie que c’est vraiment un miracle qu’ils aient échoué lorsqu’on considère que la grande majorité d’entre eux furent tentés par la main experte des meurtriers catholiques romains, bien évidemment formés par les Jésuites. »[113]

La transcription du jugement sur l’assassinat de Lincoln, publié par Ben Pitman, contient la preuve nette que le complot pour assassiner Lincoln est né à Rome et a été entretenu dans la maison de Mary Surratt, 561 H Street, Washington, D.C.. Il y avait un flot continuel de prêtres catholiques qui se donnaient rendez-vous dans cette maison lorsque l’assassinat fut tramé. Les prêtres étaient les amis personnels et les pères confesseurs de John Wilkes Booth, John Surratt, M. et Mme Surratt. Sans aucune exception, tous ceux qui furent impliqués dans le complot d’assassinat de Lincoln et l’évasion de Booth étaient catholiques romains.[114]

Des démarches élaborées furent entreprises par l’Église romaine pour assister John Surratt dans son évasion. Surratt était à Washington, le 14 avril 1865, à aider Booth dans ses préparatifs d’assassinat, lequel fut exécuté par Booth le jour même. Le prêtre catholique Charles Boucher déclara sous serment quelques jours seulement après le meurtre, que John Surratt lui fut envoyé par un autre prêtre catholique, le « Père Lapierre ». Boucher le cacha jusqu’à la fin de juillet. De juillet à septembre, il fut caché par Lapierre à Montréal. Dans le trajet sur le steamer Montréal entre Montréal et Québec, Lapierre garda Surratt enfermé sous verrou dans sa cabine. Le 15 septembre 1865, Lapierre et Surratt prirent le steamer océanique Peruvian en direction de l’Europe. Le médecin du Peruvian, L. I. A. McMillan, affirma sous serment que le prêtre catholique Lapierre lui présenta Surratt sous le nom d’emprunt de « McCarthy », et que Lapierre garda Surratt enfermé dans sa chambre sur le bateau jusqu’à ce que celui-ci accoste en Europe. Lapierre était le chanoine de l’évêque Bourget de Montréal. Le chanoine d’un évêque est son homme de confiance ; il mange avec lui, l’assiste de ses conseils et reçoit ses avis à chaque étape de sa vie. Selon les lois de l’Église catholique romaine, les chanoines sont aux évêques ce que les bras sont au corps.[115]

Après avoir fait disparaître Surratt du Canada vers l’Europe, où croyez-vous qu’on le retrouva finalement ? On le retraça sous l’alias de « Watson » dans la 9e compagnie des zouaves du pape qui étaient les gardes du corps personnels du pontife de Rome. Lorsque les États-Unis retrouvèrent Surratt, le pape fut contraint de lui retirer sa protection et Surratt fut ramené aux États-Unis pour y subir son procès. Les preuves de la culpabilité de Surratt étaient accablantes, mais il y eut un jury faisandé parce que trois des jurées étaient catholiques et que « leurs confesseurs leur avaient dit que le saint père, le pape Grégoire VII, avait solennellement déclaré de manière infaillible que “tuer un hérétique n’est pas un meurtre” ».[116] Le gouvernement des U.S.A. fut obligé de relâcher Surratt. Les politiciens cachèrent aux yeux du public américain la part de l’Église catholique romaine dans l’assassinat de Lincoln. Comme l’explique l’ancien prêtre catholique, Charles Chiniquy :

« La grande erreur fatale du gouvernement américain dans l’accusation des assassins d’Abraham Lincoln fut de voiler l’élément religieux de ce terrible drame. Mais il fut soigneusement évité tout au long du procès. Peu après l’exécution des meurtriers, je me rendis incognito à Washington pour débuter mon enquête. Je ne fus pas peu surpris de constater que pas un seul homme du gouvernement ne voulut discuter de la chose avec moi sauf si je donnais ma parole d’honneur que je ne dévoilerais jamais leur nom. Je vis avec une profonde détresse que l’influence de Rome était presque suprême à Washington. Je ne puis trouver le moindre homme d’état qui oserait affronter cette infâme influence et la combattre de front. »[117]

