Où sont les hippies anti-guerre quand on a besoin d’eux ?

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

5 mai 2022

Certains d’entre nous sommes assez âgés pour nous rappeler l’époque de Woodstock et du mouvement hippie. Je parle des années 1960. La guerre au Vietnam battait son plein et la sous-culture hippie anti-guerre sortait en force pour protester contre la guerre.

Ils brûlaient leurs ordres d’incorporation ; certains fuyaient au Canada ; ils marchaient dans les rues par centaines de milliers ; ils organisaient des sit-ins devant les buildings gouvernementaux et les bâtisses d’administration collégiale ; ils peignaient des slogans anti-guerre aux couleurs brillantes sur leurs vans Beetle ; on voyait leur slogan « LBJ, LBJ, combien de jeunes as-tu tué aujourd’hui ? » sur des pancartes dans tout le pays ; et ils contribuèrent éventuellement à mettre fin à une guerre dans laquelle l’Amérique n’aurait jamais dû entrer.

À l’époque, j’étais la quintessence du gars qui fonce vers la guerre. Mon père fit tout en son pouvoir pour me convaincre de ne pas abandonner mes études et joindre la Marine et combattre au Vietnam. Je lui en suis très reconnaissant.

Les hippies avaient tort concernant leur style de vie de promiscuité sexuelle infestée de drogues (même si la « guerre contre la drogue » du gouvernement avait été un fiasco constitutionnel) `et ce style de vie erroné leur a apporté beaucoup de chagrin et beaucoup de sottises, à eux et au pays pendant les nombreuses années qui ont suivi. Mais leur croisade anti-guerre était juste. (Il m’a fallu du temps avant d’arriver à le comprendre.)

À coup sûr, bon nombre d’organisateurs de ce mouvement anti-guerre à ce moment-là n’avaient pas les motifs les plus purs. Ils n’étaient pas nécessairement aussi anti-guerre qu’ils étaient procommunistes. Ces radicaux s’opposaient à la guerre pour des raisons de politique de gauche, pas pour la promotion de la paix. Beaucoup des radicaux des années 1960, au sein de la génération hippie, sont devenus certains des politiciens les plus pro-guerre d’Amérique.

Toutefois, des millions d’hippies ordinaires étaient véritablement pro-paix et anti-guerre pour les bonnes raisons.

Pour ceux d’entre vous qui êtes trop jeunes pour vous rappeler l’époque dont je parle, vous seriez sous le choc de savoir que même les médias de nouvelles de ce temps-là étaient anti-guerre. Chaque soir, dans les émissions de nouvelles des trois principaux réseaux, on nous soumettait des vidéos successifs sur les résultats monstrueux de la guerre : des corps morts et mutilés jonchant les rues des villages, des enfants sans parents et errant nus ça et là en cherchant quelque chose à manger, les visages émaciés et affamés des vieillards, etc.

Il s’agissait de l’époque avant que les lobbys israéliens deviennent la force dominante et déterminante qu’elle est aujourd’hui dans les médias de nouvelles et au sein du gouvernement américain.

Donc, où sont les activistes pacifistes et anti-guerre, aujourd’hui ?

On ne les trouve certainement pas dans nos églises. Plusieurs évangéliques sont, dans le monde, parmi les meneuses de claques les plus enragées en faveur de la guerre. On ne les trouve pas dans les salles de nouvelles des journaux et des magazines d’Amérique. On ne les trouve pas dans les studios de nouvelles télévisées. On ne les trouve pas dans les facultés des établissements d’enseignement d’Amérique.

Où sont les hippies anti-guerres quand on a besoin d’eux ?

Oh ! Comme tous ceux qui proclament être anti-guerre – jusqu’à ce que la guerre éclate. Alors, soudainement, ils deviennent zélés pour la guerre.

Caitlin Johnstone a écrit un superbe article expliquant ce phénomène :

Personne ne se pense belliciste, mais ensuite la machine se met en marche et, avant que vous le sachiez, ils sortent les slogans qu’ils sont programmés à sortir et brandissent les drapeaux qu’ils sont programmés à brandir et consentent à tout ce que la machine de guerre impériale veut à ce moment-là.

Quand on le demande, pratiquement tout le monde vous dira qu’il est pour la paix et déteste la guerre ; la guerre est la pire chose au monde et personne de sain d’esprit ne s’en délecte. Mais lorsque les roues touchent la route et qu’il est temps de s’opposer à la guerre et à revendiquer la paix, ceux qui, précédemment, se proclamaient « anti-guerre », se retrouvent de l’autre côté en hurlant pour déverser encore plus d’armes dans une guerre par procuration que leur gouvernement a délibérément provoquée.

C’est parce que la théorie d’être anti-guerre est bien différente de la pratique. En théorie, les gens sont tout simplement opposés à l’idée de faire exploser d’autres gens sans aucune bonne raison. En pratique, ils sont toujours frappés par un barrage très intense de messages médiatiques leur donnant ce qui semble de très bonnes raisons disant pourquoi ces gens-là doivent exploser.

Être véritablement anti-guerre n’est pas chose facile. Cela ne ressemble pas à ce que les gens s’imaginent. Cela ressemble plus au fait de se faire écraser par un déluge d’information destinée à manipuler et à confondre, et à l’assumer pendant que l’on se fait crier après par ceux qui ont subi le lavage de cerveau. Ce n’est pas joli. Ce n’est pas plaisant. Ce n’est pas l’époque de bien-être du flower power que les gens ressentaient intuitivement quand ils voyaient en eux-mêmes la part où ils cherchaient la paix. C’est se dresser contre la machine de propagande la plus sophistiquée qui ait jamais existée quand on nous offre toutes les raisons de ne pas le faire.

Lorsque les gens se pensent « anti-guerre », ils s’imaginent habituellement comme anti autre guerre en Irak, ou théoriquement anti quelqu’autre président à la Hitler débutant une guerre parce qu’il aime tuer des gens. Ils ne s’illustrent pas réellement ce que c’est en pratique que d’être réellement anti-guerre.

Parce que vendre la guerre au public est un élément inné de toute la stratégie guerrière, la guerre aura toujours l’air nécessaire du point de vue du courant dominant, et elle ne ressemblera pas à ces autres guerres qui, nous le savons maintenant en rétrospective, étaient des erreurs. Elle est toujours conçue pour être attirante. Il y aura toujours une propagande d’atrocité. Il y aura toujours des raisons dont on vous nourrira pour vous vendre cette intervention militaire comme étant spéciale et complètement nécessaire. Ce sera le cas à toutes les fois parce que c’est ainsi que les guerres modernes sont emballées et présentées.

Voilà pourquoi vous allez toujours voir un certain nombre de gens se décrivant gauchistes et anti-impérialistes acclamant le dernier projet de guerre américain. Ils sont idéologiquement opposés à l’idée de guerre en théorie, mais la manière de le démontrer en pratique est toujours différente de ce qu’ils dépeignent.

Notre civilisation entière est formée par la propagande domestique.

La propagande est l’aspect le plus négligé et le plus sous-évalué de notre société. Elle a beaucoup plus d’influence sur la façon de penser, de voter et d’agir du public que tout autre mécanisme officiel pour ce faire, et pourtant, on n’en discute que rarement, on ne l’enseigne pas à l’école, et même les meilleures idéologies politiques y touchent à peine, comparée aux autres domaines sur lesquels elles se concentrent.

La propagande ne fonctionne que sur ceux qui ne savent pas qu’ils sont soumis à la propagande. La capacité de l’empire centralisé aux États-Unis à cacher sa machine de propagande est un élément fondamental de son éclat brillant.

Il faut beaucoup de travail afin de voir assez clair pour se former un point de vue réellement basé sur la vérité. Mais si vous ne le faites pas, il est impossible d’être véritablement anti-guerre, parce que vous ne pouvez vous opposer intelligemment à quelque chose que vous ne comprenez pas. Pour combattre la machine de guerre impériale, il faut combattre la machine de propagande impériale.

