Scott Ritter : l’expérience sioniste est finie

Bulletin du pasteur Chuck Baldwin

20 juin 2024

D’une perspective strictement théologique – perspective théologique fondée sur la Nouvelle Alliance de Christ (PAS les fausses doctrines du dispensationnalisme prémillénaire) – il est absolument certain que le sionisme (chrétien ou juif) est une contrefaçon diabolique tout d’abord conçue pour tromper, puis pour asservir l’esprit et le cœur des chrétiens évangéliques de l’Amérique, et ensuite, grâce à leur soutien fanatique, capter le cœur et l’esprit des guerroyeurs du Congrès américain comme outil d’exportation de mort et de destruction perpétuels dans le monde. Rappelez-vous que Jésus a proclamé de manière emphatique que Satan (le Diable) est le meurtrier maître et le père du mensonge (Jean 8:44). Et la guerre amène le meurtre à son niveau le plus prolifique.

Au cours des soixante-seize dernières années, le sionisme a accompli tous les buts qu’il s’était fixés. Il a détourné les pasteurs et les chrétiens évangéliques de la Nouvelle Alliance de Christ au point où la plupart des évangéliques ne connaissent presque RIEN de la Nouvelle Alliance de Christ. Il a transformé les conservateurs politiques en guerroyeurs farouches – quasi maniaques. Il a ouvert les vannes de la débauche morale dans les industries de divertissement d’Amérique et nos systèmes d’école publique. Il a répandu un raz-de-marée d’immigration de masse de criminels illégaux dans notre pays, permettant l’entrée sans entraves d’une armée étrangère de dizaines de millions d’hommes célibataires d’âge militaire pour qu’ils vivent, s’organisent et prolifèrent, et pour devenir un danger très clair et très présent pour notre sécurité – et pour notre existence même en tant que pays.

Encore une fois, de la perspective du Nouveau Testament, si Dieu a toujours un plan pour les chrétiens d’Amérique et n’a pas déterminé de permettre que celle-ci implose complètement de l’intérieur ou explose dans une guerre nucléaire globale – pour laquelle l’Amérique s’agite – les Cieux mêmes doivent composer avec la dégradation morale et spirituelle du sionisme, parce que celui-ci asservit fortement l’Amérique qui est totalement incapable de résister à ses machinations démoniaques.

Contrairement aux assertions de futuristes chrétiens tels que John Hagee, Robert Jeffress, Greg Laurie, John MacArthur et d’autres, l’Israël moderne n’est PAS une résurrection de l’Israël biblique ou l’accomplissement d’un Israël prophétique. L’État moderne d’Israël n’a absolument rien à voir avec la prophétie de la Bible ou la Seconde Venue de Jésus-Christ. RIEN !

L’État moderne de l’Israël sioniste est une contrefaçon diabolique – une IMPOSTURE. Et encore, du point de vue de la Nouvelle Alliance, l’Israël sioniste est le fléau de la paix mondiale, de la prospérité américaine, du discernement chrétien et de la compréhension biblique.

Cela signifie que de deux choses l’une doit arriver dans un futur rapproché : 1) Rien ne change et soit que l’Amérique s’effondre sous le jugement de Dieu à cause de sa pourriture et de la méchanceté qui l’habitent, soit qu’elle disparaisse sous les décombres d’une guerre nucléaire globale, ou 2) Dieu intervient et, par grâce et miséricorde pour Son peuple de la Nouvelle Alliance, Il traite Lui-même avec l’Israël sioniste. Si c’est cette dernière position, cela voudrait dire la dissolution du gouvernement sioniste.

Selon mon opinion, l’ancien officier du Corps de Renseignement de la Marine américaine et inspecteur en chef de l’armement des Nations Unies, Scott Ritter, est aujourd’hui un des hommes les plus fins de la planète en ce qui a trait à la géopolitique. Comme des hommes tels que le Colonel Douglas Macgregor, Jeffrey Sachs, Larry Johnson, Ron Paul, le juge Andrew Napolitano, Paul Craig Roberts, Clayton Morris, Lew Rockwell et Gerald Celente, Scott Ritter essaie sans relâche d’aider le peuple américain à voir au travers des mensonges du grand courant médiatique et des propagandistes de Washington, et à regarder la réalité de ce qui se passe réellement dans notre monde.