Le Vatican est une nation indépendante et souveraine, avec sa propre monnaie, son Secrétaire d’État et ses ambassadeurs. Une fois qu’une personne est baptisée dans l’Église catholique, elle devient membre de cette église. Lorsqu’elle est confirmée, « elle devient citoyen de l’Église, apte à assumer les responsabilités de cette citoyenneté et défendre sa foi contre ses ennemis. »[118] Une fois confirmé, le nouveau citoyen doit être « prêt lorsqu’il est appelé à combattre pour la foi de Christ ».[119] Les citoyens de l’Église romaine doivent posséder « la force morale et la capacité physique pour leur permettre, dans un combat spirituel, de lutter vaillamment et de résister à leurs plus méchants adversaires ».[120] Il devient alors un « vaillant combattant, il devrait être prêt à endurer avec un esprit indomptable tous les adversaires pour le nom du Christ ».[121] Par contraste, Jésus a dit clairement que Son Royaume n’était pas de ce monde, car le Royaume de Dieu est du domaine spirituel.

« Jésus répondit : Mon royaume n’est pas de ce monde ; si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs combattraient, afin que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n’est pas d’ici-bas » (Jean 18:36, VO).

Le royaume de Satan, par contre, est de ce monde. Il a des citoyens par tout le monde. Quand un citoyen doit faire un choix entre obéir à son pays et obéir au pape, d’après la doctrine officielle romaine, il doit obéir au pape. La Loi et le Dogme canonique catholique ont préséance sur la constitution du pays. Tous les fonctionnaires des gouvernements étatiques et fédéraux doivent jurer ou affirmer leur support à la Constitution des États-Unis,[122] mais, en ce qui concerne l’Église catholique romaine, l’allégeance d’un catholique au pape passe en premier. En effet, en 1199 après J.C., le pape Innocent III émit la bulle papale Vergentis in Senium dans laquelle il faisait équivaloir « l’hérésie » de violer les édits papaux et les doctrines catholiques romaines à une trahison.[123] En 1231, le pape Grégoire IX publia la bulle papale Excommunicamus dans laquelle il fixa officiellement la punition de « l’hérésie » contre l’Église catholique comme étant la peine de mort.[124]

Durant la Guerre civile, le Vatican fut la seule nation à reconnaître la souveraineté des États Confédérés du Sud. Comment cela affecta-t-il les soldats catholiques de l’Union, sachant qu’ils combattaient une cause s’opposant à leur leader spirituel qui, croyaient-ils, avait l’autorité d’empêcher leur entrée au ciel ? Beaucoup de catholiques luttèrent avec bravoure et distinction, d’autres abandonnèrent la cause et devinrent traîtres.

« Nous avons sûrement de braves et fiables officiers et soldats catholiques romains dans nos armées, mais ils sont une minorité insignifiante lorsque comparés aux traîtres catholiques contre lesquels nous avons à nous surveiller jour et nuit. Le fait est que l’immense majorité des évêques, prêtres et laïques catholiques sont rebelles dans l’âme, quand ils ne peuvent l’être de fait ; sauf quelques rares exceptions, ils sont publiquement en faveur de l’esclavage. » Abraham Lincoln, 1861.[125]

Mettez en contraste le Général catholique Sheridan, que Lincoln décrivit comme « valant une armée entière par son habileté, son patriotisme et son courage héroïque »,[126] et le Général catholique Meade qui semble avoir placé son allégeance à Rome au-dessus de son allégeance aux États-Unis. Lincoln en raconte un épisode :

« Meade est demeuré avec nous et gagna la sanguinaire bataille de Gettysburg. Mais comment aurait-il pu la perdre, alors qu’il était entouré de héros tels que Howard, Reynolds, Buford, Wadsworth, Cutler, Slocum, Sickles, Hancock, Barnes, etc. ? Mais il est évident que son romanisme surpassa son patriotisme après la bataille. Il laissa échapper l’armée de Lee quand il eut pu aisément lui couper la retraite et le forcer à se rendre après avoir perdu près de la moitié de ses soldats dans les trois derniers jours du carnage. Lorsque Meade fut sur le point de donner l’ordre de la poursuite, après la bataille, un étranger entra en hâte dans ses quartiers, et cet étranger était un Jésuite déguisé. Après dix minutes de conversation avec lui, Meade prit des arrangements de poursuite tels que l’ennemi put s’échapper sans presque être touché, n’ayant perdu que deux fusils ! » Abraham Lincoln.[127]