Amen, Caitlin !

Et n’oubliez jamais que la « machine de propagande » inclut au moins 80 % des églises évangéliques américaines. Comme les églises évangéliques ont fait partie de la propagande Covid, de même maintenant font-elles parties de la propagande de guerre en Ukraine – même au point de ramasser des millions de dollars des poches des chrétiens crédules pour le boucher sanguinaire et dépravé qui se fait appeler président de l’Ukraine.

Cela ne cesse jamais de m’étonner de voir que les évangéliques peuvent posséder des convictions pro-vie si fortes en ce qui concerne l’avortement (ce qui est admirable) et pourtant posséder des convictions tellement pro-mort quant aux guerres injustes (ce qui est déplorable).

Et vous seriez peut-être surpris d’apprendre que la vaste majorité du monde est du côté de la Russie contre les États-Unis en Ukraine. « Sur 195 pays, seulement 30 ont honoré les sanctions des États-Unis contre la Russie. Cela signifie qu’environ 165 pays dans le monde ont refusé de se joindre aux sanctions. Ces pays représentent de loin la majorité de la population mondiale. »

Que Biden réprimande la Russie pour crimes de guerre est de la plus haute hypocrisie. Depuis que G. W. Bush a lancé son homicide horrifiant de la « guerre contre le terrorisme », les États-Unis (sous Bush, Obama, Trump et maintenant Biden) ont assassiné 6 millions d’innocentes personnes (y compris des bébés) et cela n’inclut pas les 5 millions et plus de Palestiniens que les États-Unis ont aidé Israël à tuer depuis 1948.

Deux fois (2008, 2012) l’Amérique a eu l’opportunité d’élire un véritable président chrétien constitutionnaliste, un vrai homme de paix : le Dr Ron Paul. Et par deux fois, les soi-disant conservateurs et chrétiens républicains ont rejeté la candidature du Dr Paul et ont proposé des bellicistes de l’establishment.

Et voici encore une autre incroyable ironie en ce qui concerne la façon que les conservateurs chrétiens ont rejeté Ron Paul : Si la rumeur s’avère que la Cour Suprême a décidé de renverser Roe vs Wade [le droit à l’avortement], les chrétiens conservateurs de partout vont danser dans les rues – comme moi aussi.

Mais voilà le hic : Pendant des années, le Dr Ron Paul a présenté la Loi sur l’Inviolabilité de la Vie à la Chambre américaine des Représentants, et par laquelle les Présidents et les congressistes républicains auraient pu renverser Roe vs Wade. Et à chaque année, les conservateurs chrétiens bâillaient et l’ignoraient totalement – allant même, dans certains cas, jusqu’à le rejeter carrément.

Si nous pouvons nous fier à l’histoire du Politico disant que la Cour Suprême a voté pour renverser Roe vs Wade, la décision sera probablement une copie carbone du projet de loi sur l’Inviolabilité de la Vie du Dr Paul – ou le projet de loi de Ron aurait en réalité été plus fort. Si les chrétiens pro-vie avaient été derrière le projet de loi de Paul et avaient poussé le GOP à adopter la loi, il y a bien des années, des millions de bébés non-nés auraient été sauvés.

Or, maintenant, ils applaudiront une décision de la Cour Suprême qui reproduit un projet de loi proposé il y a quelques décennies et qui fut sponsorisé par Ron Paul – un projet de loi contre lequel les évangéliques s’opposaient ouvertement.

Et pourquoi s’opposaient-ils au Dr Paul ? Parce qu’il n’était ni belliciste ni un lèche-bottes sioniste. Les évangéliques aiment que leurs politiciens soient des Faucons de la Guerre et des sionistes. Mais alors, les deux vont ensemble.

Considérant la manière que les évangéliques rejetèrent Ron Paul, et considérant le fait qu’ils acclament et applaudissent la mort et la destruction à l’échelle globale par des guerres injustes, il semble clair que de nombreux évangéliques ne sont pro-vie que lorsque cela s’avère politiquement opportun.

Comme je l’ai dit, où sont les hippies anti-guerres quand on en a besoin ?




L’Occident s’autodétruit

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

14 avril 2022

L’Amérique et l’Europe occidentale semblent obsédées par la peur de la Russie. Qu’importe si la puissance militaire combinée des États-Unis et de l’OTAN éclipse littéralement celle de la Russie, l’Occident se comporte comme si la Russie était sur le point de conquérir le monde.

Il n’y a pas de doute que la Russie est une des superpuissances du monde en termes de missiles nucléaires ; mais si c’est la guerre nucléaire qui effraie l’Occident, pourquoi menace-t-il la Russie en encerclant ce pays de bases militaires et de missiles hypersoniques ? Pourquoi l’OTAN pousse-t-elle la Russie en violant les ententes de ne PAS empiéter sur la frontière russe ? Pourquoi les États-Unis et l’OTAN entreprennent-ils des manœuvres militaires aux portes de la Russie ? On pourrait avoir l’idée que l’Occident tente d’aiguillonner la Russie vers une guerre nucléaire.

Avec les États-Unis qui encerclent la Russie de bases et de missiles, nous n’avons pas oublié que la Russie ne se trouve qu’à 55 milles de l’Alaska, n’est-ce pas ?

L’Amérique et l’Europe de l’Ouest devraient s’inquiéter davantage de ce qu’ils se font à eux-mêmes plutôt que ce que la Russie peut leur faire, parce que l’Occident s’autodétruit.

Comme l’a dit le célèbre personnage de bande dessinée, Pogo : « Nous avons rencontré l’ennemi, et c’est nous. »

Daniel Webster le dit ainsi :

Si nous sommes fidèles aux principes enseignés dans la Bible, notre pays va continuer à prospérer et à prospérer ; mais si nous et notre postérité négligeons ses instructions et son autorité, aucun homme ne peut prévoir la soudaine catastrophe qui nous engloutira et enterrera notre gloire dans l’obscurité profonde.

Les principes bibliques de Liberté de la loi naturelle et le constitutionalisme ont été expulsés de Washington, D.C., à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale. (Plusieurs argueraient qu’Abraham Lincoln a décimé ces principes en 1861.)

Alors que l’Occident est obnubilé à l’idée de prendre sa revanche contre la Russie sur l’Ukraine, il ne semble pas remarquer qu’il se met lui-même la corde autour du cou.

Avec tous ces marionnettistes qui contrôlent ces jours-ci les leaders politiques, il est difficile de déterminer l’intelligence individuelle de ces leaders. Il appert toutefois que l’intelligence de Poutine de la Russie écrase celle de Macron de la France, de Duda de la Pologne, de Johnson de la Grande-Bretagne, de Scholz de l’Allemagne – et particulièrement celle de l’imbécile qui réside au 1600 de l’Avenue Pennsylvania à Washington, D.C.

Par exemple, la décision de Poutine de relier le rouble russe à l’or fut un coup de génie. (Le rouble basé sur l’or pourrait-il remplacer le prétrodollar ? Ce n’est pas tiré par les cheveux.)

De toutes les décisions crétines que le Président américain Richard Nixon a prises, sa décision d’enlever le standard-or de l’Amérique fut sa pire décision – d’un point de vue constitutionnel de gouvernement limité et de la Liberté, s’entend. Les politiciens du Gros Gouvernement, les Grands Banquiers et le complexe militaro-industriel adorèrent ça.

Relier le rouble à l’or change la donne économique – en particulier si l’on considère toutes les sanctions économiques prises contre la Russie par l’Occident. Laissez-moi l’établir ainsi : ça va être un hiver TRÈS FROID pour l’Europe de l’Ouest.