Ritter a récemment été interviewé par Danny Haiphong. Je dois partager plusieurs des déclarations significatives que Ritter a faites dans son entrevue – déclarations qui, je crois, sont prophétiquement exactes selon la perspective de la Nouvelle Alliance.

Ritter : Israël se trouve en ce moment dans une situation très difficile. Et les Israéliens le savent. Au moment où je vous parle, c’est la panique en Israël. Afin que le pays d’Israël existe, il lui faut littéralement être une terre d’abondance, une terre de bien-être, une terre de succès économique. Et pour avoir cela, Israël doit vivre en paix et en harmonie avec ses voisins et se trouver intégré horizontalement et verticalement à ses voisins d’un point de vue économique. Le 6 octobre, tout le monde parlait de normalisation des relations. Israël négociait la normalisation de ses relations avec l’Arabie Saoudite. Joe Biden venait tout juste d’arriver du Sommet du G20 en Inde où il s’était vanté de ce qu’il appela le Corridor Économique Inde-Proche-Orient qui relierait l’Inde à Dubaï et Dubaï à l’Arabie Saoudite par un train traversant la Jordanie vers Israël et par Haïfa vers la Grèce afin que l’Inde et l’Europe soient maintenant reliés par ce Corridor. Et ce traité était si gros que Benjamin Netanyahou en a lui-même parlé dans un débat de l’assemblée générale en septembre. Au lieu de hisser sa figure caricaturale d’une bombe iranienne, il a montré une carte montrant le rôle que joue Israël dans tout cela. Et c’est ce dont Israël avait besoin pour survivre en tant qu’état-nation : paix et prospérité.

Israël ne jouira plus jamais de la paix, jamais. Il ne vaincra pas le Hamas. Gaza est une blessure permanente. Cela ne se résoudra pas en faveur d’Israël. Israël parle d’étendre le conflit au sud du Liban contre le Hezbollah. Israël ne peut pas gagner ce conflit. Je crois qu’une des raisons pour lesquelles Israël n’a pas encore lancé cette invasion est que le Hezbollah lui a rappelé ce fait ; le Hezbollah a réussi à enlever quelques sites du Dôme de Fer des environs, faisant ainsi savoir aux Israéliens qu’ils peuvent enlever tous les sites du Dôme de Fer et Israël n’aura pas la capacité de se protéger des quelques dizaines de milliers de roquettes que le Hezbollah projettera sur Israël sur une base quotidienne. Et si vous frappez Israël avec suffisamment de roquettes durant une période suffisante, Israël cesse d’exister.

Et l’autre chose, c’est que le Hezbollah n’ira pas faire un combat qui permette à Israël d’installer 50 000 soldats au sud du Liban pour repousser le Hezbollah jusqu’à la Rivière Litani. Le Hezbollah a pris le maquis comme le Hamas l’a fait à Gaza. Et pendant qu’Israël s’y enfonce et y combat le Hezbollah, celui-ci surgira derrière Israël et prendra la Galilée. Le Hezbollah va s’assurer que le prochain combat entre Israël et le Hezbollah ne se fera pas au sein des villages du sud du Liban, mais au sein des villages et des villes du nord d’Israël. Et le Hezbollah va gagner ce combat. Israël le sait maintenant.

Les Houthis ont démontré que les lignes de communication maritimes d’Israël sont vulnérables et ont été interdites avec succès. Et Israël en a subi des pertes économiques de milliards de dollars. Et ensuite, ces attaques continues provenant de Gaza, du Yémen, du Hezbollah et maintenant de l’Irak ; les milices du Shia pro-iraniennes lancent maintenant des drones et des missiles de croisière qui frappent Haïfa, la ville d’Haïfa.