Le soutien du Vatican envers les Confédérés était conséquent avec sa position sur la question de l’esclavage. Du sixième au vingtième siècle, il fut d’instruction courante de l’Église catholique que l’esclavage social, économique et institutionnel était moralement légitime. L’Église catholique romaine a approuvé le droit de propriété d’un homme sur un autre et le travail obligatoire d’un esclave pour le bénéfice exclusif de son propriétaire qui peut vendre cet esclave à un autre.[128] En 655, le Neuvième Concile de Tolède décréta que les enfants des prêtres, qui n’étaient demeurés ni célibataires ni chaste, deviendraient esclaves permanents de l’Église catholique. En 1012, le Concile de Pavie émit un décret similaire. Ces décrets furent incorporés à la Loi canonique de l’Église catholique romaine. En 1089, au Synode de Melfi, Urbain II mit en vigueur le célibat des prêtres en accordant aux autorités séculières le pouvoir de faire esclave les épouses des prêtres. Ce décret fut également introduit dans la Loi canonique de l’Église catholique de Rome.[129] Aux 15e et 16e siècles, les papes accordèrent à maintes reprises aux rois du Portugal et d’Espagne la permission entière et libre de capturer et de rendre perpétuellement esclave le peuple des territoires conquis.[130] En 1548, le pape Paul III émit le motu proprio suivant, abordant la question de l’esclavage à Rome :

« Chaque personne des deux sexes, romaine ou non, séculière ou cléricale, peu importe le rang de dignité, le statut, le décret, le franc-quartier, ou la condition qu’elle puisse avoir, peut librement et en toute légalité acheter et vendre publiquement quelque esclave que ce soit et de quelque sexe que ce soit, et établir des contrats à leur sujet comme il est coutume de faire en d’autres endroits, et les retenir publiquement comme esclave et faire usage de leur travail, et les obliger à faire le travail qui leur est assigné. Et avec l’autorité apostolique et par la copie conforme du présent document, nous ordonnons et décrétons à perpétuité que les esclaves qui s’enfuient au Capitole et en appellent de leur liberté ne seront d’aucune manière affranchis des liens de leur servitude, mais que, en dépit de leur fuite et de leur appel, ils seront retournés en esclavage à leurs propriétaires, et il semble approprié qu’ils soient punis comme fuyards ; et nous interdisons strictement à nos bien-aimés fils qui sont, pour l’heure, conservatori de ladite cité, d’assumer de leur propre autorité d’émanciper lesdits esclaves — qui ont fui comme décrit précédemment et ont fait appel de leur liberté — de leurs lien d’esclavage, indépendamment de ce qu’ils aient été faits chrétiens après leur asservissement, ou qu’ils soient nés esclaves même de parents esclaves chrétiens. »[131]

À la vue de la position catholique sur l’esclavage, il n’est pas surprenant d’apprendre que Roger Taney, Juge en chef de la Cour Suprême des États-Unis qui soutint, dans la décision Dread Scott, que les esclaves noirs n’ont aucun droit à la liberté par voie constitutionnelle, était un catholique romain. Beaucoup sont à croire que la décision Dread Scott prise par Taney fut un des principes catalyseurs de la Guerre civile.

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[1] Manfred Barthel, The Jesuits, History and Legend of the Society of Jesus, p. 16 (1984).

[2] Encyclopédie Collier, vol. 13, p. 550 (1992).

[3] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 29 de l’édition anglaise (1975).

[4] Ibidem.

[5] Ibidem.

[6] Ibidem, p. 26.

[7] Ibidem, p. 64.

[8] Ibidem, p. 65.

[9] Ibidem, p. 65.

[10] Ibidem, p. 65.

[11] John W. Robbins, Ecclesiastical Megalomania, p. 32, 1999 (citant Summa Theologiae, ii-ii, 7e article).

[12] John W. Robbins, Ecclesiastical Megalomania, p. 40, 1999 (citant Le Concile Vatican II, Gaudium et Spes, Pastoral Constitution on the Church in the Modern World, p. 69, 1965).

[13] J. E. C. Shepherd, The Babington Plot, Wittenburg Publications, p. 14, 1987.

[14] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 26, 1975.

[15] J. E. C. Shepherd, The Babington Plot, Wittenburg Publications, p. 14, 1987 (citant Marianus de Luce, S.J., professeur en Loi canon, Université grégorienne de Rome, Institut de la Loi Publique Ecclésiastique, avec recommandation personnelle du pape Léon XIII, 1901).

[16] Alberto Rivera, Double Cross, Chick Publications, p. 12, 1981. Voir aussi Edwin A. Sherman, The Engineer Corps of Hell, carte du catalogue de la Bibliothèque du Congrès # 66-43354, p. 118 (1883) ; Congressional Record, House Bill 1523, cas de contestation d’élection de Eugene C. Bonniwell contre Thos. S. Butler, 15 février 1913, pp. 3215-16 ; Burke McCarty, The Suppressed Truth About the Assassination of Abraham Lincoln, pp. 14-16.