De TheCradle.com :

Signal des conséquences économiques catastrophiques à venir ressenties par les Européens dans leur vie quotidienne (mais pas par les cinq pourcent les plus riches) : inflation dévorant les salaires et les épargnes ; factures d’énergie du prochain hiver qui en prennent un coup ; produits qui disparaissent des supermarchés ; réservations des fêtes presque gelées. Le Petit Roi de France, Emmanuel Macron – faisant peut-être face à une désagréable surprise électorale – a même annoncé : « Les timbres de nourriture comme dans la Deuxième Guerre Mondiale sont une possibilité ».

Nous voyons l’Allemagne qui fait face au fantôme de l’hyperinflation de Weimar. Le Président de BlackRock, Rob Kapito, a dit, au Texas : « Pour la première fois, cette génération va se rendre dans un magasin et ne sera pas en mesure d’obtenir ce qu’elle veut. » Les fermiers africains ne sont pas du tout capables de se permettre des fertilisants cet été, réduisant la production agricole d’une quantité qui pourrait nourrir 100 millions de personnes.

Jusqu’ici, la Russie vendait 155 milliards de mètres/cube de gaz à l’Europe chaque année. L’UE a théoriquement promis de s’en débarrasser d’ici 2027, et de réduire de 100 milliards de mètres/cube avant la fin de 2022. Gromov demande « comment »  et fait remarquer que « aucun expert n’a la réponse. La plus grande partie du gaz naturel de la Russie est acheminée par pipelines. On ne peut tout simplement pas le remplacer par du Gaz Naturel Liquéfié (GNL). »

La risible réponse de l’Europe fut « commencez à épargner », comme dans « préparez-vous au pire » et « réduisez la température dans vos foyers ». Gromov nota qu’en Russie « 22 à 25 degrés en hiver est la norme. L’Europe fait passer 16 degrés pour “sanitaire” et fait la promotion du port de chandails pendant la nuit. »

L’Europe ne pourra pas obtenir de la Norvège ou de l’Algérie le gaz naturel dont elle a besoin (ces pays privilégiant la consommation domestique). L’Azerbaïdjan pourrait fournir au mieux 10 milliards de mètres/cube par année, mais « il faudra de deux à trois ans avant que cela n’arrive ».

Gromov souligne « qu’il n’y a pas de surplus dans le marché d’aujourd’hui pour le GNL des États-Unis et du Qatar », et le prix pour les consommateurs asiatiques est toujours plus élevé. Cela aura pour résultat que « à la fin de 2022, l’Europe ne pourra plus réduire de manière significative ce qu’elle achète de la Russie. » « Ils peuvent couper 50 milliards de mètres/cube maximum. » Et les prix dans le marché au comptant seront plus élevés – au moins 1 300 $ le mètre/cube.

Je suis à lire des économistes qui disent que les sanctions moralisatrices de l’Europe contre la Russie pourraient mener à l’écroulement de l’OTAN et de l’Union Européenne. Poutine a peut-être déjà tout figuré cela.

Quant aux États-Unis, les sanctions contre la Russie – et les contre-sanctions de la Russie contre nous – contribuent à alimenter une économie déjà dépressive à cause de la fausse pandémie Covid. L’Amérique vit déjà des niveaux d’inflation les plus élevés depuis des décennies – et ça n’ira qu’en empirant. Et tous les signes montrent que le plancher va se rompre au marché boursier.

En permettant aux néoconservateurs et aux néolibéraux bellicistes de contrôler les deux partis majeurs à Washington, D.C., le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes. En tenant compte des mensonges et des faussetés des propagandistes professionnels des mass-médias, le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes. Et en donnant son cœur à l’establishment, et aux pasteurs et aux églises étatistes, le peuple américain s’est forgé ses propres chaînes.

En de rares occasions, les médias vont même admettre que, afin de promouvoir le programme de guerre, on mentira au peuple américain.

NBC News a sorti un nouveau rapport citant une multitude d’officiels américains, intitulé avec humour En rupture avec le passé, les États-Unis emploient des renseignements pour combattre dans une guerre de l’information contre la Russie – même si les renseignements ne sont pas « solides comme le roc ».

Les fonctionnaires américains disent que l’administration Biden a rapidement avancé de « l’information », à propos des plans de la Russie en Ukraine, qui n’est « pas très fiable » ou « basée davantage sur des analyses que sur des preuves solides », ou qui est simplement tout à fait fausse, afin de mener une guerre de l’information contre Poutine.

Ce fut une assertion attirant l’attention qui a fait manchette autour du monde : Des fonctionnaires américains ont dit qu’ils avaient des indications suggérant que la Russie pourrait se préparer à utiliser des agents chimiques en Ukraine.

Le Président Biden l’a dit plus tard publiquement. Mais trois fonctionnaires américains ont dit à NBC News cette semaine qu’il n’y a aucune preuve que la Russie ait amené quelque arme chimique que ce soit à proximité de l’Ukraine. Ils dirent que les États-Unis a lancé cette information pour dissuader la Russie d’utiliser les munitions bannies.

C’est une des kyrielles d’exemples de violation de l’administration Biden avec de récents précédents en déployant de l’information déclassifiée dans une guerre de renseignement contre la Russie. L’administration l’a fait même quand l’information n’était pas solide comme le roc, ont dit les fonctionnaires, afin de garder le Président russe Vladimir Poutine hors d’équilibre.

Sur la déclaration de l’empire, la semaine dernière, que Poutine est éconduit par ses conseillers parce que ceux-ci ont peur de lui dire la vérité, NBC rapporte que cette évaluation « n’était pas concluante – fondée davantage sur de l’analyse que sur des preuves solides. »

Ce rapport d’NBC confirme des rumeurs que nous entendons depuis des mois. La pute de guerre professionnelle, Max Boot a dit, via le groupe de réflexion du Conseil des Affaires Étrangères [CFR], en février, que l’administration Biden avait inauguré une « nouvelle ère d’opérations d’information » avec des émissions de renseignements destinées à ne pas dire la vérité, mais à influencer les décisions de Poutine. L’ancien chef du MI6, John Sawers, a dit au groupe de réflexion du Conseil Atlantique, en février, que les émissions de « renseignements » de l’Administration Biden étaient davantage fondées sur l’ambiance générale que sur des informations réelles, et qu’elles étaient conçues pour manipuler plutôt que pour informer. (Source)

Et comme c’est arrivé avec le faux narratif Covid, je viens juste de recevoir un mot de mes webmasters que Google est en train de commencer à censurer l’information qui n’est PAS antirusse. Nous pouvons nous attendre à ce que les autres géants des médias sociaux emboitent le pas rapidement. Cela dit tout ce que nous devons savoir sur la véracité du narratif de l’Ukraine..

En parlant de cela, le Dr Paul Craig Roberts a fait du bon travail, cette semaine, en résumant la fausse narration de l’Ukraine :

Il faut comprendre qu’il n’y a pas eu d’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les troupes russes n’opèrent que dans les parties est et sud de l’Ukraine. Les soldats ont pour but de prévenir qu’une grande armée ukrainienne, aujourd’hui encerclée et piégée, ne conquièrent les deux républiques russes du Dunbass, récemment reconnues par la Russie après un délai de huit ans. L’autre tâche assignée aux troupes russes consiste à exterminer la milice néo-nazie Azov qui a commis des atrocités contre les Russes du Dunbass. Le processus s’est fait lentement, parce que le combat a principalement lieu au Dunbass qui est peuplé de Russes, et le Kremlin veut secourir les gens, pas les tuer.

La Russie n’a pas besoin ni l’intention d’envahir la Pologne, la Roumanie, les Baltiques, la Finlande et la Suède. Les bases de missiles situées dans ces pays peuvent être éliminées avec des armes de précision à partir d’une grande distance. La Russie a envoyé des soldats en Ukraine afin de libérer le Dunbass des attaques et de l’occupation Azov, et pour empêcher l’invasion du Dunbass par 100 000 soldats ukrainiens.

