L’Amérique est aux portes de la mort

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Mai 2021

Par Jerry Barrett

Imaginez un homme d’affaires démocrate de New York ayant fait et perdu des millions de dollars. Cet homme a reçu une récompense humanitaire de la NAACP. Il a animé un show télévisé à succès aux heures de grande écoute. Il est extrêmement populaire auprès des politiciens – des deux côtés de l’allée – à cause de ses contributions électorales.

Maintenant, imaginez que cet homme décide de recycler ses affiliations à un parti politique et annonce sa campagne pour la nomination républicaine afin de devenir Président des États-Unis. Combien d’entre vous aurait pu le prédire et croire qu’il avait une chance de gagner ?

Donald J. Trump n’a pas été le plus grand Président à avoir occupé le 1600 Pennsylvania Avenue. Son élection improbable à la Présidence a été un choc pour un grand nombre de ceux qui sont dans le secret, y compris les experts politiques employés par le Piètre Grand Courant Médiatique. Quand Ann Coulter eut l’audace de déclarer que Trump allait gagner la nomination et probablement les élections, elle a été sévèrement critiquée et raillée.

Barack Obama, Hillary Clinton et Eric Holder : servira-t-on la justice ?

Toutefois, après huit ans de Barack Obama, c’est comme si le peuple américain en avait eu marre de la direction que prenait le pays. Celui-ci a souffert de l’exode des emplois manufacturiers, de l’écroulement économique, de la crise de la bulle immobilière, du chômage record, de la stagnation des salaires et d’une multitude d’autres maladies dépressives.

Cela n’inclut pas la chasse aux fusils du Département de la Justice d’Obama et que l’on a surnommé « Rapide et dangereux ». La débâcle de Benghazi lorsque la Secrétaire d’État Hillary Clinton a permis le meurtre de diplomates américains et de membres du personnel militaire. L’escroquerie de la fausse « Énergie Verte » dans lequel la compagnie d’énergie solaire nommée Solyndra s’est vue accorder 500 millions $ des payeurs de taxes pour les refiler ensuite aux riches démocrates et aux supporteurs d’Obama.

Ils seront nombreux à souligner les points positifs de la période de Trump en tant que Président. Oui, des emplois manufacturiers sont revenus en Amérique. Oui, les déséquilibres commerciaux ont été rectifiés jusqu’à une certaine mesure. Oui, le chômage – particulièrement dans les communautés minoritaires – a décru. Oui, l’économie semble rebondir de la dépression survenue lors de la Présidence d’Obama.

La chose qui ressort aux yeux de l’auteur est la quantité de mensonges sulfureux qui ont été crachés à la face de Trump. La guerre contre les races, commencée sous le régime d’Obama, fut accru au moins dix fois par les propagandistes des médias contrôlés. Si vous faites un pas en arrière et regardez l’ensemble du portrait, demandez-vous qui bono (à qui cela profite-t-il ?).

Avec l’addition des oligarques du Big Tech – Facebook, Twitter, YouTube, Google et d’autres – le contrôle du message atteint des sommets historiques. La censure à une échelle sans précédent a conduit à une division plus grande de notre pays. L’avènement du média social a donné naissance au nouvel activiste… le Guerrier de la Justice Sociale !

Ce qui a débuté dans les années 1960 au sein des universités à travers l’Amérique a pu finalement porter son fruit alors que la Culture marxiste a eu l’avant-dernière plateforme. Les manieurs de mots, en ligne de front de la bataille, ont écrit des slogans qui ont fait dresser l’oreille de la plupart des Américains. Des slogans ingénieusement conçus, des rappels et d’autres éléments de propagande entraînant la division ont balayé une jeunesse facilement influençable.

Ces diplômés se sont bientôt infiltrés dans les écoles primaires et secondaires, propageant la programmation politiquement correcte de contrôle mental nécessaire au succès final. D’autres gradués ont eu accès aux agences de publicité, répandant encore les mantras du Parti Communiste. Finalement, encore d’autres diplômés ont pu acquérir des positions au sein des salles de conseil des entreprises majeures.

La guerre contre la clause de libre expression du Premier Amendement débuta immédiatement. « Oui, vous aurez encore le droit de vous exprimer, pourvu que cela ne vienne pas heurter les sentiments de quelqu’un. » Voilà la nouvelle adaptation à notre Constitution. Dans cette nouvelle définition, le christianisme fondamental est un système de croyances que l’on doit éradiquer parce « qu’il dit que l’homosexualité est une abomination ».

Ce qui suit à l’agenda

L’État Profond s’est assurément réjoui du succès de sa manipulation des masses. Malheureusement pour lui, Donald Trump joui encore d’une grande foule de partisans. De toute évidence, il n’y a pas que les mâles blancs de la classe moyenne qui se soient campés dans ses nombreux ralliements à travers le pays. Ce fut un choc de constater qu’un certain nombre de minorités peuplaient l’auditoire.

Pour étouffer l’enthousiasme et la réélection presque certaine de Trump, une immense tergiversation devait être mise en œuvre. Bill Gates, Klaus Schwab et une foule d’autres sont apparus sur scène dans un exercice de gérance de crise d’une pandémie du nom d’Event 201. Miraculeusement, quatre mois plus tard, une crise atteignait les rives de l’Amérique – le COVID-19.

Le pantin parfait pour exécuter des suggestions politiques draconiennes n’était nul autre que le récipiendaire des largesses de Bill Gates… Anthony Fauci. Le Centers for Disease Control and Prevention (CDC – Centres de Contrôle et de Prévention de la Maladie) est descendu dans l’arène – peut-être sur l’ordre de George Soros, de Gates ou de Scwab ? – et a commencé à émettre des mandats pour tenter « d’aplatir la courbe ».

Le Lamentable Grand Courant Médiatique a répandu l’évangile de Fauci dans tous les segments – c’est du moins ce qu’il semble – de ses bulletins de nouvelles. Les docteurs qui ont essayé de présenter les faits concernant la pLandémie ont été censurés et beaucoup ont perdu leur emploi. L’on a interdit de soigner les malades en utilisant des médicaments bien-connus, même si le Dr Fauci était au courant de leur efficacité au début des années 2000.

Les gouverneurs et les politiciens locaux ont commencé à brandir leur gourdin devant les entreprises qui s’objectaient à leurs ordres de confinement. L’économie ronflante de l’Administration Trump fut écrabouillée, le chômage monta en flèche et… qui sont venus ensuite sur scène pour « Sauver l’Amérique » ? Les démocrates qui offrent de l’argent gratuit à ceux qui en ont le besoin.