En fin de compte, Israël ne connaîtra jamais la paix tant qu’il tiendra sa position actuelle. Le Corridor Économique Inde-Proche-Orient est fini. Il ne sera pas ressuscité. Le concept de normalisation des relations entre Israël et ses voisins est ridicule. Israël a perdu le soutien dont il jouissait parmi les nations autour du monde. En fait, le seul pays qui supporte Israël sans mesure est les États-Unis. Tous les autres tournent le dos à Israël. Celui-ci a perdu le monde. Ce qui veut dire que si cela n’est pas rectifié, et ça ne le sera pas, des millions d’Israéliens vont commencer à se poser les questions qui suivent : « Pouvons-nous continuer à vivre en Israël ? Est-ce la qualité de vie à laquelle nous nous attendions ? L’économie est-elle suffisamment saine ? Veux-je soumettre ma famille aux pressions économiques et aux pressions psychologiques qu’il y a à vivre dans un État israélien assiégé ? » Et la réponse est « non ». Des millions d’Israéliens possèdent une double citoyenneté. Ils ont des passeports seconds. Et nous voyons déjà des centaines de milliers d’entre eux fuir Israël, et si la situation se détériore, vous en verrez des millions d’autres. Et à mesure que se dépeuple Israël, il devient de moins en moins viable en tant qu’état-nation, spécialement en tant qu’état singulier.

Israël est vraiment dans le trouble. La chose qui permette à Israël de tenir le coup, en ce moment, c’est le soutien des États-Unis. Ceux-ci viennent tout juste d’adopter une résolution pour laquelle le Conseil de Sécurité a voté en faveur. Si Israël n’en tient pas compte, il va perdre les États-Unis. Les USA n’auront d’autre choix que d’aller de l’avant et d’imposer des restrictions quelconques à Israël.

Et nous pouvons faire l’observation suivante. Tout au long de l’histoire moderne d’Israël, particulièrement depuis la Guerre de Six-jours de 1967, aucun Premier Ministre israélien n’a pu demeurer au pouvoir sans le support des États-Unis. Et aucun Président américain n’a pu être élu sans le soutien de l’État d’Israël.

Nous avons ici une situation où Joe Biden va sans doute être poussé à prendre acte de manière décisive contre l’État d’Israël. Et cela va lui créer des problèmes politiques énormes, ici, aux États-Unis. Et il y a un problème pour Benjamin Netanyahou qui va devoir agir d’une manière qui va lui aliéner les États-Unis à un moment où son gouvernement s’écroule. Cela nécessitera une réélection. Et cela va lui porter des dommages politiques. Donc, cette résolution est une grosse affaire. Cela met les États-Unis et Israël, Biden et Bibi, dans l’eau chaude.

Ce qui nous ramène au point que j’apportais. Rien de tout cela ne promeut la stabilité et la paix. Cela ne promeut qu’un incessant chaos et l’anarchie. Et cela aura un effet perturbateur sur la région, perturbateur sur Israël, et cela incitera probablement encore plus d’Israéliens à fuir. Je ne vois pas Israël tenir encore une décennie. Je ne vois pas Israël tel qu’il existe actuellement survivre un autre dix ans. Il ne le peut pas. Son économie s’effondre. L’isolement politique sera réel.

Pour aller de l’avant avec une solution à deux états, cela ne peut fonctionner que si les deux états sont viables. Mais comme Israël se dépeuple, rappelez-vous, si Israël est poussé à aller de l’avant vers une solution à deux états, il va y avoir de gros problèmes. Il va y avoir un tas d’Israéliens qui vont se dire : « Nous ne voulons pas vivre une solution à deux états. » Ils vont partir.

Autre chose, vous avez tout un paquet de colons en Cisjordanie qui ont volé le territoire et qui vont devoir être évincés. C’est une autre des conséquences garanties. On ne peut permettre aux colons de demeurer dans quelque construction se trouvant en terre palestinienne. Si les Israéliens font partir les colons de la Cisjordanie, il va y avoir une crise de confiance au sein même d’Israël. Ces colons ne vont pas se mettre à dire : « Euh, d’accord. Nous allons simplement rester en Israël. » Ce sont des Juifs de Brooklyn qui ont fui les États-Unis en sachant qu’ils allaient voler des terres et y demeurer. Ces gens-là ne croient pas au dur labeur ; ils ne croient pas dans le fait de gagner quoi que ce soit. Ce sont des voleurs ; ce sont des voyous ; ce sont des meurtriers ; ce sont des bandits. Et lorsqu’ils auront perdu leurs colonies, ils vont retourner d’où ils viennent : des États-Unis, de l’Australie, du Canada ou de l’Europe. Ils ne resteront pas.