J’encourage les lecteurs à lire cette analyse en profondeur sur la situation en Ukraine qui augmente la brève analyse du Dr Roberts ci-dessus et qui a été écrite par un ancien officier des renseignements de l’OTAN, ancien colonel du Personnel Général, ex-membre des renseignements stratégiques de la Suisse, spécialiste des pays de l’est, Jacques Baud. Il a été formé dans les services de renseignements américains et britanniques. Il a servi comme Chef de Politique des Opérations de Paix des Nations Unies en tant qu’expert en règle de loi et en institution de la sécurité.

S’il vous plaît, lisez son rapport.

De plus, j’incite fortement les lecteurs de regarder cette vidéo de deux minutes de l’ancien directeur des opérations à la CIA, John Stockwell, à propos de la façon que le gouvernement manipule les nouvelles des médias.

Voici une transcription de cette vidéo :

John Stockwell, ancien Directeur des Opérations à la CIA

Stockwell : Il y a cependant plusieurs fonctions, certaines plus légitimes que les autres. L’une d’entre elles est de mener des guerres secrètes. Une autre est de semer de la propagande afin d’influencer l’esprit des gens. Et c’est une fonction majeure de la CIA. Et malheureusement, bien sûr, cela empiète sur la récolte d’information. Vous contactez un journaliste, vous lui donnez des histoires vraies, vous obtiendrez de l’information de lui. Vous lui donnerez aussi de fausses histoires. Vous jouerez également sur ses vulnérabilités humaines pour le recruter, dans le sens classique, pour en faire votre agent, et ainsi vous pouvez contrôler ce qu’il fait, donc, vous n’aurez pas, en quelque sorte, à le dresser en mettant quelqu’un au-dessus de lui, et ainsi vous pouvez dire : « Voici, introduisez celle-là mardi prochain. »

Interviewer : Pouvez-vous le faire avec des reporters responsables ?

Stockwell : Oui. Le Comité de l’Église l’a sorti en 1975 et ensuite Woodward et Bernstein ont mis un article dans le Rolling Stone quelque deux ans plus tard. Quatre cent journalistes coopérant avec la CIA, y compris certains des plus gros noms dans le domaine, pour introduire les histoires de manière consciente dans la presse.

Interviewer : Veuillez me donner un exemple concret de la façon que vous utilisez la presse de cette manière.

Stockwell : Eh bien, par exemple, dans ma guerre, la Guerre d’Angola que j’ai contribué à gérer, un tiers de mon personnel étaient de la propagande. J’avais des propagandistes partout dans le monde, principalement à Londres, au Kinshasa et en Zambie. Nous avons pris des histoires, que nous avions écrites, et nous les avons mises dans le Zambia Times, pour ensuite les sortir et les envoyer à un journaliste de notre personnel en Europe, mais son récit de couverture, voyez-vous, fut qu’il les avaient obtenues de son correspondant de Lusaka qui les avaient obtenues du Zambia Times. Mais à partir de ce point-là, les journalistes de Reuters et de l’AFP, l’administration n’était pas au courant. Or, notre contact en Europe l’était, et nous avons coulé des douzaines d’histoires concernant les atrocités cubaines, les violeurs cubains. Mais nous n’avions connaissance d’aucune atrocité commises par les Cubains. Ce n’était que de la pure propagande brute et fausse pour créer l’illusion, vous voyez, que les communistes mangeaient des bébés pour déjeuner.

L’on cite encore Stockwell :

C’est la fonction de la CIA de garder le monde instable et, pour soumettre à la propagande et enseigner au peuple américain à haïr, plusieurs laisseront l’Establishment dépenser tout l’argent qu’il faut.

Les prétendues entreprises de « défense » sont des conglomérats multinationaux qui n’éprouvent pas de grande loyauté pour les États-Unis. En fait, ce ne sont plus des entreprises des États-Unis, mais des entités transnationales loyales seulement envers elles-mêmes.

La fonction majeure du secret à Washington, D.C., c’est d’empêcher le peuple américain de savoir ce que font les leaders du pays.

Les États-Unis sont moulés dans le rôle de Garde prétorien, protégeant les intérêts de l’ordre financier global contre les éléments hargneux du Tiers-monde.

Les ennemis sont nécessaires pour que tournent les rouages de la machine militaire américaine.

Une dernière citation de Daniel Webster résume le tout :

Il n’y a pas un pays sur terre assez puissant pour nous vaincre. Notre destruction, devait-elle venir, proviendra d’un autre milieu. De l’inattention du peuple aux affaires du gouvernement, de sa négligence et de son manque de précaution. Je dois confesser que j’appréhende le danger. J’ai peur que l’on mette trop de confiance implicite en nos serviteurs publics. Et que l’on ne scrute pas convenablement leur conduite ; que, de cette manière, l’on fasse de nous des dupes en désignant des hommes et que nous devenions les instruments de notre propre perte.

Comme je l’ai dit, l’Occident s’autodétruit.




L’histoire interne de l’intérieur de l’Ukraine

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

31 mars 2022

Cette chronique – et particulièrement mes messages vidéo en direct et en archives – compte des amateurs de partout dans le monde. Comme vous pouvez vous y attendre, nous avons une quantité considérable de supporteurs dans des pays comme le Canada, la Grande-Bretagne, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Irlande, l’Écosse, la France, l’Allemagne, la Suisse, etc. Nous avons également un nombre significatif de supporteurs à Singapour, dans les Caraïbes, en Amérique Centrale et dans le Proche-Orient, y compris au Liban – et particulièrement en Palestine. Mais vous serez peut-être surpris d’apprendre que nous avons aussi un nombre substantiel de partisans dans le Nord de l’Europe, en incluant la Finlande, et en Europe de l’Est, dont la Russie et l’Ukraine.

Je vais utiliser cet article pour partager avec mes lecteurs ce que me disent les gens en Ukraine à propos du conflit avec la Russie. Mais avant, je dois vous diriger vers ce que je crois être la MEILLEURE analyse de la situation ukrainienne que j’ai lue jusqu’à date – et j’en ai lu un PAQUET.

Je veux parler de cet article de David Stockman :

Les dangers économiques, sociaux et politiques abondent. C’est que Washington et ses serviteurs du grand courant médiatique délirent d’une fièvre guerrière comme jamais au cours des sept dernières décennies.

La poursuite irresponsable d’une Guerre de Sanctions délirantes qui s’en suit contre la Russie constitue une menace grave à l’économie mondiale et la prospérité domestique, et cela pour aucune bonne raison en regard de la sécurité du territoire et n’importe quoi d’autre.

En ce qui a trait à cette dernière, les faits absolus sont irrésistibles. Nous les répétons donc avec un total ajouté pour les budgets militaires respectifs : à savoir, la puissance économique de l’OTAN est 29 fois plus grande que celle de la Russie, et son budget de défense combiné est 18 fois plus gros, ce qui vous en dit long sur ce que vous devez savoir à propos de la « menace russe » :

OTAN : 42,78 trillions $ de PNB : 945 millions de population ; 45 130 $ de revenu per capita ; 1 200 milliards $ de budget défense.

RUSSIE : 1,46 trillions $ de PNB : 144 millions de population ; 10 300 $ de revenu per capita ; 57 milliards $ de budget défense.

Étant donné ces réalités, pourquoi Washington s’en fait-il à propos d’une bataille murale entre peuples et territoires contigus qui sont joints à la hanche depuis les 1 300 dernières années ?

La réponse implicite, c’est qu’il s’est appointé police du monde et Administrateur-en-chef de la Fessée.

Le fait est que l’Ukraine est la Pologne et la Tchécoslovaquie des temps présents – un état artificiel rempli de Russes, sans raison d’exister dans sa forme et sa circonférence actuelles. Eh bien, encore une fois, sans autre raison que l’insistance fanatique de Washington que la mappe hasardeuse illustrant les unités administratives, qui ont découlées de l’écroulement de l’Union Soviétique, constitue des frontières sacrées que l’on doit préserver de tout danger.