Assurer la victoire

Même au travers de la calamité qui est arrivée en Amérique en 2020, la popularité de Donald Trump n’a pas diminué au point d’assurer la victoire à un démocrate à la Maison Blanche. L’on a mis sommairement en place des plans pour truquer les élections, en partie grâce au cadeau de Gates et Schwab… la pLandémie. Les votes par la poste firent fureur chez ceux qui souhaitaient altérer la défaite potentielle, de même que les algorithmes des machines de vote électronique.

Joe Biden et Kamala Harris vécurent une anomalie vraiment unique… ils défirent un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes, c’est-à-dire, plus de votes que le populaire Barack Obama quand il défit John McCain. Un autre facteur intéressant que l’on ne rapporte jamais, le pourcentage allégué de participation électorale pour les élections de 2020 fut le plus élevé en 120 ans !

Joe Biden et Kamala Harris ont vécu une anomalie vraiment unique… ils ont défait un Président sortant qui a reçu plus de soixante-dix millions de votes.

Temps de jouer de la flûte

Avec Biden en poste, l’État Profond semble exercer une vendetta majeure contre ceux qui questionnent son autorité. Le pantin de la Maison Blanche et sa caquetante V.-P. sont d’enthousiastes participants de la comédie. Qui croyez-vous a dressé la quantité énorme d’Ordres Exécutifs que Biden a signés au jour 1 de sa fonction ?

Notre frontière est à nouveau une passoire pour les émigrants illégaux. La Chambre de Commerce américaine doit être extrêmement reconnaissante pour cet afflux de main d’œuvre bon marché alors que ces bienfaiteurs auront plus d’argent à mettre dans leurs coffres. La Chambre des Représentants, qui contrôle la bourse de notre pays, a ouvert les voûtes dans l’effort d’apaiser ceux qu’elle déclare être les moins fortunés. Après tout, acheter des votes n’est-il pas un élément de plateforme de l’extrême gauche ?

Récemment, les tueries de masse se sont encore accrues. Ces opérations « sous faux drapeau » ne visent qu’une seule chose… VOS armes à feu. Joe Biden a ouvertement déclaré la guerre contre la NRA (National Rifle Association – Association nationale des armes à feu) durant sa campagne, et maintenant il va chercher à confisquer le plus d’armes à feu possible. Se pourrait-il que son Ordre Exécutif place en fait les propriétaires d’armes légales dans la mire d’une imposition de loi ?

Nos pères fondateurs reconnaissaient la tyrannie et mirent en fonction le Deuxième Amendement afin de donner du pouvoir au peuple. Un nombre record de nouveaux propriétaires d’arme à feu a pris pleinement conscience du besoin potentiel de se défendre, eux et leur famille. La violation de votre droit de garder et de porter des armes, bien qu’inconstitutionnelle, est le plus gros obstacle que doit franchir l’État Profond. S’il y réussi, notre Constitution deviendra nulle et non avenue.

Prenez en considération certains leaders qui ont pu implanter le contrôle des armes durant leur régime et la mainmise qu’ils purent avoir sur les paysans : Pol Pot, Vladimir Lénine, Joseph Staline, Mao Tsé-toung.

Beaucoup d’autres grands empires, comme le grec et le romain, sont tous tombés victimes du contentement de soi, de l’apathie et de la léthargie. L’échec à se tenir debout pour quelque chose conduit à la chute totale. Chers amis, gardez les yeux et les oreilles ouverts. Préparez-vous de votre mieux, car si l’État Profond continue sans être réprimé, la grande expérience connue sous le nom d’Amérique connaîtra la même fin que les autres grands empires.


Par Sandra Myers

Qu’ont en commun les cigarettes, le DDT et la radiation ?

Seriez-vous surpris de savoir qu’ils sont sans danger pour vous – du moins, à une époque, la communauté scientifique, votre gouvernement et les grands courants médiatiques disaient qu’ils étaient sans danger. Souvent mis sur le marché comme étant NOUVEAU, approuvé par le médecin, la science et/ou le gouvernement, rien ne pouvait être plus sécuritaire et meilleur… d’accord ?

Les cigarettes (et autres produits du tabac)

Dans les années 1930 et 1940, à l’époque prestigieuse de la cigarette, les compagnies de tabac réussirent avec succès à influencer les médecins, non seulement pour qu’ils promeuvent la notion que la fumée était saine, mais qu’en fait ils la recommandent comme traitement pour les irritations de la gorge, l’asthme, la bronchite, le rhume des foins et l’influenza. Une variété de compagnies de tabac conçurent, achetèrent et payèrent des études scientifiques qui formulèrent ces tests pour qu’ils apparaissent comme des faits prouvés et non biaisés.

Fumer fut aussi publicisé et promu comme une manière de conserver plus petit le bébé d’une femme enceinte (pour faciliter le passage) ; pour la digestion ; et pour la perte de poids (bon pour la silhouette de la femme et pour de meilleures capacités athlétiques chez l’homme).

Même si des rapports sur les taux significatifs de croissance du cancer des poumons, auparavant rare, furent émis dans les années 1930, la crédibilité de ces rapports fut remise en cause jusqu’à la fin des années 1950. Ce ne fut pas avant 1964 que le Rapport du Ministre de la Santé américain démontra la relation entre la fumée et le cancer. En 1986, il concluait également que la fumée passive est dangereuse.

DDT (dichloro-diphenyl-trichloroethane)

Le DDT fut d’abord synthétisé en 1874, mais sa qualité insecticide n’a été découverte qu’en 1939. Jadis salué comme une grande bénédiction pour l’humanité, on l’utilisa dans la Deuxième Guerre Mondiale pour contrôler une variété d’insectes porteurs de la malaria, de la dengue et du typhus. (À cause des tensions avec le Japon, le plus grand producteur de pyréthrine, notre approvisionnement d’ingrédient naturel de contrôle des insectes était coupé.) En 1945, le DDT fut disponible à la vente publique aux États-Unis. Des publicités encourageaient même que l’on vaporise du DDT directement au-dessus de nos enfants pour les protéger des mouches, des pous et des moustiques.

La logique de répandre des produits chimiques potentiellement dangereux sur vos enfants et dans vos foyers, vos fermes et l’environnement ne coïncidait pas exactement avec les entreprises manufacturières (l’argent) ou le public (se faisant dire que c’était sans danger) de l’époque. Avec très peu d’enquête antérieure sur les effets environnementaux et sanitaires, le DDT était la nouvelle panacée pour stopper les sales insectes.

En 1972, l’EPA émit un ordre de résiliation pour le DDT en se basant sur ses effets défavorables sur l’environnement, tels que sur la faune et la flore, de même que les risques potentiels sur la santé humaine. (Mais apparemment, il est encore correct d’utiliser le DDT dans les pays en développement. Je suis sûre qu’il n’y aura aucun impact à long terme sur le bien-être des peuples africains et leur environnement, par exemple. Comme l’a dit l’ONU : « les bénéfices surpassent les risques ».