[17] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, Chick Publications, p. 166-167, 1975.

[18] Ibidem, p. 21 (citant H. Boehmer, professeur à l’Université de Bonn, Les Jésuites, (1910).

[19] J. E. C. Shepherd, The Babington Plot, Wittenburg Publications, p. 118, 1987.

[20] Ibidem.

[21] J. E. C. Shepherd, The Babington Plot, Wittenburg Publications, p. 104-117, 1987. Voir aussi l’Encyclopédie Collier, volume 9, p. 97 (1991) ; Les Garrett, Wich Bible Can We Trust? P. 60 (1982).

[22] Encyclopédie Collier, volume 9, p. 620 (1991).

[23] Ibidem, volume11, p. 536.

[24] Ibidem, volume 12, p. 192.

[25] Ibidem, volume 13, p. 550.

[26] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 69 (1975).

[27] Encyclopédie Collier, volume 13, p.550 (1991).

[28] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 70, (1975).

[29] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550 (1991) ; Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 70, (1975).

[30] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 73, (1975).

[31] Ibidem, p. 70.

[32] Ibidem, p. 70-71.

[33] Ibidem, p. 71.

[34] Encyclopédie Collier, volume 12, p. 516 (1991).

[35] Sidney Hunter, Is Alberto for Real?, p. 21 (1988) ; Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 35, (1975).

[36] Sidney Hunter, Is Alberto for Real?, Chick Publications, p. 21-23 (1988).

[37] Eric Von Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 206 (2001).

[38] William Still, New World Order, The Ancient Plan of Secret Societies, p. 79 (1990).

[39] Eric Jon Phelps, Vatican  Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 205 (2001).

[40] Ibidem.

[41] William Still, New World Order, The Ancient Plan of Secret Societies, pp. 81-91 (1990).

[42] Des Griffin, Fourth Reich of the Rich, p. 62 (1976).

[43] Ibidem.

[44] Ibidem, p. 59-62.

[45] Eric Jon Phelps, Vatican  Assassins : “Wounded in the House of my Friends”, p. 167-77 (2001).

[46] William Still, New World Order, The Ancient Plan of Secret Societies, pp. 82 (1990).

[47] Ibidem.

[48] Jim Shaw (franc-maçon au 33e degré, Chevalier Commandeur de la Cour d’Honneur, Honorable Maître Sortant de la Loge Bleue, Maître Sortant de Tout les Corps du Rite Écossais) et Tom McKenney, The Deadley Deception, Freemasonry Exposed by One of Its Top Leaders, p. 137 (1988).

[49] John Robison, Proofs of a Conspiracy, p. 7 (1798).

[50] Ibidem, p. 4.

[51] Ibidem, p. 12.

[52] William Still, New World Order, The Ancient Plan of Secret Societies, p. 123 (1990).

[53] Ibidem, p. 108.

[54] Ibidem.

[55] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 205 (1871).

[56] Des Griffin, The Fourth Reich of the Rich, p. 70, 1993.

[57] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 566 (1871).

[58] Ibidem, p. 567.

[59] Ibidem.

[60] Ibidem.

[61] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of My Friends”, p. 180 (2001).

[62] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 817 (1871).

[63] Ibidem, pp. 817-18.

[64] Gary H. Kah, En Route To Global Occupation, http://www.biblebelievers.org.au/masonic.htm .

[65] Ibidem.

[66] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 820 (1871).

[67] Encyclopédie Collier, volume 14, p. 122 (1992).

[68] Albert Pike, Morals and Dogma of the Ancient and Accepted Scottish Rite of Freemasonry, p. 821 (1871).

[69] Gary H. Kah, En Route To Global Occupation, http://www.biblebelievers.org.au/masonic.htm .

[70] Sodalitium, « The Pope of the Council » – partie 19 : Jean XXIII et la Maçonnerie, octobre-novembre 1996, http://watch.pair.com/pope-mason.html .

[71] Code de Loi Canon, p. xii (1983).

[72] Alberto Rivera, Alberto, p. 28 (1979).

[73] Sodalitium, « The Pope of the Council » – partie 19 : Jean XXIII et la Maçonnerie, octobre-novembre 1996, http://watch.pair.com/pope-mason.html .