Au contraire, ce que veut Poutine, ironiquement, c’est le statu quo pré-communiste. C’est-à-dire, il veut la Crimée, russe depuis 1783, et où les Ukrainiens ne constituent qu’une infime minorité. Et ce qui est encore plus important, elle possède le plus grand atout militaire qu’aura par la suite la Russie – la grande base navale à la source de la Mer Noire, à Sébastopol.

De même, le Donbass et les territoires est de la Rivière Dniepr, et le long de la lisière nord de la Mer Noire et de la Mer d’Azov, sont russes depuis plus de 300 ans. Selon tous les faits de l’histoire d’avant 1922, ces territoires revenaient à la Novorossiya (Nouvelle Russie) tel que le démontre cette carte de 1897.

Il se trouve qu’ils devinrent « Ukrainiens » seulement par acte judiciaire de deux des plus grands monstres de l’histoire – Vladimir Lénine et Joseph Staline – qui les placèrent dans l’unité administrative de la République Soviétique Socialiste d’Ukraine pour des raisons qui n’ont aucune validité historique.

Pourtant, une guerre dévastatrice s’y passe aujourd’hui – une guerre qui mène vers le précipice de la Troisième Guerre Mondiale – parce que Washington encourage Kiev à insister pour retenir « chaque pouce » d’une mappe montée par Lénine, Staline et Khrouchtchev.

La pire des choses est bien sûr que toute cette « guerre du socialisme » n’a rien à voir avec la défense de la patrie ou quoi que ce soit de rationnel. Au contraire, c’est la progéniture pourrie d’une Cité Impériale peuplée de politiciens carriéristes qui prennent leur pied à être les suzerains de l’humanité et les Administrateurs-en-chef de Fessées aux malfaiteurs de la planète.

Malheureusement, nous ne voyons que la moitié de la pagaille actuelle. Les MSM présentent un portrait tellement déformé et fantaisiste des conditions sur le terrain en Ukraine que le public américain est totalement dans le noir concernant ce qui va arriver. C’est-à-dire que l’armée ukrainienne a été décimée et la résistance du gouvernement de Kiev va bientôt lâcher – même si le clownesque président du pays ne cesse de siffloter devant le cimetière.

Stockman en a bien plus à dire, évidemment, et je vous encourage à lire tout son traité. Comme je l’ai dit, c’est le meilleur que j’ai lu jusqu’à date.

Mais le dernier paragraphe de Stockman cité ci-haut est un enchaînement parfait avec ce que les gens de l’intérieur de l’Ukraine me disent. Je ne dévoilerai pas les sources pour des raisons évidentes.

La lettre qui suit résume la plupart des sentiments que j’ai reçus de personnes vivant en Ukraine ou qui ont de la famille qui vit en Ukraine. (FYI : Un des membres de ma famille immédiate par mariage est ukrainien d’un côté de la famille et russe de l’autre.)

D’un fidèle disciple de Liberty Fellowship (la lettre a été révisée pour entrer dans l’espace et adoucir l’anglais cassé) :

Allô Pasteur Chuck,

L’Ukraine et la Russie sont une seule nation. Plus de 75 % de l’Ukraine, de la Russie, de la Biélorussie et de la Pologne ont des ancêtres communs.

Les médias aux États-Unis donnent une information totalement différente de ce qui se passe réellement.

J’écris pour que vous sachiez ce qui arrive en Ukraine par l’intermédiaire de gens qui sont en Ukraine.

Voici ce que pense le peuple d’Ukraine : l’armée russe est vraiment à l’offensive, mais parce qu’elle ne veut pas nuire aux populations civiles, elle se déplace lentement.

Elle [l’armée russe] distribue de la nourriture et des médicaments aux populations civiles. Le gouvernement russe paie 10 000 roubles à chaque citoyen sénior et à chaque employé du gouvernement ukrainien dans tous les territoires qu’elle occupe pour que les travailleurs civils puissent encore fournir des services civils à la population.

Une ville ukrainienne était défendue par le Bataillon Azov [les gangsters nazis ukrainiens]. Des nombreux interviews de civils locaux, nous savons que l’armée d’Azov a détruit 80 % des édifices de la ville. Des civils ont vu l’artillerie ukrainienne tirer dans les édifices de leurs propres villes.

Parfois, les soldats du Bataillon Azov s’installent dans des écoles, des églises, des hôpitaux et dans des édifices à appartements de la ville et y restent pendant 2-3 jours ; et quand ils quittent, ils bombardent les édifices.

Des civils disent que des avions ukrainiens bombardent leurs propres cités.

Les soldats d’Azov ne laissent pas les vieillards, les femmes et les enfants sortir des villes. Ils disent : « Vous êtes nos boucliers vivants. » Parfois, ils ne laissent pas les civils sortir de leur sous-sol pendant plus de 20 jours sans nourriture ni eau.

Les gens d’une certaine ville disent qu’avant la guerre, s’ils parlaient russe en public, ils étaient pénalisés par de grosses amendes.

Ces villes d’Ukraine ont été territoire russe pendant plus de 300 ans.

La plupart des soldats russes capturés sont torturés. Un soldat russe a été crucifié et brûlé sur une croix par l’armée ukrainienne. Beaucoup de soldats russes sont castrés par les Ukrainiens.

J’espère que ces informations vous sont utiles et vous aideront à avoir une meilleure compréhension de ce qui se passe réellement en Ukraine.

Nom tenu caché

La propagande des médias en ce qui regarde l’Ukraine est tout aussi grotesque que sa propagande en ce qui concerne la fausse pandémie Covid. Pour toutes les raisons déclarées par David Stockman précité et par un grand nombre de témoignages oculaires que j’ai reçus de personnes vivant en Ukraine, que les médias nazis, comme Sean Hannity, soutiennent sottement la guerre contre la Russie – même une guerre nucléaire – en Ukraine fait en sorte que lui et le reste des nababs médiatiques stupides paraissent aussi mentalement dérangés que le midget cognitif résidant au 1600 de l’Avenue Pennsylvania.

Le sénateur Rand Paul a parfaitement raison : les facultés mentales déclinantes de Joe Biden représentent un « risque à la sécurité nationale » qui pourrait voir les États-Unis traînés dans une guerre contre la Russie. Et les MSM semblent joyeusement insouciants dans leur hâte à suivre cet idiot malavisé dans une possible guerre nucléaire globale.

Et pour quoi ? Pour ce qui n’est pas plus qu’une laverie financière de l’État Profond globaliste en Europe de l’Est – le foyer de plus de néo-nazis et de gangs de néo-nazis que dans tous les autres pays du monde.

Le peuple américain – y compris les chrétiens – doit se sortir de sa fascination pour la propagande de guerre et les propagandistes de la guerre, parce que ce n’est PAS drôle du tout ! Ce n’est PAS une plaisanterie ! Ce n’est PAS un jeu d’enfants ! C’est TRÈS SÉRIEUX !

Le peuple russe a enduré les horreurs de la guerre dans leur patrie comme le peuple américain ne peut même pas commencer à imaginer. Si l’impensable arrive, ces gens-là sont un million de fois mieux préparés que les Américains à endurer les épreuves qui s’en suivraient. En fait, je ne peux penser à un ensemble de citoyens dans le monde qui soit moins préparé à une guerre nucléaire globale que le peuple gâté et dorloté des États-Unis.

Moi et beaucoup de gens que je connais donnerions gaiement nos vies pour la défense de notre patrie contre les attaques d’une force étrangère. Mais il fera froid dans le hades avant que je veuille donner ma vie – et la vie de ma famille – pour aider les criminels corrompus de l’État Profond globaliste à se cramponner à leur argent souillé de sang dans une terre de gangsters nazis et de banquiers sionistes dans l’autre moitié du monde.




Voulez-vous vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale – une guerre nucléaire en plus ? Certains idiots la veulent

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

10 mars 2022

Avec la fraude Covid qui tente de s’échapper en vitesse à temps pour que les Démocrates essaient de sauver ce qui s’annonce pour eux comme une sanglante débâcle aux élections congressistes en novembre, les roulements de tambour de la guerre arrivent juste au bon moment afin de reprendre le bâton de la duplicité gouvernementale.