La radiation et l’infusion radioactive

Au début des années 1900, les gens croyaient que la radioactivité était bonne pour eux. À la suite de la théorie Curie/Becquerel sur la radioactivité et du travail de pionnier subséquent, la folie de la radioactivité décolla ! Il y eut parmi les items publicisés et vendus des pendentifs au radium pour les rhumatismes, des couvertures à l’uranium pour l’arthrite, des cosmétiques antivieillissement radioactifs, de l’eau radioactive, de la pâte à dent radioactive, des humidificateurs radioactifs avec masque respiratoire et bien d’autres choses.

Dans un des exemples, on mit des boissons radioactives sur le marché. Un industriel bien connu, Eben Byers, tomba et se fit mal à un bras. Sous les conseils de son médecin, Byers but trois bouteilles par jour de Radiothor. Le gros titre du Wall Street Journal de 1932 parlait ainsi de la mort de Byers : « L’eau au radium fonctionnait bien jusqu’à ce que sa mâchoire se détache ». Un autre exemple s’appelle les Filles de la radiation. Les femmes qui ont sauté sur l’opportunité d’aller travailler dans les usines en peignant les cadrans de montre avec de la peinture lumineuse au radium. Même Marie Curie et ses collaborateurs moururent de complications dues à l’exposition au radium.

Le mercure

Vous rappelez-vous vous être écorché un genou, enfant, et que votre Maman mettait du mercurochrome sur votre bobo pour le désinfecter ? La FDA a banni le mercurochrome à la fin des années 1990 à cause de nombreux rapports d’empoisonnements au mercure. Mais Mercurochrome est le nom patenté d’Eli Lily pour le thimérosal. Même après avoir banni ce composé de mercure organique pour traiter vos éraflures, on l’utilise encore largement comme agent antiseptique et antifongique pour garder frais vos vaccins. Beaucoup de pays suppriment maintenant graduellement l’emploi du thimérosal dans les vaccins pour enfants. On trouve aussi aujourd’hui du thimérosal dans un grand nombre de mascaras. Divers composés de mercure sont toujours employés dans des antidotes, des vaporisateurs nasaux, des laxatifs stimulants, des onguents contre les rougeurs dues aux couches, des solutions de verres de contact, des amalgames dentaires et de l’encre à tatouage.

Additifs alimentaires et médicamenteux

Il y a également les additifs alimentaires et médicamenteux, trop nombreux pour être énumérés dans cet article, qui ont été approuvés et ensuite rappelés aux États-Unis. De puissants groupes de lobby et des compagnies pharmaceutiques font (d’une manière ou de l’autre) pression sur la FDA pour obtenir l’approbation. Certains de ces médicaments et de ces additifs ont été refusés au Canada et dans des pays européens.

Le médicament thalidomide est une de ces horribles expériences humaines. Mise en marché pour l’anxiété, la tension, l’insomnie et les nausées matinales, la thalidomide cause les caillots de sang, l’anémie et la neuropathie. Les mères enceintes ont trouvé très élevé le prix de « la pilule contre les nausées matinales » quand leurs enfants innocents sont nés avec de sévères déformations.

Qu’est-ce que toutes ces choses ont en commun ?

Les éléments communs entre les items listés ici (et tant d’autres), c’est qu’on nous a dit que ces items ont été scientifiquement testés et approuvés par le gouvernement et on les considérait donc comme de la « science établie ». Puis le grand courant médiatique sauta dans le wagon afin de devenir votre « source fiable de vérité », en battant la mesure pour pousser la course des ventes en s’exclamant : « Ceci (remplir l’espace vide) est un nouveau produit magnifique, parfaitement sécuritaire et vous pouvez vous y fier. »

En faisant la revue de ce que nous savons à propos des médicaments approuvés et surpublicisés, des vaccins et des produits, pour voir ensuite trop tard les dommages infligés, nous pouvons en conclure que la « science établie » n’existe pas. La science établie n’est maintenant devenu qu’un terme de publicité ; demandez aux défenseurs du Changement Climatique et de l’évolution. L’horrible trio du gouvernement, de la science et des médias planifie de faire appel à votre peur ou à votre fantaisie (pour capter votre attention et pour programmer vos réactions et vos désirs, souvent par des moyens fondés sur le traumatisme.)

Or, je ne suis pas en train de vous dire que la science ne nous a pas donné des développements et des médicaments étonnants et salvateurs au fil des ans, car c’est le cas. Cependant, en chrétien sagace, nous sommes appelés à nous questionner sur ce que le monde nous dit et nous vend – de façon à être sage. Comme l’a dit Jerry dans l’article principal de ce document, vous devez vous demander Qui bono ? (à qui cela profite-t-il ?)

P.S. : Vous ne devriez pas seulement remettre en question les vaccins et les nouveaux médicaments, mais également toute nouvelle folie ou tout produit surpublicisé (les boissons énergétiques et les e-cigarettes nous viennent aussi à l’esprit).




La transition du pouvoir est en jeu

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Novembre 2020

Par Jerry Barrett

Est-ce que l’un ou l’autre des candidats concédera la victoire après les élections ?

« Je considère de peu d’importance de savoir qui votera dans le parti, ou comment ; mais ce qui m’importe à l’extrême, c’est de savoir qui comptera les votes et comment. »

Boris Bazhanov –Les mémoires de l’ancien secrétaire de Staline (publié en 2002, traduit du russe)

 

À tous les quatre ans, nous sommes confrontés à un choix : pour qui voterons-nous comme Président des États-Unis ? Pour de nombreux chrétiens, le choix est facile à faire. Cependant, il faut se demander si c’est le bon et ne pas se hâter dans une décision si importante.

Il y a ceux qui fustigeront les gens qui jugent les autres. Ils éructeront leur version de Matthieu 7:1 : « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés. » Mais ne jugeons-nous pas qui devrait être le chef de notre pays ? Pesons-nous leurs actions, leurs paroles et leurs agissements avant de voter ?

Le but d’un gouvernement

Romains 13:1 nous dit que nous sommes obligés de nous soumettre au gouvernement. Aux versets 3 et 4, l’on nous enseigne que le but d’un gouvernement est de maintenir le bien et de punir le mal. Le bien et le mal seront déterminés par l’État. Mais nous ne devons pas obéir aveuglément au gouvernement si ce corps gouvernemental exige que nous violions la Parole de Dieu.