Israël va se dépeupler et perdre ses éléments sionistes les plus fervents, ce qui veut dire que les Israéliens qui vont rester derrière seront ceux qui sont conditionnés à comprendre qu’Israël doit vivre de façon pacifique avec ses voisins palestiniens, ce qui signifie que l’entité sioniste, cette expérience sioniste, est terminée, et que quoi qu’il en émerge, on ne l’appellera pas l’État d’Israël. On l’appellera l’État de la Palestine. Et, espérons-le, il incorporera une population significative de Juifs. Bien sûr aussi, une population significative de musulmans et une population significative de chrétiens. La population actuelle de la Palestine va devoir se mettre ensemble et apprendre à vivre ensemble.

J’espère que vous n’avez pas lu trop rapidement les paroles de Scott. Si c’est le cas, relisez-les.

Je crois que ce qu’a dit Ritter est VRAI. Et même si Ritter peut ne pas avoir compris la signification scripturale de ce qu’il a dit, ses paroles s’alignent avec le véritable enseignement de la Nouvelle Alliance. Parfois, les gens séculiers ont une meilleure compréhension instinctive des vérités spirituelles que les gens d’églises qui se disent chrétiens – spécialement s’ils vont dans des églises sionistes chrétiennes.

Bien sûr, si Donald Trump regagne la Maison Blanche, il est encore plus sioniste que Biden et il fera de son mieux pour sauver le régime sioniste – même au prix du bien-être des États-Unis. Mais si l’écroulement de l’Israël sioniste (tel que décrit ci-haut par Ritter) est l’œuvre inévitable du Dieu Tout-puissant au nom de Christ et de Sa Nouvelle Alliance, il n’y aura rien que Trump puisse faire pour l’arrêter. En fait, Dieu pourrait choisir de traiter avec l’ultra-sioniste Donald Trump en même temps.

Nous verrons bien, n’est-ce pas ?

Tout ce dont je suis sûr, c’est que, pour que le message de la Nouvelle Alliance de Christ connaisse une renaissance de sa prééminence dans les chaires d’Amérique, les Cieux doivent s’occuper de l’infernal État sioniste d’Israël.

Si Scott Ritter est exact dans son analyse politique – et que j’ai raison dans mon analyse spirituelle de la guerre génocidaire d’Israël à Gaza – les Cieux travaillent peut-être déjà à l’affaire.




Est-ce que Dieu favorise une race plus que les autres ?

Dieu ne fait acception de personne

Traduction de l’infolettre de janvier 2018 de Power of Prophecy

Par Jerry Barrett

« En vérité, je reconnais que Dieu n’a point égard à l’apparence des personnes ; Mais qu’en toute nation, celui qui le craint et qui s’adonne à la justice, lui est agréable. »

(Actes 10:34-35)

Pendant plus de trente ans, Texe Marrs a été un ami, un enseignant et un mentor pour une multitude de chrétiens. Il m’a enseigné plus de dix-huit ans. Ce m’est un grand honneur que de l’appeler mon ami. À Power of Prophecy, nous allons continuer son héritage visant à dénoncer les malfaiteurs et à répandre la vérité.

Sous sa tutelle, je me suis éveillé aux actions subversives de ceux qui se déclarent « chrétiens », mais sont en fait des loups déguisés en brebis. J’ai également été mis au courant du sionisme et du programme « juif » qui mène le pays depuis près de cent ans.

Creusons la chose une minute. Près de cent ans ! Wow !

Le petit pays qui a été créé en territoire palestinien et reconnu par Harry Truman et Joseph Staline n’existe pas depuis bien longtemps. Toutefois, l’infiltration de son programme s’est fait à fond. Quiconque s’est trouvé en travers de son chemin a été éliminé, ostracisé et couvert de honte.

Comme preuve, voyez ce qui est arrivé à Harry Truman, John F. Kennedy, Richard Nixon, Spiro Agnew et Jimmy Carter. Tous se sont rebiffés contre le programme pro-sioniste — à différentes mesures — et l’on s’est chargé d’eux sommairement. Même Bill Clinton s’est vu forcé de tirer la ligne lorsqu’il a succombé à « l’Option Esther » connue sous le nom de Monica Lewinsky.