Je me rappelle, dans les années 1990, qu’un évangéliste, bon ami à moi, était venu à l’époque prendre la parole devant ma congrégation et avait fait une déclaration que je n’ai jamais oubliée : « Les gens aiment se faire mentir. » Bigre, est-ce qu’il leur avait cloué le bec avec celle-là.

Quelqu’un se souvient-il de ces autocollants que l’on voyait partout et qui disaient : « Je ne crois pas aux médias » ? Pouvez-vous vous rappeler quelqu’un avoir dit : « Si un politicien bouge des lèvres, c’est qu’il ment » et tout le monde dans la pièce applaudissait ?

Qu’est-il advenu de cette époque ? Les gens ont-ils perdu l’esprit ? Je pense que bien d’entre eux l’ont perdu.

Pratiquement tout le monde dans le MSM et le gouvernement – des deux partis – est devenu des meneuses de claques en faveur de la guerre avec la Russie contre l’Ukraine.

Voulez-vous vraiment d’une Troisième Guerre Mondiale – une guerre nucléaire en plus ? Plusieurs idiots la veulent.

Laissez-moi vous demander ceci : qu’a fait l’Ukraine pour vous dernièrement ? Qu’a fait l’Ukraine pour les États-Unis ? Dites-m’en trois. Dites-m’en deux. Dites-moi UNE chose que l’Ukraine a faite pour les États-Unis.

Le gouvernement ukrainien est un cloaque de corruption – en majeure partie de la corruption occidentale, ce qui veut dire américaine, britannique et israélienne. Des fonctionnaires gouvernementaux corrompus en Occident sont en panique parce qu’ils ont des milliards de dollars qui se font blanchir dans les banques de l’Ukraine. L’appel à la guerre de ces fonctionnaires gouvernementaux n’a rien à voir avec la sécurité et la sauvegarde des États-Unis – ou même la liberté en Ukraine – mais tout à voir avec un paquet de gangsters gouvernementaux tentant de se cramponner à leur butin volé.

Patrick McShay a fait une excellente analyse de l’Ukraine :

Ces politiciens et ces pontifes qui disent que soutenir l’Ukraine, c’est soutenir la liberté et la démocratie, sont complètement ignorants ou en bénéficient, d’une manière ou d’une autre, c’est ridicule ! Ce sont ces mêmes personnes qui ont réussi à convaincre plus de la moitié de la population américaine de prendre un vaccin expérimental et dangereux dont nous savons maintenant qu’il s’agit d’une thérapie génique qui change l’ADN, et à mettre des masques sur la figure de leurs enfants à l’école. La vérité, c’est que, si l’Ukraine était libérée des criminels actuellement en charge, nous pourrions alors comprendre jusqu’à quel point certains de nos politiciens américains sont sales. [Emphase ajoutée.]

L’époux de Victoria Nuland et le Juif néoconservateur Robert Kagan, qui a cofondé le Projet d’un Nouveau Siècle Américain et a écrit le livre blanc intitulé Rupture Définitive pour Bibi Netanyahu en 1996. Cela en appelait de la domination toute gamme d’Israël au Proche-Orient et devint la marque de la politique étrangère de George W. Bush et le plan de sa désastreuse érection de pays dans la région.

La prétendue invasion de la région du Dunbass et de la Crimée telle que présentée par les médias américains est un autre mensonge énorme. Après les protestations du Maidan à Kiev, l’Armée ukrainienne commença à bombarder la région du Dunbass parlant russe et cela se perpétue depuis de façon intermittente, en violation de l’accord de Minsk signé en 2015. Cet accord aurait dû mettre fin au combat dans l’est de l’Ukraine et donner l’autonomie au territoire russophone de la Région du Dunbass, mais depuis que l’accord a été signé, le gouvernement ukrainien a refusé de respecter l’accord.

Dans un autre accord passé en 1992, après la dissolution de l’Union soviétique, les États-Unis donnèrent l’assurance à la Russie qu’aucune base de l’OTAN ne serait construite sur ses frontières. Le dernier ambassadeur américain en Union Soviétique, Jack Matlock, qui a sans cesse soutenu, y compris dans un témoignage au Congrès à ce sujet, que Gorbatchev avait reçu des assurances que si l’Allemagne était réunie et demeurait dans l’OTAN, les limites de l’OTAN ne se déplaceraient pas plus à l’est. Cela ne dura pas longtemps.

En 1990, le Secrétaire d’État de George H. W. Bush, James Baker, a promis au Président Gorbatchev de la Russie qu’après la réunification de l’Allemagne, « l’OTAN ne s’étendrait pas d’un pouce à l’est », et le diplomate allemand Jurgen Chrobog a dit dans la même rencontre que « l’OTAN ne s’étendrait pas au-delà de la Rivière Elbe et, par conséquent, n’offrirait pas d’adhésion à la Pologne et aux autres. »

En 2007, à la Conférence de la Sécurité de Munich, Poutine accusa l’OTAN de duplicité et de menacer la Russie, et il dit « l’expansion de l’OTAN représente une sérieuse provocation et réduit le niveau de confiance mutuelle. » Joe Biden et son pantin Zelensky ont violé à plusieurs reprises l’accord de Minsk, causant de ce fait 14 000 morts et plus de 1.2 millions de réfugiés qui ont été forcés d’abandonner leurs maisons et de s’enfuir en Russie. Où sont les médias américains devant ce problème d’une importance capitale à la narration ?

En 2008, quand George W. Bush annonça que l’Ukraine et la Géorgie étaient éligibles à l’adhésion à l’OTAN, l’ancien représentant Ron Paul affirma qu’il savait que c’était une « idée terrible ». « Fournir des garanties militaires américaines à l’Ukraine et à la Géorgie ne peut que mettre notre armée à rude épreuve. Cette expansion de l’OTAN pourrait bien impliquer l’Armée américaine dans des conflits sans aucun lien avec nos intérêts nationaux. » Le Dr Paul avait raison une fois de plus et c’est la raison pour laquelle on ne lui permettra jamais d’être Président.

D’après Webb, Zelensky possède un manoir de 35 millions $ près de Miami. Webb dit également qu’il a des preuves qu’un autre milliardaire juif ukrainien, Victor Pinchuk, déposait 12 millions $ par mois dans le compte de Zelensky qui y a plus d’un milliard de dollars. Au cas où vous ne vous en souviendriez pas, Kolomoyskyi est un actionnaire majeur de la Compagnie de Pétrole Burisma, appartenant à un autre personnage louche, un autre oligarque juif nommé Mykola Zlochevsky, la compagnie qui paya Hunter Biden, son partenaire d’affaires Devon Archer et l’ancien atout de la CIA Cofer Black des dizaines de milliers de dollars par mois chacun pour siéger sur le comité de direction de Burisma. Devon Archer vient juste d’être emprisonné la semaine dernière pour avoir fraudé la tribu indienne sioux Oglala par une autre arnaque criminelle.

L’Ukraine est une plaque tournante d’activités criminelles et un grand nombre de nos politiciens, y compris la Famille du crime Biden y font une fortune en argent sale. Cette guerre coûte des milliards de dollars à ces pirates. Webb rapporte aussi que Kolomoyskyi opère onze bio-laboratoires en Ukraine et au Kazakhstan, financés par le Pentagone américain.

Pour les crétins des médias qui ne peuvent pas comprendre pourquoi Poutine et les Russes ont entrepris ce mouvement, imaginez si la Russie dépensait des milliards de dollars afin de déstabiliser le Mexique, armait plusieurs groupements dissidents, planifiait une révolution, forçait son Président à s’enfuir par un coup d’état sanglant, installait un président fantoche qui ne se plaindrait pas quand ont pillerait le trésor et commencerait ensuite à installer des bases militaires russes sur le bord des frontières côtoyant le Texas et l’Arizona. C’est ce qu’ont fait les politiciens américains des deux côtés de l’aile parlementaire en Ukraine, grâce à Barack Obama, Joe Biden, Adam Schiff, John Kerry, John McCain, Lindsey Graham, Richard Burr, Nacy Pelosi et bien d’autres.