Dans la lettre de Paul à Timothée, l’apôtre nous enseigne à prier pour les dirigeants qui sont en position d’autorité :

« J’exhorte donc qu’avant toutes choses on fasse des requêtes, des prières, des supplications, et des actions de grâces pour tous les hommes ; pour les Rois, et pour tous ceux qui sont constitués en dignité, afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté » (1 Timothée 2:1-2)

Nous pouvons le mieux démontrer notre respect à l’autorité gouvernementale lorsque nos dirigeants sont compétents et s’acquittent correctement de leurs fonctions. Mais ce n’est pas toujours le cas. Malheureusement, la Bible ne nous dit pas que tous ceux qui sont en autorité viennent de Dieu. Proverbes 29:2 nous dit ceci :

« Quand les justes sont avancés, le peuple se réjouit ; mais quand le méchant domine, le peuple gémit. »

Nous qui nous positionnons sur la Parole de Dieu savons que toute autorité vient de Dieu. Personne – que ce soit un président, un dictateur ou un monarque – n’atteint sa position sans Sa providence. Cela ne signifie toutefois pas qu’Il l’approuve.

Vous n’avez encore rien vu

Pour ceux qui pensaient que la période électorale de 2016 était controversée, comme le dit le vieil adage : « Vous n’avez encore rien vu ! » Le Président Trump a été fidèle à sa personnalité habituelle et explosive, lançant ses insultes via les médias sociaux envers le candidat démocrate Joe Biden et sa colistière Kamala Harris.

De même, Biden et Harris y sont allés de leurs propres accusations caustiques contre Trump et son administration. De plus, aucune des deux parties de cette campagne n’a déclaré qu’elle concéderait rapidement la victoire le soir des élections. Le processus se complique encore du fait que l’on maintient des décisions étatiques et judiciaires permettant le comptage des bulletins de vote par correspondance sans « date limite de dépôt ».

Stratégie de guerre ou scénario planifié ?

Au cours de l’été 2020, à l’insu de la plupart d’entre nous, une « stratégie de guerre » a été organisée pour analyser les résultats potentiels et la réaction ultérieure des deux côtés de l’allée politique. Un certain nombre de scénarios ont été envisagés au fil de plusieurs sessions. Comme je vais le dévoiler plus loin, les participants – du moins ceux qui sont prêts à se voir révélés – forment un Who’s Who de poids lourds politiques et d’initiés de Washington.

La raison pour laquelle cela a piqué mon intérêt, c’est que la précédente « stratégie de guerre » – surnommée Event 201 et organisée par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins – était tenue à New York et concernait le déclenchement d’une pandémie à travers les États-Unis. Nous avons tous vécu les confinements qui s’en sont suivis, la mise en quarantaine sans précédent d’individus en bonne santé et la propagande, d’abord du nombre de décès, puis du nombre de cas. L’Event 201 a assurément aidé les personnes impliquées à planifier et à se préparer à l’asservissement presque total des citoyens.

Gestion de crise

Le recours à la gestion de crise est pratique courante dans le monde de la sécurité nationale. Des scénarios improbables sont présentés aux participants à qui l’on donne les concepts de base d’une catastrophe. L’idée de ces sessions est de reconnaître les zones de force et de faiblesse, et de mieux préparer les décideurs face à un désastre. Cette méthode est également utilisée pour jauger les réactions du public en employant le cinéma, la programmation télévisuelle et l’exposé des grands Médias traditionnels.

La prémisse de ce groupe reposait sur sa préoccupation concernant les perturbations potentielles après les élections présidentielles de 2020 et la transition des administrations. Le groupe s’est donné comme nom le Projet d’intégrité de la transition. Quoique présenté comme un effort bipartisan, le groupe était principalement financé par d’anciens membres de l’administration Obama.

Rosa Brooks, professeure de droit à l’Université de Georgetown, cofondatrice du Projet d’intégrité de la transition.

Les cofondateurs sont Rosa Brooks, ancienne fonctionnaire au Pentagone et professeure de droit à l’Université Georgetown, et Nils Gilman, ancien vice-chancelier de l’Université de Californie à Berkeley. Y participèrent aussi plus d’une centaine de hauts fonctionnaires, anciens et actuels, du gouvernement, des leaders de la campagne, des journalistes, des universitaires et d’anciens fonctionnaires fédéraux et étatiques.

Parmi les participants confirmés, il y a Michael Steele, ancien président du Comité national républicain ; John Podesta, président de la campagne 2016 d’Hillary Clinton ; l’ancienne Gouverneure du Michigan, Jennifer Granholm ; l’ancien Secrétaire d’état du Kentucky, Trey Grayson ; Donna Brazile, ancienne présidente par intérim du Comité national démocrate ; ainsi que les journalistes William Kristol, Edward Luce, Max Boot et David Frum.

Lors de sa première répétition, le groupe a simulé un résultat électoral ambigu. L’issue de l’élection n’était pas clair après les résultats de trois États en litige, et un État a détruit les bulletins de vote. Aucune des deux parties n’est prête à concéder.

À la deuxième itération, l’on figurait une victoire nette de Biden, à la fois du vote populaire et du Collège électoral. En la situation, Trump allègue qu’il y a fraude et il prend des mesures pour lui-même et pour sa famille. Mais il cède finalement la Maison Blanche à Biden.

Le troisième scénario commença avec Trump remportant une victoire au Collège électoral, tandis que Biden obtient le vote populaire. Ici, Biden refuse de concéder, persuadant les gouverneurs démocrates de deux états que Trump a remportés d’envoyer des électeurs séparés vers le Collège électoral, encourageant trois états – la Californie, l’Oregon et Washington – à brandir la menace d’une sécession, et convaincant la Chambre des Représentants de refuser de certifier l’élection.

La quatrième et dernière campagne couverte fut une victoire étroite de Biden à la fois aux votes populaires et au Collège électoral. Dans ce scénario, Trump refuse d’avouer la défaite, créant un indicible chaos avant que le Sénat républicain et les Chefs de l’état-major confirment et acceptent la victoire de Biden. Trump refuse de quitter la Maison Blanche et il est expulsé de force par les services secrets.

L’élection de 2020 sera-t-elle entachée

Tout comme il l’a fait durant les élections de 2016, Trump a allégué la possibilité de corruption – qu’il s’agisse de la collecte des bulletins de vote, des bulletins de vote envoyés par la poste, détruits par le service postal, ou de la façon dont les bulletins de votes sont comptés. Hillary Clinton avait été déclarée gagnante malgré que les votes dans certaines régions du pays aient dépassé les listes électorales.

De manière traditionnelle, la passation d’une administration à une autre se fait en douceur. Même les différends les plus remplis de rancune ont été mis de côté – pour la plupart – et ainsi s’est poursuivie la marque de notre république démocratique.