L’infiltration juive de l’Église d’aujourd’hui

Ce programme s’est, non seulement infiltré dans notre gouvernement et notre système d’éducation, mais il a également envahi l’église soi-disant « chrétienne ». Certains pasteurs ont même déjà commencé à célébrer les jours saints « juifs » et leurs paroissiens imitent souvent leurs pasteurs en répétant : « Bénissez Israël et vous serez béni, maudissez Israël et vous serez maudit. »

Malheureusement, ces mangeurs de balustre n’étudient pas leur Bible et copient plutôt leurs leaders ecclésiastiques. Certains des pasteurs, fraîchement sortis du séminaire, n’ont même jamais appris qu’il y a un Israël spirituel et un Israël physique. À cause de leur zèle à soutenir Israël, ils conduisent chacun de leurs membres à la perdition.

Ils se réfèrent rapidement à Genèse 12:1-3 : « Et l’Éternel avait dit à Abram … je te ferai devenir une grande nation … je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront… »

Chose triste, ils n’ont jamais étudié ni appris Hébreux 8:6-13 : « Mais maintenant Christ a obtenu un ministère d’autant plus excellent, qu’il est Médiateur d’une alliance plus excellente, et qui a été établie sur de meilleures promesses. En effet, si la première alliance avait été sans défaut, il n’y aurait pas eu lieu d’en établir une seconde. Car en leur adressant des reproches, Dieu dit aux Juifs : Voici, les jours viendront, dit le Seigneur, que je traiterai une alliance nouvelle avec la maison d’Israël, et avec la maison de Juda ; non une alliance comme celle que je fis avec leurs pères, au jour où les prenant par la main, je les tirai du pays d’Égypte ; car ils n’ont pas persévéré dans mon alliance, et je les ai abandonnés, dit le Seigneur. Or, voici l’alliance que je traiterai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit le Seigneur, je mettrai mes lois dans leur esprit, et je les écrirai sur leur cœur. Je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple ; et aucun n’enseignera plus ni son prochain ni son frère, en disant : Connais le Seigneur ; parce que tous me connaîtront, depuis le plus petit d’entre eux jusqu’au plus grand ; parce que je serai apaisé à l’égard de leurs injustices, et que je ne me souviendrai plus de leurs péchés, ni de leurs iniquités. En parlant d’une alliance nouvelle, il déclare ancienne la première ; or, ce qui est devenu ancien et a vieilli est près de disparaître. »

Pourquoi cette partie du livre aux Hébreux n’est-elle pas prêchée au lutrin ? Parce qu’elle va à l’encontre de l’enseignement pro-sioniste produit dans les séminaires et dans de nombreuses études théologiques de niveau universitaire. Et – que le ciel les en préserve – parce qu’ils craignent d’être qualifiés « d’antisémites ».

Que veut dire « antisémite » ?

Le terme « antisémite » est servi à toutes les sauces, ces jours-ci. Toute la gloire de la propagation de cette expression en revient à la Ligue Anti-Diffamation et autres groupements pro-Israél. Leur définition dérangée – quiconque parle en mal d’Israël ou des « Juifs » – s’est imprégnée dans notre société.

Le mot « sémite » original concerne un groupe linguistique. Cela n’a rien à voir avec la race ou l’ethnicité. Il inclurait donc les Éthiopiens, les pays arabes, les Iraquiens, les Syriens et d’autres encore. On pourrait aussi inclure les Juifs séfarades.

Les Khazars sont-ils sémites ?

Pourquoi le terme « antisémite » est-il attaché à quiconque parle contre Israël, le sionisme ou le judaïsme ? À cause du stigmate accolé à cette expression, la plupart de ceux que l’on appelle ainsi courberont l’échine et se confondront en excuses en demandant pardon.

Grâce aux recherches sur l’ADN, nous savons maintenant que la majorité des habitants de l’Israël moderne proviennent du Caucase, dans la partie sud de la Russie. On les appelle aussi des Khazars. Leur langue était le khazar, ce qui ne rencontre donc pas le critère établi par les linguistes pour être sémite.