Pourtant, les médias mensongers de la Ville de New York et les escrocs gouvernementaux de Washington, D.C., ont fait entrer le public américain dans une frénésie guerrière dans laquelle des gens qui souhaitent la mort, des deux côtés de l’aile politique, marchent dans les rues en réclamant la Troisième Guerre Mondiale.

Ne vous y trompez pas : une guerre entre l’Est et l’Ouest impliquerait des armes nucléaires. C’est une certitude absolue.

Et, comme on peut s’y attendre, les évangéliques sont parmi les plus enthousiastes meneurs de claque en faveur d’une guerre avec la Russie (et dont les justifications ne sont toutes que des MNSONGES). Cela parce que 80 % des évangéliques ont été complètement dupés par le Futurisme Scofield et croient que Poutine et la Russie sont les « Gog et Magog » d’Ézéchiel et de l’Apocalypse. (Ils ne le sont pas !) Ainsi, ils croient que si l’Amérique entre en guerre contre la Russie, « l’antichrist » va se présenter et diriger une attaque russe contre Israël (Troisième Guerre Mondiale), ce qui va provoquer le retour de Jésus. Comme il est prévisible, beaucoup d’entre eux qualifient Poutine « d’antichrist ». (Il ne l’est pas !) Fort à propos, ils croient qu’ils n’auront pas à endurer les conséquences calamiteuses d’une guerre nucléaire, étant donné qu’ils seront « enlevés » d’abord au ciel. (Ils ne le seront pas !)

La création de l’OTAN et de l’Israël sioniste a fait en sorte que pratiquement tous les conflits du monde sont l’affaire des Américains, alors qu’en fait, la très vaste majorité de ces conflits étrangers NE SONT PAS DE NOS AFFAIRES. La seule chose que l’implication de l’Amérique fait dans ces conflits, c’est de les rendre PIRES.

Dans le Message d’Adieu de George Washington (le plus grand message présidentiel américain), il nous a mis en garde contre les dangers des imbroglios étrangers :

Contre les ruses insidieuses des influences étrangères (je vous prie de me croire, amis citoyens), la jalousie d’un peuple libre doit demeurer constamment alerte ; ainsi que l’histoire et l’expérience le prouvent, l’influence étrangère est un des ennemis les plus mortels du Gouvernement républicain.

Pour nous, la grande règle de conduite, en ce qui regarde les pays étrangers, c’est, tout en étendant nos relations commerciales, d’avoir avec eux aussi peu que possible de liens politiques.

L’Europe a une série d’intérêts primaires qui n’ont aucune ou très peu de relations avec nous. D’où le fait qu’elle doive s’engager dans de fréquentes controverses, dont les causes sont essentiellement étrangères à nos affaires. D’où, par conséquent, le fait qu’il ne serait pas sage de notre part de nous impliquer, par des liens artificiels, dans les vicissitudes ordinaires de sa politique, ou les combinaisons et les collisions quelconques de ses amitiés et de ses inimitiés.

Pourquoi quitter notre propre sol pour aller à l’étranger ? Pourquoi, en entremêlant notre destin avec celui de n’importe quelle partie de l’Europe, emmêlerions-nous notre paix et notre prospérité dans les rets de l’ambition, des rivalités, de l’intérêt, de l’humeur ou des caprices de l’Europe ?

Il est de notre véritable politique d’éviter les alliances permanentes avec quelque portion que ce soit du monde étranger.

Plût à Dieu que les leaders politiques et le peuple de l’Amérique eussent suivi fidèlement les conseils de Washington. Pratiquement tous les problèmes politiques, sociaux, militaires et économiques qu’a affronté l’Amérique dans le passé et maintenant résultent du fait d’avoir ignoré les instructions sagaces de Washington.

Prions tous pour que l’ingérence stupide, sinistre et pharisaïque de l’Amérique dans le conflit d’Ukraine ne fasse pas tomber de bombes nucléaires sur nos têtes.




L’Ukraine n’est pas une victime

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

3 mars 2022

En tant qu’analyste politique et, chose plus importante, en tant qu’étudiant des Écritures spirituellement disposé, j’en suis absolument convaincu. Lorsque les establishments majeurs se précipitent sur un sujet, qu’ils décident collectivement qui est victime et qui est vilain, et qu’ils battent ensemble sans cesse la mesure à l’unisson, la narration qu’ils présentent est à cent pourcent à l’envers.

Or, maintenant, l’establishment du pouvoir a décidé de nous ensorceler avec un agenda antirusse et pro-ukrainien. Mais, comme toute propagande de l’establishment, c’est un gros mensonge bien gras.

Je débute par l’excellent commentaire de Ron Paul :

Lorsque l’administration Bush annonça, en 2008, que l’Ukraine et la Géorgie seraient éligibles à faire partie de l’OTAN, je sus que c’était une très mauvaise idée. Près de deux décennies après la fin du Pacte de Varsovie et de la Guerre Froide, une expansion de l’OTAN n’a pas de sens. L’OTAN elle-même n’a pas de sens.

Pour expliquer mon « non » au vote sur un projet de loi endossant l’expansion, je dis à l’époque :

« L’OTAN est une organisation dont le dessein a pris fin au terme de son adversaire, le Pacte de Varsovie … Cette reprise actuelle de l’expansion de l’OTAN est une récompense politique aux gouvernements de la Géorgie et de l’Ukraine qui ont acquis le pouvoir suite au support américain des révolutions, la prétendue Révolution Orange et la Révolution de la Rose. »

« Fournir des garanties militaires américaines à l’Ukraine et à la Géorgie ne peut que mettre encore plus notre armée à l’épreuve. Cette expansion de l’OTAN pourrait bien entraîner l’armée américaine dans des conflits sans liens avec notre intérêt national. »

Malheureusement, comme nous l’avons vu cette dernière semaine, mes craintes se sont avérées. L’on n’a pas besoin d’approuver les actions militaires de la Russie pour analyser ses motivations déclarées : l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était une ligne rouge que la Russie ne voulait pas voir traverser. Alors même que nous voyons le risque d’une terrible escalade, nous devons nous rappeler que cela ne devait pas se passer ainsi. Il n’y avait pas d’avantages pour les États-Unis à étendre ou à menacer d’étendre l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie. On ne peut contester le fait que l’OTAN s’est mise à dérailler bien longtemps avant 2008, toutefois. L’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord a été signé le 4 avril 1949 et, au début de la Guerre de Corée, juste un peu plus d’un an plus tard, l’OTAN fut fort impliquée dans l’opération militaire de la guerre en Asie, pas en Europe !

On avait déclaré que le dessein de l’OTAN était de « garantir la sécurité et la liberté de ses membres par des moyens politiques et militaires. » Ça n’a pas été du travail bien fait !

J’y crois aussi fermement aujourd’hui qu’en 2008, dans mon discours devant l’Assemblée à qui je disais : « L’OTAN devrait être démantelée, pas expansée. » En attendant, l’expansion devrait être écartée de la table.

Bravo, bravo, Dr Paul.

Je vous encourage aussi à lire cet article formidable du représentant John Whitehead intitulé Perpetual Tyranny: Endless Wars Are The Ennemy Of Freedom.

Dans cet article, Whitehead écrit :

Tant que les politiciens américains continueront de nous impliquer dans des guerres qui ruinent le pays, qui mettent nos militaires et nos femmes en danger, accroissent les chances de terrorisme domestique et de répercussions, et poussent notre pays au bord du gouffre, « nous, le peuple », nous sentirons dans un état perpétuel de tyrannie.

Il est temps que le gouvernement américain cesse de faire la police dans le monde.