Sera-ce le cas pour 2020 ? Alors que le grand courant médiatique ne cache plus ses préjugés et fomente une haine enragée contre le Président en exercice, cela reste à voir. Ceux qui soutiennent Trump se sentent de même menacés et sont prêts à se défendre. De mon vivant, je n’aurais jamais pensé qu’une si forte discorde soit possible.

Souvenez-vous toutefois de ceci. Dieu règne sur nos affaires et, dans Sa providence, les dirigeants s’élèvent et s’affaissent, mais nous ne devons absolument pas présumer que toutes les affaires humaines reçoivent l’approbation de Dieu. Consolez-vous en pensant que Dieu demeure en contrôle au milieu de tout ce chaos. Nous sommes amenés à déployer activement Son caractère par les choix que nous faisons.

« Et que la paix de Dieu, à laquelle vous êtes appelés pour être un seul corps, tienne le principal lieu dans vos cœurs ; et soyez reconnaissants. Que la parole de Christ habite en vous abondamment en toute sagesse, vous enseignant et vous exhortant l’un l’autre par des Psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, avec grâce, chantant de votre cœur au Seigneur. Et quelque chose que vous fassiez, soit par parole ou par œuvre, faites tout au Nom du Seigneur Jésus, rendant grâces par lui à notre Dieu et Père » (Colossiens 3:15-17).

 


Par Sandra Myers

Fuir Babylone

Belize, Panama, Nicaragua, Canada, Nouvelle-Zélande, République dominicaine, Australie, Irlande… Voilà quelques-uns des nombreux pays vers où de mes amis et de mes connaissances ont parlé de s’envoler ou qui l’ont déjà fait.

Une personne s’est récemment exclamée : « Je déteste les États-Unis, alias le Marteau du monde entier, l’Exterminateur du monde entier et le Destructeur de montagnes ! » Mais cette personne admet qu’elle ne saurait où fuir. Elle veut juste SORTIR – sortir des terribles États-Unis d’Amérique.

Je suis peut-être légèrement partiale, mais malgré toutes ses imperfections, je continue de dire que les États-Unis d’Amérique sont le meilleur endroit pour vivre sur la terre verte de Dieu. Les États-Unis ne sont pas l’endroit parfait pour vivre ; mais aucun autre pays non plus. En fin de compte, nous ne sommes que des pèlerins de passage. `Notre foyer est au–dessus. Est-ce que l’Amérique, jadis lumière brillante sur la colline, et déjà à mi-chemin sur la pente glissante, se dirige vers l’hédonisme le plus complet, le marxisme/socialisme et la loi de la rue ?

La fureur de fuir Babylone

Ces ressortissants et ceux qui voudraient l’être ont une motivation commune : échapper à ce qu’ils considèrent Babylone et à leur propre disparition physique pour avoir été dans la Babylone. Ils croient que les États-Unis sont la maléfique et horrible prostituée dont parle la Bible. En tant que tel, ils ne veulent pas participer aux ravages provoqués par les États-Unis, ou encourir les châtiments et la destruction qui ne manqueront pas d’arriver aux États-Unis d’Amérique, s’il s’agit bien de Babylone.

« Fuyez hors de Babylone, et sauvez chacun sa vie, ne soyez point exterminés dans son iniquité ; car c’est le temps de la vengeance de l’Eternel ; il lui rend ce qu’elle a mérité » (Jérémie 51:6).

Le désir de fuir le danger est compréhensible. Satan veut vous cribler et vous dévorer. Mais votre désespoir vous fait oublier que ce que vous tentez de fuir n’est que la manifestation physique d’un problème spirituel.

Encore une fois, Babylone est une maladie mondiale du cœur, non pas une maladie physique. Babylone représente le rejet du seul vrai Dieu. C’était vrai dans les plaines de Sinhar, ainsi qu’à travers l’histoire, et c’est encore vrai aujourd’hui.

Comment fuir Babylone ?

Vous, mes amis fuyant Babylone, on doit vous féliciter. Votre esprit perturbé résiste aux pressions physiques et aux attraits de Babylone. Mais sachez qu’il n’y a pas d’échappatoire. Vos troubles vous suivront jusqu’aux extrémités de la terre. Au lieu de cela, j’exhorte ceux qui voudraient fuir de laisser la Direction de Dieu être votre cure.

Bien que vous ressentiez personnellement les flammes et que vous ayez l’impression que ces flammes peuvent vous submerger à tout moment, sachez que ces mêmes flammes dévorent le monde entier autour de vous. Mais, comme Sadrac, Mésac, et Habed-négo (Daniel 3), Jésus est avec VOUS, Son enfant, toujours. Surtout dans les flammes ardentes de la Tribulation – et nous vivons certainement un temps de tribulations – Jésus est votre seul refuge contre Babylone.

TOUTES les nations ont bu de son vin et ont commis la fornication avec elle. Mais le Seigneur commande à SON PEUPLE de sortir d’elle. Ne participez pas à ses péchés. C’est en ce moment que la bataille est à son plus féroce.

« Il cria avec force à haute voix, et il dit : Elle est tombée, elle est tombée la grande Babylone, et elle est devenue la demeure des Démons, et la retraite de tout esprit immonde, et le repaire de tout oiseau immonde et exécrable. Car toutes les nations ont bu du vin de sa prostitution effrénée ; et les Rois de la terre ont commis fornication avec elle ; et les marchands de la terre sont devenus riches de l’excès de son luxe. Puis j’entendis une autre voix du ciel, qui disait : Sortez de Babylone mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous ne receviez point de ses plaies » (Apocalypse 18:2-4).

Jésus vivait parfois l’agonie sur terre, pourtant, Il avait pour désir de faire la volonté de Son Père céleste (Luc 22:41-44). Jésus savait que Son Royaume n’était pas de ce monde (Jean 18:36). Paul a dit qu’il valait mieux mourir et être avec Christ que vivre sur terre ; mais rester signifiait continuer à servir et à travailler pour Christ (Philippiens 1:21-24).

Après avoir été tenté par le Diable pendant quarante jours et S’être fait offrir tous les royaumes physiques du monde, Jésus refusa. Jésus savait que la bataille et le Royaume sont spirituels. Et quand Jésus eût réfuté le Diable, Il est reparti avec une grande puissance de l’Esprit.

En Jésus, vous possédez une grande puissance spirituelle. Vous serez sans aucun doute vilipendés et envahis par le monde qui mettra de grandes pressions dans votre esprit et y provoquera de grandes souffrances. Mais en tant qu’enfants du Très-Haut, vous êtes consacrés pour dire la vérité, prêcher l’Évangile et tendre la main aux cœurs brisés. Si Dieu dirige votre chemin vers différents endroits, obéissez et partez par tous les moyens. Mais s’Il vous envoie ailleurs, ce ne sera pas uniquement pour votre sécurité temporelle. Penserez-vous à la bataille qui fait rage autour de vous, où que vous alliez ?