L’émergence du sionisme chrétien

Dans les années 1940, le terme « judéo-chrétien » – le mélange des croyances judaïques et chrétiennes – fit partie de la culture américaine populaire. Cela a également conduit à l’émergence du sionisme chrétien, populaire chez les évangéliques américains. John Hagee personnifie cet enseignement apostat. Son livre, À la défense d’Israël, déclare que Jésus n’est pas venu en tant que Messie. Comment peut-on encore considérer cet homme un « chrétien » ?

Le mouvement Identité Chrétienne a récemment gagné en popularité. Il déclare dans son idéologie que tous ceux qui ne sont pas de race blanche seront, soit exterminés, ou deviendront esclaves de la race blanche dans le royaume céleste sur terre. Sa doctrine énonce aussi que les gens de couleur n’atteindront jamais le salut.

Qui est le Peuple élu de Dieu ?

Ainsi, qui est vraiment le « Peuple élu » de Dieu ? La Bible le décrit-elle ? Pourquoi est-il si difficile de comprendre la Parole de Dieu en la matière ?

Galates 3:26-29 nous dit qui sont Ses Élus : « Car vous êtes tous enfants de Dieu par la foi en Jésus-Christ. Car vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n’y a plus ni esclave ni libre ; il n’y a plus ni homme ni femme ; car vous êtes tous un en Jésus-Christ. Et si vous êtes de Christ, vous êtes donc la postérité d’Abraham, et les héritiers selon la promesse. »

Si vous étudiez la Parole de Dieu, vous noterez que, lorsqu’un point important est apporté, vous allez trouver plus d’une référence s’y rattachant dans la Bible. Donc, voyons ce que Romains 10:12-13 a à dire : « Car il n’y a point de distinction entre le Juif et le Grec, parce que tous ont un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur, sera sauvé. »

Un véritable chrétien peut-il être raciste ?

Si l’on suit tout le conseil de Dieu, alors être raciste est impossible. Dans le livre des Actes, Pierre dit : « Je reconnais que Dieu n’a point égard à l’apparence des personnes ».

Tous ceux qui en appellent à Jésus-Christ comme de leur Sauveur, ceux-là sont Ses Élus. Nous sommes un peuple particulier, un sacerdoce royal. Nous devons aller l’annoncer et répandre Son message partout.

Il n’y a pas de haine dans la Parole de Dieu. Ceux qui sont engendrés aimeront leurs frères comme eux-mêmes. Nous avons pour mission d’apporter la lumière de Jésus à tous ceux qui ont des oreilles pour entendre.

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« Célébration » de cent ans de mensonges et de menaces bolcheviques et sionistes

Par Steve Reilley

Il y a cent ans, le sionisme et le bolchevisme célébraient leurs plus grandes conquêtes. La première, une déclaration concernant la Palestine, de la part du pouvoir colonial dirigeant dans le monde, et l’autre, la destitution du Gouvernement Provisoire de Russie – d’énormes accomplissements, selon tous les standards.

Le bolchevisme et le sionisme attinrent leurs sommets comme il convient durant la plus grande guerre à ce point de l’histoire et ils allèrent jouer un rôle majeur à l’arrivée de la Seconde Guerre Mondiale.

Et, bien que la Première Guerre Mondiale faisait rage dans de nombreux coins du globe et créait une situation fluctuante au sein de beaucoup de capitales européennes, les citoyens de l’Occident croyaient leur monde civilisé. Pourtant, le bolchevisme et le sionisme faisaient fi des lois internationales et des standards pour lesquels les occidentaux supportaient leurs leaders.

Dit simplement : Comment ?

Sans que les citoyens ne le sachent, leurs leaders répondaient, non pas au peuple, mais à une cabale inexplicable et invisible, bien plus puissante que n’importe quel pays (Voir Milieu d’intrigue, par Texe Marrs). Le leader d’un pays fut-il trouvé, jusqu’à un certaine point, réfractaire à « jouer le jeu », comme le Premier Ministre H. H. Asquith de Grande-Bretagne, il était tout simplement « mis sur le banc » au profit d’un remplaçant convenable, comme, dans ce cas-ci, David Lloyd George, qui agit exactement tel qu’ordonné.

Mais il existe un aspect beaucoup moins facile à contrôler qu’un seul homme au-dessus d’un pays. Le flot d’information donné au public.