Cette dernière crise – la part des États-Unis dans l’épreuve de force entre la Russie et l’Ukraine – vient immédiatement à la suite d’une longue lignée d’autres crises, fabriquées ou pas, qui arrivées de manière bien à point pour distraire les Américains, les tromper, les amuser et les isoler des empiètements réguliers du gouvernement sur nos libertés.

Et cela se poursuit à la façon orwellienne.

Deux ans après que le COVID-19 ait placé le monde dans un état d’autoritarisme global, juste au moment où la tolérance des gens envers les lourdes mesures obligatoires semble s’être finalement usée, l’on nous apprête à la distraction suivante et la prochaine ponction sur notre économie.

Or, policer le globe et faire sans cesse la guerre outremer ne rendent pas l’Amérique – ou le reste du monde – plus sécuritaire, cela ne grandit certainement pas à nouveau l’Amérique et cela l’enfonce indéniablement plus profondément dans les dettes.

La guerre est devenue une énorme entreprise lucrative et le gouvernement des États-Unis, grâce à son vaste empire militaire, est un des plus gros vendeurs et acheteurs.

Ce que la plupart des Américains – endoctrinés à croire que le patriotisme signifie de soutenir la machine de guerre – n’arrivent pas à reconnaître, c’est que ces guerres incessantes n’ont que peu à voir avec le fait de garder le pays en sécurité, mais tout à voir avec le fait d’appuyer un complexe militaro-industriel qui continue de dominer, de dicter et de façonner chacun des aspects de notre vie.

Prenez ceci en considération : Nous sommes une culture militaire engagée dans la continuité. De la guerre. Nous avons été un pays en guerre durant presque toute notre existence. Nous sommes une nation qui gagnons notre vie à tuer au moyen de contrats de défense, de manufactures d’armes et de guerres sans fin.

Les États-Unis sont les plus grands consommateurs, exportateurs et auteurs de violence et d’armes violentes dans le monde. Sérieusement, l’Amérique dépense plus d’argent pour la guerre que les budgets combinés de la Chine, de la Russie, du Royaume-Uni, du Japon, de la France, de l’Arabie Saoudite, de l’Inde, de l’Allemagne, de l’Italie et du Brésil. L’Amérique est la police du monde grâce à 800 bases militaires et des soldats stationnés dans 160 pays. De plus, les faucons de la guerre ont presque transformé le territoire américain en champ de bataille avec de l’équipement, des armes et des tactiques militaires. En retour, les forces policières domestiques sont devenues des extensions errantes de l’armée – une armée permanente.

L’Empire américain – avec ses guerres incessantes combattues par les soldats de l’armée américaine qui ont été réduits au niveau de fusils à louer : sous-traités, trop étirés, déployés en des endroits très vastes pour policer le globe – approche de son point de rupture.

Allons, bonnes gens. Que ferait l’Amérique si la Russie ou la Chine tentaient d’ériger des bases militaires sur nos frontières canadiennes ou mexicaines ? Que pensez-vous qu’il arriverait ?

En outre, le leader de l’Ukraine est tout sauf un héros. Il a joyeusement permis aux banques d’Ukraine d’être employées au blanchiment d’argent pour les riches hommes d’affaires et politiciens, et aux trafics d’influence au sein des politiques américaines.

Le Président ukrainien Volodymyr Zelenskyy (un Juif sioniste) est également accusé de traitement barbare – même génocidaire – contre le peuple résidant dans les deux provinces séparatistes de Donetsk et de Lugansk – qui possèdent un Droit naturel de par Dieu de se séparer de l’Ukraine et qui font appel à la protection de la Russie. (Dites-moi, l’Irak et l’Afghanistan ont-ils invité l’Amérique à envoyer son armée dans leur pays avant de les envahir ?) Est-il étonnant que l’Ukraine se tourne vers Israël pour avoir de l’assistance militaire ? Après tout, Israël est extrêmement compétent en ce qui a trait au nettoyage ethnique et au génocide.

N’oublions pas non plus que l’Ukraine est le foyer de plus d’une douzaine de bio-laboratoires américains sponsorisés et financés par le Pentagone. En d’autres mots, ces labos sont là pour des opérations militaires potentielles. Encore une fois, que pensez-vous que ferait l’Amérique si la Russie construisait une douzaine de bio-laboratoires militaires juste au-delà de nos frontières avec le Canada et le Mexique ?

L’Ukraine n’est PAS une victime. Elle est depuis des années et jusqu’au cou dans le subterfuge global (particulièrement antirusse), les vols, les actes d’inhumanité et les crimes de guerre. L’Ukraine n’est pas l’amie de la liberté ou des États-Unis. Mais elle est l’amie des politiciens et des hommes d’affaires corrompus.

Quoi qu’il se passe réellement en Ukraine, cela n’a rien à voir avec la narration proposée par les establishments majeurs.

  1. Laissez-moi vous poser une question : Si les États-Unis se croient justifiés de déclencher des invasions préventives de l’Irak et de l’Afghanistan – qui incluent des occupations à long terme – à des milliers de kilomètres de nos frontières contre de petits pays arriérés qui n’offrent aucune menace à l’Amérique, alors comment le Russie ne serait-elle pas justifiée de déclencher une campagne préventive pour se protéger contre une formidable et sérieuse expansion militaire à sa frontière – particulièrement quand sa protection est recherchée par des états légitimes indépendants ? (Souvenez-vous que l’Amérique a déjà été un pays séparatiste.) S’il vous plaît, lisez le commentaire du Dr Paul référencé ci-haut à savoir pourquoi le vrai vilain dans cette situation est l’OTAN, pas la Russie. À nouveau, que ferions-nous si nous étions dans les souliers de la Russie ?

Si la Russie voulait vraiment conquérir l’Ukraine, elle pourrait facilement le faire. L’Ukraine est totalement incapable de résister avec succès à l’armée russe, si la Russie désire réellement la conquête militaire (ce qu’elle ne veut pas). Le leader russe Vladimir Poutine a dit au monde pourquoi il entreprenait de telles actions, ce que ses actions en Ukraine étaient destinées à faire et à ne pas faire – dont ne PAS occuper l’Ukraine – et comment elles seraient menées. Je pense que vous devriez écouter ce qu’il a dit.

  1. Les bio-laboratoires américains sont-ils un objectif important ? Si je comprends bien, les labos ont pu avoir été détruits très tôt lors de l’opération. Si c’est le cas, c’est une TRÈS BONNE chose.
  2. Maintenant que le peuple américain a fait savoir qu’il en avait terminé avec la fausse narration Covid-19 et que le facteur de la peur est complètement parti, est-ce que l’élite totalitaire est en train d’utiliser la menace d’une guerre globale pour à nouveau remplir de peur le cœur des gens ? Comme le dit Whitehead, « Les guerres incessantes sont l’ennemi de la liberté ». (Je le dis depuis des années.) La peur est aussi un outil pour nous rendre esclaves. Tôt dans la charade Covid, j’ai écrit un message à ce sujet.
  3. Est-ce une diversion pour détourner notre attention du Pass Vaccinal National (et d’autres tentatives de notre gouvernement central pour attenter à nos libertés) que l’on présente, supporté par les Démocrates ainsi que les Républicains ?
  4. Serait-ce encore une autre manipulation du monde à partir des coulisses du CFR et des Bilderbergs dans le but d’atteindre leur objectif d’ensemble de gouvernance globale ?

Bien sûr, les futuristes Scofield courent dans toute la place en criant à « la prophétie de la fin des temps ». Quelles balivernes ! On aurait pensé que les chrétiens se seraient mis à utiliser un peu plus leur cervelle et arrêtent d’écouter tous ces sensationnalistes de fausses prophéties qui se rendent imbéciles par leurs prophéties erronées sur les derniers jours.

Quelle que soit la vraie histoire en Ukraine, je peux vous dire ceci : ce n’est PAS ce que les establishments majeurs vous disent. Et l’Ukraine n’est PAS une victime.