Faire de l’argent sur le dos des victimes est chose détestable

Lettre mensuelle de Power of Prophecy

Juillet 2020

        Jerry Barrett

« Dieu hait ces six choses, et même sept lui sont en abomination ; savoir, les yeux hautains, la fausse langue, les mains qui répandent le sang innocent ; le cœur qui machine de mauvais desseins ; les pieds qui se hâtent pour courir au mal ; le faux témoin qui profère des mensonges ; et celui qui sème des querelles entre les frères. »

Proverbes 6:16-19

Cash Over Victims Is Detestable

De nombreuses vérités ont été mises en lumière à la suite de la plandémie connue sous le nom de Covid-19. Par exemple, cette vérité choquante que les hôpitaux ont reçu treize mille dollars pour chaque patient identifié comme un malade du Covid. De plus, si on mettait le patient sous un ventilateur, la prime était augmentée à trente-neuf mille dollars. Révélation étonnante, n’est-ce pas ?

Sans blague : Les hôpitaux étiquettent-ils les décès non liés comme des décès dus au Covid-19, et l’utilisation d’un ventilateur juste pour réclamer plus d’argent du gouvernement ?

Depuis des lunes, les administrateurs d’hôpitaux crient au loup au sujet des dépenses toujours croissantes rencontrées lors du traitement de ceux qui n’ont pas d’assurance ou sont privés des fonds nécessaires pour payer. Ces administrateurs ont été régulièrement fustigés par le grand public pour avoir facturé 4 $ par comprimé d’ibuprofène donné à un patient. Mais aucune protestation publique n’a été notée en regard de la manne financière ci-mentionnée et que chaque patient amenait à l’hôpital.

Bien que la mort de milliers d’amis, de membres de la famille et de voisins ne soit pas sujet à rire, la propension des reportages à parler de cette plandémie, le tout amplifié par les ordres tyranniques des gouvernements à « se confiner sur place », a atteint le point de saturation. Il semble que ce soit devenu la grosse blague au sein de la population. De nombreuses blagues rebondissent sur Internet via les courriels, comme celles-ci au titre ridicule : « Un surfeur attaqué par un requin… meurt du Covid » ; « Daredevil saute d’un avion sans parachute… et meurt du Covid ». Le choix est abondant.

Malfaiteurs en position de pouvoir

En tant que pays, nous sommes un peuple résilient. Quand la vie nous offre des citrons, nous en faisons de la limonade. Comme chrétiens, nous savons que Jésus a le contrôle. Lors même que nous poursuivons notre mission, Son joug s’avère léger. Cela ne signifie cependant pas que nous ne soyons pas affectés par les actions des malfaiteurs. Il y a de nombreuses victimes innocentes dont la vie est changée à jamais.

Prenons comme exemple le nombre astronomique de décès survenus à New York. En février et en mars, le maire de New York, Bill de Blasio, et son haut responsable à la santé, Oxiris Barbot, ont dit aux habitants de continuer à prendre le métro, à assister aux défilés et à profiter de la vie nocturne de la ville.

Dans un tweet du 2 février, Barbot a déclaré : « Alors que nous nous préparons à célébrer le #LunarNewYear à New York, je tiens à assurer aux New Yorkais qu’il n’y a aucune raison pour quiconque de modifier ses plans de vacances, d’éviter le métro ou certaines parties de la ville à cause du #coronavirus. » Elle a réitéré : « Je veux être claire. Il s’agit d’un virus, pas d’un groupe de gens. Il n’y a AUCUNE excuse pour personne qui veut discriminer ou stigmatiser des gens d’origine asiatique. Nous sommes ici aujourd’hui pour exhorter tous les New Yorkais à continuer de vivre leur vie comme d’habitude. » Elle faisait référence au défilé dans le quartier chinois pour célébrer le nouvel an chinois.

Des pertes de mémoire à court terme affectent les politiciens

Lors d’une interview sur MSNBC, le 10 février, le maire de Blasio a déclaré : « Si vous avez moins de 50 ans et que vous êtes en bonne santé, ce qui est le cas de la plupart des New Yorkais, la menace est minime, ici. Même si vous l’attrapez, cette maladie agit essentiellement comme un rhume ou une grippe. Et la transmission n’est pas simple. » Le 2 mars, lors d’une conférence de presse avec le gouverneur Andrew Cuomo, de Blasio a déclaré : « Nous avons maintenant beaucoup d’informations, des informations qui nous montrent, en fait., des éléments qui devraient nous donner raison de rester calmes et de vaquer à nos occupations. »

Deux semaines plus tard, de Blasio fustigeait le Président Donald Trump et la réaction de son administration face au virus. Dans une entrevue du 14 mars sur MSNBC, de Blasio déclara : « Il s’agit d’une situation de guerre. Nous vivons un scénario de guerre et le gouvernement fédéral prend une attitude d’obstruction. »

Les politiciens doivent souffrir de pertes de mémoire à court terme, car il y a au moins cinq cas distincts où de Blasio et sa responsable de la santé ont minimisé publiquement la gravité du virus. On a également oublié les mesures prises le 31 janvier par l’administration Trump pour restreindre les voyages de la Chine aux États-Unis. Certains voyageurs américains qui avaient visité la Chine récemment ont été placés en quarantaine pendant quatorze jours et l’on a déclaré l’urgence en santé publique.

Des personnes âgées reçoivent des sentences de mort

Le gouverneur Andrew Cuomo est un autre des principaux acteurs des ravages qui se sont répandus dans l’État de New York. À ce jour, on a recensé près de 380 000 cas de Covid-19 dans l’État de New York, dont 30 000 décès. Ces chiffres dépassent de loin tout autre État de l’Union.

Bien que nous ne puissions pas déterminer positivement le nombre réel de décès dus à cette plandémie, nous pouvons affirmer sans équivoque que les mesures mises en œuvre sous l’administration Cuomo ont considérablement exacerbé le nombre de décès dans les maisons de soins infirmiers. Le 25 mars 2020, une directive du commissaire à la santé de New York, Howard Zucker, la sous-commissaire exécutive Sally Dreslin et le gouverneur Cuomo a été publiée sous le titre de « Sorties d’hôpitaux et admissions dans les maisons de soins infirmiers ». Dans cette directive, on déclare : « Aucun résident ne se verra refuser la réadmission ou l’admission aux Soins Infirmiers uniquement sur la base d’un diagnostic confirmé ou suspecté de Covid-19. Il est interdit aux Soins Infirmiers de demander à un résident hospitalisé et déterminé médicalement stable de subir un test de dépistage du Covid-19 avant son admission ou sa réadmission. »

Cette directive a entraîné la mort de 5 300 patients dans les maisons de soins infirmiers de l’État de New York. Mais attendez, il y a plus !