Le public du début du 20e siècle s’en remettait au reportage des médias écrits pour connaître les événements mondiaux. Alors qu’il y a aujourd’hui des avenues additionnelles par lesquelles l’on peut obtenir les « nouvelles », il y a cent ans, les histoires souvent citées provenaient des agences de presse et des journaux quotidiens majeurs.

Dans La controverse de Sion, Douglas Reed reconnaît le problème comme suit : « De loin, le plus grand obstacle que rencontraient les ambitions du sionisme s’avérait le reportage dans la presse des faits qui se passaient en Palestine, ainsi que des commentaires éditoriaux. »

Initialement, Lord Northcliffe, important nabab de la presse de Grande-Bretagne, représentait le « plus grand obstacle » face à la machine de propagande sioniste. Reconnu comme « indépendant et non achetable », Northcliffe était propriétaire majoritaire de multiples journaux britanniques qui représentaient 40 % du lectorat quotidien.

En 1920, l’intrépidité de Northcliffe lui valut l’inimitié d’un grand nombre de Juifs puissants. Ayant pris connaissance des Protocoles des Sages de Sion récemment traduits, Northcliffe publia des extraits du livre. Sous le titre de « Le péril juif, un inquiétant opuscule qui exige une enquête », Northcliffe déclara : « Une enquête impartiale de ces prétendus documents et de son histoire serait des plus désirables … allons-nous rejeter toute l’affaire sans enquête et laisser l’influence d’un tel livre opérer sans vérification ? »

Vers la même époque, Northcliffe eut vent de ce qui se produisait en Palestine et se donna pour mission de faire connaître la vérité au public. Il se rendit en Terre Sainte avec JMN Jeffries, un éminent journaliste de la Première Guerre Mondiale, et vit de ses propres yeux ce qui s’y passait. Les dépêches de Jeffries dans The Times fournissaient une illustration bien différente de ce qu’offrait la propagande sioniste apparaissant dans les autres journaux anglais.

Mais les choses arrivèrent rapidement au point critique lorsque l’éditeur de Northcliffe au Times, Wickam Steed, refusa d’imprimer d’autres histoires en rapport avec la Palestine. Mystérieusement, en dedans de quelques mois, le grand nabab des journaux, Northcliffe, mourait.

Près de deux décennies plus tard, Jeffries publia un livre, Palestine, la réalité, mais il ne rejoignit qu’une infime fraction de lecteurs.

La nature étrange de la chute et de la mort de Northcliffe en dit beaucoup sur le groupe extrêmement puissant qui opère au-dessus des lois, capable d’éliminer des personnages très connus sans aucune conséquence. Il est clair que ce groupe désire le succès du sionisme.

Inutile de dire que dès lors, les journaux chantèrent tous en harmonie parfaite en ce qui a trait à la Palestine. Les groupements sionistes apportèrent leur « aide » en fournissant des articles prêts à imprimer. Une tactique à l’usage très répandu aujourd’hui.

Robert Wilton, correspondant pour le Times en Russie pendant plus de quinze ans, rapporta la révolution telle qu’il la vit. Ses dépêches montraient on ne peut plus clairement le ratio extrêmement élevé de Juifs dans les postes de leadership.

Wilson fut traité de la même manière qu’il l’aurait été aujourd’hui. Une plainte alléguant de l’antisémitisme fut déposée par un fonctionnaire du Bureau Britannique des Affaires Étrangères. À partir de là, ses dépêches se retrouvèrent dans les corbeilles à papier du Times plutôt que dans ses colonnes. Après quelques années, homme brisé, Wilton mourait. Encore une fois, le révélateur de vérité était éliminé en servant d’exemple.

Aujourd’hui, le contrôle de l’information est encore mieux concerté. La juiverie organisée contrôle 96 % des médias mondiaux. Cependant, avec la venue de l’Internet, plus de gens peuvent employer des sources alternatives afin de trouver la vérité. Ce qui a conduit à la censure de la part de Google et d’autres dans une vaine tentative de contrôler ce que le public en général peut apprendre. Lorsque le Président Trump vocifère « FAUSSES NOUVELLES ! », il pourrait parler pour Jeffries, Wilton et d’autres révélateurs de vérité que l’on a piétinés sommairement.

http://www.texemarrs.com/012018/no_respecter_of_persons.htm