[74] William et Sharon Schnoebelen, Lucifer Dethroned, p. 54-58 (1993).

[75] Ibidem, p. 56.

[76] Ibidem, p. 141.

[77] William Still, New World Order, The Ancient Plan of Secret Societies, p. 161 (1990).

[78] Ibidem.

[79] Ibidem.

[80] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550 (1991).

[81] Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 75 (1975).

[82] Ibidem.

[83] Samuel Finley Breese Morse, Imminent Dangers to the Free Institutions of the United States Through Foreign Immigration ads the Present State of the Naturalization Laws, p. 9-10 (1835).

[84] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550(1991).

[85] Ibidem.

[86] Ibidem, aussi Edmond Paris, L’histoire secrète des Jésuites, p. 39 (1975).

[87] Encyclopédie Collier, volume 13, p. 550 (1991).

[88] Foxe’s Book of Martyrs, édité par William Byron Forbush, http://www.ccel.org/foxe/martyrs/fox117.htm .

[89] Ibidem.

[90] Charles Chiniquy, Fifty Years in the Church of Rome, Chick Publications, p. 285 (1985), réédité à partir de l’édition de 1886.

[91] Samuel Finley Breese Morse, Foreign Conspiracy Against the Liberties of the United States : the Numbers of Brutus, p. 19-21 (1835).

[92] Samuel F. B. Morse, Imminent Dangers to the Free Institutions of the United States Through Foreign Immigration, (1835).

[93] Eric Jon Phelps, Vatican Assassins : “Wounded in the House of My Friends”, p. 305-06, 2001 (citant J. Wayne Laurens, The Crisis : or, the Enemies of America Unmasked (1855).

[94] John W. Robbins, Ecclesiastical Megalomania, p. 30 (1999).

[95] Samuel F. B. Morse, Imminent Dangers to the Free Institutions of the United States Through Foreign Immigration and the Present State of Naturalization Laws, p. 8-9 (1835).

[96] Charles Chiniquy, Fifty Years int the Church of Rome, Chick Publications, p. 285 (1985) réédité à partir de l’édition de 1886.

[97] Ibidem.

[98] Ibidem.

[99] Dave Hunt, A Woman Rides the Beast, p. 55 (1994), citant J. H. Ignaz von Dollinger, The Pope and the Concile, p. 21 (Londres 1869).

[100] John W. Robbins, Ecclesiastical Megalomania, p. 143 (1999).

[101] Dave Hunt, A Woman Rides the Beast, p.123 (1994).

[102] Samuel Finley Breese Morse, Foreign Conspiracy Against the Liberties of the United States : the Numbers of Brutus, p. 118-119 (1835).

[103] Charles Chiniquy, Fifty Years in the Church of Rome, Chick Publications, p. 285 (1985) réédité à partir de l’édition 1886.

[104] John W. Robbins, Ecclesiastical Megalomania, p. 143-144 (1999).

[105] Ibidem, p. 134.

[106] Charles Chiniquy, Fifty Years in the Church of Rome, Chick Publications, p. 288 (1985) réédité à partir de l’édition de 1886.

[107] Ibidem, p. 296.

[108] Ibidem, p. 299.

[109] Ibidem, p. 305.

[110] Ibidem, p. 297.

[111] Ibidem, p. 300.

[112] Ibidem.

[113] Ibidem, p. 302.

[114] Ibidem, p. 311.

[115] Ibidem, p. 314.

[116] Ibidem.

[117] Ibidem, p. 312.

[118] Alberto Rivera, The Four Horsemen, Chick Publications, p. 7, 1985 (citant Jessie Corrigan Pegis, A Practical Catholic Dictionary, p. 67, 1957).

[119] Catéchisme du Concile de Trente, ordonné par le Concile de Trente, édité sous St-Charles Borromée, publié par décret du pape St-Pie V, 1566, TAN Books, 1982, p. 208.

[120] Ibidem, p. 211.

[121] Ibidem, p. 212.

[122] U.S. Constitution, article VI.

[123] Edwards Peters, Inquisition, p. 48, 1989.

[124] Ibidem, p. 56.

[125] Charles Chiniquy, Fifty Years in the Church of Rome, Chick Publications, p. 295 (1985) réédité à partir de l’édition de 1886.

[126] Ibidem, p. 298.

[127] Ibidem.

[128] John W. Robbins, Ecclesiastical Megalomania, p. 137 (1999).

[129] Ibidem, p. 139.

[130] Ibidem.

[131] Ibidem, p. 140-41, (1999).