Dans un article convaincant écrit par Yaacov Apelbaum et publié sur son blog (https://abelbaum.wordpress.com/2020/05/25/jaccuse/), on fournit des preuves encore plus incriminantes. Il y a une traînée d’argent derrière les directives émises par le gouverneur Andrew Cuomo :

Apelbaum écrit :

« En 2018, alors que le gouverneur Andrew Cuomo était confronté à une contestation de sa candidature à la réélection dans la primaire démocrate de l’État de New York, il a obtenu une infusion en espèces de dernière minute d’un million de dollars de la General New York Hospital Association (GNYHA) – un puissant groupe de l’industrie de la santé à New York. Le 2 avril 2020, il a remboursé la faveur en signant discrètement une loi protégeant les dirigeants des hôpitaux et des maisons de soins infirmiers de toute poursuite découlant de l’épidémie de Covid-19. Les clauses insérées dans le projet de loi de finances annuelles accordaient une protection immunitaire globales aux dirigeants et administrateurs du secteur des soins de santé, les mêmes personnes et les mêmes institutions qui ont fait fortune en déplaçant les patients malades de Covid-19 des hôpitaux vers les maisons de soins infirmiers. »

Apelbaum poursuit :

« La législation de Cuomo sur l’immunité juridique ne s’est pas produite dans le vide. Il s’avère que la GNYHA a donné au comité démocrate de l’État de New York de Cuomo des sommes importantes qui ont été déposées dans le compte de gestion de son parti et utilisées pour financer sa réélection. L’argent a notamment été utilisé pour acheter des publicités télévisées pour soutenir son budget et son lancement proposés, son programme anti-armes à feu et sa campagne de 2018. »

Des résidents de maisons de soins infirmiers de New York ont été condamnés à mort.

Le résultat final de ces manigances, c’est que les centres pour personnes âgées de New York ont fait des millions de dollars, Cuomo et les démocrates de New York ont enrichi leurs coffres et la parenté de milliers de New Yorkais décédés est laissée pour compte.

Big Pharma a le contrôle

Ce type de chicane existe au sein de notre gouvernement depuis des décennies. En 1986, Ronald Reagan a signé la Loi Nationale sur les Blessures par Vaccins sur les Enfants. Cette loi créa un programme spécial visant à gérer les différends dans le but d’assurer un approvisionnement stable des vaccins tout en protégeant les entreprises de la plupart des poursuites. Cette Loi annule complètement la responsabilité de l’industrie en ce qui concerne les préjudices physiques causés par les vaccins et l’on peut considérer que le gouvernement accorde à Big Pharma une immunité économique sans précédent et carte blanche en ce qui regarde les préjudices physiques causés par les vaccins.

Dans mon Bulletin de février 2019 de Power of Prophecy, Big Pharma contrôle-t-il l’Amérique ?, j’ai remarqué que les enfants d’Amérique reçoivent soixante-douze vaccins avant l’âge de dix-huit ans. En 1962, le total était de cinq ! J’ai également signalé que l’autisme a grimpé d’un cas sur deux mille cinq cent à un cas sur quarante aujourd’hui.

Élitiste aux grandes idées de réduction de la population grâce aux vaccinations obligatoires dans le monde entier, Bill Gates a rencontré le Président Trump à plusieurs reprises pour décourager son désir de faire des recherches sur les effets néfastes des vaccins. Le contrôle de Gates sur la vaccination en Inde a mené à la paralysie de plus de 490 000 enfants.

Dans sa lettre à Timothée, l’apôtre Paul nous a parlé de ceux qui chérissent la richesse au détriment de la bonté. Lisez ses paroles profondes, chers amis. Paul a écrit : « Or ceux qui veulent devenir riches, tombent dans la tentation, et dans le piége, et en plusieurs désirs fous et nuisibles, qui plongent les hommes dans le malheur, et dans la perdition. Car c’est la racine de tous les maux que la convoitise des richesses, de laquelle quelques-uns étant possédés, ils se sont détournés de la foi, et se sont enserrés eux-mêmes dans plusieurs douleurs. Mais toi, homme de Dieu ! fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur » (1 Timothée 6:9-11).


Neuf manières par lesquelles la Chine contrôle l’Amérique

Par Sandra Myers

« Le riche dominera sur les pauvres ; et celui qui emprunte, sera serviteur de l’homme qui prête. »

Proverbes 22:7

« L’art suprême de la guerre, c’est de maîtriser l’ennemi sans combattre. »

Sun Tzu, L’Art de la guerre

La Chine œuvre avec acharnement à la conquête des États-Unis par l’intérieur. Comprenez que, lorsque l’on entretient des affaires avec un pays communiste, la personne ou l’entreprise court toujours le risque que le gouvernement communiste retire son autorisation, puis accède et même usurpe l’existence de la compagnie en Chine. Celle-ci exerce son pouvoir avec un gant de fer.

S’il vous plaît, sachez que je ne rechigne pas à ce que le travailleur chinois gagne sa vie. Et j’aimerais assurément voir davantage de liberté et de respect des droits humains en Chine. Cet article cible l’État chinois. La machine chinoise n’a que peu de considération pour la vie de ses propres citoyens.

  1. Produits médicaux : Michelle a couvert ce sujet dans son excellent article du Bulletin de mai de Power of Prophecy. La Chine a fait en grande partie avec la médecine (et la fabrication en général) ce qu’elle a fait avec l’acier : en répandre des quantités excessives sur le marché, faire baisser les prix et forcer la concurrence américaine à fermer ou à vendre, et à devenir ainsi le principal fournisseur exclusif. La dernière usine américaine à fabriquer de la pénicilline a fermé ses portes en 2004. Grâce à ce pouvoir, la Chine a récemment sous-entendu qu’elle pourrait retenir ses antibiotiques si elle le désirait.
  2. Fabrication : De nombreuses marques populaires ont abandonné la fabrication de leur stock, en partie ou entièrement, à la Chine : Apple/iPhone, Samsonite, Johnson & Johnson Bandaids, Fossil, Lululemon, Victoria’s Secret, LL Bean, Levi Strauss, New Balance, Radio Flyer, American Girl Dolls, Ray Ben, Nike, Adidas, et mêmes de nombreux designers européens ont transféré leur production en Chine. La Chine a maintenant réglé ses sites plus haut : Made in China 2025. En mai 2015, la Chine a mis en œuvre un plan en vue de cesser d’être « l’usine mondiale » de production de biens bon marché et passer à la production de biens et services de plus grande valeur, comme l’aérospatiale, les semi-conducteurs, la biomédecine et autres technologies de pointe afin d’obtenir l’indépendance face aux fournisseurs étrangers concernant ces produits.
  3. Trésor américain : Les gouvernements étrangers détiennent environ un tiers des dettes des États-Unis. En janvier 2020, la Chine était l’investisseur étranger no 2 de la dette étrangère américaine, détenant 1,1 trillions $ de bons du Trésor américain (le Japon est no 1 avec 1,27 trillions $). La Chine achète des bons du Trésor américain afin de contribuer à la dépréciation de sa propre monnaie, ce qui fait en sorte que ses exportations s’avèrent moins chères et sont donc plus attrayantes pour les consommateurs américains.
  4. Immobilier : La Chine achète des terres agricoles, des hôtels, des immeubles à bureaux, d’autres bâtiments commerciaux et même des propriétés résidentielles. Mais ce qui est encore plus gros, c’est que, sous Obama, Hong Kong (Chine) eut le contrôle du terminal maritime de Long Beach, en Californie, l’un des plus gros terminaux maritimes des États-Unis (Trump a forcé la Chine a vendre). En février 2018, la Chine a également tenté, via une société écran, d’acheter la Bourse de Chicago, vieille de 136 ans, Après avoir donné son accord initial, la Bourse de Chicago a été contrainte de bloquer la vente sous le Président Trump.
  5. Les politiciens : (ou leurs amis et leurs familles) ont vendu leur âme à la Chine pour avoir l’opportunité de réaliser leurs rêves financiers les plus fous : Hunter Biden, fils de Joe Biden ; John Boehner, ancien président de la Chambre ; Charles Boustany, ancien représentant américain de la Louisiane ; David Firestein, diplomate américain, principalement pour les relations avec la Chine ; Mike Holtzman, conseiller spécial auprès de Bill Clinton ; Andy Purdy, ancien stratège de la cybersécurité sous George W. Bush ; James Wolfenstein, anciennement de la Banque Mondiale et tant d’autres. Certains sont enregistrés comme « agents étrangers ».
  6. Les grosses affaires : Vendues pour obtenir une part du marché chinois. Cependant, en vendant tout à la Chine, de nombreuses entreprises internationales se plaignent que la Chine leur a

    Votre nourriture est-elle importée de Chine ?
    Tilapia : 80 % de l’approvisionnement américain ; Morue : 50 % de l’approvisionnement américain ; dans les deux cas, les réservoirs des fermes monstrueusement pleins à craquer de poissons sont pollués de mercure, de plomb et d’antibiotiques. Bœuf : du porc séché vendu comme du bœuf ; Jus de pomme : 50 % de l’approvisionnement américain ; Ail : 31 % vient de Chine (produits chimiques toxiques et pesticides) ; Poulet : approuvé pour la vente aux États-Unis en 2013, la Chine est un pays où la grippe aviaire et la maladie transmise par la nourriture sont chose commune. Thé : (29 produits chimiques toxiques) ; Lait : (Contient parfois de la mélamine – un produit chimique qui cause de sérieux problèmes aux reins) ; FAUSSE NOURRITURE : Riz : (Riz de plastique – fait de résine et de fécule de patate) ; Poivre noir : (parfois de la boue mise en boule) ; Sel de table : (Du vrai sel industriel, impropre à la consommation humaine et peut causer de sérieux problèmes de thyroïde) ; Pois verts : (faux) ; Œufs : (faux, pour vrai !) ; Agneau : (peut-être de la viande de rat) ; Huile d’olive : Une grosse compagnie alimentaire de Chine a décidé de recycler la vieille huile d’olive de milliers de restaurants, de la filtrer et de la revendre ensuite.

    forcé la main pour qu’elles lui remettent des secrets commerciaux en échange d’un accès au marché. Dans certains secteurs, Pékin ne permettra aux firmes étrangères d’opérer que par le biais de coentreprises où les partenaires chinois détiennent la majorité du capital, tenant ces entreprises en otage face aux exigences de la Chine communiste.

  7. Votre nourriture vient-elle de Chine ? : La liste de droite est un petit échantillon des importations alimentaires américaines en provenance de la Chine. Les pratiques industrielles, agricoles et de production alimentaire en Chine sont, au mieux, mal réglementées. Vous faites vos achats dans les magasins d’aliments sains ? Whole Foods (Jeff Bezos / Amazon) défend l’importation de certains aliments de Chine, tandis que Trader Joe’s s’engage à ne pas stocker d’aliments importés chinois.
  8. Enseignement supérieur : La Chine fait don de milliards de dollars à 87 écoles, dont l’Institut de Technologie de la Californie, l’Université de Columbia, l’Institut de Technologie de la Géorgie, l’Institut de Technologie du Massachusetts, les Instituts de Technologie de New York et du New Jersey, et Harvard, Princeton et Yale. Pourquoi donner autant à l’enseignement supérieur américain ? La Chine est en train de créer des Instituts Confucius – dont le but est de servir de base à la guerre idéologique en pervertissant la vision des étudiants américains.
  9. Position tyrannique de la Chine : Guerre de l’espace, missiles de destruction de satellites, menace nucléaire, lasers et cyberattaques. Renseignements, espionnage, vols high-techs des secrets de la technologie et de la sécurité nationale américaines. Les États-Unis n’avaient pas engagé de poursuites en matière de sécurité depuis plus de trente ans. En septembre 2019, sous le Président Trump, on a entamé des poursuites dans trois cas d’opérations de vol de technologie – de sous-traitants américains de la Défense au cyber-piratage et à l’espionnage économique (pour avoir ciblé des secrets d’avions commerciaux à moteurs à réaction). La Chine peut également employer sa dominance mondiale dans les minerais précieux de la terre.

QUE POUVEZ-VOUS FAIRE ?

Premièrement, pour notre propre bien, faisons pression sur nos politiciens et nos sociétés pour ramener la fabrication de première nécessité aux États-Unis. Les antibiotiques, les analgésiques et autres médicaments vitaux et les équipements médicaux devraient figurer en tête de liste. Deuxièmement, tenons responsables nos politiciens, nos entreprises, nos investisseurs en capital et nos comités d’action politique pour leurs courbettes devant la Chine. Ils devraient bloquer les Chinois et la possession chinoise de sociétés écrans d’organisation ou de produit liés à la sécurité nationale, ou à la santé et au bien-être. Troisièmement, lisez les étiquettes et achetez américain (quand vous le pouvez). Sinon, achetez des produits de fabrication autre que chinoise (lorsque vous le pouvez). Il existe de nombreux sites Internet qui répertorient les articles ou les marques qui sont encore fabriqués aux États-Unis. Quatrièmement, faites affaires avec les magasins Mom-and-Pop locaux. Que retentisse la liberté !